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vendredi, 19 août 2016

La Suède connaît une forte croissance démographique principalement liée à l’immigration

La population suédoise connaît depuis quelques temps une croissance accélérée, principalement liée à l’immigration, et approche à présent les 10 millions d’habitants, selon des chiffres publiés mercredi.


La population suédoise s’est accrue de 55 300 personnes dans la première moitié de l’année 2016, soit 9 500 personnes de plus que pendant la même période l’an dernier, ont montré de nouveaux chiffres publiés par Statistics Sweden.


L’immigration représente la principale cause de cette croissance démographique, dans la mesure où 62 200 personnes se sont installées en Suède au cours des six premiers mois de l’année.


Bien que l’immigration en provenance des autres pays scandinaves et de l’Union européenne reste importante, le nombre de réfugiés extra-européens a également augmenté par rapport à la première moitié de l’année 2015.


Selon Statistics Sweden, environ 18 000 réfugiés se sont à ce jour installés en Suède cette année. La plupart d’entre eux sont originaires de Syrie.
Cependant, un grand nombre de réfugiés ayant effectué une demande d’asile l’an dernier attendent encore de recevoir une réponse à leur requête. Ils n’ont donc pas été inclus dans l’étude menée par Statistics Sweden.

Xinhua

Source : Yaclo

Pourquoi les tensions communautaires sont si fortes en Corse

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La rixe de Sisco n'est que l'énième épisode d'une série d'incidents opposant les communautés. L'Île de beauté est le laboratoire des fractures françaises.

Après la rixe qui a opposé habitants de Sisco et population d'origine maghrébine, tous les regards se tournent vers la Corse. Mais ce n'est pas la première fois que l'Île de Beauté est le théâtre privilégié des fractures françaises. Tout le long de l'année, les incidents opposant les communautés se sont multipliés. En janvier 2015, c'était un drapeau français brûlé et remplacé par celui du Maroc à l'école maternelle des Jardins de l'Empereur à Ajaccio. En décembre 2015, des pompiers avaient été agressés dans cette même cité sensible. Mais les actes contre les musulmans sont aussi nombreux : une boucherie halal mitraillée en février 2016, une mosquée incendiée en avril 2016, sans compter les restes de sangliers déposés devant les lieux de culte et les «arabi fuora» tagués sur les murs. Comme le relève Le Monde, un rapport de la CNCDH fait de la Corse la région la plus affectée par le nombre d'actes anti-musulmans par rapport au nombre d'habitants. Pourquoi la Corse est si sensible, et est devenue une sorte de laboratoire exacerbé des fractures françaises?

• Une communauté musulmane importante et de longue date

Les liens entre la population maghrébine et la Corse sont anciens: n'est-ce pas le Maure aux yeux bandés qui est devenu le symbole de l'île de Beauté? La tête de Maure, témoignage de la domination aragonaise sur les îles méditerranéennes était un symbole de la «reconquista» de la péninsule ibérique par les Aragon, qui chassèrent la civilisation musulmane de l'Espagne. La Corse avait auparavant subi de sévères incursions maures durant des siècles, et il se peut que la tête de maure ait été adoptée sous influence espagnole. On lui a depuis débandé les yeux en signe de libération du peuple corse.

Autrefois terre d'émigration (notamment dans les colonies), la Corse est devenu au XXe siècle une terre d'accueil, avec une forte immigration, surtout en provenance du Maroc. Aujourd'hui, il y a, selon les chiffres officiels, 42.000 musulmans sur l'île, soit environ 13 % de la population. «Auparavant, les gens ne se mélangeaient pas, mais il y avait moins de tensions qu'il n'y en a aujourd'hui entre jeunes issus de l'immigration et jeunes issus de familles corses», constate Laurent Marcangeli, député-maire (LR) d'Ajaccio.

• Une société organique et traditionnelle

Le caractère insulaire de l'île l'a longtemps protégé du multiculturalisme. Mais depuis plusieurs dizaines d'années, l'immigration a changé la donne. Et est venue bousculer une société familiale, où tout le monde se connait dans les villages, et qui repose sur des lois traditionnelles non écrites. «Les Corses ont une identité forte, ils sont attachés à un cadre de vie et à une manière de vivre», explique Laurent Marcangeli. «Pour eux, la métropole, ce sont les banlieues. Ils ont la phobie de voir arriver des zones de non-droit sur leur île. Les gens me disent “On ne veut pas devenir la Seine-Saint-Denis ou les quartiers Nord de Marseille”.»

