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mardi, 21 novembre 2017

Sortie la semaine prochaine du n°47 (automne 2017) de la revue Synthèse nationale

 

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Finkielkraut l’affirme : #balancetonporc a été créé pour « noyer le poisson de l’islam »

Immortel au sein des « immortels » de l’Académie française, Alain Finkielkraut est éternellement égal à lui-même, nourrissant une obsession pathologique de l’islam qui lui fait déceler derrière le hashtag #balancetonporc ce que personne n’y avait vu, même parmi les plus islamophobes des faiseurs d’opinion ou de guerre (BHL en Libye) qui forment, avec lui, un cercle de clercs peu vertueux : un subterfuge pour « noyer le poisson de l’islam ». Renversant !!

Ce philosophe, défenseur inconditionnel de la politique d’apartheid  d’Israël, qui alterne les grandes envolées lyriques avec les coups de sang tonitruants, qui loue les vertus du débat d’idées aussi longtemps qu’on ne lui oppose pas la contradiction étayée, serait-il frappé d’une complotite aiguë ? Il faut le croire si l’on en juge par son analyse du phénomène de la libération de la parole des victimes d’abus sexuels qu’il a livrée dans un entretien au FigaraVox.

Alain Finkielkraut, en plus de jouer les prophètes de malheur percevant un « péril vert » partout, insinue, sans jamais prononcer le mot qui fâche “complot”, que tout ce grand déballage n’est pas dû hasard, mais poursuivrait un sombre dessein caché.

 « L’un des objectifs de la campagne #balancetonporc était de noyer le poisson de l’islam: oubliée Cologne, oubliée la Chapelle Pajol… et puis patatras, les noyeurs de poisson attrapent, bien malgré eux, un très gros poisson islamiste : #Tariqramadan », a-t-il commenté.

Après avoir fait fort en matière de théorie du complot, Alain Finkielkraut, coutumier des outrances verbales, n’y est pas allé avec le dos de la cuiller envers le site Mediapart : « Mediapart n’est pas un site d’information, c’est une secte fanatique ». On aimerait bien savoir dans quelle boule de cristal le philosophe, vénéré comme un oracle du parisianisme, lit de telles énormités proches du délire et… de la diffamation.

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De nombreux jeunes ont compris que s’expatrier, c’est céder sa place à un immigrant

Un aventurier dans un village, ça faisait encore rêver il y a vingt ans, mais il semblerait que la jeunesse ait enfin compris que, dès qu’elle aura le dos tourné pour aller gagner sa vie ailleurs, on va lui voler son pays, ses usages, ses fêtes religieuses, ses coutumes sociales et ses habitudes alimentaires. Alors, elle commence à bouder le mondialisme en disant qu’on est finalement bien chez nous et qu’on va s’arranger pour y rester.

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L’esprit de défense subsiste au fond du cœur des Français. Ravivons-le !

Les pouvoirs publics favorisent-ils cet esprit de défense et de sécurité nationales dans un environnement sécuritaire dégradé par le risque terroriste ? Plusieurs signes nous montrent que non, et il est grand temps de le raviver et le promouvoir. J’intervenais, mardi 14 novembre, lors du colloque organisé par le conseil régional d’Île-de France et intitulé « L’esprit de défense en Île-de-France ».
 
Le fameux « esprit du 11 janvier 2015 », considéré par la plupart des commentateurs comme une marque de compassion et de résilience suite aux attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher, apparaît avec le recul davantage comme une sidération et une résignation face à la situation. En effet, la suite des événements l’a prouvé. Il y a eu un prêtre égorgé dans son église, le Bataclan, deux policiers assassinés chez eux, la promenade des Anglais à Nice, deux jeunes femmes poignardées à Marseille, etc. Et tout cela sans réaction de nos concitoyens, qui n’ont même plus l’énergie pour manifester leur indignation et exiger de la part de nos gouvernants une réaction et des mesures énergiques (lutte implacable contre l’islam radical, reconquête des zones de non-droit, contrôle des frontières, réduction de l’immigration musulmane, politique plus répressive contre le terrorisme islamiste). L’exécutif a réussi à instiller dans l’esprit des Français que tout était fait pour éviter les attentats et qu’il fallait s’habituer pour longtemps au terrorisme. Cela est faux et une autre politique permettrait aux Français de souffrir moins et moins longtemps.
 
D’autre part, comment voulez-vous qu’une classe politique qui n’a pas fait son service militaire ait la moindre idée de ce qu’est l’état militaire et ses suggestions ? D’où la crise de cet été sur la diminution du budget des armées¸ Pire : comment voulez-vous susciter l’adhésion de la nation aux armées quand un président de la République évoque les « crimes contre l’humanité » commis par la France durant la colonisation, et donc par ses militaires, en dépit de la réalité historique ?
 
Autre fait très significatif : le directeur général de la gendarmerie nationale a indiqué, il y a quelques jours devant la commission de la Défense nationale de l’Assemblée, qu’il devait ramener à 30.000 l’objectif du nombre de réservistes de la réserve à l’horizon 2019, au lieu des 40.000 prévus, compte tenu du manque de budget et de ses priorités. Les moyens nécessaires ne sont donc pas mis en face des objectifs que l’on se fixe, hélas.
 
Par ailleurs, un rapport de la Cour des comptes de 2016 a relevé que l’enseignement de défense, censé compenser les conséquences de la disparition du service militaire, est inégalement dispensé par l’Éducation nationale et qu’aucune vérification des acquis n’est mise en place. 
 
Néanmoins, l’esprit de défense subsiste au fond du cœur des Français et ne demande qu’à être ravivé. Nous vivons dans une époque de communication à laquelle on ne peut échapper. J’ai proposé que des réservistes d’Île-de-France soient missionnés afin de réaliser un blog consacré à l’esprit de défense afin de faire connaître et diffuser, dans les réseaux sociaux, des témoignages de réservistes et des actions qu’ils mènent. Par exemple, la gendarmerie met en place des « brigades de contact » dédiées uniquement à la mission de contact avec la population, au sein desquelles les réservistes participent aux patrouilles avec les gendarmes d’active. Les départements de la grande couronne sont concernés. Il faut que les élus s’emparent de ce dossier. 
 
N’oublions pas que seule l’adhésion de la nation à cet esprit de défense peut faire espérer que les moyens engagés soient mis à la hauteur des enjeux, et le combat n’est pas gagné.

Philippe Franceschi

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Question : dans quel pays en guerre a été tournée cette vidéo la nuit dernière ?

 

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Persécution des chrétiens : le cri d’alarme de la Hongrie

Article publié originellement en anglais sur ncregister.com. Écrit par Edward Pentin.

Le Premier ministre Viktor Orbán a inauguré la conférence en appelant les nations, en particulier en Europe, à mettre de côté le politiquement correct, à s’opposer à la persécution des chrétiens et à défendre les racines de la civilisation chrétienne.

