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mardi, 06 décembre 2016

Airbus, Axa, Ing, Caterpillar, Marks & Spencer : le mondialisme passe et l’emploi trépasse…

Et cela n’en finit plus ! Semaines après semaines, les usines ferment et les sociétés baissent le rideau. Douwe Egberts, MS Mode, Crelan, KBC, ajoutent leurs plans de restructuration aux licenciements collectifs ou aux mises à la retraite anticipée. Décidément, l’image de « plus d’Europe, encore plus d’Europe » chère à Jacques Delors, Manuel Baroso et Jean-Claude Juncker se trouve pour le moins très dégradée.


Souvenons-nous : en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé. Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante des patrons de l’automobile ou de grandes sociétés, lors de décisions économicos-financières.

N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’Etat ou de gouvernement, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, Kohl, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduite par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies, éclate au nez et à la figure des peuples européens depuis que la Crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) n’est que l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix…dont le résultat est le chômage en Europe ! Et ne parlons pas du CETA en cours de signature, ni du TAFTA toujours en négociation. 

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Cela fait des années que les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 40 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment, notre avenir et celui de nos enfants (et petits-enfants) sera loin d’être rose. Au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales », de « solidarité » et du « vivr’ensemble » afin de capter le vote de clients-électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.
 
Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations » et des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et les socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont cependant, et ont toujours eu, la faculté d’imposer à temps des mesures drastiques et certes impopulaires, mais indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.
 
Il n’est pas encore trop tard pour tenir un langage de vérité, ni de sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe.

En effet peut-on refuser maintenant, au point où on en est, la rigueur pour favoriser un laisser-aller illusoire ?

En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : « Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. » Ceux qui rêvent de prendre le Pouvoir dans le futur (en Autriche, en Hollande ou en France) feraient bien d’en tenir compte pour assainir les finances publiques !

Pieter KERSTENS.

L'arrestation d'un réfugié afghan sème le trouble

Un jeune demandeur d'asile afghan de 17 ans a été interpellé en Allemagne pour le viol et le meurtre d'une jeune étudiante de 19 ans. L'immigration «massive» et «incontrôlée» est fustigée par la droite populiste

 Un jeune demandeur d'asile afghan de 17 ans a été interpellé vendredi après-midi en Allemagne pour le viol et le meurtre d'une jeune étudiante de 19 ans. L'adolescent a été confondu par son ADN, retrouvé sur les lieux du meurtre et par des images de vidéosurveillance.

 A la suite de cette arrestation, la droite populiste allemande et un syndicat de policiers ont fustigé lundi l'immigration «massive» et «incontrôlée». «Nous sommes bouleversés par cet acte et nous voyons dans le même temps que nos avertissements concernant l'arrivée incontrôlée de centaines de milliers de jeunes hommes issus de cultures islamo-patriarcales sont qualifiés de populistes», a commenté Jörg Meuthen, l'un des dirigeants du parti Alternative pour l'Allemagne (AfD), mouvement populiste en plein essor.

 

«Cette victime et beaucoup d'autres auraient pu être évitées»


Rainer Wendt, patron du syndicat policier DPolG, a de son côté estimé auprès du quotidien populaire Bild que «cette victime et beaucoup d'autres auraient pu être évitées, si notre pays avait été préparé aux dangers qui vont de pair avec une immigration massive». Le vice-président du parti social-démocrate (SPD), Ralf Stegner, a jugé cette remarque «politiquement nauséabonde» et «stupide». «S'il s'avère qu'il s'agit d'un réfugié afghan, alors c'est absolument condamnable, comme tout autre meurtrier» mais cela ne doit toutefois pas conduire «au rejet de tout un groupe», a mis en garde dans la soirée la chancelière conservatrice Angela Merkel sur la chaîne publique ARD. 

