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mardi, 14 novembre 2017

Prières de rue à Clichy : des images du face à face tendu entre musulmans et élus

 

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Quand le halal monte en gamme

 

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“Foutez le camp avec vos réfugiés” : des dizaines de milliers de nationalistes défilent en Pologne

Immigration: 300.000 étrangers en situation irrégulière en France

Il n'y a « aucun mystère dans les chiffres de l'immigration ». Pressé par les députés de droite et d'extrême droite, lors d'un débat à l'Assemblée nationale consacré au budget 2018 de l'immigration, Gérard Collomb a été poussé à donner un certain nombre de précisions sur ce sujet sensible.

« Nous pensons que nous sommes autour de 300.000 personnes en situation irrégulière », a-t-il indiqué, et « nous essayons de mener une politique pour que ceux qui sont  déboutés du droit d'asile puissent être l'objet d'une obligation de quitter le territoire ».

Le nombre de personnes en situation irrégulière est généralement apprécié par le biais des bénéficiaires de l'Aide médicale d'Etat.

L'éloignement en hausse

 « En septembre 2017, sur les éloignements nous sommes en hausse de 6,5 % » et « la hausse est de 124 % » pour les « dublinés », qui sont censés retourner vers le pays européen où ils ont laissé une trace, a indiqué le ministre.

Relancé sur les questions de régularisation, le ministre de l'Intérieur a assuré qu' « il y aura toujours des régularisations qui se feront au cas pas cas ». Mais « si vous me demandez si la priorité est d'avoir une régularisation massive, la réponse est non », a-t-il ajouté, expliquant que la priorité était « d'empêcher qu'un certain nombre de migrants économiques puissent venir » avec des accords avec les pays d'origine notamment.

« Mesures drastiques »

« Je me rendrai en décembre au Niger et dans un certain nombre d'autres pays », en soulignant que d'ores et déjà grâce aux « mesures drastiques » prises par les autorités nigériennes, « la grande route des migrants » qui passait par Agadez au Niger « n'est plus empruntée ».

Le projet de loi prévoit une hausse de 26 % à 1,38 milliard d'euros des crédits de la mission « immigration, asile et intégration » car « nous voulons une meilleure intégration » des réfugiés, via notamment l'apprentissage du français, le logement ou l'insertion sociale et professionnelle, a rappelé Gérard Collomb.

Le gouvernement souhaite aussi « raccourcir les délais d'examen de la demande d'asile » qui sont « bien trop longs » aujourd'hui, avec la création de 15 postes à l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), de 35 à l'Ofii (Office français de l'immigration et de l'intégration) et de 51 à la Cour nationale du droit d'asile (CNDA).

Source: les echos.fr

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lundi, 13 novembre 2017

Complète réussite de la conférence-débat de NATION !

La conférence-débat organisée ce samedi 11 novembre à Bruxelles fut un TRES GRAND succès !

Au point que le local ou il se déroulait était bien trop petit pour accueillir les dizaines de personnes venues écouter les orateurs qui, pour rappel, étaient Alain Escada, Roland Hélie, Thomas Joly, Frédéric Renson,et Hervé Van Laethem.

Outre l’affluence, on se souviendra aussi du déplacement des participants de la gare vers le local aux cris de « On est chez nous » ou encore « Nous voulons, nous sommes la résistance nationale ». Déplacement sous lourde surveillance policière mais qui s’est déroulé sans incidents. Il s’agissait en effet ici de militants identitaires et solidaristes et pas de « racailles » du type de celles qui ont dévasté le centre de Bruxelles, le soir même.

Au niveau de la conférence-débat en elle-même, elle fut aussi une réussite, tant au niveau technique (ainsi un écran permettait de la suivre en direct dans une autre salle) qu’au niveau des orateurs qui ont tous défendus avec brio et talent leur point de vue.

A l’issue de la conférence, l’ensemble du public a d’ailleurs manifesté sa satisfaction…la soirée de camaraderie durant fort tard 

Tous les jours un peu plus, le Mouvement NATION démontre qu’il est la seule force patriotique dynamique et structurée de Belgique francophone !

