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mardi, 04 août 2009

Immigration : la bombe des vrais chiffres !

Je demande à tous les destinataires de ce message de le diffuser le plus largement possible sur l’Internet, les blogs, les mailing listes et tous les supports disponibles afin de rompre l’omerta des politiciens et des médias. J’ajoute qu’il se veut purement factuel et s’abstient de commentaires partisans.

 

Ivan Rioufol et le journal Marianne se sont récemment fait l’écho de la rétention des statistiques sur l’immigration. De mon coté, j’ai constaté qu’il n’existait plus de données sur les flux migratoires depuis le dernier rapport portant sur l’année 2006. A vrai dire, ces statistiques n’ont d’ailleurs plus beaucoup de sens. Elles ne recensent pas un turc de nationalité allemande venu s’installer en France et ne prennent pas en compte la seconde ou la troisième génération issues de l’immigration. Par exemple, la jeune fille portant le Niqab qui s’exhibait dimanche dernier, sur la promenade Marcel Proust à Cabourg, est très certainement née en France et ne fait donc pas partie du stock de la population immigrée.

 

J’ai donc décidé d’anticiper le rapport consacré aux statistiques ethniques qui devrait être remis en septembre par Yazid Sabeg (le commissaire à la diversité et à l’égalité des chances). Le principe de ma méthode est aussi simple que l’oeuf de Christophe Colomb. Au lieu de s’égarer dans le labyrinthe administratif des différentes catégories d’étrangers ou d’immigrés, il suffit d’évaluer à contrario le stock actuel de français et européens de souche.

 

Nous disposons en effet d’un point de départ précis: celui de la population en 1946 (40.246.742), sachant que les étrangers et immigrés étaient alors à 88% d’ethnie européenne. On ajoute à cette population initiale l’accroissement naturel (hors immigration) jusqu’en 1974, date du regroupement familial (1) et on obtient 49.105.699 en 1975. On applique ensuite à ce dernier chiffre, les taux d accroissement naturel de trois départements français ou l’immigration est restée jusqu’à ce jour négligeable (2). On arrive ainsi en 2008 à 53 millions d’habitants pour la population d’ethnie européenne (3). Comme l’INSEE estime notre population globale à 62 millions à cette date, il en résulte que les ethnies noires, arabes et asiatiques représentent aujourd’hui 9 millions de personnes (4).

 

Le résultat de cette méthode correspond aux observations quotidiennes. Si certains veulent contester ce chiffre, qu’ils produisent le leur ! Face au silence des Instituts, notre calcul revêt donc, de facto, un caractère officiel.

 

Je reviendrai sur ce chiffre pour commenter les projections démographiques qui en résultent avec leurs conséquences politiques, sociales et économiques, mais ce sera une autre histoire.



Gérard Pince

pour gerardpince.blogspot.com

le 30 juillet 2009

 

Sources : 

 

1-  http://www.ined.fr/fichier/t_telechargement/19788/telecha...


2-Neuf départements comptaient moins de 2% d’immigrés lors du recensement de 1999. J’ai retenu la Manche, les Deux Sèvres et la Vendée. Le taux moyen pondéré d’accroissement naturel de ces trois départements a atteint 0,4% pour la période 75-82, 0,3% pour 82-90 et 0,17% pour 90-2007. A titre de comparaison, entre 1999 et 2006, la Seine Saint Denis a enregistré un taux de 1,2%. Source: http://www.statistiques-locales.insee.fr/esl/accueil.asp&...

3-Précisément : 53.237.272


4-Il faudrait rajouter environ 500.000 clandestins.

lundi, 06 juillet 2009

20 salafistes français expulsés d’Egypte

Source NOUVEAU NH

Afin d’approfondir leur connaissance du salafisme et s’immerger dans un milieu plus conforme à leurs aspirations culturelles, de jeunes français convertis à l’islam radical seraient apprend-on nombreux à prendre le chemin du Caire, considéré par beaucoup comme l’un des principaux phares de cette doctrine encore inconnue dans notre pays il y a à peine vingt ans.

Les écoles de formation et les mosquées de même obédience y seraient parait-il parmi les plus réputées du monde musulman. La nouvelle serait passée inaperçue si une vingtaine d’entre eux, tous par conséquent français, n’avaient été récemment expulsés d’Egypte en raison de leurs liens présumés avec la mouvance de la cellule terroriste responsable de l’attentat du Caire qui avait entraîné la mort d’une jeune touriste française et blessé 24 autres personnes. L’attentat s’était produit le 22 février dernier près de Khan Al-Khalili, le grand souk de la capitale égyptienne particulièrement prisé des touristes. Aucune charge n’a été retenue contre les français en question, les autorités égyptiennes semblant avoir voulu profiter de la mise hors d’état de nuire de la cellule pour redonner un coup de pied dans la fourmilière salafiste du Caire afin d’empêcher que ne s’y développe des foyers de djihadistes. Un travail de surveillance qui semblerait ne pas manquer de cibles puisque c’est une moyenne de 4 ressortissants étrangers présumés radicaux qui aurait lieu chaque mois. L’opération la plus importante avait donné lieu en décembre 2006 au retour forcé vers leur pays d’origine de 13 ressortissants francophones soupçonnés d’avoir voulu rejoindre l’Irak pour y accomplir leur « Jihad ».

Le quartier de Medinat Nasr, réputé pour abriter une communauté salafiste importante, serait le lieu préféré des français musulmans désireux de se ressourcer intellectuellement auprès de cet islam des origines qu’ils se chargeront ensuite d’enseigner chez nous auprès des nouveaux convertis et renforcer encore un peu plus ce communautarisme dont on parle beaucoup mais contre lequel on ne fait pas grand-chose.

Source : Nouvelobs.com

samedi, 04 juillet 2009

Clandestins : LE PRIX D'UNE EXPULSION...

Source ALTERMEDIA

L’Élysée sait fixer des quotas de reconduites à la frontière d’étrangers en situation irrégulière, mais est incapable de mesurer précisément le coût de cette politique.

Dans un rapport rendu public mercredi 1er juillet 2009, la Cour des comptes dénonce le «manque de clarté» des comptes publics en la matière. Elle évalue à 200 millions d’euros par an le budget consacré au maintien des sans-papiers dans les centres de rétention administrative, soit 13.220 euros par retenu effectivement expulsé, tout en admettant que ce chiffre ne tient compte ni des dépenses d’interpellation, ni des éloignements, ni des frais de justice.

samedi, 20 juin 2009

Faut-il interdire la burqa ? Non ! C'est l'islam qu'il faut interdire en France !

