Nous l’évoquions il y a peu sur notre site :
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/04/les-migrants-...
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A Paris, 51% des femmes ne se sentent pas en sécurité dans les transports en commun, contre seulement 38% des hommes. Les incivilités dans les transports, comme parler fort au téléphone, fumer ou proférer des insultes, sont à l’origine de ce sentiment d’insécurité. BFM TV traite le sujet mais réussit l’exploit de ne jamais citer l’immigration, comme si les femmes ne se sentaient pas plus en sécurité dans les transports fréquentés par des blancs que dans ceux empruntés exclusivement par des extra-Européens :
09:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mardi 23 janvier dernier, un grave incident s’est produit dans le lycée Jamhuri de Nairobi, qui compte 1 500 élèves. Des lycéens musulmans d’origine somalienne, s’étant plaints de discrimination religieuse, l’administration de l’établissement, dans un but d’apaisement, leur a accordé des douches séparées et une section distincte dans la bibliothèque du lycée. Cela n’a pas semblé suffisant pour calmer ces irascibles jeunes musulmans qui ont agressé, verbalement d’abord, leurs condisciples chrétiens, voulant les obliger à réciter la profession de foi musulmane – ce qui en aurait fait des musulmans selon la loi islamique – et à procéder aux ablutions rituelles des mahométans. Les lycéens chrétiens ayant refusé, les musulmans sont passés à l’attaque frappant les uns, poignardant les autres. Au moins trente-cinq lycéens ont été blessés et plusieurs hospitalisés. Le proviseur du lycée, Fred Awuor, qui a tenté de s’interposer pour arrêter les violences, a lui-même été blessé et hospitalisé. Le lycée est fermé sine die. Il est intéressant de noter que le Kenya est majoritairement chrétien (83 % de la population) et que les musulmans n’y constituent qu’une minorité (11 % de la population).
09:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
C’est un joli pas-de-deux que nos avocats n’ont de cesse de dénoncer.
Une association prétendument anti-raciste ( ici le Mrap ) signale au Procureur de la République ( ici Aude Duret ) un écrit ou un acte incitant selon elle à la haine, la discrimination, la violence… et patati, et patata.
Le Procureur, complice, instruit l’affaire, porte plainte contre le présumé auteur de faits prétendument délictueux, dispensant la dite association de déposer une consignation. Ensuite l’association et les autres vautours du même genre n’ont plus qu’à se porter partie civile…et réclamer des dédommagements pour les très imaginaires dommages subis. Le pas-de-deux initial se transforme ainsi en pas-de-trois, voire en pas-de-quatre et même plus, tant il y a de l’argent à se faire facilement grâce à la loi Pleven et aux procureurs complices.
La séquence est parfaitement réglée.
S’appelle-t-elle toujours Aude DURET-MONTPEYROUX ou seulement Duret ? Aucune importance. Toujours est-il que c’est ce magistrat, qui, sur dénonciation du Mrap, a trouvé bon d’instruire deux plaintes contre moi, Résistance républicaine et aussi contre Riposte laïque. Quand on aime, on ne compte pas.
J’étais donc convoquée hier à la Brigade de répression de la délinquance à la personne ( quelle périphrase pompeuse pour parler du service de la censure d’Etat…) pour deux fautes majeures :
La publication et mise à disposition du public de l’autocollant Islam assassin et du tract ( datant de 2016 mais le Mrap n’hésite pas à faire les poubelles quand il s’agit d’épuration. Ethnique et politique. N’ayons pas peur des mots). Le Mrap a dénoncé une distribution du tract faite à Nantes en juillet 2017, près d’un an après la mise à disposition de ce dernier
Je suis donc accusée de provocation à la discrimination, la haine, la violence… et patati-patata.
J’ai une fois de plus expliqué au capitaine de police qui m’interrogeait que, l’islam n’étant pas une race ni une personne je ne peux pas être accusée d’inciter à la haine contre des personnes ; que l’islam est une doctrine, que le délit de blasphème a été aboli en France il y a longtemps, que l’islam tue, que les policiers de Magnanville, Laura et Maurane, de Marseille et des centaines d’autres ne sont plus là à cause de l’islam…. J’ai naturellement rappelé qu’il était légitime de s’opposer au remplacement de population, de s’indigner de voir des clandestins imposés partout, sans que le peuple ait été consulté…
Le capitaine a noté. J’ai signé. Le tout va repartir sur le bureau du Procureur Duret qui considèrera sans doute, comme nombre de ses collègues, que ce sont là paroles que le vent emporte et que l’essentiel est d’imposer le silence à tous, l’interdiction de la critique de l’islam et de l’immigration.
Quel que soit le prix à payer pour ceux qui, comme moi, disent simplement la réalité de notre monde, pour ceux qui disent la vérité.
09:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Il y a des gens qui n’ont pas une vie facile.
Pauvre BHL obligé de vendre sa bicoque de Tanger pour 6 millions d’euros… Le malheureux n’a plus assez de temps et a trop de maisons.
« Je passe une partie de mon temps à Paris, une partie à New York, une partie à Marrakech. J’ai trop de maisons dans le monde et hélas, l’année ne dure que 52 semaines« .
