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mercredi, 10 janvier 2018

Une étude démontre que la hausse des violences est liées à l'arrivée massive des "migrants"

 

En Allemagne :

Commandée par le Ministère de la famille et de la jeunesse, cette enquête a été menée par l’un des criminologues les plus réputés d’Allemagne, Christian Pfeiffer, qui s’est concentré sur la Basse-Saxe, une région démographiquement et socialement représentative de l’ensemble du pays (...)

Après les exactions de la Saint-Sylvestre à Cologne le 31 décembre 2015, lorsque des centaines de femmes avaient été agressées sexuellement par des demandeurs d’asile, le ton et l’approche du problème ont changé. Depuis, les responsables politiques – mais aussi les médias – estiment qu’il est important d’évoquer la nationalité des auteurs si cela contribue à élucider un problème.

La conclusion des enquêteurs est sans détour: tandis que les actes de violence avaient continuellement baissé depuis plus de dix ans (de moitié parmi les mineurs), ils ont augmenté de nouveau entre 2014 et 2016 de plus de 10% (612 cas élucidés sur 2091) avec l’arrivée massive de réfugiés.

«L’augmentation est due à 92% aux demandeurs d’asile», note leur rapport. Un acte de violence sur huit (12,5%) a été perpétré par des réfugiés, qui représentent pourtant moins de 1% de la population (...)"

A quand une étude similaire en France ?

Source

France : hausse importante du nombre de demandeurs d'asile en 2017

 

Le grand remplacement se poursuit inexorablement avec la complicité des gouvernements qui se succèdent en France depuis plus de 40 ans :

"La France a enregistré un peu plus de 100.000 demandes d'asile en 2017, un niveau "historique", avec une forte hausse des dossiers déposés par des ressortissants d'Albanie et d'Afrique de l'Ouest, a indiqué lundi à l'AFP Pascal Brice, le directeur général de l'Ofpra (...) cela confirme que la France est dans les tout premiers pays de la demande d'asile en Europe", notamment derrière l'Allemagne qui s'attend à un peu moins de 200.000 dossiers cette année.

Sachant qu'il n'y a quasiment aucune expulsion des dossiers refusés (64%), la demande d'asile est donc bien une nouvelle filière d’immigration clandestine qui augmente de 100 000 la population étrangère en France chaque année. Ceux qui disent que le solde de l'immigration en France est nul sont des menteurs...

Notons aussi que le mythe des "migrants" venant de pays en guerre est également un énorme mensonge quant on regarde les pourcentages de demandes en fonction des pays : "L'an dernier, le premier pays d'origine des demandeurs d'asile a en effet été l'Albanie (...) forte progression des ressortissants de pays d'Afrique de l'Ouest, notamment des Ivoiriens dont le nombre a plus que doublé (...) Algériens (+24%)"

Pour réfléchir sur cette question en tant que catholique, nous vous recommandons de lire le livre de Laurent Dandrieu paru en 2017 (à commander ici) :

9782750913618

Pour près de 50% des Français, le Grand remplacement est une réalité

 

C'est ce qui ressort du sondage de l'Ifop intitulé "Enquête sur le complotisme", sondage réalisé à la demande de la fondation Jean Jaurès (proche du Parti socialiste) et de Conspiracy Watch Ainsi sur l'immigration, quatre affirmations sont proposées. Parmi, ces 4 affirmations, le Grand remplacement est proposé, sans le citer, comme projet délibéré et non comme fait démographique...

72% pensent que l'immigration est "un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différente set menace à terme notre mode de vie

47% réfutent le fait que "les pays européens ont le devoir d’accueillir les personnes poussées à l’exil par la guerre et la misère, et c’est aussi leur intérêt économique à long terme. On constatera au passage le belle fake-news des "migrants" fuyant des pays en guerre comme les Albanais, les Ivoiriens ou les Algériens (voir ici)

48% pensent que l'immigration est "un projet politique de remplacement d’une civilisation par une autre organisé délibérément par nos élites politiques,intellectuelles et médiatiques et auquel il convient de mettre fin en renvoyant ces populations d’où elles viennent. Notons que le termes de "Grand remplacement" n'est pas utilisé dans la question...

54% refusent de voir l'immigration comme "un phénomène inévitable compte tenu du vieillissement de la population européenne et des conditions de vie de ces populations dans leurs pays d’origine

Notons qu'il existe une différence entre le Grand remplacement vu comme un fait démographique consistant à un changement de population en Europe occidentale, fait indéniable qui se constate tous les jours, et le Grand remplacement vu comme un "projet politique" (et non comme un complot). Or, personne ne peut nier que le patronat a favorisé l'immigration depuis des décennies pour faire peser les salaires à la baisse, que la gauche l'a également favorisé pour remplacer ses bataillons d'électeurs partis ailleurs, qu'Angela Merckel a assumé de faire venir plus d'1 million d'immigrés clandestins en Allemagne... Il faut vraiment être aveugle pour ne pas s'en rendre compte.

Sauf à vouloir discréditer l'opinion majoritaire en France à propos de l'immigration, on ne voit pas bien ce que ces questions ont à voir avec du "complotisme". Peut-être s'agit-il de continuer à faire voter les Français pour des politiques qui favorisent l'immigration depuis 40 ans en France et donc à l'encontre de ce qu'ils pensent réellement ?

Source

Mgr Negri : « L’accueil massif de migrants mènerait à l’écrasement et à l’élimination de notre société »

 

933897L’évêque émérite de Ferrare, Mgr Luigi Negri, déclare dans Il Giornale :

« Au cours des dernières années l’Eglise, nonobstant les extraordinaires pontificats de Saint Jean-Paul II et de Benoît XVI, a emprunté une pente qui l’amène à capituler face aux forces rampantes de l’anti-christianisme »

Sur la foi en Allah, il réaffirme que l’islam a « plus une vocation politique que religieuse ».

« L’Islam est plus qu’une foi c’est une loi, une statut, résumé par le terme charia ». 

Pour l’évêque 

« un autre aspect inquiétant est sa tendance à abattre les valeurs de la civilisation occidentale, la première desquelles étant la distinction imperméable entre le politique et le religieux […] ».

«L’intégration doit être raisonnable et on ne peut pas ouvrir les portes comme si c’était la fête, sans mettre en évidence les coûts économiques, humains et culturels de l’immigration, parce que cela serait faire preuve d’un aveuglement idéologique. Je suis catholique et même si je suis pour l’accueil de réfugiés, cet accueil ne peut se faire sans mesure parce qu’autrement il mènerait à l’écrasement et l’élimination de notre société […] ».

Source

Lydia Guirous : “On ne peut plus continuer attentats après attentats à dire que ça n’a rien à voir avec l’islam”

 

Source, Document et Video

Le non-remplacement

France Gall vient de nous quitter. Elle a rejoint le Père éternel et tout-puissant juste après Johnny. Et il me vient cette question, comme souvent après la disparition des grands monstres de la chanson française. Qui va la remplacer ? Je cherche… et l’angoisse me reprend, comme à chaque fois. Rien… le grand vide. Les autres grands monstres disparus depuis longtemps : Brel en 1978, Brassens en 1981, Ferré en 1993… et personne pour les remplacer.

L’Église nous demande à nous, fidèles, de prier pour les vocations de prêtre, car elle (l’Église) sait que les vocations de prêtre ne se trouvent pas sous le sabot du cheval. Alors, bêtement, je supplie : Seigneur, donne nous des poètes, des auteurs, compositeurs, interprètes dignes de ce nom. Car quand je parcours les ondes, je suis saisi d’effroi.

Alors, de quoi s’agit-il ? Que manque-t-il à la France ?

Certains, comme Renaud Camus, vont encore nous assommer : la cause du non-remplacement ? Ne cherchez pas : c’est le Grand Remplacement.

