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lundi, 22 janvier 2018

Ne rêvez pas de la Corse, ils nous préparent un cocktail immigrationniste à la mode Tsipras/Polemos

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/20/corse-simeoni...

Excellent article, mon Cher Dan, mais permet moi de brosser un peu plus prosaïquement, le tableau de la situation locale :

L’ île de beauté est à l’image du continent : majoritairement de droite et nationaliste (et même plutôt nationaliste français, comme le confirme les scores du FN à chaque présidentielle) mais dans l’incapacité de se liguer pour faire battre le turlupin socialo-communiste et/ou les turlupins autonomo-indépendantistes…

C’est ce que nous avons vu en 2010 avec l’élection de D.Bucchini –PCF– (!!!…) à la présidence de l’Assemblée de Corse et on l’a revu fin 2017, avec l’abstention record qui découlait de l’absence de coalition des partis de droite en faveur d’un candidat commun crédible et, un peu aussi…à cause du mauvais temps !…
Hé oui, ça compte aussi … De plus en plus, ce seront les vrais militants qui feront les élections et non ceux qui restent couchés ! Il faut sans cesse le rappeler !

Contrairement à l’impression que pourrait laisser ce dernier résultat, il ne s’agit pas là d’un mouvement de réaction identitaire à l’encontre de l’Etat français et qui viserait à sanctionner son laxisme à l’égard de l’immigration-invasion et à l’islamisation rampante.. Non, non, hélas non !

Tout au contraire ! Les turlupins en question ont été les seuls à vilipender les populistes ajacciens qui étaient descendus, spontanément, dans la rue, pour manifester leur colère dans la Cité des Jardins de l’Empereur, suite à l’agression de pompiers par des CPF …

Un article (d’inspiration autonomo-indépendantiste) paru dans Corse-Matin le lendemain traitait même ces manifestants de fachos et de sales racistes !

Il faut rappeler cet état de choses, car il me semble que bien des continentaux ont vu plutôt avec sympathie cette évolution dans les urnes qu’ils ont associée au mouvement populiste précité…

Je regrette que la droite corse n’ait pas cru bon d’attirer l’attention des électeurs sur ce point de détail…

De mon point de vue (et c’est le meilleur !..) ils nous préparent un cocktail Tsipras/Puigdemont/Polemos à la mode corse et comme les RSA, Allocs etc…sont payés à 100% par l’Etat français, je crains fort un développement de la politique électorale clientéliste et immigrationniste, sachant que nous sommes dans une région de France où la population d’origine maghrébine est la plus dense…à l’exception peut-être du 93 ?…
D’ailleurs, bien qu’un soi-disant cordon sanitaire entoure la Corse pour la mettre à l’abri de la submersion migratoire, à ma connaissance, aucun contrôle d’identité n’est effectué à l’arrivée des ferrys Livourne/Bastia…
Sans parler des traversées discrètes Sardaigne/Bonifaccio/Porto Vecchio par des maffieux..
De bonnes raisons de faire connaître RR et RL en Corse.

Source

Les islamistes s’arrêtent maintenant sur les autoroutes pour prier

On connaissait Mohamed dans le RER, Mohamed dans les rues de Clichy, Mohamed à la plage en Corse (avec sa femme en burkini qui demande à « être libre »). Voici la toute dernière création de nos ingénieurs en turban.

http://www.fdesouche.com/941351-tranche-de-vie-italie-mus...

Nous nous trouvons ici près de Varèse, en Lombardie (Italie), et pas (encore) dans une contrée où les barbus sont majoritaires. On remarquera une fois encore qu’ils passent outre cette disposition pour agir à leur guise.

Je ne connais guère ce monsieur, mais je parierais volontiers qu’il impose à ses propres enfants d’attendre une aire d’autoroute pour faire leurs besoins. Il y a des priorités dans la vie, et puis, les enfants sont responsables, eux, au moins.

Le phénomène du « pray on highway » n’est guère nouveau. La preuve avec la vidéo qui suit. La personne que l’on voit s’approcher du prieur est un policier. On imagine au premier abord qu’il vient rappeler ce bigot à la raison. Il n’en est rien.

 

Source et Video

dimanche, 21 janvier 2018

Légitime satisfaction pour l’AGRIF : la Cour d’appel de Lyon condamne « Nique la France »

C’est une heureuse décision rendant justice à l’AGRIF que vient de rendre ce vendredi 12 janvier 2018 la Cour d’appel de Lyon. Elle a en effet condamné les injures racistes anti-françaises perpétrées dans une production rapeuse sous le même titre que le livre « Nique la France », ayant pour auteur le dénommé Saïd Zouggagh, plainte dont elle avait été déboutée par la Cour d’appel de Paris.

 

Mais la Cour de cassation, ayant cassé cet appel d’une manière très sévère sur le fond, avait ordonné que le procès soit déporté devant la Cour d’appel de Lyon. Cette dernière a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts, mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser 3000 € à l’AGRIF pour ses frais de procédure et d’avocat.

 

Cette satisfaction judiciaire marque le combat mené par l’AGRIF face à l’entreprise de haine contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria Bouteldja, porte-parole du PIR ( Parti des Indigènes de la République). Ce parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile, a tenté à ses débuts de s’avancer sous le couvert de l’idéologie de l’antiracisme.

 

Mais nous en avons démonté la dialectique de camouflage, mettant en évidence le fait que, selon notre expression, l’antiracisme est en fait « un racisme en sens contraire ». 

 

L’AGRIF défend, quelle que soit soient leur race, ou leur religion, tous les Français injuriés ou agressés pour le seul fait d’être français. Elle défend notamment les chrétiens, quelle que soit leur origine, discriminés ou persécutés pour le seul fait d’être chrétien.

 

L’arrêt de la Cour d’appel de Lyon manifeste combien est nécessaire le combat de l’AGRIF contre le racisme de l’islamo-gauchisme.

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Terres de mission n°61 : Peut-on encore critiquer l’Islam ?

Terre de missions reçoit François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service Politique. Il fait un point sur l’un des combats actuels majeurs de la Fondation : le combat contre la pornographie. Une démarche qui l’a amené à porter plainte contre le ministère de l’Education nationale pour incitation à la débauche.
En deuxième partie, l’abbé Paul Aulagnier parle de son dernier livre : « A la fin, mon coeur immaculé triomphera ». Ce livre consiste en une lecture ligne à ligne, et même souvent mot à mot, des principales hymnes mariales du bréviaire romain traditionnel. Avec une attention toute particulière à la poésie de ces oeuvres magnifiques, de même qu’à leur admirable densité doctrinale.
Enfin dernière partie, l’abbé Guy Pagès, dont la page Facebook vient, une nouvelle fois, d’être suspendue, discute de la curieuse situation actuelle où, en Occident même, les pouvoirs publics et les grandes sociétés appliquent, d’une certaine façon, la charia, puisqu’ils condamnent toute critique de l’Islam comme une sorte de racisme – condamnant ainsi certains musulmans à demeurer enfermés dans leurs erreurs.

Source et Video

À Fleury-Mérogis, les surveillants de la prison évacués ce matin par les forces de l’ordre

Des incidents ont éclaté vendredi matin entre forces de l’ordre et surveillants pénitentiaires devant la prison de Fleury-Mérogis (Essonne), au quatrième jour de la mobilisation nationale des gardiens pour de meilleures conditions de sécurité. Alors que les gardiens bloquaient l’accès à la plus grande prison d’Europe, les gendarmes mobiles ont forcé le passage peu après 7h et tiré des gaz lacrymogènes pour évacuer les 150 manifestants. La veille, 123 détenus avaient refusé de regagner leurs cellules après la promenade de la mi-journée :

Source et Video

Violences dans les prisons : deux surveillants agressés en Corse

Deux surveillants ont été agressés à l’arme blanche ce vendredi 19 janvier à la maison d’arrêt de Borgo (Haute-Corse). L’agresseur présumé purgeait une peine de dix ans de prison pour un homicide involontaire. Il faisait l’objet d’une surveillance étroite. En effet, des soupçons de radicalisation pesaient sur ses épaules et le parquet de Bastia avait ouvert une enquête préliminaire il y a quelques mois.

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Calais : le boxeur qui déchire la Bible en public…

J’avoue qu’avant qu’on me signale son acte détestable, j’ignorais tout du boxeur Youri Kayembre Kalenga, un franco-congolais de 29 ans. J’ai toujours pensé que prendre des coups sur la tête à la boxe finissait par altérer les capacités du cerveau. La preuve est faite. On lui souhaite autant de courage pour déchirer un coran en public car l’islam m’apparaît un tantinet plus meurtrier et néfaste que le christianisme en Afrique…

Ce jeudi 18 janvier, l’ancien élève de Jo Kimpuani à Gravelines a posté une vidéo sur son compte Facebook. On voit l’un des tout meilleurs mondiaux de la catégorie des poids lourds-légers dans une rue de Calais, où il s’entraîne désormais, brandir la Bible et le Nouveau Testament (autre livre de référence pour les chrétiens). « Cette vidéo, c’est pour tous les chrétiens, tous les Africains », déclare El Toro avant de déchirer les deux ouvrages et de les jeter dans une poubelle. « Cette Bible-là, je la déchire et je l’assume », précise Youri Kalenga en accomplissant son acte.

Source : Le Phare Dunkerquois, 18 janvier (merci M. J. V. pour ce signalement)

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Prisons: 2 surveillants de la prison de Borgo grièvement blessés par un détenu radicalisé

L’agence Reuter, qui cite une source syndicale, annonce que 2 gardiens de la prison de Borgo, en Corse, ont été grièvement blessés ce matin par un détenu islamiste radicalisé.

L’homme était à l’isolement et c’est à l’ouverture de sa cellule qu’il s’est jeté sur les 2 surveillants. « L’un des deux gardiens a été blessé au thorax à coups de couteau, l’autre frappé à la tête. Ce sont des blessures très graves », précise l’Ufap-Unsa Justice. France Bleu Corse confirme cette double agression.

