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samedi, 20 janvier 2018

L'OLRA, une toute nouvelle association qui veut s'attaquer au racisme anti-blanc

Nouvellement créée, l'Organisation de lutte contre le racisme anti-blanc veut «faire reconnaître [le racisme anti-blanc] en lui donnant une tribune et une visibilité». Un racisme qui est «un problème d’envergure nationale», pour l'association.

Source et - nombreux - documents

vendredi, 19 janvier 2018

Journée du Migrant : le pape François demande aux Européens de dépasser « leurs propres peurs » pour « accueillir »

Ce 14 janvier 2018 était mondialement dédié aux migrants et aux réfugiés sur une ligne résolument politiquement correcte et immigrationniste.

Instituée sous Benoît XV, en 1914, dans le but avant tout de venir en aide aux émigrés, aux réfugiés et prisonniers de guerre catholiques, afin qu’ils gardent la foi dans des pays souvent protestants, cette Journée mondiale est devenue pour la Rome moderniste le moyen de diffuser « à partir des années 80, […] un discours de soutien aux migrants, d’où les populations des pays d’accueil sont absentes, sauf pour leur rappeler leur devoir d’hospitalité », explique le journaliste Laurent Dandrieu, in Eglise et immigration : le grand malaise. De Paul VI au pape François, ce message universaliste , « qui pousse l’Amour de l’Autre jusqu’au mépris des siens » et qui « n’est pas plus conforme au véritable esprit catholique qu’il ne l’est à la nature humaine », n’a cessé d’enfler jusqu’à devenir le thème de prédilection du pape François. Qui, bien entendu, a honoré cette Journée mondiale du migrant et du réfugié :

« Cette année, j’ai voulu célébrer la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié par une messe à laquelle vous avez été invités, vous en particulier, migrants, réfugiés et demandeurs d’asile. Certains d’entre vous sont arrivés depuis peu en Italie, d’autres y résident et y travaillent depuis de nombreuses années, et d’autres encore constituent ce qu’on appelle les «deuxièmes générations».

Durant le sermon de cette messe célébrée dans la basilique Saint-Pierre de Rome en présence de « migrants et réfugiés » de 49 pays différents, volontairement invités par le Vatican, le pape argentin a lancé son centième appel à l’accueil et à l’intégration en exhortant les Occidentaux à dépasser « leurs propres peurs » :

« Dans le Message pour la Journée d’aujourd’hui, j’ai écrit : ‘Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus-Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté (cf. Mt 25, 35.43).’ […] C’est une invitation à surmonter nos peurs pour pouvoir aller à la rencontre de l’autre, pour l’accueillir, le connaître et le reconnaître. »

Il a parallèlement, il est vrai, demandé aux étrangers qui arrivent en Italie et en Europe le respect des lois, de la culture et des traditions du pays dans lequel ils débarquent. Mais c’est là une demande fallacieuse : ces « réfugiés et migrants » arrivent souvent de façon illégale sur le sol européen ce qui est déjà en soi un irrespect des lois du pays d’accueil. Et utopique : la majeur partie d’entre eux sont des musulmans, attachés viscéralement à leur religion, qui ne sont pas prêts à abandonner leurs lois coraniques. Or celles-ci s’opposent de façon fondamentale, radicale, à la civilisation chrétienne dont est pétrie l’Europe.

Ce qui est également déplorable dans ce discours altruiste bergoglien c’est la manipulation dans la description de l’attitude des Européens. Le pape se plaît à appeler « des peurs » ce qui sont des honnêtes et raisonnables inquiétudes dictées par un attachement naturel à l’identité, aux traditions et cultures européennes que les peuples du Vieux Continent veulent sauvegarder de la mort programmée par le métissage imposé par les élites mondialistes. Mais en choisissant de les définir comme des « peurs », le pape les rabaisse au niveau de sentiments irrationnels, voire honteux : quel homme, en vérité, aime à se faire traiter de peureux et n’essayera pas de se défaire de cette étiquette malsonnante !

Jorge Maria Bergoglio est décidément un collaborateur éloquent du « délitement de l’Europe » (L. Dandrieu) et de l’islamisation de la société occidentale.

Francesca de Villasmundo

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L’européiste Emma Bonino et son plan choc : plus d’Europe et plus de migrants

Emma Bonino est la figure de proue italienne de l’avortement, des droits Lgbt, de l’euthanasie, de la GPA, de la PMA, de la culture de mort dans tout ses états… Elle est une des ces nombreuses personnalités européistes qui collaborent avec acharnement au Grand Remplacement, ce qui en soi est une autre démonstration qu’avortement et invasion vont de pair, les enfants autochtones condamnés à ne jamais voir le jour étant remplacés par des étrangers.

Emma Bonino qui se flatte dans son CV d’avoir pratiqué plus de 10 000 avortements avec une pompe à vélo, la bicyclette Bonino, son titre de gloire auprès de la gauche italienne, peut aussi se vanter d’avoir été encensée par le pape François qui la considère « un des grands de l’Italie d’aujourd’hui » car « avec lui » elle œuvre à « édifier un monde de paix, tolérance et accueil » !

Emma Bonino, la politicienne, qui est entrée en politique, pour la vie, afin de bénéficier de l’immunité parlementaire qui lui a permis d’échapper aux poursuites encourues à cause de ses avortements clandestins, veut maintenant aider les clandestins à être chez eux chez nous. Décidément, la donneuse de leçons de morale humanitariste aime tout ce qui est illégal.

Emma Bonino c’est le prototype de la féministe extrémiste de la gauche caviar radical-chic, jamais repentie mais à qui Jorge Maria Bergoglio fait « miséricorde » parce qu’elle chérit les « migrants »… plus que les enfants italiens mais cela c’est un point de détail, « c’est pas grave » a dit le pape parce qu’on doit « regarder les gens, à ce qu’ils font » !

Emma Bonino a en tout cas une telle toquade pour les « migrants » qu’à la tête de sa liste + Europa (Plus d’Europe) pour les prochaines élections en Italie, elle demande la régularisation de plus de 500 000 clandestins. Pour régler le problème de ces centaines de milliers d’illégaux elle préconise de leur donner « un permis de séjour temporaire ». Or on sait très bien ce que « temporaire » veut dire pour ces gens-là : irrévocable ! Son raisonnement est que « plus d’immigrés réguliers veut dire non seulement plus d’entrées prévoyantes mais plus de sécurité et plus de légalité ». Cela veut surtout dire un appel d’air encore plus grand et une Europe encore plus envahie !

Faut dire que les appels d’air elle connaît bien, elle l’a actionné plus de 10 000 fois sa pompe à vélo… pour mettre à mort des bébés… qu’elle remplace aujourd’hui par des migrants. La boucle de l’appel d’air est bouclée ! (On trouve sur internet une photo qui la portraiture, à jamais, en train d’actionner son engin de mort dont je vous ferais grâce tellement cela donne envie de vomir !)

Francesca de Villasmundo

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«En 2017, l'immigration régulière bat tous les records»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Les statistiques sur l'immigration rendues publiques hier révèlent l'ampleur des défis qui attendent Emmanuel Macron sur cette question. Si le gouvernement n'est pas responsable de la situation actuelle, il doit en revanche le saisir à bras-le-corps et ne pas se contenter d'effets de manche.


Maurice Lachaize est le pseudonyme d'un haut fonctionnaire français.


S'il est un reproche que nul ne pourra adresser au gouvernement actuel, c'est celui de manquer de transparence sur les statistiques de l'immigration, rendues publiques le 16 janvier. De même il serait évidemment de la plus mauvaise foi de tenir l'équipe dirigeante actuelle, au pouvoir depuis six mois, pour responsable d'une situation dont elle a hérité. Il n'empêche: les dernières statistiques révèlent une situation sérieusement préoccupante. L'augmentation du nombre des demandeurs d'asile en 2017 est spectaculaire. Ils étaient 20 000 en 1997, 61 468 en 2012, et pour la première fois, plus de 100 000 en 2017. Un rapport de la Cour des Comptes d'octobre 2015 souligne que 96 % d'entre eux, même déboutés, ne repartent jamais et deviennent donc illégaux.

En outre, la hausse de l'immigration régulière, mesurée par le nombre des «premiers titres de séjour» délivrés, est tout aussi marquée. En 2017, elle bat tous les records avec 262 000 étrangers supplémentaires. Ce chiffre est dans la continuité d'une évolution de long terme: 125 000 en 1995 ; 186 116 en 2002 ; 183 893 en 2008 ; 193 655 en 2012 ; 210 940 en 2014 ; 215 220 en 2015 ; 230 353 en 2016. En 2017, tous les volets de l'immigration sont à la hausse: professionnels, familial, études et surtout humanitaire.

Cette tendance à l'augmentation se reflète nettement, sur le long terme, dans la démographie française. Le pourcentage des naissances dans les familles composées d'au moins un parent immigré est passé de 26,3 % en 2007 à 30,4 % en 2016 (Ined). En Île-de-France, 38 % des femmes ayant eu un enfant en 2015 sont immigrées (Insee). Selon la sensibilité idéologique de chacun, il est possible d'y voir un phénomène positif ou un sujet de préoccupation.

Quoi qu'il en soit, accueillir chaque année plusieurs centaines de milliers de personnes, dont beaucoup fuient la misère, constitue un lourd défi dans un pays qui compte déjà 3,5 à 6 millions de chômeurs, 8 à 9 millions de pauvres, 4 millions de mal logés, une dette publique astronomique (100 % du PIB). Cette réalité, mal prise en compte par les différents gouvernements, s'est traduite au fil des décennies par une prolifération des cités-ghettos où s'entassent une partie des migrants et leurs descendants, dans des conditions dramatiques de pauvreté, d'exclusion, de chômage, de désœuvrement, d'échec scolaire et de destruction de la cellule familiale. Ces conditions chaotiques accentuent le risque de la radicalisation, de la révolte, des trafics et de la violence.

La prolongation de la rétention administrative de 45 à 90 jours n'aura qu'un impact limité, dès lors que le pouvoir de décision en la matière est laissé au juge des libertés.

L'orientation du gouvernement, qui encore une fois n'est en rien responsable de la situation, par-delà les effets de manche, ne semble pas encore clairement arrêtée.

