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vendredi, 31 octobre 2008

Cités de non droit : l’enfer pour ceux qui ont osé résisté à la délinquance pluriethnique

2570396.jpgPARIS (NOVOpress) – Enquête vérité dans Aujourd’hui en France de ce jour. Deux pages consacrées au calvaire des habitants de banlieues ayant osé dénoncer la terreur exercée par des bandes composées essentiellement de jeunes originaires d’Afrique. Une vérité terrible trop souvent occultée par les médias officiels. Cette fois, la langue de bois est au placard. « Zones de non droit, loi du silence. Derrière ces expressions un peu vagues se cache une réalité. Bien concrète celle-là. Celle qui pousse des familles entières à quitter un quartier où elles ont souvent leurs racines. Pourquoi ? Juste parce qu’elles ont un jour, excédées, osé porter plainte ou parce qu’elles ont dit tout haut ce qu’une majorité n’en finit plus de penser tout bas contre une poignée de gens qui peuvent pourrir le quotidien de dizaines d’autres. Soumis ensuite à des pressions, des menaces, voire des violences », écrit Damien Delseny. Des Français courageux qui n’ont qu’une alternative : « Celle de supporter l’insupportable ou de partir, de s’exiler afin de pouvoir sortir de chez eux sans crainte ».

Sylvie et Romain habitent le quartier de Lugny à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne). En 2006, à bout de nerfs, le couple contacte la police pour dénoncer les exactions de « jeunes » en bas de chez eux. « Ils ont su que ça venait de nous et, depuis, c’est l’enfer », souffle la mère de trois enfant qui « vit la peur au ventre ». Menaces de mort, insultes, voiture volée et brûlée, vitres brisées, porte d’entrée de leur habitation défoncée. Son mari ne travaille plus, il est en dépression comme la gardienne de l’un des immeubles du quartier. Une voisine déclare vivre « en permanence avec un nœud à l’estomac. Mais si on râle ou si l’on prévient la police, ils se vengent ». « Ils » ? Une voyoucratie dont les visages sont masqués sur la photo de l’article…

Autre témoignage, celle d’Irène Henneton. Avec son mari et ses deux enfants, cette femme a dû fuir en Picardie. Elle a aidé la police en juillet 2006 à démanteler un réseau de drogue à Goussainville (Val-d’Oise). Résultat, la famille a dû rester cloîtrée deux mois dans son appartement : « On nous menaçait à l’interphone, même en pleine nuit. Mes enfants ne pouvaient plus aller à l’école. Ils étaient en danger, donc nous sommes partis », témoigne cette Française rongée aujourd’hui par un cancer. La racaille pluriethnique a chassé cette femme qui vivait à Goussainville depuis 48 ans. « Toute ma vie est là-bas. Ici, nous n’avons pas de vie sociale », confie-t-elle à Damien Delseny.

Michel Kokoreff constate que la situation est toujours aussi anxiogène depuis les émeutes pluriethniques de 2005 : « On assiste à la dégradation du climat dans certains quartiers. Les policiers pris pour cible, les heurts dans le milieu scolaire et les tensions dans le voisinage sont monnaie courante. On relève également une montée de la violence et des dégradations en tout genre. » Ce sociologue, maître de conférences à l’université Paris V René Descartes, note que l’Etat a baissé les bras dans de nombreuses cités de non droit : « Les pouvoirs publics décident parfois de retirer les forces de l’ordre pour ne pas faire de vague. Réaction immédiate : les jeunes étendent leur mainmise sur les quartiers et vivent dans un sentiment de toute-puissance et d’impunité. Ils font alors régner le désordre ». Avec courage, Irène Henneton a fait le choix de la résistance malgré sa persécution : « Je ne regrette pas ce que j’ai fait. Il ne faut pas se taire, il ne faut pas avoir peur ». Face à la démission de l’Etat devant la racaille, les patriotes n’auraient-ils donc pas d’autre choix que de prendre leur destin en main ?

mercredi, 29 octobre 2008

La grande mosquée de Reims...

