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vendredi, 26 janvier 2018

Futures élections en Italie : les évêques contre les nationalistes et les identitaires

Les évêques italiens sont comme les évêques français : des collaborateurs du Grand Remplacement !

Hier, lundi 22 janvier 2018, le cardinal Gualtieri Bassetti, l’actuel président le la Conférence épiscopale italienne (CEI), est entré de plain-pied dans la politique italienne et les futures élections parlementaires qui auront lieu le 4 mars 2018.

Lors de son discours d’ouverture du Conseil épiscopal permanent qui se tient jusqu’à jeudi prochain, il s’est aligné sur la doxa immigrationniste et immigrophile du pape François. Et a sévèrement critiqué toute position un tant soit peu nationaliste. Dans son viseur le parti de Matteo Salvini, la Ligue (La Lega), et ses positions identitaires. Tout particulièrement il a pointé du doigt les récentes déclarations d’un ligueur,  Attilio Fontana, ancien président du Conseil régional de Lombardie, qui le 15 janvier dernier s’était exprimé vigoureusement sur l’identité  :

« Nous ne pouvons accepter tous les immigrés qui arrivent : nous devons décider si notre ethnie, notre race blanche, notre société doivent continuer à exister ou doivent être effacées. »

Pour Mgr Bassetti, ces paroles sont intolérables et le ramènent aux heures les plus sombres de l’histoire italienne :

« Il faut réagir à une culture de la peur qui, même si elle est parfois compréhensible, ne peut se transformer en xénophobie ou carrément évoquer des discours sur la race que nous pensions enterrés définitivement. Ce n’est pas en fermant les portes que s’améliorera la situation du pays. »

Et a-t-il ajouté « en faisant siennes les paroles à Paul VI »  :

« Face à l’obstacle du ‘racisme’ qui empêchait d’édifier ‘un monde plus juste et plus structuré selon un solidarité universelle’ Montini évoqua la ‘charité universelle qui embrasse tous les membres de la famille humaine’. Et nous-aussi aujourd’hui, au nom de Dieu et de la justice, nous pouvons nous reconnaître avec joie comme frères et sœurs d’une unique famille humaine. »

Il a donc exhorté les évêques à convaincre les Italiens « d’aller voter avec un sens de responsabilité par rapport à la communauté nationale » tout en soulignant « la valeur démocratique du vote ». Aller voter mais pas la Ligue qui est contre l’immigration, tel est en substance le message à diffuser !

Futures élections en Italie : les évêques contre les nationalistes et les identitairesMais comme il n’est pas à une contradiction près, – la contradiction est certainement la marque de fabrique la plus visible de ces évêques conciliaires inconditionnels d’une marmelade de concepts sentimentaux et hétérodoxes -, il s‘est plaint juste après du trop grand nombre de jeunes italiens, qui à cause de la pauvreté et de la situation économique, sont « contraints souvent à une amère et douloureuse émigration » ! Et cet esprit pluriel pense que l’immigration va améliorer la situation…

Matteo Salvini a rapidement réagi à ce coup de crosse de l’homme mitré :

« J’expliquerai à Mgr Bassetti que la Ligue est l’unique antidote au racisme et pourquoi l’immigration doit être contrôlée, régulée et limitée puisqu‘il y a des millions d’Italiens en difficultés. »

Le chef de la Ligue assure, dans les colonnes du quotidien italien La Repubblica, ne pas se sentir attaqué par les paroles du prélat et clarifie la position de son parti :

« Nous, nous sommes préoccupés par la disparition d’une culture et je pense que cette même CEI doit être elle-aussi préoccupée si ce sont nos valeurs qui sont en danger. 

« La ligue est le seul rempart contre la confusion. »

Matteo Salvini, en outre, a déclaré vouloir rencontrer le cardinal Bassetti pour

« expliquer ce que réalisent nos maires et nos présidents de régions pour intégrer et ce que nous ferons au gouvernement pour garantir une immigration contrôlée et qualifiée. »

Il n’est pas du tout certain, cependant, que Mgr Bassetti accepte la rencontre, le courage n’étant pas la principale qualité de ces bien-pensants si ouverts sur les autres… enfin presque !

Francesca de Villasmundo

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Les bien fait de l'immigration ou les nouvelles chances pour la France

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Attentat raciste en Allemagne: 18 ans après, l'accusé nie les faits

Dix-huit ans après les faits, un ancien militaire allemand a nié jeudi à l'ouverture de son procès être l'auteur d'un attentat "raciste" à Düsseldorf qui avait fait dix blessés, dont six juifs, choquant l'Allemagne.

Vêtu d'un sweat-shirt gris, Ralf Spies a fait son entrée dans la salle du tribunal de Düsseldorf (ouest) le visage dissimulé derrière un classeur. Puis, l'homme de 51 ans a soutenu d'emblée n'être pour rien dans l'attaque, répétant ne pas connaître l'identité de l'auteur.

Au moment de l'attentat, le 27 juillet 2000, cette figure de la scène néonazie de Düsseldorf était dans un salon de tatouage, avant de partir promener son chien puis de rentrer chez lui, a-t-il expliqué.

Ralf Spies comparaît jusqu'en juillet pour 12 tentatives de meurtres et encourt la prison à vie.

Le parquet le soupçonne d'avoir fabriqué, posé et déclenché à distance une bombe le 27 juillet 2000, près d'une gare en banlieue de Düsseldorf.

"L'accusé est soupçonné d'avoir utilisé la vulnérabilité des victimes et d'avoir agi pour des motifs racistes", a indiqué à la presse en marge de l'audience le procureur Ralf Herrenbrück.

La bombe avait explosé au moment où passait un groupe d'une douzaine de personnes originaires de pays d'ex-URSS qui sortaient de leur cours d'allemand. 

Dix personnes avaient été blessées, certaines très grièvement. Six étaient de confession juive. L'une des victimes, une Ukrainienne enceinte de cinq mois, a perdu son bébé dans l'attentat. Son mari a lui failli mourir.

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Allemagne : les partisans du PYD/PKK ont attaqué de nouveau une mosquée turque

Des menaces ont été écrites sur les murs à l’aide de la peinture

 

Allemagne : les partisans du PYD/PKK ont attaqué de nouveau une mosquée turque

La Grande Mosquée Stade-Butzfleth affiliée à l’Union turco-islamique auprès de la direction des Affaires religieuses, a été attaquée dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 02h00 du matin (heure locale).

Les vitres de la mosquée située à Hannover, en Allemagne, ainsi que du local de jeunesse juste à côté, ont été cassées par les partisans de l’organisation terroriste séparatiste PYD/PKK tandis que des menaces et slogans terroristes ont été inscrits sur les murs.

La police a lancé une enquête concernant l’attaque.

Des attaques similaires ont été perpétrées dans la semaine contre la mosquée Yesil (Mosquée verte) dans la ville Minden, et les mosquées Eyyub Sultan dans les villes Leipzig et Francfort.

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jeudi, 25 janvier 2018

Gardiens de prisons en colère : 9e jour de blocage en France

 

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En Île-de-France, 38 % des femmes ayant eu un enfant sont immigrées

Quand on sait ce que représente le poids démographique de l'Ile-de-France (20% de la population française), il y a de quoi s'interroger sur la santé mentale de ceux qui disent que l'augmentation de l'immigration relève du ressenti. Qui peut nier, avec de tels chiffres, la réalité du phénomène démographique du Grand remplacement ? Voici quelques extraits d'une tribune publiée anonymement par un haut-fonctionnaire sur Figaro Vox :

"Les statistiques sur l'immigration rendues publiques hier révèlent l'ampleur des défis qui attendent Emmanuel Macron sur cette question. Si le gouvernement n'est pas responsable de la situation actuelle, il doit en revanche le saisir à bras-le-corps et ne pas se contenter d'effets de manche (...)

