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jeudi, 10 novembre 2016

Allemagne: cinq recruteurs présumés de Daesh arrêtés

 

 La justice allemande a annoncé ce mardi les arrestations de cinq personnes soupçonnées d’avoir monté un « réseau salafiste-jihadiste » dans le pays. Ils auraient également recruté pour le compte du groupe jihadiste Daesh au moins une famille, partie depuis en Syrie.

Le réseau jihadiste envoyait des recrues à Daesh

 

Le chef présumé du groupe est un ressortissant irakien de 32 ans. Ses quatre complices présumés sont un Turc de 50 ans, un germano-Serbe de 36 ans, un Allemand de 27 ans, et un Camerounais de 26 ans.
  
« Le but du réseau était d’envoyer des recrues à Daesh », a indiqué le parquet fédéral, chargé des affaires de terrorisme, dans un communiqué. Les suspects organisaient à cette fin des cours d’arabe et de thèses islamistes radicales. « Il est démontré que ce réseau a envoyé à Daesh en Syrie au moins un jeune homme et toute sa famille », relève la même source. Les cinq suspects doivent être présentés au juge des détentions ces mardi et mercredi.


820 jihadistes ont quitté l’Allemagne pour se rendre en Syrie et en Irak

 

Selon un bilan présenté en mai par le renseignement intérieur allemand, un total de 820 jihadistes ont quitté l’Allemagne pour la Syrie et l’Irak. Près d’un tiers d’entre eux est déjà revenu et environ 140 autres ont été tués. Quelque 420 seraient ainsi encore en territoire syrien ou irakien.
  
L’Allemagne a été jusqu’ici épargnée par des attaques jihadistes d’ampleur du groupe EI, du type de celles qui ont ensanglanté Paris ou Bruxelles.
  
En revanche, plusieurs attentats islamistes ont été récemment commis par des personnes isolées, notamment des demandeurs d’asile arrivés lors de l’afflux migratoire de 2015. 


Source 

145 migrants de la « jungle » de Calais en Franche-Comté

 

 La situation de chacun de ces 145 migrants afghans ou soudanais évacués de la « jungle », est suivie de près par les services préfectoraux et de l’office de l’immigration et de l’intégration à Besançon.

 

Ils sont cinq à attendre dans le couloir s’étirant en long balcon au-dessus de la salle des guichets pour cartes grises et permis de conduire du bâtiment d’accueil public de la préfecture du Doubs. En ce mardi matin, plusieurs ont fait route depuis Montbéliard jusqu’à Besançon, accompagnés par des travailleurs sociaux. Tous sont des migrants faisant partie de l’ensemble de ceux qui ont été évacués de la « jungle » de Calais et répartis dans les divers centres d‘accueil et d’orientation (CAO). Au total, ils sont 145 adultes, des hommes dans la quasi-totalité, surtout afghans et soudanais, à se trouver désormais hébergés en diverses villes de la région.

« Tous souhaitaient passer en Angleterre, on connaît la situation, ils ont accepté d’aller en centre d’accueil. L’objectif est de les mettre à l’abri afin qu’ils aient un répit et puissent réfléchir à leur projet migratoire », explique Guillaume Germain, directeur de l’Office français de l‘immigration et de l’intégration (OFII) à la préfecture du Doubs. Besançon est à cet égard l’un des six pôles nationaux de gestion de l’accueil des réfugiés.

En fait, chacun de ces migrants venus de Calais est reçu successivement par un fonctionnaire de la préfecture recensant ses éléments d’identité puis par un agent de l’OFII. Chacun est appelé à se soumettre à la borne Eurodac, base de données répertoriant les empreintes digitales des demandeurs d’asile et permettant de savoir s’ils sont passés par un autre pays.

« Il s’agit ici de déterminer la procédure dans laquelle se trouve la personne. Elle peut se trouver sous procédure Dublin, en référence aux accords de Dublin, soit passée par un autre pays où il a laissé ses empreintes et où il peut être renvoyé, en procédure accélérée ou normale », rapporte Guillaume Germain. Visiblement, les migrants venus de Calais, même en procédure Dublin, ont droit à une certaine mansuétude et peuvent demander l’asile en France. À coup sûr, les migrants suivants ne seront pas logés à la même enseigne et « les dublinés », selon le jargon, devraient être transférés en Grèce ou Italie, souvent le pays de leur prime arrivée.

Une carte et un code confidentiel

 

Pas de risque d’être renvoyé dans un autre pays pour tous ces hommes venus de la « jungle ». Âgé de 26 ans, Suleyman vient de passer à la borne Eurodac, pas d’empreintes. Ce Soudanais n’a pas séjourné trop longtemps à Calais. Avec l’agent de l’OFII le recevant, le dialogue s’instaure par le biais d’une interprète de langue arabe d’ISM Interprétariat jointe au téléphone. D’abord, un point sur la situation de ce migrant logé dans un centre de Montbéliard. Les questions se succèdent. « Je n’ai pas de problème de santé, je suis marié et sans enfant, ma femme est restée au Soudan. Je demande une place en centre d’accueil pour demandeurs d’asile. J’ai une formation de mécanicien auto. » Le temps de noter son numéro de portable, d’enregistrer sa demande sur le logiciel de l’OFPRA, l’agent de l’OFII lui fait signer une offre de prise en charge et lui remet deux lettres cachetées. « C’est un code confidentiel et une carte de retrait bancaire sans support de compte, la plupart des migrants n’ont pas de compte. Il aura un SMS lui indiquant que la carte est créditée du montant de l’allocation de demandeur d’asile à laquelle il a droit. Il pourra faire trois retraits par mois », explique l’agent de l’OFII. Pour précision, le montant de cette allocation est de 6,80 € par jour et de 12,20 € pour un couple et non de 40 € comme cela a circulé sur des réseaux sociaux.

Fin de l’entretien, Suleyman a bien assimilé que le numéro du code bancaire est à effectuer de gauche à droite et non l’inverse comme beaucoup de locuteurs de langue arabe l’ont fait. Son dossier complet de demandeur d’asile doit être à l’OFPRA dans les vingt et un jours à venir, il le fera depuis le centre d’accueil avec l’aide de travailleurs sociaux. Suleylan sourit : « J’aimerais bien apprendre le français. » S’il obtient le statut de réfugié, le contrat d’intégration républicaine lui permettra de suivre des cours de français.

Yves Andrikian
 

Ils préfèrent embaucher des migrants plutôt que des Français !

 

 


Le chômage a beau briser les illusions de millions de Français qui galèrent pour survivre dans un contexte de casse sociale, la priorité de certains semble être de trouver un emploi pour des « réfugiés » qui comptent bien s’installer durablement chez nous. Derrière les discours humanistes de façade affichés par quelques multinationales se profile l’espoir d’engranger des bénéfices toujours plus importants. L’ouverture des frontières permet, ainsi, de pressurer les salaires pour mieux engraisser les actionnaires. Aujourd’hui, afin de fuir le manque de reconnaissance et la pression fiscale, de nombreux Français s’exilent pour tenter leur chance ailleurs. Des Français veulent émigrer ? Tant mieux. Plutôt que d’essayer de les retenir en leur offrant d’autres perspectives, remplaçons-les par des immigrés ! 

L’année dernière, quatre grandes entreprises, toutes cotées en Bourse, avaient lancé un appel à la mobilisation en faveur des migrants : Total, Air Liquide, Sodexo et Michelin. Total n’a pas hésité à signer un chèque de 200.000 euros pour prendre en charge une formation au métier de développeur informatique. Pour soutenir cette initiative, des consultants de la société Accenture auraient, ainsi, travaillé gratuitement tout en donnant des conseils pour rédiger un CV et passer un entretien d’embauche. De son côté, Axa a débloqué un budget d’un million d’euros pour venir en aide aux migrants et les accompagner « en matière de formation et d’insertion professionnelle ». Et BNP Paribas a également annoncé la création d’un plan de soutien de cinq millions d’euros grâce à son fonds Urgence & Développement. 