Alors me revient ce souvenir émouvant : un soir d’été, assis sur les quais de la Garonne, je pianotais sur mon vieux diatonique quelques airs tirés de la chanson française du répertoire de Marc Perrone (« Mon amant de Saint-Jean », « Trois petites notes de musique », « La Javanaise », etc.). Autour de moi, très vite, un groupe de beurettes excitées deviennent vite mes meilleures groupies avec des applaudissements nourris. Elles connaissaient mieux que moi les paroles des chansons. Bref, le Grand Remplacement, désolé, ça ne marche pas.

 Alors ? Faut-il reconnaître, avec Philippe Sollers 1, que « tout le monde en convient dans l’indifférence quasi générale : la poésie n’en finit pas de disparaître, elle s’éteint, elle se dissout dans le sentimentalisme ou la préciosité moisie… » Mais, admet-il, « cette volonté d’élimination de la poésie et de la pensée ne provient pas, d’ailleurs, d’une mauvaise volonté ou d’une méchanceté proprement “humaine”. Elle est conforme à la puissance mondiale de la technique, au marché, au spectacle, au bruitage incessant d’un présent perpétuel ne faisant qu’empirer… » Voilà, ajoute-t-il, em> »il n’y a pas de crise de la poésie. Il n’y a qu’un immense et continuel complot social pour nous empêcher de la voir ».

Mais j’irai plus loin que Sollers. Ce que nous vivons n’est pas seulement une crise de la poésie. Cette crise n’est que la conséquence d’une crise bien plus profonde et qui est d’ordre spirituel. Comme je l’ai déjà dit dans ces colonnes, nous sommes sous une emprise matérialiste d’ampleur cosmique dont nous aurons du mal à nous débarrasser sans l’aide d’une armée céleste. J’anime tous les jeudis, avec un ami anglais, un atelier de chant grégorien dans une très ancienne église d’une capitale de province. Pas moins de quatre musulmans ont participé à cet atelier, fascinés par la profondeur de ce chant dont Saint-Ex disait : « Il n’y a qu’un problème, un seul de par le monde. Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien. On ne peut vivre de frigidaires, de politique, de bilans et de mots croisés, voyez-vous! On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour. Rien qu’à entendre un chant villageois du 15e siècle, on mesure la pente descendue. Il ne reste rien que la voix du robot de la propagande (pardonnez-moi). Deux milliards d’hommes n’entendent plus que le robot, ne comprennent plus que le robot, se font robots » 2.

Ouvrons les yeux. Admettons-le une fois pour toutes. La France n’est pas seulement déchristianisée, elle est déspiritualisée, ce qui est plus grave. Le manque, le vide de créativité que nous constatons en sont la meilleure preuve et devraient nous faire réagir.

 

Notes:

  1. Le Monde, 13 janvier 1995

 

  • Lettre au général X, le 30 juillet 1944, dernière lettre écrite la veille de sa mort par Antoine de Saint-Exupéry

Frédéric Marc

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mardi, 09 janvier 2018

Le CSA lutte pour la diversité – JT TVL lundi 8 janvier 2018

Les blancs trop présents à l’antenne. Selon le Conseil supérieur de l’audiovisuel, la diversité n’est pas encore assez représentée à la télévision malgré l’apport des séries américaines. Un rapport ethnique alors même que les statistiques de ce type sont interdites en France.

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L’Autriche et le Danemark veulent un couvre-feu pou

Les gouvernements de l’Autriche comme du Danemark étudient la possibilité d’instaurer un couvre-feu pour les jeunes migrants.

En Autriche, c’est le vice-chancelier Heinz-Christian Strache qui est à l’origine de cette idée. Il suggère également que l’Etat reprenne à son compte la prise en charge des réfugiés actuellement assurée par des ONG.

Le tout nouveau gouvernement de droite en Autriche veut clairement travailler sur un durcissement des lois sur le droit d’asile. Dans le programme de télévision « Wien heute »   le vice-premier ministre a proposé de loger les réfugiés dans des baraquements vides. Il envisage également l’instauration d’un couvre-feu. Les réfugiés devront être présents à la caserne à partir d’une certaine heure tant qu’ils feront l’objet d’une procédure d’examen d’octroi du droit d’asile, a dit Strache (à droite sur l’image ci-dessous, aux côtés du  chancelier Sebastian Kurz).

Une procédure d’asile plus stricte

À la mi-décembre les deux partis du gouvernement ÖVP et FPÖ avaient proposé un durcissement de la procédure d’asile. Désormais, les réfugiés devront remettre leur argent liquide et leurs téléphones cellulaires au gouvernement à leur arrivée . De cette façon, il sera possible de retracer la route qu’ils ont suivie pour atteindre l’Autriche.

De plus, les réfugiés n’obtiendraient plus qu’une aide non-financière. Leurs enfants seraient éduqués dans des écoles spéciales conçues pour eux. En outre, le secret médical pourrait être facilement levé dans le cas d’un demandeur d’asile.

Les politiciens d’autres pays de l’UE ont exprimé leur préoccupation au cours des dernières semaines au sujet du virage à droite de l’Autriche. Certains on demandé aux ministres européens de ne pas chercher à entrer en contact avec les représentants du FPÖ. Mais le Commissaire européen Juncker a déjà dit qu’il jugerait le nouveau gouvernement de Vienne sur ses actions. A partir du second semestre de cette année, l’Autriche reprendra en effet la présidence tournante de l’UE.

Au Danemark : la peur des sociétés parallèles

Au Danemark, le parti d’extrême-droite populiste Parti du peuple danois (Dansk Folkeparti) réclame aussi un couvre-feu. Ce parti soutient la coalition gouvernementale, sans en faire partie.

Le DF est très attaché à la politique d’asile du gouvernement. En 2016, il a suggéré de donner à la police la possibilité d’imposer la détention à domicile pour les migrants mineurs qui s’étaient mal comportés. Cette demande faisait suite à l’indignation provoquée par les agressions sexuelles commises sur des jeunes femmes par des demandeurs d’asile âgés d’entre quatorze et dix-sept ans d’un centre d’hébergement de Tullebølle. Celles-ci auraient été commises pendant le festival de musique Langeland, qui se tenait sur l’île de Fionie.

Les demandeurs d’asile déboutés exilés sur île déserte

En décembre, le DF avait déjà proposé d’exiler les demandeurs d’asile déboutés sur une ou plusieurs des 300 îles inhabitées au large de la côte danoise. À l’heure actuelle, près d’un millier de demandeurs d’asile déboutés au Danemark attendent leur expulsion.

La ministre danoise de l’Immigration Inger Støjberg (notre photo ci-dessous) a indiqué qu’elle était prête à examiner ce projet. Selon elle, celui-ci est intéressant, mais pas immédiatement réalisable.

Selon le DF les enfants de moins de 18 ans qui vivent dans des centres pour migrants ne devraient pas être autorisés à sortir dans les rues après 20 heures. Cela non seulement pour leur propre sécurité, mais aussi pour éviter qu’ils s’impliquent eux-mêmes dans des activités criminelles.

Le Premier ministre danois Lars Løkke Rasmussen (notre photo ci-dessous) avait déjà affirmé qu’il voulait résoudre les problèmes des ghettos du pays. Il est par exemple question de détruire les vieux immeubles et de déplacer les migrants vers d’autres quartiers.

En septembre, Rasmussen avait déjà mis en garde contre l’émergence de sociétés parallèles et de potentielles zones interdites au Danemark.

Immigration. Le nombre d’algériens demandeurs d’asile en France explose

Le nombre des algériens ayant demandé l’asile politique en France a connu une très forte hausse au cours de l’année 2017, a indiqué l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra).

Selon les chiffres révélés par la même source, 2.456 demandes d’asile ont été déposées par des algériens en France au cour de l’année 2017, un chiffre en hausse d’environs 24% par rapport à l’année 2016. Sur les 2.456 demandes, seul un pourcentage de 6,1% ont été acceptées, a précisé la même source. Un total de 100.412 demandes d’asile a été enregistré en France au cours de l’année écoulée, un chiffre qualifié de «  niveau historique » par Pascal Brice, directeur général de l’Ofpra cité par l’AFP.

Concernant les principaux pays demandeurs d’asile, l’Albanie s’est classée en première position, suivie de l’Afghanistan et d’Haïti.


