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dimanche, 22 janvier 2017

Bilan 2016 : une délinquance toujours forte dans le Rhône



Après la publication des chiffres de la délinquance en 2016 par le service statistique du ministère de l'Intérieur, Bruno Le Roux doit les présenter à la presse ce jeudi.

Il lui sera difficile de trouver des points positifs, tant la plupart des compteurs sont dans le rouge. Les homicides ont augmenté de 2% par rapport à 2015, les coups et blessures progressent de 1%, les cambriolages de 4%. Les vols sans violence décollent de 2%.
Il faut toutefois noter la baisse de 12% des vols avec armes.

Les régions les plus sujettes à la délinquance sont l'Ile-de-France, l'Occitanie, PACA et Auvergne-Rhône-Alpes.

Selon ces chiffres officiels, le Rhône n'est dans la pire situation après Paris et la Seine-Saint-Denis. Le Nord et les Bouches du Rhône arrivent à afficher des scores souvent plus graves que l'agglomération lyonnaise.

Dans le Rhône, 30 288 vols sans violence ont été recensés en 2016. Il y a eu 3792 vols violents sans arme et 384 vols avec armes.
7441 personnes ont été victimes de coups et blessures volontaires. Et il y a eu 10 304 cambriolages de recensés dans notre département.


Enfin, 6227 véhicules ont été volés. 13 222 ont été visités par des voleurs à la roulotte et 3901 accessoires de véhicules ont été dérobés.

A noter que 4% des infractions liées à l'apologie et la provocation au terrorisme ont été réalisées dans le Rhône en 2016.

La situation est donc tendue, sans être la pire du pays. Les policiers et magistrats lyonnais doivent regarder avec envie les chiffres de Saint-Pierre-et-Miquelon, qui n'a connu qu'un seul cambriolage et un seul vol de véhicule l'an dernier...

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Djihadisme. Yves Trotignon : « Les prisons sont devenues des incubateurs »

 

 
Tribune d’Yves Trotignon (Analyste, spécialiste des questions de terrorisme).

A l’occasion de leur condamnation à des peines de prison ferme, en 1989, les membres d’Action directe ne se sont vu ­prescrire aucune séance de désendoctrinement. […]

Il n’est pas question de transiger, et les terroristes sont donc traités comme les criminels – certes d’un genre particulier – qu’ils sont. Les jugements rendus n’envisagent pas une seconde de convaincre les coupables de l’inanité de leur cause ou de l’absurdité de leur combat : les terroristes sont condamnés pour des faits plus que pour les motifs qui les ont conduits à les commettre. […]

Trente ans plus tard, l’émergence du djihadisme ne cesse de défier l’architecture sécuritaire mise en place dans les démocraties occidentales. Le nombre très élevé de Français tentés par le djihad, en plus d’alimenter une menace terroriste particulièrement élevée et complexe, met ainsi en échec le système traditionnel d’incrimination puis d’incarcération des terroristes. Les prisons, comme on l’a rapidement constaté, sont, en effet, devenues des incubateurs où les djihadistes tissent des contacts, recrutent de nouveaux sympathisants et renforcent même leur détermination. […]

Bien peu – ou, en tout cas, pas assez – en sortent décidés à renoncer à leurs croyances. Les difficultés juridiques, politiques et morales liées à la mise en place d’une justice d’exception semblent, par ailleurs, impossibles à dépasser. Face à ce phénomène, qui est loin d’être propre à la France, de nombreux Etats ont donc choisi de lancer des politiques dites de déradicalisation, aussi bien pour réintégrer socialement les djihadistes que pour réduire l’intensité de la menace et répondre aux inquiétudes de la population, désemparée.
En postulant que les djihadistes ont été radicalisés selon un cheminement plus ou moins modélisable, les autorités estiment qu’un processus inverse permettra de compenser les limites de l’action judiciaire traditionnelle en évitant que des citoyens soient séduits par des idéologies violentes ou en les convainquant que cette voie est sans issue.
La démarche, courageuse, ne manque pas d’ambition, mais se révèle très hasardeuse. […]

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Qui va nous sauver des collabos de l’islam ?

 

 

Les exemples de dhimmitude semblent se multiplier en ce début d’année, tandis que les actes antichrétiens n’ont jamais été aussi nombreux. On vient d’apprendre que ces derniers ont augmenté de 38 % au cours des dix derniers mois : six incendies criminels d’églises, une crèche incendiée à Saint-Étienne, une autre décapitée en Alsace, trente tombes vandalisées à Brennilis dans le Finistère. Le tout sans que les auteurs — des déséquilibrés, bien entendu ! — soient arrêtés, ni même que le gouvernement provisoire émette la moindre protestation. Ah si ! Réaction immédiate du nouveau ministre de l’Intérieur en transit… mais c’était à propos de six demi-têtes de porc déposées devant le nouveau « centre culturel » de Genlis, près de Dijon. L’auteur des faits n’était pas un déséquilibré mais sûrement un facho…

Pendant ce temps, voici ce qui se passe, entre autres faits. Le 10 janvier, les (hélas) rares séminaristes de Nantes ont été invités à visiter la mosquée Assalam. Mosquée réputée comme étant membre de l’UOIF, une organisation salafiste classée terroriste par l’Égypte, la Russie et de nombreux autres pays. Nos futurs prêtres à peine sortis de la salle de prière, leur ont emboîté le pas les jeunes du Lycée et Collège de Bretagne, qu’avaient précédés les élèves de terminale du lycée Jules-Verne. 