Il est temps que l’Europe se libère des chaînes du politiquement correct, dise la vérité et affronte les faits concernant la violente persécution des chrétiens, a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orbán jeudi 12 octobre.

Dans un discours percutant prononcé à l’ouverture de la première grande conférence jamais tenue par un gouvernement pour soutenir les chrétiens persécutés, M. Orbán a déclaré que « l’expulsion forcée » des chrétiens de certaines parties du Moyen-Orient et de l’Afrique constitue un « crime » contre les personnes et les communautés concernées, ce qui « menace également nos valeurs européennes ».

« Le monde devrait comprendre que ce qui est en jeu aujourd’hui n’est rien de moins que l’avenir du mode de vie européen et de notre identité » a-t-il déclaré aux délégués à Budapest.

Plus de 300 participants de 30 pays, y compris des dirigeants chrétiens et des représentants de groupes de réflexion et d’associations caritatives, se sont réunis pour la consultation internationale sur la persécution chrétienne du 11 au 13 octobre, intitulée « Trouver les réponses appropriées à crise négligée de longue date ».

Le leader hongrois, qui a défendu ouvertement les valeurs chrétiennes en Europe – et qui a souffert des réactions de l’Union européenne et d’autres pays – a déclaré qu’il était temps de « libérer » la question des « entraves du politiquement correct et des incantations des Droits de l’Homme qui confondent tout et n’importe quoi ».

Au contraire, a-t-il dit, nous sommes « tenus par obligation » d’en venir aux faits et à un « langage simple » pour décrire ces événements et « identifier les dangers qui nous menacent ». M. Orbán a relevé que quatre personnes persécutées sur cinq étaient chrétiennes et que la religion la plus persécutée dans le monde aujourd’hui est bel et bien le christianisme, bien que pourtant les médias internationaux lui accordent « peu de couverture ».

Il a ajouté que le « plus grand danger » est le « silence indifférent et apathique d’une Europe qui nie ses racines chrétiennes ». La tournure de ce qui se passe au Moyen-Orient devrait « faire comprendre à l’Europe » ce qui « peut nous arriver, » a-t-il dit, à un moment où les gouvernements européens poursuivent une politique d’immigration qui autorise les « extrémistes dangereux » et qui « transformera complètement » sa culture, son ethnicité et son identité chrétienne en « quelques générations ».

Après des siècles de combats pour défendre « l’ensemble de l’Europe chrétienne » et avoir vécu sous des dictatures athées pendant une grande partie du XXe siècle, Orbán a dit que c’est une « farce cruelle et absurde du destin » de vivre à nouveau en tant que membres d’une communauté « en état de siège ».

Mais pour toutes ces raisons, il a déclaré que la Hongrie souhaitait être en première ligne pour aider les chrétiens persécutés et a fait référence à la sentinelle du Livre d’Ezéchiel pour souligner sa responsabilité : « Si une sentinelle voit l’ennemi s’approcher et ne sonne pas l’alarme, le Seigneur tiendra ce gardien responsable de la mort de ceux qui ont été tués à la suite de son inaction. »

« L’Europe est un continent chrétien », a-t-il dit, « et nous voulons qu’il le reste ».

Orbán a souligné que la Hongrie, bien qu’étant seulement un « État européen de taille moyenne », est un « pays stable » et, contrairement à beaucoup d’autres pays, est en mesure de « défendre les chrétiens persécutés ». Le Premier ministre hongrois a insisté sur le fait qu’il ne s’agit pas que de parler mais aussi d’agir, et il a attiré l’attention sur certaines des initiatives qu’il a prises, en particulier étant le seul gouvernement à mettre en place un ministère dédié à aider les chrétiens persécutés. (Le Secrétariat d’État adjoint pour l’aide aux chrétiens persécutés est entré en fonction l’année dernière.)

Il a donné un aperçu de ses réalisations à ce jour, notamment la reconstruction des foyers chrétiens, le financement des bourses d’études et la réinstallation des chrétiens déplacés. Il a expliquer attirer l’attention sur ces actes non pas pour « polir [sa] réputation » (M. Orbàn a expliqué que le gouvernement évite « de faire de bonnes choses par calcul, car de bonnes actions doivent venir du cœur et pour la gloire de Dieu») mais plutôt pour montrer l’exemple à d’autres pays dans l’espoir qu’ils en fassent de même.

« Lorsque nous soutenons le retour des chrétiens persécutés dans leur patrie, le peuple hongrois accomplit une mission », a déclaré Orbán, soulignant que la Constitution hongroise reconnaît « le rôle du christianisme dans la préservation de la nation ».

« Si nous reconnaissons cela pour nous-mêmes, nous le reconnaissons aussi pour les autres nations », a-t-il dit. Les Hongrois, a-t-il ajouté, veulent que les communautés chrétiennes retournent dans leur patrie, devenant « des forces pour la préservation de leur propre pays, tout comme le christianisme hongrois est pour nous une force de préservation ».

Il a conclu en appelant les politiciens européens à « écarter les modes de discours politiquement corrects » et « la prudence induite par les Droits de l’Homme » et à « faire tout ce qui est en leur pouvoir pour les chrétiens persécutés ».

Ouvrir les yeux de l’Europe

La conférence de deux jours a réuni une grande variété d’intervenants qui ont souligné un certain nombre de thèmes communs : les communautés chrétiennes du Moyen-Orient sont sur le point de disparaître ; l’Occident fait montre d’une lamentable attention et inquiétude à leur égard (tout en donnant souvent à d’autres groupes persécutés cette attention) ; et la nécessité d’apporter de l’aide directement aux personnes affectées en utilisant les églises afin que les chrétiens puissent rester, être réinstallés et reconstruire leurs maisons et leurs vies.

Tous les orateurs étrangers ont fait l’éloge de la Hongrie pour son engagement et son aide concrète pour les chrétiens.

Le président de la conférence épiscopale hongroise, Mgr András Veres de Györ, a souligné l’histoire de souffrance de la Hongrie pour la défense de la foi qui génère « de la compassion dans [les] coeurs [hongrois]» et l’admiration pour le « courage » des chrétiens persécutés de nos jours.

Zoltán Balog, ministre des ressources humaines, et qui dirige le ministère des chrétiens persécutés, a déclaré qu’aimer les autres ne signifie pas couvrir la vérité ni l’omettre. Attirer l’attention sur la détresse des chrétiens et sur le travail de son ministère est essentiel pour « ouvrir les yeux aux gens en Europe », a-t-il dit.

« Nous, Hongrois, avons été condamnés à mort plusieurs fois. On a dit à la Hongrie qu’elle allait disparaître, mais nous avons appris à nager contre le courant, et aujourd’hui nous devons nager ensemble » afin « d’avancer », a-t-il dit.

