Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 19 novembre 2017

Un fiché S instructeur à l’école de Police révèle Le Point

Il est agent titulaire de la fonction publique et salarié du ministère de l’Intérieur. Fiché S pour radicalisation islamiste, il travaille néanmoins au sein de l’École nationale supérieure d’application de la police nationale, basée à Toulouse et chargée de la formation continue des gardiens de la paix et des officiers. Ceux-ci y apprennent, notamment, les « techniques opérationnelles de filature et d’intervention », précisément utilisées contre les djihadistes. L’agent public est pour l’heure en arrêt maladie. « Cette information est confirmée, explique un…La suite est réservée aux abonnés du Point.

Source

Ils manifestent contre les prières de rue mais acceptent toutes les mosquées

 

Rémi Muzeau, maire LR de Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, est à l’origine de la manifestation, très médiatisée, d’élus en écharpe tricolore, le 10 novembre dernier, contre des prières de rue. Il a été interrogé par Minute. Extrait :

2847_page_01"J’ai rendez-vous jeudi prochain avec le préfet et avec cette fameuse association qui organise les prières de rue.

Qu’attendez-vous de ce rendez-vous ?

J’attends de ce rendez-vous que le préfet comprenne que les revendications de cette association ne sont pas plausibles. On ne peut pas donner un nouveau lieu de culte à chaque croyant qui le demande ! A Clichy, il y a deux églises, deux mosquées et une synagogue. Il y a tout ce qu’il faut pour répondre aux besoins des croyants de la ville.

Après, si l’Etat veut vendre des terrains pour construire une nouvelle mosquée... L’Etat possède trois hectares à Clichy – les anciens locaux de l’Inalco (l’Institut national des langues et civilisations orientales, Ndlr) –, il peut vendre, il n’y a pas de problème, je ne m’y opposerai pas.

Vous ne seriez donc pas opposé à une troisième mosquée à Clichy ?

Je ne me suis jamais opposé à une troisième mosquée. Et je ne m’opposerai ni à une quatrième, ni à une cinquième, ni à une sixième mosquée ! Pourquoi voulez-vous que je m’y oppose ? Tant qu’elle respecte les règles de réception du public... Vous savez, à Clichy, nous avons des orthodoxes qui se réunissent dans une salle ; des témoins de Jéhovah qui respectent les règles ; il n’y a aucun problème.

D’ailleurs, nous avons à Clichy un centre culturel et cultuel [musulman] de 1 500 m2 sur trois niveaux. C’est un bâtiment municipal pour lequel nous avons signé un bail emphytéotique de 99 ans. D’ailleurs, Hamid Kazed (président de l’Union des associations musulmanes de Clichy et organisateur des prières de rue, Ndlr) était présent à l’inauguration. [...]"

« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ». Allah aussi.
 

Deux islamistes virés d'un club de foot

Bien qu'impliqués dans une affaire de terrorisme, les deux hommes entraînaient une équipe amateur.

L'un est mis en examen pour «association de malfaiteurs en vue d'une entreprise terroriste». L'autre était assigné à résidence pour des faits de radicalisation. Il a été écroué la semaine dernière pour ne pas avoir respecté les modalités de sa peine.

Pourtant, tous deux ont officié en tant qu'entraîneurs d'une équipe de foot amateur de l'US Lagny, en Seine-et-Marne (F).

Simples spectateurs à la base, ils avaient peu à peu gravi les échelons, assurant notamment la sécurité des tribunes avant d'être promu, sur demande des joueurs, responsables des équipes seniors. «C'était ça ou une bonne partie des joueurs s'en allait ailleurs», a confié le président du club à RTL.

Mais les deux entraîneurs ont depuis été écartés par la mairie de Lagny (F), plusieurs éléments ayant éveillé des doutes quant au bien-fondé de leur présence au sein du club (leur équipe aurait notamment prié sur le terrain).

 
Connus des services de renseignement, les deux hommes sont suspectés d'avoir pris part à l'organisation d'une filière de départ vers l'Irak et la Syrie au sein de la mosquée de Lagny, l'un des premiers lieux de culte a avoir été fermé après les attentats de Paris. (Le Matin)
 

Verdun : ils s’introduisent dans le monastère et exhortent les sœurs à se convertir à l’islam

Les soeurs du Carmel de Verdun sont encore sous le choc. Vendredi 10 novembre, deux hommes se sont introduits dans leur monastère et les ont exhortées à se convertir à l’islam.

Selon le quotidien régional l’Est Républicain qui vient de rapporter les faits, les individus, porteurs de barbes, se sont présentés à l’accueil alors que l’office était sur le point de commencer. «Ils ont demandé s’ils pouvaient aller dans la chapelle», explique Mgr Gusching, évêque de Verdun.

Ce à quoi, la sœur, chargée de l’accueil, a répondu par l’affirmative. Une fois à l’intérieur, les deux hommes ont alors «prié en arabe pendant les vêpres» et ont averti les sœurs : «si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer», rapporte l’évêque de Verdun. Le procureur de la République de Verdun, Guillaume Dupont, a par ailleurs indiqué dans un communiqué, que l’un des deux, «aurait rédigé les mots "Allah Akbar" sur le livre d’or de l’église».

Avant de quitter le lieu de culte, les individus ont remercié la première sœur rencontrée pour son accueil. L’imam de Verdun, Abdelkrim Aïtelkaid, a livré quelques indications sur les deux hommes : «Un jour, ils sont venus à la mosquée et ne se sont pas comportés normalement. Ce jour-là, je n’étais pas là, mais la communauté les a un peu arrêtés et mis dehors.», a-t-il dit à l’Est Républicain.

