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vendredi, 02 septembre 2016

Flash actu sur l’apprentissage de la langue arabe dans nos écoles !

Quitte à faire dans l’absurde, autant le faire jusqu’au bout !

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NKM « veut interdire le salafisme » mais a toujours soutenu la mosquée salafiste de Longjumeau

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« En campagne pour les municipales de 2008 par exemple, NKM est invitée, avec d’autres élus, par les dirigeants de la mosquée dans un restaurant halal de la ville. Dans une vidéo de l’époque que nous avons pu consulter, on la voit prendre le micro et rappeler que «l’engagement de la ville» pour accompagner la mosquée «est total». Elle y expose également plusieurs solutions pour que les dirigeants et les musulmans de la ville «trouvent un bâtiment à un prix acceptable»: «Mon idée est d’avancer courant 2009 sur un projet de terrain», insiste-elle.

D’après Ismaïl Mounir, les relations entre l’ex-président du lieu de culte qu’elle accuse aujourd’hui d’être «salafiste», Farid Mounir, et NKM étaient «très bonnes».«Il y a quelques années, nous avions eu un maire qui ne lisait même pas nos courriers et n’échangeait pas avec nous au début de son mandat. Or avec NKM, il n’y avait pas de problème», poursuit-il. Pendant son mandat, la mairie a en effet échangé avec la mosquée sur différentes possibilités pour trouver un nouveau terrain. Nous avons pu consulter deux courriers (datés du 14 mars 2011 et du 16 mai 2011) signés par NKM qui retoque deux propositions de la mosquée pour des raisons «d’urbanisme». »

NKM prêtait aussi un gymnase municipal pour les prières des islamistes.

L’imâm salafiste Ismail Mounir s’étrangle du revirement de cette proche d’Alain Juppé, et rappelle sa bienveillance à son égard :

« Mme Kosciusko-Morizet avait également, à la suite de cela, mis les services de la mairie à notre disposition pour la recherche d’un terrain privé, en vue de la construction d’une mosquée plus grande et plus adaptée aux besoins de la communauté musulmane de Longjumeau. L’ancienne maire de Longjumeau était, pour rappel, venue solliciter notre aide lors des élections législatives, tandis que nous respectons une neutralité vis à vis du champ politique. Dans un rapport cordial, elle nous avait également invités au salon de la questure de l’assemblée nationale pour un repas avec différentes personnalités religieuses et politiques ».

France Révolution

Nous sommes en guerre contre des gens pour qui burka et burkini ne sont pas que des tenues vestimentaires

Extrait du billet du père Michel Viot à propos du burkini et de l'islam :

"(...) Alors oui, en cette terre de France, le burkini ne sera considéré que comme un symbole de plus de notre diversité culturelle, religieuse et philosophique. Pourquoi un pays comme le notre qui possède une telle variété de fromages n’aurait pas plusieurs costumes de bains ? Nous nous baignerons donc ensemble, dans un bouillon de cultures au risque de déstabiliser notre civilisation ! Mais cela peut lui donner un coup de jeunesse, et remettre en cause bien des idées reçues. Craindrions nous des printemps, mêmes arabes ? Mais il y a fort à parier que le burkini ne sera pas long à ne plus supporter le bikini et le maillot deux pièces ! (...)

Deux remarques : le droit sert, entre autre, au maintien de l’ordre. Il s’exprime au nom du peuple français, voire le prononcé des jugements ! Sur l’ordre ! Faut- il rappeler que nous sommes en guerre contre des gens pour qui burka et donc burkini ne sont pas que des tenues vestimentaires ? Le burkini sur une plage, c’est un peu comme un verset du Coran lu dans une église. Une avancée de l’Islam salafiste, masquée (sans jeu de mots) et en douceur ! Les Français « bien pensants », dont l’esprit anime les médias grands collecteurs de la pensée unique, Charlie, droits de l’homme, chrétiens de gauche, mariage pour tous et j’en passe, sont tellement obsédés par l’accueil de l’autre et « la place qu’il faut laisser à l’étranger » comme ils le chantent si bien à la messe, ne peuvent y voir malice ! Ils ont même prié le 15 août en disant à la suite de « Prions en Eglise » : « Avec Marie, modèle de la foi, présentons au Père l’Eglise : qu’elle soit courageuse dans l’affirmation de la foi et audacieuse dans l’accueil des autres religions. »

Eux qui ont été scandalisés par la mort du père Hamel, victime du fanatisme islamique, doivent l’être tout autant par ces autres pauvres victimes du violent racisme « néocolonial » que sont les femmes verbalisées à cause de leurs opinions religieuses. Le salafisme a maintenant ses martyres, de faibles femmes, comme le catholicisme avec son pauvre vieux prêtre ! Je constate par ailleurs avec intérêt que chez les anti burkinis, comme chez les pro, on se réclame de la laïcité ! Ce qui selon moi apporte un argument supplémentaire pour montrer la caducité de la loi de 1905. Alors venons en à l’histoire !

