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samedi, 21 janvier 2017

Sartrouville (78) : il tente d’étrangler la proviseure-adjointe, elle avait confisqué sa chicha

 

 
chicha-celeste-junior-sword-La proviseure adjointe du lycée Jules-Verne de Sartrouville a été victime d’une agression, mardi. Vers 9 h 30, un élève de l’établissement, âgé de 16 ans, était dans le bureau de la conseillère d’éducation avec la ferme intention de récupérer une chicha qui lui avait été confisquée. « Il a fait de l’esclandre, raconte le maire (LR) de Sartrouville, Pierre Fond. Et la proviseure adjointe a tenté de calmer la situation ». En vain puisque l’adolescent l’a saisie au cou, la serrant très fort au niveau de la gorge.

Alertés, les policiers ont interpellé le lycéen, originaire de Chanteloup-les-Vignes, dans l’enceinte de l’établissement


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Lille (59) : une étudiante musulmane relaxée après une prière dans les toilettes de l’université

Le 29 janvier 2013, le conseil disciplinaire de l’université de Lille I inflige un avertissement à une étudiante. Motif : une apparitrice a surpris la jeune musulmane en train de faire sa prière dans les toilettes de la faculté.

Pour les autorités de la faculté, la jeune femme n’est pas une inconnue. Elle avait déjà, au moment des inscriptions, refusé de retirer son foulard pour la photographie d’identité de sa carte d’étudiant.


Hebergeur d'image

La pratiquante s’était ensuite ravisée et avait accepté de poser tête nue. Cette fois, elle est punie pour « manifestation ostentatoire d’une pratique religieuse dans l’enceinte de l’établissement ». (…)
Tombée le 18 octobre, la décision vient d’être rendue publique. Âgée aujourd’hui de 25 ans, la jeune musulmane, de nationalité française, a fini ses études. Elle vit désormais au Royaume-Uni.

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Intégration & Oumma. Mensonges et fumisterie !

« Ne tuez point, sauf pour une cause juste »

Coran, sourate 17, verset 35 

La campagne des présidentielles n’est officiellement pas encore commencée, d’autant moins que les candidatures ne sont pas closes et que l’on en est même à la désignation douloureuse et contradictoire des candidats dans certains bords. Mais déjà fleurissent bobards, promesses et mensonges grotesques.
Divers comiques troupiers de la collaboration à la nouvelle invasion y vont de leurs arguments propres à faire pleurer la Margotton : on ne doit pas assimiler islam et terrorisme ; le Djihâd n’est pas obligatoirement la guerre ; discriminer les « Français musulmans » des Français de souche européenne rappelle l’imposition de « l’étoile jaune » à une autre population… en une époque légèrement différente de la nôtre. 

Commençons donc la lutte contre la désinformation par cette fameuse étoile. Elle n’a été rendue obligatoire en France que par l’Occupant allemand, à compter du 29 mai 1942, dans la portion (croissante à partir du 11 novembre 1942 puis en juillet 1943) du territoire qu’il s’était adjugée. Cet insigne n’a jamais été imposé par le régime de l’État français, sis à Vichy. Il est aisé de s’informer.
On nous ressasse l’argument fantaisiste selon lequel le Djihâd serait une épreuve de perfectionnement intime du muslim (fidèle) pour vaincre ses mauvais penchants. Certes, c’est la pure doctrine soufie, qui en tout pays du Dâr al-Islam fut toujours minoritaire et souvent persécutée. 

N’importe qui peut se reporter au texte coranique, dépourvu d’ambiguïté (sourates 2, 4, 8, 9, 22, 47, 48, 58, 59, 60, 61) : le Djihâd est un combat guerrier, engageant tout muslim ni faible ni malade (le verset 17 de la sourate 48 n’exempte que l’aveugle, le boiteux et l’infirme), qui doit se terminer par la destruction physique des infidèles ou « idolâtres » (comparés à « des animaux vils », sourate 8, verset 57) qui combattent la propagation de l’islam, avec confiscation des biens et réduction en esclavage des familles des ennemis de l’islam. 

« Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les, jusqu’à en faire un grand carnage » (sourate 47, verset 4). L’ennui est que tout ce qui n’est pas soumis à la Charî’a (la loi coranique) est, par définition, le Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Et le délicieux Muhammad en a ainsi décidé : « Allah rendra nulles les œuvres de ceux qui ne croient pas » (sourate 47, versets 1, 9, 10, 30, 34). Autrement dit : il n’est pas de bon infidèle. Qui ne croit pas au dénommé Allah ne peut être que « méchant » (Coran, passim).
L’ennui (bis) est que depuis les prêches du calife Abou Bakr II de Mossoul, qui ont débuté en 2014 avant même son intronisation, l’ensemble de la planète est devenue site de Djihâd, qu’il y ait ou non victimes collatérales musulmanes : « Aucun malheur n’atteint l’être humain sans la permission d’Allah » (sourate 64, verset 11). « Dieu reconnaîtra les siens » : on avait déjà entendu cette stupidité en Occident, mais on croyait révolue ce genre de période obscurantiste. Fatale erreur ! 

Il ne faut jamais oublier, comme le font nos irresponsables élus (et un très curieux pape jésuite), que le Coran considère comme étant le meilleur muslim celui qui meurt au combat pour propager l’islam (sourates 2, 47, 61), bien plus que le bon père de famille ou la mère exemplaire qui travaillent pour nourrir, élever leur progéniture. « Donne-nous la victoire sur les infidèles », ainsi se termine la sourate 2, tandis que la sourate 9 n’offre qu’une alternative au djihadiste : « la victoire ou le martyre » (verset 52).

