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lundi, 13 juin 2016

Dès maintenant, retenez cette date : Le 2 octobre 2016

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Davantage de renseignements ici

Mosquée d'Annecy, suite mais pas fin!!

Mosquée d'Annecy, suite mais pas fin!!

Source : 8montblanc

Saisie record de 18 kg d’héroïne chez des dealers Albanais

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Dans la nuit de mercredi à jeudi de la semaine dernière, un véhicule est intercepté lors d’un contrôle inopiné des douanes, à Dijon. Les douaniers constatent que l’immatriculation de la voiture a fait l’objet d’un signalement par la police annécienne. En Haute-Savoie, un dispositif d’accueil a d’ailleurs été mis en place pour intercepter la voiture lors de son arrivée à Annecy. La fouille du véhicule va montrer que l’intérêt des fonctionnaires annéciens était plus que justifié. Sous un siège et dans une cache, les douaniers découvrent 4,1kg d’héroïne pure (16,4kg une fois coupée et conditionnée).

Les policiers annéciens lancent alors une série d’interpellations concernant 10 individus, repérés au cours de leur enquête. Avec les éléments recueillis lors des perquisitions, ils vont mettre la main au total sur l’équivalent de 17,8kg d’héroïne prête à la consommation, représentant une valeur à la revente de près de 350 000€.

Les policiers vont également, découvrir 3 kilos de cannabis, 130g de cocaïne et plus de 20 000 € en petites coupures.

Sur la dizaine d’individus interpellés, 8 ont été présentés au parquet d’Annecy dimanche et lundi et placés en détention provisoire dans des maisons d’arrêt de la région. Tous sont de nationalité albanaise et âgés de 20 à 35 ans.

L’homme suspecté d’être à la tête du réseau était par ailleurs bien établi à Annecy. Il se présentait depuis plusieurs mois en tant qu’interprète bénévole pour la Croix-Rouge, et était en contact permanent avec les demandeurs d’asile.

Le trafic représentait une vente de près de 7kg d’héroïne en moyenne chaque mois pour un chiffre d’affaires de 180 000 €.

Pierre Olivier

Source : Jeune Nation

Affaire Benzema : Foot et Grand Remplacement

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Karim Benzema a déclaré que si Didier Deschamps ne l’avait pas sélectionné c’est parce qu’il avait cédé à la partie raciste de la France. J. Debbouze a ajouté qu’il trouvait anormal qu’il n’y ait aucun maghrébin dans l’équipe de France. E. Cantona, dans le rôle du « dhimmi » islamo-gauchiste, a estimé que si D. Deschamps n’avait pas sélectionné de maghrébin, c’était peut-être « parce que personne dans sa famille n’est mélangé avec quelqu’un, comme les Mormons d’Amérique ».

Cette affaire Benzema et l’évolution du football de façon plus générale, offrent une illustration parlante de ce qui est en train de se produire en France et en Europe.

L’immigration ne débouche pas sur l’intégration, encore moins sur l’assimilation : dans une société multiculturelle et multiraciale, chacun raisonne en fonction d’une logique communautaire. Cette société communautarisée est nécessairement conflictuelle, chaque communauté cherchant à prendre le pas sur les autres. L’évolution du football en France et en Europe illustre cette situation.

On peut ainsi constater que la plupart des joueurs Français issus de l’immigration ne chantent pas la Marseillaise. Il en est de même en Allemagne, où les trois joueurs immigrés (Boateng, Ozil et Khédira) ne chantent pas l’hymne national. De même les supporteurs Français d’origine immigrée montrent qu’ils ne se sentent pas membres de la communauté nationale: ils supportent les équipes de leur pays d’origine, en arborent les drapeaux et les maillots ; lors des matches France-Algérie, les supporteurs Français d’origine algérienne sifflent l’hymne national. […]

Suite et commentaires à retrouver sur le Blog de Paysan Savoyard

Chronique de Paysan Savoyard

Source : islamisation.fr

Mosquée de Nice : deux résistants trainés au tribunal correctionnel

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L’information a été révélée dans les colonnes du Figaro le 11/06/2016 : deux hommes soupçonnés d’avoir déposé mercredi 08/06/2016 une dépouille de sanglier devant la mosquée En Nour de Nice, ont été interpellés, placés sous le régime de la garde à vue, déférés au Parquet et renvoyés devant le Tribunal corectionnel en septembre.

