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mercredi, 23 novembre 2016

Interdire la burqa a-t-il vraiment pour conséquence d'interdire les autres signes religieux ?

 

 
Anne Merlin-Chazelas, docteur en histoire, ingénieur de recherches au CNRS (e.r.), répond à Jean-Frédéric Poisson :
Unknown-53"Monsieur, 
Vous avez répondu aux correspondants du Salon beige : "l’interdiction de la burqa aurait mécaniquement pour conséquence l’interdiction pour les Chrétiens et les Juifs de leur propres signes religieux."

C’est une opinion assez répandue, mais qui se fonde sur une information insuffisante. En effet, ce n’est pas – fort sagement – la burqa qui est interdite, mais tout vêtement ou dispositif masquant le visage dans l’espace public, pour des raisons de sécurité.

Et il n’était pas nécessaire de prendre une loi spécifique pour interdire ainsi non seulement la burqa (particulièrement dangereuse parce qu’elle masque non seulement le visage, empêchant qu’on reconnaisse une personne qui commet un acte délictueux ou criminel, mais le corps, permettant à un homme de se faire passer pour une femme et à toute personne de dissimuler soit le produit de vols, soit des armes, des explosifs, etc. et autres matériels permettant de commettre un braquage ou un attentat) mais le casque de moto, le masque de carnaval ou le masque chirurgical, la cagoule ou le passe-montagne.

 
En effet, en France, toute loi qui n’a pas été expressément abrogée par une loi postérieure est toujours en vigueur. C’est ce qui a permis, bien avant que le français ait été imposé comme « langue de la République » dans notre Constitution, d’imposer l’usage du français dans tous les actes publics, en dépit des revendications notamment bretonnes, en se fondant sur l’article 111 de l’Ordonnance donnée en août 1539 par François Ier à Villers-Cotterêts, article qui, effectivement, n’avait jamais été abrogé et ne l’est toujours pas. Le dernier arrêt du Conseil d’État invoquant cet article date, si ma mémoire est bonne, de 1985.

Or, les raisons de sécurité invoquées pour interdire le port de tout dispositif masquant le visage dans l’espace public avaient déjà, dès le 3 mars 1400, conduit le gouvernement de Charles VI à interdire de circuler « les visages embrunchez, cachés par un capuchon ou une cagoule » (Impr. Ordonnances des rois de France…, collection in-fol., t. VIII, p. 364). Cette ordonnance n’a jamais été expressément révoquée et peut donc être invoquée comme étant toujours en vigueur. Il est vrai qu’elle n’a guère été respectée, ce qui a conduit, le 9 mai 1539 (quelques semaines avant l’ordonnance de Villers-Cotterêts), le roi François Ier à interdire à nouveau « à toutes personnes, de quelque estat, qualité et condition qu’ilz soient, de ne aller par villes, citez, forestz, boys, bourgs et chemins de nostre royaume … armez de harnoys secrectz ou apparens, seulz ny en compaignie, masquez ne desguisez » (Impr. Ordonnances des rois de France. Règne de François Ier, t. IX, p. 404-407, n° 915.). Toujours en vigueur elle aussi, faute d’avoir été expressément révoquée, elle n’a sans doute guère été respectée puisque François II l’a renouvelée en 1560.

Interprétée comme visant expressément la burqa (et c’était certainement l’intention du législateur !), la loi interdisant de dissimuler son visage dans l’espace public est certes quotidiennement violée. Elle n’en est pas moins à la fois inutile (puisque les dispositions légales qu’elle contient existaient déjà) et nécessaire."

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François Fillon, premier imam de France ?

 

 
À l’époque, nos compatriotes étaient déjà tellement anesthésiés qu’ils n’ont guère réagi à l’inauguration, par le Premier ministre de la France, un certain… François Fillon, d’une mosquée à Argenteuil. C’était le 28 juin 2010. Il est vrai que nos médias complaisants n’avaient guère relayé plus que cela la fameuse nouvelle. Le site marocain atlasinfo.fr s’en était alors ému en ces termes : « Jamais un Premier ministre ne s’était déplacé pour l’inauguration d’une mosquée, en banlieue dite “sensible” qui plus est. »
 
Le scandale était pourtant là. Que la France, incarnée par le Premier ministre, se prosternât devant la future première religion du pays, ce, afin de promouvoir un lieu de culte (la mosquée Al Ihsan, d’une superficie de 3.000 m2, contrôlée par l’Algérie, qui y nomme l’imam), faisait l’effet d’un coup de tonnerre. À bas bruit, néanmoins.

À l’évidence, François Fillon jouait l’idiot utile du président de la République, Nicolas Sarkozy, tout à sa judéophilie tendue vers un alignement inconditionnel sur la diplomatie américano-sioniste. Le Premier ministre, en chien fidèle du sarkozysme déclinant, s’était coltiné une singulière tâche en piétinant la loi de séparation du 9 décembre 1905, en même temps qu’il donnait des gages aux « personnes de confession musulmane et [à] leurs lieux de culte […] encore trop souvent l’objet de discriminations et la cible d’agressions [intolérables] ».

M. Fillon se pâmait devant les arabesques mahométanes enluminant les frontispices de mosquées poussant indûment sur le sol de France. 

La vérité est que François Fillon n’a rien à envier à son pseudo-adversaire, Alain Juppé, islamophile convaincu. Six ans plus tard, en dépit de la parution opportuniste de son Vaincre le totalitarisme islamique (Albin Michel, 2016), Fillon ne sera pas parvenu à faire oublier cet acte de dhimmitude institutionnelle qui s’analysait déjà comme une haute trahison dans la mesure où il fut perpétré contra legem
 M. Fillon, lorsqu’il se rendit à Argenteuil en babouches, ne pouvait ignorer, à la fonction qu’il occupait, l’interpellation du député UMP de Vendée, M. Louis Guédon, à l’adresse de son ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, « sur le bilan 2008 des atteintes aux lieux de culte. D’après les chiffres communiqués par le ministère de l’Intérieur, on compte pour cette seule année, 6 atteintes aux sites israéliens, 13 atteintes aux sites musulmans et 266 atteintes aux sites chrétiens. Si l’on ne peut qu’approuver que chaque dégradation de sites israéliens ou musulmans trouve un large écho dans la presse, on ne peut que regretter le silence médiatique et institutionnel entourant les si nombreuses dégradations de sites chrétiens. Il lui demande quelles mesures il entend prendre pour protéger ces lieux chrétiens particulièrement visés par les dégradations, le vandalisme et les pillages de toute nature » (2 juillet 2010).

C’est dire que, malgré les postures fallacieusement volontaristes et martiales de la dernière et soudaine coqueluche des médias, rien ne changera fondamentalement sur le front du Grand Remplacement islamique. Par son geste immarcescible et ineffaçable, Fillon s’est fait le « co(allah)borateur » à la main tendue de l’État français vers ce que l’on nous serine être un islam « de » France, traduisant cette réalité terrible, depuis trente ans, d’un islam « en » France qui préfigure un pays majoritairement islamisé d’ici à la fin du siècle.
Finalement, le candidat à l’élection présidentielle ne se départira jamais de ce statut de factotum que Sarkozy, regnante, lui avait accolé, lui déniant, du même coup, d’autres ambitions que celle d’agent subalterne en toute circonstance. Fillon pourrait bien être Hollande en pire… Pour notre plus grand malheur !

