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mardi, 16 janvier 2018

Immigration, islam : vous reprendrez bien un peu de Clémentine Autain ?

Questionnée jeudi chez Jean-Jacques Bourdin sur le droit d’asile, Clémentine Autain finit par avouer qu’on se devait de l’accorder à tous, aux 100.000 demandes de 2017 – évidemment, par discrétion, on ne demandera pas si elle le pense aussi de celles de 2018 et plus. Au fait, des combien, en 2018 ? Vite, quelqu’un pour lui offrir Le Camp des saints, elle n’a pas dû le lire ! Mais vous comprenez… C’est que : « Comment traiter les demandes qu’on refuserait ? On les renverrait où, ces pauvres gens qui ont traversé la Méditerranée au péril de leur vie ? » Le concept de l’aide au développement que soutient Clémentine Autain ne doit sans doute pas inclure le peuplement des pays concernés par des autochtones. Elle ne voudrait pas que nous les envahissions à rebours, non ? Voudrait-elle que nous renvoyions des gens formés, instruits de quelque métier ? Je gage que non.

Mais la dame y tient : « Il ne faut pas pratiquer le tri sélectif comme la circulaire gouvernementale y invite. » Bah… Moi qui croyais le concept à la mode ! Gasp, me voilà fait ! Car inviter gentiment les déboutés du droit d’asile à rentrer chez eux, cela reviendrait simplement à appliquer nos lois.

Notre député abordait ensuite le sujet de la laïcité. Y aurait-il des familles qui, en Seine-Saint-Denis, incitent leurs petites filles à ne pas jouer avec les garçons ? « Heu… Heu… » Ahurie, elle répondit ne pas en avoir connaissance. Des enfants qui invitent les autres à jeûner durant le ramadan, à l’école primaire ? « C’est possible. » Alors, que fait-on ? l’interrogeait Bourdin. « Si l’on veut être stratège avec la laïcité… Heu… Heu… On doit bien voir l’immense phénomène de sécularisation [de l’islam]. » Pourtant, en sa circonscription, il est près de 150 lieux de culte du « Prophète », contre moins de 120 chrétiens (cf. Finkielkraut sur BFM TV le 19 novembre dernier). Est-ce là l’irrésistible élan de la laïcité que croit voir Mme Autain ?

« Beaucoup de musulmans sont parfaitement intégrés avec les valeurs de la laïcité », ajoute-telle. Elle doit ignorer que 28 % de ceux vivant en France offrent un profil d’« ultras » plébiscitant le plus souvent le port du niqab et la stricte application de la charia (cf. Institut Montaigne, septembre 2016) – et l’on peut douter que ce pourcentage ait diminué depuis.

 « Oculos habent et non videbunt, nares habent et non odorabunt… » Elle poursuit ainsi en parlant d’une toute petite minorité, comme dans les autres religions (dit-elle), où l’on sent une forme d’intégrisme. On cherche en vain où elle peut voir d’autres religions imposer leurs mœurs et lois religieuses… Mais cela doit la soulager de souligner… l’inexistant. Le vide. Tout un art, ça, Madame… Un beau concept… Pff…

Quand un député du Parlement français nous dit que « le tri sélectif met en cause les droits humains », nous est-il permis de l’inciter à s’instruire auprès de la commission des lois, qui lui apprendrait que les droits des nations existent aussi ? Encore quelque chose qui dut échapper à sa formation… Lui dire que le réchauffement climatique n’est pas une cause profonde des migrations depuis le Maghreb ou le Moyen-Orient, comme elle semble le penser ? Lui dire que l’accueil des boat-people vietnamiens avait un autre motif que le régime de Mohammed VI ou même celui d’Al-Sissi ? Re-Pff…

Bertrand du Boullay

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Un référendum sur l’immigration ? Chiche !

Macron assure qu’il veut renvoyer les immigrés illégaux. Les sondages donnent 65 à 70 % de personnes qui trouvent trop élevé le nombre des étrangers. Macron a-t-il la base sociale pour aller dans ce sens ? Il est l’élu de la bourgeoisie cosmopolite. Selon l’étude Ipsos-Sopra Steria de juillet 2017, « les clivages sociaux restent un discriminant très net : 77 % des ouvriers jugent qu’il y a trop d’étrangers en France contre 66 % des employés, 57 % des professions intermédiaires et 46 % des cadres ».

Les dirigeants de l’oligarchie, notables de LREM, élus grâce à leur investiture, dirigeants d’associations pro-immigrés minoritaires, très grand patronat notamment financier, médias « officiels », universitaires de gauche sont hostiles à cette nouvelle orientation de Macron. Va-t-il passer outre ? Peut-il passer outre ?

Quand la société est divisée avec, d’un côté, le peuple, de l’autre, les représentants d’organisations oligarchiques qui dirigent en fait le pays et qui bloquent toute réforme, il n’y a qu’une seule solution pour faire triompher la démocratie : le référendum.

En Suisse, par exemple, la votation populaire « contre l’immigration de masse » a été adoptée par le peuple le 9 février 2014. Le texte voté prévoit des quotas d’étrangers « selon les besoins de l’économie dans le respect du principe de préférence nationale ». Tous les partis étaient hostiles, sauf un seul, le plus important parti suisse (30 % des voix) : l’Union démocratique du centre.

Le clivage entre les élites politiques et le peuple se retrouve à l’étranger. La Commission européenne envisage de se venger sur les étudiants suisses en les excluant des programmes d’échanges universitaires subventionnés. Mais, selon un sondage Blick du 15 février 2014, 61,8 % des Allemands, 69,7 % des Français et 77,5 % des Anglais se montreraient « favorables » ou « plutôt favorables » à un modèle comparable à l’initiative « contre l’immigration de masse » acceptée en Suisse (RTS Info).

 La question qui se pose en France est de savoir si un Président élu par la classe bourgeoise cosmopolite et sur une faible base numérique (24 % seulement des voix au premier tour de l’élection présidentielle) peut faire une politique inverse de celle de ses électeurs. On n’imagine guère l’oligarque Macron se lancer dans un référendum. Alors, comment franchira-t-il l’obstacle de ses propres réseaux oligarchiques ?

La question du référendum se pose aujourd’hui en Europe, partout où la classe oligarchique dominante s’oppose aux souhaits du peuple qui souffre de l’immigration, de l’insécurité et du chômage.

En matière d’immigration, la France viole les trois principes de sa devise : Liberté, Égalité, Fraternité. Le fait que le peuple ne puisse rien dire sur l’immigration, en l’absence de référendum, est une atteinte évidente à la liberté. Qu’en pense M. Macron ? Les sociologues ont montré que la bourgeoisie cosmopolite évitait le contact avec les migrants dans le logement et à l’école. Les inconvénients concrets de la migration, c’est pour le peuple ! Pas d’égalité. Qu’en pense Macron ? Enfin, le sociologue américain Robert Putnam a montré que la diversité ethnique détruisait la solidarité et la fraternité. Plus la population est diverse, plus la méfiance est grande entre les individus. Donc, baisse de la fraternité. Qu’en pense Macron ?

Il est difficile de faire une politique contraire aux idées de sa base sociologique. Seul le peuple, consulté par référendum, peut lever l’obstacle. En l’absence de ce recours au peuple, Macron a peu de chance de réussir à réduire l’immigration de façon concrète, même s’il le voulait vraiment.

Yvan Blot

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Journée du Migrant : le pape François demande aux Européens de dépasser « leurs propres peurs » pour « accueillir »

Ce 14 janvier 2018 était mondialement dédié aux migrants et aux réfugiés sur une ligne résolument politiquement correcte et immigrationniste.

