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vendredi, 17 novembre 2017

Pays-Bas : Un groupe islamophobe souille une Mosquée

Pays-Bas : Un groupe islamophobe souille une Mosquée

Le terrain d’une future Mosquée au Pays-Bas a été souillé par un groupe islamophobe.

En effet, plus d’une quinzaine de personnes a participé à un rituel au cours duquel un homme habillé en prêtre a barbouillé à l’aide d’une brosse de toilette une croix en bois, avec du sang de cochon sur le terrain appartenant  au futur lieu de culte.

Le groupe islamophobe n’a pas hésité a publier la vidéo de son “rituel” islamophobe sur les réseaux sociaux.

La nouvelle mosquée d’Enschede devrait être la plus grande des Pays-Bas. Il est vrai que de nombreux riverains s’étaient opposés à cette construction mais le conseil municipal avait finalement tranché en faveur de la construction de ce lieu de culte afin de mettre fin à cette polémique. Visiblement, cette autorisation ne suffit pas à un bon nombre d’islamophobes qui pense avoir le droit de se filmer en train d’insulter la confession d’une minorité de leurs concitoyens.

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Londres : un migrant syrien ayant obtenu l’asile condamné à 16 mois de prison pour une série d’agressions sexuelles

Un réfugié syrien a commis une série d’agressions sexuelles un mois après que lui et sa famille aient reçu un asile spécial «accéléré», il a été condamné à 16 mois de prison. Quelques semaines après son arrivée en Grande-Bretagne, Hasan Alkhabbaz a agressé six femmes dans le métro de Londres. L’homme de 22 ans se […]

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Dortmund (All.) : un chien policier permet l’arrestation de 4 migrants irakiens suspectés d’agression sexuelle

Dimanche dernier, à 4h du matin, des jeunes femmes ont dû se défendre contre des individus qui les ont agressé sexuellement sur le parvis de la gare de Dortmund. Après qu’elle aient alerté les autorités, le chien de la police Ivo a permis l’arrestation de trois suspects dans le Keuningpark quelques heures après les faits, […]

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Genève : un détenu sur deux est musulman

Prochaine « une » de GHI, le journal gratuit genevois

L’article Genève : un détenu sur deux est musulman est apparu en premier sur Fdesouche.

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Trappes (78) : Trois policiers blessés par un migrant

  L’histoire ne dit pas comment il en est arrivé là, mais un homme de 22 ans s’est fait remarquer par les policiers en patrouille alors qu’il était en train de mettre le feu à un pantalon de survêtement au niveau du mail de l’aqueduc à Trappes. Lors du contrôle d’identité, ils s’aperçoivent que l’homme […]

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Meddeb: « L’islam, tel qui se présente à nous aujourd’hui, est fortement détestable »

 

Abdelwahab Meddeb (mort en 2014), professeur de littérature comparée, dirigeait l’émission Culture d’islam sur France Culture.  Dans Libération du 23 novembre 2006  il écrivait : »Nous avons à faire à un Prophète qui a été violent, qui a tué et qui a appelé à tuer. La guerre avec les Mecquois fut une guerre de conversion. Il y a eu aussi la guerre avec les juifs et le massacre des juifs à Médine, décidé par le Prophète (…)L’islamisme est, certes, la maladie de l’islam, mais les germes sont dans le texte lui-même. « 

Sur la oumma en terre d’islam, dans le Nouvel Observateur du 17.1.2008 :  « La crainte que suscitent les femmes et les étrangers est le signe d’une communauté grégaire fermée sur elle-même, empêtrée dans l’endogamie, la réclusion des femmes, la xénophobie »

Aussi, dans l’émission Ce soir ou jamais face à Tariq Ramadan :

« Ce que je voyais monter au fur et à mesure, un islam qui changeait de plus en plus, que je n’aimais plus, que je trouvais très inquiétant.

Les visites que je faisais en Egypte, entre l’Egypte de 1975, dix ans après 1985 je vois une Egypte totalement changée, incompréhensible pour moi, je reviens en 1997 le mal est encore pire.

La concession faite par l’islam officiel, l’islam des états, au message des islamistes, des prêches terribles que j’entendais à la télévision officielle, un certain Charaoui par exemple, un diffuseur de superstition, d’obscurantisme « tout est dans le coran de l’atome à l’électricité », des choses aberrantes !

Je suis arrivé en Egypte pour un séjour en septembre à la veille des attentats de Louxor, et quand ces attentats ont eu lieux personnellement je n’étais pas du tout surpris car j’ai eu l’impression que ces attentats étaient le passage à l’acte de tout ce que j’entendais »

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Le Monde arabo-musulman, un baril toujours plus dangereux ? (I)

Le chaudron du Moyen-Orient ne s’éteint pas. Alors que l’État islamique succombe sous les attaques « croisées » de ses ennemis, la mixture que l’on y voit bouillir prend l’apparence d’un affreux brouet immangeable. Lors des interventions américaines en Irak, la lecture de la situation était relativement claire. Les États-Unis profitaient de l’effondrement de l’URSS, pour liquider un dangereux dictateur qui menaçait, selon eux, la paix dans la région, et notamment les deux alliés les plus importants, l’Arabie Saoudite et Israël, avec de puissants moyens de destruction massive, dont on cherche toujours la trace. Saddam Hussein, membre du Baas, représentait l’une des deux branches du réveil politique arabe, dont l’origine remonte aux années 1930, le nationalisme appuyé sur les militaires. C’est lui qui avait suscité Nasser en Egypte, Assad (le père) en Syrie, Kadhafi en Libye, et Arafat en Palestine. Moscou les avait tous soutenus contre Washington et l’Occident en général, jusqu’à instrumentaliser le terrorisme. Carlos qui croupit dans nos prisons est un fossile vivant de cette époque. Que l’Amérique veuille terrasser cet ennemi n’avait rien d’étonnant. Ce qui l’était davantage, c’était la chronologie. En 2003, le dictateur de Bagdad était bien affaibli. Ses agressions contre l’Iran puis le Koweit avaient été de cuisants échecs, dont le premier constituait d’ailleurs plutôt une opération menée avec le soutien des Occidentaux. Les 58 paras français tués dans l’attentat du Drakkar en ont hélas payé le prix sous Mitterrand. Depuis 1979, l’Iran chiite avait quitté le camp occidental avec la chute du Shah, et était devenu un ennemi de l’Amérique. Depuis 2001, l’autre branche du réveil arabe, nourrie de fondamentalisme religieux sunnite, avait surgi comme un second adversaire, plus acharné encore. Le djihadisme manipulé par les Américains, aidés de leurs alliés saoudiens et pakistanais, avait servi à faire plier l’armée soviétique en Afghanistan, et voilà que la créature s’était retournée contre son maître, un certain 11 Septembre 2001. G.W. Bush se trouvait devant trois ennemis et il s’attaquait au plus faible d’entre eux, sans doute poussé par des préoccupations pétrolières autant que politiques.