Pour les religions et les juges. Quand le candidat Juppé parle d’un accord solennel entre la République et l’Islam, il doit bien imaginer que la chose n’est envisageable que si l’Islam est considéré comme ce qu’il est : une religion ! Or la loi de 1905 ne reconnaît pas comme telles les différentes formes de christianisme ainsi que le judaïsme ! Ne serait- il pas réaliste et surtout plus juste de réfléchir d’abord à la manière dont la loi en 1905 a traité le fait religieux. Et de se demander si cela était équitable pour les religions concernées et avantageux pour l’Etat, j’entends par là dans le travail qui lui revient de droit en la matière : l’ordre public.

Et j’insiste sur ce point qui me parait capital, pour la France et en ce moment : judaïsme et christianisme doivent être traités ensemble et séparément de l’Islam. Me plaçant du seul point de vue du citoyen, je ne porte aucun jugement de valeur sur ces trois religions, et je demande à l’Etat la même neutralité. Les deux premières religions ont fait la France ! Ce n’est pas le cas de l’Islam ! Si ces deux religions ont connu quelquefois de graves problèmes, elles ont expérimenté pendant des siècles ce fameux « vivre ensemble » dont on nous rabat les oreilles. Nous avons connu l’édit de Nantes de 1598, sa révocation en 1685, puis l’édit de tolérance de 1787 qui commençait par donner l’état civil aux protestants, et qui devait s’étendre aux juifs. La mauvaise volonté des parlementaires (voilà déjà les juges !) empêcha le roi d’aller plus vite. La révolution accorda sur le papier une liberté religieuse qu’elle n’appliqua jamais. C’est Bonaparte en 1801 et 1802 qui donna un statut aux catholiques et aux protestants, et aux juifs en 1808. Pour ce dernier cas, les intéressés ne lui facilitèrent pas la tâche, d’où le retard par rapport aux autres ! Auparavant en 1806, leur communauté avait dû répondre à 12 questions préalables qu’on pourrait presque reprendre pour les musulmans !

Mais ici surgit un problème majeur, aussi peu vu par les responsables des cultes depuis qu’ils réfléchissent à l’organisation de l’Islam en France que par le candidat Juppé : avec qui l’Etat va-t’il signer? Le ou les signataires musulmans pourront ils être considérés comme représentatifs de leur communauté, comme le Pape pour les catholiques, les autorités synodales pour les protestants, le « grand sanhédrin » pour les juifs ? Et question subsidiaire : l’État signataire avec une puissance religieuse nouvelle dans ce pays, doit avoir préalablement traité en religion celles dont il s’est séparé en 1905, sans négociation préalable. Pour faire bref, aller au delà de la simple reconnaissance comme association cultuelle ! Ne pas vouloir franchir ce pas condamnerait à ne voir dans l’Islam que le même genre d’entité ! De quel droit alors pourrait-il avoir des exigences qui dépassent le strict exercice du culte ? Mais les autres dira-t’on ? Bonne question ! La réponse pour les juifs et les chrétiens a été donnée au coup par coup sur des sujets qui ne troublaient jamais l’ordre public. Les juristes qui ont eu à en connaître avaient ce sens de « l’humain religieux ». Le droit doit toujours demeurer au service du bien commun. Pour paraphraser Jésus, le droit comme le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le droit ! (...)"

Philippe Carhon

Le salon beige

Alain Juppé et les islamistes : rumeurs et vérités

Documentaire présentant les positions d'Alain Juppé favorable à une grande mosquée à Bordeaux pilotée par les Frères Musulmans :

Menace d’arrivée d’une nouvelle vague de djihadistes depuis la Syrie

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Alors que nos gouvernants inconscients veulent accueillir les "migrants", le directeur d’Europol, Rob Wainwright, a déclaré au journal The Standard, vendredi, que le continent européen et le Royaume-Uni sont sous la menace de l’arrivée d’une nouvelle vague de djihadistes depuis la Syrie alors que l’Etat islamique vient de prendre la « décision stratégique » d’envoyer de nombreux « combattants » vers l’Europe. Il assure que les guerriers d’Allah utilisent de plus en plus souvent des documents falsifiés pour leur permettre de pénétrer dans l’Union européenne, des passeports syriens notamment.

