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mardi, 19 décembre 2017

L’Intérieur donne son accord aux islamistes pour la réouverture de la mosquée de Stains

 

SL’Intérieur accepte la réouverture de la mosquée de Stains, fermée depuis novembre 2016 car repérée comme un lieu influent de la mouvance salafiste. Or, l’interlocuteur qui a obtenu cette faveur est le secrétaire général de l’UAM93 qui fédère les principales mosquées du département, M’Hammed Henniche. Dans l'enquête Mosquées Radicales (DMM,2016), Joachim Véliocas, de l'Observatoire de l'islamisation, exposait les prises de positions ultra-radicales de cette association, qui, sur son site Internet officiel, défend le port du niqab et élève la Charia au dessus des lois de la république, le tout avec une tonalité très agressive :

Le principal contributeur des contenus du site de l’UAM93 se nomme Daniel Youssef Leclerc. Converti à l’islam en 1984 par le mouvement Tabligh, il créa l’association Intégrité. Leclerc, vieux routier de l’islamisme hexagonal, fut désigné membre permanent de la Ligue islamique mondiale (LIM) en 1999, instrument de l’Arabie Saoudite. Interrogé en 1992 par Jean-Paul Mari, un journaliste du Nouvel Observateur, Leclerc alors président de la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF, intégrée au CFCM), avait déclaré que

« Si demain on avait une majorité dans ce pays, pourquoi est-ce qu’on imposerait pas la Charia progressivement ? Ca vous dérange? Tant pis ! »

Source

Vidéo sur l’immigration du gouvernement polonais

Traduction :

Le gouvernement PiS s’est retiré de la décision nuisible du gouvernement PO-PSL de faire venir des immigrants du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord en Pologne. Nous avons été les premiers à dire que tous les immigrants ne sont pas des réfugiés, mais seulement quelques-uns fuient la guerre et la terreur. Deux ans après l’opposition du gouvernement polonais à l’admission des immigrants illégaux, les dirigeants européens commencent à comprendre l’absurde politique de réinstallation forcée des réfugiés.

Source et Video

Solidarité tribale à la Gare du Nord : émeutes de colons africains en faveur d’un dealer ! (vidéo)

 Solidarité tribale à la Gare du Nord : émeutes de colons africains en faveur d’un dealer ! (vidéo)
 

Le 20 novembre, Massar D., un Camerounais à papiers espagnols, se trouvait en état de mort cérébrale. L’individu avait été plongé dans un coma à la suite de son interpellation à la gare du Nord, à Paris le 9 novembre. La patrouille de la police des réseaux ferrés avait procédé à l’arrestation de cet envahisseur parce qu’elle le soupçonnait de vendre de la drogue dans la gare.

Après une course-poursuite, Massar D. a été immobilisé au sol par les forces de l’ordre. Quelques secondes plus tard, le suspect a fait un malaise recrachant « 30 pochons de crack » qu’il cachait dans sa bouche ! Le vendeur de drogue était en arrêt cardiaque à l’arrivée des pompiers mais son cœur est ensuite reparti. Néanmoins les lésions cérébrales étaient déjà irréversibles. Selon plusieurs médiats, les médecins ont encore extrait deux autres pochons de drogues pris dans les voies respiratoires. Massar D. est mort le 22 novembre 2017 après 13 jours d’hospitalisation au service réanimation de l’hôpital Lariboisière.

Blocus Info, un pseudo-collectif et le site Démosphère, tous deux se prétendant « indépendants » dans la bonne vieille tradition gauchiste, appelaient à un rassemblement de protestation contre les violences policières dimanche 3 décembre à Garde du Nord. L’incongruité du lieu de rassemblement faisait déjà présager l’appel à l’émeute raciale sous-jacent : nul n’ignore en effet que Gare du Nord est ce haut lieu servant de terrain de jeu à la voyoucratie barbare et aux bandes ethniques…

Et effectivement dans l’après-midi du 3 décembre plusieurs dizaines de colons africains se revendiquant de la « Brigade anti-négrophobie » étaient rassemblées là. Dans leurs rangs, on trouvait encore la fine fleur des militantes racistes anti-blancs comme Rokhaya Diallo ou Sihame Assbague (organisatrice des camps d’été « décoloniaux et non-mixtes » c’est-à-dire interdit aux Blancs), venues exciter leurs troupes !

Au fil de l’après-midi, les tensions se sont accrues entre émeutiers étrangers et police, les décorations de Noël servant même de projectiles, jusqu’à ce que les forces de l’ordre fassent usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule.

Les images démontrent la haine qui anime ces colons étrangers.

Et leurs slogans, réclamant sans honte « justice pour Massar » (l’envahisseur africain vendeur de mort sur notre territoire !), témoignent de cette escalade de la provocation à l’égard d’un État dont les gouvernants (lâches ou complices ?) se refusent à donner les directives de rétablissement de l’ordre public dans ces zones abandonnées à la racaille étrangère.

Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard, foutons-les dehors !

 

lundi, 18 décembre 2017

Autriche : L'extrême droite au gouvernement pour freiner l'immigration

CATHERINE CHATIGNOUX

Le parti nationaliste détient trois ministères régaliens dans le nouveau gouvernement, qui devrait mener une intense politique contre l'immigration et les réfugiés.

Dix-sept ans après une première expérience controversée et rapidement interrompue, l'extrême-droite fait une entrée en force dans le nouveau gouvernement autrichien. Le très jeune (31 ans) leader conservateur  Sebastian Kurz, vainqueur des  élections législatives d'octobre dernier, a scellé une coalition avec le parti de la Liberté (FPÖ) dont le président, Heinz Christian Strache, sera le vice-chancelier. Le parti nationaliste obtient au total six ministères (sur 14) dont trois régaliens, la Défense, l'Intérieur et les Affaires étrangères. Il contrôlera ainsi l'ensemble de l'appareil sécuritaire du pays, dont le renforcement doit constituer l'une des tâches prioritaires du nouveau gouvernement.

Pas de réactions européennes

En 2000, la coalition formée par le chancelier Schüssel avec le même FPÖ dont le président était alors le très controversé Jorg Haider avait été immédiatement mise en quarantaine par l'ensemble des pays de l'Union européenne.  Les sanctions et surtout les difficultés de la cohabitation avaient provoqué l'éclatement de la coalition deux ans plus tard. Cette fois, les dirigeants européens ne réagiront pas, du moins collectivement, à la formation de ce gouvernement, le seul pourtant, en Europe occidentale, à compter dans ses rangs un parti d'extrême droite, antisémite et anti-islam.

Travail de dédiabolisation

Même si l'arrivée de ce  parti foncièrement xénophobe et nationaliste -en dépit d'un patient travail de dédiabolisation- inquiète profondément certains dirigeants européens, il leur est devenu impossible d'en contrer l'expression. Le paysage politique européen a considérablement évolué depuis le début des années 2000 et il est marqué dans de nombreux pays par l'affaiblissement historique des forces socialistes et sociales-démocrates, le durcissement des droites modérées et l'apparition de mouvements populistes. Difficile aujourd'hui de condamner le discours anti-immigration de l'Autriche quand la Pologne et la Hongrie voisines manifestent la plus grande hostilité aux réfugiés syriens et irakiens depuis 2015. Ou quand le gouvernement danois, soutenu par le parti d'extrême droite le parti du peuple danois, DF, songe à exiler les migrants illégaux sur 300 îles inhabitées au large de la côte danoise.

Principe de subsidiarité

Dans l'épais programme de gouvernement de 180 pages, nombreuses sont les mesures qui visent à freiner l'immigration : les réfugiés verront ainsi leurs aides plafonnées à 520 euros mensuels maximum contre plus de 800 euros jusqu'ici. Sebastian Kurz a d'ailleurs repris dans ce domaine l'essentiel des propositions du FPÖ qui considère que l'Islam « n'a pas sa place en Autriche ».

 

Pas de referendum sur l'UE

La politique européenne du nouveau gouvernement sera certainement influencée par un certain euroscepticisme propre à la droite souverainiste. Le principe de « subsidiarité » sera mis en avant, souligne le projet de gouvernement. Mais l'extrême droite a semble-t-il fait deux concessions au premier ministre conservateur. Il n'y aura pas de réferendum sur l'appartenance de l'Autriche à l'Union européenne et c'est le premier ministre conservateur qui conservera la haute main sur cette politique.

Catherine Chatignoux

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Les enfants d'immigrés échouent davantage après l'école obligatoire

Les jeunes issus de l'immigration échouent plus souvent durant la première année d'apprentissage ou d'études post-obligatoire, selon une enquête des universités de Berne et Zurich. C'est le cas pour 13% d'entre eux, contre 1% seulement des adolescents suisses.

