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vendredi, 10 novembre 2017

Pourquoi les vols à main armée sont en recul depuis 2009

D’après le dernier rapport de l’Observatoire de la délinquance publié ce mercredi, les vols à main armée n’ont fait que décroître depuis 2009. Cette baisse a particulièrement bénéficié aux banques, commerces et bijouteries. En effet, selon ce même rapport, 45 attaques de bijouteries ont eu lieu en 2016 contre 359 en 2011, soit huit fois […]

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Ces Allemands qui s’installent en Hongrie car leur pays « accueille trop de migrants »

Ils jugent que l’Allemagne est « envahie par les réfugiés ». Ils ont donc fait le choix de s’installer dans une région touristique hongroise, attirés par la politique farouchement anti-migrants de Budapest.

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Immigration et terrorisme : ah, si Jean-Michel Aphatie était aphasique !

Il ne s’agit pas de souhaiter que le journaliste de France Info soit atteint de mutisme pour ne plus proférer de bêtises ; mais quel bonheur pour la profession de journaliste s’il avait cette qualité philosophique qui consiste à ne pas assener sans nuances des contre-vérités !

Interrogeant Nadine Morano sur France Info, le 8 novembre, Jean-Michel Aphatie a contesté qu’il puisse y avoir des terroristes parmi les étrangers entrés en France illégalement. Dans un premier temps, il soutient que « ce ne sont pas forcément des terroristes ». Comme Nadine Morano lui fait remarquer que, justement, « il y a peut-être aussi des terroristes », il réplique « non, non ! », jusqu’à ce que son interlocutrice lui cite les auteurs des attentats de Nice et de Marseille qui « sont restés sur notre territoire, alors qu’ils auraient dû être expulsés ».

Devant cette évidence, Jean-Michel Aphatie est resté coi, comme s’il lui coûtait trop de reconnaître son erreur.

Il n’est même pas certain qu’il soit de mauvaise foi. Malgré son expérience de vieux briscard de la politique, il semble qu’il ait l’esprit faux, déformé par la certitude d’avoir raison. Nadine Morano, avec son franc-parler, elle qui avait créé la polémique en qualifiant la France de « pays de race blanche », ne pouvait qu’avoir tort pour cet apôtre de la bien-pensance, où prospèrent les préjugés. Ce n’est pas avoir l’esprit ouvert que de s’enfermer dans des idées préconçues.

Affirmer qu’il y a des terroristes potentiels parmi les migrants clandestins ne signifie pas qu’on fasse l’amalgame entre les deux. S’il est évident que la vague migratoire est, en partie, la conséquence du terrorisme islamiste, il est irresponsable de soutenir que des terroristes ne peuvent pas en profiter pour s’infiltrer en Europe, puis en France. L’État islamique l’avait d’ailleurs annoncé. Rappelons, à titre d’exemple, que le passeport syrien retrouvé près d’un kamikaze du Stade de France était celui d’un migrant arrivé le 3 octobre 2015 par l’île grecque de Leros.

 

De même, s’il est absurde de confondre les musulmans et les terroristes, il est contraire à la vérité de nier que les terroristes qui ensanglantent la France ont un lien avec l’islam. On ne peut que constater que, si tous les musulmans ne sont pas terroristes, tous les terroristes prétendent agir au nom d’Allah. C’est pourquoi, comme les plus lucides des journalistes commencent à le dire, il est urgent que les autorités musulmanes séparent officiellement le bon grain de l’ivraie et opèrent, si c’est possible, un aggiornamento de l’islam.

Un journaliste digne de ce nom devrait s’interroger avant de prononcer des sentences définitives, savoir se remettre en question quand les faits contredisent ce qu’il pensait. Faute de quoi, il oublie sa vocation d’information pour devenir l’instrument d’une vulgaire propagande dont il est lui-même le jouet.

L’autre jour, le journaliste d’une chaîne d’information continue déclarait, le plus sérieusement du monde, que les informations données par les médias étaient plus objectives que celles qui sont divulguées sur les réseaux sociaux ou sur Internet. Il en était manifestement persuadé et paraissait sincère. Comme si l’erreur dépendait plus de l’outil de diffusion que de celui qui la répand.

Dans son Dictionnaire philosophique, Voltaire écrit que « les plus grands génies peuvent avoir l’esprit faux sur un principe qu’ils ont reçu sans examen » : que dire de quelqu’un qui n’est pas un génie ?

Philippe Kerlouan

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Algérie : Au moins un demi-million de visas délivrés par an annonce triomphalement l’ambassadeur de France !

L’Etat Français repeuple rapidement l’Hexagone avec des millions de migrants afro-musulmans mais s’y livre dans une relative discrétion, laissant la population faire face au fait accompli.

Ce n’est qu’au hasard de déclarations d’officiels que l’on peut mesurer l’étendue de cette politique qui devrait, d’ici quelques décennies, voir la population autochtone devenir minoritaire. L’ancien ambassadeur en Algérie Xavier Driencourt indiquait ainsi en octobre que près d’un demi-million de visas étaient délivrés aux seuls algériens.

Observalgerie (source) :

L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a assuré lors d’une déclaration à la presse hier jeudi que les problèmes liés à l’obtention du visa vers son pays seraient réglés avant la fin de l’année en cours. « Depuis que je suis arrivé en juillet, j’ai pris les choses en main et toutes les difficultés sont en voie de règlement » a indiqué Xavier Driencourt. Sur un autre volet, l’ambassadeur s’est félicité du nombre des visas délivrés aux algériens par les services consulaires de son pays. « Quand j’ai quitté Alger en 2012, on délivrait 200.000 visas. Aujourd’hui, on délivre 410 000. Nous avons doublé le nombre de visas en cinq ans » a-t-il annoncé. « Nous délivrons presque 40% de visas de circulation. C’est à dire des visas pour deux, trois ou quatre ans. Cela facilite les choses. Ces visas ne sont pas comptabilisés dans les 410 000 que j’ai cités » a-t-il ajouté.

Ces chiffres sont naturellement à additionner aux masses de migrants d’autres pays afro-musulmans, en plus des clandestins divers actuellement installés dans l’Hexagone !