L’arrivée d’Obama, alors que l’armée américaine venait de reprendre le dessus en Irak après les bourdes commises dans la foulée de l’occupation du pays, correspondit à la fois à une plus grande clarté des discours et à une inaction qui leur enlevait toute cohérence. Les Américains se retiraient militairement de l’Irak. Ils combattaient les djihadistes là où ils le devaient, mais de loin, avec des missiles, des drones ou des commandos. L’exécution de Ben Laden aura été le point fort de cette stratégie. En revanche, la situation se dégradait en Irak où se développait une guerre civile entre les sunnites chassés du pouvoir et minoritaires, et les chiites installés à Bagdad qui prenaient maladroitement leur revanche. L’ordre et la paix reculaient aussi en Afghanistan où les talibans gagnaient du terrain. Pendant ce temps, au Caire et ailleurs, Obama et ses comparses occidentaux disaient tout le bien qu’ils pensaient de l’islam, tentaient d’introduire une subtile distinction entre l’islamisme fanatique d’Al Qaïda et l’islam modéré des Frères Musulmans, que des esprits aussi « éclairés » chez nous qu’Alain Juppé, ne manquaient pas de complimenter. Nul doute que cette « religion d’amour et de paix » allait, comme elle le faisait déjà en Turquie, être à la démocratie dans les pays musulmans, ce que la démocratie chrétienne a été en pays catholique. Tous les zozos et les bobos de la terre, grands admirateurs d’Obama et de Clinton s’esbaudissaient à l’éveil du Printemps Arabe. La démocratie victorieuse du communisme allait franchir la Méditerranée, permettre l’union des riverains, sur les décombres des dictatures nationalistes du sud. Cela méritait bien l’écrasement de Kadhafi après les chutes de Ben Ali et de Moubarak. Restait Assad le fils, dont on ne ferait qu’une bouchée. Quant à l’Iran, ni arabe, ni sunnite, on comptait sur sa sagesse, et l’effet des sanctions économiques pour qu’il renonçât à l’atome militaire.

Pendant ce temps, on ignorait cette pauvre Russie, bien diminuée par le démantèlement de l’URSS, démotivée par la fin du communisme et demeurée impuissante lors de l’écrasement de ses ancien alliés, les Serbes en Europe, les Irakiens ou les libyens dans le monde arabe. Ce fut une erreur grossière de la part d’Obama et de ses supplétifs. La Russie de Vladimir Poutine n’était plus marxiste, mais elle demeurait un pays fier et puissant qui n’accepterait pas d’être humilié davantage. (à suivre)

Padamalgam : il y a une vingtaine de musulmans "de la planète entière" contre le terrorisme

 

CHier avait lieu à Paris, une marche des musulmans contre le terrorisme. Cette marche organisée pour commémorer le deuxième anniversaire des attentats du 13 novembre avait aussi pour but de s'opposer au terrorisme islamique. Cette marche partie du mur de la Paix au Champ de Mars s'est terminée au Bataclan. Organisée par l'écrivain Marek Halter, cette marche a réuni des musulmans "de tous horizons" (selon RTL) pour commémorer le deuxième anniversaire de ces attentats. Ils étaient une vingtaine (25 selon FDesouche)... RTL écrit sans honte :

"Des Imams et des musulmans de la planète entière étaient présents afin de marcher pour la paix et s'opposer au terrorisme islamique."

Mohamed Amghar a confié au micro de RTL :

"J'étais aussi invité par le maire de Saint-Denis au Stade France, mais j'ai choisi de venir ici pour marcher".

On se dispute les musulmans modérés...

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Islamo-gauchisme : c'est la guerre entre Mediapart et Charlie Hebdo

Voici le dernier éditorial de Charlie :

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L’icône américaine Barbie officiellement voilée par Mattel… quel symbole !

Le groupe Mattel vient de sortir la première Barbie portant hijab. Pour éteindre dans l’œuf toute polémique, il est précisé que celle-ci est inspirée de la championne Ibtihaj Muhammad, la première athlète voilée à avoir représenté les États-Unis (aux Jeux olympiques de Rio en 2016.) Une championne sportive ne peut être qu’un symbole de libération de la femme. Une femme en hijab est donc potentiellement une femme libérée. Fermez le ban.

Anecdotique, dites-vous ? Pas sûr.

Voiler Barbie, c’est voiler THE icône américaine. Et pourquoi pas, non plus, la statue de la Liberté ? Même si l’entreprise est en perte de vitesse, 92 % des Américaines ont eu une Barbie entre l’âge de 3 et 12 ans (Times International). Barbie – diminutif de Barbara, fille du fondateur de Mattel – a pénétré dans tous les foyers. En Europe, aussi. Quand j’étais à l’école primaire, une fille sans Barbie était comme une maison sans télévision : une anomalie suspecte.

C’est bien parce que Barbie est un enjeu, parce qu’elle symbolise pour la fillette LA femme, parce qu’elle envahit son imaginaire, parce qu’en lui servant de jouet, elle prête son apparence à l’enfant pour que celle-ci se projette dans sa vie d’adulte, que la Barbie a été au cœur de tant de polémiques féministes. Une Barbie n’est pas « extérieure » comme un poupon, elle n’est pas le bébé de la fillette, elle est la fillette elle-même.

Barbie, depuis son origine, a toujours été une femme de son temps. Enfin, une caricature de femme de son temps. Car un jouet d’imitation doit forcer le trait pour être reconnu. La poupée née dans les Trente Glorieuses, avec son nez court, sa bouche en cœur, ses cheveux blonds crêpés, son décolleté pigeonnant, sa taille exagérément fine, ses jambes vertigineusement fuselées ressemble à Tippi Hedren dans Pas de printemps pour Marnie. Si cette Barbie eut, une fois ou l’autre, la tête couverte, c’était à la façon Grace Kelly, d’un carré Hermès, pour ne pas se décoiffer dans le cabriolet.

Puis on eut droit à Barbie Carrie Bradshaw dans Sex and the City. Toujours la même plastique incendiaire, mais en version moins guindée, et c’est un euphémisme : les escarpins sont devenus cuissardes, les jupes ont rétréci jusqu’à ne plus être que timbres-poste, infiniment compliquées à enfiler sur le plastique mou pour des doigts de fillette. Dans la boîte, on pouvait trouver (entre autres accessoires) le caniche, le roller et parfois un Ken falot.

 Est venue ensuite, collant aux évolutions de la société, la diversité, tant dans la couleur de peau, la texture des cheveux, la morphologie que dans les styles de métier. Il ne s’agissait pas de cantonner Barbie à celui d’infirmière, d’institutrice, de princesse ou d’hôtesse de l’air. Même si – les petites filles étant incorrigibles – les Barbie cosmonautes se retrouvent souvent avec une étiquette rouge dans les bacs de soldes après Noël.