314782035.jpgpar Robert Spieler

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire



Quelle laïcité ?


La loi du 15 mars 2004, en application du principe de laïcité, interdit aux « élèves des écoles, des collèges et des lycées publics le port de signes ou de tenues manifestant ostensiblement une appartenance religieuse ». On l'a compris : interdiction, sur une terre chrétienne, de porter des croix. La loi, qui n'évoque que « l'appartenance religieuse » n'interdit pas, en revanche, le port des insignes des nouvelles religions de la décadence.

 
Un élève portant à la boutonnière le sigle de Sos-Racisme, celui de la Licra ou qui se présentera dans l'uniforme des dégénérés des banlieues ne sera pas sanctionné. Ces déguisements et la loghorrée primitive qui les accompagne mériteront même le respect du aux « différences ».


La loi n'interdit pas l'expression de son appartenance religieuse ou sectaire dans la rue. Certains, dont André Guérin, député-maire communiste de Vénissieux, souhaitent interdire le port de la burqa (qui recouvre intégralement la tête et le corps des femmes musulmanes) et du niqab (qui laisse apparaître les yeux), au prétexte que ces signes seraient l'expression visible des fondamentalistes et des intégristes. Mais est-ce là le vrai problème ?

 
Soyons tolérants...

 
Respectons toutes les fantaisies pseudo-religieuses, quelles qu'elles soient, dès lors qu'elles restent d'aimables fantaisies. Après tout, les adorateurs de la banane rose, les admirateurs de Seigneur Raël, les sectateurs du Grand Bonsai ou ceux de Krishna ne représentent aucun danger pour la société, si ce n'est celui de nous faire mourir de rire. Certains, tel le Dalaï-lama - merci Tintin -, bénéficient même, nonobstant leur niaiserie (ce sourire ! ces banalités !) d'une haute respectabilité.

 
Quant à l'Eglise de la scientologie, dont il est beaucoup question actuellement, on lui reproche d'avoir suborné quelques esprits faibles en leur soutirant leurs économies. Mais n'est-ce pas le cas des régimes minceur miracles, de l'imposture qu'est la psychanalyse ou même de religions respectées qui usent des même expédients ?

Si la crédulité, la bêtise, la naïveté et la superstition devaient être punies, les trois quarts de l'humanité seraient en prison...


Camille Flammarion, grand astronome du début du vingtième siècle, écrivit plusieurs livres consacrés aux tables tournantes, au corps astral et à l'apparition de spectres lors de séances spirites : un grand astronome, certes, auteur de « l'astronomie populaire », mais la dupe d'une bande d'illusionnistes et d'escrocs. Son exemple m'a toujours laissé songeur quant à la prétention de scientifiques ou d'intellectuels de renom de se mêler d'exprimer leurs avis définitifs dans des domaines autres que ceux où ils excellent.


Soyons humanistes, mais pas avec les dingues...


La secte du Temple Solaire, qui promettait un voyage sans retour vers Sirius (promesse tenue), le Mandarom dont les statues gigantesques du gourou antillais Gilbert Bourdin « embellissaient » la Provence (il pratiquait, lui, l'initiation de très jeunes filles), les « Enfants de Dieu » (dont le gourou, David Moïse, prônait le « fishing », c'est à dire la prostitution gratuite destinée à obtenir des conversions), toutes ces sectes, dont je pourrais multiplier les exemples, ont été interdites car, décidément, « too much ».


Imaginons une secte qui prônerait la supériorité de l'homme sur la femme, pire, qui autoriserait l'homme à battre sa femme, qui exigerait de tuer les apostats, d'exterminer les athées, qui inciterait à violenter les juifs et les chrétiens, dont le gourou aurait épousé une petite fille de huit ans...

 
Nul doute qu'une telle secte susciterait l'horreur et serait immédiatement interdite...


Conclusion : Ce n'est pas la burqa qu'il faut interdire, c'est la présence de l'islam sur notre terre !

 

mercredi, 18 mars 2009

Pensées rebelles : deux sondages s’inquiètent du poids des étrangers en France et en Allemagne...

BERLIN (NOVOpress) – Les identités nationales n’ont pas disparu. 29,7% des jeunes Allemands estiment qu’ « il y a trop d’étrangers en Allemagne », selon une vaste étude sur les jeunes et la violence publiée le 17 mars. Fin 2006, Il y avait déjà plus de huit millions de résidents étrangers en Allemagne. Les Turcs, avec 2,5 millions de membres (500 000 ont obtenu la nationalité allemande), représentent la plus forte communauté extra-européenne d’outre-Rhin.

En France, un sondage de l’Institut CSA révèle que près de la moitié des Français (48%) pensent que « les étrangers savent mieux profiter du système de protection sociale que les autres ». Des résultats qui pourraient laisser présager de nouvelles mesures coercitives contre la liberté d’expression sous couvert de « lutte contre les préjugés »…

Immigration : une majorité d’Européens et d’Américains souhaitent l’expulsion des immigrés sans travail...

LONDRES (NOVOpress) – Selon un sondage FT/Harris publié dans le Financial Times britannique, les trois quart des Italiens et des Britanniques ainsi qu’une majorité de Français, d’Allemands, d’Espagnols et d’Américains soutiendraient leur gouvernement si celui-ci décidait d’expulser les immigrés sans emploi.

Le sondage – portant sur 6 538 personnes et réalisé entre le 25 février et le 3 mars – révèle que l’accroissement du chômage provoqué par l’actuelle crise économique et financière va placer l’immigration au cœur du débat politique des différents pays européens et accroître le score des mouvements nationalistes et identitaire prônant l’arrêt de l’immigration.

Des résultats qui n’étonnent pas le ministre britannique de l’Immigration Phil Woolas selon qui «Le public est d’autant plus inquiet qu’il pense que le gouvernement ne parvient plus à contrôler [les flux migratoires]». Il a pourtant soutenu dans d’une interview télévisée que les frontières britanniques étaient plus sûres que celles séparant les Etats-Unis du Mexique : «Nous empêchons, en fait, les gens d’entrer. Nous comptons les gens qui entrent et ceux qui sortent», a-t-il déclaré. Reste à savoir si les sujets de sa Gracieuse Majesté seront vraiment convaincus…


mardi, 17 mars 2009

Comment réagir aux injonctions ou menaces de la Halde ? N'obéissez jamais !

images.jpg- La Halde vous envoie une injonction (lettre recommandée, sommation de s'exécuter dans un certain délai). Réponse : Vous jetez le courrier à la poubelle.