 Aristide Leucate

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Deuxième Forum de la dissidence : contre la tyrannie du politiquement correct…

 

 
Samedi 19 novembre avait lieu le deuxième Forum de la dissidence organisé par la fondation Polémia. Au programme : migrants, islamisation, dissidence des maires, modèles hongrois ou corse, etc. Décryptage.
*** 
 

Béziers : une voiture de police caillassée, un policier blessé

 

 

Les policiers de la Sécurité publique du commissariat de Béziers ont été une nouvelle fois la cible de jeunes encapuchonnés qui ont caillassé une voiture d’intervention sérigraphiée, ce lundi vers 17h45, sur la place Charles-de-Gaulle, non loin de l’hôtel de police.

 Un des policiers de la patrouille a été légèrement blessé par le jet de projectiles et a été pris en charge par un conducteur de bus qui l’a secouru et mis à l’abri, jusqu’à l’arrivée des sapeurs-pompiers. Le policier a été transporté aux urgences de l’hôpital de la ville.

Depuis ces dernières semaines, les forces de l’ordre et les sapeurs-pompiers sont visés par des jets de projectiles, cité de la Devèze et dans le centre-ville.

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mardi, 22 novembre 2016

Des cocktails Molotov saisis à Bron

 

 

Pas moins de 10 cocktails Molotov ont été saisis ce lundi matin dans un immeuble du quartier de Parilly, à Bron.

C’est dans le même bâtiment que la police avait déjà saisi 10 kg d’héroïne, 1 kg de résine de cannabis et 632 grammes de cocaïne début octobre.

Une nouvelle opération des forces de l’ordre, ordonnée ce lundi matin, a, cette fois, permis la découverte de ces cocktails molotov, cachés dans un sac, selon le Progrès. Quelques sachets de drogue ont également été saisis.

Une enquête a été ouverte.

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Lyon : le malfaiteur volait les personnes âgées à l’hôpital

 

 



Il a été surpris la main dans le sac.

Un homme, âgé de 36 ans, a été interpellé ce dimanche peu après 13h, dans une chambre de l’hôpital Saint-Luc-Saint-Joseph, dans le 7e arrondissement de Lyon. Il était en train de fouiller dans les effets personnels d’une patiente âgée.

Selon les éléments à disposition des policiers, il avait été repéré il y a peu de temps. De plus, il était identifié par les services de police pour des faits similaires, mais sous un pseudonyme. Il comparaitra ce lundi en comparution immédiate devant le tribunal.

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Rivalités ethniques, racisme anti-blanc et islamisation : les prisons se transforment en poudrières

 

 
Dans les prisons françaises, où les tensions atteignent leur paroxysme, la loi du plus fort règne et la radicalisation islamique fait son chemin.







[....] les tensions qui sont en train de transformer la prison en poudrière. Les « petits Blancs » sont devenus une minorité qui se vit dans une relation conflictuelle avec les détenus musulmans, majoritaires. Ils se sentent l’objet d’un racisme inversé, habités par une véritable conscience de l’exil, la certitude d’être déracinés en Ile-de-France. Leurs propos, recueillis par le sociologue, en font foi; il y a une hostilité croissante vis-à-vis de détenus musulmans qui affirment leur identité et dont les « Gaulois » minoritaires supportent mal la culture de banlieue.
[...] Les musulmans forment entre 40% et 60% de la population carcérale (En l’absence de statistiques légales, l’administration pénitentiaire s’appuie sur les inscriptions au ramadan). [...]
Parmi les détenus musulmans, pratiquants ou non, c’est la minorité salafiste qui est la plus active, fanatique ou simplement piétiste. Ceux qui ont rompu avec l’ »islam olé olé », comme le précise un détenu qui est revenu à la rigueur archaïque de sa religion. Discussions sur ce qui est halal, apprentissage de l’arabe, prières collectives, imitation de la vie du Prophète; même un nombre croissant de « Gaulois » égarés en quête de sens se convertissent. [...]

Cette prison travaillée par une intense ethnicité est en train de devenir une poudrière. Surveillants antillais méprisant les Noirs africains, Noirs et Maghrébins des cités contre « autochtones », mépris interethnique des gardiens; seul l’islam fonctionne, pour beaucoup, comme une solide référence commune, au-delà de la religion. [...]

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Une librairie libertaire des Pentes de la Croix-Rousse attaquée par l’extrême droite radicale

Samedi, trois heures à peine après la fin de la manifestation interdite des catholiques intégristes, la librairie libertaire « La Plume Noire » a été prise pour cible par des militants d’extrême droite radicale.


 Peu avant 18h, la librairie, située à proximité de la place Colbert, a été attaquée.

Selon plusieurs témoins, une vingtaine de personnes avec « pavés et barres de fer » ont foncé sur le local. La douzaine de personnes qui s’y trouvaient ont eu le temps de baisser le rideau. Aux cris de « La France aux français », les assaillants ont tenté d’enfoncer le rideau de fer. Des vitres ont été brisées. Quatre personnes ont été légèrement blessées, touchées par des éclats de verre.
L’agression a duré une dizaine de minutes.


« Ces militants fascistes n’ont pas été inquiétés »

 

Ce n’est pas la première fois que la librairie est visée. En 1997, à l’époque où elle se situait rue Pierre-Blanc, un incendie criminelle l’avait réduite en cendres.

Aujourd’hui logée au 8 rue Diderot, la librairie sert de local à la Confédération des groupes anarchistes (CGA), principale organisation anarchiste lyonnaise, et particulièrement implantée sur les Pentes de la Croix-Rousse.

Dans un communiqué publié dimanche, la CGA dénonce la « complaisance » de la police alors que le rassemblement des catholiques traditionalistes avait été interdit par le préfet.
La CGA fait le rapprochement entre le service d’ordre de la manif composé de membres du Parti nationaliste français, de l’Action française et du GUD, et l’attaque subie en fin d’après-midi.
« Ces militants fascistes, ouvertement préparés à mener des actions violentes, n’ont pas été inquiétés ou contrôlés par les nombreux policiers présents, qui ont d’ailleurs assuré la protection du rassemblement en tenant à distance militant-e-s antifascistes et autres habitant-e-s du quartier ».
La tonalité est la même dans un communiqué « d’habitants de X-rousse », proches des militants antifascistes, où l’on parle d’« autodéfense » à venir. « Les habitant-es assureront leur propre sécurité », annonce ce texte.

Plainte de la maire du 1er arrondissement

 

Au-delà des réseaux libertaires, d’autres organisations de gauche réagissent, des Jeunesses communistes au Parti de gauche qui « attend la réponse la plus ferme de la Préfecture à l’encontre de ces mouvements d’extrême-droite et la condamnation des auteurs de ces actes de violence ».

