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jeudi, 04 janvier 2018

Armé d’un sécateur et au cri de « Allah Akbar », un « déséquilibré » perturbe la messe de Noël à la basilique Notre-Dame-de-la-Garde

Un individu est entré dans la basilique Notre-Dame-de-la-Garde, à Marseille, et y a perturbé la messe de Noël, armé d’un sécateur, en criant « Allah Akbar ».

L’individu a été interpellé par la police et interné en hôpital psychiatrique. Comme d’habitude, il nous est présenté comme un « déséquilibré ».

Son irruption à Notre-Dame-de-la-Garde a pu se faire malgré les 54.000 policiers, 36.000 gendarmes et 7.000 militaires de l’opération Sentinelle mobilisés en France pour sécuriser les fêtes de Noël, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.

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L’imam marseillais qui prêche le djihad

Mi-décembre, la mosquée As-Sounna, située en plein cœur de Marseille, a été fermée pour six mois par le préfet de police des Bouches-du-Rhône. A cause des prêches de l’imam Hadi Doudi. Il exhortait au djihad et son influence s‘étendait, et s’étend encore, bien au-delà des murs islamiques.

Dans une enquête parue hier, jour de la nativité, le quotidien Le Figaro revient sur l’activité salafiste d’As-Sounna. Djihad et loi du talion étaient les principaux enseignements de Hadi Doudi, enseignements qui se répandent dans toute la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, jusqu’au confins avec l’Italie.

« Nous ne créons pas de problème, nous obéissons toujours au “gouverneur” (pouvoir en place).” L’homme, qui s’exprime à deux pas de la mosquée marseillaise As-Sounna, fermée pour six mois par les autorités à la mi-décembre pour les prêches de son imam radical, se revendique salafiste. “La fermeture de la mosquée est une attaque contre les musulmans ! Si un prêtre est accusé de pédophilie, ils ne ferment pas son église ! » (Le Figaro) 

Pourtant la fermeture de la mosquée a pour base un document de 45 pages qui retrace l’activité du temple salafiste du 2012 au 2017. En particulier, les enquêteurs ont répertorié une trentaine de prêches en arabe de l’imam Abdelhadi Doudi et d‘autres autorités musulmanes. L’objectif des enseignants religieux est clair : légitimer le djihad, tuer les mécréants et les adultères ainsi que les juifs, lapider les femmes et adopter la loi du talion. Même selon le vice-président du conseil régional du culte musulman, Abderrahmane Ghoul, l’influence de Doudi s’étend jusqu’à Vitrolles, Avignon ou Aix-en-Provence.

La mosquée forme les musulmans au salafisme dès le plus jeune âge puisque son école coranique accueille les enfants à partir de 5 ans. Elle inspire aussi les étudiants. Comme le précise la préfecture

« les prêches influencent les habitants du quartier et dans les écoles les étudiants reprennent les discours de haine tenus dans la mosquée, au point que les jeunes légitiment des attaques comme celle de Charlie Hebdo ».

Combien de mosquées visibles ou dissimulées, combien d’imams en France, avec le même profil, la même activité ? Par-ci, par-là, le gouvernement ferme un temple salafiste pour faire croire aux Français qu’il agit contre l’islamisme et par corrélation le terrorisme. Et en continu, la France accueille des « clandestins » musulmans dont on ne connaît pas le passé et dont on ne peut sereinement envisager l’avenir. Puisque régulièrement une voix officielle en Europe admet, même si cela est à contre cœur, que parmi eux se cachent de nombreux djihadistes…

Francesca de Villasmundo

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Allemagne – Un Afghan poignarde une jeune fille de 15 ans dans un supermarché

Allemagne – Un jeune immigré afghan de 15 ans a poignardé une jeune fille allemande du même âge à Kandel, en Rhénanie-Palatinat.

L’agression mortelle avait été précédée d’une première altercation entre l’agresseur et sa victime dans une pharmacie, selon le parquet de Landau et la préfecture de police de Rhénanie-Palatinat.

La jeune fille a succombé à ses blessures à l’hôpital.

Des clients du supermarché ont immobilisé le criminel afghan jusqu’à l’arrivée de la police.

Source : Merkur.de
 

Un individu menace d’égorger les fidèles lors d’une messe à Mantes-la-Jolie en présence du maire

C’est au détour d’un bref article publié seulement le 29 décembre par Le Parisien qu’on apprend qu’un individu a interrompu la fin de la messe du dimanche 24 décembre en l’église Saint-Jean-Baptiste, dans le quartier du Val-Fourré, en menaçant d’égorger les fidèles !

Il est symptomatique de constater que cette information fait l’objet d’une simple brève publiée en catimini dans un journal régional alors que les faits se sont pourtant déroulés en présence du maire de Mantes-la-Jolie, Raphaël Cognet (LR).

Le maire et le curé de l’église du Val-Fourré ont d’ailleurs porté plainte contre l’individu qui n’a toujours pas été retrouvé. Bien sûr, selon la formule consacrée, il s’agirait d’un « déséquilibré ».

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« Trop de viols par les immigrés » : les femmes suédoises se révoltent

A Malmö, les femmes suédoises ont manifesté pour protester, avant Noël, contre la vague de viols qui déferle sur leur ville. Elles ont été une centaine à descendre dans la rue pour contester le chef de la police locale et la façon dont est gérée la sécurité.

Le dernier atroce épisode concernait une jeune fille de 17 ans violée et torturée par un gang d’immigrés.  « Il s’agit d’un crime horrible, particulièrement grave et avec une violence extrêmement brutale », a déclaré Andy Roberts, chef de la police de secteur à North Malmo au Helsinborg Dagblad. C’est le troisième cas en trois semaines, en plein centre de la ville suédoise et c’est la troisième fois en une semaine que les auteurs sont identifiés au sein de bandes d’immigrés qui arrêtent et violentent les femmes.

La seule réponse de la police fût un laconique communiqué du responsable local :

« Ne vous aventurez pas seules dans la ville, après le coucher du soleil. »

Une déclaration qui a mis en colère les Suédoises. Mais non pas à cause de l’immigration invasive comme l’on pourrait le croire. Non ! à l’avant-garde dans la lutte pour l’égalité des droits cette déclaration sonne pour elles comme l’échec de toutes les politiques égalitaristes. D’où cette protestation publique de la part des féministes de Suède. Jamais le couvre-feu pour les femmes n’avait été envisagé quand la Suède était montrée comme le modèle d’intégration et de cohabitation entre toutes les cultures et les ethnies… modèle qui tombe en ruine et laisse apparaître son vrai visage conflictuel.

Pour faire front, le porte-parole de la police locale, Anders Nilsson, a admis que son communiqué était maladroit et confus tout en précisant :

« C’est une question de bon sens. Nous n’avertissons pas les gens de ne pas être dehors, mais de réfléchir à deux fois et peut-être de ne pas marcher seuls tard dans la nuit et d’aller plutôt avec les autres ou de prendre un taxi. »

Car garantir la sécurité des personnes à Malmö est devenu une urgence absolue.

A quelques mois de distance, les paroles de Donald Trump qui comparait la Suède à une poudrière sur le point d’exploser à cause de l’importante présence d’immigrés islamistes prennent une dimension prophétique. Pourtant, à l’époque, elles furent la cible de l’ironie et des contestations de la part du gouvernement suédois. Aujourd’hui, à la lumière de l’attentat de Stockholm et des nombreux viols de la région de Malmö, ces déclarations vont relues avec un autre regard et beaucoup plus de sagesse…

Francesca de Villasmundo

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L’Etat Islamique revendique l’attentat contre une église copte qui a fait neuf morts

Egypte – Un attentat revendiqué par l’Etat Islamique a frappé une église copte du Caire et fait au moins neuf morts.

Outre les neuf victimes, le terroriste est également mort dans l’attaque, abattu par la police.

Selon la chaîne de télévision d’Etat, un officier de police figure parmi les personnes tuées dans l’attaque, qui a eu lieu à Helwan, une banlieue au sud de la capitale. Le terroriste a également blessé cinq gardes de sécurité qui assuraient la protection de l’église.

 Le terroriste a commencé à ouvrir le feu à l’extérieur de l’église puis a tenté de pénétrer à l’intérieur du lieu de culte chrétien avant d’être abattu par la police. La police est à la recherche d’un possible autre terroriste en fuite.

En avril 2017, 45 personnes avaient été tuées dans deux attaques suicide revendiquées par l’Etat Islamique en pleine célébration des Rameaux à Alexandrie, deuxième ville du pays, et Tanta, dans le nord de l’Egypte. En mai, le groupe djihadiste avait revendiqué une autre attaque contre un bus de pèlerins coptes qui s’était soldée par la mort de 28 personnes.

