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vendredi, 06 janvier 2017

Villeurbanne : il vendait du cannabis assis sur une chaise de camping

Les policiers ont fait une drôle de découverte mardi…

C’est un cas peu commun qu’ont rencontré les policiers de Villeurbanne mardi en fin d’après-midi. Après s’être alarmé de passages suspects rue Jacques-Brel dans le quartier du Tonkin, la patrouille sur place découvre dans un parking souterrain un jeune homme assis sur une chaise de camping. À ses pieds, deux sacs dégagent une forte odeur de cannabis. Non loin de là, un complice transfère les commandes à travers un trou d’une dizaine de centimètres positionné sur la porte du hall.

Après avoir remarqué les forces de l’ordre, le jeune revendeur de 18 ans de la drogue a essayé tant bien que mal de se terrer dans un local à poubelles. Il a finalement dû abandonner l’idée peu de temps après, révélant alors le contenu de ses sacs aux policiers : 536 grammes de cannabis et 78 grammes d’herbe de cannabis. Le jeune homme détenait également 460 euros en liquide.

Après avoir été arrêté, le prévenu a été condamné à 8 mois ferme de prison et est encore maintenu en détention. Il était connu des forces de police pour des faits similaires.

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Cambriolage à Feyzin : Un mégot démasque l’un des voleurs


Une maison avait été saccagée et cambriolée à Feyzin lors du week-end de l’Ascension en 2016.

Le délit aurait pu rester impuni si un des cambrioleurs n’avait pas laissé traîner un mégot de cigarette sur les lieux.

Le jeune homme interpellé avait participé au cambriolage et a pu être confondu grâce au mégot laissé dans une chambre. Son ADN, retrouvé sur le morceau de cigarette, était déjà présent dans le fichier national des empreintes génétiques pour une affaire de recel dont la condamnation n’est pas encore inscrite sur son casier judiciaire.

Après avoir reconnu sa participation au vol, le cambrioleur a déclaré avoir été très alcoolisé lors des faits.

Face à l’absence d’antécédent, le voleur de 20 ans a quand même été averti sérieusement. Il a écopé d’une peine de 8 mois de prison avec sursis, plus une mise à l’épreuve de deux ans et une obligation de travailler.

Partie en week-end prolongé, la famille occupant l’habitation n’était pas présente au moment des faits.

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Un blessé lors d’une violente bagarre à coups de pieds de chaise et de couteau près de Lyon



Mardi soir vers 19h30, sur un parking de la commune de Chasse-sur-Rhône, une violente rixe a éclaté entre deux hommes.

La bagarre a débuté alors que l’une de ces deux personnes était venue s'expliquer avec le nouveau conjoint de son ex-compagne. Les coups ont été violents, portés à l’aide de pieds de table mais aussi de couteau.

C’est le nouveau conjoint qui a été atteint par l’arme blanche, au niveau de la tête. Pris en charge par les secours, il a été transporté à l'hôpital.

L'auteur présumé, un Viennois âgé d'environ 45 ans, a été interpellé. Il a été placé en garde à vue.

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Vaulx-en-Velin : deux adolescents tentent d’heurter des véhicules de police


Un Vaudais et un Aixois de 17 ans ont été interpellés ce dimanche à l’angle de la rue Eugénie Coton et de l’avenue Grandclément à Vaulx-en-Velin par les forces de l’ordre pour avoir pris la fuite après un contrôle et ont tenté de heurter ces derniers avec leur véhicule.

L’un des deux jeunes conduisait la voiture et l’autre était le passager.

Le jeune conducteur a refusé un contrôle de police et a ainsi pris la fuite. À deux reprises il a tenté de percuter les véhicules des forces de l’ordre pour les semer.

Conduisant sans permis, ils ont par chance fait aucun blessé, même si ces derniers roulaient à vive allure. Refusant d’obtempérer face aux injonctions de la police, ils ont même tenté de les percuter dans leur course, créant ainsi une course-poursuite agitée.

Le passager a été remis en liberté mais sera toutefois convoqué le 8 mars prochain devant le tribunal de Grande Instance d’Aix-en-Provence. Le conducteur, lui, a été présenté au parquet ce mardi.

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Nombre de traditionalistes ou de musulmans… la stagflation

 

 

Combien de musulmans en France ? La presse d’extrême gauche (Slate, les Inrocks) se gargarise d’un sondage de l’institut Ispos Mori sur la perception qu’ont les peuples autochtones d’Europe sur le pourcentage de colonies de peuplement musulmanes sur leur sol paru le 14 décembre dans une étude appelée Peril of Perception. Le tout publié, quel hasard, par une étude du très gauchisant Institut Montaigne, pas très divers par ailleurs dans sa composition, sur l’islam, destinée à « combattre les préjugés ». Etude où on apprend quand même que 74 % des musulmans ont acquis la nationalité française (donc, on les trouve pas le nombre officiel d’immigrés), 31 % sont pratiquants de chaque vendredi alors que les « catholiques » ne sont que 4,5 % pratiquant de chaque dimanche (il y a donc plus de musulmans pratiquants en France que de conciliaires) et 28 % font passer la charia avant les lois laïques. Les 28 % correspondent aux plus jeunes des musulmans…
 
Selon cette étude, la France serait le pays du monde qui surestimerait le plus sa population musulmane, devant l’Afrique du Sud et les Philippines. Les Français pensent qu’il y aurait 20,5 millions de musulmans alors que la propagande officielle n’en voit que 4,95 millions. Or, évidemment, il y a bien plus de 7,5 % de musulmans en France. Peut-être pas moins que 31 %. Reprenons les chiffres donnés dans un de mes précédents articles : 915 mosquées pour 3 millions de musulmans en 1985. Aujourd’hui, 2800 mosquées, ce qui laisse à supposer que les musulmans seraient un peu plus de 9 millions en France, c’est-à-dire 13,6 % de la population. L’ancien ministre Azouz Begag, nous l’avons dit, donne 15 millions de musulmans en France, soit 22,7 % de la population.  De même, les Français estimeraient que la France serait à 40 % musulmane à l’orée 2040 alors qu’elle ne serait « que » de 8,5 % selon une étude du Pew Reseach Center. La colonisation ne se tarissant pas et la France étant forcée par l’ONU d’accepter 800.000 colons musulmans, on peut en prenant la perspective basse, estimer le nombre de musulmans en France en 2040 à 29 millions sur une population de 73 millions, soit 39,7 %. Le compte est bon.
 
