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mardi, 08 novembre 2016

Hauts-de-France: un jeune homme de 19 ans tué par balle à Courcelles-lès-Lens

 

 Dimanche en fin de matinée, dans un quartier résidentiel de Courcelles-lès-Lens, « le jeune homme était avec son père devant leur domicile en train de bricoler sur un véhicule. Un autre véhicule est arrivé, il y a eu plusieurs coups de feu », a indiqué le parquet de Béthune, confirmant une information de La Voix du Nord
« Le fils est touché à la poitrine, il s’effondre et quand les secours arrivent, il est déjà en arrêt cardiaque et ils ne peuvent pas le réanimer », a ajouté cette source.

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Paris: ils agressent et scalpent un membre d'un gang rival

 

 
L’agression a été d’une rare brutalité. Trois personnes ont été interpellées dans le cadre d’un règlement de compte entre deux gangs rivaux survenu en avril dernier, rue Pajol, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Au terme de la garde à vue, deux suspects ont été placés en détention provisoire, rapporte Le Parisien
Les auteurs présumés des faits ont fait subir un véritable calvaire à leur victime. L’homme, âgé de 18 ans, a été frappé à l’arme blanche aux jambes et à la tête. Il souffrait d’une fracture ouverte à une jambe et présentait d’importante plaies à un pied et à une oreille. Il a par ailleurs été partiellement scalpé. Le jeune homme a été retrouvé en pleine rue, gisant dans son sang.

L’enquête a révélé que la victime, originaire d’Evry (Essonne), faisait partie d’une bande issue de la communauté sri-lankaise, appelée les Tamoul Saathan. Les agresseurs présumés, âgés de 21, 30 et 33 ans, sont eux membres d’un gang rival, les Red Kosty. Connue des services de police, la victime s’est vu prescrire 100 jours d’ITT suite à son hospitalisation en urgence.

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« Djihadosphère » : Ines Madani se faisait passer pour un homme pour recruter des femmes

 

 

Cette jeune fille de 19 ans est soupçonnée d’avoir séduit sur Internet sa future complice pour déposer une voiture piégée à Paris, début septembre.




Elles n’auraient jamais dû se rencontrer. Ines Madani, jeune fille solitaire et tourmentée de 19 ans originaire de Seine-Saint-Denis, et Ornella Gilligmann, une mère de famille de 29 ans vivant dans le Loiret, ont fait connaissance sur les réseaux sociaux. Dans la nuit du 3 au 4 septembre, les deux femmes ont déposé une voiture remplie de bonbonnes de gaz en plein Paris après avoir prêté allégeance à l’organisation État islamique (EI). […]

Durant sa garde à vue, Ines Madani livre quelques informations contradictoires aux policiers avant de se murer dans le silence. Ornella Gilligmann, à l’inverse, veut s’expliquer : elle affirme avoir participé à ce projet terroriste par amour pour un djihadiste rencontré trois mois plus tôt sur Internet. Incarcérée à Fleury-Mérogis, la jeune femme l’ignore toujours : son amant virtuel n’a sans doute jamais existé. Les enquêteurs pensent qu’il s’agissait d’une mystification visant à la recruter. […]

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Saint-Quentin : la mosquée, bien plus qu’un lieu de culte

 

 






Le préfet a rencontré les responsables musulmans de Saint-Quentin, saluant le dynamisme, le rôle social, culturel et interreligieux de la mosquée. 
 
La visite d’un représentant de l’État dans une mosquée n’est pas un geste anodin. En allant à la rencontre de la communauté musulmane de Saint-Quentin vendredi, le préfet Nicolas Basselier a souhaité mettre en avant le dynamisme et l’ouverture aux autres de la mosquée Es-Salam.

Situé dans le quartier de Vermand, l’endroit ne se résume pas à un lieu de prière même si la salle principale peut accueillir jusqu’à 500 fidèles les jours de fêtes religieuses. Au cours d’un long échange, les responsables ont présenté les activités de la mosquée qui se veulent « interreligieuses ». « On se mobilise pour la collecte de la banque alimentaire, on participe au parcours du cœur et au Téléthon, a illustré l’une des bénévoles. La femme a une forte place, on réfléchit au sens de la famille et de la société. »

Soutien scolaire et cours d’arabe

Cette dimension sociale se traduit également par du soutien scolaire, une ludothèque et des cours d’arabe ouverts à tous. « Il y a de nombreux non musulmans qui viennent prendre des cours le week-end », indique Lotfi Hamzaoui, président de l’association du culte musulman. Ce dernier n’est pas dupe et sait que la religion souffre d’un déficit d’image en raison du contexte actuelle.

Là dessus, les musulmans saint-quentinois se montrent pédagogues, expliquant à qui veut l’entendre qu’ils n’ont rien à voir avec ces barbares qui tuent au nom d’Allah. « Dans toutes les mosquées de France, les prêches se terminent par les mots paix, prospérité et richesse sur notre pays, continue le président. Et notre pays, c’est la France. »

« Ça fait partie du paysage de la ville »

Il y a trente ans, la communauté se réunissait dans le sous-sol d’une église du quartier mis à disposition. « Nos parents avaient comme volonté d’être ensemble et d’exclure toute notion de nationalité. C’est pour cela qu’il n’y a qu’une mosquée à Saint-Quentin », rappelle l’une des bénévoles.

Après avoir racheté un ancien supermarché, la mosquée s’est construite sur ce site avant de s’agrandir progressivement. « La plupart des gens trouvent que ça embellit le quartier. Ça fait partie du paysage de la ville maintenant. Et ça met plus en confiance de voir ce beau bâtiment que du temps où on se réunissait dans les caves », complète le président.

Olivier De Saint Riquier
 

La mosquée sera de plus en plus souvent ouverte au public

 

 
 


Le lieu de culte, inauguré samedi, peut accueillir 1 200 fidèles.

Fini les préfabriqués. Les musulmans de Moissy-Cramayel peuvent désormais prier dans une mosquée digne ce nom, située rue de Noisement. Ouverte en mai, la mosquée des Lumières a été inaugurée samedi matin par les élus et les représentants de l'Etat qui ont tous souligné, alors qu'approche la commémoration du 13 novembre, l'importance du dialogue et du respect des différences. « La meilleure réponse aux extrémistes, c'est d'ouvrir une mosquée, a insisté le député (PS) Olivier Faure. C'est montrer que l'islam a toute sa place en France. »

« Nous ancrons cet ouvrage dans le paysage, malgré les préjugés et les appréhensions, a souligné Abdelaziz Abderrahmane, président de l'Association culturelle et éducative des musulmans de Moissy. Il est indispensable de faire tomber les méfiances. Cet endroit est un lieu de partage de tous les citoyens. » La mosquée et son école ont d'ailleurs été ouvertes samedi après-midi au public. Une opération que les responsables de la mosquée souhaitent renouveler fréquemment.

Construite en quatre ans grâce aux 1,9 M€ récoltés auprès des fidèles à Moissy et dans toute la France, la mosquée, grande de 950 m2, reçoit chaque vendredi 600 personnes. Elle peut en accueillir 1 200.
 

« Nous avons eu une église dès le XIIe siècle, puis un temple, puis une pagode, a résumé Line Magne, maire (PS) de Moissy. Bienvenue à la mosquée. »

 Faustine Léo

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Croisilles (62) : le quotidien des migrants, entre demandes d’asile, selfies avec la préfète

 

Avec Fabienne Buccio, préfète du Pas-de-Calais, Pascal Brice, le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), était, samedi matin, au centre d’accueil et d’orientation à Croisilles pour rencontrer les trente-six migrants soudanais. Tous vont déposer une demande d’asile en France. […]

 




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Véronique Sanson tacle l'islam dans son nouvel album

 

 C'est le titre d'un article du Point, un peu modifié :
$_35"Dans son titre phare "Dignes, dingues, donc...", la chanteuse, qui a toujours été engagée, raille l'islam qu'elle trouve sectaire (...)
 