Instituée sous Benoît XV, en 1914, dans le but avant tout de venir en aide aux émigrés, aux réfugiés et prisonniers de guerre catholiques, afin qu’ils gardent la foi dans des pays souvent protestants, cette Journée mondiale est devenue pour la Rome moderniste le moyen de diffuser « à partir des années 80, […] un discours de soutien aux migrants, d’où les populations des pays d’accueil sont absentes, sauf pour leur rappeler leur devoir d’hospitalité », explique le journaliste Laurent Dandrieu, in Eglise et immigration : le grand malaise. De Paul VI au pape François, ce message universaliste , « qui pousse l’Amour de l’Autre jusqu’au mépris des siens » et qui « n’est pas plus conforme au véritable esprit catholique qu’il ne l’est à la nature humaine », n’a cessé d’enfler jusqu’à devenir le thème de prédilection du pape François. Qui, bien entendu, a honoré cette Journée mondiale du migrant et du réfugié :

« Cette année, j’ai voulu célébrer la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié par une messe à laquelle vous avez été invités, vous en particulier, migrants, réfugiés et demandeurs d’asile. Certains d’entre vous sont arrivés depuis peu en Italie, d’autres y résident et y travaillent depuis de nombreuses années, et d’autres encore constituent ce qu’on appelle les «deuxièmes générations».

Durant le sermon de cette messe célébrée dans la basilique Saint-Pierre de Rome en présence de « migrants et réfugiés » de 49 pays différents, volontairement invités par le Vatican, le pape argentin a lancé son centième appel à l’accueil et à l’intégration en exhortant les Occidentaux à dépasser « leurs propres peurs » :

« Dans le Message pour la Journée d’aujourd’hui, j’ai écrit : ‘Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus-Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté (cf. Mt 25, 35.43).’ […] C’est une invitation à surmonter nos peurs pour pouvoir aller à la rencontre de l’autre, pour l’accueillir, le connaître et le reconnaître. »

Il a parallèlement, il est vrai, demandé aux étrangers qui arrivent en Italie et en Europe le respect des lois, de la culture et des traditions du pays dans lequel ils débarquent. Mais c’est là une demande fallacieuse : ces « réfugiés et migrants » arrivent souvent de façon illégale sur le sol européen ce qui est déjà en soi un irrespect des lois du pays d’accueil. Et utopique : la majeur partie d’entre eux sont des musulmans, attachés viscéralement à leur religion, qui ne sont pas prêts à abandonner leurs lois coraniques. Or celles-ci s’opposent de façon fondamentale, radicale, à la civilisation chrétienne dont est pétrie l’Europe.

Ce qui est également déplorable dans ce discours altruiste bergoglien c’est la manipulation dans la description de l’attitude des Européens. Le pape se plaît à appeler « des peurs » ce qui sont des honnêtes et raisonnables inquiétudes dictées par un attachement naturel à l’identité, aux traditions et cultures européennes que les peuples du Vieux Continent veulent sauvegarder de la mort programmée par le métissage imposé par les élites mondialistes. Mais en choisissant de les définir comme des « peurs », le pape les rabaisse au niveau de sentiments irrationnels, voire honteux : quel homme, en vérité, aime à se faire traiter de peureux et n’essayera pas de se défaire de cette étiquette malsonnante !

Jorge Maria Bergoglio est décidément un collaborateur éloquent du « délitement de l’Europe » (L. Dandrieu) et de l’islamisation de la société occidentale.

Francesca de Villasmundo

lundi, 15 janvier 2018

Un islamiste Toulousain arrêté en Syrie

priere islamiste mirail toulouse
Capture d'écran du documentaire : Mirail, quartier impopulaire, illustrant une prière islamique dans la rue, lors du Ramadan 2016.

Un islamiste Toulousain, Mohamed Zine El Abidine Megherbi, a été arrêté en décembre dernier en Syrie par les forces kurdes. Il avait rejoint l’Etat islamique dès 2014. 

Encore un djihadiste toulousain à la une ! Mohamed Zine El Abidine Megherbi a été arrêté le 13 décembre 2017 par les Unités de protection du peuple kurde dans la région d’Hassaké (entre Mossoul et Raqqa). Âgé de 36 ans, l’homme s’était rendu avec sa famille en Syrie dès avril 2014.

Il n’est pas le seul à avoir été arrêté en fin d’année. Comme l’annonce Le Point, le Toulousain a été arrêté en compagnie de cinq autres ressortissants « français », alors qu’ils tentaient de fuir vers la frontière turque. Son frère, Najib Megherbi (29 ans), Thomas Barnouin (originaire d’Albi), , Kévin Gonot (31 ans, originaire du Lot), Thomas Collange (35 ans) et Romain Garnier (34 ans) sont ses compagnons d’infortune.

Deux vétérans du réseau islamiste d’Artigat arrêtés

Dans la liste de ces français arrêtés près de la frontière turque, deux noms sont familiers dans le réseau salafiste régional. En effet, Mohamed Megherbi et Thomas Barnouin sont tous deux des cadres importants de la tristement célèbre « filière Artigat », qui a vu former Abdelkader et Mohammed Merah, Fabien Clain et Sabri Essid. Tenu par l’imam Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », ce groupe recrutait des candidats au djihad pour les envoyer sur le front, en Irak.

Lire aussi : Entretien avec Alexandre Mendel : « Toulouse djihadiste »

Mohamed Megherbi et Thomas Barnouin ont déjà été condamnés en juillet 2009, à six ans de prison ferme pour avoir joué un rôle clé dans la filière basée en Ariège. Peu après avoir purgé leur peine -écourtée-, ils rejoignent les rangs de l’Etat Islamique dès le début de l’année 2014.

Mohamed Megherbi s’est fait connaître dès le début des années 2000. Proche de la famille Clain, il épousa religieusement leur demi-soeur en 2002. Elle n’avait que 16 ans. En 2003, il devient un « candidat djihadiste de la première heure » pour aller combattre en Irak, selon les termes du jugement à son procès, rapportés par France 3. Entre 2003 et 2006, il effectue de nombreux allers-retours entre la France et la Syrie, jouant le rôle de « facilitateur » pour les candidats au djihad dans l’Irak voisin, il est interpellé en 2007.

Reste encore dans cette zone près de 1 700 sympathisants de Daech partis de France. A ce chiffre, du gouvernement Français, il faut déduire 278 morts et 302 retours dans l’Hexagone. On reste encore sans nouvelle de Sabri Essid, beau-frère des Merah et proche de Kévin Gonot.

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[Allemagne – Fait Divers] Un migrant afghan tue son ex-petite amie de 15 ans

Une affaire qui rappelle tristement le meurtre de Maria Ladenburger, à Fribourg. Cette fois-ci, il s’agit également d’un meurtre commis par migrant s’étant fait passer pour mineur, et qui serait en réalité majeur. Un crime qui d’ailleurs aurait pu être évité : la victime et ses parents avaient déjà signalé le comportement dangereux d’Abdul D., l’homme en question. Le journal allemand Bild.de titre même : « Könnte Mia noch leben ? » (Mia pourrait-elle vivre encore?).

D’un coup de couteau dans le coeur, Abdul a tué le 27 décembre dernier son ex-petite amie Mia. Les deux s’étaient connus à l’école, car Abdul s’était déclaré mineur. Il suivait donc les cours à l’école comme tous les jeunes de son âge.  Ne pouvant fournir de date de naissance exacte, on lui avait attribué le 1er janvier 2002. Aucun examen médical n’est venu contredire cette déclaration, ce qui fait dire à Angélique Möhlig, équivalent en Allemagne du procureur de la République : « Actuellement, nous n’avons aucune connaissance assez assurée de l’âge de l’accusé. ». Pour rappel, Hussein Khavari, meurtrier de Maria Ladenburger, prétendait avoir 17 ans, alors qu’il en a en réalité 33 (!).

La page Facebook « Die Bewegung » indique même : « De plus en plus de détails sont maintenant connus. Sa demande d’asile avait déjà été rejetée en février 2017. Aurait-il pu être expulsé depuis longtemps ? « . 

Capture d'écran de la page Facebook "Die Bewegung"

Capture d’écran de la page Facebook « Die Bewegung »

Les migrants se déclarent souvent mineurs pour bénéficier d’une meilleure prise en charge. Abdul D. était cependant violent, convoqué pour des faits de violence et de harcèlement. Il a été convoqué à un interrogatoire de police où il ne s’est pas présenté. Une deuxième convocation est venue le 27 décembre. Quelques heures plus tard, il poignardait à mort Mia. L’accusé était donc connu pour sa dangerosité, mais il n’a pas été mis hors d’état de nuire à temps. Un autre crime perpétré par un « migrant », qui soulève l’indignation en Allemagne. Et qui ne rend pas service aux authentiques réfugiés.

