Alertés, les policiers ont interpellé le lycéen, originaire de Chanteloup-les-Vignes, dans l’enceinte de l’établissement
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Pour les autorités de la faculté, la jeune femme n’est pas une inconnue. Elle avait déjà, au moment des inscriptions, refusé de retirer son foulard pour la photographie d’identité de sa carte d’étudiant.
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Source"Le camp accueille plus de 1.000 familles, qui sont assez nombreuses, en moyenne dix personnes. Ces familles partagent le sort tragique de leurs coreligionnaires qui ont fuit l’arrivée de Daesh en août 2014. Ils se retrouvèrent prisonniers des montagnes de Sinjar, sans eau ni nourriture. Les récits sont terribles ! Plusieurs ont été témoins du massacre des leurs, et du kidnapping des femmes de tous âges, réduites à l’état d’esclave sexuelle. Ainsi, mon interprète Yazidi, Raad, me confiait que trois de ses sœurs sont toujours entre les mains de Daesh. 2700 femmes Yazidis sont dans la même situation ! Quel sera leur avenir si un jour elles sont libérées ? Une femme qui a perdu sa virginité dans les sociétés Moyen- Orientales est souvent rejetée voir tuée, l’honneur de la famille, de la tribu repose sur cela. La haute autorité religieuse Yazidi a émis un décret afin que ces femmes soient accueillies par leurs familles, et qu’elles ne soient pas rejetées. Cela semble fonctionner, mais…."
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"[...] En 2016 nous dit le ministère de l'Intérieur, l'immigration légale se traduit par l'entrée de 227 550 personnes sur notre sol, une hausse de 4,6% par rapport à l'année précédente. C'est presque autant que la population de Bordeaux en une seule année ! On apprend aussi que l'immigration déclarée au titre du travail représente 10% de l'effectif, environ 38% étant dus à l'immigration familiale (regroupement familial et mariage avec un conjoint étranger) soit plus de 88 000 personnes, tandis que les étudiants (dont une minorité quitte le pays à la fin de leurs études) pèsent 77 000 entrées. Enfin, les entrées pour motif humanitaire (qui se concrétisent par l'octroi du droit d'asile dans peu de cas) s'élèvent à plus de 32 000, soit 15% du total.
Mais au-delà de ce constat, Il faut rappeler que les demandes d’asile sont en forte progression : 85 244 demandes, en hausse de 6,4 %. Or, ils ne sont que 26 351 à avoir obtenu le droit de séjourner en France (taux en hausse de 35 % !). Ce qui implique donc qu’environ 59 000 auraient dû être reconduits à la frontière. Mais seules un peu plus de 10 000 reconduites sont effectuées chaque année : ce sont donc probablement 47 000 personnes qui sont restées clandestinement sur le territoire.
A ces entrées légales s'ajoutent évidemment l'immigration illégale, impossible à quantifier par nature, ainsi que celles des ressortissants clandestins ou irréguliers de l'Union européenne, en provenance pour une large part de l'est du continent. Enfin, s'ajoute donc le solde de tous les ressortissants étrangers (déboutés du droit d'asile et autres), grossissant année après année, censés quitter le territoire national mais ne s'exécutant pas et n'ayant pas grand chose à craindre d'autorités publiques qui ne pratiquent, au plus, que quelques milliers de reconduites à la frontière par an (moins de 13 000 en 2016 !).
Ce qui permet à Nicolas Dupont-Aignan de valider l'idée (qui n'est plus une thèse) du grand remplacement.Or, rapportés à la démographie nationale, ces chiffres correspondent clairement à une dynamique de remplacement : pour mémoire, la plupart des entrants ont entre 20 et 30 ans, et si l’on comptabilise seulement les 227 550 entrées officielles et les 47 000 « réfugiés » restés clandestinement, on arrive à 274 550 personnes en 2016. A comparer aux 750 000 personnes par génération annuelle que nous avons sur les 20-30 ans ! Nos entrées annuelles légales et semi-clandestines représentent ainsi l’équivalent de 36 % d’une génération annuelle."
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