- La Halde dispose-t-elle d'un droit de perquisitionner en dehors de toute intervention des pouvoirs judiciaires ou policiers ? Réponse : Non. Elle le souhaite, elle le réclame, mais les parlementaires ne l'ont jamais accepté (pour l'instant du moins).

- La Halde vous convoque pour une affaire vous concernant... Réponse : Vous jetez la convocation à la poubelle. Vous n'avez en effet pas à vous justifier en quoi que ce soit, ni à répondre à ses injonctions.

- La Halde a-t-elle un pouvoir législatif ou juridique ? Réponse : Non, quasiment aucun.

- La Halde vous ordonne de réexaminer telle décision que vous avez prise ou d'indemniser telle personne qu'elle estime victime d'une discrimination, et de rendre des comptes. Réponse : Idem, à la poubelle. Elle ne peut vous obliger à obéir à ses diktats.

- La Halde, par l'intermédiaire d'un de ses collaborateurs, vous contacte par téléphone et cherche à vous faire parler de façon informelle. Réponse : Ne répondez surtout pas ! Raccrochez immédiatement !

La Halde ne détient aucun pouvoir judiciaire. Si la Halde vous contacte demain pour vous demander des explications quant à votre décision d'embaucher tel candidat ou de louer votre appartement à telle personne plutôt qu'une autre, ne répondez surtout pas. Vous n'avez pas à vous justifier, car votre décision relève du droit contractuel. C'est à elle d'apporter la preuve d'une volonté discriminatoire.

En conclusion, ne répondez jamais à la Halde, n'obéissez jamais à ses injonctions ou à ses menaces. Rien ne vous y oblige !

Résistance passive et... légale !

Robert Spieler

lundi, 22 décembre 2008

TF1 supprime la messe de minuit : Robert Spieler et la NDP appellent au boycott de la chaîne !

La Nouvelle Droite Populaire appelle au boycott de TF1 !

 

CYEBETCARAOVCWCAZ0D3KVCAKMK5OLCA5ABIW2CA6SBDA9CAEAKM05CAYSB4C3CALNPJWUCAT0UDQPCAC35RLJCAJUWAVBCA49002JCARY3WR8CAO5L0VLCAE2M5NJCANCTE27CA7J3ZP2CA36ZBNM.jpgLa messe de Noël expurgée par TF1 : Une ignominie de plus... TF1 diffusait traditionnellement, la nuit de Noël, la messe célébrée par le Pape dans la basilique St Pierre au Vatican.

 

TF1 a décidé, cette année, de remplacer cet évènement religieux, suivi par 1,5 million de personnes, par un "grand bêtisier de Noël".

 

Jusqu'où ira la chute ?

 

Que nous soyons catholiques ou non, la messe de Noël représente une étape importante, respectable et belle de notre identité.

 

TF1 boycotte des millions de Français... Boycottons TF1 !

 

 

Robert Spieler

Délégué général de la NDP

 

 

Soutenez la campagne de la NDP : ndp@club-internet.fr

 

NDP Communiqué du 22 12 08 Messe Noël TF1.pdf

 

Reproduisez et diffusez le tract suivant :

NDP Tract boycott TF1Noël.pdf

lundi, 08 décembre 2008

Histoire de chrétienté en France...

images.jpgLe 8 décembre, c'est la fête de l'Immaculée Conception. Cette fête de la pureté célébrée lors de l'Avent est au coeur de la religion catholique. A Lyon, cette fête prend une signification particulière. Les Lyonnais disposent à leurs fenêtres des petites lumières pour remercier la Vierge Marie d'avoir au moyen âge épargné leur ville de deux épidémies : la peste et le choléra.

 

Inscrit dans notre patrimoine historique et religieux, cette célébration doit avoir toute sa place face au tintamarre Islamophile prévu ce même jour en France.

 

François Ferrier

Conseiller régional NDP de Lorraine

samedi, 08 novembre 2008

LVCI vous invite à assister à la 2ème journée de Synthèse nationale, venez nombreux :

 

2éme journée de la revue nationale et identitaire

 

Synthèse logo.JPG

 

Fin du Nouvel ordre mondial :

 

 RENAISSANCE EUROPEENNE ! 

 

 

Dimanche 23 novembre 2008 

 

(de 11 h 00 à 18 h 00)

 

Forum de Grenelle

5, rue de la Croix-Nivert 75015 Paris

Métro Cambronne

 

Avec (1ère liste d’intervenants) par ordre alphabétique :

 

 

Pierre Descaves, ancien député, conseiller régional de Picardie, Président de France Résistance

Pieter Kerstens, chef d'entreprise

Anne Kling, écrivain

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Henry Nitzche, député au Bundestag (ex CDU – Pro Deutschland)

Frédéric Pichon, président de Europae Gentes

Arnaud Raffard de Brienne, écrivain

Philippe Randa, éditeur et écrivain

Jean-Claude Rolinat, écrivain, élu local en Ile-de-France

Rüdiger Schrembs, président de Pro Munich

Robert Spieler, ancien député, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

Nicolas Tandler, écrivain et journaliste

 

 

Invité d'honneur :

 

 

Filip DEWINTER,

Député d'Anvers,

porte parole du Vlaams belang

et initiateur de la campagne européenne

"Les Villes contre l'islamisation"

 

 

De nombreuses associations et organisations politiques seront présentes. La librairie Primatice aura un stand. Restauration rapide sur place...

 

Participation : 7,00 €

 SN Tract journée du 23 11 08.pdf

mardi, 21 octobre 2008

La sortie d’un jeu vidéo reportée pour ne pas choquer les musulmans

littlebigplanet-300x168.jpgSony a reporté la sortie du jeu vidéo «Little Big Planet» le temps d’en supprimer une musique de fond qui contient deux expressions tirées du Coran, ont indiqué lundi les concepteurs britanniques du jeu. Ils ont évoqué le risque de déplaire à des musulmans et présenté leurs “sincères excuses pour toute offense que cela aurait pu provoquer.”

Source Altermedia

dimanche, 15 juin 2008

REVUE DE PRESSE : Le Conseil Français du Culte Musulman est tout sauf français et, sans paradoxe, c’est heureux !

Outre le fait qu’il n’y a guère de culte dans l’islam sunnite, les dernières élections pour désigner les élus au Conseil d’Administration du Conseil Français du Culte Musulman montrent une nouvelle fois, s’il en était besoin, combien l’islam en France est surtout rattaché aux pays d’origine de ses pratiquants.