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Caen : Chakib, porteur d’un bracelet électronique, faisait son jogging avec un maillot floqué au nom de Ben Laden

En juin dernier, Chakib Limane avait été interpellé par la police après l’alerte d’un agent de sécurité d’un magasin spécialisé dans la personnalisation de maillots de sports. L’agent s’était dit préoccupé par le comportement de cet homme, porteur d’un bracelet électronique, venu floquer un maillot du nom de Ben Laden. Et sa passion pour les […]

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Le Suisse arrêté serait un Yverdonnois radicalisé

Mardi, les polices françaises et suisses avaient interpellé dix personnes soupçonnées d'allégeance au groupe Etat islamique.

Une opération antiterroriste conjointe entre la France et la Suisse a permis l'arrestation de dix personnes, mardi. Les neuf hommes et une femme, âgés de 18 à 65 ans, participaient à un groupe de discussion sur la messagerie cryptée Telegram en «tenant des propos inquiétants», ont indiqué des sources proches de l'enquête. Parmi les suspects, un Suisse de 27 ans et sa compagne colombienne.

Selon les informations du journal «Le Temps», l'homme originaire d'un pays d'ex-Yougoslavie aurait grandi à Yverdon avant de déménager à Lausanne. Dès 2014, il se serait radicalisé au contact d'un petit groupe composé principalement de convertis originaires du sud de l’Europe.

Petite mosquée de salafistes

Il s'est souvent épanché sur les réseaux sociaux. Sur Facebook, il glorifie le groupe Etat islamique et appelle à l'instauration de la charia en Suisse. Le profil sur lequel il postait également des photos de son fils a été bloqué depuis.

Installé à Lausanne, il aurait fréquenté une petite mosquée de salafistes, dans l'est de la ville, relate encore «Le Temps». Il a été interpellé en France et sa femme à Lausanne, dans le cadre d'une procédure pénale ouverte en Suisse en juin 2016 pour soupçon de violation de la loi fédérale interdisant notamment al-Qaïda et le groupe Etat islamique et pour soupçon de soutien.

 
 

«Association de malfaiteurs»

Côté français, une information judiciaire avait été ouverte le 19 juillet pour des faits susceptibles d'être qualifiés d'«association de malfaiteurs terroriste criminelle et provocation directe à la commission d'un acte de terrorisme par un moyen de communication au public en ligne».

(akh)

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Vous allez pleurer en entendant le cri de détresse et de révolte du fromager de Bagnolet

Un an que ça dure. Agressions, menaces, dégradations, 5 pneus crevés, frigo cassé, menaces de mort… Plus un sou. Eric Legros est désespéré, il pète les plombs. Et tout cela est l’oeuvre d’un seul homme. Oui, vous avez bien lu, un seul voyou. Eric Legros alerte la police, le Maire, la Préfecture… en vain. Silence […]

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jeudi, 09 novembre 2017

Freiburg (All) : le migrant mineur afghan meurtrier et violeur avait en réalité 25 ans

(…) Hussein K. est arrivé en Allemagne en novembre 2015 sans papiers et a été considéré comme un réfugié mineur non accompagné. Il est accusé de meurtre et de viol particulièrement grave. Il a admis avoir violé une étudiante de 19 ans à Fribourg en octobre dernier et l’avoir étouffée au point de perdre conscience. […]

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Ces mosquées liées au djihâd réouvertes après l’état d’urgence (novembre 2017)

 

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Kirchlengern (All.) : une ado agressée sexuellement par 3 Irakiens déjà connus de la police pour des agressions

Dimanche derniers, une adolescente de 15 ans a été agressée sexuellement à la piscine couverte « Aqua Fun » de Kirchlengern. Trois hommes de nationalité irakienne ont approché la jeune fille et ont commencé à l’agresser sexuellement. La victime mineure a crié et a rendu le sauveteur conscient de la situation. Il a contacté la police et […]

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mercredi, 08 novembre 2017

Creil: la première agence de finance islamique a ouvert

Lu dans Le Courrier Picard:

La première agence franchisée de Noorassur, premier réseau de France en épargne et assurance islamique a été inaugurée à Creil le 27 octobre.

Le prénom Noor (ou Nour) signifie lumière en arabe. Cette notion, Sonia Mariji la fondatrice de NoorAssur, premier réseau français de finance islamique, y tenait. « C’était très important d’utiliser cette notion de lumière, elle a une connotation forte. C’est le contraire de l’obscurité, la lumière c’est joyeux », souligne-t-elle. Et la lumière, vendredi 27 octobre, était dirigée vers la ville de Creil dans l’Oise, pour l’inauguration de la première agence franchisée du groupe en Picardie. Lire la suite

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Tariq Ramadan : et maintenant des mineures

 

Images-8Une semaine à peine avant qu'une plainte pour viol ne soit déposée contre Tariq Ramadan, Jean-Michel Olivier, enseignant et écrivain suisse, prix Interallié en 2010 pour L'Amour nègre, publiait sur sa page Facebook un texte sur Tariq Ramadan, son ancien collègue de collège, à Genève.

« Nous avons travaillé dans le même collège et collaboré souvent ensemble. Jusqu'à ce qu'il se fasse virer pour les raisons que vous savez… »

Quatre de ses anciennes élèves témoignent. La plus jeune, alors âgée de 14 ans, affirme avoir refusé de coucher avec Tariq Ramadan. Une autre ancienne élève, aujourd'hui mère de famille, reconnaît avoir été « abusée et violentée ». Les autres témoignages recueillis dans La Tribune de Genève vont dans le même sens.

Tariq Ramadan n'aura fait que reproduire la vie de son idole, Mahomet.

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Comment pourrions-nous donc contrer l'islamisme sans nous voir accusés de porter atteinte au Coran ?

 

Écrivain algérien vivant toujours dans son pays, Boualem Sansal est interrogé dans le numéro de novembre du mensuel La Nef. Extrait :

Couverture297"[...] Je tiens à alerter sur ce qui, à mon avis, est le problème numéro 1 de notre époque : l’islamisation conquérante dont l’islamisme est une composante forte. J’ai assez étudié la montée des idéologies en Europe dans les années 1930 pour voir une grande similitude entre ces deux phénomènes. L’histoire se répète. Hier comme aujourd’hui nous voyons sans croire, nous entendons sans comprendre, et ainsi, peu à peu, la société bascule dans la nouvelle idéologie.