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Migrants: Valérie Pécresse déplore «plus de 100 bidonvilles» en Ile-de-France

 

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Immigration : près de 50% des Français valident la théorie du "Grand remplacement"

 

 

 

Une enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch réalisée par l'Ifop révèle le rapport très sensible des Français à l'immigration. 72 % sont inquiets devant celle-ci. La Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch ont mené une étude pour estimer les croyances des Français en matière de théorie du complot. Au milieu de questions concernant la mort de Kennedy, l'apparition du Sida ou le pouvoir des laboratoires pharmaceutiques, une partie de l'enquête s'est arrêtée sur le rapport des Français à l'immigration. Les résultats sont sans appel, 72 % des Français sont "tout à fait d'accord" avec l'idée que "l'immigration est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme [leur] mode de vie".

Dans le détail, quelle que soit l'orientation politique, le consentement est quasi unanime. A la question citée supra, 90 % des électeurs de Marine Le Pen, 86 % de François Fillon, 62 % de l'électorat d'Emmanuel Macron et même 61 % de celui de Jean-Luc Mélenchon ont répondu "Tout à fait d'accord".
 
Un autre élément de l'enquête met en lumière le faible sentiment de confiance des Français envers leur élite. Près d'un Français sur deux (48 %) valide le "Grand remplacement", cette théorie qui suggère que "l’immigration est un projet politique de remplacement d’une civilisation par une autre organisée délibérément par nos élites politiques, intellectuelles et médiatiques et auquel il convient de mettre fin en renvoyant ces populations d’où elles viennent".
 
[...]
 
En savoir plus sur valeursactuelles.com
 

Une mosquée avec minaret sur un terrain cédé par Les Républicains à Haguenau

 

La-mosquee-El-Fath-de-Haguenau-2De l'Observatoire de l'islamisation :

"La mosquée monumentale de Haguenau dans le Bas-Rhin est presque terminée, cette photo a été prise en novembre 2017. Rien n’aurait été possible sans le terrain municipal mis à disposition par la droite de Laurent Wauquiez. Le site musulman Dômes et Minarets, le mieux informé sur ces constructions, précise :  « En 2010, l’association a fait une demande de terrain auprès de la mairie qui a mis à disposition 40 hectares rue Ettore-Bugatti via un bail emphytéotique de 50 ans. En septembre 2015, le permis de construire a été délivré. »

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Immigration. Plus de 100 000 demandes d’asile en 2017, du jamais vu en France

Le nombre de demandes d’asile a atteint un plus haut historique l’an dernier, selon les données de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides.

En 2017, la France a enregistré un peu plus de 100 000 demandes d’asile. « Un niveau historique », selon Pascal Brice, directeur général de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides).

 

Il y avait moins de 20 000 demandes en 1981, année la plus ancienne pour laquelle l’Ofpra a fourni des données.

« Pas un afflux massif »

Les demandes d’asile ont augmenté de 17 % l’an dernier, atteignant 100 412 au total, après une progression de 6,5 % en 2016. Une hausse « soutenue » même si « ce n’est pas un afflux massif », estime Pascal Brice.

« Cela confirme que la France est dans les tout premiers pays de la demande d’asile en Europe », notamment derrière l’Allemagne qui s’attend à un peu moins de 200 000 dossiers cette année.

Toutefois, pour avoir une vision exhaustive, il faut ajouter à ces chiffres ceux des migrants n’ayant pas encore déposé leur dossier à l’Ofpra. La première étape de la procédure se fait en effet en préfecture, qui examine si les personnes relèvent d’un autre pays européen pour leur demande (au titre du règlement « Dublin »).

Dans une circulaire fin novembre, Gérard Collomb estimait qu'« aujourd’hui, près de 52 % des demandeurs » relevaient de cette procédure « Dublin ».

Les Albanais et les Afghans les plus nombreux

Au nom de la « fermeté », le ministre de l’Intérieur a fait du transfert de ces migrants l’une de ses priorités (le taux plafonne à 10 % actuellement), contrepartie d’un accueil plus « digne » des réfugiés.

Le « taux d’accord », qui permet aux demandeurs de devenir réfugiés, a fléchi, passant de 38 % en 2016 à 36 % l’an dernier. Une baisse qui s’explique, selon Pascal Brice, par la situation de ressortissants comme ceux d’Albanie.

L’an dernier, le premier pays d’origine des demandeurs d’asile a en effet été l’Albanie, avec 7 630 demandes (hors mineurs accompagnants), soit une hausse de 66 %. L’Albanie étant considéré comme « d’origine sûre », l’Ofpra n’a accordé sa protection qu’à 6,5 % des demandeurs.

Ce phénomène, « cyclique » et « lié à une émigration économique » selon Pascal Brice, préoccupe les autorités françaises et albanaises, qui ont lancé cet été un plan d’action pour lutter contre les réseaux d’immigration irrégulière.

 

Pascal Brice, directeur général de l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides).

Deuxième pays d’origine des demandeurs, l’Afghanistan a représenté 5 987 demandes (+6 %), avec un taux de protection de 83 %. Mais les migrants afghans arrivés l’an dernier en France sont sans doute plus nombreux du fait du nombre élevé de « dublinés » parmi eux, notamment après un passage en Allemagne.

Hausse des demandes de ressortissants d’Afrique de l’Ouest

Viennent ensuite les ressortissants d’Haïti (nombre de dossiers stable à 4 934), du fait du niveau toujours élevé de demandes en Guyane, puis les Soudanais (-24 % à 4 486), et les Guinéens qui ont été 3 780 à solliciter l’asile, soit un bond de 62 %.

On observe une forte progression des ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest et francophone, notamment des Ivoiriens dont le nombre a plus que doublé (3 243) parmi les demandeurs d’asile et des ressortissants de République démocratique du Congo (+15 %, à 2 941).

« Cela reflète le phénomène des traversées via la Libye vers l’Europe », commente le responsable de l’Ofpra.

Délai d’attente en baisse

Malgré un taux de protection très élevé (95 %), les Syriens, souvent arrivés via des programmes de réinstallation, ont en revanche été moins nombreux à solliciter l’asile en France l’an dernier, avec une baisse de 10 %, atteignant 3 249 demandes.

Enfin le délai moyen d’attente « est tombé à près de trois mois », a précisé Pascal Brice. Il assure que l’Ofpra « poursuit ses efforts pour atteindre en 2018 l’objectif des deux mois » fixé par Emmanuel Macron, « dans le strict respect des droits de chaque demandeur ».

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La Turquie enquête sur l'islamophobie en Europe, notamment en Belgique

Le parlement turc s'inquiète du traitement infligé à des musulmans en Europe. L'assemblée souhaite dès lors mener une enquête sur l'islamophobie dans quatre pays du Vieux Continent, dont la Belgique, rapportent lundi les journaux flamands Het Nieuwsblad, Gazet van Antwerpen et De Standaard.

Source

72% des Français considèrent que « l’immigration est un processus inquiétant qui menace à terme notre mode de vie »

L’adhésion à différentes affirmations sur l’immigration

Question : Pour chacune des opinions suivantes que l’on peut entendre à propos de l’immigration, indiquez si vous êtes tout à fait d’accord, plutôt d’accord, plutôt pas d’accord ou pas d’accord du tout.

Question : C’est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme notre mode de vie

Source

Une enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch, en lien avec l’Ifop et relayée par franceinfo, dévoile pour la première fois les croyances des Français en matière de « fake news »

France TV Info

 
 Extrait de: Source et auteur

 

Laïcité : Macron se fait des illusions

Le 4 janvier, Emmanuel Macron recevait les représentants des cultes pour les vœux annuels. Tout au long de son discours sur la problématique de la laïcité en France, c’est bien celle liée à l’islam qui apparaît entre les lignes, mais qu’il évoque tardivement dans son intervention en jugeant indispensable la structuration de l’islam en France. Le seul problème de taille, c’est qu’il s’adressait, pour ce qui concerne les musulmans, au président du Conseil français du culte musulman, qui souffre d’un manque de représentativité et de légitimité. On peut donc douter de l’impact de son discours !