Quant à la maire du 1er arrondissement, Nathalie Perrin-Gilbert, elle a annoncé sur Facebook, qu’une plainte a été déposée dimanche visant les organisateurs de la manifestation interdites :
« Nous rappelons que cette manifestation avait été interdite par la Préfecture. Les organisateurs devront répondre des conséquences que son maintien a occasionné ».

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Meaux: un homme bâillonne des vendeuses et vole un stock de portables

Le voleur était armé d’un cutter et vêtu d’une fausse chasuble SFR. Samedi vers 20 heures, l’homme est entré dans une boutique de l’opérateur située à Meaux, alors que les vendeuses s’apprêtaient à fermer. 


Il les a obligées à le conduire dans la réserve du magasin où il les a bâillonnées avec du ruban adhésif et leur a mis le cutter sous la gorge, a raconté cette source.

Une fuite à pied

 

Devant les deux jeunes femmes terrorisées, il a ensuite « rempli son sac » avec le stock disponible de téléphones portables. Le préjudice, en cours d’évaluation, est d’ores et déjà estimé à « plusieurs dizaines de milliers d’euros », a précisé la source policière. Il a également tenté de forcer le coffre du magasin avant d’y renoncer et de prendre la fuite à pied.
  
Les employées, séquestrées pendant une demi-heure, ont pu se libérer et prévenir la police. Saisie de l’enquête, la police judiciaire de Meaux devrait notamment s’attacher à exploiter la vidéosurveillance de la galerie commerciale. 


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Strasbourg: 4 hommes arrêtés lors d'une « opération antiterroriste »

Quatre hommes ont été arrêtés par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), dans la nuit de samedi à dimanche à Strasbourg, dans le cadre d’une enquête antiterroriste, ont annoncé des sources concordantes consultées par l’Agence France-Presse (AFP).

« Des éléments sérieux rendaient nécessaires ces interpellations », a précisé une source proche de l’enquête.
Les quatre personnes interpellées étaient toujours en garde à vue dimanche soir, a confirmé une source judiciaire. Ces arrestations ont été conduites par les hommes de la DGSI dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte il y a quelques jours au parquet antiterroriste, a précisé la source judiciaire.

Le marché de noël menacé?

 

Elles surviennent moins d’une semaine avant l’ouverture, prévue vendredi, du célèbre marché de Noël, qui attire chaque année une foule d’environ deux millions de personnes dans les rues de la capitale alsacienne.

Le préfet d’Alsace, Stéphane Fratacci, a d’ailleurs précisé récemment qu' »en cas d’informations précises et circonstanciées » sur des menaces terroristes, le marché de Noël pourrait être « suspendu ou annulé ».

En 2000, le marché de Noël de Strasbourg avait d’ailleurs fait l’objet d’un projet d’attentat à la bombe, qui aurait visé notamment la cathédrale. En mai 2014, une filière jihadiste avait été démantelée, avec l’interpellation de sept Alsaciens, qui s’étaient rendus en Syrie entre décembre 2013 et avril 2014. Ils ont été condamnés en juillet à Paris à des peines de six à neuf ans de prison ferme.

La peine la plus lourde a été prononcée contre Karim Mohamed-Aggad dont le frère Foued, qui était du voyage en Syrie, a été identifié comme l’un des kamikazes du Bataclan lors des attentats du 13 novembre 2015.

Une menace jihadiste sans précédent

 

La France est confrontée depuis près de deux ans à une menace terroriste jihadiste sans précédent, qui s’est notamment concrétisée par des attentats en novembre 2015 à Paris et Saint-Denis (130 morts au Bataclan, dans des terrasses de café et devant le Stade de France) et en juillet 2016 à Nice (86 morts). Pour la seule année 2016, près de vingt attentats et projets ont été déjoués en France, selon une source proche du dossier.

Début septembre, la police a notamment arrêté un commando de femmes jihadistes à l’origine d’un attentat avorté à la voiture piégée, retrouvée le 4 septembre non loin de Notre-Dame-de-Paris bourrée de bonbonnes de gaz, et qui préparaient d’après les enquêteurs une autre attaque « imminente » contre une gare parisienne ou de l’Essonne.
« Le terrorisme est là. Et la menace est lourde, je n’ose même pas dire, elle est encore davantage plus lourde aujourd’hui », a affirmé vendredi le Premier ministre Manuel Valls, à l’occasion d’une question sur l’état d’urgence, en vigueur depuis les attentats de novembre 2015.
« Il y a une campagne présidentielle, avec des réunions publiques », et « les batailles décisives » engagées contre l’organisation Etat islamique dans ses fiefs de Mossoul en Irak et de Raqqa en Syrie, auxquelles la France participe au sein de la coalition, a-t-il expliqué pour justifier une prolongations de l’état d’urgence. Enfin, « la menace est là, elle vient de là-bas, de Syrie, d’Irak, mais elle est évidemment dirigée vers nous », a souligné Manuel Valls, rappelant notamment le nombre d’attentats déjoués et d’interpellations dans les réseaux jihadistes.

François Hollande a affirmé le 15 novembre vouloir prolonger l’état d’urgence jusqu’à l’élection présidentielle d’avril-mai 2017.

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Nord: un homme de 30 ans tué d'un coup de fusil

Un homme a été tué d’un coup de fusil samedi soir à Solre-le-Château (Nord). Selon les premiers éléments fournis par la gendarmerie, la victime, âgée de 30 ans, aurait été abattue par l’une de ses connaissances, qui a pu être interpellée ce dimanche après-midi.


Aux environs de 22H00 samedi, la victime, qui se trouvait dans la cour de son habitation, aurait reçu un coup de fusil au niveau du thorax. L’auteur du coup de feu a ensuite pris la fuite à bord d’un véhicule, selon une information de La Voix du Nord.

C’est l’enquête de voisinage qui a permis d’orienter les soupçons vers une connaissance de la victime, avec laquelle cette dernière aurait eu un différend. Le suspect, âgé de 23 ans, a été interpellé dimanche par les gendarmes. 

Une enquête pour crime flagrant, menée par la brigade de recherches de la commune voisine d’Avesnes-sur-Helpe, a été ouverte. 

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Loire: un détenu se suicide dans sa cellule

 

Un détenu de la maison d’arrêt de La Talaudière (Loire) s’est suicidé dans la nuit de samedi à dimanche. Il a été découvert pendu dans sa cellule au cours d’une ronde. Il n’a pas pu être ramené à la vie.
  
L’homme, âgé d’une trentaine d’années, était en détention provisoire pour le meurtre présumé de son ex-compagne. Il était suspecté d’avoir porté 66 coups de couteau à cette dernière, peu après leur séparation, en mars 2016, à leur domicile près de Saint-Etienne.
  
Juste après le crime, l’homme avait été découvert inconscient dans sa voiture, où il avait tenté de se donner la mort en absorbant des médicaments. Le couple avait un enfant âgé de 18 mois au moment du drame.


Son autopsie devrait avoir lieu lundi.