 

Ces élections amènent d’abord les constatations suivantes :

 

- La Fédération Nationale de la Grande Mosquée de Paris, sous contrôle algérien, celle que préside le docteur algérien Dalil Boubakeur si cher à Jacques Chirac et à Nicolas Sarkozy, avait décidé de boycotter les élections. Le docteur Boubakeur, en fait, n’arrivait pas du tout à contrôler l’institution.

 

- La liste qui remporte le plus de voix (43 %), est celle du Rassemblement des Musulmans de France (RMF) qui est en fait le rassemblement des musulmans marocains en France.

 

- Vient après elle (30 %), la liste de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) qui n’est autre que la représentation du mouvement islamiste révolutionnaire, d’origine égyptienne, des Frères Musulmans, ce que la plupart des médias ont soigneusement occulté.

 

- Vient ensuite notamment le Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France (13 %) qui a du moins le mérite d’afficher son appartenance.

 

 

Seuls les esprits légers pourraient être chagrinés par le fait qu’à l’évidence il n’y a pas encore « d’islam français ». L’islam en France est ainsi majoritairement raccordé soit à différents pays appartenant à l’oumma islamique, soit à une internationale des Frères Musulmans. Un Etat français soucieux de préserver l’unité de notre peuple devrait à l’évidence encourager le retour de ces ressortissants, évidemment d’appartenance étrangère, même s’ils ont administrativement acquis la nationalité française.

 

Il resterait bien sûr alors à assurer les principes de la préférence nationale et bien sûr du respect de la liberté religieuse à tous les musulmans qui sont issus des familles de ceux qui ont combattu pour la France et choisi le patriotisme français.Car le refus de l’islam en tant que société totalitaire ne s’accompagne évidemment pas du refus de reconnaître la dignité personnelle des musulmans, ni leur droit à la prière, ni celle de pratiquer leurs exigences alimentaires.

 

Pour ce qui est du mariage, la polygamie n’est pas un impératif de l’islam, elle est interdite en Turquie comme en Tunisie. Mais le respect des droits des musulmans ne s’accompagne évidemment pas de conformer à leurs exigences l’ensemble de la population française chrétienne ou autre !

 

 

Bernard Antony

samedi, 14 juin 2008

Islamisation : un musulman poursuit l’hôpital pour le handicap de son fils qu’il a lui-même provoqué

ishr-burka.jpgRadouane Ijjou retarde les soins pour l’accouchement de sa femme parce que le médecin est un homme… puis réclame à l’hôpital une indemnité pour le handicap qui en a résulté pour son fils Mohamed ! Demande rejetée… jusqu’à quand ?

Le 8 novembre 1998, l’épouse de Radouane Ijjou est en train d’accoucher à l’hôpital de Bourg-en-Bresse. Mais l’accouchement se révèle difficile et une césarienne doit être envisagée. Dans ce genre de situation, chaque minute compte : il faut à tout prix éviter le manque d’oxygène dans le cerveau de l’enfant, ce qui peut entrainer de lourdes séquelles cérébrales. La sage femme, en professionnelle consciencieuse, appelle donc d’urgence l’interne de garde. Oui, mais voilà, le futur père, musulman pratiquant, s’oppose catégoriquement - et physiquement ! - à l’intervention du médecin. Il refuse en effet qu’un homme examine sa femme. Après une demi-heure de palabres, l’interne parvient enfin à intervenir. Mais il est trop tard pour pratiquer la césarienne et il faut recourir aux forceps pour permettre l’extraction de l’enfant. Trente minutes, irrattrapables pour le cerveau du nouveau-né, ont été perdues et le jeune Mohamed, né dans ces conditions, va rester handicapé à 100 %.

Radouane Ijjou « se défend d’être intégriste, il a toujours refusé cette étiquette qu’on a voulu lui coller »

Situation inacceptable pour la famille qui a déposé plainte contre l’hôpital de Bourg-en-Bresse en réclamant une « indemnité provisionnelle de 100.000 euros, et à titre personnel, une somme de 10.000 euros ». La plainte a été rejetée en mai 2006 par le tribunal administratif de Lyon, rejet confirmé le 10 juin dernier par la Cour administrative d’Appel. Les juges ont estimé que « l’état de l’enfant [était] totalement imputable à l’attitude de M. Radouane Ijjou.» En outre, ils ont condamné les plaignants à payer 1.000 euros pour les frais de justice; et ce, malgré la curieuse plaidoirie de l’avocate de la famille, Me Isabelle Damiano, selon qui « l’hôpital aurait dû faire intervenir les forces de police » contre son client, ajoutant que ce dernier « se défend d’être intégriste, il a toujours refusé cette étiquette qu’on a voulu lui coller ». Un simple musulman ordinaire, en somme ? (2)

Cette affaire n’a en soi rien d’étonnant. Elle confirme, d’une part, la judiciarisation d’une société française qui, comme son modèle américain, se tourne de plus en plus fréquemment vers les tribunaux pour tenter de transmuter ses malheurs divers et variés en espèces sonnantes et trébuchantes. Avec pour corollaire une déresponsabilisation de ses membres que révèle le commentaire de l’avocate : « la décision est très dure, on dit à l’enfant qu’il n’a qu’à s’en prendre à ses parents ». Et à qui d’autre devrait-il s’en prendre ? Peut-être au cochon de contribuable qui va devoir mettre la main à la poche pour payer ses soins et sa pension d’invalidité ?

« Il est obligatoire qu’il y ait présence d’une tierce personne au moment de l’examen médical afin que les deux sexes opposés ne se trouvent pas en tête à tête sauf s’il y a urgence »

L’affaire vient, d’autre part, grossir la liste des incidents similaires auxquels est confronté le personnel soignant : un nombre croissant de patientes allogènes ou leurs conjoints refusent l’intervention d’un soignant de sexe masculin, même en cas d’urgence, respect de l’islam oblige. Cela va parfois jusqu’à l’agression physique, comme pour ce gynécologue de l’hôpital Robert Debré à Paris, le 9 Septembre 2006. C’est sans doute pour éviter ce type de « bavures» - mis en lumière en 2003 devant la commission Stasi sur la laïcité (1) – que l’Association des médecins musulmans français rappelle désormais qu’« une soignante peut porter secours à un homme et vice versa, mais il est obligatoire qu’il y ait présence d’une tierce personne au moment de l’examen médical afin que les deux sexes opposés ne se trouvent pas en tête à tête sauf s’il y a urgence ». Laïcité et Diversité, à l’instar de la carpe et de lapin, ne font pas forcément bon ménage…

Mais l’intérêt de l’« accouchement musulman » de Bourg-en-Bresse réside également dans la façon dont il a été relaté par la « grande » presse. Les 1.000 euros que devra verser le père au titre des « frais de justice » (Le Figaro) deviennent une « amende » dans les colonnes du Point, de 20 minutes.fr ou du Nouvel Observateur, autrement dit une peine pécuniaire du droit répressif. Erreur de terminologie diront certains. Pourtant, l’impact psychologique des deux mots est totalement différent, ce qui n’est pas innocent : la participation aux frais de procédure générés par une plainte abusive devient la condamnation d’un homme déjà lourdement frappé par le malheur. L’acharnement judiciaire n’est pas loin.