D'une part, il paraît anticiper sur une poursuite de ce phénomène. Dans la loi de finances de 2017, l'aide médicale d'État (la gratuité des soins dont bénéficient 300 000 migrants en situation irrégulière) est en augmentation, passant de 812 millions à 882 millions d'euros. Le dispositif national d'accueil en faveur de l'hébergement des «migrants» (souvent en situation irrégulière), qui comporte déjà 80 000 places réparties sur les régions, doit s'accroître de 7 000 places en 2018, puis d'autant en 2019.

D'autre part, il affiche, à travers son projet de loi, une intention de fermeté en matière de maîtrise de l'immigration. Pourtant, face à la gravité des enjeux, les mesures annoncées paraissent d'une portée réduite, par-delà une polémique artificielle entretenue par la presse, la gauche et le monde associatif. Ainsi, sa mesure phare, la prolongation de la rétention administrative de 45 à 90 jours, n'aura qu'un impact limité dès lors que le pouvoir de décision en la matière est laissé au juge des libertés, mal préparé à cette mission, dont le réflexe naturel est souvent de refuser une prolongation de la rétention après 48 heures. La réforme prévue ne suffira pas à améliorer de manière significative un dispositif d'éloignement paralysé par sa lourdeur (6 600 reconduites hors de l'Union européenne en 2017).

Macron et son gouvernement sont au pied du mur. Une politique d'une toute autre ampleur est nécessaire. Dans quatre ans et demi, si la situation continue à évoluer au rythme actuel, la France risque de connaître une grave crise de société autour de l'immigration et sanctionnera par son vote les dirigeants qui auraient laissé la situation se dégrader. L'affaiblissement politique du Front national n'est pas une bonne nouvelle pour le pouvoir, car il ouvre la voie à d'autres formes plus réalistes et raisonnables de contestation d'une politique mal maîtrisée d'immigration. La question n'est pas de prêcher en faveur d'une impossible et illusoire «immigration zéro». Mais de manifester, dans les faits, et pas seulement dans les gestes et les paroles, une volonté de stabiliser les phénomènes, de retrouver un niveau de flux migratoire compatible avec les capacités d'accueil et d'intégration du pays, et de prouver que l'État a bien les choses en main.

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Des nouveaux-nés d'immigrés naissent blancs aux yeux bleus...

Tout débute à Copenhague. Une naissance. La vie qui se prolonge se poursuit. Quelque chose d’assez banal en somme. Dans l’hôpital, pourtant, c’est une consternation qui règne : Sorraya Safieddine, arabe d’origine, est mariée à un Jordanien. Difficile de comprendre comment leur fille, Aisha, peut être blonde aux yeux bleus.

 



 

Dès les premières cases, un malaise s’installe, et pourtant, la génétique est formelle : test après test, l’évidence s’impose. Aisha est bien la fille de ce couple. Mais surtout, elle n’est pas seule enfant à naître avec ces caractéristiques, elle est simplement la première. À travers le Danemark, d’autres sont identifiés, des enfants, toujours de couples issus de l’immigration. 

 Il s’agit d’un virus – un rétrovirus, qui a la « particularité de synthétiser l’ARN des cellules pour donner un ADN et engendrer des mutations ». L’humanité a, malgré elle parfois, passé son temps à échanger des gènes et se croiser. Mais comment cette soudaine irruption d’enfants peut-elle être appréhendée par les familles ?

 Surtout quand aucun des membres de la famille n’a d’ancêtres européens. D’ailleurs, toute l’Europe se trouve bientôt en prise avec ce virus. Les nouveau-nés, blonds aux yeux bleus, peuvent-ils être soignés ? 

 Fable ou conte, Les Danois est une œuvre surréaliste dans un contexte social où l’immigration – et l’accueil de migrants – est au cœur des questions politiques. Mais ici, ce sont les hôtes qui exercent sur les familles issues de l’immigration, une lourde influence : Clarke renverse les rôles.

 « Je trouvais intéressant de voir ce que cela donnerait non pas si les immigrés devenaient “contagieux”, mais si leurs hôtes l’étaient. Cela créerait une forme de menace inversée. Il faut rappeler que le problème racial n’en est pas un. Nous savons désormais que notre espèce Homo Sapiens s’est mélangée avec plusieurs autres espèces humaines éteintes, comme les Néandertaliens ou les hommes de Denisova. Comment peut-on alors encore donner une importance au concept de race. Cela n’a absolument aucun sens. » 

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 Avec un dessin réaliste, Clarke va monter une intrigue moins sombre que dans son précédent album, certes. Cette humanité soudainement malade d’une épidémie si étrange mérite-t-elle d’être soignée ? Nous sommes sur Terre par accident, rappelle Clarke. « Or, un accident, c’est précisément ce qui pourrait arriver de mieux à l’espèce humaine. »


Émouvant, puissant et parfois effrayant. Mais splendide. 

 

 

La guerre civile qui s’annonce n’est pas une guerre de religions

Le grand défi européen de cette première partie de XXIe siècle est insurmontable. Le continent devrait intégrer des dizaines de millions de migrants pour faire face à son déficit démographique. Pour le faire accepter, l’ordre moral utilise tous les arguments possibles, chance pour la France, etc. La situation n’est pas encore acquise. Alors, culpabilisation et repentance se prêtent à la situation. Nous ne saurions pas « vivre ensemble », défaut à corriger pour la paix sociale.

Mais rechercher la paix sociale est très loin d’être facile.

Le sociologue Robert Putnam(1), il y a cinquante ans, constatait que plus une communauté est diversifiée, plus la confiance entre les individus la constituant diminue. La société multiculturelle conduit ainsi à l’isolement et l’anomie sociale, ce qui renforce d’autant le manque de confiance.

C’est la justification évidente pour laquelle les USA, aujourd’hui et paradoxalement vu le contexte idéologique, ne se sont pas métissés. Les communautarismes sont renforcés. Les conflits ethniques se sont accentués durant le mandat Obama et le camp du Parti Démocrate a perdu.

Comment les mondialistes, qui ne l’ignorent pas, passent-ils outre ces difficultés ? Par la matérialisation interne d’un ennemi, bien sûr ! Et le but de cette dialectique permet également de détourner l’attention des peuples de la vraie menace qui pèse sur eux : leur disparition par l’ouverture des frontières. Le « Trump bashing » s’inscrit dans cette démarche.

Dans cette entreprise de résurrection de la lutte des classes pour faire oublier le déplacement des ethnies et précipiter la fin des nations, les élites mondialistes accentuent la question sociale en Europe et singulièrement en France. Elles rendent artificiellement aux syndicats l’importance que le peuple leur dénie. Le spectre de la grève générale requinque en particulier une CGT moribonde. Les « nuits debout » veillent, en parallèle, à la cohérence du système.

Les avantages sont multiples. En postulant la primauté de l’économique sur le politique, le mondialisme construit, tout autant, l’Universalisme. La Fin se fond dans les Moyens.

La loi travail de 2016, lancée par Emmanuel Macron, puis nommée El Khomry, mais techniquement conçue par les technocrates de Bruxelles, aura œuvré pour que la lutte des classes redevienne le théâtre des opérations des conflits idéologiques. La Gauche qui ne représentait plus que 13 % des intentions de vote fin 2016, remporte les élections six mois plus tard sans qu’elle n’ait à se présenter de Gauche.

Le phénomène s’apparente à ce qui s’est passé en Espagne avec Podemos, à ce qui marche en Grèce avec Syrisa. Il est significatif que l’Union européenne et le Fonds monétaire international se soient mis d’accord pour donner une rallonge à Alexis Tsipras : l’homme qui a sauvé Bruxelles et l’euro en fournissant aux Grecs un succédané d’insurrection nationale.

Le joker du mondialisme est l’alter-mondialisme, qui se présente en anti-mondialisme. Le système reste globalisé et les peuples perdent à tous les coups. A-t-on jamais vu un joueur gagner face à la Banque ?

Nous pouvons retenir deux éléments majeurs du jeu opéré par le mondialisme : il développe les conflits sociaux sous couvert de la paix sociale. Il détourne le théâtre opérationnel du conflit qui l’oppose à la résistance à ses desseins.

Quel souhait pour 2018 ? Quel qu’il soit, le printemps sera chaud et les changements climatiques n’y sont directement pour rien.

Note

(1) Les travaux de Robert D. Putnam sur « la confiance, le capital social, l’engagement civique et la politique comparée », Revue internationale de politique comparée, vol. 10 N° 3, 2003.

Source

« Ça mériterait une enquête un peu plus approfondie. Est-ce que tout le monde pense comme ça dans les cités ? »

 

Trouvé dans Minute :

Capture d’écran 2018-01-16 à 21.58.06Source

Kenya : une église catholique détruite par des islamistes à Marsabit

Arrêté sur la suspicion d’extrémisme et de liens avec le groupe islamiste somalien Al-Shabaab, l’imam Guyo Gorsa a été arrêté à Marsabit la semaine dernière et transféré à Nairobi où il devrait être officiellement inculpé. À l’annonce de son arrestation, les jeunes musulmans étudiants de sa madrassa ont provoqué des émeutes le 14 janvier à Marsabit : ils ont, notamment, détruit l’église catholique de cette ville, probablement Our Lady of Consolation (Notre-Dame de Consolation).

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Nouvelles agressions de gardiens de prison

De nouvelles agressions de surveillants de prison ont eu lieu ce mardi 16 janvier. Deux des trois syndicats à l’origine des blocages des pénitenciers prônent une suspension du mouvement le temps de négocier avec le ministère de la Justice :

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L’Algérie confrontée aux défis de l’immigration

Pays traditionnel d’émigration, l’Algérie découvre que des dizaines de milliers de migrants subsahariens se sont installés sur son territoire, incapables de poursuivre leur voyage vers le nord. Si les autorités ont décidé d’expulser des centaines d’entre eux depuis l’automne dernier, la société civile commence à prendre conscience du problème et à exprimer sa solidarité.