Comme pour accentuer un amalgame interreligieux, la question de la laïcité est d’abord abordée sous l’angle des questions bioéthiques et de la politique migratoire qui concernent toutes les religions, et non sous l’angle primordial de l’intégration des valeurs républicaines et des droits de l’homme (et de la femme). Problème que seul pose l’islam. Car l’islam, selon la sourate 61, verset 14, doit être placé au-dessus de toute autre religion et a vocation à s’imposer et conquérir le monde. La distinction que notre Président réaffirme entre le religieux et le politique est difficilement compatible avec la religion musulmane, qui est théocratique, où le spirituel et le temporel ne font qu’un, où la Loi réunit religion, morale et droit. L’islam est donc politique par nature et envahit la sphère publique comme la sphère privée. Chacun le voit bien dans sa vie de tous les jours dans les revendications confessionnelles, que ce soit à l’école, dans l’entreprise, les associations, à l’hôpital, sur les plages, etc. Il n’y a qu’Emmanuel Macron qui ne semble pas voir cela ou, plutôt, qui se fait des illusions ! Ceux qui cherchent à établir un rapport de force avec la République et que notre Président déclare vouloir combattre étaient absents, le 4 janvier. On perçoit, d’ailleurs, dans le discours présidentiel une certaine crainte et un doute pour l’avenir.

D’autre part, dans son programme présidentiel, le candidat Macron indiquait vouloir organiser la formation des ministres du culte sur la laïcité, les valeurs de la République et la langue française. Ce sont bien les imams qui étaient visés, alors que ceux-ci ne sont nullement les représentants désignés par leur religion car il n’existe pas de clergé dans l’islam. Dans ces conditions, quelle peut être la portée réelle d’une telle proposition ?

 Pour ce qui concerne la situation à l’école, Emmanuel Macron a promis de développer la connaissance des différentes religions en prévoyant un enseignement spécifique sur le fait religieux. Il veut donc former les enseignants, qu’il reconnaît être placés dans des situations d’extrême difficulté, afin qu’ils soient armés pour expliquer l’histoire de notre pays, mais aussi le fait religieux dans sa plénitude. Là encore, c’est bien le côté réfractaire d’une partie de la communauté musulmane à l’instruction de l’école laïque qui pose problème, en vérité. Je ne suis pas sûr du tout que cela va arranger les choses.

Emmanuel Macron a aussi fait preuve d’une certaine flagornerie dans son discours en remerciant les représentants musulmans d’avoir dénoncé et démonté sans faiblir toutes les propagandes qui feraient se retourner des enfants de France contre leur pays et leurs compatriotes. Que je sache, on n’a pas senti la « communauté musulmane » se lever comme un seul homme pour condamner cette « propagande », ou alors cela s’est fait très discrètement. On veut bien croire notre Président, qui a terminé son propos en indiquant qu’« il faut dire les choses aussi telles qu’elles sont, parce que les religions sont structurées différemment nous tâtonnons. Alors tâtonnons ensemble. » On s’en aperçoit !

Philippe Franceschi

Source

Migrants et criminalité : ces chiffres qui tuent

Une « bonne » et une mauvaise nouvelle. La « bonne » : l’ancien ministre de la Justice de Basse-Saxe, un des « Länder » de l’Allemagne, affirme, au terme d’une enquête menée au nom du ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse, et avec le concours de deux autres criminologues, que « les demandeurs d’asile sont très souvent responsables d’infractions pénales ». La mauvaise, ce sont les solutions envisagées pour enrayer cette spirale de violence et les chiffres effrayants d’une autre enquête, celle du PKS, sur laquelle s’est penchée Inès Laufer.

Selon les auteurs, entre 2014 et 2016, le nombre de crimes violents – confirmé par les enquêtes policières – a augmenté de plus de 10 %, « 92,1 % de cette augmentation [étant] imputable aux réfugiés ». Plus de « padamalgam » qui tienne. Et ceux qui voient dans les réfugiés des familles toutes gentilles dans la détresse peuvent ravaler leur salive, les réfugiés étant souvent « des jeunes hommes dans la tranche d’âge où les gens seraient plus criminels », indique le rapport. Ils ont entre 14 et 30 ans, lit-on plus avant.

Mieux (ou pire) : les jeunes Nord-Africains – Marocains, Algériens, Tunisiens – sont « proportionnellement plus fréquents parmi les suspects ». Ces migrants ne viennent donc pas de pays en guerre. Mais ce n’est pas tellement de leur faute, sous-entend cette enquête, car, si ces jeunes hommes deviennent si agressifs, c’est parce qu’ils « font face à un certain rejet, alors que les réfugiés sont beaucoup mieux accueillis » et qu’ils découvrent « le manque de perspective socio-économique ». En outre, ces jeunes hommes pétant de santé libéreraient leur trop-plein d’hormones dans la violence en raison du manque de femmes !

Que préconisent donc ces éminents spécialistes pour recouvrer la paix dans leur pays ? De faire passer les Allemands à la caisse, à savoir « investir des sommes énormes pour un programme de retour » ainsi que, rapport à l’abstinence et l’absence de nounous, encourager le regroupement familial. En sus, des cours de langue, du sport ou des formations qui devraient les aider à se tenir tranquilles. On voit déjà ce que cela a donné…

Passons, maintenant, à l’enquête de la statistique policière sur la criminalité (PKS) décryptée par Inès Laufer. En 2016, les demandeurs d’asile autrement appelés « réfugiés », en termes de criminalité donc, étaient 600 % plus criminels que les Allemands, y compris les Allemands issus de l’immigration et les binationaux. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes :

 Dans une population de 100.000 Allemands, il y a 1.913 suspects.

Dans une population de 100.000 étrangers, il y a 6.847 suspects.
Dans une population de 100.000 « réfugiés », il y a 13.930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l’immigration) : « Refugees welcome! – Flüchtlinge Willkommen! »

Ces enquêtes accablantes qui révèlent au grand jour une relation évidente entre violences en tous genres et des réfugiés devraient donner un coup d’arrêt immédiat à cette mortelle politique immigrationniste, et entraîner l’expulsion pure et simple des ressortissants incriminés. Mais non ! Les zélites continuent de parler de pognon à dépenser et de prévention. Pire : un obscur et apparemment impuissant petit commissaire politique européen, le Grec Dimítris Avramópoulos, nous prévient : « Nous ne pouvons pas, nous ne serons jamais capables d’arrêter les migrations. »

Rendez-vous dans un an pour d’autres chiffres aussi édifiants. Dans dix ans, eu égard aux desseins de l’Union européenne de transformer radicalement le continent, ce sera… une autre Histoire.

Caroline Artus

Source

Immigration : près de 50% des Français valident la théorie du "Grand remplacement"

Une enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch réalisée par l'Ifop révèle le rapport très sensible des Français à l'immigration. 72 % sont inquiets devant celle-ci.

La Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch ont mené une étude pour estimer les croyances des Français en matière de théorie du complot. Au milieu de questions concernant la mort de Kennedy, l'apparition du Sida ou le pouvoir des laboratoires pharmaceutiques, une partie de l'enquête s'est arrêtée sur le rapport des Français à l'immigration. Les résultats sont sans appel, 72 % des Français sont "tout à fait d'accord" avec l'idée que "l'immigration est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme [leur] mode de vie".

Immigration, Sida, CIA...

Dans le détail, quelle que soit l'orientation politique, le consentement est quasi unanime. A la question citée supra, 90 % des électeurs de Marine Le Pen, 86 % de François Fillon, 62 % de l'électorat d'Emmanuel Macron et même 61 % de celui de Jean-Luc Mélenchon ont répondu "Tout à fait d'accord".

Un autre élément de l'enquête met en lumière le faible sentiment de confiance des Français envers leur élite. Près d'un Français sur deux (48 %) valide le "Grand remplacement", cette théorie qui suggère que "l’immigration est un projet politique de remplacement d’une civilisation par une autre organisée délibérément par nos élites politiques, intellectuelles et médiatiques et auquel il convient de mettre fin en renvoyant ces populations d’où elles viennent".