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Adolescent poignardé lors d'une rixe à Paris: quatre jeunes en garde à vue

L'affrontement a opposé une trentaines de personnes à Bastille, issues des bandes du XIe et du XXe arrondissement de Paris.

Quatre adolescents se trouvaient dimanche soir en garde à vue dans l'enquête sur la rixe entre bandes survenue la veille à Paris au cours de laquelle un jeune de 15 ans a été mortellement poignardé, dans le quartier de la Bastille, a-t-on appris de source judiciaire. 

Les enquêteurs s'attachaient à établir le degré d'implication de ces quatre jeunes âgés d'une quinzaine d'années, dans cette brève mais violente bagarre qui a éclaté dans le XIe arrondissement de Paris, rue de la Roquette, connue pour sa vie nocturne animée le week-end. 

 Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée au 2e district de police judiciaire (DPJ) de Paris, une trentaine de jeunes appartenant à des bandes des XIe et XXe arrondissements se sont opposés, entre 19H30 et 20H00. 

Trois des jeunes nés en 2002

Parmi les quatre jeunes en garde à vue - dont trois sont nés en 2002 et l'un en 2003, figurent les deux adolescents interpellés sur les lieux après avoir été désignés par des témoins comme ayant participé à la bagarre, selon une source proche de l'enquête. 

Les enquêteurs entendaient également un mineur qui "s'est présenté spontanément à la police cette nuit en qualité de témoin mais qui a indiqué avoir participé à la rixe au côté de la victime décédée", selon la source judiciaire. Il a été placé en garde à vue pour "violences et participation a un attroupement armé". 

Un autre jeune, interpellé samedi mais avant les faits vers 17h40 suite à une première rixe, était lui aussi en garde à vue dimanche. Dans son cas, les enquêteurs cherchent à établir les éventuels liens entre les deux bagarres. 

"La bagarre a duré 2-3 minutes"

Au cours de la bagarre, dont les causes restaient pour l'heure inconnues, un adolescent de 15 ans a été grièvement blessé à l'arme blanche. Arrivés sur place, un passant puis des policiers et les secours ont tenté de porter assistance à la jeune victime avant que celle-ci ne soit transportée en urgence à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière où son décès sera déclaré peu après 21 heures. 

"Cinquante jeunes ont déferlé dans toute la rue. Deux groupes bien distincts se sont formés. Il y a eu des cris et de loin on a vu un gamin de 14-15 ans à terre. Il y a quelqu'un qui a essayé de faire un massage cardiaque et après les policiers ont bouclé le quartier. La bagarre a duré 2-3 minutes. Un policier (...) a dit qu'il avait été poignardé avec une lame de 30cm", a déclaré un témoin de la scène. 

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La liberté de critiquer l'islam est menacée

 

Terres-De-Mission-364x245Programme de l'émission Terres de Missions du 14 janvier à 12h00 sur TV Libertés :

  • Terre de missions reçoit François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service Politique, qui fait un point sur l'un des combats actuels majeurs de la Fondation: le combat contre la pornographie, qui l'a notamment amené à porter plainte contre le ministère de l'Education nationale pour incitation à la débauche.
  • L'abbé Paul Aulagnier parle ensuite de son dernier livre: "A la fin, mon coeur immaculé triomphera". Ce livre consiste en une lecture ligne à ligne, et même souvent mot à mot, des principales hymnes mariales du bréviaire romain traditionnel. Avec une attention toute particulière à la poésie de ces oeuvres magnifiques, de même qu'à leur admirable densité doctrinale.
  • Enfin, l'abbé Guy Pagès, dont la page Facebook vient, une nouvelle fois, d'être suspendue discute de la curieuse situation actuelle où, en Occident même, les pouvoirs publics et les grandes sociétés appliquent, d'une certaine façon, la charia, puisqu'ils condamnent toute critique de l'islam comme une sorte de racisme - condamnant ainsi les musulmans à demeurer enfermés dans leurs erreurs.

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Le racisme anti-blanc d'une attachée d'un parlementaire communiste

 

Lu dans Présent :

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Paris : la facture Vélib continue de s’alourdir

La nouvelle année signifie pour certains la prise de résolutions, parfois bonnes (comme le retour à un peu d’exercice physique, l’arrêt de la cigarette, en finir avec la croyance enfantine que l’Etat fait du bon boulot, etc.) et parfois moins bonne comme on pouvait s’y attendre de la part de la Maire de Paris. Vous l’avez deviné : Anne Hidalgo et son équipe ont encore sévi.

Tout part du constat que vous connaissez déjà : la voiture est officiellement pourchassée hors des confins de la Cité et si on l’autorise encore à trottiner (à vitesse modérée, oh, là !) sur un périphérique de plus en plus mal entretenu, il en va autrement dans les rues de la capitale où sa présence est officiellement indésirable.

Il faut bien comprendre que ces engins sont polluants, dangereux et occupent une place bien trop importante sur la chaussée, ce qui rend d’ailleurs beaucoup plus compliqués les déplacements (en voiture, n’est-ce pas) de la Maire de Paris. À cette fin et entre deux déplacements en voiture banalisée sous escorte policière, elle recommande donc chaudement de prendre les transports en commun, à la fois propres, fiables et ponctuels ou d’emprunter alternativement l’un des nombreux vélos en location dont la ville s’est officiellement affublée il y a maintenant dix ans.

Oui, le Vélib, cette réussite cyclo-urbaine à portée de toutes les bourses éco-conscientes, permet aux Parisiens petits et grands de se faire écraser par un bus de la RATP pour des tarifs extrêmement modiques et pour les autres de pavaner dans les réunions pince-fesses en prétendant arriver à vélo, le jarret frétillant, même si le taxi vient de vous déposer.

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En Allemagne, 30% des étudiants musulmans prêts à mourir pour l’islam

Le site Observatoire de l’Islamisation vient de publier les résultats d’une enquête effectuée en Basse-Saxe auprès des étudiants musulmans. Un conclusion pour le moins explosive puisqu’elle révèle que 8% d’entre eux soutiennent l’État Islamique et pire encore, trouvent tout à fait sympathiques les attentats terroristes. C’est le très sérieux quotidien allemand Die Welt qui vient de faire découvrir à ses lecteurs ce chiffre assez effarant. C’était naturel que Nouvelles de France vous livre, à son tour, la traduction de l’article parue dans Die Welt selon la traduction qu’en a donné Joachim Velocias, patron de l’Observatoire de l’Islamisation.

Cette surprenante conclusion controversée apparaît dans le chapitre 4, sous-section 1. « L’extrémisme et l’islamisme fondamentaliste » est le sous-titre de ce paragraphe et comprend seulement quelques pages. Il fait partie de l’étude remise la semaine dernière sur les causes de la criminalité des migrants, menée par le scientifique criminel Christian Pfeiffer.

Pfeiffer, qui a effectué des recherches pour le compte du ministère fédéral des Affaires familiales, examine principalement dans son étude, le lien entre la violence et l’immigration. Les auteurs rapportent, entre autres, les résultats d’un sondage réalisé en 2015 auprès des étudiants, qui n’avait pas encore été rendu publique. Ils indiquent une proportion considérable d’élèves musulmans qui approuve la violence et la terreur islamiques.

Depuis 1998, l’Institut de recherche criminologique de Basse-Saxe (KFN) sonde régulièrement les étudiants de Basse-Saxe au sujet de la criminalité – en 2015, des données sur les attitudes islamistes ont également été collectées et ce, pour la première fois. 10.638 adolescents de neuvième année ont été interrogés, dont 500 ont déclaré être de confession musulmane. Tous les musulmans n’ont pas commenté l’ensemble des déclarations qui leur ont été présentées – environ 280 d’entre eux y ont répondu. Les auteurs soulignent que le groupe est relativement restreint, mais ils considèrent tout de même que les résultats sont dignes d’intérêt.