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"Ali Juppé" : les juppéistes dénoncent une "campagne nauséabonde de diffamation" sur les réseaux sociaux

Au lendemain de résultats décevants pour le maire de Bordeaux au premier tour de la primaire de droite, ses soutiens mettent les choses au clair.

 Comment expliquer l'effondrement du maire de Bordeaux dans la dernière ligne droite de la primaire des Républicains? Les juppéistes ont une première explication. Invités à commenter ce lundi dans les matinales le score décevant d'Alain Juppé, arrivé loin derrière François Fillon, Jean-Pierre Raffarin et Valérie Pécresse ont tous deux dénoncé la déferlante ordurière orchestrée sur les réseaux sociaux par l'extrême droite et certains soutiens sarkozystes pour miner la campagne de celui qui fut longtemps le chouchou des sondages.

 
Sur France Inter, la présidente LR de la région Ile-de-France, qui avait abandonné François Fillon pour se rallier à Alain Juppé, s'en est pris "à la campagne nauséabonde de diffamation sur ses relations avec l'islamisme". "On lui a reproché des compromissions avec l'islamisme et ça, ça a été un fil rouge de la campagne sur les réseaux sociaux, un fil rouge délétère qui a miné une partie de sa campagne", assure l'ancienne ministre de l'Enseignement supérieur.

 Au même moment sur BFMTV, l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin se désolait qu'Alain Juppé ait été "victime de fausses accusations parfois graves" tandis que François Fillon avait lui été "protégé".


 
Le spectre "d'Ali Juppé"


En ligne de mire des juppéistes, l'avalanche de fausses informations et de moqueries qui n'ont cessé de tourner sur Facebook et Twitter autour du sobriquet "Ali Juppé". Comme vous l'expliquait très tôt dans la campagne Le HuffPost, des rumeurs nées il y a plusieurs années dans le milieu de l'extrême droite bordelaise présentant Alain Juppé comme un allié des Frères musulmans ont depuis fait tache d'huile sur les réseaux sociaux, envahissant des pans entiers de la fachosphère avant d'être reprises par des soutiens de Nicolas Sarkozy.

La semaine dernière, Patrick Karam, orateur national de l'ancien président, se fendait d'une tribune dans Atlantico accusant Alain Juppé de s'être compromis avec les Frères musulmans... au prix d'une mauvaise foi spectaculaire reprenant des phrases hors de leur contexte et manipulant la chronologie des faits. L'équipe d'Alain Juppé avait dû répliquer à la dernière minute dans Le HuffPost pour rétablir la vérité. Mais le travail de sape était déjà bien entamé sur les réseaux sociaux où les #NS2017, ces soutiens numériques hardcores de l'ancien président, participaient à la curée. D'autant qu'il a trouvé d'autres relais dans cette primaire, notamment du côté du candidat Jean-Frédéric Poisson.

Ces égouts du web, qui ne sont pas sans rappeler les campagnes de désinformation des pro-Trump aux Etats-Unis, expliquent-ils à eux seuls la déferlante Fillon? Probablement pas étant donné l'impressionnante avance du député de Paris qui, dans la dernière ligne droite, au moment où il remontait dans les sondages, a vu lui aussi des comptes l'attaquer sur des pseudo-compromissions avec l'islam.

Mais pour Alain Juppé, c'est une question de principe. "C'est quelque chose qui a beaucoup blessé Alain Juppé, pense Valérie Pécresse. Et je pense qu'il aura à coeur de rétablir son honneur"

 Geoffroy Clavel  

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Vincent Peillon, grand vainqueur de l'Islamogogo

 

 

Vincent Peillon avait déclaré à l'université de Neuchâtel, 14 décembre 2014 :

« Le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam ! »
Aujourd'hui, lors de la journée de l'Agrif, il a remporté le prix de l'islamogogo ! Et pourtant la compétition était rude.

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Sainte Caroline-Fourest-de-la-Laïcité

 

 

Dans le n° 1024 de l’hebdomadaire Marianne, les catholiques en ont encore pris pour leur grade, sous la plume fielleuse de Caroline Fourest, pourfendeuse des familles hétérosexuelles – familles qui, souvenons-nous, font « des enfants tordus, très délinquants », selon ce porte-drapeau de la cause LGBT !

Son article, intitulé « “Ali Juppé” et saint Sarkozy », s’attaque ainsi à « l’extrême droite », aux « islamistes », à Sarkozy, à Trump et surtout aux « catholiques », dans un agglomérat informe de récriminations tous azimuts. 

Cette pasionaria de la gauche transgenre raille donc ceux qui en appellent à ne pas voter pour Juppé à la primaire de la droite, apparentés quelques lignes plus loin à des trolls, et précisant tout de même : « Entendons-nous bien. Il y a beaucoup à dire sur les naïvetés d’Alain Juppé en matière de lutte contre l’intégrisme, catholique ou musulman. »
 
À rebours de François Fillon, qui affirmait récemment que les catholiques, entre autres, ne menaçaient pas « l’unité nationale », le parallèle fait par Fourest, en plus d’être malhonnête, ne révélerait-il pas plutôt une rancœur tenace à l’encontre de ces cathos descendus dans la rue pour manifester leur opposition au mariage pour tous ?
Certes, la journaliste de petite vertu morale pointe à juste titre les connivences de Juppé avec l’imam de Bordeaux Tareq Oubrou, mais le poisson qu’elle veut hameçonner, c’est, à travers « saint Sarkozy […] qui a tant fait pour l’UOIF et qui menace sans doute le plus la laïcité », l’Église catholique, son leitmotiv obsessionnel. Fourest ne supporte définitivement pas l’idée d’un réveil de l’identité chrétienne. 

Toujours à propos de Sarkozy, elle déclare avec véhémence : « Ne parlons pas de son fameux discours de chanoine au Latran, qui épouse totalement la vision revancharde de l’Église envers la séparation… Et place le curé au-dessus de l’instituteur. Une façon de tourner le dos à cent ans de combat pour l’école laïque. »
Parce que l’enseignement hégémonique d’une certaine laïcité, écrasant toute dissidence, serait en danger ? Et quelle revanche vise l’Église, sinon celle de proposer une spiritualité nettement plus compatible avec la République qu’une suite de sourates meurtrières ? Car si le christianisme, à force d’attaques de toute part, disparaît, les hommes iront chercher la foi ailleurs, même la pire. Telle la nature, ces derniers ont horreur du vide, notamment spirituel, et cela remonte à des temps immémoriaux.

L’anticléricalisme expectorant de Caroline Fourest mélange volontairement les genres – sans mauvais jeu de mots ! – en plaçant insidieusement le péril islamique au même niveau que le catholicisme, avec une conclusion de sale gamine colérique : « En réalité, saint Sarkozy est à la laïcité ce que Donald Trump est à la grandeur de l’Amérique. Une farce qui tourne mal. Une imposture. »

Étant entendu que la voix des peuples est une imposture !

En attendant, les trolls vous saluent bien !

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Les pipoles contre le peuple !