«On assiste depuis quelques années à une libération des tensions raciales. Mais ici, à la différence d'ailleurs, les gens passent à l'acte. Je suis inquiet que ça monte crescendo. Ça devient compliqué d'être musulman en Corse, il y une suspicion généralisée vis-à-vis de l'islam», s'inquiète le député. Le regain des milices identitaires, comme la «Vigilenza Naziunale Corsa», qui prétend lutter contre l'islamisation de l'île, en atteste. Dans un communiqué publié peu après la mort du père Hamel, le FNLC l'a assuré: les Corses ne se laisseront pas faire par les islamistes. «Sachez que toute attaque contre notre peuple connaîtrait de notre part une réponse déterminée sans aucun état d'âme», ajoute encore le groupe indépendantiste. S'adressant, plus généralement «aux musulmans de Corse», le Front les appelle aussi à «prendre position» en dénonçant l'islamisme radical.

• Une tradition de la vengeance privée

C'est un cliché, mais le passé l'a montré: la tradition de la vendetta reste vivace en Corse. La vendetta est une tradition de vengeance personnelle, sans passer par l'intermédiaire de la justice ni recourir à la puissance étatique. Défiant envers les pouvoirs politiques, certains préfèrent régler eux mêmes leurs contentieux, comme ce qui s'est passé à Sisco.

• Une région pauvre

«N'oublions pas que la Corse est l'une des régions les plus pauvres de France», rappelle le député. En effet, avec un habitant sur cinq en dessous du seuil de pauvreté, la Corse est la lanterne rouge des régions françaises. Or les tensions sociales exacerbent souvent les tensions ethniques et raciales et l'immigration est vécue beaucoup plus difficilement dans un contexte économique tendu.

• Conséquence: un FN fort

Les prises de parole mesurées comme celle de Talamoni n'ont pas satisfait les plus radicaux. «Je ne serai pas surpris que la situation profite à Marine Le Pen», dit Laurent Marcangeli. Si le Front national ne fait pas de très bon scores aux scrutins locaux, éclipsé par les indépendantistes, il est à un niveau très élevé aux élections nationales: en 2012, Marine Le Pen était arrivée deuxième, à 24,5%, au premier tour derrière Nicolas Sarkozy. Insulaire et montagneuse, réplique miniature et bouillonnante de l'Hexagone, la Corse est le miroir exacerbé des fractures françaises.

Eugénie Bastié

Source : Le Figaro

 

Le débat sur le burkini gagne la Belgique

Alors que la polémique sur le burkini enflamme les plages françaises, la Belgique se pose la question de l’interdiction. Le parti nationaliste flamand N-VA réfléchit à une interdiction générale sur la côte flamande. "Je ne pense pas que les femmes veuillent porter une telle tenue sur la plage au nom d’une croyance", a déclaré Nadia Sminate, député du premier parti belge, qui veut porter la question au Parlement. Selon La Libre Belgique, le parti du Mouvement Réformateur (MR, de droite), principal allié du N-VA serait est « prêt à ouvrir au parlement fédéral le sensible dossier d’une interdiction légale du port des burkini ».

Source : Boulevard Voltaire

De quoi le burkini est-il le signe ?

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Dans cette pseudo-histoire de maillot de bain qu’est le burkini, le Premier ministre Manuel Valls a décidé de se mouiller. Soutenant les maires qui en ont interdit le port sur leurs plages, il a déclaré :

Le burkini n’est pas une nouvelle gamme de maillots de bain, une mode. C’est la traduction d’un projet politique, de contre-société, fondé notamment sur l’asservissement de la femme.

Manuel Valls a tort et raison à la fois. Tort quand il évacue l’effet de mode, raison quand il pointe le désir de modifier la société française dans ce qui fonde depuis des siècles sa culture profonde.

Pour la petite histoire, le burkini est bel et bien une mode récente dont la création, en 2004, reviendrait à une dénommée Aheda Zanetti, Australienne d’origine libanaise. C’est Le Monde qui rapporte ses propos :

J’ai fait des recherches et je n’ai pas trouvé de tenues convenables pour les femmes sportives et pudiques.

Elle crée donc cette combinaison, « le “hijood”, contraction de “hijab” et “hood” (capuche, en anglais), un survêtement adapté à la “pudeur” religieuse ».

On a envie de lui répondre bullshit, mensonge et fumisterie. Qu’est-ce que cette notion de « pudeur religieuse » ? Qu’est-ce qu’elle cache, que dit-elle au juste ?

Deux choses essentiellement :
1) Que l’image de la femme doit être totalement abolie.
2) Que tout regard que porte un homme sur une femme est impur et porteur de souillure.

Sous le voile intégral, et par extension dans sa combinaison de plage, la femme n’a de montrable qu’un visage, parfois seulement le regard, et parfois rien du tout. Pas de formes visibles, pas de chevelure, pas un carré de peau pour prendre l’air et le soleil. Elle est hors identité, non identifiable. L’islam interdit la représentation, l’image : la femme est non représentative et non représentée.