D’ailleurs, on retrouve cette même sous-estimation officielle en ce qui concerne le nombre de traditionalistes catholiques. Depuis 30 ans, dans les médias, le nombre de paroissiens de la FSSPX reste « stable ». Officiellement, il est de 35.000 pour la France et de 100.000 pour le monde, le même chiffre qu’en 1988. Le fanatique conciliaire Tincq concède généreusement 150.000 dans le monde. Le problème est que, par exemple, le nombre de prêtres est passé de 209 en 1988, 370 en 1999 et 613, plus 215 séminaristes en 2016, le nombre de pays desservis par la FSSPX étant passé de 45 en 2000 à 72 en 2016, ce qui ne « colle » pas du tout avec le nombre officiel des fidèles. Partons du principe que le nombre de fidèles s’accroit avec le nombre de prêtres, ce qui est une sous-estimation de la hausse. On devrait être aux alentours de 102.000 paroissiens sur le territoire français et de 300.000 dans le monde. Les chiffres officiels de la FSSPX, 120.000 fidèles en France et 600.000 dans le monde sont bien plus cohérents, sachant que l’indice de fécondité d’une famille tradie est de 6,9 enfants par femmes si on en croit le quotidien 20 Minutes et que des pays entiers à forte population sont maintenant desservis par elle (notamment en Afrique et en Europe de l’Est). Si on reporte la part des tradis de France à celles des conciliaires pratiquants, sachant que la secte conciliaire c’est 65 % des Français, la FSSPX représente pas moins de 10 % des catholiques de France au sens réel du terme ! Si on ajoute les ralliés de 1988, sensiblement aussi nombreux, le courent « traditionnel » corresponds à 20 % de l’Eglise, la part la plus jeune et la plus dynamique.
 
Les statistiques de « l’ouest » me font rappeler celles « de l’est » jadis, quand l’accroissement du PIB de la Roumanie était linéaire d’une année à l’autre, augmentant régulièrement sur une belle ligne à 45° d’angle… Cela me rappelait aussi ce qui me plongeait dans des abîmes de réflexions en jouant à Richesse du Monde. Pourquoi l’URSS censée produire 40 % du blé mondial et comptant 260 millions d’habitants devait-elle massivement importer du blé des Etats-Unis, qui produisaient 20 % du blé mondial et comptaient 230 millions d’habitants ? Tout simplement, comme le disait cette vieille fripouille de Winston Churchill : « Il y a les mensonges, il y a les foutus mensonges et il y a les statistiques… » Et accessoirement, que ceux « de l’ouest » qui font les statistiques sur les musulmans aujourd’hui sont soutenus par ceux qui, avant 1990, gobaient toutes les statistiques de ceux « de l’est »…
 
Hristo XIEP
 

Un rassemblement antifasciste ce samedi à Lyon

En réaction aux actions violentes de l'extrême droite à Lyon et à l'implantation d'un bar du GUD sur la Presqu’île , un rassemblement est organisé ce samedi par les antifascistes place Raspail, à 15 heures

 

Alternative Libertaire au départ de la manifestation contre la tenue du congrès du FN
Alternative Libertaire au départ de la manifestation contre la tenue du congrès du FN © Alice Patalacci
 
En novembre, l'attaque de la librairie La Plume noire avait fait grand bruit. Une vingtaine de militants d'extrême droite avait brisé la vitrine de ce local de coordination des groupes anarchistes de Lyon, occasionnant de légères blessures.
Constatant la multiplication de ces “actions brutales”, mais également l'implantation “durable” de l'extrême droite à Lyon, les groupes antifascistes ont appelé à un rassemblement. Ils dénoncent notamment l'ouverture par le GUD (Groupe Union Défense) du bar “Le pavillon noir” sur la Presqu'île qui vient s'ajouter à “la liste des 6 locaux fascistes lyonnais et autres boutiques et salon de tatouage où ils propagent leur discours haineux”.

Un appel à réagir

 

Les manifestants appellent à “réagir face aux idées fascistes de ces groupuscules d'extrême droite qui propagent un discours raciste, antisémite et islamophobe, LGBT+phobes et mysogine ; défendant une société sexiste et ségrégationniste”. Une manifestation qui s’explique aussi par la décision du Front national de lancer officiellement sa campagne présidentielle, le 4 février à Lyon “Pas un pouce de notre ville ne doit appartenir aux fascistes!”, concluent-ils.


Par Camille Sarazin
 

Assistants FN au Parlement européen: ouverture d’une information judiciaire

Le parquet de Paris a confié à des juges d’instruction du pôle financier l’enquête sur les soupçons de salaires indûment versés à des assistants parlementaires d’élus du Front national au Parlement européen, a indiqué aujourd’hui une source judiciaire.


L’information judiciaire a été ouverte le 15 décembre pour abus de confiance et recel, escroqueries en bande organisée, faux et usage de faux et travail dissimulé, a précisé la source. Elle fait suite à une enquête conduite depuis mars 2015 par le parquet, qui avait été saisi par le Parlement européen.

Plus d’informations à suivre.

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L’Italie veut « accélérer expulsions et rapatriements » de migrants

L’Italie veut « accélérer les expulsions et les rapatriements » de migrants hors de ses frontières, a insisté mercredi le ministre des Affaires étrangères italien Angelino Alfano, après de nouvelles tensions dans le pays.



Une révolte a éclaté en début de semaine dans un centre d’accueil pour migrants à Cona, au sud-ouest de Venise, à la suite du décès d’une Ivoirienne de 25 ans, les migrants accusant les secours d’être arrivés trop tardivement.
« Nous agissons avec rigueur et humanité: nous avons sauvé beaucoup de vies mais nous ne pouvons pas accepter de quiconque des violations des règles », a réagi M. Alfano mercredi dans un entretien au journal La Stampa. « C’est pour cela que nous devons accélérer les expulsions et les rapatriements. Je travaille pour conclure des accords qui diminuent les arrivées et empêchent les départs. »
« Il y a un triangle de pays fondamentaux: le Niger, avec qui nous sommes proches de conclure un accord, la Tunisie et la Libye », a-t-il précisé.
. Il sera mercredi à Malte, qui assure la présidence tournante de l’UE au premier semestre, pour parler aussi d’immigration et de sécurité.
En Italie, le ministre veut ouvrir, ou rouvrir, dans chaque région un « centre d’identification et d’expulsion », mais ces ouvertures sont contestées au sein même du Parti démocrate (PD, centre-gauche) au pouvoir.

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La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

L’islamo-business, vivier du terrorisme par Jean-Claude Gourévitch

 

 
Rémy Valat, historien 

islamobusiness-jpg« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là » déclarait Marwan Muhammad, ancien porte-parole du Collectif contre l’islamophobie en France, lors d’une conférence tenue dans les murs de la mosquée d’Orly le 4 août 2011.

Marwan Muhammad ni Tariq Ramadan (qui est le porte-parole en France des Frères musulmans, instance en lutte contre l’emprise laïque occidentale et reconnue comme une instance terroriste, et dont le double discours a été analysé par Caroline Fourest, Frère Tariq, Grasset, 2004) ne sont pas des terroristes, mais ils sont les acteurs de ce que Jean-Claude Gourévitch appelle l’ « Islamo-business ».