On ne sait pas si séminaristes et élèves se sont agenouillés, le front sur les tapis, pour prier Allah, mais ils ont bel et bien écouté le prêcheur leur énoncer la bonté des préceptes de l’islam. À Nantes, le prosélytisme musulman a de beaux jours devant lui. Toujours à Nantes, notons qu’un déséquilibré s’est mis à uriner dans une église lors de l’adoration du Saint-Sacrement. Lui et son ami qui l’attendait à la sortie ont été arrêtés mais, bien sûr, aussitôt relâchés par la justice dhimmi.
 Il y a pire : aucun fidèle de la cathédrale bourrée de Sisteron lors de la messe de Noël ne s’est levé pour protester contre la décision du curé d’inviter, ce soir-là, sept musulmans en djellaba à venir lire, à la fin de la messe et devant l’autel consacré, des sourates que le Coran consacre à Marie et au « prophète » Jésus, n’hésitant pas à proclamer haut et fort dans la nef que Jésus n’est pas le fils de Dieu. Victor Loupan, qui assistait à cette messe, n’en est pas encore revenu… « Je suis pour le dialogue avec l’islam, ces gens-là montraient que Marie et Jésus étaient importants pour Mahomet », a confirmé le célébrant…


Alain Finkielkraut, lui, vient de déclarer à L’Écho de Belgique : « Si on ne ralentit pas l’immigration, ce sera la soumission ou la guerre civile. » Mgr Carlo Liberati, un archevêque italien qui n’hésite pas à contredire le pape François, a surenchéri sur la déclaration du philosophe : « Nous allons tous devenir musulmans à cause de notre stupidité et de notre faiblesse. »
 


Il faut aussi écouter le politologue Alexandre del Valle expliquer comment l’islam s’attaque à notre civilisation par la politique des petits pas. Car il faut bien constater qu’en trente ans, cette religion a bouleversé notre paysage, transformé certains de nos gamins en djihadistes, écrasé une partie de notre culture chrétienne en imposant aux politiques toujours plus de laïcité. 

Nous, le peuple français, avons l’occasion unique, dans quatre mois, de renverser la vapeur en élisant celui ou celle qui sera le ou la plus apte à annihiler les collabos islamophiles, ces Français aveuglés par un discours lénifiant. Peuple et chrétiens de France, ressaisissez-vous. Le 7 mai, révoltez-vous !



Floris de Bonneville

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Autriche: arrestation d’un homme soupçonné de préparer un attentat

 

Un homme soupçonné de préparer un attentat à Vienne a été arrêté aujourd’hui dans la capitale autrichienne, a indiqué la police citant des « informations » émanant notamment de services de renseignement étrangers.

« Les informations concernant un attentat en préparation dans la capitale se sont intensifiées ces derniers jours », a indiqué un porte-parole de la police, faisant état de l’arrestation d’un suspect en fin d’après-midi à Vienne.

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Corbeil-Essonnes: une policière blessée à la tête par un jet de pavé

Selon des informations du Parisien, une foncitonnaire de police du commissariat de Corbeil-Essonnes a été blessé à la tête, ce vendredi soir, par le jet d’un pavé. L’objet est passé à travers le pare-brise du véhicule de fonction à bord duquel elle circulait.


La fonctionnaire et son collègue venait de conduire une personne placée en garde à vue au centre hospitalier sud-francilien, à Corbeil. Sur le chemin du retour, au niveau de la cité du Tarterêts, un homme s’est positionné au milieu de la chaussée et a lancéun pavé en direction du véhicule. Au même moment, cinq ou six autres personnes entouraient la voiture de police.

La policière a été conduite à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger.

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Un recruteur français de l’EI extradé de Turquie et transféré en France

 

 
Le djihadiste français Kevin Guiavarch, qui se dit « un repenti » du groupe Etat islamique (EI), a été transféré vendredi soir en France depuis la Turquie, où il avait été incarcéré à son retour de Syrie, a-t-on appris de source proche du dossier. Visé par un mandat d’arrêt international, le Français de 24 ans avait rejoint la Syrie fin 2012, ralliant d’abord les rangs du Front Al-Nosra, la branche syrienne d’Al-Qaïda, avant d’intégrer l’EI.

En juin 2016, il avait quitté la Syrie avec ses quatre femmes françaises et six enfants dans le but de rejoindre la France, se disant « repenti » dans une lettre adressée aux autorités françaises, avant d’être incarcéré en Turquie. Expulsées par les autorités turques vers la France quelques semaines avant lui, ses quatre femmes ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et placées en détention entre octobre et novembre 2016.