Le patriarche chaldéen Louis Sako de Bagdad, dans un message de Mgr Bashar Warda, archevêque d’Erbil, a exprimé ses « sincères remerciements » au gouvernement hongrois pour l’aide qu’ils ont reçue dans cette « situation tragique » (il a évoqué, par exemple, les 2,4 millions de dollars destinés à aider 1.000 familles à retourner dans la ville à majorité chrétienne iraquienne de Teleskof qui a été envahie par le groupe État islamique en 2014.)

Il a dit qu’il y avait un déclin drastique des chrétiens irakiens, de 1,5 million en 2003 à moins de 500.000 aujourd’hui. Il a également averti que le référendum du 25 septembre dans lequel 90% des Kurdes du nord de l’Irak ont ​​voté pour se séparer de l’Irak a « augmenté les tensions » entre les Irakiens et les Kurdes, conduisant  « sur un sentier de guerre ».

Si cela conduit à un nouveau conflit militaire, a déclaré le patriarche, alors « les conséquences seront désastreuses pour tous et les minorités paieront le prix le plus élevé ». Il a prédit dans son discours un nouvel « exode des chrétiens » si cela devait arriver, ajoutant qu’il ne pouvait voir de « garanties » pour un arrêt de la «  disparition d’un peuple innocent et pacifique, violemment forcé de quitter sa patrie à cause de sa foi ».

Mais l’archevêque Warda s’est montré plus optimiste, déclarant plus tard au NCRegister qu’il pense que tous ces différends politiques pourraient être résolus, et qu’il se pourrait même que le temps est venu « de les résoudre pour de bon ».

« Nous en avons marre de vivre crise sur crise », a-t-il dit, ajoutant que lui et d’autres dirigeants de l’Église ont imploré les politiciens de dialoguer. Si ces questions sont indéfiniment reportées, « ce n’est pas sain », a-t-il jugé.

Dans son discours, le patriarche Sako a appelé la communauté internationale à aider, en particulier les États-Unis, qui ont une « responsabilité morale » particulière, et a souligné l’importance de l’éducation, de la sécurité et de la stabilité dans les zones libérées, et de l’aide humanitaire, ainsi que le démantèlement des idéologies fondamentalistes.

Le patriarche syriaque orthodoxe Ignace Aphrem II a dit qu’il y avait un « vrai danger » que le christianisme devienne un « musée » au Moyen-Orient, notant que l’Irak a perdu 80-90% de sa population chrétienne et la Syrie 40-45%. Le christianisme pourrait grandir dans le monde entier, a-t-il dit, mais là où il est déraciné, il n’est pas toujours facile de replanter un arbre dans un nouveau sol.

Et si l’Occident s’en souciait vraiment, ajouta-t-il, « ils essaieraient de faire quelque chose », c’est pourquoi il apprécie beaucoup les efforts de la Hongrie. Au lieu de cela, il a relevé que la communauté internationale semble plus préoccupée par la protection de certaines « espèces de légumes ».

« Je suis désolé d’être très direct mais c’est comme ça que nous le ressentons », a-t-il dit. « Nous sommes tués par des groupes parfois soutenus par des puissances occidentales … et la communauté internationale ignore ce qu’ils font ».

Évitez les « Trois P »

Le patriarche catholique syriaque Ignace Youssef III Younan a souligné que les chrétiens du Moyen-Orient ne sont pas des « importés » mais bien des peuples autochtones qui y vivent depuis des millénaires. Il a exhorté ceux qui ont une « voix sur la scène internationale » à éviter les « trois P » : le paternalisme (les regardant comme s’ils étaient très jeunes et avaient besoin de traverser ce que l’Occident a traversé au Moyen Âge) ; le « profitisme » (voir la région comme un lieu de ressources à exploiter) ; et plier (se plier devant l’Islam et les pays musulmans).

Comme beaucoup d’autres intervenants du Moyen-Orient, il a dit qu’il se sentait « trahi et abandonné » par l’Occident. Durant son discours, le Patriarche a dit qu’il se sentait comme s’il devait « se lever pour être vu, parler fort pour être entendu et se taire pour être apprécié ».

Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, représentant de l’Église orthodoxe de Russie pour les relations extérieures, a mis en avant comment,  en Syrie, les troupes russes protègent les églises, installent des zones de sécurité et travaillent avec le Vatican et le Liban pour amener le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies à soutenir les droits des chrétiens au Moyen-Orient. Le « temps est venu », a-t-il dit, pour que les chrétiens s’unissent et « repoussent l’idéologie misanthrope de l’extrémisme ».

Il a par la suite déclaré au NCRegister qu’il était d’accord avec Viktor Orbán qu’il était important de « nommer les choses comme elles sont », ajoutant qu’il était heureux de voir un politicien de l’UE prêt à aller de l’avant « par opposition aux tendances du politiquement correct, et de dire ce qu’il pense ».

Il est également d’accord avec les avertissements de M. Orbán à l’égard de l’Europe, affirmant que sa politique générale d’immigration « relève d’une vue à très court terme et risque à long terme d’entraîner des conséquences désastreuses pour l’identité européenne ». Une Europe qui nie sa propre identité et ses racines chrétiennes « sera vouée à l’anéantissement, » prédit le métropolite Hilarion. « Si l’Europe renie officiellement le Christ et le christianisme, d’autres personnes vivront en Europe et professeront d’autres confessions dans quelques générations ».

Dans un message lu à la conférence, le cardinal Christoph Schönborn, de Vienne, a déclaré que l’ampleur de la persécution chrétienne « n’est en général pas reconnu » et que le fait d’être chrétien « n’a jamais été aussi dangereux qu’aujourd’hui ». En tant que chrétiens « nous sommes appelés à prendre position pour nos frères et sœurs en Christ qui sont persécutés », a-t-il dit.

Steve Rasche, le directeur étasunien du Projet de reconstruction de Nineveh, basé à Erbil, a donné un aperçu des efforts de reconstruction et approuvé pleinement l’approche de la Hongrie en matière d’investissement direct par le biais des églises : une approche fondée sur le bon sens, selon lui, contrairement à l’aide apportée à travers des gouvernements et l’ONU qui « méprise le bon sens ».

Steve Rasche a dit avoir témoigné au nom des chrétiens irakiens au Congrès, au parlement britannique et ailleurs, mais « nous attendons toujours » une réponse. « Prendre cette mesure n’a pas été facile pour la Hongrie, cela a suscité beaucoup de discussions dans l’UE, mais parler est tout ce que nous avons reçu de l’UE alors que les gens disparaissent », a déclaré Rasche. « Eh bien, laissez-les parler. Le peuple de Hongrie a agi et les persécutés savent qui les a vraiment aidés et qui ne l’a pas fait ».

La corruption de l’ONU

Nina Shea, cadre supérieur et directrice du Centre pour la liberté religieuse à l’Institut de l’Hudson, a félicité la Hongrie pour cette « magnifique conférence » et pour « se lever, sans chercher à s’excuser, en faveur des chrétiens persécutés ». Elle a demandé à plus de gouvernements d’imiter la Hongrie, et a critiqué l’ONU pour, entre autres choses, « détourner l’argent » des minorités qui ont « souffert le plus gravement ».