La décision de l’Etat islamique fait suite, selon lui, aux défaites essuyées sur le terrain en Syrie. Rob Wainwright a ajouté qu’un nombre modeste mais croissant de ces combattants se font passer pour des réfugiés pour pénétrer sur le sol européen. 

Selon le directeur d’Interpol, il existe des éléments qui laissent penser que des extrémistes tentent de radicaliser des migrants dans les points d’accueil des réfugiés en Grèce et dans les Balkans. Le journal italien La Stampa vient ainsi de révéler que de faux passeports fabriqués à l’intention de militants de l’État islamique ont été mis au jour dans des camps de réfugiés en Grèce.

Michel Janva

Le salon beige

À quand l’ouverture de l’hôpital psychiatrique « Allah Akbar ? »

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D’après La Dépêche du Midi, un jeune adjoint de sécurité prénommé Valentin, âgé de 23 ans, a été sauvagement agressé au couteau, mardi 30 août en début d’après-midi, dans un commissariat de Toulouse, rue du Rempart-Saint-Étienne, par un individu qui a tenté de l’égorger.

L’homme a préparé certainement son attaque avec soin puisqu’il est entré dans le bureau en prétextant un dépôt de plainte avant de sauter sur le jeune policier pour essayer de lui prendre son arme. Une lutte s’en est ensuivie. Voyant qu’il n’arrivait pas à s’emparer du pistolet, il a sorti un couteau de cuisine et a frappé le jeune auxiliaire à la gorge. Heureusement, des collègues se sont jetés sur l’assaillant et l’ont neutralisé. Ils ont pu, alors, secourir la victime qui, gravement blessée, a été transportée à l’hôpital.

L’agresseur arrêté, âgé de 31 ans, est d’origine algérienne, a-t-on appris de source syndicale policière. Il aurait attaqué l’adjoint de sécurité, d’après la même source : « Parce qu’il représente la France. » Vous avez remarqué : les deux mots tabous – terroriste et islamiste radical – n’ont été prononcés ni par les policiers ni par les journalistes. Ceux-ci auraient pu au moins se poser la question. Eh bien, non, la seule chose que Luc Escoda, du syndicat Alliance, a précisé est que em> »l’individu faisait apparemment une fixation sur la DGSI » et « pourrait présenter des troubles psychiatriques ».

Ainsi, sans la moindre enquête, perquisition au domicile de l’agresseur, sans avoir interrogé ses proches, sans avoir vérifié le contenu de son ordinateur, sans avoir fait la liste de ses contacts sur son smartphone, les autorités de ce pays savent a priori que notre agresseur est un cinglé, un maboul, comme on dit dans le Midi. France Info va même plus loin en affirmant : « Selon une source du ministère de l’Intérieur, l’attaque n’a pas de caractère terroriste. »

Le ministère de l’Intérieur n’arrête pas de mettre en garde la population sur de futurs et possibles attentats, et quand une action y ressemble, les médias et l’État commencent par dire : « Ne vous trompez pas, ce n’est pas du tout un acte terroriste ! »

On va bientôt nous expliquer que cet Algérien venait de lire un article sur la DGSI, qu’il se promenait par hasard dans le quartier, qu’il a trouvé un couteau sur le trottoir près du commissariat et s’est demandé ce qu’il pouvait bien en faire, et là, brusquement, il a disjoncté, le Docteur Jekyll du Maghreb est alors devenu un Mister Hyde toulousain.

Moi, en tout cas, je constate une chose : c’est le nombre considérable de musulmans qui présentent des troubles psychiatriques. Entre celui qui a écrasé une douzaine de piétons à Dijon, celui qui s’est attaqué au planton d’un commissariat, celui qui a coupé la tête de son patron et l’a accrochée sur un grillage – j’arrête ma liste là, faute de place -, il y a véritablement de quoi remplir tous les lits d’un hôpital psychiatrique.

Aussi, je me permets de demander aux autorités de ce pays : à quand l’ouverture d’un hôpital « Allah Akbar » ?