Alors, obligé de sacrifier la plus modeste de ses demeures, juste 600 mètres carrés, juste une situation exceptionnelle à l’endroit précis où se côtoient l’Atlantique et la Méditerranée… Et, surtout, des voisins sublimes pleins aux as qui ont de sublimes maisons.
Naturellement encore, la décoration a été assurée par de grands noms… 5 ans pour rénover la baraque à coups de pierre d’Italie, de fils de fer d’une ancienne usine en Amérique, d’un bois très spécial introuvable sauf dans un recoin du Canada…
Tout ça pour ça, et ça vaudrait 6 millions… Ma foi, si BHL le dit… Le snobisme n’a pas de prix.
La réponse de Michel Onfray avait été cinglante, malgré les sottises qu’il a pu dire dans cette interview à propos des attentats :
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/michel-onfray-face...
Et BHL, avec ses deux villas à 6 millions au Maroc, ne doit-il pas à ce pays qu’il aime passionnément de lui en rétrocéder l’une, dont il n’a a apparemment plus besoin ?
Ne doit-il pas prendre sa part des 100 millions de clandestins qu’il veut nous imposer ?
En 2004, la fortune de Bernard-Henri Lévy s’élève à 150 millions d’euros. Propriétaire de sept sociétés de gestion de patrimoine, immobilières et financières, sa fortune provient essentiellement de l’héritage de ses parents, puis complétée par des placements boursiers142. Wikipedia
Il pourrait sans doute trouver une île à acheter pour que ces « damnés de la terre » créent une nouvelle terre promise, se créent un nouveau pays, une nouvelle nation, non ?
Il leur doit bien cela, à eux aussi, lui qui, depuis des lustres, les exploite pour pouvoir se payer des maisons à 6 millions. La forêt africaine pillée, les Africains exploités…
Cliquer sur les captures d’écran ci-dessous pour les lire, elles sont extraites de la video en fin d’article :
08:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Fin des « colos » pour les moins de 11 ans : la jeunesse nazairienne sacrifiée
Il y a quelques jours, était annoncé qu’à compter de l’été prochain, il n’y aura plus de séjours en colonies de vacances pour les jeunes Nazairiens de moins de onze ans. Xavier Perrin, adjoint du maire à l’éducation et la jeunesse, explique cette suppression pour des raisons financières, et que ces anciens séjours serait compensés par d’autres activités plus locales.
« Des raisons financières », dit-il ? La majorité prône pourtant sans cesse la réduction des inégalités. Or, nous le savons parfaitement, la jeunesse nazairienne est en réalité sacrifiée, sur l’autel d’une véritable préférence étrangère : Fabrique des politiques sociales comme outil d’intégration des migrants, subventions à des associations communautaristes, tarification solidaire pour les demandeurs d’asile dans les transports, repas de substitution…
Évidemment, le Front national (FN) de Saint-Nazaire s’oppose à cette suppression des « colos » pour les moins de onze ans, qui va accroître les inégalités sociales dans notre jeunesse. Ce sont des centaines d’enfants, souvent issus de familles modestes voire pauvres, qui seront ainsi mis sur le côté, et ne pourront plus passer de vacances, ni vivre pleinement leur vie d’enfant. Une autre inégalité qui va apparaître est celle de l’âge : les adolescents nazairiens continueront à bénéficier de ces aides pour participer à des séjours.
Il faut donc surseoir à cette mesure, et rétablir pour tous « les jolies colonies de vacances »…
08:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
Amis juifs, exilez-vous dans le Cantal ou les monts d’Arrée; ce sera dépaysant mais moins dangereux que les rues de Sarcelles.
Après le 93, le 95 judenrein ? Pas encore, mais c’est une question de temps.
« Un garçon de 8 ans de confession juive, qui portait une kippa, a été frappé, lundi 29 janvier au soir, par deux jeunes à Sarcelles (Val-d’Oise), agression pour laquelle le parquet de Pontoise a annoncé, mardi, avoir « retenu le mobile antisémite » relate Le Monde.
Alors pourquoi n’avoir pas retenu le caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi ? Les voies de la Justice sont vraiment impénétrables…
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/31/scandale-de-l...
Un garçon de 8 ans ! « Ils » s’attaquent désormais à un gamin sans défense ! Et à plusieurs, bien sûr.
Qui ça « ils » ? On ne sait pas, des « djeuns » comme d’habitude…
Ils l’ont fait chuter, l’ont tabassé et sont partis en courant, sans rien voler.
Joël Mergui, le président du Consistoire s’était inquiété à la mi-janvier d’une « forte recrudescence d’actes antisémites » et avait appelé le ministre de l’intérieur à « enrayer » cette « dangereuse spirale ».
Mais notre vigoureux ministre de l’Intérieur a répété les niaiseries habituelles, à la manière d’un disque rayé, en condamnant « avec la plus grande fermeté [cette] lâche agression » qui est « contraire à nos valeurs les plus fondamentales ». On a vraiment envie de jeter le gramophone par la fenêtre.