Enfin, comme chacun peut le constater – il faut bien écouter à ce sujet les professeurs des écoles –, les mâles dans l’islam sont éduqués à régner sans partage dès le berceau. Couvés par des mères qui les traitent comme des dieux, les petits garçons peuvent tout faire quand leurs sœurs ne sont que des bonniches à leur service. La culture phallocratique, dans ce qu’elle a de plus stérile, est entretenue par les femmes au nom du respect de « la place » dévolue à chacun, et ses contraintes emballées dans un fumeux concept de « pudeur ».

Ce monde-là n’est pas le nôtre. Ce n’est pas notre histoire, pas notre culture. Nous sommes les héritiers de la Grèce et de Rome qui magnifiaient le corps des femmes ; le Moyen Âge chrétien a sculpté les Vierge à l’Enfant, la Renaissance a peint la gorge des courtisanes, le Grand Siècle les a rendues éblouissantes, et même s’il a fallu deux siècles pour qu’elles accèdent à l’égalité des droits, elles ont toujours tenu le devant de la scène.

Le danger est que nous prenons tout cela pour acquis. Or, rien n’est acquis face à une culture d’importation d’autant plus prosélyte qu’elle est régressive. C’est notre tolérance qui nous rend vulnérables. Là-dessus, Manuel Valls a raison : le burkini traduit un véritable « projet politique, de contre-société »»

Alors, pour nos filles et nos petites-filles, et surtout pour toutes ces fillettes qui sont nées ici et qu’on entend faire vivre comme là-bas, refusons cette guerre des signes qu’on nous impose.

Marie Delarue

Source : Boulevard Voltaire

Infiltration terroriste parmi les migrants et réseau djihadiste à Milan

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C’est ce que semblent confirmer les services secrets libyens, entrés dans Syrte la semaine dernière, libérant la ville de l’État islamique.

Dans l’immeuble du centre des congrès Ouagadougou qui servait de base logistique à Daech, les soldats de l’armée gouvernementale libyenne auraient, en effet, retrouvé plusieurs documents – de la feuille volante manuscrite au file informatique – exposant des plans d’attaques de l’Italie et contenant des noms de djihadistes présents sur son territoire.

Plusieurs dizaines, voire une centaine d’entre d’eux auraient rejoint notre continent, mêlés aux migrants, profitant de la désintégration de fait de nos frontières. Rappelons que ce fut le cas d’au moins trois des terroristes qui ont semé la terreur en France et en Allemagne depuis le 13 novembre dernier.

Ces informations sont prises très au sérieux par Rome, et leur bien-fondé ne semble pas être remis en question puisque y figure Moez Ben Abdelkader Fezzani, alias Abou Nassim, immigré tunisien expulsé en 2012, bien connu des services de police pour avoir été, entre autres, à la tête d’une cellule de recrutement de djihadistes particulièrement active dans le Milanais. Les documents retrouvés confirmeraient que son activité a repris ou n’avait jamais cessé.

L’enquête étant en cours, aucun commentaire officiel n’a été émis. Mais ce silence des autorités peut aussi être interprété comme une tentative de faire l’impasse sur l’incompréhensible laxisme judiciaire dont l’énergumène a pu profiter.

De la Bosnie à l’Afghanistan, des attentats de Bruxelles et du Bardo à l’enlèvement des quatre techniciens italiens en Tripolitaine, du front Al-Nosra au récent État islamique, partout son nom est associé au djihad international. Et malgré un passage par Guantánamo et plusieurs procès pour ses liens avec le terrorisme islamique depuis 1998, il sera constamment acquitté par la justice italienne. La dernière fois en 2012, le tribunal de Milan jugeant nécessaire sa remise en liberté, attendu qu’il n’était « pas un combattant, mais un idéologue » ! C’est grâce à cette sentence qu’il pourra aller gonfler les rangs des milices islamiques au Moyen-Orient puis en Libye.

Les renseignements fournis par Tripoli officialisent ce que nombre d’opposants au chaos migratoire dénoncent depuis le début de la crise, à savoir que le travail des forces de l’ordre est vain sans le rétablissement de nos frontières, puisque à l’heure actuelle, les criminels expulsés peuvent se réintroduire dans nos territoires sans être contrôlés.

Un travail sapé aussi de l’intérieur par la prépotence des juges 1, qui ont élevé les criminels au rang de victimes, érigeant leurs convictions personnelles au-dessus de la sécurité collective.

Notes:

  1. Comme le démontrent l’affaire Abou Nassim mais aussi, en France, les Kouachi, Merah, Coulibaly, etc.

Audrey D’Aguanno

Boulevard Voltaire



Dans les gros « stocks » de migrants, quelques « stocks » de terroristes

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Chers produits, chères choses, et chers déchets, bonjour !