La pose de la première pierre de la future grande mosquée de Reims a eu lieu dans le quartier Sainte-Anne il y a maintenant un mois et demi. Fidèles mahométans et élus de gauche comme de droite ont salué cet événement qui consacre l’imposition de l’islam dans notre ville comme une religion incontournable et qui remet ouvertement en cause notre identité nationale plus que millénaire, pour des raisons bassement politiciennes et clientélistes.

 

A croire que la population rémoise se limite aux quelque 25 000 musulmans de l'agglomération, si l’on en croît les envolées dithyrambiques qui se multiplient çà et là depuis quelques semaines sur le sujet de la part du petit monde politico-médiatique rémois. Jusqu'ici aucune mosquée n'a encore vu le jour à Reims : Le chantier de mosquée démarré à Orgeval n'en est qu'au stade des fondations. C'est donc dans le quartier Sainte-Anne qu'un tel projet va voir le jour, porté par l'association de la mosquée et du centre islamique de Reims (AMCIR). Bien entendu, l’ensemble de la population rémoise n’a en aucune manière été consultée sur cette question et les principes laïcistes de séparation des Eglise et de l’Etat sont ouvertement bafoués, non seulement par les médias et les politiciens de tous bords, mais par l’ensemble des institutions locales, de la mairie à la sous-préfecture.

 

Cet édifice de 3 700 m2 pourra accueillir plus de 1 500 musulmans, avec une salle de prières de 1 500 m2 s'étalera sur deux niveaux, avec une mezzanine réservée aux femmes. Un parking, une salle polyvalente, un espace associatif, un salon de thé et une bibliothèque ouverte à tous seront également aménagés.

 

 

Mais pour arriver à ce résultat, l'association doit encore récolter de l'argent, beaucoup d'argent même : 4 millions d'euros. Faisant fi des principes républicains de neutralité, la ville de Reims a proposé d'être caution en cas d'emprunt. Quant au projet de mosquée à Orgeval, il n'est pas aux oubliettes.

Reims devrait donc avoir non pas une mais bien deux mosquées dans les années à venir. Pendant ce temps, le toit de notre cathédrale menace de s’effondrer… (...)

Source : le Blog d'Yves Daoudal

La mosquée de Poitiers...

Le chantier de la grande mosquée de Poitiers a débuté en août. Il devrait s’achever fin 2009.

Extrait d’un article de La Nouvelle République :

La future mosquée qui pourra accueillir quelque 800 fidèles sera dotée d'un minaret. Une tour de 22 m qui s'élèvera dans le ciel poitevin. L'édification de ce premier minaret dans le ciel d'un Poitou très chrétien ne semble pas soulever de polémique. Officiellement et à l'unisson, les personnalités locales se félicitent que les musulmans, à l'égal des fidèles des autres confessions, puissent bénéficier d'un lieu de culte digne de ce nom. Une apparence. Car, sous couvert d'anonymat, le sujet est jugé « explosif »par certains. « Le minaret à cette hauteur, c'est de la provocation », glisse un autre interlocuteur. L'imam de Poitiers Boubaker El Hadj Amor ne considère « pas opportun d'évoquer le sujet dans la presse. »Ce très influent membre de l'Union des organisations islamistes de France (UOIF) lâche : « Il ne faut pas exciter les quelques extrémistes locaux. »

 

mardi, 28 octobre 2008

Un nouveau parti musulman à Anvers...

ANVERS (NOVOpress) – Certains immigrés musulmans ont créé un nouveau parti politique à Anvers. Le nom de ce dernier est sans ambigüité : Moslim (pour “musulman” en néerlandais).

Les fondateurs de ce parti sont Amir El Kebdani et Mohammed El-Amir Sidi Habibi. Ces deux musulmans sont d’anciens élus d’Agalev (écologistes flamands, aujourd’hui Groen!).

Le nouveau parti islamiste veut peser dans le prochain vote municipal et grappiller des voix au socialiste Patrick Janssens.