Le président a renchéri par une déclaration choc : « A chaque fois qu’un citoyen est agressé en raison de son âge, de son apparence ou de sa confession, c’est toute la République qu’on agresse. Et c’est toute la République qui se dresse particulièrement aujourd’hui aux côtés des Français de confession juive pour combattre avec eux et pour eux chacun de ces actes ignobles ». (Twitter)
Les « djeuns » de cités doivent en trembler dans leurs Nike !
Résumons sa pensée complexe : la République agressée doit se dresser pour combattre… des actes ignobles. Et si la République combattait plutôt les AUTEURS de ces actes ignobles ?
Enfin, bon, ils retiennent le mobile antisémite ! C’est déjà ça.
Ce qui n’empêchera pas le gamin de 8 ans de trembler en croisant des « djeuns » dans des rues sarcelloises de plus en plus mal famées.
Ce qui n’empêchera pas les élus de rester dans le déni, comme Pupponi, ex-maire de Sarcelles et député, qui osait déclarer, à la suite d’autres agressions : « Les coupables n’ont rien à voir avec la communauté musulmane : ce sont des racailles des quartiers qui, voyant quelqu’un d’isolé, en profitent pour le persécuter. C’est de l’antisémitisme primaire. Rien à voir avec Israël et la Palestine. »
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/12/lexil-interie...
Et puis c’est vrai, l’antisémitisme recule en France, conclut magnifiquement Le Monde :
« Le nombre d’actes antisémites commis en France a pourtant baissé de 7 % au cours des onze premiers mois de 2017, avec un repli significatif (– 58,5 %) en 2016, selon des données du ministère de l’intérieur ».
Alors te plains pas gamin, ce n’est pas grave, tu n’as pas souffert d’antisémitisme primaire. Avec ta kippa, tu prenais juste un peu trop de place sur le trottoir.
08:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Implantée dans le 3e arrondissement de Marseille, la mosquée salafiste "As Sounna" s'est vue ordonner de fermer ses portes pour une durée de six mois. Après un arrêté du préfet des Bouches-du-Rhône, le Conseil d'État a entériné ce mercredi la fermeture.
Le Conseil d'État a entériné mercredi la fermeture de la mosquée salafiste "As Sounna" pour six mois. Le préfet des Bouches-du-Rhône avait ordonné sa fermeture un mois plus tôt, via un arrêté préfectoral.
Implantée dans le 3e arrondissement de Marseille, la mosquée avait accueilli cinq fidèles partis rejoindre la zone irako-syrienne "pour faire le djihad" précise le Conseil d'État.
"Un islam radical, dont l'influence s'étend aux jeunes."
Une association avait demandé un recours contre la fermeture du lieu de prêche. Le Conseil d'État a rejeté la demande, au motif que "la mosquée prône un islamisme radical dont l'influence s'étend à l'ensemble de la vie locale, en particulier aux plus jeunes".
L'imam El Hadi Doudi, en charge des prêches, avait diffusé notamment sur son site internet ''des appels à la haine et à la violence, en des termes particulièrement explicites"
08:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ils ne veulent pas que leur pétition soit récupérée par l’extrême droite, ni qu’elle donne une mauvaise image de leur quartier ou de leur ville. Non. Si le « collectif Tailleferre », créé en novembre par des habitants de cette petite rue piétonne du bas d’Arcueil, monte au créneau ce jeudi au conseil municipal, c’est pour « trouver des solutions pérennes avec la mairie ». « On ne veut pas que ça empire, intervient Jacques, membre du collectif. Si on laisse les choses s’installer, ça deviendra de plus en plus impossible ». 215 riverains de la rue Germaine-Tailleferre, bordée d’une copropriété de 77 logements et d’environ 16 logements sociaux Opaly, dénoncent « des nuisances sonores, des actes de vandalisme, des incivilités, des vols, des cambriolages » : « La rue est devenue un lieu de trafic de drogue très actif avec un passage incessant de deux-roues motorisés. Il y a également des rassemblements d’individus tout au long de la journée et parfois très tard dans la nuit. […] De nombreux habitants n’osent plus sortir dans la rue », avancent les pétitionnaires.
En ce mercredi après-midi pluvieux, la rue est quasi déserte, mais il n’en est pas toujours ainsi : « Ils arrivent vers 17 heures. On voit des petits de 13 à 15 ans. Les plus vieux viennent vers 19 heures. Ils sont là avec leurs sacoches et planquent la drogue dans le jardin des voisins ou dans des halls », raconte une riveraine. Les échanges sont parfois tendus : « On ne peut plus discuter avec eux. On se fait traiter de raciste, ils nous disent qu’ils s’en fichent de nous, qu’on les fait ch… Les enfants ne jouent plus dehors à cause d’eux. On n’en peut plus. » Et quand un habitant appelle le commissariat à cause du bruit : « On nous répond qu’il n’y a qu’une voiture pour cinq villes et qu’il y a des interventions prioritaires », déplore Daniel.