Barbie change, la réalité demeure : les fillettes veulent s’identifier. Je coupais, quant à moi, au ciseau à ongles les tignasses trop blondes et bouclées des Barbie pour leur donner un peu de chic français, et écartais les Ken à costume brillant façon chanteur d’ABBA – qui me semblaient faire des maris bien peu fiables – pour chercher dans les caisses de jouets de garçon des G.I. Joe plus virils. Le problème résidait évidemment, parfois, dans les palmes inamovibles, qui nuisaient passablement à la solennité du mariage. Mais, comme dirait Osgood, nobody’s perfect.

Il est évident que les petites filles du Moyen-Orient, évoluant dans un univers de femmes voilées, n’avaient pas besoin d’une « Barbie à Hijab » pour en faire une à leur main, comme moi, enfant, à la mienne. Que cherche donc Mattel par ce tonitruant nouveau modèle ? Flatter un marché à conquérir ? Suivre l’évolution de la société ? La devancer ? L’influencer ?

Au delà des intentions, il y a les faits, qu’on lira peut-être un jour à l’aune de l’Histoire : en 2017 est apparue la première Barbie voilée.

Gabrielle Cluzel

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Un simple bracelet électronique pour des revenants de Syrie dénonce Marsaud

Marsaud, fondateur du parquet anti-terroriste et ex député. 13 novembre sur RMC.

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La Mosquée de Clichy porte plainte contre le maire Rémy Muzeau

La Mosquée de Clichy porte plainte contre le maire Rémy Muzeau

Cela fait plusieurs mois que les musulmans de Clichy prient dans la rue du fait de leur expulsion violente de leur Mosquée par le maire islamophobe Rémi Muzeau.

Vendredi dernier celui-ci n’a pas hésité à charger les prieurs pendant la prière avec des élus islamophobes dont des élus Front National. Depuis il multiplie sur les plateaux télévision les mensonges et les calomnies pour tenter de discréditer les musulmans de Clichy réclamant leur lieu de culte.

Il est à noter que c’est le Maire qui avait promis à la communauté musulmane locale devant témoin qu’une fois élu, il faciliterait l’accès à l’achat de la Mosquée de centre ville.

Mais Remi Muzeau trahit sa parole et n’accepte vraisemblablement pas que des musulmans, à l’instar des autres communautés, puissent bénéficier d’un lieu de culte décent au centre ville.

Pire les fidèles affirment avoir subi une véritable agression durant leur prière pacifique du vendredi. Une plainte a donc été déposé contre le maire et ses supports islamophobes violents.

Le cas Clichy est significatif du naufrage d’une caste qui voudrait éternellement prolonger une ségrégation confessionnelle qui n’a que trop duré en France.

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Une fête nationale marquée par des slogans islamophobes en Pologne

Plus de 50 000 personnes ont manifesté samedi dernier à Varsovie lors d'un événement organisé par l'extrême droite nationaliste.

Tanguy GARREL- JAFFRELOT | OLJ
 

Une marée de drapeaux rouge et blanc ont envahi la capitale polonaise samedi dernier. À l'occasion de la fête de l'Indépendance, 60 000 personnes ont marché dans les rues de Varsovie. De nombreux slogans racistes, xénophobes et islamophobes ont pu être entendus au cours du défilé.

« La Pologne pure, la Pologne blanche », scandaient en chœur certain manifestants tandis que d'autres s'exclamaient à l'unisson : « Foutez le camp avec vos réfugiés ! » Mais ce sont sans doute les propos tenus par les organisateurs dans le cortège qui ont le plus choqué : « La culture chrétienne est supérieure à la culture islamique. »

Il a fallu deux jours aux autorités pour condamner officiellement ces débordements. Samedi, le ministre de l'Intérieur, Mariusz Błaszczak, estimait pour sa part que « la possibilité de manifester avec de tels slogans puis d'en discuter était une manifestation de liberté ».

Face à l'indignation internationale, le président de la République Andrzej Duda a finalement pris la parole avant hier : « Dans notre pays, il n'y a ni place ni accord pour la xénophobie, pour un nationalisme maladif et pour l'antisémitisme. »

La marche était organisée par des associations d'extrême droite qui se vantent chaque année de réunir « la plus grande manifestation patriotique et nationale d'Europe ». L'une d'entre elles, le Camp national radical (ONR), se réclame du fascisme et de l'antisémitisme des années 30. Leur ligne politique ? L'arrivée de réfugiés syriens en Europe ferait partie d'une conspiration menée par des financiers juifs, qui travailleraient avec les communistes de l'Union européenne pour amener des musulmans en Europe avec la charia et l'homosexualité.

 Sentiment xénophobe


Les manifestants présents sur place n'étaient pas tous néonazis. De nombreux Polonais se sont joints au cortège sans motivations politiques ni religieuses. Ils ont battu le pavé par simple fierté nationale. Les dérives observées révèlent cependant une certaine radicalisation de l'opinion publique polonaise. Selon un sondage publié en juin dernier, 57 % des Polonais préféreraient quitter l'UE plutôt que d'accueillir des réfugiés de religion musulmane.

La haine des réfugiés est d'ailleurs si importante que l'Église a dû mettre le holà. Le primat de Pologne, Wojciech Polak, déclarait mi-octobre que tout prêtre participant à des manifestations antimigrants serait désormais immédiatement suspendu.

Présent au Parlement depuis 2015, le parti ultranationaliste du Droit et de la Justice (PiS) a régulièrement recours à cette rhétorique antimigrants en refusant tout plan de répartition des demandeurs d'asile à l'échelle européenne.

Dans son rapport d'octobre, l'ONG Human Rights Watch tire pour sa part la sonnette d'alarme et parle de dérive autoritaire du gouvernement. « Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement polonais a systématiquement cherché à éroder l'État de droit et les protections des droits humains », affirme Lydia Gall, chercheuse sur les Balkans et l'Europe de l'Est à Human Rights Watch.
Cela n'empêche pas le parti au pouvoir de triompher dans les sondages. 52 % des Polonais se disaient satisfaits de la politique de la Première ministre Beata Szydlo en septembre.

Les mises en garde de l'Union européenne restent lettre morte, et ce malgré la mise en place du « mécanisme de protection de l'État de droit » à l'encontre de la Pologne. Depuis juillet dernier, la Commission européenne menace de suspendre le droit de vote de la Pologne.

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mercredi, 15 novembre 2017

Le terroriste de Blagnac est membre d’une famille islamiste

Lu sur Actu 17:

Le frère d’Abdellah B., le suspect qui a volontairement renversé des étudiants à Blagnac ce vendredi a été déféré. L’homme est adepte d’un « islam rigoriste ».

L’affaire s’est déroulée dans la nuit de vendredi à samedi. L’homme a menacé avec une arme son colocataire explique La Dépêche.

Âgé de 32 ans, le suspect lui reprochait d’avoir contacté la police pour le dénoncer, suite aux agissements de son frère ce vendredi à Blagnac, interpellé pour tentative d’assassinats après avoir délibérément foncé sur des étudiants.

Interpellé, l’homme a été placé en garde à vue et a été déféré. Le suspect devra répondre ce mardi en comparution immédiate, des faits de « violences volontaires avec arme » indique La Dépêche.