Ce parti fait campagne actuellement contre l’interdiction du port du foulard pour les fonctionnaires publics, en vigueur à Anvers. Ils réclament aussi davantage d’initiatives communales en matière d’emploi et d’enseignement en faveur de la communauté “allochtone”.

mardi, 21 octobre 2008

Charleville-Mézières : la ratonnade était du pipeau...

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Source : François Desouche

 Il y a 3 ans, un jeune d’origine maghrébine a ému toute la ville car il avait été, selon ses propos, attaqué par une bande de skinheads qui lui avaient jeté de l’essence dans un parc avant qu’il ne soit hautement brûlé.

Toute la ville est en émoi, les quartiers sensibles songent à se révolter face au racisme (rappelons en plus qu’à l’époque, c’était M. Sarkozy qui était ministre de l’Intérieur), ce qui faisait les bons comptes de la mairie socialiste de Charleville-Mézières pour s’indigner du climat de haine dont le camp de l’UMP serait responsable.

Aujourd’hui, après approfondissement de l’enquête, il s’est avéré que ce jeune s’était lui-même brûlé après avoir mis le feu à une voiture.

L’histoire nous dit que cette voiture était celle de son père, qui avait été endommagée par un des amis du jeune qui l’avait emprunté sans rien dire pour faire un rodéo nocturne.

Tiré de l’Ardennais, quotidien daté du Jeudi 16 Octobre 2008 : A la Une, “Ratonnade à Charleville : c’était du pipeau!”

Londres va restreindre sa politique d’immigration

big_ben_-180x300.jpgLe secrétaire d’Etat à l’Immigration affirme que la hausse du chômage due à la crise oblige le Royaume-Uni à restreindre sa politique d’immigration. Les conditions d’entrée dans le pays devraient se durcir.

Les déclarations du nouveau secrétaire d’Etat à l’Immigration, Phil Woolassemblent, indiquer un durcissement de la politique d’immigration du Labour par rapport à l’approche privilégiée jusqu’alors d’une sélection des migrants par un système à points privilégiant les travailleurs les plus qualifiés.

En clair, les pays qui l’avait adopté, reviennent sur leur politique “d’immigration choisie.”

Une fois de plus, Sarkozy qui singe un modèle anglo-saxon obsolète et caricatural, agit à contre courant.

 Source Altermedia

La sortie d’un jeu vidéo reportée pour ne pas choquer les musulmans

littlebigplanet-300x168.jpgSony a reporté la sortie du jeu vidéo «Little Big Planet» le temps d’en supprimer une musique de fond qui contient deux expressions tirées du Coran, ont indiqué lundi les concepteurs britanniques du jeu. Ils ont évoqué le risque de déplaire à des musulmans et présenté leurs “sincères excuses pour toute offense que cela aurait pu provoquer.”

Source Altermedia

Election d'un bourgmestre marocain à Rotterdam...

dscf6825kopierc9.jpgPour Filip Dewinter, l’islam a pris le pouvoir à Rotterdam. Filip Dewinter, un des dirigeants du Vlaams Belang, a réagi à la désignation d’Ahmed Aboutaleb comme bourgmestre de Rotterdam. “Un bourgmestre marocain à Rotterdam : la prise de pouvoir islamiste est un fait”, écrit-il.

Ahmed Aboutaleb, 47 ans, qui a la double nationalité néerlandaise et marocaine, a été désigné jeudi soir par le conseil municipal de Rotterdam (580.000 habitants), deuxième ville du pays derrière Amsterdam. La désignation de M. Aboutaleb doit encore être entérinée par le gouvernement et acceptée par la reine Béatrix. “C’est une formalité”, a cependant indiqué un porte-parole de la ville.

Pour Filip Dewinter “l’installation d’un bourgmestre marocain ne fera qu’augmenter l’arrogance des allochtones marocains partout en Europe”. Il estime que M. Aboutaleb doit faire un choix entre la nationalité néerlandaise et marocaine. “Lentement mais certainement, on se dirige vers un système d’apartheid avec deux sociétés où les villes sont habitées essentiellement par des étrangers et des allochtones et le reste du pays par des autochtones”, juge encore le dirigeant du Vlaams Belang.