Collée à l’avenue de la Convention, un axe départemental menant à Paris, tout en étant « invisible » de celle-ci, la rue Tailleferre est un terrain de deal idéal avec trois accès, deux placettes et une coursive. Le collectif évoque plusieurs idées : fermer la rue avec des barrières, installer des caméras et réaménager les placettes avec un jardin partagé pour qu’il y ait de l’activité. « L’adjointe à la sécurité a rencontré les pétitionnaires en janvier, il y a eu une visite sur site la semaine dernière avec des représentants de la police explique le maire, Christian Métairie (EELV). Des solutions sont à l’étude. On peut mettre des dispositifs anti deux-roues. Rien n’est impossible ». Il alerte sur les coûts d’une privatisation pour les résidents et précise que multiplier les caméras, actuellement « en cours d’expérimentation » sur la ville, n’est pas l’objectif. Il ajoute que des subventions municipales sont possibles pour financer des dispositifs de sécurité complémentaires.
C’est l’un des outils majeurs de la démocratie participative. A Arcueil, le droit de pétition existe depuis le début des années 2000. La commune est l’une des rares à l’appliquer dès 200 signatures, une jauge assez basse. Dès que le nombre de signataires est atteint, les pétitionnaires peuvent venir présenter leur texte devant le conseil. « On demande juste que ça soit des Arcueillais », précise Christian Métairie (EELV), le maire. Les conseillers municipaux débattent ensuite du sujet lors de la reprise de séance.
« Je pense qu’on a eu entre 20 et 30 pétitions depuis le début, reprend l’édile. Les sujets sont très différents. Il y a la pétition de riverains sur un quartier, par exemple contre le bruit avec la géothermie, mais on a aussi eu dernièrement une association sportive qui demandait à pouvoir disposer d’un créneau plus important sur un gymnase. L’objectif, c’est que la vraie vie entre au conseil municipal. » Ces sujets pourraient bien sûr être traités en interne en affaires courantes, mais le maire valorise cette démarche : « C’est une reconnaissance pour les gens. On essaie de répondre aux attentes, de les accompagner. Après, le droit de pétition ne signifie pas que l’on dit oui à tout. »
08:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lu sur RITV :
"Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer. « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais Do Rzeczy le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité. [...]
La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »
Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »
Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.
Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial. [...]"
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Dans la société de consommation, les marques font désormais partie de notre quotidien et l’on estime à plus de 400 le nombre de marques que nous côtoyons chaque jour, consciemment ou non.
Toujours à l’affût pour augmenter leur audience et leur notoriété, les marques se sont engouffrées dans le phénomène « multiculturaliste », dans le droit fil de la crise migratoire, afin de convaincre les consommateurs que l’immigration est une bonne chose pour les nations, qu’elle enrichit les cultures et qu’elle concourt à un mouvement de paix perpétuelle.
Pourquoi une telle attitude ?
Premièrement, les marques ont pris conscience de la force des nouveaux segments ethniques de consommateurs au sein des marchés. Leur tropisme multiculturel vient donc augmenter directement le nombre de leurs clients, d’où, par exemple, la présence quasi systématique de personnes de couleur dans les publicités. Récemment, une grande marque de cosmétiques française a même mis en scène une femme voilée. Dans le domaine alimentaire, un grand brasseur européen présente sa nouvelle recette de bière à 0 % d’alcool qui cible, bien sûr sans le dire, un public musulman.
Pour finir, dissoudre l’identité des nations avec de l’immigration, c’est renforcer la culture des marques qui deviendront dans le futur le seul repère culturel et anthropologique de populations complètement déculturées et nihilistes.
Face à cette situation, les patriotes ont une seule chose à faire, et elle est très simple : analyser le discours narratif et la communication des marques afin d’identifier et de boycotter les marques qui veulent nous imposer du multiculturalisme à travers le paradigme de la consommation. Ce sera le seul et unique moyen de leur faire comprendre que nos pays ne sont pas à vendre et que, dans les sociétés modernes, ce sont les institutions et les souverainetés qui, in fine, dirigent les peuples.
Nicolas Faure
14:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Laurent de Béchade vient de créer l’Organisation de lutte contre le racisme anti-blanc (OLRA). Pourquoi cette association ? Réponse au micro de Boulevard Voltaire.
13:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat de police VIGI, revient sur l’affaire Théo au micro de Boulevard Voltaire. Les circonstances de l’arrestation de ce jeune, il y a un an, avaient défrayé la chronique au point de précipiter le chef de l’État au chevet de la victime. Un an après, Europe 1 diffuse une vidéo qui permet de relativiser la soi-disant violence des forces de l’ordre lors de l’arrestation.
13:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Peuple l’a révélé : les pensions belges sont les plus basses de’Europe occidentale (voir les chiffres dans l’article ci-dessous). Pire : 50 % des pensionnés vivent sous le seuil de pauvreté. Belle récompense pour une vie de labeur – et de cotisations pour une pension légale ! Selon La FGTB, il faudrait 72 milliards pour sortir les pensionnés de la pauvreté. On les a ! Ou plutôt : on les a eus : à raison de 10 milliards par an, l’immigration a pompé l’argent des pensionnés – sans compter les « aides » aux pays étrangers, tels les 19 millions que Charles Michel (MR) vient d’offrir aux terroristes arabes, occupants de la Palestine. On a le sens des priorités dans les partis traditionnels !