Et l’on continue à introduire à dose massive en Occident du jeune musulman célibataire, soit le terreau privilégié du djihadisme. Au moindre mot d’ordre des fous furieux d’Allah, les 1500 ou 2000 cités de non-droit de France redeviendront des sites de guérilla urbaine. Il est évident qu’un Français des coins les plus reculés de Lozère, du Gers ou d’Ardèche n’a guère de raison statistiquement significative de redouter un attentat, mais qu’en est-il des malheureux Français de souche européenne des zones est ou nord de Paris, de Roubaix, Lille ou Douai, de Rouen et environs, de Lyon, Villeurbanne et Saint-Étienne, de Marseille et de Bordeaux, de Nantes et de Rennes, etc ? 

La lecture du Coran est édifiante sur les conditions d’ « assimilation ». Lorsque, par la guerre civile ou par la loi du nombre, les mahométans auront triomphé dans un pays, le choix sera simple pour les « infidèles » : la conversion, l’extermination ou l’esclavage.

Reste à évoquer la chaleureuse Oumma, soit la communauté fraternelle des fidèles, où tout n’est que joie, bonheur et paix… à en croire mollahs, ulémas, imams. Bien sûr, en cas de grave accident au sein de la communauté musulmane, les mêmes prédicateurs en accusent une contamination par l’Occident maudit, composé de pervers et de débauchés, de voleurs et d’assassins, d’usuriers et de « méchants » etc. 

Tous les historiens des religions sont unanimes à présenter les années de fondation d’un culte comme représentant « la pureté originelle » de cette foi. Las, les doctes universitaires et les clercs prêchant pour leur paroisse sont ou des menteurs, ou des aveugles volontaires ou encore des ignares… exactement comme le sont nos politiciens immigrationnistes. 

Analysons ce que fut cette Oumma du vivant de l’illettré & halluciné Muhammad (ou Mahomet), qui reçut sa dictée (le Coran) de l’ange Gabriel (archange chez juifs et chrétiens), puis celle du premier siècle, Âge d’Or de l’islam, selon les merveilleux commentateurs. 

Ce bon Mahomet meurt en 632, après une vie assez dissolue (au moins 4 divorces sur sa dizaine d’épouses, non comptabilisées ses esclaves) où ne manquent ni la commandite d’assassinats d’adversaires, ni le pillage de caravanes, ni les guerres intertribales ou entre les habitants des villes rivales de Yathrib (plus tard : Médine) et La Mecque. 

À sa mort, semble-t-il naturelle, se disputent méchamment les bandes rivales de son oncle et beau-père Abou Bakr et de son cousin et beau-fils Ali. Le premier, père d’Aïcha épousée (et
« possédée » à l’âge de 9 ans), l’emporte, devenant le premier calife, mais il disparaît en 634, lui aussi de mort apparemment naturelle. Lui succède Omar, le conquérant sanguinaire, ultime destructeur de la bibliothèque d’Alexandrie, expédié au paradis d’Allah en 644 par un esclave perse qu’il avait trop maltraité. Arrive le tour d’Othmar que la tendre Aïcha expédie en un monde réputé meilleur avec l’aide d’Ali et de ses sbires.

Ce délicieux Ali, 4e calife, guerroie une quinzaine d’années contre… des musulmans, au point que se constitue la secte schismatique des Kharadjites qui se proclament seuls bons mahométans. En 661, Ali est assassiné à son tour et ses partisans, dépossédés du califat, fondent la secte des Chiites. Le gros des brebis de Mahomet reste fidèle à la tradition (ce sont les Sunnites), fondée sur le Coran, la Sîra (la biographie officielle du fondateur) et les centaines de volumes de Hadîths qui permettent à leurs savants exégètes de dire à peu près tout et son contraire… où serait le plaisir des théologiens s’ils ne pouvaient ajouter leur grain de sel à la soupe populaire ? 

Du milieu du VIIe siècle au milieu du suivant, ce ne furent qu’extermination ou conversion par la force des zoroastriens et chrétiens de Mésopotamie, Perse, Syrie, Palestine, Égypte et, de là, l’ensemble du Maghreb, puis l’Ibérie et l’Aquitaine. Les Juifs, assez souples, furent souvent assez bien traités, mais pressurés d’impôts. Quant aux soldats byzantins, ils étaient exterminés, souvent après tortures immondes. Chaque conquête pour la plus grande gloire d’Allah le Tout-Puissant (mais qui n’était clément et miséricordieux qu’à ses seules ouailles) fut l’occasion d’une orgie de destruction de papyrus et de parchemins, de peintures et de sculptures, de pillages et de viols. Tout cela, parfaitement exact, est bien connu.
Ce qui l’est moins, c’est que ce premier siècle de la nouvelle foi en un énième dieu unique et véritable fut aussi une période de guerres intestines chez les mahométans. Alors, la notion de fraternité entre mahométans peut raisonnablement faire sourire l’athée et l’agnostique, qui en a assez de ces guerres de religions, de ces croisades menées au nom du « seul vrai dieu ».

En Europe débarrassée du fanatisme chrétien depuis un peu plus d’un siècle, il peut paraître grotesque de remettre ça, avec une religion obscurantiste dans ses dogmes, barbare dans ses usages. La lecture du Coran devrait être obligatoire pour tout citoyen de souche européenne : il est nécessaire de bien connaître son ennemi pour mieux le combattre. 

En Europe, meurtrie par un chômage autochtone de masse et par les délocalisations d’entreprises, en ce continent dont la prospérité est affaiblie, l’immigration de consommateurs non-producteurs est une aberration, sauf pour les patrons de la grande distribution qui peuvent compter sur la complicité d’élus – dont chacun connaît le dévouement & la parfaite intégrité – pour injecter une partie des impôts dans une multitude d’allocations destinée à la consommation d’envahisseurs peu ou non qualifiés, guère ou non productifs… et dont certains sont des vandales, des violeurs, des voleurs & des racketteurs, voire d’honorables trafiquants et maquereaux.

C’est ce qui s’appelle : fournir un avenir de rêve aux enfants de souche européenne. Car si l’on y réfléchit bien, en Europe qui reste majoritairement étrangère à l’islam, la fameuse Oumma signifie beaucoup moins, pour les mahométans, être unis entre eux qu’être unis contre les Européens de souche.