 

 


Alors que François Hollande suscite un rejet quasi unanime des Français, de droite comme de gauche, une soixantaine de pipoles bien-pensants viennent de publier une tribune pour essayer de sauver le Président élu le plus impopulaire de l’histoire des marécages boueux dans lesquels ils ne cessent de s’enfoncer. Les noms des signataires fleurent bon la gauchosphère ringarde et déconnectée des enjeux de l’époque : Catherine Deneuve, Yohann Diniz (qui s’était vanté d’arracher les affiches officielles du Front national, ce qui est un délit), Bruno Masure, Sylvie Testud, Denis Podalydès, Irène Jacob, Zoxea, Fethi Benslama, Benjamin Biolay, Laure Adler, Mazarine Pingeot, Dominique Besnehard ou encore Gérard Darmon. 

Ces grandes consciences s’imaginent que les Français les écouteront. Elles ont tout faux. De la même manière que Beyoncé a plombé la campagne de la candidate Clinton, l’avis des artistocrates socialistes français n’intéresse plus personne. Momies sorties du sarcophage de discrétion dans lequel François Hollande les avaient jusqu’alors confinées, ces pipoles semblent en guerre contre le peuple. Les ploucs et les beaufs seraient des crétins, des cons qui n’ont pas compris à quel point François Hollande avait fait du bien à la France lors de son quinquennat. Victime d’une immonde propagande ourdie par sa gauche et par sa droite, le Président ne serait pas compris des Français !

« Dès le départ, François Hollande a fait face à un incroyable procès en illégitimité. 

Ce dénigrement permanent met à mal toutes les institutions de la République et la fonction présidentielle. Il perdure encore aujourd’hui malgré la stature d’homme d’État que François Hollande a parfaitement incarnée, tant dans les crises internationales que lors des épouvantables tragédies que notre pays a traversées », peut-on lire dans cette tribune. Quoi ? Comment ? Notre grand ami François illégitime ? Ce n’est pas possible, il a toujours été si bon avec nous. 
 Contrairement à ces vedettes richissimes et moralisatrices, les Français du bas n’ont pas la chance de dîner à l’Élysée pour écouter les confessions du Machiavel de la rue de Solférino. Ils le jugent donc sur des faits, sur la politique qu’il a menée : l’insécurité chronique, les manifestations quotidiennes, le chômage en hausse, la crise qui perdure, la fiscalité, le terrorisme islamiste, la chute des résultats scolaires, la place de la France dans le monde, la famille attaquée… Bref, toutes ces petites choses dont François Hollande s’est moqué pendant cinq ans et qui nous concernent au premier chef.

Cette lettre collective a-t-elle été commandée au sommet ? C’est une possibilité. Les socialistes ont toujours été soutenus par un réseau de célébrités médiatiques qui, de la sorte, se rachetaient une virginité politique à peu de frais. Tout le monde y gagnait : la vedette devenait un « artiste engagé » et les socialistes se faisaient passer pour les uniques protecteurs des arts et des lettres… Un procédé qui montre de sérieux signes d’usure.

La décence aurait dû leur faire entendre que les Français ne bénéficient pas des mêmes conditions d’existence qu’eux. Sourds aux cris d’un peuple qui refuse de mourir, les élites socialistes croient pouvoir nous faire penser que le pain noir de Hollande était de la brioche. Il n’y a pas de secret ou de vérité cachée. Un Président si mal aimé ne peut avoir été que calamiteux.

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Déchristianisation en marche !

 

 


Mes grands-parents me racontaient comment ils se faisaient punir, à l’école communale, lorsqu’ils parlaient patois. Les hussards noirs de la République avaient mission d’apprendre le français aux gamins qui leur étaient confiés. Les futurs citoyens devaient parler français, connaître leur histoire, chanter la « Marseillaise »… À défaut, ils étaient punis selon les canons de l’époque.

Autres temps, autres mœurs : une consœur me rapportait que, dans une petite commune limousine, un enfant de huit ans avait été sanctionné pour n’avoir pas su réprimer un juron odieux : « Oh, mon dieu ! » Les parents de ce sacripant se sont émus. Les autres parents aussi. Et le curé. Et même monsieur le maire ! Pour toute réponse, les instituteurs zélés se sont réfugiés derrière de sacro-saintes – et occultes – directives…

La punition de ce petit diable a donc, aux dernières nouvelles, été maintenue : une croix sur son cahier de liaison ! À l’heure du présent article, nous ne savons pas s’il s’agit d’une croix christique ou d’une croix de saint André.

Changement de lieu. 

Un petit tribunal d’une petite préfecture de campagne, mercredi dernier. 

Prestation de serment de deux assesseurs du tribunal pour enfants du coin. Elles doivent jurer, entre autre, « de garder religieusement le secret des délibérations »« Religieusement » !
 Le président croit, alors, devoir excuser ce texte bien vieillot et inadapté à la laïcité. Il annonce que ce texte sera bientôt « modernisé » (traduisez : déchristianisé). Ce serment tellement réac et si peu laïc était prévu par l’ordonnance du 2 février 1945. Les magistrats consulaires ont cette même religion du secret inscrite dans leur Code, pourtant toiletté il y a tout juste 10 ans. 

L’ordonnance de 1958 avait prévu le même texte pour les magistrats de l’ordre judiciaire. Une loi du 8 août 2016 est venue supprimer ce mot infâme (« religieusement »). Depuis le 9 août, les juges ne jurent plus que « de garder le secret des délibérations ».
La République est sauvée ! Dieu soit loué.

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Lille : grimés en Noirs, des étudiants de l’EDHEC ont-ils dérapé ?

 

 

Au cours d’une soirée organisée la semaine dernière à Lille par une association étudiante, des étudiants sont apparus maquillés comme des personnes noires. Un type de déguisement, le « blackface » qui véhicule une imagerie raciste selon plusieurs associations. L’école de commerce basée à Roubaix a présenté des excuses.

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lundi, 21 novembre 2016

Avec sa nouvelle mosquée, la Duchère veut balayer sa mauvaise réputation

 

 

Ce vendredi matin, jour de prière, la Duchère inaugure sa nouvelle mosquée.

Une cérémonie à laquelle participent Gérard Collomb et le préfet du Rhône Michel Delpuech.

Car en plus d'offrir un lieu décent aux fidèles, longtemps habitués aux préfabriqués voire à la rue pour prier, les responsables ont voulu balayer la mauvaise réputation qu'a acquis le quartier ces dernières décennies en matière d'Islam radical. La faute à des fidèles prosélytes ou des imams comme Adbelkader Bouziane, connu pour ses propos relayés par Lyon Mag sur les châtiments corporels à infliger aux femmes.

Située dans "la petite Jérusalem" de la Duchère, la nouvelle mosquée a comme voisines une synagogue et une église.

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Sortie dominicale en famille en terre d'islam ?

 

 

Un mineur en lien avec Rachid Kassim, mis en examen et écroué

 

 
Un adolescent de 17 ans, en lien sur les réseaux sociaux avec Rachid Kassim, le jihadiste français connu pour avoir téléguidé de nombreux émules depuis la zone irako-syrienne, a été mis en examen par des juges antiterroristes et placé en détention provisoire, a indiqué ce samedi une source judiciaire.