L'étude, dont les résultats ont été publiés par l'hebdomadaire alémanique SonntagsZeitung, comptabilise comme échec le fait de redoubler la première année ou de l'abandonner avant terme. Parmi les jeunes Suisses, 69% entament un apprentissage ou une formation directement après l'école obligatoire et bouclent la première année.

Au nombre des jeunes nés en Suisse de parents immigrés, 53% réussissent cette première année d'apprentissage ou d'école post-obligatoire. Par ailleurs, 21% des adolescents suisses optent pour une année de transition avant de se lancer, contre 33% pour les jeunes issus de l'immigration.

 

Manque d'informations

A leur arrivée au degré secondaire II, les enfants d'immigrés échouent aussi plus souvent que leurs homologues suisses. Selon l'étude, c'est surtout parce que leurs parents ne sont pas assez informés des subtilités du système de formation helvétique.

Il est ardu de le comprendre pour les immigrés provenant de pays avec des systèmes très différents de celui de la Suisse. D'où leur inaptitude ou leur difficulté à aider leurs enfants à trouver leur voie, d'après les auteurs de l'étude qui ont examiné le parcours de plus de 13'000 élèves de dernière année de l'école obligatoire ayant participé à l'étude Pisa en 2012.

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Junker, et sa politique génocidaire de l’Europe

 «L’Europe aura clairement besoin d’immigration dans les décennies à venir» Le haut responsable européen souhaite mettre en place un «cadre légal» à l’immigration en Europe, pour permettre à «ceux qui veulent et ceux qui peuvent venir» de le faire. Il s’agit selon lui d’une question de survie pour le Vieux Continent. Le 28 octobre, veille du sommet Union européenne (UE)-Afrique, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a partagé son sentiment sur les révélations de pratiques esclavagistes qui touchent les migrants d’Afrique subsaharienne en Libye, dans une interview au quotidien allemand Deutsche Welle. L’occasion pour le haut responsable européen de plaider en faveur «de l’immigration légale» sur le Vieux Continent, objectif qu’il assure défendre personnellement depuis 2014 et pour lequel il assure que la Commission a d’ores et déjà fait des propositions. Jugeant vain de vouloir contenir toute l’immigration illégale, puisque «ceux qui ne peuvent pas rentrer dans la maison de l’Europe par la porte d’entrée, se débrouilleront pour entrer par le fenêtre», Jean-Claude Juncker a ainsi martelé sa volonté d’offrir un «cadre légal» à «ceux qui veulent et ceux qui peuvent venir». « Si nous n’offrons pas de moyens légaux d’immigrer vers l’Europe et à l’intérieur de l’Europe, nous serons perdus » Outre la question libyenne et le sort des migrants africains, il s’agit pour l’ex-Premier ministre luxembourgeois d’une question de survie pour l’Europe elle-même, qui aura selon lui «clairement besoin d’immigration dans les décennies à venir», sans pour autant qu’il n’en évoque les raisons, bien que l’on puisse imaginer qu’il fasse référence aux faibles taux de natalité de nombreux pays européens. «Si nous n’offrons pas de moyens légaux d’immigrer vers l’Europe et à l’intérieur de l’Europe, nous serons perdus», s’alarme-t-il. La continuité du « Plan Kalergi » en pleine extension ! Il faut vraiment s’unir, devenir une force européenne, et virer du pouvoir ces Junker, Merkel, Macron et consort, car sinon, nous serons réellement perdus !

Jean-Pierre Demol (Source : Reuters)

Le Brexit a fait chuter l’immigration de 30% en un an (-100 000 personnes)

 

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Complément d’enquête / La liste des djihadistes français à exécuter

Selon le Wall Street Journal, les forces spéciales françaises auraient transmis une liste de jihadistes français à leurs alliés irakiens. Une trentaine de noms identifiés comme des cibles à abattre. Cette “kill list” existe-t-elle réellement ? Comment la France se débarrasse-t-elle discrètement de ses ennemis ? De Paris à Mossoul, enquête sur une mission opaque, aux marges de la légalité : les assassinats ciblés. Un reportage de Baptiste Des Monstiers. Invité : Pierre Servent, spécialiste des questions de Défense et colonel de réserve.

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Ne faites pas d'amalgame, sauf entre les islamistes et les catholiques

 

Marianne vient de publier un hors-série (« Intégristes et fous de Dieu, 400 ans de guerres contre les libertés » (Hors-série décembre 2017 -janvier 2018) faisant l'amalgame entre des assassins et des catholiques de conviction :

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L'un de nos lecteurs a eu le courage de le lire et revient sur la réécriture de l'Histoire :

Amalgame

Ils sont tous pleins. De quoi ? Peu importe. Puisqu’ils ont cette plénitude en commun, le pot de yaourt et le baril de lessive sont évidemment interchangeables. C’est le brillant raisonnement de Marianne. Les intégristes sont tous les mêmes puisqu’ils gardent tous l’intégrité de leur religion. Quelle religion ? Peu importe ! Puisqu’ils ont cet intégrisme en commun, ils sont également condamnables.

Que l’intégrisme catholique trouve son modèle en un Mgr Lefebvre dont même les ennemis ont dû reconnaître l’exquise charité, tandis que l’intégrisme musulman s’incarne dans le djihadisme, peu importe ! Marianne est incapable de faire la différence. Quant à réaliser que l’on est toujours l’intégriste de quelque chose et que Marianne est celui du laïcisme maçonnique, cela semble tout simplement dépasser ses capacités intellectuelles.

Bourdes en tout genre

Rien ne fait peur à Marianne. Un de ses directeurs, Joseph Macé-Scaron n’avait-il pas déjà fait mourir Copernic sur un bûcher ? (15 novembre 2016). Son digne successeur ose annoncer dans un tweet triomphal un « hors-série exceptionnel » sur les Intégristes et fous de Dieu. Après avoir dépensé 6,90 euros, le lecteur sera ravi de découvrir qu’il n’a en mains qu’une compilation de vieux articles, datés parfois de 36 ans ! Pourtant, effort louable : l’avant-propos ainsi que 6 autres pages (sur 97) ont été rédigés pour l’occasion.

L’écrasante majorité des articles n’est qu’une « version revue et mise à jour », mais comment expliquer que l’on y trouve autant d’erreurs ?

Marianne est fâchée avec les dates : dès la première page la célèbre bulle Unam Sanctam (1302) est placée en 1308 ; les dates des encycliques pontificales ne sont pas davantage respectées [p. 22] ; un évènement survenu en 1562 est illustré par une gravure « fin XVe siècle » [p. 8] ; Pie IX est censé avoir condamné la « laïcité » dans son Syllabus de 1864, alors que ce mot n’avait pas encore été inventé. Etc. Mais comment attendre l’exactitude de détail de la part de négationnistes déclarés ?

Négationnisme

Marianne, lucide, admet que « certaines vérités d’ordre profane, tout aussi absolues et exclusives poussent des gens à tuer ou à se faire tuer : des religions de substitution, comme le communisme par exemple. » [p. 6]. ! Mais l’auteur oublie immédiatement cette concession pour affirmer que : « de toutes les idéologies, la plus exigeante et, à l’occasion la plus meurtrière, est la religion. »

Si l’on comprend bien, Robespierre, Lénine, Hitler, Mao, Staline et leurs émules ne seraient que des enfants de chœur à côté d’Abraham et de Jésus. Comment comprendre ce passage sinon comme une négation des 100 millions de morts du communisme et, ce qui devrait interpeller la LICRA, des crimes du nazisme lui-même ?

Le décor est planté. Après ce brillant départ les négations s’enchaînent. On apprend que l’intolérance est une invention monothéiste tandis que « la nature ouverte des polythéismes les conduit structurellement à la tolérance. » [p. 9]. Vieille thèse voltairienne qu’Antoine Guénée avait déjà brillamment réfutée en 1762 (http://urlz.fr/6him). Marianne gagnerait à tenir son historiographie à jour. C’est en tout cas une négation très claire des 300 ans de persécutions antichrétiennes, ce qui n’est pas rien.

Mais Marianne fait toujours plus fort. Elle présente les écrivains catholiques du XIXe siècle [pp. 18-22] comme des terroristes qui « ouvrent le feu sur la république laïque ». Apparemment, l’auteur, pourtant réputé, n’a pas réalisé que la situation est exactement inverse. La France catholique, déjà agressée par la Terreur de 1792-1793, par les révolutions de 1830 et 1871 et par les « lois laïques » de Jules l’Imposteur (vol des biens de l’Eglise, violences physiques, religieux chassés par les armes, école totalitaire imposant à tous les enfants la religion maçonnique des Droits de l’Homme, discours haineux des anticléricaux etc.). Marianne présente comme les « défenseurs de la laïcité » [p. 19] ceux qui travaillaient, en réalité, à imposer par la violence leur nouvelle religion à un peuple massivement catholique. Elle ose même prétendre qu’en 1905 : « la France […] vote la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat » [p. 20]. Comme si le personnel maçonnique qui avait investi la République avait demandé, sur ce sujet, l’avis de la population française très majoritairement catholique.