L’objectif est, notamment, d’ouvrir un lieu à Paris pour aider les migrants à trouver un emploi et/ou créer leur propre entreprise. L’ONG Action emploi réfugiés a, pour sa part, misé sur un site Web qui met en relation les « réfugiés » en quête d’un emploi et les entreprises. « Il n’y a pas de job réservé, ce serait de la discrimination positive, mais un accès facilité aux annonces », a précisé Diane Binder, la cofondatrice du projet. Certes, le site ne fait que mettre en relation des demandeurs avec des employeurs. La plate-forme semble donc difficilement attaquable juridiquement car la discrimination ne peut être prouvée qu’à l’embauche. Mais il s’agit bien, en tout cas, d’un projet destiné à faciliter l’installation définitive de nouveaux immigrés sur notre sol. 

Si l’entreprise d’intérim Adecco est dans le coup, avec son application permettant de géolocaliser les offres d’emploi, Action emploi réfugiés peut surtout compter sur l’association France terre d’asile. Cette dernière a, d’ailleurs, signé un partenariat avec Franprix, fin 2015, pour favoriser l’insertion professionnelle des migrants en leur offrant la possibilité d’accéder à un emploi en magasin. Si cette information est passée quasiment inaperçue, l’approche discriminatoire semble clairement établie. Il serait opportun de demander des comptes à cette enseigne, qui semble privilégier l’embauche des autres avant les nôtres.

Face à l’invasion migratoire facilitée par des acteurs politico-économiques, des mesures radicales s’imposent. Outre un arrêt des subventions et une interdiction des associations soutenant l’immigration, il faudrait prévoir l’insertion – dans le Code pénal – du délit d’aide à l’immigration illégale avec peine de prison systématique en cas de récidive. Quant aux patrons qui préfèrent embaucher des immigrés, la prison est un minimum quand on touche à la communauté de destin de notre peuple.

Ils sont favorables à la répartition ? Nous prônons la remigration ! Ils pensent que l’immigration est une chance pour la France ? Nous considérons plutôt notre civilisation comme une chance pour l’Europe !

Fabrice Robert 

Source 

mercredi, 09 novembre 2016

Projet de mosquée à Aussillon

 

 





Ce projet de construction de mosquée se situe dans le quartier de la gare à Aussillon. Le permis de construite a été déposé l'année dernière et a été accepté. Certains ne voient pas d'un bon oeil la construction d'un nouveau lieu de culte, comme Dominique Petit, élu d'opposition à Aussillon. Le Maire de la commune, explique de son côté que c'est en fait le simple déplacement d'une mosquée qui existe déjà. Bref, polémique pour les uns et pas de quoi fouetter un chat pour les autres.

pages hallal 

Nantes : Marion, 14 ans, violée, torturée et assassinée de 68 coups de couteau par un Angolais « déséquilibré »

 

 





L’accusé, Yannick Luende Bothelo, un Angolais de 29 ans corpulent, est entré dans le box peu après 09H00. Il comparaît pour l’assassinat et le viol de Marion, accompagné d’actes de tortures et de barbarie, ainsi que pour tentative d’assassinat et violences volontaires sur deux hommes âgés. […]

 Le corps sans vie de Marion, frappé de 68 coups de couteau, avait été découvert le matin du 19 mars 2012 par une passante, à Bouguenais (Loire-Atlantique), dans des toilettes publiques près de Nantes en 2012.


Connu de la justice pour des cambriolages et des vols divers, il avait brisé son bracelet électronique quelques jours avant les faits et était visé par un mandat d’arrêt. […]

« Je suis Dieu », avait-il asséné aux enquêteurs, expliquant avoir croisé Marion et décidé de la tuer car tel était son « destin ». Il lui aurait ensuite volé son téléphone « pour appeler directement Sarkozy », le président de la République par qui il entendait se faire remettre les pleins pouvoirs… Une véritable fixation depuis des mois, révélera l’enquête, de la part de Luende Bothelo, qui se disait « né pour amener la paix », et qui avait appelé l’Élysée à plusieurs reprises.

Au-delà du caractère odieux de cet assassinat, c’est la santé mentale de l’accusé qui sera au cœur des débats, un homme dont le cas divise les experts. Si tous ont reconnu qu’il souffrait d’une « schizophrénie paranoïde » et de « troubles psychotiques », seuls deux d’entre eux ont estimé que son discernement n’était pas « aboli » mais seulement « altéré » au moment des faits — en clair, qu’il était responsable pénalement et ne nécessitait pas d’être envoyé en hôpital psychiatrique.

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«La Suisse est une plaque tournante pour les Saoudiens»

 

 






Contrôlée par l’Arabie Saoudite, la Ligue islamique mondiale est riche et influente. En Suisse également. Dans 30 mosquées du pays, elle diffuse une interprétation de la religion qui crée un terrain fertile pour le radicalisme, affirme l’experte de l’islam Saida Keller-Messahli.

«La Ligue mondiale soutient les musulmans du monde entier, en particulier en Occident, car ils y sont de plus en plus nombreux», dit Nabil Arab, directeur de la Fondation du roi Faysal. La Fondation gère le centre islamique de la Friedensgasse à Bâle, un des deux centres de Suisse qui sont liés à la Ligue islamique mondiale.
Nabil Arab est en relation avec la Ligue depuis 14 ans. Ce qui a notamment permis à certaines sommes d’argent de couler de la Mecque vers Bâle. Et Nabil Arab s’est déjà rendu plusieurs fois dans la ville sainte pour des conférences de la Ligue. Il se dit fasciné par la région du Golfe et son développement rapide. Il loue la bonne organisation des conférences de la Ligue, la générosité des hôtes et l’intelligence des érudits musulmans qu’il y rencontre.


Quand on lui demande si la Ligue serait radicale, il répond «non, en aucun cas. Ce sont des gens aimables et très instruits». La Ligue travaille au contraire pour la paix et tient même des conférences contre le terrorisme.

Le wahhabisme comme seul islam authentique

 

On peut toutefois être un peu sceptique quand on sait par exemple qu’un des érudits invités aux conférences de la Ligue se nomme Yussuf al-Qaradawi. Ce prédicateur très populaire, notamment sur la chaîne Al-Jazeera, prône entre autres le droit pour l’homme de battre sa femme et la mort pour les couples adultères. Il a également dit qu’une conquête de l’Europe par l’idéologie musulmane était actuellement en cours.

Le fait est que la Ligue islamique mondiale est active sur les cinq continents et serait ainsi la plus grande organisation religieuse au monde, comme l’a expliqué à Radio SRF Saida Keller-Messahli, présidente du Forum pour un islam progressiste.

La Ligue a été fondée en 1962 en Arabie Saoudite pour faire contrepoids aux appels à la démocratie et au panarabisme lancés par des leaders comme Nasser en Egypte. Elle est pilotée par le pouvoir saoudien et son objectif est de gagner les musulmans du monde entier au wahhabisme, qui est doctrine d’Etat en Arabie Saoudite. La Ligue propage un islam dont l’idéologie vient en droite ligne du début du VIIe siècle et présente le wahhabisme comme le seul vrai islam.

La Suisse est importante pour les Saoudiens

 

Selon Saida Keller-Messahli, le wahhabisme est une doctrine «qui ne tient aucun compte des acquis contemporains, comme les droits de l’homme ou les droits individuels». Toute radicalisation se fait sur un terreau mental propice, et le wahhabisme est pour elle un terreau idéal. «L’idéologie saoudienne, qui partage le monde entre le bien et le mal, qui propage à l’occasion des contenus très racistes et misanthropes, commence dans la tête des individus. Ce qui veut dire que les prédicateurs propagent ces visions du monde, qui vont s’infiltrer dans les esprits des fidèles».

L’experte rappelle que la Suisse est importante pour les Saoudiens – surtout Genève. Car c’est là qu’a été fondé le premier centre de la Ligue mondiale à l’étranger. Et c’est là aussi qu’elle a depuis peu un conseil de coordination européen. Et de ce conseil partent, selon Saida Keller-Messahli, des connections vers au moins 30 mosquées en Suisse.