D’origine belge

 

L’adolescent né en Belgique a été arrêté cette semaine à Rennes, où sa famille s’est installée récemment. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, a précisé la source.
Son interpellation a eu lieu dans le cadre de l’enquête sur une autre mineure, une adolescente de 16 ans arrêtée en août à Melun alors qu’elle se disait prête à commettre une action violente au nom du jihad, dans les messages qu’elle envoyait sur le compte qu’elle administrait sur la messagerie cryptée Telegram. 

Il se faisait appeler Abou Omar

 

La jeune fille, alors décrite comme « très radicalisée » par une source proche de l’enquête, avait été mise en examen et placée en détention provisoire. Les enquêteurs ont fait le lien entre l’adolescente et le jihadiste Rachid Kassim. Un autre homme avait ensuite été arrêté, soupçonné de faire fonctionner le compte Telegram avec la jeune fille.
L’adolescent arrêté cette semaine, qui se faisait appeler Abou Omar dans ses échanges, était en lien avec cet homme, a précisé une source proche de l’enquête. Il se montrait lui aussi actif, notamment sur le compte administré par Rachid Kassim. Les enquêteurs s’interrogent aussi sur la volonté de l’adolescent de passer à l’acte, a indiqué une source proche de l’enquête.

Une quinzaine d’arrestations liées à Rachid Kassim

 

Depuis cet été, au moins une quinzaine de personnes, souvent jeunes voire mineures, ont été interpellées et mises en examen pour des menaces d’attentats inspirées par les appels au meurtre lancés sur Telegram par le jihadiste français Rachid Kassim depuis la zone irako-syrienne.
Cette messagerie, où les comptes peuvent être cryptés et difficiles d’accès pour les services de renseignement, est prisée par les jihadistes. Ils y voient un moyen de s’adresser à leurs partisans, mais aussi à des jeunes fragiles et manipulables.
Kassim, 29 ans, est notamment soupçonné d’avoir téléguidé les deux jeunes hommes de 19 ans, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont tué un prêtre dans son église fin juillet à Saint-Étienne du Rouvray, avant d’être abattus par les forces de l’ordre. Il est visé par un mandat d’arrêt international dans ce dossier.

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Conférence du FPÖ sur le thème "Immigration de masse vers l’Europe

 

 
Autriche. Une conférence sur le thème « Immigration de masse vers l’Europe. Politique entre responsabilité et absence de responsabilité. » a eu lieu le 18 novembre 2016 à  Vienne à l’invitation de l’Institut de formation du FPÖ, le FBI (FPÖ-Bildungsinstitut), et du Club libéral en présence du président du FPÖ Heinz-Christian Strache, du candidat du FPÖ à l’élection présidentielle Norbert Hofer et de l’ancien président tchèque Václav Klaus. Norbert Hofer, que Václav Klaus espère voir être élu président d’Autriche, a qualifié son concurrent Alexander Van der Bellen d’ancien marxiste et communiste. HC  Strache a délcaré que l’élection de Donald Trump aux États-Unis a montré que ce qui est impossible peut devenir possible.
 
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Non, Madame Le Pen, l’islam n’est pas compatible avec notre civilisation !

 

 


Marine Le Pen devrait lire et relire le chapitre que Philippe de Villiers a consacré à « L’Islam et Leur Patrie », dans son dernier ouvrage Les cloches sonneront-elles encore demain ? Il y décrit, avec son talent d’écrivain-historien, l’impossibilité, pour un musulman pratiquant, de devenir ou d’être citoyen français. Oui, Marine Le Pen, l’islam n’est pas compatible avec les valeurs françaises. Si vous voulez diriger la France, il faut clarifier votre discours. L’islam radical n’est pas seul responsable du terrorisme. C’est l’islam qui menace notre civilisation. Non plus avec ses guerriers mais avec ses croyants, dont la raison de vivre est notre islamisation. Car c’est la volonté finale d’Allah telle que leur a transmis leur prophète Mahomet.

Philippe de Villiers, pour nous en convaincre, cite entre autres le livre d’Hassan al-Banna, 20 principes pour comprendre l’Islam, dans lequel le fondateur des Frères musulmans, chers à Alain Juppé, n’hésite pas à dire que l’islam n’est pas une religion : « C’est une organisation complète qui englobe tous les aspects de la vie, c’est tout à la fois un État et une nation ou encore un gouvernement et une communauté ; c’est également une morale et une force ou encore le pardon de la justice. C’est également une culture et une juridiction ou encore une science et une magistrature. C’est également une lutte dans la voie de Dieu et un appel, ou encore une armée et une pensée. »
 
Il faut, en effet, bien comprendre que le Coran, qui signifie en arabe « la récitation », étant un livre incréé, il est illusoire de penser qu’il sera un jour « modernisé ». Comme l’écrit Villiers, « les normes sont définitives, parfaites, immuables, intangibles et universelles… Provenant de Dieu et de Mahomet, elles ne peuvent subir ni critique ni modification. » Alors, oui, chère Marine Le Pen, le Coran, l’islam sont tout à fait incompatibles avec la République française. Le penser et, pire encore, l’affirmer, c’est entraîner la France à sa perte. Sa perte d’identité. Pour la souverainiste que vous êtes, votre affirmation d’un islam français est donc tout à fait incongrue.

Seuls les musulmans qui ne reconnaissent pas le Coran comme leur bible peuvent donc être de bons et valeureux Français, et ceux, bien sûr, qui, de plus en plus nombreux, ont décidé de suivre le Christ. Philippe de Villiers cite, à ce propos, la très belle lettre que le père Charles de Foucauld a adressée à son ami René Bazin quelques semaines avant d’être assassiné dans son ermitage de Tamanrasset, il y aura cent ans le 1er décembre.

« Si nous n’avons pas su faire de ces peuples des Français, alors ils nous chasseront. Le seul moyen qu’ils deviennent français est qu’ils deviennent chrétiens… Exceptionnellement, des musulmans peuvent être vraiment français, mais d’une manière générale, non ! Le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui ou ses descendants… S’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti. »

Et la conclusion du saint de l’Assekrem est terriblement prémonitoire :
Tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi en lequel ils soumettront la France. »
Terrible avertissement que le père de Foucault nous adresse, cent ans après !

 Floris de Bonneville

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Mohamed Merah deuxième voit le jour à Nice

 

 


La famille Merah a le plaisir de vous annoncer la naissance du petit Mohamed. Mohamed Merah… C’est mignon, non ? À Nice, le frétillant jeune marié Estrosi n’a pas goûté ce cadeau déposé dans la corbeille. Donner pour prénom Mohamed à son bébé quand on s’appelle Merah, c’est une provocation ! s’est-il écrié entre deux dragées. Une apologie du terrorisme ! Et de saisir la justice pour que les parents soient contraints de choisir un autre prénom. Mais lequel ? Oussama ? 

Ce qui prime, c’est l’intérêt de l’enfant, a précisé le procureur de la République. Objection, votre honneur ! Si cet enfant souhaite s’orienter vers les milieux radicaux, une carte de visite indiquant en lettres dorées « Mohamed Merah » est un atout indéniable. Un sésame vers les cimes du djihadisme. 