Installé dans le déni, Renaud Dély présente la loi persécutrice de 1905 comme un « texte de concorde » [p. 95]. Il se plaint douloureusement de ce que les « extrémistes » catholiques « continuent de contester de façon plus ou moins souterraine » ce texte sacré de sa religion. Car lui, bien sûr, considère que sa religion va de soi. Elle est obligatoire et doit s’imposer à tous (vous avez dit intégrisme ?). Il se sent même persécuté par les catholiques qui refusent d’y adhérer, et, magnifique dans sa posture de victime, entame son credo républicain dans « l’indispensable laïcité républicaine », cet « idéal d’émancipation », cet « indépassable ciment pour faire vivre le pacte républicain », ce « miracle laïque », « lumineux idéal à perpétuer ». Il célèbre avec Régis Debray la « communion laïque », le « sacré républicain », « réflexe vital d’une âme collective ».

Figurez-vous, M. Dély, que ce n’est pas de façon souterraine, mais en face et en plein jour, que les catholiques contestent votre idole. Vous affirmez, à la mode maçonnique, que « ce n’est pas la civilisation chrétienne qui a inventé la laïcité, mais la résistance aux violences qu’elle provoqua ». En réalité, la saine distinction du spirituel et du temporel a été apportée par le christianisme. Elie Barnavi l’avoue lui-même aux pages 7-8 de votre éblouissant « hors-série exceptionnel » : rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Cette saine distinction qui a dominé toute la Chrétienté a été abolie par la Révolution.

Depuis 1789, César veut être Dieu. Pour se faire Dieu, votre César républicain n’a pas hésité à tuer, massacrer, terroriser. La République maçonnique n’a toujours pas fait repentance pour le génocide vendéen. Comment nier qu’elle ne soit une de ces « religions de substitution » qui « poussent les gens à tuer ou se faire tuer » et même, dans toute l’histoire de France, la plus meurtrière de toutes ?

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Trévise (Italie): un commerçant repousse seul ses braqueurs africains

commerçant héroïque désarme et met en fuite des braqueurs africains Lui s’appelle Romeo Antoniazzi et à Trévise on l’a déjà rebaptisé le commerçant héroïque. Les faits en question se sont déroulés à Susegana, où deux cambrioleurs d’origine africaine ont menacé ce gérant d’une salle de jeu d’arcade. Les faits ont été enregistrés dans une […]

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Imam Oumar Diène le secrétaire général des imam et oulémas du Sénégal recouvre la liberté

Imam Oumar Diène libre. Le secrétaire général des imams et oulémas du Sénégal a recouvré la liberté après trois mois passés derrière les barreaux.

Un emprisonnement qui fait suite à l’exécution de la contrainte par corps des promoteurs de la Sci Galoya partie civile dans cette procédure relative à la construction de cantinier au Centre commercial de la grande mosquée de Dakar, note le quotidien L’As dans ses colonnes.

Condamnés à un an avec sursis, Diène et son acolyte Amadou Ly dit Amada (en prison depuis novembre 2016) pour faux et usage de faux, ont été également condamnés à payer 360 millions en guise de dommages et intérêts, rapporte le journal.

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La mosquée était fermée en France

France dans l'extrémisme judiciaire et à la violence, citant l'encouragement d'une mosquée fermer temporairement le nombre de fermeture des mosquées à Marseille était de 19.
 
France dans l'extrémisme judiciaire et à la violence, citant l'encouragement d'une mosquée fermer temporairement le nombre de fermeture des mosquées à Marseille était de 19.

Tribunal administratif de Marseille en France, le gouverneur de la région Pierre Dartout dans le centre-ville « Al-Sunna » a accepté la demande de six mois pour fermer de la mosquée.
La Cour des aumôniers « idéologie radicale, qui a encouragé la discrimination et la violence » Ce qui a donné Reigning la décision de fermer les mosquées pendant 6 mois.
Selon les rapports de l'Association de la presse « Al-Sunna » l'avocat Mosquée française Philippe Perolla est, les tribunaux de discrimination et sermons présumés vendredi qui encouragent la violence est le sermon de l'année 2013, et il a dit qu'il a trouvé surprenant la décision de fermeture.
Pays le 13 Novembre 2015, 130 personnes ont été tuées ou déclaré après les attentats terroristes qui ont conduit l'Etat d'application d'urgence (état d'urgence) a été supprimée le 1er Novembre. Certaines modifications apportées à la loi antiterroriste à la fin de la OHAL ont été rendues permanentes par la OHAL. Selon la nouvelle loi, de nombreux pouvoirs des autorités judiciaires sont transférés aux gouvernorats, ce qui facilite la fermeture des mosquées.


Aucune synagogue ou église n'a été fermée alors que 19 mosquées ont été fermées dans le cadre de OHAL dans tout le pays.

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Sacrilège: Un imam avoue avoir abusé, à plusieurs reprises, d’une fillette orpheline de …

P. A. S. est actuellement en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Kébémer. L’imam a avoué avoir abusé, à plusieurs reprises, d’une fillette orpheline de 9 ans.

 

Au tribunal, la plupart des pédophiles, après avoir reconnu leurs ‘’péchés’’, évoque l’œuvre de Satan pour, dans un second temps, essayer de se dédouaner et susciter la ‘’compréhension’’ des juges. Dans cette affaire de pédophilie qui secoue Guéwoul, une localité de Kébémer, l’imam incriminé a eu une curieuse façon d’expliquer son ‘’crime’’. Il a évoqué Dieu. Devant les enquêteurs qui l’ont poussé dans ses derniers retranchements, il a déclaré, après avoir avoué les viols répétitifs sur une fillette de 9 ans : ‘‘Je ne sais pas ce qui m’a poussé à agir de la sorte. C’est une épreuve divine. Je ne sais même pas quoi dire, franchement.’’

En effet, dernièrement, l’imam indélicat s’est mis à venir en retard aux prières de l’aube. Les fidèles de la mosquée pensaient que c’était lié au froid qui s’est abattu dans presque toutes les localités du pays. Que nenni. Le bonhomme profitait de l’effervescence qui accompagne le réveil et la préparation à la prière pour introduire la fillette, M. K., dans sa chambre. Les deux vivent dans la même maison. En début de semaine, un gardien a aperçu la fillette en train de sortir de la chambre de l’imam. Intrigué, il en a touché un mot à un autre adulte de la maison. Celui-ci a interrogé la fillette sur les raisons de sa présence dans la chambre de l’imam à cette heure de la journée. Elle lui a alors confié être victime d’abus sexuels de P.Pour tirer cette affaire au clair, les deux sont allés informer les hommes de la brigade de la gendarmerie de Kébémer. Une plainte a été rédigée et la fillette a été convoquée en compagnie de son tuteur, car étant orpheline.

Les hommes de l’adjudant Bodian ont longuement questionné la fillette qui a confirmé les assauts répétés de l’imam. Elle a expliqué que son bourreau ne portait pas de slip, à chaque fois qu’il la faisait venir dans sa chambre. Il mettait juste un boubou. Les gendarmes ont ensuite convoqué P. A. S. qui, avant l’arrivée du document, a eu vent de la dénonciation de la petite. Il s’est enfui. Pour le faire revenir, les enquêteurs lui ont tendu un piège dans lequel il est tombé. Mais là, nos sources n’ont pas voulu entrer dans les détails. Secret de l’enquête.

Toujours est-il que devant les hommes en bleu, le principal mis en cause a nié en bloc, au début. Mais, après un interrogatoire serré, il a fini par passer aux aveux. Il a été placé en garde à vue pour les besoins de l’enquête. Nos sources de renseigner qu’il sera déféré au parquet de Louga, ce lundi.

Agé de 29 ans et maître coranique en sus d’être imam, il est poursuivi pour les délits de détournement et viol sur mineure.

enqueteplus.com

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Reportage d’un converti sur 5 mosquées européennes

Ahmad Akhared Crovasni, photographe allemand converti à l’islam en 1992, présente à Cambridge, une exposition sur les mosquées européennes et les liens entre l’islam, le christianisme et le judaïsme.

 Cette exposition ouverte jusqu’au mois de mai 2018, est une invitation à un dialogue, aux adeptes des différentes religions.

Ce photographe a commencé son voyage en Europe en 1997 et pris plus de 1000 photos sur les sites religieux européens, avec pour objectif de présenter l’union dans la diversité.

