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mercredi, 15 novembre 2017

Le terroriste de Blagnac est membre d’une famille islamiste

Lu sur Actu 17:

Le frère d’Abdellah B., le suspect qui a volontairement renversé des étudiants à Blagnac ce vendredi a été déféré. L’homme est adepte d’un « islam rigoriste ».

L’affaire s’est déroulée dans la nuit de vendredi à samedi. L’homme a menacé avec une arme son colocataire explique La Dépêche.

Âgé de 32 ans, le suspect lui reprochait d’avoir contacté la police pour le dénoncer, suite aux agissements de son frère ce vendredi à Blagnac, interpellé pour tentative d’assassinats après avoir délibérément foncé sur des étudiants.

Interpellé, l’homme a été placé en garde à vue et a été déféré. Le suspect devra répondre ce mardi en comparution immédiate, des faits de « violences volontaires avec arme » indique La Dépêche.

L’individu de 32 ans est radicalisé, mais également « adepte d’un islam rigoriste » selon le média local.

Abdellah B., le conducteur de la voiture bélier a quant à lui été placé en détention. L’homme souffrirait de « schizophrénie » mais nul doute que les enquêteurs vont se pencher sur son entourage, et notamment son frère.

Source

Un immigré africain a touché 150.000 euros d’aides françaises en se faisant passer pour un mineur !

 

 Pas la peine de prétendre qu’il s’agirait d’une fake news diffusée par des sites d’extrême droite. L’information se trouve dans le journal Le Dauphiné qui décrit l’arnaque d’un migrant africain qui a vécu pendant quatre ans et demi sur le territoire français en tant que “mineur isolé”, pris en charge à ce titre par différentes instances, dont le conseil départemental.

Il avait à l’époque fourni un extrait d’acte de naissance attestant de son âge. Sa majorité approchant, il se rend en préfecture pour demander une carte de séjour. Selon le protocole, ses empreintes sont entrées dans le fichier. Le hic, c’est que sa fiche est ressortie avec un tout autre âge. L’homme aurait en fait 26 ans. Sur décision de la procureure de la République, il est envoyé à Lyon pour subir une série d’examens osseux, de la mâchoire et de la clavicule, mais également dentaires. Les résultats ont conforté son âge adulte. Il est donc poursuivi par la justice pour faux document et escroquerie. D’après les premières estimations, il aurait touché autour de 150 000 euros d’aides depuis quatre ans et demi. (…)

 

A votre bon coeur ! ...

 

Source : www.ledauphine.com

Un mouvement anti-islam souille le site de construction d’une mosquée avec du sang de porc aux Pays-Bas

Le mouvement anti-islam Pegida a provoqué l’indignation aux Pays-Bas en souillant dans la nuit de samedi à dimanche avec du sang de porc le lieu où doit être construit une mosquée .

Des membres du mouvement controversé se sont rendus sur le terrain de la future mosquée à Enschede et ont organisé un rituel lors duquel un homme habillé en prêtre a barbouillé à l’aide d’une brosse de toilette une croix en bois installée par ses acolytes, avec du sang de cochon. Les membres avaient également monté une tente qui leur servait « d’église ».

Les auteurs ont ensuite partagé une vidéo de leur « rituel » islamophobe sur Twitter et Facebook. Tôt le matin, la police s’est rendue sur place pour enlever la croix d’après des témoins.

Selon le maire de la ville, Onno van Veldhuizen, il s’agit d’« une action dégoûtante et digne du Ku-Klux clan ». Quatorze personnes auraient participé à ce rituel écœurant.

La nouvelle mosquée d’Enschede devrait être la plus grande des Pays-Bas. Le voisinage s’est opposé pendant longtemps à la construction de la mosquée par crainte des nuisances sonores, notamment lors de l’appel à la prière. Malgré les plaintes des riverains, le conseil municipal a récemment donné son feu vert à la construction de la mosquée qui sera inaugurée, selon les prévisions, en 2020.

Source

Domenico G., le djihadiste "branché combat" qui a voulu aider Abaaoud

Juste après les attentats de Paris, auxquels il a participé, Abdelhamid Abaaoud a pris le métro parisien pour revenir sur les lieux de l'attaque.

 

Après deux ans d'enquête, la justice a mis au jour de troublants liens entre ce Français d'origine italienne et le coordinateur du 13-Novembre. L'Express retrace le parcours de ce djihadiste inspiré "par la mafia napolitaine".

Il était au courant de la préparation des attentats du 13 novembre 2015. Depuis la Syrie, ce djihadiste français a même essayé, les deux jours suivants, d'aider Abdelhamid Abaaoud, le coordinateur des tueries, alors que ce dernier se terrait dans un buisson à Aubervilliers (Seine Saint-Denis). Pour cela, Domenico G. -alias "Abderrahmane al-Italy"- a sollicité, voire manipulé, sa soeur aînée pour qu'elle aille à la rencontre du terroriste. Et lui a fait ainsi courir le risque de devenir complice et de finir en prison.  

Comme l'a révélé Le Parisien, de longues investigations ont été menées ces deux dernières années sur Domenico G., 32 ans, Français d'origine italienne, converti à l'islam en 2012. Elles avaient pour objectif d'éclairer le parcours erratique et l'emploi du temps d'Abaaoud les cinq derniers jours précédant sa mort, lors de l'assaut du Raid à Saint-Denis. 

Un homme prêt à tout, "quitte à sacrifier ses enfants"

L'enquête permet de démontrer que le terroriste a tenté d'activer ses réseaux tous azimuts pour trouver une planque et préparer une nouvelle attaque. Selon l'analyse de l'une de ses lignes téléphoniques belges, Abaaoud a été en contact à de nombreuses reprises avec Anne-Marie G.*, 40 ans, une soeur de Domenico. Cette employée de bar a affirmé aux enquêteurs qu'elle ignorait totalement l'identité de son interlocuteur.  

En fait, c'est son frère Domenico qui l'a incité à prendre rendez-vous avec l'utilisateur du numéro, qu'il a présenté comme "un ami tranquille", sous prétexte de récupérer une somme d'argent. Les policiers pensent qu'il s'agissait d'un subterfuge pour aider Abaaoud -alors en cavale- à se cacher. Malgré les injonctions de son frère et une relance d'Abaaoud par SMS, la rencontre n'aura jamais lieu. Le cadre de Daech trouve finalement du soutien auprès de sa cousine, qui sera tuée en même temps que lui par les policiers. 