«Nous parlons de l'acte présumé d'un seul réfugié afghan, pas d'un groupe entier de gens qui sont, comme lui, Afghans ou réfugiés», avait souligné auparavant son porte-parole Steffen Seibert, condamnant ce «crime horrible» lors d'un point presse régulier. Le vice-chancelier SPD Sigmar Gabriel a lui rappelé que «de tels meurtres odieux existaient bien avant que le premier réfugié venu d'Afghanistan ou de Syrie n'arrive» en Allemagne, avertissant que le gouvernement ne laisserait passer «aucun appel à la haine raciale».


Tour de vis de Merkel?



Arrêté vendredi et placé en détention, le suspect est un mineur afghan, arrivé seul en 2015 et pris en charge par une famille d'accueil. Selon l'Office européen des statistiques Eurostat, près de 90'000 mineurs non accompagnés sont arrivés dans l'Union européenne en 2015. Un peu plus de la moitié sont Afghans.
L'Allemagne a accueilli en 2015 890'000 demandeurs d'asile. Cette politique d'accueil de la chancelière a conduit à une poussée du jeune parti anti-islam AfD, en particulier après les agressions sexuelles du Nouvel an à Cologne (ouest) commises selon la police pour l'essentiel par des migrants. Face au mécontentement grandissant au sein de sa famille politique conservatrice, Mme Merkel, qui brigue en 2017 un quatrième mandat, a donné un tour de vis à sa politique migratoire.

Source 

La montée de l'extrême droite en Europe (carte)

 

 

Des associations musulmanes dénoncent les contrôles abusifs des mosquées

 

 
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L’Union des mosquées de la Région de Bruxelles (UMRB) et la Plateforme des Musulmans de Belgique (PMB) dénoncent les contrôles abusifs des mosquées, selon une lettre publiée par la RTBF et adressée au ministre-président de la Région bruxelloise, aux députés régionaux et aux Collèges de police. En réaction, Rudi Vervoort, ministre-président du gouvernement bruxellois en charge des Cultes, s’est dit disposé à les rencontrer et à se faire leur intermédiaire auprès du ministre de l’Intérieur Jan Jambon et des bourgmestres pour relayer leurs craintes.

L’UMRB et le PMB s’inquiètent de la multiplication des descentes de police – à savoir un à deux contrôle par semaine – depuis les attentats. Ces associations relèvent notamment dans leur courrier que « ces contrôles visent les aspects de droit social, de droit fiscal, ou encore de droit administratif des lieux de culte, alors même que la lutte contre le terrorisme doit être appréhendée sous l’angle du droit pénal général, et doit donc suivre la procédure prévue par le Code d’instruction criminelle, laquelle impose une supervision de l’enquête par le Pouvoir judiciaire ».

La brutalité de ces interventions ne font, selon ces associations, que renforcer les sentiments de haine et de rejet qui touchent la communauté. L’UMRB et le PMB critiquent les décisions de fermeture prises dans ce contexte.

Selon elles, ces mesures ne favorisent nullement le vivre-ensemble et la paix entre les communautés. Elles appellent les autorités publiques à ne pas se tromper de cible et à se recentrer sur la lutte contre le terrorisme.

Après les attentats de Paris et ceux de Bruxelles, l’Union et la Plateforme avaient publié des communiqués condamnant les attaques et exprimé leur soutien aux victimes. L’Union des mosquées de Bruxelles regroupe une trentaine de mosquées arabophones.

La Capitale

Compiègne (60) : Troisième interpellation dans l’affaire du meurtre d’Issa Camara

 

 


L’affaire du meurtre d’Issa Camara, ce jeune homme de 29 ans tué par balles au cœur de la cité de l’Echarde à Compiègne, le 4 juillet dernier, est terminée. Un troisième homme suspecté d’avoir participé à l’homicide a été interpellé en fin de semaine dernière par les hommes de la police judiciaire de Creil au terme d’une cavale rocambolesque de 5 mois. Il a été placé en détention provisoire, a confirmé Amélie Cladière, la procureure de Senlis, ce samedi.