PS : Un grand merci à tous : ceux qui ont mobilisé, ceux qui ont réalisé le travail audio-visuel, ceux qui ont tenus les stands, ceux qui ont fait le service d’ordre, ceux qui on collé la semaine précédente, ceux qui sont montés de garde, ceux qui ont fait le service…et tous les autres que nous aurions oublié ; cette réussite fut la vôtre !

D’AUTRES PHOTOS SUIVRONT TRES BIENTOT !

Emeutes à Bruxelles : une autre forme de terrorisme ?

NATION condamne bien entendu les véritables émeutes ethniques provoquées par des bandes de jeunes d’origine immigrée.

NATION marque son soutien aux 22 policiers blessés et espère qu’ils se souviendront de qui les agresse, la prochaine fois que leurs chefs leur demanderont d’arrêter des militants identitaires manifestant sans violence.

A la vue des témoignages repris à la télévision, il semble que les commerçants visés l’ont été en fonction de leur non-appartenance à la communauté maghrébine. Serait-ce le début de l’épuration ethnique du quartier Lemonnier ?

D’autre part, la police parle de groupes organisés venus pour la casse. On peut raisonnablement se demander si certains activistes islamistes ne seraient pas en train d’organiser une nouvelle forme de terreur dans nos villes !

Quoi qu’il en soit, ce qui s’est passé hier montre bien que le « multiculturel », ça ne marche pas. Ce sont des jeunes issus de la QUATRIEME génération d’immigration qui se sont rendus coupables de ces violences.

Cela montre aussi qu’il est plus que temps que nos concitoyens marquent leur refus du chaos et de la violence en faisant émerger électoralement une force politique identitaire, résolue et qui n’aura pas peur du politiquement correct ! Cette force, c’est NATION !

Épernon (28) : Mohamed condamné à 6 ans de prison pour le meurtre d’Érick

Mohamed Boukayouh a été condamné à 6 ans de prison ferme, pour les violences ayant entraîné la mort d’Erick Mosnier, le 3 février 2012, à Epernon. Des conflits de voisinage pourraient être à l’origine de la rixe. Il est arrêté à la sortie de l’audience et placé en détention. L’une des questions que vont se […]

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Caserta (It) : un migrant met le feu au centre d’accueil, un responsable lui tire dessus

D’abord un migrant tente de mettre le feu au centre d’accueil, puis un des membres du consortium qui gère la structure ouvre le feu avec le canon et le blesse en tirant à la bouche. (…) Des heures de panique ont eu lieu à Aversa, dans la province de Caserte, où dans le centre d’accueil […]

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Toulon le 29 novembre : L'Islam un défi pour l'identité chrétienne

 

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Manifestation patriotique en Pologne

 

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont participé samedi à Varsovie à une marche patriotique à l'occasion de la Fête de l'Indépendance, commémorant la renaissance de l'Etat polonais en 1918. Le mot d’ordre officiel et rassembleur était «Nous voulons Dieu». Pour comprendre ce mot d’ordre, il faut savoir que les milieux nationalistes qui organisent cette marche sont majoritairement catholiques. Les participants sont majoritairement catholiques et affichent des positions patriotiques, conservatrices et pro-vie.

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Le retour des djihadistes est une hérésie qui pourrait nous coûter cher

Imaginons un instant que Salah Abdeslam soit jugé en Arabie saoudite ou en Afghanistan. Admettrions-nous cette aberration sans broncher ? Sans doute pas. Aussi, cette question de plus en plus prégnante du retour des djihadistes sur le sol national n’a pas lieu d’être : ils doivent être jugés dans les pays où ils ont commis leurs atrocités, à savoir la Syrie et l’Irak ; peu importe le sort qui leur sera réservé.

« Interrogé à ce sujet par France 2 mercredi 8 novembre, puis par des journalistes lors d’une conférence de presse ce jeudi 9 novembre à Dubaï (Émirats arabes unis) sur [leur] sort » (Valeurs actuelles), Emmanuel Macron a eu une réponse pour le moins laconique : « Il y en a qui peuvent revenir sans qu’ils soient rapatriés, il y en a qui peuvent être rapatriés, et il y en a qui seront jugés avec leurs familles, dans certaines circonstances, dans les pays où ils sont, en particulier l’Irak. »

Quant aux femmes – nombre d’entre elles ayant volontairement rejoint les rangs de Daech – et leur progéniture, chaque situation sera examinée « au cas par cas en fonction de la situation », a encore déclaré le Président français, ajoutant que « tout ce qui a été commis fera l’objet d’un jugement », nettement plus clément chez nous, où la peine de mort est abolie.