Cadre sup direct. 
 De toute évidence, le magistrat s’imagine qu’un enfant dont les parents ont fait en sorte qu’il soit l’homonyme d’un terroriste sanguinaire sera handicapé par son état civil. Sa naïveté est magnifique. Quel boute-en-train ! Il faut espérer que Christian Estrosi l’a invité à son mariage pour mettre l’ambiance.

Mais allons plus loin sur le chemin de la logique du sémillant ex-maire de Nice. Si, comme certains l’affirment, Mahomet était un criminel abominable, quel que soit le nom de famille, est-il bien raisonnable de donner à tour de bras un prénom qui fait référence à ce personnage ? Ah ah… Nous v’la dans de beaux draps ! Un raisonnement à foutre par terre une lune de miel… À vous gâcher le coucher de soleil et la nuit de noces… 

À défaut d’appréhender le réel dans toute sa vérité, les promoteurs du vivre ensemble jouent les indignés et gomment, ici et là, quelques effets secondaires… Leur croyance en une identité théorique tient du tour de prestidigitation. Selon cette vision du monde, le poussin né dans une étable devient cheval et un lion nommé Bambi se nourrit de feuillages… Ah, on en redemande. On veut du Christian Merah et du Mohamed Estrosi. Enfin le paradis sur Nice !

Jany Leroy

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45 % des étudiants n’iront pas voter en 2017 : ce qu’il faut leur dire…

 

 

45 % des étudiants affirment qu’ils n’iront pas voter à la présidentielle de 2017, selon un sondage IFOP pour L’Étudiant publié ce mardi, nous rapporte Boulevard Voltaire.

On ne saurait trop en recommander la lecture à Mme Marine Le Pen.

À la fois pour qu’elle prenne connaissance de l’analyse qui suit, notamment sur la nature de leurs intentions de vote, mais aussi pour qu’elle s’interroge sur les 45 % qui déclarent qu’ils n’iront pas voter. 

45 %, c’est beaucoup. 

Le souhait d’aller voter tient-il au niveau d’étude, comme nous l’affirme le même sondage ? Ou y a-t-il d’autres raisons ? Ne serait-ce pas aussi parce qu’ils ne se reconnaissent dans aucune offre politique ? 

Quant aux 55 % restants, si l’on peut dire, quand on leur demande qui, parmi les personnalités en lice pour la présidentielle, prend le mieux en compte leurs préoccupations d’étudiants, ils répondent que c’est vers Alain Juppé que va leur préférence (tiens, tiens, comme c’est étonnant). Suivi de M. Mélenchon. M. Sarkozy fermant la marche. 

N’y a-t-il pas matière à s’interroger sur cette jeune population qui s’apprête à donner ses votes pour un de ces trois islamophiles, multiculturalistes patentés ? Ou qui, en s’abstenant de choisir ou ne sachant pas qui choisir, n’ira pas voter ?

Que leur dire ?

Quel message leur passer ?

Compte tenu de la gravité de la situation, la moindre des choses ne serait-elle pas de leur poser la seule question qui vaille ? Simple. Binaire, même. Indépendante de leurs niveaux d’étude respectifs, de leur origine ou de leur intention d’aller ou non voter.
Question qui pourrait être, par exemple :
« Voulez-vous conserver votre culture française ou vivre sous la houlette du Coran ? »
Cette brûlante question, qu’aucun représentant politique n’a encore jamais osé leur poser, est aussi la seule qu’ils seraient en droit de nous reprocher de ne pas leur avoir posée si la poussée musulmane finissait par renverser définitivement la France !

Elle est donc très importante, cette question. Les jeunes Français ont le droit de savoir que nous sommes sur le point de perdre notre identité. Qu’il n’y aura pas de retour en arrière. Ils ont le droit de savoir que, par leur vote, ils peuvent encore orienter l’avenir. Leur avenir. Et cette question, sous une forme ou sous une autre, seul le Front national peut et doit avoir le courage de la lancer et de la porter jusqu’aux oreilles des jeunes générations. Pour qu’elle atteigne le cœur de chaque foyer et suscite échanges et discussions. Au diable le politiquement correct ! Il n’y a pas de plafond de verre ; il n’y a que des murs à pousser. L’heure de la vérité a sonné.
C’est en posant les bonnes questions au peuple américain que Donald Trump a remporté son bras de fer. 

Cette question, simple, démocratique et éminemment légitime, pourrait provoquer dans les mois qui viennent des discussions familiales salutaires. Et, par ricochet, obliger les parents s’apprêtant à voter LR ou PS à expliquer à leurs enfants pourquoi — contrairement à eux — ils devront renoncer à leur identité et n’auront d’autre choix que celui de la dhimmitude.

Arnaud Lefevre 

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Bretenoux (46) : il avait menacé de mort et blessé un gendarme avec sa voiture mais nie avoir crié Allah

 

 

À la barre du tribunal correctionnel de Cahors, un habitant de Bretenoux âgé de 32 ans a été présenté pour avoir insulté et menacé de mort trois gendarmes de la brigade locale, et même blessé en reculant avec sa voiture un des militaires.


 Les faits se sont déroulés jeudi 17 novembre devant les locaux de la gendarmerie. Le Lotois, qui totalise 15 mentions à son casier judiciaire, a été notamment condamné pour agression sexuelle en 2004. […]
« Je n’ai pas voulu écraser un gendarme, je n’ai pas crié Allah comme ils le disent. Je ne sais pas pourquoi on veut m’enfoncer », a-t-il assuré. […]
10 mois de prison dont 5 mois avec sursis, sans mandat de dépôt […]

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dimanche, 20 novembre 2016

Au procès des Nordistes tentés par le djihad, le principal prévenu reste muré dans le silence

 

 Le regard fixe, quelques sourires en coin et, tout au long de la journée, la même volonté farouche de garder le silence. Lyes Darani, 26 ans, crâne rasé et silhouette bodybuildée comparaissait vendredi devant le tribunal correctionnel de Paris aux côtés de cinq autres personnes, toutes originaires de la région lilloise. Soupçonné d'appartenir à la mouvance « salafiste », de s'être rendu en Syrie, d'être revenu en France et de s'être procuré des armes, le jeune franco-algérien qui encourt jusqu'à dix ans de prison, a refusé catégoriquement de s'exprimer face aux magistrats.

« C'est quelqu'un de dangereux »

À l'occasion de cette première journée d'audience, le président de la 16e chambre du tribunal correctionnel, Laurent Raviot, s'est efforcé de retracer le parcours du Lillois. L'affaire débute en octobre 2013 suite au signalement d'une jeune femme auprès de la police locale qui accuse Darani, qu'elle dépeint comme « quelqu'un de dangereux » de cacher plusieurs armes à son domicile de Maubeuge. Fiché S et suspecté d'appartenir à la « mouvance islamiste radicale », le principal prévenu se serait rendu en Syrie entre juillet et août 2013. Lors de ses multiples auditions, Lyes Darani a systématiquement nié avoir voulu rejoindre un groupe djihadiste mais a reconnu avoir séjourné un mois à Antioche en Turquie dans un cadre « humanitaire ».