Vous l’aurez compris, il n’y a ni dégradation ni violences, juste une carcasse de sanglier déposée devant l’édifice. Autant dire l’expression d’un ras le bol, et ce ras le bol est légitime !

Pour mémoire la mosquée El Nour a pu ouvrir ses portes au début du ramadan (comme par hasard), sur décision du Tribunal Administratif de Nice saisi par l’association Nice La plaine qui gère cet institut. Le maire de la ville, Christian Estrosi, qui s’oppose depuis le début à son ouverture, s’est pourvu en cassation.

Bernard Cazeneuve a aussitôt félicité les policiers de la Sûreté Départementale des Alpes Maritimes et a réaffirmé « la détermination du gouvernement à combattre et à sanctionner tous les actes haineux et anti-religieux inacceptables dans notre République laïque. »

Bien entendu, ils ne fait pas allusion à nos églises qui sont obligées de fermer leurs portes pour éviter les pillages, ni à celles qui sont littéralement dégradées par des individus qui appliquent leur conception de la « laïcité » à la lettre (Lire cet article : http://rhonealpesinfo.fr/racines-chretiennes-souillees-mu...)

Par ailleurs, il convient de souligner le titre tapageur du Figaro, qui parle de « Profanation« . Ce terme mérite que l’on remette les choses au clair. Attardons nous sur ce vocable. Selon le Larousse, profaner consiste à dégrader, avillir ce qui est sacré, précieux.

En ce sens, il convient d’affirmer que l’ouverture d’une mosquée finançée par un Etat Wahhabite (l’Arabie Saoudite), comprenez salafiste puisque c’est la même chose, sur notre sol est un acte de profanation de notre laïcité, qui n’a jamais eu pour définition, n’en déplaise au sieur Cazeneuve, l’égalité de tous les cultes et le rattrapage d’un retard de la représentation de l’islam en France pour des raisons historiques et culturelles.

Ici, en France, ce qui est sacré et précieux, c’est aujourd’hui notre identité.

Il est plus que temps que ce gouvernement, comme tous les autres à venir, entendent la voix du peuple qui crie de plus en plus fort : « NOUS NE VOULONS PLUS DE NOUVELLES MOSQUEES SUR NOTRE TERRITOIRE ! »

C’est certainement le message qu’on voulu faire passer les deux justiciables qui devront répondre de leurs actes comme au temps de l’inquisition, au nom d’une bienveillance insupportable envers celles et ceux qui nous détestent, qui nous envahissent, et qui nous tuent, cette bienveillance étant honteusement camouflée derrière le terme de « laîcité » détourné de son sens réel.

Jamais la problématique de l’islam en France n’aura été aussi prégnante dans notre société qui n’en peut plus de voir les atteintes à son identité se multiplier avec la complicité de nos élites.

La colère gronde. Elle est de plus en plus forte. Il faut l’entendre.

Alors non, messieurs du Figaro, ce n’est pas une profanation. Non, monsieur Cazeneuve, ce n’est pas un acte de « haine ». C’est un acte de résistance !

Sébastien Jallamion

Source : Riposte laique

Le Vaucluse confronté à des arrivées massives d’envahisseurs mineurs

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« C’est important de s’assurer de la minorité pour ne pas saturer le système d’aide à l’enfance, qui doit aussi répondre à d’autres missions comme l’urgence de la maltraitance », rappelle le procureur Bernard Marchal. Photo Cyril Hiély

Il y a quelques jours, Moussa et Mohamed, deux ressortissants Guinéens – pris en charge par le Conseil départemental de Vaucluse dans le cadre de sa mission d’aide sociale à l’enfance – ont, après une enquête judiciaire, finalement été reconnus comme étant majeurs. Ils avaient utilisé de faux documents, sans doute fournis par des passeurs, pour rejoindre la France. 

Depuis plus de deux ans, le Vaucluse est confronté à des arrivées massives de mineurs étrangers qui débarquent seuls, sans leur famille, majoritairement des garçons, venus principalement d’Afrique. « Il y a un peu moins d’une dizaine d’années, ils étaient deux ou trois mineurs étrangers isolés (MIE), ils sont à ce jour, 92 dont 64 mineurs et 28 tout juste majeurs », note Maurice Chabert, président du Conseil départemental. Budget alloué pour leur prise en charge : 3,6 millions d’euros en 2016.

