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samedi, 14 juin 2008

Islamisation : un musulman poursuit l’hôpital pour le handicap de son fils qu’il a lui-même provoqué

ishr-burka.jpgRadouane Ijjou retarde les soins pour l’accouchement de sa femme parce que le médecin est un homme… puis réclame à l’hôpital une indemnité pour le handicap qui en a résulté pour son fils Mohamed ! Demande rejetée… jusqu’à quand ?

Le 8 novembre 1998, l’épouse de Radouane Ijjou est en train d’accoucher à l’hôpital de Bourg-en-Bresse. Mais l’accouchement se révèle difficile et une césarienne doit être envisagée. Dans ce genre de situation, chaque minute compte : il faut à tout prix éviter le manque d’oxygène dans le cerveau de l’enfant, ce qui peut entrainer de lourdes séquelles cérébrales. La sage femme, en professionnelle consciencieuse, appelle donc d’urgence l’interne de garde. Oui, mais voilà, le futur père, musulman pratiquant, s’oppose catégoriquement - et physiquement ! - à l’intervention du médecin. Il refuse en effet qu’un homme examine sa femme. Après une demi-heure de palabres, l’interne parvient enfin à intervenir. Mais il est trop tard pour pratiquer la césarienne et il faut recourir aux forceps pour permettre l’extraction de l’enfant. Trente minutes, irrattrapables pour le cerveau du nouveau-né, ont été perdues et le jeune Mohamed, né dans ces conditions, va rester handicapé à 100 %.

Radouane Ijjou « se défend d’être intégriste, il a toujours refusé cette étiquette qu’on a voulu lui coller »

Situation inacceptable pour la famille qui a déposé plainte contre l’hôpital de Bourg-en-Bresse en réclamant une « indemnité provisionnelle de 100.000 euros, et à titre personnel, une somme de 10.000 euros ». La plainte a été rejetée en mai 2006 par le tribunal administratif de Lyon, rejet confirmé le 10 juin dernier par la Cour administrative d’Appel. Les juges ont estimé que « l’état de l’enfant [était] totalement imputable à l’attitude de M. Radouane Ijjou.» En outre, ils ont condamné les plaignants à payer 1.000 euros pour les frais de justice; et ce, malgré la curieuse plaidoirie de l’avocate de la famille, Me Isabelle Damiano, selon qui « l’hôpital aurait dû faire intervenir les forces de police » contre son client, ajoutant que ce dernier « se défend d’être intégriste, il a toujours refusé cette étiquette qu’on a voulu lui coller ». Un simple musulman ordinaire, en somme ? (2)

Cette affaire n’a en soi rien d’étonnant. Elle confirme, d’une part, la judiciarisation d’une société française qui, comme son modèle américain, se tourne de plus en plus fréquemment vers les tribunaux pour tenter de transmuter ses malheurs divers et variés en espèces sonnantes et trébuchantes. Avec pour corollaire une déresponsabilisation de ses membres que révèle le commentaire de l’avocate : « la décision est très dure, on dit à l’enfant qu’il n’a qu’à s’en prendre à ses parents ». Et à qui d’autre devrait-il s’en prendre ? Peut-être au cochon de contribuable qui va devoir mettre la main à la poche pour payer ses soins et sa pension d’invalidité ?

« Il est obligatoire qu’il y ait présence d’une tierce personne au moment de l’examen médical afin que les deux sexes opposés ne se trouvent pas en tête à tête sauf s’il y a urgence »

L’affaire vient, d’autre part, grossir la liste des incidents similaires auxquels est confronté le personnel soignant : un nombre croissant de patientes allogènes ou leurs conjoints refusent l’intervention d’un soignant de sexe masculin, même en cas d’urgence, respect de l’islam oblige. Cela va parfois jusqu’à l’agression physique, comme pour ce gynécologue de l’hôpital Robert Debré à Paris, le 9 Septembre 2006. C’est sans doute pour éviter ce type de « bavures» - mis en lumière en 2003 devant la commission Stasi sur la laïcité (1) – que l’Association des médecins musulmans français rappelle désormais qu’« une soignante peut porter secours à un homme et vice versa, mais il est obligatoire qu’il y ait présence d’une tierce personne au moment de l’examen médical afin que les deux sexes opposés ne se trouvent pas en tête à tête sauf s’il y a urgence ». Laïcité et Diversité, à l’instar de la carpe et de lapin, ne font pas forcément bon ménage…

Mais l’intérêt de l’« accouchement musulman » de Bourg-en-Bresse réside également dans la façon dont il a été relaté par la « grande » presse. Les 1.000 euros que devra verser le père au titre des « frais de justice » (Le Figaro) deviennent une « amende » dans les colonnes du Point, de 20 minutes.fr ou du Nouvel Observateur, autrement dit une peine pécuniaire du droit répressif. Erreur de terminologie diront certains. Pourtant, l’impact psychologique des deux mots est totalement différent, ce qui n’est pas innocent : la participation aux frais de procédure générés par une plainte abusive devient la condamnation d’un homme déjà lourdement frappé par le malheur. L’acharnement judiciaire n’est pas loin.