Suspecté d’avoir accompagné Amine M., le tireur présumé, dans la cité de l’Echarde ce 4 juillet, Hassan avait pris la fuite après le meurtre. Il avait aussi réussi à échapper à une opération de la PJ de Creil et de la Brigade de recherche et d’intervention de Lille lors de l’arrestation d’Amine M., le 2 août dernier dans un village proche de Soisson. Lors de cette opération, Hassan avait traversé l’Aisne à la nage pour s’enfuir. Amine M., lui, avait été interpellé plus placé en détention, tout comme Walid E., interpellé le 15 juillet dernier et emprisonné depuis.

Très méfiant, n’utilisant pas de téléphone portable, Hassan a fait courir les policiers de longues semaines,chageant d’hébergement régulièrement, dormant parfois dans des caves.


Source 

Molenbeek: un livre stigmatisant l'immigration marocaine crée un gros malaise chez les Verts

 

 
"Entretien à Molenbeek" est un livre de conversations avec le sociologue italien Leonardo Palmissano. Au fil des questions, l'auteure, Annalisa Gadaleta (Écolo-Groen), exprime son ressenti en des termes qui ont choqué.

L'échevine de l'Environnement parle notamment de la tendance des hommes marocains de se marier avec des femmes importées du Maroc, pour pouvoir exercer un contrôle et une forme de pouvoir sur elles. Annalisa Gadaleta déplore le fait que, dans les rues et les magasins, on se croirait au Maghreb. "Mais nous n'y sommes pas", conclut-elle.

C'est peu dire que le malaise est palpable au sein d’Écolo. La porte-parole des échevins Écolo de Molenbeek, Rajae Maouane, se déclare "choquée et blessée".


"Son livre est truffé d'amalgames et de contre-vérités"


L'échevine Sarah Turine (qui est également cheffe de file Écolo/Groen! à Molenbeek) parlait, dans un premier temps, "d'erreurs ou de maladresses", des termes plutôt modérés par rapport aux remous causés par le livre.

"Si elle (ndlr: Annalisa Gadaleta) pointe des défis intéressants (comme la mixité dans les quartiers, l'émancipation des jeunes et des femmes...), son livre est par contre truffé de contre-vérités et d'amalgames, a ensuite réagi Sarah Turine ce lundi matin sur nos antennes. Notamment par rapport à la communauté marocaine ou la question des musulmans. Des questions qui sont sans nuances et qui stigmatisent toute une population."

Parmi les propos qui ont le plus choqué, citions par exemple cette phrase: "Les allocations familiales encouragent les immigrés marocains à faire des familles nombreuses."

"C'est un des propos les plus choquants, effectivement, admet Sarah Turine. On les condamne d'ailleurs avec la plus grande fermeté. On attend désormais d’Annalisa qu'elle se rende compte qu'elle a éventuellement fait des erreurs dans son livre et qu'elle s'excuse auprès des populations concernées."

Mais des excuses, sera-ce suffisant? La balle est dans le camp de Groen!, estime la cheffe de file des Écolos molenbeekois. "Ce qui compte pour moi, c'est que l'on puisse continuer à travailler sur le terrain sur ces enjeux primordiaux. Cela fait quatre ans que l'on s'y attèle, dans un sens diamétralement opposé à ce qui est écrit dans le bouquin."

Une réunion au sommet entre les directions de Groen! et d’Écolo s'est déjà tenue fin de la semaine passée. Elle a mis en évidence une nette différence de perception entre les deux partis. Dans l'affaire, c'est clairement Écolo qui a le plus à perdre, sans pour autant pouvoir agir directement.

Les conséquences sur son électorat à Molenbeek pourraient être ravageuses. Annalisa Gadaleta a refusé notre demande d'interview.

Source 

A Marseille, une mosquée illégale pourrait être bientôt interdite

Une salle de prières s'est installée depuis plus de dix ans, en toute illégalité, dans des locaux vides d'un centre commercial à Marseille. La justice est saisie.