Jean-Paul Gourévitch, ancien enseignant à l’université de Paris XII-Créteil, est un spécialiste reconnu des questions afférentes à l’Afrique, aux migrations et à l’islamisme radical. L’« islamo-business », faute de terme scientifique plus élégant, est une combinaison de plusieurs facteurs idéologiques (doctrines politiques et religieuses), structurels (une nébuleuse d’associations et de moyens de financement), voire naturels (accroissement de la population musulmane en France entre 10 et 15 millions en 2040 pour 8,5 millions en 2016) qui pavent la voie de la radicalisation islamiste.

islamobusiness-GourevitchmigrationsnulsJean-Paul Gourévitch fait un état des lieux planétaire, une situation pays par pays, les enjeux et les stratégies développées par les prosélytes musulmans, individus financés par un réseau de « banques islamistes » et autres associations caritatives ou organisations non-gouvernementales (Ligue islamique mondiale, ou Mercy International impliquée dans les attentats contre les ambassades américaines de Nairobi et de Daar-es-Salaam en 1998, la Banque islamique de développement qui a contribué à l’installation de tribunaux islamiques en Somalie, etc.), voire l’économie informelle, qui inclut trafic d’organes et prostitution (ces structures criminelles financeraient le terrorisme international à hauteur de 1 500 milliards de dollars).

L’auteur met l’accent sur les faiblesses des sociétés occidentales, et française en particulier, face au péril de l’islam politique : « Les islamistes tentent de se solidariser avec des forces de progrès dont ils partagent certaines valeurs (antiaméricanisme, altermondialisme, droits accrus pour les minorités….) pour s’en faire des alliés en vue de l’islamisation progressive de la société civile. Au nom d’une liberté d’expression, de culte, d’association, qui n’a pas cours dans les pays dont ils sont issus, ils utilisent les faiblesses spirituelles, identitaires, démographiques et économiques des pays où ils résident pour démontrer leur audience et persuader les gouvernements en place que rien ne peut être fait sans eux ni contre eux. »

En fin d’ouvrage, l’auteur explore les avenirs possibles : l’affrontement, le vivre ensemble, voire un possible déclin de l’islamisme…. Que l’on partage ou non le point de vue de Jean-Paul Gourévitch, les faits sont là, probants et invitent à réfléchir..

L’islamo-Business, vivier du terrorisme, de Jean-Paul Gourévitch, Pierre-Guillaume de Roux éditeur, 23€.

Jean-Paul Gourévitch est un écrivain, essayiste, formateur et consultant international français, né en 1941. Il a notamment publié Les Migrations pour les Nuls (éditions First, 2014) et La Croisade islamiste : Pour en  finir avec les idées reçues (Pascal Galodé éditions, 2011)

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Islande : le nombre de musulmans multiplié par 16 en 15 ans, une mosquée va être édifiée à Reykjavic !

(…) Le Conseil Municipal de Reykjavic vient en effet d’approuver le projet de construction de la première mosquée officielle du pays. Le projet porté par l’une des deux associations musulmanes du pays (l’Association des Musulmans d’Islande) ne date pas d’hier. C’est en 2000 que l’association avait déposé une demande auprès des autorités. Suite à des désaccords avec la ville sur la taille de la future mosquée, le projet a pris du retard.

 
Les 700 musulmans que compte cette île de l’Atlantique Nord (sur une population de 294.000 habitants) se partagent deux associations : l’Association des Musulmans d’Islande avec 419 membres et le Centre Culturel Islamique d’Islande (275 membres). Deux salles de prière existent dans cette ville. Selon certaines statistiques, le nombre de musulmans a été multiplié par 16 en 15 ans (…)

Source : http://www.desdomesetdesminarets.fr/2013/09/22/islande-fe...

Rappel : l’Islande c’est à peine 337.000 habitants.

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« Dupont Lajoie » est devenu « Dupont la peur » : et dans son propre pays !


Quatre supporters de Chelsea, soupçonnés d’avoir empêché Souleymane Sylla, un père de famille franco-mauritanien domicilié dans le Val-d’Oise, de monter par deux fois dans une rame de métro à Paris en février 2015. Près de deux ans après les faits, ils étaient jugés pour violence volontaire à caractère raciste en marge du match de football ayant opposé le club de Chelsea au PSG. Le groupe avait chanté en chœur : « Nous sommes racistes, nous sommes racistes et on aime ça. » Intolérable !

Souleymane a expliqué ce mardi au Parisien : « J’attends ce procès depuis bientôt deux ans. J’espère qu’il me permettra de tourner la page et de me reconstruire. »

En février dernier, il avait été invité à assister au match Chelsea-PSG et avait affirmé que s’il n’était pas fan de football, sa présence symbolisait beaucoup. « Je veux montrer aux Anglais, et en particulier à mes agresseurs, que je suis toujours là, toujours bien vivant. » Devant la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris, le parquet a requis des peines allant de six à douze mois de prison avec sursis contre ces quatre supporters.

L’affaire avait été relayée en 2015 par tous les médias. Aujourd’hui, les télévisions sont revenues sur l’incident en interrogeant le Franco-Mauritanien. L’homme se dit toujours traumatisé : « Je me retrouve avec des médicaments, des rendez-vous chez le psychologue, ça a bouleversé ma vie professionnelle. Tout ça, c’est à cause d’eux. » Terminant par ces mots très forts : « Je ne pardonne pas ; je ne pardonnerai jamais. »
Les associations antiracistes SOS Racisme et la LICRA s’étaient portées partie civile.

Ce même mardi 3 janvier 2017, une vidéo est postée sur YouTube. On y aperçoit, malgré le flou, un homme apeuré, acculé dans un coin de ce qui paraît être les dépendances d’un hôtel. Face à lui, au moins trois jeunes Maghrébins. L’un d’eux filme la scène avec son téléphone. L’image est floue par moments. Un des acolytes prend de manière autoritaire l’adulte tétanisé par les épaules, les mots prononcés ne sont pas tous audibles, ils n’en sont pas moins forts…

Parlant des images qu’il filme : « Celles-là, je les garderai toute ma vie quand j’aurais 30 ans. » Puis, s’adressant à l’adulte : « Présentez-vous, qu’est-ce que vous faites dans la vie ? Vous êtes gérant de l’hôtel… vous travaillez pour l’hôtel ? » Puis il lâche, repris par une autre racaille : « On nique la France… On nique la France… Monsieur, vous êtes de quelle origine ? » L’homme murmure, on le sent apeuré : « Française »« Et nous, on dit nique la France, cela ne vous dérange pas ? » L’employé baisse les yeux et, prostré, répond : « Non ». L’agresseur poursuit :
« On a pris le pouvoir de la France, c’est aux Arabes… C’est pour ça qu’on nique la France… Vous savez, on est trop… tout à l’heure, je regardais Marine Le Pen, elle a dit qu’il y a plus d’Algériens, de Marocains, de Tunisiens et de Noirs que de purs Français… On vote, on est plus que vous… On va vous expulser de votre France… On va vous baiser… On va te niquer… »
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Scène banale : des Maghrébins humilient un Français qui, pétrifié, ne porte pas plainte. Et les médias toujours prompts à parler de racisme évitent de publier…

Ce racisme anti-français ordinaire se reproduit chaque jour dans l’Hexagone. Des hommes et surtout des femmes, dans le métro ou dans la rue, se font injurier voire malmener. Mais pour eux, pour elles : rien, silence total. Alors, pour une fois, et même si cela n’a aucun effet, envoyez comme moi cette vidéo à la LICRA. Arrêtons d’encaisser sans rien dire, car si c’est intolérable pour un Noir, cela l’est tout autant pour un Blanc.