On la sait féministe, engagée, talentueuse et surtout libre. Elle nous le prouve une fois de plus dans un nouvel album réussi où l'artiste raille gentiment au passage la religion musulmane, dans le titre évocateur Dignes, dingues, donc... Comme pour sonner les cloches d'un islam qu'elle juge trop passéiste ou moralisateur. « Fais pas ci, fais pas ça/L'enfer te mangera/Dis pas ci, dis pas ça/Tapette sur les doigts », chante Véronique Sanson avec délectation.
 
Dans une interview accordée à RTL, l'artiste s'est expliquée sur la genèse de ce coup de canif. « Ça m'est venu en voyant les prières de rue à la télé. Et je voyais tous les gens habillés pareils. On a l'impression que c'est faux, qu'ils ont besoin de se déguiser pour se faire respecter, alors qu'ils n'ont pas besoin ! (...) Et je trouve que depuis 1 400 ans, l'islam a fait beaucoup de trucs pas terribles."
 
Vous l'aurez compris, c'est en réalité à la religion catholique que Véronique Sanson s'en prend. C'est beaucoup moins dangereux et plus convenu que de s'en prendre à l'islam surtout après les multiples attentats que la France a connu, et qui n'ont rien à voir avec l'islam.
 
Véronique Sanson s'était pourtant essayée à la critique de l'islam en 1989 dans une chanson intitulée Allah (photo) mais les menaces de mort qu'elle avait reçues l'ont visiblement ramenée à la raison puisqu'elle a retiré cette chanson de son répertoire en 2006...
 

L’hostilité récurrente du FN à la structuration de l’espace politique entre LR et le FN

 

 
Communiqué de presse de Karim Ouchikh, Président du SIEL, Conseiller régional Ile-de-France, Conseiller municipal de Gonesse :
Images-9"Le SIEL quitte officiellement le Rassemblement Bleu Marine
A l’occasion de son Comité Directeur qui s’est tenu le 5 novembre 2016, le SIEL a constaté l’entendue des désaccords qui l’opposent actuellement à la direction nationale du FN, parmi lesquels : 

- l’hostilité récurrente du FN aux ambitions louables du SIEL visant à structurer l’espace politique abritant, entre LR et le FN, la « Droite hors les murs » afin d’élargir à droite la base électorale de Marine Le Pen ;

- le refus du FN de faire faire vivre politiquement le Rassemblement Bleu Marine, structure fantôme qui ne s’est jamais réunie depuis 2012 : les patriotes de toutes sensibilités aspirant à rejoindre Marine Le Pen n’auront donc malheureusement pas trouvé avec ce RBM défaillant un espace de dialogue et de réflexion propre à créer les complémentarités politiques et les synergies électorales escomptées ; 

- la violation répétée par le FN de l’accord de partenariat politique signé en 2012, lequel prend fin en juin 2017 : au refus d’honorer loyalement ses obligations financières vis-à-vis du SIEL, s’ajoutent la paralysie organisée des relations FN/SIEL dans les départements et son refus inexplicable d’investir les candidats SIEL aux législatives de 2017.

Ces différentes entraves sont directement imputables à Florian Philippot qui a toujours œuvré à consolider son emprise idéologique sur le Rassemblement Bleu Marine en marginalisant méthodiquement, avec le  SIEL, un parti politique dont la ligne idéologique (de droite de convictions) contredisait manifestement ses ambitions politiques à l’intérieur du FN comme au sein du RBM.
Le SIEL s’est employé inlassablement à aplanir ces divergences fondamentales, sans recevoir malheureusement le moindre écho à ses multiples marques de bonne volonté.
Déplorant cette situation de blocage qui constitue un véritable gâchis politique pour la famille patriote, le SIEL entend néanmoins, - compte tenu de la gravité des périls qui accablent la France -, maintenir son soutien à la candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2017 au regard de l’offre politique actuelle.

En considération de cette impasse politique éminemment dommageable, qui ne porte en rien atteinte à la complicité et à l’amitié éprouvées à l’égard des adhérents, cadres et élus du FN, le SIEL a adopté les trois motions suivantes :

1. Le SIEL quitte le Rassemblement Bleu Marine, structure politique fantôme qui n’a jamais fonctionné en pratique depuis sa constitution, en prenant acte du refus du FN d’en assurer toute véritable expression à l’avenir.

Motion approuvée à 94% des membres du Comité directeur.

2.  Animé avant tout par l’intérêt supérieur du pays, le SIEL confirme, en l’état de l’offre politique actuelle, son soutien à la candidature de Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2017. 

Motion approuvée à 96% des membres du Comité directeur.

3. Compte tenu du refus injustifié du FN de consentir à son partenaire la moindre investiture aux législatives de 2017, le SIEL présentera des candidats dans le cadre d’un rassemblement patriotique à vocation majoritaire. 

Motion approuvée à 100% des membres du Comité directeur."
 
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Gouvernement Obama : la “préférence musulmane” dès 2008…

 

 

Ce qui suit est tiré du site Atlantico qui a publié le 3 novembre un entretien avec Roland Hureaux lequel commente de toutes récentes informations fournies par Wikileaks… Nous sommes en septembre 2018 : Obama n’est pas encore élu – il le sera le 8 novembre suivant – mais il prépare ses équipes…
Ce sont des informations très graves qui nous parviennent d’Amérique au travers de Wikileaks ou de Fox News. Les courriels interceptés, ce ne sont pas des opinions, ce sont des faits – que je découvre avec vous. Les preuves représentées par les courriels échangés au sein de l’entourage d’Obama entre Prêta Banal (qui avait servi dans l’administration Clinton dans les années 1990) et John Podesta, secrétaire général de la Maison Blanche sous Bill Clinton et actuel directeur de campagne de Hillary, contiennent des instructions pour recruter des Américains d’origine arabe mais seulement des musulmans, en excluant les chrétiens d’Orient donc. Dans un courriel daté du 29 septembre 2008, elle écrit : « J’ai exclu [de la liste] ceux qui sont d’origine arabo-américaine mais qui ne sont pas musulmans ». Cela en violation de la Constitution américaine, qui stipule : « aucun questionnaire portant sur la religion ne sera imposé pour juger de l’aptitude d’un candidat à l’exercice de fonctions ou charges publiques aux États-Unis ». Instruction d’autant plus paradoxale qu’elle émane d’une ancienne présidente de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, passée au service de Bill Clinton puis de Barack Obama. Nous sommes à la fin de 2008, elle prépare la future administration Obama, sachant qu’aux États-Unis, du fait du spoil system, les changements à la tête de l’exécutif sous un nouveau Président sont plus étendus qu’en France […] S’agissant du recrutement de cadres pour l’administration, on pouvait penser que les chrétiens, peu suspects de collusion avec les islamistes, auraient été un élément plus sûr. Or ils ont été systématiquement écartés […]

Source 

La Conférence des évêques de France piégée par l’UOIF

 

 





Le conseil permanent de la Conférence des évêques de France a publié, le 13 octobre, une lettre intitulée « Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique ». En résumé, ce texte plaide pour une redéfinition du contrat social et du contrat républicain « permettant à tous les Français de vivre ensemble sur le sol du territoire national, ce qui ne semble plus aller de soi ». « Il convient donc pour l’avenir de notre société de redéfinir ce que c’est d’être citoyen français. » Sans être vraiment nommée, c’est bien de la difficulté de l’intégration de l’islam dans la République qu’il s’agit. Pour nos évêques c’est donc la République et la nation qui ont le devoir de s’adapter aux cultures et religions importées, dont l’islam, et non l’inverse.

Devant tant de béatitude, il fallait s’attendre à une récupération par l’islam politique. C’est ainsi que le Conseil théologique musulman de France, celui des « Frères musulmans » de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), a écrit le 1er novembre à la Conférence des évêques de France pour saluer son magnifique plaidoyer du vivre ensemble et lui proposer de jeter les bases des états généraux du vivre ensemble.