 C'est une mosquée installée dans une ancienne salle de boxe, dans un bloc de la cité des Oliviers, à Marseille, où les commerçants ont plié bagages depuis longtemps. Le centre commercial, dans lequel se trouve la salle de prières, ressemble davantage à un no man's land où seuls les guetteurs ont désormais pignon sur rue. La mosquée reçoit des fidèles depuis plus de dix ans sans autorisation légale. Le tout dans un secteur totalement gangrené par le trafic de... 

source: Europe1

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Les patrons pas obligés de justifier un refus d'employer un Suisse

 
Les patrons souhaitant recruter à l'étranger devraient parfois être obligés de convoquer d'abord des chômeurs de Suisse, mais pas de justifier leur refus. Le National a préféré lundi adoucir la copie des sénateurs, malgré la résistance de l'UDC.

Certains employeurs devraient être obligés d'annoncer les postes vacants aux services de l'emploi et de convoquer des chômeurs inscrits en entretien.

Mais par 139 voix contre 54, le National a refusé d'obliger les patrons à justifier leur refus éventuel en cas de recrutement d'un étranger, comme le veut le Conseil des Etats. La majorité a préféré une solution plus souple qui évite un excès de bureaucratie, a expliqué Cesla Amarelle (PS/VD).

Seules les professions qui ont un taux de chômage supérieur à la moyenne seraient concernées. Soit au plus 1% des procédures de recrutements annuels. Par 119 voix contre 75, le National a précisé que les mesures doivent être limitées dans le temps et par région. "Si on veut avoir le soutien des cantons, il est important que les mesures puissent être modulées", a défendu Isabelle Moret (PLR/VD).


Décision "absurde"

 
L'UDC a dénoncé en vain une décision "absurde" puisque, en vertu de l'accord sur la libre circulation, les citoyens de l'Union européenne (UE) peuvent déjà s'inscrire dans des offices régionaux de placement. "Ils ne sont pas si nombreux, parce qu'il y a beaucoup de contraintes qui sont liées à une inscription au chômage", a précisé la ministre de la justice Simonetta Sommargua.
Une minorité aurait voulu revenir à la première version défendue au National, qui voulait uniquement obliger les employeurs à annoncer les postes vacants aux services de l'emploi. Elle a cependant été rejetée par 101 voix contre 50 et 44 abstentions (de la gauche).
Seule l'UDC a voté en faveur d'une application stricte de son initiative, dénonçant un "coup d'Etat" de la part des autres partis et bombardant leur représentant de questions. "Limiter l'immigration n'est possible que par des nombres maximaux et des contingents. Ne pas respecter l'article constitutionnel n'est que mépris de la volonté populaire", a dénoncé en vain Jean-Luc Addor (UDC/VS).
La seule initiative qui a demandé la résiliation des accords bilatéraux est celle d'Ecopop et elle a été clairement rejetée par le peuple, a rappelé la conseillère fédérale.


Respecter la libre circulation

 
Le Conseil fédéral pourrait prendre d'autres mesures si ce qu'il a entrepris pour favoriser la main-d'oeuvre résidente n'était pas assez efficace pour limiter l'immigration. Elles devraient respecter les engagements de la Suisse relevant du droit international, un aspect essentiel pour la majorité des députés.

Cette condition les a poussés à rejeter, par 99 voix contre 66 et 29 abstentions issues des rangs du PDC, une proposition défendue par le PDC et l'UDC. Les deux partis ne voulaient pas de ce droit de veto et proposaient qu'en cas de désaccord, le gouvernement ait deux mois pour demander au Parlement de trouver une autre solution ne respectant pas forcément le droit international.


Six mois pour partir

 
Finalement, le National s'est rallié à la version moins sévère du Conseil des Etats dans la lutte contre les abus aux assurances sociales. Les Européens qui perdent leur emploi dans la première année de séjour auront six mois pour quitter la Suisse au lieu de trois, a-t-il décidé par 104 voix contre 84. Seule l'UDC a défendu un durcissement.