Dans son propre pays, « Dupont Lajoie » est devenu « Dupont la peur » !

 J.-P. Fabre Bernadac

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Belgique : quand la bien-pensance récupère les attentats et fait des amalgames

Dans le champ des idées et du combat politique, tout est d’ordinaire bon pour la récupération.

Combien de fois les dénonciateurs de l’islamisme n’ont-ils pas été accusés de « récupérer » un attentat alors que la plupart d’entre eux mettent en garde contre les dangers du radicalisme depuis de nombreuses années déjà (quand, à l’époque, le multiculturalisme était encore forcément heureux) ?

C’est le sort connu par les partis patriotiques et souverainistes, les penseurs ayant déserté le sentier balisé par le politiquement correct et les citoyens les mieux informés.

Les « récupérateurs de drames » les plus chevronnés ne sont pourtant pas ceux que l’on croit. Le camp du politiquement correct n’a, d’ailleurs, jamais lésiné sur les moyens. Et, apparemment, les fêtes de fin d’année n’ont pas ankylosé les cerveaux de tout ce qui pense.

C’est le cas, notamment, en Belgique où l’on se désole, en ce moment, du « racisme décomplexé » qui aurait percolé dans le pays suite à la mort d’un Belgo-Turc lors de l’attentat d’Istanbul.

Rapidement, les médias sont donc montés au créneau pour dénoncer les quelques propos racistes apparus sur les réseaux sociaux, tels que : « un parasite en moins » ; « un musulman en moins, c’est bien ».

Bien sûr, ces propos sont abjects. Mais ils sont heureusement minoritaires.

Certains ont pourtant décidé de transformer les quelques commentaires malheureux en faits de société et de faire des Belges excédés d’odieux racistes. Ce sont les mêmes qui, lorsqu’il s’agit de l’islam, appellent à ne pas faire d’amalgames.

Unia, le centre interfédéral pour l’égalité des chances – en réalité le bras armé du politiquement correct -, a rapidement dégainé : « En Belgique, nous n’avions encore jamais vu autant de manifestations de haine que ces dernières années. Cela se répand très vite grâce aux réseaux sociaux. »

La haine la plus répandue, pourtant, n’est pas le fait de Belges de souche. Ceux-ci sont pourtant excédés et le font savoir, avec, pour l’immense majorité, beaucoup de retenue et la volonté de ne pas envenimer la situation. Que le « camp du bien » prenne exemple sur eux.


Gregory Vanden Bruel

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Pour Peillon, les musulmans sont traités comme les juifs portant l’étoile jaune

 
On peut être ancien ministre de l’Éducation nationale, sans bien connaître l’Histoire de France, et agrégé de philosophie, sans maîtriser le concept du temps. Ce thème a pourtant inspiré la réflexion de bien des philosophes, au XXe siècle, de Bergson à Borges.

Mais le pire est sans doute de voir un philosophe, qui devrait dominer ses passions et mesurer la justesse de ses mots, se laisser emporter par la vague des préjugés, contrairement aux recommandations des Lumières. C’est ainsi qu’invité de L’Entretien politique, mardi soir, sur France 2, Vincent Peillon, candidat de la primaire socialiste, s’est livré à une comparaison bien incongrue entre l’antisémitisme et l’islamophobie.

Interrogé sur la laïcité, il a déclaré : « Si certains veulent utiliser la laïcité, ça a déjà été fait dans le passé, contre certaines catégories de population, c’était il y a quarante ans les Juifs à qui on mettait des étoiles jaunes, c’est aujourd’hui un certain nombre de nos compatriotes musulmans qu’on amalgame souvent avec les islamistes radicaux.
C’est intolérable. »
 
Passons sur l’erreur chronologique : il y a quarante ans, nous étions en 1977 ! Mettons-la sur le compte de la précipitation de l’esprit – défaut étrange chez un philosophe. Le plus important, dans son propos, c’est le rapprochement qu’il opère entre l’étoile jaune, qui stigmatisait les Juifs, et la laïcité, au nom de laquelle certains stigmatiseraient les musulmans, confondus avec les islamistes.

Comparaison n’est pas raison, dit l’adage populaire. Cette reductio ad hitlerum relève d’une vision manichéenne du monde et d’un usage impertinent de l’analogie, à la base des sophismes.

D’abord, comment peut-on seulement faire le parallèle entre le sort réservé aux Juifs sous le régime de Vichy, pendant l’occupation allemande, et les musulmans aujourd’hui ? Quel rapport avec la laïcité ? Car notre philosophe a bien dit que « ça a déjà été fait dans le passé ».

Ensuite, ceux qu’il visait – à commencer par Marine Le Pen et, dans une moindre mesure, même s’il s’en est défendu, Manuel Valls – savent faire la différence entre les Français de religion musulmane et les islamistes qui commettent des attentats au nom de l’islam.
Enfin, si certains Français de confession musulmane sont stigmatisés, c’est qu’ils ont choisi de se distinguer eux-mêmes par leurs coutumes vestimentaires ou des manifestations de communautarisme.

Franchement, on attendait mieux d’un philosophe. Par ses approximations, par son manque de rigueur, par les amalgames qu’il pratique lui-même et qui sont la marque d’un esprit simpliste ou sectaire, Vincent Peillon se comporte comme le plus ordinaire des démagogues.

Voulant se différencier de ses concurrents, notamment de Manuel Valls, il se met à la hauteur de son camarade Jean-Christophe Cambadélis – c’est-à-dire pas bien haut ! –, qui déclarait, à trois jours du premier tour des régionales : « Le FN, c’est le retour de Vichy. » Il faut croire que ce type de slogan n’est guère efficace si l’on en juge par les résultats du parti ciblé.

En utilisant de tels procédés, Vincent Peillon ne fait honneur ni au Parti socialiste ni à l’intelligence. Platon, qui souhaitait que les philosophes dirigeassent la cité, ne l’aurait certainement pas choisi dans sa République.

 Jean-Michel Léost

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Amiens (80) : le Courrier Picard dénonce « les curieux opposants » à la future grande mosquée

Deux associations aux parcours sinueux et deux figures de l’extrême droite catholique ont déposé un recours contre le permis de construire la mosquée du boulevard de Roubaix. Le permis de construire a été accordé en mars 2014 par l’ancienne municipalité. Les travaux doivent reprendre en février prochain.





L’affaire passera à l’audience du tribunal administratif mardi 10 janvier et elle sera plus intéressante sur la forme que sur le fond. Deux associations et huit particuliers ont déposé deux recours contre le permis de construire la grande mosquée d’Amiens, dont le chantier est toujours au point mort derrière les palissades, boulevard de Roubaix. […]

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La France et l’Arabie saoudite ou le mariage forcé vers l’Eurabia ou l’Eurislamisme ?