20 minutes.fr fait très fort en titrant « Condamné pour le handicap de son fils » . Le « gratuit » se contente prudemment d’évoquer des « motifs religieux » en se gardant bien de préciser le nom du père et surtout sa religion. Pas indispensable, sans doute, pour cette dernière : tout le monde l’aura devinée. Mais la palme de la désinformation par omission revient sans conteste au Nouvel Obs qui réussit ce tour de force de passer complètement sous silence le motif religieux invoqué par le père. Encore une chance que celui-ci ne soit pas devenu « Jean Dupont » !

Xavier Merlin pour Novopress France

(1) La commission de réflexion sur l’application du principe de laïcité dans la République, créée le 3 juillet 2003 en pleine polémique sur le voile islamique, a été présidée par Bernard Stasi, celui-là même qui avait publié en 1984 un ouvrage visionnaire d’une rare pertinence : « L’immigration : une chance pour la France ».
(2) Il semble qu’à aucun moment la Cour n’ait prononcé les termes de « secte », de « comportement sectaire » ou de « dérive sectaire ». Pourtant, « Parmi les indices permettant de supposer l’éventuelle réalité de soupçons conduisant à qualifier de secte un mouvement se présentant comme religieux, [la
Commission parlementaire française d’enquête sur les sectes] a retenu, faisant siens les critères utilisés par les Renseignements généraux dans les analyses du phénomène sectaire auxquelles procède ce service et qui ont été portées à la connaissance de la Commission :
• la déstabilisation mentale ;
• le caractère exorbitant des exigences financières ;
• la rupture induite avec l’environnement d’origine ;
• les atteintes à l’intégrité physique ;
• l’embrigadement des enfants ;
• le discours plus ou moins anti-social;
• les troubles à l’ordre public ;
• l’importance des démêlés judiciaires ;
• l’éventuel détournement des circuits économiques traditionnels ;
• les tentatives d’infiltration des pouvoirs publics.
»
Secte en deçà d’un certain nombre d’adeptes, religion au-delà ?

lundi, 09 juin 2008

DIAPORAMA A VOIR, REVOIR ET FAIRE VOIR...

Remarquable réalisation...

vendredi, 30 mai 2008

S'engager dans l'action politique pour combattre l'islamisation de la France...

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 Plus d'informations

 

lundi, 05 mai 2008

Fondation des œuvres de l’Islam : bientôt aux mains de l’islam radical ?

Altermedia


1589600692.jpgLa Fondation des œuvres de l’islam de France officiellement installée le 14 octobre dernier par, le ministre de l’intérieur, Michèle Alliot-Marie, est, avec le CFCM, l’autre volet du dispositif sarkozyste en faveur de l’implantation de l’islam en France.

En violation parfaite avec la loi de séparation des église et de l’Etat qui interdit à l’Etat de s’impliquer dans l’organisation des religions, cet organisme, reconnu d’« utilité publique », a pour directeur général un fonctionnaire du Ministère de l’Intérieur.

Aujourd’hui aux mains de Dalil Boubakeur (président en perdition du CFCM), la présidence tournante de la Fondation reviendra dans deux ans à la Fondation au vice-président de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), Fouad Alaoui c’est-à-dire aux Frères Musulmans.

En “parrainant” la Fondation, le ministère de l’intérieur ne cache pas son projet de parvenir à un maillage organisé du territoire concernant les constructions de mosquées. “Je souhaite que soit élaboré un schéma directeur des implantations en étroite concertation avec les élus et notamment les maires, légitimement attentifs à ces questions”, avait  insisté Mme Alliot-Marie lors de mise en place de cette structure.

Selon les statistiques officielles, un lieu de culte musulman s’ouvre chaque semaine sur le territoire sans compter les initiatives non recensées.

L’éviction progressive du docile Dalil Boubakeur au profit d’organisations musulmanes extrémistes constitue pour le gouvernement sarkozyste un cuisant échec. En effet, contrairement l’évolution annoncée par le gouvernement, ce sont, à terme, toutes les places fortes de la représentation du culte musulman qui sont ou seront récupérées par les radicaux.

Pour la France et les Français, le montage de cette Fondation, bras financiers de l’islamisation, ou de sa branche politico-religieuse, le CFCM, par des politiciens irresponsables conduit au pire.

dimanche, 13 avril 2008

Immigration : LES CHIFFRES DE 2006...

Source : Les Chroniques de Gérard Pince 

Je m’efforce chaque année de vous tenir au courant de l’évolution de l’immigration en me fondant sur les statistiques officielles. Je m’appuyais jusqu’à présent sur le rapport annuel de la Direction de la population et des migrations mais il se trouve que sa dernière édition a été retirée de la vente pour des raisons obscures. Il faut donc à présent se baser sur le rapport de l’Observatoire statistique de l’immigration et de l’intégration, ce qui induit une rupture en raison de changements dans les regroupements statistiques (1).

Cela étant, cet Observatoire retient en 2006 un chiffre global de 184.000 entrées d’étrangers ayant obtenu un titre de séjour d’un an et plus. Ce chiffre exclut les saisonniers, les autorisations provisoires de travail et les demandeurs déboutés du droit d’asile et qui restent pourtant sur le territoire. En réintégrant ces catégories, on obtient 235.000 entrées en cohérence avec les chiffres des années précédentes. Rappelons que ces données concernent uniquement les ressortissants des pays tiers (extérieurs à l'Union européenne) à l’exception d’une dizaine de milliers d’européens de l’est entrés au titre du travail saisonnier. Le tableau suivant qui retrace l’évolution depuis 1999 confirme la stabilisation enregistrée en 2005.

Tableau (En milliers)
Années --1999----2000---2001---2002----2003----2004----2005---2006
Total ----153,7---184,3--216,2- -255,2-- 265,1---271,9- -251,7--235,4

Source : Chiffres extraits du rapport de la Direction de la population et des migrations 1999 à 2005 et de du nouvel observatoire pour 2006
.