L’analyse a montré qu’une personne sur trois (29,9%) parmi les élèves musulmans qui ont fourni des réponses, peut « très bien imaginer devoir se battre et risquer sa vie pour l’islam » . L’affirmation selon laquelle « les lois islamiques de la charia, pour lesquelles, par exemple, l’adultère ou l’homosexualité doivent être sévèrement punis, sont bien meilleures que les lois allemandes » a trouvé un écho favorable chez 27,4% des sondés.

Il est frappant que même l’État islamique (EI) et les attentats terroristes soient perçus positivement par certains d’entre eux. Par exemple, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu croient qu’il est juste que leurs frères croyants du Moyen-Orient essaient de fonder un État islamique par la guerre; 3,8 pour cent ont même répondu positivement à la phrase suivante: « Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs, au besoin par des attaques terroristes. »

Près d’un cinquième des élèves était d’accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; ils doivent donc se défendre par la force»(19,8%). Presque autant tiennent pour exacte l’expression: « Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l’islam dans le monde » (18,6%). Un peu moins d’un cinquième a également trouvé que «les ennemis de l’Islam» doivent être attaqué avec la plus grande sévérité (17,7%). Le niveau d’approbation est légèrement plus élevée chez les élèves masculins que chez les femmes – mais les différences ne sont pas significatives.

Concernant cette fracassante révélation que près d’un élève musulman sur trois est prêt à donner sa vie pour l’islam, est à rapprocher de ce qu’un sondage, paru dans Le Figaro en septembre 2016, laissait entendre : en France, 28% des musulmans plébiscite le port du niqab et sont favorables à l’application de la charia.

A l’heure où le gouvernement se penche sur les lois migratoires, peut-on espérer que ces études le fasse réfléchir.

Floris de Bonneville

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Romans-sur-Isère : un homme hurle “Allah Akbar” dans la collégiale avant d’en vandaliser la façade

Encore un déséquilibré !

Mercredi matin [10 janvier], la visite d’une classe du lycée du Dauphiné à la collégiale Saint-Barnard avait été perturbée par un homme de 34 ans […] Il aurait reproché aux jeunes filles leur manière de s’habiller, avant de crier « Allah Akbar ». Il aurait également dégradé la façade de la collégiale. Interpellé, l’homme a finalement été hospitalisé dans un établissement spécialisé suite à un examen psychiatrique.

Source : FDesouche 13 janvier depuis Le Dauphiné (Merci T. D. pour ce signalement)

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Le Tour de France de l’égalité femmes/hommes : ces lieux où il ne passera pas…

Vendredi 12 janvier, la caravane du « Tour de France de France de l’égalité femmes/hommes » est passée par le Vaucluse. Un Tour de France qui a commencé le 4 octobre 2017, lancé en grande pompe par le Premier ministre, toujours impeccable au milieu de ces dames dans son costume bien taillé. Arrivée prévue – bloquez la date – le 8 mars 2018, Journée internationale des droits des femmes.

Édouard Philippe, dont le sens de l’humour est bien connu, n’a pas hésité, en donnant le coup d’envoi de l’épreuve, à évoquer la « petite reine ». Évidemment, il ne pensait pas à Mme Schiappa, le secrétaire d’État ad hoc et nouvelle madone des plateaux télé. Elle, c’est pour ainsi dire la Christian Prudhomme de ce Tour. Alors, entendons-nous bien, dans ce Tour de France, pas de contre-la-montre, d’escalades de cols, d’échappées, d’abandons…

Non, mais des ateliers. Très à la mode, les ateliers. Depuis que la France a délocalisé à travers le monde une grande partie de sa production, le mot « atelier » a pris un tout autre sens. Moins salissant, si vous voulez. Pour participer à ce genre d’atelier, pas besoin d’enfiler une salopette bleue et de se coiffer d’un casque de Playmobil®. Non, non, venez comme vous êtes.

Le dossier de presse réalisé par le secrétariat d’État chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes donne des chiffres clés : 18 déplacements de ministres, pas moins. Plus de 300 ateliers. Un objectif : plus de 50.000 participants. Une consultation des internautes a même été lancée. Là, pour le coup, ça pédale un peu dans la semoule : 23.000 réponses. Va falloir changer de braquet et mordre dans le guidon, Marlène ! D’autant que le Président a décidé d’ériger l’égalité entre les femmes et les hommes au rang de « grande cause nationale ». Une érection qui vient fort à propos, il faut bien le reconnaître, dans cette ambiance « post-weinsteinienne ».

23.000 réponses, donc. Et des choses intéressantes dans la synthèse des réponses. D’abord, 85,3 % ont été données par des femmes et 13,9 % par des hommes. Faites le compte : ça fait 99,2 %. Une erreur ? Pas du tout. Car Marlène, elle qui n’a que le mot « droit » dans la bouche, a pensé à tout et avait prévu une troisième catégorie, appelée « autre ». Donc, cela signifie qu’un questionnaire, estampillé du logo de la République française, reconnaît un troisième sexe ou genre. C’est peut-être un détail pour vous, comme chantait France Gall… mais ça veut dire beaucoup.

 Ensuite, une réponse qui « interpelle » : seulement 32,9 % considèrent l’égalité des salaires comme une priorité. Qu’est-ce à dire ? Que ce sujet est un faux problème, que les Français ont d’autres soucis ? Allez savoir.

Mais revenons au Tour de France. Je vous épargne la liste et les intitulés de ces fameux ateliers. Vous les trouverez sur le site du secrétariat d’État avec celle des villes-étapes, des fois que… On ne nous dit pas si Cochonou est partenaire et fait partie de la caravane publicitaire. Donc, ne commencez pas à en parler à vos enfants.

Or, donc, vendredi 12 janvier, la caravane passait par le Vaucluse. À Pernes-les-Fontaines, charmante petite ville, voisine de Carpentras. Au peloton s’est jointe à Mme Schiappa Mme Poirson, secrétaire d’État auprès de M. Hulot. Une conseillère municipale et départementale Front national, Marie Thomas de Maleville, a fait remarquer, dans un communiqué repris par la presse locale, que cela n’aurait pas manqué de sel que Carpentras soit ville-étape. En effet, sachant qu’un des thèmes abordés dans ces ateliers est « la parole des femmes victimes de violence » et que M. Adolphe, le maire de Carpentras, ardent soutien de M. Macron et de Mme Poirson, a par ailleurs été condamné en appel pour violence conjugale (il est dans l’attente du résultat de son pourvoi).

Cette élue a aussi regretté que ce Tour de France ne passe pas « par ces lieux où l’islamisme prospère en Vaucluse, où l’égalité femmes/hommes est bafouée quotidiennement » . Un passage qui a échappé, comme par hasard, à la presse locale. Heureusement que Boulevard Voltaire est là pour faire la voiture-balai…

Georges Michel

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Nous réclamons plus de moyens pour nos forces de l’ordre !

Ils ont veillé sur notre réveillon de la Saint-Sylvestre, nous comptons sur vous pour soutenir aujourd’hui nos militaires engagés héroïquement contre le terrorisme islamiste, que ce soit au sein de l’opération Sentinelle, en Syrie, au Mali ou en Centrafrique. Ils se battent pour nous contre les barbares et sont pourtant logés dans des conditions indignes.

Les militaires sont parqués dans ce qui ressemble tout juste à de petits enclos à bestiaux, insalubres, infestés de nuisibles, sorte d’enfer pour les héros. Chaque soldat qui se suicide nous rappelle cette triste réalité !

Et elle nous est insupportable !

Les migrants illégaux, qui enfreignent toutes les lois de la souveraineté nationale, dégradent les terrains agricoles du Calaisis ou les rues de Paris, font l’objet de multiples signalements pour vols, viols et agressions portant atteinte, pour certains, à la sécurité des français, sont souvent logés confortablement à l’hôtel et vivent de subsides publics.

Les héros, qui souffrent silencieusement au quotidien pour défendre les Français des barbares islamistes qui les assaillent, sont systématiquement relégués dans la fange et le froid.

C’est inadmissible !

Les militaires ont été humiliés par le Président Emmanuel Macron, qui a agi en enfant boudeur et s’est montré indigne de la fonction suprême.

 Dès lors que leur chef les méprise, c’est à nous, Français, de réclamer justice pour nos forces de l’ordre !