Source NOVOpress Flandre

mardi, 14 octobre 2008

Racisme anti-Blancs : Le chef de la police de Manchester veut un traitement préférentiel dans le recrutement des gens de couleur...

MANCHESTER (NOVOpress) – Peter Fahy, le nouveau préfet de police de Manchester a estimé récemment dans la presse britannique que la seule façon de recruter des Noirs et des Indiens comme agents de police est de recourir à la discrimination positive, autrement à la discrimination raciale antiblanche. « La discrimination positive est à envisager, a déclaré M. Fahy car il est important pour nous d’avoir une force de police opérationnelle plus représentative afin de répondre à la complexité de la société. » Peter Fahy a cependant admis que le public n’apprécierait pas une discrimination anti-blanche aussi flagrante et « qu’en conséquence, ce genre de discrimination réduirait la confiance de la population envers la police. »

Bien évidemment, ses collègues non-blancs ne sont pas hostile à cette idée, comme en témoigne Yousef Dar, membre de l’Association musulmane de la Police de Manchester : « Si nous affirmons que nous ne pouvons recruter davantage d’agents noirs et issus d’autres minorités ethniques, cela est une aveu condamnable de la part de la police. Que cela signifie-t-il quant à la confiance du public ? En termes d’éducation, les Indiens se classent parmi ceux qui réussissent le mieux. Pourquoi pas dans la police – y a-t-il là des obstacles ? » assène-t-il. Charles Crichlow, membre de l’Association de Police noire et indienne, s’est montré encore plus catégorique : « Je pense qu’il est temps d’abandonner nos préjugés et prendre en considération ces propositions si nous voulons vraiment une police représentative, démocratique et crédible. »

Pourtant, la discrimination positive au sein de la police britannique est déjà instituée. En 2006, les villes d’Avon et de Somerset ont mis au panier les candidatures de 200 Blancs simplement parce qu’ils étaient Blancs et de sexe masculin, alors que la campagne de recrutement visait à créer plus d’opportunités aux femmes et aux minorités ethniques. L’un d’eux, Ralph Welsman les poursuivit en justice pour les contraindre à reconnaître leur action illégale et finalement s’entendre avec lui. La même année, la police de Gloucester a été forcée de dédommager Matt Powell, l’un des 108 demandeurs blancs dont les candidatures avaient subi le même sort… Un début de résistance.


vendredi, 10 octobre 2008

La N.D.P. solidaire de Fanny Truchelut...

images.jpgLe mercredi 8 octobre à 13h50, la cour d’appel de Nancy a rendu son délibéré dans l’affaire Truchelut (cette femme courageuse qui s'était opposée au port du voile islamique dans les parties communes de son gîte situé dans les Vosges).

 

Fanny Truchelut a été condamnée à deux mois de prison avec sursis, ainsi qu’à 4 000 euros d’amendes (l’ensemble des peines étant divisé de moitié par rapport au premier jugement prononcé au tribunal d’Epinal).

 

Sur le fond, la culpabilité religieuse (non acceptation du voile dans les parties communes du gîte) a été confirmée. Pour un Etat qui se veut laïc, la République Française n’en est pas à une contradiction près.

 

Fanny Truchelut a la ferme intention de se pourvoir en cassation. Cette affaire est trop importante pour que les dérives communautaires se trouvent ainsi légalisées.

 

La Nouvelle Droite Populaire apporte son plein soutien à Fanny Truchelut dans le combat des valeurs qu’elle mène.

 

François FERRIER

Conseiller régional (NDP) de Lorraine

mardi, 07 octobre 2008

lire : le dernier ovrage d'Anne Kling, auteur de La France Licratisée...

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REVOLUTIONNAIRES JUIFS  - Les principaux acteurs des révolutions bolcheviques en Europe (fin XIXe – 1950)

 

vient de paraître aux Editions Mithra

 

Pourquoi Anne Kling, précédemment auteur de La France LICRAtisée, s’est-elle focalisée dans son nouveau livre sur les révolutionnaires juifs ? Pourquoi pas les révolutionnaires allemands, ou lettons, ou hongrois ?  Pourquoi les juifs, toujours les juifs ?