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Invasion migratoire : Europe centrale, terre de résistance

Les pays de la Mitteleuropa ne considèrent pas l’immigration comme une chance…  Paru en ce jour sur le site FdeSouche, une carte mise en ligne sur Twitter le 22 décembre par le site Europe Elects révèle les résultats d’un sondage posant la question suivante : « Pensez-vous que l’immigration extra-européenne est plutôt un avantage ou un inconvénient pour l’Europe ? »

Les résultats sont sans appels :

Hongrie : AVANTAGE 4 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 7 %

Slovaquie : AVANTAGE 8 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 3 %

Tchéquie : AVANTAGE 9 % – INCONVENIENT 88 % – SANS OPINION : 7 %

Bulgarie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 80 % – SANS OPINION : 6 %

Croatie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 74 % – SANS OPINION : 12 %

Serbie : AVANTAGE 19 % – INCONVENIENT 73 % – SANS OPINION : 8 %

Roumanie : AVANTAGE 20 % – INCONVENIENT 75 % – SANS OPINION : 5 %

Slovénie : AVANTAGE 23 % – INCONVENIENT 68 % – SANS OPINION : 9 %

Pologne : AVANTAGE 25 % – INCONVENIENT 59 % – SANS OPINION : 16 %

Autriche : AVANTAGE 26 % – INCONVENIENT 63 % – SANS OPINION : 11 %

Allemagne : AVANTAGE 33 % – INCONVENIENT 58 % – SANS OPINION : 9 %

Oui, même l’Allemagne… Décidément, cet élargissement de l’Union Européenne à l’Europe centrale est intéressant. Notons également qu’à l’exception de l’Autriche, tout ces pays ont connu une longue période de communisme, donc de résistance à une occupation étrangère, résistance fondée sur la religion et le nationalisme. La chanson disait : « A l’est la dictature des barbares communistes, à l’ouest la pourriture de l’égout matérialiste ». Visiblement, on survit mieux au premier qu’au second…

Hristo XIEP

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Réveillon : pour éviter les agressions envers les femmes, Berlin les enferme dans un ghetto

Tout le monde se souvient encore des agressions sexuelles massives commises surtout par des migrants envers les femmes à Cologne, et autres villes d’Allemagne, lors du réveillon de fin d’année de 2016. Les images avaient fait le tour des réseaux sociaux et des médias de ré-information. Et les témoignages des victimes faisaient froid dans le dos.

Depuis l’ange noir du peuple allemand, Angela Merkel, n’a pas mis pour autant un holà aux vagues migratoires qui submergent le territoire germanique. Ni à l’utopique « vivre-ensemble » dont elle se repaît sur le dos de ses concitoyennes.

Mais il faut bien protéger, spécialement à l’approche des fêtes de la Saint-Sylvestre, la gente féminine de ces hordes de mâles extra-communautaires éduqués dans l’irrespect du sexe faible. La municipalité de Berlin a donc eu une idée lumineuse : pour le réveillon du Nouvel An, une zone de la ville sera exclusivement réservée aux femmes ! Quelqu’un, fort à propos, l’a comparée à un ghetto… Les femmes inverties s’y trouveront peut-être à leurs aises mais certainement pas les femmes normales…

Les autorités publiques ont communiqué sur les différentes mesures de sécurité mises en place pour cette dernière nuit de l’année. Et parmi les diverses procédures, cette innovation a soulevé bien des contestations et a fait la une des journaux allemands mais pas uniquement. Un porte-parole des forces de l’ordre berlinois a confirmé au quotidien britannique The Daily Telegraph que les policiers surveilleront particulièrement cette zone afin de garantir la sécurité des femmes présentes.

Les policiers, en outre, patrouilleront, en uniforme ou en civil, avec des cameras portatives sur leur casquette, l’espace devant la Porte qui, pour toute la durée du réveillon, sera bondé de centaines de milliers de personnes. Les sacs particulièrement volumineux sont interdits, les sac-à-dos, les bouteilles en verre, et la consommation d’alcool. 1 600 hommes seront mis en renfort de ceux déjà en service.

Berlin espère ainsi, en parquant les femmes dans une zone hyper-surveillée, éviter les massives agressions sexuelles des fêtes de fin d’année.

En Allemagne ce sont donc les femmes que l’on met dans « des camps » pour les protéger des « réfugiés »… le monde à l’envers !

Francesca de Villasmundo

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Bruxelles : une grande mosquée sous influence salafo-wahhabite ?

Un rapport parlementaire préconise de rompre la convention liant l’État belge et l’Arabie saoudite en charge de la gestion de la Grande Mosquée qui professerait un «islam salafo-wahhabite» contraire aux valeurs belges.

Le directeur de la Grande Mosquée, Tamer Abou el-Saod, est catégorique. En cette fin d’après-midi, il nous reçoit dans son bureau au deuxième étage de la plus belle mosquée de Bruxelles. […] L’entretien, lui-même, est improvisé. Cet ancien consultant, de nationalité suédoise, n’est pourtant pas surpris de nous voir. Depuis les attentats de Bruxelles qui ont fait 32 morts le 22 mars 2016, la Grande Mosquée, cédée il y a près de 50 ans au roi Fayçal d’Arabie saoudite, est pointée du doigt.

Fin octobre, la commission parlementaire belge chargée d’enquêter sur les causes de ces attentats a rendu des conclusions accablantes, après l’audition des responsables de la mosquée. Elle affirme, entre autres, que l’islam prêché dans l’établissement depuis cinquante ans « peut être catégorisé comme salafo-wahhabite », et est vecteur de repli communautaire, en contradiction avec la Convention européenne des droits de l’homme. Principal responsable, selon elle : la Ligue islamique mondiale, un réseau religieux basé à Riyad, qui gère plusieurs mosquées en Europe, dont celle de Bruxelles.

 
 
 
 
 

Tamer Abou el-Saod fait partie de cette ligue. Il a dû remplacer au pied levé son prédécesseur, rappelé à Riyad après une audition jugée troublante devant la commission d’enquête. Aujourd’hui, c’est lui qui est en difficulté. Il s’est vu retirer en octobre sa carte de séjour par le ministre de l’Immigration, Théo Francken, qui affirme avoir reçu des « signaux très clairs d’un homme très radicalisé, très conservateur ». Le nouveau directeur balaie ces accusations. « Ce sont des gens modérés qui viennent ici. » Cette mauvaise image de la Grande Mosquée, c’est avant tout un problème de communication. « Nous n’avons peut-être pas été assez ouverts par le passé », reconnaît-il. […]

Le Point

Merci à PierreTerrail

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Allemagne/extrême droite: controverse après un tweet anti-réfugiés

Une polémique a éclaté mardi en Allemagne après le retrait forcé des réseaux sociaux, en vertu d'une nouvelle loi, d'un message anti-réfugiés de l'extrême droite.

Le parquet de la ville a indiqué en parallèle avoir été saisi de plusieurs centaines d'autres plaintes sur le même sujet provenant de particuliers.

Dans un message diffusé sur ses comptes Twitter et Facebook après le Nouvel An, la députée avait dénoncé le fait que la police de Cologne ait publié ses messages de prudence et d'information à la population locale également en arabe pour la Saint-Sylvestre.

"Que diable se passe-t-il dans ce pays ? pourquoi la police publie-t-elle désormais ses messages officiels en arabe ?", s'est emportée Beatrix von Storch.

"S'adresse-t-elle par ce biais aux hordes d'hommes barbares, musulmans et violeurs pour chercher à les amadouer ?", a-t-elle ajouté. Une référence explicite aux agressions sexuelles dont avaient été victimes de nombreuses femmes à Cologne lors du Réveillon de la Saint-Sylvestre 2016 de la part de jeunes migrants, une affaire qui avait scandalisé le pays.

Tant Twitter que Facebook ont retiré le message controversé des comptes de l'élue AfD, en vertu d'une nouvelle législation en Allemagne visant à sanctionner plus durement les prises de position considérées comme incitant à la haine sur les réseaux sociaux.

Entrée en vigueur au 1er janvier, cette loi oblige les plateformes comme Facebook, Twitter ou YouTube à supprimer le plus souvent dans un délai de 24 heures les messages au contenu pénalement punissables, sous peine de fortes amendes.

Le co-président de l'AfD, Alexander Gauland, a dénoncé une législation "liberticide". "Ces méthodes dignes de la Stasi me rappelle la RDA", a-t-il dit mardi, en référence à l'ancienne police politique du régime communiste.

Beatrix von Storch a elle parlé de "la fin de l'Etat de droit en Allemagne".

L'AfD a enchaîné les succès électoraux en Allemagne depuis l'arrivée de plus d'un million de demandeurs d'asile en 2015, en provenance notamment de Syrie.

Le parti d'extrême droite a réussi en septembre à faire son entrée à la chambre nationale des députés, compliquant sérieusement la tâche de la chancelière Angela Merkel pour y trouver une majorité et former un gouvernement.

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Nouvel an: hausse du nombre de véhicules incendiés par rapport à 2016

Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur rapporte que plus d'un millier de véhicules ont été brûlés durant la nuit de la Saint-Sylvestre.

Le nombre de "désordres" de la Saint-Sylvestre de 2017 est en légère hausse par rapport à celui de l'année précédente. Au cours de la nuit de dimanche à ce lundi, 1031 véhicules ont été incendiés et 510 personnes ont été interpellées en France, selon des chiffres publiés sur Twitter par le ministère de l'Intérieur via communiqué. 

La nuit de dimanche a notamment été marquée par la violente agression dont ont été victimes deux policiers à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Au total, le ministère de l'Intérieur a comptabilisé huit policiers et trois militaires de l'opération Sentinelle blessés. 