Malheureusement, les flux clandestins s’ajoutent à ces chiffres officiels. Outre les déboutés du droit d’asile, la principale source d’entrées irrégulières réside dans les visas touristiques délivrés chaque année (2). En 2006, la France en a accordé 933.000 à des ressortissants du Maghreb, de l’Afrique subsaharienne, et du Moyen Orient (y compris la Turquie). Connaissant les conditions socio économiques qui prévalent dans ces régions, il est probable que de nombreux touristes ne viennent pas seulement pour visiter le Louvre et restent en France à l’expiration de leurs visa pour profiter pleinement des avantages offerts par notre pays de cocagne. Par convention, on estimait jusqu’à présent à environ 100.000 par an le flux d’entrées irrégulières à ce titre mais pourquoi pas 200 ou 300.000? Cela signifie que ces statistiques officielles ne veulent plus rien dire et que la seule indication sérieuse provient de l’observation : Dans la plupart des voitures du métro, les minorités visibles sont désormais majoritaires.

Puisque les flux annuels sont inconnus, le chiffrage de la population présente sur le territoire devient impossible. Sachant que le stock de personnes originaires de l’immigration des pays tiers (immigrés et descendants directs) était estimé à 6,4 millions en 1999, la simple prise en compte des entrées officielles, du taux de natalité depuis cette date, et d’un chiffre forfaitaire de 1 million de clandestins conduirait à un total de 10 millions soit 16% de la population française (une personne sur six). En réalité, seul l’établissement d’un registre des populations et le lancement d’un recensement exhaustif permettrait de connaître enfin le chiffre exact de personnes issues de l’immigration dans la population française. Il n’en est pas question.

Le Pouvoir ne fait rien pour résister à cette invasion (pour reprendre l’expression du Président Giscard d’Estaing). Il faudrait tout d’abord revoir le RMI et les autres allocations du même type qui jouent le rôle d’une pompe aspirante. Je rappelle que les propositions de la Révolution bleue prévoient la suppression de ces aides et leur remplacement par une indemnité forfaitaire versée en contrepartie d’une mission d’utilité publique. Ce transfert présenterait l’avantage de bénéficier aux seuls nationaux français puisque la législation actuelle leur réserve les missions publiques. En second lieu, il conviendrait de ne pas renouveler les cartes de séjours des étrangers au chômage. En effet, aucun texte, ni aucun traité, n’interdit à un Etat de renvoyer les étrangers dans leur pays d’origine (3). Enfin pour des raisons évidentes, il faudrait dorénavant interdire l’immigration et le tourisme en provenance des pays contaminés par l’Islamisme.

Ces mesures pourraient s’accompagner d’un volet répressif basé sur deux articles de loi énoncés comme suit « Tout étranger séjournant illégalement sur le territoire français commet un crime passible de 5 à 10 années de prison et du double en cas de récidive » et « Toute personne qui, soit d’une manière isolée, soit en association, apporte son soutien à des immigrés illégaux commet un crime passible de la même peine que le contrevenant principal». Ces articles du code pénal ne contrediraient ni notre constitution, ni les traités internationaux signés par la France. Leur affichage dans les aéroports et aux frontières terrestres, aurait un effet dissuasif certain.

La quatrième République est tombée en raison de son incapacité à trouver une solution au problème algérien. La cinquième République conduit le pays à la faillite financière (4) faute de prendre à bras le corps le problème de l’immigration. Malheureusement, le sujet reste tabou: même le rapport de la Chambre des Lords a été complètement occulté! Nous parlons donc dans le désert mais une chose est certaine: on ne nous fera pas taire.

Gérard Pince


1- Pour consulter le rapport, se reporter à http://www.hci.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_statistique_2006.pdf . Au lieu d’instituer sans cesse de nouveaux « observatoires » et « hauts comité », la première chose à faire consisterait à dissoudre l’INSEE et l’INED et à confier leurs missions à des instituts privés.
2- La procédure informatique d’enregistrement des sorties qui existe déjà dans la plupart des pays, ne sera pas opérationnelle dans l’espace Schengen avant 2011 !
3- face a la crise économique, 130.000 polonais ont été rapatriés entre 1931 et 1936 par le Gouvernement de la troisième République
4-Se reporter à
www.freeworldacademy/globalleadre/IMMIG.htm

samedi, 22 mars 2008

LE COUT REEL DE L'IMMIGRATION EN FRANCE...

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Le coût réel de l'immigration en France. 14ème étude publiée par Contribuables Associés réalisée par Jean-Paul Gourévitch,expert international en ressources humaines, spécialiste des migrations.

L’immigration, combien ça coûte ? Ce thème est si lourd d’enjeux politiques que le seul fait de poser la question dérange ou provoque.
Au bout du compte, ce sont pourtant les contribuables qui financent les migrations. Il est donc souhaitable, pour se faire une opinion sur le bien-fondé des politiques conduites dans ce domaine, d’en identifier et d’en évaluer les paramètres financiers

C’est à cet exercice que s’est livré, avec un souci de l’exactitude exempt de tout a priori idéologique, Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines. Dans l’étude que nous publions, il compare les dépenses annuelles que l’Etat consent pour les immigrés (71,76 milliards d’euros) avec les recettes qu’il encaisse de leur part (45,57 milliards d’euros), soit un solde négatif de plus de 26 milliards. Enfin, il évalue les investissements engagés par l’Etat pour contenir les flux migratoires ou faciliter l’intégration des immigrés et de leurs enfants (10,81 milliards d’euros). Au terme de cette analyse, il présente les solutions qui permettraient de réduire les coûts de l’immigration.

 

Source CONTRIBUABLES ASSOCIES

vendredi, 22 février 2008

La pub de la Halde : 77 000 euros !

halde_logoLa Halde ( Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité ) qui, je le répète, est dirigée Louis Schweitzer par un homme qui a connu toutes les gloires ( direction de Renault, chef de cabinet ministériels )  et les glorioles au point de finir le mois passé par être élu président du  conseil de surveillance du quotidien Le Monde, a dernièrement pondu une vaste campagne de communication, passant par un massif affichage de ses derniers slogans : " L’égalité, ça s’affiche et ça s’applique " qui aura coûtée la bagatelle de 77 OOO euros.

Le moins que l'on puisse dire c'est que si " l'égalité " s'affiche, elle pèse assez chère dans les portefeuilles des contribuables qui financent ces jolies campagnes de pub...

Source : Yann Redekker

jeudi, 21 février 2008

France, terre d'islam ?

11c2226cc44d10e25d8dfd4176b04321.jpgAprès les mosquées, les cimetières...