Bernard Plouvier

Paris : un Congolais arrêté avec 800 grammes de diamants bruts dans le caleçon

Des sous-vêtements parmi les plus chers de l’histoire. Un homme qui s’apprêtait à embarquer dans un train pour Bruxelles à la gare du Nord à Paris a été arrêté par les douaniers avec 800 grammes de diamants bruts dans le caleçon, a-t-on appris mercredi.


Selon la douane, « le voyageur transportait des centaines de diamants bruts de diverses tailles, dans des paquets dissimulés dans ses sous-vêtements », fin décembre.

L’homme, qui a expliqué venir de République démocratique du Congo, n’a pu présenter de document justifiant la légalité et la provenance des pierres, qui ont donc été saisies, une prise « exceptionnelle », pour la douane. Il y en avait pour près de 300.000 euros…

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

L’AfD réunit l’extrême droite européenne

Allemagne: Sacré coup de pub du parti «Alternative pour l’Allemagne» en pleine année électorale.

La stratégie de l’extrême droite allemande a parfaitement fonctionné: provoquer pour attirer l’attention des médias. Frauke Petry, la présidente de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), a réussi à transformer le congrès de l’extrême droite européenne, qui se tient ce samedi à Coblence, en véritable show médiatique. Pour cela, l’AfD a d’abord refusé d’accréditer plusieurs médias de référence, dont le magazine Der Spiegel, le quotidien conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) ou encore les chaînes publiques, dénigrés par l’AfD en tant que «médias de la redevance».

«Cela s’intègre parfaitement dans la stratégie de communication de l’AfD. Le parti de Frauke Petry savait qu’elle attirerait l’attention», assure Timo Lochocki, politologue à la fondation German Marshall Fund. La décision a déclenché, en effet, une levée de boucliers. La première chaîne de télévision publique (ARD) a dénoncé une «restriction arbitraire du droit à l’information». «C’est une atteinte à la liberté de la presse», a ajouté la Fédération des journalistes allemands (DJV). «L’objectif était de satisfaire également ses électeurs qui se sentent floués par ces médias. C’est clairement une provocation», ajoute Marcus Maurer, professeur en communication à l’Université de Mayenne.


Une ambivalence très étudiée


En attaquant le mémorial de Berlin dédié aux Juifs assassinés d’Europe, Björn Höcke, le leader de l’AfD en Thuringe, a déclenché la même mécanique. Au lendemain d’un discours très ambivalent sur ce «monument de la honte» (la honte de qui?), il a réussi à se présenter comme une victime des médias, accusés de l’avoir mal interprété. «Je ne doute pas un instant que les termes de son discours ont été choisis soigneusement par son conseiller, Günther Lachmann, un stratège en communication, pour jeter le trouble sur le sens du mot «honte», assure le politologue Timo Lochocki.

Frauke Petry veut faire de ce congrès, organisé officiellement par le groupe ENL (Europe des nations et des libertés) du Parlement de l’UE, le lancement de la campagne électorale 2017 pour les formations d’extrême droite en Europe. Elle a invité la Française Marine Le Pen du Front national et le Néerlandais Geert Wilders du PVV (Parti pour la liberté), qui sont déterminés à prendre le pouvoir cette année dans leur pays.


Une première pour Marin Le Pen


Geert Wilders a déjà tenu plusieurs discours en Allemagne, notamment en 2015 lors d’une manifestation des Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident (Pegida). Pour Marine le Pen, c’est une première. Elle n’a jamais mis le pied en Allemagne en tant que présidente du FN. Le député européen italien Matteo Salvini de la Lega Nord sera aussi à la tribune pour prononcer un discours.

Plus de 150 organisations, syndicats et partis politiques ont appelé à protester. «Les populistes ne sont pas les bienvenus», a lâché hier le maire social-démocrate (SPD) de Coblence, Joachim Hofmann-Göttig. On attend plus de 1000 manifestants et 1000 policiers pour le maintien de l’ordre.

Christophe Bourdoiseau 

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Dans le nouveau centre pour envahisseurs d’Ivry-sur-Seine


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C’est le contribuable français qui régale !

 Vous noterez que de nombreux Parisiens, étudiants ou âgés, sont forcés de (sur)vivre dans moins confortable que ces logements neufs. Comment y voir autre chose que de la préférence étrangère ?

Eric Martin 

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Guy Bedos s’interroge sur la façon dont ses « amis musulmans » traitent les femmes

 
L’humoriste âgé de 82 ans a tenu des propos politiquement incorrects à l’égard des immigrés musulmans lors d’un meeting d’Arnaud Montebourg, qu’il soutient. « Je suis contre tous les racismes », a-t-il déclaré mercredi 18 janvier, avant d’ajouter : « Aussi antiraciste que je sois, je ne suis pas toujours d’accord avec mes amis musulmans, et la façon dont ils traitent les femmes. » « Je m’en fous de déplaire à certains, je le pense », a-t-il enfin continué :

Eric Martin

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Inde : au moins 361 attaques contre des chrétiens en 2016

 

 
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International Christian Concern (ICC), ONG de défense des droits des chrétiens et des minorités dans le monde (Washington D.C. États-Unis), signale dans un communiqué du 19 janvier qu’elle a établi et documenté 361 attaques contre les chrétiens en Inde au cours de l’année 2016, donc près d’une par jour… Autrement dit, le nombre d’actes antichrétiens a plus que doublé par rapport à 2015 puisque l’Evangelical Fellowhip (Inde) n’en avait recensé que 177 cette année-là…
 

300M€ pour les demandeurs d'asile en 2016

 

Unknown-274 774 migrants ont bénéficié du dispositif d'"aide au retour" en 2016, soit 2500€ :
  • 529 Afghans
  • 401 Chinois
  • 362 Albanais
  • 243 Kosovars. 
Par ailleurs, 105 000 personnes ont reçu l'allocation pour demandeurs d'asile (ADA) en décembre. Elle est versée à un migrant pendant l'instruction de la demande d'asile et est fixée à 6,80 euros par jour (en moyenne 204 euros par mois), modulable selon la composition familiale.