 La voracité des hommes politiques français est sans pareil. Il faut avoir lu pour s’en convaincre Nos très chers Emirs (1) des journalistes d’investigation Christian Chesnot et Georges Malbrunot mais on avait aussi raconté en son temps comment François Mitterrand n’avait jamais de porte-monnaie ou de portefeuille sur lui et comment il avait aussi l’habitude de se faire toujours inviter dans les maisons de campagne ou de vacances de ses courtisans.

La France n’a plus de sang bleu

eurislamisme-tres-chers-emis-Ses élites sont celles de l’égalitarisme des concours passés par le filtre du milieu enseignant, l’un des plus radins de France. Alors, quand ils pensent aux Pays du Golfe à l’Arabie Saoudite ou à Dubaï, nos hommes politiques et nos technocrates de cabinet n’en peuvent plus, rêvent de luxe et de yachts, de voyages d’avion en première classe. En somme, ils rêvent d’improbables trésors au paradis musulman.

Or, les temps changent en Arabie saoudite et certains vont même jusqu’à dire qu’il en sera bientôt fini du luxe et de la volupté à la fin de la décennie. Les Saoudiens traverseraient la plus grave crise économique de leur très courte histoire. Depuis le début de la crise pétrolière, qu’ils ont en grande partie provoquée en inondant le marché de leurs barils, ils demeurent incapables de juguler les effets néfastes de la chute des cours du pétrole, nonobstant les mesures d’austérité drastiques qu’ils ont décrétées et qui touchent, pour la première fois, les salaires des fonctionnaires et les budgets alloués au tiers secteur. En octobre dernier, le ministre saoudien des Finances a même avoué publiquement que le pays risquait de se retrouver, dans trois ans, dans une situation de cessation de paiement. Du coup, Riyad a accepté de faire récemment des concessions – auxquelles il n’aurait jamais consenti en temps normal – avec ses partenaires de l’Opep pour stopper la dégringolade.

Cette analyse, là encore le Quai d’Orsay ne la lit pas. Elle est pourtant confirmée par Saad Faqih, porte-parole du mouvement saoudien d’opposition basé à Londres. Il affirme que l’Arabie Saoudite «court inexorablement vers la banqueroute», ce qui prélude selon lui à la chute de la monarchie wahhabite qu’il espère forcément proche. Ce prince saoudien compare d’ailleurs la situation que traverse aujourd’hui la Monarchie saoudienne avec l’intermède qui a précédé la chute du Chah d’Iran, en 1979. Une bonne piqûre de rappel car c’est justement après l’événement de la «révolution islamique» de l’Ayatollah Khomeiny que l’Occident a commencé effectivement à miser exclusivement sur l’Arabie Saoudite pour s’assurer d’une stabilité d’approvisionnement en hydrocarbures. Le porte-parole du mouvement saoudien d’opposition va sans doute trop loin en concluant que la crise saoudienne est aujourd’hui telle que le parrain américain ne pourrait plus empêcher l’effondrement du régime wahhabite « qui peut survenir aussi rapidement ».

Une telle crise aurait effectivement de quoi inquiéter car elle entraînerait forcément une révolution religieuse pour le gardien des lieux saints de l’Islam, une crise profonde de l’Islam dont il est difficile de mesurer les conséquences en raison  des volontés géopolitiques de leadership de l’Islam mondial par l’Indonésie, le plus grand pays musulman au monde (12,7 % ). Les groupes religieux qui risqueraient de succéder alors à la monarchie en place s’accapareraient en tout cas de l’immense arsenal militaire saoudien sachant que Ryad consacre chaque année, des budgets faramineux pour l’achat d’armes, en particulier à la France et à la Grande-Bretagne (avec la dernière signature cette année d’un contrat d’armement à hauteur de 1,7 milliard de dollars avec le gouvernement britannique).

L’Arabie saoudite en difficultés économiques est aussi la grande perdante d’Alep dont elle assurait en grande partie le financement et l’encadrement des organisations terroristes dites  »rebelles ». Elle bombarde actuellement sans état d’âme et sans aucune pitié le Yémen voisin y commettant des crimes de guerre en séries qu’uns fois de plus, nos journalistes humanitaires aux œillères orientées ne voient pas. La lutte saoudienne contre les houthis, un mouvement politico-religieux dirigé par des chiites zaydites, n’est en fait qu’un des épisodes de la guerre en cours contre les Chiites, les ennemis jurés des Saoudiens car comme en Syrie, c’est bien l’Iran, l’ennemi numéro un d’Israël que cherche aussi à viser l’Arabie saoudite au Yémen en s’en prenant aux rebelles du royaume zaydite. Les rebelles Houthis s’étaient beaucoup rapprochés ces derniers temps du modèle combattant du Hezbollah, filleul politique et militaire de l’Iran au Liban mais aussi le grand vainqueur de la bataille d’Alep. De fait, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a proclamé récemment que la cause houthie était la sienne, autorisant même les médias houthis à s’installer dans la banlieue sud de Beyrouth. Les slogans politiques houthis, la propagande du mouvement et son modus operandi sont désormais calqués sur ceux du Hezbollah, une véritable école de la guerre globale proche-orientale.

En s’engageant au Yémen, avec le soutien du bout des lèvres des Américains, l’Arabie saoudite se place dans une guerre confuse, qui risque d’être de longue durée et donc forcément ruineuse et onéreuse.  L’Arabie saoudite n’avait pas non plus le choix car sans cette intervention militaire, elle jouait gros en risquant de voir s’installer au Nord-Yémen une sorte de Liban-Sud avec un bras armé iranien qui travaillerait à loisir contre son royaume.

Au Yémen, l’Arabie saoudite a donc clairement défini deux objectifs militaires

Au Yémen, l’Arabie saoudite a donc clairement défini deux objectifs militaires. Le premier est de perturber et d’empêcher les livraisons d’armes iraniennes aux houthis; le deuxième, de faire clairement comprendre aux houthis qu’une alliance avec l’Iran leur coûtera cher et leur sera mortelle. . Ces deux objectifs semblent avoir été atteints. Les aéroports yéménites ont été fermés et les ports yéménites sont soumis à un blocus total. Pendant ce temps, l’Arabie saoudite prenant en quelque sorte modèle sur l’aviation russe en Syrie a poursuivi une intense campagne aérienne avec près de 10 000 personnes, en majorité des civils tués depuis le début du conflit. Au Yémen, l’Arabie saoudite n’a pas été miséricordieuse comme le recommande le Prophète et elle avait d’autant plus les mains libres que le monde avait les regards de Chimène pour Alep ou Mossoul.