8 policiers et 3 gendarmes blessés

Dans le communiqué, il est écrit que le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, "fait part de sa profonde gratitude aux 140 000 policiers, gendarmes, militaires, sapeurs-pompiers et personnels des associations de secours" qui ont été mobilisés dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Un propos tenu par le locataire de la place Beauvau en début de soirée, lorsqu'il s'est rendu à Champigny-sur-Marne pour afficher son soutien aux forces de l'ordre.  

Dans sa déclaration liminaire, Gérard Collomb en a profité pour préciser que, malgré la violence des images dans lesquelles on voit une policière se faire rouer de coups à terre, la nuit de la Saint-Sylvestre s'était bien passée dans l'ensemble.  

"On a cependant, comme chaque année, pu constater un certain nombre de désordres", tempère le communiqué du ministère. La nuit du 31 décembre 2016, seuls 935 véhicules avaient été incendiés, soit près d'une centaine de moins que cette année. Le nombre d'interpellés est également supérieur à celui de 2016 (454). "Au cours de ces opérations [d'interpellation], 8 fonctionnaires de police et 3 militaires de la gendarmerie ont été blessés", déplore le communiqué, avant de développer sur l'incident particulier de Champigny-sur-Marne.

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Deux islamistes radicaux interpellés

Paris Vox-  La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) a interpellé deux islamistes radicaux. Un des deux suspects vivait en agglomération parisienne. 

Bien que l’on en parle moins actuellement, la menace terroriste plane malheureusement toujours sur la France. En témoigne l’information révélée par nos confrères du Figaro. Deux personnes, une femme et un homme, ont été interpellées par la DGSI le 18 et le 22 décembre dernier.

La DGSI indique que les deux suspects interpellés avaient des projets d’attentats sur le territoire national. L’une des personnes interpellées vivait en région lyonnaise et l’autre en région parisienne. Rien n’atteste de liens à ce jour entre ces deux personnes. La DGSI fait état d’activités sur les réseaux sociaux et de liens avec des membres de groupes terroristes tel l’Etat Islamique.

Si les projets n’étaient pas aboutis selon le Figaro, plusieurs repérages auraient été faits dans les deux affaires. Alors que l’un voulait s’en prendre à des militaires, le second souhaitait s’attaquer à des forces de l’ordre.

Il faut souligner, que lors des perquisitions, aucune arme n’a été découverte chez ces islamistes radicaux.

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Le vivre-ensemble a encore frappé

La nuit du 31 décembre a été émaillée de son lot de violences et de voitures brûlées, comme chaque année. Pour assurer la sécurisation du 31 décembre, ce sont 56000 policiers, 36000 gendarmes, 7000 militaires de l’opération « Sentinelle » et 39800 sapeurs-pompiers, sapeurs-sauveteurs et démineurs, soit un total de 139 400 effectifs des forces de sécurité, qui étaient mobilisés sur l’ensemble du territoire.

Outre les centaines de voitures brûlées, partout en France, 3 policiers ont été blessés à Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, lors de leur intervention en marge d’une soirée qui a dégénéré. Un capitaine et une policière se sont vus prescrire respectivement 8 et 7 jours d’ITT, et un policier a été légèrement contusionné. Le commissariat local a été saisi de l’enquête. Plusieurs vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent un groupe de voyous lyncher une femme policière. Sur cette affaire, ce sont les réseaux sociaux qui ont répandu l'information, la presse commerciale n'a fait que suivre. Emmanuel Macron et Gérard Collomb ont réagi.

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Ce que l’on sait sur l’agression de deux policiers à Champigny-sur-Marne le soir du réveillon

Deux policiers qui intervenaient après une rixe à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) lors d’une soirée de la Saint-Sylvestre dimanche ont été pris à partie et passés à tabac. Les deux policiers de Chennevières-sur-Marne faisaient partie d’un groupe d’intervention appelé aux environs de 23h pour évincer plusieurs dizaines de personnes qui tentaient de s’introduire dans une soirée privée organisée dans un hangar à Champigny-sur-Marne :

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Moins de voitures brûlées à la Saint-Sylvestre : une forêt sous laquelle couvent des braises ?

Lors de la nuit du Nouvel An 2016, sur l’ensemble du territoire national, ce ne sont pas moins de 650 voitures qui avaient été incendiées, et près de 450 individus interpellés par les forces de l’ordre. La fin de l’année 2017 semble avoir été plus calme. En effet, à part une dizaine de véhicules détruits par le feu à Valence et à Romans-sur-Isère, et des échauffourées entre policiers et jeunes des quartiers à Creil, Montataire et Beauvais, lesquelles ont abouti à la destruction d’une autre dizaine de véhicules, il semblerait que l’année 2018 commence sous de meilleurs auspices que les précédentes.

Bien entendu, il convient de ne pas oublier les heurts, maintenant traditionnels, qui ont eu lieu à Strasbourg, Colmar et Mulhouse, mais rien à voir avec les scènes de violences urbaines quasi généralisées auxquelles nous avions assisté ces dernières années. On ne peut donc que se réjouir de ces progrès. Toutefois, il convient de ne pas sombrer dans la naïveté. Car on sait aussi que ce genre d’informations est très contrôlé, et que les chiffres susceptibles de noircir un tableau politique avantageux sont le plus souvent délivrés avec parcimonie.

Premier indice de ce contrôle rigoureux, le peu de chiffres délivrés sur le sujet par les médias nationaux. À commencer par les chaînes d’information en continu, lesquelles se sont montrées – c’est le moins que l’on puisse dire – peu prolixes sur le sujet. Ensuite, la tendance à la minimisation des phénomènes observés. Alors que, les années précédentes, de larges commentaires étaient faits sur le nombre des interpellations et celui des policiers blessés, cette année, silence sur les ondes. Enfin, la technique de la diversion qui, en ce début d’année, aura été servie par un règlement de comptes à coups de kalachnikov, assez providentiel, à Marseille. Il est vrai que, quinzième du genre en douze mois, et premier de l’année 2018, plus personne, ou presque, n’y fait plus attention !

Néanmoins, et pour être complet, trois facteurs peuvent avoir contribué à la baisse du nombre des exactions habituellement observées en cette période de fêtes. Tout d’abord, le nombre des forces de l’ordre engagées. Près de 140.000 policiers, gendarmes, militaires et sapeurs-pompiers ont ainsi contribué au maintien de la paix publique lors de cette nuit du Nouvel An. Ils étaient plus de 10.000 en Île-de-France, et pas moins de 2.000 pour la seule avenue des Champs-Élysées. Un dispositif jamais atteint, mais justifié par des menaces d’attentats encore très prégnantes. Ensuite, une volonté politique forte de ne pas « rater » ce premier rendez-vous sécuritaire majeur. Ainsi, les moyens colossaux développés étaient-ils à la mesure de cet enjeu important, et la saturation de l’espace public en effectifs policiers aura sans doute permis de faire face efficacement à la situation. Enfin, une raison plus subjective, mais que tout responsable de la sécurité publique ne peut écarter : la volonté de certains caïds de nos quartiers sensibles de ne pas trop se faire remarquer. En effet, un récent rapport de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, faisait remarquer la prospérité des trafics de drogue dans plusieurs villes de France au nombre desquelles Paris, Lille, Lyon, Marseille ou encore Bordeaux, Metz, Toulouse et Rennes. Et ce document de souligner les efforts des trafiquants « pour satisfaire les demandes des usagers en diversifiant les techniques de vente » et « en multipliant les produits ». Or, tout le monde sait que les débordements trop importants, qui génèrent l’arrivée massive de policiers et de gendarmes dans les quartiers concernés, sont mauvais pour « les affaires ».

 Alors, moins de voitures brûlées en 2018 ? Sans doute, et tant mieux. Mais l’arbre de cette nuit de la Saint-Sylvestre 2018 ne cache-t-il pas une forêt sous laquelle couvent des braises qui tôt ou tard risque de s’enflammer à son tour ?

NDLR : depuis l’écriture et la publication de cet article, les chiffres ont été revus à la hausse et le nombre de véhicules incendiés durant la nuit de la Saint-Sylvestre a, en réalité, augmenté par rapport à l’an dernier.

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mardi, 02 janvier 2018

Indignation après le passage à tabac de deux policiers en banlieue parisienne (VIDEO)

Le passage à tabac de deux policiers dans la banlieue de Paris dans la nuit de la Saint-Sylvestre a soulevé une vague d’indignation en France et le président Emmanuel Macron a dénoncé un «lynchage lâche et criminel».

 

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Réveillon en France: Une policière rouée de coups par des jeunes issus de l’immigration (Vidéos) [Mise à jour]

Mise à jour: Selon le site Actu17, un autre policier aurait aussi été frappé:

 Deux policiers ont été victimes d’un véritable lynchage la nuit dernière par une soixantaine d’individus. Plusieurs vidéos des faits ont été diffusées sur les réseaux sociaux.

Tout s’est déroulé la nuit dernière lors de la Saint-Sylvestre, à Champigny-sur-Marne, vers minuit lorsque deux policiers ont été très violemment pris à partie par de nombreux individus, alors qu’ils intervenaient pour mettre fin à une rixe, rue Benoit Frachon.

Rapidement les deux fonctionnaires se sont retrouvés encerclés et acculés par des dizaines d’individus hostiles à leur présence.