Les investigations des services de renseignements et le signalement de celle qui se présente comme son ex-compagne, finissent par convaincre la police d'interpeller le jeune homme, alors employé « bénévolement » au sein d'une entreprise de pompes funèbres. Lors des perquisitions menées au domicile de ses parents, les forces de l'ordre saisissent une clé USB contenant de nombreux documents de propagande djihadiste, un livre rédigé par Ayman Al-Zawahiri, leader d'Al-Qaïda, une cagoule, plusieurs treillis et un écusson de la shahâda, la profession de foi musulmane.

Une « vengeance personnelle » ?

Des éléments insuffisants pour les avocats du prévenu, seul à comparaître dans le box des accusés. « Les services de renseignements ciblent systématiquement ce type d’éléments. Et mis bout à bout, cela fait froid dans le dos. Mais la shahâda existait bien avant sa récupération par  l’Etat Islamique. Pourquoi ne pas cibler des éléments qui correspondent à des charges ? », a interrogé Xavier Nogueras, l’un des deux conseils de Darani. D’autant que les armes évoquées par la jeune femme à l’origine du signalement ne seront jamais retrouvées. Quant aux autres éléments découverts par la police, le prévenu a expliqué avoir récupéré la clé USB pour se « documenter sur les différents courants de l’islam » et pour « se faire une opinion ».

Enfin, les liens unissant Lyes Darani à celle qui est à l’origine de son signalement, restent troubles. Lui nie avoir tissé quelconque relation avec cette jeune femme rencontrée par hasard sur un marché et dénonce une "vengeance personnelle", elle, aurait expliqué aux enquêteurs être restée en couple plusieurs mois avec le Lillois, l’un de ses anciens clients réguliers lorsqu’elle se prostituait. Détenu « exemplaire » depuis trois ans à la prison de Fleury-Mérogis, récemment placé au sein de l’unité dédiée aux détenus radicalisés, le prévenu « souffrirait de cette proximité avec des hommes dont il ne partage pas les opinions », a souligné un expert psychologue. Une situation vécue comme une punition selon Matthieu Chirez, l’un de ses avocats : « Son silence est une forme de protestation. »

Le procès doit se poursuivre jusqu’à mardi. Les autres prévenus, trois hommes vivant dans la région de Lille, accusés d’avoir voulu rejoindre à la même période les rangs des jihadistes ainsi qu’un couple de Roubaix accusé d’avoir collecté des fonds pour financer le jihad, seront entendus lundi.


Helene Sergent

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Tunisie: l'enquête autour de l'attentat au musée Bardo est close

 

 
Le juge en charge de l’instruction sur l’attentat du musée du Bardo à Tunis, en mars 2015, a « clos l’enquête », comme son entourage l’a annoncé ce vendredi, avant un éventuel renvoi des accusés lors d’un procès qui pourrait se tenir d’ici quelques mois.
« Le juge d’instruction a clos l’enquête et transmis (le dossier) à la chambre d’accusation, qui l’examine encore et décidera du renvoi en procès », a dit le porte-parole du Parquet Sofiène Sliti. « L’enquête sur l’attentat du Bardo a été bouclée il y a peu. (…) Les inculpations vont suivre et la justice tunisienne assure (…) que le procès pourra se tenir dans la première partie de 2017 », a pour sa part déclaré l’ambassadeur de France en Tunisie, Olivier Poivre d’Arvor.

21 touristes et un policier tunisien avaient été tués
    

Le 18 mars 2015, deux assaillants avaient ouvert le feu à l’arme automatique sur des visiteurs du musée. Vingt-et-un touristes étrangers et un policier tunisien sont morts dans cette attaque revendiquée par le groupe Etat islamique (EI). Quatre Français sont morts lors de cet attentat, et six autres ont été blessés. Après le Bardo, le pays avait été frappé en 2015 par deux autres attaques sanglantes du groupe EI, sur une plage de Sousse (38 touristes tués) puis contre un bus de la sécurité présidentielle (12 morts) en plein coeur de la capitale.

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Evry: un lance-roquettes et des armes découverts dans un parking

 

 
Un lance-roquettes, des armes et diverses munitions ont été découverts ce vendredi dans un box d’un parking souterrain à Evry (Essonne). C’est le parquet de la ville qui a effectué cette annonce. 

Le box était ouvert    

 

« On a trouvé un lance-roquette, des gilets pare-balles, des cartouches de Mauser (pistolet allemand, ndlr) et des cartouches de kalanichkov, ainsi que deux fusils lance-grenades », a expliqué le parquet. L’arsenal, découvert ce vendredi matin, « était dans un box » de ce parking proche du grand centre commercial et de la gare RER d’Evry. « D’après les éléments qu’on a, il était ouvert », a précisé le parquet.

    « Il n’y a rien dans cette découverte qui laisse présumer un lien avec du terrorisme pour le moment », a-t-il ajouté. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire de Versailles (Yvelines). La juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Paris, compétente notamment pour les affaires de criminalité organisée, s’est saisie du dossier.

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Gironde: de deux à six ans de prison pour huit Bulgares qui prostituaient leurs enfants

Des peines allant de 24 mois de prison, dont 20 avec sursis, à six ans ferme ont été prononcées ce vendredi par la cour d’assises de la Gironde, contre huit Bulgares dont les enfants étaient acteurs d’un réseau de prostitution, plus ou moins organisé, mais qui bénéficiait aux parents.

  
Cinq à huit ans de prison ferme avaient été requis la veille contre onze accusés, cinq couples et une veuve, pour proxénétisme aggravé sur mineurs, dans un procès de deux semaines, dernière étape d’un dossier qui a déjà vu une vingtaine de « clients » de ces jeunes garçons condamnés depuis 2011. Quatre d’entre eux ont été condamnés à de la prison ferme d’ailleurs, 17 autres à du sursis. 


Les mineurs évoluaient au sein d’un véritable réseau
    

Les accusés, Roms pour la plupart, avaient été interpellés en 2010 dans des squats et appartements de Bordeaux lors d’un vaste coup de filet de la police judiciaire et de l’Office central de répression de la traite des êtres humains (OCRTEH). Plusieurs milliers d’euros, ou la trace de milliers d’euros envoyés à l’étranger, avaient été retrouvés chez des familles sans ressources déclarées. L’opération survenait alors que le réseau de prostitution, au sein duquel une vingtaine de garçons de 12 à 16 ans monnayaient leur corps, prenait une ampleur inquiétante, avec nombre de clients pédophiles venant de l’extérieur de Bordeaux, voire de l’étranger, rameutés par des amis.
  
Trois des parents ont été acquittés, deux condamnés à six ans de prison ferme, quatre autres à cinq ans de prison assortis de sursis partiel (un à deux ans), et deux autres ont été condamnés à 24 mois dont 20 avec sursis. Six des condamnés, qui avaient tous fait de la détention préventive, ont fait l’objet d’un mandat de dépôt.


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