Je m’explique :

« Stock », d’après le dictionnaire de français en ligne Larousse, signifie :

Ensemble des marchandises disponibles sur un marché, dans un magasin, etc. ; Ensemble des marchandises, des matières ou fournitures, des déchets, des produits semi-ouvrés, des produits finis […] qui sont la propriété de l’entreprise ; Grande quantité de choses recueillies et que l’on tient en réserve.

Le mot « stock » se réfère donc aux marchandises, produits, choses, matières, voire aux déchets. Sur le site officiel « Eurostat », au chapitre « Statistiques sur la migration et la population migrante », c’est en ces termes qu’une étude se présente :

Cet article présente les statistiques de l’Union européenne sur la migration internationale et les stocks de population de citoyens nationaux et étrangers.

Vous avez bien lu : « les stocks de population » !

Pour peu qu’il ouvre les yeux, le citoyen européen a beaucoup de raisons de se sentir méprisé par cette petite caste eurocrate, ce que reflète assez bien la formulation de cette étude, mais également, par exemple, cet ex-patron de l’Union européenne, Manuel Barroso, qui passe sans coup férir de l’Union européenne à Goldman Sachs. Pas même une certaine discrétion chez ce grand homme : le stock humain est suffisamment euro-lobotomisé. Nous devinons tous plus ou moins que cette « construction européenne » n’est, pour l’heure, qu’une vaste « déconstruction » : frontières-passoires, multiculturalisme, expansion de l’islam, invasion migratoire, braderie péripatéticienne entre eurodéputés et lobbyistes et multinationales haïssant les frontières, etc. Cerise sur le gâteau : l’importation de la guerre civile islamique sur le continent européen sous le double effet migratoire (extérieur) et multiculturel (stupidité intérieure).

Chers concitoyens, les trente dernières années vont être payées par vos enfants durant les trente prochaines années : promesse de Valls. Cerise sur la cerise du gâteau : de nos jours, les meurtriers peuvent même porter un bracelet électronique et égorger un prêtre si ça leur chante… Le désordre a beaucoup progressé depuis Al Capone, qui aurait adoré notre époque et ses kalachnikov : Saint-Valentin, travail d’amateur ! Qu’il aille faire un tour au Bataclan !

Enfin, cerise sur la cerise de la cerise du gâteau : nous nous souvenons tous que seuls des nazillons pouvaient prédire l’infiltration de l’Europe par des assassins de l’État islamique cachés parmi les migrants. C’est officiel : le ministre de l’Intérieur italien, Andrea Orlando, est un nazillon ! Il a annoncé en effet, dès le 3 août, l’existence d’une enquête en cours visant à « déterminer si des membres de l’État islamique pourraient avoir un rôle crucial dans le contrôle et la gestion des flux migratoires vers l’Italie » (RFI, 13 août). « L’Italie craint que des combattants de l’État islamique venus de Syrte traversent la Méditerranée sur des bateaux de migrants » […] « Les autorités libyennes ont prévenu l’Italie de l’existence présumée d’une cellule djihadiste près de Milan en lien avec un commandant aguerri du groupe État islamique selon les médias italiens » (Le Figaro, 14 août).

En conclusion, comme dirait notre gauche, toujours aussi perspicace : de tous côtés le populisme gagne du terrain !

Silvio Molenaar

Source : Boulevard Voltaire

L’Europe, futur tombeau des islamo-racailles ?

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Il est à la fois probable et souhaitable que les derniers événements en Corse soient un avant-goût de ce qui attend les « continentaux ». Des accrochages répétés entre remplaçants et remplacés – ces derniers, espérons-le, étant de moins en moins disposés à se soumettre.

Pour la première fois dans l’Histoire, une minorité qui n’est pas indépendantiste au sens propre (tels les catholiques d’Irlande du Nord) témoigne une hostilité décomplexée envers une majorité apathique. Jusqu’ici, les minorités ont le plus souvent filé doux et, lorsqu’elles ont pris les armes, c’était sous la forme d’un affrontement de nature politique ; pas d’agressions ni d’insultes laissées impunies.

Ainsi, les guerres de religion en France, entre catholiques et protestants, ne peuvent servir de référence. D’abord, la majorité catholique sut réagir avec vigueur, allant jusqu’à déborder un État royal jugé trop mou. Ensuite, chacun des deux camps prétendait incarner la France ; il s’agissait bien d’une guerre civile. Or, la guerre actuelle nous est livrée par une communauté irréductiblement étrangère : ne lui faisons pas l’honneur de la baptiser guerre « civile ».