Sur l’écran de télévision, les dessins animés pour enfants se succèdent. Kevin1 zappe sans relâche. Kara, sa sœur, dort sur un matelas, enroulée dans une couverture. Il est 14 heures lorsque leur mère entre dans la pièce en criant : « Mais qu’est ce que c’est que tout ce monde qui dort ? Vous avez vu l’heure ? » Kara se frotte les yeux, dit qu’elle a sommeil, mais elle est envoyée illico à la cuisine pour donner à manger à son petit frère, un nourrisson de quelques mois. Kara et ses frères sont nés en Algérie, de parents camerounais. Dans l’appartement où vit la famille, dans un quartier périphérique d’Alger, une dizaine d’autres adultes cohabitent.

Tous sont des migrants venus d’Afrique centrale, installés en Algérie depuis plusieurs années. « Mamie (le surnom de la mère de Kara) nous accueille depuis plusieurs semaines, parce que notre logement a été attaqué par des voisins qui ne voulaient plus nous voir dans le quartier, explique une jeune femme aux cheveux teints en blond, allongée sur un matelas. La journée, les enfants vont à l’école, ceux qui le peuvent vont travailler, et moi, je passe le temps. » Certains habitants de la maison se connaissent depuis leur arrivée en Algérie, d’autres ont des liens familiaux, d’autres encore viennent du même quartier de Douala au Cameroun. « Dans l’attaque de notre logement, j’ai tout perdu, j’ai à peine une tenue, alors pouvoir dormir ici, chez des gens que je connais, c’est un soulagement », explique Fabrice L., qui est arrivé à Alger il y a plus de quinze ans.

Un kilomètre plus loin, Aboubaker M. est assis à la table d’un petit café. « Je viens ici pour recharger mon téléphone, il n’y a plus d’électricité sur le chantier », sourit-il. Ce Malien de 29 ans est arrivé en Algérie début 2016, après avoir vécu plusieurs années à l’extérieur de son pays. « J’ai vécu en Angola, puis j’étais installé en Centrafrique lorsqu’il y a eu le conflit. Je suis rentré chez moi à Kayes. Un jour, un cousin m’a dit de venir en Algérie, qu’il y avait du travail. Ma mère a insisté pour que je parte en disant : ’’ton cousin dit qu’il a de l’argent chaque jour’’ », soupire-t-il en hochant la tête. Aujourd’hui, le jeune homme vit dans le chantier où il travaille, dans une cabane fabriquée par le patron avec quatre plaques de tôle. Pour gagner sa vie, il a porté des sacs de sable dans la Casbah d’Alger, travaillé comme manœuvre pour construire la villa d’un particulier, ou encore dans un chantier de logements. « Je gagne 1500 dinars (10 euros) par jour. C’est un bon salaire pour mon pays, sauf que je n’arrive pas à envoyer l’argent à ma famille. Si je veux envoyer 100 000 dinars (725 euros), l’intermédiaire me prend 60 000 dinars (435 euros) de commission », dit-il.

Ses proches l’ont accusé d’être égoïste, de vouloir garder l’argent pour lui. Aboubaker M. a essayé d’expliquer, mais rares sont ceux qui acceptent de comprendre que le dinar algérien n’est pas convertible et qu’il n’y a pas de possibilité d’envoyer de l’argent via Western Union. Le jeune homme n’a pas réussi à économiser suffisamment pour partir en Europe via la Libye comme l’ont fait des centaines de migrants installés en Algérie depuis fin 2015. « Je suis coincé. Je ne peux pas rentrer chez moi sans rien. Alors je reste, même si les conditions sont difficiles et que je reste enfermé chez moi », dit-il.

Expulsés au Niger

Aboubaker M. a en tête les images et les histoires des centaines de migrants subsahariens arrêtés en septembre et octobre 2017 dans la capitale algérienne. Ces semaines-là, la gendarmerie et la police mènent une grande opération d’arrestations. « J’étais dans un taxi lorsqu’un homme en civil a stoppé la voiture et m’a demandé de descendre, raconte Tony F., un jeune Ivoirien. On m’a fait monter dans un 4x4 gris, j’ai été emmené à la gendarmerie, puis je me suis retrouvé dans un camp. » Les autorités rassemblent les migrants dans un lieu habituellement utilisé pour les colonies de vacances dans la commune en bord de mer de Zéralda. Dans différents quartiers d’Alger ainsi qu’à Blida, à 45 kilomètres au sud de la capitale, des hommes et des femmes sont arrêtés dans les transports en commun, sur les chantiers mais aussi à leur domicile. Dannie G., Camerounaise, a été arrêtée en rentrant du marché : « Après plusieurs jours dans le camp, on nous a fait monter dans des bus et on a roulé jusqu’à Tamanrasset. Là, on est restés plusieurs jours enfermés dans des baraquements, puis ils nous ont emmenés à In Guezzam. À la frontière, les forces de l’ordre ont confisqué notre argent et les téléphones qui pouvaient faire des photos, puis on a été emmenés en camion jusqu’au Niger ». La plupart des migrants arrêtés en ce début d’automne sont expulsés au Niger. À Agadez, ils sont pris en charge dans le camp de l’Organisation internationale des migrations (OIM) qui propose à ceux qui le souhaitent un retour volontaire dans leur pays d’origine, mais les migrants, originaires pour la plupart de pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) avec laquelle Niamey a un accord de libre circulation sont désormais libres de leurs mouvements.

Ces expulsions ont fait réagir des organisations internationales comme Amnesty International et Human Rights Watch, mais aussi des organisations du continent africain, comme le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snadap) algérien. Dans un communiqué, elles appellent à l’arrêt des expulsions « massives », demandent qu’on cesse de les envoyer « dans des pays dont ils ne sont pas originaires », et interpellent le président de la République Abdelaziz Bouteflika sur la nécessité d’envisager les possibilités de régularisation des travailleurs migrants.

Interdit d’entrer, défense de sortir

Le ministre de l’intérieur Nourredine Bedoui avait évoqué en juin 2017 un projet de fichier de recensement des migrants pour étudier « la possibilité de leur emploi dans des chantiers de construction, entre autres, considérant que l’Algérie a un besoin de main-d’œuvre dans certains domaines ». Le but de cette déclaration était de calmer les esprits, après une campagne raciste visant les migrants subsahariens sur les réseaux sociaux. Début juillet, le ministre des affaires étrangères algérien Abdelkader Messahel déclarait pourtant qu’ils constituaient une « menace pour la sécurité ». Quelques jours plus tôt, Ahmed Ouyahia, aujourd’hui premier ministre, avait affirmé que les migrants étaient « une source de criminalité, de drogue et de plusieurs autres fléaux. »

En 2008, l’Algérie a modifié ses lois et criminalisé l’entrée et la sortie irrégulière du territoire. Le droit d’asile n’existe pas dans la Constitution et c’est le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) qui l’attribue au compte-gouttes. L’organe onusien prend principalement en charge les Sahraouis de la région de Tindouf et les Syriens. Les migrants présents sur le territoire algérien sans visa, environ 100 000 selon les associations, tombent sous le coup de la loi de 2008 et sont passibles de deux à six mois de prison et d’une amende, au même titre que les harraga2. Jusqu’en 2012, lorsqu’un migrant était arrêté et présenté à un juge, il était expulsé à la frontière malienne. « J’ai été arrêté plusieurs fois. La gendarmerie t’emmenait à Tinzaouatine et te laissait du côté malien », témoigne Thierry H., un Camerounais. Le début de la guerre dans le nord du Mali a mis un terme aux expulsions. « Début 2016, j’ai été arrêté, condamné à deux mois de prison ferme, raconte Patrice L., un Congolais. À la sortie, on m’a remis un document qui stipulait que j’avais obligation de quitter le territoire, mais on m’a laissé partir. »

Le mois de ramadan 2014 va changer la donne pour tous les acteurs. Cet été, l’Algérie voit arriver des centaines de migrants, hommes, femmes et enfants, dans les villes du nord du pays. Ils s’installent dans les centres-ville pour mendier. Jusqu’à cette année-là, soucieux de rester discrets pour ne pas être arrêtés, ils vivaient principalement en périphérie des grandes villes, et étaient concentrés dans les agglomérations d’Alger et d’Oran, près de la frontière marocaine. La grande majorité de ces migrants mendiants est originaire de la région de Zinder au Niger et a été amenée en Algérie par une filière organisée de mendicité. Selon les autorités nigériennes, Alger s’inquiète de la « proximité » entre cette filière et le « crime organisé ». Les deux pays négocient un accord signé fin 2014 et l’Algérie organise l’arrestation et le rapatriement de Nigériens. En moins de trois ans, Alger a rapatrié plus de 18 000 personnes originaires du Niger selon les autorités.

Un matin de décembre 2016 cependant, une vague d’arrestation concerne pour la première fois depuis 2012 des migrants subsahariens non nigériens. Au total, près de 2000 personnes sont arrêtées et plus d’un millier sont expulsées au Niger. Ces expulsions interviennent après des affrontements entre habitants et migrants dans le quartier de Dely Ibrahim à Alger. Plus tôt dans l’année, trois épisodes de violences similaires ont eu lieu dans les villes de Ouargla, Béchar et Tamanrasset. À chaque fois, les migrants ont été déplacés vers la ville de Tamanrasset, dans le sud du pays. Les autorités ont également donné des instructions aux compagnies de transport de la région de Tamanrasset pour leur interdire de transporter des migrants subsahariens vers le nord du pays.

Le rôle des acteurs associatifs

Les arrestations de 2016 et 2017 ont eu un impact sur les quelques organisations algériennes qui travaillaient avec les migrants. Jusque là, elles avaient réussi à faciliter l’accès aux services de santé publique pour les migrants. « Cela fait deux ans qu’on ne m’a pas signalé de femme enceinte menottée à l’hôpital lors de son accouchement, alors qu’avant, ça arrivait régulièrement », témoignait en 2016 Thierry Becker, prêtre dans la ville d’Oran. « La loi algérienne permet l’accès gratuit aux hôpitaux à tous, quel que soit son statut administratif. Il a néanmoins fallu faire un travail de sensibilisation auprès des soignants et des personnels », explique un acteur associatif d’Oran. La scolarisation de quelques enfants dans une école publique de la capitale a pu débuter en 2015 grâce à la médiation d’acteurs associatifs. La scolarisation des enfants de plus de 6 ans est autorisée par la loi, cependant là encore, les personnels sont réticents ou mal informés. Enfin, certains migrants ont pu entamer des procédures judiciaires, accompagnés par des avocats qui travaillent avec les associations. C’est le cas de Marie-Simone J., une Camerounaise violée en réunion sous la menace d’un chien en 2016. La violence de l’agression et les difficultés rencontrées par la jeune femme pour porter plainte avaient provoqué beaucoup d’émotion. Plus d’un an plus tard, tous ses agresseurs ont été condamnés à 15 ans de prison ferme.