Ce qui est intéressant c’est le contenu très politique de cette réponse, qui piège les évêques de France. Pour expliquer notre mal-vivre ensemble sont évoquées : d’abord la violence des conflits dans le monde « qui ne sont pas circonscrits, s’exportent et créent de la méfiance jusque dans les contrées les plus lointaines », que certains jouent « à les attiser à des fins, semble t-il, purement électoralistes »… Ensuite, le conflit en Syrie avec ses migrants qu’il est nécessaire d’accueillir religieusement (surtout s’ils sont musulmans, car rien n’est dit sur les chrétiens d’Orient), « car l’homme est un éternel voyageur ». Merci pour les terroristes infiltrés. Certains de nos responsables politiques sont également stigmatisés, qui manquent aux obligations de leur charge en ne magnifiant pas l’unité des enfants de notre peuple. 

Autrement dit, haro sur ceux qui dénoncent et combattent les dérives de l’islam radical dans notre pays. Mais c’est aussi la faute à Robert Ménard et ses panneaux dénonçant l’invasion des migrants dans sa commune, des états-major russe et américain, dont les déclarations font penser que nous sommes à la veille d’un conflit militaire mondial, et enfin de la laïcité qui n’a pas vocation à lutter contre les religions ni à « régenter la manière de s’accoutrer des Français ». Ce serait « un coup fatal porté à la stabilité et au vivre ensemble ». Nous y voilà, des menaces voilées contre ceux qui voudraient interdire le burkini ou le port du voile islamique dans l’espace public. Non, rien de politique dans tout cela, évidemment. Le conseil permanent de la Conférence des évêques de France se retrouve ainsi mal à l’aise. Soit il répond à cette demande œcuménique et sera taxé de connivence avec les Frères musulmans et de semer la zizanie au sein de l’islam en France, soit il n’y répond pas et sera traité de sectaire et manquant de sincérité, ne considérant pas l’UOIF comme un interlocuteur valable. Dans les deux cas, il est piégé. Politique et religion ne font pas bon ménage. Par ailleurs, nos évêques ne semblent pas vouloir prendre en considération le sondage réalisé le 16 septembre 2016 par l’institut IFOP pour le Journal du dimanche, indiquant que près d’un tiers des musulmans français (28 %) estiment que leurs valeurs sont « incompatibles » avec celles de la République.

 Philippe Franceschi

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Fraternité : entre fidèles et mécréants ?

 

 






Abdennour Bidar, philosophe musulman (ou musulman philosophe) de son état, invitait chacun, dans Le Parisien du 2 novembre, à aller « au devant des autres » dans le cadre de l’association Fraternité générale, qu’il préside. Cet appel, lancé un an après « les attentats », se veut un cri d’alarme car, dit-il, « la fracture sociale se double aujourd’hui d’une véritable fracture culturelle », illustrées par un « ressentiment vis-à-vis de l’islam » d’un côté, et de l’autre, le sentiment d’être « montré du doigt, rejeté, incompris »

Monsieur Bidar se garde bien d’évoquer les « fractures » spirituelles (sunnisme-chiisme) ravageant l’islam, qui ont leur part dans les 29.611 attentats commis en son nom (au 4 novembre 2016 – évolutif) depuis 15 ans. Les musulmans en seraient les premières victimes, ce qui démontrerait que tout cela n’a « rien à voir avec l’islam ». Du point de vue non musulman, l’équation s’établit donc comme suit : l’islam n’a rien à voir avec l’islam. Si les musulmans se sentent incompris, c’est que l’islam semble ne pas se comprendre lui-même. 

Ainsi, la croisade, moment fondateur de l’agression infidèle contre l’islam, selon ce dernier, alors que les hordes musulmanes bataillaient du côté de Poitiers après avoir envahi l’Espagne (732) trois siècles et demi avant la première d’entre elles (1095). Pauvres musulmans incompris : l’infaillibilité pontificale semble une farce à côté de la leur. Fracture spirituelle interne à l’islam, où règne une guerre spirituelle civile, mais fracture également entre l’islam et tout ce qui n’est pas lui, fracture assumée, écrite en toutes lettres dans ses textes, proclamée (en interne, bien sûr) dans les mosquées modérées de France (pour qui veut bien visiter les sites musulmans traitant du sujet), donc largement contributrice et responsable des fractures passées, présentes et à venir. 

Au lieu de s’inspirer de « l’héritage humaniste de la France », dit encore notre musulman philosophe, « on se désigne les uns les autres en pointant nos différences », ce qui ne fait « qu’alimenter le “eux” et “nous” », se lamente-t-il. J’aimerais porter à sa connaissance les étranges propos suivants qui, bien que confirmant en tous points ce qu’il affirme, désignent clairement la source des fractures. Monsieur Bidar n’est pas sans savoir que Jésus est fils de Dieu pour les chrétiens, et entend le rester pour ces derniers. Voyons ce que dit le site sounna.com à ce sujet : « Les musulmans se désolidarisent également de la voie empruntée par les chrétiens qui se sont égarés dans la compréhension de ce que devraient être vraiment Jésus ainsi que sa mère […] Celui qui croit sciemment que Jésus […] fut tué et crucifié se met en contradiction avec le Coran et celui qui se met sciemment en contradiction avec le Coran devient mécréant » (souligné dans le texte). Vous comprenez le français, Monsieur Bidar ? Les musulmans se désolidarisent des chrétiens égarés, les désignent, pointent la différence.

Et lorsqu’un fidèle angoissé pose la question « Qu’est-ce que la mécréance ? » sur le site de la mosquée de Lyon, on lui répond ce qui suit. La mécréance avec association consiste à adorer [un] « autre que Dieu » (en plus de Dieu) comme par exemple « attribuer à Dieu un fils, une compagne, ou tout autre associé » (chrétiens, par exemple). La mécréance sans association consistant entre autres à : […] « croire qu’une religion autre que l’islam est agréée chez Dieu ». Je vous passe tout ce que dit le Coran sur le sort réservé aux mécréants et retiens ici que « croire qu’une religion autre que l’islam est agréée chez Dieu » fait de moi un mécréant. Votre religion vous interdit une « Fraternité générale » que vous appelez (ou faites semblant d’appeler) de vos vœux. Fraternité incolore, inodore, et sans saveur.

 Silvio Molenaar

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Identité suisse

 

 

61 % des Suisses contre la reconnaissance de l’islam comme « religion officielle »

Une demande de reconnaissance de l’islam comme religion officielle en Suisse est loin de trouver une majorité auprès des citoyens helvétiques, révèle un sondage.

Reconnaître l’islam au même niveau que le christianisme et le judaïsme en Suisse, n’est pas encore pour demain. A la question de savoir s’il est judicieux de placer l’islam au même niveau que le christianisme et le judaïsme en Suisse, 61% des sondés répondent «non» ou «plutôt non», indique une enquête du Matin Dimanche et de la SonntagsZeitung. Dix-neuf pour cent disent «oui» et 20% «plutôt oui».
Une majorité de 62% des Suisses estiment que l’islam n’a pas sa place en Suisse. Trente-huit pour cent pensent le contraire. Pour 80% des Helvètes, les valeurs chrétiennes font partie de l’identité suisse.

Le sondage a été réalisé en ligne en se basant sur 15’617 réponses pondérées selon des variables démographiques, géographiques et politiques. La marge d’erreur est de /-1,2%.

Le président du parti socialiste Christian Levrat avait appelé en août à un débat de fond sur la place de l’islam en Suisse. «Nous devons réfléchir si nous voulons reconnaître l’islam en tant que religion officielle», cela éviterait notamment de laisser «la formation et le financement des imams à des cercles étrangers, voire fondamentalistes», avait-il expliqué.

Le président du Parti démocrate-chrétien (PDC), Gerhard Pfister, s’est en revanche à plusieurs reprises déclaré opposé à une telle reconnaissance ces derniers temps.

Source 

samedi, 05 novembre 2016

Incitation à la haine en ligne: la justice allemande s'attaque à Facebook

 

 





Le procureur de Munich a ouvert une procédure contre Mark Zuckerberg, cofondateur et PDG du réseau social, et Sheryl Sandberg, directrice des opérations de l'entreprise américaine.