Les demandeurs qui ne sont pas hébergés perçoivent 11 euros par jour (en moyenne 330 euros).

Le budget de l'ADA a atteint 300 millions d'euros l'année dernière.
C'est gratuit c'est l'Etat qui paie...

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2700 femmes Yazidis esclaves de l'Etat islamique

 

Irak3Extrait du témoignage d’un médecin, actuellement séminariste, ayant effectué un séjour au Kurdistan Irakien, dans la province de Dohuk, dans un camp de réfugiés Yazidis :
"Le camp accueille plus de 1.000 familles, qui sont assez nombreuses, en moyenne dix personnes. Ces familles partagent le sort tragique de leurs coreligionnaires qui ont fuit l’arrivée de Daesh en août 2014. Ils se retrouvèrent prisonniers des montagnes de Sinjar, sans eau ni nourriture. Les récits sont terribles ! Plusieurs ont été témoins du massacre des leurs, et du kidnapping des femmes de tous âges, réduites à l’état d’esclave sexuelle. Ainsi, mon interprète Yazidi, Raad, me confiait que trois de ses sœurs sont toujours entre les mains de Daesh. 2700 femmes Yazidis sont dans la même situation ! Quel sera leur avenir si un jour elles sont libérées ?  Une femme qui a perdu sa virginité dans les sociétés Moyen- Orientales est souvent rejetée  voir tuée, l’honneur de la famille, de la tribu repose sur cela. La haute autorité religieuse Yazidi a émis  un décret afin que ces femmes soient accueillies  par leurs familles, et qu’elles ne soient pas rejetées. Cela semble fonctionner, mais…."
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Jack Lang remercie l'Arabie Saoudite

 

 

 

Unknown-28Lundi 16 janvier, Jack Lang, directeur de l’Institut du Monde Arabe, a dévoilé une plaque de remerciement à destination de l’Arabie Saoudite pour le don de 5 millions d’euros que le royaume a fait pour l’Institut.
L'Institut du Monde Arabe en sera-t-il plus honnête sur le wahhabisme ?

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Immigration : ce sont les chiffres qui en parlent le mieux

Nicolas Dupont-Aignan l'a compris : dans sa tribune publiée par Valeurs Actuelles, il n'aborde par l'immigration sous l'angle moraliste, philosophique (voire théologique !), mais sur les faits :


VALEURS4182_001"[...] En 2016 nous dit le ministère de l'Intérieur, l'immigration légale se traduit par l'entrée de 227 550 personnes sur notre sol, une hausse de 4,6% par rapport à l'année précédente. C'est presque autant que la population de Bordeaux en une seule année ! On apprend aussi que l'immigration déclarée au titre du travail représente 10% de l'effectif, environ 38% étant dus à l'immigration familiale (regroupement familial et mariage avec un conjoint étranger) soit plus de 88 000 personnes, tandis que les étudiants (dont une minorité quitte le pays à la fin de leurs études) pèsent 77 000 entrées. Enfin, les entrées pour motif humanitaire (qui se concrétisent par l'octroi du droit d'asile dans peu de cas) s'élèvent à plus de 32 000, soit 15% du total.

Mais au-delà de ce constat, Il faut rappeler que les demandes d’asile sont en forte progression : 85 244 demandes, en hausse de 6,4 %. Or, ils ne sont que 26 351 à avoir obtenu le droit de séjourner en France (taux en hausse de 35 % !). Ce qui implique donc qu’environ 59 000 auraient dû être reconduits à la frontière. Mais seules un peu plus de 10 000 reconduites sont effectuées chaque année : ce sont donc probablement 47 000 personnes qui sont restées clandestinement sur le territoire.

A ces entrées légales s'ajoutent évidemment l'immigration illégale, impossible à quantifier par nature, ainsi que celles des ressortissants clandestins ou irréguliers de l'Union européenne, en provenance pour une large part de l'est du continent. Enfin, s'ajoute donc le solde de tous les ressortissants étrangers (déboutés du droit d'asile et autres), grossissant année après année, censés quitter le territoire national mais ne s'exécutant pas et n'ayant pas grand chose à craindre d'autorités publiques qui ne pratiquent, au plus, que quelques milliers de reconduites à la frontière par an (moins de 13 000 en 2016 !).

Or, rapportés à la démographie nationale, ces chiffres correspondent clairement à une dynamique de remplacement : pour mémoire, la plupart des entrants ont entre 20 et 30 ans, et si l’on comptabilise seulement les 227 550 entrées officielles et les 47 000 « réfugiés » restés clandestinement, on arrive à 274 550 personnes en 2016. A comparer aux 750 000 personnes par génération annuelle que nous avons sur les 20-30 ans ! Nos entrées annuelles légales et semi-clandestines représentent ainsi l’équivalent de 36 % d’une génération annuelle."
Ce qui permet à Nicolas Dupont-Aignan de valider l'idée (qui n'est plus une thèse) du grand remplacement.

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Au pays de Jérôme Cahuzac, on détruit ou on vend les églises

Il s’appelle Devilliers. Mais les ressemblances s’arrêtent là. Il n’est pas un élu de Vendée et, visiblement, les cloches qui ne sonnent plus, ça ne l’empêche pas de dormir.

Maire d’un superbe village, Penne-d’Agenais (47), dont la basilique Notre-Dame de Peyragude, qui surplombe le Lot, attire les pèlerins, Arnaud Devilliers est d’abord un élu soucieux d’avoir une « une gestion dynamique du patrimoine communal ».

Donc, dans la liste des biens de la commune inutiles et onéreux, il y a l’église de Noaillac. Pas en bon état, c’est certain, la petite église du XVe siècle. 