 

La réponse est fournie dès la page de garde par une citation du Dr Angelo Solomon Rappoport. Dans le feu de la toute nouvelle révolution, ce dernier proclamait sans équivoque dans son ouvrage dithyrambique, Pioneers of the Russian Revolution, paru à Londres en 1918: « Il n’y avait pas une seule organisation politique de ce vaste empire qui ne fût influencée par des Juifs ou dirigée par eux. Le parti social-démocratique, le parti socialiste-révolutionnaire, le parti socialiste polonais comptaient tous des Juifs parmi leurs chefs. Plehve maintenait que 80% des révolutionnaires en Russie étaient Juifs. Plus que les Polonais, les Lettons, les Finlandais ou même n’importe quel groupe ethnique du vaste empire des Romanov, ils ont été les artisans de la révolution de 1917 ».

 

C’est ce rôle essentiel que jouèrent les révolutionnaires juifs dans la gestation, l’organisation, la réalisation et la consolidation de la révolution bolchevique de 1917 en Russie, mais aussi plus largement, dans la sphère européenne au cours des décennies qui suivirent, qui est ici mis en évidence.

 

Anne Kling nous présente une galerie de quelque soixante-douze portraits souvent terrifiants, toujours étonnants, des principaux acteurs – hommes et femmes - de cette barbarie. Tous eurent d’importantes responsabilités et jouèrent un rôle, souvent majeur, dans l’instauration d’un régime inhumain qui mit à genoux les peuples qu’il parvint à tenir dans ses griffes.

 

On y découvre les banquiers américain et suédois Jacob Schiff et Olaf Aschberg, qui financèrent les bolcheviks; Trotski, Zinoviev et Kamenev, qui finirent assassinés sur ordre de Staline, car la Révolution dévore ses enfants, ce qui n’est pas le moindre de ses charmes… ; Kaganovitch, le Eichmann soviétique qui supervisa l’Holodomor, la grande famine orchestrée par le pouvoir, qui fit au moins six millions de victimes, dont deux millions d’enfants…

 

Sans oublier Iagoda, que le journaliste israélien Sever Plocher qualifiait récemment, dans un article intitulé Les Juifs de Staline, de « plus grand meurtrier juif du XXème siècle » ; ou Jacob Agranov, qui avait pour slogan :  « S’il n’y a pas d’ennemis, il faut en créer, les dénoncer et les punir ».

 

Anne Kling évoque aussi le Mengele bolchevique, Gregori Moissevitch Maïranovski qui fut chargé de mettre au point un poison mortel ne laissant aucune trace, et pratiqua de nombreuses expérimentations sur des cobayes humains. Ainsi qu’un autre personnage digne d’entrer dans l’histoire pour son invention en 1937, des chambres à gaz « ambulantes » :  Isaï Davidovitch Berg.

 

Et tant d’autres, et non des moindres. Sans oublier un certain nombre de femmes qui n’eurent rien à envier à leurs homologues masculins.

 

Dans sa conclusion, Anne Kling interroge: « A l’heure où les nations européennes, Allemagne en tête, sont invitées de façon pressante à se souvenir encore et toujours de leurs propres fautes, à assumer leur responsabilité historique pour les horreurs commises, est-il normal que des pages entières continuent à être systématiquement occultées dans la mémoire des juifs ?

 

224 pages, 18 € + 3 € de frais de port (France)

Pour commander : envoyer chèque et adresse du destinataire clairement indiquée à Anne Kling - Editions Mithra - BP 60291 - 67008 Strasbourg Cedex

 

Pour ceux qui souhaiteraient acquérir les deux livres en même temps : 

REVOLUTIONNAIRES JUIFS et La France LICRAtisée : prix spécial de 32 € les deux, frais de port compris.

lundi, 06 octobre 2008

Se souvenir de Lepante...