L’autre avantage, pour les djihadistes combattants qui ont – et auront, d’ici là – réussi à rentrer en France, c’est que notre pays n’extrade pas ses ressortissants. D’où, certainement, le vœu de ces fanatiques – entraînés à se battre et à haïr notre mode de vie occidental – d’être jugés par des tribunaux français car, au bout du chemin, ce sera la perpétuité toute relative, dans le pire des cas, et l’assurance d’être traités avec humanité dans les prisons françaises.

Mais ça, c’est en théorie puisque, « selon les chiffres du gouvernement datant de fin octobre, tous les djihadistes revenus en France n’auraient pas été mis en prison » (op. cit.). Pire : sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles. Et là, on ne parle pas de ceux qui pourraient être rapatriés ou qui seraient passés en dessous des radars des services concernés.

 Ces « citoyens » ne vont certainement pas abandonner leurs convictions par magie et l’on peut craindre qu’ils exporteront le djihad ici-même, sans compter les disciples qu’ils rallieront à leur cause.

Dans ce cas précis, ne pourrait-on pas nous asseoir sur notre bienveillance niaise, remettre ces assassins de masse aux autorités irakiennes et syriennes et les abandonner à leur sort ?

En ce qui concerne les enfants (une fois n’est pas coutume), j’abonde dans le sens d’Emmanuel Macron : « Ils font l’objet, d’ores et déjà pour ceux qui sont revenus et ceux qui reviendront, d’une procédure toute particulière et d’un suivi très particulier, en particulier sur le plan médical et psychiatrique. » À condition que leur garde soit définitivement retirée à des parents aussi mortifères.

Charles Demassieux

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Nicolas Dhuicq : « En psychiatrisant le terrorisme, on évite de poser les questions qui fâchent »

Vendredi après-midi, à Blagnac, près de Toulouse, un conducteur a foncé volontairement sur un groupe de personnes rassemblées devant une école de commerce. Interpellé par les forces de l’ordre, placé en garde à vue, l’individu est connu pour des antécédents psychiatriques.


Boulevard Voltaire a interviewé Nicolas Dhuicq, maire de Brienne-le-Château, mais aussi docteur psychiatre, au sujet de ce fait divers, de la situation de la psychiatrie en France. L’occasion, pour lui, de revenir sur cette idée, que l’on trouve notamment chez le ministre de l’Intérieur actuel, que le terrorisme serait une maladie comme une autre.

Le document audio en cliquant ici

Du sursis pour une tête de sanglier devant une mosquée

Deux jeunes habitants de Pont-de-Beauvoisin (Isère) ont été condamnés aujourd'hui à 3 et 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu pour avoir accroché une tête de sanglier à la porte de la petite salle de prière musulmane de leur village.

Les deux jeunes de 20 et 22 ans étaient poursuivis pour provocation à la haine raciale en lien avec la religion. Les deux jeunes hommes avaient reconnu les faits en garde à vue puis lors de l'audience en septembre, plaidant une "mauvaise blague" sur fond de soirée trop alcoolisée.

Fin juillet, circulant dans une voiture avec trois autres amis, ils avaient percuté un sanglier. Après avoir ramassé l'animal mort, ils l'avaient dépecé et congelé la viande. Quant à la tête, l'un des prévenus avait proposé de la déposer devant la salle de prière qui, sans aucun signe ostentatoire, est toutefois connue de tous dans ce village de 3500 habitants du Nord-Isère.

Seul le jeune homme compère de 23 ans avait suivi l'idée, tandis que les trois autres s'étaient désolidarisés de l'entreprise. Au matin, des fidèles estomaqués avaient fait la sanguinolente découverte en venant pratiquer leur culte. L'enquête n'avait pas mis 48 heures pour retrouver les auteurs de cette provocation, un délit passible de cinq ans d'emprisonnement.