Mais Anne-Marie G. est restée traumatisée par l'épisode, stupéfaite du mauvais coup que lui a joué son cadet. Entendue en garde à vue fin novembre 2015, elle a finalement été remise en liberté sans charges retenues contre elle. Elle en a gardé une amertume contre ce frère, "prêt à tout" pour Daech, "quitte à sacrifier ses enfants", selon le témoignage de l'un de ses copains de quartier. 

Le 13 novembre, il appelle ses proches

Pendant un temps, les policiers se sont demandés si Domenico n'avait pas contribué au financement de la cause djihadiste, notamment par le biais de ses allocations familiales. Parti en Syrie dès février 2015, avec sa femme enceinte de cinq mois, "Abderrahmane al-Italy" a continué à percevoir mensuellement des prestations sociales de la CAF de Seine Saint-Denis. 

Le 5 novembre, selon un procès-verbal que L'Express a consulté, son compte bancaire est crédité de 612,44 euros. Plus surprenant, les enquêteurs découvrent, grâce à la vidéosurveilllance, qu'une jeune femme a retiré 450 euros sur le compte de Domenico, le 13 novembre, en fin d'après-midi. Si l'on ignore la destination finale de cette somme, l'enquête révèle que Domenico avait appelé sa soeur, la semaine précédente, pour lui demander de lui transférer en Syrie le montant de ses allocations familiales. Le 13 novembre, toujours, le djihadiste téléphone à plusieurs membres de sa famille. Dans quel but? Mystère.  

Un membre des "garagistes djihadistes" du Val-d'Oise

Sans être considéré comme un membre influent de Daech, Domenico G. est un proche de plusieurs djihadistes français cités dans des dossiers d'attentats. Avant de rejoindre le groupe terroriste, en passant par l'Italie et en prétextant d'ouvrir un magasin de chaussures à Milan, il semble se radicaliser entre 2013 et 2014 au contact du "groupe des garagistes" de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d'Oise). Son casier judiciaire comporte quelques mentions pour des délits de droit commun. 

L'homme est embauché en tant que mécanicien au sein de la société Auto services plus, un repère d'islamistes radicaux. Parmi eux, se trouvent Adrien Guihal, la "voix" ayant revendiqué depuis la Syrie l'attentat de Magnanville (juin 2016), et Macrème Abrougui, dont le nom apparaît dans la tentative avortée d'attaque d'une église à Villejuif (avril 2015). "A partir de ce moment, il regardait assidûment des vidéos de l'Etat islamique, affectionnant Daech, dont il évoquait la nécessité de rejoindre la cause pour combattre à leurs côtés", écrivent les enquêteurs dans un procès-verbal. 

"Pour lui, voler ce n'était pas grave si la victime est non-musulmane"

Très vite, le jeune apprenti prend ses distances avec les fidèles de la mosquée de Villiers-sur-Marne, où il avait ses habitudes. Il trouve ses anciens amis "pas assez pieux" ou leur reproche de fréquenter un institut religieux dont les cours dispensés sont mixtes. "Pour lui, voler ce n'était pas grave si la victime était un non-musulman [...] Domenico reprochait aux 'frères' de côtoyer des 'kouffars'", raconte aux policiers l'un des proches, mis en garde contre son côté "trop extrémiste."  

"Abderrahmane al-Italy" n'est pas très féru de théologie. Selon un autre de ses intimes, "il ne lisait jamais de livres" et passait son temps à surfer sur sa tablette. " Il était vraiment branché combat. La partie théorique ne l'intéressait que peu. Lui, c'était le djihad, les armes, la mafia napolitaine... Tout cela l'inspirait." En parallèle, il participe aux activités de Sanâbil, une association d'aide aux prisonniers musulmans dissoute récemment pour ses liens avec la mouvance djihadiste. 

Aux dernières nouvelles, fautes de renseignement sur son sort lors de la débâcle militaire de Daech en Syrie, Domenico G. est toujours considéré comme vivant. Selon une source judiciaire, il reste visé par un mandat de recherche international. Non pas dans le cadre de l'enquête sur le 13 novembre, mais pour "participation à une association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme". 

* Prénom modifié 

Boris Thiolay et Jérémie Pham-Lê

Source

Ils se sont dit oui !

 

Voilà des clichés qui méritent un concours de légende :

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2 ans après le massacre au Bataclan : "L'islamisme n'est pas une chose grave"

 

MMediapart choisit mal son moment... Mis en cause dans l'affaire Tariq Ramadan, à propos des frasques duquel les journalistes sont accusés d'avoir sciemment fermés les yeux, Jade Lindgaard, co-présidente de la Société des journalistes de Mediapart, refuse de s'indigner contre l'islamisme en invoquant la neutralité journalistique :

"Notre rôle de journaliste n'est pas de dire : ça c'est grave, ça c'est moins grave, ça c'est tragique, ça c'est terrible".

Natacha Polony lui a rappelé les réactions d'Edwy Plenel à la tuerie perpétrée dans la rédaction de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015.

"Dès le lendemain de l'attentat, [ses textes] mettaient en avant l'islamophobie, comme si c'était le contexte d'islamophobie en France qui avait causé les attentats. [...] Edwy Plenel a toujours présenté les faits comme si c'est parce qu'il y avait une forme de 'racisme d'État' en France que des musulmans…"

En réponse, Jade Lindgaard revendique "la notion de racisme d'État", dénonçant un "système généralisé de racisme dans ce pays" : "ça, nous le pensons". Puis assure

"l'islamisme, en tant que tel, n'est pas en soi une chose grave, c'est un phénomène qu'il faut comprendre et expliquer".

Le 13 novembre 2015, des musulmans massacraient à Paris 130 personnes et en blessaient 413 blessés.

La video

Signez la lettre ouverte adressée à M. le Premier Ministre : Il faut un moratoire sur l’immigration!

 

La pétition en cliquant ici

Le prêche de l’imam Macron à Abou-Dhabi

L’avez-vous remarqué ? Lorsque notre bien trop jeune Président dont improvise son visage devient illuminé et sa parole, sinon mystique, un peu déjantée. Il me rappelle Albert Dupontel dans « Président » ou dans « Au revoir là-haut » jouant des personnages hallucinés ou hors-terre !