Il arrive que les chiffres ne mentent pas.La pension moyenne belge est la plus basse, comparée à celles de nos voisins(chiffres fournis par Eurostat) :
FRANCE : 1.653 euros
PAYS-BAS : 1.639,82 euros
ALLEMAGNE : 1.289,88 euros
BELGIQUE : 1.155,12 euros
Nos gouvernements se vantent de proposer la sécurité sociale la plus généreuse de l’univers – pas pour tout le monde, en tout cas. Et certainement pas pour les pensionnés.
Robert Vertenueil, de la FTGB, estime qu’il faudrait injecter 72 milliards dans les pensions pour sortir les pensionnés de la pauvreté. Que ne l’a-t-il pas dit plus tôt ! Que ne l’a-t-il pas revendiqué, quand le PS était au gouvernement ! Que ne s’est-il pas insurgé quand le ministre Frank Vandenbroucke (socialiste flamand) effectuait des coupes sombres dans les pensions, conseillant aux futurs retraités de souscrire une pension complémentaire ! Que n’est-il pas monté sur les barricades, quand même ces pensions complémentaires ont été assommées de nouveaux impôts, taxes supplémentaires et diverses cotisations de solidarité !
Si tel avait été le cas, les gouvernements à caractère traditionnel (PS, MR, CDH, Ecolo) auraient peut-être réfléchi et mieux organisé les dépenses de l’Etat.
Une étude de 2016 a montré que l’immigration coûtait à la Belgique pas moins de 8,6 milliards PAR AN ! La facture est montée à 10 milliards et elle atteindra pour 2017 la proximité des 11 milliards.
Faites le compte : si pendant 6 ans, ces milliards avaient été consacrés aux pensions, il n’y aurait pas de pauvreté chez les pensionnés. Si on avait coupé dans les aides aux pays d’Afrique (notamment le Congo, qui n’arrête pas de nous cracher au visage), nous aurions pu économiser plus de 72 milliards. Et nos retraités disposeraient d’une pension décente.
Le Parti Populaire s’oppose fermement aux manigances du ministre Bacquelaine (MR) qui tente de réaliser des économies sur le dos des pensionnés ! Ce n’est pas chez eux qu’il faut chercher l’argent pour combler le déficit de l’Etat, dû aux folies dispendieuses de nos gouvernants !
Le Parti Populaire s’engage à relever substantiellement le montant des pensions. C’est un devoir de reconnaîssance pour ceux qui ont bâti la prospérité de notre pays. Pour arriver à ces augmentations, il ne sera pas besoin de nouveaux impôts : une meilleure répartition des dépenses de l’Etat y suffira amplement.
Oui, une nouvelle politique est urgente !
D.K.
11:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le très racialiste collectif Mwasi organise une projection de film réservée aux Noirs avec cette formule « Cette projection est en non mixité pour les personnes noires quel que soit le genre ».
Précisons que si le film en question est un film de super héros comme en raffolent les Américains, son titre fait comme par hasard référence aux Black Panthers, une organisation de Noirs américains développant un racisme anti-blanc et prônant la lutte armée. Et on ne nous fera pas croire que la ressemblance entre les deux photos ci-dessous (à gauche, le leader des Blacks Panthers, à droite le super héros Black Panther) est fortuite…
Imaginez maintenant le tollé si une organisation racialiste blanche organisait la projection réservée aux Blancs d’un film de super héros appelé Ku-Klux-Klan…
11:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Belgique – Bart De Wever, président de la N-VA, plus important parti de Belgique et de Flandre, a déclaré qu’ouvrir les frontières aux migrants comme le préconise la gauche, mettra inévitablement le fonctionnement actuel de la Sécurité sociale en péril. Il a explicité ses propos dans une carte blanche publiée dans le quotidien de gauche flamand De Morgen.
Selon Bart De Wever, l’action de ces associations et des bourgmestres de gauche concourt à créer un Calais à Bruxelles.
Mais pour lui, ces « bien pensants de gauche » doivent choisir: accueillir tout le monde et ouvrir les frontières, ou préserver notre système social à son niveau actuel. Car si l’on décide de mettre notre Sécurité sociale à disposition de chacun, alors elle s’écroulera, prédit-il.
11:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
La démographe Michèle Tribalat a analysé le projet de loi sur l’immigration d’Emmanuel Macron et répondu aux questions de Figarovox à ce sujet.
FIGAROVOX.- La politique d’immigration d’Emmanuel Macron a suscité la colère d’une partie de la gauche. On se souvient notamment de la une du Nouvel Obs avec des barbelés, et ce titre: «Bienvenue au pays des droits de l’homme». De nombreux politiques accusent Macron de mener une politique plus sévère que celle de Nicolas Sarkozy. Est-ce vraiment le cas?
Le projet prévoit d’ailleurs la création de 7 500 places d’accueil supplémentaire en 2018-2019.
Macron s’inscrit-il dans la continuité de ses prédécesseurs ou peut-on parler de rupture ?
En dehors de ces deux volets motivés par le développement de l’immigration irrégulière ces dernières années – filtrage par la procédure d’asile et éloignements des déboutés – rien, dans le projet, n’indique une volonté de limiter l’immigration étrangère en France, comme c’était le cas de Nicolas Sarkozy par exemple.