La pression monte car les deux Chambres doivent s'entendre d'ici au 16 décembre pour respecter le délai fixé par l'initiative. C'est aussi impératif afin que le Conseil fédéral puisse ratifier l'extension de l'accord à la Croatie et la Suisse être pleinement réintégrée à l'accord européen sur la recherche Horizon 2020.

Le dossier retourne au Conseil des Etats.

Source 

Les Scouts musulmans reçoivent 367 fois plus de subventions publiques que des scouts catholiques

 

 
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Le Salon Beige a repris une enquête de l’hebdomadaire Minute sur le deux poids, deux mesures en matière de subventions publiques aux mouvements scouts. Selon l’hebdomadaire, les Scouts musulmans ont touché en 2015, 42 200 € de subventions publiques alors que ce mouvement ne compte que 500 scouts, soit 11,62 € par membre. Les Scouts d’Europe, qui comptent 30 000 adhérents, n’ont touché cette même année que 31 328 € de subventions publiques soit 1,04 € par membre. Mais il y a pire encore… Les Scouts Unitaires, eux, n’ont touché que 0,23 € de subventions publiques par adhérent soit 367 fois moins que les Scouts musulmans
 

Propos d'Eric Zemmour sur l'islam: le CSA met en garde RTL et France 5


Le CSA reproche à France Télévisions et RTL une non-maîtrise de l'antenne.
France Télévisions

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a choisi de mettre en garde RTL et France 5 pour leur non-maîtrise de l'antenne face aux propos "exacerbant l'antagonisme" d'Eric Zemmour.

Mois de septembre chargé, pour le CSA. Durant la tournée promotionnelle d'Eric Zemmour, pour parler de son livre Un quinquennat pour rien, les signalements ont battu des records.  
Les téléspectateurs ont été nombreux à s'insurger devant les propos du polémiste, notamment après son passage dans C à vous, le 6 septembre sur France 5, 6 minutes pour trancher, le 7 septembre sur RTL, et dans Bourdin Direct, le 16 septembre, sur BFMTV. 

 
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a rendu sa décision le 1er décembre, choisissant de mettre en garde France Télévisions et RTL. "S'agissant des émissions C à vous et 6 minutes pour trancher, le Conseil a estimé que la maîtrise de l'antenne avait été insuffisamment assurée au regard de la gravité des propos tenus et a mis en garde les responsables de RTL et de France Télévisions contre le renouvellement d'un tel manquement," indique un communiqué du Conseil, qui estime que "la maîtrise de l'antenne doit être proportionnée au discours de l'invité et donc particulièrement forte lorsque ce dernier se caractérise par l'exacerbation des antagonismes au sein de la société française et la justification de comportements discriminatoires." 

"Il n'y a pas de musulmans modérés", dans C à vous

 

Dans C à vous, le 6 septembre dernier, Eric Zemmour assure qu'aucun musulman en France n'est intégré. Il répond: "L'islam veut dire paix, mais veut également dire soumission. On ne vit dans la paix que lorsque l'on se soumet à l'Islam. En Islam, il n'y a pas de musulmans modérés, affirme-t-il. Il y a simplement des gens qui appliquent la religion à la lettre et d'autres qui ne le font pas. Ce que l'on appelle en France 'bons musulmans', sont considérés comme des 'mauvais musulmans' en islam." 

Sur RTL, Zemmour rapproche islam et islamisme

 

Le lendemain, dans l'émission 6 minutes pour trancher, sur RTL, Eric Zemmour explique cette fois qu'islam et islamisme, c'est "la même chose." "Tout le monde fait la différence mais je ne la fais pas. Le mot 'islamisme' a été inventé au XVIIIe siècle en France pour faire comme les autres religions: christianisme, judaïsme, protestantisme. Pour des soucis d'équilibre, on a inventé 'islamisme' mais c'est le même mot, insiste-t-il. Au XIXe siècle, tout le monde emploie 'islamisme' pour 'islam', c'est le même mot."