L'imam de Verdun condamne fermement

Abdelkrim Aïtelkaid a, par ailleurs, vertement condamné cette double intrusion et assuré la communauté catholique de son soutien. «Ça ne se fait pas de faire ça. Ce n’est pas normal. On ne va pas violer la sacralité d’un lieu de culte. J’irai prochainement voir les sœurs et l’évêque», a-t-il confié.

Les individus ont été interpellés le 11 novembre puis déférés, deux jours plus tard, devant le procureur de la République de Verdun. Placés sous contrôle judiciaire, ils ont été libérés et seront jugés par le tribunal correctionnel de Verdun le 28 avril 2018. Tous les deux encourent une peine de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.

Comme le rappelle l’Est Républicain, ce faits divers a ravivé auprès des religieuses le souvenir de l’égorgement du père Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016, par les deux terroristes islamistes Abdel-Malik Petitjean et Adel Kermiche.

Source

Verdun : ils s’introduisent dans le monastère et exhortent les sœurs à se convertir à l’islam

Les soeurs du Carmel de Verdun sont encore sous le choc. Vendredi 10 novembre, deux hommes se sont introduits dans leur monastère et les ont exhortées à se convertir à l’islam.

Selon le quotidien régional l’Est Républicain qui vient de rapporter les faits, les individus, porteurs de barbes, se sont présentés à l’accueil alors que l’office était sur le point de commencer. «Ils ont demandé s’ils pouvaient aller dans la chapelle», explique Mgr Gusching, évêque de Verdun.

Ce à quoi, la sœur, chargée de l’accueil, a répondu par l’affirmative. Une fois à l’intérieur, les deux hommes ont alors «prié en arabe pendant les vêpres» et ont averti les sœurs : «si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer», rapporte l’évêque de Verdun. Le procureur de la République de Verdun, Guillaume Dupont, a par ailleurs indiqué dans un communiqué, que l’un des deux, «aurait rédigé les mots "Allah Akbar" sur le livre d’or de l’église».

Avant de quitter le lieu de culte, les individus ont remercié la première sœur rencontrée pour son accueil. L’imam de Verdun, Abdelkrim Aïtelkaid, a livré quelques indications sur les deux hommes : «Un jour, ils sont venus à la mosquée et ne se sont pas comportés normalement. Ce jour-là, je n’étais pas là, mais la communauté les a un peu arrêtés et mis dehors.», a-t-il dit à l’Est Républicain.

L'imam de Verdun condamne fermement

Abdelkrim Aïtelkaid a, par ailleurs, vertement condamné cette double intrusion et assuré la communauté catholique de son soutien. «Ça ne se fait pas de faire ça. Ce n’est pas normal. On ne va pas violer la sacralité d’un lieu de culte. J’irai prochainement voir les sœurs et l’évêque», a-t-il confié.

Les individus ont été interpellés le 11 novembre puis déférés, deux jours plus tard, devant le procureur de la République de Verdun. Placés sous contrôle judiciaire, ils ont été libérés et seront jugés par le tribunal correctionnel de Verdun le 28 avril 2018. Tous les deux encourent une peine de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.

Comme le rappelle l’Est Républicain, ce faits divers a ravivé auprès des religieuses le souvenir de l’égorgement du père Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016, par les deux terroristes islamistes Abdel-Malik Petitjean et Adel Kermiche.

Source

Exposition réalisée par "Sans blanc.com" à Sciences Po faisant l’éloge du voile à l’école, de l’islamisme

 

Exposition dans les locaux de Sciences po Paris faisant l’éloge du voile à l’école, de l’islamisme contre la République xénophobe, qui salue la création du PIR, antisémite et anti-France. Création graphique ? « SansBlanc.com ».

23622056_945712745576218_3046595844542766435_n

23517956_945712648909561_1230550410269614768_n

DOmesPKW4AASDc9

DOmesPOXcAICEcU

23472862_945712772242882_4586627146198870649_n

Source

La coalition occidentale a protégé la fuite des islamistes de Daech

 

Capture d’écran 2017-11-15 à 20.57.09Dans une enquête publiée lundi, la BBC dévoile les détails d’un accord secret, qui a permis à des centaines de combattants de l’État islamique et leurs familles de fuir la ville syrienne de Raqqa, sous les yeux de la coalition occidentale et des forces kurdes, qui contrôlent l’ex-bastion du groupe terroriste. Le convoi comprenait des cadres de Daech et des dizaines de djihadistes étrangers.

Depuis, la coalition américano-britannique, alliée aux Forces démocratiques syriennes (rebelles anti-Assad), a tout fait cacher au monde son accord secret. Les camions du convoi de six à sept kilomètres de long ont transporté environ 4 000 personnes, dont des femmes et des enfants, mais aussi des tonnes de munitions.

À la lumière des révélations de la BBC, la coalition a depuis reconnu son rôle dans l’accord. Plusieurs témoins ont entendu des avions de chasse, parfois des drones, suivre la colonne de véhicules. La coalition a reconnu avoir supervisé depuis les airs le convoi, qui a achevé son parcours en territoire djihadiste, dans un village entre Markada et Al-Souwar.

Parmi les fuyards, il y avait plusieurs citoyens français. Abou Basir al-Faransy explique :

“Certains de nos frères français ont quitté le groupe pour la France pour y mener des attaques dans ce qu’on pourrait appeler le ‘Jour du Jugement’”.

Source

Barbie chez les barbus

La famille des poupées Barbies s'est agrandie avec l'arrivée d'une barbie voilée. L'escrimeuse Ibtihaj Muhammad, devenue en 2016 la première athlète américaine voilée aux Jeux olympiques, a désormais sa version miniature en plastique qui sera commercialisée en ligne à compter de 2018 :

7393167_2017-11-14t023237z-1900934737-rc172cf69210-rtrmadp-3-glamour-women-of-the-year_940x500

Et bientôt vous aurez Barbie sous la charia (les cailloux ne sont pas fournis) !