S’ils sont mineurs, ils bénéficieront de l’aide prévue et seront pris en charge, comme l’oblige la loi, par le Conseil départemental jusqu’à leur majorité (l’État prendra ensuite le relais). Ils ne sont pas expulsables, et ce, quelle que soit leur nationalité, rappelle le préfet Bernard Gonzalez.

« Ils sont nourris, logés, scolarisés et ont de l’argent de poche. On se substitue aux parents » reconnaît Maurice Chabert mais qui pointe aussi du doigt les limites de cette prise en charge avec la recrudescence des arrivées.

Et puis, pour ceux dont la majorité est confirmée, la mesure de placement est levée. Ils deviennent étrangers en situation irrégulière, accusés d’escroquerie à l’aide à l’enfance. Depuis l’été 2015, 12 procédures d’éloignement ont été notifiées à des jeunes majeurs mais le retour au pays d’origine est quasi impossible. « En Guinée, il n’y a personne au bout du fil… Le pays ne délivre pas de papiers », lance à titre d’exemple le préfet qui précise alors qu’il était inutile de laisser Moussa et Mohamed dans un centre de rétention.

In fine, le Conseil départemental suivra la décision judiciaire. On est mineur et protégé ou majeur et sans papiers. Ce sera le foyer… ou la rue. Avec ce que cela peut supposer, de vols et de violences…

Les deux Guinéens, Moussa et Mohamed avaient été interpellés et placés, le 30 mai dernier, en centre de rétention à Marseille avant d’être remis dehors le lendemain sur décision du préfet de Vaucluse, faute d’accord avec le pays d’origine qui refuse de délivrer des papiers.

Pierre Olivier

Source : Jeune Nation

États-Unis : « L’Amérique obnubilée par Assad au point de s’allier avec Al-Qaïda »

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L’ancien ambassadeur britannique en Syrie, Peter Ford, a livré son point de vue sur le la Syrie, les belligérants et les puissances qui sont penchées sur le chaudron syrien. Extraits :

« L’Amérique a perdu sa boussole, elle est tellement obnubilée par [l’idée] de se débarrasser d’Assad et du gouvernement laïque en Syrie, qu’ils sont prêts à s’allier de facto avec son ennemi juré, Al-Qaïda. Ils ont complètement perdu leur boussole morale et pratique ».

« Nous pouvons seulement espérer qu’ils reviendront à la raison et accepteront la demande très raisonnable de la Russie que les ainsi nommées forces modérées se séparent d’al-Nosra et laissent al-Nosra être bombardé. »

« Bien qu’al-Nosra soit officiellement affilié à Al-Qaïda, il est indiscernables de cette nuée de groupes djihadistes, Jaysh al-Islam, Ahrar al-Sham, Fatah al-Islam en termes d’idéologie, de confession religieuse, de méthodes pratiques de massacre et de cruauté Leur seule différence est tactique : les soi-disant groupes modérés font semblant de défendre l’idée que la Syrie devrait conserver un système laïque après les négociations, une fois Assad parti. Ils affirment cela, mais tous ceux qui y croient doivent être stupides. »

« Les Américains s’appliquent apparemment à refaire les mêmes erreurs à Damas que celles qu’ils ont faites à Bagdad ou à Tripoli. Ils sont donc obligés de soutenir ces groupes très douteux, parmi lesquels il n’y a sur le terrain qu’une faible minorité, une poignée d’opposants avec de réelles aspirations laïques et démocratiques. »

Pierre Olivier

Source : Jeune Nation

Mosquée, voile, salafisme… Le plaidoyer de Gérald Darmanin (les républicains) pour "un islam français"

Le maire LR de Tourcoing a publié un plaidoyer pour un nouvel islam de France qu'il a envoyé aux candidats à la primaire.

S'il ne s'engage pas (encore) pour Nicolas Sarkozy, lui-même pas officiellement candidat à la primaire, Gérald Darmanin partage un point commun avec l'ancien locataire de l'Élysée. Il souhaite placer la question de l'identité au cœur du débat. Le maire de Tourcoing a publié un plaidoyer pour un islam français qu'il a fait parvenir à chacun des candidats engagés dans la course à l'investiture. Un plaidoyer qui débute par une phrase choc : "La France couve les principes d'une possible guerre civile".

Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, Gérald Darmanin a justifié le choix de cette formule en ciblant les "tensions communautaires" qui gangrènent le pays. "C'est une guerre civile qui sera d'autant plus terrible qu'elle sera religieuse." L'ancien député veut trouver une alternative aux discours classiques visant à expliquer qu'il n'y a pas de problème avec l'Islam" ou affirmer que "l'Islam est incompatible avec la République". "Il faut qu'il y ait une concorde, il faut que nous ayons conscience du mal et que ce mal doit être adapté à la situation présente. Je remarque que les catholiques, les protestants, les juifs ont tous connu une période où l'État a été autoritaire vis-à- vis d'eux."