Beaucoup ont exprimé leur déception face à l’administration Trump de ne pas respecter les promesses électorales. Shea a dit qu’il était temps de cesser de canaliser l’argent à travers les l’Organisation des Nations Unies, et a également mis en évidence une « froide indifférence » bureaucratique ainsi qu’une « aversion envers les chrétiens » parmi certains membres du personnel, dont beaucoup ont été nommés pendant la présidence Obama. Il est nécessaire de parvenir aux « bonnes nominations politiques », a déclaré Shea au NCRegister, et que Trump de « donne des directives à son cabinet ». Elle a dit qu’elle était “déconcertée” qu’après neuf mois de mandat, « les choses n’aient pas changé ».

Le père Benedict Kiely, fondateur de l’association caritative Nasarean.org pour les chrétiens persécutés, a déclaré que « rien n’était encore tranché » concernant Trump. « Il dit continuellement qu’il n’est pas un politicien, mais à moins qu’il ne tienne certaines de ses promesses, il prouvera qu’il est un politicien », a-t-il dit. « Le temps manque pour que ses promesses soient mises en action pour défendre les chrétiens ».

Le deuxième jour, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, a annoncé que la Hongrie et l’Italie avaient accepté d’unir leurs forces pour aider les chrétiens persécutés. Il a souligné que la volonté de la Hongrie de défendre les chrétiens ne signifie pas « être contre les autres » mais que le politiquement correct « ne nous permet pas de parler et de représenter les intérêts des chrétiens comme nous le souhaiterions ».

« Combien de fois disons-nous spécifiquement le mot chrétiens ? Zéro, » a-t-il dit. « Nous disons “protéger les minorités ou les communautés”, mais nous n’osons pas parler de la protection des chrétiens. C’est inacceptable. »

« Cette hypocrisie politiquement correcte doit changer, » a-t-il dit. « Nous ne devons pas utiliser deux poids deux mesures, comme si la persécution des chrétiens était la dernière forme acceptable de discrimination ». Il a ajouté que la Hongrie « prendrait les initiatives dont elle est capable pour attirer les institutions internationales et les impliquer dans la protection des chrétiens persécutés et de ceux dans le besoin. »

Mais tous n’étaient pas d’accord avec la tendance à la conférence de dépeindre les chrétiens persécutés comme des victimes en mettant l’accent sur l’injustice. S’exprimant auprès du NCRegister, Amal Marogy, une Irakienne vivant maintenant en Angleterre et gérante de l’Aradin Charitable Trust, a souligné que la terre, les possessions et la propriété sont toutes « secondaires » comparé à ce que les Chrétiens croient être finalement le plus important, à savoir que « la foi est la chose la plus précieuse que nous puissions avoir dans cette vie. » Le pardon est donc crucial, a-t-elle dit, et de cette manière seulement, il sera possible d’apporter la guérison et d’amener les musulmans à la vraie foi.

La Hongrie aide

L’initiative « Hungary Helps » (la Hongrie aide), dans le cadre de laquelle l’aide du gouvernement aux chrétiens est gérée, a également été discutée lors de la conférence. Le programme vise à aider à donner aux gens un avenir dans leur pays d’origine plutôt que de quitter leur communauté. L’idée derrière n’est pas un anti-immigrés, ont-ils souligné, mais plutôt basé sur leur propre histoire. Le secrétaire d’État parlementaire, Bence Rétvári, a rappelé que 800.000 Hongrois ont été emmenés de force dans les confins de l’Union soviétique tout au long de l’occupation soviétique et qu’un grand nombre d’entre eux ne sont jamais revenus. « Nous sommes donc particulièrement sensibles aux personnes exposées à la violence par les forces armées étrangères, » a-t-il dit.

Péter Heltai, ambassadeur itinérant de Hungary Helps, a déclaré que le projet visait également à élever et à défendre ces minorités « afin que les pays occidentaux les écoutent ». Il a donné des exemples de l’aide apportée par la Hongrie, allant de 450.000 dollars pour construire une nouvelle école à Erbil jusqu’à dépenser 1,7 million de dollars pour la rénovation de 32 églises au Liban.

Tristan Azbej, secrétaire d’État adjoint hongrois à l’Aide aux chrétiens persécutés, a clôturé la conférence en déclarant que de nombreuses personnes avaient félicité le gouvernement pour cet événement, mais que le temps seul nous dira si c’est un succès et si des mesures sont prises par rapport à ce qui a été discuté.

« Il s’agissait de semer des graines qui peuvent aboutir au succès, et nous espérons qu’elles porteront leurs fruits qui nous aideront à trouver d’autres gouvernements pour aider à résoudre les problèmes des chrétiens persécutés, » a-t-il dit. Il a noté qu’il était dommage que davantage de dirigeants politiques ne soient pas présents, mais que c’est quelque chose qu’ils essaieront d’améliorer à l’avenir.

M. Azbej a dit ensuite qu’il n’y a pas de choc des civilisations mais plutôt un manque de conscience de ce qui se passe et que « notre pire problème maintenant : ne pas écouter ». M. Azbej a parlé de deux crises : la perte de l’identité chrétienne due à la laïcité en Occident, et la persécution violente au Moyen-Orient et dans d’autres régions.

Il a également souligné l’importance de la « Déclaration de Budapest » – une liste de recommandations convenues par les participants à la conférence. Parmi les propositions, on peut trouver le point suivant : appeler les gouvernements à mettre en œuvre des solutions à long terme pour mettre fin à la persécution des chrétiens.

« Ce n’est pas un document politique imposé aux autres, » a déclaré Azbej, « mais un message aux chrétiens persécutés disant : vous, frères et soeurs, n’êtes pas seuls, nous vous écoutons et nous porterons vos préoccupations aux organisations internationales. »

« Il est temps d’agir, d’écouter les voix de ceux qui en ont besoin, » a déclaré le responsable hongrois. « Au début de la conférence, nous vous avons accueilli en vous disant que Dieu vous a amené en Hongrie … Que Dieu soit avec nous sur la route devant nous tous et sur laquelle nous voyagerons ensemble. »

Traduit de l’anglais et publié par le Visegrád Post.

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Prière de rue à Clichy : le gouvernement au pied du mur

L’élection présidentielle a évacué le débat identitaire, car M. Fillon, qui voulait en faire un thème majeur, a explosé en plein vol, plombé par les affaires. Mme Le Pen s’est effondrée lors du débat du second tour et n’a jamais été une alternative crédible. En outre, sous l’influence de M. Philippot, elle a préféré se concentrer sur l’aspect économique et social pour capter (en vain !) l’électorat de M. Mélenchon, délaissant le seul argument avec lequel elle pouvait marquer des points.