(Traduction de l’allemand: Marc-André Miserez)


 Judith Huber, SRF

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Menaces des musulmans en Italie : « redonnez-nous nos mosquées illégales ou nous prierons Allah au Vatican »

Les mosquées abusives prolifèrent en Italie comme en France. A Rome, nonobstant la protestation de la communauté musulmane au Colisée contre la fermeture des mosquées illégales, la police de la capitale a opposé les scellés à une autre salle de prières dans la rue Montenovesi. C’est la sixième mosquée qui n’est pas aux normes et qui est mise sous séquestres en peu de mois.

 
 
Les motifs sont toujours les mêmes : abus des lieux et non respect des normes de sécurité à l’intérieur des locaux. Des telles salles de prières, à Rome, il y en a environ 52 ! Maquillées en centres culturels islamistes, ce sont des vrais mosquées, érigées dans des garages, des caves ou des anciens magasins, qui chaque vendredi accueillent des centaines de fidèles. 
 
De Tor Piganttara, quartier Est de la périphérie de Rome, où se trouve un autre de ces faux centres culturels islamiques, vraies salles de prières, et où la moitié des habitants sont musulmans, monte la protestation islamique contre ces fermetures de mosquées. Les musulmans vivant à Rome ont annoncé une nouvelle mobilisation. 
 
« Une salle de prière ne peut être fermée pour un problème d’urbanisme. Prier est un de nos droits fondamentaux et si on insiste à fermer nos mosquées, nous continuerons à prier dans la rue » explique Bachcu, président de l’association Duhuumchatu et organisateur de la manifestation au Colisée. Qui lance une menace à peine voilée : vendredi prochain, des centaines de musulmans romains descendront à nouveau dans la rue pour prier tournés vers La Mecque. 
 
« Le 11 novembre, nous prierons dans le quartier des Prati. » Les jeunes islamistes de la seconde génération confie-t-il « eux voulaient aller prier Allahu Akbar dans toute la ville, au Vatican, sur les places, ou devant les églises, pour provoquer. A la fin nous avons réussi à les arrêter, mais si de telles initiatives ont lieu, que pouvons-nous faire ? »
 
A ce musulman orgueilleux et menaçant et à ses compagnons tout aussi arrogants, on a envie de demander : quand est-ce que des catholiques à La Mecque auront-ils le droit de prier en direction de Saint Pierre, sans risquer de se faire égorger ou décapiter ? 
 
Francesca de Villasmundo
 

Bruxelles: un homme se fait "arracher" les yeux en pleine rue

 

Un homme, de nationalité belge, âgé d’une trentaine d’années, a été retrouvé mutilé dans un quartier central de Bruxelles, ce dimanche à 3 heures du matin. « Les yeux de la victime ont été arrachés, a précisé le parquet de la capitale belge. Ils ont été retrouvés à proximité, ainsi qu’une lame ». La victime a été transportée à l’hôpital « dans un état grave ».

Un suspect de nationalité néerlandaise, avec qui la victime s’est battu, « aurait lors de cette bagarre arraché les yeux » du trentenaire, avant de prendre la fuite, a indiqué le parquet, faisant état des « premiers éléments de l’enquête ».

La police a pu l’interpeller plus tard dans la journée de ce dimanche. Il doit être déféré ce lundi devant un juge d’instruction, saisi pour coups et blessures volontaires, torture et traitement inhumain. Il « reconnaît s’être bagarré » avec la victime, « mais ne peut affirmer avec certitude lui avoir arraché les yeux », a ajouté le parquet.

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Baumettes : 3 mois de prison pour une tentative d'évasion au culot

Au culot, sans violence ni effraction: un détenu qui était parvenu à franchir plusieurs grilles et portiques, jusqu’à la dernière porte de la prison des Baumettes à Marseille. Il a été condamné lundi, à trois mois de prison.


Laurent Choukroun, 43 ans, incarcéré depuis le 17 octobre 2012 et libérable en avril 2020, avait, le 31 mars dernier, circulé dans la prison durant 24 minutes, sans être inquiété. « Vous avez joué au poker et ça a failli marcher », a relevé le président Laurent Sebag, lors d’une audience au tribunal correctionnel de Marseille.

Sa tentative de belle, qu’il nomme « balade pénitentiaire », s’était achevée dans le sas de sortie, devant la porte donnant sur la rue. Ne pouvant remettre le badge réclamé par le surveillant, il avait tenté sa chance: « Je suis policier, je suis en mission secrète. »

Tout commence à l’infirmerie

 

De sa cellule, Laurent Choukroun qui purge un total de neuf années pour différentes affaires de stupéfiants, s’était rendu à l’infirmerie sans rendez-vous.
« Je ne sais pas ce qui m’a pris », a-t-il raconté au tribunal. « J’ai suivi un infirmier qui a pris le chemin de la sortie. Je n’avais pas l’intention de m’évader. Mais une fois dans la cour d’honneur, j’ai pensé à ma fille. J’ai vu le panneau sortie, j’ai sonné, on m’a ouvert. Je me disais: ce n’est pas possible. »
Dans un rapport évoqué à l’audience, la direction des Baumettes évoque plusieurs dysfonctionnements : un déplacement sans bulletin de circulation, une ouverture de grilles sans badger et un défaut de contrôle au dernier portique de sécurité avant le sas de sortie, où quatre personnes étaient en train de discuter lorsque le détenu est passé.

Le procureur Max Gazan qui avait requis un an de prison n’a pas cru à cette « version romanesque », estimant que cette tentative d’évasion par ruse « tourne en dérision et porte atteinte au crédit de toute une institution ».

Défenseur du détenu qui exerce la profession de prospecteur diamantaire en Afrique, Me Benjamin Liautaud a mis l’accent sur l’absence de préparation, Laurent Choukroun n’ayant sur lui ni argent ni téléphone. L’avocat a souligné qu’avant les lois Perben de 2004, une évasion sans « bris de prison » (effraction) ni violence n’était pas punissable.

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"Mouvement des policiers en colère": une association créée officiellement

 

 « MPC » pour Mouvement des policiers en colère. C’est le nom de l’association créée par les policiers non syndiqués, dont les statuts ont été déposés ce lundi matin à la préfecture de police de Paris. « MPC » est une association à but non lucratif, et sera financée par les cotisations des adhérents. 

Ses membres refusent catégoriquement toute subvention gouvernementale. Ils se disent apolitiques et hors syndicats. Leur volonté: représenter tous les policiers français en colère. 

Un mouvement qui prend de l’ampleur 

 

Depuis la mi-octobre, la grogne des policiers ne faiblit pas. Le mouvement avait commencé par une manifestation nocturne spontanée sur les Champs-Elysées, le 17 octobre dernier. Il s’est ensuite étendu à toute la France, en particulier dans les grandes villes. Vendredi soir, ils étaient près de 700 à manifester à Lyon, et plus d’une centaine dans de nombreuses villes telles que Béziers et Avignon. 

Pour tenter d’apaiser cette mobilisation, largement soutenue par l’opinion publique, le gouvernement a annoncé une enveloppe de 250 millions d’euros pour permettre un renouvellement du matériel, la fin des « tâches indues » (comme les gardes statiques devant les bâtiments), l’alignement des sanctions pour « outrages » à l’encontre des forces de l’ordre avec celles des magistrats, qui passera de six mois à un an d’emprisonnement, ainsi que des mesures pour préserver l’anonymat des policiers dans le cadre des procédures ou en intervention.

Malgré cette annonce, l’insatisfaction des policiers demeure, et les mobilisations se poursuivent. 

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Grogne des policiers: rassemblements à Melun et à Grenoble

Même si leur mouvement de colère a refflué ces derniers jours, plusieurs manifestations de policiers ont eu lieu lundi, à Melun où environ 200 d’entre eux se sont rassemblés dans le calme, et à Grenoble où une centaine ont répondu à l’appel.


A Melun, le rassemblement avait lieu lundi soir devant le siège de la direction départementale de la sécurité publique, « en tenue civile et sans véhicule sérigraphié », a précisé une source policière à l’AFP. Un policier faisant partie du mouvement a comptabilisé « 280 fonctionnaires », dont certains tenaient des panneaux exprimant leur soutien à leurs collègues de Saint-Pierre-lès-Nemours, après qu’une policière a été violemment percutée par une voiture volée dans cette commune de Seine-et Marne la semaine dernière. Les deux occupants du véhicule ont depuis été mis en examen et écroués.