DOsRMi3XUAUvedX.jpg-large

Source

La vidéo du défilé complet de la marche de l’indépendance 2017 à Varsovie

 

Lire la video en cliquant ici

Que sont devenus les 250 jihadistes qui ont pu fuir Raqqa ?

 

Lire la video en cliquant ici

Le monde arabo-musulman, un baril toujours plus dangereux ? (II)

En 2011, le prétendu Printemps arabe touche la Syrie. Ses voisins n’en sont pas mécontents. La Turquie rêve de remettre ce pays sous son aile protectrice. Elle en a déjà obtenu une partie de la France mandataire en 1939, le Sandjak d’Alexandrette ou Hatay, pour les Turcs, avec la ville, ô combien symbolique, d’Antioche. Cela lui permettrait aussi de mettre un terme aux projets d’oléoducs passant en territoire syrien plutôt que turc. Le sunnite Erdogan, proche des Frères Musulmans, envisage avec plaisir la chute de l’alaouïte Assad et de son régime baasiste. Israël ne voit pas d’inconvénient à ce que son voisin le plus tenace, allié à l’Iran et au Hesbollah, soit affaibli par des troubles, et que leurs soutiens conjoints aux Palestiniens soient diminués d’autant. L’Arabie Saoudite, le Qatar, sunnites wahhabites, se réjouissent de l’effondrement probable d’un régime laïque appuyé sur une minorité cousine du chiisme. Les Occidentaux poursuivent leur « croisade » démocratique à contre-sens et à contre-temps contre une dictature militaire anciennement pro-soviétique qui leur avait pourtant apporté un soutien pragmatique et efficace à la fois contre Saddam et contre le terrorisme islamiste. Durant l’année 2011, le souffle du Printemps arabe emporte d’abord les régimes de Ben Ali en Tunisie et de Moubarak en Egypte, plonge ensuite la Libye dans le chaos après la chute et la mort de Kadhafi, tandis que la Syrie voit les manifestations du début de l’année se muer en affrontements armés, puis en rébellion et enfin en guerre civile. L’opposition semble menée partout par les Frères Musulmans. Les disciples de Hassan Al Banah l’emportent sur ceux de Michel Afflak, l’islamisme que les Occidentaux disent modéré sur le nationalisme arabe et ses dictatures corrompues. Toutefois les spécificités nationales issues de l’histoire font rapidement surface. La transition est plus douce en Tunisie. L’armée garde la main en Egypte. L’anarchie tribale s’impose en Libye et le régime tient plus ou moins le choc à Damas, appuyé sur une armée relativement solide. On retiendra l’exception du Bahrein, cette monarchie sunnite posée sur une large majorité chiite qui entend participer aussi à la libération. Les Saoudiens écraseront sans scrupules ces velléités sans que l’Occident trouve à y redire

En 2015, le paysage s’est modifié fortement. Les Frères Musulmans se contentent à travers Ennhadha de participer à la coalition gouvernementale tunisienne dans un pays en proie aux attentats et aux difficultés économiques liées au marasme du tourisme. Ils sont restés un an au pouvoir au Caire avec le Président Morsi et son Parti de la Liberté et de la Justice, entre 2012 et 2013. Le Maréchal Abdel Fattah Al-Sissi les en a chassés et guide désormais un pays, lui aussi en proie à la violence, notamment envers la forte minorité chrétienne copte. En Libye, le pays est coupé au moins en deux, entre Tripoli et Misrata, à l’Ouest où les Frères Musulmans dominent, et la Cyrénaïque à l’Est, où c’est un ancien officier de Kadhafi qui avait rompu avec lui, le général Khalifa Haftar qui forme une armée et tient la région. Le Yémen qui avait vu également tomber son dictateur militaire est aussi divisé entre les sunnites et les rebelles chiites, majoritaires au Nord. Dans les deux pays des poches islamistes d’Al Qaïda et du nouveau venu, l’Etat islamique, s’implantent. Ce mouvement terroriste, né d’une scission d’Al Qaïda, présente deux particularités. En premier lieu, il pousse son salafisme jusqu’à reproduire les exemples les plus cruels des origines de l’islam ou les peines les plus sévères inscrites dans le coran. Exécutions de masse, décapitations publiques, lapidations, esclavage des prisonniers, mariages forcés. On s’interroge pour savoir si le fait de brûler vif un pilote jordanien fait partie de la panoplie salafiste. En second lieu, il conquiert un territoire où il prétend restaurer le Califat et Abou Bakr Al Baghdadi le proclamera en effet à Mossoul le 29 Juin 2014. La carte de la Syrie prend l’aspect d’une peau de Léopard où se juxtaposent les zones tenues ou reprises par les loyalistes et celles conquises par une large palette de groupes rebelles. Les uns se disent modérés et se réclamant d’une coordination basée en Turquie soutenue par l’Occident, la Coalition Nationale des Forces de l’Opposition et de la Révolution ou Coalition Nationale Syrienne, dont le bras armé est l’Armée Syrienne Libre. Les autres sont des salafistes et des terroristes. L’un de ces derniers, « l’Etat islamique » s’empare dès 2014 d’une vaste portion de territoire à Raqqah et Deir ez-zor, là où sont les puits de pétrole de part et d’autre de l’Euphrate. Il occupe en un éclair l’ouest de l’Irak et la seconde ville du pays Mossoul (Juin 2014). On s’attend à l’effondrement du régime de Damas menacé de toutes parts par des rebelles soutenus sans vergogne par les voisins turc et jordanien, voire israëlien, avec l’aide en armes et en formation des pays du Golfe et des puissances occidentales. C’est l’époque où Fabius souhaite la mort de Bachar Al Assad et ose déclarer « qu’Al Nosra fait du bon boulot ». Al Nosra c’est le nom d’Al Qaïda en Syrie ! Et cet homme préside le Conseil Constitutionnel aujourd’hui ! En 2015, des attentats commandités par les islamistes se produisent notamment en France avec la tuerie de Charlie Hebdo et la prise d’otages de l’hyper casher de la Porte de Vincennes en Janvier, puis la nuit sanglante du 13 Novembre : 17 morts puis 130 ! La seconde opération a été organisée à partir du « califat », avec des soutiens bien implantés en Europe. La coalition occidentale qui regroupe 22 Etats bombarde le secteur tenu par l’Etat islamique, sans résultat probant. La seule résistance sérieuse en dehors de l’Armée Syrienne et de ses alliés vient des Kurdes. L’ambiguïté, voire l’hypocrisie de l’alliance des occidentaux, de la Turquie et des Pays du Golfe, les intérêts divergents des uns et des autres, rendent les actions stériles.

