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mardi, 21 novembre 2017

De la pathologie génétique aux statistiques ethniques

L’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant a publié son rapport d’activité pour l’année 2016 (en libre lecture sur le Net) et comme cet organisme comprend des médecins remarquables, ce bilan est un outil statistique fort bien fait… qui peut donner, toutefois, matière à réflexions politiquement incorrectes.

La première de celles-ci est le regret qu’un esprit sain et dégagé de tout dogme peut éprouver en constatant que rien n’est fait pour préserver le capital génétique sain, du moins en apparence. L’eugénisme est même vigoureusement combattu en Occident, alors que, dans un double but social, les porteurs de tares génétiques détectées, qu’elles soient physiques, mentales ou métaboliques, devraient être interdits de reproduction.

D’abord pour éviter de lourdes dépenses de santé et les dépenses connexes à caractère social, ensuite – et surtout –, pour éviter d’infliger un calvaire à l’enfant à naître avec un ou plusieurs handicaps.

Mais, en nos jours de démagogie extrême, la minorité des porteurs de tare(s) héréditaire(s) revendique ses droits, y compris celui, très discutable, voire absurde, à la reproduction. Au moins certains mâles génétiquement atteints ne peuvent-ils se reproduire, tels ceux atteints de mucoviscidose ou de trisomie 21 (« Mongolisme »).

La seconde remarque porte sur le tabou des statistiques ethniques. Le dépistage de la drépanocytose démontre la criminelle hypocrisie des princes qui nous gouvernent ou font semblant.

La drépanocytose est une hémoglobinose, c’est-à-dire une maladie où la globine – protéine associée à l’hème chargé de véhiculer l’oxygène (O2), le gaz carbonique (CO2), voire l’oxyde de carbone (CO) en cas d’intoxication – est anormale, par mutation (il en existe plusieurs types) du gène codant, sur les chromosomes 11, sa synthèse.

Dans sa forme grave, elle entraîne des crises d’anémie par éclatement des globules rouges (hémolyse) et des obstructions des petites artères et des artérioles par les globules déformés (en forme d’arc de cercle ou de faucille, d’où le nom d’anémie falciforme), provoquant singulièrement des infarctus très douloureux des os et de la rate, ou d’autres organes moins souvent.

Exposer un enfant à être la victime de cette maladie invalidante et douloureuse est pure barbarie : les porteurs de la tare devraient être interdits de reproduction et le dépistage devrait être fait in utero afin de procéder à l’avortement en cas de forme grave de la maladie.

Seulement, il s’agit d’une mutation d’Afrique noire, initialement répandue entre les 15e parallèle Nord et 20e parallèle Sud, avec diffusion secondaire aux produits de métissage lors de la grande période d’expansion de l’esclavage, ou encore par les guerriers noirs, et, de nos jours, par l’invasion migratoire.

En France, le dépistage des enfants à risque a été instauré progressivement de 1995 à 2000, selon les régions. Les chiffres résultant de ce dépistage sont fort éloquents, fournissant en eux-mêmes une statistique ethnique, portant sur les Africains, sur les Moyen-Orientaux, issus des zones où étaient appréciés les esclaves noirs et sur les enfants métissés.

De 1995 (ou 2000, selon la région considérée) jusqu’à 2016 et, en ne tenant compte que des dépistages effectués dans la seule métropole, 4,45 millions d’enfants réputés à risque ont été dépistés. Étant nés sur le sol français, voilà plus de 4 millions de petits citoyens français non comptabilisés dans la rubrique des « étrangers », alors qu’ils sont issus d’au moins un parent de souche extra-européenne.

La répartition par région apporte des renseignements utiles, à défaut d’être agréables aux nationaux. Pour les naissances de l’année 2016, l’on apprend ainsi que 73,6 % des naissances en Île-de-France sont « à risque de drépanocytose ». En Paca-Corse, ce sont 56,4 % des naissances qui offrent ce risque.

Dans quatre régions (Languedoc-Roussillon, Alsace, Rhône-Alpes et Midi-Pyrénées), le pourcentage est compris entre 34,1 et 40,1. Seules les régions Champagne-Ardenne, Auvergne, Aquitaine, Normandie et Pays-de-Loire sont en dessous des 20 % et la Bretagne des irréductibles Gaulois n’est touchée qu’à hauteur de 9 %. Les autres régions ont un pourcentage s’échelonnant de 21,4 % (Hauts-de-France, où l’immigration noire a toujours été minoritaire en regard de l’arabe et de la berbère) à 26,1 % (Centre).

À l’évidence, le remplacement de population dominante est pour bientôt aux alentours de Paris, Marseille, Nice, etc. L’ensemble du pays est menacé, à l’exception d’îlots de résistance au métissage et au brassage de populations… mais le lobby pro-immigrationniste jouit de puissants relais dans le milieu des médias et, bien sûr, des politiciens.

C’est ainsi que l’on impose des quantités progressivement croissantes d’immigrés d’origine africaine et proche-orientale aux Normands, aux Bretons et aux Auvergnats qui n’en veulent pas. Lorsque la volonté populaire est bafouée, reste-t-il d’autre solution qu’une révolution populiste ? Voilà une bonne question.

 

L'église de Landerneau taguée

 

Entrefilet

"Dans la nuit de samedi à dimanche, l’église Saint-Houardon de Landerneau a été victime d’actes de vandalisme. Des inscriptions y ont été taguées.

Une inscription « Dieu est mort », citation de Friedrich Nietzsche dans Le Gai Savoir, et une autre représentant une croix renversée, ont été découvertes ce dimanche sur les murs de l’église Saint-Houardon, à Landerneau".

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France : fichés S et radicalisés, ils deviennent entraîneurs dans un club de football.

 

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Laisserez-vous 70 profs participer au stage interdit aux Blancs organisé par Sud Education ?

Alors là, amis résistants, vous ne pouvez pas laisser passer, laisser faire. Le stage en question est complet. 70 professeurs inscrits… Après les camps décoloniaux interdits aux Blancs… Après la formation des futurs profs par Marwan Muhammad et les Indigènes de la République dans l’Académie de Créteil… Ce sont carrément 70 enseignants qui se sont […]

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Nantes : Pascale Chiron, adjoint du Maire, soutient l’occupation des Anciens Beaux-Arts !

Depuis hier, des clandestins se déclarant mineurs et reconnus majeurs occupent les anciens Beaux-Arts. EELV trouve normal que des délinquants (puisque clandestins mineurs reconnus majeurs, donc falsificateurs en plus ) occupent les locaux appartenant au contribuable nantais sans que celui-ci ait seulement été consulté. «L’initiative émane de collectifs, d’habitants, d’étudiants qui souhaitent alerter et trouver […]

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lundi, 20 novembre 2017

Mantes-la-Ville : des propriétaires condamnés à… démonter leur portail

Le règlement de la copropriété du Domaine de la Vallée interdit d’aménager les jardins situés devant les pavillons. Dénoncés par des voisins, des habitants qui l’ignoraient sont condamnés à détruire clôture, abris de jardin ou allée en béton.

 
Mantes-la-Ville, mercredi. Ces habitants sont poursuivis par le syndic de copropriété pour avoir érigé des portails ou des murs devant leur pavillon. LP/MG.

Niché sur les hauteurs de Mantes-la-Ville, le quartier du Domaine-de la-Vallée aligne les pavillons proprets, aux jardins bien entretenus et aux arbres taillés. Et pourtant, quand on y regarde de plus près, un détail intrigue : certains pavillons ne possèdent ni portail, ni clôture. Car ici, c’est illégal. Le règlement de cette immense copropriété de 912 logements interdit en effet toute construction dans les « parties communes ». Les habitants sont bien propriétaires de la maison, du jardin arrière mais… pas de l’avant, considéré comme un « espace commun ». Ceux qui l’oublient sont poursuivis devant les tribunaux. En colère, certains habitants ont décidé de créer un collectif de défense.

Nadia, dont les parents ont acheté en 2002, confie ainsi avoir été condamnée au début du mois à une astreinte de 150 € par jour si elle ne détruisait pas l’allée en béton de son jardin. Elle a pourtant récemment démoli le portail, le mur de clôture et l’abri de jardin. Mais ce n’est pas suffisant.

Autre cas de figure, celui de Naïma : « J’ai acheté en 2011. Dans l’acte de vente signé devant notaire figure un garage annexe qu’on me demande aujourd’hui de détruire », peste cette mère de famille. Propriétaires depuis 1976, les parents d’Hasna ont, eux, érigé une véranda, après avoir obtenu l’autorisation municipale. Cela aussi doit aujourd’hui être détruit.

Le cahier des charges est pourtant accessible à tout le monde et le statut de copropriété de ce quartier est connu. Ces propriétaires ne remettent d’ailleurs pas en cause la légalité du règlement dont elles ignoraient jusque-là la rigidité et les subtilités juridiques. Mais ils s’interrogent sur la méthode employée. « Dans la plupart du temps, la présidente de la copropriété est avertie grâce à des voisins, critiquent-elles en chœur. Or, la délation laisse la place à l’arbitraire. Si tout le monde était attaqué en même temps, nous y verrions une logique. Mais là, certains sont poursuivis sur la base de dénonciations ou à la tête du client… »

 Pour la présidente de la copropriété, « c’est la qualité paysagère qui caractérise le Domaine »

Ce n’est pas la taille qui compte. Même si le Domaine de la Vallée s’étend sur plusieurs hectares et ne compte que des pavillons, il n’en reste pas moins une copropriété, au même titre que des tours ou des petits immeubles.