Parmi les photos exposées, citons la mosquée « Hamd » de Copenhague inaugurée en 2014 :  

Reportage d’un converti sur 5 mosquées européennes


La mosquée de Stockholm près de l’église Katarina :

Reportage d’un converti sur 5 mosquées européennes

La mosquée Al-Ḥamrā' de Grenade en Andalousie inscrite au patrimoine de l’Unesco :  

Reportage d’un converti sur 5 mosquées européennes

 La mosquée du Belarusse construite par des musulmans tatars:  

Reportage d’un converti sur 5 mosquées européennes

 La mosquée de Palerme en Italie (présentée par les historiens comme la ville aux 300 mosquées):

Reportage d’un converti sur 5 mosquées européennes

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Après trois mois de prison à Rebeuss: Imam Oumar Diène recouvre la liberté

Imam Oumar Diène peut pousser un ouf de soulagement. Arrêté depuis le 18 août passé pour l’affaire de détournement des cantines de la Grande mosquée de Dakar par la Division des investigations criminelles, le secrétaire général des imams et oulémas du Sénégal a été libéré.

Ce après trois mois de deténtion à Rebeuss. Condamné à un an avec sursis, l’imam et son acolyte Amadou Ly dit Amada (en prison depuis novembre 2016 pour faux et usage de faux), ont été également condamnés à payer 360 000 000 en guise de dommages et intérêts, rapporte L’AS.

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12 ans de prison pour avoir tué son cambrioleur parce qu’il aurait été « en colère » !!

C’est un réquisitoire scandaleux qui s’est déroulé en Loire Atlantique.  Le procureur Olivier Bonhomme a osé. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/il-tue-son-cambrioleur-12-ans-requis-pour-meurtre-5449292 Et le réquisitoire à abouti.  Philippe Fourny, 62 ans, a tué son cambrioleur de 19 ans en 2014, et vient d’être condamné à 12 ans de prison ferme ! On ne félicitera pas Karine Laborde, qui préside la […]

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L’écho des maisons de la charia et du jihad

 

Lien direct car document lourd

Marseille : mosquée salafiste fermée, le référé de l’imam

Le tribunal administratif maintient la fermeture de la mosquée radicale du boulevard National. L’imam El Hadi Doudi inciterait à la discrimination, à la haine et à la violence.

 

Des fidèles à barbe longue et portant robe étaient en nombre dans la petite salle du tribunal administratif sous contrôle policier, pour soutenir la référé-liberté de leur imam, le très contesté El Hadi Doudi de nationalité algérienne, dont les prêches incitant notamment au djihad armé, ont justifié la publication le 11 décembre d’un arrêté du préfet de police ordonnant la fermeture pour 6 mois de sa mosquée du boulevard National.

« Pourquoi l’avoir fermée maintenant en invoquant des prêches de 2013 et pas pendant l’état d’urgence ? Est-ce parce que la nouvelle loi vient d’entrer en vigueur ? » a plaidé Me Philippe Perollier, avocat de l’association cultuelle qui contrôle cette mosquée d’obédience salafiste quiétiste.

Dans une « note blanche », la préfecture explicite ses griefs contre l’imam qui traite les juifs de « frères des singes et des porcs », voue à la crucifixion les caricaturistes du prophète et à la lapidation les couples adultères, accepte « l’argent sale » pour se financer. « Certes ce sont des termes vigoureux qui peuvent paraître violent dans le contexte de l’époque » admet l’avocat qui met en garde : « Doit-on fermer une mosquée parce que l’imam lit des extraits du coran ? la question c’est ça. Il y a un glissement manifeste dangereux avec l’appréciation de la légitimité des croyances religieuses si on commence à dire qu’un imam n’a plus la possibilité de citer le coran. »

Le directeur de cabinet du préfet de police, Christophe Reynaud, a dit aux juges le bien fondé d’une telle décision qui « ne vise pas la communauté musulmane mais est destinée à la protéger comme le reste de la population ». « M. Doudi incite à la discrimination, à la haine et à la violence à l’encontre des femmes, des juifs, des chrétiens, des chiites et d’autres courants de l’islam. Malgré ses condamnations publiques des attentats destinés à donner le change, il légitime régulièrement dans ses prêches le recours au djihad armé, cautionnant idéologiquement le recours à la violence. » Voilà pourquoi, « le choix de mettre l’accent sur [des textes religieux] qui prônent la violence, légitime le djihad, incite à la haine et à la discrimination entre les religions, à un moment où l’état de la menace terroriste précisément pour des motifs liées à l’islam radical est à son comble sur le territoire national, est tout sauf anodin. » Tout cela démontre pour la préfecture de police « combien la fréquentation de ce lieu de culte, combien les prêches qui y sont proférés sont contraires aux lois et aux valeurs de la République, combien ils conduisent au repli communautaire et combien ils constituent le terreau dactions violentes ou d’actes de terrorisme. »

David Coquille

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Autriche: un lieu symbole de la reconquête sur les musulmans pour lancer la coalition

La droite et l'extrême droite autrichiennes doivent formellement lancer leur coalition samedi dans un lieu à haute portée symbolique: le mont du Kahlenberg à Vienne, d'où débuta la reconquête de l'Europe centrale sur les forces ottomanes en 1683.

Le leader conservateur Sebastian Kurz, appelé à devenir à 31 ans le plus jeune dirigeant au monde, et son nouvel allié Heinz-Christian Strache, chef du FPÖ, ont scellé tard vendredi un accord de gouvernement marquant un retour de l'extrême droite au pouvoir en Autriche.

Présenté au président de la République Alexander Van der Bellen en début de matinée, cet accord de 160 pages devait être validé dans la foulée par les instances des deux partis.

Cette alliance vient couronner une année faste pour l'extrême droite en Europe, avec une forte progression aux Pays-Bas, en France et en Allemagne, sans toutefois parvenir à s'y hisser au pouvoir.

MM. Kurz et Strache doivent détailler publiquement leur programme ainsi que la composition de leur gouvernement à partir de 16H00 (15H00 GMT) lors d'une conférence de presse au Kahlenberg.

Surplombant la capitale autrichienne, ce mont offre un panorama imprenable sur la ville. Mais il a aussi "une certaine signification" liée au siège de Vienne par les Ottomans en 1683, rappelle le politologue autrichien Thomas Hofer.

- 'Améliorer la sécurité' -

C'est en effet sa reprise par les forces chrétiennes coalisées par le roi polonais Jean III Sobieski qui avait marqué la fin de ce siège et le début du reflux des armées musulmanes d'Europe centrale.

Le site accueille chaque année des retraites aux flambeaux de groupes identitaires venus commémorer la victoire sur les Ottomans.

"Sans vouloir y accorder une importance disproportionnée", le choix de ce lieu "a une certaine signification, au moins pour le FPÖ", souligne M. Hofer.

Les questions de l'immigration et de l'islam ont dominé la campagne qui a mené à la victoire de M. Kurz aux législatives du 15 octobre, deux ans après la grande vague de réfugiés en Europe en 2015.

Le jeune leader conservateur, qui se flatte d'être un des principaux artisans de la fermeture aux migrants de la route des Balkans en 2016, en tant que ministre des Affaires étrangères, s'est nettement rapproché des positions du FPÖ dans ce dossier, ouvrant la voie à la nouvelle coalition.

"En premier lieu, nous voulons améliorer la sécurité dans notre pays, y compris en combattant l'immigration illégale", a-t-il rappelé vendredi. Par ailleurs, "nous voulons alléger la pression fiscale, nous voulons renforcer notre économie, ce qui améliorera notre système social", a-t-il souligné.

- Lignes rouges -

Selon des indiscrétions concordantes, le FPÖ doit pour la première fois décrocher pas moins de trois ministères régaliens: la Défense, l'Intérieur et les Affaires étrangères, ces deux derniers portefeuilles lui ayant toujours échappé jusqu'à présent. M. Strache devient vice-chancelier.

En 2000, l'entrée de ce parti au gouvernement avait provoqué des sanctions européennes, un scénario jugé cependant très improbable aujourd'hui, dans un contexte général de montée des partis populistes et antimigrants, et alors que M. Strache, 48 ans, a veillé à lisser l'image de sa formation.

M. Van der Bellen a toutefois jugé utile de rappeler samedi qu'il veillerait à ce que certaines lignes rouges ne soient pas franchies en matière de respect des droits de l'Homme et d'engagement européen, alors que le pays présidera l'UE au second semestre 2018.

"Il est dans l'intérêt de l’Autriche de rester au coeur de l’UE", a-t-il déclaré après avoir reçu les deux dirigeants. "La convention européenne des droits de l’Homme doit rester notre boussole”, a ajouté cet écologiste libéral élu il y a un face à un candidat FPÖ.