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Un lecteur (et ami) gardois de Synthèse nationale nous adresse le témoignage suivant :

 

 

Quel prêtre ou curé oserait dans le monde d’aujourd’hui prononcer une homélie sur Lépante et l’Islam en Europe lors d’une messe dominicale ? On peut penser que cela relève du domaine de l’imaginaire, d’une vue de l’esprit, d’une autre époque !...

 

Eh bien non ! Témoin direct de ce sermon, j’affirme ce jour qu’un prêtre de l’Eglise Catholique de France a osé, en ce dimanche 5 octobre 2008, rappeler la victoire de la flotte Chrétienne, minoritaire en nombre, sur la flotte musulmane en octobre 1571.

 

Prenant les précautions oratoires d’usage, ce prêtre a voulu, sans chercher à ranimer une quelconque guerre de religions, rappeler à nos esprits des évènements inquiétants du monde d’aujourd’hui, quant au développement de l’Islam dans notre vieille Europe, en citant un récent article du journal allemand « Die Welt », celui-ci relatant l’inauguration d’une mosquée dans une petite bourgade de Rhénanie-Palatinat d’à peine 5000 habitants, sous les applaudissements et congratulations des personnalités de tous bords, y compris des représentants de l’Eglise Catholique.

 

Même si ce type d’évènement passe pour être banal pour le commun des mortels (la Chrétienté « endormie »), l’article précise que les mosquées inaugurées en Europe portent systématiquement des noms de conquérants islamiques connus pour leur extrême cruauté dans  les traitements infligés aux prisonniers Chrétiens de l’époque.

 

Le sermon se poursuit en rappelant que toutes les villes d’Europe  sont confrontées au même phénomène, que, par exemple, Bruxelles sera devenue dans 15 ans une ville islamique, le taux de naissance d’enfants d’origine étrangère étant déjà aujourd’hui de 57% !...

 

Réciproquement, les Catholiques auraient-ils droit à des tonnerres d’applaudissements s’ils réussissaient à ériger une église dans un pays musulman, en lui donnant par exemple le nom de « Godefroy de Bouillon » !... Cette hypothèse n’est même pas envisageable.

 

En conclusion le sermon se poursuit en mettant en évidence l’impérative nécessité de réveiller l’Occident Chrétien, sans avoir peur de s’affirmer comme tel.

 

Bravo ! Et que l’on ne vienne pas reprocher aux Catholiques de tenir des propos trop fermes, pendant que dans le même temps d’autres propos, bien plus virulents, sont tenus dans les mosquées de France et d’Europe !

Immigration-invasion : 4 000 « immigrés temporaires » arrivent chaque jour en Grande-Bretagne

douaniregbzi8.jpgLONDRES (NOVOpress) – 03/10/2008 – 15h00 - Selon un rapport du Bureau national des statistiques britannique, 4 000 « immigrés temporaires », arrivent chaque jour en Grande-Bretagne. Et le nombre de ceux qui restent dans le pays pour y occuper un emploi a augmenté de plus d’un quart.

Un « immigré temporaire » est officiellement défini comme une personne restant moins de douze mois, en Grande-Bretagne, le plus souvent pour travailler, grâce à la législation en matière d’immigration qui permet aux étrangers, plus particulièrement aux ressortissants des pays du Commonwealth, d’occuper un emploi au Royaume-Uni pour une durée maximale de 2 ans.

Selon le Bureau National des statistiques 1 437 000 « immigrés temporaires » sont arrivés au cours des 12 mois précédent juin 2006 ; soit l’équivalent de 3 937 personnes chaque jour et une hausse de 15% par rapport à 2005 et de 28% par rapport à 2004. Et ceux-ci occupent 80% de nouveaux emplois créés depuis 1997. Presque deux millions de nouvelles habitations devront être construites, simplement pour faire face à ce flux d’immigrés, soit l’équivalent de cinq villes comme Birmingham durant les 18 prochaines années. Parallèlement, le nombre de Britanniques qui s’expatrient ne cesse de croître.