À Berlin

La justice allemande a décidé de se mesurer à Facebook. Le procureur de Munich vient d'ouvrir une procédure contre le fondateur de l'entreprise Mark Zuckerberg ainsi que la directrice des opérations Sheryl Sandberg. Deux lobbyistes du groupe sont aussi visés: Richard Allan et Eva-Maria Kirschsieper. Les dirigeants de Facebook sont accusés de complicité d'incitation à la haine raciale. Le procureur a donné suite à la plainte déposée par un avocat de Würzburg, Chan-Jo Chun, qui reproche au réseau social de tolérer la propagation de propos haineux. Symbolique, l'affaire est révélée par l'hebdomadaire Der Spiegel dans son édition à paraître samedi. Une procédure similaire lancée par le procureur de Hambourg avait échoué au début de l'année.



Le problème de la modération



En Allemagne, on ne plaisante pas avec les propos incitant à la violence, racistes, xénophobes ou évoquant le nazisme. La propagation de la violence politique via internet «est préoccupante» a maintes fois mis en garde le gouvernement en pensant aux réseaux islamistes ou d'extrême droite. Les autorités font pression depuis plusieurs mois sur le réseau social pour qu'il modère davantage les commentaires qui y sont publiés. Le ministre de l'Intérieur Thomas de Maizière s'était rendu en août dernier au siège de Facebook à Berlin pour convaincre l'entreprise de coopérer et d'installer un programme de détection des commentaires haineux. Au nom de la liberté de pensée, le réseau social est réticent aux moyens de censure préalable et préfère jusqu'à présent supprimer les propos litigieux lorsqu'ils sont notifiés. Beaucoup échappent à la sanction.

Le phénomène inquiète et est surveillé de près en Allemagne. En 2014, la police a recensé 1119 cas d'incitation à la haine sur internet et 3084 en 2015. En septembre, une vaste opération policière a été menée contre la «criminalité de la haine». Les tribunaux ont eux aussi choisi de durcir le ton. Début octobre, le tribunal de Würzburg a condamné à 18 mois de prison ferme un militant d'extrême droite utilisateur de Facebook qui appelait au meurtre contre les réfugiés ou les juifs. «Notre société a des principes moraux», a déclaré en septembre Thomas de Maizière avant de préciser: «Offline comme online». Facebook est prié d'en tenir compte.


 Nicolas Barotte

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Réveil de l'extrême-droite en Suisse: ce que disent les chiffres

 

 
En dépit de l'actualité récente, le nombre de manifestations d'extrême-droite a régressé en Suisse depuis cinq ans. Mais les violences à l’encontre des étrangers augmentent et l'évolution du contexte migratoire pourrait intensifier les activités extrémistes



 Mi-octobre, 5000 personnes ont participé à un concert néonazi à Unterwasser. En Suisse romande, deux rassemblements sont annoncés dans le courant du mois de novembre: l’un, interdit par le gouvernement vaudois, aurait du se tenir samedi dans un lieu secret du canton; le second est programmé à Genève le 12 novembre avec en invité d'honneur Alain Soral, figure de l’extrême-droite française.  


Assiste-t-on pour autant à un réveil soudain de ces mouvements? La base de données du service de renseignement de la Confédération (SRC) qui liste tous les événements d’extrême-droite entre 2011 et 2015 – et que «Le Temps» s’est procurée – apporte un éclairage statistique partiel sur l’activité de ces groupes. Le SRC surveille et recense les événements d’extrême droite qui impliquent des organisations ou des personnes connues pour des actes violents. Cette base de données n’est donc pas le reflet de toutes les activités de l’extrême-droite, les mouvements identitaires n’y figurant souvent pas. 

Des événements moins nombreux depuis 2011

 

En Suisse, entre 2011 et 2015, 180 événements d’extrême droite ont été recensés par le SRC. Et leur nombre est en forte régression en Suisse depuis 2011. Le concert d’Unterwasser, de loin le plus grand événement organisé sur cette période, devance un autre concert dans le même canton de St-Gall organisé par Blood&Honor, 300 personnes.


Un ancrage plus fort en Suisse alémanique

 

Il existe de grandes disparités entre les cantons. La Romandie est peu habituée à accueillir ce genre d'événements. A l’inverse, Lucerne, Argovie et Zürich connaissaient une dizaine d’événements par année en 2011.
En Argovie, le nombre d’événements annuels a soudainement chuté en 2013, alors qu’à Lucerne, le déclin survient une année plus tard. Zürich a connu un pic d’événements en 2012, puis un retour au calme. Comment l’expliquer? «Le SRC ne fait pas d’analyse cantonale de l’évolution des extrémismes violents, mais des analyses nationales. Nous pouvons cependant dire que les développements ou les régressions sont liés à des individus» répond le SRC aux questions du Temps. «Nous observons aussi que l’extrémisme de droite se développe davantage dans les campagnes que dans les villes».


Une présence plus soutenue en 2015 dans le canton de Vaud

 

En Suisse romande, seul Genève connaissait une poignée d’événements par année, essentiellement liés au groupuscule Genève non-conforme. Ces manifestations, qui tournaient parfois en bagarres, ne réunissaient jamais plus d’une dizaine de personnes.
Quant au canton de Vaud, il a connu un événement une année sur deux entre 2011 et 2014. Collage d’autocollants anti-noirs ou anti-frontaliers à Yverdon, concert et grillade autour du groupe Frakass - Crew 38 (branche des Hammerskins) en 2013 à Lavey-Morcles avec 50 participants, une fête de la jeunesse qui dégénère en bagarre sous les coups d’un skin valaisan, un père extrémiste de droite qui menace des fonctionnaires pour une bisbille privée en 2014.
Mais en 2015, le canton a vécu quatre événements d’extrême droite, selon la liste du SRC. Une bagarre à Lausanne impliquant 20 personnes, un concert d’un groupe hooligan allemand a attiré 20 personnes, un cimetière a été profané à Lausanne et un concert organisé par les Hammerskins suisses (SHS) a attiré une centaine de participants.

Les étrangers au cœur des violences

 

Sur l’ensemble des 180 événements listés par le SRC qui vont des concerts aux agressions physiques, 48 ont clairement pris des étrangers pour cible. Dans 19 cas, il s’agit d’agressions physiques. Dans les autres cas, il s’agit de lettres, de tags, d’auto-collants dont le contenu est raciste ou menaçant.

Cependant, depuis 2012, les agressions physiques sont plus fréquentes que les menaces. Des étrangers sont menacés au couteau, visés avec des bouteilles en verre ou tabassés dans les rues. Des extrémistes ont envahi des lieux d’accueil de réfugiés en les menaçants et 5 incendies criminels de centre de requérants ont été recensés depuis 2012. L’alcool, et parfois la cocaïne, est souvent de la partie lors de ces passages à l’acte.

«Le gros de l’attention des extrémistes de droite se concentre actuellement sur les thèmes de la migration et de l’islam», souligne le SRC dans son dernier rapport. «Une stratégie qui fixerait des buts et les moyens pour les atteindre n’a toutefois pas été relevée», ajoute-t-il. «Les développements dans le domaine de l’asile, qui génèrent de fortes tensions, ainsi que des attentats supplémentaires pour motifs djihadistes en Europe pourraient entraîner une aggravation de la situation dans les domaines de l’extrémisme de droite et de gauche», estime le SRC dans le rapport précité.» A ce jour, des signes concrets d’une telle évolution n’ont pas été relevés en Suisse, ils l’ont par contre été dans d’autres pays européens», note-t-il encore.

Marie Parvex

Source 

Pour Cazeneuve, "il n'y pas de mini-Calais en France"

Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a constaté vendredi qu'il n'y avait "aucun mini-Calais en France" après le démantèlement de la "Jungle", contrairement à ce qu'avait prédit la droite, et affirmé que les personnes évacuées avaient "vocation à obtenir le statut de réfugié".


 
"Il n'y a aucun mini-Calais en France, il n'y a que des centres d'accueil et d'orientation", a-t-il affirmé devant les députés à l'occasion du débat sur le projet budget 2017 de la mission "immigration, asile et intégration" adopté en première lecture avec le soutien des groupes de gauche.