"Le salafisme est un danger pour la République"

Dans son plaidoyer, Gérald Darmanin évoque le salafisme, qui représente pour lui, "un danger pour la République, un danger extrêmement profond. Mais il n'y a pas de lien entre le fait que ceux qui vivent traditionnellement soient des terroristes en puissance."

Il y aurait un décalage entre le mode de vie des salafistes et les règles de la République. "Le salafisme pousse à un état d'esprit de division vis-à-vis de la République (...) Je pense qu'il faut couper cette branche dure qu'est le salafisme et en même temps faire attention aux Frères musulmans, qui ne sont pas des salafistes et qui pensent qui jouent le jeu de la République et de la démocratie pour influencer politiquement notre vie. Il faut le refuser."

Quel financement pour les mosquées en France ?

Pour contrer la montée du salafisme, le vice-président de la région Hauts-de-France préconise de s'attaquer au financement étranger des mosquées et des imams. "Il faut que les imams soient Français, parlent français. Lorsque l'Arabie Saoudite finance des mosquées en France, on laisse ceux qui sont wahhabites, salafistes commander sur le sol français." Gérald Darmanin est contre le financement des lieux de culte par l'État. C'est pourquoi, il prône que "les collectivités locales deviennent propriétaires de ceux qui sont sur leur sol (...) Elles peuvent aider à l'indépendance de l'islam de France. Aujourd'hui, c'est l'islam des ambassades, ce n'est pas possible."

"La taxe halal est une taxe communautaire, je suis opposé"

Nathalie Kosciusko-Morizet propose, de son côté, de taxer à un centime le marché de la viande halal (6 milliards d'euros). Gérald Darmanin ne veut pas en entendre parler. "La taxe halal est une taxe communautaire. Vous partez du principe que ceux qui mangent halal sont musulmans. Les enfermer dans une consommation communautaire, c'est accepter le principe de communautarisation."

Des clochers mais pas de minarets pour les mosquées

En France, Gérald Darmanin ne veut plus de minarets. "Et que ce soit inscrit dans le code de l'urbanisme. À Tourcoing, nous avons permis la création d'une mosquée en vendant un terrain municipal et j'ai refusé le permis de construire qui avait le minaret. Nous ne sommes pas une terre islamiste, nous sommes un pays de racine chrétienne."

Oui au port du foulard, non aux vêtements amples dans l'espace public

"Le prosélytisme doit être interdit dans notre pays. Je pense que les femmes qui portent des vêtements très amples qui laisse juste le visage, ce n'est plus tout à fait acceptable dans le République", a répété Gérard Darmanin, qui fait le distinguo entre le port du foulard et du voile. "Le voile est un instrument vestimentaire maghrébin très largement diffusé dans l'Europe pour les musulmans. Mais en Indonésie, les femmes ne sont pas voilées (...) Le foulard discret de la maman qui accompagne ses enfants dans une sortie scolaire ne me gène absolument pas."

Refus du repas de substitution à la cantine: "Nicolas Sarkozy a fait une erreur"

Nicolas Sarkozy s'était prononcé contre les repas de substitution à la cantine. "Il a fait une erreur. Il ne faut pas de repas communautaires mais que l'enfant mange le menu A ou le menu B, ce n'est pas un sujet lié au communautarisme. Il y a des enfants qui mangent un seul repas équilibré et je suis très content que ce soit à l'école de la République."

Elizabeth Martichoux , Ludovic Galtier

Source : Rtl

Creuse: un pompier agressé et blessé à l'arme blanche dans sa caserne

Par chance, aucun organe vital n’a été atteint. Un pompier a été blessé à l’arme blanche, vendredi soir dans son propre centre de secours de La Souterraine, dans la Creuse, par deux agresseurs, vraisemblablement des cambrioleurs, qui étaient activement recherchés samedi, a-t-on appris de sources concordantes.

L’adjudant-chef de 55 ans, chef de la caserne de La Souterraine, avait fermé et quitté le centre vers 20h30 avant d’y revenir, réalisant qu’il avait oublié son téléphone dans son bureau.