20 minutes.fr fait très fort en titrant « Condamné pour le handicap de son fils » . Le « gratuit » se contente prudemment d’évoquer des « motifs religieux » en se gardant bien de préciser le nom du père et surtout sa religion. Pas indispensable, sans doute, pour cette dernière : tout le monde l’aura devinée. Mais la palme de la désinformation par omission revient sans conteste au Nouvel Obs qui réussit ce tour de force de passer complètement sous silence le motif religieux invoqué par le père. Encore une chance que celui-ci ne soit pas devenu « Jean Dupont » !

Xavier Merlin pour Novopress France

(1) La commission de réflexion sur l’application du principe de laïcité dans la République, créée le 3 juillet 2003 en pleine polémique sur le voile islamique, a été présidée par Bernard Stasi, celui-là même qui avait publié en 1984 un ouvrage visionnaire d’une rare pertinence : « L’immigration : une chance pour la France ».
(2) Il semble qu’à aucun moment la Cour n’ait prononcé les termes de « secte », de « comportement sectaire » ou de « dérive sectaire ». Pourtant, « Parmi les indices permettant de supposer l’éventuelle réalité de soupçons conduisant à qualifier de secte un mouvement se présentant comme religieux, [la
Commission parlementaire française d’enquête sur les sectes] a retenu, faisant siens les critères utilisés par les Renseignements généraux dans les analyses du phénomène sectaire auxquelles procède ce service et qui ont été portées à la connaissance de la Commission :
• la déstabilisation mentale ;
• le caractère exorbitant des exigences financières ;
• la rupture induite avec l’environnement d’origine ;
• les atteintes à l’intégrité physique ;
• l’embrigadement des enfants ;
• le discours plus ou moins anti-social;
• les troubles à l’ordre public ;
• l’importance des démêlés judiciaires ;
• l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels ;
• les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.
»
Secte en deçà d’un certain nombre d’adeptes, religion au-delà ?

lundi, 09 juin 2008

DIAPORAMA A VOIR, REVOIR ET FAIRE VOIR...

Remarquable réalisation...

Revue de presse : Les dernières élections au CFCM sur fond de règlement de comptes entre Algériens et Marocains

20070810fraterniteinside.jpgLes Marocains du Rassemblement des Musulmans de France (RMF) ont raflé la mise dimanche au conseil d’administration du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), obtenant 43,2 % des votes. Les gros médias francaoui se sont félicités de la participation massive à ces élections (81 %). Précisons que seuls 4.862 délégués pouvaient prendre part au vote, chacune des 1.039 mosquées concernées ayant préalablement désigné un nombre de délégués proportionnel… à sa surface ! Et bien entendu en dehors de tout contrôle démocratique. Petite visite au pays d’Ubu à babouches…

« L’islam au mètre-carré » privilégie les mosquées ouvertes ces dernières années, notamment en banlieue, nombreuses et plus spacieuses. Or ce sont plutôt les Marocains qui ont construit ces mosquées. Selon le ministère de l’Intérieur, ces derniers gèrent environ 40 % des lieux de culte en France alors que les Algériens, bien que plus nombreux, ne « pèsent » que 15 % des surfaces cultuelles.

Le RMF devance l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, soutenue et financée entre autre par l’Arabie saoudite et la mouvance islamiste dure, dans laquelle les Marocains sont également majoritaires), qui a obtenu 30,2 % des votes, suivie par le Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF),12,7 %, une liste “divers”, 12,5 %, et enfin la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF), 1,4 %. Cette dernière, d’obédience marocaine comme le RMF, était la composante la plus importante du précédent conseil d’administration du CFCM. Eclaboussée en 2006 par le scandale des vrais-faux certificats halal révélé par le journal Le Soir d’Algérie, elle avait perdu toute crédibilité.

La Fédération nationale de la Grande mosquée de Paris (FNGMP), présidée par Dalil Boubakeur, soutenue par l’Algérie, s’était retirée d’un jeu qu’elle estimait truqué. Présentant le 22 avril dernier sa démission du comité chargé de veiller à la régularité des élections – comité qu’il a qualifié de « machin » - M. Abdallah Zekri, représentant de la FNGMP, a précisé qu’il ne pouvait « en aucun cas cautionner la fraude pratiquée à grande échelle et les manipulations de certains responsables de Fédérations avec la complicité de leurs membres [qui surévaluent] les surfaces des lieux de culte qui leur sont favorables »

Parlant de « mascarade » et de « mafia de l’islam », M. Zekri a ajouté qu’il entendait « laisser nos frères marocains gérer seuls ces instances et […] régler leurs comptes pour le pouvoir ». Bonjour la fraternité dans l’Oumma…

Depuis la création du CFCM en 2003, le pouvoir avait imposé le « modéré » Boubakeur à la présidence, en dépit du fait que la FNGMP n’a jamais remporté les élections. Trois candidats sont en lice pour prendre les rennes du CFCM après les élections de dimanche : les Marocains Mohamed Moussaoui (RMF) et Fouad Alaoui (UOIF), et le Turc Haydar Demiryurek (CCMTF).