De nombreux responsables LR, comme Christian Estrosi, Laurent Wauquiez, Valérie Pécresse et Éric Ciotti, avaient dénoncé la création de "mini-Calais" partout en France à l'annonce mi-septembre du plan gouvernemental de répartition des migrants de Calais sur l'ensemble du territoire. 

 "Les discours qui ont été tenus relevaient de manipulations et d'instrumentalisation dans un contexte d'irresponsabilité absolue", a jugé M. Cazeneuve en s'en prenant particulièrement à Laurent Wauquiez qui "avait proposé à la population de se dresser contre les préfets qui organisent cette opération humanitaire".

Tirant le bilan de cette opération qui a "sorti de la boue et du froid" 5.132 adultes et 1.930 mineurs, M. Cazeneuve a estimé que "les troubles publics qui résultaient de cette concentration avaient cessé. Depuis dix jours, il n'y a aucune intrusion sur la rocade, ni sur le tunnel".

"Vous n'avez rien réglé sur le fond", lui a répondu le LR Éric Ciotti, pour qui il y a eu à Calais une "utilisation du droit d'asile à des fins d'immigration illégale", "une perversion contre laquelle vous n'avez pas su combattre". 

M. Cazeneuve a nié avoir procédé à Calais à une "opération de régularisation massive d'étrangers en situation irrégulière".
Ceux qui étaient là "venaient de pays où il ont été persécutés, qu'il s'agisse des Soudanais du Darfour, des Érythréens, des Irakiens, des Syriens. Il n'y avait aucune raison de ne pas leur accorder la protection", a-t-il affirmé.

Remerciant l'ensemble des participants à l'opération, M. Cazeneuve a tenu à rendre hommage aux "Calaisiens qui ont affronté depuis des années une situation difficile avec la générosité et le courage qui caractérise les Français de notre façade septentrionale, comme d'autres".

A la FN Marion Maréchal-Le Pen l'interrogeant sur "les choix politiques pro-immigration du gouvernement", M. Cazeneuve a répondu : "la pression migratoire concernait l'ensemble des pays de l'Union européenne au cas où cela aurait échappé à votre sagacité".

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Police aux Frontières : Une filière d’immigration clandestine démantelée à Saint-Martin ?

 

 




Mardi dernier, aux alentours de 12 heures, les agents de la Police aux Frontières ont procédé à un contrôle d’un catamaran au mouillage dans la baie de Marigot.

Une intervention payante des autorités françaises puisque 52 clandestins dont sept enfants ont été découverts à bord de l’embarcation. A noter que toutes les personnes présentes sur le bateau sont de nationalité haïtienne.

Dans la foulée, les policiers ont interpellé et placé en garde-à-vue les trois membres d’équipage, soupçonnés d’un trafic de migrants.
En attendant une décision de justice, les cinquante-deux personnes en situation irrégulière ont été placées dans un local de rétention administrative à Saint-Martin. 

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Terrorisme: la Belgique donne son accord pour un transfert de Mehdi Nemmouche vers la France

 

 
Les autorités belges ont donné leur accord ce jeudi pour autoriser le transfert de Mehdi Nemmouche vers la France, annonce le parquet fédéral belge. Mehdi Nemmouche, un Français de 31 ans, est suspecté d’être l’auteur de l’attaque du Musée juif à Bruxelles le 24 mai 2014 au cours de laquelle quatre personnes ont été tuées. Cette remise à Paris va se dérouler dans les prochaines semaines.
Il pourra être remis quand la Belgique « n’en aura plus besoin » dans le cadre de l’enquête sur cet attentat, précise la justice belge.
La France a lancé un mandat d’arrêt européen à l’encontre de Mehdi Nemmouche. La justice française le soupçonne d’avoir été l’un des geôliers des quatre ex-otages journalistes français enlevés en Syrie en 2013 et libérés en avril 2014. Quelques mois plus tard, Nicolas Hénin confirmait que Nemmouche l’avait « maltraité » pendant sa détention et décrit un homme doté d’un « très grand ego » qui « torturait » les captifs.

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Perpignan: un homme recherché pour avoir foncé avec sa Porsche sur des policiers

 

 
Ce lundi matin, à 6h30, à un péage situé près de la frontière franco-espagnole, une Porsche évite un contrôle de la police aux frontières (PAF). La voiture de luxe fait demi-tour, et prend à contre-sens la bretelle d’autoroute pour se diriger vers Perpignan. 

Quelques instants plus tard, la voiture se retrouve face à des policiers de la brigade anti-criminalité. Elle fait demi-tour, et fonce vers le véhicule des policiers de la PAF, qui l’avait suivie. Un policier est légèrement blessé dans le choc. 

Le suspect est lié au grand banditisme

 

Le conducteur réussit à s’enfuir à pied. Dans la Porsche, les policiers découvrent le document d’identité d’un homme de 31 ans, lié au grand banditisme, et sous le coup d’un mandat d’arrêt du TGI de Lille pour association de malfaiteurs. « Il y a des fortes chances » que la pièce d’identité appartienne au conducteur recherché, mais « c’est en cours d’identification », a précisé un enquêteur.

Le passager du véhicule, qui est immatriculé en Allemagne, a été interpellé et était ce jeudi en garde à vue. La Porsche avait été placée « sous surveillance comme pouvant être utilisé par des malfaiteurs », selon un enquêteur.

Aucune drogue ni arme n’ont été retrouvées dans la voiture de luxe.

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Seine-et-Marne: une policière violemment percutée par une voiture volée

 

 
Ce jeudi matin, une fonctionnaire de la police nationale a été brutalement percutée par le conducteur d’une voiture volée, révèle Le Parisien

Vers 10 heures, une patrouille de police aperçoit un véhicule volé près de la gare de Saint-Pierre-lès-Nemours, en Seine-et-Marne. Les policiers tentent d’en déloger le conducteur et son passager. Pour leur échapper, ces derniers enclenchent brutalement la marche arrière, et percutent l’avant de la voiture de patrouille. Les policiers en sortent, et tentent de les arrêter. Une policière est alors violemment percutée contre un mur. Deux autres policiers ont également été blessés, l’un au visage et l’autre au bras. 

Hospitalisée, elle souffre de nombreuses fractures aux jambes et au bassin. Les agresseurs, deux adolescents, ont été interpellés puis placés en garde à vue. Plusieurs armes ont été retrouvées à bord de leur véhicule volé. 

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Viol d'une interprète de France 5: trois migrants afghans placés en garde à vue à Paris

 

 
Trois migrants afghans, âgés de 30 à 35 ans, ont été arrêtés dans un centre pour travailleurs étrangers de Rungis, ce mercredi. Un portrait-robot de l’agresseur avait été établi, après le viol d’une interprète travaillant pour France 5, en octobre dernier, aux abords de la « Jungle » de Calais. 

Le parquet de Boulogne-sur-Mer précise que leur culpabilité n’est pas encore établie à ce stade. 

Une information judiciaire avait été ouverte le 27 octobre dernier, pour « viol et vol avec arme » par un juge d’instruction boulonnais sur commission rogatoire nationale, a précisé le parquet. 

Les trois hommes nient les faits

 

Entendus lors de leur garde à vue à Paris, toujours en cours, les trois migrants afghans nient leur implication dans le crime qui leur est reproché. Mais contrairement à ce qu’ils affirment, l’enquête a établi qu’ils sont effectivement passés par la « Jungle » de Calais.  Ils pourraient être transférés vers Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais.
  
Entre 02h00 et 03h00, un journaliste freelance et une interprète de langue pachtoune réalisaient un reportage pour France 5, aux abords de la « Jungle » de Calais, lorsqu’ils ont été pris à partie par trois Afghans, qui ont d’abord voulu voler leur matériel.
  
L’un de ces trois individus a obligé l’interprète à avoir un rapport sexuel sous la menace d’un couteau, tandis que les deux autres maintenaient le journaliste à distance, également avec un couteau.