A l’opposé, moins dépendant du pétrole proche-oriental par le gaz de schiste et échaudé par les derniers rapports sur le 11 septembre, mettant clairement en cause le royaume des Séoud, les États-Unis en plein repli isolationniste ont annoncé selon  le très sérieux quotidien britannique The Guardian, arrêter les ventes d’armes prévues à l’Arabie Saoudite  en relation avec les frappes aériennes du Yémen. Menée seule avec le soutien cependant évident et tacite une fois de plus d’Israël, son allié contre-naturel, la guerre du Yémen risque en tout cas d’être une sorte de tonneau des Danaïdes pour le royaume en raison des dépenses pour l’effort de guerre (tanks, avions, navires, missiles perfectionnés, intendance) même s’il faut aussi relativiser l’Arabie Saoudite n’est pas en faillite comme l’État français. Elle tire encore des gros revenus du pétrole et surtout du plus grand tourisme religieux industriel du monde : le hadj de la Mecque qui est en train de devenir la branche principale de son économie avec 11 millions de pèlerins chaque année et une véritable manne tombée du ciel de la superstition estimée à 12 milliards de dollars. Elle a diversifié ces revenus par de nombreux fonds de réserves importants au niveau de plusieurs banques occidentales et elle détient une grande partie de la dette américaine sur lequel elle exerce un chantage permanent.

La monarchie wahhabite ne court donc pas à la faillite malgré ce qu’affirme son opposant résident britannique. Elle possède aussi des réserves d’or inestimables en Suisse et dans des paradis fiscaux. Mais la voilure a baissé et  l’idéologie fanatique du Wahhabisme religieux a pris un sérieux coup en s’en prenant dans les attentats à des Musulmans innocents.

Alors, le Wahhabisme ne risque-t-il pas de devenir maintenant un frein à son intégration globale, les USA ne semblant plus considérer l’Arabie Saoudite comme un allié sûr ou stratégique au Moyen Orient ?

Et si du coup, l’avenir de l’Arabie Saoudite, était dans la France de Hollande et Valls avec cette idée pas si folle de leur point de vue, de construire sur la tête de pont de la péninsule européenne un nouvel empire, l’Eurabia ou l’Eurislamisme de l’espérance verte ?

  1. Nos très chers émirs de Christian Chesnot et Georges Malbrunot, Éditions Michel Lafon, 17.95€
    Michel Lhomme
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L’Allemagne réforme son organisation sécuritaire. Et la France, dans tout ça ?


Chacun des attentats commis, ces dernières années, dans un des pays de l’Union européenne a révélé, le plus souvent, l’impréparation des États à faire face à ce type d’événement et l’inadaptation de leurs services de sécurité. Certes, selon les types d’institutions dont se sont dotés les pays concernés, les dysfonctionnements se sont avérés plus ou moins graves, et porteurs de conséquences plus ou moins lourdes. Il n’empêche : depuis trop longtemps, l’Europe ne cesse de baisser sa garde sécuritaire, négligeant ainsi gravement les risques inconsidérés qu’elle faisait courir à ses populations. Les crimes perpétrés au nom d’un djihadisme sans frontières et sans pitié sont malheureusement venus, à intervalles réguliers, sanctionner ces graves erreurs de jugement.

Face au déni de réalité qui a prévalu jusqu’à maintenant, l’Allemagne, après sa dramatique expérience du 19 décembre, semble vouloir reconsidérer son organisation sécuritaire.
D’essence fédérale, et ayant laissé jusqu’à présent au compte des 16 Länder qui la composent la gestion de la police et de la justice, l’Allemagne vient de comprendre que la lutte contre le terrorisme islamiste ne souffre aucun laxisme. Ainsi, le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, vient-il d’annoncer des mesures qui – il faut l’espérer – permettront à ce pays d’éviter qu’un tel drame ne se reproduise. 

Parmi celles-ci, le renforcement des pouvoirs de l’État fédéral en matière de renseignement. 

Rappelons que l’auteur de l’attentat du marché de Noël à Berlin, déjà connu des services de police, avait pu profiter du manque de coordination des (trop nombreux) services de sécurité allemands, et s’enfuir une fois son forfait accompli. Il est également annoncé un renvoi plus rapide des migrants déboutés de leur droit d’asile, ainsi que la mise en place, à proximité des aéroports, de centres de rétention où seront placées les personnes en voie d’expulsion. En matière de lutte antiterroriste et de grand banditisme, l’expérience a toujours démontré la nécessité d’un renseignement fiable, circulant rapidement et partagé entre tous les services. L’Allemagne, même si son passé l’y incite peu, doit maintenant prendre conscience de cette réalité.
Pour autant, la France, lors des attentats qui nous ont touchés au cours des derniers mois, n’a pas toujours été aussi réactive que son organisation, plutôt centralisée et hiérarchisée, aurait pu le laisser supposer. Les services de renseignement ont été gravement mis en cause pour n’avoir pas su prévenir les actions terroristes qui ont fait des centaines de victimes en différents endroits du territoire national. Si, pour colmater quelques brèches, des remèdes d’urgence ont pu être apportés, aucun travail d’ensemble et coordonné sur nos services de sécurité ne semble avoir été entrepris ni même initié. Pourtant, le recueil et le traitement du renseignement, son exploitation par les services opérationnels concernés, l’implantation et les prérogatives des structures qui y concourent ainsi que les politiques de recrutement et de développement des moyens matériels et techniques sont quelques-uns des enjeux sur lesquels des choix clairs et urgents doivent être faits. 

Mais il ne faut pas se voiler la face. Dans une Europe dont les frontières extérieures sont livrées à la surveillance et au bon vouloir d’États souvent démunis, peu consciencieux, peu scrupuleux et dépassés par une crise migratoire incontrôlée, le pire restera toujours à craindre.

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L’usine PSA d’Aulnay fermée à cause de la non-France islamiste ?


« On ne l’a jamais dit, mais une partie de la fermeture de PSA était liée aussi à l’omniprésence religieuse et au fait qu’il y avait des exigences religieuses au travail, d’arrêt de travail, de baisse de productivité, et dans le choix de PSA de fermer Aulnay, il y a eu aussi cet aspect-là », déclarait aujourd’hui Jean-Christophe Lagarde, député-maire UDI de Drancy, pourtant régulièrement pointé du doigt pour sa politique clientéliste et ses concessions fréquentes au communautarisme, particulièrement musulman.
En décembre 2013, le groupe PSA Peugeot Citroën fermait son usine d’Aulnay-sous-Bois, qui employait 3.000 salariés jusqu’à l’été 2012. À l’époque, le constructeur automobile expliquait que le groupe ne pouvait faire autrement, menaçant d’une faillite. Mais y aurait-il eu une autre raison expliquant cette fermeture, beaucoup moins politiquement correcte ? Les propos de Jean-Christophe Lagarde font plus que jeter le doute. Comme l’a rappelé le journal Marianne, ce site employait un très grand nombre d’ouvriers musulmans pratiquants, ce qui n’avait pas été sans créer quelques remous relatés dans les médias.

On retrouve, d’ailleurs, une information intéressante dans un article de Libération daté de 2010. Il y est expliqué que l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois disposait d’une vaste salle de prière, un acquis des grèves de 1982… Le journaliste écrivait même alors : « Depuis trente ans, la gestion de l’islam en entreprise est devenue un réflexe chez PSA. Pendant la période du ramadan, les pauses déjeuners sont adaptées aux horaires de la rupture du jeûne. Les musulmans pratiquants ont droit à cinq minutes de plus pour manger […]. » Un réflexe qui a peut-être coûté beaucoup d’argent à cette société, contrainte plusieurs années après à fermer l’usine ! Dans ce même article, la bien connue Dounia Bouzar demandait aux grandes entreprises d’adapter le travail aux musulmans pratiquants… Sans commentaire !

En 2011, encore, le syndicat Force ouvrière de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois distribuait des calendriers islamiques illustrés de photos de La Mecque et d’autres mosquées. 

On pouvait aussi y trouver… les horaires de prière à Paris ! Les cadres sérieux de l’usine, légitimement choqués, n’avaient plus que leurs yeux pour pleurer. Par lâcheté, des grands groupes industriels auraient-ils accordé des privilèges exorbitants aux musulmans qui ont plombé les comptes ? Supprimez le conditionnel : ils l’ont fait ! En accord avec la classe politique, coupable d’un renoncement criminel face à l’immigration de masse extra-européenne et au chantage que pratiquent souvent les musulmans zélés.
 
Monsieur Lagarde le dit à l’approche de l’élection présidentielle, comprenant fort bien que son image passée ne pouvait que lui nuire. Mais gardez-vous de croire qu’il pourra quelque chose contre ce phénomène : il en est un des premiers responsables. Les dérives communautaristes ont une seule origine : l’immigration. Regardez le nouveau site Internet Oummaloc. Interrogé, son fondateur indiquait qu’il avait eu l’idée de créer une plate-forme immobilière réservée aux musulmans parce que « bon nombre de musulmans renoncent à louer leurs appartements ou maisons de peur d’accueillir des personnes ne partageant pas leurs valeurs et exigences ». Ils veulent vivre séparément des Français qui pratiquent une autre religion ? Très bien, qu’ils mettent leurs convictions en conformité avec la réalité en quittant le territoire hexagonal. Si vous ne vous plaisez pas en France, faites donc votre hijra.

 Gabriel Robin

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Essonne: 4 jeunes jugés pour viols en réunion

Ils piégeaient leurs jeunes victimes pour leur imposer des rapports sexuels: quatre jeunes des Tarterêts, un quartier sensible de Corbeil-Essonnes, sont jugés à partir d’aujourd’hui pour des viols en réunion commis en 2014.


Les accusés, dont trois avaient moins de 18 ans au moment des faits, comparaissent jusqu’à lundi devant la cour d’assises des mineurs de l’Essonne. Le procès pourrait se tenir à huis clos.
Interpellés en mars 2015, ces jeunes gens au casier judiciaire vierge, membres d’une bande appelée « Gangsta Du Zoo » ou « Mini Mafia Zoo », risquent jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle.

L’enquête a démontré que ce groupe se vantait d’obtenir des faveurs sexuelles, consenties ou imposées, auprès de jeunes filles dont les noms étaient inscrits sur les murs du lycée du quartier.

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Au Proche-Orient, François Hollande mène une politique de gribouille

François Hollande est en visite à Bagdad, ce 2 janvier 2017. Dans la matinée, il a assuré devant des militaires français qu’« agir contre le terrorisme en Irak, c’est aussi prévenir des actes terroristes sur notre sol ». Raisonnement qu’on peut trouver simpliste, quand de nombreux spécialistes estiment, au contraire, que les échecs subis par l’État islamique en Irak et en Syrie risquent d’entraîner une recrudescence des attentats. 


D’ailleurs, quelques heures après son arrivée, un attentat-suicide à la voiture piégée a eu lieu, comme pour lui infliger un démenti : au moins trente-deux personnes auraient été tuées et soixante et une blessées. Ayant renoncé à se représenter, il ne reste au chef de l’État, pour se distinguer, que de jouer au matamore.
Malheureusement, il ne fait guère illusion : son attention pour l’armée reste bien suspecte. Si la France peut intervenir au Moyen-Orient par des frappes aériennes, c’est parce qu’elle dispose d’un porte-avions nucléaire – pas toujours opérationnel, compte tenu des contraintes d’entretien. 

Faut-il rappeler qu’en 2007, la candidate socialiste à la présidentielle avait déclaré n’être pas favorable à la construction d’un second porte-avions ? Et si nos forces connaissent quelque succès en Afrique, c’est surtout grâce au courage et à l’ingéniosité d’une armée qui combat avec un matériel de plus en plus vieillissant.

La gauche, historiquement, a une tradition antimilitariste dont elle a du mal à se défaire : l’armée serait un instrument de la lutte des classes, au service de la classe dominante pour tenir en respect la classe exploitée. Cette tradition subsiste encore dans certains mouvements d’extrême gauche. 

En 2013, le NPA dénonçait l’omniprésence des campagnes de recrutement de l’armée sur fond de chômage massif : pour lui, l’armée est toujours le gardien de l’ordre capitaliste et le briseur de grèves. On se souvient, aussi, de la polémique soulevée par Eva Joly, en 2011 : elle souhaitait remplacer le défilé militaire du 14 Juillet par un « défilé-citoyen ». 

On se souvient encore de Xavier Cantat, le compagnon de Cécile Duflot, tweetant, en juillet 2013, qu’il était « fier que la chaise à [son] nom reste vide au défilé de bottes des Champs-Élysées ». Plus récemment encore, le 11 novembre dernier, un collectif d’organisations d’extrême gauche appelait à manifester à Tours contre l’armée qui, « quelle qu’elle soit, est l’école du crime ».
Les socialistes n’en viennent pas à ces extrémités. Mais rares sont ceux qui défendent l’armée sans réserve. On peut, d’ailleurs, constater que la plupart d’entre eux n’acceptent que du bout des lèvres les réformes susceptibles de la renforcer numériquement et qualitativement. Résultat : c’est à peine si elle peut fonctionner au quotidien.

Peu d’entre eux partageraient, aujourd’hui, le refrain du Chant des Girondins : « Mourir pour la Patrie/C’est le sort le plus beau, le plus digne d’envie. » Il est vrai que, lorsqu’on est adepte d’une Europe supranationale et libérale, le sentiment patriotique n’a plus lieu d’être : on ne va pas mourir pour la Commission de Bruxelles, tout de même ! 

Finalement, dans le domaine international comme dans les autres domaines, François Hollande ne voit pas plus loin que le bout de son nez : sous couvert d’idées généreuses, il mène une politique de gribouille.

 Jean-Michel Léost

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« Feux de la Saint-Sylvestre » : les premiers gros mensonges de Bruno Le Roux

Il suffit de le regarder pour comprendre que Bruno Le Roux, notre nouveau ministre de l’Intérieur, est un homme jovial. Il a l’air d’un bon gros nounours, d’une sorte de doudou propre à réconforter les populations. Alors, en ce premier jour de la nouvelle année, il s’est collé à la tâche avec enthousiasme : rassurer !


Dans son communiqué sur les « traditions » de la Saint-Sylvestre, il nous a ainsi apporté la bonne nouvelle d’après réveillon : « Cette année encore, le bilan des véhicules brûlés démontre qu’aussi intolérable soit-il, le phénomène est contenu par rapport à 2016, avec 650 mises à feu directes, là où elles étaient 602 l’an passé. Sur les cinq dernières années, le nombre de véhicules brûlés a diminué de 20 %. »

Retenez bien cette expression : « les mises à feu directes ». Elle signifie que notre joufflu ministre a changé son mode de calcul. Désormais, le premier flic de France ne décompte que les départs de feu et non pas le nombre de voitures incendiées. C’est moins choquant pour les braves gens. Le Monde a repris les chiffres, et fait les calculs : « Le nombre de véhicules incendiés a en fait connu une forte augmentation de 19 % par rapport à l’année dernière. » Dès lors, parler de « phénomène contenu » est un gros mensonge.
De même, affirmer que la Saint-Sylvestre s’est « déroulée sans incident majeur » en déplorant seulement « quelques tensions ou troubles à l’ordre public », c’est prendre les Français pour des imbéciles. Surtout, c’est prendre pour banales les véritables scènes de guérilla urbaine qui se sont déroulées dans maints quartiers. En visite de courtoisie dans une caserne de pompiers parisienne, Bruno Le Roux a félicité et remercié « les 100.000 forces de sécurité qui étaient mobilisées », « les 40.000 sapeurs-pompiers sur le territoire » et les « forces associatives mobilisées sur la sécurité civile […] qui ont permis d’avoir un 31 décembre qui s’est particulièrement bien passé ». Ah ! Quel sens faut-il donner à cet adverbe ? À quoi s’attendait-il, au juste, notre ministre ?
Quand on lit la presse régionale, on fait pourtant des découvertes intéressantes. Un peu partout, policiers et pompiers ont été victimes d’agressions, occasionnant l’arrestation de 454 personnes, dont 301 ont été placées en garde à vue. Le site Breizh-Info.com, qui a envoyé ses journalistes sur le terrain dans cette nuit de la Saint-Sylvestre, rapporte une ambiance assez éloignée des propos officiels. Quand le préfet annonce « Pas d’événement particulier à signaler. La nuit a été plutôt calme en Loire-Atlantique », les témoins rapportent des embuscades montées par des gamins de 12 à 16 ans et des pompiers empêchés d’intervenir avant que les lieux ne soient sécurisés par des dizaines de policiers ou CRS : « Sur un passage piéton au béton fraîchement fondu par un feu allumé par eux, ils jettent des morceaux de verre obtenus en cassant l’Abribus voisin. Ils rajoutent également un panneau de signalisation et des clous. » D’où l’interrogation : comment se fait-il que « le calme ne puisse même pas être assuré malgré un déploiement aussi massif des forces de l’ordre » ?

C’est la bonne question, en effet. Nous sommes « en guerre », ne cesse-t-on de nous répéter, raison pour laquelle nous sommes « en état d’urgence » ; et malgré l’impressionnante mobilisation des forces de l’ordre, on n’est même pas capable d’empêcher des bandes d’adolescents de s’entraîner à la guérilla urbaine ?
On nous dit que Daech n’a qu’un but : nous conduire à la guerre civile… Dès lors, je ne donne pas cher de notre peau !

Marie Delarue

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Dispositif antiterroriste : la duplicité de Bernard Cazeneuve

 

 
La duplicité de Bernard Cazeneuve n’en finira pas de m’étonner. Le Premier ministre a estimé, sur France Inter, ce lundi 2 janvier 2017, que si nous voulions éviter de nouveaux attentats, il fallait « continuer à faire monter en puissance notre dispositif antiterroriste »

Ministre de l’Intérieur, il nous avait savamment endormis en nous laissant croire que le maximum était fait dans ce domaine. Il avait même refusé de reconnaître, devant la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015, qu’il y avait eu des failles dans notre dispositif… le droit ayant été appliqué. Curieux raisonnement. Les chefs des services de renseignement, DGSI et DGSE, reconnaissaient pour leur part un échec, puisqu’ils n’avaient pas réussi à prévenir les attentats et qu’il y avait encore des « angles mort » dans notre dispositif juridique qui n’avaient pas étaient comblés, ni par la loi sur le renseignement, ni par celle sur l’état d’urgence. Le ministre n’a donc pas voulu adapter notre droit à la menace pour des raisons idéologiques, les opérationnels le souhaitant au contraire. 

Et il y a de quoi faire immédiatement… jugez-en plutôt.
Sur les interceptions de sécurité : lorsqu’un individu, qui fait l’objet d’interceptions de sécurité administratives (écoutes) par les services de renseignement, est mis en examen par la Justice, seuls les services judiciaires sont alors habilités à en connaître le contenu, secret de l’instruction et respect des droits de la défense obligent.
Ce fut le cas pour Samy Amimour, un des terroristes du Bataclan. Sur les saisies judiciaires : dans certains pays de droit européen et outre-Atlantique qui sont des démocraties, les juges autorisent qu’une copie des contenus des téléphones portables, ordinateurs qui sont saisis, soit remise aux services de renseignement ; question de bon sens et d’efficacité. Pas chez nous.

Pour ce qui est des métadonnées : la question se pose de la pertinence de la séparation entre le renseignement et le judiciaire, dès lors qu’il s’agit d’analyser ces métadonnées et de les croiser. Américains et Britanniques, notamment, les rassemblent à des fins opérationnelles alors que notre loi ne le permet pas. C’est dommageable à l’action d’anticipation.

Le retour des djihadistes : l’article 52 de la loi n° 2016-731 du 3 juin 2016 renforçant la lutte contre le crime organisé, le terrorisme et leur financement, prévoit une simple assignation à résidence d’une durée maximale d’un mois, pour des individus de retour du djihad contre lesquels il n’y aurait pas d’éléments suffisants pour justifier une mise en examen. Des centaines de djihadistes seront ainsi laissés en liberté sur notre territoire, avec toutes les conséquences que l’on peut imaginer. Il y a urgence à créer, enfin, un délit « spécifique » de départ pour le djihad, avec effet rétroactif, permettant de judiciariser systématiquement la situation des djihadistes dès leur retour sur le territoire national.

Les sorties de prison : Larossi Abballa, le tueur du couple de policiers de Magnanville, était sorti de prison en 2013 après trois ans de détention. Il n’y a toujours pas de débat national sur le sujet de la rétention judiciaire permettant de ne pas libérer un individu tant qu’il est considéré comme dangereux. Là aussi, plusieurs centaines de djihadistes ou candidats au djihad sont concernés actuellement ou dans les prochaines années.

Mais plus rien n’est étonnant quand on voit le cynisme de François Hollande qui s’est glorifié du savoir-faire antiterroriste de la France comme argument en faveur de la candidature aux Jeux olympiques de Paris.

 Philippe Franceschi

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Xavier Raufer : « M. Cazeneuve et son successeur Bruno Le Roux ne font que mentir »

 

 

Xavier Raufer : « M. Cazeneuve et son... par bvoltaire
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Bruno Le Roux, le nouveau ministre de l’Intérieur, s’est félicité que le nombre de voitures brûlées le soir de la Saint-Sylvestre avait diminué. Qu’en est-il vraiment en matière de sécurité dans notre pays ? Xavier Raufer répond au micro de Boulevard Voltaire. Une réponse décapante