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La loi permet d’ores et déjà de s’opposer au retour des djihadistes en France

Si l’on veut éviter le retour en France des djihadistes, fût-ce pour y être jugés, il faut trouver un moyen de contourner la présomption d’innocence pour les cas de terrorisme flagrant, en s’appuyant sur la notion de flagrance qui a toujours joué un rôle en droit pénal (http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/18/droit-chacun-...) afin de considérer que les djihadistes ont perdu de plein droit, c’est-à-dire sans qu’une décision soit nécessaire, la nationalité française.

Si tel est le cas, la France ne leur doit plus protection, les règles très larges de compétence judiciaire pour juger en France un Français ne trouvent plus à s’appliquer.
Il y a une exclusion de la communauté nationale. Voilà une réforme constitutionnelle qui s’impose.

Je ne vois pas ce qui peut y faire obstacle, car la caducité de plein droit est une notion juridique qui trouve de multiples applications. Elle permet de réaliser un changement juridique en dehors de toute intervention d’un juge pour faire perdre un droit à une personne.
https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/caducit...

Il faudrait donc décider que la participation flagrante à une entreprise terroriste rend de plein droit caduque l’acquisition de la nationalité française (quel qu’en soit le moyen) par l’intéressé. Pas de discrimination entre le converti et le né musulman, le droit du sol et le droit du sang, puisque tous les modes d’acquisition de la nationalité sont concernés.

Ainsi, le djihadiste parti en Syrie ne peut alors prétendre revenir en France.
Les plaintes et l’indignation doivent laisser place à des solutions juridiques dans le respect de l’Etat de droit, autant que c’est possible ; en l’occurrence, ce dernier pourrait recevoir des aménagements pour faire rétroagir une telle réforme, ce qui est possible en cas d’impérieux besoin d’intérêt général, ce qui est bien le cas face à la menace de la nation et la haute trahison de ses intérêts.
http://www.lettredesreseaux.com/P-1495-451-A1-de-la-non-r...

En résumé, on peut d’ores et déjà s’opposer au retour des djihadistes de Syrie. La démonstration :

Les plaintes et l’indignation doivent laisser place à des solutions juridiques dans le respect de l’Etat de droit, autant que c’est possible ; en l’occurrence, ce dernier pourrait recevoir des aménagements pour faire rétroagir une telle réforme, ce qui est possible en cas d’impérieux besoin d’intérêt général, ce qui est bien le cas face à la menace de la nation et la haute trahison de ses intérêts.
http://www.lettredesreseaux.com/P-1495-451-A1-de-la-non-r...

On pourrait d’ores et déjà s’opposer au retour des membres de l’Etat islamique si l’on considère qu’il s’agit juridiquement d’un Etat, qui a eu une population, un gouvernement, un territoire, fût-ce temporairement. Le Code civil prévoit déjà en effet la perte de la nationalité française :
http://resistancerepublicaine.eu/2017/10/04/le-code-civil-permet-la-perte-de-nationalite-du-depute-obono-et-de-tous-les-francais-traitres-a-la-patrie/

En revanche, il faudrait se libérer des textes empêchant de faire des apatrides, une interdiction résultant des traités internationaux. A moins de violer le droit international délibérément, au nom de l’urgence. Nul ne peut opérer de saisie des biens de l’Etat français. Celui-ci reste maître de ne pas obéir à ses engagements internationaux qui n’ont qu’une portée symbolique.
(1) ce peut même être une loi ordinaire qui opèrerait cette modification, car je ne vois pas d’atteinte à un principe constitutionnel actuel dans une telle réforme. La nationalité demeure en effet régie par la loi civile ordinaire, au sein du Code civil. L’avantage est qu’elle pourrait être ainsi adoptée plus facilement. L’importance du changement justifierait cependant a posteriori d’envisager peut-être de l’inscrire dans la Constitution mais simplement à titre symbolique

Et même, a-t-on besoin d’une réforme ?
Le Code civil prévoit déjà la perte de la nationalité française :
http://resistancerepublicaine.eu/2017/10/04/le-code-civil...

Source

Mes parents ont acheté 3 maisons au Mali, ils ont fait venir leurs frères et soeurs en France…

Cette video a été enregistrée le 17 janvier sur la Promenade des Anglais à Nice. Un musulman et une emburkinée ( une Sylvie, convertie… ) viennent dire aux Français que la révolution est en marche, que les musulmans ne veulent pas d’amalgame, qu’ils sont chez eux en France, que la France est une bonne poire qui a permis aux leurs d’investir au Mali, de faire venir d’autres Maliens qui ont envoyé l’argent gagné au Mali à leur tour… Et qu’ils ont bien l’intention de continuer à nous enfler.

Naturellement, le plus gros de la diatribe du bonhomme, c’est « pas d’amalgame »… L’auteur de l’attentat de Nice n’est pas musulman. Et ceux qui parlent mal de l’islam à cause d’un vieux fou furieux sont des racistes.

Si ce Français d’origine malienne parlait bien français, lui qui se dit français, ça nous convaincrait peut-être plus.

Si ce musulman ne répétait pas cent fois en 3 minutes  » je suis musulman, moi, musulman… » ça nous convaincrait peut-être plus.

Si ce musulman prétendant respecter les lois françaises ne s’enregistrait pas avec une emburkinée, ça nous convaincrait peut-être plus.

 Je suis français, d’origine malienne, de confession musulmane.

Je suis français, je suis chez moi en France.

Nous, les musulmans, on va mener une guerre aux racistes, une guerre comme vous n’en avez jamais vu.

La révolution est en marche et personne peut l’arrêter.

Source et Video

Souillac : Jérôme Filippini, Préfet du Lot, ne sait pas que dans les mosquées, on incite à la haine ?

La saga continue. Ou plutôt le bras de fer entre d’un côté Emmanuel Crenne, responsable départemental FN, et, de l’autre, le Préfet Jérôme Filippini,-le procureur-les responsables de la mosquée.

On pourrait penser que tout cela est très disproportionné mais on ne vient pas à bout comme cela d’un Emmanuel Crenne qui se bat et se défend comme un beau diable pour alerter les autorités et la population des risques liés à la mosquée de Souillac que le Préfet refuse de faire fermer.

Nous avons rapporté ce matin les différents épisodes de l’affaire :

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/18/mosquee-de-so...

Depuis, les plaintes tombent dru contre le Conseiller régional FN, d’autant que, cerise sur le gâteau, un petit plaisantin aurait – horresco referens –  envoyé une « lettre de menaces » à la mosquée et déposé la tête d’un cochon brûlé sur la porte d’icelle.

Comme d’habitude, on peut penser que la lettre de « menaces « est sans doute plutôt anecdotique, eu égard à la rhétorique victimaire que l’on lit sur les forums et les comptes facebook ou twitter du CCIF… Et puis, quand on a vécu Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice… pour ne parler que des plus connus, entendre parler de menaces pour une simple lettre ou une tête de cochon, ça pourrait faire doucement rigoler, ça fait en fait hurler.

Naturellement également, l’association qui dirige la mosquée  accuse nommément Emmanuel Crenne d’avoir « armé » la main du petit rigolo… Et il est bien possible que les juges considèrent que ce sont ses tracts, allégations et compagnie qui sont responsables de ces deux terribles attentats !

L’association insiste sur cette transparence et évoque son profond désarroi après avoir découvert « une lettre de menaces et la tête d’un cochon brûlé sur la porte de la mosquée suite aux propos de Monsieur Crenne. 

https://www.ladepeche.fr/article/2018/01/18/2724317-fn-lo...

Jean-Luc Garcia, le journaliste, terriblement objectif, ajoute tout de go :

Deux éléments de plus qui pourraient peser dans la balance de la justice.  S’il le dit… Et il est fort possible qu’il trouverait cela normal, le journaleux qui n’a aucun scrupule à parler de « parti d’extrême-droite » à propos du FN…

Et son confrère de Medialot,Thibaut Souperbie,  se contente de rapporter les propos ahurissants du Préfet sans pointer du doigt ses énormités :

Le préfet du Lot, Jérôme Filippini, a tenu à mettre les points sur les i suite à la conférence de presse d’Emmanuel Crenne du 12 janvier : « A l’occasion d’une conférence de presse, M. Emmanuel Crenne, conseiller régional d’Occitanie, fait état d’informations qui auraient été communiquées par lettre anonyme au parti dont il est le secrétaire départemental, informations qui l’ont amené à me demander de fermer la mosquée de Souillac. De plus, dans un tract intitulé « islamisme, danger à Souillac », M. Crenne fait état d’un certain nombre d’informations, qui reprennent les déclarations qu’il avait faites sur le même sujet le 21 octobre 2017.Je dois tout d’abord contredire une nouvelle fois les affirmations concernant le nombre d’individus fichés S ou faisant l’objet d’une surveillance des services spécialisés dans le département, qui ne correspondent pas à la réalité du Lot, sauf à vouloir créer un climat de peur et de défiance vis à vis de certains de nos concitoyens.Ensuite, je redis ma totale confiance dans l’action des services qui assurent au quotidien, chacun dans leur domaine, la protection des lotoises et des lotois contre le risque terroriste. Il convient en ce domaine de les laisser travailler discrètement et efficacement. Enfin, je rappelle que la fermeture d’un lieu de culte par le préfet est régie par les articles L227-1 et L227-2 du code de la sécurité intérieure. Cette mesure tend expressément à prévenir la commission d’actes de terrorisme, et elle vise uniquement les lieux dans lesquels « les propos qui sont tenus, les idées ou théories qui sont diffusées ou les activités qui s’y déroulent provoquent à la violence, à la haine, à la discrimination, ou provoquent à la commission d’actes de terrorisme ou font l’apologie de tels actes ». Or, à ce jour et en l’état des informations dont je dispose, ni la mosquée de Souillac ni aucun autre lieu de culte du département ne répond aux critères légaux qui pourraient me conduire à engager une procédure de fermeture.»

Lire l’ensemble de l’article ici :

http://medialot.fr/fn-46-mosquee-de-souillac-le-feuilleto...