En Septembre, Vladimir Poutine fait intervenir les forces aériennes russes au secours de son allié syrien. En deux ans, le rapport de forces va basculer totalement. ( à suivre)

Source

Livraisons : des quartiers immigrés interdits pour cause d’insécurité

 

La video en cliquant ici

samedi, 18 novembre 2017

Le monde arabo-musulman, un baril toujours plus dangereux ? (II)

En 2011, le prétendu Printemps arabe touche la Syrie. Ses voisins n’en sont pas mécontents. La Turquie rêve de remettre ce pays sous son aile protectrice. Elle en a déjà obtenu une partie de la France mandataire en 1939, le Sandjak d’Alexandrette ou Hatay, pour les Turcs, avec la ville, ô combien symbolique, d’Antioche. Cela lui permettrait aussi de mettre un terme aux projets d’oléoducs passant en territoire syrien plutôt que turc. Le sunnite Erdogan, proche des Frères Musulmans, envisage avec plaisir la chute de l’alaouïte Assad et de son régime baasiste. Israël ne voit pas d’inconvénient à ce que son voisin le plus tenace, allié à l’Iran et au Hesbollah, soit affaibli par des troubles, et que leurs soutiens conjoints aux Palestiniens soient diminués d’autant. L’Arabie Saoudite, le Qatar, sunnites wahhabites, se réjouissent de l’effondrement probable d’un régime laïque appuyé sur une minorité cousine du chiisme. Les Occidentaux poursuivent leur « croisade » démocratique à contre-sens et à contre-temps contre une dictature militaire anciennement pro-soviétique qui leur avait pourtant apporté un soutien pragmatique et efficace à la fois contre Saddam et contre le terrorisme islamiste. Durant l’année 2011, le souffle du Printemps arabe emporte d’abord les régimes de Ben Ali en Tunisie et de Moubarak en Egypte, plonge ensuite la Libye dans le chaos après la chute et la mort de Kadhafi, tandis que la Syrie voit les manifestations du début de l’année se muer en affrontements armés, puis en rébellion et enfin en guerre civile. L’opposition semble menée partout par les Frères Musulmans. Les disciples de Hassan Al Banah l’emportent sur ceux de Michel Afflak, l’islamisme que les Occidentaux disent modéré sur le nationalisme arabe et ses dictatures corrompues. Toutefois les spécificités nationales issues de l’histoire font rapidement surface. La transition est plus douce en Tunisie. L’armée garde la main en Egypte. L’anarchie tribale s’impose en Libye et le régime tient plus ou moins le choc à Damas, appuyé sur une armée relativement solide. On retiendra l’exception du Bahrein, cette monarchie sunnite posée sur une large majorité chiite qui entend participer aussi à la libération. Les Saoudiens écraseront sans scrupules ces velléités sans que l’Occident trouve à y redire