L’individu de 32 ans est radicalisé, mais également « adepte d’un islam rigoriste » selon le média local.

Abdellah B., le conducteur de la voiture bélier a quant à lui été placé en détention. L’homme souffrirait de « schizophrénie » mais nul doute que les enquêteurs vont se pencher sur son entourage, et notamment son frère.

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Un immigré africain a touché 150.000 euros d’aides françaises en se faisant passer pour un mineur !

 

 Pas la peine de prétendre qu’il s’agirait d’une fake news diffusée par des sites d’extrême droite. L’information se trouve dans le journal Le Dauphiné qui décrit l’arnaque d’un migrant africain qui a vécu pendant quatre ans et demi sur le territoire français en tant que “mineur isolé”, pris en charge à ce titre par différentes instances, dont le conseil départemental.

Il avait à l’époque fourni un extrait d’acte de naissance attestant de son âge. Sa majorité approchant, il se rend en préfecture pour demander une carte de séjour. Selon le protocole, ses empreintes sont entrées dans le fichier. Le hic, c’est que sa fiche est ressortie avec un tout autre âge. L’homme aurait en fait 26 ans. Sur décision de la procureure de la République, il est envoyé à Lyon pour subir une série d’examens osseux, de la mâchoire et de la clavicule, mais également dentaires. Les résultats ont conforté son âge adulte. Il est donc poursuivi par la justice pour faux document et escroquerie. D’après les premières estimations, il aurait touché autour de 150 000 euros d’aides depuis quatre ans et demi. (…)

 

A votre bon coeur ! ...

 

Source : www.ledauphine.com

Un mouvement anti-islam souille le site de construction d’une mosquée avec du sang de porc aux Pays-Bas

Le mouvement anti-islam Pegida a provoqué l’indignation aux Pays-Bas en souillant dans la nuit de samedi à dimanche avec du sang de porc le lieu où doit être construit une mosquée .

Des membres du mouvement controversé se sont rendus sur le terrain de la future mosquée à Enschede et ont organisé un rituel lors duquel un homme habillé en prêtre a barbouillé à l’aide d’une brosse de toilette une croix en bois installée par ses acolytes, avec du sang de cochon. Les membres avaient également monté une tente qui leur servait « d’église ».

Les auteurs ont ensuite partagé une vidéo de leur « rituel » islamophobe sur Twitter et Facebook. Tôt le matin, la police s’est rendue sur place pour enlever la croix d’après des témoins.

Selon le maire de la ville, Onno van Veldhuizen, il s’agit d’« une action dégoûtante et digne du Ku-Klux clan ». Quatorze personnes auraient participé à ce rituel écœurant.

La nouvelle mosquée d’Enschede devrait être la plus grande des Pays-Bas. Le voisinage s’est opposé pendant longtemps à la construction de la mosquée par crainte des nuisances sonores, notamment lors de l’appel à la prière. Malgré les plaintes des riverains, le conseil municipal a récemment donné son feu vert à la construction de la mosquée qui sera inaugurée, selon les prévisions, en 2020.

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Domenico G., le djihadiste "branché combat" qui a voulu aider Abaaoud

Juste après les attentats de Paris, auxquels il a participé, Abdelhamid Abaaoud a pris le métro parisien pour revenir sur les lieux de l'attaque.

 

Après deux ans d'enquête, la justice a mis au jour de troublants liens entre ce Français d'origine italienne et le coordinateur du 13-Novembre. L'Express retrace le parcours de ce djihadiste inspiré "par la mafia napolitaine".

Il était au courant de la préparation des attentats du 13 novembre 2015. Depuis la Syrie, ce djihadiste français a même essayé, les deux jours suivants, d'aider Abdelhamid Abaaoud, le coordinateur des tueries, alors que ce dernier se terrait dans un buisson à Aubervilliers (Seine Saint-Denis). Pour cela, Domenico G. -alias "Abderrahmane al-Italy"- a sollicité, voire manipulé, sa soeur aînée pour qu'elle aille à la rencontre du terroriste. Et lui a fait ainsi courir le risque de devenir complice et de finir en prison.  

Comme l'a révélé Le Parisien, de longues investigations ont été menées ces deux dernières années sur Domenico G., 32 ans, Français d'origine italienne, converti à l'islam en 2012. Elles avaient pour objectif d'éclairer le parcours erratique et l'emploi du temps d'Abaaoud les cinq derniers jours précédant sa mort, lors de l'assaut du Raid à Saint-Denis. 

Un homme prêt à tout, "quitte à sacrifier ses enfants"

L'enquête permet de démontrer que le terroriste a tenté d'activer ses réseaux tous azimuts pour trouver une planque et préparer une nouvelle attaque. Selon l'analyse de l'une de ses lignes téléphoniques belges, Abaaoud a été en contact à de nombreuses reprises avec Anne-Marie G.*, 40 ans, une soeur de Domenico. Cette employée de bar a affirmé aux enquêteurs qu'elle ignorait totalement l'identité de son interlocuteur.  

En fait, c'est son frère Domenico qui l'a incité à prendre rendez-vous avec l'utilisateur du numéro, qu'il a présenté comme "un ami tranquille", sous prétexte de récupérer une somme d'argent. Les policiers pensent qu'il s'agissait d'un subterfuge pour aider Abaaoud -alors en cavale- à se cacher. Malgré les injonctions de son frère et une relance d'Abaaoud par SMS, la rencontre n'aura jamais lieu. Le cadre de Daech trouve finalement du soutien auprès de sa cousine, qui sera tuée en même temps que lui par les policiers. 

Mais Anne-Marie G. est restée traumatisée par l'épisode, stupéfaite du mauvais coup que lui a joué son cadet. Entendue en garde à vue fin novembre 2015, elle a finalement été remise en liberté sans charges retenues contre elle. Elle en a gardé une amertume contre ce frère, "prêt à tout" pour Daech, "quitte à sacrifier ses enfants", selon le témoignage de l'un de ses copains de quartier. 

Le 13 novembre, il appelle ses proches

Pendant un temps, les policiers se sont demandés si Domenico n'avait pas contribué au financement de la cause djihadiste, notamment par le biais de ses allocations familiales. Parti en Syrie dès février 2015, avec sa femme enceinte de cinq mois, "Abderrahmane al-Italy" a continué à percevoir mensuellement des prestations sociales de la CAF de Seine Saint-Denis. 

Le 5 novembre, selon un procès-verbal que L'Express a consulté, son compte bancaire est crédité de 612,44 euros. Plus surprenant, les enquêteurs découvrent, grâce à la vidéosurveilllance, qu'une jeune femme a retiré 450 euros sur le compte de Domenico, le 13 novembre, en fin d'après-midi. Si l'on ignore la destination finale de cette somme, l'enquête révèle que Domenico avait appelé sa soeur, la semaine précédente, pour lui demander de lui transférer en Syrie le montant de ses allocations familiales. Le 13 novembre, toujours, le djihadiste téléphone à plusieurs membres de sa famille. Dans quel but? Mystère.  