Une policière jetée au sol et rouée de coups

La policière a alors été projetée au sol et littéralement passé à tabac, recevant de nombreux coups de pieds sur l’ensemble du corps. Cette dernière a été conduite à l’hôpital et souffre de nombreuses contusions au visage et à la tête. 7 jours d’ITT (incapacité totale de travail) lui ont été prescrits.

Le capitaine de police a été au même moment roué de coups, notamment au visage, par des dizaines d’individus. Le fonctionnaire a le nez cassé et souffre de multiples contusions. Ce dernier a été lui aussi conduit à l’hôpital

Sur ces images, il est également possible d’apercevoir l’un des assaillants qui tente de dérober l’arme de service de la policière frappée au sol.

Les renforts de police sont arrivés rapidement sur les lieux mais selon nos informations, aucun suspect n’a été interpellé.

Source Actu17

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Une soirée de réveillon a tourné à l'émeute à Champigny-sur-Marne. Sur des images diffusées sur les réseaux sociaux, on peut voir une dizaine de jeunes passer à tabac une policière étendue au sol, et se livrer à des dégradations.

«Pathétique» : c'est ainsi qu'un internaute a décrit une scène qui s'est déroulée lors de la soirée du réveillon de Nouvel An le 31 décembre à Champigny-sur-Marne.

Sur une vidéo des incidents qui se sont déroulés diffusée sur les réseaux sociaux, on peut notamment voir une dizaine de jeunes retourner une voiture, monter dessus puis la saccager.

Dans une autre scène, on voit des dizaines d'individus encercler une policière au sol et la rouer de coups de pieds.

 

Source et Video

L’Europe Unie de l’invasion migratoire

Durant les Golden Sixties, il y avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer

Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains –, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants et vieillards ; coran, mosquées et imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-vandales ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie.

Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgissent le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissées berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée et sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’ego de ses membres.

Manifestement, au moins 45 % des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

Retour intégral des Extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

 

Quand l’AFP confirme la tyrannie médiatique à propos des migrants

« Migrants: la presse approuve le pape et craint la surdité des croyants »Tel est le titre révélateur d’une dépêche de l’AFP (Agence France Presse) parue le 26 décembre après les propos – contestés par de nombreux catholiques – tenus par le Pape François à propos des migrants à l’occasion de son homélie de Noël.

L’AFP confirme ainsi la tyrannie médiatique qui est à l’oeuvre aujourd’hui en France – tout en laissant coi les observateurs qui s’inquiètent d’une généralisation de la pensée unique dans la presse subventionnée française, «presse d’État», disent certains.

« Après l’homélie de Noël dans laquelle le pape François a exhorté dimanche les catholiques à ne pas ignorer le drame des migrants, la presse applaudit tout en craignant la surdité des croyants.». Hormis la presse d’opinion qui s’assume comme telle, le rôle de la presse n’est pourtant pas d’applaudir ou de craindre, mais bien de transmettre l’information aux lecteurs.

« La mission essentielle du journaliste consiste à transmettre une information sur n’importe quels sujet et support, en la rendant compréhensible et accessible à divers publics (lecteurs, auditeurs, téléspectateurs, internautes…). Le rôle du journaliste est de faire avancer ces fins en recherchant la vérité et en fournissant des comptes rendus équitables et simples des événements et sujets importants qu’il est amené à relater. Quel que soit son média, le journaliste s’efforce de servir le public avec minutie et honnêteté. L’intégrité professionnelle est la pierre angulaire de la crédibilité d’un journaliste », écrivent Julie Chang-Leng, Sébastien Grenier et Agnès Judith.

Pourtant, l’AFP cite les éditos des journaux La Croix, l’Humanité, Le Figaro, Sud-Ouest, La Presse de la Manche, L’Union, Le Courrier Picard (et pourraient citer presque tous les titres de la presse subventionnée en France) qui appellent ouvertement le lecteur à accueillir avec bienveillance les propos du Pape François – qui oeuvre depuis des mois à l’ouverture des frontières de l’Europe et à l’invasion migratoire masquéesous l’appellation d’accueil inconditionnel des migrants.

« Jésus, Marie et Joseph étaient des migrants », a ainsi affirmé le Souverain pontife, applaudi de façon unanime, y compris par la presse de gauche qui n’a pourtant jamais eu, traditionnellement, de mots assez forts pour dénoncer ou pour moquer les catholiques.

Ce titre de l’AFP a en tout cas fait réagir la journaliste catholique Charlotte d’Ornellas – qui elle n’avance pas masquée vis à vis de ses lecteurs :

« Sans même discuter du fond, le rôle de « la presse » n’est ni d’approuver le message d’un Pape, ni de craindre la réaction de tel ou tel fidèle catholique à la parole de celui-ci. Je rêve. »

Des lecteurs qui n’épargnent pas la presse, comme Philippe Léon, qui écrit : « La “presse” montre superbement à quel point elle s’estime comme une caste sage, supérieurement éduquée (alors que ses diplômes ne volent pas bien haut !), et surtout, distincte du peuple. »

« L’AFP est une agence partisane »

Et Gérard Auzou, de commenter : « En revanche, quand il s’agit de l’avortement, du mariage dit pour tous, de la PMA ou de la GPA, de l’euthanasie, « la presse » craint la surdité du pape… Cela dit, s’agissant des déclarations du Pape François sur la question des migrants lors de son homélie de la Nuit de Noël, on ne peut manquer de relever des erreurs factuelles par rapport à l’Évangile (Matthieu, 2.1 et 2.13; Luc, 2), lesdites erreurs ne pouvant évidemment être imputées à une ignorance de la part du Souverain Pontife. Sans revenir ici sur le détail du dogme de l’infaillibilité pontificale défini par le Concile Vatican I le 18 juillet 1870, prenant en l’occurrence position sur des problèmes particuliers, le pape ne s’exprimait pas comme pasteur universel. De même a-t-il exprimé des positions personnelles ou un enseignement de circonstance. Enfin, la question toute politique des migrants ne relève pas de l’infaillibilité pontificale, les définitions devant toucher à la foi et aux mœurs. Catholique, je ne me sens en conséquence nullement lié ou obligé par les déclarations de Jorge Mario Bergoglio.».

Pour rappel, l’AFP est aussi cette agence de presse, reprise par tous les médias mainstream en France, qui s’inquiétait récemment du lancement de la chaîne Russia Today et de la possible influence russe… Pour le journaliste Jean Robin, auteur du Livre noir de l’AFP« l’AFP (Agence France Presse) est sans doute le plus méconnu des médias français, et le plus puissant. On estime que 80% de l’information fraîche en France provient de l’AFP, et qu’elle est en situation de monopole depuis sa création, en 1944. C’est aussi l’une des trois plus importantes agences de presse dans le monde (avec AP et Reuters), qui compte environ 3 000 collaborateurs dans le monde entier. Tout cela serait parfait si son engagement statutaire de neutralité et de pluralisme était réel, or l’AFP est une agence partisane, qui censure sciemment ce qui ne convient pas à sa ligne, et qui met en avant ce qui va dans son sens, tant en politique intérieure qu’à l’international.  Ce secret de polichinelle est bien connu de la plupart des journalistes honnêtes, il reste inconnu pour les autres. Sachant que la plupart des Français ignorent le rôle central de l’AFP, tandis qu’on leur parle sans arrêt de la multiplication des médias et de l’information. Or si l’AFP ne remplit pas ses missions de service public, et les trahit, alors 80% de l’information fraîche en France s’en trouve biaisée. »

Jean-Yves Le Gallou, dans son ouvrage La Tyrannie médiatique, paru en 2013 – avait déjà cerné la guerre d’influence à l’oeuvre aujourd’hui en France – guerre qui vise ni plus ni moins à la manipulation des masses. « Les médias ne sont pas un contre-pouvoir. Ils ne sont pas davantage le quatrième pouvoir. Ils sont progressivement devenus le premier pouvoir : celui qui s’exerce sur les esprits. Plus inquiétant, ils semblent même prendre le contrôle des autres pouvoirs, intellectuels, politiques et judiciaires. Or journaux, radios, télévisions et même certains sites d’information en ligne ne sont ni indépendants, ni libres. Ils subissent la loi d airain publicitaire des banques et des financiers, prisonniers des préjugés de ceux qui les font, la caste journalistique. C est l’alliance du grand capital et de la pensée unique de salle de rédaction qui passent tout au crible de l idéologie mondialiste : ouverture des frontières, dérégulation économique et financière, rejet des traditions, « antiracisme » et « mariage gay ». Pour rééduquer, ils conditionnent par la désinformation, la Novlangue, la censure, la diabolisation et le bobard sont leurs instruments, au mépris de l identité, de la souveraineté, de la démocratie française et des libertés.».

Pour conclure, on lui reprendra volontiers l’une de ses phrases : «Pour redonner vie à une véritable liberté d’expression, il faudra bien chasser les assassins de l information. »

Article paru sur le site Breizh info.

Territoires perdus, zones de non-droit : “il y a un déni de réalité” selon Daniel Rondeau

 

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Mathieu Kassovitz charge la police, s’excuse… et recharge à nouveau les forces de l’ordre !