 

Dans son désir effréné de se justifier, d’expliquer pourquoi, quoi qu’en dise le FN, il ne ferme pas la mosquée de Souillac, le Préfet est très bavard. Trop.

D’abord, il révèle que son premier souci est bien de protéger les musulmans, fût-ce au prix du danger couru par nos concitoyens non musulmans.  Bref, des nouvelles décapitations plutôt que de voir les non musulmans se défier des musulmans susceptibles d’être de futurs terroristes. D’une logique à toute épreuve. Cela s’appelle la politique macronienne. Cela s’appelle la préférence étrangère. Cela s’appelle le non respect d’une des fonctions régaliennes de l’Etat, la sécurité.

Ensuite, et là c’est Byzance, il rappelle qu’il ne peut fermer un lieu de culte que si les propos ou activités qui s’y déroulent provoquent à la haine, à la discrimination, provoquent à la commission d’actes de terrorisme ou font l’apologie de tels actes.

Et ça, c’est du poulet ? 

« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association (d’autres divinités à Allah) et que la religion soit entièrement à Allah seul… » (coran 2.193).

« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association (d’autres divinités à Allah), et que la religion soit entièrement à Allah… » (coran 8.39).

Ibn Jarir a dit : « Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et qu’Allah seul soit adoré sans partenaire ni associé, et que les afflictions et les calamités, qui sont la mécréance et le polythéisme, soient arrachées de la Terre par les esclaves d’Allah, et que la religion soit pour Allah seul, et afin que l’obéissance et l’adoration soient consacrées à lui seul et à personne d’autre ».

Ibn Kathir a dit : « Allah nous a ordonné de combattre les mécréants jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de fitna, c’est-à-dire d’association, et que la religion soit entièrement et seulement consacrée à Allah, c’est-à-dire que la religion d’Allah triomphera de toutes les autres religions ».

Le prophète a dit : « On m’a ordonné de combattre les gens jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’y a de Dieu qu’Allah et que Mohammad est le Messager d’Allah, et qu’ils accomplissent la prière et paient la zaka, s’ils le font, alors ils sauveront leurs vies et leurs biens de moi excepté de la loi islamique, et leur jugement revient à Allah ». (Rapporté par al-Boukhâri et Moslim).

33.27. Et Il vous a fait hériter leur terre, leurs demeures, leurs biens, et aussi une terre que vous n’aviez point foulée. Et Allah est Omnipotent.

« Le Prophète a dit : La Résurrection n’arrivera pas avant que les musulmans ne combattent les Juifs et que les musulmans les tuent. Les musulmans tueront les Juifs, s’en réjouiront, se réjouiront de la victoire d’Allah. Les msulmans tueront les Juifs et ceux-ci se cacheront. » (hadith rapporté notamment par Mouslim 2921 et par Boukhari 2926).

. « Le Messager de Dieu a dit : “Ne viendra l’Heure que lorsque vous combattrez les Juifs, que lorsque la pierre derrière laquelle se cache le Juif dira : « musulman ! Voici un Juif derrière moi, tue-le ! »

. « Le Prophète a dit : Les juifs se cacheront derrière l’arbre et le rocher et l’arbre et le rocher diront « Ô serviteur d’Allah ! Ô musulman ! Il y a un juif derrière moi, viens le tuer. »

Extraits du Coran proposés par notre ami Philippe Jallade, trop tôt disparu, dans différents articles écrits pour Résistance républicaine

J’imagine l’air atterré de Jérôme Filippini… Avec les articles  L227-1 et L227-2 du code de la sécurité intérieure, on devrait, on doit… fermer TOUTES LES MOSQUEES. 

Enfin atterré… Menteur, plutôt. On ne me fera pas croire qu’un Préfet ne reçoit pas suffisamment de rapports de RG pour ne pas savoir ce qui se dit et se fait dans toutes les mosquées.

Le Préfet sait. Collomb sait. Macron sait. Mais reconnaître que, à chaque prière, il se dit des horreurs interdites par la loi dans les mosquées, c’est reconnaître qu’il faut interdire l’islam et fermer toutes les mosquées…. Et alors là, les émeutes, le scandale au niveau international, le pétrole, le gaz… tout ça pour éviter quelques Bataclan, vous n’y pensez pas. La paix des lâches vaut bien quelques centaines de victimes innocentes pour ces policiticiens de merde, comme dirait Trump.

Panique à bord. Alors ils tapent sur ceux qui disent la vérité, alertent, dénoncent, préviennent et voudraient bien, comme Emmanuel Crenne, qu’il n’y ait pas de Laura et de Maurane dans son département.

 

Faites savoir au Préfet que nous sommes des millions à savoir…

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/oui-nous-somm...

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Il n’était pas armé, il ne s’est pas défendu, il est mort !

Inutile d’épiloguer, les faits ont patents !

Encore la Seine-Saint-Denis.
Il est dangereux d’y vivre ou de vouloir y survivre…

Ce que montre cet article du Parisien :  pas de légitime défense…
S’il s’était armé et défendu, il serait peut-être encore vivant…

Avec l’INJUSTICE,  il est donc mort en accord avec la loi,  l’agression à main armée est donc légitime !
Il n’ira pas au tribunal, mais au cimetière avec la « bénédiction » de « nos » juges !
Quant aux meurtriers, s’ils sont arrêtés et jugés (?), il leur sera trouvé bien des excuses…

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/la-courneuv...

La Courneuve : un chef d’entreprise abattu par des malfaiteurs.

Le gérant d’une succursale de Primagaz, un homme de 56 ans, se serait retrouvé nez à nez avec les braqueurs qui avaient pénétré dans les locaux.

La zone d’activités Mermoz à La Courneuve est en état de choc ce jeudi soir. Vers 19 heures, le dirigeant de l’entreprise Sodigaz a été tué par des malfaiteurs.

Le gérant, un homme de 56 ans, se serait retrouvé nez à nez avec les braqueurs qui avaient pénétré dans les locaux. Ils auraient cherché à se faire ouvrir un coffre-fort. Dans des circonstances encore floues, ils auraient tiré un coup de feu sur le chef d’entreprise le blessant à l’épaule gauche. Cet unique coup de feu s’avérera fatal. Alertés par la détonation, des témoins auraient indiqué avoir aperçu une équipe de cinq hommes encagoulés s’enfuir des lieux.

Gilles Poux, maire (PCF) de La Courneuve s’est rendu sur les lieux avec l’un de ses adjoints alors que l’épouse de la victime rentrait dans l’entreprise. L’élu ne connaissait pas personnellement le responsable de cette succursale de Primagaz, mais il a souligné : « C’est terrifiant de voir une personne qui fait simplement son travail se faire abattre par quatre ou cinq hommes qui viennent faire un casse pour prendre trois francs, six sous. Tuer un père de famille pour rien, c’est dramatique ».

 M. Poux, cela ne vous rendra pas plus réaliste, malheureusement, au PCF de nos jours, c’est rédhibitoire !

Source

Bruxelles, ça pue, on vous loge mal, on est racistes, on mange du porc : restez donc chez vous

 

Source et Video

La loi leur interdirait de fermer les mosquées plus de 6 mois ? A d’autres !

La mosquée de Sartrouville restera fermée encore jusqu’en avril.
La loi ne permet en effet qu’une fermeture temporaire actuellement, limitée à 6 mois.
Et pourtant, vu le dossier (voir la décision du Conseil d’Etat du 11 janvier dernier, ci-dessous), comment peut-on concevoir que le « vivre ensemble » demeure possible avec ceux qui la fréquentaient ?
On voit bien qu’il y a un problème quelque part. On n’est pas dans le domaine du problème temporaire, il y a une difficulté durable. La législation est purement cosmétique actuellement.
Donc dans 6 mois, comme par magie, tout le monde sera blanc comme neige dans cette affaire ? De qui se moque-t-on ?
Il faut vraiment être crédule pour le croire. On a comme l’impression que c’est la méthode Coué qui sert de gouvernail au pouvoir exécutif, avec aussi la volonté de dire : « vous voyez, on ne peut pas dire qu’on ne fait rien… ».
Les constats sont accablants, mais les solutions ne sont actuellement pas à la hauteur.

Rappel du dossier :
http://resistancerepublicaine.eu/2017/09/26/sartrouville-...
http://resistancerepublicaine.eu/2017/10/09/est-ce-rr-qui...

Décision du 11 janvier du Conseil d’État, juge des référés

(…) 1. Aux termes de l’article L. 521-2 du code de justice administrative :  » Saisi d’une demande en ce sens justifiée par l’urgence, le juge des référés peut ordonner toutes mesures nécessaires à la sauvegarde d’une liberté fondamentale à laquelle une personne morale de droit public ou un organisme de droit privé chargé de la gestion d’un service public aurait porté, dans l’exercice d’un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illégale. Le juge des référés se prononce dans un délai de quarante-huit heures « .

2. L’association  » Communauté musulmane de la Cité des Indes  » relève appel de l’ordonnance du 22 novembre 2017 par laquelle le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a rejeté sa demande, présentée sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative, tendant à la suspension des effets de l’arrêté du 17 novembre 2017 du préfet des Yvelines prononçant la fermeture de la mosquée dite  » Salle des Indes  » pour une durée de six mois.

3. Par l’ordonnance attaquée, le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a également transmis au Conseil d’Etat la question prioritaire de constitutionalité soulevée devant lui par l’association  » Communauté musulmane de la cité des Indes  » relative à la conformité à la Constitution de l’article L. 227-1 du code de la sécurité intérieure ; en outre, par une décision n° 415434-415697 du 28 décembre 2017 le Conseil d’Etat a transmis au Conseil constitutionnel la question de la conformité de ces dispositions à la Constitution.

Dans de telles conditions, il appartient au juge des référés du Conseil d’Etat, sans attendre la décision du Conseil constitutionnel, d’apprécier s’il y a lieu de prendre immédiatement, compte tenu de l’urgence et en l’état de l’instruction, des mesures de sauvegarde sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative, la demande en référé devant être examinée au regard et compte tenu des dispositions du code de la sécurité intérieure en vigueur à la date de la présente décision.