Au-delà des questions liées à l'immigration, cette enquête d'opinion a également révélé la tendance des Français à souscrire au complotisme le plus farfelu. Ainsi, 35 % des interrogés pensent que les élections en France ne sont pas assez transparentes, 29 % que le gouvernement américain est compromis dans les attentats du 11-septembre, et 32 % que le virus du sida a été créé en laboratoire et testé sur la population africaine avant de se répandre à travers le monde.

En outre, 55% des Français pensent que « le ministère de la santé est de mèche avec l’industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins », 31%, que « les groupes terroristes djihadistes comme Al-Qaïda ou Daech sont en réalité manipulés par les services secrets occidentaux », 16%, que « les Américains ne sont jamais allés sur la lune » et même 9% qu’« il est possible que la Terre soit plate… ».

Gravité et réalité du génocide des juifs

À propos de la gravité et de la réalité du génocide des juifs, 74% des Français affirment que « c’est un crime monstrueux », 24 % que « c’est un drame parmi d’autres de cette guerre qui a fait beaucoup de victimes », 2% que « c’est une exagération, il y a eu des morts mais beaucoup moins qu’on le dit » et 0% que « c’est une invention, tout cela n’a jamais existé ».

Mais dans le détail, l’étude indique que 4% des sympathisants de gauche et de la France insoumise pensent que « c’est une exagération », contre 2% à droite et au FN. En outre, 3% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon et 2% des électeurs de Benoît Hamon pensent que « c’est une invention », soit trois et deux plus que les électeurs de Marine Le Pen (1%).

Attentats de 2015

À propos des attentats contre Charlie Hebdo et le magasin Hypercacher en janvier 2015, 78% des Français pensent qu’« il est certain que ces attentats ont été planifiés et réalisés par des terroristes islamistes », 19%, que « des zones d’ombre subsistent et ce n’est pas vraiment certain que ces attentats ont été planifiés et réalisés uniquement par des terroristes islamistes et 3% qu’« il s’agit d’une manipulation dans laquelle des services secrets ont joué un rôle déterminant ».

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lundi, 08 janvier 2018

Immigration : près de 50% des Français valident la théorie du "Grand remplacement"

Opinion. Une enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch réalisée par l'Ifop révèle le rapport très sensible des Français à l'immigration. 72 % sont inquiets devant celle-ci.

La Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch ont mené une étude pour estimer les croyances des Français en matière de théorie du complot. Au milieu de questions concernant la mort de Kennedy, l'apparition du Sida ou le pouvoir des laboratoires pharmaceutiques, une partie de l'enquête s'est arrêtée sur le rapport des Français à l'immigration. Les résultats sont sans appel, 72 % des Français sont "tout à fait d'accord" avec l'idée que "l'immigration est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme [leur] mode de vie".

Immigration, Sida, CIA...

Dans le détail, quelle que soit l'orientation politique, le consentement est quasi unanime. A la question citée supra, 90 % des électeurs de Marine Le Pen, 86 % de François Fillon, 62 % de l'électorat d'Emmanuel Macron et même 61 % de celui de Jean-Luc Mélenchon ont répondu "Tout à fait d'accord".

Un autre élément de l'enquête met en lumière le faible sentiment de confiance des Français envers leur élite. Près d'un Français sur deux (48 %) valide le "Grand remplacement", cette théorie qui suggère que "l’immigration est un projet politique de remplacement d’une civilisation par une autre organisée délibérément par nos élites politiques, intellectuelles et médiatiques et auquel il convient de mettre fin en renvoyant ces populations d’où elles viennent".

Au-delà des questions liées à l'immigration, cette enquête d'opinion a également révélé la tendance des Français à souscrire au complotisme le plus farfelu. Ainsi, 35 % des interrogés pensent que les élections en France ne sont pas assez transparentes, 29 % que le gouvernement américain est compromis dans les attentats du 11-septembre, et 32 % que le virus du sida a été créé en laboratoire et testé sur la population africaine avant de se répandre à travers le monde.

Une enquête sur 1252 personnes

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, complété par un échantillon de 252 personnes de moins de 35 ans, qui ont été remises à leurs poids réel au sein de l’échantillon lors du traitement statistique des résultats. Au total, 1 252 personnes ont été interrogées.

Source

72% des Français considèrent que « l’immigration est un processus inquiétant qui menace à terme notre mode de vie »

L’adhésion à différentes affirmations sur l’immigration

Question : Pour chacune des opinions suivantes que l’on peut entendre à propos de l’immigration, indiquez si vous êtes tout à fait d’accord, plutôt d’accord, plutôt pas d’accord ou pas d’accord du tout.

Question : C’est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme notre mode de vie

Une enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch, en lien avec l’Ifop et relayée par franceinfo, dévoile pour la première fois les croyances des Français en matière de « fake news »

France TV Info

Source

 

Voitures brûlées, tirs, braquages et agressions : le bilan du nouvel an en Bretagne ...

La nuit du nouvel an a à nouveau été très animée, tant en Bretagne historique qu’en France. Nous nous sommes livrés à un recensement détaillé de la délinquance de voie publique dans les cinq départements bretons, d’Ouessant à Clisson, du 23 décembre au 2 janvier.

Sur l’ensemble de la France, le Ministère de l’Intérieur a avoué 1031 voitures brûlées, 510 gardes à vue, 8 policiers, 3 militaires de l’opération Sentinelle et 3 gendarmes blessés. En Bretagne, 55 voitures ont brûlé dont près de 40 à Nantes et son agglomération.

En Bretagne, l’année commençait par une bonne soufflante – ou une petite brise bretonne légère. La tempête Carmen, ses arbres arrachés, ses poteaux d’électricité tombés, le poulailler sur les quatre voies, des multiples interventions de pompiers un peu partout. En France, l’actualité était dominée par les multiples agressions des membres des forces de l’ordre.

En France, outre le lynchage d’une policière à Champigny qui a fait ressortir la ghettoïsation volontaire de bien des quartiers sensibles et l’échec au moins partiel de la politique de rénovation urbaine (ANRU), des policiers et gendarmes ont été agressés à plusieurs reprises. A Stains (93) le 30 décembre alors qu’ils venaient de sauver trois enfants des flammes, à Aulnay-sous-Bois (93) le 1er janvier à 18h, à Cailloux-sur-Fontaine (Rhône) le 1er janvier à 3h du matin. Et ce sans compter les multiples agressions de pompiers, notamment dans le sud de la France à Noël – à Bordeaux (les Aubiers) le 24 au soir, à Millau et Decazeville le 25, à Rillieux la Pape (69) le 27, à Toulouse (la Reynerie) le 31 à 18h30, à Saint-Jacques de la Landes, près de Rennes, le 1er janvier…

Du côté des voitures brûlées, là encore, ce sont des villes fort loin de la Bretagne qui se sont illustrées. Parfois bien avant le 31 comme Pont de Vaux (au moins 7 voitures brûlées le 27 décembre), Strasbourg et son Eurométropole (54 voitures incendiées du 24 au 30, encore 75 dans la soirée du 31), Paris et la petite couronne (163 voitures incendiées dans la soirée du 31), Mulhouse et ses environs (30 voitures brûlées dans la soirée du 31), Toulouse (40 voitures brûlées le soir du 31) etc.

Mais selon le sociologue Michel Wieviorka – qui a les moyens de planquer sa voiture au Réveillon visiblement – « c’est avant tout ludique ». Surtout pour les infortunés propriétaires des voitures! ...

Des tirs pour bien finir l’année

En Bretagne, la délinquance de fin d’année a été marquée par des tirs. D’abord à Châteaubriant, au nord de la Loire-Atlantique, le 23 décembre, vers 8h dans la rue Quenillet. Un jeune homme de 19 ans reçoit un plomb dans la cuisse; un homme de 32 ans est arrêté. Il avait déjà été condamné quatre fois pour violences.