 Le Conseil estime "que la maîtrise de l'antenne avait été effectuée par le journaliste, dans la mesure où les propos de l'invité ont fait, le plus souvent, l'objet d'une contradiction parfois vive, et en a fait part à l'éditeur." 

  Audrey Kucinskas

Source 

La ligne Philippot : celle des patriotes jouisseurs et des socialistes zombies

 

« François Fillon, c’est le pire programme de casse sociale qui n’ait jamais existé » (Marine Le Pen).

« Ne laissons pas les responsables de la France d’aujourd’hui punir les Français par une politique d’austérité brutale » (Dupont-Aignan).

Quant à Henri Guaino, il affirme que François Fillon incarne une droite « qui n’a aucune humanité ».

Ces outrances révèlent une chose : chez les souverainistes, la ligne Philippot est désormais hégémonique. C’est une ligne qui a l’audace de vouloir sortir d’un euro-mark qui nous asphyxie, mais sans avoir le courage ni l’honnêteté d’exiger des Français le moindre sacrifice. C’est une ligne qui, dans une certaine mesure, fonctionne à merveille car taillée sur mesure pour les bataillons croissants de patriotes jouisseurs.

Il aiment la France, abhorrent la colonisation qui la défigure et, à les entendre, seraient prêts à donner leur vie pour elle. Prêts au sacrifice suprême. Mais qu’on n’envisage pas de toucher à leur portefeuille ou à leur temps libre, à supprimer les 35 heures ou à relever l’âge de la retraite.

Car ces patriotes d’un nouveau type sont tout en subtilité : disposés à sacrifier leur vie, mais pas leur niveau de vie.
Ils s’en défendent toujours par le même argument : les classes moyennes seraient les seules à payer (il est vrai que les riches sont exemptés d’impôts), tandis que les patrons se goinfrent. Ce n’est pas leur raison qui s’exprime mais leur ressentiment. L’égalité réelle, avant le redressement national. Sauver la France et son économie, certainement ; mais pas au prix d’un accroissement des inégalités.

Ces patriotes placent le tiers de la devise républicaine au-dessus de la France. Et le parti au-dessus de la patrie. Certains ont même appelé à voter Juppé, arguant que, pour Le Pen, il serait moins dangereux qu’un Fillon. 

Après le portefeuille, la politique politicienne. La France peut attendre ; il y a des priorités.
 Ces « patriotes » fustigent Mai 1968 mais se comportent en « nationaux-soixante-huitards ». À leur décharge, personne ne leur propose de véritable alternative à la jouissance privée : une jouissance publique, nationale, civilisationnelle.
Car qu’est-ce que le bonheur, sinon la volonté de puissance ? Ici, Nietzsche et Spinoza (puissance d’agir) s’accordent. Notre bonheur peut s’accroître par les loisirs. Or, leur consommation dépend le plus souvent du niveau de revenu et, donc, de la sauvegarde de l’État-providence.

Mais si le bonheur solitaire du navigateur est noble, le patriote ne saurait – au risque de se renier – tendre vers cet idéal petit-bourgeois. Son bonheur se doit d’être à mi-chemin entre celui, transcendant, proposé par la religion, et celui de l’individu. Il est le bonheur éprouvé à la vue d’un défilé militaire, à l’idée d’être membre d’un pays craint et respecté, admiré pour ses avancées technologiques, sa production artistique et intellectuelle. Aux antipodes d’un pays moqué pour l’oisiveté de ses habitants, son endettement croissant, ses grèves à répétition et ses cohortes de fonctionnaires à la productivité douteuse.

Nombre de patriotes seraient inspirés de réserver leurs complaintes pour cette image piteuse que nous renvoyons, plutôt que pour les appels salutaires à la croisade économique. Un patriote ne saurait se satisfaire de cette « drôle de guerre », planqué derrière la ligne Maginot de l’État-providence. Cet État-providence dont la remise en cause nuirait d’ailleurs davantage aux Français de papiers qu’aux Français de cœur – et de souche.