Pour l’instant, l’Europe de l’Ouest apparaît à nos ennemis pour ce qu’elle est : au mieux, une plaisante cour de récréation, au pire, un « agrégat inconstitué de peuples désunis » (Mirabeau) à assujettir. Notre léthargie (cet au-delà du pacifisme) s’explique par le traumatisme des deux guerres mondiales et par le fait que les États européens se sont tournés contre leur peuple, les dissuadant de se défendre par eux-mêmes, annihilant tout instinct de survie.

Or, les mentalités peuvent évoluer brutalement, et les musulmans non-francisés se retrouver piégés dans un guêpier européen, assiégés par une majorité hostile et confortée par un État régénéré. Alors, malgré nous, nous les aurons piégés. Nous avons ouvert nos portes à des peuples historiquement hostiles. Nous leur avons fait partager notre mépris de la France, coloniale puis collabo. Nous leur avons affirmé que s’ils conservaient leur culture d’origine, ce serait un enrichissement pour tous, et que les Français qui penseraient l’inverse seraient racistes. Or, à notre plus grande surprise, ils n’ont de cesse de nous mordre la main, légitimant les plus sévères représailles.

Certains signes démontrent que le piège est prêt à se refermer : la percée des partis souverainistes partout en Europe, le fait que certains Français décident de s’armer et souhaitent s’organiser en milices patriotes. Une donnée à opposer aux appels, faussement encourageants, lancés par le gouvernement pour nous inciter à rejoindre la réserve nationale. La véritable motivation de Cazeneuve est d’étouffer l’incendie pour repousser les vraies solutions : arrêt de l’immigration musulmane, déchéances massives de nationalité et remigration – leur seule échappatoire.

Car la situation de la communauté musulmane pourrait fort bien devenir comparable à celle des juifs allemands, durant l’entre-deux-guerres ; à la différence près que ces derniers ne témoignaient aucune hostilité envers la majorité chrétienne.

Romain d’Aspremont

Source : Boulevard Voltaire

Paris : ses monuments, ses migrants qui rackettent les touristes…

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Si Paris attire plus de 30 millions de visiteurs par an, dont 14 millions entrent dans Notre-Dame et 7 millions montent sur la tour Eiffel, on peut estimer que ce sont donc trente millions de touristes qui empruntent chaque année le pont d’Iéna pour photographier la grande dame. Qui viendrait à Paris sans immortaliser l’œuvre monumentale de Gustave Eiffel ?

Et que voient ces millions de personnes ? Des dizaines de migrants, des dizaines de sans-papiers, africains pour la plupart, les agresser pour leur vendre tours Eiffel de toutes tailles, perches de selfies et autre babioles. Étalés sur un morceau de tissu (pour un remballage rapide) ou accrochés à leurs bras, ces objets leur sont proposés par des réseaux mafieux qui utilisent ces malheureux pour assaillir le touriste.

Y a-t-il effectivement, en France, un endroit plus fréquenté par d’innocents touristes prêts à se faire racketter pour une babiole sans valeur, pour un jeu d’argent truqué (le jeu du bonneteau) ? J’ai vu, hier, une touriste menacée se sentir obligée de mettre un billet de cent euros sous l’un des trois gobelets renversés où le Turc ou le Roumain savait qu’il ne cachait pas la carte rouge du vainqueur. Le pont d’Iéna est tellement connu pour ce racket qu’un film sur YouTube le dénonce. Et je ne parle pas des pickpockets qui pullulent aux alentours. Ni même des burqas dont j’ai vu deux exemplaires débarquer d’une voiture au pied de la tour Eiffel.

Apercevant deux CRS qui commençaient leur ronde sur le pont, je leur signalai que ce trafic de tours Eiffel, ce racket au bonneteau étaient une honte à l’égard des touristes. Que voir autant de clandestins faire leur trafic au grand jour n’était pas donner une très belle image de la France.

Que voulez-vous, Monsieur, nous sommes que trois ici. Dès qu’ils nous voient, ils décampent. Que pouvons-nous faire ?

En état d’urgence absolue, près du monument le plus visité du monde !

Un peu plus tard, j’allai aux Tuileries, devant l’Arc de Triomphe du Carrousel. Même scène. Sans présence policière, mais avec une horde d’Africains, là aussi, sans doute hébergés par un réseau de mafieux parfaitement identifié par nos services de police.

Voilà notre bel État de droit. Voilà où le laxisme d’une politique migratoire de droite comme de gauche nous a menés. Une situation hors de contrôle. M. Cazeneuve, Mme Hidalgo, M. le Préfet de Police, est-ce vraiment votre volonté de faire fuir les touristes qui sont déjà 3 millions, cette année, à avoir annulé leurs vacances en France ? M. Hollande, comment avoir approuvé les dispositions que M. Cazeneuve et Mme Cosse viennent de prendre pour ouvrir encore plus les vannes de l’immigration clandestine ?