 

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Allemagne : hommage à une jeune fille de 15 ans poignardée par un immigré afghan

Les habitants de Kandel (Allemagne) ont rendu hommage à une jeune fille de 15 ans poignardée à mort dans un supermarché par un immigré afghan prénommé Abdul qui affirme avoir 15 ans :

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4e viol collectif à Malmö en Suède… en deux mois !

Les autorités ont la solution : elles demandent aux femmes de ne plus sortir de chez elles le soir… Voilà à quoi mène le féminisme immigrationniste, en plus de conduire à élargir les trottoirs :

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L’Allemagne prend des mesures pour protéger ses femmes durant le réveillon

La nuit du réveillon du Nouvel An 2016 était entrée dans l’Histoire suite aux agressions sexuelles de masse perpétrées au sein des villes allemandes de Cologne, située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, et de Hambourg par des Nord-Africains à l’encontre de femmes allemandes. Un an plus tard, la police avait dû déployer de gros moyens matériels et humains afin d’empêcher que de tels événements ne se reproduisent, alors que la gent féminine évitait le centre de certaines cités allemandes. À Francfort-sur-le-Main, les forces de l’ordre avaient même placé des blindés dans les rues.

Alors que la nuit du réveillon de 2018 approche, les autorités allemandes prennent les devants. Le ministre de l’Intérieur démocrate-chrétien (CDU) de l’État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie Herbert Reul recommande aux femmes de ne pas se promener seules à la Saint-Sylvestre, mais en groupe, tout en affirmant que tout a été fait pour assurer la sécurité lors du Nouvel An : « Je dirai à mes trois filles : si vous en avez la possibilité, n’allez pas seules, mais en groupe », avant d’ajouter : « Quand cela devient critique, faites-vous remarquer bruyamment et si cela ne vous aide pas, appelez aussi vite que possible le 110, plutôt une fois de trop qu’une fois trop peu. » En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, 5.700 policiers seront déployés, dont 1.400 à Cologne.

Après les agressions de 2016, le maire de Cologne, sans étiquette, élu avec le soutien de la CDU, des sociaux-démocrates du SPD et des écologistes, madame Henriette Reker, avait recommandé aux femmes allemandes de se tenir à une distance d’au moins la longueur d’un bras des étrangers, de rester en groupe et, le cas échéant, d’appeler à haute voix à l’aide. En 2017, suite aux contrôles renforcés mis en place par la police à Cologne, visant les personnes au profil nord-africain ou de type arabe lors du Nouvel An, ainsi que l’utilisation par les forces de l’ordre (dans un tweet) du jargon « Nafris » (Nord-Africains), des critiques visant ces dernières avaient vu le jour.

Le ministre Herbert Reul précise que la police n’a pas pour objectif de surveiller plus les étrangers, mais que si des groupes déterminés d’étrangers sont visiblement suspects, cela doit être dit clairement.

 La télévision allemande retransmet habituellement le rassemblement festif de la Saint-Sylvestre qui se déroule au sein du cœur politique de l’Allemagne, à Berlin, devant la porte de Brandebourg, à quelques pas de la Chancellerie et du Parlement national, lorsque les douze coups de minuit retentissent. Cette année, pour la première fois, un domaine réservé aux femmes est érigé. Au sein de ces « zones de sécurité pour femmes », des aides formés à la psychologie de la Croix-Rouge seront à la disposition, sous des tentes, des femmes harcelées sexuellement ou qui se sentent en insécurité.

Depuis l’ouverture des frontières aux migrants par la chancelière allemande Angela Merkel (CDU) en 2015, le visage de l’Allemagne a bien changé. Les femmes n’y sont plus en sécurité comme autrefois. Un réveillon du Nouvel An ne peut plus s’y dérouler sans que les forces de l’ordre doivent déployer des moyens importants afin d’éviter les agressions sexuelles de masse.

Lionel Baland

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Le soutien au terrorisme islamiste sur notre sol

Selon un rapport de la commission d’enquête du Sénat publié en avril 2015, le nombre d’individus à surveiller, à cette époque-là, était de 3.000 environ. Parmi eux, près de la moitié étaient, et sont encore pour certains d’entre eux, impliqués dans les filières syriennes. Les motivations de ces jeunes hommes et jeunes femmes ayant rejoint les zones de combat en Syrie ou en Irak ont longtemps été débattues. Elles ont même parfois été raillées, comme pour exorciser une démarche qui, à certains égards, paraissait effrayante. Partis de nos banlieues et parfois de nos villages, ces djihadistes français, instruits ou pas et issus de différentes classes sociales, ont pris les armes contre leur propre pays. Beaucoup sont morts lors des combats et des bombardements de la coalition. D’autres ont survécu et cherchent désormais à rentrer au pays. C’est le prochain défi sécuritaire qui nous attend. D’autres, encore, ont été arrêtés ou faits prisonniers ; ils seront déférés à la Justice.

Parmi ces derniers se trouvent quelques figures emblématiques de la « filière française ». Ainsi, l’Albigeois Thomas Barnouin, qui aurait été arrêté à la mi-décembre dans la région d’Hassaké, au nord-est de la Syrie, par les unités de protection du peuple kurde. Considéré comme l’un des cadres de l’État islamique en Syrie par les services de renseignement, c’est un vétéran de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, proche des frères Clain – ceux qui ont revendiqué les attentats du 13 novembre pour le compte de Daech -, qui vient ainsi d’être mis hors d’état de nuire. Deux autres Français auraient également été arrêtés, Romain Garnier et Thomas Collange. Le premier avait quitté la France avec sa compagne pour rejoindre l’État islamique, dont il était devenu l’un des principaux chroniqueurs radiophoniques francophones. Le second combattait dans les rangs de Daech depuis plusieurs années.

Parmi les questions qui se posent, celle de l’appartenance de plusieurs de ces djihadistes français à une même ville, un même quartier, voire à un même village est récurrente. Ainsi le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs. En effet, ce département, avec plus de 150 tenants d’un islam radical suivis par les services spécialisés dans la lutte antiterroriste, figure au « Top 10 » national en nombre de radicalisés par habitant.

 Les raisons de ces concentrations inattendues sont multiples. Elles peuvent tenir, tout d’abord, à la présence d’imams ou de prêcheurs radicaux. La région de Toulouse et de ses environs vit justement sévir Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », lequel provoqua la radicalisation d’individus qui allaient, par la suite, défrayer la chronique. Parmi eux, Mohammed Merah et Thomas Barnouin. Le groupe est, ensuite, potentiellement facteur de propagation du radicalisme. Il en est ainsi du cercle familial – souvenons-nous des frères Kouachi – ou des fréquentations habituelles de la vie sociale ou cultuelle. C’est en leur sein que vont se créer des cellules actives souvent à l’origine d’attentats meurtriers. Là encore, les exemples ne sont que trop nombreux. Enfin, souvent issus du milieu de la délinquance, qui emprunte les mêmes modes d’organisation, et ayant fait des séjours répétés en prison, la radicalisation de ces individus passe également par des réseaux de circonstance. Si ce mode de fonctionnement collectif et concerté peut rendre ces personnages plus forts et plus dangereux, il les rend également, par sa visibilité, plus vulnérables. C’est notamment sur cette vulnérabilité que travaillent les services de renseignement.
 
Olivier Damien
 
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lundi, 01 janvier 2018

Pour un commissaire européen, l’immigration est « la nouvelle norme »

Comme cadeau de Noël, le commissaire européen aux migrations, le Grec Dimitris Avramopoulos s’est fendu d’un article dans Politico Europe, un média qui joue un rôle croissant dans les cercles européens (« Europe’s migrants are here to stay »Politico, 18 décembre). Sa tribune illustre, hélas, tout ce qui est reproché à la Commission européenne, un mélange d’arrogance bureaucratique, de croyances reposant sur des dogmes plutôt que sur des faits et un mépris pour le débat démocratique.

 

« Nous ne pouvons et ne pourrons jamais stopper les migrations »

 

« Il est temps de regarder la vérité en face […] le seul [je souligne] moyen de faire de nos politiques migratoires des politiques d’avenir est de changer collectivement notre façon de penser », écrit le commissaire. Stupides citoyens, surtout ne vous ennuyez plus à penser par vous-mêmes ! Comme Zeus – un autre Grec – de son mont Olympe, la vérité descend désormais vers les peuples européens et irradie depuis le dernier étage du Berlaymont, le siège de la Commission à Bruxelles. Avis aux péquenots : écoutez, taisez-vous et soumettez-vous car « nous ne pouvons et ne pourrons jamais stopper les migrations » ! Point final.

 

Etudes après études, Eurobaromètre après Eurobaromètre, élections après élections, il est pourtant clair qu’une majeure partie des citoyens européens est non seulement inquiète de l’immigration mais souhaite aussi – sinon l’arrêter – au moins la réduire drastiquement et regagner le contrôle perdu de nos frontières. Mais cette tendance de fond et ces signaux sont balayés en quelques mots : « l’immigration est un sujet émotionnel, sensible […] influencé par la montée du nationalisme, du populisme et de la xénophobie ». Ainsi, toute velléité de réduire l’immigration est cataloguée comme raciste et ce label infâme permet de disqualifier toute personne cherchant à s’opposer au futur Meilleur des mondes rêvé par la Commission Juncker. Fin du débat.