Rien, dans le projet, n’indique une volonté de limiter l’immigration étrangère en France, comme c’était le cas de Nicolas Sarkozy par exemple.
Certaines dispositions, présentées dans la partie intitulée «Améliorer les conditions d’accueil et d’intégration des étrangers en situation régulière» ou dans celle traitant de la protection humanitaire, élargissent, au contraire, le champ des possibilités.
Pour la première, ces ouvertures se font en direction des plus qualifiés avec une extension du passeport-talent et une transposition de la directive «étudiants-chercheurs» (qui devait de toute façon se faire) en vue de faciliter leur installation en France. Pour la seconde, il s’agit, par exemple, de substituer un premier titre de séjour de quatre ans à un titre d’un an pour les étrangers qui bénéficient d’une protection subsidiaire ou qui sont apatrides, et d’étendre le regroupement familial auprès des réfugiés mineurs, au-delà des ascendants directs, aux frères et sœurs. Cette dernière mesure, quand on sait le développement exponentiel des arrivées spontanées de mineurs (qui ne sont d’ailleurs pas tous mineurs et sont plutôt des garçons proches de leur majorité) en Europe ces dernières années, recèle un potentiel d’entrées non négligeable.
Elle crédibilise le projet de familles qui envoient leur grand garçon, en éclaireur, essayer de trouver un avenir meilleur en Europe.
(…) La question de l’immigration régulière est éludée. Pourtant, elle augmente ces dernières années… Comment expliquez-vous cette progression? Est-ce lié au regroupement familial ?
On ne retient généralement que les deux dernières années pour commenter l’évolution de l’immigration étrangère en France et on en parle dans la presse lorsque le ministère de l’Intérieur met en ligne, en janvier, son estimation des nouveaux premiers titres de séjour délivrés aux étrangers en provenance de pays tiers (à l’Espace économique européen et à la Suisse) dans l’année qui vient de se terminer. On ne retient généralement que les deux dernières années pour commenter l’évolution de l’immigration étrangère en France et on en parle dans la presse lorsque le ministère de l’Intérieur met en ligne, en janvier, son estimation des nouveaux premiers titres de séjour délivrés aux étrangers en provenance de pays tiers (à l’Espace économique européen et à la Suisse) dans l’année qui vient de se terminer.
On se rend compte que le nombre de premiers titres délivrés augmente, quasiment sans interruption, depuis le début de la série rendue publique par le ministère de l’Intérieur.
En vingt ans, de 1997 à 2017, ce nombre est passé d’un peu moins de 120 000 à un peu plus de 260 000. En un an, un peu plus de 30 000 titres supplémentaires ont été délivrés, principalement pour raison humanitaire (asile…), pour motif économique et pour des venues d’étudiants. Les estimations de l’Insee sur une période plus courte (2006-2015), montrent aussi une augmentation des entrées d’immigrés en France.
(…)
11:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouvernement a décidé de sanctionner par des retenues sur salaire les surveillants de prison qui se sont mis en grève. Pour Éric Zemmour, les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés ou les profs insultés. Dans l’univers macronien, les gens honnêtes n’ont pas intérêt à plaisanter avec la discipline…
Francesca de Villasmundo
11:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce lundi se tient le quatrième jour du procès de Jawad Bendaoud. Le “logeur” des djihadistes des attentats du 13 novembre est poursuivi pour “recel de malfaiteurs terroristes” aux côtés de deux autres prévenus, Mohamed Soumah et Youssef Aït Boulahcen. La présidente de la chambre correctionnelle a été contrainte de suspendre l’audience, après une violente altercation entre Jawad Bendaoud et Mohamed Soumah, ce lundi. Jawad Bendaoud s’est en effet levé en pleine audience et a copieusement insulté son co-détenu. Il a ensuite été expulsé par les gendarmes. L’homme a déjà fait preuve de virulence lors de précédentes audiences, mais c’est la première fois que cela cause l’interruption d’une séance. L’examen de sa personnalité est d’ailleurs, aujourd’hui, au cœur des débats
11:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
11:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le nouveau livre de l'historienne et l'islamologue Lina Murr Nehmé est consacré aux femmes dans l'islam. Le roi d'Arabie Saoudite condamne ses filles à mourir de faim. Les dirigeants de ce monde laissent faire. Des hommes, en plein Paris, traitent une actrice musulmane de mécréante et tentent de la brûler vive. Les passants ne la secourent pas. Un jeune homme torture à mort et tue sa voisine juive en criant « Allahou Akbar ». La presse tait le crime. Ce sont des mots, des discours qui sont à l'origine de ces crimes barbares. Pourquoi certains prédicateurs interdisent-ils, en France, aux musulmanes de sortir et de s'habiller à la française ? Pourquoi les prétendent-ils inférieures aux hommes ? Pourquoi demandent-ils aux hommes de les battre ? Quel rapport y a-t-il entre djihadisme, maltraitance des femmes et trafic de drogue en Occident ? Et pourquoi l'accroissement de la puissance des islamistes a-t-elle abouti, en Orient, à des viols collectifs publics, jusqu'à cent par jour au Caire ? Ce livre dévoile les conséquences tragiques de la prédication islamiste sur la vie des femmes. Extrait :
"le viol de l'esclave de sexe féminin passe pour un moyen "de rester chaste" pour un musulman, textes sacrés à l'appui. Le matraquage est tel qu'il confine au lavage de cerveau. D'où les agressions sexuelles et viols commis par des groupes d'hommes au Caire, à Cologne et ailleurs. Car un peuple ordinaire ne se transforme pas, du jour au lendemain, en peuple de violeurs. Il faut bien que quelqu'un lui ait dit que le viol des mécréantes ou des musulmanes libre-pensantes était une chose permis. Et non seulement permise, mais bonne, "pour les humilier", car "la possession d'une personne par une autre par le biais de l'esclavage a pour cause la mécréante, le combat contre Allah et son Apôtre," disent aussi les oulémas. Ils ne pourraient d'ailleurs pas justifier l'esclavage s'ils parlaient autrement.