Le jeune homme est une cible importante des services de renseignement français : recruteur présumé de l’EI, il est aussi soupçonné d’être directement impliqué dans son financement. Le 23 septembre 2014, l’ONU avait placé Kevin Guiavarch sur sa liste noire des combattants les plus dangereux, faisant ainsi l’objet de sanctions internationales et d’interdictions de voyager.

Son parcours comporte de nombreuses zones d’ombre pour les enquêteurs : Pourquoi a-t-il pris contact avec la France? Quelles sont ses motivations réelles? S’agit-il véritablement d’un repenti comme il le prétend? Désormais sur le sol français, les autorités espèrent qu’il pourra livrer des informations précieuses sur l’organigramme et le financement de l’EI.

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Syrie: 100 combattants d’al-Qaida tués

 

 
Un bombardement américain a tué jeudi plus de 100 combattants d’Al-Qaïda en Syrie dans un « camp d’entrainement » de la province d’Idleb, a annoncé vendredi le Pentagone dans un communiqué.

« Les frappes américaines ont tué plus de 150 » extrémistes d’Al-Qaïda depuis le 1er janvier, a précisé le Pentagone, ajoutant que cette « rapide succession » de frappes avait pour but notamment de semer « la confusion » dans le groupe extrémiste.

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Le Conseil d'Etat douche les espoirs de la mosquée Al Rawda

 

 
« Ce refus est regrettable [...] Le ministère de l'Intérieur ne veut pas se déjuger publiquement », a fustigé Me William Bourdon, avocat de la mosquée de Stains, après le refus du Conseil d'Etat, hier, de rouvrir la salle de prière. Le juge des référés a rejeté la requête du centre culturel franco-égyptien en charge de l'édifice religieux. Il a jugé que, « malgré les mesures prises par l'association, tout risque n'avait pas disparu dans ce lieu qui avait prôné un islamisme radical ». « Une telle décision ne peut que déprécier les vertus d'un dialogue indispensable entre les responsables de la communauté musulmane et l'Etat », a réagi l'avocat.

La juridiction administrative donne ainsi une nouvelle fois raison au ministère de l'Intérieur. Le 2 novembre, la salle de prière avait été fermée sur ordre du préfet de Seine-Saint-Denis, dans le cadre de l'état d'urgence.

Une note blanche des services de renseignement du ministère de l'Intérieur avait révélé que la mosquée Al Rawda avait été fréquentée par Fabien Clain et Adrien Guihal, djihadistes pour qui elle était devenue la dernière étape avant le départ en Syrie. La représentante du ministère l'avait qualifiée de « lieu mythique » de la nébuleuse radicale.
 

l'association a tout fait pour prouver sa bonne foi... en vain

La plaidoirie de M e Bourdon n'a pas réussi à faire fléchir Emmanuelle Prada-Bordenave, présidente de l'audience. Le juge des référés avait réclamé des garanties afin que cette mosquée ne redevienne pas un « lieu de fixation du radicalisme ». « Nous avons fourni les CV de deux imams, indique Mohamed Henniche, président de l'UAM 93 (Union des associations musulmanes). Ils nous ont donné l'assurance qu'ils seraient disponibles dès vendredi (NDLR : hier) si la mosquée rouvrait. Ils ont même fourni l'intitulé de leurs prêches. » La prière inaugurale devait porter sur le respect de l'autre dans l'islam. L'une des recrues n'est autre Meskine Dhaou, secrétaire général du Conseil des imams de France et imam pendant dix ans à Clichy-sous-Bois.

Pour tenter de convaincre l'Etat, l'association avait consenti à mettre en place une « équipe de vigilance » afin de filtrer les fidèles. Des exigences qui avaient fait bondir Me Bourdon : « Il faut que l'association fasse mieux que Bernard Squarcini (NDLR : ex-directeur central du renseignement intérieur). »

Les 600 fidèles devront patienter au moins jusqu'au 15 juillet, date théorique de l'expiration de l'état d'urgence. A moins que la défense n'intente de nouvelles procédures.

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Immigration : dramatique hausse des permis de séjour et demandes d’asile !


Après une année 2015 marquée par une hausse exceptionnelle des demandes d’asile (de 22,1 % en un an), liée à l’arrivée de réfugiés provenant de Méditerranée, la progression des demandes se poursuit à un rythme malgré tout soutenu (+ 6,5 %) en 2016, selon un bilan provisoire publié lundi 16 janvier par le ministère de l’intérieur.

Facteur aggravant, l’année 2016 se distingue par une forte augmentation du taux d’acceptation. Plus de 30 % des réfugiés qui ont déposé un dossier, soit 26 351 personnes, se sont vu octroyer ce statut protecteur, contre moins de 20 000 l’année précédente (24 %).