Ce ne sont pas des animaux pestiférés qu’il faut cacher ! Ils sont, au contraire, les vibrants héritiers de ces héros qui ont porté jadis nos couleurs à travers le monde, ceux qui ont libéré la Provence, protégé le Liban, sauvé Sarajevo, le Kosovo et Kolwezi. Quelle honte, aujourd’hui, de les voir ainsi abandonnés dans des caves humides ! Nous comptons sur vous pour rétablir la justice !

Nous demandons à ce que les hôtels et autres hébergements d’urgence soient prioritairement utilisés, dans le cadre de leur mission Vigipirate, pour loger ces militaires et ces CRS qui protègent jour après jour les Français!

Nous demandons à ce que nos forces de sécurité aient globalement plus de moyens afin de combattre, que ce soit en France ou à l’étranger, les fanatiques islamistes et tout ennemi qui, demain, se présentera à nous !

À signer et partager de toute urgence, il s’agit désormais d’une question d’honneur national !

Déjà 20.000 signatures, et nous comptons sur vous pour rapidement atteindre les 50.000 !

Guillaume Sevin

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L’insécurité grandit en France

Il y a quelque 48 heures, une fusillade à la kalachnikov, sur fond de trafic de stupéfiants, faisait un mort et un blessé grave dans un quartier animé du centre de Marseille. Dans le même temps, à Clermont-Ferrand, paisible ville de province, un jeune homme était sauvagement poignardé pour avoir voulu s’interposer dans une bagarre. Son pronostic vital était engagé. Au centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil, des surveillants de l’administration pénitentiaire, quant à eux, étaient agressés au couteau et blessés par un djihadiste fanatique, ancien dirigeant d’Al-Qaïda et coresponsable d’un attentat commis en Tunisie en 2002 qui avait fait 21 morts. Ces faits, survenus dans des endroits très différents, mais dans le même laps de temps, démontrent combien la sécurité se dégrade dans notre pays. En effet, sur fond d’augmentation du nombre des homicides survenus en 2016 – notamment du fait des attentats commis sur notre sol -, il apparaît que l’insécurité s’impose peu à peu dans nos villes, dans nos villages, dans nos commissariats et nos gendarmerie (cf. attaques de Limoges, Grenoble et Meylan) et même, aujourd’hui, dans nos prisons.

À l’extérieur, la même violence touche nos soldats. Engagés sur différents fronts, trois de nos militaires viennent ainsi d’être blessés, dont un grièvement, au Mali. Ils vont s’ajouter à la déjà trop longue liste des 154 tués et des 620 blessés en opérations extérieures depuis 2007. Même le très prudent Haut Comité d’évaluation de la condition militaire, dans l’un de ses derniers rapports, jugeait ce nombre « élevé ».

Et face à ce déferlement de violence et d’actes criminels, que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent mais n’agissent pas. Ils ont laissé, au cours de ces dernières décennies, au nom d’un angélisme coupable, la situation sécuritaire de notre pays se détériorer comme jamais. Les effectifs dans la police, la gendarmerie et l’administration pénitentiaire ont fondu comme neige au soleil. Les matériels n’ont pas été remplacés, laissant nos forces de l’ordre et nos militaires intervenir dans les pires conditions. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont sanctionné ceux qui, conscients de leurs responsabilités, tiraient la sonnette d’alarme. Le général Pierre de Villiers en est l’exemple le plus récent et le plus emblématique.

Aujourd’hui, tous les Français sont gravement en danger. Nos banlieues sont sous pression, susceptibles d’exploser à la moindre étincelle. Nos prisons peuvent, à tout moment, connaître des émeutes. Nos militaires, nos policiers et, d’une façon plus générale, tous ceux qui, en uniforme ou non, représentent l’État peuvent être agressés et assassinés à tout moment au nom d’une idéologie mais aussi à cause d’un laxisme que l’on a laissés se développer sans aucun discernement.

 Ainsi, la seule question qui vaille, désormais, n’est pas de savoir où et comment interviendra l’événement qui mettra le feu aux poudres, mais bien de savoir quand. En effet, malgré l’engagement sans faille de celles et ceux qui assurent notre sécurité intérieure et extérieure, il est maintenant acquis qu’ils ne peuvent plus que contenir le vaste mouvement d’envahissement qui menace notre pays. Trop peu de personnels, trop peu de moyens, mais surtout trop peu d’envie et un manque de vision globale de la part de politiques qui ont eu, jusqu’ici, plus à cœur de préserver leurs positions et leurs mandats que de se battre pour rétablir la paix sur notre sol.

Face à ce renoncement, c’est donc à nos forces de l’ordre de se faire entendre par tous les moyens légaux dont ils disposent. À eux d’exiger les moyens d’exercer leurs missions, et de mettre nos politiques au pied du mur.

Olivier Damien

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Les migrants gentiment accueillis se révoltent ! Et vous savez pourquoi ?

Parfois me reviennent en tête certaines phrases : « Femmes, soyez soumises à vos maris et vous, maris, aimez vos femmes. » Les incultes, les féministes et Raphaël Enthoven monteront immédiatement sur leurs grands chevaux pour galoper jusque sur Twitter et dénoncer ces paroles inqualifiables, me traîneront devant les tribunaux et, si j’ai de la chance, la Cour de cassation rappellera à tout ce petit monde que je n’ai fait que citer ce pauvre saint Paul (Éphésiens 5,25) et me remémorer les paroles entendues lors de mon mariage. Avant d’en arriver là, ils auraient pu prendre la peine de consulter quelques bons théologiens leur faire une petite exégèse du célèbre texte paulinien.

Quoi qu’il en soit, n’étant pas théologien, mais simplement marié, j’ai toujours entendu ce texte, malgré l’inacceptable inégalité et la choquante « soumission » pour nos pures oreilles du XXIe siècle, comme un exemple parfait d’amour et d’engagement réciproques. À tel point que, dans ma mémoire approximative, j’entends souvent, traduit dans mon jargon intérieur : « Hey, mec, sois soumis à ta femme, arrête tes c…, respecte-la et toi, aime ton mari, il n’attend que ça. » Mais foin de mes exégèses perso !

Car c’est curieusement en pensant au pape et aux migrants, à toutes nos belles âmes pro-migrants aussi, que je me répétais ces phrases, cette petite théologie du « en même temps » de la charité dont ils me semblent, l’un et les autres, singulièrement manquer. Il serait en effet plus qu’urgent que toutes ces grandes voix qui ne cessent de prêcher l’accueil « inconditionnel » assortissent leur discours à destination des migrants d’un appel tout aussi « inconditionnel » à l’intégration, au respect et à l’amour du pays d’accueil et à sa culture.

Or, que vois-je, ces jours-ci ? En Italie, dans un centre d’accueil de Bolzano, dans le Haut-Adige, des migrants se sont révoltés, ce qui a exigé l’intervention de la police. Et pourquoi ? Parce que leurs yaourts affichaient des dates proches de la péremption ou périmées. En Suisse, à Kriens, toujours dans un centre d’accueil, des migrants se sont rebellés violemment pour protester contre la baisse de leur allocation, programmée en compensation de repas supplémentaires qui leur sont servis. En France aussi, on a constaté de tels comportements.

On a l’impression que la seule culture d’accueil qui leur a été dispensée, avec logement, repas, loisirs, carte bancaire et autres, c’est la culture de la « réclamation », façon revendication syndicale musclée. D’ailleurs, à voir le degré d’amour de la France chez certains immigrés ou descendants d’immigrés, on voit bien que la réclamation haineuse et violente fut trop souvent leur seul acquis culturel…

 Peut-être qu’un enseignement intense de charité équilibrée, réciproque, aurait été et serait « en même temps » nécessaire, non ?

Alors, certes, on ne demandera pas aux migrants d’aller s’engager ou se faire tuer pour la France comme certains de leurs devanciers, des héros, l’avaient fait (Georges Michel le rappelait ici même). Mais l’on pourrait au moins leur raconter ces histoires-là une fois qu’on leur aura expliqué qu’un yaourt, même périmé, est consommable. Et qu’on ne frappe pas son prochain.

En tout cas, exiger d’eux un peu d’amour et de respect du pays d’accueil, ce ne serait pas du luxe, mais une vraie charité.