En 2015, le paysage s’est modifié fortement. Les Frères Musulmans se contentent à travers Ennhadha de participer à la coalition gouvernementale tunisienne dans un pays en proie aux attentats et aux difficultés économiques liées au marasme du tourisme. Ils sont restés un an au pouvoir au Caire avec le Président Morsi et son Parti de la Liberté et de la Justice, entre 2012 et 2013. Le Maréchal Abdel Fattah Al-Sissi les en a chassés et guide désormais un pays, lui aussi en proie à la violence, notamment envers la forte minorité chrétienne copte. En Libye, le pays est coupé au moins en deux, entre Tripoli et Misrata, à l’Ouest où les Frères Musulmans dominent, et la Cyrénaïque à l’Est, où c’est un ancien officier de Kadhafi qui avait rompu avec lui, le général Khalifa Haftar qui forme une armée et tient la région. Le Yémen qui avait vu également tomber son dictateur militaire est aussi divisé entre les sunnites et les rebelles chiites, majoritaires au Nord. Dans les deux pays des poches islamistes d’Al Qaïda et du nouveau venu, l’Etat islamique, s’implantent. Ce mouvement terroriste, né d’une scission d’Al Qaïda, présente deux particularités. En premier lieu, il pousse son salafisme jusqu’à reproduire les exemples les plus cruels des origines de l’islam ou les peines les plus sévères inscrites dans le coran. Exécutions de masse, décapitations publiques, lapidations, esclavage des prisonniers, mariages forcés. On s’interroge pour savoir si le fait de brûler vif un pilote jordanien fait partie de la panoplie salafiste. En second lieu, il conquiert un territoire où il prétend restaurer le Califat et Abou Bakr Al Baghdadi le proclamera en effet à Mossoul le 29 Juin 2014. La carte de la Syrie prend l’aspect d’une peau de Léopard où se juxtaposent les zones tenues ou reprises par les loyalistes et celles conquises par une large palette de groupes rebelles. Les uns se disent modérés et se réclamant d’une coordination basée en Turquie soutenue par l’Occident, la Coalition Nationale des Forces de l’Opposition et de la Révolution ou Coalition Nationale Syrienne, dont le bras armé est l’Armée Syrienne Libre. Les autres sont des salafistes et des terroristes. L’un de ces derniers, « l’Etat islamique » s’empare dès 2014 d’une vaste portion de territoire à Raqqah et Deir ez-zor, là où sont les puits de pétrole de part et d’autre de l’Euphrate. Il occupe en un éclair l’ouest de l’Irak et la seconde ville du pays Mossoul (Juin 2014). On s’attend à l’effondrement du régime de Damas menacé de toutes parts par des rebelles soutenus sans vergogne par les voisins turc et jordanien, voire israëlien, avec l’aide en armes et en formation des pays du Golfe et des puissances occidentales. C’est l’époque où Fabius souhaite la mort de Bachar Al Assad et ose déclarer « qu’Al Nosra fait du bon boulot ». Al Nosra c’est le nom d’Al Qaïda en Syrie ! Et cet homme préside le Conseil Constitutionnel aujourd’hui ! En 2015, des attentats commandités par les islamistes se produisent notamment en France avec la tuerie de Charlie Hebdo et la prise d’otages de l’hyper casher de la Porte de Vincennes en Janvier, puis la nuit sanglante du 13 Novembre : 17 morts puis 130 ! La seconde opération a été organisée à partir du « califat », avec des soutiens bien implantés en Europe. La coalition occidentale qui regroupe 22 Etats bombarde le secteur tenu par l’Etat islamique, sans résultat probant. La seule résistance sérieuse en dehors de l’Armée Syrienne et de ses alliés vient des Kurdes. L’ambiguïté, voire l’hypocrisie de l’alliance des occidentaux, de la Turquie et des Pays du Golfe, les intérêts divergents des uns et des autres, rendent les actions stériles.

En Septembre, Vladimir Poutine fait intervenir les forces aériennes russes au secours de son allié syrien. En deux ans, le rapport de forces va basculer totalement. ( à suivre)

Suède : le ministre de la Justice rejette une proposition visant à révéler les origines ethniques des agresseurs sexuels

Le ministre suédois de la Justice a rejeté une proposition du parti conservateur visant à enregistrer les origines ethniques des agresseurs sexuels. Le ministre de la Justice Morgan Johansson a déclaré que les conservateurs voulaient simplement blâmer l’augmentation des crimes sexuels sur les migrants, il a a soutenu que tous les criminels doivent être traités […]

L’article Suède : le ministre de la Justice rejette une proposition visant à révéler les origines ethniques des agresseurs sexuels est apparu en premier sur Fdesouche.

Source

Qualification du Maroc au mondial : « des débordements à Bruxelles; rien de tel à Paris … » assène le magazine Desintox d’Arte

« … des centaines de jeunes, drapeaux marocains à la main, ont investi les Champs Elysées, se rejoignant sous l’Arc de Triomphe, et bloquant un moment le rond point de l’Etoile »

L’article Qualification du Maroc au mondial : « des débordements à Bruxelles; rien de tel à Paris … » assène le magazine Desintox d’Arte est apparu en premier sur Fdesouche.

Source

vendredi, 17 novembre 2017

Pour Jade Lindgaard, l’islamisme n’est pas grave. Qu’en pensent les victimes ?

Dans l’émission « C l’hebdo » (France 5), samedi dernier, Jade Lindgaard, journaliste à Mediapart – et auteur d’un bouquin, si l’on en croit Wikipédia, sur le réchauffement climatique, mais qui s’intéresse semble-t-il, aussi, à l’échauffement islamique…

Jour après jour, mois après mois, année après année, il est indéniable que des paliers sont franchis. Aujourd’hui, on peut donc affirmer posément sur une chaîne grand public que l’islamisme n’est « pas grave » sans que le CSA ne s’en émeuve, sans qu’aucun homme politique ne fasse une déclaration indignée, sans que personne, pour résumer, ne réagisse réellement en dehors de la « fachosphère » – qui, par définition, ne compte pas, parce qu’elle, au contraire, est grave, très grave, tragique, terrible. Et là, attention, c’est le rôle du journaliste de le dire. De le crier, même, sur tous les toits.

Oui, on peut donc « dédramatiser » l’islamisme à la télévision, vanter, par antonymie, sa bénignité, sans grand dommage ni grand courage, même flanquée sur la gauche d’une Élisabeth Lévy médusée et sur la droite d’une Natacha Polony ébahie.

Mais Jade Lindgaard compte-t-elle aller l’expliquer, de visu, avec la même candeur pleine d’aplomb, aux parents des deux jeunes filles sauvagement assassinées le mois dernier devant la gare Saint-Charles ?

Et, en ce mois de novembre, aux familles réunies à Paris pour commémorer le Bataclan ? L’islamisme, chers amis, ce n’est pas grave !

Et au mois de janvier, devant les locaux de Charlie Hebdo : l’islamisme, ça ne peut pas avoir de « conséquences fâcheuses » ni « entraîner de suites dangereuses » (c’est bien ainsi, non, que le Larousse définit la gravité ?).

 Et au mois de mars, à Toulouse, face à l’école Ozar Hatorah : « L’islamisme est un phénomène qu’il faut comprendre et expliquer. »

Et au mois de juin, tant dans l’Isère où un patron a été décapité qu’à Magnanville où un couple de policiers a été poignardé : « L’islamisme, en tant que tel, n’est pas, en soi, une chose grave. »

Et encore au mois de juillet à Nice, sur la promenade des Anglais puis en Normandie, dans l’église Saint-Étienne-du-Rouvray. L’islamisme n’est pas « important » ni « sérieux » (synonymes de « grave », selon le Littré).