La différence est qu’avec l’islamisme, on a affaire à une idéologie religieuse, alors que les précédentes étaient athées. N’est-ce pas plus redoutable ?

L'islamisme est une doctrine totalitaire, il ne vise pas que la prise de pouvoir, il entend transformer le monde et le soumettre définitivement à la charia. Il est d'autant plus dangereux qu'il puise sa raison d’être et ses arguments dans un livre, le Coran, que les musulmans, unanimement, considèrent comme étant la parole de Dieu, indiscutable et éternelle. Comment pourrions-nous donc contrer l'islamisme sans nous voir accusés de porter atteinte au Coran et indigner toute l’Oumma ? C'est en ce sens que le problème est un défi redoutable pour nous. Les islamistes le savent et en font le cœur de leur stratégie de conquête. [...]

Dans votre essai Gouverner au nom d’Allah, paru en 2013, vous regrettiez « le silence assourdissant » des intellectuels musulmans. À présent, vous constatez qu’un nombre croissant d’entre eux sont décidés à œuvrer en vue d’une émancipation de la pensée islamique. Faut-il y voir un signe encourageant ?

Dans leurs pays, les intellectuels musulmans qui se livrent à ce combat courent de grands risques : ils sont dénoncés, condamnés ou assassinés ; en Occident, le politiquement correct prôné par une certaine élite leur impose le silence au motif, selon elle, que la dénonciation de l’islamisme pousse à l’amalgame et stigmatise les musulmans, fait le jeu de l’extrême droite et, à terme, provoquerait la guerre civile. Il y a d’autres raisons en arrière-plan : les marchés que représentent les pays musulmans, la culpabilité avec laquelle cette élite s’autoflagelle en espérant on ne sait quelle rédemption ou quelle retombée électorale.

Mais, à bien voir, les intellectuels musulmans sont très timorés dans leur critique, quand ils ne font pas carrément l’impasse sur, précisément, ce qui dans l’incréé et intouchable Coran pose problème, quand ils compensent leur peu de hardiesse par un discours qui enjolive exagérément l’islam et, par là, conforte les islamistes ainsi que les élites occidentales qui, par aveuglement ou pusillanimité, se sont persuadées que magnifier l’islam fait reculer l’islamisme. Or, le refus de la critique et du débat mène droit à la catastrophe. En outre, les échecs et les excès de la modernité et de la démocratie sont si nombreux (consumérisme, inégalités, injustices, pollution, etc.) que celles-ci ne peuvent plus offrir une alternative alléchante. Si bien que combattre les promesses délétères et éteindre l’incendie que la Nahda a allumé aux quatre coins du monde paraît aujourd’hui réellement au-dessus de nos forces.

La Tunisie, avec ses projets de loi favorables à la femme, est souvent présentée comme à l’avant-garde dans ce domaine. Qu’en pensez-vous ?

La situation de la femme régresse dramatiquement dans tous les pays musulmans, y compris et surtout en Tunisie où, dans la période bourguibienne, elle avait obtenu de nombreux droits. Mais cela ne doit pas faire illusion : là comme ailleurs, hommes et femmes vivent sous le joug d’un système archaïque violent. La régression est plus forte dans ce pays, comme si les conservateurs voulaient faire payer à la Tunisienne les droits acquis en violation de la tradition patriarcale et de la charia. Cela explique peut-être le succès du salafisme en Tunisie, comme pour empêcher à jamais le retour de ces bidaâ (innovations impies). Il faut savoir que le monde arabe, uni par l’islam sunnite, exerce sur les États membres une police vétilleuse. Quand l’un d’eux se permet une bidaâ, il est vite rappelé à l’ordre et, en cas d’entêtement, on lui appliquera des sanctions telles que l’assassinat (cf. le sort réservé au président égyptien Sadate), le coup d’État, la mobilisation des mosquées et des foules, qui l’amèneront tôt ou tard à résipiscence. [...]

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Brexit : les étrangers indésirables commencent à partir

 

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Allemagne. 9,23 milliards d’euros pour les demandeurs d’asile

07/11/2017 – 06h00 Berlin (Breizh-info.com) –  C’est un chiffre qui fait grincer des dents dans le pays d’Angela Merkel. Le montant des prestations sociales versées en Allemagne aux demandeurs d’asile au titre de l’année 2016 s’élève à 9,23 milliards d’euros.

Il faut souligner au passage que les coûts à partir de 2015, année des premières arrivées massives de migrants, n’ont pas été comptabilisés avant 2016. Un « oubli » qui ne manquerait pas d’entraîner une révision à la hausse de ces 9,23 milliards d’euros s’ils étaient pris en compte : selon les différentes sources, ce sont entre 1 et 1,5 millions de demandeurs d’asiles qui sont arrivés en Allemagne en 2015.

Réactions dans la classe politique

Le montant résulte d’une enquête menée par l’Office fédéral de la statistique sur la loi sur les prestations pour les demandeurs d’asile. Face à la polémique suscitée par ces chiffres que le quotidien allemand Bild a révélé le 31 octobre, les réactions politiques se sont succédées ces derniers jours.

Du côté des partis hostiles à l’immigration, on réclame des mesures plus sévères contre les demandeurs d’asile déboutés qui retardent ou empêchent délibérément leur expulsion. Une première étape vers la réduction des coûts.

Quant au ministre de l’Intérieur Markus Ulbig (CDU), il a déclaré au journal Bild : « Je considère le versement automatique d’argent de poche aux personnes obligées de quitter le pays comme une fausse incitation ! ».

Puis le ministre a poursuivi sur la nécessité pour les réfugiés de prouver leur impossibilité de quitter l’Allemagne : « Ceux qui ne quittent pas notre pays doivent activement démontrer pourquoi ils ne peuvent pas le faire. Les autorités décideront alors de la poursuite du versement des prestations sociales. »

Dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le ministre de l’intégration de la région, Joachim Stamp (Parti libéral-démocrate), a déclaré qu’un cadre réglementaire plus strict serait demandé. Mais il a également affirmé que son parti (FDP) veut créer « de meilleures perspectives pour que des personnes bien intégrées puissent rester dans le pays ».

Prestations en natures et restrictions ?