Coups de cutter et de couteau

Rentrant dans les locaux, il est alors tombé nez à nez avec un cambrioleur en train de sectionner les câbles d’un ordinateur, a-t-on appris auprès du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et du parquet de Guéret.

L’homme, armé d’un cutter, a porté deux coups au visage du pompier, qui a alors vu un deuxième intrus intervenir et lui donner un coup de couteau à l’abdomen. Il est parvenu à se défaire un moment de ses agresseurs – se fracturant la main au passage -, le temps d’actionner la sirène, qui a aussitôt mis en fuite les deux hommes.

Cazeneuve « indigné » par cette « lâche agression »

Transporté au CHU de Limoges, le pompier professionnel, marié et père de deux enfants, a été opéré avec succès dans la nuit et ses jours n’étaient pas en danger, aucun organe vital n’ayant été atteint.

Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a fait part de son « indignation » face à cette « lâche agression » commise à la veille de la Journée nationale des sapeurs-pompiers et exprimé ses « voeux de prompt rétablissement et son entier soutien » au pompier blessé. « Ses deux agresseurs, activement recherchés par la gendarmerie, devront répondre de leurs actes devant la justice », affirme le ministre.

Source : Boulevard Voltaire

Italie: un journal offre Mein Kampf en supplément

Question cadeau aux lecteurs, on a déjà vu mieux. Le quotidien italien de droite Il Giornale propose samedi comme supplément un exemplaire de Mein Kampf, le livre d’Adolf Hitler. « Connaître pour rejeter »: c’est ainsi que le journal a justifié l’initiative qui scandalise la communauté juive et Matteo Renzi.

Le président du Conseil a réagi vivement dès samedi matin sur son compte Twitter à la publication en Italie de cette oeuvre programmatique, rédigée en 1925, de celui qui allait commettre le plus grand génocide de l’Histoire:

« Je trouve glauque qu’un quotidien italien propose aujourd’hui Mein Kampf de Hitler. Mon salut affectueux à la communauté juive. Jamais plus! », écrit Matteo Renzi.

« C’est un fait sinistre, à des années lumière de toute logique d’approfondissement et d’étude de la Shoah », a réagi de son côté le président des communautés juives italiennes, Renzo Gattegna, jugeant « indécente » l’initiative du Giornale.

Un « antidote » au national-socialisme

« Lire Mein Kampf est un véritable antidote aux toxines du national-socialisme », s’est justifié le journal, qui publie une version de 1937 de l’ouvrage dans une édition commentée par l’historien Francesco Perfetti. Il Giornale a expliqué que Mein Kampf accompagne le premier d’une série de huit livres dédiés à l’histoire du Troisième Reich, qui seront vendus chaque semaine.

Connu pour ses positions de droite, notamment sur la question de l’immigration, le quotidien dirigé par Alessandro Sallusti et propriété de Paolo Berlusconi, frère de l’ancien chef de gouvernement Silvio Berlusconi, tire à 200.000 exemplaires.

Une édition commentée par des chercheurs de « Mein Kampf » avait été publiée début janvier en Allemagne, une première depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, rendue possible par le fait que les droits étaient tombés dans le domaine public en début d’année.

Selon le chercheur italien Frediano Sessi, cité par la chaîne Rainews24, il est regrettable que cette publication ne suive pas l’exemple de cette édition allemande, dans laquelle « 3.500 notes critiques dépassaient en taille le texte du Führer ».

Source : Boulevard Voltaire

Le chef d'Al-Qaïda fait allégeance au nouveau leader des talibans

Le chef d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, a prêté allégeance au nouveau leader choisi par les talibans afghans après la mort de leur ancien chef dans une attaque américaine, a rapporté samedi le centre américain de surveillance de sites jihadistes SITE.

Ayman al-Zawahiri a proclamé cette allégeance au mollah Haibatullah Akhundzada, dans un message audio de 14 minutes mis en ligne sur ces sites, selon le centre américain.

« En tant qu’émir d’Al-Qaïda (…), je vous donne mon allégeance, en renouvelant la tradition (instaurée) par notre chef Oussama ben Laden », a déclaré Ayman al-Zawahiri à l’intention du mollah Haibatullah Akhundzada, qui a succédé au mollah Mansour, tué par un drone américain au Pakistan.