A Grenoble, 100 personnes se sont rassemblées dans le calme lundi midi devant la préfecture de l’Isère, selon une source policière.
Le mouvement de grogne des policiers est né après une violente attaque aux cocktails Molotov de quatre policiers à Viry-Châtillon, dans l’Essonne. Deux d’entre eux ont été grièvement brûlés. Ce mouvement a fait tache d’huile avec des manifestations dans plusieurs villes de France depuis le 17 octobre avant de connaître un reflux avec encore des rassemblements ponctuels. Le 26 octobre, le ministre de l’Intérieur a annoncé une enveloppe de 250 millions d’euros et des mesures concernant notamment la légitime défense.

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Ile-de-France: des commerçants asiatiques agressés par de faux policiers

Une bande de trois malfaiteurs a violemment agressé, séquestré et dépouillé quelque 19 commerçants installés en région parisienne. Les auteurs présumés des faits ont été arrêtés ce lundi, vers 6h du matin, et placés en garde à vue, rapporte Le Parisien.


Les braquages ont commencé en septembre 2015. Le modus operandi était toujours le même: les braqueurs ciblaient des commerçants d’origine asiatique et se faisaient passer pour des policiers en uniforme. Sous couvert d’un prétexte fallacieux – un contrôle d’identité -, ils séquestraient et ligotaient leurs victimes, avant de dérober leur recette.

Ce type de cambriolages, perpétré par de faux policiers, n’est pas nouveau. En février dernier, la police judiciaire d’Evry a ouvert une enquête pour des faits similaires, dans le département de l’Essonne, rappelle Le Parisien. Pour autant, rien n’indique que le gang d’alors, dont les membres n’ont jamais été identifiés, présente un lien avec les trois suspects interpellés.

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Une tonne de cannabis saisie sur le viaduc de Millau

Dans l’Aveyron, les douaniers ont repéré un camion immatriculé en Espagne. Il était 2h40 ce lundi matin, quand ils décident de le contrôler, sur cette route prisée par les trafiquants de drogues des Pays-Bas à l’Espagne, révèle France Info


C’est dans une remorque frigorifique que la tonne de cannabis a été retrouvée. Les douaniers ont aussi découvert 10 000 euros en liquide dans la cabine du chauffeur. 

Le chauffeur a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée au à la police judiciaire de Toulouse.

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Grève massive des infirmiers pour dénoncer les agressions et les insultes quotidiennes

 

 
Les fédérations FO, CGT, SUD et CFTC de la fonction publique hospitalière, mais aussi, fait rare, une vingtaine d’organisations infirmières salariées, libérales ou étudiantes, ont choisi la même date pour tirer la sonnette d’alarme. Ce mardi, le personnel hospitalier est donc appelé à la grève générale. 

A Paris, un cortège doit s’élancer vers 10h30 de Montparnasse en direction du ministère de la Santé dans le 7e arrondissement, où seront reçues des délégations.

« Etranglement budgétaire », manque de personnel, augmentation de l’activité, cadences infernales… Les revendications sont nombreuses et partagées.

Au moins cinq suicides cet été

 

Cet été, les suicides de plusieurs soignants, dont au moins cinq infirmiers, ont mis en lumière une souffrance grandissante, affirment les syndicalistes. 

Interrogée sur RTL, Marisol Touraine a redit lundi soir qu’elle présenterait « d’ici la fin du mois ou au début du mois de décembre au plus tard (…) une stratégie pour améliorer les conditions de travail, pour entendre la souffrance ou le mal-être lorsqu’ils sont là » chez les soignants.

Et la ministre de rappeler que « depuis 2012, l’hôpital c’est 10 milliards d’euros de plus ».

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Suisse : La commission des Etats durcit la proposition sur l'immigration

Les employeurs doivent d'abord convoquer les candidats indigènes à un entretien d'embauche et justifier ensuite un refus de les engager.


 



Les employeurs doivent être contraints à inviter à un entretien les candidats indigènes à un emploi et justifier ensuite un refus de les engager. Tel est le durcissement proposé par la commission du Conseil des Etats sur l'initiative sur "l'immigration de masse".
C'est la proposition du sénateur Philipp Müller (PLR/AG) qui s'est imposée par 6 voix contre 2 avec 5 abstentions, a annoncé lundi soir devant la presse le président de la commission des institutions politiques du Conseil des Etats, Peter Föhn (UDC/SZ).

Le Conseil national préconise une simple communication aux offices régionaux de placement, au lieu de convoquer les candidats à un entretien d'embauche. Cette mesure ne va pas assez loin pour la majorité de la commission.


Eviter la pression européenne


Elle a préféré la solution de l'Argovien: le respect des accords bilatéraux y est explicité. "Nous avons fait en sorte d'avoir une solution qui puisse le moins possible être mise sous pression de la part de l'Union européenne", a expliqué Philipp Müller.

S'ils ne parviennent du premier coup à embaucher une personne habitant en Suisse, les employeurs devraient non seulement annoncer des postes vacants aux offices régionaux de placement, mais également inviter les candidats à se présenter. En cas de refus de les embaucher, les employeurs devraient se justifier auprès des autorités.

Ces mesures ne concerneraient que les professions ou les régions touchées par un taux de chômage au-dessus de la moyenne. Elles seraient limitées dans le temps. Selon Philipp Müller, seuls quelques milliers de travailleurs étrangers seraient concernés par ce durcissement.


Marge de manoeuvre élargie


Ce concept ne respecte pas suffisamment l'article constitutionnel, a critiqué Pirmin Bischof (PDC/SO), au nom de sa minorité. "La zone grise est plus vaste que ce que l'on pense. Le but est que la Suisse puisse utiliser toute la marge de manoeuvre disponible", a-t-il justifié.

Sa proposition, rejetée de justesse par 6 voix contre 7 face au concept Müller, veut supprimer le veto que l'UE peut utiliser en cas de mesure non conforme aux accords sur la libre circulation des personnes. Si le comité rejette les mesures supplémentaires proposées, le Conseil fédéral devrait en référer au Parlement dans un délai de 60 jours. Ce dernier pourrait alors proposer d'autres dispositions.

Pour le reste, sa solution reprend les mesures proposées par Philipp Müller, mais sans le caractère obligatoire. Elle prévoit des exceptions: les paysans ou les restaurants ou les hôtels pourraient continuer à recruter à l'étranger, pour autant que ces personnes ne restent pas plus de neuf mois en Suisse.

Finalement, ce concept veut permettre aux cantons de proposer des mesures valables uniquement sur leur territoire. Pirmin Bischof dit s'être inspiré de la préférence nationale valable dans le canton de Genève pour toutes les entreprises étatiques. Ces mesures violent pourtant la libre circulation des personnes. "L'UE a déjà averti qu'elle n'accepterait pas cette solution au niveau national", a rappelé Philipp Müller.


UDC inflexible


L'UDC rejette ces deux propositions. "Il faut mettre en oeuvre l'article constitutionnel tel qu'il a été voté par le peuple", a défendu son représentant, le Schwyzois Peter Föhn, qui a déposé une minorité en ce sens.

Au vote d'ensemble, le projet a été soutenu par 6 voix contre 2 et 5 abstentions. Le Conseil des Etats s'emparera du dossier lors de la session d'hiver.


Réactions


Pour l'Union syndicale suisse (USS), il est positif qu'une solution compatible avec les accords bilatéraux soit proposée, estime son chef économiste Daniel Lampart. Dommage toutefois qu'aucune mesure n'ait été décidée pour les employés âgés.

La solution proposée va dans la bonne direction et elle est préférable à la version "light" du National, a réagi Jean-François Rime, président de l'union des arts et métiers (usam). Convoquer des candidats ne posera pas de problème aux PME, même si elles auront des efforts à faire, concède-t-il.

L'Union patronale suisse (UPS) se montre plus sceptique et estime que la charge administrative sera impossible à maîtriser.

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Allemagne : un projet choc pour stopper l’immigration

 

 



 
 Christian Hofer: Ce qui montre à quel point l'Allemagne et Merkel ont perdu le contrôle de la situation, malgré la propagande niaise servie par nos médias. Et n'en doutez pas, de telles mesures se feront encore une fois avec notre argent, même si nous nous sommes opposés dès le début à cette imbécilité.
 