 

« Ce n’est pas seulement un impératif moral mais aussi un impératif économique et social »

 

Selon notre Commissaire, ces approches quasi racistes ont « limité nos possibilités de mettre en place des politiques intelligentes d’avenir », politiques qui seront pensées et mises en œuvre par… devinez ? Les institutions européennes, dans leur grande sagesse, évidemment, bien éloignée de ce populisme délétère.

 

Dans un processus démocratique normal, chaque pays devrait être capable de choisir sa politique migratoire à travers son Parlement national. Au niveau européen, la volonté clairement exprimée d’une majorité de la population devrait être prise en compte. Mais Avramopoulos s’en moque. Selon ce commissaire non élu, « nous tous [je souligne] avons besoin d’accepter l’immigration, la mobilité et la diversité comme la nouvelle norme ». Une nouvelle norme, comme la taille des pommes ou la courbe des concombres, qui serait déterminée par la Commission. L’immigration ne sera donc pas une question ouverte au débat ; ce sera une « norme ».

 

Ainsi, nous devons accepter les migrants et les réfugiés. « Ce n’est pas seulement un impératif moral mais aussi un impératif économique et social pour notre continent vieillissant ». Voici un autre cliché que la Commission essaye, non sans succès, d’imposer depuis des années sans débat au sein de l’Union européenne. Combien de fois ai-je lu ou entendu ce poncif ! Dans son livre Exodus, How migration is changing the world (hélas non traduit en français), le professeur Paul Collier de l’Université d’Oxford, s’est replongé dans la littérature scientifique soutenant cette affirmation. Selon lui, presque tous ces articles reposent sur de nombreux biais idéologiques plutôt que sur des preuves scientifiquement irréfutables.

 

Dimitris Avramopoulos est un homme de droite

 

Et qu’en est-il des quatre millions de jeunes Européens, souvent diplômés mais sans emploi ? Ces dernières années, le taux de chômage des jeunes dans l’Union européenne  a oscillé entre 15 et 20%. N’avons-nous pas, en tant que politiques, un « impératif moral », pour reprendre les termes d’Avramopoulos, de leur trouver un emploi et de leur proposer un futur décent avant d’accepter davantage de nouveaux arrivants ? D’ailleurs en Grèce,  ce taux n’est pas de 17% (la moyenne européenne actuelle) mais explose à plus de 40% ! La plupart des jeunes Grecs ne voient aucun avenir en Grèce et souhaitent s’expatrier. Faut-il les remplacer par des migrants ou bien accepter cette migration intra-européenne quasi forcée comme une fatalité ? En Grèce, au Portugal, en Espagne, en Italie,… nous sommes témoin d’une génération perdue.

 

Peut-être l’aspect le plus triste de cet article est que M. Avramopoulos n’est pas un homme de gauche. Il vient du Parti de la Nouvelle Démocratie, formation de droite. Il est la preuve vivante que la gauche en est venue à dominer le paysage intellectuel des institutions européennes et a imposé sa façon de penser. Avec des politiciens de droite comme ce commissaire ou Angela Merkel, rien de surprenant à la montée du « populisme » qu’ils sont pourtant les premiers à dénoncer.

 

Quand les politiques de droite et du centre abandonnent leurs valeurs et se conforment au mode de pensée de gauche, trahissant ainsi leurs électeurs, ne jouons pas les étonnés si ces derniers se réfugient du côté des extrêmes.

Alain Destexhe

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Best of 2017: islamisation par le haut ou par le bas, les fondamentalistes dans le texte

Sujet brûlant dans le cadre de notre anthologie 2017: le fondamentalisme musulman. Pour mieux comprendre ce phénomène et ses nuances, nous nous sommes plongés dans les prêches du vendredi de plusieurs imams en vue: que disent-ils et quel est le sens profond de leurs sermons? Fatiha Boudjahlat et Antoine Sfeir nous aident à y voir plus clair.

[texte initialement publié le 15/09/2017 avec les titre et chapô suivants:]:]

«Je suis Qatar»: sous la plume des imams fondamentalistes

«Allah est le seul maître de l'univers, le seul qui mérite d'être adoré, le seul pour qui les fronts doivent se prosterner, le seul pour qui les peaux doivent frémir». Que disent vraiment les imams radicaux dans leurs prêches? En quoi les salafistes se distinguent-ils des Frères musulmans? Enquête.

Alors qu'une vague terroriste islamiste s'abat sur l'Europe et que des lieux de culte sont pointés du doigt comme foyers potentiels de radicalisation, Sputnik vous propose de plonger au cœur du discours de plusieurs imams controversés. Afin de se faire une idée concrète de ce qui est dit publiquement dans certaines mosquées, et de tracer une typologie, nous publions des morceaux choisis de «khotbas» (prêches du vendredi) de trois prédicateurs influents officiant en France. Précisons que ces sermons n'ont rien de confidentiel et qu'ils sont trouvables sur Internet, à condition bien sûr de prendre le temps de chercher…

 

«Salaf» ou la pureté

Commençons avec Ibrahim Abou Talha, un imam salafiste basé à Pantin, en banlieue parisienne. Français d'origine malienne, il a étudié la pensée salafiste au Yémen. Dans ce prêche sur l'éducation des enfants, il insiste sur l'aspect religieux que les musulmans doivent lui donner. À noter que dans tous les extraits que nous présentons, à chaque fois qu'est employé le mot «Allah», il est systématiquement accompagné d'une incise en arabe du type «soubhanahou wa taala» («gloire à Lui, Il s'est élevé au-dessus de tout»), que les musulmans sont censés ajouter à chaque fois qu'ils prononcent le nom de Dieu en dehors de la récitation d'un verset du Coran. Par souci de confort de lecture, nous ne les reproduisons pas ici.

«Les enfants sont un don d'Allah. Il accorde à qui il veut un garçon ou une fille, ou les deux à la fois, ou bien il rend qui il veut stérile. Le fait d'avoir une fille, Allah a appelé cela un don. Le fait d'avoir un garçon, Allah a appelé cela un don. […] Nous avons l'obligation de les éduquer sur la piété, sur la droiture, et sur le noble caractère de l'islam, et de les mettre en garde contre les troubles, les turpitudes, les péchés et la désobéissance à Allah. […] La bonne croyance, les prières et les règles relatives à la prière, la langue arabe et tout ce dont nous avons besoin pour adorer Allah, tu dois l'apprendre pour toi-même et l'enseigner à tes enfants. Et tu dois être un exemple pour eux.»

«Enseigne à tes enfants qu'Allah est le seul maître de l'univers, le seul créateur: c'est lui qui nous a tout accordé, c'est le seul qui mérite d'être adoré, le seul pour qui les fronts doivent se prosterner, le seul pour qui les peaux doivent frémir.»

Si le discours commence sur une note de tolérance (avoir un garçon est aussi bien qu'avoir une fille, puisque les deux sont des dons de Dieu), le ton va crescendo et se fait de plus en plus véhément au fil des phrases. Mais ce qui frappe surtout est le caractère exclusivement religieux des recommandations: il n'est à aucun moment question de développer l'esprit critique, la curiosité ou la créativité des enfants par exemple, comme c'est le cas dans l'école républicaine, mais uniquement de leur enseigner la doctrine religieuse.

La militante Fatiha Boudjahlat, cofondatrice du mouvement Viv (r) e la République, et dont deux frères sont devenus salafistes, se dit préoccupée: «Ce qui me fait du souci dans ce discours, ce n'est même pas tellement par rapport aux adultes, mais par rapport aux enfants: les adultes ont le souvenir d'une époque où ils n'étaient pas aussi pratiquants, donc ils peuvent relativiser», ajoutant:

«Mais ils inscrivent leurs enfants dans les écoles coraniques, et là on n'a pas accès à ce qu'on leur enseigne. La génération qui vient échappe de plus en plus à l'idée de vivre au sein d'une nation.»

Le même Ibrahim Abou Talha développe dans cette autre «khotba» les devoirs que la femme a envers son mari selon la lecture littérale de l'islam que font les salafistes:

«Il n'y a que si la femme connaît les droits de son mari, et que le mari connaît les droits de sa femme, que les époux pourront goûter à la tranquillité dans le foyer conjugal. […] La femme ne s'acquittera jamais de ses devoirs envers Allah tant qu'elle ne se sera pas acquittée de ses devoirs envers son mari. […] La femme musulmane est intelligente, elle sait qu'elle est la princesse de son foyer et qu'Allah lui a donné une énorme responsabilité. […] Parmi les droits de l'époux sur son épouse, le fait qu'elle lui obéisse sans qu'il ne lui ordonne. Et si la femme prie ses cinq prières, jeûne son mois, préserve ses parties intimes et obéit à son mari, il lui sera dit "entre au paradis par la porte que tu souhaites". Mais le mari ne doit pas ordonner à la femme une chose dans laquelle il y a la désobéissance à Allah: il n'y a pas obéissance si cela engendre la désobéissance au Créateur.»

 

«Écoutez ce hadith et méditez-le: "La plupart des habitants de l'enfer sont des femmes. Elles sont mécréantes et ingrates." Cela veut dire qu'elles sont mécréantes non pas parce qu'elles mécroient en Allah, mais parce qu'elles mécroient aux bienfaits de leurs maris.»