Et les chiffres ne peuvent masquer l’imposture droit de l’hommiste selon laquelle les envahisseurs devraient être accueillis par devoir d’humanité envers des personnes fuyant la guerre ! En effet malgré l’ampleur de la crise syrienne, ce ne sont pas les Syriens qui sont les plus nombreux à déposer une première demande d’asile en France, mais les Soudanais, les Afghans et les Haïtiens. Et quatre pays d’Afrique figurent parmi les dix nationalités les plus représentées…



Le rapport ajoute que la France a accepté en 2016 d’accueillir 2 696 demandeurs d’asile arrivés de Grèce et d’Italie, dans le cadre de la politique de relocalisation européenne, et 3 005 réfugiés syriens provenant du Liban, de Jordanie et de Turquie.



Bien évidemment la hausse des demandes d’asile a fait augmenter le nombre total des titres de séjour délivrés à des étrangers, qui s’élève à 227 550 en 2016 ! Les admissions pour motif humanitaire ont d’ailleurs augmenté de 41 % (et de plus de 9 % pour motif économique). En 2016, 88 775 étrangers ont obtenu la nationalité française, dont moins d’un quart par le mariage avec une personne de nationalité française. Une augmentation continue après deux ans de forte hausse en 2014 et 2015.



Conséquence de la hausse des titres de séjour, le nombre d’étrangers accueillis en France en situation régulière s’élève désormais officiellement à plus de 2,8 millions soit environ 4,1 % de la population totale (chiffre, qui n’inclut pas les ressortissants de l’Union européenne), la moitié d’entre eux bénéficiant d’une carte de résident de longue durée.



Ces chiffres démontrent sans l’ombre d’un doute le phénomène à l’œuvre du remplacement progressif de la population blanche de souche par des populations extra-européenne fraichement débarquées.

Un véritable génocide français lorsqu’on relie ces évolutions migratoires aux phénomènes de la dénatalité des européens et de l’avortement massif qui prive la France de plus de 200 000 individus par an !

La France aux Français, vite !

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"J'ai été en Syrie et j'ai vu que tout Molenbeek y était"

 

 

 

9782246862765-001-X_0Jean-Pierre Martin et Christophe Lamfalussy ont suivi l’islam aux quatre coins de la planète et durant des décennies. Et un jour, ils ont posé leur regard sur Molenbeek. Et cela donne 300 pages acérées, sans concession, documentées et, donc, à la précision chirurgicale. Aux éditions Grasset. Martin et Lamfalussy retracent la toile qui a mené aux attentats de Paris et de Bruxelles. On croise Abrini, Belgo-Marocain de 30 ans, celui qui n’a pas déclenché sa charge explosive a Zaventem, ami d’enfance de Salah Abdeslam. Durant son audition, il dira aux enquêteurs: "J’ai été en Syrie et j’ai vu que tout Molenbeek y était."
Molenbeek : Sur six kilomètres carrés, il y a 41 lieux de prière dont 25 mosquées, des imams radicaux, des libraires salafistes, des écoles coraniques. Martin et Lamfalussy racontent les différentes filières de recrutement qui ont fleuri dans la commune, les rapports entre Belkaïd, "le garant religieux du commando" terroriste tandis qu’Abaaou était le "contre maître", deux hommes au passé de délinquant. On mêle la drogue avec le djihad, souvent sur fond de crise identitaire liée à l’immigration rifaine, cette région au Nord du Maroc d’où sont issus de nombreux Belgo-Marocains. On croise encore les recruteuses Malika El Aroud, la "veuve noire" et "Fatima Dalton", Fatima Aberkan, qui a expédié son propre fils de 14 ans en Syrie.
"Tout s’est accéléré dans le recrutement après 2011, et la guerre syrienne, plus proche que l’Afghanistan ou la Somalie, la Syrie est entrée dans l’univers des jeunes maghrébins bruxellois par la télévision, la chaîne qatarie Al Jazeera, on a ouvert un boulevard aux candidats djihadistes." 
Les auteurs évoquent la quarantaine de recruteurs qui étaient actifs sur la commune et s’attardent sur l’islam de Belgique, un fatras non contrôlé où toutes les influences, y compris les plus radicales, s’entremêlent. De l’Arabie Saoudite aux Frères musulmans en passant par le Qatar, tout le monde a son mot à dire, et son argent à mettre, dans l’islam de Belgique. 

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«Les Indivisibles» et «Les Indigènes de la République» «complices idéologiques» des terroristes

 

Unknown-30Pascal Bruckner (photo) comparaissait mercredi devant la 17e chambre pour des propos visant deux associations, selon lui, «complices idéologiques» des terroristes: «Les Indivisibles» de la militante antiraciste Rokhaya Diallo (qui n'en est plus membre) et «Les Indigènes de la République» d'Houria Bouteldja. Le philosophe avait déclaré sur le plateau de «28 Minutes», une émission d'Arte, qu'il fallait «faire le dossier des collabos, des assassins de Charlie» et accusé ces associations de «justifier idéologiquement la mort des journalistes de Charlie Hebdo». Ces associations ont été déboutées. Laurent Bouvet analyse pour le Figarovox :
"Cette décision est importante. D'abord, en effet, parce qu'elle est une victoire de la liberté d'expression. Une liberté d'expression de tous ceux qui refusent de se laisser intimider par les entrepreneurs identitaires, comme les Indivisibles ou le PIR, qui utilisent tous les moyens possibles (des réseaux sociaux à la justice) pour faire progresser leur vision communautariste et séparatiste sur une base ethno-raciale dans la société française.