Au mois de septembre, Sir Andrew Green, le président de l’Observatoire de l’immigration, déclarait dans la presse britannique que le niveau de l’immigration était désormais« 25 fois plus important qu’à aucun autre moment de notre histoire depuis presque 1 000 ans », Selon lui : « le gouvernement en vante les bénéfices économiques chaque fois qu’il en a l’occasion (…) mais on n’entend jamais parler des coûts, tel que l’énorme facture des infrastructures afin de construire les millions d’habitations nécessaires aux nouveaux immigrants». La surcharge pour les écoles, le transport et les services de santé « va avoir d’énormes conséquences pour quiconque habite le pays au cours des décennies à venir » a-t-il ajouté.

Le rapport s’en est également pris à ce qu’il appelle « les quatre mensonges favoris » du gouvernement sur les bienfaits de l’immigration. Il récuse l’argument selon lequel les immigrés sont nécessaires pour occuper les 600 000 emplois vacants, car 900 000 étrangers environ sont arrivés depuis 2001 et les emplois vacants sont toujours là…

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Synthèse nationale n°10

Septembre-octobre 2008

 LA FIN DU NOUVEL ORDRE MONDIAL ? Editorial de Roland Hélie

OSSETIE : CONFLIT EXEMPLAIRE Patrick Parment

POUR UNE ARMEE AUTHENTIQUEMENT POPULAIRE Ulric Hellier

ALEXANDRE SOLJENITSYNE ET NOUS Nicolas Tandler

LES SOUCIS DE L'ONCLE SAM Pieter Kerstens

AUTRICHE : LES NATIONALISTES SONT DE RETOUR Lionel Baland

LE DERNIER BELGE EST PRIE D'ETEINDRE LA LUMIERE AVANT DE PARTIR Jean-Claude Rolinat

QU'AVONS-NOUS DE COMMUN AVEC NOS ELUS ? Pierre Descaves

LES DELIRES XENOPHILES DE L'UNION EUROPEENNE Arnaud Raffard de Brienne

Les chroniques de Philippe Randa, Robert Spieler, Ursule  Minoret-Levrault...

DIMANCHE 23 NOVEMBRE, à Paris, deuxième journée de Synthèse nationale...

 Commandez-le à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance seulement) : 12,00 €

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Douce France : lynché par la racaille...

lynchetf3.jpgLA VERRIERE (NOVOpress) – 03/10/2008 – 19h00 - Un homme d’une trentaine d’années a été lynché mercredi soir par une bande d’une quinzaine de voyous, dans un train reliant Saint-Quentin-en-Yvelines à La Verrière (Yvelines). La victime a dû se réfugier dans un wagon proche de l’agression pour sauver sa vie. Il souffre d’une fracture du nez, d’un poignet cassé et d’un mois d’incapacité totale de travail. Il sera hospitalisé dans les heures qui viennent.

La bande, composée d’individus de Trappes, la Verrière, Maurepas et Elancourt, dont les identités n’ont pas été révélées, a semé une véritable terreur sur son parcours. Mercredi, en fin d’après-midi, les voyous arrivent très « échauffés », selon Le Parisien de ce jour, à la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines. Une fois dans le train, ils terrorisent les voyageurs. « Enjoignant les personnes qu’ils croisent de leur révéler où elles habitent ». C’est dans ce train que cette racaille va s’attaquer au trentenaire, « littéralement roué de coups », souligne Le Parisien.

L’un des protagonistes suspecté d’avoir participé au lynchage est ramené au commissariat de Trappes. Une fois sur place, « on a évité le drame de justesse » se souvient un enquêteur. Dans les locaux de la police, le délinquant assène un coup de poing au visage d’un fonctionnaire et tente de s’emparer de l’arme de service de l’un des trois policiers qui tentaient de le calmer. « Il a empoigné la crosse et tirait dessus comme un diable. Nos étuis ont des sécurités, mais il fallait agir », relate un policier dans le journal. Agir ou réagir contre la racaille ? Pour l’instant, ce sont les voyous qui ont l’initiative dans de nombreuses communes françaises.