Bien évidemment, n'attendez aucune excuse de la part de ces gens surpayés, arrogants et stupides à souhait. Leur statut de "représentants du Bien" les exonère de toute autocritique.
 
Mais c'est une position qui n'est guère une surprise pour ceux qui nous lisent puisque des politiciens allemands évoquaient déjà l'expulsion des migrants hors d'Allemagne dans l'un de nos articles. Toutes les personnes de droite patriotes savaient pertinemment que cette situation était une immense gabegie.
 
Quant aux autres, ce sont les mêmes qui se prétendent "progressistes" et bien plus "intelligents" que la méchante droite, imposant une morale strictement réservée au bien-être des migrants, fussent-ils délinquants ou économiques. On constate à présent dans les faits "leurs facultés à réfléchir".
 
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Après avoir accueilli plus d’un million d’immigrés, le gouvernement allemand dit vouloir intercepter les clandestins en Méditerranée pour les renvoyer dans des centres d’accueil en Tunisie ou en Égypte. 
 

Belgique : quatre hommes d’origine irakienne condamnés à 7 ans de prison pour le viol collectif d’une mineure

 

 Le tribunal correctionnel de Bruges a condamné lundi quatre hommes d’origine irakienne à sept ans d’emprisonnement pour le viol collectif d’une jeune fille de 17 ans à Ostende. Trois mineurs sont également impliqués. L’agression sexuelle commise sur la jeune fille a eu lieu à la fin du mois de novembre 2015.
Le parquet avait requis cinq ans d’emprisonnement pour les trois autres prévenus. « La différence culturelle a joué un rôle, mais ce n’est pas une excuse », avait déclaré leur avocate Nina Van Eeckhaut. Les prévenus avaient exprimé des regrets.

Des photos de l’agression sexuelle avaient été retrouvées dans le téléphone d’un des prévenus. Les faits avaient été commis sous l’influence de l’alcool dans une habitation à Ostende. La victime était la petite amie d’un des auteurs.

La police locale d’Ostende avait pu rapidement identifier les auteurs des faits. Il s’agissait de sept personnes d’origine irakienne. Quatre d’entre eux avaient été placés sous mandat d’arrêt. L’un d’eux, un demandeur d’asile, avait toutefois bénéficié d’une libération conditionnelle après plusieurs mois de détention préventive. Ce jeune homme âgé de 20 ans aurait demandé lors des faits aux autres suspects de mettre fin à l’agression. Le ministère public avait demandé une peine de prison de quatre ans à l’encontre de cet homme.

Le tribunal a finalement condamné les quatre hommes à une peine effective de sept ans d’emprisonnement. Ceux-ci sont également privés pendant dix ans de leurs droits civils. Le demandeur d’asile n’a pas fait l’objet d’une arrestation immédiate car il se trouve actuellement dans un centre fermé dans le cadre d’une procédure d’asile.

Les condamnés doivent verser à titre provisoire 12.000 euros de dommages et intérêts. Le tribunal a désigné un expert pour évaluer le montant exact des dommages. Les parents de la jeune fille ont chacun reçu 3.500 euros.

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Suisse : la jeunesse suisse de souche glisse vers la droite conservatrice

 

 
Les jeunes Suisses de souche votent de plus en plus à droite et sont davantage politisés. L’étude met en relief une différence d’opinion politique entre les naturalisés (les « Secondos ») et les enfants de Suisses de souche.

Publiée vendredi, une étude menée dans le cadre du projet Young Adult Survey Switzerland (YASS) du Département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) dresse le portrait-robot des jeunes adultes. Ainsi, le sondage effectué auprès de Suisses âgés de 19 à 20 ans montre que 36% d’entre eux se déclarent politiquement à droite, 36% au centre et 28% à gauche. Cette tendance se dessine depuis plusieurs années. En 2006, lors d’une précédente étude, la part des jeunes de gauche s’élevait encore à 41%.
L’immigration en général, l’asile en particulier, représentent la principale préoccupation des Suisses de 16 à 25 ans, selon le sondage réalisé par l’Institut gfs.bern. Alors que près d’un jeune sur cinq s’en souciait en 2010, ils sont presque un sur deux aujourd’hui. Les thèmes des étrangers et des réfugiés étaient déjà en tête de la liste des principaux problèmes des jeunes en Suisse l’an dernier. RTS

 Depuis 2005, cette tendance est devenue stable, et peut s’expliquer par le glissement général de la société vers la droite. «Ce déplacement peut aussi s’expliquer par un climat d’insécurité, instauré, entre autres, par les crises économiques et migratoires, ajoute le sociologue de l’UNIGE Sandro Cattacin, l’un des auteurs de l’étude. On observe chez ces jeunes un fort attachement à des valeurs anciennes, comme l’ordre, les traditions et la religion.» Il ne s’agit donc pas d’un virage vers la droite libérale, mais bien vers la droite conservatrice.

Le sentiment d’insécurité varie en fonction du niveau de formation. «La Suisse a beaucoup promu la formation duale. Or, ceux qui choisissent la voie de l’apprentissage appartiennent à une classe qui doit davantage renoncer à ses rêves, comme celui de faire une belle carrière, souligne Sandro Cattacin. Leur futur est plus incertain et génère davantage de peurs.» Ces jeunes-là auraient donc plus tendance à partager les idées de droite, tandis que ceux possédant un niveau de formation supérieure se situent plus à gauche. […]

Les opinions entre secondos et enfants de Suisses ont également tendance à diverger: les premiers sont plus orientés à gauche que les seconds. «Cela vient du fait que les immigrés appartiennent souvent à la classe ouvrière», explique Sandro Cattacin. Les naturalisés ont moins tendance à soutenir des idées xénophobes (14%), tandis qu’elles se répandent chez 49% des natifs. En revanche, on observe le phénomène inverse en ce qui concerne l’homophobie: 52% des secondos n’acceptent guère l’homosexualité, contre 28% des natifs.

Les racines religieuses des pays d’origine des naturalisés, où l’homosexualité est moins tolérée, peuvent l’expliquer.

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Allemagne : Nora, une Suissesse, vante le «courage» des jihadistes

 

 


Sur le plateau d’ARD hier soir, Nora Illi du Comité central islamique de Suisse était invitée au principal talk-show politique du pays.

Une émission, présentée tous les dimanches soirs sur la chaîne publique allemande ARD, s’est penchée ce dimanche sur la question de la radicalisation des jeunes. Une des cinq invités était Nora Illi, représentante du Comité central islamique de Suisse.
Portant un niqab et se disant «fascinée par la diversité de l’islam», Nora Illi a affirmé pendant l’émission que les jeunes partant faire le jihad en Syrie devraient être loués pour leur «courage civil».



«Par exemple, une jeune femme qui se sent exclue de la société peut voir la Syrie comme une terre promise, comme la seule issue», a-t-elle affirmé, suscitant immédiatement les critiques des autres invités puis celles des téléspectateurs sur les réseaux sociaux.
«C’est de la propagande, on ne peut pas dire cela à la télévision publique», a protesté Ahmad Mansour, un expert de l’islam invité dans l’émission aux côtés d’un père dont la fille a rejoint l’organisation de l’État islamique (EI), d’un imam et d’un homme politique du parti chrétien-démocrate (CDU).

Sur Twitter, ce thème était parmi les plus débattus du réseau social en Allemagne. «Une invitée d’un talk-show encourage la guerre sainte à la télévision publique et je paie la redevance télévisuelle pour ça – c’est triste», a réagi un utilisateur, Jakub Santur. Le député CDU Sebastian Steineke a jugé «dangereux que quelqu’un puisse défendre l’islam radical sur une telle plateforme».

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Hongrie: la politique antimigrants d'Orban défiée par l'extrême droite

 

 

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban poursuit sa bataille contre Bruxelles en demandant mardi au parlement d'inscrire sa politique hostile aux demandeurs d'asile dans la Constitution, mais il pourrait être mis en difficulté dans ce vote qui exige une majorité renforcée.