Les arrestations ont principalement fait augmenter les demandes d’aide d’urgence. « Des familles n’osaient plus sortir de chez elles, d’autres refusaient d’aller à l’hôpital, de peur de se faire arrêter », explique une membre d’association. Mais la société civile n’a pas pu faire beaucoup plus, fragilisée par diverses difficultés administratives et financières. « Nous sommes dans un contexte étatique d’interdiction. Il nous reste les dénonciations via Facebook », analyse un homme qui milite depuis plus de dix ans. Pourtant, la vague d’arrestations de décembre 2016 a provoqué une certaine prise de conscience de la présence de migrants dans le pays.

Ainsi des initiatives, souvent menées par des jeunes et relayées via les réseaux sociaux, ont été lancées dans différentes régions du pays. Près de Tizi-Ouzou, des habitants se sont mobilisés pour offrir des vêtements à un groupe de migrants nigériens. À Oran, plusieurs étudiants en médecine et en pharmacie ont créé un collectif pour apporter du soutien aux migrants, en organisant des cours particuliers par exemple. Le chanteur et musicien oranais Sadek Bouzinou a pour sa part écrit une chanson contre le racisme intitulée « Donne-moi ta main » et organisé un grand repas de rupture du jeûne lors du mois de ramadan 2017, avec des jeunes Algériens, des étudiants étrangers et des migrants subsahariens. À l’occasion de la journée internationale des droits des migrants, fin décembre 2017, les militants de l’association Rassemblement action jeunesse (RAJ) ont organisé une semaine entière de débats, conférences, émissions de radio sur le thème de la migration.

Pourtant, sans droit de travailler, Fabrice L. le Camerounais et Aboubaker M. le Malien songent à quitter le pays, à « tenter la suite de l’aventure » vers l’Europe. Ce sera la route marocaine ou la route libyenne. « J’ai passé trop de temps ici, je ne suis personne. Il faut que j’essaie d’aller plus loin », soupire Fabrice L.. Son téléphone sonne. Un compatriote lui annonce que Dannie G, la jeune femme camerounaise expulsée au Niger au mois de septembre a repris la route. « Elle sera de retour parmi nous d’ici peu », sourit-il.

1Les prénoms ont été modifiés pour préserver l’anonymat des personnes interviewées.

2NDLR. Algériens qui tentent de quitter le pays, sans passeport ni visa, sur des embarcations de fortune, au péril de leur vie. On les surnomme harraga, « les brûleurs », car ils « brûlent » les frontières.

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77 % des Belges ne se sentent plus chez eux, selon Le Soir et la RTBF

Plus qu’un malaise : une panique. Chez qui ? Au Soir et à la RTBF. Un sondage, organisé par ces deux médias et dénommé Noir Jaune Blues, vient de leur démontrer qu’ils ont tout faux en ce qui concerne l’immigration.

Ils étaient pourtant persuadés que leur lobbying pro-immigration, leurs reportages complaisants à l’égard des mères de djihadistes, les propos lénifiants mais fermes sur le « pas d’amalgame », les attaques et les insultes envers les audacieux qui ne partagent pas leurs avis, leur boycott du Parti Populaire – en bref, ce lavage de cerveaux aurait dû faire des Belges un peuple de veaux, comme disait le général De Gaulle…..

Eh bien, les médias et ceux qui savent tout mieux que le misérable peuple doivent accepter une leçon de modestie. Tous leurs efforts d’enfumage ne servent à rien face aux réalités quotidiennes que vit le citoyen belge.
Organisée il y a un an, l’enquête a connu une discrète nouvelle mouture, dans l’espoir que les chiffres aient connu une baisse significative – c’est tout le contraire qui s’est produit !

Selon l’enquête, 77 % des Belges ne se sentent plus chez eux « comme avant » (l’invasion – ndlr). Et le reste de l’enquête doit provoquer des grossesses nerveuses chez les bien-pensants, genre Ligue des Droits de l’Homme et MRAX, copieusement subsidiés pour masquer les réalités.

74 % des Belges disent que l’islam n’est pas une religion tolérante.

67 % des Belges trouvent qu’il y a trop d’immigrés dans notre société !

66 % des Belges se sentent « de plus en plus envahis ».

60 % des Belges estiment que la présence d’une communauté musulmane est plutôt une menace pour l’identité de la Belgique.

51 % des Belges affirment que « même après plusieurs générations, les descendants d’un immigré ne seront jamais vraiment belges ».

Si on suit la doxa du MRAX et de quelques-unes des 70.000 associations que compte la Belgique, il faudra mettre 77 % des Belges en prison ! Il en faudra de la place pour 8.470.000 personnes qui ne font plus confiance, ni à la RTBF, ni à RTL-TVI, ni aux médias comme il faut.

Dans le monde politique, aussi, c’est la panique. Pendant des années, PS, MR, CDH, Ecolo, DéFI et leurs homologues flamands prêchaient le « vivre ensemble », la compréhension, la « richesse multiculturelle » et autres balivernes, sornettes et fariboles. Les gouvernements (nous en avons 6 et 7 parlements…) successifs ont dépensé des milliards d’argent public pour nous convaincre du bien-fondé d’une immigration incontrôlée.

Ils ont fait entrer dans les instances détenant l’autorité (communes, CPAS, STIB, TEC, Forem, Actiris, etc) des immigré(e)s qui refusaient de renoncer à leur double nationalité ou qui manifestaient pour imposer le voile islamique dans les services publics et consacrer des lieux pour la prière islamique dans les ministères.

http://lepeuple.be/77-des-belges-ne-se-sentent-plus-chez-...

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A cause de l’immigration, la France est devenue un pays de merde fui par ses propres habitants

Hier 16 janvier, sur TF1 -qui finalement est un médium moins malhonnête que bien d’autres- Jean-Pierre Pernault  annonçait deux informations…
 
– La population française en augmentation de 0,3% en 2017.
+233 000 ce qui situe la France à 67,2 millions d’habitants au 1er janvier 2018 (outre mer comprise)…

– Et 262 000 visas accordés, ce qui est occulté par les autres média.
https://www.immigration.interieur.gouv.fr/fr/Info-ressour... *
Visas, on s’en doute par le chiffre, qui ne concernent pas le tourisme, de ceux qui n’ont pas l’intention de repartir dans leur pays (Pensez-vous que les étudiants étrangers repartent massivement dans leur pays ?**)…
* : Le site du ministère de l’intérieur donne quatre recueils de statistiques pour 2017.
** : Les changements de statut ne sont pas répertoriés.
Depuis j’ai pu les vérifier sur d’autres média… certains y ayant rajouté le solde migratoire très réducteur et  manipulateur !

L’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et la CNDA (Cour nationale du droit d’asile) ont accordé 32000 reconnaissances du droit d’asile, donc dans les visas.
On y rajoute les  68 000 déboutés du droit d’asile (qui très majoritairement ne seront pas renvoyés dans leur pays « grâce » à l’action d’une multitude d’assos les aidant à se soustraire aux décisions de l’OFPRA, de la CNDA et des préfets).

==> 330 000 étrangers sont entrés en France (indéterminés ceux en « transit », autres illégaux que nos gouvernants successifs tentent de garder…) !

Avec le solde naissances – décès : +164 000, le raccourci du solde migratoire est de + 69 000.  (augmentation de population – le solde naissances-décès).
 
Pour en connaître la réalité, considérons toutes les causes de la variation de population !
Augmentation de population =  (naissances – décès) + (entrées sur le territoire) – (sorties du territoire)
Sorties = (naissances – décès) + (entrées sur le territoire) – (augmentation de population)
Naissances- décès : 164 000
Entrées : 330 000
Augmentation de population : 233 000
Sorties = 164 000 + 330 000 – 233 000 = 261 000 !
Certes des étrangers, mais combien de Français ?
 
Les autres chiffres du ministère de l’intérieur répondent à cette dernière question :
une augmentation de 139 000 détenteurs d’un titre de séjour entre 2016 et 2017.
plus de 83 000 personnes ont obtenu la nationalité française en 2017 diminuant d’autant le nombre des détenteurs d’un titre de séjour.
Ce qui représente 222 000 personnes, soit un déficit de 40 000 par rapport aux 262 000 visas longue durée accordés. Les 40 000 représentent les sorties et les décès d’étrangers, admettons 20 000 de chaque* !
Recoupement presque parfait avec le calcul des sorties du paragraphe précédent !!!!
* : les 2,9 millions de détenteurs d’un titre de séjour longue durée constitue une population relativement jeune, le nombre de décès est donc inférieur à 26 000 correspondant à la moyenne de la population.
 
On obtient ainsi un nombre de l’ordre de 240 000 français de souche ou naturalisés* émigrant du Pays ! La très grande majorité des sorties du territoire est française…
 
* : cas de retraités retournant dans leur pays d’origine.
Problème, recouper les chiffres par la connaissance du nombre des français à l’étranger et son évolution… ce qui relève de l’exploit !
 
 
La France est devenu un pays d’émigration, la France est devenue l’Afrique !

Que disait Trump au sujet des pays d’émigration ?

Rien qu’à voir ce que subissent les Français ordinaires, les femmes,  les petits commerçants en certains lieux, les élèves souchiens,  les pompiers, les médecins, les policiers et j’en passe,  puis maintenant les juges (et encore, pas un seul n’a « bénéficié » de 15 jours d’ITT pour agression, cela se saurait), la France est devenue un pays de m… que beaucoup fuient !

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Le grand gourou Thuram invite tous les idiots à cracher sur Delacroix

Lilian Thuram devient un super guide au musée Delacroix. Objectif : démontrer «l’atteinte de l’autre, différent» dans la peinture de cet artiste.

Lilian Thuram devient-il un intégriste du décodage des tableaux de Delacroix?

Quelle surprise de l’entendre sur Arte Journal ce jour, 16 janvier 2018.  On assiste à une critique-purge de la peinture et des thèmes abordés et imaginés par Delacroix. Pourquoi ne pas demander carrément la fermeture de ce musée et jeter Delacroix aux orties? Pourquoi ne pas demander la fermeture de certaines salles du Louvre?