Tandis qu’Angela Merkel est toujours perçue dans son pays comme une promotrice de l’accueil des migrants, d’autres membres de son parti se montrent plus prudents. C’est notamment le cas de Lorenz Caffier, le ministre de l’Intérieur du Land de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale. Ce dernier a fait remarquer qu’il est déjà possible de réduire les prestations sociales en cas de mauvaise conduite de la part des demandeurs d’asile déboutés.

De son côté, Joachim Herrmann, ministre bavarois de l’Intérieur, s’est prononcé en faveur de règles plus strictes. Il a exigé que les demandeurs d’asile concernés ne reçoivent que des prestations en nature. Il est par ailleurs membre de la CSU (Union chrétienne-sociale en Bavière).

Après l’épisode des élections législatives au mois de septembre dernier qui a vu l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) entrer au Bundestag, la question migratoire est prise très au sérieux. Au point de voir les anciens promoteurs de l’accueil sans restriction des migrants effectuer des virages à droite. Pour ne pas dire des pirouettes.

Crédit photo : wikipedia (cc)
[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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La Licra écrit à Jean-Luc Mélenchon après les propos de Danièle Obono

Le nouveau président de la Licra, Mario Stasi, a écrit lundi à Jean-Luc Mélenchon pour lui demander de « clarifier publiquement sa position et celle de son parti » à l’égard du Parti des indigènes de la République (PIR). Il vise ainsi la députée de la France insoumise, Danièle Obono, qui a refusé de condamner les propos de la porte-parole du PIR, Houria Bouteldja, dimanche sur Radio J.

L’avocat Mario Stasi a pris lundi la tête de la Licra, succédant à Alain Jakubowicz, et immédiatement écrit à Jean-Luc Mélenchon pour lui demander de clarifier ses positions après les déclarations controversées de la députée Danièle Obono, a-t-on appris auprès de l’association.

Celle-ci avait refusé de condamner les propos de la porte-parole du parti des Indigènes de la République, Houria Bouteldja. Le politologue Thomas Guénolé, également membre de la France insoumise, avait quant à lui dénoncé ces propos en mars 2016 dans l’émission Ce soir ou jamais sur France 3.

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Rennes (35) : Mustapha Laabid, député LREM, crée la polémique avec des tags anti-police reflétant, selon lui, « l’expression urbaine »

Mustapha Laabid, député la République en marche de Rennes crée la polémique sur les réseaux sociaux. Depuis hier et sans explication, l’élu a mis en ligne sur sa page Facebook plusieurs photos de tags aperçus dans les rues de Rennes et mettant en cause aussi bien la maire de la ville que la police. Plusieurs […]

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mardi, 07 novembre 2017

L’Europe face à l’islam : qui se cache derrière l’islamisation de l’Europe ? (Alain Wagner – Meta TV)

Alain Wagner nous explique le défi qui se pose à l’Europe face à l’islamisation croissante.

Il décrypte la stratégie des organisations qui sont derrière ce projet.

Alain Wagner est analyste et spécialiste de la problématique islamiste. Il donne des chroniques à différents journaux de la réinfosphère. Dans cet entretien sur la chaine alternative Meta-TV,  il expose point par point toute la stratégie d’invasion de l’Europe par les masses islamiques, documents officiels à l’appui.

Signatures d’accords, regroupement familial, construction de mosquées, immigration massive, enseignement de l’arabe à l’école: tout était écrit. Voici la face cachée du processus de destruction de l’Europe…

Lien direct vers la video, cliquez ici

Folie allemande : une aire de jeu islamique pour enfants …

A Berlin, on construit une aire de jeux pour enfants sur le thème «Califat». Mieux vaut bien les préparer à leur futur… L’endoctrinement des enfants commence de bonne heure, c’est d’ailleurs ainsi qu’il est le plus efficace. Tous les régimes totalitaires le savent bien. Donc mosquée, croissant islamique et charia dès le plus jeune âge. […]

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Un officiel français : « La vague d’immigration maghrébine arrivant d’Italie s’accompagne de faits de délinquance »

Depuis deux mois, les autorités françaises étaient en proie à une nouvelle forme d’immigration à la frontière italienne.

Alors que, jusqu’ici, elle était majoritairement subsaharienne, les polices aux frontières des deux pays ont vu débarquer en masse une vague de migrants venus du Maghreb et plus particulièrement de Tunisie.

Selon les chiffres officiels, près d’un tiers des 200 migrants quotidiennement interpellés récemment étaient des Tunisiens. Une situation qui interroge. D’autant que, selon des sources officielles françaises et italiennes qui préfèrent reste anonymes, cette immigration s’accompagne de faits de délinquance.

« Nous avions été confrontés à la même chose en 2011, indique anonymement un cadre italien de la police aux frontières. Des faits d’agressions, de vols, ont été relevés, alors que nous ne connaissons pas ce genre de problème avec l’immigration subsaharienne. »

Nice-Matin

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Immigration – Au Danemark, on sépare les bons élèves blancs des enfants étrangers à l’école

Toutes les solutions sont bonnes pour laisser pousser la jeunesse européenne loin des tracas du multiracialisme

Tollé au Danemark, où un lycée public sépare les élèves. Une sorte de ségrégation raciale volontaire. Solution « la moins mauvaise », argue le proviseur. Pure discrimination, pestent les associations de défense des droits de l’homme.

À la rentrée, les élèves de seconde du lycée public Langkaer à Aarhus, deuxième ville du Danemark, ont découvert qu’ils étaient regroupés selon leur origine. Trois classes sont divisées à parts égales entre Danois et enfants d’origine étrangère. Quatre autres sont composées exclusivement d’élèves nés à l’étranger, ou au Danemark, mais de parents étrangers.

Pratique discriminatoire, ou mesure visant à favoriser l’intégration dans un système scolaire où la ségrégation sociale est de plus en plus marquée ?
Le débat n’en finit plus de faire des vagues dans le royaume. La ministre de l’Éducation vient d’apporter son soutien à la direction de l’établissement, constatant qu’elle n’avait pas dérogé à la loi.
Le proviseur, Yago Bundgaard, reconnaît que « ce n’est pas une solution idéale, mais c’est la moins mauvaise ».
En 2007, juste avant la suppression de la carte scolaire, les Danois représentaient encore 75 % des effectifs du lycée. Cette année, ils ne sont plus que 20 %.