Michèle Alliot-Marie, ministre de l'intérieur, a signé mardi une circulaire encourageant les maires à développer les carrés confessionnels dans les cimetières. Il y a encore dix ans, la majorité des musulmans souhaitaient être enterrés dans leur pays d’origine. Les consulats avaient mis en place des systèmes de caisse de prévoyance afin de financer le rapatriement des corps. Aujourd’hui, 15 % à 20 % des musulmans désirent être inhumés en France, à condition que ce soit dans le respect des règles et des prescriptions de leur religion. Preuve que la France devient une terre d'islam. Dans la tradition musulmane, un corps, une fois rendu à la terre, ne doit plus être remué ; il ne doit par ailleurs en aucun cas être brûlé. D’où la question posée par l’exhumation des corps dans le cas de concessions temporaires. Le défunt musulman doit par ailleurs reposer en étant tourné dans la direction de La Mecque. D’où la nécessité de créer des espaces appropriés.

Concernant le premier point, la circulaire rappelle qu’il existe un droit au renouvellement des concessions non perpétuelles. Disposition qui peut être «utilement» rappelée aux familles. Sur le second point, le ministre encourage fermement les maires à «favoriser, en fonction des demandes, l’existence d’espaces regroupant les défunts de même confession».

Michel Janva

Le Salon Beige

dimanche, 17 février 2008

Le "plan banlieue" de Sarkozy démonté en 4 minutes...

Emission "C dans l'air" du 12 février dernier.
Le "plan banlieues" de Sarkozy démonté en 4 minutes...
En 30 ans, au moins 200 milliards de francs
partis en fumée pour favoriser l’intégration.

vendredi, 15 février 2008

Discours de Jean-François Touzé sur l'islamisation au colloque de Synthèse nationale.

975214fdad883cc8714080821b02b60b.jpgNous publions ici les principaux extraits du discours de Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France, prononcé à l'occasion du colloque organisé par la revue Synthèse nationale sur l'islamisation, qui s'est tenu à Paris samedi 2 février dernier :

 

 

Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

Je voudrais, avant toute chose, remercier Roland Hélie pour son invitation, et saluer l’initiative qu’il a prise en organisant ce colloque.

Si nous sommes réunis ici ce samedi après-midi, c’est bien évidemment que nous sommes tous conscients de la menace mortelle que fait peser, non seulement sur nos villes, mais sur notre nation, notre continent, notre civilisation, la vitalité puissante, bouillonnante et offensive – même s’il s’agit encore d’une offensive contenue – d’un Islam qui, depuis quelques décennies, servi par une démographie galopante, par la lâcheté ou l’inconscience des gouvernements occidentaux, mais aussi par les erreurs d’une Amérique aveugle, a retrouvé en lui-même la force de sa marche collective et sa volonté eschatologique, tant il est vrai que demeurent chevillés au corps mystique de l’inconscient musulman, l’attente et l’espoir, pour les uns du rétablissement du califat, pour les autres du retour de l'Imam caché et du triomphe du Mahdi.

Cette menace, mes chers Amis, nous ne pouvons l’aborder de manière parcellaire. Elle est globale, tout à la fois planétaire, nationale et civilisationnelle.

Planétaire parce que, de l’Asie du Sud Est jusqu’à l’Afrique du Nord ou subsaharienne, du Golfe persique jusqu’au sous-continent indien, du proche-Orient à l’Asie mineure et aux territoires balkaniques jadis conquis par l’impérialisme ottoman, puis libérés et aujourd’hui en passe de devenir des républiques islamiques, c’est toujours la même logique prosélyte et conquérante que nous voyons à l’œuvre et, croyez-moi, cette logique ne saurait être à notre égard ni aimable, ni gracieuse ni généreuse.

Planétaire aussi par le développement d’un djihadisme meurtrier qui vient frapper le cœur de nos villes. Je ne crois pas qu’il existe un centre unique des opérations terroristes. Le mythe du « vieux de la montagne » n’est plus pertinent aujourd’hui. De la même façon, je ne pense pas qu’il faille voir derrière tout musulman un activiste militant… Mais, une fois de plus, je pense que la théorie du Président Mao sur « les poissons dans l’eau » conserve toute son actualité.

Nationale puisque, par l’installation de millions de femmes et d’hommes sur notre territoire du fait d’une immigration massive, devenue une immigration de peuplement, tout ce qui fait le substrat de notre société est en passe de se transformer, nos traditions, notre mode de vie d’être bouleversés et cela très au-delà des simples éléments visibles que sont le développement des boucheries hallal, la construction de mosquées, l’interdiction du porc dans les cantines, etc. Et je me dis : « Combien de temps encore ? »… Combien de temps encore resteront-ils dressés aux croisements de nos routes, ces calvaires de granit qui marquent, partout en France, notre appartenance ? Combien de temps encore, sans qu’elles ne soient désignées comme provocatrices, demeureront-elles offertes à notre émotion, ces niches murales qui, dans tous nos villages et dans beaucoup de nos villes encore, abritent les madones à l’enfant ? Oui, c’est bien dans la profondeur de notre histoire que se fait le travail de sape qui n’est rien d’autre qu’une orientalisation de notre vieille Patrie.

Civilisationnelle parce qu’il serait vain de nier l’existence de ce « choc des civilisations » qui, jusque dans nos milieux, effraie tant ceux qui refusent de voir la réalité. Civilisation, le mot est à la mode et comment ne pas revenir sur le discours de Ryad, prononcé quelques jours après celui de Saint-Jean du Latran, ce qui montre la cohérence du personnage, par Nicolas Sarkozy qui affirmait il y a quelques semaines que « l’Arabie Saoudite et la France partageaient les mêmes objectifs de civilisation » ? La politique de civilisation de Sarkozy est donc bien celle de la civilisation Wahhabite, un aveu qui ne nous étonnera pas de la part de celui qui, il y a trois ans, donnait aux éléments les plus radicaux les clés de ce qu’il nommait l’Islam de France.

Face à ce qu’il convient d’appeler la marche conquérante d’un Islam, dont nous savons qu’il est à la fois religieux et politique, spirituel et temporel, on peut, bien sûr, se lamenter. On peut se résigner, mais je sais que ce n’est pas votre cas, vous tous qui êtes ici. On peut aussi prier. On peut aussi, et à mon sens on doit, agir. Agir politiquement, et même si certains peuvent être découragés, plongés dans le désarroi, après les échecs électoraux de la Droite nationale, même si certains peuvent être amenés à considérer que nous sommes engagés dans une impasse, je dis, moi, qu’il faut la contourner, la dépasser et repartir sur la voie droite qui nous conduira à des victoires que je crois toujours inéluctables. Nous le ferons en sortant de la confusion et en proposant à nos amis un projet clair. Sur le sujet qui nous occupe aujourd’hui, il est bien sûr possible de scinder, comme le font certains, le religieux et le politique. C’est, me semble-il, se condamner à regarder couler le robinet d’eau tiède.