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Paris: le camp de Stalingrad en cours d'évacuation

 

 
Le ministre de l’Intérieur l’avait assuré la semaine dernière après le démantèlement de la « Jungle » de Calais, le président de la République l’avait confirmé: le camp de migrants de Stalingrad à Paris sera lui aussi évacué. L’évacuation a débuté vendredi matin à 6 heures dans le calme et encadrée par de nombreux gendarmes et CRS.
« 600 policiers, qui font un travail remarquable, 250 bénévoles des administrations, des bénévoles et des salariés d’associations », a détaillé sur BFMTV le préfet d’Ile-de-France et de Paris.
Aux premières heures de la journée, la première opération a consisté à évacuer environ 500 migrants originaires d’Afghanistan qui ont été regroupés derrière un cordon mis en place par les forces de l’ordre sur le quai de Jemmapes, situé à proximité des stations de métro Stalingrad et Jaurès où s’étaient installés entre 2.000 et 3.000 migrants. L’évacuation va se poursuivre avec les autres migrants, venus d’Afrique, installés eux sur l’avenue de Flandre.

La faim et le froid

 

Les milliers de migrants évacués doivent être dirigés vers l’un des 82 bus pour être conduits dans des centres d’hébergements en Ile-de-France. Une opération qui devrait durer jusqu’au milieu de la journée. « Il a fallu trouver des places, c’est ce que nous avons fait toute la semaine dernière, poursuit Jean-François Carenco. J’espère que nous en aurons assez. »

Cette évacuation, annoncée depuis plusieurs jours, s’est déroulée dans le calme, les migrants se réjouissant pour certains de quitter ce terre-plein sous le métro aérien entre les stations de Stalingrad et de Jaurès, dans le nord-est de Paris où des centaines de tentes avaient été installées. Nombreux sont ceux qui se sont présentés spontanément aux forces de l’ordre. Ahmed, un migrant venu de Libye et rencontré par un journaliste de BFMTV se dit « content » de partir alors qu’il vivait dans des conditions déplorables, « dans le froid et avec la faim ».

Evacué à plusieurs reprises, le camp de migrants de Stalingrad s’était reformé et agrandi notamment après le démantèlement de la Jungle de Calais. Ces derniers jours, plusieurs opérations ont été menées par les autorités dans le campement provoquant certaines tensions. Lundi, une « opération de contrôle » visant à partager  les demandeurs d’asile des sans-papiers. Le lendemain, une manifestation de soutien s’était conclue avec des échauffourées entre migrants.

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Françoise Schepmans fait fermer la mosquée Loqman: surveillé, ce lieu de culte était fréquenté par les terroristes El Khazzani, Akrouh et Abrini

 

 
Nouvelle fermeture d’un lieu de culte à Molenbeek-Saint-Jean. La bourgmestre Françoise Schepmans (MR) a fait fermer pour infractions urbanistiques la mosquée Loqman de la rue Ransfort. Cette mosquée était surveillée par la Sûreté de l’Etat depuis plus d’un an. Elle a été fréquentée par les terroristes Ayoub El Khazzani, Chakib Akrouh et Mohamed Abrini.



Après la fermeture d’une école coranique en mai dernier, la bourgmestre de Molenbeek, Françoise Schepmans (MR), a pris un arrêté de fermeture de la mosquée Loqman, située au numéro 24 de la rue Ransfort, à Molenbeek-Saint-Jean. La fermeture a lieu dans le cadre d’infractions urbanistiques. « Changement de destination des sous-sol, rez-de-chaussée et premier étage arrière, d’une maison de commerce en lieu de culte, couverture de la cour latérale et modification de la façade sans permis d’urbanisme », peut-on lire dans la confirmation d’ordre verbal « d’arrêt immédiat des actes et travaux ».


Dans la rue Ransfort, difficile d’imaginer que cette maison abrite une mosquée. Pas d’inscription annonçant le lieu de culte. Cependant au moment des prières, notamment le vendredi, le va-et-vient démontre que le lieu abrite une mosquée. Petite et non reconnue par les autorités, cette mosquée occupait le sous-sol, le rez-de-chaussée et le premier étage d’une maison dans le centre historique de Molenbeek. Elle était gérée par l’ASBL Centre Jamii Islamique de Belgique.

Si elle était discrète en apparence, la mosquée Loqman était dans le collimateur de la Sûreté de l’Etat depuis près d’un an et était surveillée car soupçonnée de radicalisation. En effet, de nombreux jeunes du quartier ont fréquenté cette mosquée avant de partir faire le djihad en Syrie.


 Fréquentée par des terroristes


Plusieurs terroristes sont également passés par ce lieu de culte. Tout d’abord, Ayoub El Khazzani, le tireur de l’attentat déjoué dans le Thalys pendant l’été 2015 s’est rendu à plusieurs reprises au numéro 24 de la rue Ransfort. Lors de ses passages à Molenbeek, il séjournait chez sa sœur dont l’appartement est situé chaussée de Gand. A quelques centaines de mètres de la mosquée Loqman.

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Fermeture d'une mosquée fréquentée par des individus suspectés de terrorisme à Molenbeek

 

 


La bourgmestre de Molenbeek Françoise Schepmans (MR) a fait fermer pour infractions urbanistiques la mosquée Loqman, rue Ransfort, fréquentée par des individus suspectés de terrorisme, rapportent vendredi les titres Sudpresse. La Sûreté de l'Etat surveillait depuis près d'un an cette mosquée discrète soupçonnée de radicalisation. Le lieu a été fréquenté notamment par Ayoub El Khazzani, le tireur de l'attentat déjoué dans le Thalys, Chakib Akrouh, qui a participé aux attentats de Paris, et Mohamed Abrini, "homme au chapeau" des attentats du 22 mars.

La mosquée a été fermée le 7 octobre pour "changement de destination des sous-sol, rez-de-chaussée et premier étage arrière, d'une maison de commerce en lieu de culte, couverture de la cour latérale et modification de la façade sans permis d'urbanisme" selon la confirmation d'ordre verbal. Le lieu ne pourrait rouvrir qu'à condition "que les agents communaux constatent que les mesures de remise en pristin état auront bien été exécutées."

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Le refus d'accueillir des migrants est "scandaleux" pour la Grèce

 

 
La Grèce a inauguré un nouveau centre d’accueil pour mineurs isolés, ce jeudi, à Athènes, tout en condamnant le manque de bonne volonté de certains Etats membres concernant l’accueil des réfugiés.

66400 migrants censés être relocalisés depuis la Grèce

De nombreux jeunes sont censés quitter le sol grec pour rejoindre d’autres Etats membres en vertu du plan européen de répartition des migrants.
Celui-ci prévoit la relocalisation de 66400 personnes depuis la Grèce en deux ans. Mais pour l’instant un peu plus de 5000 migrants seulement ont quitté le pays.

Le groupe de Visegrad opposé au plan de répartition

Certains Etats membres refusent de les accueillir.
C’est notamment le cas du “groupe de Visegrad”, composé de la Pologne, de la Hongrie, de la République tchèque et de la Slovaquie.

Ce refus est “scandaleux” pour le ministre grec de l’Immigration. Yannis Mouzalas a eu des mots très durs envers le groupe de Visegrad :
“Ils ne participent pas au processus de relocalisation et en plus ils essaient de le bloquer en lançant des procédures devant la cour européenne. Ils parlent également d“un nouveau modèle baptisé “solidarité flexible”. Pour résumer, ils nous disent : “gardez les réfugiés et on vous enverra des couvertures”.

Des sanctions contre les pays récalcitrants

La Grèce et l’Italie demandent ainsi que soient mises en place des sanctions financières envers les Etats membres qui ne participent pas au programme de relocalisation. 

“Le nombre d’enfants accueillis dans ce nouveau centre est bien trop faible au vu des 1490 mineurs isolés présents actuellement sur le sol grec. Les autorités grecques l’admettent. Elles coopèrent avec l’Union européenne et avec les ONG, mais elles sont d’accord pour dire qu’il faudrait en faire davantage”, conclut Akis Tatsis, du bureau d’euronews à Athènes.