Hier, c’était dans une tranchée allemande, aux côtés du président Steinmeier où, sachant qu’il était filmé en direct, est parti dans une phraséologie politico-poétique pour expliquer les désastres de la guerre 14-18 et la formidable amitié franco-germanique. Avant-hier, à Abu-Dhabi, devant un parterre d’hommes vêtus de leur dishdash, il a emparé le glaive pour défendre l’islam.

Il inaugurait alors le Louvre des Émirats. Pas une mosquée. Pourquoi donc a-t-il achevé son beau discours intellectuel par cette envolée incompréhensible pour un président français censé défendre nos valeurs traditionnelles face aux valeurs arabo-musulmanes.

« Ce Louvre de la lumière et du désert, c’est ce message envoyé contre tous les obscurantismes, ce courage que vous avez voulu, celui de remettre votre religion dans ce qu’elle a toujours fait et que vous venez de rappeler…Ce message d’un syncrétisme profond, on ne peut pas aimer la religion qui est la vôtre si on ne se rappelle pas que dans cette région tous les grands monothéismes sont nés et que l’islam est né de ce palimpseste de cultures et de civilisations qui font que de manière indétricotable, irréductible, nos religions sont liées, nos civilisations sont liées. ET QUE CEUX QUI VEULENT FAIRE CROIRE, OÙ QUE CE SOIT DANS LE MONDE, QUE L’ISLAM SE CONSTRUIT EN DÉTRUISANT LES AUTRES MONOTHÉISMES SONT DES MENTEURS ET VOUS TRAHISSENT… »

Emmanuel Macron a voulu faire savant, selon son habitude, en appelant à la rescousse de son argument le terme de palimpseste. Mais peut-on lui rappeler que ce mot signifie exactement le contraire de ce qu’il souhaitait dire à cette assemblée de pieux hommes. Un palimpseste, selon le site des Études Littéraires est « un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture afin d’écrire un nouveau texte ». Et c’est exactement ce que Mahomet a fait en rédigeant son Coran. Il a fait un copié-collé de la Torah et de la Bible pour en réécrire de nombreux passages et détruire ainsi les textes saints, originaux.

Alors qui ment effrontément, comme il en a l’habitude derrière un regard bleu regard tourné vers les cieux, le sourire figé ? Qui est celui qui nous trahit pour plaire à une assemblée prête à le suivre dans sa démonstration politico-religieuse ?

Comment Emmanuel Macron peut-il affirmer que l’islam n’a pas, historiquement, conquis une partie du monde au fil du sabre pour imposer sa version revue et corrigée de la Bible et de la Torah ?

Comment peut-il, enfin, faire une propagande éhontée de cette religion-code-de-vie, en reconnaissant que le Coran est la dernière révélation divine, annulant ainsi le passage du Christ sur terre au profit du dernier prophète Mahomet… Et puis dire que les trois religions monothéistes sont nées, ici, en Arabie, c ‘est une fois de plus, pour M. Macron, bien mal connaître la géographie !

Les imams et fidèles musulmans français doivent être fiers de leur Président… Pas nous !

Floris de Bonneville

Source

Ma cathédrale à La Mecque ?

Certains s’en souviennent-ils, il y a bien maintenant plus d’une vingtaine d’années, j’avais lancé la revendication inscrite sur les banderoles de Chrétienté-Solidarité : « Une cathédrale à La Mecque ».

 

Ceci en légitime exigence de réciprocité avec l’islam construisant à Rome une mosquée avec un minaret très élevé. J’avais à cette fin demandé à être reçu à l’ambassade d’Arabie saoudite à Paris. Les deux conseillers qui me reçurent, après m’avoir fait servir un bon café, manquèrent de s’étouffer dans le leur lorsque je leur fis part de l’objet de ma visite. 

 

Les années passèrent et, faute dans l’immédiat de pouvoir espérer une mosquée à La Mecque, je sollicitai alors épistolairement le richissime prince Al Walid Bin Talal Bin Abdulaziz Al Saoud. Ce dernier, pour la plus grande joie de Nicolas Sarkozy, venait de financer au Louvre des salles des arts de l’islam, notamment pour faire passer le message d’un islam de paix et de tolérance. 

 

Avec lui aussi, j’usais d’arguments de la réciprocité. Regrettant, faute de cathédrale, qu’aucune église ne soit construite en Arabie saoudite, je lui demandais d’intercéder pour le moins en faveur de la construction à Ryad du musée d’art chrétien que je sollicitais. Le prince ne me répondit pas.

 

Voilà qu’il a été arrêté et emprisonné dans le cadre de la grande épuration menée par le prince Bin Salman, qui devrait, sauf retournement fâcheux pour lui, bientôt monter sur le trône. Certes un « musée du Louvre » vient d’être inauguré à Abu Dhabi, un des « émirats arabes unis », par Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas en Arabie saoudite et ce n’est pas un musée des arts chrétiens. 

 

Pour l’heure, espérons donc que le probable nouveau monarque, qui annonce une volonté de remise en cause du rigorisme wahabiste, aura à cœur de la concrétiser par la mise enfin en chantier d’une cathédrale à La Mecque ou tout au moins à Ryad ou à Djeddah. 

 

Et de même, en y faisant construire un musée des arts du christianisme. 

 

 

Sur la décision du Conseil d’État de retrait de la croix du monument à Jean-Paul II de Ploërmel.

 

Nous avons eu la joie mercredi dernier d’une belle émission sur Radio-Courtoisie avec Jean-Louis Harouel à propos de son livre « Droite-gauche, ce n’est pas fini ». Jean-Louis Harouel est un éminent juriste, agrégé des facultés de droit et professeur émérite de droit constitutionnel à l’université de Panthéon-Assas.

 

Après l’article de l’avocat Gilles-William Goldnadel qualifiant la décision du conseil d’État de « prétexte juridiquement insensé du respect de la laïcité », il développe pour sa part les raisons de son opposition à cette mesure dans un important article dans Valeurs Actuelles du 9 novembre.

 

Pour cet éminent constitutionnaliste, il s’agit d’une interprétation de la loi de 1905 par des « laïcistes » s’inscrivant « dans l’actuelle chasse hystérique aux crèches et aux croix, qui manifeste une peur panique des traces religieuses de notre histoire et de notre géographie ». 

 

En convergence avec ceci, Monseigneur Jeanbart, l’archevêque grec catholique d’Alep en Syrie, a notamment déclaré : « Votre laïcité est malade ! ».