Or, il semblerait qu’il existe dans l’opinion un courant important qui rejette l’islam. Le refus (haine ?) de cette religion est probablement majoritaire en France. Pour s’en convaincre, il suffit de lire les réactions épidermiques (qui frôlent, parfois, le racisme) à des articles même mesurés et les commentaires acerbes lus ici ou là. Pourtant, les bien-pensants s’efforcent d’étouffer le débat et ont réussi, jusque-là, à contrôler les médias « officiels », mais le feu couve et l’explosion menace.

M. Macron sent qu’il ne pourra pas continuer la politique de l’autruche dans le débat identitaire, sous peine d’être balayé en 2022 par M. Wauquiez. Il va chercher à apparaître ferme, sans se mettre à dos la doxa « islamo-gauchiste » – un vrai numéro d’équilibriste. Il va se servir, pour cela, des prières de rue de Clichy. Rien ne justifie l’appropriation régulière de l’espace public par une religion, quelle qu’elle soit. Si l’Église catholique organise parfois des processions pour Pâques ou des événements plus locaux, celles-ci ne durent que quelques heures dans l’année et non pas 180 minutes chaque semaine.

Exiger que la ville de Clichy prête un lieu de culte est irrecevable. Ni la Constitution ni la loi n’obligent une municipalité à fournir un local aux fidèles d’une religion. Certes, les communes sont propriétaires de la grande majorité des églises mais il ne s’agit là que de la conséquence de notre passé chrétien et de la loi de 1905 de la séparation des Églises et de l’État. Pour lever cette ambiguïté, pourquoi ne pas restituer (gratuitement) la propriété de ces lieux à la hiérarchie catholique, tout en continuant d’assurer les frais de restauration pour les monuments classés ?

 À Clichy, la municipalité a proposé aux musulmans une solution qui, si elle n’est pas parfaite, a le mérite d’exister. Si les musulmans veulent une mosquée, qu’ils se la payent (les églises évangélistes y arrivent bien). Les prières de rue ne sont, en fait, qu’une manière d’imposer l’islam comme religion dominante et elles participent de la guerre qu’une partie des fidèles du Prophète mène contre l’État laïque. Cette tactique a réussi car les bien-pensants appuient les revendications des extrémistes (même la Ligue pour la libre-pensée les approuve !).

Le pouvoir parle d’interdire les prières de rue à partir de cette semaine. S’il le fait, il délivrera un signal fort : la France refuse la dhimmitude. Mais face à la prévisible levée de boucliers des islamo-gauchistes, ira-t-il vraiment jusqu’au bout ?

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Abdelhakim Dekhar, stade sénile de l’antiracisme

À 52 ans, Abdelhakim Dekhar, renvoyé aux assises par la cour d’appel de Paris pour récidives de tentative d’assassinat, enlèvement et séquestration, risque la perpétuité. Son procès, qui vient de commencer, s’achèvera le 24 novembre.

En 1994, Dekhar, dit « Toumi », avait été mêlé à la cavale meurtrière de Florence Rey et Audry Maupin, deux sympathisants de l’ultra-gauche, à qui il avait fourni le fusil à pompe utilisé pour attaquer une préfourrière, à Pantin ; Dekkar avait servi de guet, avant que les deux criminels, fuyant dans Paris, ne tuent trois policiers et un chauffeur de taxi. En 1998, Dekhar avait finalement été condamné à quatre ans de prison pour « association de malfaiteurs ».

À 52 ans, Abdelhakim Dekhar, renvoyé aux assises par la cour d’appel de Paris pour récidives de tentative d’assassinat, enlèvement et séquestration, risque la perpétuité. Son procès, qui vient de commencer, s’achèvera le 24 novembre.

En 1994, Dekhar, dit « Toumi », avait été mêlé à la cavale meurtrière de Florence Rey et Audry Maupin, deux sympathisants de l’ultra-gauche, à qui il avait fourni le fusil à pompe utilisé pour attaquer une préfourrière, à Pantin ; Dekkar avait servi de guet, avant que les deux criminels, fuyant dans Paris, ne tuent trois policiers et un chauffeur de taxi. En 1998, Dekhar avait finalement été condamné à quatre ans de prison pour « association de malfaiteurs ».

Bruno Lafourcade

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40 ans de lâcheté de nos gouvernants face à l’islamisation rampante nous amènent aujourd’hui au retour des guerres de religion, soit plus de 450 ans en arrière !

40 ans de lâcheté de nos gouvernants face à l’islamisation rampante nous amènent aujourd’hui au retour des guerres de religion, soit plus de 450 ans en arrière !

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Deux musulmans arrêtés en France pour des violentes menaces contre des sœurs carmélites

Deux hommes musulmans sont poursuivis pour avoir perturbé les vêpres dans un couvent catholique à Verdun, en France, où ils se sont introduits lors d’un office et ont exhorté des sœurs à se convertir à l’islam, en les menaçant verbalement, d’après les informations communiquées par le parquet.

Deux musulmans âgés d'une trentaine années seront jugés au mois d'avril à Verdun (département de la Meuse) pour des «violences volontaires aggravées» à l'encontre de sœurs carmélites, selon le communiqué officiel du procureur de Verdun, Guillaume Dupont. Le parquet a exclu toute «cause terroriste».

Les deux hommes se sont introduits le 10 novembre dans un couvent lors des vêpres vers 17h et ont demandé à une des carmélites de les accompagner à la chapelle pour l'office, rapporte l'évêque de Verdun, Jean-Paul Gusching, cité par des médias français. Et de poursuivre que «ce qui a été un peu violent, c'est qu'ils se sont mis à prier en arabe pendant que les sœurs priaient les vêpres».

 

Les perturbateurs se sont qualifiés «d'annonciateurs» et ont menacé des sœurs, ayant déclaré qu'elles iraient en enfer si elles ne se convertissent pas à l'islam, selon l'évêque.

«C'est de la violence», a-t-il affirmé cité par des médias.

L'un des individus a écrit «Allah Akbar» sur le livre d'or du carmel avant de partir. Les deux musulmans ont été interpellés le lendemain.

Récemment, les deux hommes étaient venus à la mosquée, mais ne s'y étaient pas comportés «normalement» et avaient été «mis dehors», d'après l'imam de Verdun, Abdelkrim Aïtelkaid, cité par l'Est républicain.

L'évêque de Verdun a demandé aux sœurs de «ne pas avoir peur, mais de rester vigilantes» et de filtrer les personnes venant à la messe.

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Prières de rue: le conflit se durcit

"Il n’y aura pas de prières de rue" vendredi à Clichy, affirme le ministre de l’Intérieur alors que des fidèles ont l’intention d’en organiser une.

Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a affirmé hier que les autorités empêcheraient les prières de rue à Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, alors qu’une association locale de musulmans a l’intention d’en organiser une vendredi en centre-ville.