Avant d'enchaîner sur le fait que la femme doit se faire aimer par son mari par sa piété avant tout, mais aussi par «sa beauté» et «sa bonne odeur», et qu'elle doit se préserver et ne pas se montrer aux autres hommes ni parler de sa vie conjugale à l'extérieur du foyer. Puis de finir sur une critique des mœurs contemporaines: «À notre époque, des femmes endossent le vêtement de l'homme, montrent leur beauté à leurs amis et leur dureté à leur mari.»

Là aussi, les recommandations sont faites au seul motif que c'est Dieu qui a accordé ces droits et ces devoirs. L'attribution stricte de rôles différents à la femme et à l'homme, qui va à l'encontre du principe républicain d'égalité des sexes, est décrite non comme une soumission pure et simple, mais comme une responsabilité et un honneur pour la femme.

«Cette conception des devoirs conjugaux m'inquiète parce qu'elle peut conduire par exemple à des viols conjugaux, puisque le consentement de la femme est facultatif», alerte Fatiha Boudjahlat.

De ces deux extraits se dégage nettement la caractéristique principale de l'idéologie salafiste quiétiste: la promotion de la piété avant tout et de valeurs perçues comme celles de l'islam de l'époque de Mahomet, et qui diffèrent de celles communément admises dans les sociétés occidentales actuelles. Comme le résume pour Sputnik Antoine Sfeir, politologue, spécialiste de l'islam et directeur de la revue Les Cahiers de l'Orient, «"Salaf" veut dire en arabe "le vrai, le pur, l'originel". L'idée du salafisme est de dire qu'après le prophète, il n'y aurait rien eu de bien nouveau: il faudrait donc revenir à l'islam des origines.» Il écrit par ailleurs dans son Dictionnaire du Moyen-Orient (Bayard, 2011) que

«Le salafisme condamne toute influence occidentale, comme le mode de vie et la société de consommation, mais également la démocratie et la laïcité».

En revanche, le salafisme quiétiste s'oppose au salafisme djihadiste en ce qu'il se veut en retrait de la société. Antoine Sfeir parle de «prédication non-violente et non directement politique»:

«L'islam étant vu comme universel, il n'y aurait donc pas besoin d'État ou de frontières. En sociologie des religions, c'est ce qu'on appelle l'islamisation par le bas

Les non-musulmans ne sont d'ailleurs pas du tout visés ou critiqués dans ces deux prêches, et ils ne sont en fait même pas abordés. Le terrorisme est donc, au moins publiquement, réprouvé.

Ainsi, dans un sermon prononcé le vendredi qui a suivi les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, l'imam d'Ecquevilly (Yvelines) Youssef Abou Anas condamne fermement ces attaques:

«Sachez, chers musulmans et musulmanes, que les attentats terroristes qu'a connu Paris vendredi dernier sont un crime, réprimandé et condamnable, un crime horrible et barbare commis par de mauvaises mains, par de mauvaises âmes.»

«Leur vision, poursuit-il, a été aveuglée au point de considérer comme bonnes des choses qui en sont le contraire total. […] Il est interdit, chers musulmans et musulmanes, de s'en prendre à des personnes avec qui il y a un pacte et un engagement. C'est un grand péché en islam qui interdira à ses auteurs l'entrée au paradis. […] L'islam est innocent de ces actes, et les musulmans se doivent de les désavouer.»

Un prêche d'apparence sans ambiguïté qui n'empêchera pas la mosquée de Youssef Abou Anas d'être fermée dans le cadre de l'état d'urgence et son recours au Conseil d'État d'être rejeté, la justice se basant sur une source des services de renseignement citant une phrase faisant l'apologie du terrorisme, ainsi que sur des témoignages rapportant des troubles à l'ordre public.

 

Ainsi, selon Fatiha Boudjahlat, «On a tout à fait le droit d'être fanatique ou obscurantiste en France, ça n'a rien d'illégal. Le problème, c'est les mécanismes psychologiques que ça déclenche, le processus d'habituation à l'obéissance totale, qui conduit logiquement à considérer que la foi est supérieure au droit d'un État.»

Et de développer: «Tant qu'il n'y a pas conflit, on peut se dire que tout va bien et que ce sont simplement des gens très pieux. Mais il y aura forcément conflit à un moment donné, parce qu'il y aura forcément un arbitrage à faire entre les injonctions politiques de l'État et les injonctions religieuses. La plupart des familles salafistes sont dans l'évitement. Par exemple, leurs enfants ne sont souvent pas scolarisés dans l'école publique, ou bien ils ne travaillent pas pour ne pas se mêler aux non-musulmans. Ce ne sont pas des assassins, mais ça crée un exogroupe à l'intérieur d'une nation, un groupe qui vit en parallèle, et on ne peut pas l'accepter. Ce n'est pas mon idéal de nation, ce n'est pas le modèle universaliste français.»

«Viser les rouages du pouvoir»

Contrairement aux salafistes quiétistes, les Frères musulmans ont un discours politique et même citoyen: d'après Antoine Sfeir, «eux n'ignorent pas les États, loin de là». Si dans les pays musulmans, la vision politique de ce courant est un projet panislamique cherchant à lutter contre le modèle occidental, dans le cadre de l'immigration ils tâchent plutôt d'être «irréprochables» au sein de la société d'accueil et de constituer un mouvement politique qui, quoique religieux et communautaire, ne serait qu'une tendance comme une autre:

«C'est un islamisme qui vise les rouages du pouvoir. C'est donc ce qu'on appelle l'islamisation par le haut», détaille le politologue.

Quant aux non-musulmans, ils ne sont pas ignorés comme chez les salafistes quiétistes, mais au contraire vus comme des alliés politiques potentiels, ce que leurs adversaires qualifient d'«islamo-gauchisme». Des ambitions politiques qui sont parfois reprochées aux Frères musulmans: on les accuse d'essayer d'influencer de l'intérieur les décisions politiques.

Noureddine Aoussat, proche pendant un temps des salafistes, évolue désormais dans le milieu des Frères musulmans. En juin, alors qu'éclate la crise entre le Qatar et plusieurs de ses voisins avec le boycott du petit émirat par l'Arabie saoudite, l'Égypte, les Émirats arabes unis et le Bahreïn, cet imam qui donne notamment des conférences à Paris, Strasbourg ou Montpellier prend vigoureusement la défense de Doha. Tout en condamnant le terrorisme, il apporte dans un prêche son soutien au Qatar, pourtant lui-même régulièrement accusé de financer des groupes terroristes:

«Nous sommes en plein mois de ramadan, le mois de la piété et de la miséricorde, et l'Égypte, les Émirats arabes unis et d'autres pays qui ne méritent même pas d'être cités veulent asphyxier un autre pays musulman, le Qatar, qui est vingt fois plus petit. Je suis contre cet embargo! Le prétexte qu'ils invoquent est le terrorisme… Vous savez combien de Saoudiens il y a avec Daesh? Et dans les tours de New York? Alors que des Qataris, zéro! Cette décision est haram, et mon souhait est qu'ils reviennent à la raison et à la crainte d'Allah, et qu'ils lèvent cet embargo.»

«Le Qatar fait des choses très bien, ne serait-ce qu'avec Al Jazeera. Sans Al Jazeera depuis vingt ans, on aurait étouffé sous la propagande. Alors je le dis: je suis Qatar! Je suis Qatar! Je suis Qatar!»

Concernant la politique intérieure française, il appelle en mai à voter contre Marine Le Pen à l'élection présidentielle. Dans un sermon pendant l'entre-deux-tours, après une introduction où il explique qu'un imam n'a normalement pas à donner de consignes de vote, il se permet cette exception justifiée selon lui par la situation:

«Le vote du 7 mai n'a rien d'ordinaire. Ce ne sont pas deux projets politiques qui s'affrontent, ce ne sont pas deux tendances politiques qui s'affrontent, ce ne sont pas deux partis politiques qui s'affrontent. Là, quand vous avez d'un côté une candidate de la haine, et de l'autre un candidat de l'humanité, de la République, des principes de notre pays, il n'y a pas de choix à faire, il n'y a pas de tergiversations à avoir. C'est un devoir parce que le prophète nous dit que quand vous vivez dans une société, vous faites partie de cette société. Et nous ne laisserons pas passer la candidate qui n'arrête pas de diviser le pays en deux: "les cités" d'un côté et "la France" de l'autre. Je vois beaucoup de jeunes frères qui se disent "l'extrême-droite, pourquoi pas, on va voir"… Non. Il y a un hadith qui dit "ne souhaitez pas, n'espérez pas être confronté à votre ennemi". Et là, même si ce n'est pas le cas de tous les gens de cette tendance, il y en a parmi eux qui sont de véritables ennemis.»