Et enfin à Barcelone, à Londres, à Bruxelles, à Berlin, à Copenhague : « no es grave, nicht ernst, not serious ! » Mais pourquoi tous ces braves gens reniflent-ils dans leur mouchoir ? Puisqu’on leur dit, sapristi, que ce n’est pas grave ! Smile! Qu’il suffit de comprendre et d’expliquer. « Understand and explain, OK? » Ce n’est pourtant pas compliqué !

Autant que traquer les fake news, la moindre des honnêtetés consisterait à lutter contre les fake words, et ceux qui en usent sans vergogne, et en toute impunité, journalistes de la sanctosphère, gentillosphère, gauchosphère, complices d’une désinformation à dose filée par euphémisation d’une extrême… gravité.

Gabrielle Cluzel

Source

Quand le halal monte en gamme

 

La video en cliquant ici

Toulon le 29 novembre : L'Islam un défi pour l'identité chrétienne

 

Thumbnail-2

Saint-Denis : Chronopost ne livre plus les zones de non-droit tombées sous la coupe de la « diversité »

Des habitants de certains quartiers de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) sont en colère. Depuis plusieurs mois, ils se plaignent de ne pas recevoir à leur domicile des colis commandés via Chronopost.

La filiale du groupe La Poste aurait décidé de ne plus procéder aux livraisons dans les quartiers qu’elle considère « à risques », comme la cité du Franc-Moisin, du Delaunay-Belleville et d’autres… C’est-à-dire les zones de non-droit que les gouvernements successifs ont laissé se constituer et qui sont tombées sous la coupe des bandes ethniques qui y font régner leur « loi ».

Une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter

Thomas, un habitant du quartier Delaunay-Belleville, raconte au quotidien qu’il a tenté à deux reprises ces derniers mois de se faire livrer chez lui des couches pour bébé. A chaque fois, le colis est déposé au bureau de Poste situé à plus de 3 km de son domicile. « Je les ai contactés par Twitter et j’ai appris qu’ils avaient établi une liste de « quartiers sensibles » où les livraisons à domicile ne sont pas assurées », a-t-il expliqué.

Dans un courrier envoyé cet été à la mairie de Saint-Denis, le PDG de Chronopost aurait confirmé que l’entreprise avait dressé une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter. « Le 4 janvier 2017, un chauffeur a été agressé par trois individus à Saint-Denis », aurait-il expliqué. « Ceinturé » puis « immobilisé » contre un mur, le livreur aurait reçu des coups de poing avant d’être défaussé d’une partie de sa marchandise

Policiers, pompiers, médecins, postiers : égalité ! Tous agressés et dépouillés !

Sans honte Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué à l’égalité des droits à Saint-Denis (ça ne s’invente pas), s’indigne de la situation dont pourtant les siens, nouveaux envahisseurs et colons, sont les premiers responsables. Il ne se satisfait pas de la réponse de l’entreprise : « On ne peut pas condamner tout un secteur parce qu’un livreur a été agressé ».

En réalité il s’agit de plus de 51 chauffeurs qui ont été victimes de vols avec violence l’an passé ! Ça fait quand même plus qu’un seul livreur ! Certes il s’agit d’une évaluation concernant tout le territoire national mais on peut se douter que Saint-Denis figure en tête du palmarès.

Et il a demandé à Chronopost l’accès à cette fameuse liste. Sans doute pour pouvoir hurler à la discrimination lorsqu’éclatera la triste réalité de l’adéquation entre les quartiers colonisés par les envahisseurs extra-européens et les zones d’insécurité ne permettant plus aux préposés de Chronopost d’accomplir leur mission en toute sécurité ?

Le délégué du Défenseur des droits  en Seine-Saint-Denis aurait également été saisi par des habitants pour statuer sur cette affaire.

Il est plus que temps de lancer la reconquête et de les foutre dehors.

La France aux Français !

Source

L’ONG Oxfam, complice de l’invasion de l’Europe

 

Tariq Ramadan n’a pas harcelé l’épouse d’Edgar Morin, alors de quoi se plaint-on ?

Jany Leroy

Pas très à l’aise dans ses baskets de sociologue-philosophe, le gars Edgar Morin. Ses deux ouvrages cosignés avec Tariq Ramadan pourraient faire un peu désordre sur les étagères des bibliothèques. Mais il a « horreur du lynchage médiatique ». Nous aussi… Quoique « tant de fumée sans feu serait bien surprenant », nous dit un pompier de la région parisienne régulièrement caillassé par des représentants de cette religion dont Edgar nous explique qu’elle n’est pas si pire que le christianisme… Le philosophe est parfois farceur.

Sans aucune réserve sur la réalité des accusations, Edgar Morin droit dans ses babouches « était et reste très content de contribuer à établir un pont entre des cultures ou modes de pensée qui ne se comprennent pas… et où, même, l’incompréhension progresse de part et d’autre ». Prêt à témoigner au procès. Le pont ne tient plus que par des bouts de ficelle et ce ne sont pas les quelques supposées harcelées ou violées qui passent en dessous qui le feront s’écrouler. Tant d’efforts réduits en cendres par on ne sait quelles bonnes femmes, peut-être mythomanes, sans doute provocatrices et islamophobes… Ça, jamais !