 
 "Il n’y aura pas de prières de rue, nous empêcherons les prières de rue", a affirmé le ministre, dans l’émission "Questions politiques" (Franceinfo, France Inter, Le Monde). Il a ajouté qu’il fallait "que les musulmans puissent avoir un lieu de culte pour pouvoir prier", "on fera en sorte que l’on résolve dans les prochaines semaines ce conflit", a-t-il ajouté.

Des fidèles musulmans protestent depuis mars contre la fermeture de leur lieu de culte dans le centre de Clichy, accusant le maire de ne pas leur proposer de terrain adapté pour qu’ils puissent y construire un nouveau local. Le maire fait valoir, lui, qu’une mosquée existe déjà dans le nord de la commune et peut les accueillir, ce qu’ils contestent arguant qu’elle est excentrée, mal desservie par les transports en commun et trop exiguë.

La situation s’est envenimée vendredi 10 novembre lors du rassemblement d’une centaine d’élus ceints de leur écharpe tricolore, qui ont tenté d’empêcher les fidèles de faire leur prière dans la rue.

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Un documentaire sur les chrétiens en Algérie tait le sujet des convertis pour ne pas s’attirer les foudres du régime

 

Le documentaire en cliquant ici

L’«allahicité» contre la France

Rouxel Jean

Samedi 11 novembre, Claudine Dupont-Tingaud (qui fut jadis la plus jeune prisonnière politique de France, incarcérée à 17 ans pour sa participation à la cause de l’Algérie française) fut arrêtée en Bretagne, avant de passer 5 heures en garde à vue.

Son crime ? Avoir brandi un récent numéro de « Valeurs actuelles » consacré à l’affaire de Ploërmel.

Sur la « une » de l’hebdomadaire, on voyait la fameuse statue de Jean-Paul II dont le conseil d’État exige que l’on supprime la croix, avec ce titre : « Chassez le christianisme et vous aurez l’islam ».

Ce titre relève malheureusement de l’évidence. C’est, entre autres, parce que le laïcisme interdit toute transmission de notre culture que tant de jeunes basculent dans l’islam radical.

C’est parce que Marianne se croit en 1905, à chasser les « curés », encore considérés comme les plus redoutables ennemis du régime, que l’islamisation s’accélère, avec la complicité et la complaisance des prétendues « élites ».

Cette évidence n’a pas l’heur de plaire aux puissants qui nous gouvernent.

Plutôt que de s’y confronter, ils préfèrent faire taire, par l’intimidation, la menace et les poursuites judiciaires, ceux qui résistent.
Mais cela ne durera pas.

La pression ne va pas arrêter de monter par miracle.

Les islamistes de tout poil – qu’ils soient partisans de l’islamisation progressive du Vieux continent, comme les Frères musulmans, ou de méthodes les plus brutales, comme les salafistes de l’État islamique – ne peuvent être arrêtés que par un État qui mènerait deux politiques simultanément.

La première consisterait à s’intéresser sérieusement à la sécurité, à l’immigration, et à la justice.

En particulier, si les lois françaises en vigueur étaient appliquées, un certain nombre d’assassins n’auraient pas pu se trouver sur notre sol au moment de leur forfait.

Si nous stoppions l’invasion migratoire, nous éviterions d’« inviter » des terroristes chez nous.

La deuxième politique est culturelle. Il faut en finir une bonne fois avec la culture de la repentance et de la haine de soi.

Certes, tout n’est pas édifiant dans notre histoire, mais c’est le cas de toutes les sociétés et la nôtre, du moins, peut s’enorgueillir de dizaines de pages glorieuses et magnifiques.

En tout cas, si tout ce que nous avons à dire aux jeunes déracinés, c’est que notre culture est méprisable, il ne faut pas s’étonner qu’ils se tournent vers d’autres « civilisations ».

Il est urgent de se doter d’élites qui aiment vraiment la France et sa culture !

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Islamisation. Réponse à la pétition de l’ASVI: «Merci de nous laisser islamiser en paix»

Par Mireille Vallette

La Commission antiraciste et le Centre islam n’entendent pas changer leur politique: présentation radieuse de l’offensive musulmane et regard noir sur ceux qui la critiquent.

La pétition de l’Association suisse vigilance islam a été envoyée au directeur du Centre suisse islam et société (CSIS) Hansjörg Schmid et à la présidente de la Commission fédérale contre le racisme (CFR) Martine Brunschwig Graf. Son titre: «Pour des colloques critiques envers l’islam et ses activistes». Plus de 760 personnes l’ont signée.

Rappel du contenu: demande d’organiser des colloques et séminaires qui traitent de nos préoccupations par rapport à l’islam et pas seulement des plaintes et préoccupations des pratiquants musulmans comme au colloque du 11 Septembre.

Expression de nos inquiétudes: l’expansion de l’islam, de ses pratiques et revendications (couverture des femmes, de fillettes, prières dans les entreprises et écoles, rites alimentaires, etc.). Des demandes dévotes qui remettent en question les valeurs de notre société et son caractère séculier. Préoccupations aussi à l’endroit des textes de l’islam: violence, misogynie, intolérance. Demande de pouvoir l’exprimer lors de manifestations du CSIS et de la CFR, de même que notre refus de croire à l’absence de lien entre violences et islam.

La pétition rappelle que les citoyens critiques financent eux aussi ces manifestations.

Enfin, la pétition se termine par quelques exemples de sujets qui pourraient être traités dans des débats contradictoires.

(Un communiqué a été envoyé à la quasi totalité des médias romands lors de la remise de cette pétition. A notre connaissance, aucun n’en a fait mention.)

Le CSIS et la CFR ont répondu. En résumé: «rien à cirer!»

Après avoir exprimé son plaisir d’avoir participé au colloque du 11 Septembre, Hansjörg Schmid reprend l’étrange phrase de présentation de son centre: «Le CSIS encourage l’articulation scientifique de l’islam dans la société suisse et favorise la discussion académique d’une perspective musulmane sur les questions sociétales.»

Le directeur dit se préoccuper des questions des professionnels non musulmans dans leur pratique, et répond dans des séminaires aux défis des services publics (quelques mots ont sauté: «que posent les musulmans et l’islam»). Le CSIS construit des passerelles et deux de ses collaboratrice planchent sur l’extrémisme (un mot a encore sauté: islamique). Il se penche sur l’interprétation du Coran en rapport avec la modernité. Il aborde même «les questions interreligieuses ou les questions de genre» (une malheureuse distraction a conduit à remplacer «questions de la discrimination des femmes» par «questions de genre»).

En conclusion: «Le CSIS reste toujours ouvert aux différentes propositions des acteurs sociétaux et les prend très au sérieux, mais il développe ses programmes sur la base de ses propres compétences scientifiques. » (Quelques mots ont encore sauté: « et sa promotion de l’islam et de l’acceptation des pratiques religieuses dans les institutions profanes et l’espace public.»)