Ces phrases, répétées par des prédicateurs ayant une très grande diffusion, ont fini par aboutir à l'esclavagisme de Daech et à la tragédie de milliers de femmes et de fillettes chrétiennes ou yazidies vendues au marché, avec la permission de les violer, même si elles étaient en très bas âge."
Et cet autre :
"L'Arabie Saoudite a aboli l'esclavage en 1962. Avant cette date, le plus grand marché aux esclaves du monde se tenait à La Mecque à l'époque du pèlerinage. On pouvait, non seulement y acheter des esclaves, mais aussi coucher avec des captives employées par leurs maîtres pour la prostitution - la vierge coûtant beaucoup plus cher au client que celle qui avait déjà servi !
En secret, le trafic d'esclaves existe toujours en Arabie. Ainsi les lieux saints de l'islam sont gardés par des esclaves châtrés (Zeghidour en a compté 36 en 1988). En outre, les employées de maison sont souvent violées comme les esclaves... par habitude."
10:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Padamalgam vient d'en prendre un coup avec cette déclaration de Jawad Bendaoud lors de procès, jugé pour avoir logé des jihadistes du 13-Novembre. Il s'en est pris à l'autre prévenu, Mohamed Soumah, accusé d'avoir joué les intermédiaires.
"Tu me traites de menteur, sur le Coran je vais te baiser".
10:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans son livre sur l'islam, Annie Laurent pose deux postulats incontestables :
L’Europe et la France font partie de ses objectifs, même si, pour l’heure, il avance pacifiquement. Des « affaires » comme celles du voile ou du burkini, habilement orchestrées par les Frères musulmans, permettent de mesurer les capacités de résistance de la société européenne, et celles de mobilisation et de solidarité de la communauté musulmane, les unes apparaissant plus fortes que les autres. Face à ce péril, car c’en est un, Annie Laurent préconise d’abord de renoncer à toute candeur et de cesser de se laisser manipuler.
Le voile, symbole par excellence de la place de la femme dans l’islam, bien que, paradoxalement, il soit bien antérieur à Mahomet et que l’obligation explicite de couvrir les cheveux ne figure nulle part dans le Coran, a été instrumentalisé depuis des années, le refuser revenait à rejeter l’autre et ses différences. Or, comme l’auteur le démontre, citant Rafik Smati, président du mouvement Objectif France,
le foulard islamique n’est pas un attribut religieux, mais un outil de conquête politique. Ne soyons pas naïfs : le voile est l’étendard de l’islamisme ! »
Sur le mariage, Annie Laurent entame une réflexion importante sur les unions interreligieuses entre chrétiens et musulmans, invitant les hommes d’Église à bien mesurer le fossé qui sépare les deux conceptions du mariage, de la vie conjugale, de l’amour et du respect mutuel entre les époux, de l’éducation des enfants et, renonçant à tout irénisme en ce domaine, à ne pas favoriser, sauf assurances certaines pour le conjoint catholique et ses enfants, la bénédiction de ces unions.
Le dialogue interreligieux semble, en effet, avoir aggravé un relativisme déjà trop présent dans l’air ambiant. Une partie de l’Église, devenue frileuse dès qu’il s’agissait de proclamer hautement sa foi et ses dogmes, a cédé du terrain face à une religion simple et exigeante, structurée et encadrant tous les actes de la vie. Beaucoup de nos contemporains, peu préparés à exercer leur liberté d’enfants de Dieu, y trouvent les repères qui leur manquent, en même temps d’ailleurs qu’une permissivité des mœurs, en tout cas pour les hommes, plus facile à vivre que les exigences morales du catholicisme…
10:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
10:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nous l’évoquions il y a peu sur notre site :
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/04/les-migrants-...
10:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
La justice prend l’eau de tous côtés…
Affaires Theo et Policier de Marseille :la garde à vue n’a pourtant rien d’automatique, même en cas d’homicide :
http://resistancerepublicaine.eu/2017/10/11/servian-la-ga...