On peut s’arcbouter sur la défense de la loi de 1905. C’est utile, ne serait-ce que pour enrayer et retarder l’avancée de cette islamisation à marche forcée. On peut aussi vanter les mérites de la laïcité et vanter les mérites de la République une et indivisible, sociale et laïque, usant ainsi très précisément des mêmes termes que ces représentants des obédiences maçonniques réunis le 23 janvier dernier au siège de la Ligue de l’enseignement. Je crois quant à moi que ce n’est pas là que l’on nous attend, que ce n’est pas ainsi que nous nous ferons entendre et que nous opérerons le réarmement moral nécessaire à l’accompagnement de notre entreprise de reconstruction.

C’est, au contraire, en nous souvenant de ce que nous sommes et d’où nous venons que nous agirons utilement. On a, depuis quelques temps, pris l’habitude, au sein de notre famille politique – cela malgré tout ce qui nous a opposé à lui et continue de nous opposer à ceux qui se réclament de son action -, de citer Charles De Gaulle à propos de l’héritage hellénique, chrétien et blanc de la France. Allons un peu plus loin encore et rappelons-nous de ces mots prononcés il y a plus de quarante ans : « La France ne mourra pas. Comme l’Eglise, elle est éternelle. L’essentiel, pour elle, est qu’elle reste fidèle à ce qu’elle est et, par conséquent, aux liens qui l’unissent à notre Eglise ».

Cette civilisation qui est la nôtre, ancrée dans ses patries charnelles, incarnée par le corps national et transcendée par une Europe qui sera de la puissance ou disparaitra - et avec elle les nations et les petites patries -, c’est à nous de la défendre en retrouvant le chemin de la mobilisation politique, qui passe par le rassemblement.

On connaît le mot du Général de Castelnau : « Verdun ne tombera pas, parce qu’il ne faut pas que Verdun tombe ». Notre civilisation ne s’effondrera pas, parce qu’il ne se peut pas qu’elle disparaisse et que nous allons faire ce qu’il faut pour la sauver.

dimanche, 10 février 2008

La Charte de la campagne "Les villes contre l'islamisation" :

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Voici le texte de la charte “Villes Contre l’Islamisation” tel qu'il a été adopté le 17 janvier à Anvers lors de la réunion de lancement de la campagne européenne :

Les organisations participantes créent, avec cette charte, un réseau de villes “Villes Contre l’Islamisation”.

Constatations :

“Villes Contre l’Islamisation” constate que, depuis la Renaissance, le monde occidental, en général, et l’Europe, en particulier, ont rejeté les dogmes religieux et les normes qui en découlaient et les ont remplacés par des principes et des règles de droit découlant d’une multitude de sources: l'antiquité ancienne, les valeurs judéo-chrétiennes, l'humanisme, les idées du Siècle des Lumières, le nationalisme, le libéralisme...

Suite à cette évolution, notre civilisation se caractérise maintenant par le respect des libertés et des droits fondamentaux. Cette civilisation est désormais basée sur des valeurs comme la séparation de l'Église et de l’État, la démocratie, la liberté d’expression, l’égalité de l'homme et de la femme...

Néanmoins, au début du 21ème siècle, les villes d'Europe occidentale, en raison d’une politique d'immigration trop laxiste menée par les autorités à tous les niveaux, se trouvent confrontées à des minorités islamiques numériquement importantes, peu intégrées, concentrées dans des ghettos sans cesse en extension.

“Villes Contre l’Islamisation” constate que l'islam n’est pas seulement une religion, qu’il préconise encore un ordre social basé sur la sharia (la législation islamique, résultant du Coran et des hadith) et la prééminence de l’ouma (la communauté des musulmans), ce qui est totalement antinomiques avec les valeurs et les normes propres à notre société européenne.

“Villes Contre l’Islamisation” constate également que certains musulmans placent les lois divines islamiques au dessus des lois civiles. Il existe en outre, parmi les populations musulmanes, une tendance à la radicalisation qui se manifeste par une animosité croissante à l’encontre de notre civilisation occidentale et des valeurs qui la fondent.

Les mosquées fonctionnent comme catalyseurs de l’islamisation des quartiers urbains, elles insistent, de toute leur autorité au sein de la communauté musulmane, sur l’exigence d’une pratique stricte de l'islam, ce qui contribue à freiner l'intégration de ces minorités musulmanes.

Les points de départ :

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'idéologie multiculturelle, selon laquelle les musulmans résidant chez nous pourraient introduire leurs propres valeurs dans la vie publique, ce qui mène de facto à l'institutionnalisation de l’islam.

“Villes Contre l’Islamisation” se bat contre l'institutionnalisation de l'islam, contre la reconnaissance des mosquées, l’octroi de subventions aux associations islamiques, aux écoles coraniques et aux mosquées, et de subsides aux imams... L'institutionnalisation de l'islam conduit en effet à la création d’un verrou fermant l’accès à l'intégration de la communauté musulmane.

“Villes Contre l’Islamisation” vise l'indulgence des responsables politiques pour l'islam, ce qui amène à écarter les valeurs et normes occidentales au profit des us et coutumes islamiques, lesquels sont souvent incompatibles avec les nôtres et nos mœurs.

“Villes Contre l’Islamisation” croit que la liberté de pratiquer la religion individuellement et librement doit être garantie y compris en ce qui concerne l'islam. Toutefois, la liberté religieuse ne doit jamais permettre la généralisation ou l'introduction de conduites discriminatoires ou anti-démocratiques. “Villes Contre l’Islamisation” se bat donc avec vigueur contre l'introduction de la sharia à la place des règles de droit en vigueur en Europe.

Initiatives :

L’islamisation n’est pas un problème local. Il s'agit en effet d’un phénomène qui se présente dans presque tous les pays et villes de l'Europe occidentale. La progression démographique rapide de la population islamique vivant en Occident conduira, dans quelques décennies, plusieurs villes d'Europe occidentale à être confrontées à des majorités islamiques.

Pour cette raison, les organisations participantes s'engagent à coordonner leurs initiatives, prises en vue de s’opposer à l’islamisation, à combattre ensemble et à échanger leurs informations, ceci dans la perspective d’améliorer leur combat et de coordonner leur lutte contre l’islamisation des villes d'Europe occidentale.