C'est aussi une décision importante parce qu'elle met en évidence un phénomène souligné notamment par Pascal Bruckner dans son propos incriminé: la continuité idéologique entre les formes les plus violentes, terroristes et djihadistes, et les formes les plus anodines de la dérive islamiste ou de l'islam politique. Il s'agit en effet d'une différence de degré mais pas de nature entre les unes et les autres. On peut rappeler ici les propos tenus par certains des entrepreneurs identitaires en novembre 2011, après la première attaque contre les locaux de Charlie Hebdo au cocktail molotov:

«Il n'y a pas lieu de s'apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo, que les dégâts matériels seront pris en charge par leur assurance, que le buzz médiatique et l'islamophobie ambiante assureront certainement à l'hebdomadaire, au moins ponctuellement, des ventes décuplées, comme cela s'était produit à l'occasion de la première «affaire des caricatures» -bref: que ce fameux cocktail molotov risque plutôt de relancer pour un tour un hebdomadaire qui, ces derniers mois, s'enlisait en silence dans la mévente et les difficultés financières».
[...] Tout débat de ce genre est salutaire. Il permet d'éclairer, publiquement, les positions des uns et des autres, de mettre à jour les stratégies de ces entrepreneurs identitaires comme les islamistes. [...]

Le processus est simple: toute critique de l'islamisme, de l'islam politique, des délires «décoloniaux»… est une critique «islamophobe» ou raciste. Il s'agit d'une pensée par amalgame: toute critique de l'islamisme est une critique de l'islam, donc des musulmans ; toute critique du séparatisme racialiste «décolonial» est une critique de la lutte contre le racisme, une pratique de «blanc» héritier du colonialisme et de l'esclavage, donc nécessairement favorable à ceux-ci. Fausse transitivité et syllogismes permanents sont à la base de ces procès permanents intentés à quiconque se risque à la critique - une belle démonstration au passage que l'idée même de critique serait réservée à certains chercheurs et interdite à d'autres en fonction de l'orientation politique de ce qu'ils disent! [...]

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Pape et Migrants : Malaise chez les catholiques ? (LCI, 17/01/17, 21h05)

 

 
 

Sur BFM TV, Evelyne Joslain estime qu’Obama « était plus musulman dans son cœur que chrétien », la chaîne précise qu’elle ne la réinvitera plus

 

 
Et la liberté d’expression ? Invitée de l’édition spéciale de BFM TV consacrée à l’investiture de Donald Trump, Evelyne Joslain, spécialiste des Etats-Unis, et particulièrement du mouvement conservateur, a déclaré en direct que « Barack Obama était plus musulman dans son coeur que chrétien ». Des propos qui ont choqué les personnes présentes en plateau (entre autres Ruth El Krief) qui ont immédiatement réagi mais également plusieurs personnes sur les réseaux sociaux. La rédaction indique avoir demandé à la chercheuse de quitter immédiatement le studio. Hervé Béroud, le directeur général de la chaîne, s’est exprimé sur le site Buzzfeed : « Ce sont des propos scandaleux. On lui a demandé immédiatement de quitter le plateau. Elle nous a été recommandée par les ‘Républicains Overseas’ puisqu’on cherchait à avoir une sensibilité pro-Trump sur le plateau. C’était une erreur. Pour nous, ce sont des propos inacceptables sur notre antenne. On les condamne fermement ». AU micro de Télérama, il dénonce « un dérapage » et ajoute : « Nous lui avons demandé de quitter le plateau. Elle a franchi une ligne jaune que nous condamnons. Nous ne la réinviterons bien évidemment plus. ». L’hebdomadaire conclut qu' »un petit examen plus approfondi (du CV d’Evelyne Joslain, ndlr) n’aurait pas été de trop. »

Eric Martin 

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Angers. Trois militants d’ultra-droite jugés en mars

Membres du groupuscule Génération Identitaire, ils avaient été interpellés fin octobre 2016 après un déferlement de violence, dans le centre-ville d'Angers.
 
Ils devront répondre de violences en réunion, outrages, violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique et même incitation à la haine raciale pour l’un d’eux. Deux hommes, âgés de 19 et 39 ans, et un adolescent de 17 ans, ont reçu, ces derniers jours, des convocations en justice, confirme le parquet d’Angers.