Quant à la politique de poursuite de Belloubet, qui semble avoir oublié que les têtes ont roulé à la fin du 18ème siècle (et ce n’est pas parce que, sur le papier, on est en République que d’aucuns n’ont pas envie de recommencer, sans être des sanguinaires nés, pas comme certains… !).
Deux déclarations de ce week-end résument tout :
– intransigeance vis-à-vis des surveillants de prison résistants à la djihadisation des prisons ;
– négociations avec les pays où des djihadistes dits « français » pourraient encourir la peine de mort.
Pour les gardiens grévistes des sanctions : retenues sur salaire, suspension voire révocation
Pour les djihadistes risquant la peine de mort ( c’est-à-dire tous, non ? ) : négociations…
Belloubet (heureusement pour elle, contrairement aux Latins et aux Russes, on ne féminise pas les noms de famille !) devrait pourtant savoir que les djihadistes ont perdu la nationalité française et que la France ne leur doit plus protection :
http://resistancerepublicaine.eu/2017/10/04/le-code-civil...
http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/la-loi-permet...
Ne doutons pas que Marine le Pen au pouvoir n’aurait jamais décidé ainsi.
10:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Samedi soir, sur France 2, le duo « Madame Monsieur » a gagné le droit de représenter la France à l’Eurovision. Il fallait être naïf ou profane pour ne pas savoir que le résultat était couru d’avance. Comme le disait France Inter, la radio de la bien-pensance qui, exceptionnellement, fit preuve de chauvinisme :
« La France se donne, cette année, enfin les moyens de gagner, à condition que tout le monde vote pour Mercy. »
Mais, au fait, qui est Mercy ?
C’est un bébé né en mer, dans un bateau de migrants. Mercy signifie « miséricorde » ou « grâce » en anglais, mais peut aussi s’entendre en français comme un merci à ceux qui sont venus en aide à cette Nigériane qui a accouché en pleine Méditerranée.
Emilie Satt, l’égérie du duo qui interprète cette romance, explique :
« Nous nous sommes sentis capables d’aller à l’Eurovision avec ce texte car il racontait quelque chose de fort. Une histoire vraie. Cette chanson n’est pas moralisatrice, pas politique, mais met un visage sur ce qu’on appelle les migrants. Je suis tombée sur la photo de Mercy que les journaux venaient de poster et sur son histoire. Nous avons commencé à écrire le texte l’après-midi même et l’avons fini le lendemain. »
C’est, comme on le voit, une chanson « engagée », même si le groupe s’en défend. Engagée, mais toujours dans le même sens, politiquement correct et mondialiste. Un texte chrétien ou patriote n’aurait évidemment pas pu être sélectionné. Les très belles chansons de Jean-Pax Méfret sur les chrétiens d’Orient en sont le meilleur exemple.
Mais revenons à « Mercy », dont le refrain est simple, banal même :
« Je suis née ce matin/Je m’appelle Mercy/Au milieu de la mer/Entre deux pays, Mercy./C’était un long chemin et maman l’a pris./Elle m’avait dans la peau, huit mois et demi./Je suis née ce matin/je m’appelle Mercy./On m’a tendu la main/Et je suis en vie./Je suis tous ces enfants/que la mer a pris./Je vivrai cent mille ans… »
Certes, on ne peut être insensible à l’histoire de ce bébé né en mer. Mais l’histoire des migrants n’est pas simplement une romance fleur bleue. Elle comporte aussi des côtés sombres, plus tragiques, visibles dans de nombreux pays d’Europe. Ainsi, par exemple, ce double meurtre – l’affaire a été jugée la semaine dernière – perpétré, il y a tout juste un an en Suède, près de Stockholm, qui laisse de jeunes enfants orphelins. Voilà un fait divers passé sous silence, dont journaux et télévisions ont omis de parler. Ici, le pathétique l’emporte sur l’homérique, l’affliction sur le bonheur. Alors, naïvement, j’ai écrit ce texte sans prétention en hommage à cette famille :
« Suède je pleure sur ton peuple,/je pleure une famille unie,/des gens simples et des enfants chéris !/Aujourd’hui un couteau tenu par des migrants a transpercé leur vie ! Ils étaient jeunes, ils étaient quatre,/ont égorgé la mère puis achevé le mari./Il ne fallait pas que leurs deux copains soient pris/pour un meurtre déjà commis./Désormais les deux cercueils nourrissent la terre de Scandinavie,/les pleurs mouillés des gamins du pays/répondront aux sourires de tueurs qui ne sont pas d’ici. »
Fouad Saleh et ses complices Munir et Amir ont été reconnus coupables, le 22 janvier dernier, de l’assassinat de trois personnes, dont le couple cité plus haut. Fouad, durant le procès, n’a pas cessé de faire des gestes obscènes et de ricaner. Pour cette famille, pas de « Mercy »…
J.-P. Fabre Bernadac
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06:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
"(...) Bien entendu, s'il y avait une question de peine de mort, l'Etat français interviendrait en négociant avec l'Etat en question"
Ce sont les gardiens de prison qui vont être contents. Ils devront s'assurer que ces djihadistes disposent bien d'un téléphone fixe dans leur cellule et si possible d'une télévision...
06:08 | Lien permanent | Commentaires (0)