La France premier pays contributeur

En effet, il n’y a en Grèce actuellement guère plus de 19.000 personnes éligibles au programme conclu en septembre 2015.
Pour soulager la Grèce et l’Italie, la France a accueilli pour l’instant 1.924 personnes, soit près de 40% des relocalisés de Grèce. Elle a aussi accueilli 231 personnes depuis l’Italie.

La France compte relocaliser 400 personnes par mois, l’Allemagne 500. 

La Suisse accueille cette semaine ses premiers relocalisés. 

Les Norvégiens viennent d’adhérer volontairement au programme.

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Quatre mosquées radicales fermées en Île-de-France

 

 
 

 

Soyons francs : fermer quelques mosquées ne va pas résoudre le problème posé par des millions d’afro-maghrébins vivant sur le sol français.

Mais en même temps, le gouvernement est malin parce que ce n’est pas une décision en soi critiquable : tout français avec un peu de conscience nationale préfère clairement ces quelques fermetures à la tolérance passive des imams salafistes.
RT :
Le ministre [de l’Intérieur Bernard Cazeneuve] « a fait procéder ce jour à la fermeture administrative de quatre mosquées », ont indiqué ses services dans un communiqué. Ces fermetures ont été décidées sur « le fondement des dispositions de l’article 8 de la loi sur l’état d’urgence permettant la fermeture des lieux de culte au sein desquels sont tenus des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence ou une provocation à la commission d’actes de terrorisme ou faisant l’apologie de tels actes », précise le document.
Cette notion de « mosquée radicale » est tout de même assez contestable, puisque cela laisse entendre que les autres mosquées seraient « modérées » et « acceptables ».
Le 12 octobre, le ministre de l’Intérieur avait indiqué qu’une vingtaine de mosquées et de salles de prières présumées radicalisées avaient été fermées depuis la mise en vigueur de l’état d’urgence, instauré après les attentats djihadistes du 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis, qui ont fait 130 morts.

Les fermetures décidées le 2 novembre sont intervenues dans les départements des Yvelines, de la Seine-Saint-Denis ainsi que du Val-de-Marne, et « prennent effet immédiatement », précise encore le ministère.
Dans le Val-de-Marne, il s’agit de la mosquée Al-Islah située à Villiers-sur-Marne, où une école coranique clandestine avait été découverte fin août lors d’une perquisition, a-t-on appris de source proche du dossier.
[…]

Dans les Yvelines, c’est la salle de prières d’Ecquevilly qui a été fermée. […] En Seine-Saint-Denis, il s’agit de la mosquée Ar Rawda, à Stains, et d’un lieu baptisé Masjid Al Fath, à Clichy-sous-Bois, selon la préfecture.
Al-Fath signifie « La conquête », et c’est un nom très fréqueent pour les mosquées en France. On se demande bien pourquoi…
« Sous couvert de but cultuel », les quatre lieux qui ont été l’objet de cette fermeture administrative « abritaient des réunions visant en réalité à promouvoir une idéologie radicale, contraire aux valeurs de la République et susceptible de constituer un risque grave d’atteinte à la sécurité et à l’ordre publics », a fait valoir le ministère de l’Intérieur.
Ah, les « valeurs » de leur (((République)))… Quand on sait que détruire la population française en important des hordes du Tiers-Monde pour la remplacer est parfaitement conforme à leurs « valeurs »…

C’est d’ailleurs sous le couvert de ces mêmes « valeurs » que les nationalistes sont harcelés par la justice.
Si la fermeture de ces mosquées est positive, c’est tout simplement parce qu’elles sont des lieux où des ennemis de la France se rassemblent et s’organisent.

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jeudi, 03 novembre 2016

Islamisme radical : quatre mosquées fermées en région parisienne

 

 Ces fermetures administratives ont été décidées par le ministère de l'Intérieur dans le cadre des dispositions de la loi sur l'état d'urgence.
 

 Quatre mosquées de région parisienne soupçonnées de promouvoir l'islamisme radical ont été fermées mercredi par les autorités, a annoncé le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Le ministre "a fait procéder ce jour à la fermeture administrative de quatre mosquées", ont indiqué ses services dans un communiqué. Ces fermetures ont été décidées sur "le fondement des dispositions de l'article 8 de la loi sur l'état d'urgence permettant la fermeture des lieux de culte au sein desquels sont tenus des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence ou une provocation à la commission d'actes de terrorisme ou faisant l'apologie de tels actes", a-t-on précisé.

 

Le 12 octobre, le ministre de l'Intérieur avait indiqué qu'une vingtaine de mosquées et de salles de prières présumées radicalisées avaient été fermées depuis la mise en vigueur de l'état d'urgence, instauré après les attentats djihadistes du 13 novembre à Paris et Saint-Denis, qui ont fait 130 morts. Les fermetures décidées mercredi sont intervenues dans les départements des Yvelines, de la Seine-Saint-Denis ainsi que du Val-de-Marne, et "prennent effet immédiatement", a précisé le ministère.

École coranique clandestine

 

Dans le Val-de-Marne, il s'agit de la mosquée Al-Islah située à Villiers-sur-Marne, où une école coranique clandestine avait été découverte fin août lors d'une perquisition, a-t-on appris de source proche du dossier. Elle était connue des services de renseignements pour avoir été fréquentée, selon eux, par douze personnes condamnées en avril pour leur participation présumée à une filière djihadiste à destination de la Syrie. Dans les Yvelines, c'est la salle de prières d'Ecquevilly qui a été fermée. Il s'agit d'"un lieu de référence influent de la mouvance salafiste, prônant un islam rigoriste, appelant à la discrimination et à la haine, voire à la violence", selon l'arrêté du préfet des Yvelines. En Seine-Saint-Denis, il s'agit de la mosquée Ar Rawda, à Stains, et d'un lieu baptisé Masjid Al Fath, à Clichy-sous-Bois, selon la préfecture.
"Sous couvert de but cultuel", les quatre lieux fermés mercredi "abritaient des réunions visant en réalité à promouvoir une idéologie radicale, contraire aux valeurs de la République et susceptible de constituer un risque grave d'atteinte à la sécurité et à l'ordre publics", a fait valoir le ministère de l'Intérieur.

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L'imam radical de Dison pourrait créer sa propre mosquée

 

 



26 jours : voilà ce qu’il reste à l’imam radical de Dison pour quitter la Belgique. Pour aller où ? Sans doute aux Pays-Bas, dont sa femme est originaire. Et si sa mosquée d’origine a déjà dit ne pas vouloir le revoir prêcher la haine, l’homme pourrait fonder une nouvelle mosquée avec un autre imam mis à l’écart pour des propos incitants à la haine et au radicalisme…

 L’imam Shayh Alami doit faire ses valises et quitter Dison, après que le Conseil du contentieux des étrangers a rejeté son recours jeudi dernier. Un recours qu’il avait introduit suite à la décision de Theo Francken de l’expulser, bloquant la procédure depuis 15 mois.

Où va-t-il aller ? Au Maroc, son pays d’origine, c’est peu probable. Il semble plutôt qu’il s’oriente vers les Pays-Bas, pays dont il a obtenu la nationalité en se mariant et qui ne peut donc pas lui interdire l’accès à son territoire. Nos voisins ne sont pas enthousiastes et leur communauté musulmane non plus. Les autorités du pays ont déjà annoncé qu’elles allaient « garder un œil sur lui », entendez le mettre sous étroite surveillance et vérifier ses fréquentations et ses déclarations.

Dans son ancienne mosquée As-Soennah à La Haye, on a déjà annoncé qu’il ne serait pas le bienvenu. La communauté ne souhaite pas qu’il y tienne des propos haineux ou salafistes, voire même « incitant au radicalisme », expliquent certains fidèles à la presse néerlandaise. « On ne veut pas qu’il empoisonne l’esprit des jeunes musulmans néerlandais », explique l’un d’eux dans le Volkskrant.