Élèves danois en minorité

Langkaer, classé à la 11e place des lycées danois, est situé dans une banlieue mixte, mais attire des enfants de toute la ville. « Dans certains quartiers à forte majorité d’immigrés, les parents se sont passé le mot, observe le proviseur. Nous avons la réputation de bien nous occuper des élèves. » Les enfants d’origine étrangère, après avoir été longtemps en minorité en primaire et au collège, veulent se retrouver. « C’est humain », estime Yago Bundgaard.

Mais les élèves danois se retrouvent à leur tour en minorité. Un lycéen de première affirme même, dans le quotidien Politiken, avoir perdu son identité : « Je ne suis plus que « le Danois ». » Yago Bundgaard réagit : « La diversité est la meilleure ressource dont nous disposons dans l’enseignement, mais elle ne fonctionne pas quand la minorité est trop petite pour y contribuer. »

Les organisations de défense des droits l’homme dénoncent des mesures dignes de l’apartheid. « C’est de la pure discrimination de catégoriser les gens, selon qu’ils soient des Danois blancs ou bruns », s’insurge SOS-Racisme.

Le proviseur, choqué, se défend en expliquant que, s’il n’agit pas, son lycée ne sera plus fréquenté que par des enfants d’origine étrangère d’ici à deux ans. « Est-ce bien ce que la société souhaite ? », interroge-t-il. La ministre de l’Éducation promet une consultation pour éviter « la ghettoïsation des établissements scolaires ».

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Faute de quatre témoins, la charia couvre Tariq Ramadan rappelle son frère Hani

 

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Procès Mérah : ainsi parlait Latifa. Naïveté de la France ou complicité du système ?

Jean Ansar ♦

Le procès Mérah aura été une révélation. Pas celle du talent et de la maîtrise du droit de maître Dupont-Moretti, mais celle d’une mère d’un enfant assassiné par la haine islamiste.

Latifa Ibn Ziaten a pu dire la vérité devant des médias désarmés par sa sincérité et sa douleur. Elle a bien dit aux Français qu’ils ne se rendaient pas compte que leur naïveté mettait en péril ce pays qu’elle aime tant. En fait cette naïveté est celle de la sidération provoquée par un système politique incapable de dénoncer une forme d’islam de France. Mais pour qui veut entendre, il faut écouter Latifa. « On est trop naïf en France. Il faut qu’on se réveille », clame t-elle.

La mère de la première victime de Mohamed Merah, Latifa Ibn Ziaten, a estimé jeudi que la cour d’assises de Paris qui a condamné Abdelkader Merah à 20 ans de prison n’est pas allée « jusqu’au bout ».

« Je suis vraiment déçu, mon fils est mort pour rien. Je pense qu’ils [les magistrats de la cour] n’ont pas été jusqu’au bout », a réagi à l’énoncé du verdict cette Franco-Marocaine de 57 ans, qui depuis l’assassinat de son fils parcourt la France à la rencontre des jeunes dans les cités, les écoles ou les prisons pour les convaincre de ne pas tomber dans une « secte terroriste », a-t-elle lancé.

Il y aura un deuxième procès le parquet ayant fait appel

Maître Dupont-Moretti, lynché sur les réseaux sociaux, sifflé et hué à la sortie du tribunal aura du mal à renouveler son exploit. Cette fois, Mérah frère pourrait ne pas échapper à la culpabilité de complicité.

Il a du se dire que la stratégie de la dissimulation enseignée par le Coran était vraiment supérieure au système judiciaire républicain. Et il a bien raison. Ce système permet à une brute au discours religieux criminel de bénéficier de toutes les protections d’un pays qu’il hait comme toute sa famille. C’est le contraire de la famille de Latifa.

Il a bénéficié de toutes les protections d’un droit qui, bien manipulé, profite aux fanatiques. Son avocat a fait son métier, il a trouvé les failles, il les a exploités au profit d’un ennemi de notre pays.

Maître Dupont-Moretti a pris des risques, pour se médiatiser , pour remplir le rôle d’avocat tel qu’il le conçoit sans doute. Il se met en danger sur le plan personnel et professionnel. Sa comparaison avec le procès de Nuremberg… on en revient toujours aux nazis dans ce pays- risque de lui coûter cher. Une intervention ,ou plutôt une comparaison, a surtout retenu l’attention de la presse française. L’avocat a en effet critiqué la “surenchère” de ses confrères de la partie civile qui auraient notamment qualifié Abdelkader d’«animal», avant de conclure sans détour: «J’ai revu le procès de Nuremberg. Il a été plus digne».

Celle qui a été digne, c’est Latifa mère d’un jeune français musulman soldat de France qui a refusé de s’agenouiller devant la haine de notre pays au visage d’un certain islam.

C’est elle qu’il faut écouter et pas la plaidoirie des virtuoses du droit. C’est elle qui dit l’essentiel : « nos enfants sont en dangers ».

Latifa l’a compris, c’est elle qui devrait être écouté et au plus haut niveau.

Elle a fait la vraie bonne plaidoirie, celle contre la soumission à l’islam terroriste.

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Nolwenn tente d’apprendre la propreté à son migrant de compagnie, et c’est pas facile tous les jours [MDR]

 

 

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Toulouse. Un squat pour clandestins toléré par les pouvoirs publics

par L. Fandor.

Pendant que la mairie de Toulouse livre bataille contre les squats sauvages, un hôtel désaffecté au nord de la ville (75, Rue de la Glacière) a été réquisitionné le dimanche 15 octobre par le collectif AutonoMIE afin d’y loger… des mineurs isolés étrangers. Pour ne pas dire clandestins. 

C’est face à un véritable cercle vicieux que l’on se retrouve désormais à Toulouse. Dès qu’un squat est évacué ou qu’un campement illégal est démantelé, il est immédiatement remplacé par plusieurs autres. Ainsi, le moindre bâtiment vide ou vacant est pris d’assaut et occupé illégalement… Tel est le cas de cet ancien hôtel de deux étages maintenant habité par près de 70 personnes ! Sur la page Facebook du collectif, les organisateurs sont ravis : « La négociation avec la police a pu se faire sans stress. Tous les voyants sont au vert pour que le lieu se pérennise… mais on reste vigilants tant que la procédure n’est pas officiellement déclenchée !« . Sous couvert d’une « grande aventure collective« , comme ils nomment cette occupation illégale d’une propriété privée, le collectif AutonoMIE se réjouit donc de l’aide qu’il apporte à ces mineurs étrangers. Une trentaine de chambres sont maintenant nettoyées, réhabilitées et mises à disposition de ces jeunes personnes.