Plus de 75 % de barbus intégristes au CFCM ! C’est Sarko, l’immortel inventeur du « machin », qui doit être content. Chassez le réel…

Henri Dubost pour Novopress France

jeudi, 05 juin 2008

Avec le Festival Arts et Banlieues, Besson enflamme Aulnay...

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«Ça fait trente-cinq ans que je vis ici et je n’ai jamais vu une telle animation sur la place du marché.» Zakia, et les autres mamans, tranquilles sur un banc en marge de la scène, profitent d’un moment rare dans la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Mercredi soir, dès 18h, sur une scène géante, se sont succédé une dizaine de groupes amateurs de hip-hop du quartier, puis d’autres plus célèbres. Les petits, dont certains ne savent même pas qui est Luc Besson, sont descendus parce que «ça fait plaisir de voir toute la cité réunie». Les plus grands pour encourager leur cousin, voir le producteur de Taxi «en vrai», ou écouter leurs idoles.

Programmation tenue secrète

A la nuit tombée, le millier de personnes réunies allait avoir droit à la projection inédite de «Tyson», en arrivage direct du festival de Cannes. La programmation du festival Art et banlieue avait été tenue secrète jusqu’à la dernière minute. «On a une centaine d’artistes qui nous ont dit oui, et puis ça se décide le soir même, on veut pas annoncer Kery James si finalement il annule», nous confiait Luc Besson peu avant de monter sur scène. Le nouveau maire PS de la ville, Gérard Ségura, admettait que «même si tout le monde ne saisit pas forcément la qualité et la stature de quelqu’un comme Luc Besson, le fait de créer l’événement avec le cinéma et le vivier de talents des cités, c’est bien». «Le but de tout ça c’est de tisser du lien, de montrer que l’art n’a ni frontière ni couleur ni religion, ajoutait le cinéaste, en coulisses. Trop de ces banlieues se considèrent abandonnées, et on veut leur apporter réconfort et dignité», renchérissait l’initiateur de la soirée.

«Mettre le feu»

Se sont succédé Sefyu, rappeur aulnaysien qui, l’an dernier encore, tournait sur les scènes amateurs et fait désormais partie des meilleures ventes de disques, le Ghetto Fabulous Gang ou encore la chanteuse Laâm. Los Bledos, trio humoristique du 93, spécialiste des sketches sur les tontons du bled espérait «mettre le feu» avec trois chansons spécialement dédicacées. «Malheureusement, le téléphone arabe n’a pas bien fonctionné, regrettait Zakia. On a vu les barrières hier seulement et il y aurait pu y avoir encore plus de monde.» La ville d’Aulnay avouait aussi que «les contacts ont été pris seulement il y a huit jours, ce qui est trop court pour bien préparer». La spontanéité de Luc Besson, un pari quand même réussi.

 

Source Yanndarc

samedi, 22 mars 2008

LE COUT REEL DE L'IMMIGRATION EN FRANCE...

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Le coût réel de l'immigration en France. 14ème étude publiée par Contribuables Associés réalisée par Jean-Paul Gourévitch,expert international en ressources humaines, spécialiste des migrations.

L’immigration, combien ça coûte ? Ce thème est si lourd d’enjeux politiques que le seul fait de poser la question dérange ou provoque.
Au bout du compte, ce sont pourtant les contribuables qui financent les migrations. Il est donc souhaitable, pour se faire une opinion sur le bien-fondé des politiques conduites dans ce domaine, d’en identifier et d’en évaluer les paramètres financiers

C’est à cet exercice que s’est livré, avec un souci de l’exactitude exempt de tout a priori idéologique, Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines. Dans l’étude que nous publions, il compare les dépenses annuelles que l’Etat consent pour les immigrés (71,76 milliards d’euros) avec les recettes qu’il encaisse de leur part (45,57 milliards d’euros), soit un solde négatif de plus de 26 milliards. Enfin, il évalue les investissements engagés par l’Etat pour contenir les flux migratoires ou faciliter l’intégration des immigrés et de leurs enfants (10,81 milliards d’euros). Au terme de cette analyse, il présente les solutions qui permettraient de réduire les coûts de l’immigration.

 

Source CONTRIBUABLES ASSOCIES