Delacroix, c’est une époque et les choses sont à replacer dans le contexte de l’époque des peintres orientalistes.

Ils exprimaient aussi leurs fantasmes. Mais en quoi ces fantasmes étaient-ils dangereux?. La démarche de Delacroix n’était pas de dévaloriser les humains présents dans ses tableaux.

Que cherche Thuram? Nous démontrer que nous ne sommes pas capables de discerner ce que lui peut discerner?

Après cette visite, on se demande vraiment ce que vont retenir les personnes présentes de la peinture de Delacroix.

Moi ce que je discerne, c’est le goût de la sensualité de l’invitation au voyage, au plaisir, dans ces tableaux orientalistes de Delacroix. Et vous?

https://www.arte.tv/fr/videos/080589-000-A/lilian-thuram-...

 

Note de Lou Mantely

Baudelaire appréciait grandement, lui,  cette invitation sensuelle au voyage en Delacroix, l’un de ses peintres favoris, à telle enseigne qu’il fit de cette formule un somptueux poème.

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/charle...

Mais Thuram n’est pas Baudelaire, tout le monde l’avait compris.

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Dieudonné et Macron main dans la main avec Abdeslam pour justifier les attentats du Bataclan ?

A vomir.

Quel salaud ce Dieudonné.

Il a écrit à Abdeslam pour lui demander l’autorisation de venir le rencontrer en prison, histoire de comprendre « la révolte qui l’habite »… et d’en faire un livre : comment éviter les attentats.

Clair comme de l’eau de roche.

Dans la lignée de Macron qui, déjà, en novembre 2015, disait :

« Le terreau sur lequel les terroristes ont réussi à nourrir la violence, à détourner quelques individus, c’est celui de la défiance« , « Nous avons une part de responsabilité, parce que ce totalitarisme se nourrit de la défiance que nous avons laissée s’installer dans la société. Il se nourrit de cette lèpre insidieuse qui divise les esprits, et si demain nous n’y prenons pas garde, il les divisera plus encore«

«Nous sommes une société dont au cœur du pacte, il y a l’égalité. Nous sommes une société où en moyenne l’égalité prévaut beaucoup plus que dans d’autres économies et d’autres sociétés, en particulier anglo-saxonnes», a souligné le ministre. Mais «nous avons progressivement abîmé cet élitisme ouvert républicain qui permettait à chacune et chacun de progresser. Nous avons arrêté la mobilité» sociale, a-t-il déploré. «Nous sommes une société où nous avons construit la capacité à fermer la porte», a encore jugé l’étoile montante du gouvernement, en dénonçant le fait que «quelqu’un sous prétexte qu’il a une barbe ou un nom à consonance qu’on pourrait croire musulmane, a quatre fois moins de chances d’avoir un entretien d’embauche qu’un autre» .

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/couacs/2015/11/2...

Voici Dieudonné qui interroge et qui susurre, tout comme Macron, la réponse :

Ce qui nous intéresse est de comprendre votre état d’esprit et les raisons qui vous ont poussé à agir

« Nous espérons mieux comprendre la profonde révolte qui vous habite »

« La violence est un mode d’expression qui surgit quand tous les autres ont échoué : l’attentat a pour but d’envoyer un message fort qu’on ne peut transmettre autrement, écrit encore Dieudonné. En discutant avec vous, nous espérons mieux comprendre la profonde révolte qui vous habite et à laquelle la société reste sourde. » 

https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/dieudonne/att...

En deux phrases, Dieudonné exonère Abdeslam de toute responsabilité  ( il exonère dans la foulée l’islam de toute responsabilité aussi, forcément ) et il fait reposer celle-ci sur la société française, restée « sourde ».

Autant dire qu’on peut écrire de notre côté le livre de Dieudonné, on sait déjà ce qu’on y trouvera…

Ce sale type qui pleure sur le manque de liberté d’expression et veut imposer la charia en France ?

Rappelez-vous.

Lors du débat qui nous a opposés sur l’islam en 2011, il trouvait normal que ses enfants refusent d’assister aux cours d’histoire à l’école, parce que, l’histoire de France n’est pas leur histoire.

Source et Video

L’immigration va-t-elle suppléer la baisse des naissances ?

C’est déjà le cas en Allemagne. Ce pourrait bientôt être le cas en France. Pour la troisième année consécutive, le nombre de naissances a diminué. En 2017, le taux de fécondité est passé à 1,88 enfant par femme, contre 1,92 en 2016 et 2 en 2012, le seuil de renouvellement des générations étant de 2,1. On se console comme on peut : la France reste le pays de l’Union européenne où la fécondité est la plus élevée. Maigre consolation, de glisser sur la même pente avec un temps de retard !

Les causes de ce phénomène sont nombreuses : si chacune, prise séparément, ne paraît pas irrémédiable, leur conjonction rend ce déclin inéluctable.

Des causes économiques et politiques. La crise de 2008, la précarité du marché du travail, la dégradation de la politique familiale : plafonnement du quotient familial, atteintes à l’universalité des allocations, difficultés toujours plus grandes à concilier une vie familiale et une vie professionnelle par manque de structures adaptées.

Des causes sociologiques, aussi. Les générations du baby-boom atteignent des âges avancés et s’éteignent progressivement, la mortalité augmente, la réduction de la fécondité chez les femmes de 24 à 35 ans n’est pas compensée par une augmentation chez les femmes plus âgées.

Dans ces conditions, la population globale devrait diminuer. En fait, elle continue d’augmenter légèrement : c’est le solde migratoire, qui devrait peser encore davantage dans l’avenir (l’enquête de l’INSEE ne prend pas en compte les mouvements migratoires de ces dernières années).

 Certains s’en réjouissent. L’immigration crée de la richesse, c’est bien connu ! Pour se donner bonne conscience, ils citent Marie Curie, née Skłodowska, Polonaise naturalisée française, ou Raymond Kopa, Ballon d’or en 1958, qu’ils mettent sur le même plan que les immigrés du Proche-Orient ou d’Afrique. Ils dissimulent, sous des considérations humanitaires, leurs intérêts économiques. C’est la loi du marché, cynique et implacable.

D’autres, plus pessimistes, se voient stigmatisés, accusés de xénophobie et de racisme, parce qu’ils dénoncent un Grand Remplacement organisé : il faut pourtant constater que nos dirigeants ne font rien pour démentir cette hypothèse, sinon jeter l’opprobre sur ceux qui la formulent. Peut-être faudra-t-il un certain temps mais, si l’on considère que les familles immigrées ont souvent beaucoup d’enfants, le résultat est mathématique.
Si, encore, la majorité des immigrés acceptaient de s’intégrer, en adoptant la culture de leur pays d’accueil ! Mais ce n’est plus le cas. Comment pourrait-il en être autrement quand on les considère comme un produit de substitution ? Quand on leur fait le cadeau de la victimisation ? Quand on ne croit plus à la valeur de sa propre culture, qu’on sombre dans un relativisme qui met tout sur le même plan ?

Les premiers responsables du déclin démographique de la France, ce sont nos dirigeants politiques. Notre Président, comme ses prédécesseurs – sans doute davantage, car il prend encore plus ses distances avec les fondements de la nation française –, fait passer l’économique avant tout le reste, continue de désagréger la politique familiale et la famille elle-même.

C’est ainsi que la France, de plus en plus déracinée, se meurt par asphyxie, par défaut de repères, par manque de foi en son destin, se laissant emporter par les vents mauvais de l’Histoire. Pour survivre à cette mort programmée, il faut donner aux Français des raisons d’espérer : en commençant par maîtriser l’immigration, en favorisant l’intégration, en mettant en œuvre une véritable politique familiale, en donnant à la France un supplément d’âme.

Philippe Kerlouan

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Les Français crèvent de l’immigration, mais la gauche en redemande toujours plus !

Julien Dray, au sommet de l’infamie, ose comparer l’expulsion d’un migrant à la rafle du Vel d’Hiv !

“La crise des migrants est le 11 Septembre de l’Europe”.

Ainsi s’exprime le politologue bulgare Ivan Krastev qui voit l’Europe se désintégrer.

Mais la gauche française refuse d’ouvrir les yeux. C’est la surenchère permanente, où la mauvaise foi le dispute à l’aveuglement coupable.

L’immigration est en train de couler économiquement le pays, l’explosion des communautarismes disloque peu à peu la société, l’islam radical entre en opposition frontale avec la République, l’insécurité gagne toutes les régions de France, mais tout ce que la gauche compte comme indécrottables immigrationnistes, monte au créneau contre la loi “asile-immigration” du gouvernement, pourtant bien timide pour limiter l’invasion.

“Un déni d’humanité insupportable” nous dit Le Clézio.

Clémentine Autain dénonce le “tri sélectif des migrants” et veut accueillir toute la misère du monde, pour Philippe Martinez “la France a le devoir d’accueillir des gens qui sont dans la souffrance” (il semble ignorer qu’il y a au bas mot 2 milliards de miséreux sur terre).

Les écologistes veulent créer un statut de réfugié climatique !

Mais c’est Julien Dray qui remporte le pompon haut la main.

En effet, ce dernier dit craindre “des rafles dans les centres de migrants”, suite à la circulaire organisant le recensement des personnes bénéficiant d’un hébergement d’urgence.

Dray se vautre dans l’indécence et se ridiculise un peu plus. Du pur délire.

Castaner a parfaitement raison de dénoncer cette “insulte faite aux agents de l’Ofpra et de l’Ofii, qui n’ont rien d’agents de la Gestapo” !

Mais c’est surtout une insulte faite aux millions de victimes des camps nazis et aux  milliers de déportés, dont les abominables souffrances physiques et mentales ne sauraient être comparées à un simple contrôle d’identité d’un clandestin !

Tout ce joli monde de la gauche moralisatrice représente en fait ce qui se fait de mieux comme contre-modèles de démocrates. Le peuple, ils s’en foutent.

Visiblement, ils n’ont pas lu le dernier sondage Kantar-Sofres-OnePoint, sur les priorités des Français.

Sur 24 réformes envisagées par le gouvernement, les plus prioritaires pour les citoyens sont dans l’ordre :

1° Renforcer les lois antiterroristes.