Un membre des "garagistes djihadistes" du Val-d'Oise

Sans être considéré comme un membre influent de Daech, Domenico G. est un proche de plusieurs djihadistes français cités dans des dossiers d'attentats. Avant de rejoindre le groupe terroriste, en passant par l'Italie et en prétextant d'ouvrir un magasin de chaussures à Milan, il semble se radicaliser entre 2013 et 2014 au contact du "groupe des garagistes" de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d'Oise). Son casier judiciaire comporte quelques mentions pour des délits de droit commun. 

L'homme est embauché en tant que mécanicien au sein de la société Auto services plus, un repère d'islamistes radicaux. Parmi eux, se trouvent Adrien Guihal, la "voix" ayant revendiqué depuis la Syrie l'attentat de Magnanville (juin 2016), et Macrème Abrougui, dont le nom apparaît dans la tentative avortée d'attaque d'une église à Villejuif (avril 2015). "A partir de ce moment, il regardait assidûment des vidéos de l'Etat islamique, affectionnant Daech, dont il évoquait la nécessité de rejoindre la cause pour combattre à leurs côtés", écrivent les enquêteurs dans un procès-verbal. 

"Pour lui, voler ce n'était pas grave si la victime est non-musulmane"

Très vite, le jeune apprenti prend ses distances avec les fidèles de la mosquée de Villiers-sur-Marne, où il avait ses habitudes. Il trouve ses anciens amis "pas assez pieux" ou leur reproche de fréquenter un institut religieux dont les cours dispensés sont mixtes. "Pour lui, voler ce n'était pas grave si la victime était un non-musulman [...] Domenico reprochait aux 'frères' de côtoyer des 'kouffars'", raconte aux policiers l'un des proches, mis en garde contre son côté "trop extrémiste."  

"Abderrahmane al-Italy" n'est pas très féru de théologie. Selon un autre de ses intimes, "il ne lisait jamais de livres" et passait son temps à surfer sur sa tablette. " Il était vraiment branché combat. La partie théorique ne l'intéressait que peu. Lui, c'était le djihad, les armes, la mafia napolitaine... Tout cela l'inspirait." En parallèle, il participe aux activités de Sanâbil, une association d'aide aux prisonniers musulmans dissoute récemment pour ses liens avec la mouvance djihadiste. 

Aux dernières nouvelles, fautes de renseignement sur son sort lors de la débâcle militaire de Daech en Syrie, Domenico G. est toujours considéré comme vivant. Selon une source judiciaire, il reste visé par un mandat de recherche international. Non pas dans le cadre de l'enquête sur le 13 novembre, mais pour "participation à une association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme". 

* Prénom modifié 

Boris Thiolay et Jérémie Pham-Lê

Source

Ils se sont dit oui !

 

Voilà des clichés qui méritent un concours de légende :

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2 ans après le massacre au Bataclan : "L'islamisme n'est pas une chose grave"

 

MMediapart choisit mal son moment... Mis en cause dans l'affaire Tariq Ramadan, à propos des frasques duquel les journalistes sont accusés d'avoir sciemment fermés les yeux, Jade Lindgaard, co-présidente de la Société des journalistes de Mediapart, refuse de s'indigner contre l'islamisme en invoquant la neutralité journalistique :

"Notre rôle de journaliste n'est pas de dire : ça c'est grave, ça c'est moins grave, ça c'est tragique, ça c'est terrible".

Natacha Polony lui a rappelé les réactions d'Edwy Plenel à la tuerie perpétrée dans la rédaction de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015.

"Dès le lendemain de l'attentat, [ses textes] mettaient en avant l'islamophobie, comme si c'était le contexte d'islamophobie en France qui avait causé les attentats. [...] Edwy Plenel a toujours présenté les faits comme si c'est parce qu'il y avait une forme de 'racisme d'État' en France que des musulmans…"

En réponse, Jade Lindgaard revendique "la notion de racisme d'État", dénonçant un "système généralisé de racisme dans ce pays" : "ça, nous le pensons". Puis assure

"l'islamisme, en tant que tel, n'est pas en soi une chose grave, c'est un phénomène qu'il faut comprendre et expliquer".

Le 13 novembre 2015, des musulmans massacraient à Paris 130 personnes et en blessaient 413 blessés.

La video

Signez la lettre ouverte adressée à M. le Premier Ministre : Il faut un moratoire sur l’immigration!

 

La pétition en cliquant ici

Le prêche de l’imam Macron à Abou-Dhabi

L’avez-vous remarqué ? Lorsque notre bien trop jeune Président dont improvise son visage devient illuminé et sa parole, sinon mystique, un peu déjantée. Il me rappelle Albert Dupontel dans « Président » ou dans « Au revoir là-haut » jouant des personnages hallucinés ou hors-terre !

Hier, c’était dans une tranchée allemande, aux côtés du président Steinmeier où, sachant qu’il était filmé en direct, est parti dans une phraséologie politico-poétique pour expliquer les désastres de la guerre 14-18 et la formidable amitié franco-germanique. Avant-hier, à Abu-Dhabi, devant un parterre d’hommes vêtus de leur dishdash, il a emparé le glaive pour défendre l’islam.

Il inaugurait alors le Louvre des Émirats. Pas une mosquée. Pourquoi donc a-t-il achevé son beau discours intellectuel par cette envolée incompréhensible pour un président français censé défendre nos valeurs traditionnelles face aux valeurs arabo-musulmanes.

« Ce Louvre de la lumière et du désert, c’est ce message envoyé contre tous les obscurantismes, ce courage que vous avez voulu, celui de remettre votre religion dans ce qu’elle a toujours fait et que vous venez de rappeler…Ce message d’un syncrétisme profond, on ne peut pas aimer la religion qui est la vôtre si on ne se rappelle pas que dans cette région tous les grands monothéismes sont nés et que l’islam est né de ce palimpseste de cultures et de civilisations qui font que de manière indétricotable, irréductible, nos religions sont liées, nos civilisations sont liées. ET QUE CEUX QUI VEULENT FAIRE CROIRE, OÙ QUE CE SOIT DANS LE MONDE, QUE L’ISLAM SE CONSTRUIT EN DÉTRUISANT LES AUTRES MONOTHÉISMES SONT DES MENTEURS ET VOUS TRAHISSENT… »

Emmanuel Macron a voulu faire savant, selon son habitude, en appelant à la rescousse de son argument le terme de palimpseste. Mais peut-on lui rappeler que ce mot signifie exactement le contraire de ce qu’il souhaitait dire à cette assemblée de pieux hommes. Un palimpseste, selon le site des Études Littéraires est « un parchemin manuscrit dont on a effacé la première écriture afin d’écrire un nouveau texte ». Et c’est exactement ce que Mahomet a fait en rédigeant son Coran. Il a fait un copié-collé de la Torah et de la Bible pour en réécrire de nombreux passages et détruire ainsi les textes saints, originaux.