Outre la peine de prison avec sursis, les deux coupables devront verser 2000 euros à l'Association du Juste milieu, qui gère le lieu, et 2000 euros à l'association de défense des droits de l'homme-collectif contre l'islamophobie en France, qui s'étaient toutes deux constituées parties civiles. Ils devront aussi payer 1000 euros de frais de justice. Enfin, un communiqué exposant leur condamnation sera affiché à proximité de la porte de la salle de prière.

dimanche, 12 novembre 2017

Islam, immigration, terrorisme : « La guéguerre des sociologues »

Les disputes incessantes entre les « analytiques » et les « combatifs », notamment sur l’islam en France, l’immigration, la religion et le terrorisme, offrent un spectacle affligeant, estime Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».

C’est une guerre intellectuelle dont les protagonistes s’envoient du mépris en guise de roquettes. Le champ de bataille est celui de la sociologie et les acteurs des sociologues. Les deux camps s’affrontent sans dialoguer. Leurs joutes sont pourtant passionnantes, par des livres, articles ou interventions dans les médias, qui sont deux façons d’analyser la société. Tous les sujets y passent. Mais ils ne voient pas la même chose. Mais alors pas du tout.

D’un côté, il y a les sociologues scientifiques ou analytiques, qui disent laisser leurs convictions au vestiaire pour décrypter la société. De l’autre, les sociologues engagés ou critiques, pour qui nos institutions sont d’abord une machine à fabriquer des puissants et des faibles, des oppresseurs et des opprimés. A les écouter, les scientifiques seraient les complices de la droite, les autres de la gauche radicale.

L’opposition est vieille comme la sociologie. Mais elle revient au galop. C’est le seul camp analytique qui rouvre les hostilités. Gérald Bronner et Etienne Géhin viennent de signer Le Danger sociologique (PUF, 244 p., 17€), qui fait polémique (« Le Monde des Livres » du 6 octobre). Le prochain numéro de la revue Le Débat, en librairie le 23 novembre, contient un dossier dont le titre est du même tonneau : « La sociologie au risque d’un dévoiement ». Les contributeurs sont Bronner et Géhin, Dominique Schnapper, Olivier Galland, Pierre-Michel Menger et Nathalie Heinich. Un colloque devait prolonger en décembre le débat – il a été ajourné.

Ces auteurs s’inquiètent du poids pris par la sociologie engagée à l’université ou ailleurs, notamment chez les jeunes chercheurs. Ils sont effarés par la façon dont sont menées les enquêtes, la façon dont « les combattants » font parler les statistiques, manient le sophisme, font l’impasse sur les questions qui dérangent leurs convictions, oublient de citer des publications qui les contredisent. […]

Le Monde

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Soumission à l'islam : le clergé cherche-t-il à faire des chrétiens des martyrs ?

 

De Polydamas sur Twitter :

"Donc, je connais bien un fils de chrétien d'Orient. On parlait de la situation de la région et il m'explique un peu les choses : les chrétiens, jusqu'il y a peu, étaient encore majoritaires dans certains pays d'Orient, quoi que dominés par l'islam. Comment se fait il qu'ils aient complètement disparu ? Des amis se sont rendus dans des camps de chrétiens, justement avec SOS Chrétiens d'Orient et étaient étonnés de leur passivité face à l'islam. Par passivité, j'entends les choses suivantes :

  • refus de s'entraîner militairement ;
  • refus de construire des infrastructures minimales utiles pour une population ;
  • refus de s'impliquer dans une dimension de conflit.

Et donc, alors que de nombreux musulmans, qui les entourent, qui les mettent en plus ou moins esclavage, ont juré qu'ils disparaîtraient, les mecs perdent du temps sur l'essentiel. Pourquoi ne se battent-ils pas ? Pourquoi ne veulent ils pas s'entraîner ? 