Le puissant parti d'extrême droite Jobbik semble en effet décidé à négocier chèrement son soutien à la révision de la loi fondamentale que le dirigeant souverainiste veut faire adopter pour rendre illégale, en droit hongrois, la relocalisation par l'UE de réfugiés en Hongrie. 

Le parti Fidesz de M. Orban ne bénéficie plus au parlement de la majorité des deux tiers requise afin de modifier la Constitution et il a besoin de l'appui d'autres parlementaires pour ce vote prévu mardi matin. 

Un vote du parlement hongrois dont "le résultat n'est pas joué à l'avance" constitue une première en six ans de gouvernement Orban, estime le site d'information indépendant Index.hu. Un rejet de l'amendement serait également un camouflet législatif pour le chef de l'exécutif. 

L'initiative a été prise par le Premier ministre dans la foulée de son référendum invalidé contre le mécanisme européen de répartition des réfugiés, début octobre. 

Alors que cette consultation n'a pas atteint le quorum nécessaire pour avoir force légale -- 50% des inscrits --, le Premier ministre y voit un plébiscite pour sa politique antimigrants car le non aux réinstallations de réfugiés a recueilli 98,3% des voix exprimées. 
Viktor Orban estime légitime de graver le vote de ces 3,3 millions d'électeurs --sur 8,2 millions d'inscrits-- dans la Constitution. 
Le Fidesz compte 131 parlementaires avec ses alliés chrétiens-démocrates, et il lui manque deux voix pour obtenir la majorité des deux tiers requise à cet effet. 

Alors que les 38 députés des partis de gauche ne soutiendront pas l'amendement, les 24 députés du Jobbik, qui partagent l'hostilité du gouvernement vis-à-vis des étrangers, ont trouvé une occasion inespérée de faire pression sur la majorité.


- 'Défi à Bruxelles' - 


L'extrême droite hongroise est un sérieux concurrent pour le Fidesz dans la perspective des prochaines législatives prévues en 2018. 
Comme préalable à son soutien, le dirigeant du Jobbik Gabor Vona exige que le gouvernement cesse d'accorder des permis de résidence aux riches investisseurs extra-européens. 

Depuis 2013, la Hongrie a émis plus de 10.000 obligations d'Etat, d'une valeur nominale de 300.000 euros, ouvrant droit à un permis de résidence et à la possibilité de voyager au sein de l'espace Schengen. La plupart d'entre elles ont été acquises par des Russes, des Chinois et ressortissants de pays du Moyen-Orient. 

Ce régime est vigoureusement combattu par le Jobbik, qui estime notamment qu'il représente un danger pour la sécurité de l'Etat. "Ni les riches migrants, ni les riches terroristes ne doivent pouvoir venir (en Hongrie)", a souligné M. Vona récemment. 
M. Orban a semblé d'abord pris au dépourvu par cette bravade du Jobbik, disant qu'il "allait envisager" la suggestion du parti, avant de déclarer qu'il "ne voulait pas céder au chantage".  
Le gouvernement a ensuite bâti une ligne de défense consistant à accuser l'extrême droite de sacrifier l'intérêt national --le vote de l'amendement-- pour des motifs politiciens. 

Le projet d'amendement constitutionnel établit que "les populations étrangères ne peuvent pas être réinstallées en Hongrie" et que les ressortissants de pays tiers à l'UE ne peuvent vivre en Hongrie que sur la base de requêtes individuelles, examinées par les autorités. 
"L'amendement n'aura pas vraiment d'impact juridique, pas plus qu'il n'entrerait en conflit avec la législation européenne, les étrangers n'entrant déjà en Hongrie que sur une base individuelle", estime Bulcsu Hunyadi, analyste de l'institut Political Capital. 

"C'est un instrument de politique intérieure, pour donner l'image d'un défi à Bruxelles", selon l'analyste Kornelia Magyar de l'institut Progressive Policy Institute (PPI). 

Le Premier ministre, qui depuis deux ans n'a cessé d'amplifier une campagne aux accents xénophobes contre l'immigration extra-européenne, refuse d'accueillir les 2.300 demandeurs d'asile qui lui sont dévolus dans le cadre du plan européen de répartition dans l'UE de 160.000 demandeurs d'asile adopté par les 28 il y a un an.  

Sourcel

Mgr Robert Sarah : « Vous êtes envahis par d’autres cultures, d’autres peuples, qui vont progressivement vous dominer »

 

 
Le Cardinal Sarah, qui vient de publier « La Force du silence » aux éditions Fayard, était en France pour quelques jours. Boulevard Voltaire l’a rencontré.
(…)
On vous sent inquiet pour le monde occidental. Qu’est-ce qui vous inquiète ?
– Vous savez, la plus grande inquiétude c’est que l’Europe a perdu le sens de ses origines. Elle a perdu ses racines. Or, un arbre qui n’a pas de racines, il meurt. Et j’ai peur que l’occident meure. Il y a beaucoup de signes. Plus de natalité. Et vous êtes envahis, quand même, par d’autres cultures, d’autres peuples, qui vont progressivement vous dominer en nombre et changer totalement votre culture, vos convictions, vos valeurs. Il y a également, voyez-vous, cette angoisse, qu’il n’y a que la technique, que l’argent qui compte. Il n’y a pas d’autre valeur…

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mardi, 08 novembre 2016

Brest (29) : un passant violemment agressé pour une simple cigarette refusée

 

 
Un homme de 39 ans a été violemment agressé par un adolescent à qui il avait refusé une cigarette, ce samedi soir, à Brest.



Mauvaise rencontre, samedi soir, pour cet homme de 39 ans qui traversait tranquillement la place de la Liberté, à Brest. Il a été abordé par un jeune qui voulait une cigarette. Le passant a refusé. Le jeune n’a pas accepté.

Il s’en est pris violemment au piéton, en le frappant plusieurs fois au visage. En tombant sous les coups de son agresseur, le malheureux s’est aussi fait une double fracture de la malléole. Un agent de Bibus a vu toute la scène et a appelé les secours et la police. […]

Conduite à l’hôpital, la victime s’est fait poser une dizaine de points de suture au visage. Grâce au précieux témoignage de l’agent de Bibus, un adolescent a été interpellé, le soir même, à 23 h, dans le quartier de Lambézellec. […]

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25 novembre 2016 à Paris : conférence de Jean-Yves Le Gallou – « Immigration, la catastrophe »


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A ce sujet, lisez la revue Civitas :

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A travers un grand entretien avec Jean-Yves Le Gallou, le dossier de cette revue est consacré à une problématique de première importance : l’immigration massive qui déferle sur notre pays et tout le continent européen.
 
L’écrivain Jean Raspail publie, en 1973, le roman « Le Camp des Saints » qui raconte comment des bateaux usés recouverts d’immigrés du tiers-monde s’échouant sur les plages européennes sonnent la fin de la civilisation européenne. Au nom des droits de l’homme, toutes les hautes autorités morales et religieuses ne réagissent pas, prises à leur propre piège. Après un interminable périple, les navires s’échouent sur la Côte d’Azur et sont l’avant-garde du tiers-monde qui envahit “pacifiquement” l’Occident.” 
 
Loin d’y trouver salutaire matière à réflexion, les politiciens du moment balayent l’ouvrage d’un revers de main et les journalistes parlent d’un brûlot raciste. A la télévision, dans les années 80, le comédien Roger Hanin, beau-frère du président François Mitterrand, va jusqu’à comparer Le Camp des Saints à Mein Kampf pour tenter de mettre fin à un débat sur l’immigration. La reductio ad Hitlerum était déjà l’arme des fossoyeurs de la France. La cinquième colonne n’est pas une nouveauté.
 
Quarante ans ont passé. Nous y voilà. Et parmi la caste politique, même à la tête d’un grand parti considéré comme représentant “l’opposition nationale”, on s’obstine à nier que le grand remplacement est en cours.  A Civitas, nous prenons le parti de vous dire la vérité, si effrayante soit-elle, en espérant qu’elle provoque un ultime sursaut sans lequel aucune délivrance ne nous sera accordée.