Avec un autre imam exclu



Parti de La Haye en 2006 pour aller s’installer à Dison, l’imam Alami pourrait toutefois compter sur un allié : Fawaz Jneid, un autre imam qui a été mis à l’écart part cette même mosquée en 2014, après avoir notamment tenu des propos homophobes et avoir incité à la haine.

Ce dernier avait lancé une collecte de fonds pour ouvrir sa mosquée. Un lieu de culte où pourrait le rejoindre l’ex-imam de Dison s’il venait à être créé, pensent les médias néerlandais. Mais la communauté musulmane devrait s’y opposer, puisqu’elle s’était opposée à la présence de Fawaz Jneid dès 2005.


 L.P. 

LaMeuse.be 

Quatre interpellations après des scènes de violences à Chambéry

 

 

Quatre personnes ont été interpellées mardi soir après des scènes de violences urbaines à Chambéry impliquant 20 à 30 jeunes de 15 à 20 ans. Leur principale cible: une caméra de vidéosurveillance.

Les raisons de leur colère ne sont pas claires. Quatre personnes ont été interpellées mardi soir à Chambéry après des violences urbaines impliquant des jeunes entre 15 et 20 ans dans un quartier du nord de la ville, a indiqué la préfecture de Savoie. 

Vers 18h30, 20 à 30 personnes encagoulées ont volontairement rassemblé, puis incendié des containers à poubelles au pied des immeubles d'un quartier populaire de la ville. Une voiture a également été incendiée par les jeunes émeutiers, qui durant près de trois heures, ont toisé sans heurts les forces de l'ordre. Aucun blessé n'était à déplorer mardi soir à 23 heures. 

Leur cible, une caméra de vidéosurveillance 

 

"Deux ou trois petits groupes de jeunes ont commencé à semer le bazar dans le quartier et à mettre le feu. Leur principale cible était une caméra de vidéosurveillance. Aucun éléments ne nous permet de savoir pourquoi ils ont agi ainsi", a précisé le maire de la ville Michel Dantin. 

La police a repris le contrôle de la situation vers 21h30 après avoir renforcé son dispositif et sécurisé la zone. Cette manoeuvre a ensuite permis l'intervention des pompiers, qui ont procédé à l'extinction des incendies. "La situation est restée en stand-by le temps que le dispositif policier soit renforcé", a confirmé Nicolas Martrenchard, le sous-préfet d'Albertville, confirmant une information du Dauphiné Libéré. 

Des poubelles et un véhicule incendiés

 

Les personnes ont été interpellées "grâce au signalement donné par des riverains", a ajouté Michel Dantin. Plusieurs poubelles et un véhicule avaient déjà été volontairement incendiés dans la nuit de lundi à mardi par plusieurs personnes masquées qui avaient ensuite accueilli les pompiers par des jets de projectiles.
  
La soirée d'Halloween avait été également marquée par des incidents sur les communes de Givors et de Grigny, près de Lyon. Plusieurs véhicules, ainsi que des poubelles, avaient été incendiés mais aucune interpellation n'avait eu lieu.

Source 

mercredi, 02 novembre 2016

Des parents d’un élève allemand qui a séché une visite scolaire à la mosquée risquent un procès

 

 
Comment ne pas devenir un national-socialiste radical quand on subit une telle tyrannie étrangère ?
RT :
Les parents d’un adolescent allemand vont peut-être faire face à un procès pour avoir refusé de payer une amende pour « absentéisme ».
Une amende pour absence à l’école ! Les Allemands ont la réputation d’être rigoureux, mais attendez, vous n’avez rien lu.
Ils avaient refusé de laisser leur fils participer à la visite scolaire d’une mosquée du coin, craignant un endoctrinement de la part de musulmans radicaux.
Bigre ! Ce n’était même pas un cours, mais une visite obligatoire chez les barbus.
Les faits se sont produits en juin dernier, quand les parents d’un élève de 13 ans se sont opposés à la présence de leur fils à la visite de la mosquée de Rendsburg, dans le Nord de l’Allemagne, organisée dans le cadre de l’enseignement de la géographie.
Un cours de géo, allons donc ! Pourquoi pas un cours de maths pour compter les paires de baskets puantes à l’entrée ?
Dans une lettre envoyée à l’enseignant, le père de l’élève a expliqué que son fils aurait été « endoctriné » dans la mosquée. Il explique en outre que « depuis des années, nous entendons des histoires de violence religieuse en liaison avec les musulmans ».
Pour sûr. Ils ne vont pas chanter le Horst Wessel Lied à la mosquée, mais prêcher leur religion d’égorgeurs.
Une autorité locale du système scolaire a par conséquent adressé une amende de 300 euros aux parents, se référant à une loi régionale qui inclut des amendes pour absentéisme scolaire. Quand les parents s’opposèrent au paiement de cette amende, leur cas fut transmis au procureur local, qui décidera si le cas mérite un procès, rapportait le Spiegel (de) mercredi dernier.
Une amende de 300 euros pour refus de visiter une mosquée ! L’odieuse corporation des juges tyrannise d’une main ses compatriotes, de l’autre cajole le conquérant.
Alexander Heumann, l’avocat, a expliqué que les parents n’avaient pas agi conformément à des principes religieux, mais qu’ils pensent que « personne ne devrait être forcé à entrer dans un lieu consacré contre sa volonté ».
C’est l’évidence même.
Les commentaires sur les réseaux sociaux se sont déchaînés contre cette décision inique, expliquant que cette visite n’avait rien de légitime, mais le principal du collège, une certain Renate Fritzsche a assumé complètement cet acharnement.
renate-fritsche
C’est la truie à droite à côté du bougnoule
« Nous avons des élèves musulmans dans le collège et des parents musulmans, qui savent aussi qu’il n’y a pas d’exceptions », ajoutant que les cours de natation et d’éducation sexuelle sont obligatoires pour les élèves musulmans. « Ce n’est pas aux parents de dire : « Mon enfant ne participera pas à tel ou tel cours » », a-t-elle précisé.
Si vous parlez la langue de Goethe et que vous voulez lui envoyer un mot gentil, voici son contact :
Gymnasium Kronwerk
Schulleiterin: Renate Fritzsche (l.)
Eckernförder Str. 58 b-d
24768 Rendsburg
Tel.: 04331/78 25 11
schulleitung@gymnasium-kronwerk.de


Blanche Europe 

Immigration : Le pape François appelle les États européens à la prudence

 

 
Dans l'avion le ramenant de Suède mardi, le pape a précisé sa pensée sur la question de l'accueil des réfugiés en Europe en conseillant aux gouvernements de ne pas accueillir au-delà de leur possibilité sous peine de payer « le prix politique » car les réfugiés non intégrés vont alors former des « ghettos » , ce qui est « très dangereux ». À savoir pouvoir offrir aux réfugiés, insiste-t-il, «un toit, un travail, une école, l'apprentissage de la langue» en vue de leur «intégration». 
Capture d’écran 2016-11-01 à 18.36.04«Qu'est-ce que je pense des pays qui ferment leurs frontières? En théorie, on ne peut pas fermer son cœur à un réfugié. Mais il y a aussi la prudence des gouvernants: Ils doivent être très ouverts pour recevoir mais ils doivent aussi faire le calcul de savoir comment les recevoir. Parce qu'on ne doit pas seulement recevoir un réfugié mais il faut aussi l'intégrer. Et si un pays à une capacité d'intégration, disons de 20, qu'il fasse cela. S'il peut davantage, qu'il fasse plus. Mais toujours avec le cœur ouvert, parce qu'il n'est pas humain de fermer le cœur, de fermer les portes. À la fin, cela se paie politiquement. Tout comme on peut aussi payer politiquement une imprudence dans les calculs en recevant plus que l'on peut intégrer.»

«Quel est le danger? Si le réfugié n'est pas intégré, permettez-moi ce néologisme, il se ‘ghettoïse', il devient un ghetto. Et sa culture ne se développe pas en relation avec l'autre culture. Ce qui est très dangereux. Je pense que la peur est le plus mauvais conseil pour les pays qui tendent à fermer leurs frontières. Et que le meilleur conseil est la prudence.»

Le salon beige