4. Aux termes de l’article L. 227-1 de ce code :  » Aux seules fins de prévenir la commission d’actes de terrorisme, le représentant de l’Etat dans le département ou, à Paris, le préfet de police peut prononcer la fermeture des lieux de culte dans lesquels les propos qui sont tenus, les idées ou théories qui sont diffusées ou les activités qui se déroulent provoquent à la violence, à la haine ou à la discrimination, provoquent à la commission d’actes de terrorisme ou font l’apologie de tels actes. /

Cette fermeture, dont la durée doit être proportionnée aux circonstances qui l’ont motivée et qui ne peut excéder six mois, est prononcée par arrêté motivé et précédée d’une procédure contradictoire dans les conditions prévues au chapitre II du titre II du livre Ier du code des relations entre le public et l’administration. / L’arrêté de fermeture est assorti d’un délai d’exécution qui ne peut être inférieur à quarante-huit heures, à l’expiration duquel la mesure peut faire l’objet d’une exécution d’office. Toutefois, si une personne y ayant un intérêt a saisi le tribunal administratif, dans ce délai, d’une demande présentée sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative, la mesure ne peut être exécutée d’office avant que le juge des référés ait informé les parties de la tenue ou non d’une audience publique en application du deuxième alinéa de l’article L. 522-1 du même code ou, si les parties ont été informées d’une telle audience, avant que le juge ait statué sur la demande. « . Aux termes de l’article L. 227-2 du même code :  » La violation d’une mesure de fermeture d’un lieu de culte prise en application de l’article L. 227-1 est punie d’une peine de six mois d’emprisonnement et de 7 500 € d’amende « .

5. La liberté du culte a le caractère d’une liberté fondamentale or, telle qu’elle est régie par la loi, cette liberté ne se limite pas au droit de tout individu d’exprimer les convictions religieuses de son choix dans le respect de l’ordre public, elle a également pour composante la libre disposition des biens nécessaires à l’exercice d’un culte. Aussi, un arrêté prescrivant la fermeture d’un lieu de culte est susceptible de porter atteinte à cette liberté fondamentale, il est également susceptible de porter atteinte au droit de propriété.

 

6. Il appartient au juge des référés de s’assurer, en l’état de l’instruction devant lui, que l’autorité administrative, opérant la conciliation nécessaire entre le respect des libertés et la sauvegarde de l’ordre public, n’a pas porté d’atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale, que ce soit dans son appréciation de la menace que constitue le lieu de culte ou dans la détermination des modalités de la fermeture.

7. Par un premier arrêté du 2 octobre 2017 pris sur le fondement de la loi du 3 avril 1955, le préfet des Yvelines avait prononcé la fermeture, jusqu’à la fin de l’état d’urgence, de la mosquée  » Salle des Indes  » située au 3, rue Maurice Audin à Sartrouville, dont l’association  » Communauté musulmane de la cité des Indes  » assure la gestion. Puis, par l’arrêté litigieux du 7 novembre 2017, pris sur le fondement de l’article L. 227-1 du code de la sécurité intérieure, il a ordonné, pour une durée de six mois, la fermeture de cette mosquée. Pour prendre la mesure de fermeture contestée, le préfet s’est fondé sur la circonstance que, par une dérive radicale que l’association gestionnaire n’avait pas su empêcher, cette mosquée était devenue un lieu où étaient tenus des propos, organisée la diffusion d’idées et réalisées des activités incitant à la haine et la discrimination, provoquant la commission d’actes de terrorisme ou faisant l’apologie du terrorisme.

 

8. Il résulte de l’instruction et notamment de deux notes blanches, précises et circonstanciées qui ont été versées au contradictoire, qui ne sont pas sérieusement contestées par l’association requérante et sont ainsi susceptibles d’être prises en considération par le juge administratif, que l’imam principal et les imams invités de ce lieu de culte tenaient des propos radicaux incitant notamment à la haine envers les fidèles d’autres religions et au rejet des valeurs de la République, que compte tenu de son orientation, la mosquée était fréquentée, de manière habituelle, tant pour les prières que pour les enseignements qui y étaient dispensés, par des personnes radicalisées venant de différents départements voisins, en particuliers des jeunes femmes dont plusieurs portant le voile intégral et dont l’une a rejoint la Syrie, ainsi que des individus en lien avec des filières terroristes, que dans la salle de prière se trouvait en juillet 2017 un tableau évoquant l’organisation de sports de combat surmonté de l’inscription  » guerre sainte des jeunes musulmans  » et que l’influence radicale de ce lieu de culte s’étendait à l’ensemble de la vie locale, en particulier sur les plus jeunes.

 

9. Lors de l’audience de référé et dans les écritures produites après la réunion qui s’est tenue le 29 décembre à la préfecture des Yvelines, l’association a fait valoir que la mosquée était désormais dotée d’un règlement intérieur encadrant le comportement des fidèles et rappelant la nécessité de se conformer aux valeurs de la République, que différentes mesures de surveillance, tant du contenu des prêches que des entrées des fidèles dans le lieu de culte et des interventions pendant les cultes, avaient été décidées et allaient être mises en oeuvre dans le respect de la réglementation applicable, que le bureau avait été intégralement renouvelé lors d’une assemblée générale tenue le 10 décembre 2017 et que les nouveaux membres du bureau, choisis pour leur modération et leur maturité et désireux de s’éloigner des orientations données par le précédent président, avaient mis fin aux fonctions de l’imam qui officiait avant la fermeture et avaient proposé que certains d’entre eux exercent eux-mêmes, en tant que de besoin, le rôle d’imam. L’association a en outre fait état de sa volonté d’établir une relation constructive avec l’administration et souligné l’urgence d’une réouverture dès lors que plusieurs fidèles âgés ou handicapés ne peuvent pas se rendre à l’autre mosquée de la commune.
10. Les mesures correctrices que les nouveaux dirigeants de l’association indiquent avoir prises sont, comme l’avait d’ailleurs relevé le représentant du ministre lors de l’audience de référé, de la nature de celles qui pourraient permettre de fonder une demande d’abrogation de la mesure. Toutefois, elles ne sont intervenues que très récemment et les modalités de mise en oeuvre de plusieurs d’entre elles, en particulier la désignation de l’imam ou des personnes autorisées à intervenir dans la mosquée et les mesures de surveillance, tant du contenu des prêches que des personnes se rendant dans ce lieu, ne sont pas précisées. Dans ces conditions, l’association n’établit pas qu’elle serait en mesure d’éviter la réitération des graves dérives constatées dans un passé récent et la menace à l’ordre et la sécurité publics qui en était résultée.
11. Eu égard à l’ensemble des éléments recueillis, et alors qu’il est constant que la très grande majorité des fidèles habitant dans le quartier de la cité des Indes peuvent se rendre dans l’autre mosquée de la commune, il n’apparaît pas, en l’état de l’instruction, que le préfet des Yvelines aurait porté une atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale. Par suite, l’association requérante n’est pas fondée à soutenir que c’est à tort que, par l’ordonnance attaquée, le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a rejeté sa demande.
12. Il résulte de tout ce qui précède qu’il n’y a pas lieu pour le Conseil d’Etat statuant en référé de prendre, en l’état de l’instruction et dans l’attente de la décision à intervenir du Conseil constitutionnel sur la question prioritaire de constitutionnalité qui lui a été transmise par la décision précitée du 28 décembre 2017, des mesures de sauvegarde sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative.
O R D O N N E :
——————
Article 1er : Il n’y a pas lieu, en l’état, d’ordonner des mesures conservatoires de sauvegarde.
Article 2 : Il est sursis à statuer sur le surplus de la requête de l’association  » Communauté musulmane de la cité des Indes « .
Article 3: La présente ordonnance sera notifiée à l’association  » Communauté musulmane de la cité des Indes  » et au ministre d’Etat, ministre de l’intérieur.

Note de Christine Tasin

Comment ça, la loi interdirait une fermeture supérieure à 6 mois ? 

Et ils n’auraient pas légiféré pour changer ça depuis qu’ils passent des heures à enculer les mouches à l’Assemblée nationale, à admirer les boîtes de haricots verts apportées par Mélenchon ou Corbières  ? Non, mais allô quoi…

Comment ça, la liberté de culte nécessiterait la disposition de lieux de culte ? Ils sortent d’où ces crétins ? Le culte musulman n’existe pas, il n’y a pas d’église musulmane, de hiérarchie musulmane, de réunion des fidèles. En islam on n’a pas besoin de lieux de culte ce n’est spécifié ni dans le coran ni dans les haddith-s. Il faut juste pouvoir effectuer les 5 piliers de l’islam et la prière collective n’est pas un impératif.

La mosquée, les lieux de prière collectives dont des inventions pour marquer la force de l’islam et le pouvoir des musulmans  en pays mécréant, et, en pays musulman, la mosquée permet de faire surveiller chaque musulman par son voisin, histoire de voir si c’est un « bon » musulman perdant sa vie à vénérer un assassin et un pédophile.

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Seine-et-Marne : fermée sous l'état d'urgence, la mosquée de Torcy a rouvert

La mosquée a rouvert vendredi avec à sa tête une nouvelle association et un nouvel imam.

Fermée dans le cadre de l'état d'urgence en raison des prêches radicaux de ses imams, la mosquée de Torcy, dans la Seine-et-Marne, a rouvert vendredi avec à sa tête une nouvelle association et un nouvel imam. "Le culte a repris à 13H. Deux-cent cinquante personnes ont participé à la prière, tout s'est très bien passé", a précisé la préfecture. "Une nouvelle association a repris le flambeau, il y a un nouvel imam, la mairie est impliquée : toutes les conditions étaient réunies pour la réouverture". "Les mêmes conditions ne sont pas réunies à Lagny-sur-Marne", ville voisine de Disneyland Paris qui abrite la première salle de prière "radicale" fermée après les attentats de novembre 2015, a ajouté la préfecture.