Emmanuel Todd parle de « catholiques zombies » à propos de l’électorat des dernières régions à s’être déchristianisées : consciemment laïque, « libéral, égalitaire et républicain », mais dont l’inconscient est largement déterminé par un catholicisme défunt et des valeurs « autoritaires et inégalitaires ». De même, nous pourrions parler de « socialistes zombies » pour ces ouvriers, artisans et petits commerçants qui ont l’apparence du patriote mais restent animés par la flamme du Front populaire.

Qu’est-ce que la patrie au regard des congés payés ?

Romain d’Aspremont

Source 

Drame de l’école bienveillante

Encore un lycéen poignardé, à Marseille. Pas de noms ni de prénoms dans les journaux sur les protagonistes de l’affaire : on s’en doutait un peu. En la matière, l’anonymat prime selon les circonstances. Les journaux se contentent de décrire un climat délétère global dans les lycées de la ville tristement célèbre pour ses kalachnikov. 

Le ministre se fend d’un communiqué marquant son profond désarroi et la sempiternelle cellule psychologique tient lieu de cache-misère pour laisser croire que l’on fait quelque chose. Mais il n’y a pas qu’à Marseille, hélas. En son temps, l’ex-ministre Vincent Peillon était convenu, début février 2014, en interview qu’il se passait, parmi les douze millions d’élèves, quelque chose de grave tous les jours. Et encore : heureusement, tout n’apparaissait pas dans la presse. La méthode habituelle étant de demander aux cadres de l’Éducation de ne pas porter plainte ou de ne pas ébruiter ces affaires qui ne dépassent, en général, pas le cadre de la presse locale. 

Étrangement, les incidents ont lieu, pour la plupart, là où on les attend. Au-delà de cette violence, il est une autre statistique dont le ministère se vante peu : 48 % des garçons d’immigrés réussissent le baccalauréat, avec 26 % seulement pour ceux dont les parents sont originaires de Turquie, 40 % pour l’Afrique sahélienne et 41 % pour l’Algérie, quand la population générale est à 55 % et les enfants d’Asiatiques à plus de 70 %. Une dernière statistique est éloquente : en 2015, près d’un responsable d’établissement scolaire sur deux a été agressé par des parents d’élèves. Cela montre que les enfants sont vindicatifs, mais que leurs parents le sont aussi et soutiennent la violence de leurs rejetons. Le total est encore plus alarmant si on compte les agressions des cadres et des professeurs par les élèves eux-mêmes. 

Cela signe une faillite éducative globale à tous les niveaux, aussi bien parentale que scolaire, l’échec de l’intégration par le savoir, les méthodes et l’acquisition des codes communs de ce que l’on ose encore appeler le « vivre ensemble », qui ressemble de plus en plus au « bastonner ensemble ».

Ajoutons que la chute des résultats scolaires, en maths et ailleurs, est patente et une énième enquête est venue le rappeler dernièrement, même si le taux de réussite au bac est artificiellement gonflé – tout le monde sait comment. L’actuel ministre Belkacem a balayé l’effondrement d’un revers de main. C’est la génération sacrifiée, avec les directives de 2008, en somme la faute à Fillon, Premier ministre, qui a eu la très mauvaise idée de remporter la primaire de droite. Elle même a donné des consignes de bienveillance aux professeurs. Ça veut dire quoi, la bienveillance ? En l’occurrence, supprimer les notes au caractère traumatisant, tenter par tous les moyens d’étouffer les violences à l’école et comprendre le désarroi de pauvres élèves, obligés d’en venir aux mains et aux coups de couteau ? Il ne reste qu’à souhaiter bon courage au futur ministre…

Pierre Duriot

Source 

Un « migrant » mineur tue une jeune Allemande : Merkel a du sang sur les mains

 