M. Kurz, qui devrait garder personnellement la main sur les affaires européennes, s'est porté garant du fait que son gouvernement conservera "une forte orientation européenne", malgré le scepticisme traditionnellement affiché par le FPÖ dans ce domaine.

Artisan d'une alliance du FPÖ avec le parti Russie unie de Vladimir Poutine, M. Strache est par ailleurs favorable à un rapprochement entre l'Autriche et le groupe de Visegrad, qui comprend des pays ouvertement eurosceptiques comme la Pologne et la Hongrie.

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Location : les noms d'origine africaine ou maghrébine fortement discriminés

Les propriétaires privés désireux de louer un logement répondent moins facilement à un candidat portant un nom d'origine maghrébine ou africaine, une discrimination « importante » notamment dans les villes moyennes, montre une étude publiée vendredi.

Pour mesurer les discriminations dans l'accès au logement du parc privé dans les 50 plus grandes aires urbaines de France, une équipe de scientifiques du CNRS (centre national de la recherche scientifique) a, entre juin et décembre 2016, envoyé cinq candidatures fictives en réponse à une sélection de 5 000 annonces de locations, et étudié les retours de ces 25 000 réponses.

Dans le cadre de cette rare opération de « testing » à grande échelle en France, les candidats fictifs, aux noms évoquant des origines diverses (Petit, Rousseau, Chettouh, Mehdaoui, Sambou...) ont envoyé le même jour et à quelques heures d'intervalle de courts emails où apparaissaient leur nom, âge, lieu de résidence et statut professionnel, en réponse aux annonces sélectionnées. Les résultats (réponses non négatives) font apparaître d'« importantes discriminations selon l'origine » pénalisant les candidats aux noms et prénoms d'origine « maghrébine » ou « africaine », notent les auteurs du rapport, dont l'AFP a obtenu copie. Aucune discrimination n'apparaît en revanche en fonction de l'âge ou du lieu de résidence des candidats.

Une discrimination plus marquée pour les annonces de particuliers

Ainsi par rapport au « candidat de référence présumé d'origine française, Sébastien Petit, le candidat maghrébin Mohamed Chettouh a 26,7 % de chances en moins de voir ses démarches d'accès au logement aboutir », soulignent les auteurs. Ces discriminations, « très marquées » pour les offres émanant de particuliers mais qui « le sont aussi » pour celles « diffusées par les agences immobilières », « ne sont que faiblement atténuées lorsque le candidat à la location ajoute un signal de qualité en précisant qu'il est fonctionnaire », précisent-ils.

Ces discriminations sont particulièrement « patentes » dans une dizaine de villes dispersées à travers le territoire (Limoges, Orléans, Amiens, Béthune, Caen, Le Havre, Valenciennes, Avignon, Perpignan, Nancy), toutes des préfectures ou sous-préfectures de taille et rayonnement moyen. Pourquoi ces villes en particulier ? Il faudrait, selon les auteurs, des « explorations plus approfondies » pour l'expliquer, ces agglomérations n'étant guère éloignées des moyennes nationales en termes de pyramide des âges, de niveau de diplômes et de revenus, d'état du marché immobilier ou de nombre d'habitants issus de l'immigration.

Si cette étude ne se limite pour l'heure qu'à « la première marche de l'accès au logement », c'est à dire « la prise de rendez-vous avec un loueur », ses « résultats sont suffisamment robustes pour plaider pour des réactions de politique publique », concluent les auteurs.

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Célébration journée mondiale des réfugiés- L’immigration clandestine et l’emploi des jeunes en question

L’immigration clandestine demeure une préoccupation. Face à l’ampleur du phénomène qui gagne les jeunes ivoiriens, un débat sur la question a été organisé à l’occasion de la commémoration de la  journée mondiale des réfugiés, ce mardi 20 juin.

Initié par le Haut Commissariat des Nations Unis pour les réfugiés (HCR) en collaboration avec l’Ambassade de la France  en Côte d’Ivoire, la rencontre a eu pour cadre le Centre culturel français d’Abidjan.

Le représentant du HCR en Côte d’Ivoire, Mohamed Touré, panéliste à ces échanges a fait savoir qu’en Afrique de l’Ouest, le phénomène est important surtout en Côte d’Ivoire. « Sur les 187 immigrés clandestins venant de l’Afrique de l’Ouest, 7% sont des ivoiriens », a révélé  Mohamed Touré. Il s’est étonné qu’avec les 7% de croissance économique que connaît la Côte d’Ivoire, des jeunes ivoiriens soient nombreux à l’immigration clandestine par la traversée.

Selon lui pour lutter contre ce phénomène grandissant, l’Etat doit davantage encrer la population et partager de façon équitable les richesses du pays.

Pourquoi la Côte d’Ivoire produit autant de migrants illégaux ? Pr Francis Akindès, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, a indiqué que les réseaux sociaux influencent beaucoup la jeunesse. « Ceux des ivoiriens qui résident en occident postent sur les réseaux  de belles photos qui montrent leur réussite sociale et cela incite les autres à vouloir immigrer », a soutenu le sociologue.

Ainsi, a-t-il invité les autorités à mettre en place un mécanisme d’employabilité  de la jeunesse et de leur octroyer une formation, afin de freiner le fléau. Toutefois, s’il a souligné que l’Etat a des obligations envers la jeunesse, il a fustigé également celle-ci  dont la propension est de s’adonner à la facilité. Avant d’exhorter les jeunes à investir dans des projets porteurs pour se prendre en charge au lieu de s’inscrire sur la voie de la mort.

Le Directeur général des ivoiriens de l’étranger, Issiaka Konaté a quant à lui rassuré que le gouvernement est très impliqué dans la lutte contre le phénomène et a pris un certains nombre de décisions. Il a indiqué que l’Etat prévoit la mise à niveau des centres professionnels pour aider les jeunes qui ont raté le circuit normal de se former dans un métier.

Sur le chiffre des 7% d’ivoiriens immigrés annoncé par le HCR,  Issiaka Konaté émet des réserves. « L’Etat ne nie pas l’ampleur du phénomène en Côte d’Ivoire. Nous disons qu’il y a beaucoup d’ivoiriens, mais beaucoup de personnes sont parties de la Côte d’Ivoire sans être de nationalité ivoirienne », a dit le Directeur général.

En plus du débat d’échanges, cette journée a été marquée par la projection d’un film poignant intitulé « La mécanique  des flux : un autre regard sur la migration » ainsi que  le témoignage de deux jeunes ivoiriens revenus au pays qui ont raconté l’enfer de leur voyage de clandestin.
10 millions de personnes sont apatrides dans le monde.

Gnoungo Fanta
Source : Rédaction Politikafrique.info

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«Je vais envoyer une équipe chez vous pour vous tuer» : quand Mustapha menace de mort ses gardiennes de prison

«Je vais envoyer une équipe chez vous pour vous tuer .».C’est en ces termes que Mustapha M., détenu âgé de 30 ans, a menacé deux gardiennes de la maison d’arrêt de Bonne-Nouvelle le 6 novembre 2012. Ce jour-là, l’homme, qui a cumulé vingt-huit mentions sur son casier judiciaire ces quinze dernières années, doit être transféré […]

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Bachir, agent de sécurité à Orly, a été licencié car sa barbe était trop longue

En 2015, Bachir travaillait depuis six ans à l’aéroport d’Orly, comme agent de sûreté pour Securitas. Le 20 novembre 2015, soit sept jours après les attentats de Paris, il est convoqué chez son directeur. “Il m’a dit: ‘la barbe est trop longue (…) si vous ne la coupez pas, je vous change votre planning ou je vous refuse sur le terrain”, raconte Bachir à BFMTV. Il est licencié quelques semaines plus tard. Bachir n’est pas un cas isolé. Ils sont quatre salariés de la même entreprise, tous musulmans, à avoir saisi les prud’hommes de Bobigny, qui doit statuer ce jeudi sur ces cas. Bachir et ses ex-collègues réclament 50.000 euros de dommages et intérêts :

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Lutte contre l’immigration : l’OIM et l’Allemagne dans une dynamique de sensibilisation en Guinée

L’organisation internationale pour la migration (OIM) en partenariat avec l’ambassade l’Allemagne en Guinée,  a lancé hier jeudi à Conakry, la deuxième édition  de la campagne de sensibilisation des jeunes. Ce, pour réduire, voir freiner le phénomène de l’immigration clandestine.  

D’après l’ambassadeur d’Allemagne en Guinée, la sensibilisation permettra aux jeunes de prendre conscience du fléau.

« Je demande aux parents d’investir ici en Guinée, pour l’avenir de la jeunesse, que de gaspiller de l’argent dans l’aventure clandestine, qui cause des sérieux problèmes » a exhorté le diplomate Allemand Mathias Veltin.