Incitations au djihad par le passé. La mosquée de Torcy, qui pouvait accueillir jusqu'à 500 fidèles, avait fait l'objet d'un arrêté de fermeture administrative en avril 2017 au motif qu'elle était devenue depuis plusieurs années "un lieu de culte où étaient prônées une idéologie radicale ainsi que des incitations au djihad". L'imam, professeur de mathématiques au lycée Jean-Moulin de Torcy, avait dans la foulée été suspendu de son poste par l'Education nationale. Fin décembre, une commission composée de magistrats a par ailleurs donné son feu vert à l'expulsion de l'imam adjoint, un Marocain de 50 ans, accusé d'avoir "légitimé le djihad" dans ses prêches.

Selon l'arrêté de fermeture du lieu de culte, les deux imams auraient aussi "apporté leur soutien aux fidèles de la mosquée mis en cause dans le cadre du démantèlement de la cellule terroriste dite de Cannes-Torcy", dont le procès-fleuve s'est tenu au printemps à Paris. Fin 2016, 275 personnes étaient suivies en Seine-et-Marne dans le cadre de la lutte contre la radicalisation violente, et une dizaine assignées à résidence, selon une source judiciaire, contre cinq en Seine-Saint-Denis à titre d'exemple. Vendredi, la préfecture s'est contentée de déclarer qu'elle "avait constaté une baisse sensible des signalements" d'individus radicalisés.

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samedi, 20 janvier 2018

Mosquée de la Miséricorde : les musulmans de Nîmes s'offrent un bâtiment au centre-ville

Rédigé par Hanan Ben Rhouma

L’année 2018 commence bien pour les musulmans de Nîmes. Deux ans après la fermeture de la mosquée de la Miséricorde sur décision de la municipalité en raison de l’insalubrité du bâtiment, l’achat du bien a pu être finalisé. Reste encore à faire les nécessaires travaux de mise aux normes du bâtiment afin d’en jouir pleinement.

Ils sont sortis d’affaire par la grande porte. Après avoir été menacés de se retrouver sans lieu de culte en 2016, les responsables de l’Association culturelle islamique qui gèrent la mosquée de la Miséricorde sont désormais propriétaire du bâtiment abritant le plus vieux lieu de culte musulman de Nîmes (Gard) après avoir finalisé l’achat la veille de l’année 2018.

Ce sont environ 450 000 euros qui ont collectés pour s’approprier le bâtiment de 2 000 m² situé dans le centre-ville. Un luxe dans la mesure où de très nombreuses mosquées de France sont excentrées. L’Association culturelle islamique s’en est donné les moyens grâce au soutien de ses fidèles.

Rien n’est terminé pour autant. « Nous avons commencé les premiers travaux de mise aux normes de sécurité relatives à l’accessibilité aux personnes handicapées et le démantèlement des plafonds en lambris de la salle de prière principale », indique à Saphirnews Dominique Mimoun, vice-présidente de l’association, qui rappelle que ce fut « une des conditions de vente des locaux » instaurées par la mairie.
 

 

Devant la mosquée de la Miséricorde, à Nîmes (Gard). © ACI
Devant la mosquée de la Miséricorde, à Nîmes (Gard). © ACI

Les travaux de mise aux normes du bâtiment, une priorité

Mais « nous n’avons pas pu faire plus car actuellement nous sommes en récolte de dons pour la continuité des travaux », ajoute-t-elle. A cette fin, les fidèles sont encore appelés à donner 160 000 euros sur les 170 000 nécessaires, une estimation réalisée « par un maître d’œuvre et un cabinet d’expertise ».

« Normalement, nous devions effectuer ces travaux dans les six mois qui suit la signature de l’acte (le 28 décembre 2016, ndlr). Il nous a été impossible de tenir ces délais », signale Dominique Mimoun. « Notre priorité était donc, de récolter les fonds pour honorer les paiements. Si nous dépassions la date prévue, nous aurions dû payer des pénalités de retard de paiement de 6 % l’an. C’est pour cette raison qu’il est impératif de commencer les travaux le plus rapidement possible et que nous relançons un appel aux dons », prévient-elle. Espérons-lui le même succès que pour l’achat du bâtiment.
 

Jean-Pax Méfret au Casino de Paris

Au Casino de Paris, ce 13 janvier 2018, l’ambiance était tout à la fois décontractée, bon enfant et pleinement française. On annonçait complet. Tandis que la salle se remplissait, ceux qui avaient déjà pris place se remémoraient, chantonnaient, plaisantaient, tout simplement heureux d’être là, dans l’attente impatiente de l’artiste.

Jean-Pax Méfret au Casino de Paris.

Puis, la lumière s’éteint. Rythmant les scansions « Jean-Pax ! Jean-Pax ! », les applaudissements fusent, gonflent et explosent quand le « chanteur de l’Occident » (né pourtant en 1944 dans cet Orient nostalgique aux inoubliables parfums d’oranges et de jasmin), vêtu d’un costume sombre, foule enfin la scène d’un pas lent et sûr. Il attend, reçoit sans mot dire les vivats et acclamations chaleureuses et amicales de son public où se mêlent aficionados de la première heure et jeunots de vingt ans et plus qui connaissent déjà par cœur Les Barricades ou Les Oies sauvages. L’orchestre émet ses premières notes et le trouvère entonne ces premières paroles poignantes :

« Ils meurent victimes de leur foi,

Ils tombent à l’ombre de la Croix,

Dans un silence qui fait douter

Du cœur des hommes.

Et au milieu des corps sans vie,

Une petite fille prie

Tout près d’une statue brisée,

D’une croix de bois calcinée… »

La salle, mutique, semble prier à l’unisson de cette gamine arborant le visage de nos propres enfants et qui lance dans le désert et à la face d’un monde irrémédiablement sourd à sa supplique, le déchirant cri de détresse de son martyre et de celui de ses semblables, là-bas, aux fins fonds de l’Orient compliqué. Noun… !

Jean-Pax Méfret n’a pas son pareil pour communiquer une émotion d’autant plus sincère qu’elle entre en résonance avec notre être profond, fruit d’un héritage ancestral voire bien plus lointain.

Le visage triste et apeuré de l’innocence enfantine s’imprimait encore dans nos esprits quand surgit, telle une muse oubliée, le long d’un mur honteux qui masquait alors les pires turpitudes des zélotes des fallacieux lendemains qui jamais ne chanteront, le non moins doux visage de Veronika :

« Elle avait des cheveux blonds fous, Véronika

Les yeux bleus tristes et un air doux, Véronika

À Berlin-Est, elle balayait les allées

Lorsque je l’ai rencontrée »

À cet instant, tel le docteur Youri Jivago incapable de choisir entre Tonia sa femme aimante et Lara, sa tendre maîtresse, mon cœur balançait en pensant à Nathalie, la jolie guide moscovite de Gilbert Bécaud, narrant à ce dernier « en phrases sobres […] la révolution d’Octobre ». Et l’on se dit que la poésie est sans doute le meilleur moyen d’entrevoir la vérité, où qu’elle se niche…

Mais évoquer Jean-Pax Méfret (Jean comme tout le monde, Pax comme personne, Méfret comme son père, affectionne-t-il de répondre à qui l’interroge sur les origines de ce prénom mystérieux), sa musique et ses chansons authentiquement engagées (aux antipodes des rebelles en peau de lapin venant promouvoir leur insipide soupe pseudo-artistique sur les plateaux sabbatiques du service public), revient aussi et surtout à se souvenir de nos temps glorieux et moins glorieux. L’héroïque sacrifice des 62 légionnaires de Camerone, la douloureuse époque de la fin de l’Algérie française, ravivée par des couplets bouleversants (« je viens d’un pays perdu qui n’existe plus », « Notre-Dame des déracinés », « l’été 62 sur les quais du chagrin », « les grandes souffrances de ceux qui ont choisi la France »…), les barouds d’honneurs de Dien Bien Phu, le martyre des Vendéens, etc.

Alors que nous venons de tourner le dos à 2017, année du centenaire de la révolution russo-léniniste de 1917, de sinistre mémoire, Jean-Pax demeure présent et droit pour nous rappeler que si « l’un de vous a chanté Potemkine / Moi je viens chanter Soljenytsine ». Une manière opportune de souligner combien les totalitarismes athées du XXe siècle (le nazisme est évoqué elliptiquement dans Jour J quand le communisme est explicitement dénoncé dans Le Camp 36, Sibérie, Goulag, Professeur Müller ou Budapest) inspirés des pires folies criminelles depuis Robespierre et ses épigones, constituent le canevas renouvelé du socialisme libéral-sociétal, sarko-hollando-macronien du XXIe.

Les paroles du Vieux Soldat témoignent, à elles seules, de la déliquescence d’une civilisation française désormais livrée aux hyènes de l’amnésie volontaire et du déracinement méa-culpant :

« Ça lui fait mal, toutes ces insultes,

Cracher sur la France que l’on traite de pute.

Ça lui fait mal, le drapeau brûlé, le drapeau souillé

La mémoire tachée.

 

Ça lui fait mal, il l’a mauvaise,

Lorsque l’on siffle la Marseillaise

Ça lui fait mal, voir son pays livré au mépris,

Il en est meurtri.

Le respect, il veut du respect,

Juste du respect, le respect »

Tout comme Pas politiquement correct fustige les snipers stipendiés de la pensée unique, ce bas clergé du désordre immoral qui, quoi qu’ils disent ou veulent faire croire, en dépit de sporadiques soubresauts identitaires ou populistes, détiennent encore largement le pouvoir politico-culturel :

 

« On ne peut plus rien dire

Sans s’attirer leur foudre

Qu’ils brandissent à plaisir

Pour te réduire en poudre »

Comme l’écrivait récemment le politologue Jean-Yves Camus, « tous ceux qui étudient la pensée de droite devraient aller assister à un concert de Jean-Pax Méfret » (tempsprésents.com, 16 janvier), même si ce dernier représente bien plus, c’est-à-dire, les valeurs éternelles de nos pères et de notre pays. Un autre universitaire osait assez justement le comparer à l’auteur de La Colline inspirée : « une sorte de Barrès pied-noir, le Barrès d’après-1919 où ont disparu les ennemis extérieurs, battus, et intérieurs, intégrés par le sacrifice militaire [1] ».