Réponse : parce que le clergé local les y incite ! Surtout, pas de vagues ! En fait, le clergé chrétien oriental est corrompu, tous partis et toutes chapelles confondues, jusqu'à la moelle. Mon ami a une jolie expression : « Rome est la capitale de la vertu par rapport au clergé oriental. » Même chez les chrétiens identitaires, les phalanges libanaises, on mélangeait sans complexe argent, drogue, mafia, clergé et armement. A la guerre comme à la guerre. Au Liban, il est connu que tel ou tel père a des dividendes sur telle ou telle boutique, qu'il prend sa dîme sur les revenus et chiffres d'affaires de celle-ci et pas forcément pour payer les messes. Bref, oui, c'est le bazar. OK, ce n'est pas exemplaire.

Et bien, de l'autre côté, c'est pareil. Sauf que la tournure que ça prend est bien plus dramatique : le clergé oriental est carrément soumis à l'islam ! Le pire est que c'est encouragé par les curés et pères chrétiens ! Pourquoi ? Parce que les martyrs sont la semence du christianisme, voilà pourquoi ! Les prêtres orientaux utilisent le noble appel du martyr pour soumettre leurs ouailles à l'islam. C'est absolument immonde et dégueulasse ! Ce qui est de l'ordre de l'appel personnel, de la relation entre Dieu et son fils, est transformé en mission collective pour un peuple entier. Folie ! Sous prétexte qu'il faille "témoigner", qu'il faille porter sa croix, le clergé oriental, bien soutenu par l'occidental, en vient à nier le besoin de survie des peuples. A tout minimiser. Cette injonction paradoxale est proprement monstrueuse : « Soyez martyrs, sinon vous n'êtes pas chrétiens ! » MAIS C'EST FAUX ! Le martyr n'impose aucunement d'être idiot, de ne pas se battre, de ne pas survivre, au contraire ! 

Et à ceux qui diront que je raconte n'importe quoi, je les invite à se reporter à cette interview et plus précisément, la fin

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Bref, en politique, il faut mettre les curés de côté et faire ce qui est juste. Sinon, c'est comme Ste Jeanne d'Arc : « Évêque, c'est par toi que je meurs ! »"

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Allemagne : la persécution des réfugiés chrétiens est passée des camps à la rue…


La persécution des réfugiés chrétiens par des réfugiés musulmans, n’a pas cessée en Allemagne. Elle est tout simplement passée des camps à la rue… L’article ci-dessous du Journal Chrétien est une adaptation en français d’un article paru sur Breibart (Londres) le 9 novembre.

La situation est différente aujourd’hui en Allemagne pour les demandeurs d’asile chrétiens comparativement aux années précédentes, a expliqué le pasteur Gottfried Martens, responsable d’une église libre à Berlin à Breitbart. Pourtant, la persécution des chrétiens, principalement ceux d’origine musulmane, se poursuit belle et bien. Elle s’est seulement déplacée. « Beaucoup de réfugiés qui se trouvaient dans des camps de réfugiés il y a un an ont maintenant des maisons privées », a déclaré Martens, affirmant que les attaques contre les chrétiens se déroulaient maintenant dans les rues ou dans les stations de métro.

Au cours de l’année écoulée à travers le pays, il y a en effet eu plusieurs attaques contre des chrétiens dans la rue, y compris le meurtre d’une femme afghane à Prien am Chiemsee, que la police a associé à un motif religieux. La mère de quatre enfants de 38 ans a été poignardée à mort en mai [en fait le samedi 29 avril] par un demandeur d’asile musulman afghan, et alors que la police soupçonnait un motif religieux, l’église protestante locale a nié que cet acte avait quelque chose à voir avec la religion.

En septembre, une autre agression a eu lieu à Berlin, où un homme afghan converti de 23 ans, qui portait une croix autour du cou, a été battu par de jeunes hommes dans une partie de la ville peuplée de migrants.

Ado Greve de l’organisation Open Doors, qui a publié un rapport exhaustif l’année dernière sur la violence contre les chrétiens, a déclaré : « Ceux qui sont attaqués ne veulent généralement pas attirer l’attention et sentent souvent qu’ils ne reçoivent pas assez d’aide de la part des autorités. La police ne peut répondre qu’à des cas spécifiques. »

Rosemarie Götze, connue sous le nom de Sœur Rosemarie, ne pense pas que la situation se soit améliorée pour les chrétiens dans le quartier berlinois de Neukölln, où l’attaque contre le converti afghan a eu lieu a expliqué Breitbart. Plusieurs membres de la communauté chrétienne dont elle est responsable disent craindre les agressions : « Ils ont peur de continuer à être agressé ou que les familles qui sont encore à l’étranger puissent apprendre qu’ils sont devenus chrétiens ».