 

C’est en effet peut-être désormais aux chrétiens de se mobiliser pour une saine laïcité contre les laïcards qui font de leur laïcisme une idéologie de guerre civile.

Source

Prières de rue à Clichy: des responsables musulmans vont porter plainte

L'Union des associations musulmanes de Clichy-la-Garenne (UAMC) va déposer plainte contre X pour violence aggravée après un rassemblement d'élus contre les prières de rue dans cette ville, et contre le maire pour diffamation et incitation à la haine raciale, a annoncé lundi leur avocat à l'AFP.

Une centaine d'élus en écharpe tricolore ont tenté vendredi dans cette ville des Hauts-de-Seine d'empêcher des fidèles musulmans de faire leur prière dans la rue. Ces fidèles protestent contre la fermeture en mars de leur lieu de culte en centre-ville.

"Il est patent que les élus qui manifestaient (...) ont commis des actes de violence à l'encontre des personnes de confession musulmane, avec pour unique raison leur appartenance vraie ou supposée à cette religion", est-il écrit dans la plainte contre X qui sera déposée auprès du parquet de Nanterre et dont l'AFP a eu une copie.

La plainte va aussi être déposée pour "participation à un groupement formé en vue de la préparation d'actes de violences" et "manifestation illicite".

L'UAMC a en outre décidé d'attaquer le maire de Clichy-la-Garenne, Rémi Muzeau (LR), pour diffamation et incitation à la haine raciale.

L'association reproche à l'édile d'avoir porté des accusations graves à l'encontre des musulmans de sa ville, sur LCI vendredi dernier.

"Il y a eu des prêches en arabe, des prêches avec des appels au meurtre", avait-il assuré. "Il y a eu aussi des documents qui ont été mis dans la rue, qu'on a récupérés, avec des phrases terribles où on disait +si vous rencontrez un juif, tuez-le+, j'ai les documents", avait-il poursuivi.

Par ces propos, M. Muzeau a éveillé "un sentiment de haine et de crainte envers la communauté musulmane", détaille la plainte.

La manifestation des élus contre les prières de rue est "une manipulation de la droite et de l'extrême-droite visant à stigmatiser les musulmans", a assuré l'avocat de l'UAMC, Arié Alimi, à l'AFP.

Depuis mars, l'UAMC a été expulsé de sa salle de prière par la mairie qui souhaite y construire une médiathèque.

Le lieu accueillait jusqu'ici entre 3.000 et 5.000 fidèles d'après les responsables. Ils s'étaient vu proposer un autre lieu de culte, les Trois-Pavillons, géré par une autre association cultuelle à 1,5 km du centre-ville. L'UAMC juge cette mosquée excentrée, trop exiguë et ne respectant pas les normes de sécurité, ce que le maire récuse.

Source

mardi, 14 novembre 2017

L’extrême-gauche est-elle mêlée à l’émeute de ce 11 novembre à Bruxelles ?

La question mérite d’être posée lorsqu’on lit certaines déclarations policières qui parlent d’actions bien organisées.

Mais aussi à la vue d’une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux et lors de laquelle s’exprime un certain Jalil Bourhidane…pour dénoncer les violences policières, bien sûr. Et de son propre aveu, lors de cette déclaration, il se trouve tout près des incidents qui ont éclaté dans le centre de Bruxelles, le week-end dernier.

Il faut quand même savoir que l’intéressé est aussi un activiste gauchiste puisqu’il milite au sein des JOC, groupe activiste et violent bien connu.

A gauche sur les photos ci-dessous, vous pouvez voir l’intéressé le 11 novembre dernier. A droite, le même lors d’une manifestation musclée en 2012 (notez son sympathique ami masqué à ses côtés).

Alors bien sûr, nous ne disons pas que lui-même ait fait quelque chose de délictueux. Nous constatons simplement sa présence sur les lieux, le fait qu’il est un activiste connu et que peut-être il n’était pas le seul présent ce soir là !

Le site NATION

60 000 manifestants d’extrême droite défilent en Pologne

 

Document lourd dont video, cliquez ici

Lausanne : la gauche manifeste pour ses clandestins

« Une centaine de personnes se sont réunies vendredi soir à Lausanne pour demander plus de lits pour les sans-abri. La moitié d’entre eux ont symboliquement passé la nuit dehors, sur les marches de l’église Saint-Laurent.

[…] Parmi eux se trouvaient des membres de plusieurs associations, notamment les collectifs R, Jean Dutoit ou encore La Maraude, mais aussi des SDF venus défendre l’idée que personne ne doit dormir dehors en plein hiver. 50 à 100 personnes dorment dans la rue… » [cliquez ici]

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[…] « Le tract distribué aux passants dénonce la police qui «brutalise» les sans-abri et rappelle: «Chaque nuit, le lieu d’hébergement d’urgence Sleep-in à Renens, plein à craquer, est obligé de refuser 40 à 100 personnes. La Marmotte aussi doit refuser du monde, au point qu’un grand nombre d’hommes, de femmes et des mineurs se retrouvent dehors.»

Ce premier “Sleep’Out Lausanne” a été mis sur pied par diverses organisations actives pour les personnes sans-abri ou dans les milieux de l’asile. On peut citer, notamment, La Maraude Lausanne, le Collectif R, le Collectif Jean Dutoit, mais aussi solidaritéS, SOS Asile Vaud, le Collectif vaudois de soutien aux sans papiers ou encore L’armoire à couverture. » [cliquez ici]

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Cenator : Cette manifestation est organisée par l’extrême gauche avec le soutien de l’armada des associations venant en aide aux migrants (un véritable business dont beaucoup tirent considération et espèces sonnantes et trébuchantes).

Pourtant, aucune ville au monde – quiconque en douterait est invité à essayer de prouver le contraire – ne fait plus que Lausanne pour « ses migrants».

Lausanne est la seule ville au monde où la nourriture, chaude et froide, est servie 365 jours par an aux trafiquants de drogue, et cela sur le lieu même de la vente criminelle. Cette perversité se passe à la place Chauderon, vers 23 heures, elle est organisée par La Maraude, afin que les dealers n’aient pas à marcher 10 minutes pour rejoindre les locaux de la soupe populaire. (Les pauvres : ils devraient, sinon, interrompre leur « travail » durant 20 minutes, en comptant l’aller et le retour.)

Et les besoins en aide pour les assistés augmentent exponentiellement, les coûts avec.