Alors qui ment effrontément, comme il en a l’habitude derrière un regard bleu regard tourné vers les cieux, le sourire figé ? Qui est celui qui nous trahit pour plaire à une assemblée prête à le suivre dans sa démonstration politico-religieuse ?

Comment Emmanuel Macron peut-il affirmer que l’islam n’a pas, historiquement, conquis une partie du monde au fil du sabre pour imposer sa version revue et corrigée de la Bible et de la Torah ?

Comment peut-il, enfin, faire une propagande éhontée de cette religion-code-de-vie, en reconnaissant que le Coran est la dernière révélation divine, annulant ainsi le passage du Christ sur terre au profit du dernier prophète Mahomet… Et puis dire que les trois religions monothéistes sont nées, ici, en Arabie, c ‘est une fois de plus, pour M. Macron, bien mal connaître la géographie !

Les imams et fidèles musulmans français doivent être fiers de leur Président… Pas nous !

Floris de Bonneville

Source

Ma cathédrale à La Mecque ?

Certains s’en souviennent-ils, il y a bien maintenant plus d’une vingtaine d’années, j’avais lancé la revendication inscrite sur les banderoles de Chrétienté-Solidarité : « Une cathédrale à La Mecque ».

 

Ceci en légitime exigence de réciprocité avec l’islam construisant à Rome une mosquée avec un minaret très élevé. J’avais à cette fin demandé à être reçu à l’ambassade d’Arabie saoudite à Paris. Les deux conseillers qui me reçurent, après m’avoir fait servir un bon café, manquèrent de s’étouffer dans le leur lorsque je leur fis part de l’objet de ma visite. 

 

Les années passèrent et, faute dans l’immédiat de pouvoir espérer une mosquée à La Mecque, je sollicitai alors épistolairement le richissime prince Al Walid Bin Talal Bin Abdulaziz Al Saoud. Ce dernier, pour la plus grande joie de Nicolas Sarkozy, venait de financer au Louvre des salles des arts de l’islam, notamment pour faire passer le message d’un islam de paix et de tolérance. 

 

Avec lui aussi, j’usais d’arguments de la réciprocité. Regrettant, faute de cathédrale, qu’aucune église ne soit construite en Arabie saoudite, je lui demandais d’intercéder pour le moins en faveur de la construction à Ryad du musée d’art chrétien que je sollicitais. Le prince ne me répondit pas.

 

Voilà qu’il a été arrêté et emprisonné dans le cadre de la grande épuration menée par le prince Bin Salman, qui devrait, sauf retournement fâcheux pour lui, bientôt monter sur le trône. Certes un « musée du Louvre » vient d’être inauguré à Abu Dhabi, un des « émirats arabes unis », par Emmanuel Macron. Mais ce n’est pas en Arabie saoudite et ce n’est pas un musée des arts chrétiens. 

 

Pour l’heure, espérons donc que le probable nouveau monarque, qui annonce une volonté de remise en cause du rigorisme wahabiste, aura à cœur de la concrétiser par la mise enfin en chantier d’une cathédrale à La Mecque ou tout au moins à Ryad ou à Djeddah. 

 

Et de même, en y faisant construire un musée des arts du christianisme. 

 

 

Sur la décision du Conseil d’État de retrait de la croix du monument à Jean-Paul II de Ploërmel.

 

Nous avons eu la joie mercredi dernier d’une belle émission sur Radio-Courtoisie avec Jean-Louis Harouel à propos de son livre « Droite-gauche, ce n’est pas fini ». Jean-Louis Harouel est un éminent juriste, agrégé des facultés de droit et professeur émérite de droit constitutionnel à l’université de Panthéon-Assas.

 

Après l’article de l’avocat Gilles-William Goldnadel qualifiant la décision du conseil d’État de « prétexte juridiquement insensé du respect de la laïcité », il développe pour sa part les raisons de son opposition à cette mesure dans un important article dans Valeurs Actuelles du 9 novembre.

 

Pour cet éminent constitutionnaliste, il s’agit d’une interprétation de la loi de 1905 par des « laïcistes » s’inscrivant « dans l’actuelle chasse hystérique aux crèches et aux croix, qui manifeste une peur panique des traces religieuses de notre histoire et de notre géographie ». 

 

En convergence avec ceci, Monseigneur Jeanbart, l’archevêque grec catholique d’Alep en Syrie, a notamment déclaré : « Votre laïcité est malade ! ».

 

C’est en effet peut-être désormais aux chrétiens de se mobiliser pour une saine laïcité contre les laïcards qui font de leur laïcisme une idéologie de guerre civile.

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Prières de rue à Clichy: des responsables musulmans vont porter plainte

L'Union des associations musulmanes de Clichy-la-Garenne (UAMC) va déposer plainte contre X pour violence aggravée après un rassemblement d'élus contre les prières de rue dans cette ville, et contre le maire pour diffamation et incitation à la haine raciale, a annoncé lundi leur avocat à l'AFP.

Une centaine d'élus en écharpe tricolore ont tenté vendredi dans cette ville des Hauts-de-Seine d'empêcher des fidèles musulmans de faire leur prière dans la rue. Ces fidèles protestent contre la fermeture en mars de leur lieu de culte en centre-ville.

"Il est patent que les élus qui manifestaient (...) ont commis des actes de violence à l'encontre des personnes de confession musulmane, avec pour unique raison leur appartenance vraie ou supposée à cette religion", est-il écrit dans la plainte contre X qui sera déposée auprès du parquet de Nanterre et dont l'AFP a eu une copie.

La plainte va aussi être déposée pour "participation à un groupement formé en vue de la préparation d'actes de violences" et "manifestation illicite".

L'UAMC a en outre décidé d'attaquer le maire de Clichy-la-Garenne, Rémi Muzeau (LR), pour diffamation et incitation à la haine raciale.

L'association reproche à l'édile d'avoir porté des accusations graves à l'encontre des musulmans de sa ville, sur LCI vendredi dernier.

"Il y a eu des prêches en arabe, des prêches avec des appels au meurtre", avait-il assuré. "Il y a eu aussi des documents qui ont été mis dans la rue, qu'on a récupérés, avec des phrases terribles où on disait +si vous rencontrez un juif, tuez-le+, j'ai les documents", avait-il poursuivi.

Par ces propos, M. Muzeau a éveillé "un sentiment de haine et de crainte envers la communauté musulmane", détaille la plainte.

La manifestation des élus contre les prières de rue est "une manipulation de la droite et de l'extrême-droite visant à stigmatiser les musulmans", a assuré l'avocat de l'UAMC, Arié Alimi, à l'AFP.

Depuis mars, l'UAMC a été expulsé de sa salle de prière par la mairie qui souhaite y construire une médiathèque.

Le lieu accueillait jusqu'ici entre 3.000 et 5.000 fidèles d'après les responsables. Ils s'étaient vu proposer un autre lieu de culte, les Trois-Pavillons, géré par une autre association cultuelle à 1,5 km du centre-ville. L'UAMC juge cette mosquée excentrée, trop exiguë et ne respectant pas les normes de sécurité, ce que le maire récuse.