Respect.

[1] Paul Airiau, « Jean-Pax Méfret, chanteur anticommuniste et républicain populiste », Histoire@Politique. Politique, culture, société, N°7, janvier-avril 2009.

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4 personnes s’échappent du centre de rétention administrative de Palaiseau

Quatre personnes retenues au sein du centre de rétention administrative de Palaiseau dans l’Essonne se sont évadées dans la nuit du 16 au 17 janvier. 


4 clandestins s’échappent de nuit

Une évasion digne d’un film. C’est en sciant des barreaux et en fabricant une corde avec des draps que quatre hommes se sont échappés du centre de rétention administrative de Palaiseau.

Selon le journal Le Parisien, qui a révélé cette affaire en premier, il n’y aurait que 4 gardiens pour 20 personnes retenues dans l’enceinte du centre. Les hommes ont pris la fuite dans la nuit du mardi 16 au mercredi 17 janvier.

Ces quatre hommes étaient entrés de façon illicite sur le territoire français. Ils devaient faire l’objet d’une reconduite dans leur pays d’origine prochainement.

Qu’est qu’un centre de rétention administrative (CRA) ?

Sur son site internet le ministère de l’intérieur explique ce qu’est un CRA. On en dénombre 25 pour 1755 places au total.

“Les centres de rétention administrative ont été officiellement crées par la loi du 29 octobre 1981.

Le centre de rétention administrative est un bâtiment surveillé par la police ou la gendarmerie nationale où l’administration peut retenir, pour une durée limitée et sous contrôle juridictionnel, les étrangers faisant l’objet d’une procédure d’éloignement et ne pouvant pas quitter immédiatement la France. La phase de placement est appelée la rétention administrative.

Le centre de rétention administrative ne relève pas de l’administration pénitentiaire. Il n’est pas une prison car la privation de liberté ne relève pas d’une décision judiciaire. Le placement dans un CRA relève d’une décision administrative. La privation de liberté n’a pas un caractère coercitif. Il faut donc parler de rétention et non de détention ou d’emprisonnement.”

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Fleury-Mérogis : des détenus refusent de regagner leur cellule

Paris Vox – Plus d’une centaine de détenus de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne) ont refusé de regagner leur cellule, aujourd’hui,  en pleine journée d’action des surveillants contre leurs conditions de travail.


«  A la fin de la promenade, 123 détenus ont refusé de regagner leur cellule. Il n’y a pas de revendications, pas de violence. Des ERIS (Equipes régionales d’intervention et de sécurité) sont en route pour leur faire réintégrer les cellules  » a déclaré la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP).

Les détenus « font de l’immobilisme »  et refusent de regagner leur cellule depuis midi. Cette action serait la conséquence  d’un  temps de promenade  écourté. La tension dans l’établissement, plus grand d’Europe, serait très forte.

Selon une source syndicale citée par le Figaro : « Le mouvement national de blocage des prisons perturbe les parloirs et les promenades. Face à ça, les détenus ont montré leur colère, en tapant sur les portes, en insultant le personnel  et les ERIS ont été déployées pour  éviter tous débordements et faire du maintien de l’ordre  ».

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Les Aztèques ont été victimes de l'immigration

 

Article intéressant de Pauline Mille sur RITV :

Images-5"La salmonellose qui fait l’actualité chez Lactalis frappait déjà au seizième siècle au Mexique : des millions d’Aztèques en sont morts, l’analyse ADN des squelettes l’établit. Voilà une nouvelle qui liquide la légende noire élaborée par les ennemis de l’Espagne et de l’Eglise, qui parlaient de génocide des Indiens, longtemps reprise par des historiens peu scrupuleux. [...]

Une terrible épidémie serait survenue entre 1545 et 1550, soit vingt-cinq ans après que le conquérant espagnol Fernando Cortès eut touché la côte mexicaine en un endroit qu’il nomma Vera Cruz. Elle a frappé les témoins de l’époque. Il en subsiste quelques rares traces. Selon l’anthropologue française Danièle Dehouve, spécialiste du Mexique et directrice de recherche au CNRS, quelques textes d’époque « décrivent les symptômes du mal. Il existe aussi quelques images de la fin du XVIe siècle montrant des morts ayant des petits points sur le corps, ce qui correspond aux symptômes de la fièvre typhoïde. Nous avons aussi le codex Telleriano-Remensis, un manuscrit d’époque montrant des morts, ou des malades, avec des choses qui leur sortent de la bouche et du nez ». Mais ces indications ne suffisaient pas à porter un diagnostic. Aujourd’hui, l’affaire est tranchée, selon Danièle Dehouve, grâce à l’analyse ADN : « l’ADN est une preuve beaucoup plus sérieuse ».

La revue Nature Ecology and Evolution vient en effet de publier que la pandémie de 1545 -1550 serait une gigantesque salmonellose : une salmonelle aurait provoqué une fièvre typhoïde qui aurait causé la mort de millions d’Aztèques. Combien ? C’est l’objet de « nombreuses polémiques », selon Danièle Dehouve. « Les Espagnols n’ont commencé à recenser les populations qu’à partir de 1540 ». Encore ne tenaient-ils pas tout le pays et les statistiques étaient rudimentaires. Mais « on estime que 80 % des Aztèques sont morts dans les terres côtières, et 50 % dans les terres plus centrales ». Au doigt mouillé. [...] L’équipe qui a publié dans Nature Ecology and Evolution a pu travailler sur 29 squelettes découverts dans des cimetières et datés, et l’analyse ADN a établi sans ambiguïté la présence de l’agent infectieux, les salmonelles (probablement introduites par le cheptel amené par les Espagnols), dans la fièvre mortelle.

On est donc face à un drame de l’immigration. C’est l’importation d’humains et d’animaux tout à fait étrangers aux écosystèmes de l’Amérique latine qui a provoqué la catastrophe. De même que certains végétaux ou animaux ne trouvent pas de prédateurs dans un biotope où ils sont inconnus, de même les agents infectieux apportés par les Espagnols, et qui pour eux étaient relativement bénins, signifièrent-ils la mort pour de nombreux Indiens. A noter : à partir du dix-septième siècle, les populations aztèques ont recommencé à croître, se croisant souvent avec les Espagnols. Contrairement à la légende noire, ceux-ci n’ont pas remplacé les autochtones comme cela s’est passé dans la Caraïbe ou aux États-Unis, mais se sont métissés avec les populations conquises."

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Presque un tiers des naissances issues de familles composées d'au moins un parent immigré

 

B_1_q_0_p_0L'augmentation du nombre des demandeurs d'asile en 2017 est spectaculaire :

  • 20 000 en 1997,
  • 61 468 en 2012,
  • plus de 100 000 en 2017.

Un rapport de la Cour des Comptes d'octobre 2015 souligne que 96 % d'entre eux, même déboutés, ne repartent jamais.

La hausse de l'immigration régulière, mesurée par le nombre des «premiers titres de séjour» délivrés, explose également :

  • 125 000 en 1995 ;
  • 186 116 en 2002 ;
  • 183 893 en 2008 ;
  • 193 655 en 2012 ;
  • 210 940 en 2014 ;
  • 215 220 en 2015 ;
  • 230 353 en 2016 ;
  • 262 000 en 2017.

Le pourcentage des naissances dans les familles composées d'au moins un parent immigré est passé de 26,3 % en 2007 à 30,4 % en 2016 (Ined). En Île-de-France, 38 % des femmes ayant eu un enfant en 2015 sont immigrées (Insee). Mais à part cela, il n'y a pas de grand remplacement...

Dans la loi de finances de 2017, l'aide médicale d'État (la gratuité des soins dont bénéficient 300 000 migrants en situation irrégulière) est en augmentation, passant de 812 millions à 882 millions d'euros.

La politique de Macron est ridicule : sa mesure phare, la prolongation de la rétention administrative de 45 à 90 jours, n'aura qu'un impact limité dès lors que le pouvoir de décision est laissé au juge des libertés, dont le réflexe naturel est souvent de refuser une prolongation de la rétention après 48 heures. La réforme prévue ne suffira pas à améliorer de manière significative un dispositif d'éloignement paralysé par sa lourdeur (6 600 reconduites hors de l'Union européenne en 2017).

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Le métro ne s’arrête plus, trop de délinquants : ils font comment, les Sans-Dents, Hidalgo ?

 

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Trudeau pleurnichait sur la gamine voilée « agressée » : elle avait tout inventé

 

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Marie-France Lorho : allez-vous enfin proposer aux Français un referendum sur l’immigration ?

Excellent discours, quoique très court, de Marie-France Lorho, député de la Ligue du Sud ( elle a remplacé Bompard,  maire d’Orange, quand il a été élu et a dû choisir entre la Mairie ou la députation  ).

Sa question au gouvernement :

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Bruxelles transformée en zone étrangère, à quand le grand chambardement ?

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/17/77-des-belges...

La dernière fois que nous sommes allées à Bruxelles c’était vers 2008 – l’ambiance nous effrayait : le nombre d’allochtones bruyants avait transformé notre Bruxelles, que nous aimions (j’y ai fait le lycée, y ai habité et travaillé).

Dans l’îlot sacré (le cœur historique de la ville) les magasins de souvenirs, qui vendent des babioles made in China (et de la dentelle de Bruxelles made dans les Philippines) étaient tenus par des Pakistanais et dans les restaurants les serveurs parlaient arabe entre eux.

10 ans ont passé… Depuis, le quartier de Molenbeek, où nous aimions nous promener au marché aux puces, est devenu, de par le monde, synonyme de catastrophe. Le problème c’est qu’en Belgique il y a 13 Molenbeek à la douzaine. La transformation de Bruxelles en zone étrangère (immigrés + institutions européennes) est un des éléments qui causent la scission de la Belgique car la Flandre ne considère plus Bruxelles comme sa capitale, mais Anvers.