« Lors de nos entretiens enregistrés, mon épouse avait tenu à y participer en l’interrogeant sur sa position (!) par rapport à l’égalité des femmes, ce sur quoi il avait développé une réponse en accord avec nos principes… » Ouf ! Devant une tasse de thé, l’islamologue suisse développait des idées de toute beauté. Un vrai délice. Langage châtié, petit doigt en l’air, après vous, je n’en ferai rien… Information capitale à verser au dossier : Tariq Ramadan n’a en rien harcelé et encore moins violé la femme d’Edgar Morin. Et ce ne sont pourtant pas les occasions qui lui ont manqué ! Lorsque le philosophe-sociologue allait rechercher des « P’tits LU » dans le placard de la cuisine, Tariq restait seul avec l’épouse… Alors, Monsieur le Juge ? N’est-ce pas la preuve que nous sommes face à une campagne de calomnie honteuse ?

« Huissier, faites entrer madame Morin… »

 La naïveté du philosophe amateur de « P’tits LU » est confondante. Les exactions et brimades en vigueur dans de nombreux pays islamisés s’effacent tout à coup parce qu’un théoricien plutôt ambigu ne contredit pas l’intellectuel occidental avide de bons sentiments et de ponts chancelants. Que croyait-il ? Que Ramadan allait tranquillement défendre la domination masculine sans partage, le droit de cuissage et la pédophilie ?

Edgar Morin a deux bouquins sur les bras. Deux annuaires bourrés de théories superbes, chacun fourni avec un plan de montage du pont entre « des cultures qui ne se comprennent pas »… Pour bricoleurs, exclusivement.

Source

L’édito du jour – La religion source de conflits en entreprise

Un article de l’express du 22 octobre 2017 révèle que la religion est source de conflits en entreprise. Une source de conflits croissants, même. Toutefois, si l’étude est factuelle quant aux faits et aux problèmes, elle passe sous silence que ces tensions viennent, pour une écrasante majorité des cas, des revendications musulmanes. Point contextuellement compréhensible dans la mesure où ces derniers croissent notablement dans la population active et que parallèlement les revendications identitaires musulmanes sont de plus en plus marquées dans la société dans son ensemble. Ce que François Billot de Lochner pointe du doigt dans son dernier ouvrage chronique de l’islamisation de la France. A cela nous pouvons ajouter que notre conception du travail et de son organisation sont nées progressivement en milieu catholique, même si la tendance à la déchristianisation a pu mettre à mal le repos dominical, la place de la famille ou encore les fêtes chômées. Les musulmans sont moins naturellement à l’aise dans nos cadres traditionnels. Mais alors que les autres religions, non chrétiennes, ne posent pratiquement aucun problème, la nature même de l’islam qui ne conçoit pas la laïcité ne conçoit pas non plus la neutralité qui est l’expression de la laïcité dans l’entreprise. Les entreprises ne sont pas des îlots coupés de la société dans laquelle elles s’insèrent. Elles sont perméables au climat ambiant.

Si le fait religieux, ainsi dénommé, pose problème dans sa version musulmane, on ne peut cependant pas dire qu’elle soit sans aspérité pour les juifs et les catholiques. D’une part les autres religions, comme les non croyants, sont de plein fouet confrontés aux problèmes posés par l’islam dans leur entreprise, d’autre part, il peut exister une tendance défensive à entrer soi-même dans la revendication, afin justement de ne pas laisser l’islam empiéter sur les autres revendications religieuses, ou sous prétexte de justice, afin d’avoir « comme les autres ».

L’institut Montalembert, met à jour presque chaque mois un Vademecum sur le fait religieux en entreprise. Vademecum que vous pourrez trouver dans notre rubrique formation. Avant que cette question n’exaspère les crispations, il est important de connaître le droit en la matière. Un droit qui, ici, est un vrai secours pour tout manager.

 

Cyril Brun, rédacteur en chef

Source

Peut-on récuser un jury parce qu’il ne comprend pas assez de musulmans ?

Philippe Kerlouan
 

Un quotidien britannique nous apprend qu’un homme, condamné pour viol et menaces de mort envers son épouse, a fait appel. Quoi de plus normal, direz-vous : l’appel est une voie de recours habituelle dans la procédure. En l’occurrence, c’est le motif de l’appel qui peut surprendre : le jury, majoritairement composé de catholiques blancs, était trop « homogène » et ne comprenait pas assez de musulmans !

Ce n’est pas une fausse nouvelle ni l’invention d’un site d’information parodique. C’est un fait rapporté par le très sérieux journal The Times, qu’on ne peut soupçonner de tomber dans l’islamophobie primaire.
Ainsi donc, à Londres, on peut faire appel si l’on estime que le jury n’est pas assez représentatif de la diversité. Passe encore qu’on récuse, avant le procès, quelques jurés susceptibles de n’être pas suffisamment impartiaux. Mais, dans cette affaire, le problème posé est bien plus grave qu’une simple récusation.
Le fait même qu’un tel argument puisse être tenu montre qu’il est susceptible a priori d’être entendu. Serait-ce le signe d’une société où non seulement le multiculturalisme est entré dans les mœurs, mais où l’idée qu’on ne jugerait pas les choses de la même façon selon sa religion passe pour naturelle ?
Allons jusqu’au bout du raisonnement. On peut mettre en doute des preuves ou les discuter mais, si le viol est incontestable, il devrait rester un crime quelle que soit la religion de l’accusé ou des jurés. En faisant appel, l’avocat du prévenu espère un jugement plus clément. Ce qui suppose qu’un membre du jury pourrait, en fonction de sa religion, se montrer plus ou moins indulgent face au viol ou aux mauvais traitements infligés à une femme. 
 Pire : un tel appel laisse entendre qu’un juré de confession musulmane pourrait mieux comprendre l’attitude de l’accusé. Son avocat, en utilisant ce recours, présume que le viol pourrait être moins lourdement condamné par des adeptes de cette religion.
Certes, on reconnaît généralement que la femme, dans l’islam, est par nature inférieure à l’homme. Une sourate est très explicite à cet égard : « Les hommes ont autorité sur les femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu les a élevés au-dessus d’elles. » Ce qui n’est pas acceptable dans nos sociétés occidentales.
Mais on ne sache pas que le Coran prévoie expressément que les musulmans puissent violer leurs femmes – à moins qu’on ne prenne modèle sur les combattants de l’État islamique qui prient avant et après avoir violé leurs captives, en assurant que ces pratiques sexuelles satisfont Dieu.
La Justice se doit d’être universelle. Elle doit tendre à s’approcher de la vérité. En acceptant de tels recours, l’institution admet implicitement le relativisme de notre droit. Voilà qui donne raison, une fois de plus, à Pascal qui résumait l’incapacité de l’homme à trouver la justice dans sa formule devenue proverbiale : « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà. » À part que, dans cette circonstance, c’est à l’intérieur d’un même pays que des divergences de jugement pourraient se manifester.
Verra-t-on bientôt, en France, des recours exercés pour de tels motifs ? Il faut souhaiter que la Justice reste assez lucide pour ne pas céder à ce type d’arguments. Il y va de l’intérêt même des Français de confession musulmane.
Chaque fois qu’on cède sur les principes, que ce soit pour des raisons d’ordre religieux ou, plus généralement, au nom d’une idéologie, on entre un peu plus dans l’engrenage qui broie les valeurs fondamentales de notre société.