Mais qui le leur dira ?

Dominique Monthus

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dimanche, 14 janvier 2018

Xavier Raufer : Délinquance - « Le minimum syndical n’est pas assuré dans ce pays. »

Xavier Raufer dénonce le mensonge éhonté que constitue la prétendue baisse de la délinquance affichée par l’Observatoire national de la délinquance.

Il cible les trois sources principales d’insécurité, sur lesquelles doivent se concentrer les actions pour lutter contre la criminalité.

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Avec Macron, le grand remplacement s' accélère et l' on note une hausse importante du nombre de demandeurs d'asile en 2017 !

Avec Macron, le grand remplacement s' accélère  :

"La France a enregistré un peu plus de 100.000 demandes d'asile en 2017, un niveau "historique", avec une forte hausse des dossiers déposés par des ressortissants d'Albanie et d'Afrique de l'Ouest, a indiqué lundi à l'AFP Pascal Brice, le directeur général de l'Ofpra (...) cela confirme que la France est dans les tout premiers pays de la demande d'asile en Europe", notamment derrière l'Allemagne qui s'attend à un peu moins de 200.000 dossiers cette année.

Sachant qu'il n'y a quasiment aucune expulsion des dossiers refusés (64%), la demande d'asile est donc bien une nouvelle filière d’immigration clandestine qui augmente de 100 000 la population étrangère en France chaque année. Ceux qui disent que le solde de l'immigration en France est nul sont des menteurs...

Notons aussi que le mythe des "migrants" venant de pays en guerre est également un énorme mensonge quant on regarde les pourcentages de demandes en fonction des pays : "L'an dernier, le premier pays d'origine des demandeurs d'asile a en effet été l'Albanie (...) forte progression des ressortissants de pays d'Afrique de l'Ouest, notamment des Ivoiriens dont le nombre a plus que doublé (...) Algériens (+24%)".

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Ce ne sont pas des réfugiés, mais une force d’invasion musulmane

À deux jours du début des négociations pour la formation d’un gouvernement en Allemagne, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orbán s’est rendu en Bavière pour y rencontrer son allié Horst Seehofer, allié de Merkel et patron du CSU, le parti frère du CDU d’Angela Merkel, bien que beaucoup plus prudent et sceptique quant à l’immigration. Et cette visite n’a rien d’accidentelle : à travers la Bavière, bien plus proche historiquement et culturellement de l’Europe centrale représentée par le groupe de Visegrád que le nord de l’Allemagne, plus « prussien », Viktor Orbán, qui jouit d’une grande popularité dans l’opposition de droit en Allemagne, sait qu’il peut influencer la politique allemande de façon indirecte. Dans son discours à la presse donné à l’issue des discussions, Viktor Orbán a rappelé son opposition à l’immigration et son rôle pour protéger la Bavière de l’immigration illégale depuis 2015 et pour le respect du droit, « alors qu’ailleurs en Europe le chaos et l’illégalité étaient célébrés ».

« 2018 sera l’année de réaffirmation de la volonté du peuple [concernant l’immigration], » a ajouté le chef du gouvernement hongrois, grand favori des sondages en vue des élections d’avril 2018, pour briguer son 3e mandat consécutif – et quatrième de sa carrière. Selon Viktor Orbán, l’immigration est devenue « un problème pour la démocratie » car les gouvernants de nombreux pays ne font pas ce que les gens attendraient d’eux concernant l’immigration ». Le lien entre terrorisme et immigration est évident pour le Premier ministre hongrois, qui rajoute que la majorité des Européens ne veulent pas vivre avec des gens qui, comme il l’a déclaré dans un entretien accordé au grand journal allemand Bild, « ne sont pas des réfugiés mais une force d’invasion musulmane », ou encore des « gens qui traversent quatre pays sûrs, où leur vit n’est pas en danger, avant d’arriver en Hongrie, et continuer vers l’Allemagne ». Il s’agit « de migrants économiques, qui veulent une vie au niveau de celle des Allemands ».

La lutte contre Soros au cœur de la campagne électorale

Autre combat célèbre du Premier ministre hongrois, George Soros et ses réseaux. Interrogé par Bild sur sa campagne d’affichage contre George Soros, Viktor Orbán a expliqué que le soutien du spéculateur et financier milliardaire à environ 60 ONG pro-immigration constitue un risque pour la sécurité nationale. Le Premier ministre hongrois a également rappelé que la Hongrie n’était pas le seul pays à avoir une barrière anti-immigration (l’Espagne, la Bulgarie, la France ou encore la Lettonie en ont, par exemple) ni le seul pays à avoir refusé les quotas de migrants que Bruxelles cherchait à imposer (rappelant aussi que plus de 20 États membres n’ont pas rempli leurs obligations sur cette question).

Ce mardi 9 janvier, l’eurodéputé des Verts hollandais, Judith Sargentini, est arrivée en Hongrie afin « d’observer la situation » de l’État de droit dans le pays pour le compte du Parlement européen. Ceci malgré sa proximité affichée pour les ONG anti-gouvernementales, la direction de la CEU mise en cause au printemps dernier par le gouvernement de Viktor Orbán et George Soros lui-même, comme l’ont révélé les DC Leaks : malgré sa présence sur les listes des « alliés fiables » de George Soros, Judith Sargentini sera le rapporteur pour l’Union européenne sur ce dossier sensible. De quoi donner encore plus d’eau au moulin de Viktor Orbán, à trois mois des élections.

Article paru sur le site VPost.

Viktor Orban : les réfugiés sont plutôt des envahisseurs musulmans

 

4 w=993 q=high c=0.bildDans un entretien avec le journal allemand Bild le 7 janvier, Viktor Orban s'est livré sur les raisons du refus de Budapest d'accueillir des réfugiés. 

«Nous ne considérons pas ces gens comme des réfugiés musulmans», précisant les voir plutôt comme des «envahisseurs musulmans».

«Si quelqu'un veut venir dans votre maison, il frappe à votre porte et demande : "Pouvons-nous entrer, pouvons-nous rester ?" Ils ne font pas cela, ils ont franchi la frontière illégalement». 

Poursuivant son raisonnement, le Premier ministre de la Hongrie a qualifié le multiculturalisme d'«illusion», jugeant que les sociétés musulmane et chrétienne «ne s'unir[aient] jamais». Quant à l'arrivée d'un grand nombre de musulmans sur le Vieux continent, elle aurait résulté selon lui en l'apparition de «sociétés parallèles».

«Je n'ai jamais compris comment le chaos, l'anarchie et le franchissement illégal de frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l'Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi».

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400 € d'amende pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles

 

6a00d83451619c69e201b8d2be042c970c-320wiNous avions relayé le harcèlement judiciaire subi par Claudine Dupond-Tingaud, militante historique de la droite nationale, pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles le 11 novembre dernier à Quimper. Elle avait même subi 5 heures de garde à vue !

La justice a rendu son verdict et, en plus d'un rappel à la loi, elle a reçu une amende de 400 € pour "outrage à agent public". Voici la réaction de ses proches :

"Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

Ce jour-là, 11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

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En Marche infiltré par des islamistes et leurs idiots utiles

 

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La Nouvelle Revue d'Histoire disparaît

 

C'est par un message sobre qu'on l'apprend sur le site de la NRH :

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En  le dernier numéro est paru. La SARL éditrice Histoire et Mémoire a été liquidée le 14 décembre 2017.

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Toulouse : profs en grève et lycéens fichés S tentés par le djihad

 

Capture d’écran 2018-01-09 à 21.23.52Une soixantaine d’enseignants du lycée Joseph-Gallieni (sur 120) à Toulouse sont en grève, devant l’entrée de l’établissement qui accueille plus de 1 000 élèves du CAP au bac professionnel et technologique. Les cours ont été suspendus et remplacés par des ateliers pour que la parole s’exprime et atténue les maux d’un lycée qui est devenu un espace de non-droit. Les profs sont au bord de la crise de nerfs, certains pleurent en racontant leur quotidien fait d’incivilités et de violences. 

