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jeudi, 21 janvier 2010

La Société générale complice de l'islamisation : boycottons la Société générale !

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La Société générale, grande banque française crée le  4 Mai 1864 sous Napoléon III, est dans la droite ligne de la politique de décadence menée par Sarkozy.

Frédéric Oudéa, Pdg du groupe, fait la promotion de la langue arabe en France, en affichant en devanture de son agence de Marseille Belsunce, la traduction arabe du nom « Société générale ».

Cette politique est en accord avec la stratégie de la direction des ressources humaines dirigée par Anne Marion-Bouchacourt : « Un métissage d'origines culturelles et professionnelles, une multitude de profils et de parcours, une richesse de compétences et d'expertises... Un environnement porteur de progrès professionnel pour chacun. »

A en croire la Société générale, ce n'est pas aux étrangers de s'adapter aux us et coutumes françaises mais l'inverse. Cette inversion des valeurs est typique de notre époque ethno-masochiste.

Nous demandons donc aux vrais Français de souche de boycotter la Société générale.

Source Synthèse nationale

mercredi, 04 novembre 2009

Marseille : À PROPOS DE L'ILLÉGALITÉ DE LA CONSTRUCTION DE LA « GRANDE MOSQUÉE », REACTION DU MNR !

Savon Hubert.jpgHubert Savon

Secrétaire départemental
du M.N.R des Bouches-du-Rhône


Afin de couper court à toutes divagations et élucubrations, le M.N.R des Bouches-du-Rhône, confiant en son bon droit, attend avec calme et sérénité la décision que doit prendre la Cour administrative d'Appel de Marseille. Cette décision concerne le recours déposé en son temps par Bruno Mégret et Hubert Savon en vue de faire annuler le deuxième bail à construction concédé par la Mairie à l'association « La Grande Mosquée de Marseille », cela pour faire échec à l'annulation du premier bail par le Tribunal administratif.

Après avoir été, encore une fois, " les deux seuls élus à voter contre " cette délibération, Bruno Mégret et Hubert Savon ont déposé un nouveau recours auprès de Tribunal administratif contre ce deuxième bail.

Cette procédure est actuellement en Appel.

La Mairie aurait donc dû attendre la décision de la Cour administrative au lieu de l'ignorer et ce d'autant qu 'une autorisation n'est définitive qu'en l'absence de requête judiciaire en annulation. Au contraire,  " la Mairie a osé délivrer un permis de construire le 24 Septembre 2009 ! "

Naturellement une demande d'annulation par le Tribunal administratif est en cours de préparation. Elle s'ajoutera à la procédure engagée contre les modifications de la ZAC Saint- Louis opérées au profit de la seule Grande Mosquée

Le MNR des Bouches-du-Rhône estime, en effet, que seules des actions judiciaires correctement fondées peuvent empêcher la construction, à Marseille, d'une Grande Mosquée, au détriment des finances publiques et en violation de la loi sur la laïcité.

Le reste n'est qu'agitation et gesticulations stériles.

dimanche, 07 juin 2009

A deux doigts d’être brûlée vive, la conductrice de bus a reçu une indemnité de 0,04 euro de l’agresseur

MARSEILLE (NOVOpress) – Ce fait divers a choqué l’opinion publique. Le 26 octobre 2006, à Marseille, une bande multiethnique brûlait un bus avec des passagers à son bord. Une étudiante avait été brûlée à 62%. La conductrice de la compagnie RTM avait réussi à quitter la dernière le bus incendié. Cette femme de 47 ans est désormais brisée : « Je n’oubliera jamais. On a décortiqué ma vie. Les rapports des deux experts-psychiatres m’ont interdit de reprendre le volant et tout contact avec la clientèle à cause du retentissement psychologique. Depuis, je suis en souffrance perpétuelle », déclare-t-elle dans le journal Aujourd’hui en France du 4 juin.

Six des sept voyous condamnés devaient lui verser 1 000 euros chacun au titre du préjudice moral. Le 14 mai dernier, la victime reçoit un courrier en provenance de la prison de Tarascon (Bouches-du-Rhône) où sont détenus l’individu qui a mis le feu au bus et celui qui a déversé l’essence. L’ex-conductrice de bus va-t-elle enfin être indemnisée après deux ans de tracas ? Dans le courrier, elle découvre un virement de 10 euros du principal auteur et un autre de 0,04 euro du second ! Quand les Français sont doublement victimes de la société multiethnique : dans leur chair et leur porte-monnaie.