En résumé: laissez-nous islamiser en paix! En plus terre à terre: nous décidons, vous payez.

martinebrunschwiggraf

Martine Brunschwig Graf ne fait pas non plus le moindre pas dans notre direction. Elle rappelle la mission de la CFR: lutter contre les discriminations. La commission identifie «les personnes particulièrement exposées à la discrimination et au discours de haine» à partir de ses constats et des informations de son réseau de centres d’écoute et de conseil (informations tout sauf inquiétantes, on l’a vu ici et ici). Mais aussi des études scientifiques qui montrent que 14% des personnes interrogées éprouvent de l’hostilité à l’égard des musulmans (c’est bien peu et la CFR ne va tout même pas se demander pourquoi: ses étude scientifiques le prouvent: c’est «la haine») et 33% de la méfiance à l’égard de l’islam (idem).

Le problème, c’est que de nombreux Suisses ont la mauvaise habitude de s’informer sur ce qui se passe sur la planète musulmane entre attentats et législations discriminatoires, voire féroces, inspirées par l’islam. De nombreux Suisses ont aussi la mauvaise habitude de s’informer sur les zones islamisées d’Europe, dont la France, et de constater que soumises au règne du mâle musulman, des femmes ne peuvent même plus se promener seules ou aller boire un verre au bistrot du coin.

La CFR poursuit: «…cette méfiance constatée ne doit pas servir de justification aux manifestations d’hostilité à l’égard des personnes qui déclarent appartenir à la religion musulmane». Ce n’est pas la méfiance qui conduit à des manifestations d’hostilité, c’est la volonté de ces pratiquants de porter des signes discriminatoires et de vouloir nous imposer tout ce qu’on sait, créant partout d’incessants conflits.

Donc, en organisant un colloque genre 11 Septembre, la CFR «remplit sa mission». Quant à la «nécessaire» critique des religions, elle n’en a «ni le mandat, ni les compétences». D’autres, tel -heureux hasard- le CSIS, les ont. Et de rappeler son antienne: question pratiques et signes religieux l’Etat de droit suffit. Toute l’Europe musulmane le montre.

En résumé, nos destinataires continueront à faire ce qu’ils ont toujours fait: défendre les pauvres victimes musulmanes, fermer les yeux sur les problèmes qu’elles posent et cibler ceux qui les dénoncent.

La lutte contre les dénis de réalité est toujours d'actualité.

Source : Boulevard de l'islamisme

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Lagny-sur-Marne : les tentes de prière des musulmans disparaîtront le 27 novembre

La construction du Pôle solidaire doit débuter sur le terrain occupé depuis le printemps par les musulmans privés de mosquée depuis près de deux ans. La commune a acheté les lieux.

Le provisoire prendra fin lundi 27 novembre. Comme annoncé en septembre, les tentes installées en mai pour le Ramadan par les musulmans de Lagny-sur-Marne pour prier sur un terrain appartenant à l’Etat seront enlevées à la fin du mois. La mairie a entretemps acheté le terrain et va y construire le Pôle solidaire.

Les musulmans sont privés de mosquée sur décision administrative depuis décembre 2015. Certains fidèles étaient soupçonnés de prôner le djihad armé et d’encourager de jeunes Français à rejoindre la zone irako-syrienne. Parmi eux, Nabil Aissaoui et Gaoussou Keita, récemment exclus du club de football de l’US Lagny Messagers pour les mêmes raisons.

« Retrouver un peu de dignité »

« Nous voulons un endroit sec avec un toit pour prier, retrouver un peu de dignité, notamment pour nos anciens. Nous ne vous jetons pas la pierre mais allez-vous faire quelque chose ? », a demandé un membre de la communauté musulmane au maire Jean-Paul Michel (UDI) lors de la réunion de mi-mandat qui se tenait jeudi soir (lire ci-contre).

« L’Etat avait proposé un site multicultuel, avec au moins trois cultes. C’était totalement impossible, c’était se moquer du monde, a rappelé le maire. J’avais vu l’ancien ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux mais il a refusé de rouvrir la mosquée, que les conditions de sécurité n’étaient pas réunies. Tout le monde a le droit de prier mais ça ne veut pas dire que la ville doit faire le lieu de culte. Mettre à disposition un terrain, ça me semble être juste et si l’Etat nous dit de travailler avec vous, je vous donne ma parole que je le ferai. »

De leur côté, les musulmans attendent toujours « un retour de la préfecture de Seine-et-Marne » à leurs courriers datés du mois d’août dernier.

Alexandre Métivier

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Pompidou avoua que l’immigration avait été favorisée pour satisfaire les grands patrons

Répétons, c’est important, qu’en 1973, peu avant sa mort, le président Pompidou admettait avoir favorisé l’immigration pour satisfaire certains grands patrons, tel Francis Bouygues, l’homme du béton. Ceux-ci souhaitaient en effet disposer d’une main-d’œuvre docile, bon marché, dépourvue de conscience de classe et de toute tradition de luttes sociales. Ces grands patrons, soulignait-il, en « veulent toujours plus »... Avec son plein assentiment d’ailleurs, lui qui déclarait en tant que Premier ministre du général de Gaulle devant l’Assemblée nationale, le 3 septembre 1963, « l’immigration est un moyen de créer une certaine détente sur le marché du travail et de résister à la pression sociale »
 
Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?
 

Vançais (79) : René, 63 ans, tire sur son cambrioleur et le tue, il est mis en examen et écroué pour « homicide volontaire »

Le suspect, âgé de 63 ans, a ouvert le feu, dans la nuit de mardi à mercredi, sur deux voleurs qui tentaient de cambrioler sa grange. Parvenant à prendre la fuite, l’un d’eux, blessé au thorax, est mort avant l’arrivée du Samu. L’autre a été blessé à la jambe. Un sexagénaire soupçonné d’avoir tué un […]

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Égypte : une foule de 1000 personnes attaque une église copte

Lu sur Chrétiens.info / Express.co.uk

Une foule furieuse de près de 1000 personnes a lancé une attaque contre une église copte récemment rénovée à Mina en Égypte, contraignant les chrétiens à verrouiller les portes du bâtiment pour leur propre sécurité. Cette action visait principalement à menacer et intimider les personnes qui s’y trouvaient.

Le 26 octobre dernier, la police a été appelée par l’église Saint-George de Mina, attaquée par une foule de près de 1000 personnes furieuses. Pour des raisons de sécurité, les portes de l’église ainsi que la garderie pour enfants ont été fermées à clé.

Un peu plus tôt dans la semaine, les responsables de la congrégation copte de la région ont reçu une invitation les contraignant à assister à une réunion de paix, une rencontre qui visait à mettre fin au conflit entre ce groupe chrétien et la communauté musulmane locale.