Selon le journal Die Welt, un réfugié iranien à Berlin a notamment été menacé par un parent proche à l’étranger parce qu’il s’était converti de l’islam au christianisme. Il a même reçu un SMS de son pays sur lequel il a pu lire : « Je vais te tuer si je te trouve ».

Source : Journal Chrétien, 9 novembre (merci A. M. pour ce signalement)

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« Blacklisté par les médias », le père d’un soldat tué par Merah parle : « Le vivre-ensemble est un concept con »

Très critique vis-à-vis de l’islam, le père d’Abel, jeune militaire de 25 ans tué à Montauban par Mohamed Merah, en mars 2012, refuse le cirque médiatique de la bien-pensance Vous avez perdu votre fils, Abel, le 15 mars 2012, lors des attentats de Montauban et de Toulouse, et pourtant on ne vous a pas beaucoup […]

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« Stop aux prières de rue » à Clichy : une centaine d’élus d’Île-de-France vent debout !

Vendredi, pour les musulmans, est jour de prière à la mosquée ou à la maison.

Et parfois dans la rue, à même le macadam ou le pavé, comme c’est le cas depuis mars à Clichy-la-Garenne, banlieue parisienne qui jouxte la capitale. Bien qu’ayant à leur disposition une grande mosquée, rue des Pavillons pour être précis, quelques centaines de musulmans font de la résistance, refusant la mosquée de Clichy, pour occuper une rue face à la mairie de Clichy et y proclamer leur foi par haut-parleurs interposés.



Nuisance sonore, difficultés pour circuler… On peut comprendre l’exaspération des habitants. Comment ne pas voir une laïcité à sens unique ? Le Conseil d’État oblige la mairie de Ploërmel à abattre la croix qui domine la statue de saint Jean-Paul II, vient de refuser à Robert Ménard l’autorisation d’installer une crèche dans sa mairie de Béziers et reste silencieux aux appels du maire de Clichy outré de cette entorse sonore, visible et bien peu respectueuse de la laïcité.

Le préfet du 92 est même allé plus loin, en encadrant de policiers – et donc en officialisant tacitement – cette prière dite de rue, qui n’est d’ailleurs pas unique sur le sol français. Cette pratique a déjà été vue dans nombre de grandes villes.

 Mais, au fait, pourquoi le maire avait-il fait fermer la mosquée An-Nour ? Pour cause d’insalubrité et parce que la mairie voulait récupérer ce local pour en faire une médiathèque pour le bien commun de tous les citoyens. Le maire Rémi Muzeau avait hérité de la précédente municipalité socialiste cette « grande mosquée de Clichy » avec qui avait été signé, par l’intermédiaire de l’association musulmane UAMC, un bail précaire auquel il a mis fin à l’échéance.

L’UAMC avait protesté en affirmant que le maire leur avait promis la construction d’une mosquée ; promesse tenue, puisqu’il a inauguré la mosquée des Trois-Pavillons tenue par une autre association cultuelle musulmane. Querelle de minaret ? Peut-être, mais parce que les habitués de la mosquée évacuée en mars dernier trouvent la mosquée trop éloignée du centre-ville, ils se rebellent donc à coups de prières de rue. 

C’est pour protester contre cette bataille de rue qu’une centaine d’élus de la région parisienne avec, à leur tête, Valérie Pécresse sont venus défier les prieurs en chantant quelques « Marseillaise » pour couvrir les haut-parleurs musulmans et de nombreux Allaouh Akbar qui leur étaient adressés.


Derrière la banderole « Stop aux prières de rue », ces élus conduits par Valérie Pécresse, auxquels s’étaient joints quelques centaines de protestataires, n’ont pas réussi à faire stopper l’iman prêcheur. Mais cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations qui, au travers de la religion, n’ont qu’une idée en tête : s’imposer dans la rue. Il semblerait que le succès de cette protestation improvisée soit un premier pas visant à forcer le timide ministre de l’Intérieur à réagir.