Al-Qaïda « invité » des talibans

Il a appelé « la nation musulmane » à suivre son exemple en proclamant « soutien et allégeance à l’émirat islamique » le nom donné par les talibans à leur Etat islamiste en Afghanistan entre 1996 et 2001. Il a daté son message du 27 mai, soit deux jours après la confirmation par les talibans de la mort du mollah Mansour. Le même Zawahiri avait fait allégeance en août 2015 au nom d’Al-Qaïda au mollah Mansour.

Le fondateur d’Al-Qaïda, le Saoudien Oussama ben Laden, tué dans un raid de forces américaines en 2011 au Pakistan, se considérait comme l’invité des talibans. Il avait été le premier à prêter serment d’allégeance à Mollah Omar, le premier chef des talibans après que son mouvement s’est installé dans les années 1980 des deux côtés de la frontière afghano-pakistanaise. Al-Qaïda jouissait de ce fait de la protection des talibans dans cette zone, selon les spécialistes.

Source : Boulevard Voltaire

Syrie: 20 morts dans un double attentat revendiqué par Daesh

Les terroristes visaient précisément le sanctuaire. Au moins 20 personnes sont mortes samedi dans un double attentat près d’un mausolée chiite proche de Damas, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

D’après le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane, le bilan « s’élève à 20 morts, dont 13 civils, et plus de 30 blessés » dans les deux attaques près du mausolée de Sayeda Zeinab. Selon lui, le kamikaze qui s’est fait exploser à une entrée du sanctuaire visait « un barrage de miliciens prorégime ».

L’agence officielle Sana a donné un bilan d’au moins 12 morts et 55 blessées, en précisant qu’un kamikaze avait fait sauter sa ceinture d’explosifs à l’entrée du sanctuaire et un autre avait fait exploser une voiture piégée dans une rue de ce secteur de la banlieue de Damas.

Un mausolée très sécurisé

Le groupe jihadiste État islamique a revendiqué les attentats. « Trois opérations martyrs, deux au moyen d’une ceinture d’explosifs et une troisième au moyen d’une voiture piégée, ont été menées par les combattants de l’EI Sayeda Zeinab », a affirmé l’agence Aamaq, liée à l’organisation ultraradicale sunnite.

Le mausolée de Sayeda Zeinab, vénéré par les musulmans chiites car il abrite la tombe de la petite-fille du prophète Mahomet, est protégé par des miliciens chiites, notamment libanais et irakiens, et des soldats de l’armée syrienne. Des points de contrôle protègent ce secteur très sécurisé de la banlieue de Damas, le site ayant été la cible de plusieurs attaques de groupes jihadistes sunnites, dont l’EI, qui considèrent les chiites comme des hérétiques.

Source : Boulevard Voltaire

Bruno Mégret : "Il faut cesser d’affirmer que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam"

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Dans le dernier numéro du Chêne (n°83), Bruno Mégret publie un article dénonçant les responsabilité de la classe politique française quant aux attentats terroristes :

"Le terrorisme est devenu aujourd’hui une préoccupation majeure des Français et de ce fait un enjeu central du débat politique. Et à juste raison car la menace est maintenant claire et durablement installée. Le ministre de l'Intérieur, le premier Ministre et le président de la République expliquent d’ailleurs à longueur d'antenne que la France serait en guerre. Mais il ne s'agit là que de simples paroles. Car, si nous sommes en guerre, il conviendrait de désigner clairement l'ennemi et de prendre les mesures défensives et offensives qui s'imposent. Or, rien de tel n’a été accompli. Il y a certes l'état d'urgence, mais il ne fait que redonner à la police un minimum de moyens d'action que les dirigeants du système lui avaient retiré par l'accumulation de lois prétendument protectrices des libertés. Quant à la politique menée en Syrie et en Irak, elle est timide et ambiguë. Combattre Bachar el-Assad, seul capable de faire reculer l’Etat islamique sur le terrain, revient pratiquement à soutenir Daesch. Et ce ne sont pas les quelques bombardements symboliques que nous lui infligeons qui peuvent avoir une quelconque efficacité stratégique. Si Daesch n’avait que la France comme adversaire, il pourrait prospérer.

Il n’y a cependant pas lieu de s’étonner de cette impéritie car la situation dramatique que nous connaissons est la conséquence directe de la politique voulue par les dirigeants du système. Le terrorisme est en effet le fruit vénéneux de la politique d’immigration qu’ils conduisent depuis quatre décennies. En faisant venir sur notre sol des millions et des millions d'étrangers dont beaucoup sont musulmans, on a installé l’islam dans notre pays. Un islam dont chacun sait qu’il est incompatible avec les valeurs de notre civilisation, avec les principes de la République et avec notre mode de vie européen. Un islam qui véhicule de surcroît un projet hégémonique, offensif et guerrier à l’encontre de ceux qu’il considère comme des «infidèles». Ce sont donc bien les dirigeants du système qui ont semé les germes de la haine et du terrorisme.