Source

mardi, 14 novembre 2017

L’extrême-gauche est-elle mêlée à l’émeute de ce 11 novembre à Bruxelles ?

La question mérite d’être posée lorsqu’on lit certaines déclarations policières qui parlent d’actions bien organisées.

Mais aussi à la vue d’une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux et lors de laquelle s’exprime un certain Jalil Bourhidane…pour dénoncer les violences policières, bien sûr. Et de son propre aveu, lors de cette déclaration, il se trouve tout près des incidents qui ont éclaté dans le centre de Bruxelles, le week-end dernier.

Il faut quand même savoir que l’intéressé est aussi un activiste gauchiste puisqu’il milite au sein des JOC, groupe activiste et violent bien connu.

A gauche sur les photos ci-dessous, vous pouvez voir l’intéressé le 11 novembre dernier. A droite, le même lors d’une manifestation musclée en 2012 (notez son sympathique ami masqué à ses côtés).

Alors bien sûr, nous ne disons pas que lui-même ait fait quelque chose de délictueux. Nous constatons simplement sa présence sur les lieux, le fait qu’il est un activiste connu et que peut-être il n’était pas le seul présent ce soir là !

Le site NATION

60 000 manifestants d’extrême droite défilent en Pologne

 

Document lourd dont video, cliquez ici

Lausanne : la gauche manifeste pour ses clandestins

« Une centaine de personnes se sont réunies vendredi soir à Lausanne pour demander plus de lits pour les sans-abri. La moitié d’entre eux ont symboliquement passé la nuit dehors, sur les marches de l’église Saint-Laurent.

[…] Parmi eux se trouvaient des membres de plusieurs associations, notamment les collectifs R, Jean Dutoit ou encore La Maraude, mais aussi des SDF venus défendre l’idée que personne ne doit dormir dehors en plein hiver. 50 à 100 personnes dorment dans la rue… » [cliquez ici]

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[…] « Le tract distribué aux passants dénonce la police qui «brutalise» les sans-abri et rappelle: «Chaque nuit, le lieu d’hébergement d’urgence Sleep-in à Renens, plein à craquer, est obligé de refuser 40 à 100 personnes. La Marmotte aussi doit refuser du monde, au point qu’un grand nombre d’hommes, de femmes et des mineurs se retrouvent dehors.»

Ce premier “Sleep’Out Lausanne” a été mis sur pied par diverses organisations actives pour les personnes sans-abri ou dans les milieux de l’asile. On peut citer, notamment, La Maraude Lausanne, le Collectif R, le Collectif Jean Dutoit, mais aussi solidaritéS, SOS Asile Vaud, le Collectif vaudois de soutien aux sans papiers ou encore L’armoire à couverture. » [cliquez ici]

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Cenator : Cette manifestation est organisée par l’extrême gauche avec le soutien de l’armada des associations venant en aide aux migrants (un véritable business dont beaucoup tirent considération et espèces sonnantes et trébuchantes).

Pourtant, aucune ville au monde – quiconque en douterait est invité à essayer de prouver le contraire – ne fait plus que Lausanne pour « ses migrants».

Lausanne est la seule ville au monde où la nourriture, chaude et froide, est servie 365 jours par an aux trafiquants de drogue, et cela sur le lieu même de la vente criminelle. Cette perversité se passe à la place Chauderon, vers 23 heures, elle est organisée par La Maraude, afin que les dealers n’aient pas à marcher 10 minutes pour rejoindre les locaux de la soupe populaire. (Les pauvres : ils devraient, sinon, interrompre leur « travail » durant 20 minutes, en comptant l’aller et le retour.)

Et les besoins en aide pour les assistés augmentent exponentiellement, les coûts avec.

La Maraude, les soupes populaires, les lieux d’hébergement subventionnés, les services médicaux dédiés aux soins gratuits pour les migrants, les infirmières, les coiffeurs, les dentistes (pensez-y lorsque vous payez la facture de votre dentiste), les pédicures, les lieux d’accueil de jour avec divertissement (sic), les repas, l’armada des assistantes sociales… rien ne suffit!

Et il y a encore des manifs organisées pour faire du foin, car l’effet « pompe aspirante » de cet assistanat sans limite assure que les besoins croîtront à jamais… ou plutôt jusqu’à ce que Lausanne et ses contribuables se soient définitivement noyés dans la délinquance, la saleté, les dettes et le chaos !

Voici une liste non exhaustive des instances d’aide aux « migrants », dans cette usine à gaz d’assistance, où la domination de la gauche est totale.

Tout espoir de changement avant le naufrage final est vain, à cause du remplacement de population très avancé à Lausanne et environs et parce que tout ce nouveau beau monde vote massivement à gauche !

Aide sociale d’urgence

«L’objectif du dispositif? Aider chaque année plus de 2’000 personnes sans revenu et souvent sans logement à survivre à Lausanne. Leur procurer un lit, un repas et des soins médicaux.»

Le dispositif d’aide sociale d’urgence comprend:

  • Les hébergements nocturnes d’urgence (La MarmotteSleep-In et, en hiver, l’Abri PC), soit 55 lits en été et 120 en hiver.
  • Des espaces d’accueil de jour pour les personnes marginalisées ou vivant dans la précarité comme le Passageet l’Espace. A l’Espace, diverses prestations sont proposées telles qu’orientation, consigne à bagages, permanence infirmière et la possibilité d’utiliser le lieu comme adresse postale.
  • La distribution de nourriture, par l’intermédiaire de la Fondation Mère Sofia, laquelle offre via la Soupe populaire un repas chaud à plus de 200 personnes chaque soir et via l’Echelledes colis alimentaires en faveur des personnes les plus précaires à Lausanne, mais aussi par le financement de la Centrale alimentaire région lausannoise (CARL– Caritas Vaud), laquelle redistribue les invendus des supermarchés à 28 associations actives dans la distribution de repas et de nourriture et l’accueil de personnes défavorisées.
  • L’accès aux soins de premier recours (consultations infirmières, médicales, dentaires, hygiénistes et d’ostéopathie) ainsi qu’à des prestations d’hygiène (douches, lessives), prestations délivrées par Le Point d’Eauet garanties à toute personne présente à Lausanne sans couverture d’assurance maladie.
  • [cliquez ici]

***

Le Collectif R et le Collectif Jean Dutoit, pour défendre tous les clandestins, militent pour l’obtention d’un permis pour chacun de leurs protégés, les cachent en cas d’ordre d’expulsion, etc., etc.

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Espace d’accueil de jour

Le SSL(Service social de Lausanne) offre à toute personne marginalisée ou vivant dans la précarité un espace d’accueil et d’orientation (appelé l’Espace), ouvert toute l’année.