Des chants nazis entonnés

 

Tous membres de groupuscule d’extrême droite Génération Identitaire, ils ont été interpellés après un déferlement de haine et violence, dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 octobre 2016. Juste après les faits, nous relations des chants nazis entonnés en plein centre-ville d’Angers. Des insultes racistes proférées en direction des personnes typées maghrébines ou noires. Et une pluie de coups. De la rue Bressigny à la place du Ralliement. Jusqu’au commissariat.

Comparutions le 8 mars

 

Convoqués par la police, les deux adultes comparaîtront le 8 mars devant le tribunal correctionnel d’Angers. Ils encourent une peine maximale de cinq ans de prison.

L’adolescent sera, quant à lui, jugé par le tribunal pour enfants.

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samedi, 21 janvier 2017

Sartrouville (78) : il tente d’étrangler la proviseure-adjointe, elle avait confisqué sa chicha

 

 
chicha-celeste-junior-sword-La proviseure adjointe du lycée Jules-Verne de Sartrouville a été victime d’une agression, mardi. Vers 9 h 30, un élève de l’établissement, âgé de 16 ans, était dans le bureau de la conseillère d’éducation avec la ferme intention de récupérer une chicha qui lui avait été confisquée. « Il a fait de l’esclandre, raconte le maire (LR) de Sartrouville, Pierre Fond. Et la proviseure adjointe a tenté de calmer la situation ». En vain puisque l’adolescent l’a saisie au cou, la serrant très fort au niveau de la gorge.

Alertés, les policiers ont interpellé le lycéen, originaire de Chanteloup-les-Vignes, dans l’enceinte de l’établissement


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Lille (59) : une étudiante musulmane relaxée après une prière dans les toilettes de l’université

Le 29 janvier 2013, le conseil disciplinaire de l’université de Lille I inflige un avertissement à une étudiante. Motif : une apparitrice a surpris la jeune musulmane en train de faire sa prière dans les toilettes de la faculté.

Pour les autorités de la faculté, la jeune femme n’est pas une inconnue. Elle avait déjà, au moment des inscriptions, refusé de retirer son foulard pour la photographie d’identité de sa carte d’étudiant.


Hebergeur d'image

La pratiquante s’était ensuite ravisée et avait accepté de poser tête nue. Cette fois, elle est punie pour « manifestation ostentatoire d’une pratique religieuse dans l’enceinte de l’établissement ». (…)
Tombée le 18 octobre, la décision vient d’être rendue publique. Âgée aujourd’hui de 25 ans, la jeune musulmane, de nationalité française, a fini ses études. Elle vit désormais au Royaume-Uni.

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Intégration & Oumma. Mensonges et fumisterie !

« Ne tuez point, sauf pour une cause juste »

Coran, sourate 17, verset 35 

La campagne des présidentielles n’est officiellement pas encore commencée, d’autant moins que les candidatures ne sont pas closes et que l’on en est même à la désignation douloureuse et contradictoire des candidats dans certains bords. Mais déjà fleurissent bobards, promesses et mensonges grotesques.
Divers comiques troupiers de la collaboration à la nouvelle invasion y vont de leurs arguments propres à faire pleurer la Margotton : on ne doit pas assimiler islam et terrorisme ; le Djihâd n’est pas obligatoirement la guerre ; discriminer les « Français musulmans » des Français de souche européenne rappelle l’imposition de « l’étoile jaune » à une autre population… en une époque légèrement différente de la nôtre. 

Commençons donc la lutte contre la désinformation par cette fameuse étoile. Elle n’a été rendue obligatoire en France que par l’Occupant allemand, à compter du 29 mai 1942, dans la portion (croissante à partir du 11 novembre 1942 puis en juillet 1943) du territoire qu’il s’était adjugée. Cet insigne n’a jamais été imposé par le régime de l’État français, sis à Vichy. Il est aisé de s’informer.
On nous ressasse l’argument fantaisiste selon lequel le Djihâd serait une épreuve de perfectionnement intime du muslim (fidèle) pour vaincre ses mauvais penchants. Certes, c’est la pure doctrine soufie, qui en tout pays du Dâr al-Islam fut toujours minoritaire et souvent persécutée. 

N’importe qui peut se reporter au texte coranique, dépourvu d’ambiguïté (sourates 2, 4, 8, 9, 22, 47, 48, 58, 59, 60, 61) : le Djihâd est un combat guerrier, engageant tout muslim ni faible ni malade (le verset 17 de la sourate 48 n’exempte que l’aveugle, le boiteux et l’infirme), qui doit se terminer par la destruction physique des infidèles ou « idolâtres » (comparés à « des animaux vils », sourate 8, verset 57) qui combattent la propagation de l’islam, avec confiscation des biens et réduction en esclavage des familles des ennemis de l’islam. 

« Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les, jusqu’à en faire un grand carnage » (sourate 47, verset 4). L’ennui est que tout ce qui n’est pas soumis à la Charî’a (la loi coranique) est, par définition, le Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Et le délicieux Muhammad en a ainsi décidé : « Allah rendra nulles les œuvres de ceux qui ne croient pas » (sourate 47, versets 1, 9, 10, 30, 34). Autrement dit : il n’est pas de bon infidèle. Qui ne croit pas au dénommé Allah ne peut être que « méchant » (Coran, passim).
L’ennui (bis) est que depuis les prêches du calife Abou Bakr II de Mossoul, qui ont débuté en 2014 avant même son intronisation, l’ensemble de la planète est devenue site de Djihâd, qu’il y ait ou non victimes collatérales musulmanes : « Aucun malheur n’atteint l’être humain sans la permission d’Allah » (sourate 64, verset 11). « Dieu reconnaîtra les siens » : on avait déjà entendu cette stupidité en Occident, mais on croyait révolue ce genre de période obscurantiste. Fatale erreur ! 

Il ne faut jamais oublier, comme le font nos irresponsables élus (et un très curieux pape jésuite), que le Coran considère comme étant le meilleur muslim celui qui meurt au combat pour propager l’islam (sourates 2, 47, 61), bien plus que le bon père de famille ou la mère exemplaire qui travaillent pour nourrir, élever leur progéniture. « Donne-nous la victoire sur les infidèles », ainsi se termine la sourate 2, tandis que la sourate 9 n’offre qu’une alternative au djihadiste : « la victoire ou le martyre » (verset 52).

Et l’on continue à introduire à dose massive en Occident du jeune musulman célibataire, soit le terreau privilégié du djihadisme. Au moindre mot d’ordre des fous furieux d’Allah, les 1500 ou 2000 cités de non-droit de France redeviendront des sites de guérilla urbaine. Il est évident qu’un Français des coins les plus reculés de Lozère, du Gers ou d’Ardèche n’a guère de raison statistiquement significative de redouter un attentat, mais qu’en est-il des malheureux Français de souche européenne des zones est ou nord de Paris, de Roubaix, Lille ou Douai, de Rouen et environs, de Lyon, Villeurbanne et Saint-Étienne, de Marseille et de Bordeaux, de Nantes et de Rennes, etc ? 

La lecture du Coran est édifiante sur les conditions d’ « assimilation ». Lorsque, par la guerre civile ou par la loi du nombre, les mahométans auront triomphé dans un pays, le choix sera simple pour les « infidèles » : la conversion, l’extermination ou l’esclavage.

Reste à évoquer la chaleureuse Oumma, soit la communauté fraternelle des fidèles, où tout n’est que joie, bonheur et paix… à en croire mollahs, ulémas, imams. Bien sûr, en cas de grave accident au sein de la communauté musulmane, les mêmes prédicateurs en accusent une contamination par l’Occident maudit, composé de pervers et de débauchés, de voleurs et d’assassins, d’usuriers et de « méchants » etc. 

Tous les historiens des religions sont unanimes à présenter les années de fondation d’un culte comme représentant « la pureté originelle » de cette foi. Las, les doctes universitaires et les clercs prêchant pour leur paroisse sont ou des menteurs, ou des aveugles volontaires ou encore des ignares… exactement comme le sont nos politiciens immigrationnistes. 

Analysons ce que fut cette Oumma du vivant de l’illettré & halluciné Muhammad (ou Mahomet), qui reçut sa dictée (le Coran) de l’ange Gabriel (archange chez juifs et chrétiens), puis celle du premier siècle, Âge d’Or de l’islam, selon les merveilleux commentateurs. 

Ce bon Mahomet meurt en 632, après une vie assez dissolue (au moins 4 divorces sur sa dizaine d’épouses, non comptabilisées ses esclaves) où ne manquent ni la commandite d’assassinats d’adversaires, ni le pillage de caravanes, ni les guerres intertribales ou entre les habitants des villes rivales de Yathrib (plus tard : Médine) et La Mecque. 

À sa mort, semble-t-il naturelle, se disputent méchamment les bandes rivales de son oncle et beau-père Abou Bakr et de son cousin et beau-fils Ali. Le premier, père d’Aïcha épousée (et
« possédée » à l’âge de 9 ans), l’emporte, devenant le premier calife, mais il disparaît en 634, lui aussi de mort apparemment naturelle. Lui succède Omar, le conquérant sanguinaire, ultime destructeur de la bibliothèque d’Alexandrie, expédié au paradis d’Allah en 644 par un esclave perse qu’il avait trop maltraité. Arrive le tour d’Othmar que la tendre Aïcha expédie en un monde réputé meilleur avec l’aide d’Ali et de ses sbires.

Ce délicieux Ali, 4e calife, guerroie une quinzaine d’années contre… des musulmans, au point que se constitue la secte schismatique des Kharadjites qui se proclament seuls bons mahométans. En 661, Ali est assassiné à son tour et ses partisans, dépossédés du califat, fondent la secte des Chiites. Le gros des brebis de Mahomet reste fidèle à la tradition (ce sont les Sunnites), fondée sur le Coran, la Sîra (la biographie officielle du fondateur) et les centaines de volumes de Hadîths qui permettent à leurs savants exégètes de dire à peu près tout et son contraire… où serait le plaisir des théologiens s’ils ne pouvaient ajouter leur grain de sel à la soupe populaire ? 