Votre fin de mandat prend des allures provocatrices, comme si avant de partir vous vouliez à tout prix laisser à vos successeurs, quels qu’ils soient, une France exsangue, une France divisée, une France qui n’est plus la France mais un ramassis de la misère du monde…

Balayez-nous le pont d’Iéna de sa racaille et tous les lieux emblématiques du tourisme avant que nous ne le fassions nous-mêmes. Avec plus de trois malheureux CRS qui n’en peuvent plus !

Floris de Bonneville

Source : Boulevard Voltaire



Le burkini : un destin pour Chevènement ?

Interrogé sur Europe 1 à propos de la récente (?) déferlante de burkinis sur les plages de France, Jean-Pierre Chevènement marque des points auprès du système. Sa position ? Elle est d’une originalité foudroyante : « La liberté sauf nécessité d’ordre public » ; décalque laborieux de l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, version 1789 (« La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui »). Pas surprenant de la part d’un homme qui connaît tous les couplets de « La Marseillaise ». Si vous me passez ce jeu de mots d’une nullité hollandesque, l’ancien ministre ne se mouille pas.

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Là où Chevènement est meilleur, c’est sur le développement de sa position : « Les gens sont libres de prendre leur bain costumés ou non. » D’abord, saluons un trait d’humour involontaire : les oripeaux mahométans sont-ils un costume, de ceux que portent les enfants pour se faire remarquer, comme celui de clown, de maréchal d’Empire ou de cosmonaute ? C’est l’avis de beaucoup, depuis fort longtemps, mais généralement pas celui du camp du bien, qui voit une liberté là où il n’y a qu’une méprisante provocation. Et par « costumés ou non », faut-il entendre que Jean-Pierre l’inflexible tolérerait, sur le même sable, cinquante nuances de costume : la jeune femme en burkini, la poufinette en string ficelle, la vieille prolétaire topless avec ses tatouages bleus et la naturiste de stricte obédience ? Voilà quelle serait la vraie diversité ! Toutefoisb on ne peut s’empêcher de frémir à l’idée de ce que donnerait ce choc des civilisations par épiderme interposé. Il faudrait un peu plus que des musulman(e)s avec des armes blanches, en train de s’acharner sur des adolescents ou de crever les pneus de voiture des kouffars, pour régler cette guerre civile aux relents de monoï et d’huile moteur (« nauséabonde », donc).

Enfin, nous culminons dans le flou avec cette supercherie aporétique : « Il faut que chacun cherche à s’intégrer à la société française. L’intégration n’est pas un gros mot, ça veut dire avoir accès aux codes sociaux qui permettent l’exercice des libertés », a poursuivi Jean-Pierre Chevènement. « L’identité française est mouvante », a-t-il reconnu. (Le Parisien). Outre le mot orwellien du journaliste (pour qui se prononcer sur une « identité mouvante », c’est « reconnaître » quelque chose qui existe déjà), comment peut-on demander à des immigrés d’avoir accès aux « codes sociaux » d’une « identité mouvante » ? Involontairement, M. Chevènement dresse le constat juste : nous savons tellement peu qui nous sommes, on nous l’a tant fait oublier, qu’il nous est impossible d’exiger la mise en conformité des autres à une identité désapprise ou méprisée. Chevènement ne manie pas l’aporie comme Platon ni le koan comme les moines zen : en politique, si un raisonnement a l’air absurde et irréaliste, il l’est. Depuis le temps, la gauche devrait l’avoir appris.

On dit Chevènement pressenti pour prendre la direction de la Fondation pour l’islam de France ; lui ne se dit « pas candidat » mais « disponible ». Attitude de diva qu’on n’avait pas vue depuis Jospin ou de Gaulle, et qui le classe illico, pour la presse, dans la catégorie des grands hommes, traverseurs de désert et porteurs de destin.

À ce propos, un gestionnaire des « ressources humaines » avait dit un jour à l’un de mes amis : « Écoute mon vieux, y a trois catégories : ceux qui ont un destin, ceux qui ont une carrière et ceux qui ont un parcours professionnel. Toi, t’as un parcours professionnel. » Le « Che » qui s’imagine un destin a-t-il les yeux plus gros que le ventre ? N’a-t-il pas acquis cette lâche résignation des vieux ratés, à force de gages donnés à l’ennemi ? « Un ministre », avait-il dit, « ça ferme sa gueule ou ça démissionne. » Cette fois, s’il dirige ladite fondation, je pense qu’il ne démissionnera pas.