Plus grave encore, les gouvernements successifs, refusant de voir le danger, ont tenu à ces populations un discours de faiblesse et d’autoculpabilisation. Au lieu de parler avec fermeté aux étrangers nouveaux venus en les sommant de se soumettre à nos valeurs et à nos lois pour prix des avantages économiques et sociaux qu’ils recevaient, on leur a laissé croire qu'ils n’avaient aucun devoir à notre égard et qu'ils avaient même tous les droits en réparation des prétendues injustices passées et présentes commises à leur encontre. On leur a ainsi instillé l’idée qu'ils étaient victimes de l’action colonisatrice de notre pays et qu’il subissaient aujourd’hui l’intolérance et le racisme de nos compatriotes. Les tenants du politiquement correct ont ainsi délibérément suscité au sein de ces populations un ressentiment profond à notre égard qui prend chez certains la dimension d'une haine agressive et meurtrière. De ce fait, une partie non négligeable de la population musulmane présente sur notre sol considère comme légitimes les actions terroristes lancées contre nous. Aussi faut-il cesser d’affirmer comme le fait encore M. Hollande que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam. Il a au contraire tout à y voir puisqu’il se nourrit idéologiquement des sourates les plus agressives du Coran et qu’il trouve ses militants et ses soutiens parmi les adeptes de cette religion.

Face à cette situation profondément dégradée, il est donc illusoire de penser qu’on pourra résoudre le problème par de simples mesures sécuritaires. Il est en effet pratiquement impossible d'empêcher quelques individus inconnus des services de police de se procurer des armes et de se livrer à des exactions meurtrières. En réalité, le terrorisme ne pourra être durablement éradiqué que si l’on accepte d’en comprendre les causes et que l’on s'attaque enfin à la racine du mal. Si le terrorisme vient de la politique d’immigration conduite par nos dirigeants et s’il est lié à l’islam qu’ils ont ainsi installé sur notre sol, il est temps d’en tirer les conséquences par trois mesures d’envergure.

Il faut d’abord stopper toute nouvelle immigration. Chacun sait maintenant que ce phénomène provoque dans notre pays d’innombrables drames dont le terrorisme. Il est dès lors indispensable «d’arrêter les frais» et de cesser d’aggraver chaque jour un peu plus le problème en augmentant le nombre d’étrangers et de musulmans présents sur notre territoire.

Ensuite, il faut changer radicalement le discours officiel des autorités à l’égard des immigrés et exiger d’eux qu’ils respectent nos lois, nos valeurs et notre identité.

Enfin il convient d’être dorénavant très clair à l’égard de la religion islamique sur notre sol. Il faut dire aux musulmans qu’ils sont minoritaires dans une nation européenne et chrétienne et qu’ils doivent donc, comme le Coran les y autorise, renoncer à appliquer les préceptes de la charia contraires aux lois et aux principes de notre pays. Et pour ceux qui refuseraient d’adapter ainsi leur pratique, il est temps d’en revenir à un principe simple : l’assimilation ou le départ. Dans cet esprit, il est nécessaire de fermer les mosquées, d’expulser les imams et de dissoudre les associations qui refuseraient de s’engager dans cette voie, la seule qui permette à l’islam de subsister sur notre sol sans compromettre le maintien de notre nation.

Qui pourra mettre en œuvre une telle politique de sauvegarde de la France ? Sûrement pas ceux qui sont responsables des agressions qu’elle subit."