 Mais les journalistes de BFM TV – qui s’en étonnera ? – avaient une tout autre version de cette manifestation.

Floris de Bonneville

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samedi, 11 novembre 2017

Inde : Un médecin musulman tue sa copine hindoue qui refusait de se convertir et de le marier

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Macron se fait défenseur de l'islam

 

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Mineurs étrangers : à 95 %, il s’agit de garçons

 

MPour l'immigration, pas de parité :

"Selon un rapport sénatorial présenté fin juin, les mineurs non accompagnés (dénomination officielle pour les enfants et adolescents étrangers arrivés seuls en France) devraient être 25 000 à la fin de l’année. En 2010, ils étaient 4 000. Et en 2005, un rapport de l’Igas (Inspection générale des Affaires sociales) notait déjà que l’accueil des mineurs étrangers « se diffusait progressivement à l’ensemble du territoire ».

À 95 %, il s’agit de garçons. L’an dernier, près de 60 % d’entre eux avaient 16-17 ans. Les moins de 13 ans représentaient à peine 2 %"

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Quand des élus communistes soutiennent des terroristes islamistes

 

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Le "Monsieur islam" du ministère de l'Intérieur savait (presque?) tout sur Tariq Ramadan

Avant de lire ceci, prenez votre dose de Padamalgam 500mg :

Unknown-41"Bernard Godard est un des experts français de l'islam. Entre 1997 et 2014, il a été considéré comme le "Monsieur islam" du ministère de l'Intérieur, conseillant successivement Jean-Louis Debré, Jean-Pierre Chevènement, Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux ou encore Manuel Valls. Il connaissait donc très bien Tariq Ramadan, islamologue suisse, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, habitué à masquer son fondamentalisme religieux derrière des discours modernistes, agissant comme un véritable gourou pour de nombreux croyants, et aujourd'hui accusé de viol par plusieurs femmes, notamment deux qui ont porté plainte.

Mais le connaissait-il au point de "savoir" ? C'est la question posée par L'Obs ce 31 octobre. Et la réponse de celui qui connaît tout de la montée de l'islamisme radical en France fait peur :

"Qu'il avait beaucoup de maîtresses, qu'il consultait des sites, que des filles étaient amenées à l'hôtel à la fin de ses conférences, qu'il en invitait à se déshabiller, que certaines résistaient et qu'il pouvait devenir violent et agressif, ça oui. Mais je n'ai jamais entendu parler de viols. J'en suis abasourdi."

Quand on pense à ce que subissent certains évêques pour des faits remontant à 25 ans, c'est nous qui sommes abasourdis...

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Samuel Lafont : « Des politiques naïfs ou lâches veulent faire revenir des ennemis de la France ! »

 

Le document en cliquant ici

Pujadas a invité les islamo-collabos du Printemps français et Liogier pour parler d’islamisme !

Petit compte-rendu de Denise, merci à elle :  Hier soir, sur LCI, le sujet débattu était « Islamisme : la France est- elle trop naïve ? » Les invités : Raphaël LIOGIER Sociologue du fait religieux et philosophe ;  Amine EL KHATMI Conseiller municipal d’Avignon et Président de l’association Printemps républicain ;  Philippe VAL Journaliste et ancien directeur de […]

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Pourquoi « l’islamologue » Tariq Ramadan, accusé de plusieurs viols, garde le soutien de certains intellectuels

Avec l’affaire Tariq Ramadan, les intellectuels qui ont fréquenté l’islamologue genevois se voient désormais sommés de s’expliquer. Car l’homme a pesé dans le débat politique et certains veulent défendre son oeuvre et ses combats. Prédicateur remplissant les salles de musulmans pieux, universitaire, intellectuel engagé enchaînant tribunes et colloques consacrés à divers combats politiques, Tariq Ramadan […]

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vendredi, 10 novembre 2017

Quadruple meurtre à Saint-Paul-Trois-Châteaux (26) : El Kadaoui condamné à perpétuité vivrait caché au Maroc