Une dispute aurait éclaté sur fond d’alcool – elle fait réagir jusqu’au maire Alain Hunault dans les colonnes de nos confrères d’Ouest-France (24/12) : « On ne va pas admettre de recevoir tout un tas de gens qui n’ont rien à voir avec Châteaubriant et surtout rien à y faire ». C’est qu’elle se corrèle avec une augmentation de la délinquance et de la population d’origine immigrée dans le cœur historique de Châteaubriant, depuis plusieurs années – les HLM de Nantes y envoient certains de leurs locataires difficiles, comme Paimboeuf accueille ceux de Saint-Nazaire.

Très logiquement, l’association Solimée qui milite pour que Châteaubriant et ses environs accueillent massivement des migrants et des demandeurs d’asile monte au créneau contre le maire : «  Doit-on comprendre que M. le maire, au moment où l’humanité a besoin de fraternité, de solidarité et de bienveillance, voudrait instituer un droit d’entrer dans la ville et réduire le droit à circuler librement ? », tout en reconnaissant que le maire puisse être « excédé » par la délinquance récente « voitures brûlées ,vols, agressions ». Lesdites voitures ont brûlé à plusieurs reprises à la Ville aux Roses, en novembre et décembre 2017. Le maire ne s’est pas laissé faire et s’est montré remonté contre le « ridicule chantage moral » de l’association.

Loin de Châteaubriant, un nouvel épisode de règlements de comptes entre bandes de quartiers sensibles se déroule à Nantes le 25 décembre : un jeune homme poursuivi par deux autres, le 25/12 vers 14h30 rue Alain Colas, à quelques centaines de mètres du Conseil régional. Un des poursuivants est armé d’un pistolet; le jeune est blessé au pied. La victime a refusé de se faire opérer et de signer son PV d’audition – du reste, elle est défavorablement connue des forces de l’ordre, et de type.....

Suite, source et document

Les salafistes investissent les mosquées inachevées

Des mosquées inachevées sont investies par les salafistes, qui imposent leur loi aux fonctionnaires du ministère des Affaires religieuses. Un cahier des charges a été confectionné pour la gestion des mosquées du temps de l’ancien ministre des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah, pour la gestion des mosquées. Son successeur, Mohamed Aïssa, l’a mis sous le coude.

C’était la tour d’un ranch». Ce jeune habitant de Laâqiba, à Belouizdad (Alger), s’étonne que le minaret de la mosquée de son quartier, «Nadi El Islah», soit resté en l’état très longtemps : des bouts de ferraille. Situé à la rue Ben Ali Khodja, devenue après les opérations de démolition un cul-de-sac, l’édifice est toujours fermé. Une nouveauté pourtant depuis quelques semaines, un minaret, typique des mosquées maghrébines, prend la place de la tour de ferraille.

Mais si les gros œuvres sont achevés, l’intérieur de l’édifice est toujours en travaux. Juste en face, un espace de prière que rien ne distingue des autres constructions délabrées du quartier accueille des fidèles. Une plaque vissée au mur d’une habitation informe qu’un compte CCP et un numéro de téléphone sont mis à la disposition des «mouhsinine» (bienfaiteurs) qui participeront à l’achèvement des travaux. «Des opérations de démolition à cet endroit devaient être lancées en 2010.

L’APC n’a pas l’argent pour aider à la construction de cette mosquée. C’est donc un ‘‘mohsin’’ du quartier qui s’est occupé du minbar. Dernièrement, l’un des cinq ouvriers a chuté du haut de la structure, mais s’en est heureusement sorti avec des petites fractures aux pieds», signale un commerçant.

Si la mosquée du vieux quartier de Belouizdad est en cours d’achèvement grâce à un comité de mosquée très entreprenant, ce n’est pas le cas de centaines d’autres construites au centre ou dans les nouveaux lotissements, coopératives ou sites AADL à la périphérie de la capitale. Confiées à des comités privés, comme le permet la loi (décret 91-81 du 23 mars 1991), des mosquées ouvertes aux fidèles sont laissées en l’état.

 
 
 
 
 

Cette situation a eu une conséquence : chargés des opérations, des comités de mosquées, dont les membres sont des salafistes, réussissent à gérer la mosquée, même avec ou contre un imam fonctionnaire dûment désigné par la direction des affaires religieuses.
La pression du courant wahhabite pour le contrôle des mosquées est permanente, d’autant que les pouvoirs publics ne peuvent ni construire ces lieux ni pourvoir à la gestion.

A Bachdjarrah, l’imam, fonctionnaire de l’Etat, installé dans la mosquée inachevée du site de bidonville Boumaaza, démoli récemment à la faveur d’une opération RHP, l’a appris à ses dépens. «Il a été agressé à l’arme blanche. Son agresseur, sous le contrôle des groupes salafistes, n’aurait pas apprécié un avis religieux de l’imam. La police a enquêté. L’imam, qui a visiblement pris peur, a fini par pardonner à son agresseur», raconte un résident du quartier, qui affirme qu’il n’a plus remis les pieds dans cette mosquée depuis que de jeunes wahhabites, «à l’accoutrement très hip-hop» ont fortement investi les lieux.

Sur les 30 000 mosquées ouvertes à travers le pays, 16 000, construites parfois depuis les années 1980, seraient inachevés. A Alger, 30% des 640 mosquées réalisées et ouvertes sont toujours en construction.

Raison : les projets sont lancés souvent par des particuliers (comité de mosquée et/ ou personne physique ou morale).
Et les projets sont restés inachevés, parfois pour l’absence de fonds. Mais il y a une autre raison : le contrôle de la mosquée. «A Mohammadia, une mosquée construite dans la coopérative a failli basculer vers le salafisme. Les jeunes qui la gèrent ont mis la main sur tout, sur la sono, les livres...

L’imam était pourtant désigné par les autorités», signale un habitant, qui a remarqué que tous les lotissements construits sur les Exploitations (EAC, EAI) connaissent une forte tension à cause des frictions entre de jeunes wahhabites en herbe et des fonctionnaires du Wakf.
Pour la direction des affaires religieuses à Alger, si le gros des bâtisseurs sont les comités de mosquées ou des personnes physiques, l’«Etat a ses exigences» «Nos services exigent des donateurs de signer un engagement écrit clair, avec des clauses où il est stipulé qu’il y aura un suivi de notre part du chantier du début jusqu’à la livraison du site et de son exploitation.

Nous tenons aussi au respect du modèle national dans la construction de ces lieux. Il nous arrive aussi de soutenir les comités de mosquées. C’était le cas à Beni Messous et Rouiba, où une enveloppe financière de 2 milliards a été allouée pour l’achèvement des travaux. Il y a eu parfois des démolitions (Oued Ouchayah, Bordj El Kiffan).

Dans tous les cas, la loi 08-15 sur les constructions inachevées s’applique. Il y a eu des cas», précise le directeur des affaires religieuses et du wakf de la wilaya d’Alger, Zoheir Boudraâ. Les opérations de relogement menées par la wilaya ont posé le problème de l’existence des lieux de prière, et les autorités ont eu recours à des «moussalate» (lieux de prière) provisoires, pour répondre à la forte demande des fidèles qui recourent à des caves ou des garages en attendant la construction de mosquées dans leur site. Solution proposée : ouverture de salles dans les rez-de-chaussée des immeubles.

«La wilaya d’Alger a décidé d’aménager des rez-de-chaussée des immeubles AADL en lieux de prière. C’est le cas à Kourifa, Chaïbia, Ouled Fayet…», précise M. Boudraâ. Ce dernier reconnaît l’existence de frictions avec des comités. «Mais dans les mosquées, seul l’imam est maître. Il y a l’obligation de se soumettre au référent national», rassure-t-il, affirmant que toute «déviation» de l’imam fonctionnaire ou du comité est signalée par des fidèles ou des services de sécurité.

Où est le cahier des charges ?