Les images de Sud-Ouest ou de France 3 en témoignent. On comprend l’édile soucieux des deniers de sa commune :
 « Si l’objectif est de préserver le patrimoine, mieux vaut la céder à un privé qui entretiendrait l’édifice, en respectant un cahier des charges strict puisqu’il est inscrit aux Monuments historiques, plutôt que de le maintenir dans le domaine public et se retrouver avec un tas de pierres dans quelques années, car nous n’avons plus les moyens de le rénover. »

Argument imparable.

Et il faut espérer que cette petite église trouvera, non seulement un amoureux des vieilles pierres (ils sont, en général, nombreux dans le coin), mais, surtout – denrée plus rare -, des chrétiens de bonne volonté.

Mais ce reportage dans la presse locale suscite un certain malaise.
Ne parlons pas de la maladresse de ce maire qui, sur la photo de Sud-Ouest, tout sourire et fier de lui, vous tend les clés de cette pauvre église abandonnée…

Quel symbole… un élu français heureux de se débarrasser de ce fardeau : une église…

Mais on aurait aussi envie de demander à ces élus si soucieux de bonne gestion : qu’avez-vous fait avant, pour qu’on en soit arrivé là ? Vous et votre parti ? M. Devilliers se dit « électron libre ». Ce qui, ici, veut dire quelque chose comme centre droit.

Et quand on leur demandera d’ouvrir un centre culturel islamique ou une mosquée, nul doute que les collectivités sauront trouver les moyens pour satisfaire cette demande, malgré les contraintes qui, paraît-il, les obligent à vendre le patrimoine religieux chrétien.
La gestion, c’est une affaire de priorité, non ?
Naguère, Michel Sardou chantait : « Dans le Lot-et-Garonne, on bouffait du curé »

C’est toujours le cas, mais les curés se font rares. À tel point que l’évêque fait un appel massif à des prêtres africains car, après avoir regroupé les paroisses, il n’a pas de prêtre à y nommer : cinq grandes paroisses sur vingt-six sont sans prêtre. Et on le comprend, notre bon évêque, quand il nous dit lui aussi dans Sud-Ouest : « Je fais tout pour trouver des curés. »

Certes, cela se passe en Lot-et-Garonne, l’un des départements les plus déchristianisés de France, où les francs-maçons anticléricaux font, depuis un siècle, la pluie et le beau temps dans la vie politique locale.

Le dernier de ces illustres, député de cette circonscription où se trouve cette église de Noaillac, s’appelait Jérôme Cahuzac. En 2010, l’un de ses derniers actes de maire, avant sa chute, fut la destruction d’une chapelle de sa ville, jouxtant la mairie, pour faire un parking…

Les temps ont bien changé, même chez nos riches francs-maçons villeneuvois devenus ministres : si Georges Leygues avait financé, sur ses deniers, la construction de la grande église Sainte-Catherine de Villeneuve-sur-Lot, les priorités financières et patrimoniales de M. Cahuzac étaient visiblement différentes.

En 2017, en Lot-et-Garonne, on ne bouffe plus du curé, on se contente de vendre ou de détruire les églises abandonnées.

 Dominique Monthus

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Le CCIF appelle à la délation dans la police nationale


Marwan Muhammad, porte parole du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a publié, le 13 janvier dernier sur sa page Facebook, un appel à destination des forces de l’ordre en vue de le renseigner sur des pratiques policières, manifestement en vue de lui permettre d’agir dans son activité de lobbyisme islamique.

La teneur du message est la suivante : « Un petit appel à bénévoles très spécifique : si vous êtes policier, gendarme ou que vous travaillez à la PAF [police de l’air et des frontières, NDLR] et que vous avez envie d’aider dans la lutte contre l’islamophobie, faites-nous signe en PM. On a besoin de vous pour des petites missions de prévention et pour mieux comprendre certaines pratiques policières, vues de l’intérieur.
Merci d’avance ! »
 
En dehors du fait que le CCIF (comme le CCIB en Belgique) est clairement, et à juste titre, décrié quant à ses accointances avec les Frères musulmans et les salafistes, ainsi que pour la propagande communautariste qu’il véhicule sur fond de victimisation, cet appel est pour le moins surprenant, quelques jours après une polémique au sujet de la révélation de cas de radicalisation religieuse au sein de la police dans l’agglomération parisienne.

Bien que la technique du « chantage à l’islamophobie » ait été dénoncée par plusieurs voix, dont celle du journaliste Mohamed Sifaoui, comme relevant d’une stratégie de conquête mûrement réfléchie et employée par les islamistes en Occident, force est de constater que cet appel au bénévolat va au-delà de la simple propagande : ne s’agit-il pas, en quelque sorte, d’un recrutement pur et simple au sein de la police nationale et de la gendarmerie ?
À l’heure où la problématique de l’islam ne cesse de se poser au sein de notre pays, où l’efficacité de nos services de renseignement est montrée du doigt par certains journalistes, où le terrorisme a fait de nombreuses victimes, y compris dans les rangs de la police nationale, un tel appel doit être d’abord et avant tout considéré pour ce qu’il est : une provocation inacceptable.

Au-delà de mon expérience personnelle, et de ses lourdes conséquences, j’ose espérer qu’il restera lettre morte. Mais j’ai conscience que ce n’est pas une chose acquise.

C’est pourquoi j’invite l’ensemble de ceux qui pourraient considérer le CCIF comme une association anodine, et – ce qui serait un comble – pourraient être tentés de répondre à son appel, à réfléchir… Il semble que l’activité et le financement de ladite structure puissent être qualifiés de « troubles » ou soient, tout du moins, à clarifier.

Contribuer à son fonctionnement, en répondant à un appel de son porte-parole Marwan Muhammad, revient à collaborer avec ceux qui œuvrent à la promotion d’un islam politique, contraire aux valeurs de la République dont les forces de l’ordre (gendarmerie et police nationale) sont les garants. Cette forme de délation, à laquelle appelle le porte-parole du CCIF, est évidemment contraire à la loyauté que l’on attend d’un gendarme et d’un policier.