Agressions verbales et physiques « qui se généralisent et se banalisent », « intrusion d’élèves extérieurs qui viennent semer le trouble et commettent des infractions », vols en classe, à l’internat, généralisation de bagarres violentes dans l’enceinte de l’établissement, violences sexistes subies par les filles, élèves et parents qui viennent la peur au ventre, souffrance des enseignants, trafic de stupéfiants, etc.

Et puis les professeurs ont découvert que des lycéens sont fichés S. Virginie, professeur de lettres et histoire, raconte :

« À une prérentrée, un collègue a demandé à la police de connaître les élèves qui ont un casier judiciaire et le policier lui a répondu qu’il ne préférait pas lui donner ces informations, pensant qu’on aurait peur de rentrer dans certaines classes. On a eu, une année, des élèves partis pour tenter d’aller faire le jihad. Quand ils sont revenus, le rectorat nous a répondu de faire appel à notre bon sens pour gérer le problème ».

« Dans les 1 000 élèves du lycée, on a des profils très particuliers. Certains sont très volontaires, mais on a aussi une minorité qui relève de structures spécialisées, médicales, ou relatives à la justice : des élèves qui sortent de prison, qui viennent en cours avec le bracelet électronique, d’’autres qui ont un casier judiciaire assez fourni qu’on nous demande d’intégrer. On fait tout pour que la poudrière explose. »

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Publicité jugée raciste par les antiracistes : H&M présente ses excuses !

La marque suédoise de vêtements H&M exprime des excuses après avoir lancé une campagne de publicité dénoncée par certains bien-pensants comme raciste :

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L’anticomplotisme peut être aussi dangereux que le complotisme

La semaine dernière, Emmanuel Macron annonçait son intention de légiférer contre la diffusion des « fausses nouvelles », notamment en période électorale. Une enquête de la fondation Jean-Jaurès et du site Conspiracy Watch (l’Observatoire du conspirationnisme), réalisée avec l’IFOP, vient opportunément le soutenir en soulignant qu’un courant d’opinion complotiste se développe en France: 79 % des Français y seraient plus ou moins sensibles. Mais cette étude est-elle dénuée d’arrière-pensées ?

Selon Rudy Reichstadt, fondateur de Conspiracy Watch et membre de l’Observatoire des radicalités politiques à la fondation Jean-Jaurès, cette enquête démontre que le complotisme est un « phénomène social majeur » auquel moins d’un Français sur cinq échapperait. La plupart des théories du complot (portant sur la vaccination, le SIDA, l’État islamique, les pressions sur les médias, le nouvel ordre mondial… et, bien sûr, l’immigration et le Grand Remplacement) recueillent des niveaux d’approbation « préoccupants ». Les jeunes seraient les plus touchés, ainsi que l’électorat populiste « de gauche ou d’extrême droite ».

Tout ce qui vise à combattre l’obscurantisme est, a priori, bon à prendre – à condition, cependant, de ne pas tomber dans le travers dénoncé en empêchant de s’interroger, au nom d’une vérité toute faite.

On constate que cette enquête vient à point pour renforcer la volonté du gouvernement de lutter contre les « fausses nouvelles », les plus vulnérables étant les jeunes et les électeurs tentés par le « vote populiste », c’est-à-dire les sympathisants de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Avec des conclusions implicites : formons les esprits des plus jeunes et méfions-nous des extrêmes !

Considérons, par exemple, le rapport des Français à l’immigration. On peut penser que la théorie du Grand Remplacement, conçu comme une stratégie volontaire de substitution de la population française de souche par des immigrés extra-européens, est excessive dans sa systématisation. Mais les problèmes posés par une immigration mal maîtrisée, par l’absence d’intégration, par le multiculturalisme, par les zones de non-droit sur le territoire français sont une réalité qu’on ne peut balayer d’un revers de la main.

 Il reste qu’en qualifiant pareillement de complotistes ceux qui fantasment par ignorance et ceux qui s’interrogent sérieusement, en mettant sur le même plan ceux qui contestent que la Terre est ronde et ceux qui critiquent les excès de l’immigration ou de la vaccination, cette étude tend à discréditer tous ceux qui ne partagent pas la pensée officielle sur des sujets qui font débat.

On ne peut, certes, réduire un phénomène qu’on réprouve à la volonté réfléchie de quelques-uns, dans le secret d’un cabinet. Il faut prendre en compte tous les facteurs qui peuvent intervenir, dont le plus important est, sans doute, l’extension d’une pensée unique, qui devient naturellement le seul mode de pensée.

Mais les anticomplotistes ont tendance à considérer que tout ce qui s’écarte de la norme intellectuelle qu’ils défendent est une forme de folie : au lieu d’examiner les faits et de réfuter les thèses de leurs adversaires par des arguments convaincants, au lieu de faire acte d’éducation en commençant par donner l’exemple, ils les rejettent d’emblée dans la déraison et se présentent comme des maîtres à penser irréprochables.

Cette diabolisation, non seulement alimente les comportements complotistes, mais contribue à créer un consensus artificiel: on élude tout débat sérieux, on abandonne tout jugement critique, on oublie cette qualité qu’Aristote et Platon considéraient comme le point de départ de la philosophie: l’étonnement.

Philippe Kerlouan

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Immigration et pape François : où est passée la prudence traditionnelle de l’Église ?

Malgré quelques références à ses prédécesseurs, il est évident que le souverain pontife accorde à la question des migrations une importance beaucoup plus grande qu’ils ne le faisaient, et surtout qu’il abandonne la position équilibrée du Saint-Siège pour développer une conception très favorable à l’immigration.

Le Compendium de la doctrine sociale de l’Église n’évoquait les immigrés qu’à six reprises en 330 pages et ne consacrait, en fait, que deux courts paragraphes au problème, essentiellement sous l’angle du travail.

« L’émigration peut être une ressource, plutôt qu’un obstacle », résume la pensée. L’idée que l’immigration était une nécessité pour les régions les moins favorisées et qu’elle répondait à une offre de travail non satisfaite conduisait à la considérer comme un phénomène bénéfique, mais à réglementer dans un souci d’équilibre et d’équité, en excluant l’exploitation des travailleurs, en respectant les liens familiaux et en encourageant le maintien dans les zones d’origine, grâce à l’aide au développement.

Même si l’on pouvait formuler des critiques techniques sur l’offre de travail non satisfaite ou sur le regroupement familial, l’inspiration morale du texte était clairement évangélique et, par ailleurs, prudente. On retrouve ce même souci d’équilibre dans les déclarations de Benoît XVI qui, dans son encyclique Caritas in veritate, met en regard « la sauvegarde des droits et des exigences des personnes et des familles émigrées » et « ceux des sociétés où arrivent les immigrés ».

Benoît XVI est européen. Il est informé d’un certain nombre de comportements et des réactions qu’ils entraînent chez les chrétiens.

Le Pape François a abandonné cette prudence et cet équilibre. Il a multiplié les gestes symboliques depuis son premier voyage pontifical le 8 juillet 2013 à Lampedusa. Depuis quelques mois, les déclarations se succèdent. Le jour de l’Assomption, il signe un texte destiné à la 104e Journée mondiale des migrants et réfugiés et formule vingt et une propositions. Celles-ci sont, sans retenue, un appel en faveur d’une politique d’ouverture à l’immigration. Les visas doivent être facilités. Un système d’immigration, des corridors doivent permettre de légaliser l’immigration illégale. Il ne faut pas recourir aux expulsions « non adéquates ». Il faut éviter les détentions. Il faut accorder le maximum de droits, de libertés et d’aides aux immigrés, en matière de justice et d’accès au travail notamment. Il faut respecter leur identité culturelle, mais leur offrir une citoyenneté dissociée du travail et de la pratique de la langue… C’est-à-dire sans intégration ni même insertion, pour ne pas évoquer l’assimilation qui ne respecterait pas l’identité culturelle des nouveaux arrivants !