Abdelkarim El Kadaoui a été reconnu coupable d’avoir tué sa femme et ses 3 enfants en juin 2013. La cour d’assises de la Drôme l’a condamné à la reclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûrete de 22 ans. Le mandat d’arrêt européen a été prolongé. (…) Le Progrès C’est un procès très particulier […]

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15 novembre : Terreur et terrorisme à Orange

 

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Réouverture d’une mosquée qui avait été fermée pour apologie du terrorisme

Fermée pour apologie du terrorisme sous l’état d’Urgence, réouverte un mois plus tard à la fin de cette loi d’exception, une salle de prière des Hauts de Seine fait polémique. Des propos inquiétants avaient pourtant été tenus par des fidèles comme par exemple «Les terroristes sont des musulmans qui ont la foi» ou encore qu’il y avait «des musulmans d’une part et les chiens de mécréants d’autre part». La réouverture de cette mosquée a été rendue possible en raison de la levée de l’état d’Urgence, un cadre législatif qui avait entraîné la fermeture d’une trentaine de lieux de culte en France :

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Vannes. David Robo face à la colère des riverains contre l’insécurité

09/11/2017 06h35 Vannes (Breizh-Info.com) – Ménimumr et Kercado sont deux quartiers de l’agglomération de Vannes que nous évoquons malheureusement souvent dans nos colonnes. Peuplés d’une part importante de populations extra-européennes, ils sont en proie à une hausse inquiétante de l’insécurité.
Deux quartiers où l’islam gagne du terrain, provoquant de graves changements dans la manière dont les femmes vivent l’espace public. Ainsi, en novembre 2016, des associations féministes proposaient d’organiser des « marches de femmes » à Kercado. Mais les femmes du quartier ne souhaitaient pas s’investir « par peur de représailles », notamment des dealers. Car les deux quartiers sont des plaques tournantes du trafic de stupéfiants dans le Morbihan.

Une réunion publique très tendue

Mardi 7 novembre au soir, une réunion avait lieu à Ménimur avec la présence du maire de Vannes, David Robo et de représentants de la Police nationale ainsi que du bailleur social Vannes Golfe Habitat.
Dans une ambiance très tendue, les autorités ont pu prendre conscience de la colère froide de riverains confrontés à des situations intenables.

Au menu de cette réunion publique très intense : l’insécurité, les jeunes délinquants et les aides sociales.
Confronté à cette colère, David Robo – parfois très tendu – a promis l’installation de caméras de surveillance avant fin novembre rue Sonia Delaunay, où les trafiquants de drogue opèrent. Mesure supplémentaire annoncée à des riverains demandeurs d’une action forte : certaines caves seront murées.

Des mesures qui ne suffisent pas pour les riverains qui ont d’ailleurs largement moqué le maire après que David Robo a affirmé que seule une vingtaine de délinquants agissait à Ménimur. « Ils étaient au moins 30, rien que l’autre soir » s’ait ainsi écrié une femme en réaction à ce propos du maire.

La communauté comorienne pointée du doigt

Depuis plusieurs jours, les langues se déliaient à Ménimur sur l’arrivée de nombreux jeunes Comoriens. Un haut gradé local avait même parlé « de véritables bombes à retardement ».

Un rare moment de lucidité et d’insoumission au politiquement correct qui a obligé un représentant de cette communauté à Vannes à demander qu’on lui prouve qu’il s’agissait bien de Comoriens qui posaient problème à Ménimur.

Ce lien – évidemment clair – entre immigration extra-européenne et hausse de l’insécurité à Vannes avait à peine été effleuré qu’une Comorienne a pris la parole afin d’affirmer que les personnes de toutes les communautés voulaient la sécurité. Et la femme, longuement applaudie, de réclamer la suppression des allocations aux parents d’enfants déscolarisés délinquants.

Pour l’exemple, le jour même de cette réunion, un jeune de 21 ans, jugé pour des dégradations commises lors des violences urbaines de la nuit d’Halloween à Ménimur avait été condamné à trois ans de prison dont un an ferme. Il avait mis le feu à une poubelle, détérioré une aubette et caillassé policiers et pompiers.

Le débat de fond sur l’immigration attendra.

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