Sébastien Jallamion

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Les immigrés créent de la croissance : quelle blague !

 
Le Monde, fidèle à son penchant migrantophile, est tout fier de nous annoncer qu’en Allemagne, l’arrivée de 1,1 million de réfugiés a boosté la croissance : 1,9 % au lieu de 1,4 %. Et de sous-entendre que nous devrions les imiter afin de bénéficier, nous aussi, de cette manne inattendue.

D’abord, les journalistes admettent que ce petit 0,5 % de croissance supplémentaire est dû aux 11 milliards déversés pour accueillir les nouveaux venus. C’est simplement de la relance keynésienne par la dépense. On aurait à peu près la même croissance en distribuant en moyenne 135 € par Allemand, ou plutôt en ordonnant de grands travaux afin de s’assurer que les sommes colossales distribuées relancent le moins possible les économies extérieures.

Ensuite, Le Monde avoue que seulement quelques dizaines de milliers de réfugiés ont trouvé du travail (42.000) sur 1,1 million, alors que l’économie germanique, contrairement à la nôtre, manque cruellement de bras. On croyait accueillir des médecins, des ingénieurs, des personnels qualifiés. On a surtout des non-diplômés qui ne connaissent ni l’allemand ni l’anglais et sont, pour l’instant, inemployables. Malheureusement, il y a de grandes chances pour qu’ils le restent toujours. Si on se fie aux statistiques antérieures, 50 % d’entre eux ne travailleront jamais ! On a donc introduit 500.000 personnes qui vivront de charité publique pendant toute leur vie. Une absolue folie économique ! Une catastrophe totale. Sur 50 ans, une dette de 300 milliards pour rien. Et encore, l’Allemagne a un surplus budgétaire à dépenser, contrairement à nous qui sommes en faillite.

Bien sûr, les ONG rétorquent qu’au moins, les migrants tirent bénéfice de ce tonneau des Danaïdes. 

Cette remarque est pleine de naïveté. D’abord, les conditions de vie des migrants sont précaires. De plus, le salaire d’un smicard sénégalais est de 300 € par an. Il en coûte 10.000 € s’il vient en Allemagne. S’il reste dans son pays et si on lui verse 1.000 € par an, il vivra bien mieux que s’il vient chez nous. Et comme les migrants, par solidarité, envoient une partie de leurs allocations à leur famille, « l’évaporation » des sommes consacrées aux migrants vers l’Afrique serait sans doute moindre si on les payait à rester chez eux. Ils auraient un meilleur niveau de vie et ils ne seraient plus des déclassés. 
 Je ne suggère pas, bien entendu, de « salarier » les migrants. Cela serait absurde. Mais au lieu de dépenser 11 milliards chez nous, ne ferait-on pas mieux d’en verser 2 ou 3 chez eux – sachant que la plupart de ces migrants le sont pour raisons économiques – pour des actions concrètes de développement, en refusant systématiquement leurs ressortissants, en dehors du nécessaire droit d’asile ? Bien sûr, nous exigerions des contreparties économiques. Une solution gagnante-gagnante pour tout le monde.

Et on n’introduirait pas chez nous des terroristes, des délinquants ou des violeurs, même si ceux-ci ne sont qu’une infime minorité parmi les réfugiés. Le coût social des migrants est élevé et risque de détruire notre société.

Christian de Moliner

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Philippot au cachot, Marion au balcon !


En décembre dernier, en agressant publiquement Marion Maréchal-Le Pen qualifiée de « personne seule et isolée », Florian Philippot a commis une double faute. 

Il a d’abord attiré l’attention des médias et de l’opinion sur les divergences internes au FN. 

Et, par effet boomerang, c’est lui qui apparaît comme isolé. 
Un sondage IFOP réalisé pour Le Figaro révèle que 52 % des sympathisants du FN se sentent « plus proches des idées défendues par Marion Maréchal-Le Pen » et seulement 29 % plus proches de Florian Philippot (19 % se sentant aussi proches de l’une que de l’autre). 

Cette différence de 23 % est un vrai désaveu pour Philippot. Un homme pourtant omniprésent dans les médias et dans l’appareil du parti, où il diffuse tout à loisir son message. 

Un désaveu d’autant plus grave qu’il concerne toutes les tranches d’âge et toutes les catégories socioprofessionnelles. 

Si, chez les plus âgés (plus de 65 ans), l’écart entre Marion Maréchal-Le Pen et Florian Philippot se réduit à 8 %, il monte à 54 % chez les 18-24 ans. Cela s’explique. Soixante-huitard sur les mœurs et chevènementiste en économie, le message philippotiste se croit « moderne » mais il a… quarante ans d’âge. 

A contrario, la ligne Marion est en phase avec la génération 2013 plus identitaire et plus conservatrice.

Notons, aussi, une différence de style : d’un côté les éléments de langage d’un discours pasteurisé, de l’autre l’affirmation de convictions assumées. Là aussi, il n’y a pas « photo » . 
 Chez les ouvriers, la différence entre Marion et Philippot est aussi très élevée : 36 % au détriment du vice-président du FN . La raison en est simple : c’est une erreur de penser qu’électorat populaire et électorat de gauche se confondent. Bien au contraire : les ouvriers et les employés qui basculent vers le Front national le font d’abord par rejet de l’immigration mais aussi par refus de la société d’assistance et de la permissivité. Non pour un discours socialisant. 
Si elle veut éviter des résultats décevants à l’élection présidentielle, Marine Le Pen serait bien inspirée de prendre en compte les clignotants qui s’allument. De revenir aux fondamentaux de ses électeurs : l’identité, l’arrêt de l’immigration, la lutte contre l’islamisation, la défense des valeurs. 

Elle devrait rééquilibrer sa communication : bref, mettre Philippot au cachot et Marion au balcon.