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« On n’en peut plus de l’immigration » : à Vintimille (Italie), les habitants font face à des « violences quotidiennes »

Plus de 43.000 illégaux ont été arrêtés depuis janvier dans les Alpes-Maritimes. À la gare de Menton-Garavan, les policiers de la PAF appuyés par les CRS contrôlent systématiquement les trains en provenance d’Italie. «Depuis quelques semaines, nous assistons quand même à une dégradation des conditions de contrôle des clandestins, avec des rébellions plus fréquentes et […]

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De la pathologie génétique aux statistiques ethniques

L’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant a publié son rapport d’activité pour l’année 2016 (en libre lecture sur le Net) et comme cet organisme comprend des médecins remarquables, ce bilan est un outil statistique fort bien fait… qui peut donner, toutefois, matière à réflexions politiquement incorrectes.

La première de celles-ci est le regret qu’un esprit sain et dégagé de tout dogme peut éprouver en constatant que rien n’est fait pour préserver le capital génétique sain, du moins en apparence. L’eugénisme est même vigoureusement combattu en Occident, alors que, dans un double but social, les porteurs de tares génétiques détectées, qu’elles soient physiques, mentales ou métaboliques, devraient être interdits de reproduction.

D’abord pour éviter de lourdes dépenses de santé et les dépenses connexes à caractère social, ensuite – et surtout –, pour éviter d’infliger un calvaire à l’enfant à naître avec un ou plusieurs handicaps.

Mais, en nos jours de démagogie extrême, la minorité des porteurs de tare(s) héréditaire(s) revendique ses droits, y compris celui, très discutable, voire absurde, à la reproduction. Au moins certains mâles génétiquement atteints ne peuvent-ils se reproduire, tels ceux atteints de mucoviscidose ou de trisomie 21 (« Mongolisme »).

La seconde remarque porte sur le tabou des statistiques ethniques. Le dépistage de la drépanocytose démontre la criminelle hypocrisie des princes qui nous gouvernent ou font semblant.

La drépanocytose est une hémoglobinose, c’est-à-dire une maladie où la globine – protéine associée à l’hème chargé de véhiculer l’oxygène (O2), le gaz carbonique (CO2), voire l’oxyde de carbone (CO) en cas d’intoxication – est anormale, par mutation (il en existe plusieurs types) du gène codant, sur les chromosomes 11, sa synthèse.

Dans sa forme grave, elle entraîne des crises d’anémie par éclatement des globules rouges (hémolyse) et des obstructions des petites artères et des artérioles par les globules déformés (en forme d’arc de cercle ou de faucille, d’où le nom d’anémie falciforme), provoquant singulièrement des infarctus très douloureux des os et de la rate, ou d’autres organes moins souvent.

Exposer un enfant à être la victime de cette maladie invalidante et douloureuse est pure barbarie : les porteurs de la tare devraient être interdits de reproduction et le dépistage devrait être fait in utero afin de procéder à l’avortement en cas de forme grave de la maladie.

Seulement, il s’agit d’une mutation d’Afrique noire, initialement répandue entre les 15e parallèle Nord et 20e parallèle Sud, avec diffusion secondaire aux produits de métissage lors de la grande période d’expansion de l’esclavage, ou encore par les guerriers noirs, et, de nos jours, par l’invasion migratoire.

En France, le dépistage des enfants à risque a été instauré progressivement de 1995 à 2000, selon les régions. Les chiffres résultant de ce dépistage sont fort éloquents, fournissant en eux-mêmes une statistique ethnique, portant sur les Africains, sur les Moyen-Orientaux, issus des zones où étaient appréciés les esclaves noirs et sur les enfants métissés.

De 1995 (ou 2000, selon la région considérée) jusqu’à 2016 et, en ne tenant compte que des dépistages effectués dans la seule métropole, 4,45 millions d’enfants réputés à risque ont été dépistés. Étant nés sur le sol français, voilà plus de 4 millions de petits citoyens français non comptabilisés dans la rubrique des « étrangers », alors qu’ils sont issus d’au moins un parent de souche extra-européenne.

La répartition par région apporte des renseignements utiles, à défaut d’être agréables aux nationaux. Pour les naissances de l’année 2016, l’on apprend ainsi que 73,6 % des naissances en Île-de-France sont « à risque de drépanocytose ». En Paca-Corse, ce sont 56,4 % des naissances qui offrent ce risque.

Dans quatre régions (Languedoc-Roussillon, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées), le pourcentage est compris entre 34,1 et 40,1. Seules les régions Champagne-Ardenne, Auvergne, Aquitaine, Normandie et Pays-de-Loire sont en dessous des 20 % et la Bretagne des irréductibles Gaulois n’est touchée qu’à hauteur de 9 %. Les autres régions ont un pourcentage s’échelonnant de 21,4 % (Hauts-de-France, où l’immigration noire a toujours été minoritaire en regard de l’arabe et de la berbère) à 26,1 % (Centre).

À l’évidence, le remplacement de population dominante est pour bientôt aux alentours de Paris, Marseille, Nice, etc. L’ensemble du pays est menacé, à l’exception d’îlots de résistance au métissage et au brassage de populations… mais le lobby pro-immigrationniste jouit de puissants relais dans le milieu des médias et, bien sûr, des politiciens.

C’est ainsi que l’on impose des quantités progressivement croissantes d’immigrés d’origine africaine et proche-orientale aux Normands, aux Bretons et aux Auvergnats qui n’en veulent pas. Lorsque la volonté populaire est bafouée, reste-t-il d’autre solution qu’une révolution populiste ? Voilà une bonne question.

 

L'église de Landerneau taguée

 

Entrefilet

"Dans la nuit de samedi à dimanche, l’église Saint-Houardon de Landerneau a été victime d’actes de vandalisme. Des inscriptions y ont été taguées.

Une inscription « Dieu est mort », citation de Friedrich Nietzsche dans Le Gai Savoir, et une autre représentant une croix renversée, ont été découvertes ce dimanche sur les murs de l’église Saint-Houardon, à Landerneau".

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France : fichés S et radicalisés, ils deviennent entraîneurs dans un club de football.

 

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Laisserez-vous 70 profs participer au stage interdit aux Blancs organisé par Sud Education ?

Alors là, amis résistants, vous ne pouvez pas laisser passer, laisser faire. Le stage en question est complet. 70 professeurs inscrits… Après les camps décoloniaux interdits aux Blancs… Après la formation des futurs profs par Marwan Muhammad et les Indigènes de la République dans l’Académie de Créteil… Ce sont carrément 70 enseignants qui se sont […]

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Nantes : Pascale Chiron, adjoint du Maire, soutient l’occupation des Anciens Beaux-Arts !

Depuis hier, des clandestins se déclarant mineurs et reconnus majeurs occupent les anciens Beaux-Arts. EELV trouve normal que des délinquants (puisque clandestins mineurs reconnus majeurs, donc falsificateurs en plus ) occupent les locaux appartenant au contribuable nantais sans que celui-ci ait seulement été consulté. «L’initiative émane de collectifs, d’habitants, d’étudiants qui souhaitent alerter et trouver […]

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