Arnaud Florac

Source : Boulevard Voltaire



À quand un maire interdisant voiles et djellabas dans sa ville ?

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C’est David Lisnard, maire LR de Cannes, qui, le premier, le 28 juillet dernier, a osé prendre un arrêté municipal interdisant le burkini sur les plages de sa ville. Les arguments mis en avant paraissent fort pertinents.

Une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’attaques terroristes, est de nature à créer des risques de troubles à l’ordre public (attroupements, échauffourées, etc.).

Le CCIF et la LDH ayant décidé de faire appel contre cet arrêté, jugé discriminatoire, le tribunal administratif a rendu son verdict dans des termes très clairs :

Dans le contexte d’état d’urgence et des récents attentats islamistes survenus notamment à Nice il y a un mois […], le port d’une tenue vestimentaire distinctive, autre que celle d’une tenue habituelle de bain, peut en effet être interprétée comme n’étant pas, dans ce contexte, qu’un simple signe de religiosité.

Après le maire de Cannes, le 28 juillet, le maire de Villeneuve-Loubet a pris un arrêté semblable, le 5 août dernier, et celui de Sisco, petite ville de Corse où des musulmans ont agressé à coups de couteau et de hachoir de jeunes Corses, suite à un différend sur le burkini, encore, s’apprête à faire de même.

Si on peut se réjouir, après l’annulation de la journée burkini de Plan de Campagne, près de Marseille, que des élus – fort peu nombreux – prennent leurs responsabilités, on ne peut que constater que, comme en 1989 sur l’affaire du voile islamique dans l’école de Creil, ils sont abandonnés par l’État. C’est au gouvernement, au lieu de laisser les maires se débrouiller localement, de légiférer, et d’interdire cette tenue, sur toutes les plages de France. Comme cela s’est fait pour le voile à l’école, en 2004, et pour la burqa dans l’espace public, en 2009.

Mais à lire de près l’arrêté du maire de Cannes, et la réponse du tribunal administratif, on ne peut que s’interroger : pourquoi le seul burkini, et pas le voile islamique et la djellaba ? En quoi les caractéristiques de ce que nous appelons des uniformes de l’islam sont-elles différentes de celles du burkini ? En quoi, en période de guerre, le voile, qui agresse les combats féministes, et renvoie un message raciste et sexiste – la voilée ne pourra appartenir qu’à un musulman, et l’homme serait incapable de contrôler ses pulsions –, est-il tolérable en France ? En quoi les djellabas, qui sont l’uniforme des salafistes, devraient-elles être acceptées ?

Ces tenues ne renvoient-elles pas, elles aussi, après les attentats de Nice, du Bataclan et de Charlie, autre chose qu’une simple fantaisie vestimentaire ? Ne sont-elles pas des marquages de l’espace public, qui expriment très clairement un message hostile à la France, à ses valeurs, à sa culture, à sa laïcité et à sa civilisation ? Ne marquent-elles pas, de la part de celles et ceux qui les portent, un refus d’assimilation, d’intégration, et un message clair : « Nous sommes musulmans avant d’être français. »

N’incitent-elles pas, elles aussi, à des troubles à l’ordre public ? Alors, à défaut, là encore, d’un gouvernement qui prenne ses responsabilités, à quand le premier maire qui osera émettre un arrêté interdisant, au nom de la sécurité publique, tout uniforme de l’islam sur sa commune ?

Il y a un précédent historique : en 1905, dans un contexte tendu, le maire du Kremlin-Bicêtre, Eugène Thomas, avait interdit la soutane dans sa ville.

111 ans plus tard, il attend un courageux successeur, sachant que dans la France de 2016, il n’y a plus de soutanes mais beaucoup de voiles et de djellabas…


Pierre Cassen
 

Sisco : la vérité éclate enfin !

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Pour des raisons encore indéterminées, des Corses s’en sont pris à deux familles marocaines.

C’est ainsi que BFM TV présentait les violences survenues samedi aux abords des plages du village de Sisco, en Haute-Corse. Comme à l’accoutumée, les médias se sont emparés de l’affaire, donnant la parole aux associations subventionnées pour cracher leur haine de la France, notamment l’officine de lobbying islamiste appelée CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), grassement financée par le milliardaire américain George Soros. Marwan Muhammad, son « directeur exécutif », a été invité sur tous les plateaux, dénonçant « l’islamophobie » des affreux fachos corses, lesquels devraient être considérés comme une « communauté » en France et sur leur île… Bref, les bobards médiatiques se sont succédé pour que les Français ne connaissent pas la vérité.
 