Ajoutez-y la suffocation de toute la région par le trafic dans lequel on peut rester bloqué pendant de heures. Pour aller chez mes parents, en Flandre, nous évitions Bruxelles en faisant un énorme crochet par le sud : Namur – Charleroi – Dilbeek – soit nous parcourions les deux petits côtés d’un triangle rectangle au lieu de parcourir le trajet qui correspond à l’hypoténuse, c’est dire l’allongement des km, mais qui nous faisait gagner du temps et éviter les bouchons. Depuis la mort de mes parents, pour nous, Bruxelles est enterrée, elle aussi.

77% des belges sont fâchés ? Cela ne m’étonne pas, tout le monde vous le dira en privé, mais puisqu’ils ne peuvent pas le dire ouvertement, ils accumulent ce que j’appelle « la haine silencieuse ». Quand une dame d’un certain âge, tout à fait BCBG vous dit « je ne sais plus les voir, je ne sais plus les sentir, ils me font dégueuler, etc. » Quand une autre dame tout aussi normale vous dit « on a bien foutu les Allemands à la porte, on finira bien par foutre aussi ceux-là à la porte », vous vous dites que le mécontentement n’est pas une figure de style.

Si les « vieux » pensent comme ça, comment pensent les jeunes ? Jusqu’à quand cette situation peut-elle tenir ? Cela explosera-t-il en guerre civile, entrainant la scission de la Belgique, la fin de la monarchie, etc. ?

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Espagne : des affiches exhortent les musulmans à épouser les non musulmanes pour propager l’islam

Des centaines d’affiches exhortent les musulmans à épouser des non-musulmanes comme stratégie de la propagation de l’islam

15 janvier 2018 par Ezequiel Doiny |

http://conservativepapers.com/news/2018/01/15/hundreds-of...

En Espagne, on a trouvé des affiches telles que celle en photo ci-dessus pour exhorter les musulmans à épouser des non-musulmanes comme stratégie de propagation de l’islam. Cette affaire avait été révélée le 8 mars 2017 sur le site Breitbart (http://www.breitbart.com/london/2017/03/08/muslims-marry-...). Des centaines d’affiches avaient été placardées dans des quartiers de Barcelone. « Frère, entrez en partenariat avec un Espagnol, apprenez-lui que l’islam est la vraie religion. La loi islamique dicte que les fruits de cette alliance suivront l’islam, ce qui renforcera encore notre communauté », lit-on dans le corps du texte.

Un enfant est musulman si son père est musulman, indépendamment de la religion de la mère. Les musulmans sont autorisés à épouser des non-musulmanes. Par contre, les musulmanes ne sont pas autorisées à épouser des non-musulmans à moins que leur mari ne se convertisse à l’islam. Le nombre de mariages interconfessionnels en Espagne n’est pas disponible, mais en Grande Bretagne, le nombre est considérable et dépasse 21 000 par an. Au cours de la dernière décennie, la population musulmane de Grande Bretagne a doublé, faisant de l’islam la religion à la croissance la plus rapide.

Une recherche faite par le forum Pew publiée en 2013 a précisé que « les musulmans du monde entier s’accordent à dire que l’islam est la seule vraie foi qui mène au salut ». Beaucoup de musulmans disent aussi que c’est leur devoir religieux de convertir les autres à l’islam. La croyance que les musulmans sont obligés de faire du prosélytisme est particulièrement répandue en Afrique subsaharienne. Dans toute cette région, au moins les trois quarts des musulmans croient qu’il est de leur devoir religieux d’essayer de répandre l’islam auprès des non-musulmans. Une majorité de musulmans dans les pays du sud asiatique interrogés disent aussi que le fait d’essayer de convertir les autres à l’islam est un devoir religieux. Ce sens est presque universel en Afghanistan, où 96 % des musulmans croient que le prosélytisme est un devoir de leur foi. Au Pakistan, 85 % des musulmans partagent ce point de vue. Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, une bonne majorité de musulmans dans la plupart des pays interrogés pensent que le fait d’essayer de convertir les autres est un devoir religieux, dont environ neuf sur dix en Jordanie (92 %) et en Égypte (88 %). (http://www.pewforum.org/2013/04/30/the-worlds-muslims-rel...)

Au printemps 2009, Uriya Shavit et Frederic Wiesenbach ont écrit dans la publication trimestrielle Middle East Quarterly que «… les érudits musulmans ont appelé les musulmans immigrés à s’impliquer dans la conversion des non-musulmans à leur foi ». En effet, l’appel au prosélytisme des immigrés musulmans est devenu central dans les écrits islamiques contemporains. En Occident, la liberté de religion permet aux personnes de toutes confessions de convaincre les autres que la leur est la seule et unique vérité ; par contre, dans certaines sociétés musulmanes, les non-musulmans sont poursuivis et la promotion des autres religions est une infraction punissable. Les données exactes sur le nombre de convertis à l’islam en Occident sont incomplètes car les conversions ne sont pas forcément enregistrées. Tandis que les données ne suggèrent pas une vague massive de nouveaux croyants, cette vague fait tout de même preuve d’une certaine importance. Ainsi, en Allemagne, les statisticiens estiment que plusieurs milliers de chrétiens se convertissent à l’islam chaque année. En Espagne, le nombre de convertis a atteint environ 20 000 en 2006, et au Royaume-Uni  peut-être 14 000 ont été convertis en 2006. Aux États-Unis, de 20 000 à 25 000 personnes par an se convertissent à l’islam.

De nombreux érudits sunnites exhortent leurs coreligionnaires en Occident à diffuser activement la parole de Dieu. L’appel à la conversion, qui a augmenté avec le nombre d’immigrants musulmans permanents en Europe, fait partie d’un cadre plus large d’identité et de devoirs diffusés par les savants religieux sunnites dans le monde arabe depuis les années 1970. Les érudits islamiques ont constaté que bannir ou ignorer la migration massive des musulmans ne ferait que s’aliéner les immigrants. Au lieu de cela, ils se sont concentrés sur le renforcement de l’identité musulmane des immigrés tout en les utilisant au service de l’islam. Ils ont appelé les immigrants musulmans à se considérer comme faisant partie d’une nation musulmane mondiale, à légitimer leur présence sur les terres non musulmanes en agissant comme des musulmans idéaux, à construire des institutions musulmanes telles que des mosquées et des organisations caritatives, à servir les intérêts politiques des musulmans dans le monde entier et à faire du prosélytisme.

Hamdi Hassan, professeur d’études médiatiques à l’Université al-Azhar du Caire, a écrit que la présence musulmane en Europe était un exemple de prosélytisme musulman passant du mode défensif, qui l’a caractérisé au cours des XVIIIème et XIXème siècles, à un nouveau mode d’expansion. Dans des écrits saoudiens, ces notions de prosélytisme prennent un ton militant et conflictuel. Une source de ces écrits est le savant saoudien Safr al-Hawali, qui a invoqué la nécessité de conquérir l’Occident par la da’wa (Définition de Wikipédia : « inviter les non musulmans à écouter le message de l’islam »), en utilisant des termes sans équivoque dans leur combativité : « Et si on demandait : pourquoi ne devrions-nous pas envahir la Corée et le Japon, puisque les musulmans ont des ressources humaines pour la da’wa ? Ce à quoi quelqu’un devrait répondre : non, nous devrions diriger les ressources humaines pour la da’wa vers l’Europe et l’Amérique. Qui a raison ? Celui qui cite l’Occident ; pourquoi ? Parce que l’Occident est l’ennemi que nous devons pénétrer en profondeur. C’est l’ennemi qui va nous attaquer et qui est plus dangereux pour nous »… « Le droit de toute personne à faire du prosélytisme, ou le droit de toute personne de se convertir à une religion de son choix, est un principe fondamental des sociétés libérales occidentales. Le contexte unique des efforts de conversion faits par certains musulmans ne doit pas être ignoré : ils n’envisagent pas deux civilisations vivant en harmonie, mais une seule, l’islam, finissant par dominer le monde ». (http://www.meforum.org/2104/muslim-strategies-to-convert-...)

Note de l’auteur, Ezequiel Doiny : « Le but de cet article est d’avertir et de protéger les femmes non-musulmanes contre la pratique de certains musulmans qui ciblent les femmes non-musulmanes non par amour ou pour un plaisir romanesque, mais en tant que stratégie pour répandre l’islam ».

(Voici un commentaire écrit par Jan Sobieski III à la suite de cet article : « Ceci est le cheval de Troie de l’Europe. Les gauchistes sont trop aveugles et politiquement corrects pour le voir. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils sortent leur tête du sable avant qu’elle ne soit tranchée par les islamistes ».

Traduit pour Résistance républicaine par Jack

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Pour Dieudonné, le cerveau des attentats du 13 novembre 2015 est une victime

« Le cerveau des attentats du 13 novembre 2015 est une victime. » Ne quittez pas cette page, quelle que soit la réaction que vous inspirent ces propos, ils ne sont pas de l’auteur de ces lignes mais de l’incomparable Dieudonné. « L’humoriste » a beau être adulé par une bande de déficients du QI, ses propos ne sont pas drôles du tout. Il souhaite rencontrer Salah Abdeslam et lui a écrit une lettre dont le contenu fait frémir.

« Nous ne voulons pas parler des actes qui vous sont reprochés. Ce qui nous intéresse est de comprendre votre état d’esprit et les raisons qui vous ont poussé à agir. La violence est un mode d’expression qui surgit quand tous les autres ont échoué : l’attentat a pour but d’envoyer un message fort qu’on ne peut transmettre autrement. C’est en tout cas comme ça que nous le comprenons. En discutant avec vous, nous espérons mieux comprendre la profonde révolte qui vous habite et à laquelle la société reste sourde.
J’ai moi-même été condamné pour apologie d’acte de terrorisme, au moment de ce qu’il est convenu d’appeler les attentats de Charlie Hebdo, pour ne pas m’être senti assez Charlie : on m’a reproché d’avoir écrit sur Internet : “Ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly.” »

​‌”Salah Abdeslam est accusé d’actes de terrorisme qui ont provoqué 130 morts et des centaines de blessés, au nom de l’islam. Le propos de Dieudonné peut être retourné, manipulé dans tous les sens : il s’agit bien d’une évidente marque de sympathie envers un individu qui n’en mérite aucune, un criminel, un assassin, qui ne regrette rien, ne renie rien et ne dit rien.