J.-P. Fabre Bernadac

Boulevard Voltaire



Testing islamiste

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L’été a été marqué par une polémique que certains qualifient avec un peu trop d’empressement de dérisoire. Cachez ce burkini que je ne saurais voir, ou libérons les femmes, c’est selon. À cela s’ajoute le cas odieux de ce restaurateur lynché sur la place publique pour acte manifeste d’islamophobie.

Je pense que ces deux faits sont tout sauf anecdotiques. Ils sont, au contraire, la traduction manifeste d’une offensive politique de la part d’une frange conquérante de tenants d’un islam militant et radical. En balayant d’un revers de la main ces deux histoires différentes et pourtant si proches, on annihile notre capacité de résistance et on permet une nouvelle fois à nos ennemis de tester nos capacités de résistance.

En rentrant un peu plus en profondeur dans ces faits divers, on constate que le hasard fait quand même bien les choses. Cette femme voilée et humiliée publiquement sur la plage a trouvé un téléobjectif compatissant pile au bon moment. Que faisait donc ce photographe les instants d’avant, lorsque, par deux fois, cette dame a été avertie dans le calme que sa tenue était inappropriée ? Que doit-on penser de la persistance de cette dame à revenir une troisième fois sur les lieux, sans effets de plage ?

Nous savons que le contexte est souvent déterminant. Et en matière de contexte, nous restons également sur notre faim dans le voyage qui nous emmène dans ce restaurant de Tremblay-en-France dont je tairai le nom pour ne pas l’accabler. Quelle chance d’avoir retrouvé un peu de batterie sur son téléphone portable pour filmer une agression verbale sortie totalement de son contexte. L’entrée au restaurant a été refusée à deux musulmanes. Soit. Dès lors, pourquoi les avoir laissées s’asseoir, parcourir la carte et servir ces deux verres que nous voyons au premier plan ? Le restaurateur est donc à ce point déséquilibré (mot à la mode quand il s’agit de nommer les loups solitaires un peu trop visibles ces derniers temps) qu’il a spontanément « pété les plombs » sans penser une seule seconde que cela mettrait un terme à sa carrière ? Ce dernier a été lynché médiatiquement et la vidéo s’est retrouvée à faire le buzz sur une page Facebook depuis supprimée (une certaine Karima Abdel Rahman Bint Mohammed) près de 10 heures avant sa connaissance par les médias…

Jusqu’au plus haut niveau de l’État, on a pris immédiatement position sans connaître à un seul instant la version de ce restaurateur. La présomption d’innocence ne s’applique qu’aux ennemis de la République, il est vrai. Aujourd’hui, on a totalement renversé les charges. Le restaurateur, qui s’est depuis excusé, a dû déménager et est menacé de mort. Sa vie est fichue. Les deux jeunes filles sont, quant à elles, totalement libres et on ne leur demande aucune explication. Le coupable est devenu victime. Mais que n’aurait-on dit si deux jeunes filles en haut de maillot de bain s’étaient présentées dans un restaurant musulman ? Provocation, stigmatisation, coup de canif dans le contrat du vivre ensemble et jugement devant les tribunaux de l’islamophobie.

Ces deux cas, pourtant si différents, ont un dénominateur commun. Mon intime conviction est que, n’ayant pu obtenir la division espérée (les actes de vengeance, la chasse aux musulmans), l’islam politique cherche à présent à fabriquer des victimes, des martyrs. Une France à ce point attaquée, et qui continue à tendre l’autre joue, c’est une situation inespérée. Comme les barrières face à l’obscurantisme tombent les unes après les autres, on continue d’être testés. Jusqu’à quel point sommes-nous capables d’accepter les demandes communautaristes et les simagrées toujours plus absurdes ?

Même le Conseil d’État se met à faire de la politique en disant le droit, son droit. Car, en effet, il y avait bien d’autres moyens juridiques de suivre les arrêtés anti-burkini et de conforter ainsi notre vision de la société, notre société. En donnant raison aux signes apparents de l’islamisme au nom d’une conception partiale de la liberté, on accepte une fois de plus de victimiser ceux qui ont décidé de nous combattre. Et eux iront jusqu’au bout.

Thibaut Ronet

Boulevard Voltaire

La Méditerranée, un Calais démultiplié !