Que s’est-il réellement passé à Sisco, samedi dernier ? Selon Nicolas Bessone, procureur de la République à Bastia, l’origine des incidents incombe « à l’évidence » à des « membres d’une famille maghrébine », ayant voulu, « dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». Le procureur est allé plus loin, expliquant que ces Maghrébins avaient « multiplié des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ». Parlons clairement : des islamo-racailles ont foutu la pagaille sur fond de revendications communautaires. Ils ont privatisé la plage comme ils entendent un jour privatiser le pays ; ou, plus précisément, le conquérir.
 
Visage raffiné du conquérant, Marwan Muhammad utilise pourtant la même rhétorique que ses coreligionnaires violents qui ont sévi à Sisco : victimisation, lutte contre un arbitraire supposé… De la même façon, le Comité français du culte musulman a osé dire que le « burkini » (terme de novlangue pour désigner une burka de baignade) n’était pas un vêtement islamiste, témoignage d’un prosélytisme étranger incompatible avec nos mœurs. Peut-être parce que le Conseil français du culte musulman, créé par Nicolas Sarkozy, est aussi infiltré par les Frères musulmans que le Collectif contre l’islamophobie en France ?
 
Les Corses ont été salis par tous les médias qui les ont dépeints en monstres alors qu’ils se sont contentés de protéger un village, et trois de ses jeunes habitants sauvagement agressés par des personnes plus âgées équipées d’armes blanches qui n’ont normalement pas leur place sur les plages. Des femmes voilées, accompagnées de proches – à l’évidence des voyous -, ont voulu s’approprier une crique, terrorisant les badauds et les touristes. Comment peut-on supporter cela ? La réaction villageoise n’a pas été inadaptée, contrairement à ce qu’affirme le procureur qui cherche à faire bonne mesure. Bien au contraire, elle était légitime, proportionnée et rafraîchissante.
 
Si la France est un pays liberticide, où les musulmans ne se sentent pas à l’aise, ils sont toujours libres de quitter l’Hexagone pour rejoindre des contrées plus tolérantes, comme l’Arabie saoudite ou l’État islamique. Qu’ils sachent une chose : les Français veulent rester maîtres chez eux et ne toléreront pas longtemps ces provocations haineuses, sectaires et violentes.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire



Calvados : la sous-préfecture de Bayeux a été taguée

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La sous-préfecture de Bayeux (Calvados) a été taguée. On ignore pour le moment la date exacte du graffiti mais selon plusieurs sources, elle remonterait au week-end des samedi 13, dimanche 14 et lundi 15 août 2016. Les services de l'Etat ne communiquent pas pour le moment.

Mauvaise surprise pour les employés de la sous-préfecture de Bayeux (Calvados), ce mardi 16 août 2016. Un des murs du bâtiment a été tagué par un ou plusieurs individus. Jointe par téléphone, la sous-préfecture de Bayeux indique que des employés "ont vu le tag et ont été surpris", d'autres "ne l'ont pas vu". Elle ne communique pas plus pour le moment. En tout cas, le tag de couleur rouge, ne passe pas inaperçu.

Un signe anarchiste ou identitaire ?

Que signifie ce graffiti ? A priori, trois hypothèses se dessinent… De l'extrême-gauche à l'extrême-droite. Mais dans deux des trois cas, à l'envers !
Primo, il pourrait ressembler à un "A, cerclé", - ou "A dans l'O" -. Un symbole associé au mouvement anarchiste qui remonterait à 1964 en apparaissant pour la première fois dans le Bulletin des jeunes libertaires. Ce serait un signe de ralliement de l’ensemble du mouvement anarchiste. Pour rappel, ce mouvement est pour un Etat sans gouvernement, où il n'y a pas d'autorité unique et pas de chef.
Secundo, le tag pourrait également faire référence au "V" du film réalisé par James McTeigue, "V pour Vendetta" (V for Vendetta), qui raconte l'histoire d'un anarchiste. En fait, le héros du film se fait appeler "V". Il cherche à mettre en place un changement politique et social. Pour cela, il va mener une violente vendetta personnelle contre son gouvernement fasciste en place.

Tertio, à l’inverse, ce graffiti représenterait plutôt un sigle d’êxtrême droite, et plus exactement celui de la mouvance identitaire. Ce pourrait être en effet un "lambda" à l'envers, incarnant les Identitaires, un mouvement anti-immigrés, qui revendique la défense des "Européens de race blanche", et une vision ethnique de la politique. Une hypothèse qui n'est pas à exclure dans le climat actuel.

Tags interdits dans les lieux publics

Toujours est-il que la pratique du graffiti dans les lieux publics est interdite. Si les dommages sont légers, la peine maximale pour avoir fait un tag est de 3 750 euros d'amende et un travail d'intérêt général. En cas de dommage important, un acte de vandalisme est puni jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende, selon le ministère en charge de la Justice.

Source : La Manche libre