Bien que propriétaires, les habitants ne sont pas libres de réaliser n’importe quels travaux dans les parties communes. Contactée à plusieurs reprises, la présidente de l’association syndicale libre des Coudreaux n’a pas donné suite à nos sollicitations. Dans un tract diffusé récemment, elle mettait en avant le cahier des charges de la copropriété : « Ce qui a séduit la plupart d’entre nous […], c’est le caractère unique, la qualité paysagère qui caractérise le Domaine », écrivait-elle avant de mettre en garde contre le risque de transformer ce quartier paisible en « un ensemble bétonné et anarchique ». Ce contre quoi elle se bat aujourd’hui.

Mehdi Gherdane

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Qu'est-ce qui suscite la plus grande inquiétude des Estoniens?

La plupart des Estoniens estiment que le plus grand problème de l'Union européenne est l'immigration, selon une enquête de l'Eurobaromètre.

Les Estoniens semblent particulièrement sensibles à la crise migratoire à laquelle fait face l'Union européenne.

Ainsi, pour 52% des Estoniens interrogés, les questions relatives à l'immigration sont particulièrement graves. En outre, 42% de la population estiment que le plus grand problème de l'Union européenne est le vieillissement de sa population, tandis que 41% sont préoccupés par la sécurité et le danger du terrorisme, indique l'Eurobaromètre dans une étude.

 

Varsovie
Les habitants de Malte, de la République tchèque, de Hongrie, de Pologne et de Bulgarie partagent l'inquiétude des Estoniens au sujet des migrants.

 Le problème de la sécurité et du terrorisme est perçu comme angoissant par les Finlandais, les Néerlandais et les Britanniques. Pour les populations allemande, lituanienne, suédoise, danoise et slovaque, c'est l'inégalité sociale qui constitue un défi pour l'Union européenne. Quant aux habitants de Chypre, de la Grèce, de l'Espagne, du Portugal et de la Lettonie, ils sont surtout préoccupés par le chômage.

Outre à l'immigration, les Estoniens estiment que l'Union européenne doit faire face à l'inégalité sociale (32% des personnes interrogées), au chômage (27%), à une croissance économique insuffisante (17%), à l'instabilité dans les pays voisins (16%), aux problèmes écologiques (9%), à ceux de la dette publique (8%) et à la concurrence avec les économies développées (6%).

 

Migrants à Calais
Le sondage a été réalisé du 23 septembre au 2 octobre sur un échantillon de plus de 27.000 personnes vivant dans l'Union européenne. L'étude de l'Eurobaromètre en Estonie a été conduite par la société sociologique TNS Emor qui a interrogé 1.007 personnes.

 

L'Eurobaromètre est un ensemble d'études menées au sein de l'Union européenne. Créé en 1973, il réalise ses enquêtes deux fois par an, au printemps et à l'automne, pour connaître les avis sur l'état de l'Europe, ses institutions et sa politique, ainsi que pour recueillir différentes informations, notamment sociales, politiques et démographiques.

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Sartrouville (78) : la salle de prière du quartier des Indes visée par une nouvelle fermeture

Le sursis n’aura été que de courte durée. Samedi, Saïd Djelleb, le responsable de la salle de prière des Indes, à Sartrouville, a reçu un nouvel arrêté de fermeture du préfet des Yvelines Serge Morvan. Comme le prévoit la nouvelle loi antiterroriste, le président de l’association qui gère le lieu de culte musulman a 48 […]

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Bruxelles : des migrants tentent de squatter un immeuble, 6 blessés lors d’affrontements avec la police

Quelque 80 migrants du collectif de la Voix des Sans-Papiers (VSP) qui, samedi après-midi, voulaient ouvrir une nouvelle occupation dans un bâtiment désaffecté de la rue des Sables à Bruxelles, ont été violemment pris a partie par des policiers de la brigade anti-agression qui voulaient leur interdire l’accès aux lieux. Au moins six personnes ont […]

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En Hongrie, les jeunes et les actifs ont choisi leur camp : anti-immigration

Selon un récent sondage, les 18-44 ans hongrois devraient voter à plus de 80 % pour des partis anti-immigration lors de leurs élections législatives en 2018.

Ce sondage s’inscrit dans une continuité politique depuis 1998, date à laquelle Viktor Orbán, président du Fidesz, devient Premier ministre pour la première fois. Réélu en 2010, celui-ci œuvre pour faire passer la Hongrie avant l’Union européenne dans toutes les décisions qui concernent le territoire national. En particulier sur les questions d’immigration. En mars, le Parlement a d’ailleurs choisi de retourner à une politique d’asile encadrée, ce qui se traduit par l’interdiction de la libre circulation des demandeurs d’asile dans le pays. Il semblerait absurde qu’un demandeur ait les mêmes droits que celui qui a obtenu l’asile. En septembre, c’est le projet de grande consultation populaire contre le « plan Soros » qui a été lancé. Dans les jours qui viennent, les Hongrois seront amenés à se prononcer sur ce plan, détaillé en sept points argumentés pour cette consultation.

Si un gouvernement mène une certaine politique depuis plus de sept ans et que 80 % de la population sont prêts à appuyer cette politique par leur vote, il semble que la conclusion à laquelle il faille arriver et que le mode d’action et les décisions prises soient bons.

 Ce qui est intéressant, c’est que ce sont les plus jeunes, c’est-à-dire l’avenir du pays, qui plébiscitent majoritairement une politique nationale et identitaire. C’est le sursaut des peuples qui refusent que d’autres choisissent pour eux. Ils refusent qu’un milliardaire né hongrois, émigré aux États-unis, ayant fait fortune par la spéculation, grand mécène d’organisations opaques telles que Human Rights Watch (organisme cité par tous les grands journaux français pour attaquer la politique hongroise), instigateur du chaos (afin d’en profiter par la suite pour faire plus d’argent), bref, un pourri, puisse du haut de sa fortune tirer les ficelles du monde.

Cette jeunesse consciente des grands enjeux de notre siècle est un formidable espoir en comparaison avec nos 18-44 ans français, désintéressés de tout, surtout de l’essentiel. Décidément, en ce centenaire de Fátima, il devient de plus en plus évident que le salut viendra de l’Est !

Thomas Valmenier

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« C’est parce que l’Europe ferme la porte aux migrants qu’il y a des marchés aux esclaves en Libye » = Fake news

Ce serait, selon l’ONU et les médias, parce que l’Europe ferme ses frontières qu’il y aurait des marchés aux esclaves en Libye. Or ce problème n’est pas nouveau. Comme le montre ce reportage de 2015, alors même que l’Europe ouvrait grand ses frontières aux migrants, il y avait déjà des marchés aux esclaves. (Merci à […]

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Apple : La responsable de la diversité sur le départ après un haro

La responsable de la diversité d’Apple démissionne après seulement six mois à son poste, après avoir provoqué un tollé en affirmant qu’être une minorité ou une femme ne sont pas les seuls critères de diversité. Denise Young Smith, qui a été nommée vice-présidente de la diversité et de l’inclusion en mai, a fait des commentaires […]

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Versailles : le pickpocket camerounais vole le sénateur Alain Schmitz dans le bus

À Versailles, Paul est connu comme le loup blanc. Il a même un surnom : Le voleur. Difficile de faire plus explicite… L’homme de 56 ans, camerounais d’origine, est un solide gaillard d’au moins 100 kg. Il ne passe pas inaperçu. Paradoxalement, sa spécialité est d’être le plus discret possible. Il exerce le même métier […]

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Incident sur le site d’Airbus à Saint-Martin-du-Touch (31) : un homme menace ses collègues en criant « Allah Akbar »

Les salariés d’Airbus à Saint-Martin-du-Touch, près de Toulouse, ont connu un début d’après-midi mouvementé hier. Un salarié de l’entreprise a été interpellé par les policiers après avoir menacé ses collègues de travail. Il a été rapidement maîtrisé par les services de sécurité de l’entreprise aéronautique. Cet homme au comportement inquiétant a été placé en garde […]

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Valence : tout le quartier de Fontbarlette dérouille… sauf la mosquée !

La vie à Fontbarlette (Valence) Ci-dessus un article du Dauphiné Libéré du 15 Novembre. Le quartier de Fontbarlette a 7000 habitants, musulmans à 60% environ. Les autres sont surtout français, espagnols, portugais, arméniens d’origine. Il est classé en catégorie 2 sur l’échelle de risque des Z.U.S. (Zone d’urbanisation sensible) qui va de 1 (le plus […]

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Le maire de Clermont-Ferrand veut honorer les voyous

 

Ob_7091e0_emdtUn rassemblement prévu samedi à la mémoire de Wissam El-Yamni, décédé après avoir été interpellé dans des conditions controversées à Clermont-Ferrand en 2011, a été interdit vendredi soir par la préfecture. Wissam El-Yamni est mort neuf jours après être tombé dans le coma le soir de son arrestation, le 31 décembre 2011. Un rapport de l’Inspection générale de la police nationale avait relevé l’emploi sur la victime, lors de son transport au commissariat, de la technique du « pliage », consistant à maintenir la tête appuyée sur les genoux. Mais un rapport d’experts avait ensuite estimé que le jeune chauffeur routier avait succombé à un « cocktail toxique » d’alcool et de cocaïne.

L’annonce de cet hommage a généré un projet de contre-manifestation au sein de la police et « le risque d’une confrontation violente entre les participants à ces deux rassemblements ne saurait être accepté », a justifié le préfet du Puy-de-Dôme. Il avait appelé dès jeudi à renoncer à ce rassemblement face aux « risques de tensions entre une partie de la population et la police nationale », tandis que l’enquête judiciaire est toujours en cours. La famille a réagi :

« Nous ne pouvons que nous conformer à cette décision », « Il est sidérant que face au lobby policier, les autorités de l’Etat estiment ne pas être en capacité de faire respecter la liberté de réunion et de manifestation ».

Convaincue que le jeune trentenaire a succombé à des violences policières, sa famille, avec l’accord du maire Olivier Bianchi PS, comptait organiser une commémoration dans un parc de la ville, au cours duquel un arbre devait être planté et une stèle dévoilée. Le parc est fermé ce jour, et les petits clermontois iront jouer ailleurs.

Au nom de l'intersyndicale Unité SGP-FOAllianceSynergie Officiers, Stéphane Baggioni, non sans saluer « la détermination du préfet », a estimé que

« cette affaire aurait pu être réglée autrement si la mairie avait agi différemment, dès le départ ». « À l'avenir, les relations avec la municipalité risquent d'être très difficiles. Au maire, maintenant, de faire amende honorable ».

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dimanche, 19 novembre 2017

Prières de rue en France: les musulmans font pression à Clichy

L'interdiction de prier dans la rue a été respectée vendredi à Clichy-la-Garenne. Mais un appel a déjà été lancé pour reprendre les prières dès vendredi prochain, en dépit d'une nouvelle médiation qui doit se tenir lundi.

 Ce vendredi, une petite vingtaine de fourgonnettes de CRS est postée aux abords de la mairie de Clichy-la-Garenne. Les forces de l'ordre veillent au respect de l'interdiction de prier dans la rue, édictée la veille par le préfet des Hauts-de-Seine. Sur la place piétonne face à la mairie, les quelques fidèles qui n'étaient pas au courant de la décision préfectorale sont renvoyés chez eux par le président de l'association cultuelle qui appelle à ces prières sur la voie publique. «On s'est engagé à ce qu'il n'y ait pas de prière aujourd'hui, il faut respecter notre parole», leur répète Hamid Kazed, de l'Union des associations musulmanes de Clichy (UAMC).
 Les quelques fidèles présents jouent aussi l'apaisement. «L'interdiction est légitime, reconnaît Samia Khies, une Clichoise musulmane qui n'a jamais participé à ces prières de rue. C'est une place commerçante, les gens doivent pouvoir circuler», ajoute-t-elle. Aïssa Berrada, un vieil homme à la barbe blanche, approuve: «La France est un pays de droit, c'est normal que la loi soit respectée», dit-il. Pourtant, il a participé à toutes les prières de rue de ces huit derniers mois. «Le maire précédent nous a promis une mosquée, il doit tenir parole», se justifie-t-il.
 Trêve
 Si les meneurs acceptent de renoncer à la prière de rue cette semaine, leur posture ressemble moins à une reddition qu'à une simple trêve. L'avocat de l'UAMC a déjà fait savoir que l'association avait l'intention d'en organiser une nouvelle vendredi 24 novembre. «On ne lâchera pas», clame Me Arié Alimi. Dans ce contexte, la réunion de conciliation qui doit se tenir lundi a déjà du plomb dans l'aile. Mais le maire LR de Clichy-la-Garenne ne boude pas sa victoire du jour. «J'ai enfin été entendu par la préfecture et le ministre de l'Intérieur, se félicite Rémi Muzeau. L'ordre public a été respecté et les Clichois peuvent enfin bénéficier d'un retour à la tranquillité».

Pourtant, le fond du différend demeure. Les activistes ne veulent toujours pas entendre parler du nouveau centre culturel et cultuel de la rue des Trois pavillons, fonctionnel depuis 2013. «Ce local est indigne», persiste Rabah Heyoun, le vice-président de l'UAMC. Il serait «trop petit», «amianté» et «trop excentré». Situé à 1,5 kilomètre du centre-ville, ce nouveau lieu est certes beaucoup moins central que leur ancienne salle de prière de la rue d'Estienne d'Orves. Mais Bahri Noureddine, le vice-président de l'association gestionnaire de cet ancien gymnase, réfute en bloc tous les autres griefs. «On se réjouit de cette salle, assure-t-il. Nous l'avons totalement rénovée, et elle est bien évidemment conforme aux règles de sécurité en vigueur».

En creux, le conflit est aussi alimenté par une concurrence pour le partage de la direction de la salle, entre l'association gestionnaire actuelle et l'UAMC. «En réalité, ce n'est pas une question de capacité, c'est une question de pouvoir, estime le maire Rémi Muzeau. Mais ce n'est pas à nous de trouver une solution à ce conflit qu'ils doivent régler entre eux».

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Paris : un homme armé d’un couteau interpellé près de la Grande Mosquée

Aucun blessé n’est à déplorer.

 

Un homme armé d’un couteau et au comportement menaçant a été arrêté ce samedi matin aux abords de la Grande Mosquée de Paris (Ve arrondissement). A 8h20, le gardien du lieu de culte appelle la police pour signaler la présence d’un homme porteur d’une mallette noire et d’un couteau en train de crier « Allah Akbar » (« Allah est le plus grand » en arabe) devant la Grande Mosquée.

Arrivés sur place, place du Puits-de-l’Ermite, les fonctionnaires de police sont littéralement chargés par l’homme qui se rue sur eux, les obligeant à utiliser du gaz lacrymogène et à établir un périmètre de sécurité autour de l’individu.

L’auteur est un Tunisien dont le titre de séjour venait d’expirer

Ce dernier s’est alors mis à imiter des tirs d’arme à feu et à réciter des versets du Coran. Les policiers de la compagnie cynophile ont dû avoir recours à un pistolet à impulsion électrique pour interpeller l’individu et le désarmer.

Les techniciens du Laboratoire central de la préfecture de police sont ensuite intervenus pour lever le doute sue le contenu de la mallette qui ne renfermait que des effets personnels.

L’auteur des faits est un Tunisien de 35 ans, inconnu des services de police. Son titre de long séjour a expiré mercredi dernier.

Dans un tweet, la maire (LR) du Ve arrondissement Florence Berthout a félicité les forces de police : « Bravo aux forces de police pour leur réactivité et leur professionnalisme pour interpeller un individu dangereux à côté de la Grande mosquée ».

Julien Duffé avec C.C.

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Le monde arabo-musulman, un baril de plus en plus dangereux ? (III)

L’intervention russe dans la « guerre civile » syrienne est l’événement de loin le plus important depuis le « Printemps arabe ». La Russie avait laissé faire en Libye. Cette fois, il s’agit de son vieil allié de Damas, là où elle possède un point d’appui naval à Tartous, indispensable pour la présence de sa flotte en Méditerranée. Depuis 1990, le pays va d’humiliation en humiliation. L’opportunité de reprendre pied au Moyen-Orient, de retrouver son rayonnement international et d’être de retour parmi les grands ne doit pas être manquée. Elle ne le sera pas. Pour cela, Moscou va agir avec méthode, sur le plan militaire d’abord. Il s’agira en premier lieu de sécuriser le régime syrien tout en intimidant les occidentaux et en impressionnant les ennemis potentiels. Le déploiement des moyens militaires, aériens et maritimes, sera démonstratif : missiles de croisière lancées depuis la Caspienne ou la Méditerranée, bombardiers stratégiques venant de Russie, avions et hélicoptères performants pour appuyer une action au sol. L’armée russe montrera aussi ses capacités techniques et électroniques en parvenant à brouiller efficacement les communications des occidentaux. Sur le terrain, ses bombardements seront plus massifs et efficaces que le traitement appliqué de façon homéopathique, contre le seul Etat islamique, par les Etats-Unis et leurs alliés. A terre, les russes seront peu présents, mais ils joueront néanmoins un rôle décisif au travers de forces spéciales qui subiront des pertes. L’armée syrienne saignée par une centaine de milliers de pertes et des désertions devra être épaulée par des milices syriennes, mais aussi par des Gardiens de la Révolution iraniens, des volontaires chiites venus de partout, et notamment le Hezbollah libanais, qui fera preuve d’une grande combativité et dont l’action sera souvent déterminante. A la manière de celle d’Espagne dans les années 1930, la guerre civile syrienne est devenue internationale. Toutefois, c’est ici le camp gouvernemental soutenu par la Russie et l’Iran, et rassemblant les nationalistes syriens et « l’internationale chiite », qui présente la plus grande unité et s’identifie à la partie du pays qui maintient une vie à peu près normale. Beaucoup de Syriens habitant des secteurs en guerre s’y réfugient. Les rebelles seront toujours très divisés, soutenus et manipulés de l’étranger, engageant de plus en plus de « volontaires internationaux », sunnites djihadistes, au sein de groupes islamistes concurrents, souvent terroristes, qui déborderont la fantomatique Armée Syrienne Libre, supposée être le vecteur de la « démocratie ». En Espagne, c’est plutôt le camp républicain, le « régime » qui sombra dans l’anarchie, surtout en Catalogne.

La Russie devra aussi mener une guerre médiatique. Tout au long d’une intervention qui permet au Président Assad de redresser la situation de son gouvernement, une propagande intensive se déchaînera dans nos « démocraties » occidentales. La désinformation massive que nous avons subie devrait produire le résultat inverse de celui escompté. Quand des gouvernements et les médias mentent et manipulent à ce point, sommes-nous bien sûrs d’être en « démocratie » ? Le « régime » Assad a été systématiquement diabolisé. Sous Sarkozy, Bachar Al Assad était venu à Paris à trois reprises en visite officielle, accompagné de son épouse, à l’époque où cet ophtalmologue était considéré comme un dirigeant très fréquentable. Il était désormais un tyran sanguinaire, un boucher, un bourreau, massacrant son peuple à coups de barils d’explosifs et de bombes au gaz sarin. On imaginait le peuple entier dressé contre lui ou fuyant le pays par tous les moyens pour se réfugier notamment en Europe. En réalité, un grande partie de la population l’a toujours soutenu : les minorités alaouïte, chrétiennes, druze, chiite, mais aussi une bonne part des sunnites, baassistes ou simplement attachés à la stabilité du pays pour des raisons économiques. L’opposition a été très rapidement débordée par les religieux, les Frères Musulmans, voire les salafistes, et c’est ce conglomérat qu’on nous a présenté comme la relève démocrate. On sait maintenant comment sont organisées les « révolutions » qui plaisent à la CIA : rassemblements protestataires, tirs des nervis du régime, redoublement d’ardeur chez les manifestants qui s’arment aussi. Le régime assassin s’effondre, désavoué par le monde entier, lâché par ses soutiens locaux et bousculé par des groupes révolutionnaires armés. Qui a tiré le premier ? Les forces de l’ordre ? Rien n’est moins sûr ! Passant outre à cette stratégie vécue dans les anciennes républiques du bloc soviétique, Vladimir Poutine a persévéré. Lorsque la ligne rouge de l’emploi des gaz a failli servir de prétexte au velléitaire Obama et au va-t-en guerre Hollande pour attaquer, c’est lui qui s’est chargé d’assurer la neutralisation des armes chimiques. Lorsqu’un avion russe a été abattu par les Turcs, loin de s’énerver, il a mis en garde et attendu son heure. Celle-ci est arrivée avec l’étrange tentative de coup d’Etat déjouée en Turquie. Les Etats-Unis y avaient-ils trempé ? Poutine assura Erdogan de son soutien ! Les loyalistes ont libéré la plus grande partie de la Syrie utile, sécurisé la frontière libanaise et les communications vitales. Alep qui était partiellement tenue par les rebelles, venus de l’extérieur pour la plupart, a été reprise. Ce succès fut décrit en Occident comme l’écrasement féroce d’une cité défendue par ses habitants. La moitié de la ville et la majorité des Alépins étaient restées sous la protection de l’armée syrienne, encerclées de temps à autre par les islamistes que les Turcs cessèrent de ravitailler.

Après cette victoire décisive, les opérations se sont concentrées contre l’Etat islamique. La Russie lançait une manoeuvre diplomatique en réunissant les protagonistes à Astana. Elle aboutissait à la mise en place de zones de désescalade où les actions militaires étaient suspendues à l’exception de celles menées contre les terroristes. Une stratégie extrêmement subtile était déployée avec les Turcs qui ont pu enfoncer un coin entre les deux zones tenues par les Kurdes syriens de l’YPG, d’obédience marxiste, longtemps soutenus par les soviétiques et aujourd’hui armés et encadrés par les Occidentaux. Ceux-ci avançaient vers Raqqah et sur la rive nord de l’Euphrate tandis que les loyalistes et leurs alliés libéraient Palmyre, puis Deir Ez-Zor, et progressaient le long de la rive sud du fleuve.On était allé jusqu’à prétendre que l’Etat islamique était une créature d’Assad pour contrer la rébellion. Obama et Hollande accusaient les Russes de bombarder les civils et les gentils rebelles en les laissant agir seuls contre « daesh », puisque le code imposait de ne pas employer le mot « islamique ». Sans qu’il y ait à proprement parler d’alliance, une convergence objective entre les deux camps rivaux s’est produite sur le terrain qui a permis de mettre fin au califat, soulignant l’inanité des accusations.

La situation actuelle en Syrie qui voit la fin de l’Etat islamique et le gouvernement de Damas contrôler une large majorité des habitants et la plus grande partie du territoire, tandis que l’exigence du départ d’Assad est mise en sourdine, est évidemment l’oeuvre du Président russe. ( à suivre)

Prières de rue, code de la route. Courage, fuyons.

La France est laïque, ce qui ne lui empêche pas de croire religieusement dans la puissance de la Loi. Et pour se protéger de toutes les avanies, tous les problèmes, toutes les méchancetés, là où d’autres peuples ont une Foi, une Tradition ou, plus pragmatiquement, un Leader et une grosse Armée bien dotée en artillerie, la France a d’abord choisi d’avoir un Code pour tout. Et si elle n’a pas (encore ?) un Code de la Religion, elle a fort pratiquement un Code de la Route. Dont elle ne se sert pas toujours.

Comment ça, vous ne voyez pas le lien ?

C’est pourtant simple et l’actualité récente nous permet d’illustrer ceci avec efficacité.

Tout commence il y a quelques jours… ou plutôt quelques mois, selon le point de vue : des pratiquants musulmans se retrouvent régulièrement le vendredi pour prier, et à Clichy, cela se termine systématiquement sur la chaussée.

Or, il y a quelques jours, le vendredi 10 novembre, quelques élus de Clichy décident qu’il ne peut plus en être ainsi et déboulent au milieu de la prière, bousculant immédiatement les petites habitudes qui s’étaient tranquillement installées depuis plusieurs mois. Car on l’apprend par quelques articles un peu roboratifs, l’histoire dure depuis au moins huit mois, période pendant laquelle la mairie et les associations cultuelles locales se sont chamaillées pour savoir si une mosquée serait disponible ou si on la transformerait plutôt en médiathèque sympatoche, et qu’on n’irait pas déplacer la mosquée tant promise aux élections 1,5 km plus loin.

On le comprend : la récente exposition du problème de Clichy ne doit son apparition dans les médias que par la présence des élus au milieu de ces prières de rue et des images qui ont suivi. Même si la situation dure, elle ne semble prendre corps qu’avec ces derniers éclats de voix auxquels ont répondu, comme il se doit, toute une ribambelle de belles-âmes de tous les côtés de l’échiquier politique, qui pour dénoncer une situation ubuesque qui dure depuis des lustres, qui pour dénoncer un acte immhoôonde à la fois anti-musulman et tout à fait digne des heures les plus sombre de notre Histoire, qui pour dénoncer le double discours du maire qui avait promis une mosquée mais n’en aurait pas fourni l’ombre d’une, ou pas comme il faut, ou pas assez bien, etc.

Magie de cette mauvaise publicité passée au travers d’une presse extrêmement prompte à s’enflammer : ce qui a traîné pendant huit longs mois est en passe de trouver une résolution. Ici, peu importe sa nature puisqu’il n’est besoin que de savoir que le Ministre de l’Intérieur lui-même s’est directement occupé du problème. Enfin, « directement », on se comprend puisqu’en pratique, notre Ministre a essentiellement délégué la gestion du foutoir au préfet local en y ajoutant un ordre de mission tout à fait macronesque dans l’esprit :

« Il ne peut pas y avoir de prière de rue, mais en même temps il convient que les musulmans de Clichy-la-Garenne puissent avoir un lieu de culte décent »

Ouf, le problème est résolu, la situation claire, la rue apaisée, la ville calmée, la France garde la tête haute et la République sa splendeur.

Ou presque.

Presque parce qu’en somme, plusieurs questions n’ont pas été posées.

Bien sûr, il y a celle, évidente, du temps mis pour agir : un problème de lieu de culte survient dans une ville et paf, immédiatement, comme un félin sous tranxène sautant sur une proie en carton et le tout en moins de huit mois, l’État apporte une non-solution macronesque dans laquelle on n’ira plus bloquer une artère routière et en même temps on aura un lieu de culte décent voili voilà.

Avouons que huit mois pour s’organiser n’est pas une performance digne d’une République en bonne santé : ni du côté de l’État, qui dans l’histoire semble se mouvoir comme un éléphant dans une 2CV, ni du côté des associations cultuelles concernées qui, pendant cette période de temps et avec le nombre de fidèles qu’elles représentent, auraient probablement pu trouver les locaux et les fonds pour ne plus se répandre sur la rue.

Mais au-delà de ces constatations évidentes, on ne peut s’empêcher de se demander à quoi sert la palanquée de Codes divers dont l’État se gargarise et que le Législateur nous pond à chaque occasion.

En effet, s’il existe une loi qui autorise le blocage inopiné d’une rue par une masse de personnes à l’arrêt, n’est-il pas temps de la mettre à jour pour tenir compte d’un droit, apparemment fondamental puisque dans la déclaration des Droits de l’Homme, catégorie Liberté de circulation ? Mais inversement, s’il n’existe pas de telle loi, comment expliquer que des élus et les forces de l’Ordre aient, pendant si longtemps, permis qu’il en soit autrement et qu’en définitive, la liberté de circulation soit proprement bafouée ? Ne serait-il pas temps, dans ce cas, d’appliquer simplement les lois existantes ?

Par ailleurs et pour revenir sur ces problèmes de mosquées inadéquates, si ces fameux Codes empêchent les fidèles de construire leurs lieux de cultes comme bon leur semble (en appliquant les mêmes normes que pour tous les autres lieux de culte, et tous les autres bâtiments du territoire français), ne serait-il pas temps de revoir ces lois et ces codes ? Au passage, on devrait aussi s’interroger sur la pertinence d’utiliser des fonds publics pour construire des « centres culturels » qui perdent rapidement un R pour devenir des centres cultuels : il semble assez paradoxal qu’une République se gargarise de laïcisme (pour ne pas dire de laïcardisme) pour la voir malgré tout distribuer l’argent du contribuable dans l’élaboration de lieux de cultes à des fins électorales.

Pire : on ne peut que s’étonner que l’État républicain, laïc (et de plus en plus incohérent) en soit réduit à bricoler ce genre d’arrangements, alors que ces solutions sont envisagées pour circonvenir des blocages que personne d’autre que l’État lui-même (bardé de ses douzaines de Codes de lois) n’a mis en place.

L’efficacité de tout ceci laisse pantois.

Encore une fois, on se rend compte que ce ne sont pas les lois qui manquent dans ce pays (en attestent ces brouettées de Codes), mais bien le courage d’appliquer au moins les plus importantes, sans fléchir et de façon réellement égalitaire, pour les petits comme pour les grands.

> H16 anime le blog Hashtable.

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Renaud Camus : « Peut-être souffrons-nous cette fois de ne pas avoir connu de visible défaite »

Le 9 novembre dernier, date anniversaire de la mort du général de Gaulle, une grande partie de la classe politique – le carré des caciques LR, Laurent Wauquiez, Maël de Calan, des représentants du FN, Nicolas Dupont-Aignan et Debout la France, Florian Philippot et ses Patriotes et même Anne Hidalgo, maire de Paris – est venue en procession, ou comme à la parade, à Colombey-les-deux-Églises se recueillir sur la tombe du chef de la France Libre. Que cela vous inspire-t-il ?

Cela ne m’inspire rien, j’en suis plus satisfait que du contraire, je suis content de voir que le général de Gaulle reste une référence essentielle pour beaucoup de gens. Il l’a toujours été pour moi. Ce qui m’attriste, et pourrait m’inciter à la moquerie, à la dérision, voire au mépris, ce n’est pas que des personnalités politiques de tout bord viennent se recueillir sur la tombe du général de Gaulle — Karim Ouchikh et moi l’avons fait nous-mêmes. Ce qui m’attriste, et même me désole, c’est que ces mêmes personnalités paraissent ne retenir absolument rien de l’exemple du Général, et en particulier du message du 18 juin : semblent ne pas l’entendre, ne pas le comprendre, n’en pas percevoir l’esprit, ne pas le transposer dans la situation d’aujourd’hui.

Vous-même, avec votre ami Karim Ouchikh, président du SIEL, étiez à Colombey. Et c’est de Colombey que vous avez lancé un Conseil national de la Résistance européenne par analogie au Conseil national de la Résistance. Quel est le sens de cette initiative ? Pourquoi à Colombey ?

À Colombey le jour anniversaire de la mort du Général parce que de Gaulle a été l’âme de la Résistance, au même titre que Vercingétorix, Jeanne d’Arc et Jean Moulin. Je crois la situation actuelle aussi grave que celle qu’a trouvée la Pucelle en 1428 ou de Gaulle au moment de la débâcle — plus grave, même. Une défaite, en effet, une occupation militaire, un peuple peut les surmonter, s’en remettre, on l’a bien vu ; et la France l’a particulièrement montré, qui en plusieurs occasions au cours de son histoire paraît s’être relevée du tombeau, comme Lazare. Je l’ai dit cent fois, j’ai une conception lazaréenne de la patrie, et spécialement de la patrie française, deux ou trois fois ressuscitée d’entre les morts, déjà. Mais peut-être souffrons-nous justement, cette fois, de n’avoir pas connu de défaite, de visible défaite, qui aurait pu réveiller les esprits, les tirer de la torpeur désolante où on les voit.

Nous sommes victimes d’une invasion soft, comme tout le reste : une invasion qui n’ose pas dire son nom, et qui fait condamner ceux qui osent la nommer.
Le sens de cette initiative est celui d’un appel, d’un cri de désespoir et de révolte, d’un avertissement à la Brangaine, ou Cassandre, d’une exhortation dramatique au sursaut, au bord du gouffre. Demain, il sera trop tard. En 2022, il sera trop tard.

De toute façon, l’issue ne sera plus politique, à présent. Nous sommes au-delà de la politique. 2017 était la dernière chance du politique. La politique ne peut que jouer contre la nation, désormais, puisque l’occupant est déjà l’arbitre de la situation, et qu’il sera demain maître du jeu, ne serait-ce que par son nombre et par son poids électoral ! Toutes les lois de la politique et toutes les lois tout court sont contre nous. Nous n’avons aucune chance de l’emporter à un jeu où l’adversaire — et là, je ne pense plus à l’occupant, mais au remplacisme global, que j’évoquais précédemment — dispose de tous les pouvoirs et a toutes les cartes en main : roi, dame, valet, juge, journaliste.

 Dans le discours que vous avez prononcé à Colombey, vous qualifiez le Grand Remplacement de GPA planétaire. Vous n’y allez pas un peu fort ?

Non. Je le répète, on ne comprend rien au Grand Remplacement si on ne le situe pas dans le cadre encore plus large de ce que j’ai nommé le remplacisme global, où je vois l’essence du post-modernisme post-humaniste, et probablement post-humain. Remplacer, tel est le tropisme central pour une humanité hébétée par la déculturation, l’imbécillisation de masse, la violence et la drogue. Toutes les manipulations génétiques se tiennent, et toutes tendent pareillement à une humanité de rechange, standardisée, normalisée, taylorisée, interchangeable à merci : une Matière Humaine Indifférenciée (MHI), où bien vite il entrera bien autre chose que de l’homme, devenu un OGM comme un autre. Il est seulement stupéfiant que les écologistes arrêtent à l’homme, Dieu sait pourquoi, leur légitime souci de biodiversité.

À propos d’Emmanuel Macron, vous dites : « Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’Histoire. » Que voulez-vous dire ?

Que la situation ne relève plus de la politique, je le répète. Macron et nous sommes d’accord sur ce point, bizarrement, pour des raison bien sûr opposées. Lui estime la politique périmée, il instaure la « davocratie » directe, le management du parc humain par les laboratoires et la banque, la gestion des masses par la finance hors-sol, sans intermédiaire : neutralisation du microcosme, des féodalités, des baronnies, de la représentation nationale. Nous jugeons, de notre côté, que la question de savoir si une grande nation, un grand peuple, une haute civilisation vont ou non disparaître de la surface de la Terre, ce n’est pas de la politique, c’est de la tragédie — et de l’Histoire, oui.

Voyez à quel point les discours des hommes et des femmes politique sont morts, im-pertinents, gratuits. Ils ne touchent plus aux choses, plus aux âmes, plus aux paysages, plus aux êtres. Ils sont aussi vains que ceux de la sociologie, des statistiques, de la démographie, des sciences humaines en général, dont on trouvera demain incroyable qu’elles aient pu passer parmi nous pour des sciences, comme à d’autres époques l’astrologie ou l’alchimie. Songez que non seulement elles n’ont rien vu et rien dit, rien annoncé, des deux phénomènes majeurs de notre époque, le Grand Remplacement et l’effondrement de l’École, la submersion migratoire et l’interruption de la transmission, mais qu’en plus elles les ont niés de toutes leurs forces, au moment même où ces phénomènes énormes et qui crevaient les yeux (et le cœur) se déroulaient en pleine lumière. J’appelle dénégationnisme cette résolution farouche à nier l’évidence.

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À Raqqa, des islamistes ont pris la tangente avec la bénédiction de la coalition !

Je sais bien que la raison politique a des raisons que la raison ignore, mais là c’est le pompon : « Selon les informations de la BBC, 250 djihadistes – dont des leaders de l’État islamique – et 3.500 membres de leurs familles – dont des Français – ont pu quitter la ville “avec des tonnes d’armes et de munitions” » (Le Point).

En tout, ce sont « une cinquantaine de camions, treize bus et plus d’une centaine de véhicules appartenant à l’État islamique » (op. cit.) qui ont pris la tangente pour rejoindre des pâturages plus verts, certains encore contrôlés par Daech ou carrément en dehors du pays. L’un des passeurs de la frontière turque a confirmé que dans cette caravane d’un genre particulier se trouvaient « des Français, des Tchétchènes [et] d’autres Européens ».

Sursaut de bon sens – ou diversion, car on ne sait plus à quel saint se vouer dans cette ténébreuse affaire –, Abu Musab Huthaifa, chef du renseignement de Daech, a été arrêté par les autorités turques. Quant à Abu Basir al-Faransy, fuyard qui appartenait à un groupe de combattants français de Daech, ses déclarations à la BBC font froid dans le dos : « Il y a des frères français qui sont partis pour la France pour perpétrer des attaques qui se dérouleront au moment du jour du Jugement. »

Et tout ça s’est accompli avec la bénédiction de la coalition qui a, selon des témoins, survolé le convoi sans intervenir. « À la lumière des révélations de la BBC, la coalition a depuis reconnu son rôle dans l’accord » (Le Salon beige), ce qui nous rassure énormément, nous qui allons subir le Jugement dernier, comme dit l’autre illuminé !

Le porte-parole de ladite coalition, le colonel Ryan Dillon, se justifie ainsi : « Nous voulions que personne ne parte. Mais cela touche au cœur de notre stratégie, aux côtés des leaders locaux sur le terrain. Cela dépend donc aussi des Syriens, qui sont ceux qui se battent et meurent, et qui prennent des décisions sur certaines opérations. »

 Sauf que ce nœud de vipères va désormais piquer l’Occident honni par ces sicaires de Daech. Et l’on peut se demander à quelle guerre la coalition joue. Il eût été peut-être plus judicieux de soutenir, dès le départ, le régime de Bachar el-Assad, qui avait visiblement raison lorsqu’en janvier 2017, il accusait, dans un média japonais, la coalition d’avoir soutenu les terroristes. De là à penser, comme le président syrien, que « Daech a été créé en 2006 en Irak sous la supervision des États-Unis » (RTL), je préfère garder un semblant de naïveté et ne pas y croire – pour l’instant.

Tout ceci me rappelle ces « gentils » moudjahidin aidés par la CIA et venus autrefois combattre les Soviétiques en Afghanistan. L’un d’eux s’appelait Oussama Ben Laden !

Donc, soit la coalition est stupide, soit elle est cynique. Dans les deux cas, elle est néfaste.

Et en cédant à la théorie du complot, on peut se demander pourquoices djihadistes ont bénéficié de ce qu’on peut appeler un programme d’exfiltration.

Charles Demassieux

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Et maintenant, voici les attaques à la diligence contre Chronopost !

Les pompiers embuscadés, nous le savions. Les policiers caillassés, nous le savions. Les médecins agressés dans leur cabinet, nous le savions. Mais la liste de nos concitoyens interdits de pénétrer dans les ghettos ethniques tend à s’allonger, notre République insouciante les ayant laissé se développer à la périphérie de nos villes et parfois même dans certains arrondissements de nos métropoles.

Le Parisien, France 2, Fdesouche et bien d’autres médias viennent de lever le voile sur une autre profession. On vient, en effet, d’apprendre que Chronopost a pris la décision d’interdire l’accès de « certains quartiers » à ses livreurs. À l’heure où notre sémillant Président a décidé d’accélérer une politique de la ville qui n’a servi à rien d’autre que d’appauvrir le budget de Bercy, cela fait tache, n’est-ce pas ? Toujours est-il que l’inadmissible, celui d’un État incapable de maîtriser la chienlit de centaines de territoires perdus, perdure et s’amplifie. Depuis plusieurs mois déjà, Chronopost ne livre plus sur le champ de bataille que sont devenues certaines cités où il ne fait plus bon ni vivre ni même passer quelques minutes.

« Priorité à la sécurité de nos chauffeurs », répond l’entreprise aux destinataires des paquets qui sont déposés dans le réseau Chronopost. Le Parisien mentionne le cas de la cité du Franc-Moisin, du quartier Delaunay-Belleville dont les habitants sont obligés de faire parfois trois kilomètres pour aller prendre possession de leurs colis au bureau de La Poste, alors qu’ils en ont payé la livraison à leur porte. En 2016, 51 livreurs ont été victimes de vol avec violence. C’est souvent le même scénario. Cela ressemble à une attaque de diligence, mais les Indiens sont remplacés par de faux policiers qui arrêtent le fourgon postal. Comme, par exemple, le 14 décembre dernier : le jeune chauffeur avait à peine quitté le dépôt de Rungis que deux faux policiers l’ont arrêté, tentant de le faire sortir de force, mais le chauffeur a résisté et s’est retrouvé assommé. Deux cents colis ont changé de main !

Le 3 janvier, à Ormesson-sur-Marne, deux hommes ont aspergé de gaz lacrymogène le chauffeur et sont repartis avec son véhicule, qui sera retrouvé, incendié, peu de temps après à Pontault-Combault (Seine-et-Marne). Cent cinquante colis ont ainsi disparu.

 Au micro de France 2, le maire de Saint-Denis s’offusque de cette discrimination : « C’est inacceptable. Il est totalement anormal qu’une partie de la ville, aussi infime soit-elle, ne soit plus livrée par ce que je continue à considérer comme un service public. »

Scénario identique à Alfortville, où le maire, Luc Carvounas rappelle que l’an dernier, « à l’approche des fêtes, les Alfortvillais se sont vus contraints de se rendre au centre de tri d’Ivry pour retirer leurs colis, qu’ils retiraient précédemment à l’établissement Chronopost d’Alfortville ».


Chronopost n’est d’ailleurs qu’une partie du problème. Une lectrice du Parisien, habitante du 93, commente : « Lorsque j’ai voulu faire des travaux avant de déménager (euh… de fuir), la plupart des artisans refusaient de se déplacer dans mon quartier ! » Amazon est partie prenante de l’insécurité que nos gouvernants sont incapables de gérer. Jordan, livreur d’Amazon dans la Marne, a décrit aux « Grandes Gueules » la galère qu’il vit au quotidien dans les quartiers dits sensibles de Reims. « Nous essayons de livrer avant 11 heures lorsque les délinquants dorment encore, sinon, on est embêté à chaque fois, car nos camions sont repérés. Et lorsqu’on livre le colis, il n’est pas exclu qu’il disparaisse de la boîte aux lettres. » 

Il existe 1.500 ZUS en France. 1.500 Zones urbaines sensibles ! Le temps des diligences est loin d’être terminé.

Floris de Bonneville

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Islamisme : entre club de foot et carmel, l’infiltration par la ruse !

Le problème, avec les manipulateurs, les fanatiques et les pervers, c’est que n’ayant pas leur esprit tordu, on est généralement incapable d’anticiper leur comportement. D’où le succès de leurs entreprises.

C’est un chemin, hélas, que sont en train d’emprunter les fanatiques islamistes, comme le prouvent deux faits divers relatés dans l’actualité du jour.

On apprend ainsi que deux hommes, deux barbus (mais c’est la mode !), vêtus en jeans et baskets, se sont présentés à la sœur tourière du carmel de Verdun, demandant benoîtement s’ils pouvaient accéder à la chapelle. L’office de vêpres allait commencer. La sœur a dit oui. Ils sont donc allés à la chapelle, y ont « prié en arabe », puis, rapporte l’évêque Mgr Gusching, « ils se sont présentés comme des annonciateurs » et ont dit aux religieuses : « Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer. » Enfin, ils ont écrit « Allah Akbar » sur le livre d’or de l’église, puis sont repartis comme ils étaient venus.

Cette histoire, sorte de parabole, est pleine d’enseignements. J’y apprends tout d’abord que le monde de l’Église a changé. Dans mon enfance ne pénétraient au carmel que les religieux. On n’y aurait pas accepté deux quidams pour venir faire la causette avec les contemplatives. Mais les sœurs de Verdun fabriquent des couettes de luxe, en plume, et vivent donc un pied dans le monde réel. Second enseignement : elles n’y vivent pas assez, toutefois, pour être vigilantes, et l’on se dit que le carmel de Verdun aurait fort bien pu être le lieu d’un carnage type Saint-Étienne-du-Rouvray, où le père Jacques Hamel fut égorgé en plein office. Enfin, détail signifiant, comme on dit : selon les confidences faites par l’imam de Verdun à L’Est républicain, sur les deux assaillants, « le plus jeune s’est converti il y a deux ou trois mois ». Ce qui confirme que les convertis de fraîche date sont toujours les plus zélés.

Deuxième fait marquant de ce jour : à Lagny, deux hommes déjà mis en examen dans une affaire de terrorisme étaient entraîneurs d’une équipe de football amateur locale. Ils sont suspectés d’avoir « activement pris part et organisé une filière de départ vers la zone irako-syrienne au sein de la mosquée de Lagny ».

 En soi, leur parcours est admirable. Ces deux-là ont en effet tissé petit à petit des liens avec les footballeurs, se rendant indispensables au point que les joueurs ont exigé (et obtenu) que la direction du club accepte de les nommer responsables des équipes seniors au cours de l’été 2017. « C’était ça ou une bonne partie des joueurs s’en allait ailleurs », a déclaré le président du club à RTL.

Il aura fallu que « les instances locales du football, après une rencontre à l’extérieur, signalent également que l’équipe aurait prié sur le terrain » pour que la municipalité, menaçant de couper les subventions du club, parvienne à obtenir le départ des deux « entraîneurs », dont l’un est déjà mis en examen pour « association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste », et l’autre « assigné à résidence pour des faits de radicalisation ».

Hélas, ce qui frappe le plus, dans ces deux affaires, c’est encore une fois la naïveté.

Dans le premier cas, on nous dit qu’« aucun lien avec le terrorisme islamiste n’a été démontré ». Peut-être, mais il semble évident que ces deux musulmans ne sont pas entrés au carmel pour y faire du tourisme ! 
Enfin, dans le cas du club de foot, le maire insiste sur « un vide juridique » qu’il serait urgent de combler. En effet, rien dans la législation ne permet « d’écarter des individus radicalisés de l’encadrement d’équipes de football » et d’autres activités dès lors qu’ils sont bénévoles !

Marie Delarue

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Tuerie du Bataclan : encore une victime mythomane !

Cédric Rey est un survivant. Un rescapé du massacre du Bataclan. Une victime emblématique de la barbarie. Un héros ordinaire, aussi. Au lendemain du 13 novembre 2015, il affirme : « J’étais en train d’appuyer sur la plaie d’un blessé qui s’était effondré sur le boulevard quand j’ai relevé la tête. J’ai vu un type devant l’entrée du Bataclan. Il avait sa kalachnikov en bandoulière, elle était pointée vers moi. Au même moment, une femme est passée entre nous en courant. Elle a pris les balles. »

Poignant et tragique à la fois. De quoi bouleverser lecteurs, auditeurs et téléspectateurs. Aux uns, il exhibe son tatouage, depuis fétiche, une Marianne pleurant une larme de sang et juste ornée de ces chiffres : 13/11/15 ; on ne saurait faire plus sobre. Aux autres, il explique comment chercher à se reconstruire : « C’est bizarre, mais des fois, j’ai presque envie de revenir au soir des attentats. »

En attendant, il fait œuvre de résilience, organise des « apéros-thérapie » au sein d’un groupe de victimes, Life for Paris. Bref, un homme d’exception, ambulancier de profession et pompier volontaire à ses heures. Celui qu’on donnerait volontiers en exemple si ce gendre idéal, ce citoyen modèle, n’était aussi un modèle de mythomanie…

En effet, la supercherie vient enfin d’être mise au jour par nos confrères de Libération, ceux-là mêmes qui, en toute bonne foi, avaient relayé en premier son récit. La vérité, c’est que le soir du drame, Cédric Rey arrive chez lui, dans les Yvelines, entend la nouvelle à la radio et fait immédiatement demi-tour en voiture pour se mêler aux survivants. Les forces de l’ordre, sûrement moins crédules que les journalistes, ont tôt fait de douter et de faire parler son téléphone portable, pendant que lui parle devant micros et caméras de télévision. « Il souffrait d’un manque de reconnaissance », remarquent aujourd’hui ses collègues. On voit ça.

Soyons justes, il ne s’agit pas du premier et encore moins du dernier baratineur du genre, après (et au choix) la fille du RER D, la tondue imaginaire ou le rabbin qui se poignarde tout seul. Déjà, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il y avait en France tant de dizaines de milliers de cartes d’anciens résistants en circulation que certains esprits forts se demandaient comment les Allemands s’étaient débrouillés pour rester chez nous plus qu’un simple week-end…

 La partition est la même et seul change le registre : avant, les menteurs se faisaient passer pour des héros alors qu’aujourd’hui, le statut de victime est autrement plus gratifiant ; ce qui en dit long sur l’état de notre société. Bien sûr, le phénomène, lui aussi un peu victime de son propre succès, connaît une indéniable inflation. En attendant l’explosion de cette nouvelle bulle spéculative ?

Car, désormais, tout le monde est victime. Les femmes et les homosexuels. Les immigrés et les travestis. Les jeunes et les vieux. Les unijambistes et les ragondins. Les chrétiens et les musulmans. Les Noirs et les juifs, surtout Sammy Davis, Jr., qui, non content d’être borgne, cumulait les deux handicaps. Les goitreux et les pauvres, sans oublier les pauvres goitreux. Les minorités visibles et invisibles. Nous sommes tous issus de peuples qui ont beaucoup souffert. La discrimination est partout. À tel point que seront bientôt discriminés les seuls qui n’auront été victimes de rien.

« Comment, vous n’êtes pas victime ?
« Ben non, je vois pas…
« Ce mec est d’un ringard. Viens ma chérie, partons. De toutes façons, on s’ennuyait à mourir dans cette réception. »

Sacré Cédric Rey, qui rêvait d’être victime et qui se trouve par deux fois exaucé : victime de la mode et de sa propre mythomanie. De quoi relancer le débat sur le cumul des mandats.

Nicolas Gauthier

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Mathieu Kassovitz, virtuose de la propagande pro-migrants

La meilleure manière de faire passer une idée, c’est de frapper les esprits. Par un slogan, une image, une chanson, un film. Les propagandistes le savent bien, et depuis longtemps. Les publicitaires aussi. Ce sont souvent les mêmes…

Dans les sociétés modernes, les moyens de communication sont tels que personne ne peut échapper à la propagande. Consubstantielle aux sociétés totalitaires, elle y est souvent perçue comme telle. Dans les sociétés libérales, elle puise sa force dans l’exercice de la liberté d’expression. En théorie, au moins. Car, à l’instar de la théorie économique de la concurrence pure et parfaite, la liberté d’expression pure et parfaite n’existe pas dans le monde réel. Ainsi, la propagande est rarement contrée de manière efficace : lorsqu’à un slogan il faut opposer un raisonnement, les armes sont inégales.

Un exemple ? « Mon corps m’appartient. » Vous avez dix secondes pour contrer ce slogan. Chiche ?

Il y a quelques années, une campagne de sensibilisation au danger des mines antipersonnel avait, de la même manière, marqué les esprits. À cause de ce petit garçon français déchiqueté par une vieille mine allemande dans une forêt bien de chez nous… de quoi faire frémir tous les pères de famille.

L’acteur Mathieu Kassovitz professe des idées généreuses. Il se bat pour l’accueil de l’autre chez les autres. Il s’engage. Dans un court-métrage récent, produit par le Collectif pour une nation refuge (association de défense des réfugiés), il met en scène une famille française prise au piège dans son appartement en flammes. Piégée parce que, derrière la porte d’entrée, un mur en parpaings bouche la sortie. Et condamne la famille à une mort affreuse. Pour s’achever sur une phrase : quand les frontières deviennent des murs, protégeons les humains, pas les frontières.


La force de l’image emporte tout. Chacun se sent emprisonné, forcé de se tourner vers les flammes. L’émotion prime et paralyse tout raisonnement. Parce que le film ne montre qu’une famille européenne standard, et non une femme voilée, une culture exotique ou un enfant en détresse, il est redoutablement efficace. Il nous concerne personnellement, directement. Bien sûr, il vise indirectement notre attitude vis-à-vis des « réfugiés ». Mais, justement, de façon très habile.

Pourtant, deux secondes de réflexion libèrent le spectateur. Deux minutes permettent de contredire cette propagande. Et quelques heures de formation intellectuelle suffisent à construire un discours sensé, argumenté, nuancé, sur la difficile question de l’immigration, des frontières, de l’islam, des réfugiés, des migrants, des immigrés, des persécutés et de tous ceux qui franchissent les limites de notre pays pour s’y installer.

Ce discours est inaudible face à la propagande. La nuance cède toujours devant le slogan.

Alors utilisons les mêmes armes que nos adversaires. À la propagande opposons la propagande. Aux images chocs opposons les images chocs. Jusqu’à ce que le public, lassé, réclame autre chose.

Quelques écoles de communication abritent de nombreux élèves patriotes. Êtes-vous prêts, les jeunes ?

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La poupée Barbie voilée ? C’est du bidon ! Elle ne récite même pas les sourates du Coran…

La Barbie voilée fait un tabac. De toute part, on s’en moque, et surtout on l’applaudit. Ses ventes explosent en Arabie saoudite, au Qatar, au Pakistan… Et ça remplit les tiroirs-caisses de ses inventeurs. Pensez donc : un marché d’un milliard d’individus !

Or, nous sommes en mesure de révéler ici que cette poupée n’est pas halal ! Qu’elle est une invention diabolique des kouffars. Des kouffars juifs, de surcroît. En effet, son fiancé ne s’appelle-t-il pas Ken ?

Et « ken », en hébreu, veut dire « oui » ! Les concepteurs de la Barbie voilée n’ont même pas été capables de lui trouver un fiancé en djellaba du nom de « Naam » (oui, en arabe).

Des nuls. Des hypocrites. Des mécréants. Des singes et des porcs. Pieuses et pieux musulmans, détournez-vous de cette poupée maudite ! D’ailleurs, qui sait s’il n’y a pas quelques traces de porc dans ses vêtements ou dans ses cheveux !

La seule, la vraie poupée à mettre entre les mains de toutes les petites musulmanes s’appelle « Chifa ». Elle est certifiée halal. Même qu’elle a été estampillée conforme par les imans de la mosquée Al-Azhar. Et son doux prénom veut dire « guérison ».

 Pour le moment, elle est disponible en France sur le site cadeauxmusulmans. Elle parle deux langues : arabe et français. Quand on lui appuie (doucement, SVP) sur le ventre, elle récite les plus importantes sourates du Coran. Elle dit : « Assalem alaikoum ! Je suis la poupée “Chifa”. Viens apprendre avec moi : l’attestation de foi, les sourates Al-Fatiha, Al-Ikhlas et les deux sourates protectrices (Al-Falaq et An-Nas), ainsi que le verset du trône (Ayat Kouassi)… »

Chifa a d’autres qualités, peut-on apprendre sur le site cadeauxmusulmans. Elle connaît aussi « les invocations à dire avant de dormir, quand on se réveille, pour se protéger contre tout mal, pour guérir lorsqu’on tombe malade, etc… »

Mais surtout – et, curieusement, le site omet de le dire -, Chifa est précieuse et enviable pour d’autres raisons. Elle est encore toute petite. Trois ou quatre ans, à première vue. Quand elle sera plus grande et qu’elle aura atteint l’âge d’Aïcha, elle pourra épouser un homme, un vrai, un guerrier, un prédicateur et – pourquoi pas – un djihadiste. Mamans musulmanes, parlez-en à vos filles ! Et cette perspective heureuse les détournera de Barbie, infâme produit frelaté du Juifistan…

Benoît Rayski

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De nombreux jeunes ont compris que s’expatrier, c’est céder sa place à un immigrant.

 

Video et document en cliquant ici

Règlements de compte « inter-racistes » : si ce n’était bien triste pour la France, j’en boirais du « petit lait » !

Voilà que ça tiraille vraiment dur entre les charlots de tous les mensonges et coups tordus de l’antiracisme et des états jusqu’ici confédérés de la haine anticatholique.

 

Comment à l’AGRIF ne considérerions-nous pas ce spectacle avec un mélange d’ironique satisfaction et d’harassement ?

 

Pour simplifier, voilà le champ de bataille : 

 

-D’un côté, Edwy Plenel - « trotskard » un jour, « trotskard » toujours - accusé, non sans raison, de complaisance islamo-gauchiste et de « collaborationnisme avec le fascisme islamique » car positionné, à force d’incantations arabophiles exacerbées, dans le camp d’Houria Bouteldja, la patronne du PIR (Parti des Indigènes de la République) soutenue jusqu’ici par la fanatique islamo-révolutionnaire Danièle Obono, du parti du camarade Mélenchon.

 

On est là dans une vaste ramification d’activisme rouge-vert inspiré notamment par le docte « théologien » musulman Tariq Ramadan, très partisan, on le sait, du libre choix pour les femmes d’être voilées ou violées…

 

L’algérienne Houria Bouteldja, qui vit en France, exprime dans son dernier bouquin « Les Blancs, les Juifs et nous » la joie qu’elle éprouve lorsqu’elle séjourne dans un pays où elle partage avec tout le monde un constant frisson d’enthousiasme quand, sans cesse, est poussé par tous, et surtout par de virils barbus, le cri puissant, unificateur de toute l’oumma : « Alahouakbar », selon l’orthographe en alphabet latin qu’elle doit juger la plus phonétiquement proche du slogan en arabe coranique.

 

Pour ce qui est de la virilité, comment ne comprendrait-on pas les exigences de celle de Tariq Ramadan, « l’islamologue », selon nos médias respectueux, mais avant tout bon musulman adepte de l’imitation en tout temps et en tous lieux des « faits et gestes » du Prophète.

 

Dans ces « Hâdiths », rapportés par les plus grands « traditionistes », al-Bockari ou Muslim, Mahomet, « le Messager de Dieu «, n’est-il pas décrit comme ayant une vigueur telle qu’il pouvait au cours d’une seule nuit combler tout à tour chacune de ses neuf épouses ? On ne dit rien de ce qu’il en était pour ses concubines pour lesquelles nul doute qu’il était aussi très généreux.

 

-De l’autre côté, face à Plenel, Houria et Ramadan, les défenseurs de la laïcité, de la liberté selon Charlie-Hebdo, avec notamment les inconditionnels des Femen, dame Hidalgo, Manuel Valls et Jean-Pierre Chevènement, et globalement la mouvance du Grand-Orient et de la Licra.

 

Mario Stasi, le nouveau président de cette organisation étatiquement reconnue et subventionnée de l’antiracisme vient de proclamer : « Edwy Plenel a tort sur toute la ligne ». Et il exprime l’exigence qu’Emmanuel Macron à son tour, comme Manuel Valls, défende « la liberté d’expression, le droit au blasphème, la République laïque ».

 

Le « droit au blasphème » demeure, on le voit, très central dans la thématique du laïcisme. Et dans un entretien de ce jeudi 17 novembre, dans le Figaro, Zineb el Rhazoui, une des survivantes de l’équipe de « Charlie-Hebdo », y apporte sa propre réflexion. Intéressante. Elle déclare : «  Comme Médiapart et Plenel, ceux que j’appelle les collaborationnistes du fascisme islamique sont nombreux en France, ils sévissent dans tous les domaines ». Elle ajoute : « Dans les médias, ce sont tous ces journaux fiers de « défendre les musulmans » alors qu’ils auraient honte d’en faire autant avec les « chrétiens ». Elle précise : « Dans le débat public, ce sont tous ceux qui considèrent que critiquer le christianisme est conforme à l’esprit des Lumières (et sur ce point ils ont raison) mais que critiquer l’islam est de « l’islamophobie » et du racisme ».

 

On est, on le voit, au cœur des dévastations cycloniques des contradictions de l’antiracisme et du droit au blasphème ! 

 

Faute pour un Stasi ou une Rhazaoui de préciser ce que recouvrent les mots qu’ils utilisent. Et c’est ce que nous faisons pour notre part, hélas, dans la conscience qu’avec l’AGRIF nous sommes seuls sur une ligne d’équilibre, une ligne de cohérence et de bon sens. 

 

On aimerait savoir en effet ce qu’entend Mario Stasi par « droit au blasphème ». Que n’invoque-t-il des exemples concrets pour ce qui est du judaïsme, du christianisme et de l’islam ? Quant à Zineb el Rhazaoui, assimile-t-elle le droit de critiquer, que nous défendons aussi, et le droit au blasphème ?

 

Pour ce qui est de nous, voici concrètement trois exemples de ce contre quoi nous avons saisi la justice. Car la nécessité de notre combat implique de ne pas pouvoir taire la réalité des déjections les plus ignobles que l’AGRIF a combattues :

 

  • Ce Christ en croix, obscènement campé dans un dessin de Libération. En quoi cela relevait-il, madame el Rhazaoui, du droit à la critique du christianisme dans l’esprit des Lumières ?
  • Ce dessin graveleux dans Charlie d’une femme nue, cuisses largement ouvertes avec la légende d’une kolossale finesse : « la grotte de Lourdes ». Cela relevait-il du droit à la critique de la religion ?
  • Ces 19 « post-it » de l’exposition « l’Infamille » au conseil régional de Lorraine avec par exemple cette inscription : « Enfants, on vous fera sodomiser par nos chiens. Car vous êtes notre corps et vous êtes notre sang ». En quoi cela relevait-il du droit à la critique de la religion ? 

La vérité, que vous savez bien madame el Rhazaoui, c’est qu’il ne s’agissait d’abord dans ces trois cas, comme dans tant d’autres, que d’explicites atteintes à la dignité humaine, à la dignité d’une personne, à la dignité de la femme, et d’une atroce moquerie du sort des enfants violés par des parents monstrueux. Et non de l’exercice d’un droit de critiquer ! 

 

Dans ces trois cas, comme parmi tous ceux que l’AGRIF a combattus, la seule, indéniable motivation n’a-t-elle pas été la recherche de la plus haute intensité d’injure pour les chrétiens moyennant la plus abjecte dérision de la dignité de la personne humaine ? Non, madame el Rhazaoui, et vous le savez bien, il ne s’agit nullement du droit à la critique des religions mais d’une complaisance dans la dérision antireligieuse, obscène, injurieuse et haineuse, comme il en fut dans les régimes totalitaires et exterminateurs sans-culottes, Jeunes-Turcs, nazis et communistes. 

 

Quant à vous, maître Stasi, êtes-vous bien sûr que votre Licra ne réagirait point face à de pareilles recherches de plus haute intensité d’injures pour le judaïsme ? L’AGRIF, assurément, dans cette éventualité réagirait. Mais certes, et tant mieux, le judaïsme n’est jamais ainsi « critiqué ». Peut-être, il est vrai, le rabbinat juif, et c’est son honneur, n’est-il pas prêt d’accepter ce que les épiscopats chrétiens acceptent en France ? 

 

Tout ce débat, révélateur d’une fin de civilisation, est bien triste. Du moins éprouvons-nous quelque jubilation à voir venu sur des positions « antisémites », odieuses, le camarade Plenel qui se disait jadis, au siècle dernier, « goy yiddishisé » et qui fut à l’origine, dans le journal Le Monde, d’une ignoble déformation diffamatoire et assassine de nos propos pour les taxer d’antisémitisme, et de surcroît relayée par d’autres journalistes sans la moindre vérification. 

 

Mais cela, on le sait, se solda par notre constante victoire judiciaire en maints procès (cf. notre livre « 15 procès face aux calomnies médiatiques », Tome II de « Bernard Antony raconte »). (1)

 

Quant à la camarade islamo-gauchiste Houria Bouteldja qui traitait les Français de « sous-chiens », l’AGRIF a finalement été la seule à la poursuivre jusqu’ici. En vain hélas, et à poursuivre aussi ses adeptes, auteurs de l’ignoble livre de racisme anti-français (non sans exaltation du terrorisme d’Action Directe) « Nique la France ».

 

Rappelons que la cour de cassation a cassé l’arrêt de la Cour d’appel de Paris qui déboutait l’AGRIF. Un nouveau procès s’est déroulé il y a peu devant la Cour d’appel de Lyon. 

 

Maître Jérôme Triomphe a comme d’ordinaire très courageusement et brillamment plaidé. Nous attendons avec un espoir fondé le rendu de l’arrêt pour le 10 janvier 2018. 

 

Toujours est-il que nous aurons été les seuls à agir en justice face à Plenel et face à Houria Bouteldja. Mais à agir d’autre part aussi sans contester le droit à la critique de toutes les religions, mais pas pour le droit d’injure et d’incitation à la haine par le blasphème.

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Un fiché S instructeur à l’école de Police révèle Le Point

Il est agent titulaire de la fonction publique et salarié du ministère de l’Intérieur. Fiché S pour radicalisation islamiste, il travaille néanmoins au sein de l’École nationale supérieure d’application de la police nationale, basée à Toulouse et chargée de la formation continue des gardiens de la paix et des officiers. Ceux-ci y apprennent, notamment, les « techniques opérationnelles de filature et d’intervention », précisément utilisées contre les djihadistes. L’agent public est pour l’heure en arrêt maladie. « Cette information est confirmée, explique un…La suite est réservée aux abonnés du Point.

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