 Pour commander ce numéro: Lien



ou par poste à Civitas, 17 rue des Chasseurs, 95100 Argenteuil,  au prix de 10€ (port inclus) – chèque à l’ordre de Civitas

Léo Kersauzie

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«Daech et la Fondation Clinton financées depuis une même source»

 

 
Capture d’écran 2016-11-04 à 22.20.16Dans un entretien accordé à la chaîne russe RT, le lanceur d'alerte Julian Assange se prononce sur les récentes révélations concernant les couriels d'Hillary Clinton et sur le financement sous-terrain du groupe djihadiste Daech.
 
Dans un email datant de 2014, Hillary Clinton s'adresse à John Podesta, alors conseiller de Barack Obama (à présent le chef de la campagne électorale d'Hillary Clinton, ndlr), et l'appelle à « faire pression » sur le Qatar et l'Arabie saoudite, « qui apportent clandestinement un soutien financier et logistique à Daech et à d'autres groupes sunnites radicaux », rappelle le lancer d'alerte.
Il a également indique que le courriel de la candidate démocrate contenait des informations sur le plus important contrat en matière de vente d'armes conclu par les États-Unis avec l'Arabie saoudite, dont le montant s'élevait selon certaines estimations à 80 milliards de dollars.
 
Concernant les liens entre la Fondation Clinton et le financement clandestin de l'État islamique, M. Assange affirme que le groupe terroriste a été créé grâce à un versement de fonds provenant des mêmes personnes que celles qui soutient actuellement l'ONG de la candidate démocrate. Auparavant, le site WikiLeaks a publié une partie des courriels confidentiels de John Podesta contenant des citations d'interventions privées d'Hillary Clinton qui ont eu lieu en 2013-2014. Un discours crucial a été prononcé par Clinton lors d'une rencontre avec des banquiers durant laquelle elle a indiqué qu'elle suivait deux lignes politiques, « publique et privée, qui sont totalement différentes ». 
 

Contrevenir au Halal : un acte de dissidence ? Alain de Peretti sera présent au 2e Forum de la Dissidence !

 

 
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Président de Vigilance Halal, Alain de Peretti est vétérinaire. Il sera présent, le 19 novembre, à l’Espace Cap 15, à l’issue du 2e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. Il y parlera de la dissidence face au Halal et à l’Aïd, au sein de la table-ronde : « Face à l’islamisation et à l’implantation de migrants ». 
 
MEDIAS PRESSE INFO.« Le Halal s’est bien inséré dans la logique de la mal-bouffe et de la distribution de masse », indiquiez-vous à l’issue d’une émission de télévision (TVL, 18 juin 2014). Dans quelle mesure le mode de consommation « halal », qui fait appel à un abattage rituel suivant des règles islamiques, constitue-t-il un danger pour l’identité française ?
 
Alain de Peretti. Le halal réalise la jonction entre l’affairisme mercantile et l’obscurantisme religieux. Formidable outil financier au service de l’islam, il maintient les populations musulmanes vivant hors des terres d’islam dans un apartheid volontaire, théorisé dans des documents émanant de l’ISESCO. Le halal est le cheval de Troie de la charia, qui est parfaitement incompatible avec notre identité, en introduisant, entre autres, une notion de pur et d’impur, à rebours de notre héritage chrétien.
 
MEDIAS PRESSE INFO. Vous participerez, le 19 novembre, au 2e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. En quoi s’opposer aujourd’hui à cette consommation de viande halal est-il un acte de dissidence ? 
 
Alain de Peretti. La viande halal n’est qu’une petite partie de la notion de halal qui définit tout ce qui autorisé par la charia et recouvre tous les aspects de la vie même les plus triviaux. La viande halal par l’aspect violence envers les animaux et les risques sanitaires induits par cette technique possède une force pédagogique extraordinaire auprès d’un public très divers. L’incompatibilité avec notre mode de vie devient évidente et permets de démontrer également le “grand remplacement” dont il est la conséquence. Plus outre la démonstration de l’islamophilie de nos élites est un acte de dissidence majeur.
 
MEDIAS PRESSE INFO. « 60% de la viande en France est aujourd’hui abattue suivant ce rite », estimiez-vous il y a deux ans au micro d’une émission télévisuelle. Comment réagissent les autorités publiques face à l’augmentation de cette viande sur nos marchés alimentaires français ? Comment se fait-il que le consommateur soit de facto obligé d’acheter ces produits, dont la consommation peut s’avérer dangereuse ?
 
Alain de Peretti. Les autorités publiques sont dans la déni total, par lâcheté ou idéologie. Tout est caché: “dormez braves gens”! Sous prétexte de laïcité et de liberté religieuse on laisse des pratiques exotiques se développer au mépris de tous les règlements, on refuse l’étiquetage pour ne pas …stigmatiser! Ce serait pourtant un premier pas et c’est faisable très facilement.
 
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MEDIAS PRESSE INFO. Vigilance Halal souhaite intervenir auprès des instances juridiques pour faire part des dérives éventuelles que peut engendrer cette consommation devenue de plus en plus coutumière. A l’occasion du Forum de Polémia, quel témoignage, quelles réponses, votre association peut-elle apporter ?
 
Alain de Peretti. Nous faisons plus que souhaiter ! Depuis la création de VH nous avons mis en route une vingtaine de procédures, partant du principe maurrassien “d’utiliser tous les moyens même légaux”. Les lois et règlements sont systématiquement bafoués pour rendre la vie facile à l’islam et de ce fait la matière est surabondante… Cela coûte cher mais grâce à un réseau de donateurs fidèles et motives nous pouvons y faire face. Cela demande du temps et de l’opiniâtreté car sur ces sujets brûlants les magistrats bottent en touche, mais nous progressons et avons même en vue une procédure de carence au niveau européen, car il n’est jamais, pour l’instant, répondu aux arguments purement techniques que nous développons. Dernièrement dans une procédure au Conseil d’Etat concernant l’Aïd el Kebir, le mémoire en réponse du ministère de l’Agriculture avoue de façon claire que les mesures que nous préconisons, pourtant hyperclassiques en matière sanitaire, ne peuvent être appliqués en raison de probables troubles à l’ordre public. Quel aveu et quelle démonstration du manque de “modération”de ces populations don’t l’immense majorité vivrait un islam paisible et républicano-compatible! Nous avons également pu démontrer que l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République.
 
MEDIAS PRESSE INFO. Dans une perspective de complémentarité à l’action juridique que des associations comme la vôtre peuvent mener, comment les Français peuvent-ils concrètement s’opposer à l’imposition d’un mode d’alimentation qui ne s’inscrit pas dans leur culture ?
 
Alain de Peretti. Il faut arrêter de subir et surtout ne rien attendre des “autorités” publiques. Il faut se bouger, gentiment; poliment mais fermement pour instituer ce que j’appelle un “communautarisme bérêt baguette” .Nous avons mis en place pour cela un réseau de bouchers qui s’engagent à ne vendre que de la viande non halal ou casher, avec un site de géolocalisation qui s’appelle “suivez le coq”, et bientôt également pour les restaurateurs. Questionnez les cantines de vos enfants et exigez la traçabilité, boycottez la grande distribution qui nous “mène en barquettes”, votre boucher, s’il travaille bien sait d’où viennent ses bêtes. Au restaurant posez la question également, bref à temps et à contre temps, soyons des dissidents car si la dissidence doit s’organiser en réseaux, elle passé également par un engagement individuel.
 
Médias Presse Info rappelle aussi cette réalité confirmée par la Ligue de Défense Juive : le marché du halal en France est contrôlé par des Juifs sionistes…
 

La mosquée « Annour » inaugurée

 

 

La mosquée située à Moissy-Cramayel, ouvrait ses portes en mai dernier. Elle était inaugurée, samedi dernier.

 « Annour », en arabe, signifie « La lumière ». « Et la lumière, dans la religion musulmane, c’est ce qui guide les fidèles vers la voie du bonheur », explique Louison Walid Rahma, vice-président de l’ACEMM (Association Culturelle et Éducative des Musulmans de Moissy). La mosquée « El nour » implantée près de la piscine, à Moissy-Cramayel. était donc inaugurée dans la convivialité, samedi dernier. En tout, le bâtiment développement durable s’étend sur 1 500 m2 et respecte les normes d’accessibilité. Deux millions d’euros ont été nécessaires à sa construction.