Ce lieu, sans tolérance de consommation d’alcool, est géré par une équipe d’intervenants sociaux du SSL. L’Espace est ouvert à toutes les personnes cherchant un lieu d’accueil pour la journée, les matins entre 9h00 et 12h30 du mardi au vendredi ainsi que les samedis de 9h00 à 11h30. Des boissons chaudes, froides et de petites collations sont servies aux usagers. Un certain nombre de prestations y sont proposées, tel qu’orientation et conseils, une consigne à bagages, la possibilité d’utiliser le lieu comme adresse postale, une permanence infirmière tous les mardis matins et la possibilité de réserver des nuitées en hébergements d’urgence par le biais du Bureau des Réservations, Place Chauderon 4 (ouvert de 8h30 à 11h00 du mardi au vendredi et de 13h00 à 15h00 les samedis en période d’hiver, et de 8h30 à 11h00 les mardis et jeudis ainsi que de 13h00 à 15h00 en période d’été).

Les mardis, mercredis et vendredis entre 14h00 et 17h00 ainsi que les samedis de 15h30 à 17h00, un accueil individualisé est organisé, permettant à toute personne ayant besoin d’une orientation ou d’un conseil d’ordre administratif ou social d’être aidée personnellement. Ces permanences sociales sont sans rendez-vous. Pendant cette période, l’Espace est fermé à l’accueil libre; seules les personnes ayant une demande particulière sont reçues.

Des animations encadrées par les intervenants sociaux sont également proposées  ponctuellement : discussions, jeux, projections de film,… Une inscription préalable est nécessaire pour pouvoir participer à ces animations.

Enfin, les intervenants sociaux de l’Espace assurent une permanence de rue quotidienne sur la place de la Riponne. Ils y détectent et orientent les personnes susceptibles de pouvoir bénéficier des prestations offertes par l’Espace d’accueil.

Résultats attendus

L’Espace répond au besoin de socialisation, d’accueil, d’orientation et d’écoute des personnes vivant dans la précarité en ville de Lausanne.

Les usagers ont la possibilité de bénéficier d’un accueil et de collations, de permanences infirmières hebdomadaires, d’une consigne à bagages ainsi que d’une adresse postale pendant l’accueil libre, les matins. Ils bénéficient d’un accompagnement individualisé administratif et social ainsi que d’animations les après-midis.

Le Bureau des réservations (Place Chauderon 4) permet aux personnes sans abri de réserver à l’avance une place en hébergement d’urgence, permettant à ces personnes de savoir à l’avance où elles dormiront les nuits à venir.

[cliquez ici]

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Liste des associations de migrants :

Action Chrétienne d’Assistance

Alliance pour la solidarité et le partage en Afrique

Amicale des Burundais du canton de Vaud

Amicale des réfugiés et rapatriés d’Afrique du Nord en Suisse – ARRAN-Helvetia

Amis de la culture latino-américaine et d’Inecla – AMICLA

Amis du Liban

ARCH-Interculturel

Asociación Cultural Galega A Roda

Asociación Venezolana-Suiza – AVES

Associação de pais e encarregados de educação de Lausanne e arredores – APEELA

Association Africaland

Association Afrique cinémas

Association Afro-Brésilienne

Association Artistique-Culturelle Teuta

Association Assak-Kisanga

Association Barrio Latino

Association Bolivienne à Lausanne

Association Bouafon

Association Calabash

Association Casona Latina

Association colombienne des chercheurs en Suisse – ACIS

Association Coopération Brésil

Association Cult’Africa

Association Culturelle Angolaise de Lausanne – A.S.C.A.L.

[…]

Bangladesh Awami League Lausanne, Switzerland

Bangladesh Brihottor Comilla Co-operative Society Lausanne

Centre Catalan de Lausanne

Centre Culturel Bosnie-Herzégovine

Centre Culturel des Alevis Anatoliens de Lausanne

Centre culturel du Kurdistan

Centre culturel et sportif chilien Los Andes

Centre interculturel Atelier Casa Mundo

Centre Islamique Al-Hikma « Fondation la Sagesse»

Centre islamique Assalam

Centre Islamique de Lausanne

Centre islamique de Prélaz Al-Boukhari

Centro Español de Bussigny

Cercle bolivien de Lausanne

Cercle socioculturel Afrique – Suisse

Cercle sportif rwandais et amis

CF Atlantica Lausanne

Chiesa evangelica valdese – Eglise réformée de langue italienne

[…]

FC Azzurri 90

FC Chile Sport

FC Dardania

FC Espagnol Lausanne

FC Guarandingas

FC Lusitano

FC Sport Lausanne e Benfica

Fédération des Africains du canton de Vaud

Fédération des associations d’étudiants

Forum congolais d’actions

Générations Partage

Ghana Youth Association

Grupo de Teatro Español de Lausanne

Indian Association Lausanne

Ingénieurs du Monde – EPFL

INMISUISSE (Inter-Migrant-Suisse)

Iran – Berceau des Mille et Une cultures

[…]

Société Romande des Alsaciens et Lorrains

Somalie Ogaden Juba Land – Association humanitaire et des droits de l’homme en Suisse

Staff Music Unic

The International Women’s Club of Lausanne

Union des Anciens Combattants Français

Union Portugaise de football

Voix d’Exils

Article paru sur le site LesObservateurs.ch.

Bruxelles : complète réussite de la conférence-débat de NATION !

 

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Source Nation cliquez ici

La conférence-débat organisée ce samedi 11 novembre à Bruxelles fut un TRES GRAND succès !

Au point que le local ou il se déroulait était bien trop petit pour accueillir les dizaines de personnes venues écouter les orateurs qui, pour rappel, étaient Alain Escada, Roland Hélie, Thomas Joly, Frédéric Renson et Hervé Van Laethem.

Outre l’affluence, on se souviendra aussi du déplacement des participants de la gare vers le local aux cris de « On est chez nous » ou encore « Nous voulons, nous sommes la résistance nationale ». Déplacement sous lourde surveillance policière mais qui s’est déroulé sans incident. Il s’agissait en effet ici de militants identitaires et solidaristes et pas de « racailles » du type de celles qui ont dévasté le centre de Bruxelles le soir même.

Au niveau de la conférence-débat en elle-même, elle fut aussi une réussite, tant au niveau technique (ainsi un écran permettait de la suivre en direct dans une autre salle) qu’au niveau des orateurs qui ont tous défendus avec brio et talent leur point de vue.

A l’issue de la conférence, l’ensemble du public a d’ailleurs manifesté sa satisfaction… la soirée de camaraderie durant fort tard.

Tous les jours un peu plus, le Mouvement NATION démontre qu’il est la seule force patriotique dynamique et structurée de Belgique francophone ! Un grand merci à tous : ceux qui ont mobilisé, ceux qui ont réalisé le travail audio-visuel, ceux qui ont tenus les stands, ceux qui ont fait le service d’ordre, ceux qui on collé la semaine précédente, ceux qui sont montés de garde, ceux qui ont fait le service… et tous les autres que nous aurions oublié ; cette réussite fut la vôtre !

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De nombreux jeunes camarades belges sont venus

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Beaucoup de militants rassemblés devant le local bruxellois de Nation

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Roland Hélie, Alain Escada et Thomas Joly

Samedi prochain, mobilisation de Génération identitaire dans toute l'Europe

 

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