Les dernières statistiques révèlent une situation sérieusement préoccupante. L'augmentation du nombre des demandeurs d'asile en 2017 est spectaculaire. Ils étaient 20 000 en 1997, 61 468 en 2012, et pour la première fois, plus de 100 000 en 2017. Un rapport de la Cour des Comptes d'octobre 2015 souligne que 96 % d'entre eux, même déboutés, ne repartent jamais et deviennent donc illégaux.

En outre, la hausse de l'immigration régulière, mesurée par le nombre des «premiers titres de séjour» délivrés, est tout aussi marquée. En 2017, elle bat tous les records avec 262 000 étrangers supplémentaires. Ce chiffre est dans la continuité d'une évolution de long terme: 125 000 en 1995 ; 186 116 en 2002 ; 183 893 en 2008 ; 193 655 en 2012 ; 210 940 en 2014 ; 215 220 en 2015 ; 230 353 en 2016. En 2017, tous les volets de l'immigration sont à la hausse: professionnels, familial, études et surtout humanitaire.

Cette tendance à l'augmentation se reflète nettement, sur le long terme, dans la démographie française. Le pourcentage des naissances dans les familles composées d'au moins un parent immigré est passé de 26,3 % en 2007 à 30,4 % en 2016 (Ined). En Île-de-France, 38 % des femmes ayant eu un enfant en 2015 sont immigrées (Insee) (...)

Quoi qu'il en soit, accueillir chaque année plusieurs centaines de milliers de personnes, dont beaucoup fuient la misère, constitue un lourd défi dans un pays qui compte déjà 3,5 à 6 millions de chômeurs, 8 à 9 millions de pauvres, 4 millions de mal logés, une dette publique astronomique (100 % du PIB). Cette réalité, mal prise en compte par les différents gouvernements, s'est traduite au fil des décennies par une prolifération des cités-ghettos où s'entassent une partie des migrants et leurs descendants, dans des conditions dramatiques de pauvreté, d'exclusion, de chômage, de désœuvrement, d'échec scolaire et de destruction de la cellule familiale. Ces conditions chaotiques accentuent le risque de la radicalisation, de la révolte, des trafics et de la violence (...)

Dans la loi de finances de 2017, l'aide médicale d'État (la gratuité des soins dont bénéficient 300 000 migrants en situation irrégulière) est en augmentation, passant de 812 millions à 882 millions d'euros. Le dispositif national d'accueil en faveur de l'hébergement des «migrants» (souvent en situation irrégulière), qui comporte déjà 80 000 places réparties sur les régions, doit s'accroître de 7 000 places en 2018, puis d'autant en 2019 (...)

Macron et son gouvernement sont au pied du mur. Une politique d'une toute autre ampleur est nécessaire. Dans quatre ans et demi, si la situation continue à évoluer au rythme actuel, la France risque de connaître une grave crise de société autour de l'immigration et sanctionnera par son vote les dirigeants qui auraient laissé la situation se dégrader. L'affaiblissement politique du Front national n'est pas une bonne nouvelle pour le pouvoir, car il ouvre la voie à d'autres formes plus réalistes et raisonnables de contestation d'une politique mal maîtrisée d'immigration (...)"

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RTL découvre la taqîya...en 2018

Mieux vaut tard que jamais :

"Boire, fumer, sortir en boîte, écouter de la musique, se raser la barbe... Tous ces interdits de l'islam radical deviennent autorisés dans le cadre de la taqîya, ou "technique de dissimulation". François Molins a évoqué mardi 23 janvier sur RTL cette pratique, interrogé sur les jihadistes de retour en France. "

Si les auditeurs et journalistes de RTL lisaient le Salon beige, cela ferait bien longtemps qu'ils sauraient ce qu'est la taqîya. Mais il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir :

La pratique de la taqiya (dissimulation) : article de La Petite Feuille Verte d'Annie Laurent publié en 2015

Hypocrisie saoudienne : article de juillet 2016 où Yves Daoudal explique la taqîya

Quel dialogue possible avec l’islam du Coran ? Point de vue d’un catholique : entretien avec Pascal Raines publié en avril 2017 (commander ici) où la taqîya est largement évoquée

Prétendre que les djihadistes trahissent l’islam est une erreur : entretien avec Annie Laurent de juillet 2017

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Les cons ça ose tout : le raciste Thuram fustige un prétendu racisme occidental

 

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Zemmour gagne en cassation et en remet une couche : « le problème de l’invasion migratoire demeure ! »

Eric Zemmour avait été scandaleusement condamné pour des propos qu’il n’avait jamais tenus au Corriere della serra, malgré le témoignage du journaliste qui l’interviewait, sur dénonciation calomnieuse et mensongère du mouchard Mélenchon qui l’accusait d’avoir dit qu’il voulait déporter 5 millions de musulmans.

L’affaire avait fait grand bruit et avait coûté à Zemmour son gagne-pain dans plusieurs journaux, notamment à I-Télé condamné ensuite à verser 50 000 euros de dédommagement pour « rupture brutale et abusive du contrat, sans préavis et sans invoquer aucun manquement contractuel » :

http://resistancerepublicaine.eu/2016/11/22/50000-euros-p...

Il n’empêche que, malgré les démentis et les preuves, Zemmour avait été condamné et en première instance et en appel. Au cas où certains croiraient encore en l’indépendance de la justice et en l’intégrité des juges… qu’ils savourent.

La Cour de Cassation qui n’est pourtant pas d’une clarté absolue dès qu’il s’agit d’islam, a cassé l’appel. Victoire méritée d’Eric. Un autre procès en appel aura donc lieu.

Il n’empêche que le bougre ne baisse pas casaque et n’abandonne pas la lutte politique, continuant, plus que jamais, à dénoncer l’invasion que nous subissons. Merci Eric.

Chapeau bas devant ce Résistant infatigable, que personne ne peut soumettre, que personne ne peut faire taire  :

Eric Zemmour : “L’annulation de ma condamnation ne règle pas le problème de l’invasion migratoire”

EXCLUSIF. La Cour de cassation a annulé, ce mardi, la condamnation du journaliste du Figaro pour provocation à la haine envers les musulmans, intervenue à la suite d’une interview accordée à un journal italien, en 2014. Eric Zemmour livre à Valeurs actuelles sa réaction à cette décision définitive.

La Cour de cassation a annulé, ce mardi, la condamnation d’Eric Zemmour pour provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence, prononcée par la cour d’appel de Paris à la suite de ses propos controversés sur les musulmans tenus dans le journal italien Corriere della serra.

En octobre 2014, dans le cadre de la promotion de son livre « Le Suicide français », le journaliste du Figaro avait ainsi déclaré que les musulmans « ont leur code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les banlieues. Les Français ont été obligés de s’en aller ». Ajoutant : « Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation de peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. »

 Un an plus tard, il était condamné à 3 000 euros d’amende pour provocation à la haine envers les musulmans, et devait verser, selon les cas, 1 ou 1 000 euros de dommages et intérêts à des associations partie civile, comme SOS-Racisme ou la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra). Une décision confirmée en appel, en 2016.

« J’aimerais rappeler que c’est pour cette interview qu’i-Télé (devenue CNews, NDLR) m’a viré en 2014, souligne Eric Zemmour, contacté par Valeurs actuelles. A l’époque, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve incitait les gens à aller faire des manifestations devant chez moi et une députée PS avait demandé que je quitte la France. »

 Eric Zemmour déplore « la judiciarisation des débats »

« Trois ans plus tard, la cour de Cassation reconnait que cette affaire était un grand n’importe quoi. Le problème, c’est que le jugement politique et médiatique est tombé bien avant. C’est le péché mortel de la démocratie française : la judiciarisation des débats », déplore le polémiste.

« L’annulation de ma condamnation par la cour de Cassation ne règle rien. Ni le problème de l’invasion migratoire que j’évoquais sur le fond, ni celui de cette judiciarisation, rappelle-t-il enfin. Quand la réalité devient impossible à cacher, la machine judiciaire permet de mettre des coups d’arrêt à ceux qui la décrivent. Je rappelle que le maire de Grigny m’attaque aujourd’hui en justice parce que j’ai dit que la borne de Grigny n’était plus en France. »

http://www.valeursactuelles.com/societe/exclusif-eric-zem...

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L’extrême droite manifeste contre l’islamisation des Pays-Bas : "Nous n’habitons pas au Maroc !"

Entre 700 et 1000 personnes ont participé samedi à une manifestation du parti d’extrême droite PVV contre « l’islamisation des Pays-Bas » à Rotterdam. Le chef du parti, Geert Wilders, était également présent.

Les participants ont scandé des slogans tels que « Pas de jihad dans notre ville ». Selon les médias locaux cités par le site bladna.nl, il y avait surtout des partisans de groupements d’extrême droite comme Pegida et Voorpost.

Pendant la manifestation, une personne a été arrêtée pour avoir scandé des slogans racistes.

Geert Wilders s’en est sans surprise pris au Marocains en déclarant : « Ceci n’est pas le pays de Mark Rutte (Premier ministre) et Aboutaleb (maire d’origine marocaine de Rotterdam. Nous n’habitons pas au Maroc ». Le leader a ensuite pris la tête de la manifestation, accompagné de plusieurs responsables de son parti et de Filip de Winter, chef du parti d’extrême droite belge Vlaams Belang.

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Allemagne. L’auteur présumé d’un attentat raciste jugé 18 ans après

 

Il aura fallu près de 18 ans. Un ancien militaire allemand comparaît à partir de ce jeudi pour un attentat raciste perpétré en 2000 à Düsseldorf qui avait fait dix blessés, dont six juifs, choquant l’Allemagne entière. Ralf S., 51 ans, une figure de la scène néonazie de cette ville de l’ouest du pays, est jugé jusqu’en juillet pour 12 tentatives de meurtres. Le suspect, qui conteste les faits, encourt la prison à vie Le parquet le soupçonne d’avoir fabriqué, posé et déclenché une bombe le 27 juillet 2000, aux abords d’une gare en banlieue de Düsseldorf. L’engin était dissimulé dans un sachet en plastique, à l’entrée d’une école de langue allemande pour étrangers.

La bombe avait explosé au moment où passait un groupe d’une douzaine de personnes originaires de pays d’ex-URSS. Dix personnes avaient été blessées, dont six de confession juive. L’une des victimes, une Ukrainienne enceinte de cinq mois, a perdu son bébé dans l’attentat. Son mari, présent aussi, avait lui failli mourir.

L’école de langue était située non loin d’un magasin de surplus militaire alors tenu par Ralf S.. L’accusé et l’école avaient par ailleurs eu des différends.

Une enquête longue et difficile

Entendu peu après l’attentat, le suspect avait été relâché, faute de preuves. L’enquête s’est ensuite enlisée pendant de longues années, les quelque 900 indices et le millier d’interrogatoires menés ne débouchant sur aucune piste solide.

Le mobile raciste n’avait pas non plus pu être immédiatement démontré. Néanmoins, l’attaque avait ébranlé l’opinion allemande, 55 ans après la chute du IIIe Reich. Et elle avait également déclenché un vif débat sur la violence d’extrême-droite, à laquelle le pays est régulièrement confronté, comme ce fut encore le cas en 2015 lorsque l’arrivée de centaines de milliers de demandeurs d’asiles a conduit à une explosion des attaques visant des foyers de réfugiés.

La piste d’un groupuscule nazi

La découverte en 2011 qu’une dizaine de meurtres remontant aux années 2000 étaient des crimes racistes, commis par trois militants néo-nazis du groupuscule « Clandestinité nationale-socialiste » (NSU), a également boulevers

é le pays et mis en évidence les défaillances de la police et du renseignement intérieur, incapables de neutraliser un trio qui a agi en toute impunité pendant des années. C’est cette affaire qui a conduit les policiers à relancer l’enquête sur l’attentat de Düsseldorf.

Ralf S. a lui finalement été interpellé en février 2017, notamment car la police a pu obtenir le témoignage d’un codétenu en 2014 à qui il aurait confié lors d’une brève incarcération avoir « fait sauter des "basanés" dans une gare ».

Son défenseur Olaf Heuvens a toutefois mis en doute l’authenticité de ce témoignage : « pourquoi dirait-il cela à un prisonnier qu’il connaît à peine ? », s’est-il interrogé auprès de l’agence de presse DPA. L’ex-petite amie de l’accusé a de son côté révélé aux enquêteurs avoir vu à l’époque une bombe posée sur la table de la cuisine.

Faire accuser les jihadistes en se faisant passer pour un réfugié

L’accusation soutient que Ralf S. avait appris à fabriquer des bombes à l’armée, et qu’il a donc pu réaliser l’engin en question. L’explosion a été déclenchée à distance. Selon la police, l’accusé est aussi tatoué d’une croix gammée et d’une forteresse nazie.

Le cas de Ralf S. fait écho à celui de Franco Albrecht, militaire allemand suspecté depuis l’an passé d’avoir fomenté un rocambolesque projet d’attentat en se faisant passer pour un réfugié syrien. L’idée était de copier le modus operandi jihadiste pour que l’Allemagne se retourne contre les musulmans.

L’affaire avait éclaboussé l’armée, accusée de ne pas suffisamment lutter contre les idées d’extrême droite en son sein et d’avoir conservé certaines références remontant à l’époque nazie.

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Si vous mangez au « Sarah B » à la Roche Bernard ( 56), vous financez l’invasion migratoire


Si vous mangez au « Sarah B » à la Roche Bernard ( 56), vous financez l’invasion migratoire

De passage en Bretagne, des amis m’invitent à visiter La Roche Bernard, délicieuse petite ville du Morbihan, et m’invitent dans un ancien entrepôt à grains, devenu le restaurant branché du coin, le Sarah B, pour « Sarah Bernard ». Même si on ne voit pas pourquoi la divine Sarah verrait son nom réduit à une simple initiale, le nom est de bonne augure. Il fleure bon le théâtre, l’histoire de France, l’identité française, même.

Nous y allons donc avec un certain entrain.

Une grande salle, un peu sombre, donnant sur le port, nous sommes placés à l’étage, « au balcon »… Oui, le restaurant a gardé des traces de l’ancienne organisation en salle de spectacle, nous avons donc vue, non pas sur le port ( nous sommes trop haut ) mais sur les assiettes des clients du rez-de-chaussée et accessoirement sur les décolletés des convives, malheureusement fort rares en hiver, à moins que le lieu ne soit fréquenté que par des gauchistes et des féministes trop tordues et trop haineuses des hommes pour faire l’effort d’être sexy ou au moins agréables à regarder ? Possible. En été, les touristes doivent pulluler dans le coin et ne pas être regardants…

Accueil froid, la patronne ( ou la gérante ? ) aimable comme une porte de prison…

Une serveuse qui monte pesamment les escaliers et que ça enquiquine apparemment de devoir les redescendre quand on lui dit que le plat est tiède et qu’on aimerait le voir réchauffé. J’attendrai mon assiette si longtemps que les autres convives de notre table auront terminé  leur plat quand le mien me sera rapporté…

Une attente fort longue, même en plein hiver, même pour pouvoir commander l’apéro…

Mais là n’est pas l’essentiel.

L’un de nous, arrivé en retard, ayant donc encore accès à la carte (les nôtres nous ont été enlevées vivement dès la commande) lit et nous demande naïvement : 10 centimes à l’association SOS Méditerranée ? Qu’est-ce-que c’est que ça ? 

Nous découvrons donc,  après avoir pris l’apéritif, après avoir commandé nos plats, que nous allons verser, à l’insu de notre plein gré, 10 centimes par plat à l’association SOS Méditerranée…

Le nom fait tilt. Nous flairons le scandale, que dis-je, l’arnaque, dégainons nos smartphones et découvrons le pot-aux-roses :

Nous tombons sur le rapport d’activités de l’association http://www.sosmediterranee.fr/medias/rapport_activite_201...

Et nous découvrons qu’elle a armé et finance le bateau Aquarius qui sillonne la Méditerranée à la recherche de bateau remplis d’illégaux au large des côtes libyennes  pour les récupérer et les amener chez nous.  C’est le dernier bateau de ce genre depuis les scandales et défections des autres l’été dernier. Ci-dessous capture d’écran de l’une des photos de leur site. Clair et net.

 

https://www.bastamag.net/Dix-jours-a-bord-de-l-Aquarius-u...

L’Aquarius continue donc son sale boulot, grâce aux nigauds  qui vont manger au Sarah B de la Roche-Bernard.

Nigauds ? Oui, puisque le Sarah B ressemble fort à un attrape-nigauds, nigauds dont mes amis et moi avons fait partie, ayant découvert le pot-aux-roses trop tard pour annuler la commande. Nous nous sommes vengés en partant très vite, sans prendre de dessert ni de café, allant faire travailler la concurrence…. Et comme la vengeance est un plat qui se mange froid, aujourd’hui nous racontons nos mésaventures sur le net. Faites tourner, partagez…

C’est qu’il faut avoir l’oeil perçant  pour voir le petit encart en bas à droite du menu quand on retourne désespérément la carte dans tous les sens, à la recherche d’un menu sympa…

On n’avait pas vraiment regardé la carte, on avait plutôt tendance à chercher ce que l’on allait bien pouvoir manger… C’est waterloo morne plaine ou presque. Surtout quand on s’attend à de la cuisine française traditionnelle, eu égard au nom du restaurant… Or, c’est le trip « cuisine du monde » ( si on peut appeler ça cuisine ) :  tapas, burgers,  « fish » ( ? ),  cuisine asiatique,  salades,  tajines et autres pièces du boucher qui pourraient bien être halal… Le choix se réduit comme peau de chagrin : il ne reste que le filet de Saint-Pierre ( avec wasabi et nouilles de riz !!! ) et le tournedos de cochon ( façon larmes du tigreS !!!! ).

Et  les animaux habillés qui animent un peu une carte tristounette ne changent rien à l’affaire, sauf qu’ils font diversion. Adieu La Fontaine, adieu Esope, adieu Sarah Bernard… C’est peu de dire qu’on a un peu l’impression d’avoir été trompés sur la marchandise. C’est peu de dire qu’on a l’impression d’avoir été de bons poissons stupides appâtés par de bons gros vers et découvrant un leurre en plastique.

Et si la carte à l’entrée ne cache rien, l’encart n’attire pas l’oeil de celui qui a faim, grâce aux nombreuses illustrations qui noient… le migrant.

C’est seulement après notre fuite que nous fouinerons un peu et découvrirons la présentation du Sarah B sur Internet :

Lieu alternatif convivial avec vue sur le port de plaisance pour des concerts, des matchs d’impro ou un repas.

Bar à tapas. Café cantine. Café cantine cabaret…

Bref, tout et rien. Touche à tout et à rien. Dans l’air du temps. A la rencontre de celui qui n’a pas de repères, pas de racines, juste le consumériste obéissant aux mots-reflexe de la pub  » burger, tapas, migrants, ambiance »… Tout ça c’est la même chose.

Au Sarah B, on ne pense qu’à une chose, vous faire payer une nourriture sans saveur pour vous faire financer le Grand Remplacement.

Bientôt, au Sarah B, la bouillie de riz, le manioc, la crêpe de sorgho et le lait caillé au menu ?

Bon courage aux prochains pigeons !

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Les musulmans hurlent contre la croix de Johnny Hallyday, symbole de résistance face à l’islam

 

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L’islam est une secte et doit donc être interdit

L’islam est une secte et doit donc être interdit

Je recopie quelques lignes qui proviennent du livre de Roger GONNET (cadre repenti de la SCIENTOLOGIE DIANETIQUE) appelé  » La SECTE – secte armée pour la guerre –

Je mets à chaque phrase un commentaire, comparaison avec le comportement du gouvernement à l’égard du NAZISLAM…

Pour information, ce livre est paru en novembre 1998, voici donc quelques extraits :

 

Page 38 :

» Quoi, la secte veut rendre tout le monde heureux, mais combat tout le monde, jusqu’au coeur de sa direction centrale ?  »

Note 1 : le NAZISLAM vous promet que sa vérité vous rendra heureux, alors que les musulmans s’entretuent d’abord entre-eux, PARTOUT dans le monde..

 

» Quoi, elle (la SECTE) dit vouloir aider à la survie de l’humanité, mais protège les criminels de la police et attaque aussi bien la police locale qu’INTERPOL, à moins qu’elle ne parvienne à les faire chanter ou à les acheter.  »

Note 2 : Le NAZISLAM a le même « discours », et agit de même – les criminels qui parviennent à s’enfuir ne sont JAMAIS remis à la justice pour les EXACTIONS dont les adeptes se sont rendus coupables, et, la police française, et celles d’autres pays d’Europe, est maintenant attaquée par les adeptes en question… Idem pour les condamnations des RACAILLES NAZISLAMISEES, très faibles, voir inexistantes au regard de la loi française…
Les politiques, et les responsables – une partie en tout cas – des services de maintien de l’ordre, soit sont achetés par la bien pensance – indirectement par le NAZISLAM – soit sont tenus par du chantage, ou pour quelques raisons que ce soit en fait…

 

 » Quoi, elle (la SECTE) voudrait que tout le monde se taise et qu’elle seule ait un droit INALIENABLE à l’omniscience, à la parole et à la logique pures, alors qu’elle ne cesse de démontrer à tout instant et en toute circonstances à quel point ses vrais desseins sont ENTIEREMENT différents de ses effets d’annonce ?  »

Note 3 : Les « représentants » de la SECTE d’amour veulent la même chose – d’où la demande de rétablissement du blasphème notamment – le gouvernement en place aussi, concernant l’omniscience, la parole – ses opposants ont INTERDICTION de s’exprimer, ça ne vous rappelle pas une situation actuelle, ça ? – et la logique du « raisonnement » leur appartient…Ils sont le « camp du bien », et vous, si vous n’êtes pas d’accord, vous êtes un déviant, qu’il convient de rééduquer !!!

 

 » Les FAITS, eux, démontrent, à chaque instant et en toute circonstance que les vrais buts sont à l’opposé des « actions », et ce, aussi bien pour le NAZISLAM que pour le gouvernement en place…

 » Dès lors, on comprend facilement que ses adversaires, lassés de tant de mauvaise foi et de tant de perversité démontrées dans l’action et la parole, en viennent à ne rien lui passer, à tout vérifier, étiqueter ou classer, pour ne pas se trouver à leur tour pris dans des procès imbéciles qu’elle entreprendrait, non pour les gagner, mais pour dilapider les ressources et l’attention de « l’ennemi  » : Le procédé a très bien fonctionné aux Etats-Unis.  »

Note 4 : Nous, les adversaires, et contre le gouvernement, et contre le NAZISLAM, en avons plus que marre de la mauvaise foi – bien que l’on puisse parler de TRAHISON concernant le gouvernement français, idem pour ceux d’avant – et de leur perversité (aux gouvernements), n’avons d’autres choix que de ne PLUS rien laisser passer, et de bétonner par les FAITS, les DECLARATIONS des uns et des autres, afin de DEMONTRER la NOCIVITE, le MENSONGES, et de MONTRER la réalité VRAIE de la situation actuelle en France…
Les procès destinés à FAIRE TAIRE ceux qui dénoncent le TOTALITARISME rampant, tout comme le NAZISLAM, par le gouvernement, et aussi par les adeptes du NAZISLAM, directement ou par l’intermédiaire de dhimmis, et le sont aussi pour assécher financièrement les « lanceurs d’alerte » (l’ensemble de la ré-infoSphère sur la toile en fait)…

 

 » C’est là que se situe bien l’épicentre de notre apparente intolérance : les adversaires de la SECTE sont systématiquement trompés s’ils cherchent la vérité; obligatoirement aiguillés sur de fausses pistes et forcément attaqués dans leur amour-propre, dans leur liberté d’action et de leur parole.
La SECTE médit d’eux, les calomnie, les poursuit, les harasse, cherche à les piéger, à les déconsidérer aux yeux de leurs voisins, de leurs amis, de leurs relations d’affaires. … suite du même paragraphe ci-dessous)…

Note 5 : La vérité est systématiquement CACHEE, DEFORMEE, MINIMISEE – lorsque les 2 premières options ne sont pas possibles – au peuple français, et les auteurs d’articles, de déclarations, et d’actions visant à combattre les nouveaux NAZIS en France et aussi le NOUVEAU gouvernement de Vichy, en leur ôtant leur crédibilité, leur liberté d’expression, et d’action (aux travers des lois devenant iniques, ainsi que des jugements, également scandaleux !!

 

« …Suite paragraphe :
Rien n’est sacré de son point de vue : qu’il s’agisse du pope russe qui s’inquiète du foisonnement de ces groupes tentaculaires à Moscou ; ou du juge instruisant une affaire d’homicide française commis par un des leurs ; ou de la mère de l’un des membres de la SECTE qui aimerait au moins revoir son fils qui l’a abandonnée depuis des années pour entrer en esclavage.  »

Note 6 : Les inquiétude du peuple sont le cadet des soucis du gouvernement, pour le NAZISLAM, n’en parlons pas !

 

Qu’ill s’agisse de la présence du NAZISLAM en France, de plus en plus inquiétante – que les FAITS justifient et démontrent – ou d’une affaire de justice de plus en plus INSTRUMENTALISEE au détriment du peuple français.

» Résumer ceci revient à dire qu’il n’existe guère de bons motifs pour de tolérer semblable intolérance. » — fin du paragraphe, page 39.

Note 7 : Il n’y au AUCUNE tolérance à avoir sur la situation actuelle…

 

Roger GONNET
Cadre repenti de la SCIENTOLOGIE DIANETIQUE

La SECTE
Secte armée pour la guerre

Chronique d’une « religion » commercialeà irresponsabilité illimitée

» Secte armée pour la guerre  » ça ne vous rappelle pas une autre SECTE, bien actuelle celle-là ?

J’aime beaucoup la dernière phrase sinon, qui résume parfaitement la doctrine du NAZISLAM et aussi la politique du gouvernement actuel…

Paru en 1998 chez Alban.

Source

La Providence veille : les arts de l’islam, au Louvre, engloutis par les inondations !

La Providence veille : les arts de l’islam, au Louvre, engloutis par les inondations !

Bon j’exagère un peu, prenant mes désirs pour la réalité, mais pas tant que ça.

Le Louvre a juste fermé au public le niveau inférieur du département des Arts de l’islam jusqu’à dimanche…

Certains croient en la divine Providence, moi je crois que l’esprit humain est très fort, qu’on n’en imagine même pas les pouvoirs, et que le rejet de l’islam pourrait bien aboutir à des  choses qu’on n’imagine même pas.

Alors pourquoi ne pas voir un signe dans l’inondation du département des prétendus Arts de l’islam ( merci à Cril17 pour l’info ), la Seine continuant à monter, on s’attend à un niveau de 6,20 mètres samedi…

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/24/01016-...

 Je me plais à imaginer sous l’eau ces saloperies d’objets d’artisanat reflétant les interdits islamiques…

Pour rappel ce que j’écrivais à ce propos en 2012, quand Hollande a inauguré cette honte :

 Nous avions déjà fustigé, en son temps ( video à partir de 08’08 »), l’ouverture d’un pavillon du Louvre consacré aux arts de l’islam. Je m’y interrogeais déjà sur le mot art utilisé pour les « objets » (3000) qui vont y être exposés et méritent davantage le terme d’artisanat . Peut-on parler d’art pour une civilisation qui refuse la représentation humaine ? Peut-on parler d’art pour une civilisation qui pratique des auto-dafés de ce qui la dérange ? Peut-on parler d’art musulman en présence de la Joconde ou de l’Enlèvement des Sabines ?

Peut-on mettre sur le même plan des objets de tous les jours, fussent-ils fabriqués à la main, fussent-ils uniques, fussent-ils merveilleusement travaillés, quand il n’est question que d’utilitarisme et de décoration, quand un véritable artiste ne peut donner à voir sa vision du monde avec son œuvre, quand un véritable artiste ne peut ajouter à son œuvre ce souffle qui exalte, qui donne un choc et donne à toucher d’un doigt l’essence de la beauté, l’essence de la grandeur humaine ?

 

Même un Masaccio qui montre Adam et Eve chassés du Paradis donne à voir du beau et la grandeur de l’homme dans sa chute, qu’il a choisie.

On peut préférer la vision d’un Masolino, mais il s’agit toujours d’un regard d’artiste, d’un regard sur le monde, sur l’homme, qui nous dit le mystère de notre vie et sa grandeur.

Rien à voir avec ces tapis ou ces verreries fabriquées par des gens à qui l’on a imposé de se soumettre à Allah, sans aucune transcendance possible.

Il était à prévoir qu’un Hollande, dont on se doute que l’art et la culture ne sont guère des moteurs dans sa vie (quelle décadence, après un De Gaulle, un Pompidou et un François Mitterrand d’avoir des Présidents plus incultes les uns que les autres au fil du temps) ne rendrait pas hommage à l’art mais ferait de la basse politique politicienne.

C’est ainsi que notre dhimmi de l’Elysée rend hommage à ceux qui sont en train d’acheter la France, à ceux qui financent vraisemblablement un certain nombre de femmes pour qu’elles portent le voile,  en France notamment,  et,  naturellement, il ose vanter le rayonnement des cultures de l’islam…

Il ose. Alors que l’islam, partout dans le monde, depuis 1400 ans, conquiert pour mieux détruire les civilisations qui l’ont précédé et notamment les œuvres d’art.  On évoquera, parmi des milliers d’exemples l’exemple d’un certain Adel Smith, Président de l’Union des musulmans d’Italie, qui, après s’en être pris à Oriana Fallaci, avait exigé que soit retirée de la cathédrale de Bologne une fresque du Moyen Age, Le Jugement dernier, de Giovanni da Modena, parce que Mohamet y est représenté en Enfer.

Retirer, cela signifie d’ailleurs détruire quand il s’agit d’une fresque. On ne s’étonnera pas des tentatives de destruction répétées de ce chef d’œuvre par des barbares qui haïssent la beauté et la civilisation. Mais on se rebellera devant les hommages rendus par nos gouvernants à ces barbares.

Comment, enfin, ne pas se révolter qu’un Hollande, fidèle à la tradition socialiste, croie encore qu’il suffit de « dire » pour éviter de « faire » en pourfendant « l’insondable bêtise »  des destructeurs de patrimoine mais surtout utilise des mots si neutres, si doux, comme si ceux qui ont détruit Bouddhas, Mausolées et autres richesses du patrimoine de l’humanité n’étaient que des enfants coupables de menus maux.

Tout est dit.

Je refuse depuis des années de mettre un pied dans un pays musulman, vais-je devoir aussi boycotter le Louvre pour ne pas, avec le prix de mon entrée, participer à l’achat et l’entretien d’objets mis là pour nous faire croire que la civilisation musulmane aurait quelque chose à voir avec nous et pourrait nous apporter quelque chose ?

http://resistancerepublicaine.eu/2012/09/18/hollande-inau...

Source

Même Souad Ayada dit comme Christine Tasin : « l’islam est à la conquête de l’école »

 

Source et Video

Djihadistes français : le gouvernement face au principe de réalité

Le principe de réalité rattrape toujours les gouvernements. Le nôtre n’y échappe pas, face à la question des djihadistes « français » retenus prisonniers en Syrie ou en Irak, et les propos tenus ces derniers temps par divers responsables politiques ou judiciaires en apportent la preuve.

En premier lieu le ministre des Armées, qui affirmait il y a quelques jours n’éprouver aucun état d’âme à l’idée que ces ressortissants français soient jugés par les pouvoirs locaux qui les détiennent. Une déclaration réitérée et assumée. Puis, sur RTL, le Procureur de Paris, François Molins, dont la position est similaire :

« [Les personnes prisonnières] ont commis des exactions contre des civils, rejoint une organisation qui a appelé au djihad armé contre la France et été arrêtées dans le cadre d’un conflit armé […] Il faut retourner la question. Si l’on avait des terroristes étrangers qui venaient commettre des attentats sur notre sol, est-ce qu’on ne souhaiterait pas les juger? Si elles ont participé à une organisation terroriste, l’État, là-bas, n’est-il pas légitime pour les juger ? »

​‌”

Mardi 23 janvier, France Info a diffusé plusieurs fois dans la journée un reportage sur les tribunaux kurdes en charge du jugement de ces prisonniers, et la radio d’État s’est montrée très bienveillante envers ces juridictions.

Ainsi, la consigne est passée : un obscur technocrate titré ministre des Armées, le procureur de Paris, la principale source de propagande radiophonique, tout cela démontre la volonté du pouvoir de faire passer un message clair. Il ne veut pas entendre parler du retour de ces guerriers en France.

Le gouvernement n’a pas toujours été aussi clair, et de nombreux propos parfois contradictoires ont été tenus ces derniers mois, jusqu’au sommet de l’État puisqu’Emmanuel Macron avait évoqué des décisions « au cas par cas ». Là encore, le principe de réalité a sans doute joué. Parce qu’il apparaît impossible de traiter au « cas par cas » la situation de ces personnes, ce qui impliquerait un traitement différencié et, sans doute, l’évaluation de leur degré de liberté lorsqu’elles ont quitté la France pour rejoindre le Moyen-Orient. Mission impossible.

 Une autre constante a sans doute joué : le pouvoir a pris conscience de la dangerosité de ces individus, et sait que s’ils reviennent sur le sol français, ils seront incontrôlables. En prison, ils ne feront qu’accroître la pression islamiste. En liberté, ils ne se convertiront pas aux bienfaits de la démocratie libérale laïque. Autant de risques de contamination, d’attentats, de complicités.

Félicitons nous de cette position ferme : elle est de l’intérêt de la France et des Français. Et que ces individus restent où ils sont. Leurs larmes de crocodile ne trompent personne. En pleurnichant leurs regrets, leur effroi, leur soudaine conversion ou leur amour de la France qu’ils conchiaient jusqu’à prendre connaissance des geôles orientales, ils ne trompent que les imbéciles toujours prompts à s’émouvoir envers les opprimés.

En l’espèce, leurs victimes hurlent à la justice. Massacrés, pillés, violés, brûlés vifs, décapités, amputés, déchiquetés crient vengeance. Boucliers humains, otages, prisonniers, expulsés, déportés, convertis de force crient vengeance. Que la justice, qu’elle soit kurde, syrienne ou irakienne, passe sur ces hommes qui, après avoir renié leur terre d’adoption, ont combattu pour que s’étende à toute la terre la loi islamiste.

Bon débarras.

François Teutsch

Source

Djihadistes français : le gouvernement face au principe de réalité

Le principe de réalité rattrape toujours les gouvernements. Le nôtre n’y échappe pas, face à la question des djihadistes « français » retenus prisonniers en Syrie ou en Irak, et les propos tenus ces derniers temps par divers responsables politiques ou judiciaires en apportent la preuve.

En premier lieu le ministre des Armées, qui affirmait il y a quelques jours n’éprouver aucun état d’âme à l’idée que ces ressortissants français soient jugés par les pouvoirs locaux qui les détiennent. Une déclaration réitérée et assumée. Puis, sur RTL, le Procureur de Paris, François Molins, dont la position est similaire :

« [Les personnes prisonnières] ont commis des exactions contre des civils, rejoint une organisation qui a appelé au djihad armé contre la France et été arrêtées dans le cadre d’un conflit armé […] Il faut retourner la question. Si l’on avait des terroristes étrangers qui venaient commettre des attentats sur notre sol, est-ce qu’on ne souhaiterait pas les juger? Si elles ont participé à une organisation terroriste, l’État, là-bas, n’est-il pas légitime pour les juger ? »

​‌”

Mardi 23 janvier, France Info a diffusé plusieurs fois dans la journée un reportage sur les tribunaux kurdes en charge du jugement de ces prisonniers, et la radio d’État s’est montrée très bienveillante envers ces juridictions.

Ainsi, la consigne est passée : un obscur technocrate titré ministre des Armées, le procureur de Paris, la principale source de propagande radiophonique, tout cela démontre la volonté du pouvoir de faire passer un message clair. Il ne veut pas entendre parler du retour de ces guerriers en France.

Le gouvernement n’a pas toujours été aussi clair, et de nombreux propos parfois contradictoires ont été tenus ces derniers mois, jusqu’au sommet de l’État puisqu’Emmanuel Macron avait évoqué des décisions « au cas par cas ». Là encore, le principe de réalité a sans doute joué. Parce qu’il apparaît impossible de traiter au « cas par cas » la situation de ces personnes, ce qui impliquerait un traitement différencié et, sans doute, l’évaluation de leur degré de liberté lorsqu’elles ont quitté la France pour rejoindre le Moyen-Orient. Mission impossible.

 Une autre constante a sans doute joué : le pouvoir a pris conscience de la dangerosité de ces individus, et sait que s’ils reviennent sur le sol français, ils seront incontrôlables. En prison, ils ne feront qu’accroître la pression islamiste. En liberté, ils ne se convertiront pas aux bienfaits de la démocratie libérale laïque. Autant de risques de contamination, d’attentats, de complicités.

Félicitons nous de cette position ferme : elle est de l’intérêt de la France et des Français. Et que ces individus restent où ils sont. Leurs larmes de crocodile ne trompent personne. En pleurnichant leurs regrets, leur effroi, leur soudaine conversion ou leur amour de la France qu’ils conchiaient jusqu’à prendre connaissance des geôles orientales, ils ne trompent que les imbéciles toujours prompts à s’émouvoir envers les opprimés.

En l’espèce, leurs victimes hurlent à la justice. Massacrés, pillés, violés, brûlés vifs, décapités, amputés, déchiquetés crient vengeance. Boucliers humains, otages, prisonniers, expulsés, déportés, convertis de force crient vengeance. Que la justice, qu’elle soit kurde, syrienne ou irakienne, passe sur ces hommes qui, après avoir renié leur terre d’adoption, ont combattu pour que s’étende à toute la terre la loi islamiste.

Bon débarras.

François Teutsch

Source

Fermée sous l’état d’urgence, la mosquée salafiste de Torcy a rouvert

Lu dans Paris-Match du 19 janvier 2018 (extrait) :

Fermée dans le cadre de l’état d’urgence en raison des prêches radicaux de ses imams, la mosquée de Torcy (Seine-et-Marne) a rouvert vendredi avec à sa tête une nouvelle association et un nouvel imam, a-t-on appris auprès de la préfecture. (…) Fin décembre, une commission composée de magistrats a par ailleurs donné son feu vert à l’expulsion de l’imam adjoint, un Marocain de 50 ans, accusé d’avoir « légitimé le jihad » dans ses prêches.

Selon l’arrêté de fermeture du lieu de culte, les deux imams auraient aussi « apporté leur soutien aux fidèles de la mosquée mis en cause dans le cadre du démantèlement de la cellule terroriste dite de ‘Cannes-Torcy' », dont le procès-fleuve s’est tenu au printemps à Paris. 

Fin 2016, 275 personnes étaient suivies en Seine-et-Marne dans le cadre de la lutte contre la radicalisation violente. Lire la suite

Note: l’association « Renaissance » qui a pris le relais dans la gestion de la mosquée, a été déclarée en préfecture sous la loi de 1901 et non comme une association cultuelle loi 1905. Mais la préfecture est si conciliante qu’ils peuvent à nouveau ouvrir, du moins que pour les hommes. Les classes d’arabe vont continuer. 

Source

mercredi, 24 janvier 2018

Pologne – Immigration, catholicité, UE : les dirigeants polonais ont la parole sur TV Libertés

Depuis le retour au pouvoir en 2015 des conservateurs du PiS (Droit et Justice) en Pologne, un conflit latent a lieu entre Varsovie et Bruxelles. Il a pour objet principal la réforme de la justice polonaise et les quotas de migrants. Là où Bruxelles ou Emmanuel Macron voient une dérive autoritaire contraire à l’État de droit, le gouvernement polonais y voit une volonté d’ingérence étrangère visant à favoriser l’opposition libérale polonaise laminée lors du dernier scrutin.


Pour mieux comprendre ce à quoi aspirent les dirigeants actuels de la Pologne, notre correspondant Olivier Bault a interrogé plusieurs personnalités des partis au pouvoir ou proches d’elles :


– Piotr Gliński, vice-Premier ministre en charge de la culture
– Ryszard Terlecki, vice-président de la Diète de Pologne (Sejm), chef du groupe parlementaire du PiS
– Wojciech Murdzek, député à la Diète de Pologne, issu du parti Porozumienie (Entente) allié au PiS
– Marek Jurek, député européen polonais, du parti Prawica Rzeczypospolitej (Droite de la République) proche du PiS – groupe parlementaire ECR

Source et Video

L’extrême droite manifeste contre l’islamisation des Pays-Bas : "Nous n’habitons pas au Maroc !"

Entre 700 et 1000 personnes ont participé samedi à une manifestation du parti d’extrême droite PVV contre « l’islamisation des Pays-Bas » à Rotterdam. Le chef du parti, Geert Wilders, était également présent.

Les participants ont scandé des slogans tels que « Pas de jihad dans notre ville ». Selon les médias locaux cités par le site bladna.nl, il y avait surtout des partisans de groupements d’extrême droite comme Pegida et Voorpost.

Pendant la manifestation, une personne a été arrêtée pour avoir scandé des slogans racistes.

Geert Wilders s’en est sans surprise pris au Marocains en déclarant : « Ceci n’est pas le pays de Mark Rutte (Premier ministre) et Aboutaleb (maire d’origine marocaine de Rotterdam. Nous n’habitons pas au Maroc ». Le leader a ensuite pris la tête de la manifestation, accompagné de plusieurs responsables de son parti et de Filip de Winter, chef du parti d’extrême droite belge Vlaams Belang.

Source

Deux militaires interpellés pour facilitation de l'immigration clandestine

Banlieues francaises et jeunes issus de l'immigration religion et violence

 

Source et Document (lourd)

L’alliance judéo-musulmane s’intensifie pour faciliter l’immigration vers l’Europe

Nous avons déjà expliqué ici comment s’est mise en place aux Etats-Unis une alliance judéo-musulmane, que ce soit contre Donald Trump ou en faveur du multiculturalisme et de l’accueil des immigrés.

Source et Video

Migrants : les dix pays les plus et les moins tolérants

La société de sondage Gallup a interrogé un échantillon de personnes dans 138 pays au sujet de leur acceptation des migrants. La réponse aux trois questions posées était échelonnée de 0 à 3, ce qui donne une échelle possible entre 0 et 9.

Les 10 pays les plus accueillants sont : l’Islande (8,26), un pays qui ne compte pas de migrants, la Nouvelle-Zélande (8.25), qui n’en compte guère plus, le Rwanda (8,16), la Sierra Leone (8,05), le Mali (8,03), l’Australie (7,98), la Suède (7,92), le Nigeria (7,76) le Burkina Faso (7,74) et l’Irlande (7,74).

La France est en 45e position avec un indice de 6,46.

Les 10 pays les moins accueillants sont la Croatie (2,39), l’Estonie (2,37), la Tchéquie (2,26), la Lettonie (2,04), Israël (1,87), la Slovaquie (1,83), la Serbie (1,80), la Hongrie (1,69), le Monténégro (1,63) et en dernier, la Macédoine (1,47).

Notons que les pays les plus hostiles aux migrants sont ceux qui ont pris de plein fouet l’invasion de 2015. Notons aussi la présence dans les pays les moins tolérants d’Israël, alors que l’on trouve une surreprésentation d’Israélites dans les rangs de ceux qui prônent l’invasion de l’Occident. Parmi la volonté d’accueil des migrants, on doute un peu de la sincérité des réponses des Australiens, nettement moins de celle des Suédois frappés par l’ethnomasochisme. Pour la place élevée des pays africains, ils ont l’habitude de voire leurs frères fuir leur pays voisons pour se réfugier auprès de leur tribu du bon côté de la frontière (Rwanda, Sierra Leone, Mali…)

Hristo XIEP

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Le bilan migratoire des pays d’Europe en 2017

Encore une carte montrant que les clichés se fondent généralement sur une réalité. Le bilan migratoire des pays d’Europe et du proche voisinage corrobore en effet les ressentis que l’on a, avec quelque nuances (qui pensait que le solde migratoire de la Belarus était excédentaire ?). On peut diviser les pays en neuf strates selon le solde migratoire (immigrés moins émigrés), selon les dernières données du World Factbook de la CIA publiées le 16 janvier 2018 :

Pays au solde migratoire positif :

  • Accroissement de plus de 0,6 % : Luxembourg (+ 1,55 %), Chypre (+ 0,87), Espagne (+ 0,78), San Marin (+ 0,75), Ile de Man (+ 0,6)
  • Accroissement de plus de 0,4 % : Norvège (+ 0,59), Monaco (+ 0,57), Belgique (+ 0,54) ; Suède (+ 0,53), Liechtenstein (+ 0,5), Autriche (+ 0,48), Suisse (+ 0,47), Irlande (+ 0,4), Islande (+ 0,4).
  • Accroissement de plus de 0,2 % : Italie (+ 0,37), Jersey (+ 0,32), Finlande (+ 0,29), Portugal (+0,25), Royaume-Uni (+ 0,25), Tchéquie (+ 0,23), Grèce (+0,23), Guernesey (+ 0,22), Danemark (+ 0,21), Malte (+ 0,2)
  • Accroissement de moins de 0,2 % : Pays-Bas (+ 0,19), Russie (+ 0,17), Allemagne (+ 0,15), Hongrie (+ 0,13), France (+ 0,11), Bélarus (+ 0,07), Slovénie (+ 0,04), Slovaquie (+ 0,01)

Pays au solde équilibré :  Azerbaïdjan, Iles Féroé, Serbie, Ukraine, Andorre

Pays au solde migratoire négatif :

  • Diminution de moins de 0,2 % : Roumanie (- 0,02), Bulgarie (- 0,03), Pologne (- 0,04), Bosnie-Herzégovine (- 0,04), Macédoine (- 0,05), Géorgie (- 0,16), Croatie (- 0,17).
  • Diminution de plus de 0,2 % : Estonie (- 0,32), Gibraltar (- 0,33), Albanie (- 0,33).
  • Diminution de plus de 0,4 % : Arménie (- 0,57)
  • Diminution de plus de 0,6 % : Groenland (- 0,6), Lettonie (- 0,61), Lituanie (- 0,61), Moldavie (- 0,94).

La tendance des pays par rapport au rapport du 1er janvier 2017 est variable (le chiffre correspond à celui du 1er janvier 2018 soustrait de celui du 1er janvier 2017) :

  • Intensification de l’accroissement : Monaco (+ 0,1), Portugal (+ 0,01).
  • Ralentissement de l’accroissement : Luxembourg (- 0,08), Norvège (- 0,07), Autriche (- 0,04), Ile de Man (- 0,03), Jersey (- 0,03), Espagne (- 0,02), San Marin (- 0,02), Belgique (- 0,02), Islande (- 0,02), Italie (- 0,02), Suède (- 0,01), Finlande (- 0,01).
  • Statut quo : Liechtenstein, Suisse, Irlande, Royaume-Uni, Grèce, Guernesey, Danemark, Malte, Pays-Bas, Russie, Allemagne, Hongrie, France, Bélarus, Slovénie, Slovaquie, Azerbaïdjan, Iles Féroé, Serbie, Ukraine, Andorre, Roumanie, Bulgarie, Pologne, Bosnie-Herzégovine, Macédoine, Estonie, Albanie, Gibraltar, Arménie, Groënland.
  • Ralentissement de la diminution : Géorgie (- 0,06), Croatie (- 0,02), Lettonie (- 0,01), Lituanie (- 0,01), Moldavie (- 0,01).

Cela signifie qu’il y a un tassement de l’immigration dans les pays les plus populaires et un ralentissement de l’émigration dans les pays que l’on quitte. Doucement, trop doucement même, nous assistons à un phénomène d’équilibrage.

Hristo XIEP

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Immigration – Des Paras italiens lancent au pape : « Ça suffit, Bergoglio ! L’ennemi est dans la maison ! »

 
 Italie – Francesco Crippa, président de la section provinciale de Brianna de l’Association Nationale des Parachutistes Italiens, ne supporte plus les messages du pape en faveur de la submersion migratoire et a diffusé sur les réseaux sociaux un message explicite :
 
« Ça suffit Bergoglio ! Nous avons un ennemi dans la maison et beaucoup trop de gens continuent à faire semblant de rien. Les paroles de celui qui l’a précédé devraient réveiller nos consciences de chrétiens et l’isoler ».
 
 Bien sûr, Francesco Crippa n’est pas mandaté pour parler au nom de tous les parachutistes. Il précise d’ailleurs :
 
« C’est mon avis personnel de chrétien et de croyant qui n’approuve pas l’attitude de ce pape et son prêche. Avez-vous remarqué que la Place Saint Pierre le dimanche est à présent toujours à moitié vide et les cadrages de prises de vues des Télévisions sont toujours filmées par le bas ? »
 
Mais il ne fait aucun doute que cet homme très connu parmi les bérets rouges italiens s’exprime avec l’assentiment de beaucoup de ses camarades. Ils savent, eux, le prix qu’il faudra payer tôt ou tard pour se débarrasser de cette situation.
 
 
 

 

Prisons : nouvelle agression par un détenu musulman, nouvelle semaine de grève

Une nouvelle agression de surveillants de prison s’est produite ce dimanche 21 janvier. Depuis une semaine, les agents réclament davantage de moyens. Le blocus total a été décrété pour ce lundi 22 janvier :

Source

“Je ne me vois pas remettre les pieds à la prison” : une surveillante agressée témoigne

Carole, surveillante, est la victime de l’agression qui s’est déroulée mardi 16 janvier au centre de détention de Tarascon (Bouches-du-Rhône) :

Source et Video

Robert Ménard : "Stopper au maximum l’arrivée de nouveaux migrants, favoriser leur intégration, expulser tous ceux qui sont en situation irrégulière"

Comme Philippe de Villiers l'a expliqué en évoquant le Grand remplacement sur BFM TV, Robert Ménard estime également qu'Emmanuel Macron devra relever le défi de l'immigration-invasion s'il veut satisfaire réellement les Français. Extraits de son interview :

On vous sent parfois comme indulgent à l’égard d’Emmanuel Macron

(...) Je ne suis pas de ceux qui pratiquent la politique du pire. Peut-être, aussi, que notre petite expérience du pouvoir à Béziers (...) me conduit à davantage prendre en compte le poids du réel, des contraintes. Mais, surtout, je juge sur pièces. Et, pour l’instant, c’est plus encore pour ce qui n’est pas fait par Emmanuel Macron que je serai critique. En clair, si j’approuve sa politique, par exemple, dans le domaine de l’école, je ne peux que constater son silence sur tout ce qui touche à la crise d’identité que vit notre pays. Or, cette question est au cœur de l’immense malaise de ceux que je rencontre tous les jours. Un pays qui doute de lui-même aura le plus grand mal à se ressaisir, à mettre en œuvre les mesures qui s’imposent pourtant. Comment demander toujours plus d’efforts à ceux qui n’ont presque rien quand on continue à ouvrir nos frontières à ceux-là mêmes qui viennent les concurrencer sur le marché du travail ou leur imposer des modes de vie étrangers à tout ce qu’ils sont ?

Le ministre de l’Intérieur fait preuve, pourtant, d’un certain courage face aux associations pro-migrants…

Si vous me demandez de choisir entre Gérard Collomb et la CIMADE, je n’hésiterai pas, vous vous en doutez. Reste à savoir sur quoi débouchera, concrètement, le projet de loi sur l’immigration. Ce sera un vrai test pour le gouvernement de monsieur Macron. On rentre dans le dur. Aura-t-il le courage de faire les choix que – faut-il le rappeler – l’immense majorité des Français soutiennent : une baisse draconienne de l’immigration, la fin des avantages accordés aux clandestins en matière d’accession aux soins, l’accueil des véritables réfugiés politiques mais l’expulsion des déboutés du droit d’asile, etc. L’immigration régulière explose et a battu tous les records en 2017 : 262.000 migrants sont arrivés en France. Avec sa conséquence immédiate : 70 millions d’euros de plus votés au budget pour l’AME, l’aide médicale d’État. Le « en même temps » ne peut pas fonctionner face à ce qui est vécu comme une menace pour l’ADN de notre pays. On ne peut pas, éternellement, éluder la question de flux migratoires sans précédent. Qui plus est quand ces migrants sont porteurs d’une culture, d’un mode de vie si différents des nôtres et auxquels un grand nombre d’entre eux ne veulent pas renoncer, refusant du coup toute idée d’intégration et, encore moins, d’assimilation.

L’islam serait donc incompatible avec nos valeurs républicaines ?

Quand, sondage après sondage, il ressort que bon nombre de personnes issues de l’immigration – dont certaines appartiennent à la troisième, voire à la quatrième génération installée en France ! – déclarent donner la priorité aux enseignements de l’islam sur les valeurs de notre pays qui, sur le papier, est le leur, on est en droit de s’interroger. Il ne s’agit pas de montrer du doigt tous les musulmans mais de poser les questions qui fâchent. Comment en est-on arrivé là ? Suffit-il de mettre en cause l’école ? La pauvreté, le chômage qui frappent particulièrement cette population sont-ils les seules explications ? L’islam est-il une religion comme les autres ? Entretient-il le même rapport avec le pouvoir politique ? Ces quelques questions – et il y en a bien d’autres – suffisent à battre en brèche les poncifs qu’on nous sert à longueur de journée dans la plupart des médias ou des discours à l’Assemblée nationale.

Mais alors, comment s’y prendre ?

En adoptant cette méthode conservatrice que j’essaie de brosser au fil des semaines dans ces interviews. Partir de l’expérience vécue, faire preuve de bon sens, trier entre ce que nous voulons conserver et les changements nécessaires. La très grande majorité des musulmans de France sont français, et donc appelés à y rester. Il n’y aura pas de grands départs à destination de leurs pays d’origine. Il nous faut, en revanche, réduire à leur plus simple expression les regroupements familiaux qui ne font qu’accentuer le poids de cette immigration de peuplement (...)

Mais tout cela ne va pas changer la donne… 

Stopper au maximum l’arrivée de nouveaux migrants, tout faire pour favoriser leur intégration, expulser tous ceux qui sont en situation irrégulière : vous avez un autre programme ? Je n’en ai pas d’autre. Ce qui ne veut pas dire qu’en attendant qu’un gouvernement prenne les mesures qui s’imposent, nous restions les bras croisés. Si nous voulons faire en sorte que de plus en plus de musulmans sortent des griffes des plus extrémistes d’entre eux, il nous faut encourager ceux qui choisissent le camp de la France. Je le constate tous les jours, dans les quartiers où se concentrent la majorité des populations d’origine immigrée : c’est malheureusement les plus radicaux qui font la loi, qui n’hésitent pas à menacer leurs coreligionnaires qui dialoguent avec des élus comme moi. Il nous faut être aux côtés de ces derniers. Dans ce domaine, il nous faut faire preuve de pragmatisme. Tout le reste n’est que rhétorique et fanfaronnades (...)

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