Faux mineurs isolés étrangers. Vrais clandestins

« Par cette action, le collectif souhaite, non seulement donner un toit à ces mineurs étrangers, mais surtout porter à l’attention médiatique la situation de ces jeunes. Alors que le département a pour obligation de prendre en charge et de scolariser les mineurs isolés quelle que soit leur nationalité, la Haute-Garonne a mis en place depuis 2016 un système de discrimination visant à mettre les migrants à l’écart de l’Aide Sociale à l’Enfance » précise le collectif AutonoMIE. Sur le papier, leurs revendications pourraient sembler louables si leurs données n’étaient pas -volontairement- tronquées. Effectivement, dès qu’ils arrivent dans notre département, les mineurs isolés étrangers sont orientés vers le Dispositif Départemental d’Accueil, d’Evaluation et d’Orientation des Mineurs Isolés (DDAEOMI). Cette structure se doit d’évaluer les personnes étrangères se présentant comme mineures et de procéder à un vrai cas par cas quant à leur prise en charge… Et le nombre de « faux mineurs » ne cesse de s’accroître.

En réalité, les 70 personnes qui squattent, en ce moment l’hôtel désaffecté de la Rue de la Glacière n’ont pas été reconnus comme mineurs par le département. De plus, il est catégoriquement faux de dire que les personnes qui se voient refuser le statut de « mineur » sont délaissées et se retrouvent seules puisque ces dernières sont prises en charge dans des structures habilitées à l’aide sociale et à l’enfance. Des centres d’accueils existent et ces personnes peuvent y loger dans l’attente d’une décision du juge des enfants. Quand on sait que 1 427 000 euros par an sont utilisés pour le bon fonctionnement du DDAEOMI, les raccourcis que font les membres d’AutonoMIE apparaissent un peu faciles et témoignent d’une mauvaise foi militante, servant leur idéologie « sans-frontiériste ».

Un deux poids, deux mesures souvent favorable aux clandestins

La tolérance des pouvoirs publics et des policiers envers ce collectif occupant illégalement un bâtiment privé est à mettre en contraste avec l’initiative menée par le Bastion Social cet été à Lyon. Occupant et réhabilitant un bâtiment public laissé à l’abandon depuis plusieurs décennies, c’est sous le slogan « les nôtres avant les autres », qu’ils ont tenté d’offrir un toit aux français mal-logés ou en situation de précarité. Les médias se sont offusqués, la justice a été bien plus expéditive que lorsque qu’une résidence privée est squatté et le Bastion Social a été délogé après seulement 3 semaines. Conséquence : Denise, retraitée handicapée, qui n’a pas menti sur son âge, s’est de nouveau retrouvée à la rue lorsque les policiers ont procédé au délogement. Elle a depuis été relogé grâce aux militants Lyonnais. Du côté de Toulouse, aucune procédure d’expulsion n’a encore été enclenchée contre les squatteurs de l’hôtel, propriété de Toulouse-Métropole depuis quelques mois… Deux poids, deux mesures.

Article paru sur le site Infos Toulouse.

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Hani défend Tariq : pas de viol s’il n’y a pas 4 témoins, et gare à qui touche un poil de Ramadan

Sans surprise. L’islam dans toute sa vérité, dans toute son horreur. Le coran fait loi, s’il n’y a pas 4 témoins, le viol n’est pas prouvé. Tariq peut continuer à folâtrer allègrement aux dépens de ses victimes,  Hani, le coran et mahomet l’exonèrent de tout. Pratique cette « religion » pour les obsédés, les violents et les […]

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ECOLES CORANIQUES Le spectre de la récupération

Le bénévolat est le moyen dominant dans les écoles coraniques et dans certains cas, ces bénévoles sont payés symboliquement par les parents d'élèves. Il y a aussi la question des écoles qui sont dans la plupart des cas construites par des particuliers sous forme de dons.

La question des écoles coraniques revient avec acuité dans le débat public national. Beaucoup d'observateurs s'interrogent sur le rôle de ces écoles et si elles ne constituent pas un espace de prédilection pour certains groupes, voire des courants extrémistes pour asseoir leur idéologie au sein de cet espace aussi important et sensible en même temps. La proximité des écoles coraniques avec les mosquées, fait que, l'enjeu de l'enseignement des enfants dans le cadre du préscolaire se transforme en un véritable moyen de manipulation, surtout dans des «écoles» qui échappent au contrôle du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs.
Depuis 1994, l'Etat à décidé de prendre en charge la question des écoles coraniques qui s'érigeaient un peu partout sans qu'elles soient contrôlées. Durant cette période, le pays connaissait une montée drastique de la pensée salafiste et des actions extrémistes qui faisaient de la mosquée et ce qui l'entourait, un terreau fertile pour la propagation des idées qui se voulaient comme seul et unique référentiel incarnant les préceptes de l'islam.
Selon l'inspecteur général au niveau de la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d'Alger, Ali Alia, les écoles coraniques avant 2014 «n'avaient pas une démarche d'enseignement unifiée, chaque école enseignait à sa manière, ce qui pouvait engendrer des dysfonctionnements quant à la mission de ces écoles et leur rôle tel que défini par les pouvoirs publics», affirme l'inspecteur générale responsable de l'enseignement religieux et coranique.
Cela renseigne sur l'anarchie qui caractérisait ces écoles qui étaient dépourvues d'une méthode unifiée et contrôlée par la tutelle. Celle-ci s'est mise à prendre en main ce volet sensible qui était entre les mains des apprentis sorciers qui faisaient des écoles coraniques un instrument d'endoctrinement des potaches pour faire d'eux des bombes à retardement.
Les écoles coraniques sont «réservées aux enfants de 4 à 6 ans, avec une méthode unifiée et soutenue par deux manuels, un pour apprendre les lettres en arabe et le deuxième pour l'apprentissage des préceptes de la religion musulmane de façon pédagogique en se référant à notre dogme malékite», assure Ali Alia.