La Maraude, les soupes populaires, les lieux d’hébergement subventionnés, les services médicaux dédiés aux soins gratuits pour les migrants, les infirmières, les coiffeurs, les dentistes (pensez-y lorsque vous payez la facture de votre dentiste), les pédicures, les lieux d’accueil de jour avec divertissement (sic), les repas, l’armada des assistantes sociales… rien ne suffit!

Et il y a encore des manifs organisées pour faire du foin, car l’effet « pompe aspirante » de cet assistanat sans limite assure que les besoins croîtront à jamais… ou plutôt jusqu’à ce que Lausanne et ses contribuables se soient définitivement noyés dans la délinquance, la saleté, les dettes et le chaos !

Voici une liste non exhaustive des instances d’aide aux « migrants », dans cette usine à gaz d’assistance, où la domination de la gauche est totale.

Tout espoir de changement avant le naufrage final est vain, à cause du remplacement de population très avancé à Lausanne et environs et parce que tout ce nouveau beau monde vote massivement à gauche !

Aide sociale d’urgence

«L’objectif du dispositif? Aider chaque année plus de 2’000 personnes sans revenu et souvent sans logement à survivre à Lausanne. Leur procurer un lit, un repas et des soins médicaux.»

Le dispositif d’aide sociale d’urgence comprend:

  • Les hébergements nocturnes d’urgence (La MarmotteSleep-In et, en hiver, l’Abri PC), soit 55 lits en été et 120 en hiver.
  • Des espaces d’accueil de jour pour les personnes marginalisées ou vivant dans la précarité comme le Passageet l’Espace. A l’Espace, diverses prestations sont proposées telles qu’orientation, consigne à bagages, permanence infirmière et la possibilité d’utiliser le lieu comme adresse postale.
  • La distribution de nourriture, par l’intermédiaire de la Fondation Mère Sofia, laquelle offre via la Soupe populaire un repas chaud à plus de 200 personnes chaque soir et via l’Echelledes colis alimentaires en faveur des personnes les plus précaires à Lausanne, mais aussi par le financement de la Centrale alimentaire région lausannoise (CARL– Caritas Vaud), laquelle redistribue les invendus des supermarchés à 28 associations actives dans la distribution de repas et de nourriture et l’accueil de personnes défavorisées.
  • L’accès aux soins de premier recours (consultations infirmières, médicales, dentaires, hygiénistes et d’ostéopathie) ainsi qu’à des prestations d’hygiène (douches, lessives), prestations délivrées par Le Point d’Eauet garanties à toute personne présente à Lausanne sans couverture d’assurance maladie.
  • [cliquez ici]

***

Le Collectif R et le Collectif Jean Dutoit, pour défendre tous les clandestins, militent pour l’obtention d’un permis pour chacun de leurs protégés, les cachent en cas d’ordre d’expulsion, etc., etc.

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Espace d’accueil de jour

Le SSL(Service social de Lausanne) offre à toute personne marginalisée ou vivant dans la précarité un espace d’accueil et d’orientation (appelé l’Espace), ouvert toute l’année.

Ce lieu, sans tolérance de consommation d’alcool, est géré par une équipe d’intervenants sociaux du SSL. L’Espace est ouvert à toutes les personnes cherchant un lieu d’accueil pour la journée, les matins entre 9h00 et 12h30 du mardi au vendredi ainsi que les samedis de 9h00 à 11h30. Des boissons chaudes, froides et de petites collations sont servies aux usagers. Un certain nombre de prestations y sont proposées, tel qu’orientation et conseils, une consigne à bagages, la possibilité d’utiliser le lieu comme adresse postale, une permanence infirmière tous les mardis matins et la possibilité de réserver des nuitées en hébergements d’urgence par le biais du Bureau des Réservations, Place Chauderon 4 (ouvert de 8h30 à 11h00 du mardi au vendredi et de 13h00 à 15h00 les samedis en période d’hiver, et de 8h30 à 11h00 les mardis et jeudis ainsi que de 13h00 à 15h00 en période d’été).

Les mardis, mercredis et vendredis entre 14h00 et 17h00 ainsi que les samedis de 15h30 à 17h00, un accueil individualisé est organisé, permettant à toute personne ayant besoin d’une orientation ou d’un conseil d’ordre administratif ou social d’être aidée personnellement. Ces permanences sociales sont sans rendez-vous. Pendant cette période, l’Espace est fermé à l’accueil libre; seules les personnes ayant une demande particulière sont reçues.

Des animations encadrées par les intervenants sociaux sont également proposées  ponctuellement : discussions, jeux, projections de film,… Une inscription préalable est nécessaire pour pouvoir participer à ces animations.

Enfin, les intervenants sociaux de l’Espace assurent une permanence de rue quotidienne sur la place de la Riponne. Ils y détectent et orientent les personnes susceptibles de pouvoir bénéficier des prestations offertes par l’Espace d’accueil.

Résultats attendus

L’Espace répond au besoin de socialisation, d’accueil, d’orientation et d’écoute des personnes vivant dans la précarité en ville de Lausanne.

Les usagers ont la possibilité de bénéficier d’un accueil et de collations, de permanences infirmières hebdomadaires, d’une consigne à bagages ainsi que d’une adresse postale pendant l’accueil libre, les matins. Ils bénéficient d’un accompagnement individualisé administratif et social ainsi que d’animations les après-midis.

Le Bureau des réservations (Place Chauderon 4) permet aux personnes sans abri de réserver à l’avance une place en hébergement d’urgence, permettant à ces personnes de savoir à l’avance où elles dormiront les nuits à venir.

[cliquez ici]

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Liste des associations de migrants :

Action Chrétienne d’Assistance

Alliance pour la solidarité et le partage en Afrique

Amicale des Burundais du canton de Vaud

Amicale des réfugiés et rapatriés d’Afrique du Nord en Suisse – ARRAN-Helvetia

Amis de la culture latino-américaine et d’Inecla – AMICLA

Amis du Liban

ARCH-Interculturel

Asociación Cultural Galega A Roda

Asociación Venezolana-Suiza – AVES

Associação de pais e encarregados de educação de Lausanne e arredores – APEELA

Association Africaland

Association Afrique cinémas

Association Afro-Brésilienne

Association Artistique-Culturelle Teuta

Association Assak-Kisanga

Association Barrio Latino

Association Bolivienne à Lausanne

Association Bouafon

Association Calabash

Association Casona Latina

Association colombienne des chercheurs en Suisse – ACIS

Association Coopération Brésil

Association Cult’Africa

Association Culturelle Angolaise de Lausanne – A.S.C.A.L.