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Pendant que nos médias n’en peuvent plus de leur favori Macron, le futur drame de l’Europe se joue dans les ports italiens, en Méditerranée et sur les côtes grecques où, malgré les milliards donnés à Erdoğan, les migrants débarquent par milliers. Mais cela n’intéresse nos journalistes que de très loin.

Tous les jours, profitant d’un temps clément et d’une mer calme, ils sont, depuis dimanche, plusieurs milliers à s’échapper des côtes libyennes car ils savent que la traversée de la Méditerranée ne sera pour leurs pitoyables embarcations que de 12 miles. 6.500 dimanche, 3.000 mardi. Et tout au long de l’année, des centaines quotidiennement quel que soit le temps. Après une traversée de tous les dangers du Sahara où nombreux sont ceux qui meurent de soif ou d’épuisement, ils savent que les 15 navires de Frontex, aidés par les vedettes de la Guardia Costiera, les attendent à la limite des eaux territoriales au nom du principe basique d’humanité.

L’opération Sophia, destinée à lutter contre les passeurs, dont les bateaux peuvent depuis ce mercredi être coulés par les gardes-côtes libyens, va plutôt rassurer les candidats à la grande traversée et, donc, amplifier le flux de migrants vers l’Europe.

Interrogé, le service de presse de Frontex a paru outré que je m’étonne de ces récupérations massives d’Africains venus de l’est comme de l’ouest de leur continent qui, une fois arrivés à bon port, vont se voir dorloter jusqu’à l’obtention d’un permis de séjour européen, après une enquête pour savoir à quelle sauce ils vont être élargis. « Vous savez, très peu de migrants ont des papiers. » « Mais ils ont des smartphones, non » ? « Ah oui, TOUS en ont ! » « Mais comment peuvent-ils s’offrir une traversée qui peut coûter plus de 10.000 euros ? Où trouvent-ils l’argent et ces smartphones ? » « Ils empruntent, ils économisent ! » « Mais l’État islamique ne serait-il pas derrière ce trafic humain ? » « Ah, ça, c’est vous qui le dites… »

En résumé, l’Europe, via Frontex et les gardes-côtes italiens, continue à encourager à tout va cette immigration clandestine, à 90 % musulmane, pour les lâcher dans la nature, à travers l’Europe, et en France, bien entendu, où ces migrants sont de plus en plus visibles et choyés par nos responsables. Irresponsables, devrais-je écrire, car depuis le 1er janvier, ils sont 105.600, dont 13.700 mineurs seuls, à être arrivés en Italie ! Ils sont 275.000, mais peut-être beaucoup plus, à attendre en Libye un passeur ou un canot pneumatique où ils s’entasseront à cent. Lundi, côté grec, ce sont 462 migrants arrivés de Turquie (merci, Erdoğan) à avoir accosté sur les îles de Chios et Lesbos.

Le rythme devient infernal. Demain, puisque notre Président et son ministre Cazeneuve ne font rien, ils ne seront plus 10.000 à Calais, mais 15.000, 20.000, 30.000… Tous ces politiciens français et européens (Juncker, Merkel, Hollande) sont peut-être ainsi les fossoyeurs de l’Europe civilisée par 2.000 ans de chrétienté… Car ils ne semblent pas du tout décidés à mettre un terme à cette crise migratoire. Une crise qui n’en est plus une, mais une invasion. Et si vous ajoutez – cerise sur le gâteau – la soumission à l’islam de ces politiciens, vous imaginez ce que sera l’avenir de nos enfants et petits-enfants.

Des millions d’hommes sont morts pour défendre notre liberté. Quelques misérables hommes politiques, députés, commissaires non élus d’une Europe perdue et autres juges, aussi courageux que des lapins, sont en train de rendre leur sacrifice inutile.

Floris de Bonneville

Boulevard Voltaire



« Occident » : oh, que ce mot est inapproprié !

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Au pays de Hollande, un commissaire de police du Val-de-Marne, qui avait adressé ses félicitations à l’un de ses agents pour avoir verbalisé une femme arborant le niqab, vient de se faire remonter les bretelles par la préfecture de Paris.