Lutter contre l’immigration clandestine.

3° Combattre le chômage des jeunes.

4° Baisser les impôts des particuliers.

Mettre en place des peines plancher pour les agresseurs de policiers.

6° Réduire le nombre de parlementaires.

Durcir les règles du droit d’asile pour les réfugiés.

……….

10° Mettre en place la Police de sécurité au quotidien.

………

13° Mieux faire respecter les règles de la laïcité.

……….

24° Limiter la vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire.

On  le voit, nos bien-pensants sont à côté de la plaque et totalement à contre-courant des souhaits des Français !

La gauche refuse d’admettre que les Français en ont marre de cette immigration sauvage qui bouleverse leur quotidien et leur mode de vie, qui détruit leur identité et menace l’avenir de leurs enfants.

Par son mépris du peuple français, cette gauche soi-disant humaniste se discrédite totalement et se révèle inapte à gouverner.

Que l’immigration coûte chaque année plus de 1000 euros par Français, la gauche s’en fout.

Que 96% des déboutés du droit d’asile restent en France, la gauche s’en fout.

Que 75 000 illégaux aillent gonfler le flot des clandestins, la gauche s’en fout.

Que 100 bidonvilles soient apparus en Île de France, la gauche s’en fout.

Que 25 000 illégaux logent à l’hôtel aux frais du contribuable, la gauche s’en fout.

Que 140 000 SDF logent sous les ponts, la gauche s’en fout.

Que les sans papiers soient mieux soignés que les Français, la gauche s’en fout.

Qu’un mineur isolé coûte 50 000 euros à la société, la gauche s’en fout.

Que 100 000 peines de prison ferme ne soient pas exécutées, la gauche s’en fout.

Que 66% des Français ne se sentent plus en sécurité nulle part, la gauche s’en fout.

Que 50% des Français aient peur dans les transports publics, la gauche s’en fout.

Que 85% des parents aient peur des agressions à l’école, la gauche s’en fout.

Que 11% des Français aient peur dans leur propre quartier, la gauche s’en fout.

L’immigration engloutit la totalité de l’impôt sur le revenu, soit plus de 70 milliards par an au minimum.

Elle est responsable de la majorité de notre endettement de 2200 milliards.

Elle est responsable de la majorité des crimes et délits.

66% des détenus sont musulmans (dixit Jack Lang) et plus de 80% des délits sont d’origine immigrée.

Ajoutons que la droite au pouvoir a fait pire que la gauche.

Elle braille avec Wauquiez, mais c’est la droite qui a supprimé la double peine pour les délinquants étrangers, c’est la droite qui a exonéré de toute incarcération les condamnés à moins de 2 ans de prison ferme !

La droite n’est qu’un ramassis de faux-culs qui font pire que la gauche quand ils sont aux commandes.

La sinistre conclusion est que la France de nos parents est en train de disparaître par la faute de dirigeants irresponsables qui ont trahi le peuple français et ont bradé 2000 ans d’histoire et 1500 ans de chrétienté.

Nos enfants hériteront d’un pays ruiné au bord de la guerre civile, car avec des politiques qui nient les ravages d’une intégration ratée, tout va empirer.

Jacques Guillemain

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jeudi, 18 janvier 2018

Terres de Mission : Peut-on encore critiquer l’Islam ?

Terre de missions reçoit François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service Politique. Il fait un point sur l’un des combats actuels majeurs de la Fondation : le combat contre la pornographie. Une démarche qui l’a amené à porter plainte contre le ministère de l’Education nationale pour incitation à la débauche.

En deuxième partie, l’abbé Paul Aulagnier parle de son dernier livre: « A la fin, mon cœur immaculé triomphera ». Ce livre consiste en une lecture ligne à ligne, et même souvent mot à mot, des principales hymnes mariales du bréviaire romain traditionnel. Avec une attention toute particulière à la poésie de ces œuvres magnifiques, de même qu'à leur admirable densité doctrinale.

Enfin dernière partie, l’abbé Guy Pagès, dont la page Facebook vient, une nouvelle fois, d’être suspendue, discute de la curieuse situation actuelle où, en Occident même, les pouvoirs publics et les grandes sociétés appliquent, d'une certaine façon, la charia, puisqu'ils condamnent toute critique de l'Islam comme une sorte de racisme - condamnant ainsi certains musulmans à demeurer enfermés dans leurs erreurs.

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Jean-Pax Méfret incarne une contre-culture qui a su traverser plusieurs décennies

Excellent article de Jean-Yves Camus sur le concert de Jean-Pax Méfret :

B_1_q_0_p_0"Tous ceux qui étudient la pensée de droite devraient aller assister à un concert de Jean-Pax Méfret. En effet, qui d’autre peut, à 73 ans, remplir deux jours de suite le Casino de Paris (plus de 1500 places), s’apprêter à tourner en province et attirer un public dans lequel les familles et les jeunes sont plus nombreux que ses contemporains ? Qui d’autre peut faire se lever son public à l’unisson pour respecter la Sonnerie aux Morts à la fin d’une chanson (« Le vieux soldat », sous-titré « Respect »), puis faire applaudir les chefs de la Vendée militaire quand il égrène leurs noms en terminant un hymne aux Chouans ? Réponse : personne, mis à part l’ancien journaliste et grand reporter passé par le « Minute » des années 70, puis par « L’Aurore » et le « Figaro-Magazine » et qui a choisi depuis le début des années 70 d’être aussi un chanteur engagé, le « chanteur de l’Occident ».

Tout l’intérêt d’un tour de chant de Jean-Pax Méfret est de permettre une vaste rétrospective des combats qui ont mobilisé sa génération et que d’autres poursuivent : patriotisme éprouvé par la défaite d’Indochine et la perte de l’Algérie, opposition aux valeurs de Mai 68, anticommunisme viscéral, soutien aux chrétiens d’Orient, hier ceux du Liban et aujourd’hui ceux victimes de l’islam radical. Ces engagements pleinement assumés et revendiqués, mis en musique sur le mode d’une chanson de variété de bonne facture et interprétés avec une vraie voix, sont toutefois servis par des chansons plus subtiles qu’un simple répertoire militant. L’homme a du recul, une vraie sensibilité et ne cède jamais aux très rares excès de spectateurs qui veulent davantage d’agressivité (il lance à l’un deux, « ce n’est pas un meeting »), de même qu’il chante son « pays perdu », l’Algérie, avec bien plus de subtilité qu’aurait eu une apologie en bonne et due forme d’une OAS dont il a été proche.

D’extrême-droite, Jean-Pax Méfret ? C’est un peu simpliste. Il entame sa prestation par une chanson sur les chrétiens d’Orient qui reflète une réalité constatée par tous (et propose à la fin une profession de foi catholique, « La Force »). Il continue par un de ses classiques, « Sainte Mère l’Eglise », qui raconte le débarquement allié en Normandie et invite, dans une intervention parlée, à ne jamais oublié l’engagement des américains pour nous libérer du nazisme. Continue par « Veronika », hommage aux allemands de l’est et à leur lutte pour se libérer de la prison qu’étaient le secteur oriental de Berlin en particulier et la RDA en général. Il reprend en fond de scène la photo célèbre du président Kennedy et son « Ich bin ein Berliner ». Il chante les victimes du goulag soviétique et les refuzniks juifs d’URSS. Puis les harkis. Dans le coffret de ses CDs paru en 2015, tout ceci est présenté sous deux intitulés : « années froides », époque de la guerre du même nom et « Nostalgérie ».

MIl existe un troisième volet à son œuvre : l’hommage à l’armée. Méfret a été un baroudeur, un reporter de guerre. Il a côtoyé les « soldats perdus ». Le plus gros succès du concert auquel j’ai assisté s’appelle « Dien Bien Phu » et entraine une partie de l’assistance à reprendre en chœur un célèbre chant légionnaire : « Contre les Viets, contre l’ennemi ». Puis vient « Camerone » aussi consacré à la Légion, puis un titre intitulé « Les oies sauvages », qui n’est pas le chant traditionnel des parachutistes et des légionnaires, mais un hommage aux soldats disparus et par extension, à tous les camarades de combat, y compris politiques, qui ont quitté ce monde. D’autres chansons se rapportent à ce monde militaire que Méfret connait pour avoir suivi leur engagement sur le terrain (un titre a été composé un soir d’OPEX).

Tout ceci, ajouté à une solide détestation de la gauche qui s’exprime entre autres dans « Solidarité » (titre écrit en 1982), tendrait à faire passer Jean-Pax Méfret non seulement pour un chanteur « pas politiquement correct », ce qu’il revendique, mais pour un « réac » façon Philippe Clay, le gaullisme en moins. Ou Michel Sardou première manière, mais le vécu en plus. L’énorme différence est que Méfret incarne une contre-culture qui a su traverser plusieurs décennies et ne se résume pas, loin s’en faut, à une caricature de « fana-mili » bas du front. Indispensable pour comprendre la sensibilité de droite."

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Immigration : comment Le Monde relativise les chiffres

Ou comment manipuler l'opinion en donnant de vrais chiffres. Voici le titre de l'article :

Capture

C'est factuellement vrai : les 2 chiffres sont en hausse.

Mais le chiffre du nombre de titres de séjour est passé de 227 500 en 2016 à 262 000 en 2017, soit une augmentation de 13.7%.

Comparativement, l'augmentation de 10,8% de 27 373 expulsions est donc ridicule et il est proportionnellement en baisse.

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Philippines : saccage de la cathédrale de Marawi par les musulmans

De Marc Fromager, directeur de l'AED :

Marawi2"L’année dernière, la capitale musulmane de 400 000 habitants a été envahie par les djihadistes prétendant être la branche locale de l’État islamique. Ils ont attaqué la cathédrale le 23 mai et kidnappé le curé de la paroisse qui s’est finalement échappé quatre mois plus tard. La ville a été assiégée pendant près de cinq mois puis entièrement détruite. L’accès au centre-ville est toujours interdit, trois mois après la fin de la bataille.