[…]

Bangladesh Awami League Lausanne, Switzerland

Bangladesh Brihottor Comilla Co-operative Society Lausanne

Centre Catalan de Lausanne

Centre Culturel Bosnie-Herzégovine

Centre Culturel des Alevis Anatoliens de Lausanne

Centre culturel du Kurdistan

Centre culturel et sportif chilien Los Andes

Centre interculturel Atelier Casa Mundo

Centre Islamique Al-Hikma « Fondation la Sagesse»

Centre islamique Assalam

Centre Islamique de Lausanne

Centre islamique de Prélaz Al-Boukhari

Centro Español de Bussigny

Cercle bolivien de Lausanne

Cercle socioculturel Afrique – Suisse

Cercle sportif rwandais et amis

CF Atlantica Lausanne

Chiesa evangelica valdese – Eglise réformée de langue italienne

[…]

FC Azzurri 90

FC Chile Sport

FC Dardania

FC Espagnol Lausanne

FC Guarandingas

FC Lusitano

FC Sport Lausanne e Benfica

Fédération des Africains du canton de Vaud

Fédération des associations d’étudiants

Forum congolais d’actions

Générations Partage

Ghana Youth Association

Grupo de Teatro Español de Lausanne

Indian Association Lausanne

Ingénieurs du Monde – EPFL

INMISUISSE (Inter-Migrant-Suisse)

Iran – Berceau des Mille et Une cultures

[…]

Société Romande des Alsaciens et Lorrains

Somalie Ogaden Juba Land – Association humanitaire et des droits de l’homme en Suisse

Staff Music Unic

The International Women’s Club of Lausanne

Union des Anciens Combattants Français

Union Portugaise de football

Voix d’Exils

Article paru sur le site LesObservateurs.ch.

Bruxelles : complète réussite de la conférence-débat de NATION !

 

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Source Nation cliquez ici

La conférence-débat organisée ce samedi 11 novembre à Bruxelles fut un TRES GRAND succès !

Au point que le local ou il se déroulait était bien trop petit pour accueillir les dizaines de personnes venues écouter les orateurs qui, pour rappel, étaient Alain Escada, Roland Hélie, Thomas Joly, Frédéric Renson et Hervé Van Laethem.

Outre l’affluence, on se souviendra aussi du déplacement des participants de la gare vers le local aux cris de « On est chez nous » ou encore « Nous voulons, nous sommes la résistance nationale ». Déplacement sous lourde surveillance policière mais qui s’est déroulé sans incident. Il s’agissait en effet ici de militants identitaires et solidaristes et pas de « racailles » du type de celles qui ont dévasté le centre de Bruxelles le soir même.

Au niveau de la conférence-débat en elle-même, elle fut aussi une réussite, tant au niveau technique (ainsi un écran permettait de la suivre en direct dans une autre salle) qu’au niveau des orateurs qui ont tous défendus avec brio et talent leur point de vue.

A l’issue de la conférence, l’ensemble du public a d’ailleurs manifesté sa satisfaction… la soirée de camaraderie durant fort tard.

Tous les jours un peu plus, le Mouvement NATION démontre qu’il est la seule force patriotique dynamique et structurée de Belgique francophone ! Un grand merci à tous : ceux qui ont mobilisé, ceux qui ont réalisé le travail audio-visuel, ceux qui ont tenus les stands, ceux qui ont fait le service d’ordre, ceux qui on collé la semaine précédente, ceux qui sont montés de garde, ceux qui ont fait le service… et tous les autres que nous aurions oublié ; cette réussite fut la vôtre !

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De nombreux jeunes camarades belges sont venus

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Beaucoup de militants rassemblés devant le local bruxellois de Nation

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Roland Hélie, Alain Escada et Thomas Joly

Samedi prochain, mobilisation de Génération identitaire dans toute l'Europe

 

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Prières de rue à Clichy : des images du face à face tendu entre musulmans et élus

 

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Quand le halal monte en gamme

 

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“Foutez le camp avec vos réfugiés” : des dizaines de milliers de nationalistes défilent en Pologne

Immigration: 300.000 étrangers en situation irrégulière en France

Il n'y a « aucun mystère dans les chiffres de l'immigration ». Pressé par les députés de droite et d'extrême droite, lors d'un débat à l'Assemblée nationale consacré au budget 2018 de l'immigration, Gérard Collomb a été poussé à donner un certain nombre de précisions sur ce sujet sensible.

« Nous pensons que nous sommes autour de 300.000 personnes en situation irrégulière », a-t-il indiqué, et « nous essayons de mener une politique pour que ceux qui sont  déboutés du droit d'asile puissent être l'objet d'une obligation de quitter le territoire ».

Le nombre de personnes en situation irrégulière est généralement apprécié par le biais des bénéficiaires de l'Aide médicale d'Etat.

L'éloignement en hausse

 « En septembre 2017, sur les éloignements nous sommes en hausse de 6,5 % » et « la hausse est de 124 % » pour les « dublinés », qui sont censés retourner vers le pays européen où ils ont laissé une trace, a indiqué le ministre.

Relancé sur les questions de régularisation, le ministre de l'Intérieur a assuré qu' « il y aura toujours des régularisations qui se feront au cas pas cas ». Mais « si vous me demandez si la priorité est d'avoir une régularisation massive, la réponse est non », a-t-il ajouté, expliquant que la priorité était « d'empêcher qu'un certain nombre de migrants économiques puissent venir » avec des accords avec les pays d'origine notamment.

« Mesures drastiques »

« Je me rendrai en décembre au Niger et dans un certain nombre d'autres pays », en soulignant que d'ores et déjà grâce aux « mesures drastiques » prises par les autorités nigériennes, « la grande route des migrants » qui passait par Agadez au Niger « n'est plus empruntée ».

Le projet de loi prévoit une hausse de 26 % à 1,38 milliard d'euros des crédits de la mission « immigration, asile et intégration » car « nous voulons une meilleure intégration » des réfugiés, via notamment l'apprentissage du français, le logement ou l'insertion sociale et professionnelle, a rappelé Gérard Collomb.