Un investissement entièrement financé par les dons.« Avoir un lieu de culte à Moissy me paraît important, surtout en ce moment, analyse Line Magne (PS), la maire. C’est un lieu d’échange au sein duquel l’imam, dont chacun vante les mérites, prône des valeurs d’ouverture et de tolérance. ». La particularité de cette mosquée ? L’école coranique La petite plume qui loue les locaux de la partie culturelle du nouveau lieu de culte et qui accueille 70 élèves. L’enseignement des langues arabe, française et anglaise y est approfondi.

Sénart compte actuellement trois mosquées : à Combs-la-Ville, à Savigny-le-Temple et à Moissy-Cramayel. L’ouverture d’un lieu de culte est également en projet à Lieusaint.

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La solution pour endiguer les flux de migrants : retour en Afrique !

 

 





L’invasion migratoire devient un véritable casse-tête pour des politiciens européens démagogues en recherche de réélection et de popularité. Quant aux peuples européens, ils deviennent de plus en plus hostiles à ces vagues migratoires qui submergent leur pays.

Le discours immigrationniste à outrance ne fait plus recette : seul le pape François, accroché à ses illusions humanitaristes et philanthropiques à sens unique, l’utilise encore !
 
Féru des droits de l’homme et du droit d’asile, Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand du gouvernement de la chancelière vendue au mondialisme, Angela Merkel, a pourtant recadré, un peu, son message immigrationniste qui cadrait de moins en moins avec les aspirations des Germains. Pour faire face à cette immigration sauvage, il a donc lancé une proposition inusitée dans son milieu progressiste mais rabâchée depuis des lustres par les partis identitaires et nationalistes : les migrants « qui sont sauvés en Méditerranée doivent être ramenés en Afrique. »
 
Car selon lui, mais là-aussi les opposants à l’immigration-invasion le disent et le redisent depuis des années, cela décapiterait les organisations criminelles des trafiquants d’êtres humains : « Éliminer la propective de rejoindre l’Europe pourrait les décourager de risquer leur vie en affrontant un voyage dangereux. »
 
Pas fou dans ce monde politiquement correct auquel il est risqué de trop contrevenir, Thomas de Maizières ne ferme pas la porte totalement aux migrants : une fois ramenés en Tunisie, en Égypte ou autres pays d’Afrique du Nord, les migrants pourraient alors faire avancer leur demande d’asile qui, si elle aboutissait, leur consentirait de rejoindre l’Europe, sans danger.
Poussée par des partis identitaires en progression électorale grâce à leur discours anti-immigration, voici une petite avancée allemande contre l’invasion…
 
Francesca de Villasmundo
 

Suisse : Pas de surveillance préventive des mosquées

 

 



Le patron du Service de renseignement affirme que Winterthour n'est pas un cas isolé mais qu'il ne peut pourtant pas agir en amont.

 «Il n'y a pas de base légale qui permette au SRC d'opérer une surveillance généralisée des mosquées et des imams en Suisse», affirme le directeur du SRC Markus Seiler dans une interview au quotidien Aargauer Zeitung publiée lundi. De plus, «les mosquées, leurs imams et les organisations ne sont pas en eux-mêmes le problème».

La menace viendrait «le plus souvent de l'entourage», poursuit Markus Seiler. Le SRC peut agir préventivement lorsque des indices concrets d'une telle menace sont établis.


Pas un cas isolé


Et le chef du renseignement de prévenir: le cas de la mosquée An'Nour à Winterthour (ZH) n'est pas isolé. «Il existe d'autres réseaux du même type en Suisse.» Markus Seiler ne souhaite toutefois pas les nommer.

La police cantonale zurichoise a mené mercredi dernier une perquisition dans la mosquée An'Nour (lumière en arabe). Un imam éthiopien, qui avait appelé au meurtre des musulmans non pratiquants, et un membre présumé du comité de l'association ont été placés en détention préventive. Ils sont soupçonnés de provocation au crime et à la violence. Deux autres suspects arrêtés ont été relâchés.

La mosquée a également été suspendue par la Fédération des organisations islamiques. Elle a fait à plusieurs reprises la «une» des médias. Plusieurs jeunes, qui l'auraient fréquentée, seraient partis rejoindre l'Etat islamique (EI) en Syrie.

Dans l'entretien, M. Seiler se contente de dire que le SRC a «connaissance des événements» entourant la mosquée. Mais il refuse de préciser si son service y a pris part, et si oui dans quelle mesure.


SRC à la base


Selon lui, la «majeure partie» des quelque 60 cas arrivés sur la table du Ministère public de la Confédération liés au terrorisme ont été initiés totalement ou en partie par des enquêtes du SRC.

Avec l'entrée en vigueur de la nouvelle loi sur le renseignement, le 1er septembre 2017, le SRC pourra surveiller une personne à son insu, aussi dans sa sphère privée. Mais il n'y aura pas de surveillance de masse, assure Markus Seiler.

La Suisse fait, «à raison, une différence entre l'extrémisme violent et l'extrémisme politique». Les opinions ne sont pas punissables. Ce qui est pertinent, ce sont les actes, conclut-il.

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Cantin et Rousies (59) : l’AFPA ne fait pas qu’héberger les migrants, elle les forme aussi

 

La semaine dernière, cinquante migrants ont été accueillis dans les locaux de l’AFPA du Douaisis.La structure leur propose, en plus du logement, d’apprendre le français, et même un métier. Leur première demi-journée de formation (en langue) débutera le 7 novembre. En attendant, de bonnes volontés se manifestent dans le village. […]




Ces formations entrent dans le cadre du programme PILOT (pour programme d’insertion par le logement, l’orientation et le travail) déployé de manière expérimentale à Cantin et dans le centre AFPA de Rousies, près de Maubeuge. Fruit d’une collaboration entre l’État, le Fonds d’assurance formation du travail temporaire (FAF.TT) et l’AFPA, PILOT se déploie donc en deux phases: alors que les élèves ne sont que demandeurs d’asiles, ils suivent des cours de français et sont suivis par l’ADOMA pour la procédure officielle.[…]

Pour l’instant, soixante et onze migrants de Cantin et Rousies sont inscrits pour le programme. «  Il reste des places, assure Pascale Dartois. Nous en avons prévu quatre-vingt-quinze en tout.  » Et s’il porte ses fruits, PILOT pourrait être déployé plus largement, avance le préfet Michel Lalande. 

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Allemagne: La visite d’une église est interdite pour des écoliers, mais celle de la mosquée est obligatoire

 

 






Une classe de troisième a été interdite de visiter une église catholique dans le cadre d'une excursion. Dans le même temps, les parents d'un élève qui refusaient que leur enfant visite une mosquée ont été amendés. La liberté de religion en 2016.
 
Pendant des années, l'excursion pour la Communion à l'Eglise catholique locale des élèves de troisième année de l'école élémentaire de Ebersberg a été une tradition chère à la municipalité. Cependant, au printemps prochain, cette excursion sera annulée. Le directeur interdit la visite de l'église durant les heures de cours et justifie son interdiction en déclarant qu'il n'est pas admissible d'amener des élèves et des parents, qui ne font pas partie de la foi catholique, à subir, à cause de cette visite, un dilemme de conscience personnel et de détresse.
 
Toutefois, toute la thématique devient absurde, avec la décision simultanée d'une école dans le nord de l'Allemagne à Rendsburg. Il y avait là, dans le cadre de l'enseignement de la géographie (!) une visite d'une mosquée. Un écolier de 13 ans a refusé de participer à la visite pour des «raisons idéologiques». Même ses parents ont refusé de se soumettre à la pression de la direction scolaire. Ils craignent un «endoctrinement religieux» de leur enfant. Ils refusent le paiement de l'amende qui s'élève à 300 euros.
 
Cette mosquée gérée par une association, laquelle est surveillée par les services secrets allemands, n'est pas inquiétante pour le Département. De plus; même la participation de l'étudiant à un cours de remplacement dans une autre classe ne doit pas être acceptée selon le Département.
 
Dès lors, pendant que les visites dans les églises catholiques conduisent les personnes à "des dilemmes de consciences et de détresse", les visites des mosquées sont par contre forcées et sous la contrainte.
 
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch