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Il faut se frotter les yeux pour bien comprendre ce que fdesouche.com nous a donné à lire hier :
« Lüneburg, Allemagne : le lycée […] Johanneum a décidé d’annuler la traditionnelle fête de Noël, suite aux plaintes d’une élève musulmane. Cette élève a prétexté que les chants chrétiens entonnés pour l’occasion ne sont pas compatibles avec sa religion. »
Ce n’est pas un bobard puisque l’information provient d’un média allemand. Ce qui est tout à fait intéressant c’est que ce lycée, dont l’origine remonte à plus de six siècles, compte 1 100 élèves. Contrairement à la doxa démocratique qui veut que tout se décide à la majorité, on observe dans cette grotesque affaire qu’une seule voix l’emporte sur 1 099. La démocratie ne cessera décidément jamais de me surprendre. On peut admettre qu’une jeune fille musulmane estime que des chants chrétiens entonnés pour une fête de Noël, ne soient pas compatibles avec sa religion mais 1. rien ne l’oblige à les écouter : ce n’est pas une “matière” obligatoire ; 2. rien ne lui interdit de changer d’établissement ; 3. et si elle n’en trouve pas un à son goût en Allemagne, personne ne l’empêchera d’aller faire poursuivre études dans un autre pays : je peux lui fournir des adresses si elle n’en dispose pas. Ce qui n’est pas admissible, par contre, c’est que le Johanneum ait décidé d’annuler cette fête de Noël. On savait que l’Allemagne était en pleine crise de dhimmitude. Cette affaire nous en fournit un nouvel exemple…
Ces dernières semaines, les OQTF, obligations à quitter le territoire français, se multiplient dans le département du Morbihan. Un rassemblement avait lieu ce jeudi 21 décembre, à Vannes, pour dénoncer la politique migratoire du gouvernement et son application par le préfet.
Ce jeudi 21 décembre, les escaliers des Halles des Lices, à Vannes, étaient noirs de monde. À l’appel du collectif réseau éducation sans frontières 56, 200 personnes se sont réunies pour apporter leur soutien aux populations du département menacées d’expulsions.
« Ces dernières semaines, on a remarqué une accélération des arrestations, explique Anita Kervadec, responsable de Resf 56. On veut marquer notre opposition à une politique, encore pire que celle de Pasqua. Et ce n’est pas moi qui le dis, c’est la Cimade nationale, qui intervient pour le
s droits des immigrés. L’immigration est un fait, un fait de richesse. »
Mercredi déjà, 300 manifestants avaient dénoncé, à Lorient, la situation de quatre familles menacées d’expulsion.
Le serpent de mer de la radicalisation dans les prisons refait surface. Il y a urgence, en effet. Les surveillants pénitentiaires sont totalement désarmés face à un problème auquel ils n’ont nullement été formés à faire face. Rien de surprenant de la part de personnes faiblement diplômées, dont toute l’éducation et l’instruction ont exclu culture religieuse, nature réelle de l’islam et à qui on a répété comme un mantra que la laïcité était la seule règle qui vaille. Le néant. Alors, confrontés à une très forte population musulmane (60 à 70 %, selon le Washington Post, le Telegraph, Le Figaro…) et à des islamistes revendiqués ou – pire encore – dissimulés, on ne peut pas leur demander l’impossible.
Selon l’administration pénitentiaire, les personnes « radicalisées » sont 1.157. Plutôt 2.500, selon les personnels. Des chiffres totalement fantaisistes. Si l’on compte environ 70.000 détenus en France, cela représente environ 45.000 musulmans. Tous ne sont pas islamistes, bien sûr, mais de là à penser que ces individus seraient limités à 2 %, c’est une vaste fumisterie…
Les 1.157 recensés pas l’administration sont censés passer par les trois quartiers d’évaluation de la radicalisation (QER), au sein des établissements de Fresnes, Osny et Fleury, qui ne totalisent qu’une vingtaine de places chacun, pour un programme de sept semaines. Une goutte d’eau dans l’océan. La chancellerie veut doubler leur nombre, ce qui devrait donc porter leur nombre de places à 120. Mais, surtout, pour quoi faire ?
Tant que l’État n’aura pas pris conscience du caractère holiste de l’islam, il ne pourra pas agir efficacement. En persistant à le considérer comme une religion, il oublie l’essentiel : l’islam est un tout. Organisation de la cité et spiritualité y sont indissociables. La question n’est donc pas de déradicaliser, c’est-à-dire faire de ces fous d’Allah de gentils croyants qui respectent la distinction entre temporel et spirituel. C’est une tâche impossible. Il faudrait, pour cela, modifier en profondeur une théologie que les musulmans tiennent pour tout entière révélée, et qui constitue depuis quatorze siècle leur fonds culturel. Déradicaliser ne signifie pas adoucir, mais empêcher de revenir à la racine. Or, la racine, c’est le Coran, le livre sacré des musulmans, que nulle autorité religieuse ne peut interpréter sous peine de mort.
Faut-il, alors, interdire purement et simplement l’islam dans nos sociétés ? Imaginons un instant que cela soit possible sans susciter une guerre immédiate sur notre sol. Ce que la République a fait subir aux catholiques à ses débuts, et qu’elle n’a jamais renié, est-il envisageable à l’égard des musulmans ? Juridiquement, c’est douteux. Nous ne sommes plus en 1880 et les « droits de l’homme », qui n’étaient pas très à la mode à l’époque, sont désormais le socle immuable de notre système juridique. Politiquement, c’est dangereux. Mais la manière dont le régime a imposé aux chrétiens, dont l’ADN contient la distinction entre spirituel et temporel, de sortir de l’espace public ne serait finalement pas tout à fait impossible à transposer aux musulmans.
La réalité s’y oppose, bien entendu. Alors, que faire, ici et maintenant ? Isoler les musulmans les plus dangereux ? Cela se fait déjà – sans résultat. Les expulser du territoire ? C’est impossible pour la grande majorité, de nationalité française. Les incarcérer dans les îles australes françaises ? Compliqué et risqué… Sans compter les sanctions immédiates de la communauté internationale et de Bruxelles. En fait, personne n’a la solution. Et nos prisons sont des écoles coraniques, des poudrières.
Une chose est sûre. Ni la laïcité à la française ni les « kits de déradicalisation » n’y changeront rien. Hélas.
Après la nomination du jeune conservateur à la tête du gouvernement autrichien, la presse hongroise est partagée entre la crainte d’une “orbánisation” de Vienne et l’enthousiasme de voir arriver un gouvernement qui défend une ligne politique proche de Budapest.
Comme après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, Viktor Orbán fut l’un des premiers à féliciter le nouveau chancelier autrichien Sebastian Kurz, investi lundi 18 décembre. Les médias magyars ont attentivement scruté les négociations menant à l’émergence de la coalition bleue-noire entre conservateurs et l’extrême droite [ÖVP-FPÖ] dans l’ancienne capitale de l’empire habsbourgeois commun, démantelé au sortir de la Première Guerre mondiale.
“Orbánisation” de l’Autriche
Les comparaisons des parcours d’Orbán et de Kurz, arrivés assez jeunes au sommet de l’État (31 ans pour Kurz, 35 ans pour Orbán en 1998), avaient d’ailleurs fleuri dans les colonnes magyares dès la mi-octobre, au lendemain de la large victoire de l’Autrichien aux élections législatives. Autre point de ressemblance relevé par les médias : les deux hommes veulent remettre l’Europe centrale au cœur du débat communautaire et sont partisans de la ligne dure sur la politique migratoire et l’islam radical.
“Deux bons camarades d’Orbán tiennent désormais l’Autriche”,ironise le portail Index, ajoutant que le “nouveau chancelier et le vice-chancelier Heinz-ChristianStrache épousent sans réserve la ligne magyare dure sur l’immigration et les quotas de réfugiés, que Kurz et Strache rejettent continuellement depuis l’été 2015”. Le chroniqueur-philosophe Gaspár Miklós Tamás, sur le site de HVG, craint pour sa part une radicalisation insidieuse du pays :
Derrière son air charmeur et inoffensif, Kurz consacre la vulgate néofacsiste en agitant le danger islamiste et en montant son peuple contre les immigrés et les travailleurs détachés.”
Applaudissant l’avènement du “surdoué” viennois, la presse favorable à Orbán balaie les inquiétudes quant à une potentielle ultradroitisation de l’Autriche. “Le gouvernement autrichien n’a rien de nazi et Kurz a brillamment accumulé les voix dans son camp en saluant les dispositions prises par la Hongrie pour contenir le flux migratoire”, souligne ainsi Magyar Idők.
Divisions au sujet de l’Europe
Reste que Kurz, proeuropéen convaincu, diverge de son voisin hongrois, contempteur du “diktat de Bruxelles” et leader véhément du groupe eurosceptique de Visegrád, dans lequel le dirigeant autrichien refuse d’entrer, malgré les sollicitations répétées de Budapest et la volonté non dissimulée du FPÖ. “Orbán et Kurz semblent alliés, mais l’Autrichien aux puissantes ambitions régionales et européennes pourrait bien marcher sur les plates-bandes de son cher camarade magyar et le contraindre à des compromis”, relève Zoom.hu.
Déjà chef de l’exécutif magyar en 2000, lors de la formation, en Autriche, de l’alliance Schüssel-Haider, qui avait enflammé l’Europe et mené à des sanctions émanant de Bruxelles, Viktor Orbán bénéficiait du soutien du Parti hongrois de la justice et de la vie, d’extrême droite, qu’il tenait cependant à distance de son cabinet de centre droit. Un cas bien moins connu que le précédent autrichien.
OTTAWA — Le ministère fédéral de la Sécurité publique met en garde contre une hausse des attaques terroristes rudimentaires, mais mortelles, incluant des agressions à l’arme blanche et des voitures bélier, dans un nouveau rapport publié jeudi.
Dans son rapport public annuel sur la menace terroriste pour le Canada, le ministère rappelle que de telles attaques ont récemment été perpétrées à Edmonton, où cinq personnes ont été blessées, et à New York, où huit victimes ont été tuées et plusieurs autres ont été blessées.
On précise que ces gestes sont posés avec des armes faciles à obtenir, et donc difficiles à prévoir.
La propagande des groupes terroristes comme Daech (groupe armé État islamique) et Al-Qaïda qui encourage l’utilisation de ces techniques ajoute à l’ampleur du phénomène.
Selon le document, les terroristes auraient aussi l’intention de développer des compétences en cyberattaques, mais n’ont pas encore démontré leur capacité à causer de réels dommages.
Un peu plus de 190 extrémistes ayant un lien avec le Canada se trouvent à l’étranger et sont soupçonnés de prendre part à des activités terroristes, indique le rapport. En plus, le gouvernement est au fait du retour au Canada d’environ 60 autres.
Ces statistiques sont demeurées relativement stables au cours des deux dernières années, alors qu’il devient de plus en plus difficile pour les extrémistes de traverser la frontière canadienne dans un sens comme dans l’autre, soutient le gouvernement.
Un peu plus de la moitié des extrémistes à l’étranger ayant un lien avec le Canada se trouvent en Turquie, en Syrie ou en Irak. Seulement «une proportion relativement faible» de ceux revenus au Canada viennent de cette région, mais la majorité de ceux étant revenus de l’un de ces trois pays sont soupçonnés d’avoir participé à des combats, souligne le rapport.
Dans la préface du rapport, le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, souligne que des événements récents à travers le monde rappellent que «tout type d’idéologie radicale peut alimenter le terrorisme, y compris l’extrémisme de droite».
«Au Canada, les individus ayant des idées d’extrême droite sont principalement actifs en ligne et se servent des forums de clavardage et des réseaux en ligne. Plutôt que de promouvoir ouvertement la violence, ces personnes tentent souvent de créer une culture de peur, de haine et de méfiance en ligne en exploitant des préoccupations réelles ou imaginées lorsqu’elles s’adressent à un auditoire virtuel», précise le rapport.
Le gouvernement dit combattre la menace terroriste par ses effectifs de sécurité, le renseignement, le renforcement des lois, la coopération internationale, des ressources de déradicalisation et le dépôt d’une nouvelle loi sur la sécurité publique telle que promise par les libéraux lors de la dernière campagne électorale.
Les Canadiens sont déjà beaucoup trop touchés par les tragiques conséquences de l’extrémisme, de la fusillade qui a fait six morts à la mosquée de Québec à l’attentat au Burkina Faso où six Canadiens ont perdu la vie, a relevé M. Goodale.
À visage découvert, ou pas, les associations d’aide aux migrants sont vent debout contre une circulaire du ministère de l’Intérieur.
Gilles Grandpierre
Largement soutenues par des fonds publics, les associations d’accueil et d’aide aux migrants sortent de leur habituelle réserve pour dénoncer, même à mots couverts, le nouveau dispositif de contrôle des étrangers qu’ils hébergent. Ainsi, dans l’Aisne, les responsables d’ Accueil et Promotion, principal acteur de la solidarité dans le département, renvoient invariablement au communiqué de leur fédération représentative, la Fnars. « Parce qu’elles n’acceptent pas que les centres d’hébergement deviennent des annexes des préfectures, 25 associations ont saisi le Défenseur des droits, Jacques Toubon », indique le texte.
En cause donc, une circulaire cosignée le 12 décembre par les ministres de l’Intérieur et des Territoires, Gérard Collomb et Jacques Mézard. En quatre pages, le document explique comment des « équipes mobiles » d’agents de préfecture et de l’office de l’immigration et de l’insertion (Ofii) seront désormais habilitées à intervenir dans les centres d’urgence pour vérifier la situation administrative des résidents, « y compris pour leur permettre, le cas échéant, d’accéder à leurs droits ou à une orientation adaptée ». En l’occurrence, les fonctionnaires de l’État pourraient donc être aussi porteurs de « bonnes nouvelles ». « Ne soyons pas dupes. Il s’agit simplement de faire le tri entre les migrants économiques, les « dublinés » et les autres », estime le Rémois Hervé Augustin, président de l’association Saint-Vincent-de-Paul et membre du Collectif 51 qui vient en aide aux migrants. « Je comprends l’émotion de Jacques Toubon (NDLR : qui a demandé lundi le retrait de la circulaire). Ce dispositif est bien la preuve qu’en France, la non-assistance à personne en danger est toujours soluble dans une procédure administrative », ironise M. Augustin, pour qui l’urgence serait de « réquisitionner des logements vacants dans le parc HLM plutôt que de lancer la chasse aux irréguliers ».
« On ne peut pas, à la fois, accueillir, accompagner et contrôler »Pour la Fnars, ces contrôles, non seulement « mettraient un point final au principe de l’accueil inconditionnel », ils seraient surtout contre-productifs : « Des personnes (dont des familles avec enfants, rappelons-le) n’appelleront plus le 115 pour être hébergées, et resteront à la rue, dans des squats ou des bidonvilles de peur d’être contrôlées et expulsées », précise la fédération.
C’est également l’avis du directeur du Nouvel Horizon, implantation rémoise de l’Armée du Salut et plus gros centre d’hébergement d’urgence du Grand Est : « Tous ces gens, on les retrouvera dehors alors que les associations, les communes parfois, s’échinent à leur trouver des solutions d’hébergement », redoute Philippe Wattier. Lequel décèle aussi dans la circulaire de redoutables perspectives : « Nous ne pouvons être à la fois ceux qui accueillent et accompagnent, et les auxiliaires des contrôles. C’est d’autant plus improbable que nous travaillons tous les jours en bons termes avec les services de la préfecture. Qu’en sera-t-il demain ? »
Vis-à-vis des migrants eux-mêmes, M. Wattier trouve « curieuse » la position de l’État : « On peut être, comme je le suis, respectueux des lois de la République et s’étonner qu’on nous demande à la fois de nouer avec ces personnes des relations de confiance et de les blacklister. »
Surtout, ces contrôles révéleraient, selon le directeur de l’Armée du Salut, un paradoxe et un dysfonctionnement : « La situation administrative des migrants, on la connaît. Leurs dossiers sont constitués. Pourquoi l’administration voudrait-elle savoir ce qu’elle est déjà censée savoir ? Et s’il s’agit de repérer ceux qui sont sous le coup d’une « obligation à quitter le territoire », pourquoi charger les associations de participer à ce repérage alors que l’État lui-même n’est pas capable de mettre ces OQTF en application ? »
Philippe Wattier voit enfin dans la décision du ministre de l’Intérieur « un effet d’annonce » et lui trouve aussi une raison économique. « Pour mieux justifier les réductions de budget et la diminution de places dans les centres d’hébergement d’urgence, on renvoie aux associations la responsabilité du maintien de ces migrants sans statut sous couvert de maintenir leur personnel. »
Si je voulais faire du buzz avec la dernière «Lettre de France» de 2017, je vous dirais que ma fille a mangé une choucroute halal à la cantine de son école parisienne. De quoi alimenter une belle polémique entre les pros et les anti qui se disputeraient sur la laïcité – fût-elle gastronomique – la perte des racines de la France et évidemment l’islamisation sournoise de la société… Je le posterais sur Twitter et le temps d’aller me laver les mains – pour peu qu’un collègue français me retweete dans le grand bassin des réseaux sociaux – il n’est pas impossible que je monte très haut dans les «ratings» de l’indignation.
C’est vrai. Je n’invente rien. Ma fille de 12 ans mange de la choucroute halal. Mais elle le fait exprès. Elle en rigole d’ailleurs avec ses copines et s’en vante à la table familiale. Les préados ont souvent la rébellion facétieuse et candide. Son truc, c’est que depuis qu’elle a goûté les saucisses de Strasbourg à la viande de poulet, elle les préfère à celles à la viande de porc. Aussi, elle n’hésite pas à dribbler les consignes de son école et se présente avec son visage d’innocente devant la cantinière qui distribue les menus alternatifs.
Cette anarchie rigolarde à l’heure de la cantoche scolaire est bien partagée
Et à l’en croire, ce n’est pas sans risque. Car ces dames de la cantine, comme dans tous les épisodes du «Petit Nicolas», font régner l’ordre par la terreur. Une heure de colle menace pour celles et ceux qui seraient pris en flagrant délit. Ma fille est sans doute injuste envers ces cantinières qui tentent de mettre bon ordre parmi la marmaille et ces estomacs affamés qui ont aussi envie de rire à l’heure de la pause méridienne.
Imaginez la scène. Les «souchiens» de Finkielkraut qui tapent dans les repas des «non-souchiens», c’est politiquement sensible. Comme si les végétariens mangeaient de la viande. Mais c’est aussi le cas, toujours selon ma fille! Quelle indiscipline, ces enfants qui, d’après elle, se «foutent» des préceptes, dogmes et idéologies de leurs parents. Nous aurons donc une pensée émue pour tous ces brocolis délaissés par les enfants des véganes et autres activistes de la cause animale, lorsque leur progéniture s’offre un petit extra en tapant dans la barbaque dès que les interdits parentaux sont au loin.
D’ailleurs, cette anarchie rigolarde à l’heure de la cantoche scolaire est bien partagée. De nombreux «non-souchiens» – que mes enfants appellent par leur prénom, c’est plus poli –ne se gênent pas davantage pour demander du rab de saucisse de Strasbourg de souche, mais porcine. On n’en tirera aucune conclusion sur les prescriptions religieuses, on se contentera de sourire à ces épisodes qui dans la France d’antan seraient racontés sur le ton plaisantin du petit Toto qui s’est introduit en douce dans la sacristie pour boire le vin de messe.
Tout cela n’est que de jolies histoires qui n’ont de valeur qu’au titre de facétieuses anecdotes évidemment. Il n’empêche, elles sont vraies. Leur unique défaut, c’est qu’elles sont positives. N’importe quelle autre minuscule histoire d’intolérance ou de tension plus ou moins volontaire serait la preuve irréfutable du déclinisme de la France éternelle, du recul de la pensée humaniste et de l’abdication de la République face aux communautarismes, surtout islamiste. Puisqu’il faut bien nommer les choses.
Dans la réalité vécue de cette France traumatisée par les attentats terroristes, perpétrés effectivement par des fous de l’islam, le vivre-ensemble fonctionne encore. Les Français que nous côtoyons sont très souvent indifférents au fait religieux, parfois au contraire motivés par leur foi comme le Secours catholique et le Secours islamique interviennants de concert dans les rues de Paris pour aider les SDF. La force de la France depuis la Révolution est d’avoir créé un pays avec des gens qui font souche autour d’une idée forte et qui se l’approprient. Au-delà des grandes envolées sur «liberté, égalité, fraternité» – et il y en a eu beaucoup – je garde de la France la recette de la choucroute halal. Déjà parce qu’elle fait rire ma fille. (24 heures)
La mosquée de Florence ? Elle sera construite à Sesto-Fiorentino… sur un terrain du diocèse ! La décision est le fruit d’un accord entre, d’un côté, la municipalité de Sesto, l’archidiocèse et l’université de Florence, et de l’autre les associations pour la mosquée de Florence. Il devrait être signé le 22 décembre prochain mais il suscite déjà d’amples contestations.
La municipalité et la communauté islamique ont choisi le terrain. Selon le plan urbain, cette zone est affectée à la réalisation d’édifices pour le culte et pour les activités à caractère religieux. Mais elle appartient au diocèse ! La municipalité a donc convoqué les responsables en leur demandant de la mettre à disposition. Ce que le diocèse a accepté à « titre onéreux » précise-t-il et en échange d’un autre terrain de propriété de l’université et obtenu contre payement.
« Réaliser une mosquée dans une propriété du diocèse est une tromperie envers les habitants de Sesto-Fiorentino : jusqu’à hier ils savaient que ces terrains auraient été utilisés pour le culte catholique et maintenant, d’un seul coup, ils découvrent que là sera réalisé un édifice islamique sans que les citoyens aient été interrogés »,
commente Giovanni Donzelli, le chef du groupe Fratelli d’Italia de la Région Toscane. Il s’agit selon lui
« d’un mauvais tour de magie mis en scène laborieusement par les institutions qui ont transformé une église en mosquée ».
« Il s’agit d’un coup de force institutionnel et urbanistique dont les protagonistes assument toutes les responsabilités politiques. Comme catholique je me serai attendu à ce que l’Église se préoccupât de protéger les intérêts des chrétiens, plutôt que de favoriser la construction de nouvelles mosquées les yeux fermés. »
Même langage chez le responsable local de la Ligue, Jacopo Alberti :
« Il semblerait que le débat sans fin relatif à la construction d’un nouveau lieu de culte dans la zone de Florence soit arrivé à son terme avec le choix de réaliser l’édifice sur un terrain de propriété du diocèse. Indépendamment de l’identité du propriétaire, dont nous préférons ne pas commenter le choix, nous répétons cependant notre ferme opposition à ce projet, étant donné que nous retenons, actuellement, plus que suffisant la mosquée déjà présente dans le Valdelsa. »
Pendant que les opposants peinaient à réunir 5000 personnes pour manifester leur désapprobation, le nouveau gouvernement formé par la droite conservatrice et la droite nationaliste a prêté serment. Un gouvernement directement élu en réaction aux grands flux migratoires en provenance des pays islamiques, qui ont fait sauter les frontières de l’Union à partir de 2015. Sebastian Kurz, 31 ans, est ainsi devenu officiellement chancelier et Heinz-Christain Strache, 46 ans, vice-chancelier. C’est donc une Autriche décomplexée qui a mis à sa tête le plus jeune dirigeant du monde après que celui-ci a conduit en octobre dernier son Parti populaire-démocrate (ÖVP) à la victoire lors des législatives.
C’est l’homme de gauche, Alexander Van der Bellen, le chef de l’État au rôle représentatif, qui a du investir les 13 ministres du nouveau gouvernement dont six postes-clés sont occupés par le FPÖ du nouveau vice-chancelier, Heinz-Christian Strache, -à gauche sur la photo ci-contre-, et notamment les ministères de la Fonction publique, de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense, des ministères qui contrôlent en large partie la souveraineté du pays, alors que le jeune chancelier avait appelé hier l’UE a laissé plus de compétences aux États:
Le gouvernement a «un engagement européen clair, avec l’objectif de renforcer la subsidiarité» au sein de l’UE, a-t-il déclaré au cours de la présentation à Vienne de son programme de gouvernement aux côtés de Heinz-Christian Strache, le président du Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ).
Les limites de la souveraineté de ce gouvernement
Cette coalition semble avoir bien pris en compte l’échec dirigé depuis Bruxelles, de Marine Le Pen aux élections présidentielles françaises puisque le chancelier comme le vice-chancelier ont l’un et l’autre donné des gages de soumission à l’Union:ette dernière
«Nous souhaitons une coopération européenne plus poussée dans les domaines où cela se justifie, comme la défense des frontières, mais davantage de compétences laissées aux États à chaque fois que c’est possible»,
a expliqué Sébastian Kurz, qui ne remet donc pas en question l’Union ni la monnaie commune, il est vrai cette dernière beaucoup moins néfaste à l’Autriche qu’à la France.
l’identitaire Strache a souligné que le pacte de gouvernement entre leurs partis « exclue» la possibilité d’un référendum sur une éventuelle sortie du pays de l’Union. Ce fut le prix à payer pour conclure la coalition puisque H.C. Strache a expliqué que c’est à la demande de Sebastian Kurz, que «la question d’une sortie de l’UE a été exclue» des points qui pourront être soumis à référendum, a-t-il indiqué. Ceci alors que lui-même a toujours milité pour une sortie de l’Autriche de l’Union.
Une prise de position habile de cette entente de gouvernement, qui explique que le président du Conseil européen Donald Tusk se soit dit confiant dans « le rôle constructif et pro-européen » que jouera au sein de l’UE ce nouveau gouvernement autrichien. « C’est particulièrement important au moment où le Conseil européen s’engage plus directement dans des dossiers politiquement sensibles », probablement en raison des négociations sur la sortie du Royaume-uni de l’UE, mais entendait-il aussi englober dans cette formule les différends de la Commission européenne avec les pays de Visegrad sur l’immigration? Car ce qui lie en premier lieu les deux formations de la coalition c’est la lutte contre l’immigration sauvage. Le vice-chancelier n’est-il pas célèbre pour avoir proclamé que « l’islam n’a pas sa place en Autriche » ? En tout cas, le point-clef pour amadouer l’UE est de toute évidence de rester dans l’Union et la zone euro. Mais si du côté de l’ancien premier-ministre polonais Tusk, l’heure est à l’observation, le Français Pierre Moscovici, commissaire européen chargé des Affaires économiques n’a pas manqué d’appeler à « la vigilance des démocrates attachés aux valeurs européennes », fustigeant « la présence de l’extrême droite au pouvoir [qui] n’est jamais anodine », admettant que « La situation est sans doute différente par rapport au précédent de l’an 2000. « En effet une première coalition avec le le FPÖ avait été conduite à l’échec à cette époque sous la pression internationale.
1ère coalition identitaire de l’Ouest européen
Il n’empêche que ce gouvernement devra se montrer très fort pour déjouer toutes les embûches auxquelles il devra faire face. Car, malgré sa soumission publique à l’UE, il est le premier pays de la zone euro à l’Ouest qui soit officiellement attaché à défendre son identité européo-chrétienne. Un pays qui n’est cependant pas isolé dans l’Union puisque la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et et la Tchéquie sont sur la même ligne souverainiste et identitaire pro-chrétienne, mais de tous les pays du groupe de Visegrad, seule la Tchéquie est intégrée à la zone euro, ce qui n’est pas le cas, ni pour la Hongrie, ni pour la Pologne, ni pour la Slovaquie. De ce fait l’accession au pouvoir des identitaires en Autriche est sans exemple et une grande victoire en faveur de l’identité européenne et chrétienne de l’Europe. L’Autriche constitue donc un exemple pour les autres peuples européens que certains essaieront par tous les moyens d’anéantir.Il est notoire à ce propos, que pendant que le nationaliste Strache était investi vice-chancelier en Autriche, sa formation était solidaire des autres formations identitaires des pays de l’Union qui étaient réuni à Prague.
L’Autriche, un pays historiquement ancré dans le catholicisme
L’Autriche a fait tout au long de l’Histoire figure de pays très catholique et M. Strache a toujours défendu les racines chrétiennes de l’Europe, comme du reste le chancelier Kurz, qui, quoique vivant en concubinage, se dit proche de l’Église catholique. Les appels de la gauche immigrationiste, anti-chrétienne et politiquement correcte, malgré ses véhémentes tentatives de réductio ad hithlerum pour attirer le chaland, n’a réussi à mobiliser qu’au mieux 5000 personnes aujourd’hui, selon les chiffres de la police autrichienne, pour venir manifester leur opposition, alors qu’en 2000, lors de la précédente accession au pouvoir du FPÖ, 250 000 personnes avaient manifesté à Vienne.
Le tour succinct des réactions serait incomplet sans celui de l’ONU dont le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al Hussein. qui s’est voulu inquiet, a estimé que l’alliance de gouvernement autrichienne est « un développement dangereux dans la politique en Europe ».
Il convient à présent de suivre attentivement les premières mesures qui seront adopter en Autriche concernant l’immigration dont la coalition promet de rogner les avantages au profit des Autrichiens, tout en reprenant la maîtrise de ses frontières. Gageons que Bruxelles, courroie de transmission de l’Oligarchie occidentale ne lui facilitera pas la tâche.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Après les émeutes du 11 et 15 novembre, la presse belge publie les portraits de neufs individus recherchés par la police. Le sénateur belge, Alain Destexhe dénonce le refus des médias de nommer les responsables de ces dégradations.
Alain Destexhe est sénateur belge (Mouvement réformateur).
La publication par toute la presse belge ce jeudi 14 décembre, des portraits de neuf individus recherchés par la police pour leur participation aux émeutes du mois dernier à Bruxelles est une gifle aux journalistes des media traditionnels qui s'obstinent à refuser de voir le caractère ethnique des émeutes à répétition qui secouent la capitale de l'Europe.
Neuf portraits, neuf jeunes, blacks ou de type méditerranéen comme disait encore il y a peu la police, tous d'origine extra européenne et assez peu représentatifs, statistiquement, d'une population d'origine européenne. Tous recherchés pour destruction de mobilier urbain, pillages de magasins et agressions contre des policiers. Des faits criminels d'un nouveau genre, apparus il y a quelques années, qui n'étaient pas concevables, jadis, dans la ville de Jacques Brel.
Impossible cette fois de nier l'évidence de l'origine des auteurs: ce sont les photos communiquées par la police qui l'attestent. Unanime, la presse refuse pourtant de qualifier correctement les faits et leurs auteurs autrement que de «jeunes». Lorsque nos médias emploient ce terme, le commun des mortels comprend désormais et ajoute mentalement «d'origine étrangère». Des jeunes «Belges», sans doute puisqu'on a naturalisé à tour de bras, mais qui ne sont pas perçus par la population majoritaire comme faisant partie de la communauté nationale.
Pourtant, il ne fallait pas faire un grand effort d'imagination pour voir que cette violence est d'origine communautaire ou ethnique. Ainsi le 20 octobre dernier, à la porte d'Anderlecht, ville du célèbre club de football, une centaine de migrants syriens et des jeunes (Belgo-marocains) s'affrontaient dans la rue pour le «contrôle de l'espace public du quartier», notamment la jouissance d'un parc public.
Le 11 novembre, c'est à la suite du match Côte d'Ivoire-Maroc que le centre ville s'enflammait. L'incitateur de ces émeutes avait posté, la veille sur Facebook ce message: «On va tout cramé à Lemonnier Maroc city». Lemonnier, c'est le nom du boulevard en question mais l'expression «Maroc city» peut-elle signifier autre chose qu'une volonté de s'approprier, au moins pour un soir, ce territoire? Cela n'a pas empêché un député écologiste de déclarer le plus sérieusement du monde à la télévision qu'on ne connaissait pas l'origine des émeutiers!
Quatre jours plus tard, sur la place de la Monnaie, un symbole de l'indépendance de la Belgique, de jeunes immigrés semaient à nouveau la panique et pillaient des commerces en plein centre-ville, à l'occasion de la venue de Vargasss92, un Youtubeur français prénommé Mansour («béni de Dieu pour être victorieux»). Le 10 décembre, c'est un jeune roumain de 29 ans qui est décédé au métro Bockstael à Laeken, après une bataille rangée entre bandes rivales dans les couloirs de la station. Plusieurs Roumains ont été arrêtés.
Un peu plus tôt, le 28 novembre, c'est à la suite d'une manifestation contre l'esclavage, rassemblant surtout des Africains dans le haut de la ville, près du quartier de Matongé (du nom d'une commune de Kinshasa), que des «jeunes» s'en sont pris aux commerces et aux forces de police. Arrivé peu après sur les lieux, policiers et témoins me confirmèrent que les fauteurs de troubles - une centaine de personnes - étaient tous des jeunes noirs, mais peut être s'agissait-il d'un groupe de skinheads qui s'était déguisé en pères fouettards pour semer le doute, au moins dans l'esprit des journalistes.
A propos de skinheads, je n'ai aucun souci à reconnaître qu'il s'agit d'un phénomène violent qui concerne presque exclusivement des individus «de race blanche» et je ne me sens nullement offensé, stigmatisé ou victime d'amalgames, pour reprendre les expressions médiatiquement consacrées, si on le décrit comme tel.
Car ces nouveaux phénomènes d'émeutes, de cocktails Molotov lancés contre des commissariats, de policiers victimes d'embuscades, de pompiers empêchés d'intervenir, de contrôleurs de la société de transport public tabassés, de bandes urbaines, de zones de non droit,… sont tous et toujours reliés aux conséquences de la politique d'immigration incontrôlée que la population belge a subie depuis 30 ans, sans jamais avoir la possibilité d'en débattre. Décrire ces nouveaux types de délinquance sans les relier à l'immigration et à l'échec de l'intégration est en soi une désinformation.
Le système médiatique n'autorise à nommer correctement les choses que lorsqu'il s'agit de le présenter sous l'angle de la victimisation. Ainsi, lors d'une émission de la RTBF (la chaîne publique) consacrée aux émeutes, seule l'invitée voilée d'origine immigrée, a été autorisée à parler de «la jeunesse issue de l'immigration marocaine, maghrébine, disons de confession musulmane» pour dénoncer son «abandon». Le même discours, s'il était tenu par un politique belgo-belge pour caractériser les délinquants aurait été qualifié de «grave dérapage».
Puisqu'il s'agit de faits pourquoi ce refus de parler de «jeunes Maghrébins», de «jeunes noirs», de «jeunes Congolais», lorsque, régulièrement des opposants au régime du président Kabila créent des troubles à Bruxelles?
Sans doute parce que l'intégration des communautés étrangères a totalement échoué, même si beaucoup d'individus l'ont réussie.
Sans doute parce qu'il ne faut pas admettre que Bruxelles, est une poudrière incontrôlable, qui commence a ressembler à ce hell hole (trou d'enfer) décrit par Donald Trump, expression que, curieusement, la presse belge a traduite de manière créative par «trou à rats».
Sans doute parce qu'il faut nier que Bruxelles est une juxtaposition de communautés qui vivent entre elles, sans rien partager, ne lisant plus les mêmes journaux, ne regardant plus les mêmes chaines de télévisions et ne célébrant plus les mêmes fêtes. Et qu'il faut masquer cette triste réalité à grand renfort de slogans comme le «vivre ensemble» ou de couteuses campagnes célébrant la «diversité» ;
Sans doute parce qu'il ne faut pas nommer la grande responsable, l'immigration incontrôlée, tellement massive qu'elle empêche l'intégration, une immigration voulue par des dirigeants de presque tous les partis politiques pressés de vivre dans le paradis multiculturel et de jeter par dessus bord l'ancien monde de la «Belgique de papa».
Sans doute parce qu'il faut minimiser l'exode des classes moyennes d'origine belge (mais aussi d'origine immigrée plus ancienne) qui cherchent par tous les moyens à fuir certains quartiers de la capitale et sont contraintes de s'exiler en Flandre ou en Wallonie.
Sans doute parce que nul ne sait que faire face à la montée en puissance inquiétante de l'islam et de l'islamisme alors que le reste de la société belge est de plus en plus sécularisée.
Sans doute aussi parce que Bruxelles est une ville en voie de paupérisation avec un revenu par habitant qui diminue où 90% des allocataires sociaux sont d'origine immigrée.
Enfin et surtout parce qu'il faut masquer l'échec total de la gestion du Parti socialiste au pouvoir dans la région bruxelloise depuis… 28 ans sans interruption.
Voilà une histoire inhabituelle. Ferrette est une commune du Sundgau (Sud de l’Alsace, à la frontière suisse) de 683 habitants. Le village avait fait la une il y a un an, car c’était un des premiers villages en Alsace à accueillir des migrants. Plus de 80 migrants, soit plus de 10% de la population du village, ont été accueillis. Aujourd’hui, loin de l’idylle décrit par les journalistes, les habitants en ont assez. En cause, l’absence d’école pour les enfants du village depuis 5 semaines.
Acte I – L’institutrice du village part enseigner le français aux migrants
Comme dans beaucoup de centres d’accueil, des cours sont dispensés par l’Éducation Nationale, afin de favoriser une meilleure intégration des nouveaux venus : la langue française est ainsi enseignée, car peu la maîtrisent vraiment. Une vingtaine d’enfants de 4 à 8 ans sont arrivés en début d’année dans ce centre. L’institutrice du village est ainsi affectée à leur instruction. Bien évidemment, une remplaçante vient faire cours aux élèves de Ferrette : pas question en effet d’abandonner ces enfants, leur instruction est obligatoire, rappelons-le. Tout à été prévu.
Vraiment ?
Acte II – La remplaçante tombe malade
Les aléas de la santé, la remplaçante tombe malade. Visiblement c’est assez grave, puisque voilà 5 semaines que celle-ci n’a pas pu donner des cours. Le problème est ici : rien n’a été prévu pour remplacer la remplaçante, et les enfants de Ferrette n’ont donc pas école depuis 5 semaines. Une situation difficilement acceptable pour les habitants, sachant que les migrants ont eux des cours assurés par l’ancienne institutrice.
Acte III – Les habitants en colère
Pour les parents d’élèves, la pilule est difficile à avaler. Leurs enfants vont avoir des lacunes à cause de cette interruption longue de l’enseignement. Il faudra rattraper ce retard. Bien évidemment, une telle situation ne renforce guère la sympathie des autochtones pour les migrants. Le maire aurait ainsi fait détruire l’ancienne caserne de pompiers pour éviter qu’on y loge des migrants supplémentaires.
L’Éducation Nationale, mise en cause, va devoir trouver rapidement une solution…
"Cela commence en mars 2015 avec la création de l’association « Ecole Musulmane Maurice Bucaille « , destinée à ouvrir une école primaire musulmane. Son trésorier est Ibrahim Wane, connu comme étant de la mouvance salafiste. Les responsables de l’association contactent alors la mairie d’Edouard Philippe afin de trouver un local. Les équipes de la mairie proposent un presbytère, loué jusque là au diocèse, à une SCI créée spécialement par un proche de l’association – aux antécédents judiciaires peu reluisants – pour la somme sous évaluée de 155000 euros pour 150 mètres carrés d’habitat et de 876m2 de terrain. Une aubaine, la vente se fit le 11 décembre 2015. La « SCI PRESBI » put alors signer un bail commercial avec l’école musulmane le 21 novembre 2016. L’école avait un stand en mai 2016 au salon le l’UOIF au Bourget afin de trouver des financements, où nous avions réalisé un reportage montrant la radicalité de l’évènement.
En novembre 2015, dans le cadre d’une réunion d’information ouverte au public, portant sur le thème : « Quels héritages pour nos enfants », les membres de l’association accueillirent au Havre, le Cheikh Hassen Bounamcha, imâm à Aubervilliers, menacé par l’Intérieur d’expulsion en 2013 pour ses nombreux dérapages. Les prises de positions qui gênent nos services sont les suivants : dans une conférence, le Cheikh Hassen a affirmé, entre autres, que « la mixité hommes / femmes est un vice, que la femme occidentale est une femme sans honneur », justifiant le mariage forcé par le fait « qu’une femme n’a pas le droit de tomber amoureuse ».
Ce n’est pas la première fois que nous signalons l’augmentation du nombre des jeunes filles (voire de fillettes) chrétiennes enlevées en Égypte, voyez ici ! Voici l’extrait d’un article récent du Journal Chrétien qui, à mon avis, sous-estime le nombre des chrétiens en Égypte : ils ne seraient pas 9 mais 12 millions selon les registres de l’Église copte orthodoxe, soit 15 % de la population…
Selon les rapports égyptiens et occidentaux parvenant à Release International, une organisation qui soutient les chrétiens persécutés à travers le monde, des centaines de jeunes chrétiennes coptes ont été kidnappées, forcées de se convertir et d’épouser leurs ravisseurs, une stratégie délibérée de persécution contre la minorité chrétienne en Égypte. Il y aurait environ 9 millions de chrétiens en Égypte qui sont régulièrement pris pour cible par des extrémistes islamistes. De nombreux enlèvements ont lieu en Haute-Égypte, une zone rurale pauvre située à des kilomètres du Caire, où les attitudes sont extrêmement conservatrices et où la persécution des chrétiens est la plus sévère […] Selon les partenaires égyptiens de Kate Ward qui travaille avec Release International au Royaume-Uni près de 2 500 familles feraient face quotidiennement au problème des enlèvements […] L’augmentation des enlèvements remonte à cinquante ans en arrière mais a pris des proportions inquiétantes au cours de la révolution égyptienne, lorsque les frères musulmans sont arrivés au pouvoir. Katy Ward décrit l’assaut contre les chrétiens comme « une tentative délibérée de débarrasser l’Égypte de sa minorité chrétienne par des militants, qui refusent de tolérer toute autre forme de violence. »
De nationalité marocaine, ce père d’un enfant français de 14 ans, était présenté ce mercredi à la commission d’expulsion des étrangers qui se réunit au tribunal de grande instance de Melun.
« Il contribue à l’entretien d’un enfant mineur mais son expulsion constitue une nécessité impérieuse pour la sûreté de l’Etat ou la sûreté publique », a indiqué la représentante de l’Etat à l’audience, citant l’articleL521-2 du code des étrangers.
« Le ministère de l’Intérieur a demandé son expulsion en raison de prêches à teneur radicale (…) et de sa contribution aux activités de l’association Rahma malgré sa dissolution », a-t-elle détaillé.
Dans la note blanche le concernant, il est indiqué qu’à compter de 2011, l’imam aurait « opposé les musulmans aux non-musulmans et incité les fidèles à la défiance envers ces derniers, encourageant un repli communautariste ».
Après l’incendie de Charlie Hebdo, en novembre 2011, il aurait suggéré que « les juifs étaient derrière tout ça » mais aussi que « la police avait provoqué » les émeutes de Trappes (Yvelines) de 2013 en contrôlant une femme portant le niqab.
Courant juillet 2013, il aurait « incité les fidèles à prier pour ceux qui ont été arrêtés, faisant allusion aux interpellations dans le cadre de l’affaire de la cellule terroriste Cannes-Torcy ».
« Les prêches récents sont plus modérés, mais il a légitimé le djihad les 20 et 27 janvier derniers demandant qu’Allah aide tous les djihadistes dans le monde », ajoute la représentante de l’Etat.
Mohammed Tlaghi a nié en bloc, dénonçant « une atteinte à son honneur ».Le quinquagénaire est arrivé en France en 1992 comme étudiant. Depuis 2009, il bénéficie d’une régularisation par délivrance d’une carte annuelle de séjour. Il vit en concubinage avec une ressortissante algérienne titulaire d’un titre de séjour. Auparavant agent d’entretien (SIC), il a cessé de travailler en 2012. Lire la suite dans Le Parisien.
Un sondage réalisé auprès de 17’000 personnes montre une peur croissante de l’islam. Elles surestiment le nombre de ses adeptes. Les journalistes sont très étonnés.
La Tribune de Genève publie le résultat d’un sondage consacré entre autres à la question musulmane. Le principal résultat ? Quelque 70% des Suisses seraient dérangés par une augmentation de cette population. Mais pas les Verts, ni les socialistes (38% tout de même).
L’éditorialiste s’étonne, vu que «l’écrasante majorité des musulmans ne pose aucun problème». C’est vrai, mais cette écrasante majorité ne réagit ni aux calamités que produit sa religion ni à la petite minorité qui fait progresser son offensive. A quoi sert-elle donc ? Principalement à rassurer.
Le journaliste souligne que les sondés surestiment le pourcentage de la population musulmane en Suisse : 17% en moyenne, alors qu’elle n’est que de 5%. Le plumitif s’adresse alors à un spécialiste de la victimisation pour tenter de comprendre cet étrange phénomène. Réponse : «Quand une minorité est stigmatisée, pointée du doigt, il est courant d’exagérer sa présence.»
«La peur de l’islam augmente avec l’âge», nous apprend encore le quotidien : plus des trois quarts des plus de 65 ans… mais encore 57% chez les 18-34 ans.
Oui, l’islam fait peur
Il fait peur, car il a généré des dizaines de milliers de terroristes (dont près d’une centaine en Suisse), et l’Etat le plus féroce de la planète.
Il fait peur, car dans les pays qu’il régit, les apostats sont pourchassés, les femmes opprimées, les minorités discriminées et de plus en plus persécutées.
Il fait peur, car il est capable d’inventer des lois qui obligent les femmes violées à épouser leur violeur.
Il fait peur, car il montre régulièrement des foules fanatisées qui réclament la peine de mort des dissidents.
Il fait peur, car l’antisémitisme ronge ses adeptes.
Il fait peur, car dans nos pays, ses porte-étendard ne cessent de revendiquer des droits moyenâgeux au nom de leur Dieu, et ne cessent de les obtenir.
Il fait peur, car il étend son emprise en Europe sur un nombre de quartiers, voire de villes de plus en plus nombreux. Les conséquences de cette quasi-sécession ? Règne du mâle, dogmatisme, domination des commerces «ethniques», délinquance, dégradation de l’environnement.
L’islam fait peur, car il est protégé par les politiques, les antiracistes, les journalistes, les universitaires, les Centres islam et société… Soit quelque 30% de chantres de la diversité qui détiennent le pouvoir et étouffent la voix de ceux qui font un lien entre ces fléaux et leur origine.
L’islam fait peur, car ses prosélytes et leurs compagnons de route ont réussi à neutraliser les voix dissidentes en faisant passer leur lucidité pour de la maladie mentale, du racisme, voire du fascisme.
L’islam fait peur, car ses pieux adeptes refusent de reconnaître les germes de la violence et du rejet que contient leur livre adoré, parfait et incréé. Et encore moins de les déclarer caduques.
Il fait si peur et produit tant de conflits que la population en vient à croire que ses adeptes sont trois fois plus nombreux qu’ils ne sont en réalité.
Dans la nuit du 19 décembre, Twitter a décidé de censurer notre compte sans donner d'explications. Le premier mouvement politique de jeunesse de France sur les réseaux sociaux et ses dizaines de milliers d'abonnés se retrouvent ainsi bâillonnés.
Après l'interdiction de manifester à Paris fin novembre, après la lourde et scandaleuse condamnation de nos militants pour l'occupation du chantier de la mosquée de Poitiers, après la fermeture d'une cagnotte Leetchi en notre soutien, c'est au tour de Twitter de jouer les censeurs. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la liberté d'expression n'est plus qu'une illusion dans notre pays.
Dénoncer l'immigration et l'islamisation, mettre en garde notre peuple sur les dangers qui le guettent se paie plus que jamais au prix fort. Un comble dans un pays où les islamistes ont déjà tué plus de 200 Français depuis 2015.
Génération Identitaire compte bien utiliser tous les recours possibles pour mettre fin à cette censure politique. Rien ni personne ne nous empêchera de défendre notre peuple.
Aami Hassen, prédicateur invité par l’école Maurice Bucaille qui y évoqua la mort annoncée des « mécréants » par Allah. Preuve vidéo.
Nous avions déjà évoqué la politique philo islamiste du Premier ministre en tant que maire du Havre (2010- mai 2017), qui inaugura une mosquée frériste édifiée sur un terrain municipal en septembre 2013. L’affaire des 8500 mousses au chocolat destinées aux cantines de la ville jetées car haram (illicite en islam) est aussi connue (Le Parisien).
Nous avons trouvé un autre coup de pouce aux islamistes. Vérifiable par tous les citoyens.
Cela commence en mars 2015 avec la création de l’association « Ecole Musulmane Maurice Bucaille « , destinée à ouvrir une école primaire musulmane. Son trésorier est Ibrahim Wane, connu comme étant de la mouvance salafiste. Les responsables de l’association contactent alors la mairie d’Edouard Philippe afin de trouver un local. Les équipes de la mairie proposent un presbytère, loué jusque là au diocèse, à une SCI créée spécialement par un proche de l’association – aux antécédents judiciaires peu reluisants – pour la somme sous évaluée de 155000 euros pour 150 mètres carrés d’habitat et de 876m2 de terrain. Une aubaine, la vente se fit le 11 décembre 2015. La « SCI PRESBI » put alors signer un bail commercial avec l’école musulmane le 21 novembre 2016. L’école avait un stand en mai 2016 au salon le l’UOIF au Bourget afin de trouver des financements, où nous avions réalisé un reportage montrant la radicalité de l’évènement.
En novembre 2015, dans le cadre d’une réunion d’information ouverte au public, portant sur le thème : « Quels héritages pour nos enfants », les membres de l’association accueillirent au Havre, le Cheikh Hassen Bounamcha, imâm à Aubervilliers, menacé par l’Intérieur d’expulsion en 2013 pour ses nombreux dérapages. Les prises de positions qui gênent nos services sont les suivants : dans une conférence, le Cheikh Hassen a affirmé, entre autres, que « la mixité hommes / femmes est un vice, que la femme occidentale est une femme sans honneur », justifiant le mariage forcé par le fait « qu’une femme n’a pas le droit de tomber amoureuse ».
Plus récemment,le 28 avril 2017, la page Facebook de l’association a partagé une conférence du prédicateur salafiste Eric Younous, formé au wahhabisme à l’université Médine, et suivi à ce titre par nos services :
Sesto Fiorentino (Firenze), 14 décembre 2017 – La mosquée à Sesto Fiorentino se fera. Et ce sera sur un terrain de l’Eglise, après une entente entre l’archidiocèse de Florence, la communauté musulmane, la municipalité de Sesto Fiorentino et l’université de Florence.
Dans un communiqué on apprend que la signature du protocole d’accord pour la cession du terrain aura lieu le vendredi 22 décembre, à quelques jours de Noël.
« La commune de Sesto Fiorentino et la Communauté islamique – peut-on lire dans le communiqué – ont initié des travaux qui ont amené à la sélection d’un terrain rue Pasolini pour lequel le Réglement d’Urbanisme en vigueur prévoyait déjà la réalisation de bâtiment dédié au culte et aux activités à caractère religieux (AUNC IIIa). Sollicité par la commune de Sesto Fiorentino, l’Archidiocèse de Florence, propriétaire du terrain, s’est rendu disposé à le céder à titre onéreux à la Communauté Musulmane de la Province de Florence afin qu’elle puisse y bâtir une mosquée au service des fidèles du territoire et un centre culturel islamique; en échange l’Archidiocèse obtiendra un terrain cédé par l’université de Florence.
Noël en insécurité – Merci l’immigration, merci l’islamisation !
Action devant le marché de Noël de Rouen par Génération Identitaire Normandie
Il y a un an, le marché de Noël de Berlin subissait l’attaque d’un terroriste islamiste faisant 12 morts.
Aujourd’hui tous les pays d’Europe vivent dans la crainte d’un attentat terroriste islamiste et plus particulièrement lors des fêtes de Noël.
Par cette action, Génération Identitaire a voulu rappeler que c’est la politique d’immigration irresponsable de nos dirigeants politiques qui est la cause de cette situation.
Dans son deuxième rapport annuel couvrant l’année 2016, l’Observatoire national de la violence à l’égard des femmes a mis en évidence que ce sont les jeunes femmes âgées entre 18 et 30 ans (plus de 40%) qui sont les principales victimes de la brutalité de leur conjoint, suivies des épouses de 31 à 45 ans, soit en âge d’exercer un métier, du moins en théorie, et par conséquent d’être moins dépendantes financièrement de leur époux.
Lors d’une conférence de presse qui s’est déroulée en présence de Bassima Hakkaoui, la ministre marocaine de la Famille, de la Solidarité, de l’Égalité et du Développement social, les responsables de l’Observatoire ont précisé que les chiffres avancés sont irréfutables et s’appuient sur les actes de violence dûment répertoriés par les tribunaux, les hôpitaux, les postes de police et de gendarmerie.
La persistance de plusieurs cas d’agression qualifiés de « dangereux », car pouvant entraîner la mort, avec ou sans préméditation, est également ressortie de ce sombre état des lieux, tandis qu’il apparaît que les femmes sans travail, n’ayant aucune source de revenus, sont les proies faciles de cette violence, notamment sexuelle. A cet égard, la moitié des violences sexuelles (65% en 2015 et 68% en 2016) ont été infligées à des jeunes femmes de moins de 30 ans, selon des données de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Dans la hiérarchisation des violences à caractère sexuel perpétrées au Maroc, le viol caracole tristement en tête, comme l’attestent les recensements des cellules institutionnelles relevant du ministère de la Justice et de la gendarmerie royale, qui font état d’une hausse alarmante du nombre de femmes déclarant en être victimes ou ayant besoin d’une assistance auprès du personnel de santé.
L’âge ne protège pas contre les agressions portant gravement atteinte à l’intégrité de la gent féminine, si l’on en juge par les 883 femmes seniors (plus de 61 ans) qui ont subi des actes de maltraitance en 2015 (6% des cas), et les 792 autres en 2016, (soit 5% des cas).
Si, aujourd’hui encore, le havre de paix du foyer se transforme en enfer pour un trop grand nombre de femmes marocaines, le danger les guette toujours autant à l’extérieur, à chaque coin de rue, dans l’infiniment grand de l’espace public où le plus grand nombre d’actes de violence verbale, physique et sexuelle est enregistré, les prenant pour cibles de prédilection.
Après la tempête dans le verre d'eau du politiquement correct provoquée par le propos de Miss France (elle a osé dire « Après une blonde, une brune, une miss à la crinière de lionne… Pourquoi pas une rousse ? »), c'est d'outre-Manche que nous vient cette nouvelle excitation antiraciste :
"Alors qu’on annonçait d’éventuelles chutes de neige en Angleterre, l’université londonienne UCL avait envoyé ce message à ses étudiants :
« Vous rêvez d’un Noël blanc ? Nos campus seront ouverts et fonctionneront pleinement aujourd’hui, lundi 11 décembre, donc venez comme prévu. (Nous ne pouvons garantir la neige mais nous essaierons !) »
Le tweet ayant été dénoncé comme offensant et raciste, l’université s’est platement excusée :
« Nous avons très mal choisi nos mots hier, nous pensions à cette chanson : White Christmas. Nous sommes désolés et nous choisirons nos mots de façon plus prudente à l’avenir. »"
Noël en insécurité - Merci l'immigration, merci l'islamisation !
Action devant le marché de Noël de Rouen par Génération Identitaire Normandie
Il y a un an, le marché de Noël de Berlin subissait l'attaque d'un terroriste islamiste faisant 12 morts.
Aujourd'hui tous les pays d'Europe vivent dans la crainte d'un attentat terroriste islamiste et plus particulièrement lors des fêtes de Noël.
Par cette action, Génération Identitaire a voulu rappeler que c'est la politique d'immigration irresponsable de nos dirigeants politiques qui est la cause de cette situation.
Sesto Fiorentino (Firenze), 14 décembre 2017 – La mosquée à Sesto Fiorentino se fera. Et ce sera sur un terrain de l’Eglise, après une entente entre l’archidiocèse de Florence, la communauté musulmane, la municipalité de Sesto Fiorentino et l’université de Florence. Dans un communiqué on apprend que la signature du protocole d’accord pour la cession […]
"Plus de 9.604 Guinéens sont arrivés de manière irrégulière sur le sol européen depuis le début de l'année 2017", a déclaré lundi le ministre guinéen de la Justice, Cheick Sako, à l'occasion de la célébration de la Journée internationale des migrants.
Selon lui, ces migrants sont passés en petits groupes par le désert du Sahara et la mer Méditerranée pour atteindre les côtes européennes.
Au cours de 2017, environ 1.910 Guinéens ont été rapatriés par 11 vols charters depuis la Libye et 1.317 autres ont été rapatriés du Niger par des convois terrestres.
De même, le ministre a souligné que son gouvernement s'employait activement à rapatrier, avec l'appui de ses partenaires, près de 4.000 ressortissants guinéens qui se trouvent actuellement dans des pays de transit.
Il a rappelé qu'à ce jour, 3.227 migrants avaient bénéficié d'une assistance, contre 2.134 l'année dernière.
Le prochain vol, qui rapatriera 250 personnes, arrivera mardi 19 décembre dans la soirée, a indiqué M. Sako.
Au nom du gouvernement guinéen, le ministre a déclaré que l'Etat guinéen, conformément aux conclusions du dernier sommet Union africaine-Union européenne, prendrait les mesures nécessaires pour démanteler les réseaux de passeurs qui se nourrissent de la naïveté et du manque de lucidité des candidats à la migration irrégulière.
Par ailleurs, le ministre a expliqué que si 80 à 90% des flux migratoires se concentrent sur les pays de la CEDEAO, depuis quelques années, l'ensemble des pays de la sous-région, y compris la Guinée, sont confrontés au phénomène de la migration irrégulière, dont les conséquences affectent dangereusement les migrants eux-mêmes, leurs familles et leurs pays d'origine, de transit et de destination.
Dimitris Avramopoulos, commissaire européen chargé de l’immigration, affirme que les Européens doivent accepter l’immigration massive en provenance du tiers monde comme la « nouvelle norme », estimant que rien ne permettra à une quelconque partie de l’Union Européenne de rester « homogène et sans immigration ».
Dans un entretien publié lundi par POLITICO avec pour titre « Les migrants européens sont là pour rester », le commissaire européen démontre sans état d’âme sa vision dictatoriale destinée à imposer à toute l’Europe le plan d’immigration de grand remplacement.
Comme pour se convaincre qu’il n’existe pas d’autre voie possible, le commissaire européen déclare :
« Il est temps d’affronter la vérité. Nous ne pouvons pas et ne pourrons jamais arrêter l’immigration. »
Et de livrer une petite explication :
« L’immigration est profondément liée à nos politiques en matière d’économie, de commerce, d’éducation et d’emploi – pour n’en citer que quelques-unes. »
Le commissaire européen Avramopoulos avoue que les institutions européennes ne considèrent pas les « réfugiés » comme des personnes accueillies temporairement en Europe le temps qu’une guerre dans leur pays d’origine se termine, mais bien au contraire comme une transplantation permanente de populations extra-européennes dans les pays de l’UE.
« Ils ont trouvé la sécurité en Europe, mais nous devons aussi veiller à ce qu’ils trouvent un foyer », écrit-il à propos de ces immigrés, précisant que programmer les Européens à l’accueil de l’immigration de masse est « non seulement un impératif moral », mais aussi « un impératif économique et social pour notre continent vieillissant – et l’un des plus grands défis dans l’avenir proche ».
Or, ce sont ces mêmes institutions européennes qui ont tant manœuvré pour imposer par ailleurs sur notre continent une politique malthusienne faite de pilules contraceptives, d’avortements, de divorces et d’attaques répétées contre l’institution familiale, provoquant inexorablement de la sorte le déclin démographique qui permet de justifier ensuite l’immigration massive comme LA solution au vieillissement orchestré de notre population.
Loin de se limiter à faciliter l’immigration massive en cours, le commissaire européen explique que la Commission s’emploie également à « renforcer les voies légales d’immigration économique grâce à une Carte Bleue plus ambitieuse pour les travailleurs hautement qualifiés et à lancer des projets pilotes ciblés de migration de main-d’œuvre dans les principaux pays du tiers-monde ».
Mais malgré cette propagande, le commissaire européen constate que les personnes d’origine non européenne vivant en Europe sont beaucoup plus susceptibles de vivre d’aides sociales, d’allocations de chômage ou de bas salaires, au point que la Commission européenne a même souligné que des « mesures d’intégration » seraient nécessaires pour accueillir ces immigrés qu’elle prétend être essentiels aux économies du continent.
Le commissaire européen a également félicité POLITICO pour avoir publié une série d’articles qui accusent l’Europe d’être « trop blanche » et invitent l’UE à prendre des mesures qui encourageraient le remplacement des Européens de souche par des « personnes de couleur » dans les emplois.
Le commissaire à l’immigration estime que tout cela n’est pas encore « suffisant pour provoquer les changements dont nos sociétés ont besoin pour être prêtes à affronter les réalités du XXIe siècle ».
Le commissaire européen Avramopoulos n’a pas manqué de désapprouver les mesures prises par les gouvernements d’Europe centrale pour s’opposer à cette immigration. « Il est naïf de penser que nos sociétés resteront homogènes et sans immigration si l’on érige des clôtures », a-t-il déclaré, avant de conclure que « La seule façon de rendre nos politiques d’asile et d’immigration pérennes, c’est de commencer par changer collectivement notre façon de penser ».
Curieusement, lorsque ce même commissaire européen se rend en Israël, il ne trouve pas nécessaire de critiquer les clôtures israéliennes ni les mesures prises par ce pays pour garantir une forme d’homogénéité et ne tolérer qu’une immigration très sélectionnée.
Union européenne. Par la voix du commissaire européen à la Migration, Bruxelles appelle à accepter l’immigration de masse comme la “nouvelle norme”.
“L’Union européenne a accordé sa protection à plus de 700 000 personnes l’an dernier”, affirme Dimitris Avramopoulos, commissaire européen à la Migration, pour s’en féliciter. Dans une tribune parue lundi sur le site Politico, au titre sans équivoque, “Les migrants d’Europe sont là pour rester”, l’ancien homme politique grec appelle à “trouver un foyer” pour tous les réfugiés en Europe, ce qui répondrait non seulement à “un impératif moral” mais également à “un impératif économique et social pour notre continent vieillissant”.
Critiquant des discours “nationalistes, populistes et xénophobes” qui se répandraient selon lui, notamment en Europe de l'Est, le commissaire européen juge que “nos sociétés [ne resteront pas] homogènes et épargnées par l’immigration” quand bien même “on érigerait des clôtures”. Cette tribune vient après une série d’articles du média américain qui reprochait à l’exécutif européen d’être “trop blanc” et incitait Bruxelles à remplacer une partie de son personnel par des “personnes de couleur”. Citant ces articles, M. Avramopoulos regrette que le thème de la diversité ne soit pas assez abordé dans le débat public.
Pour la Commission, le refus de l'immigration est “anti-européen”
Le commissaire à la Migration avait qualifié d’“anti-européenne” la proposition du président de l’UE Donald Tusk de supprimer le très controversé système de quotas d’immigrés par pays. “Nous ne pouvons pas, nous ne serons jamais capables d’arrêter les migrations”, assène-t-il dans sa tribune.