Malgré les assurances, les pouvoirs publics n’ont pas gagné leur bataille contre les salafistes aidés par les forces de l’argent. «Le gros des bienfaiteurs sont des gens de l’informel. La source de l’argent qui sert à la construction n’est pas toujours connue. Les collectes sont certes réglementées et interdites depuis quelques années, mais l’argent des opérations en cours n’est pas facilement contrôlable», signale un cadre du ministère des Affaires religieuses, qui a requis l’anonymat.

Pour lui, l’affrontement avec les salafistes «n’est pas seulement sur les questions doctrinaires, mais aussi dans l’architecture». «L’anarchie a commencé lorsque l’Etat, à travers ses différents décrets (1972, 1991, 2013) relatifs à la construction de la mosquée, a permis aux particuliers de construire des mosquées. Certains ont construit des ‘‘moussalate’’ sur des EAC, dans des ravins, etc. Et comme on le sait, celui qui paye peut contrôler à sa guise le discours développé, et ce, avec tous les risques sur la société», explique-t-il.

Le problème des mosquées inachevées et de leur gestion s’est posé depuis la fin des années 1960 avec la construction de la mosquée Emir Abdelkader de Constantine, confiée à un architecte de renom, Abderrahmane Bouchama. Inaugurée en 1994, après l’engagement d’un bureau d’études de Sonatrach, du génie civil de l’armée, des notabilités locales, le résultat a été très critiqué, vu que l’architecte s’est «contenté», selon ses détracteurs, de s’inspirer du modèle andalou.

Selon un cadre du ministère, remarquant lors de ses visites de terrain l’anarchie dans la construction des mosquées, le président Bouteflika a ordonné au ministre des Affaires religieuses de «mettre de l’ordre dans ce dossier. Sauf que c’est seulement en 2010 que le secrétaire général du ministère des Affaires religieuses, lui-même architecte de formation, a mis en place une commission composée d’architectes, d’historiens, d’archéologues, qui ont organisé des colloques à Oran, Constantine et Alger. Bouzid Boumediene, ancien directeur de la culture islamique au ministère, a présidé certains ateliers qui ont permis d’éditer des publications devant servir de référence pour la rédaction d’un cahier des charges».

Ce document, devant être confectionné en coordination avec les ministères de l’Habitat et l’Intérieur n’a toutefois jamais vu le jour, l’actuel ministre, Mohamed Aïssa, l’aurait mis sous le coude. Des raisons expliquent l’avortement de cette opération prometteuse. «La première est la crainte des responsables de la tutelle que le modèle qui serait adopté n’agréerait pas les ‘‘mouhsinine’’ vu que ces derniers veulent imposer ‘‘leur’’ propre modèle puisque ce sont eux qui payent.

La deuxième est l’influence très importante des salafistes qui sont contre l’architecture actuelle ; pour eux, une mosquée est un édifice sans mihrab, ni minaret... Troisièmement, il serait impossible d’imposer un modèle unique aux populations du Touat, de Béjaïa ou du M’zab. Pour le cadre, le cahier des charges pose le problème de la ‘‘spécificité nationale’’ des mosquées».

 Pour le cadre, le problème se pose pour tous les autres édifices publics qui n’ont pas un cachet local. «Cette marque est certes visible dans les mosquées pôles des chefs-lieux de wilaya, et la mosquée d’Oran, qui a été construite d’abord par les Chinois et ensuite par les Turcs, mais dans l’ensemble l’édifice est ‘‘algérien’’. Le référent doit être algérien à la base», signale-t-il. Un décret est annoncé pour identifier l’«esthétique architecturale» nationale. Mais son adoption prendra encore du temps, nous explique-t-on de source sûre. 

  Nadir Iddir

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Migrants et criminalité : ces chiffres qui tuent

Une « bonne » et une mauvaise nouvelle. La « bonne » : l’ancien ministre de la Justice de Basse-Saxe, un des « Länder » de l’Allemagne, affirme, au terme d’une enquête menée au nom du ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse, et avec le concours de deux autres criminologues, que « les demandeurs d’asile sont très souvent responsables d’infractions pénales ». La mauvaise, ce sont les solutions envisagées pour enrayer cette spirale de violence et les chiffres effrayants d’une autre enquête, celle du PKS, sur laquelle s’est penchée Inès Laufer.

Selon les auteurs, entre 2014 et 2016, le nombre de crimes violents – confirmé par les enquêtes policières – a augmenté de plus de 10 %, « 92,1 % de cette augmentation [étant] imputable aux réfugiés ». Plus de « padamalgam » qui tienne. Et ceux qui voient dans les réfugiés des familles toutes gentilles dans la détresse peuvent ravaler leur salive, les réfugiés étant souvent « des jeunes hommes dans la tranche d’âge où les gens seraient plus criminels », indique le rapport. Ils ont entre 14 et 30 ans, lit-on plus avant.

Mieux (ou pire) : les jeunes Nord-Africains – Marocains, Algériens, Tunisiens – sont « proportionnellement plus fréquents parmi les suspects ». Ces migrants ne viennent donc pas de pays en guerre. Mais ce n’est pas tellement de leur faute, sous-entend cette enquête, car, si ces jeunes hommes deviennent si agressifs, c’est parce qu’ils « font face à un certain rejet, alors que les réfugiés sont beaucoup mieux accueillis » et qu’ils découvrent « le manque de perspective socio-économique ». En outre, ces jeunes hommes pétant de santé libéreraient leur trop-plein d’hormones dans la violence en raison du manque de femmes !

Que préconisent donc ces éminents spécialistes pour recouvrer la paix dans leur pays ? De faire passer les Allemands à la caisse, à savoir « investir des sommes énormes pour un programme de retour » ainsi que, rapport à l’abstinence et l’absence de nounous, encourager le regroupement familial. En sus, des cours de langue, du sport ou des formations qui devraient les aider à se tenir tranquilles. On voit déjà ce que cela a donné…

Passons, maintenant, à l’enquête de la statistique policière sur la criminalité (PKS) décryptée par Inès Laufer. En 2016, les demandeurs d’asile autrement appelés « réfugiés », en termes de criminalité donc, étaient 600 % plus criminels que les Allemands, y compris les Allemands issus de l’immigration et les binationaux. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes :

 Dans une population de 100.000 Allemands, il y a 1.913 suspects.

Dans une population de 100.000 étrangers, il y a 6.847 suspects.
Dans une population de 100.000 « réfugiés », il y a 13.930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l’immigration) : « Refugees welcome! – Flüchtlinge Willkommen! »

Ces enquêtes accablantes qui révèlent au grand jour une relation évidente entre violences en tous genres et des réfugiés devraient donner un coup d’arrêt immédiat à cette mortelle politique immigrationniste, et entraîner l’expulsion pure et simple des ressortissants incriminés. Mais non ! Les zélites continuent de parler de pognon à dépenser et de prévention. Pire : un obscur et apparemment impuissant petit commissaire politique européen, le Grec Dimítris Avramópoulos, nous prévient : « Nous ne pouvons pas, nous ne serons jamais capables d’arrêter les migrations. »

Rendez-vous dans un an pour d’autres chiffres aussi édifiants. Dans dix ans, eu égard aux desseins de l’Union européenne de transformer radicalement le continent, ce sera… une autre Histoire.

Caroline Artus

Source

Immigration clandestine : Plus de 19000 rapatriés de Libye en 2017

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a rapatrié plus de 19 000 immigrants illégaux de Libye en 2017, a déclaré mardi un responsable de l’OIM.

 “Le programme a aidé 19.370 immigrants illégaux à retourner dans leur pays d’origine en 2017 en les transportant par avion vers les capitales de ces pays”, a déclaré Juma Ben-Hassan, coordinateur du Programme de retour volontaire de l’OIM en Libye.

“Les immigrés aidés par l’organisation pour retourner dans leur pays sont de 27 nationalités africaines et asiatiques”, a ajouté Ben-Hassan.

L’OIM et les autorités libyennes ont lancé un programme de rapatriement humanitaire pour renvoyer les immigrants détenus dans les refuges libyens dans leur pays d’origine.

La Libye, qui souffre de l’insécurité et du chaos, est un point de départ important pour les immigrants clandestins qui espèrent traverser la Méditerranée vers les côtes européennes.