 Jean-Yves Le Gallou

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Les réfugiés de Mutti Merkel ont traversé le Rhin : ils marchent sur Paris

Après l’attentat de Berlin, le 19 décembre dernier sur le marché de Noël de la Breitscheidplatz – attentat qui a fait 12 morts et plus de 50 blessés -, les Allemands se sont tout à coup réveillés avec la gueule de bois : ils n’étaient pas invulnérables !

Pas immunisés contre le terrorisme. Pas auréolés d’une reconnaissance aussi ineffable qu’inconditionnelle pour avoir accueilli un million de migrants en 2015. Bref, pas si différents pour les islamistes de ces Français sans cœur qui campent de l’autre côté de la frontière et laissent s’installer villages de toile et cabanons de la misère en bord de Manche.

Mais l’efficacité allemande n’est pas une vue de l’esprit. Là-bas, on est réactif et pragmatique, alors la réponse ne s’est pas fait attendre. Aussitôt les blessés ramassés et les morts enterrés, tandis qu’Anis Amri faisait son petit tour d’Europe l’Allemagne commençait à expulser ses déboutés du droit d’asile. Vers leur pays d’origine ? Ben… pas vraiment. Il faut dire que c’est bien compliqué dans la mesure où bon nombre d’entre eux s’inventent des identités fantaisistes, quand ce n’est pas carrément multiples.

Comme le rappelait dimanche le JDD« Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand, a décidé de renvoyer à Athènes les migrants entrés dans l’espace Schengen par la Grèce », une procédure suspendue en 2011. Et depuis le 19 décembre, les procédures se sont accélérées.

Je vous entends d’ici : « Fort bien, qu’ils retournent donc en Grèce et au-delà s’ils le peuvent ! » Sauf qu’ils ne vont pas tous à Athènes. 

Mieux que cela : ils sont de plus en plus nombreux à franchir le Rhin pour rejoindre Paris. La préfecture de police estime, ainsi, qu’ils seraient entre 50 et 100 à débarquer chaque jour dans la capitale depuis début janvier. Ce qui nous donne une honnête moyenne de quelque 2.000 personnes par mois, rien qu’en provenance d’Allemagne.
 Déjà, « la Bulle », le centre humanitaire ouvert en novembre porte de la Chapelle, est totalement saturée. « La mairie de Paris vient d’ailleurs d’annoncer l’ouverture prochaine de 200 places supplémentaires », écrit le JDD. Et vu la température, on se demande bien qui va en bénéficier, des nouveaux arrivants ou des vieux sans-abri qui peuplent déjà les trottoirs ! « Depuis quelques jours, les associations tirent la sonnette d’alarme, car les campements sauvages commencent à se reformer. En France, les demandeurs “Dublin” (du nom du règlement européen en matière d’asile) seraient déjà actuellement 20.000 », nous dit-on.

Et quand on jette un regard sur les chiffres de nos aimables voisins, on devine que la population des miséreux n’a pas fini de grandir : « En 2016, Berlin a enregistré quelque 280.000 nouvelles demandes d’asile sur un total de 745.545 en cours de traitement, parmi lesquelles 162.510 ont été déposées par des Syriens et 127.892 par des Afghans… Or, si les premiers obtiennent un titre de protection dans près de 100 % des cas – lorsqu’ils réussissent à prouver leur identité –, ce n’est pas le cas des seconds. L’Allemagne refuse une demande afghane sur deux. Et la plupart de ces derniers atterrissent donc à Paris. »

Les bonnes âmes assurent qu’on devrait s’en réjouir, que tout cela fera sous peu de jolis Français qui vont compenser notre petite faiblesse démographique et résoudre tous nos problèmes de retraite. Et puis nous sommes en train de vieillir, et demain nous serons bien contents de trouver quelques Afghans aux yeux de braise pour nous changer les bambinettes et les caoutchoucs du déambulateur.

Bien sûr, comme le dit le JDD, « tous ces naufragés du droit d’asile européen ne sont pas originaires d’Allemagne, certains sont passés par d’autres pays, principalement l’Italie ou la Norvège, mais la part des “réfugiés Merkel” ne cesse de progresser ». (Merci, Mutti !) Alors peut-être serait-il enfin temps de repenser l’Europe, voire de la penser pour de bon au lieu de se payer de mots et se bercer d’utopies, comme on le fait depuis des décennies !

Marie Delarue

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Payer pour appeler la police ?


La « PFANU », ou plate-forme des appels non urgents, c’est par cet acronyme, pas très sexy en vérité, que la préfecture de police de Paris a désigné son nouveau standard téléphonique centralisé. Cet outil de communication moderne est destiné à recevoir tous les appels non urgents, soit 450.000 par an environ, qui aboutissaient jusque-là dans les services de la préfecture de police, ou bien dans les différents commissariats de police de la capitale. Grande innovation cependant, ce « service » sera surtaxé 6 centimes d’euro la minute, le coût normal de la communication s’y ajoutant.
La mise en place de cette plate-forme téléphonique payante fait, comme il fallait s’y attendre, déjà réagir. Et en attendant d’éventuelles réactions des usagers, certains syndicats de police ont fait savoir leur opposition de principe à la facturation d’un service public. En réponse à cette objection, l’administration a, pour sa part, fait valoir que, bien sûr, il ne s’agissait pas de faire des bénéfices mais de compenser le coût de l’installation puis de la maintenance du dispositif technique mis en place par une entreprise spécialisée Prosodie-Capgemini.

Bien entendu, et fort heureusement, le dispositif n’inclut pas (encore ?) les appels d’urgence, tels ceux dirigés vers le « 17 – police-secours », ou bien ceux à destination de la police judiciaire ou du service des passeports, mais il n’est pas sans être porteur d’interrogations.

La première d’entre elles vise, effectivement, la notion de gratuité du service public. Cet argument, déjà brandi par certaines organisations policières, est parfaitement légitime. 