Avant de finir, au bord des larmes, sur une comparaison entre le sort des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale et ce que vivraient selon lui les musulmans si le Front national arrivait au pouvoir:

«Aujourd'hui, c'est le musulman qui est devenu le Juif. La seule solution, c'est de faire barrage. Certains parlent de s'abstenir, j'ai honte pour eux, je suis triste pour eux. Ça fait trente ans que je suis en France, et ce n'est pas ce pays que j'ai choisi: je n'ai pas laissé mon Algérie où je suis né pour vivre dans une France gouvernée par le fascisme, et dans une communauté qui ne sait pas reconnaître ses ennemis. Puisse Allah nous aider.»Antoine Sfeir insiste au micro de Sputnik sur le double jeu des Frères musulmans:

«Ils jouent sur deux langages différents. D'une part, ils tiennent un langage d'intégration, mais dans une société qui n'est pas "encore" musulmane. D'autre part, ils passent leur temps à victimiser les musulmans en disant qu'ils sont maltraités, mis de côté, pas réellement intégrés dans la société, etc. Cette victimisation vise à pousser les musulmans à aller vers une société plus musulmane, plus religieuse, plus rigoriste.»

En somme, c'est donc une dichotomie qui se dégage de ces «khotbas» radicales: d'un côté les salafistes quiétistes, qui s'opposent au terrorisme, mais ont des discours aux limites de la liberté d'expression et prônent une vision littérale et ultraconservatrice de l'islam, dont la compatibilité des valeurs avec celles de la République pose question; de l'autre, les Frères musulmans, partisans de l'intégration, mais qui peuvent sembler chercher à imposer un modèle politico-religieux difficile à concilier avec la laïcité.

Néanmoins, le directeur des Cahiers de l'Orient se veut rassurant: «Aujourd'hui, l'écrasante majorité des Français de confession musulmane dit très clairement avoir renoncé à la seconde partie de la prédication de l'islam, qui consiste à ériger la cité islamique, autrement dit un État musulman."

Source

Sauf changement, les Blancs minoritaires d’ici 2060 en France avec 30 millions de musulmans..

 
 
 
 
 

 

(source) :

Si l’on ajoute les deux générations (immigrés et enfants d’immigés), cela donne un total de 13,5 millions, soit 20,4 % de la population. On a donc un peu plus d’un habitant sur cinq d’origine étrangère sur deux générations en 2015. On aimerait, ce qui n’est pas bien difficile à faire, que l’Insee donne la même information sur la France métropolitaine, pour laquelle j’ai fait trois estimations plus anciennes (1986, 1999, 2011), ce qui permettrait de donner une idée de l’évolution. Si l’on ramène les chiffres de l’Insee à la France métropolitaine, on a, à peu près, 13,2 millions de personnes d’origine étrangère sur deux générations (soit 20,5 %), à comparer à 12,1 millions quatre ans plus tôt et 9,8 millions en 1999, soit 19,2 % en 2011 et 16,8 % en 1999. La population d’origine étrangère sur deux générations aurait donc augmenté de 9 % entre 2011 et 2015, contre 2,6 ‰ seulement pour les natifs au carré.
Ce premier constat appelle plusieurs remarques.

En premier lieu, toutes les personnes considérées comme immigrées – nées de parents nés à l’étranger – ne sont pas nécessairement d’origine extra-européenne. Un certain nombre d’entre eux proviennent d’autres pays européens.

Ces chiffres ensuite n’intègrent pas les 3ème et 4ème générations d’immigrés, une lacune importante. Ils ne comportent pas non plus les migrants extra-européens des possessions coloniales françaises des Antilles, de Polynésie ou de Nouvelle Calédonie et d’ailleurs.

En outre, les chiffres officiels, par nature réalisés avec l’aval du gouvernement, ont une fiabilité relative en raison de leur dimension politique.

8,5 millions de musulmans en France déjà en 2016

L’expert des migrations Jean-Paul Gourévitch, moins réservé que son homologue Michèle Tribalat, a dressé un portrait assez net de la situation ethnique et religieuse de la démographie hexagonale. En 2016, il rapportait la présence en France de 8,5 millions de musulmans, pratiquants réguliers ou non (source). Soit 12% des 66 millions de personnes recensées dans le pays en 2016.

Sur ces 8,5 millions de musulmans, environ 4 millions forment le socle des pratiquants dont 150,000 adhéreraient à l’islam radical. Un chiffre à mettre en perspective avec les 19,000 activistes proches du djihadisme recensés par le gouvernement français (source).

Au moins 12 millions d’extra-Européens en France en 2017

Point important à rappeler : tous les migrants extra-européens ne sont pas musulmans même si ces derniers en représentent la majorité. Nombre de migrants extra-européens sont également des sub-sahariens ou, plus marginalement, des asiatiques. Il faut donc recouper les chiffres disponibles pour avoir un panorama de la démographie non blanche en France, qu’elle soit musulmane ou non.

Le nombre d’immigrés illégaux est évalué à 550,000 par Jean-Paul Gourévitch (source).

Il faut ajouter le nombre des migrants de l’intérieur. En 2008, Jean-Paul Gourévitch évaluait entre 700,000 et 900,000 les migrants allogènes des DOM-TOM en métropole (source).

Le nombre d’Asiatiques établis en France est généralement évalué à 1 million (source).

Le nombre de migrants d’Afrique Noire non-musulmans – chrétiens ou animistes – est difficilement chiffrable même si le nombre de noirs était évalué, toutes origines confondues, à 3 millions en 2008 par Jean-Paul Gourévitch.

La France compte donc au moins 11 millions d’extra-Européens dont 8,5 sont musulmans. Chiffre auquel il faut encore ajouter les subsahariens non-musulmans dont le nombre peut se situer entre 1 et 2 millions.

L’augmentation de la population française exclusivement due à l’immigration

La question que les lecteurs se poseront a trait à l’évolution future de la composition raciale du peuplement de l’Hexagone.

C’est bel et bien l’immigration qui explique la croissance de la démographie française, laquelle est passée de 50 millions en 1970 à 67 millions en 2017 – malgré un taux de natalité officiel inférieur à 2, soit celui du simple maintien de la population.

Puisque l’on sait qu’au début des années 70, la France comptait 1,3 millions d’extra-Européens en France (source) – ce qui était déjà énorme – on peut estimer que l’essentiel des 17 millions d’habitants supplémentaires qu’a reçu la France depuis 1975 sont d’origine immigrée dont une large part – les 12 millions d’extra-Européens précités – forment la majorité.

Une fois cette composition raciale à l’esprit, on comprend que le dynamisme français repose essentiellement sur le natalisme des populations non-blanches.

Source

France : un imam en passe d’être expulsé au Maroc

Mohammed Tlaghi, Imam marocain exerçant en tant que suppléant à la mosquée de Torcy pourra être expulsé au Maroc. C’est ce qu’a décidé la commission d’expulsion composée de magistrats qui vient de rendre un avis favorable à l’arrêté d’expulsion.

On lui reproche des prêches tenus en 2016 et 2017 dans cette mosquée qui a été fermée par les autorités françaises en avril dernier car les deux imams y « ont explicitement légitimé le djihad armé en appelant les fidèles à prier pour les djihadistes du monde entier afin de détruire les ennemis de l’Islam en France et dans le monde » et d’avoir « apporté leur soutien aux fidèles de la mosquée mis en cause dans le cadre du démantèlement de la cellule terroriste dite de "Cannes-Torcy" ».

L’avocat du Marocain dénonce un dossier politique et rappelle que la loi exige qu’existe « une impérieuse nécessité pour la sûreté de l’État ou la sécurité publique » et rappelle que la perquisition effectuée en son domicile de même que les enquêtes ouvertes n’ont donné lieu à aucune suite judiciaire.

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Invasion migratoire : Europe centrale, terre de résistance

Les pays de la Mitteleuropa ne considèrent pas l’immigration comme une chance…  Paru en ce jour sur le site FdeSouche, une carte mise en ligne sur Twitter le 22 décembre par le site Europe Elects révèle les résultats d’un sondage posant la question suivante : « Pensez-vous que l’immigration extra-européenne est plutôt un avantage ou un inconvénient pour l’Europe ? »

Les résultats sont sans appels :

Hongrie : AVANTAGE 4 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 7 %

Slovaquie : AVANTAGE 8 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 3 %

Tchéquie : AVANTAGE 9 % – INCONVENIENT 88 % – SANS OPINION : 7 %

Bulgarie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 80 % – SANS OPINION : 6 %

Croatie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 74 % – SANS OPINION : 12 %

Serbie : AVANTAGE 19 % – INCONVENIENT 73 % – SANS OPINION : 8 %

Roumanie : AVANTAGE 20 % – INCONVENIENT 75 % – SANS OPINION : 5 %

Slovénie : AVANTAGE 23 % – INCONVENIENT 68 % – SANS OPINION : 9 %

Pologne : AVANTAGE 25 % – INCONVENIENT 59 % – SANS OPINION : 16 %

Autriche : AVANTAGE 26 % – INCONVENIENT 63 % – SANS OPINION : 11 %

Allemagne : AVANTAGE 33 % – INCONVENIENT 58 % – SANS OPINION : 9 %

Oui, même l’Allemagne… Décidément, cet élargissement de l’Union Européenne à l’Europe centrale est intéressant. Notons également qu’à l’exception de l’Autriche, tout ces pays ont connu une longue période de communisme, donc de résistance à une occupation étrangère, résistance fondée sur la religion et le nationalisme. La chanson disait : « A l’est la dictature des barbares communistes, à l’ouest la pourriture de l’égout matérialiste ». Visiblement, on survit mieux au premier qu’au second…

Hristo XIEP

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