Dans cette circonstance, Mme Aline Migrante explique sa mésaventure sur le sol lybien  en ces termes : « je suis étudiante dans une école de sage femme. J’ai 25 ans,  j’ai quitté le 08 janvier 2017 et fait un an sur la route avant d’atteindre la Lybie. Arrivée, j’ai rencontré une amie qui m’a logé chez elle. Je faisais des travaux ménagers pour une Libyenne et je pouvais rester toute la journée sans manger ».

« A la fin du mois, elle refusait de me payer. Je n’avais pas de quoi vivre. J’ai même fait une fausse couche au lieu de travail, lié à la faim», a témoigné l’aventurière.

Poursuivant, elle ajoute «Quand mes parents m’ont envoyé de l’argent qu’on m’avait réclamé,  je suis allée au bord de la mer méditerranée. Ils nous ont embarqués, nous étions 150 personnes au bord d’une pirogue. 30 min après, des inconnus nous ont attaqués. On était obligé de nous retourner. Mon amie a perdu la vie sur la mer. C’est ainsi que j’ai décidé de me retourner en Guinée, après cette mésaventure ».

Pour  finir, un document de 27 pages intitulé ‘‘du Rêve au cauchemar’, qui retrace l’histoire d’un migrant de nom de Souleymane, originaire de Siguiri, a été présentée au public.

Eugène Capi BALAMOU,  Mamourou SONOMOU

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dimanche, 17 décembre 2017

L’Italie expulse un Français au comportement radical suspect

Lu sur Europe1 du 15 décembre 2017 :

Le 29 août dernier, il avait mimé devant des policiers des gestes de tir et de détonation d’engin explosif tout en évoquant Allah. 

Un Français de 23 ans, qui avait mimé devant des policiers italiens des gestes de tir et de détonation d’engin explosif tout en évoquant Allah, a été expulsé d’Italie, a annoncé vendredi le ministère italien de l’Intérieur.

Converti à l’islam radical en prison. Son comportement suspect devant des policiers italiens avait été observé le 29 août dans la province de Cuneo, dans le nord de l’Italie, précise le ministère dans un communiqué. Lire la suite

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Chronique de l'islamisation quotidienne de la France de François Billot de Lochner

Tant pis pour l’emphase : l’ouvrage de François Billot de Lochner est une œuvre de salut public. La lecture de sa Chronique de l’islamisation quotidienne de la France s’apparente à celle d’un rapport parlementaire – un rapport qu’aucun parlementaire n’a jamais eu le courage d’écrire. Tout y est précis, chiffré, daté, « sourcé ». Il passe au crible toutes les paroles, les actions et les omissions : paroles des acteurs publics et des militants salafistes, actions des minorités islamistes de moins en moins minoritaires, omissions criminelles du pouvoir à tous les échelons.

Implacablement, sans emportement, pied à pied, il montre comment la France est en train de devenir, sans un coup de feu, sans une révolte, un État islamique, par le bas : par les revendications individuelles, par la désertion des quartier « populaires », par l’instrumentalisation des médias, l’abattage de la viande ou le rap… On est tout d’abord fasciné, puis révolté, mais c’est au deuxième temps de son livre que l’on est convaincu de la grande pertinence de son raisonnement. Quand il se demande « Que faire ? », François Billot de Lochner touche juste : des actions individuelles, simples, qui sont en quelque sorte l’exact négatif de ce que fait le salafisme conquérant, peuvent permettre d’inverser la tendance, et l’esprit de défaite, si cher au cœur de la droite sentimentale, est balayé d’un revers de main.

 

Chacun devrait lire ce livre, ne serait-ce que pour savoir de quoi il retourne. Pas étonnant que l’auteur n’ait pas été plébiscité par les urnes à Versailles, bastion frileux de la bourgeoisie conciliante, qui continuera encore longtemps à se prendre pour le sel de la terre, tout en priant pour sauver son entre-soi, sa piété de façade et ses liquidités… à quelques kilomètres de territoires occupés. Pourquoi ne pas faire l’inverse ?

Arnaud Florac

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Les Valaisans ne voteront pas sur le voile à l'école

IslamLe Grand Conseil a invalidé une initiative de l’UDC prévoyant une interdiction. Un recours au Tribunal fédéral est envisagé.

«Faites vos saletés tout seuls!» Pressentant l’invalidation de son initiative «Pour des élèves tête nue dans les écoles publiques», l’UDC a quitté la salle du Grand Conseil valaisan vendredi matin. Le député Michael Graber explique le geste d’humeur de son parti: «Il est inacceptable que le parlement ne laisse pas le peuple se prononcer sur un texte signé par 4329 citoyens. Même si, sur le fond, je reconnais que le Valais a des problèmes plus graves que le voile à l’école.»

La majorité des parlementaires voient dans l’interdiction des couvre-chefs une mesure discriminatoire violant la liberté religieuse. «Nous savons pertinemment que l’UDC n’a pas de problème avec les casquettes et les chapeaux. Il s’agit d’une attaque détournée contre l’islam», a critiqué la députée de l’Alliance de Gauche, Margaux Dubuis. L’UDC reconnaît que sous un intitulé très général, son initiative vise l’islam. Ses élus évoquent surtout une manière d’éviter «le communautarisme et l’islamisation rampante de la société» au travers de signes religieux ostentatoires.

 
 

Contraire au droit fédéral


Le texte avait été déposé en 2016. La commission juridique du Grand Conseil et le Conseil d’État proposaient de soumettre au peuple un projet de loi en recommandant de le rejeter. Les députés ont toutefois opté pour la solution de l’irrecevabilité. Ils ont en effet estimé que, même acceptée, la nouvelle base légale ne pourrait jamais être appliquée, car contraire au droit fédéral. L’UDC valaisanne le conteste et envisage sérieusement de recourir au Tribunal fédéral (TF).

Avec quelles chances de succès? La réponse est incertaine, puisque aucun autre Canton ne s’est prononcé sur un projet de ce type. La Commune saint-galloise de Sankt Margrethen avait franchi le pas. Mais en 2016, le Tribunal fédéral a jugé anticonstitutionnel son règlement qui bannissait tout couvre-chef en milieu scolaire. Liées par cette jurisprudence, les écoles suisses ne peuvent pas interdire les voiles de manière systématique. La Haute Cour n’exclut toutefois pas la possibilité de bannir le voile si des circonstances particulières l’imposent. En clair: il faut que l’interdiction soit proportionnée et réponde à un intérêt public.

«Comme notre initiative était non rédigée, le parlement avait la possibilité de façonner un texte qui réponde à ces conditions, en n’étant pas discriminatoire et en ne violant pas la liberté religieuse», plaide Michael Graber.

Faux, rétorquent les opposants. «La marge de manœuvre est beaucoup trop ténue avec un texte qui prône des têtes nues. À cause de cette formulation, nous ne pouvons pas prévoir des exceptions pour le bonnet à la récré et le casque pour les sorties à skis. Or, il n’y a évidemment aucun intérêt public qui justifie pareilles interdictions», a argumenté en plénum le Vert Thierry Largey.

Une quinzaine de cas
Professeur de droit constitutionnel à l’Université de Neuchâtel, Pascal Mahon estime que la décision d’invalidation du Grand Conseil n’est pas surprenante. Le docteur en droit tire un parallèle avec l’invalidation l’an dernier de l’initiative fribourgeoise contre le Centre Islam et Société. «Le Tribunal fédéral a reconnu qu’il est licite d’invalider une initiative non rédigée si l’on peut clairement déduire qu’elle vise, même sans la nommer, une religion particulière.»

L’initiative de l’UDC valaisanne présente en outre de nombreuses similitudes avec le règlement saint-gallois porté devant le TF. Dans cette affaire, les juges de Mon-Repos ont considéré que le règlement communal était discriminatoire et violait la liberté religieuse. Ils ont aussi jugé que l’interdiction générale du voile en milieu scolaire était disproportionnée et ne répondait à aucun intérêt public.

En Valais, une quinzaine de jeunes musulmanes portent le voile, selon le chef du Service de l’enseignement, Jean-Philippe Lonfat. Plusieurs directeurs d’établissements contactés évoquent la question avec beaucoup de précaution, en insistant sur le fait que les voiles ne posent aucun problème. (TDG)

Romain Carrupt

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L’Europe bientôt en Tchador

Source : revue de presse du Mouvement Pour la France.