Le gouvernement souhaite aussi « raccourcir les délais d'examen de la demande d'asile » qui sont « bien trop longs » aujourd'hui, avec la création de 15 postes à l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), de 35 à l'Ofii (Office français de l'immigration et de l'intégration) et de 51 à la Cour nationale du droit d'asile (CNDA).

Source: les echos.fr

Source

lundi, 13 novembre 2017

Complète réussite de la conférence-débat de NATION !

La conférence-débat organisée ce samedi 11 novembre à Bruxelles fut un TRES GRAND succès !

Au point que le local ou il se déroulait était bien trop petit pour accueillir les dizaines de personnes venues écouter les orateurs qui, pour rappel, étaient Alain Escada, Roland Hélie, Thomas Joly, Frédéric Renson,et Hervé Van Laethem.

Outre l’affluence, on se souviendra aussi du déplacement des participants de la gare vers le local aux cris de « On est chez nous » ou encore « Nous voulons, nous sommes la résistance nationale ». Déplacement sous lourde surveillance policière mais qui s’est déroulé sans incidents. Il s’agissait en effet ici de militants identitaires et solidaristes et pas de « racailles » du type de celles qui ont dévasté le centre de Bruxelles, le soir même.

Au niveau de la conférence-débat en elle-même, elle fut aussi une réussite, tant au niveau technique (ainsi un écran permettait de la suivre en direct dans une autre salle) qu’au niveau des orateurs qui ont tous défendus avec brio et talent leur point de vue.

A l’issue de la conférence, l’ensemble du public a d’ailleurs manifesté sa satisfaction…la soirée de camaraderie durant fort tard 

Tous les jours un peu plus, le Mouvement NATION démontre qu’il est la seule force patriotique dynamique et structurée de Belgique francophone !

PS : Un grand merci à tous : ceux qui ont mobilisé, ceux qui ont réalisé le travail audio-visuel, ceux qui ont tenus les stands, ceux qui ont fait le service d’ordre, ceux qui on collé la semaine précédente, ceux qui sont montés de garde, ceux qui ont fait le service…et tous les autres que nous aurions oublié ; cette réussite fut la vôtre !

D’AUTRES PHOTOS SUIVRONT TRES BIENTOT !

Emeutes à Bruxelles : une autre forme de terrorisme ?

NATION condamne bien entendu les véritables émeutes ethniques provoquées par des bandes de jeunes d’origine immigrée.

NATION marque son soutien aux 22 policiers blessés et espère qu’ils se souviendront de qui les agresse, la prochaine fois que leurs chefs leur demanderont d’arrêter des militants identitaires manifestant sans violence.

A la vue des témoignages repris à la télévision, il semble que les commerçants visés l’ont été en fonction de leur non-appartenance à la communauté maghrébine. Serait-ce le début de l’épuration ethnique du quartier Lemonnier ?

D’autre part, la police parle de groupes organisés venus pour la casse. On peut raisonnablement se demander si certains activistes islamistes ne seraient pas en train d’organiser une nouvelle forme de terreur dans nos villes !

Quoi qu’il en soit, ce qui s’est passé hier montre bien que le « multiculturel », ça ne marche pas. Ce sont des jeunes issus de la QUATRIEME génération d’immigration qui se sont rendus coupables de ces violences.

Cela montre aussi qu’il est plus que temps que nos concitoyens marquent leur refus du chaos et de la violence en faisant émerger électoralement une force politique identitaire, résolue et qui n’aura pas peur du politiquement correct ! Cette force, c’est NATION !

Épernon (28) : Mohamed condamné à 6 ans de prison pour le meurtre d’Érick

Mohamed Boukayouh a été condamné à 6 ans de prison ferme, pour les violences ayant entraîné la mort d’Erick Mosnier, le 3 février 2012, à Epernon. Des conflits de voisinage pourraient être à l’origine de la rixe. Il est arrêté à la sortie de l’audience et placé en détention. L’une des questions que vont se […]

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Caserta (It) : un migrant met le feu au centre d’accueil, un responsable lui tire dessus

D’abord un migrant tente de mettre le feu au centre d’accueil, puis un des membres du consortium qui gère la structure ouvre le feu avec le canon et le blesse en tirant à la bouche. (…) Des heures de panique ont eu lieu à Aversa, dans la province de Caserte, où dans le centre d’accueil […]

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Toulon le 29 novembre : L'Islam un défi pour l'identité chrétienne

 

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Manifestation patriotique en Pologne

 

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont participé samedi à Varsovie à une marche patriotique à l'occasion de la Fête de l'Indépendance, commémorant la renaissance de l'Etat polonais en 1918. Le mot d’ordre officiel et rassembleur était «Nous voulons Dieu». Pour comprendre ce mot d’ordre, il faut savoir que les milieux nationalistes qui organisent cette marche sont majoritairement catholiques. Les participants sont majoritairement catholiques et affichent des positions patriotiques, conservatrices et pro-vie.

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Le retour des djihadistes est une hérésie qui pourrait nous coûter cher

Imaginons un instant que Salah Abdeslam soit jugé en Arabie saoudite ou en Afghanistan. Admettrions-nous cette aberration sans broncher ? Sans doute pas. Aussi, cette question de plus en plus prégnante du retour des djihadistes sur le sol national n’a pas lieu d’être : ils doivent être jugés dans les pays où ils ont commis leurs atrocités, à savoir la Syrie et l’Irak ; peu importe le sort qui leur sera réservé.

« Interrogé à ce sujet par France 2 mercredi 8 novembre, puis par des journalistes lors d’une conférence de presse ce jeudi 9 novembre à Dubaï (Émirats arabes unis) sur [leur] sort » (Valeurs actuelles), Emmanuel Macron a eu une réponse pour le moins laconique : « Il y en a qui peuvent revenir sans qu’ils soient rapatriés, il y en a qui peuvent être rapatriés, et il y en a qui seront jugés avec leurs familles, dans certaines circonstances, dans les pays où ils sont, en particulier l’Irak. »

Quant aux femmes – nombre d’entre elles ayant volontairement rejoint les rangs de Daech – et leur progéniture, chaque situation sera examinée « au cas par cas en fonction de la situation », a encore déclaré le Président français, ajoutant que « tout ce qui a été commis fera l’objet d’un jugement », nettement plus clément chez nous, où la peine de mort est abolie.