1er juin, dans une rue de Champigny-sur-Marne, un policier en service croise une voilée intégrale. Soucieux de faire respecter la loi – son boulot, quoi -, il interpelle la supposée dame tout de noir vêtue et dresse un procès-verbal. 3 juin : le commissaire lui adresse une lettre l’encourageant « vivement à poursuivre dans cette voie, la seule permettant de sauvegarder les valeurs de l’Occident ». Lettre élogieuse qui semblerait avoir fait des petits jaloux. Ou des mécontents de la verbalisation de l’infraction. Car, sans savoir ni pourquoi ni par qui, elle est remontée en haut lieu ! À croire, même, que certains savaient y obtenir une oreille attentive. En effet, dans un entretien à l’AFP, la préfecture de Paris justifie les remontrances dont va faire l’objet le commissaire en question parce que « les termes employés [de sa lettre] sont inappropriés ». Très important, les termes. Ecoutez M. Cazeneuve, vous comprendrez.

Dans la France de 2016, donc, un commissaire de police, exprimant sa reconnaissance à un policier pour avoir fait son devoir, se voit non seulement dénoncé, mais remonter les cales par son directeur et par voie épistolaire, dont notre administration française a le secret, « afin que ce type de propos ne soient pas réitérés ». Surtout, dans la France de 2016, vanter et vouloir sauver les « valeurs occidentales », « lutter contre les phénomènes communautaires », et les juger « hors fondements de la République » est devenu « inapproprié »… condamnable, quoi. Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites ! Mais alors, quand le candidat Hollande promettait de lutter contre les communautarismes… il n’en pensait pas un mot ? Oh !

Toutes ces lois – 2004, 2011, 2014, qu’aucun Français n’avait jamais, depuis, remises en question – sur les accoutrements islamiques, quelle hypocrisie, quel cynisme ! On savait qu’il était demandé aux policiers de ne pas faire d’excès de zèle. Et la consigne ne remonte pas à hier. En 2010, déjà (avant 2012, donc…), on leur enjoignait de « lever le pied pour éviter que ça pète ». On savait que nombre de policiers y réfléchissent à dix fois avant de verbaliser une « enburkanée », de crainte de déclencher une émeute. Mais, en tapant sur les doigts d’un de ses fonctionnaires, l’État socialiste dévoile sans plus aucun fard son projet de nouvelle société. Une société qui n’a plus à être occidentale, puisque le mot « Occident » semble devenu tabou. Une société « républicaine ». Un point c’est tout. Où l’islam a donc toute sa place, comme le martèle, matin, midi et soir, le gouvernement. Le hic, c’est que partout où l’islam est implanté, il prend toute LA place… Partout où l’islam est en place, tout le reste trépasse.

Au fait, ces valeurs républicaines, elles sont nées où ? En Occident, non ? Ce sont donc des valeurs occidentales, ou des valeurs de l’Occident, autrement dit. Parce que si ce n’est pas ça, il va falloir nous le dire, à nous et au commissaire de police du Val-de-Marne.

Caroline Artus

Boulevard Voltaire



Val-de-Marne : enquête préliminaire ouverte après la découverte d’une école coranique clandestine

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Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Créteil, jeudi 1er septembre, après la découverte d’une école coranique clandestine à la mosquée de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). Elle avait été repérée au cours d’une perquisition administrative mercredi matin.

Trois personnes ont notamment été interpellées, dont l’imam de la mosquée, a fait savoir le ministère de l’intérieur. L’enquête, confiée à un service spécialisé de la direction territoriale de la sécurité de proximité du Val-de-Marne, a été ouverte pour « ouverture illicite d’un établissement scolaire », « travail dissimulé », « emploi d’étrangers sans titre » et « hébergement indigne ».

L’école présentait « des risques d’endoctrinement »

Les investigations devront désormais « préciser le cadre exact dans lequel des activités d’enseignement ont été dispensées », notamment le nombre d’élèves et le contenu des cours, a dit une source judiciaire à l’AFP.

Cette perquisition de la mosquée Al-Islah, survenue dans le cadre de l’état d’urgence, « a permis de confirmer l’existence d’une école coranique clandestine, accueillant des élèves en toute illégalité, et présentant des risques d’endoctrinement », a souligné le ministère dans un communiqué.

« Secret de Polichinelle »

L’opération, qui a commencé dès 7 h 30, « s’est bien déroulée en présence des responsables de la mosquée », avait auparavant dit à l’AFP le directeur de cabinet de la mairie, Jean-Michel Carigi. « Cette école coranique, c’était un secret de Polichinelle, mais il fallait établir qu’elle existait », a-t-il ajouté.

La mosquée Al-Islah de Villiers-sur-Marne est notamment connue pour avoir été fréquentée par douze personnes condamnées en avril pour avoir participé à une filière djihadiste vers la Syrie.


Le Monde