Agenouillé en silence

Ce jeudi 11 janvier 2018, une délégation restreinte comprenant deux directeurs nationaux de l’AED (Philippines et France) a pu entrer dans le périmètre initialement nommé Ground zero et maintenant appelé MAA (zone la plus touchée). La délégation était composée de civils, les premiers à entrer dans la région depuis la guerre, avec une lourde escorte militaire. Parmi la délégation se trouvait l’évêque de Marawi, Mgr Edwin de la Peña, pour qui c’était la première visite à sa cathédrale depuis le 22 mai 2017. En s’approchant de l’église, son cœur s’est brisé. Il s’est agenouillé en silence devant l’autel dévasté. Tout a été endommagé, y compris les statues du Christ et de la Vierge Marie : impacts de balle, meubles liturgiques brûlés…. La résidence de l’évêque, juste en face de la cathédrale et où il vivait depuis 16 ans, a été également totalement détruite. [...]"

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Le pluralisme selon France 24 et FRI : deux invités immigrationnistes dans “Mardi politique”… et c’est tout !

 

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Patriote contre emburkinée : un procureur exemplaire et une Présidente compissant l’islamophobie !

Patriote contre emburkinée : un procureur exemplaire et une Présidente compissant l’islamophobie !

Quelques membres de Résistance républicaine Normandie  avaient fait le déplacement à Rouen hier pour soutenir le patriote accusé par le CCIF d’avoir dit à une emburkinée qu’elle ne respectait pas la loi… Certains avaient même pris une journée de congé dans leur entreprise pour être là. Merci à eux.

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/13/lundi-tous-a-...

Par contre, malgré le brassage médiatique du CCIF, pas un seul musulman présent. Juste un couple qui, voyant qu’ils étaient seuls, sont partis avant même le début des plaidoiries.

Le prévenu, un homme de 70 ans, ancien militaire de carrière habitant dans une commune proche du Havre.

La présidente du tribunal a eu une attitude à mon sens non respectueuse, portant des lunettes très foncées ne laissant pas voir ses yeux elle n’a eu que des propos méprisants  concernant le prévenu. Elle a commencé par lui faire la morale lui indiquant qu’il était présent pour une affaire très grave et que son attitude irresponsable pourrait être considéré comme islamophobe ! Apparemment ce juge ne sait pas que l’islamophobie n’existe pas dans le code pénal et n’est pas un délit… Elle lui a dit qu’il n’avait pas à adresser la parole à cette femme en burqa, qu’il ne faisait pas la loi…

Le prévenu a fait profil bas devant le tribunal, respectant à mon avis les consignes de son avocat afin que la plaidoirie de celui ci soit efficace.

La plaidoirie de la partie civile faite par un avocat qui devait être musulman lui même mandaté par le CCIF à été fondée sur le fait que la pauvre femme aurait subi une agression physique traumatisante ayant entraîné une incapacité de travail de trois jours  et un traumatisme moral tout en indiquant que la tenue de sa cliente n’était certes pas légale mais nécessaire pour ne pas être importunée par des hommes. Il a réclamé pour sa cliente  2000 euros ainsi que 1500 euros pour les frais du CCIF.

Ensuite l’avocat général, une femme, a pris la parole et à recentré le débat sur le fait que la plaignante était en infraction par rapport à la loi concernant sa tenue vestimentaire et que les témoins, sœur et amie,  avaient déposé des témoignages non recevables du fait de leur proximité avec la plaignante. Elle a jugé que le prévenu, ancien militaire respectant les lois a voulu faire respecter la loi au lieu de prévenir les autorités policières  pour qu’ils puissent verbaliser la contrevenante. Elle’a demandé quand même demandé une sanction légère avec sursis.

Puis l’avocat du prévenu à pris la parole et à recentré le débat sur le fait que le prévenu était un homme n’ayant rien sur son casier judiciaire, qu’il avait toujours respecté les lois et qu’il ne supportait pas que des gens n’en fassent pas  autant. Que cette femme avait provoqué et non respecté la loi. Qu’une relaxe était la seule conclusion possible.

Mis  en délibéré le 21 février.

Ce que l’on peut conclure, c’est  que ce malheureux patriote a voulu faire respecter la loi, même de façon grossière et que c’est lui qui est le coupable au final.

Nous avons discuté avec lui à la sortie de l’audience, il nous a confirmé que la police le jour de l’altercation n’a pas fait respecter la loi concernant la tenue vestimentaire de la plaignante et qu’il a reçu de nombreuses menaces après les faits. 

 

Note de Christine Tasin

Il faut répéter ad nauseam que le CCIF est payé par Soros et par les Frères musulmans pour transformer la France en pays musulman.

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/12/samy-debah-fo...

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Pour Bernard Deschamps (PCF), « Allah Ouakbar » n’est pas plus criminogène qu’« Au nom du père » !

Pour Bernard Deschamps (PCF), « Allah Ouakbar » n’est pas plus criminogène qu’« Au nom du père » !

Chez les communistes, on apprécie le mélange. Mélange idéologique (nazisme et communisme, avec le pacte germano-soviétique et les camps de concentration), mélange politique (les Russes s’allient avec les Chinois avant de comprendre qu’ils sont rivaux), mélange historique (on vient du socialisme mais on le rejette quand ça nous arrange), mélange ethno-culturel (un peuple en vaut bien un autre, pourvu qu’ils deviennent tous rouges).

Il est donc logique que les communards attardés poursuivent leur funeste entreprise dans ce 21e siècle en dénonçant la société capitaliste globalisante, tout en pratiquant exactement les amalgames douteux qu’elle génère.

Bernard Deschamps, ancien député PCF du Gard, a lancé le week-end dernier un appel à la déraison historique et philosophique qui ne saurait trancher avec la ligne du parti, laquelle consiste, depuis son existence, à ne pas avoir de ligne, mais à s’adapter aux spasmes émotionnels majoritaires des sociétés que le communisme vise à gangrener.

Dans un discours prononcé, il commence par citer Jaurès en affirmant, tout à fait justement, que la conception de la laïcité du leader socialiste tendait à « permettre à tous ceux qui croient ou ne croient pas de vivre ensemble »  dans un espace commun. Là où le bât blesse, c’est quand l’élu fait le rapprochement avec le scandale que représenterait la suppression des menus de substitution dans les cantines scolaires.

Deschamps nous explique que c’est là une « opposition » au vivre-ensemble qui exclurait une partie des enfants.

Pas de chance pour notre leader Minimo : c’est exactement l’inverse. Le principe de séparation des Eglises et de l’Etat empêche de facto la prise en considération de croyances et donc la mise ne place de menus de substitution basés sur des convictions religieuses.

Ce principe, au contraire d’exclure certains élèves, les confond avec la communauté nationale : chacun est exactement soumis au même régime, quelles que soient ses croyances ou ses origines culturelles.

C’est justement le fait de manger halal ou casher à l’école qui exclut les élèves de leurs camarades, en faisant une communauté à part. Rien n’empêche par ailleurs ces mêmes élèves de manger halal chez eux, même si l’on pourrait souhaiter qu’ils s’assimilent à la culture française plutôt qu’ils continuent à pratiquer des coutumes vieilles de 1500 ans et originaires de pays qui n’ont aucune valeur en commun avec le nôtre.

Mais il y a plus fort encore dans la confusion philosophique : Deschamps nous explique ensuite que « Allah Ouakbar » n’est pas plus criminogène que « Je vous bénis au nom du père, du Fils et du Saint-Esprit. »

Quel talent possèdent ces politiciens : ils savent à merveille nous détourner de la réalité.

Petite mise au point pour ce traître à la nation, même si je doute qu’il fréquente assiduement Résistance Républicaine.

Ce n’est pas « Allah Ouakbar » qui est criminogène. Pas plus que les camions ou les fusils d’assaut. Ce qui tue, ce sont les hommes ou les femmes. Et, dans la France moderne, les auteurs d’attaques contre des innocents au nom de leur religion, ce sont à 100% des musulmans.

Jamais nous n’avons constaté dans notre pays qu’un détraqué commettait un carnage sur une place publique en criant « Au nom du père ». Malheureusement, cela se produit assez régulièrement avec « Allah Ouakbar ».

Le christianisme est une religion qui prône l’amour du prochain et qui s’est répandu par la parole.

L’islam est une religion qui prône la haine des insoumis et qui s’est répandue par la violence.

Le summum est atteint quand Deschamps nous affirme que le voile vaut bien une soutane… Et le bonnet d’âne, personne ne vous l’a imposé, cher Monsieur ?

http://www.fdesouche.com/938463-bernard-deschamps-ancien-...

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Les Français contre-attaquent à coups de boudins et autres fêtes du cochon

Les Français contre-attaquent à coups de boudins et autres fêtes du cochon

Les Français contre- attaquent

Sur les 100 km séparant Valence de Grenoble, nous avons croisé 12 annonces de banquets villageois.

Sur ces 12 banquets, il y a 11 repas à base de viande de porc, comme le montrent les photos des affiches, de quoi faire enrager Saliha Brackhlia et Raphaël Enthoven.

J’ai l’impression que plus les cantines se halalisent, plus les comités des fêtes communaux et autres associations se rattrapent et se défoulent lorsqu’ils composent leurs menus.

Lecteurs de Résistance Républicaine, avez-vous aussi constaté ce phénomène dans vos régions ?

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Suisse: vers un référendum sur l'immigration

Une campagne lancée par l'extrême droite suisse contre l'immigration pourrait déboucher sur l'organisation d'un référendum sur la libre circulation des citoyens de l'UE, le gouvernement ayant autorisé ce mardi au parti UDC de chercher à rallier des soutiens à cette initiative.

L'initiative de l'UDC (Union démocratique du centre), qui vise à donner à la Suisse toute latitude pour accepter ou non des ressortissants de l'UE, fera l'objet d'un référendum s'il recueille au moins 100.000 signatures d'ici juillet 2019.

Cette démarche pourrait compromettre les accords bilatéraux passés avec l'UE, alors que la décision des Vingt-Sept de donner aux Bourses suisses un accès temporaire au marché intérieur du bloc a provoqué le mécontentement de la Suisse. Les accords actuels, en cours de négociation pour être regroupés dans un accord-cadre, garantissent notamment la liberté de circulation des citoyens de l'UE en Suisse.

La présidente de la Confédération helvétique, Doris Leuthard, a expliqué en décembre qu'un référendum sur les relations avec l'UE pourrait être utile. En 2014, les électeurs suisses s'étaient prononcés en faveur de l'instauration de quotas d'immigration. Le Parlement avait finalement adopté en 2016 une loi moins restrictive, donnant priorité à l'emploi aux chômeurs suisses, afin d'éviter de dégrader les relations avec Bruxelles.