Les avocats de Dieudonné tentent de relativiser. Selon eux, il s’agit d’une « volonté de comprendre le moteur qui a conduit à ces actes ». Laissons cela aux psychiatres. En réalité, ne serait-ce pas plutôt l’antisémitisme obsessionnel de Dieudonné qui le rapproche d’un terroriste musulman dont l’amour pour les juifs doit être assez modéré ? Chacun se souvient des propos tenus par ce triste bouffon, sur lesquels monsieur Valls s’était rué pour faire interdire son spectacle, lui assurant ainsi une vaste publicité. Pour le plus grand bonheur des racailles de banlieue pour qui balancer du feuj est un des sports favoris.

 « Nous ne voulons pas parler des actes qui vous sont reprochés. » N’est-ce pas quand même l’essentiel ? « L’attentat a pour but d’envoyer un message fort qu’on ne peut transmettre autrement. » Si les mots ont un sens, ils constituent une apologie. Nulle condamnation, nul recul, nulle dénonciation d’une abomination. Dieudonné « comprend » les mobiles du crime, qu’il ne condamne pas. À ce compte, on peut raisonner de la même manière à l’égard de tous les criminels de masse dont les tueries ont ensanglanté le XXe siècle. Certains ne s’en sont pas privés. Les apologistes de l’horreur communiste, bien sûr. Mais aussi les négationnistes que la loi Gayssot voue à l’emprisonnement.

Cette loi de répression est liberticide et doit être abrogée. Et Dieudonné doit bénéficier de la liberté d’exprimer ce qu’il pense, sans condamnation a priori et encore moins automatique. Mais cette liberté n’est pas absolue et implique une responsabilité : lorsqu’elle est utilisée de telle manière qu’elle aboutit à justifier des horreurs, il n’est pas illégitime que la société poursuive leurs auteurs, tout simplement pour atteinte à la dignité humaine.

Les propos de Dieudonné sont simplement abjects. Le juge d’instruction a rejeté sa demande de communiquer avec le terroriste. Comme le note Marianne avec acidité, il pourra se consoler en rencontrant son ami Carlos. On a les fréquentations qu’on mérite…

François Teutsch

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Le djihadisme, ce n’est pas à la carte : on prend tout le menu ou rien !

« Il est honteux d’être sans honte », disait saint Augustin. Il semblerait que la honte n’éclabousse pas tous les rivages théologiques.

Après une plainte pour « meurtre avec circonstances aggravantes » déposée par le père de Mohammed Merah en 2012, suite à l’exécution – inévitable, compte tenu des circonstances – de son fils à Toulouse, voici que « des avocats de femmes et d’enfants de djihadistes français récemment capturés par les forces kurdes en Syrie ont annoncé […] déposer plainte contre les autorités françaises pour “détention arbitraire” et “abus d’autorité” » (Le Figaro).

Cette initiative pour le moins obscène est ainsi justifiée par les avocats dans un communiqué : « Le Kurdistan syrien n’ayant aucune existence légale et ne disposant par là même d’aucune institution souveraine, ces femmes et ces enfants sont tous détenus sans droit ni titre. »

On passera sur les crimes – très vraisemblablement – commis par ces ressortissants sur place, qui n’ont de français que les papiers puisqu’ils abhorrent désormais tout ce que représente viscéralement la France, pour s’interroger sur la recevabilité d’une telle démarche.

Le Kurdistan syrien n’est, en effet, pas reconnu par les instances internationales, mais ce territoire se situe dans un pays souverain, à savoir la Syrie, dont le président, Bachar el-Assad, est toujours en fonction. C’est donc à la justice syrienne qu’il reviendrait de juger les actes perpétrés sur son sol par des étrangers au service d’une armée d’invasion – à savoir Daech.

 Quant aux Kurdes, ils ont la légitimité de leurs sacrifices au combat et, très franchement, s’ils décidaient d’exécuter leurs impitoyables ennemis – même s’ils viennent de chez nous –, je m’en remettrais. Le gouvernement français a pour le moment tranché – mais les avis changent, pas toujours pour le meilleur – en déclarant « que les djihadistes devaient être jugés par “les autorités locales” » (Le Monde).

On ne peut vouloir le beurre et l’argent du beurre. Autrement dit, on ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce. Car, parmi les djihadistes attrapés dans les filets kurdes, il y a de gros poissons, dont « Thomas Barnouin, originaire d’Albi et proche de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, ou Émilie König, une Bretonne devenue la première femme djihadiste inscrite sur la liste noire des terroristes internationaux établie par les autorités américaines » (20 Minutes).

Il serait temps de mettre un terme à cette mascarade, qui envoie par ailleurs un signal déplorable aux viviers de l’intégrisme islamique essaimant sur notre sol. Faut-il rappeler que les djihadistes ne sont pas des braqueurs de banques ? Il y a peu de chances qu’ils se rangent des affaires. Leur rapatriement mettrait encore plus en danger les citoyens français, qui ont déjà eu leur dose.

Enfin, le djihadisme, ce n’est pas à la carte : on prend tout le menu ou rien !

Charles Demassieux

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La Hongrie entend taxer les ONG accusées de faciliter l’immigration

Le gouvernement hongrois souhaite taxer à 25% les financements étrangers des ONG de défense des droits civiques dans le pays qu’il accuse d’aider les . En ligne de mire : les organisations subventionnées par le milliardaire .

La Hongrie a détaillé le 18 janvier un projet de loi prévoyant l’instauration d’une taxe spéciale pour les ONG accusées par Budapest de faciliter l’immigration, une mesure visant des organisations financées par le milliardaire américano-hongrois George Soros, bête noire du Premier ministre conservateur .

Les ONG concernées feront l’objet «d’une taxe de 25% sur leurs financements étrangers, dont le produit sera affecté à la défense des frontières», a déclaré à la presse le directeur de cabinet de , Janos Lazar.

Le projet de loi, qui doit être soumis au Parlement en février, prévoit également des interdictions de territoire pour les ressortissants étrangers soupçonnés de favoriser l’entrée en Hongrie de demandeurs d’asile.

Des barbelés aux frontières serbe et croate pour contrer l’immigration illégale

Farouchement opposées à toute immigration illégale, les autorités hongroises ont fait ériger en 2015 une clôture barbelée aux frontières serbe et croate de la Hongrie et mènent depuis plusieurs mois une campagne contre , que Budapest accuse de vouloir favoriser une «immigration de masse» vers l’.

Le milliardaire américain d’origine hongroise, qui finance plusieurs ONG dans le pays, a réfuté ces allégations, les qualifiant de «mensongères» et à tonalité «antisémite». Pour autant, sa fondation Open Society ne fait pas mystère de son intense travail de lobbying pour faire avancer ses idéaux auprès des eurodéputés, dont elle a répertorié ses «alliés fiables» dans un document. lui-même, en outre, fustige le «nationalisme» qui serait devenu «l’idéologie dominante» dans le monde.

Le 18 janvier, le porte-parole du gouvernement hongrois, Zoltan Kovacs, a une nouvelle fois accusé George Soros de soutenir «des groupe d’aide aux , déguisés en organisations de défense des droits de l’Homme».

Dans une précédente mesure visant le milliardaire, la Hongrie avait adopté en juin une loi obligeant les ONG recevant plus de 24 000 euros de financements étrangers par an à se soumettre à un enregistrement spécifique, ce qui avait provoqué l’ouverture par Bruxelles d’une procédure d’infraction.

1 291 réfugiés accueillis malgré tout en Hongrie

La nouvelle offensive contre George Soros intervient alors que , qui briguera un troisième mandat d’affilée lors d’élections législatives en avril, est chahuté par son opposition après la publication de statistiques selon lesquelles la Hongrie a accueilli 1 291 réfugiés en 2017, en contradiction apparente avec la affichée par le gouvernement.

Le gouvernement hongrois a toutefois assuré s’être simplement plié à ses obligations internationales en matière d’asile, et n’avoir jamais tenu de chiffre secret.

La Commission européenne a renvoyé en décembre trois pays, dont la Hongrie, devant la justice européenne pour avoir refusé les quotas européens d’accueil de réfugiés. La Hongrie a souligné vouloir pouvoir décider par elle-même des personnes qu’elle accueille

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Autriche: une «unité de protection des frontières»

Migrants L'Autriche lance une unité qui pourra intervenir pour «sécuriser un passage frontalier et mener des contrôles d'identité».

Le nouveau ministre de l'Intérieur autrichien (FPÖ, extrême droite), Herbert Kickl, a annoncé jeudi la création d'une «unité de protection des frontières». Il veut faire face à un afflux de migrants similaire à celui de 2015.

«Il n'est pas question de permettre une répétition de 2015. J'ai donc donné des instructions pour la création d'une 'unité de protection des frontières'», affirme Herbert Kickl, 49 ans, dans un entretien au quotidien Tiroler Tageszeitung.

 
«L'objectif est d'assurer une gestion ordonnée des frontières en quelques heures», précise l'ancienne plume de Jörg Haider, chef historique du Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ) mort en 2008.

Cette unité pourra être mobilisée pour «sécuriser un passage frontalier et mener des contrôles d'identité. Se contenter de laisser passer les gens ne se reproduira pas», promet-il.

Nombre record de demandes d'asile

Des centaines de milliers de personnes sont passées par l'Autriche en cherchant à se rendre en Allemagne ou ailleurs en Europe lors de la crise des migrants en 2015. Cette année-là, l'Autriche a enregistré un nombre record de demandes d'asile.

Entré en fonctions mi-décembre, le gouvernement du chancelier conservateur Sebastian Kurz comporte six portefeuilles FPÖ, dont les ministères régaliens de l'Intérieur, de la Défense et des Affaires étrangères.

La semaine passée, Herbert Kickl avait proposé de cantonner les demandeurs d'asile de façon «concentrée» dans des centres dédiés. L'utilisation de ce terme interprété comme faisant écho aux camps de concentration nazis avait déclenché un tollé.

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