La notion d’accès à tous, gratuitement, au service public est un principe fondamental auquel les Françaises et les Français sont particulièrement attachés. Par ailleurs, n’est-ce pas le rôle de l’impôt – dont la France est championne du monde – que de faire face aux dépenses induites par le fonctionnement des services de l’État ? Certes, de telles mesures existent déjà. Ainsi, les communications en direction de la caisse d’allocation familiale de Paris, de la caisse primaire d’assurance maladie ou bien encore de la mairie de Paris connaissent une surtaxation. Oui, mais il ne s’agit pas de services de secours ou d’urgence comme le sont les commissariats de police, par exemple. Si le principe du maintien du coût d’une communication normale peut s’avérer acceptable, celui du surcoût est, lui, parfaitement contestable.
 
 La seconde question concerne les modalités d’exploitation du futur standard centralisé. Il est, ainsi, prévu une augmentation des effectifs concernés, qui passeraient de 30 à 40 fonctionnaires, pour faire face au « rapatriement » de tous les appels non urgents des commissariats parisiens. À un moment où il n’est pas de jour sans que soit dénoncée la pénurie d’effectifs au sein de la police nationale, est-il vraiment judicieux de faire tenir le rôle de standardiste téléphonique à des agents administratifs qui seraient bien plus utiles dans les services actifs de police ? La nature même de la mission qui, rappelons-le, ne concerne que la gestion d’appels téléphoniques non urgents, ne mériterait-elle pas une réflexion plus globale sur une éventuelle externalisation de ce type d’emplois ?
Dans cette affaire, on ne peut que regretter, une fois de plus, le manque de vision, d’appréciation et d’anticipation d’un État qui préfère solliciter et pressurer, encore et toujours, le citoyen-contribuable plutôt que de remettre en cause des pratiques dépassées. 

Olivier Damien

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« Molenbeek-sur-Djihad » : voyage au cœur de la capitale mondiale du terrorisme

On ne présente plus Molenbeek, petite commune bruxelloise auparavant sans histoire et désormais connue mondialement pour avoir pouponné, abrité, caché, hébergé et, dans certains de ses quartiers, célébré des djihadistes ayant semé la terreur dans le monde entier.

Deux journalistes belges, autrefois grands reporters ayant bourlingué dans les plaines afghanes et d’autres contrées en guerre, viennent de sortir un livre éclairant sur la capitale européenne du djihadisme.

Le moins que l’on puisse écrire est que le constat dressé par Jean-Pierre Martin (RTL-TVI) et Christophe Lamfalussy (La Libre Belgique), émargeant d’ordinaire à tout ce qu’il y a de plus politiquement correct (notamment sur la question des migrants), est inquiétant – même si nous ne faisions pas partie, pour notre part, et contrairement à la plupart des journalistes issus des médias traditionnels, des naïfs qui faisaient semblant de ne pas savoir.
La commune de six kilomètres carrés compte 41 lieux de prière, dont pas moins de 25 mosquées où exercent des imams radicalisés et hors de tout contrôle. 

Il n’y a, d’ailleurs, plus guère de place pour la modération au sein de l’entité officiellement patronnée par Saint-Jean.
 Une quarantaine de recruteurs, parmi lesquels une certaine « Fatima Dalton », ayant envoyé son fils au front, sillonnent la commune, de long en large, afin de recruter des candidats au djihad.
Et des djihadistes, l’entité en a fourni en nombre, au point que Mohamed Abrini, l’homme au chapeau des attentats de Bruxelles, aurait déclaré avoir été en Syrie et constaté que « tout Molenbeek y était ». Sur les quelque 500 djihadistes belges partis en Syrie, 79 proviennent de la commune.

En ligne de mire de l’ouvrage, l’ancien bourgmestre de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux, dont la responsabilité est criante dans le développement du djihadisme à Molenbeek : « Sa gestion de la commune de Molenbeek, où il est seul maître à bord et ne supporte pas la contradiction, il favorise l’émergence de petits arrangements et de petits accommodements. »

Le cocktail, auquel sont mêlés la corruption, la délinquance, les trafics en tous genres et le trafic de drogue, mais aussi le chômage de masse (50 % pour les jeunes de 20-25 ans), est explosif.
Les femmes elles-mêmes n’ont pas droit de cité : « Dans le quartier historique, une fille ne peut pas s’attabler seule ou avec un homme à la terrasse d’un salon de thé. »

Cela se passe en Occident, dans la capitale de l’Europe, à quelques kilomètres des institutions européennes. À Molenbeek, la population a déjà été remplacée et les nouveaux occupants y sont déjà pleinement chez eux.

 Gregory Vanden Bruel

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Doubs (25) : 1.248 migrants arrivés en 2016 dans la région

Avec 937 adultes et 311 enfants, les demandeurs d’asile arrivés l’an dernier dans la région représentent l’équivalent en population d’un village comme Arc-et-Senans. Le point sur la situation et leur parcours une fois ici.




Entre le 1er janvier et le 31 décembre 2016, le Doubs a enregistré 800 nouvelles demandes d’asile, dont 607 concernant des adultes et 193 des enfants. La Haute-Saône en a comptabilisé dans le même temps 168, dont 128 adultes et 10 enfants.

Le Territoire de Belfort 143, parmi lesquels 102 adultes et 41 enfants. Et le Jura 137 : 100 adultes et 37 enfants. […]

En Franche-Comté, plus d’un demandeur d’asile sur cinq arrivés en 2016 était Albanais (21,40 %). Viennent ensuite les Syriens (14,72 %), les Irakiens (9,47 %), les Soudanais (7,08 %), les Afghans (6,92 %) et les Kosovars (6,60 %). Les quatre autres nationalités les plus représentées étant les Bosniaques (4,22 %), les Érythréens (3,10), les Russes (2,70 %) et les ressortissants de la République Démocratique du Congo (2,23 %). […]

Au terme de son passage devant le guichet unique, le migrant se voit remettre son attestation de demande d’asile ainsi qu’une carte afin de bénéficier de l’Allocation de Demandeur d’Asile (ADA). Laquelle s’élève à 6,80 € par jour s’il peut être hébergé, 11 € si ce n’est pas le cas.(…)

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