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A la Lega, un candidat veut défendre la «race blanche»

ItalieLes déclarations dimanche d'un candidat aux élections du 4 mars sur la défense de la «race blanche» ont provoqué un tollé en début de semaine.

Les déclarations dimanche d'un candidat aux élections du 4 mars sur la défense de la «race blanche» ont provoqué un tollé en début de semaine et mis en lumière le rapprochement toujours plus affirmé de Silvio Berlusconi avec ses alliés d'extrême droite.

Pour Attilio Fontana, candidat à la présidence de la région Lombardie de la Ligue du Nord (LN, extrême droite) avec le soutien de Forza Italia (FI, parti de droite de M. Berlusconi), l'Italie doit «faire des choix» face aux migrants.

 «Nous devons décider si notre ethnie, si notre race blanche, si notre société doit continuer à exister ou si elle doit être supprimée», a-t-il déclaré lors d'un long entretien dimanche à la radio.
 
 
 
 
 

En Autriche : la natalité plutôt que l’immigration

Le gouvernement autrichien dirigé par le néo-conservateur Sebastian Kurz, qui a fait couler beaucoup d’encre en Europe occidentale du fait de son alliance avec le parti d’extrême droite FPÖ, a l’intention de mettre en place, dès le 1er janvier 2019, un bonus familial qui prendra la forme d’une réduction d’impôts pour les familles avec des enfants, dans le but de relancer la natalité.

Comme toute l’Europe centrale, l’Autriche n’échappe pas à un taux de natalité en berne, avec un indice de fécondité de 1,47 en 2015. Si l’Allemagne veut combler sa natalité déficiente par une immigration soutenue, le gouvernement autrichien a, quant à lui, décidé de ne pas avoir recours à ce moyen mais de relancer la natalité de ses nationaux, et ce, conformément à son programme politique pour lequel il a été élu en automne dernier.

L’immigration a été l’un des principaux thèmes de la dernière campagne législative (dont le vainqueur devient chef du gouvernement), campagne dont les partis de droite et d’extrême droite recueillirent près de 60 % des voix avec un programme clairement « anti-migrants », dans une Autriche qui a accueilli bien plus que son quota de migrants au plus fort de la crise de 2016-2017. Plus de 90.000 demandes d’asile acceptées sur la période 2015-2017 pour ce petit pays d’à peine 9 millions d’habitants. Devant l’afflux de réfugiés mais aussi de migrants économiques, le précédent gouvernement avait déjà dû mettre en place une série de freins au droit d’asile et déployer des troupes à ses différentes frontières pour endiguer le phénomène.

Durant les élections, les médias autrichiens avaient largement relayé les différents faits divers relatifs aux réfugiés et migrants, le tout dans un contexte de terrorisme accru. À présent, le nouveau gouvernement a engagé de nouvelles mesures afin que les réfugiés regagnent leurs régions d’origine, en plafonnant leurs aides d’urgence à 520 euros au lieu des 800 auparavant, et compte les rassembler dans des centres spécialisés avec un couvre-feu, mais aussi et surtout en ne faisant rien pour les intégrer, considérant à raison que les réfugiés n’ont pas vocation à demeurer, à présent que Daech est vaincu.

 Les autorités autrichiennes ont donc tout naturellement décidé de relancer la natalité par les allocations, qui prendront ainsi la forme d’un dégrèvement d’impôts de l’ordre de 1.500 euros par enfant de moins de 18 ans, contre 440 euros aujourd’hui, et de 500 euros pour un étudiant post-bac. Concrètement, cette baisse devrait profiter à quelque 700.000 ménages autrichiens, pour un coût total de 1,5 milliard d’euros. Elle représentera une baisse considérable pour de nombreux ménages : une famille avec deux enfants gagnant 2.300 euros par mois se verra ainsi totalement exonérée, et cette même famille avec un revenu de 2.500 euros se verra dégrevée de ses impôts à hauteur de 80 %, et de 55 % pour 3.000 euros.

Cette nouvelle mesure viendra donner une bouffée d’air à de nombreux ménages modestes, à une époque où les dépenses liées aux enfants ont explosé et que les prestations familiales en la matière n’ont pas suivi cette tendance. Qu’on en juge plutôt : selon l’Institut autrichien de recherche économique, le coût d’un enfant à charge était en moyenne de 5.500 euros en 2013, contre 4.400 en 2006, soit 25 % de hausse (les frais de garderie ont, quant à eux, doublé, pour atteindre 3.661 euros par an par enfant), tandis que les prestations familiales n’ont augmenté que de 11 % sur la même période.

Soutenir les familles plutôt que les migrants : le bon sens semble s’être réfugié en Autriche !

Alexandre Coligny

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mercredi, 17 janvier 2018

A la Lega, un candidat veut défendre la «race blanche»

ItalieLes déclarations dimanche d'un candidat aux élections du 4 mars sur la défense de la «race blanche» ont provoqué un tollé en début de semaine.

Les déclarations dimanche d'un candidat aux élections du 4 mars sur la défense de la «race blanche» ont provoqué un tollé en début de semaine et mis en lumière le rapprochement toujours plus affirmé de Silvio Berlusconi avec ses alliés d'extrême droite.

Pour Attilio Fontana, candidat à la présidence de la région Lombardie de la Ligue du Nord (LN, extrême droite) avec le soutien de Forza Italia (FI, parti de droite de M. Berlusconi), l'Italie doit «faire des choix» face aux migrants.

 
 «Nous devons décider si notre ethnie, si notre race blanche, si notre société doit continuer à exister ou si elle doit être supprimée», a-t-il déclaré lors d'un long entretien dimanche à la radio.
 
 
 
 

Le nombre de visas de « tourisme » pour les algériens et marocains a encore augmenté en 2017

C’est la grande technique migratoire : rentrer légalement avec un visa touristique de trois mois, et rester illégalement après le délai dépassé. On ne les voit jamais sur nos sites touristiques. Châteaux de la Loire, cathédrales, Mont-Saint-Michel, musées… mais où se cachent les 414 000 algériens ayant obtenu un visa touristique en 2017, contre 332 000 en 2014, et les 323 000 marocains (contre 214 000 en 2014) ? (AFP et Obs-i pour les chiffres 2014). Combien repartent effectivement dans une Algérie en crise ? Alors que seuls 5% des clandestins arrêtés sont expulsés de France, ils ont tout à gagner à rester, d’autant que les soins hospitaliers sont gratuits avec l’AME. 

Le droit du sol permet aux femmes enceintes d’obtenir la nationalité française automatique pour leurs enfants, et elles deviennent inexpusables.

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Islamisation de nos prisons et surdélinquance musulmane

Chaque nouvelle semaine nous informe sur une nouvelle agression de surveillants pénitentiaires dans les prisons françaises et ce n’est là que la face visible de l’iceberg. Aucune information ne filtre sur les menaces qui pèsent sur les familles de ces surveillants, sur leurs enfants, leur femme, leurs parents, surveillés, contactés, avertis, terrorisés, sur tout ce qui pourrait leur arriver si le surveillant, le chef de famille, ne se pliait pas aux exigences du terroriste, du criminel incarcéré dont il assure la surveillance !

Depuis des années, et pour une fois, tous les experts sont d’accords sur ce sujet : La radicalisation dans les prisons ne fait que s’amplifier et toutes les tentatives de déradicalisation ont été vouées à un échec total.

Depuis des années nous l’écrivons, nous prévenons, nous conseillons, mais surtout nous prêchons dans le désert et pourtant, il s’agissait des seules solutions possibles, les seules qui mettraient un point final à ce danger permanent et irréversible, si la même politique laxiste est poursuivie !

Et, sachant tout cela, aucune décision n’est ni prise, ni même envisagée, par les responsables aveugles chargés de ce très grave problème, qui préfèrent s’intéresser à l’inscription de la « baguette » au patrimoine de l’humanité et, pourquoi pas, demain du béret basque !

Il y a environ, pour le moment, 400 prédicateurs dans nos prisons qui, en toute liberté, en toute impunité, radicalisent à longueur de journée les jeunes délinquants qui leur arrivent par dizaines (et les centaines qui ne sont pas incarcérées, justement pour ne pas les mettre entre les mains de ces prédicateurs, ce qui n’est pas la solution puisqu’ils poursuivent ainsi leurs méfaits).

A ces 400 prédicateurs reconnus viennent s’ajouter les djihadistes, les terroristes, les criminels, de retour des zones de conflits et qui sont considérés comme des héros et donnés en exemple.

De l’extérieur des prisons des organisations aident, financièrement et matériellement, tous ces radicalisés. Des organisations subventionnées par l’Etat, comme sont subventionnées également par l’Etat toutes les organisations qui « aident » les migrants et qui ne pourraient plus exister si, justement, il n’y avait plus de « migrants » !

La première mesure impérative est l’isolement total de ces prédicateurs dans une prison qui leur serait exclusivement réservée, loin de toute agglomération et de tous contacts extérieurs.

Ces prédicateurs, ainsi que les djihadistes radicalisés de retour, doivent être tenus à l’écart des autres délinquants.

Les sources de radicalisation n’ont que deux origines, en dehors évidemment des réseaux sociaux, d’internet, etc. : les mosquées et les prisons !

Si la question des mosquées semble se régler partiellement et lentement, celle des prisons reste toujours éludée, on ne veut pas s’y atteler par peur de mécontenter la ligue des droits de l’homme ainsi que les associations racistes ou pro-islamistes.

La double peine doit être appliquée immédiatement, ne serait-ce que pour désengorger les prisons. Tout étranger doit être expulsé et les binationaux déchus de leur nationalité française renvoyés dans leur pays d’origine.

Tous ces délinquants n’ont plus rien à faire en France !

Tout le reste n’est que du « bla bla bla » et surtout qu’on ne remette pas sur le tapis la surveillance par bracelet électronique et l’assignation à résidence, solutions qui n’ont jamais empêché un terroriste ni de passer à l’acte ni de s’enfuir, dès que l’envie lui en a pris. Ce ne sont pas les exemples qui manquent !

Manuel Gomez

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