L'exigence de la méthode unifiée
Les deux manuels ont été préparés et revus par les inspecteurs du ministère de l'Education nationale et des fonctionnaires expérimentés dans le domaine de la pédagogie dépendant du ministère des Affaires religieuses, selon Ali Alia.
L'inspecteur général et responsable de l'enseignement religieux et coranique souligne que les écoles coraniques en fonction dans la wilaya d'Alger «ont mis fin aux divergences et l'absence d'une approche unifiée en matière d'enseignement et de programme à suivre à raison de 95%», souligne-t-il.
Des visites d'inspection sont faites d'une manière inopinée dans ces écoles coraniques pour voir de visu si le programme adopté par la tutelle est respecté et appliqué.
Malgré ces visites d'inspection qui ciblent certaines écoles coraniques, il reste que le travail qui se fait est très insuffisant, pour ne pas dire infime par rapport au nombre impressionnant des écoles coraniques. L'inspecteur général de l'enseignement religieux et coranique, Ali Alia, reconnaît qu'il y a beaucoup de difficultés qui font que l'encadrement de ces écoles coraniques fait défaut à cause du problème lié au budget. Il s'agit d'un sérieux problème de postes budgétaires, la tutelle ne dispose pas de moyens financiers. Dans ce sens, Ali Alia indique que «au niveau de toute la wilaya d'Alger, le recrutement d'un enseignant ou enseignante de l'enseignement religieux ou coranique se fait avec des ressources très faibles. Le ministère des Affaires religieuses ne peut pas recruter sur plus de deux postes budgétaires. Surtout que maintenant la crise économique et l'austérité qui s'impose, le recrutement est devenu quasi rare», explique Ali Alia Généralement le recrutement se fait dans le cadre du pré-emploi en collaboration avec le ministère de la Solidarité nationale et aussi grâce au soutien de certains donateurs qui apportent leur contribution pour payer certains enseignants.
Le bénévolat est le moyen dominant dans les écoles coraniques et dans certains cas, ces bénévoles sont payés symboliquement par les parents d élèves. Il y a aussi la question des écoles qui sont dans la plupart des cas construites par des particuliers sous forme de dons, cette question soulève des interrogations quant à l'encadrement qui échappe dans beaucoup de cas à la tutelle dans la mesure où l'école ou la classe coranique est gérée par des particuliers qui adoptent une approche qui n'est pas automatiquement fidèle au contenu tel que défini par la tutelle. C'est là où l'enseignement prend une autre tournure et que le choix des encadreurs pour les enfants de bas âge se fait d'une manière anarchique si ce n'est une façon bien entretenue et réfléchie dans certains cas. D'ailleurs, le responsable de l'enseignement religieux et coranique de la direction des affaires religieuses de la wilaya d'Alger souligne que «dans certains cas on peut constater des déviances de nature à ne pas tenir compte de la méthode unifiée tracée par la tutelle. Mais on essaye toujours de combattre ces comportements dans les écoles coraniques qui ne respectent pas le contenu et le dogme malékite adopté par l'Etat algérien depuis des siècles», déclare-t-il.
L'inspecteur général, Ali Alia reconnaît qu'il y a des tentatives de la part de certains salafistes et takfirites d'investir les écoles coraniques, mais «nous luttons chaque jour contre ce redéploiement de cette pensée contraire aux valeurs de notre islam sans relâche, même si pour le moment ces tentatives font face à la vigilance des pouvoirs publics, mais il faut rester vigilant et ne pas fermer les yeux», affirme-t-il.
Le déplacement sur le terrain permet de voir comment les écoles coraniques sont gérées, et la méthodologie adoptée par la tutelle si elle est en vigueur en termes d'application et de suivi. Ce qui est sûr, les écoles coraniques qui bénéficient du suivi du ministère des Affaires religieuses sont gérées de façon à permettre d'avoir une appréciation dans certains cas très optimiste et encourageante. La manière avec laquelle ces écoles coraniques appliquent la méthode unifiée telle que tracée par la tutelle met ces écoles sur le même pied d'égalité, voire plus que les établissements scolaires et cela sans avoir plus de moyens pédagogiques et financiers comme c'est le cas pour les établissements scolaires publics. Par rapport à ce volet, on peut citer l'exemple d'une école coranique qui s'intitule «La maison du Coran, Cheikh Ahmed Sahnoune», située à Birmandreïs et qui jouit d'une aura et d'un prestige quant à la manière d'entreprendre l'approche et la méthode d'enseignement coranique et autres disciplines. Cette école est bâtie en une sorte d'immeuble respectant l'architecture arabo-musulmane avec une caractéristique maghrébine, dôtée d'espaces, de classes pluridisciplinaires, de salle de conférences et d'une cantine spacieuse équipée de tout le nécessaire, que ce soit les ustensiles ou les éléments connexes.
Mais le plus surprenant dans cette école, c'est l'organisation et la discipline qui règnent en maîtres absolus. La pédagogie se fait dans une entière synergie avec la méthode unifiée par la tutelle. L'école est constituée de 530 élèves de préscolaire partagés en 18 classes et encadrés par 18 maîtres et maîtresses. Cette section dédiée à l'enseignement des enfants du préscolaire ne dépassant pas six ans, se charge de dispenser la langue à travers l'apprentissage des éléments basiques tels que les lettres de l'alphabet en arabe et les chiffres avec des règles basiques de l'assimilation. Il y a aussi l'éducation religieuse destinée à faire inculquer aux enfants les préceptes de la religion musulmane en se basant sur la récitation et l'assimilation des versets coraniques à la traditionnelle.
«La maison du Coran» dépendant de la mosquée Oussama Ibnou-Zeid, dispose aussi de 64 classes réservées uniquement à l'enseignment du Coran, elles sont encadrées par 48 enseignants et enseignantes, elles encadrent plus de 2305 personnes dans cette discipline strictement religieuse. L'école dispose aussi de huit classes consacrées à la campagne d'alphabitisation encadrées par huit enseignants pour 148 élèves de tous les âges. L'école assure les cours de soutien en réservant neuf classes et 11 enseignants pour un besoin de 159 élèves. Elle dispense aussi l'informatique et les nouvelles technologies de l'information et de la communication (TIC).