Dans son édition du 1er février, Courrier International reprend, sous un titre on ne peut plus explicite « L’Europe bientôt en tchador », quelques extraits d’un « article hallucinant du quotidien de droite israélien [Jerusalem Post] sur la poussée démographique des musulmans en Europe et ses conséquences néfastes pour les Etats-Unis, Israël et les Juifs ». Et cela commence fort :

« Si jamais vous vouliez voir Paris ou Rome avant de mourir, et que vous n’en avez pas encore eu l’occasion, vous feriez peut-être bien de vous hâter. Car, bientôt, l’essentiel de ce que nous considérons aujourd’hui comme l’Europe occidentale se sera transformé en une branche du monde musulman. C’est en tout cas la conclusion déplaisante, mais absolument inévitable qu’il faut tirer de la dégringolade démographique qui entraîne l’Europe vers le néant ».

Et pour justifier cette constatation, le quotidien de citer le récent rapport de la Rand Corporation (un think-tank américain) : « dans toute l’Europe, les taux de natalité sont en chute libre et la taille des familles se réduit. Le taux de fertilité total est aujourd’hui de moins de deux enfants par femme dans chaque Etat membre de l’Union européenne ». Or, selon les démographes, « pour que la population d’une société demeure stable, son seuil de remplacement implique un taux de natalité de 2,1 enfants par famille », « tout chiffre inférieur est synonyme de déclin et de dissolution ». Même le Conseil de l’Europe a lancé un avertissement en déclarant en 2004 dans son « livre blanc de la démographie » que « dans toute l’Europe, il y a eu plus de décès que de naissances pour l’année 2003 ». Et le quotidien de citer l’éditorialiste canadien Mark Steyn qui souligne dans son nouveau livre, America Alone (L’Amérique seule) :

« Quel est le pourcentage de la population musulmane de Rotterdam ? 40%. Quel est le prénom masculin le plus répandu en Belgique ? Mohammed. A Amsterdam ? Mohammed. A Malmö, en Suède ? Mohammed ».

Et même The Daily Telegraph de Londres rapportait en décembre 2006 que « Mohammed et son autre graphie la plus courante, Muhammad, sont désormais des prénoms de bébés plus populaires en Angleterre et au pays de Galles que Georges ». Car, comme le relève le quotidien, « si les Européens sont actifs partout sauf au lit, les populations musulmanes qui vivent en leur sein se montrent beaucoup plus prolifiques ». Or d’après des « projections réalisées par le National Intelligence Council du gouvernement américain, la population musulmane du continent, actuellement de 20 millions, aura probablement doublé d’ici à 2025 ». Le quotidien note qu’une «

Europe de plus en plus islamisée sera de plus en plus hostile à Israël et aux Etats-Unis »

et que

« même si les gouvernements européens parvenaient à inverser la tendance, ce qui semble fort peu probable, il faudrait des années avant que le changement ne soit perceptible. Or, en attendant, l’influence politique musulmane continuera de se développer et de s’étendre, et les dirigeants européens ne pourront que difficilement faire abstraction des exigences de la communauté ».

Et de conclure :

« Par conséquent, si vous voulez vraiment voir la tour Eiffel de près, je vous conseille de ne pas trop tarder. Le temps de dire ouf, et elle pourrait bien avoir été transformée en minaret »…

Une analyse qui rejoint ce que dénonce Philippe de Villiers :

non seulement, il a préconisé de longue date de mettre en place une vraie politique familiale, qui aurait eu pour conséquence de relancer la natalité ; mais de plus, il met en garde contre « l’islamisation » de la France, prônant une immigration zéro et une politique généreuse de co-développement des pays les plus pauvres.

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samedi, 16 décembre 2017

Procès Roudier : Montpellier ville colonisée, le pouvoir sur les dents !

Lettre de la LIGUE DU MIDI du 9 décembre, à propos du procès de Richard et Olivier ROUDIER qui s’est tenu le 5 décembre à Montpellier, et auquel étaient présents plusieurs membres de notre clan afin de soutenir la Ligue du Midi.
(Images travaillées par l’équipe des Brigandes)
Richard et Olivier étaient jugés pour s’être rendu dans les locaux d’une association accueillant des jeunes immigrés, afin de demander des comptes sur le financement public octroyé à ces associations.
Le jugement est tombé ce mardi 12 décembre : pour quelques feuilles lancées en l’air, deux tasses tombées par terre et des haussements de ton, Olivier Roudier a été condamné à un mois de prison ferme et 2000 euros d’amende. Richard a par contre été relaxé.

 

 

Nous nous interdisons bien sûr de commenter le fonds du procès avant le prononcé du verdict dans le procès Roudier. En revanche, nous vous livrons ici ce que nous avons pu observer de l’ambiance autour du tribunal, de l’ambiance dans la ville de MONTPELLIER et ce que cela signifie de très profond sur l’état de cette ville et sur l’impuissance assumée du pouvoir.

Une mobilisation policière exceptionnelle.

Une centaine de policiers avait été déployée autour du tribunal et dans les rues adjacentes pour éviter tout affrontement entre les groupes d’activistes d’extrême gauche venus provoquer et en découdre et les militants et sympathisants de la LIGUE du MIDI venus dans le calme et la dignité soutenir Richard ROUDIER et Olivier ROUDIER dans la salle d’audience.

Contrôle d’accès hermétique autour et à l’entrée du tribunal, grilles fermées, filtrage très strict depuis la sortie ‘’Plan Cabane » du parking Gambetta. Nombreux véhicules barrant les accès, gendarmerie mobile, compagnies départementales d’intervention, Brigades Anti- Criminalité, tenues anti-émeute, boucliers et flash-balls, gradés en nombre, encadrement très consistant, tout y était. Sans compter les policiers en civil plus ou moins indénombrables.

Aucun risque de débordement donc. Tout avait été prévu pour sécuriser l’évènement ; jusqu’à la sortie du tribunal après la fin de l’audience. Les policiers ont parqué l’extrême gauche dans un dispositif fermé devant les grilles du tribunal alors qu’ils escortaient les militants et sympathisants de la LIGUE du MIDI jusqu’à leur point de dispersion, loin du tribunal.

Grand professionnalisme des forces de l’ordre, exécution parfaite sans nervosisme et dans le plus grand calme. Les provocateurs pourtant très remontés et vindicatifs en ont été pour leurs frais.

MONTPELLIER ville colonisée, le pouvoir sur les dents.

Un tel déploiement de moyens nous donne une indication sur les consignes reçues, sur l’état d’esprit du pouvoir et sur son impuissance réelle et assumée face au cocktail explosif que représentent les groupes d’extrême gauche radicalisés ultra violents et la délinquance étrangère opportuniste qu’ils cherchent à instrumentaliser.

Le Préfet de l’Hérault sait parfaitement que le centre-ville de MONTPELLIER est devenu une poudrière colonisée par un nombre impressionnant d’étrangers hors de contrôle du fait de leur nombre et de leur impunité acquise. Les exactions ultra violentes s’y multiplient, tout comme les crimes et délits parfois extrêmement graves, dont sont régulièrement victimes les montpelliérains.

Le Préfet de l’Hérault sait parfaitement que l’extrême gauche et les activistes radicalisés antifas cherchent à propager des émeutes incendiaires dans la ville en enrôlant la délinquance étrangère jusque dans les banlieues. C’est le statut quo admis et géré par le pouvoir.

MONTPELLIER est une ville sinistrée, gravement atteinte au plan de sa composition sociale. Moi-même venu de TOULOUSE pourtant déjà bien contaminée, j’ai pu mesurer que le phénomène y était encore plus peignant. C’est dire ! Ainsi, voilà ce que j’ai pu voir sur le seul cours Gambetta : grappes de ressortissants Albanais agglutinés sur le passage vous obligeant à descendre du trottoir, terrasses de cafés occupées par toutes sortes de masques ethniques venus d’ailleurs ; certaines exclusivement – Restaurant où j’ai déjeuné recevant de très jeunes mineurs étrangers attablés en petits groupes sans encadrement adulte pour leur repas du midi (vraisemblablement gérés par des associations largement subventionnées). Le restaurateur interrogé sur le bon appétit de cette très jeune clientèle m’a dit que c’était « l’avenir de la France » ; une réponse en creux qui est la synthèse de l’impuissance, de l’abattement et de l’exaspération de la population de souche qui n’en peut plus de voir et de devoir subir.

Le Préfet sait parfaitement que cette masse de déracinés est instrumentalisée par l’extrême gauche qui cherche à l’enrôler comme masse de manœuvre ; comme autrefois la classe ouvrière pour créer le chaos et conduire sa révolution. Le Préfet sait que dans la poudrière qu’est devenue MONTPELLIER, tout dérapage, toute violence visible peut immédiatement dégénérer en émeutes dans les banlieues comme au centre-ville. C’est exactement ce que cherchaient à provoquer les activistes d’extrême gauche venus en découdre ; c’est ce qu’a empêché le déploiement de forces de l’ordre venues contenir les antifas.