 Ce texte politique, donc hors infaillibilité, dépasse de très loin le domaine où le pape doit être écouté par les catholiques avec respect et fidélité. Il s’agit d’un texte qui entend dicter leurs choix aux États et aux peuples au mépris de ce que les nations peuvent légitimement concevoir comme leur bien commun. Que les catholiques eux-mêmes s’inquiètent de la présence grandissante et parfois provocatrice d’une religion qui n’est ni proche du christianisme, ni « de paix et d’amour », devrait interpeller le successeur de saint Pierre. Que des décisions en matière de sécurité, de détention, d’octroi de visas et, plus encore, d’acquisition de la citoyenneté relèvent des États selon la volonté des peuples est une évidence criante qui semble échapper au souverain pontife.

Sa cinquième proposition est inacceptable : « Toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale », autrement dit, la sécurité du migrant passe avant la sécurité de l’État qui accueille.

En novembre dernier, à l’occasion de la 5 1e Journée mondiale de prière pour la paix, le Saint-Père avait fixé quatre objectifs : accueillir, promouvoir, protéger, intégrer. Ce cadre s’accompagnait d’une critique de la suspicion dont témoigneraient les populations locales. Et il concluait en appelant les médias à démasquer les stéréotypes qui en seraient responsables.

Il est éprouvant, pour un catholique qui balance entre charité et responsabilité, de trouver dans les propos du pape non une source d’inspiration, mais exactement les mêmes arguments que ceux répandus par le mondialisme et la pensée unique. Le grand Autre n’est plus le prochain mais le lointain, sans souci du petit peuple. Les papes nous avaient habitués à plus de sagesse et à plus de lucidité.

Christian Vanneste

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Quimper : Claudine Dupont-Tingaud condamnée pour avoir dénoncé l'islamisation de la Bretagne...

 

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Source EuroLibertés cliquez ici

Pour avoir « outragé » le policier qui lui arrachait, dans le cimetière militaire de Quimper le 11 novembre 2017, la couverture éloquente de Valeurs Actuelles qui rappelait, sous l’effigie du Pape Jean-Paul II dont la statue est en passe d’être retirée d’une place publique de PLoërmel (56), ces mots de l’écrivain Chateaubriand « chassez le christianisme et vous aurez l’islam », Claudine Dupont-Tingaud, ancienne détenue politique pour avoir défendu l’Algérie Française, ancienne Conseillère Régionale de Bretagne, présidente de REAGIR, secrétaire de QUIMPER-RESISTANCE, comparaissait lundi 8 janvier 2018 à Quimper devant le Procureur de la République pour « rappel à la loi » alors qu’elle avait participé à toutes les manifestations de soutien à une police pas forcément aux ordres. Elle s’est vu imposer 400 euros d’amende !

Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

Ce jour-là ,11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

IMMIGRATION & DIVERSITÉ : TANDIS QUE GÉRARD COLLOMB VA PRÉSENTER SA LOI IMMIGRATION…

 

f682426fee04086bb84efa58fc9b3d8e.jpgMarc Rousset

Tandis que Gérard Collomb, en ce début année, va présenter son projet de loi Immigration – qui ne sera peut-être encore que de la poudre de perlimpinpin, pour reprendre l’expression du Président – et qu’il nous ressort la vieille rengaine usée de la politique de la ville, coûteuse, ruineuse, inefficace et complètement à côté de la plaque, Trump et Poutine, à la tête de deux hyperpuissances, agissent concrètement et nous montrent l’exemple.

Aux États-Unis, la chute d’admission des réfugiés au quatrième trimestre 2017 a été de 79 % : 5.323 au lieu de 25.671 réfugiés au quatrième trimestre 2016 (dont 13 % seulement de musulmans et 60 % de chrétiens). Les États-Unis, mais aussi Israël, la Hongrie, les pays de l’Europe de l’Est et l’Australie nous montrent donc l’exemple.

Poutine, lui, en ce début d’année 2018, a décidé de faire un cadeau aux jeunes parents russes. Une allocation supplémentaire de 3.700 euros sera accordée dès le premier enfant sur une période de dix-huit mois. La Russie est donc à l’antipode de la politique du socialiste Hollande et du grand-père par alliance sans enfants Macron qui s’attaque au principe de l’universalité des allocations familiales, sachant très bien qu’en faisant cela, c’est à la classe moyenne française qu’il s’attaque.

Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an. Ils devraient être limités et combattus par une loi nouvelle revue et corrigée beaucoup plus stricte qui reviendrait à l’esprit de la loi Veil. De Gaulle, devant l’Assemblée constituante en 1945, n’avait-il pas déclaré que « si le peuple français ne se multiplie plus, alors la France ne pourrait plus rien être qu’une grande lumière qui s’éteint ».

La France et l’Europe doivent donc à la fois arrêter l’immigration et favoriser la natalité, afin de survivre et de garder leur identité. L’Europe, avec son taux de fécondité de 1,6 enfant par femme, ne fait plus d’enfants et devient le seul endroit au monde qui appartient à tous les immigrés de la terre. Comme a pu le dire Frauke Petry, ancienne responsable de l’AfD en Allemagne : « L’Union européenne ne veut plus des peuples, mais des populations. »
 
Le nombre de naissances en France métropolitaine a baissé pour la sixième année consécutive, soit 747.000 naissances seulement en 2016. L’indice de fécondité est passé à 1,89 : en dessous du taux de reproduction minimum des populations à l’identique, qui est de 2,1 enfants par femme et ce, malgré l’apport significatif d’une population immigrée extra-européenne avec un taux de fécondité de 2,6 par femme (selon un ouvrage de l’INSEE publié en 2012) .

Il faut savoir que, même avec une immigration zéro, la population d’origine immigrée continuerait d’augmenter en France. La France, selon ses prévisions actuelles, devrait compter 74 millions d’habitants en 2050, dont 30 % de population d’origine immigrée. On n’intègre plus, on assimile encore moins, aujourd’hui dans notre pays. Alors, avec de telles perspectives statistiques, comment ne pas imaginer qu’on pourrait aller droit vers une guerre civile ? 2050, c’est dans 32 ans seulement, soit le temps pour un enfant de devenir un homme !

L’Allemagne, avec un taux de fécondité toutes origines par femme de 1,39, tout comme l’Italie, perdent 150.000 autochtones par an. L’Allemagne est morte et commence tout juste à le savoir sans avoir encore réagi. Selon Thilo Sarrazin, dans son ouvrage best-seller Deutschland schafft sich ab, si l’Allemagne du 8 mai 1945 avait connu le même taux de natalité que les Palestiniens, il y aurait aujourd’hui 600 millions d’Allemands…

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Immigration : nouvelle mise en garde d’un ancien chef du service de renseignement allemand

 

Allemagne – August Hanning, ancien chef du service de renseignement fédéral allemand (BND), met en garde le gouvernement au sujet de l’accueil laxiste des immigrés.

Dans une interview publiée par le journal Bild, August Hanning avertit :

« Comme l’ont montré les attaques terroristes et les tentatives d’attentats ces deux dernières années, la situation sécuritaire en Allemagne est très tendue. »

« Notre architecture sécuritaire doit être améliorée de toute urgence afin de relever les nouveaux défis. Sinon, cela risque de devenir très inconfortable pour nous en Allemagne. »

August Hanning critique depuis des années la politique migratoire de la chancelière Angela Merkel et souligne le « lien entre la sécurité intérieure et un contrôle efficace des frontières ».
 
« Tant que nous laisserons les gens entrer dans le pays sans papiers d’identité, sans des contrôles d’identité clairs, nous ferons face à un gros problème de sécurité. »
 

« En Europe, l’Allemagne est la terre promise pour les demandeurs d’asile et les migrants. Et je me demande combien de temps nous pouvons continuer dans cette voie sans affronter d’importants bouleversements sociaux. »

Des propos de simple bon sens.

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Le Danemark ne veut plus d’immigrés et vote une loi en ce sens !...

Le Danemark estime avoir fait sa part en matière d’accueil de « réfugiés » et de « migrants ». En 2017, environ 2 800 migrants avaient demandé l’asile au Danemark.

Le journal «taz» rapporte que le gouvernement danois a décidé de mettre fin à ses engagements conclus depuis 1978,dans le cadre du programme de l’ONU en matière de réinstallation de migrants.

Le parlement danois a adopté une loi mettant fin à l’accueil des immigrés. Selon le journal « taz », seuls les partis d’opposition de gauche ont voté contre cette mesure.

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