Mariam Diallo, Kababachir.com

Abdoul Wahab Barry
 
 

Policiers : ils n’en peuvent plus Hier

Ils n’en peuvent plus d’être mis à toutes les sauces et de servir de cibles vivantes aux terroristes et à l’ultra-gauche. Ils n’en peuvent plus des cadences infernales et des heures supplémentaires qui se succèdent aux dépens de leur vie familiale. Ils n’en peuvent plus des réformes mises en place à chaque changement de gouvernement, pour la glorification d’un ministre de l’Intérieur qui ne fera que passer. Ils n’en peuvent plus d’être cloués au pilori à chaque interpellation qui dégénère. Ils n’en peuvent plus, enfin, d’une hiérarchie qui les envoie au casse-pipe, au seul bénéfice des chapeaux à plumes qui les commandent.

Sans doute le suicide de trois policiers, à Dunkerque, Quimper et Lambersart, en ce tout début d’année 2018 relève-t-il de facteurs complexes et multiples. Mais une chose est certaine : la police nationale est malade, et cette maladie touche tous les niveaux hiérarchiques. Elle est, tout d’abord, malade d’un suremploi né d’une menace terroriste qui dure maintenant depuis plusieurs années. Incapables de voir venir la menace, les gouvernements qui viennent de se succéder, alors qu’il aurait fallu renforcer notre dispositif sécuritaire, l’ont au contraire affaibli en procédant à des diminutions drastiques d’effectifs et en n’anticipant pas le renouvellement des moyens matériels indispensables aux missions de sécurité publique. Elle est malade, ensuite, d’un grave défaut d’organisation, qui a vu peu à peu la chaîne hiérarchique se disloquer au détriment d’une cohésion qui était pourtant indispensable dans le contexte de violence inégalée que notre pays connaît. Elle est malade, enfin, d’un manque de reconnaissance qui veut qu’une présomption de culpabilité systématique pèse sur les policiers lorsque, au péril de leur vie, ils interviennent dans des conditions toujours plus dangereuses.

Oui, c’est une grave crise d’identité qui secoue désormais la police nationale. Et nombreux sont les policiers qui ont de plus en plus de mal à comprendre l’environnement dans lequel ils évoluent. Entre menace terroriste et violences urbaines. Entre police du quotidien et chasse aux trafiquants de tous poils. Entre missions de police-secours et obligation de supporter les injures et les dénigrements, ils ont le sentiment de n’être plus que les laquais d’une société qui les marginalise et les fusibles de politiques qui les exploitent.

 L’année 2017 qui vient de s’achever avait vu le nombre des suicides dans la police augmenter de manière significative. 49 policiers – mais aussi 16 gendarmes – avaient mis fin à leurs jours, faisant des dizaines d’orphelins pour une cause à laquelle il leur devient de plus en plus difficile de croire. Que pèse, en effet, dans un monde d’indifférence et d’individualisme, le don de soi ? Pas grand-chose au regard de la destruction et du malheur d’une famille. Et pourtant, ils sont encore là, par milliers, pour continuer à se battre pour notre bien-être quotidien. Alors n’est-il pas grand temps, au lieu d’élaborer des projets ineptes et déconnectés de la réalité, telle cette police de sécurité du quotidien dont on sait à l’avance à qui elle profitera, d’entamer une vraie réflexion sur la nécessaire recomposition d’une institution à laquelle on demande toujours plus.

Entre 2005 et 2017, ce sont pas moins de 790 policiers qui se sont suicidés. Le plus souvent dans l’indifférence générale. C’est pourtant, par leur geste désespéré, un message fort qu’ils ont voulu faire entendre. Alors, allons-nous rester sourds encore longtemps ?

Olivier Damien

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Trappes (78) : comment le maire PS laïc et chevénementiste a échangé son élection contre la construction d’une mosquée géante pour les Frères Musulmans

Interview de Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin – L’Obs – 4/01/18

Source et Document

dimanche, 07 janvier 2018

Alès : course-poursuite de la police avec un islamiste criant « Allah akbar » et agressant les policiers

Lu dans Le Midi Libre du 5 janvier 2018 (extrait):

[…] Ce 31 décembre, après avoir ressassé dix jours durant un sentiment de trahison concernant la non-virginité hypothétique de sa future épouse, le prévenu, âgé de 21 ans et sans antécédent judiciaire, souhaite prendre conseil auprès d’un imam. Au cours du trajet, vers 12 h 50, l’équipage de police de la BAC le croise inopinément, prêt à s’engager dans le mauvais sens du giratoire de la cathédrale.

Une course-poursuite s’ensuit, à allure modérée, le conducteur grillant cependant plusieurs feux au rouge. Le jeune homme vêtu d’une djellaba de couleur claire, à la barbe fournie, insensible à toute injonction, fait naître, par son comportement, le doute d’une menace terroriste dans l’esprit des fonctionnaires de police. Le véhicule est finalement immobilisé sur la chaussée en direction de Saint-Christol-lèz-Alès, quand le policier entend alors l’homme hurler plusieurs fois “Allah akbar”[…] Lire la suite sur Le Midi Libre

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Les statistiques ethniques sont interdites sauf pour le CSA

 

Capture d’écran 2018-01-05 à 08.10.20Selon un baromètre du CSA, les "personnes non-blanches" (sic) ont été plus représentées à la télévision en 2017. Parmi les 50 000 personnes indexées dans plus de 1000 heures de programmes diffusés par 17 chaînes, le CSA a recensé 19% de personnes non-blanches, contre 16% en 2015. Les personnes perçues comme blanches restent largement majoritaires (81%).

Toutefois, dans les fictions comme dans les autres programmes, les rôles à connotation négative continuent cependant d'être occupés largement par des personnes perçues comme "non-blanches" (31% de ces rôles). Leur proportion est notamment très fortement supérieure dans les activités marginales ou illégales (45%). Il serait intéressant pourtant de faire les mêmes statistiques dans les prisons...

Le CSA a relevé que les personnes vues comme "noires" représentent désormais plus de la moitié des personnes perçues comme "non-blanches" dans les programmes audiovisuels (contre 45% en 2015). Les personnes vues comme "arabes" sont moins nombreuses en 2017 (22% contre 28% en 2015). La proportion des personnes vues comme "asiatiques" a également diminué et passe de 14% en 2015 à 11% en 2017.

On imagine les "sages" du CSA scruter les programmes télévisés et comptabiliser les personnes en fonction de leur couleur de peau...

Capture d’écran 2018-01-05 à 08.10.27Source

Tous les médias avaient diffusé la Fake News « pas de terroristes chez les migrants »

 

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Le soir du Nouvel An, des « gangs de Nord-Africains » ont semé la terreur à Florence

Lu sur FDesouche :

"Les places au pied du Ponte Vecchio ont été investies par une violence insensée, œuvre de gangs de Nord-Africains , dans une explosion d’agressions qui rappellent à quelque chose près ce qui s’est produit il y a deux ans à Cologne. (…) plusieurs victimes de ces bandes se sont retrouvées à l’hôpital. Elles ne se connaissaient pas mais ont partagé ce Nouvel An 2018 gâché.

Diego Capolongo, 28 ans, place de la Repubblica, vers 4h du matin. Résultat : 30 jours d’Itt et des blessures encore bien visibles. Mais il n’est pas le seul, un garçon de 17 ans figure aussi parmi les victimes des violences gratuites. Devant la boutique Apple, il a été frappé d’un coup de tête qui lui a fracturé le nez.

Quatre victimes affirment que les auteurs de ces violences seraient des nord-africains d’une vingtaine d’année. La police enquête en espérant que les caméras de surveillance auront enregistré ces agressions. (…)

Le premier à dénoncer publiquement la violence était Massimo Paesani, oncle de Capolongo et militant au mouvement 5 étoiles. « A 04h10, Place de la République, des dizaines d’Africains du Nord ont effectué un raid contre des citoyens italiens qui venaient de célébrer et de porter un toast à la nouvelle année, » a-t-il déclaré dans un post Facebook."

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