Le 16 octobre dernier, le corps inanimé de Maria L. était retrouvé sur les bords de la rivière Dreisam, à Fribourg. Cette jeune femme de 19 ans menait une existence insouciante d’étudiante en médecine, privilège d’une jeunesse interrompue trop tôt par un criminel qui n’aurait jamais dû se trouver sur le sol allemand.
Venu en Allemagne en provenance d’Afghanistan en tant que « mineur non accompagné », le monstre a pu bénéficier de la générosité de nos voisins d’outre-Rhin, trouvant refuge dans une famille d’accueil… Quelques mois plus tard, en guise de remerciements, il assassinait et violait une jeune fille innocente. Il a heureusement été confondu par son ADN retrouvé sur les lieux du crime. Un autre crime à caractère sexuel s’est également produit dans le secteur en novembre. L’enquête dira s’il s’agissait du même auteur.

Les leçons de la nuit d’horreur du Nouvel An n’ont pas été tirées, pas plus que celles du déclin de la France. Pour la seule année 2015, pas moins de 890.000 « demandeurs d’asile » sont arrivés en Allemagne, dont près d’une moitié d’Afghans, éduqués dans une société où la vie des femmes n’a que peu de valeur. La même année, 90.000 « mineurs non accompagnés » s’installaient dans l’Union européenne. Et c’est ainsi qu’une jeune fille a fini sa vie d’une horrible manière, alors qu’elle rentrait d’une soirée d’étudiants.

La politique d’accueil menée par les exécutifs européens, en collaboration avec les caciques globalistes de l’Union, est suicidaire. 

Nos dirigeants invitent le loup à pénétrer dans la bergerie. En conséquence, les drames se multiplient : attentats, viols, meurtres, vols… Et ce n’est pas tout, l’insécurité n’étant que la partie la plus visible du problème de fond que pose la déferlante migratoire, c’est-à-dire le remplacement des peuples autochtones par des personnes venues de cultures n’ayant que très peu en commun avec notre civilisation.
 Oui, Angela Merkel a du sang sur les mains. L’assassinat barbare de Maria L. est de sa responsabilité directe. Les conservateurs allemands sont de dangereux inconscients qui encouragent l’invasion de leur nation millénaire pour combler les manques de leur funeste politique malthusienne. Acquis au « multikulti », ils se rêvent en champions d’un monde d’après fantasmé, rejetant leur identité dans les limbes du passé.

Les enjeux électoraux à venir en Europe ne sont pas ordinaires. Nous n’en sommes plus à l’heure des choix rationnels, axés uniquement sur l’économie, car nous ne sommes plus vraiment en paix. À ce rythme, notre continent pourrait rapidement sombrer dans le chaos. Si nous voulons l’éviter, il nous faudra prendre des décisions radicales, inédites et douloureuses. Voulons-nous toujours vivre libres chez nous ou préférons-nous vivre en esclaves chez eux ? 

 Gabriel Robin

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Un jihadiste repenti accuse Christian Estrosi « d’avoir laissé faire » le recruteur Omar Omsen



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Dans le livre « Les Revenants » du spécialiste français du djihad David Thomson, un djihadiste repenti accuse directement l’ancien Maire de Nice d’avoir laissé faire Omar Omsen, le principal recruteur français.

« Mais Quentin en veut également beaucoup à l’ancien maire de Nice, Christian Estrosi, dont il dénonce la passivité. Car tout au long de son mandat, Omar Omsen a pu aisément infuser en profondeur, en toute impunité, et recruter à Nice, plus d’une centaine de jihadistes. Au point d’en faire aujourd’hui la ville la plus touchée en France par le phénomène. (…) Il savait très bien ce qui faisait au quartier Saint-Charles. J’en veux au maire de Nice parce qu’il était au courant de tout ça, il a laissé faire. »
Quand un ancien jihadiste accuse #Estrosi d’avoir « laissé faire » le plus grand recruteur de France, Omar Omsen. « Les Revenants », p.243-244. pic.twitter.com/j5Nlkt03XR
— Damien Rieu (@DamienRieu) 4 décembre 2016



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