Source : Le salon beige

Nigéria : un chrétien poignardé pour non respect du ramadan…

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Francis Emmanuel Olokpo, un charpentier chrétien de 41 ans, a été poignardé par un groupe de musulmans le 7 juin dernier à Kakuri parce qu’il n’observait pas le ramadan… Ce jour là, le chrétien s’était rendu au marché pour acheter du bois puis il est rentré à son atelier où il a pris son déjeuner. Il raconte : « Alors que j’étais en train de manger, un groupe d’environ six musulman est venu me demander si j’étais musulman ou chrétien, mais je n’ai pas répondu. Ils m’ont ensuite demandé pourquoi je ne jeûnais pas : je leur ai dit que je n’étais pas musulman. Avant que je le réalise, l’un d’entre eux m’a giflé. Comme je me relevais, les autres sont arrivés, ils m’ont entouré et frappé avec des couteaux ». Il se remet de ses blessures à l’hôpital catholique St. Gerald de Kaduna où il fut transporté inconscient : « Avec la grâce du Christ, je quitterai bientôt l’hôpital » a-t-il déclaré à des journalistes venus l’interroger. Nasir El-Rufai, gouverneur de l’État de Kaduna, est venu rendre visite au blessé dès le lendemain. Il a déclaré à la presse : « Le Nigéria est un pays de liberté, ce qui veut dire qu’on ne peut pas imposer à d’autres sa foi ou ses pratiques religieuses […] La décision d’observer une pratique religieuse relève de l’individu seul ».

Rappelons à nos lecteurs musulmans – et peut-être aux autres aussi… – que le mot ramadan vient de l’araméen ramad qui veut dire cendre, la cendre précisément qu’on impose sous la forme d’une croix sur le front des chrétiens le mercredi dit « des Cendres », premier jour du Carême… Intéressant, n’est-il pas ?

Source : christianophobie.fr

Hollandie : mosquée géante en construction à Tulle

SCANDALEUX !!

Tulle, la ville laboratoire du hollandisme est en train de faire voter un projet de construction d’une mosquée immense, complètement disproportionnée à la taille de la cité. En dehors de l’interrogation légitime des élus de l’opposition locale sur la participation des contribuables corréziens à un tel édifice, la hauteur du minaret et la taille du projet, qui ambitionne d’abriter une école coranique, illustrent l’islamisation de notre pays, dont même les terres rurales sont désormais touchées.

Comme s’en étonnent les opposants locaux dans une brochure qu’ils ont distribuée lorsqu’ils ont réalisé que la mairie (ancien fief de Hollande tenu par Bernard Combes, son conseiller à l’Elysée) ne voulait pas aborder ce sujet et voulait faire passer cette construction dans la pénombre la plus totale, le projet est pharaonique pour une petite ville comme Tulle. Surtout si il doit être financé par les impôts locaux des Corréziens…

La future mosquée tulliste devrait donc faire 1200 m2 et être composée, en plus d’un appartement pour l’imam (salarié par qui ?), de salles de prières séparées pour les hommes et les femmes, mais également de 4 salles de cours qui posent la question légitime de savoir s’il y est également prévu l’installation d’une école coranique.

Bien sûr, le minaret d’une hauteur de 13m96 installé sur cette colline surplombera la ville, comme un symbole de domination, choquant ainsi l’inconscient collectif populaire, qui n’est pas manipulé par les médias et sait encore renifler un mauvais présage… D’ailleurs, cette future mosquée prévoit une possibilité d’accueil pour 500 fidèles, alors que la communauté musulmane de Tulle est composée de moins d’une centaine de musulmans pratiquants. Pourquoi alors un si grand bâtiment ? A moins qu’ils aient prévu des arrivages… Histoire d’entretenir les clientèles électorales ? Ca ne serait pas surprenant venant d’un parti qui est au pouvoir grâce au vote massif des musulmans français.

Dans une petite ville entourée de campagne de 12 000 habitants, au fin fond du Limousin, en Corrèze, la construction d’un minaret à l’entrée de la ville donne raison à ceux qui s’inquiètent de l’influence grandissante de l’Islam en France. Et il ne s’agit pas que d’une anecdote : l’identité nationale se construit aussi autour d’une esthétique et de la projection que l’on a du monde dans lequel on vit. En l’occurrence, la France des clochers veut encore dire beaucoup pour de nombreux Français attachés à notre paysage urbain. Il ne faut pas négliger l’impact psychologique, lié au remplacement de ces clochers, synonymes de notre civilisation occidentale, judéo-chrétienne, héritée de Rome et de la Grèce antique, par de minarets, symboles d’une autre culture, une autre civilisation, qui ont aussi leurs attraits et leurs inconvénients, mais qui ne sont pas les nôtres.

Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !

Malgré l’indépendance de l’Algérie dont parle le général de Gaulle dans cette célèbre phrase, et à cause de la lâcheté de ses successeurs, nous en sommes arrivés là. Le général pensait surtout qu’une telle situation se terminerait dans un bain de sang si elle devait avoir lieu… Souhaitons qu’il y ait une prise de conscience avant que l’on en arrive là.

Source : ns2017.wordpress