L’autre avantage, pour les djihadistes combattants qui ont – et auront, d’ici là – réussi à rentrer en France, c’est que notre pays n’extrade pas ses ressortissants. D’où, certainement, le vœu de ces fanatiques – entraînés à se battre et à haïr notre mode de vie occidental – d’être jugés par des tribunaux français car, au bout du chemin, ce sera la perpétuité toute relative, dans le pire des cas, et l’assurance d’être traités avec humanité dans les prisons françaises.

Mais ça, c’est en théorie puisque, « selon les chiffres du gouvernement datant de fin octobre, tous les djihadistes revenus en France n’auraient pas été mis en prison » (op. cit.). Pire : sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles. Et là, on ne parle pas de ceux qui pourraient être rapatriés ou qui seraient passés en dessous des radars des services concernés.

 Ces « citoyens » ne vont certainement pas abandonner leurs convictions par magie et l’on peut craindre qu’ils exporteront le djihad ici-même, sans compter les disciples qu’ils rallieront à leur cause.

Dans ce cas précis, ne pourrait-on pas nous asseoir sur notre bienveillance niaise, remettre ces assassins de masse aux autorités irakiennes et syriennes et les abandonner à leur sort ?

En ce qui concerne les enfants (une fois n’est pas coutume), j’abonde dans le sens d’Emmanuel Macron : « Ils font l’objet, d’ores et déjà pour ceux qui sont revenus et ceux qui reviendront, d’une procédure toute particulière et d’un suivi très particulier, en particulier sur le plan médical et psychiatrique. » À condition que leur garde soit définitivement retirée à des parents aussi mortifères.

Charles Demassieux

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Nicolas Dhuicq : « En psychiatrisant le terrorisme, on évite de poser les questions qui fâchent »

Vendredi après-midi, à Blagnac, près de Toulouse, un conducteur a foncé volontairement sur un groupe de personnes rassemblées devant une école de commerce. Interpellé par les forces de l’ordre, placé en garde à vue, l’individu est connu pour des antécédents psychiatriques.


Boulevard Voltaire a interviewé Nicolas Dhuicq, maire de Brienne-le-Château, mais aussi docteur psychiatre, au sujet de ce fait divers, de la situation de la psychiatrie en France. L’occasion, pour lui, de revenir sur cette idée, que l’on trouve notamment chez le ministre de l’Intérieur actuel, que le terrorisme serait une maladie comme une autre.

Le document audio en cliquant ici

Du sursis pour une tête de sanglier devant une mosquée

Deux jeunes habitants de Pont-de-Beauvoisin (Isère) ont été condamnés aujourd'hui à 3 et 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu pour avoir accroché une tête de sanglier à la porte de la petite salle de prière musulmane de leur village.

Les deux jeunes de 20 et 22 ans étaient poursuivis pour provocation à la haine raciale en lien avec la religion. Les deux jeunes hommes avaient reconnu les faits en garde à vue puis lors de l'audience en septembre, plaidant une "mauvaise blague" sur fond de soirée trop alcoolisée.

Fin juillet, circulant dans une voiture avec trois autres amis, ils avaient percuté un sanglier. Après avoir ramassé l'animal mort, ils l'avaient dépecé et congelé la viande. Quant à la tête, l'un des prévenus avait proposé de la déposer devant la salle de prière qui, sans aucun signe ostentatoire, est toutefois connue de tous dans ce village de 3500 habitants du Nord-Isère.

Seul le jeune homme compère de 23 ans avait suivi l'idée, tandis que les trois autres s'étaient désolidarisés de l'entreprise. Au matin, des fidèles estomaqués avaient fait la sanguinolente découverte en venant pratiquer leur culte. L'enquête n'avait pas mis 48 heures pour retrouver les auteurs de cette provocation, un délit passible de cinq ans d'emprisonnement.

Outre la peine de prison avec sursis, les deux coupables devront verser 2000 euros à l'Association du Juste milieu, qui gère le lieu, et 2000 euros à l'association de défense des droits de l'homme-collectif contre l'islamophobie en France, qui s'étaient toutes deux constituées parties civiles. Ils devront aussi payer 1000 euros de frais de justice. Enfin, un communiqué exposant leur condamnation sera affiché à proximité de la porte de la salle de prière.

dimanche, 12 novembre 2017

Islam, immigration, terrorisme : « La guéguerre des sociologues »

Les disputes incessantes entre les « analytiques » et les « combatifs », notamment sur l’islam en France, l’immigration, la religion et le terrorisme, offrent un spectacle affligeant, estime Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».

C’est une guerre intellectuelle dont les protagonistes s’envoient du mépris en guise de roquettes. Le champ de bataille est celui de la sociologie et les acteurs des sociologues. Les deux camps s’affrontent sans dialoguer. Leurs joutes sont pourtant passionnantes, par des livres, articles ou interventions dans les médias, qui sont deux façons d’analyser la société. Tous les sujets y passent. Mais ils ne voient pas la même chose. Mais alors pas du tout.

D’un côté, il y a les sociologues scientifiques ou analytiques, qui disent laisser leurs convictions au vestiaire pour décrypter la société. De l’autre, les sociologues engagés ou critiques, pour qui nos institutions sont d’abord une machine à fabriquer des puissants et des faibles, des oppresseurs et des opprimés. A les écouter, les scientifiques seraient les complices de la droite, les autres de la gauche radicale.

L’opposition est vieille comme la sociologie. Mais elle revient au galop. C’est le seul camp analytique qui rouvre les hostilités. Gérald Bronner et Etienne Géhin viennent de signer Le Danger sociologique (PUF, 244 p., 17€), qui fait polémique (« Le Monde des Livres » du 6 octobre). Le prochain numéro de la revue Le Débat, en librairie le 23 novembre, contient un dossier dont le titre est du même tonneau : « La sociologie au risque d’un dévoiement ». Les contributeurs sont Bronner et Géhin, Dominique Schnapper, Olivier Galland, Pierre-Michel Menger et Nathalie Heinich. Un colloque devait prolonger en décembre le débat – il a été ajourné.

Ces auteurs s’inquiètent du poids pris par la sociologie engagée à l’université ou ailleurs, notamment chez les jeunes chercheurs. Ils sont effarés par la façon dont sont menées les enquêtes, la façon dont « les combattants » font parler les statistiques, manient le sophisme, font l’impasse sur les questions qui dérangent leurs convictions, oublient de citer des publications qui les contredisent. […]

Le Monde

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