Mettre le feu et le voir se propager, tel est le but de ces activistes irresponsables. Le Préfet de l’Hérault se trouve pris dans une équation insoluble. La justice relaxe systématiquement les fauteurs de troubles d’extrême gauche tout comme les émeutiers et délinquants d’origine étrangère. Ces individus sentent et savent qu’ils ne risquent plus rien et que tout leur est permis. Le Préfet ne peut donc plus que s’interposer pour contenir tout départ d’incendie et éviter toute propagation émeutière avant qu’elle ne démarre et se propage.

Voilà ce que signifie le déploiement policier pour sécuriser le procès ROUDIER. Il ne s’agissait pas de protéger les militants et sympathisants de la LIGUE du MIDI. Il s’agissait d’éviter les provocations de l’extrême gauche qui auraient pu dégénérer et atteindre le cours Gambetta tout proche et au-delà. Voilà le véritable enjeu d’un pouvoir qui s’interdit de réprimer l’extrême gauche car elle est l’un des bras séculiers du grand remplacement et du nouvel ordre mondial qui le commandite. Qui s’interdit également de réprimer la délinquance d’origine étrangère, brutale et devenue totalement hors de contrôle. Là aussi : éviter que ça démarre et si ça part, se retirer afin d’éviter « de jeter de l’huile sur le feu ».

 

Chrystelle et Roxane face aux antifas

 

Les associations d’extrême gauche et les groupes activistes ANTIFAS bras séculiers du nouvel ordre mondial.

Le jeu des organisations ultra violentes d’extrême gauche et d’ailleurs de toute l’extrême gauche institutionnelle est très clair. L’extrême gauche institutionnelle s’est emparée du secteur associatif, de l’éducation nationale, du secteur de la culture, des médias et tous les secteurs qui lui permettent d’agir en profondeur sur la société ; tandis que l’extrême gauche activiste crée un climat d’insurrection et de violence pour saper tous les points de résistance et imposer le chaos. Les deux instrumentalisent l’immigration de masse pour détruire le monde ancien qu’ils abhorrent.

Ce jeu est très clair. Ces gens veulent le chaos et la destruction de la société traditionnelle française. Ils veulent les émeutes, la submersion migratoire, la destruction du peuple de France. Ils partagent la même haine obsidionale et pathologique pour tout ce qui est blanc, et pour tout ce qui est l’identité française. Leur activisme relaie celui du nouvel ordre mondial et de la marchandisation globale du monde qui a besoin d’abattre toutes les frontières, toutes les résistances, toutes les identités qui pourraient résister. Les deux sont parfaitement matérialistes, déniant la nature spirituelle et identitaire de l’Homme ainsi que la loi naturelle.

Les deux convergent, ils sont collusés dans la même promotion de l’homme nouveau fongible et remplaçable, métis et sans identité. Ils incarnent les deux versants du même matérialisme qui veut réduire la nature humaine ; l’un pour faire consommer, l’autre pour la détruire.

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Journée internationale des migrants

 
 
Journée internationale des migrants 

Le monde fête le lundi 18 Décembre 2017 la Journée internationale des migrants, qui correspond au jour de l'émission de la « Convention internationale pour la protection de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille » le 18 Décembre 1990, et célébré par l'Organisation des Nations Unies depuis 1997.

Cette célébration coïncide avec la recrudescence du nombre de partis politiques de droite qui incitent à la haine, à la xénophobie favorisant les politiques racistes et anti-immigration envers les demandeurs d'asile et les migrants. Cela expose ces derniers à de graves violations de leurs droits fondamentaux, surtout pour les femmes et les enfants. La fermeture des frontières et l'approche sécuritaire des questions d'immigration et d'asile ont également accéléré la violation flagrante des droits humains tels que la liberté de circulation et le droit de vivre avec dignité.

Au niveau national, cette célébration concorde avec la vague de départ de milliers de jeunes tunisiens qui traversent la mer d’une façon non réglementaire vers les côtes européennes. Ceci est dû à la persistance des mêmes politiques sociales et économiques désastreuses qui n’ont eu de cesse de causer de la frustration chez les jeunes. En effet, pour eux, il n y a aucun avenir devant l’absence d’emploi, d’une vie digne et d’une justice sociale. Ceci augmente alors le désir d’émigrer même d’une façon non réglementaire, dans le but de trouver désespérément des solutions. En plus de cela la coopération entre notre pays et l'Union européenne est principalement fondée sur « l'arrêt des flux migratoires vers l’Europe » et les opérations de retour ou d'expulsion dans le cadre de la lutte contre l'immigration « non réglementaire ».

En l'absence de mesures concrètes de la part de l’Etat Tunisien pour modifier les politiques de développement économique afin de garantir le progrès, limiter l'injustice sociale et l'inégalité entre les différentes régions et réussir la transition économique et sociale, le Forum Tunisien pour les droits économiques et sociaux appelle le gouvernement tunisien à :

• Respecter ses obligations constitutionnelles afin de garantir le respect des droits des Tunisiens – et en particulier des jeunes – par une élaboration urgente de plans de développement pour les différentes régions de l’intérieur des terres. Ceci nécessite des mesures audacieuses dans la lutte contre la corruption, la réhabilitation de la gestion des installations publiques et le travail sur la révision des choix économiques et sociaux qui ont échoué afin de réussir une approche plus globale et ralentir le phénomène de la migration non réglementaire.

• Respecter ses obligations et répondre aux attentes des familles des personnes disparues dans le cadre de la migration non réglementaire qui ont le droit de connaître le sort de leurs enfants et de mettre un terme à cette tragédie humaine. Le gouvernement tunisien doit afficher sa volonté politique pour activer les travaux de la Commission d'enquête et des missions d'accompagnement psychologique et social des familles de disparus.

• Respecter les droits des migrants en Tunisie et réduire les violations économiques, sociales et les atteintes racistes à leur encontre, en particulier à l’égard des femmes.

• Fournir un terrain digne pour l'enterrement des corps de migrants qui accostent par la mer sur les côtes tunisiennes, tout en respectant les conditions permettant à leurs familles de récupérer leurs dépouilles après qu’ils aient été identifiés.

• Stimuler le Conseil des Tunisiens à l'étranger avec une révision de sa composition en accord avec les observations des associations qui travaillent sur la migration.

• Promulguer un cadre juridique pour la migration et l'asile en Tunisie, conformément aux exigences de l'article 26 de la Constitution et des Conventions Internationales ratifiées par l’Etat tunisien.

• Signer les Conventions Internationales (OIT) (97 et 143) sur la protection des droits des travailleurs migrants et la Convention des Nations Unies (1990) relative à la protection des travailleurs migrants et de leurs familles et de la Convention 189 de l'OIT sur les travailleurs et les travailleurs domestiques.

• Respecter les droits avec les pays européens garantis par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui garantit dans son article 13 que : “Toute personne a le droit de circuler librement [...], de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.”

• Être transparent lors des négociations avec l'UE et respecter le droit des citoyens à l'information.

• Rejeter les politiques européennes qui obligent la Tunisie à accepter les politiques d'immigration inégales de l'Europe en contrepartie de l'aide au développement.

• Geler la coopération en cours avec les pays européens visant à mettre un terme à la migration non réglementaire sans proposer d'alternatives concrètes promouvant et facilitant une migration réglementaire.

Le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux appelle également l'Assemblée nationale à :

• Revoir toutes les lois relatives à l'immigration, notamment la loi du 3 février 2004, qui viole à plusieurs reprise les droits des migrants.

• Adopter des lois garantissant les droits des migrants en Tunisie, quel que soit leur statut juridique.

• Accélérer l’adoption de la loi soumis par le FTDES ainsi que le Comité pour les Libertés et le Respect des Droits de l'Homme (CLRDH) et le Réseau euro-méditerranéen des Droits de l'Homme sur « l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale ».

Le coût humain des politiques migratoires européennes est une véritable tragédie et reflète l'échec de ces politiques à répondre aux besoins des peuples et à leurs ambitions. Le Forum Tunisien pour les Droits Economiques et Sociaux appelle les pays européens à :

• Abandonner les approches sécuritaires dans la gestion du dossier de la migration conformément aux normes internationales et aux exigences de la politique de bon voisinage présumée. Le Forum affirme qu'un véritable partenariat nécessite le respect et l'activation du principe de la liberté de circulation.

• La dissolution de l’« Agence européenne des garde-côtes frontières » et envisager l'élaboration de politiques fondées sur le respect des droits fondamentaux, y compris « le droit de toute personne de quitter tout pays, y compris le sien. »

• La nécessité de garantir le droit de libre circulation des personnes et pas seulement des biens, des équipements, des flux financiers et des échanges commerciaux.

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