Source 

 
 

Clermont-Ferrand : une stèle en mémoire du délinquant Wissam El-Yamni

Un monument doit être inauguré ce week-end, au cœur de Clermont-Ferrand, à la mémoire de Wissam El-Yamni. Une perspective qui suscite des réactions en chaîne. Presque six ans se sont écoulés, mais le sujet reste éminemment sensible. Wissam El-Yamni est décédé le 9 janvier 2012, au CHU, neuf jours après son interpellation mouvementée dans le […]

L’article Clermont-Ferrand : une stèle en mémoire du délinquant Wissam El-Yamni est apparu en premier sur Fdesouche.

Source

Les prières musulmanes illégales doivent cesser, sinon, tous à Clichy le 24 novembre, à 12 heures !

Communiqué de Résistance républicaine et de Riposte laïque Le scandale dure depuis 8 mois. Tout a été tenté pour faire cesser l’intolérable, l’inacceptable. Même des élus, munis de leur écharpe tricolore ont essayé de faire entendre raison aux délinquants qui bafouent la République et ses lois semaine après semaine, alors qu’il y a déjà 1 […]

Source

Grande manifestation «Face aux islamistes : Défendons l’Europe !» à Paris le 25 novembre

 

Tous les renseignements en cliquant ici

Islamisme : rien ne va plus entre Charlie et Médiapart

C'est un grand coup de gueule que le dessinateur Riss, patron de Charlie Hebdo, a poussé hier dans son éditorial, contre Médiapart, et plus particulièrement de son directeur, Edwy Plenel. Et il dénonce «un appel au meurtre.»

 

Voilà qui met en lumière une fracture profonde au sein de la gauche entre les défenseurs de la laïcité qui dénoncent les ravages de l'islamisme, et les «islamo-compatibles» qui accusent les premiers d'islamophobie. Une faille qui existe depuis longtemps, mais qui s'est brutalement rouverte avec l'affaire Ramadan. Cet «islamologue», qui semble avoir séduit une part de l'intelligentsia française, – notamment Edwy Plenel – malgré ses attaches indéniables avec les éléments d'un islamisme extrême, a été accusé d'agressions sexuelles.

Les indulgences de Médiapart pour Ramadan ont suscité une «une» de Charlie qui caricature Edwy Plenel : «Affaire Ramadan, Médiapart révèle : on ne savait rien.»

 

Réplique d'Edwy Plenel : il accuse «une gauche égarée, une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite voire une extrême droite identitaire, trouvant n'importe quel prétexte pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans».

«Cette phrase, ( la guerre aux musulmans) nous ne la pardonnerons jamais», a répliqué le directeur de Charlie Hebdo, Riss, blessé dans l'attentat du 7 janvier. «Cette phrase n'est plus une opinion, c'est un appel au meurtre».

«Tout le monde est sous protection actuellement, et désigner les gens de Charlie comme des gens qui font une guerre aux musulmans est un scandale», a abondé l'ancien directeur du journal, Philippe Val.

Source

Alain de Peretti : « Placée en garde à vue, la secrétaire de Vigilance Halal va porter plainte »

 

Le document audio en cliquant ici

Le Formule 1 de Chanas loge les « migrants » et laisse les Français dehors

Bonnes gens, sachez que l’hôtel « Formule Un » de Chanas (Isère) vient d’être réquisitionné pour loger des « migrants ». Au cas où vous auriez effectué une réservation à cet hôtel, sachez aussi qu’il n’y a personne qui soit intéressé pour vous avertir de devoir annuler votre réservation et vous adresser ailleurs. La mésaventure est arrivée à deux […]

Source

Sur les réseaux sociaux, un rappeur appelle ses fans à se rassembler à Bruxelles , ça vire à l’émeute

Des émeutes ont éclaté mercredi après-midi sur la place de la Monnaie à Bruxelles, indique la police locale. Essuyant des jets de projectiles, les policiers on été contraints de se replier. Des commerces et des voitures ont été vandalisés. La police locale demande le renfort de la police fédérale. (…) Selon le cabinet du bourgmestre […]

L’article Sur les réseaux sociaux, un rappeur appelle ses fans à se rassembler à Bruxelles , ça vire à l’émeute est apparu en premier sur Fdesouche.

Source