Des écoles entre la norme et le laisser-aller
Dans l'ensemble, «La maison du Coran» encadre plus de 3142 élèves dans plusieurs disciplines. Dans ce sens, le directeur de l'école qui est imam de surcroît, Mourad Khichène, indique que ««la maison du Coran» qui est baptisée au nom du cheikh Ahmed Sahnoune, est une école coranique, construite par les dons des donateurs et les bienfaiteurs, mais elle est régie par les textes de la loi régissant la fonction et l'activité des écoles coraniques», précise-t-il.
Le ministère des Affaires religieuses consacre une petite aide à cette école considérée comme un fleuron en la matière. Le directeur de «la maison du Coran» souligne que «l'enseignement suivi ici est celui de la méthode unifiée qui émane de la tutelle via ses inspecteurs qui veillent au respect du contenu pédagogique et religieux», assène-t-il.
Pour le directeur de l'école coranique, l'enseignement se fait sur la base de ce qui a été décidé par la tutelle em matière de manuels réservés dans ce sens pour les élèves de bas âge. C'est une démarche nationale dans les écoles coraniques et nul ne peut la transgresser, selon Mourad Khichène, directeur de l'école coranique «maison du Coran».
Dans le même ordre d'idées, le directeur de l'école précise qu'«on veut développer cette école pour lui donner plus de profondeur, mais on doit attendre le nouveau projet de loi organisant et régissant la fonction des écoles coraniques», explique-t-il.
Le directeur fait allusion à l'enseignement des sciences de la jurisprudence islamique (chari'aâ). Dans ce sens, il considère que «l'ouverture de cette discipline importante nécessite la préparation du climat adéquat pour éviter que les gens qui n'ont rien à voir avec les spécialistes du domaine envahissent le créneau», martèle-t-il.
L'enseignement et la prise en charge de tout l'encadrement se fait via les aides émanant des donnateurs et aussi la petite contribution des parents d'élèves qui est estimée à raison de 5000 DA par an, c'est-à-dire, 500 DA par mois. Pour rappel, les enfants du préscolaire sont dotés de deux manuels qui sont donnés gratuitement par l'école.
Par contre, à la commune d'El Mohammadia, il y a une école coranique qui dépend de la mosquée el Nadjah au coeur du chef-lieu de la municipalité, enseignant le Coran et les bases de la langue arabe et le calcul. Cette école est réservée aux enfants du préscolaire dans une petite salle à peine aménagée qui compte en son sein plus de 53 élèves de bas âge.
La maîtresse souligne que «je n'ai pas été formée dans les écoles spécialisées pour la circonstance, ma formation est basique, j'ai eu juste une formation dans une école privée», affirme Naïma Ouali.
L'enseignement suivi est celui qui correspond aux manuels préscolaires émanant de la tutelle et de sa méthode unifiée. Mais ce qui est remarquable dans cette école coranique, est le fait que la salle est livrée à elle-même et les enfants sont rassemblés dans la salle à l'image d'une garderie. Naïma Ouali souligne que «ce que je fais relève du bénévolat et généralement on reçoit des sommes symboliques de la part des parents d'élèves, étant donné que la scolarisation de leurs enfants est estimée à 3000 DA par an», atteste-t-elle.
Quant aux programmes d'enseignement en dehors des orientations de la tutelle, Naïma Ouali indique qu'«on fait recours à notre effort personnel «idjtihad» pour essayer d'apporter un plus aux élèves sur le plan de la foi «aâkida»», précise-t-elle. Cette déclaration montre on ne peut plus clair que les écoles coraniques doivent être gérées de la même façon que la tutelle leur a tracé leurs grandes lignes.Tout compte fait, rien que pour la wilaya d'Alger, il y a plus de 47 écoles coraniques dont 10 internats et plus de 850 classes coraniques qui accueillent quelque 33.500 élèves dans le cycle préparatoire, 10.000 dans le moyen et 10.000 dans le secondaire, a-t-il indiqué, ajoutant que près de 10.000 élèves suivaient des cours d'alphabétisation selon les sources du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs.La tutelle est en train de préparer une nouvelle loi pour réunifier complétement cette activité et lui donner plus de profondeur pour contrer les tentatives de certains groupes qui veulent faire de ces espaces un moyen pour l'instrumentalisation et l'endoctrinement de nos jeunes enfants et les détourner des véritables enjeux, à savoir le développement et le progrès.

lundi, 06 novembre 2017

Après Laura et Morane, Joachim assassiné par un Algérien récidiviste : ils tuent nos enfants !

L’assassin de Joachim avait tué en 2013. Il avait fait 3 ans de prison préventive et était dans la rue. Libre. Libre de tuer. Libre de récidiver. Malheur au jeune étudiant mort à cause d’une justice taubiresque, d’une justice du mur des cons. https://e-metropolitain.fr/2017/11/03/etudiant-tue-a-montpellier-lauteur-sortait-de-prison-meurtre/ Malheur à Joachim qui a eu 20 ans en 2017 quand […]

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Le ministre de l'immigration attaqué par une quarantaine de réfugiés en colère

dimanche, 05 novembre 2017

Quand la ministre danoise chargée de l’immigration fuit les migrants… (vidéo)

La visite de la ministre danoise chargée de l’immigration et de l’intégration dans un centre d’accueil pour les migrants n’est pas passée inaperçue, non pas auprès des demandeurs d’asile mais pour la ministre elle-même. Bilan: fuite précipitée de la diplomate, une femme tombée, un véhicule abimé…

La ministre danoise chargée de l'immigration et de l'intégration, Inger Stojberg, a été évacuée d'un centre d'accueil pour les migrants qui s'étaient vus refuser l'asile, rapporte The Local.

Mme Stojberg est arrivée dans le centre d'accueil pour participer au tournage d'un programme de la chaîne DR. Dans le cadre de l'émission elle a communiqué avec l'une des familles qui s'étaient vues refuser l'asile. Cependant, après cela, d'autres migrants l'ont encerclée: quelqu'un avait fait courir un bruit selon lequel les interlocuteurs du ministre se verraient accorder l'asile. En conséquence, les gardes du corps d'Inger Stojberg ont décidé de l'évacuer.

La video, cliquez ici