Du milieu du VIIe siècle au milieu du suivant, ce ne furent qu’extermination ou conversion par la force des zoroastriens et chrétiens de Mésopotamie, Perse, Syrie, Palestine, Égypte et, de là, l’ensemble du Maghreb, puis l’Ibérie et l’Aquitaine. Les Juifs, assez souples, furent souvent assez bien traités, mais pressurés d’impôts. Quant aux soldats byzantins, ils étaient exterminés, souvent après tortures immondes. Chaque conquête pour la plus grande gloire d’Allah le Tout-Puissant (mais qui n’était clément et miséricordieux qu’à ses seules ouailles) fut l’occasion d’une orgie de destruction de papyrus et de parchemins, de peintures et de sculptures, de pillages et de viols. Tout cela, parfaitement exact, est bien connu.
Ce qui l’est moins, c’est que ce premier siècle de la nouvelle foi en un énième dieu unique et véritable fut aussi une période de guerres intestines chez les mahométans. Alors, la notion de fraternité entre mahométans peut raisonnablement faire sourire l’athée et l’agnostique, qui en a assez de ces guerres de religions, de ces croisades menées au nom du « seul vrai dieu ».

En Europe débarrassée du fanatisme chrétien depuis un peu plus d’un siècle, il peut paraître grotesque de remettre ça, avec une religion obscurantiste dans ses dogmes, barbare dans ses usages. La lecture du Coran devrait être obligatoire pour tout citoyen de souche européenne : il est nécessaire de bien connaître son ennemi pour mieux le combattre. 

En Europe, meurtrie par un chômage autochtone de masse et par les délocalisations d’entreprises, en ce continent dont la prospérité est affaiblie, l’immigration de consommateurs non-producteurs est une aberration, sauf pour les patrons de la grande distribution qui peuvent compter sur la complicité d’élus – dont chacun connaît le dévouement & la parfaite intégrité – pour injecter une partie des impôts dans une multitude d’allocations destinée à la consommation d’envahisseurs peu ou non qualifiés, guère ou non productifs… et dont certains sont des vandales, des violeurs, des voleurs & des racketteurs, voire d’honorables trafiquants et maquereaux.

C’est ce qui s’appelle : fournir un avenir de rêve aux enfants de souche européenne. Car si l’on y réfléchit bien, en Europe qui reste majoritairement étrangère à l’islam, la fameuse Oumma signifie beaucoup moins, pour les mahométans, être unis entre eux qu’être unis contre les Européens de souche.

Bernard Plouvier

Paris : un Congolais arrêté avec 800 grammes de diamants bruts dans le caleçon

Des sous-vêtements parmi les plus chers de l’histoire. Un homme qui s’apprêtait à embarquer dans un train pour Bruxelles à la gare du Nord à Paris a été arrêté par les douaniers avec 800 grammes de diamants bruts dans le caleçon, a-t-on appris mercredi.


Selon la douane, « le voyageur transportait des centaines de diamants bruts de diverses tailles, dans des paquets dissimulés dans ses sous-vêtements », fin décembre.

L’homme, qui a expliqué venir de République démocratique du Congo, n’a pu présenter de document justifiant la légalité et la provenance des pierres, qui ont donc été saisies, une prise « exceptionnelle », pour la douane. Il y en avait pour près de 300.000 euros…

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

L’AfD réunit l’extrême droite européenne

Allemagne: Sacré coup de pub du parti «Alternative pour l’Allemagne» en pleine année électorale.

La stratégie de l’extrême droite allemande a parfaitement fonctionné: provoquer pour attirer l’attention des médias. Frauke Petry, la présidente de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), a réussi à transformer le congrès de l’extrême droite européenne, qui se tient ce samedi à Coblence, en véritable show médiatique. Pour cela, l’AfD a d’abord refusé d’accréditer plusieurs médias de référence, dont le magazine Der Spiegel, le quotidien conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) ou encore les chaînes publiques, dénigrés par l’AfD en tant que «médias de la redevance».

«Cela s’intègre parfaitement dans la stratégie de communication de l’AfD. Le parti de Frauke Petry savait qu’elle attirerait l’attention», assure Timo Lochocki, politologue à la fondation German Marshall Fund. La décision a déclenché, en effet, une levée de boucliers. La première chaîne de télévision publique (ARD) a dénoncé une «restriction arbitraire du droit à l’information». «C’est une atteinte à la liberté de la presse», a ajouté la Fédération des journalistes allemands (DJV). «L’objectif était de satisfaire également ses électeurs qui se sentent floués par ces médias. C’est clairement une provocation», ajoute Marcus Maurer, professeur en communication à l’Université de Mayenne.


Une ambivalence très étudiée


En attaquant le mémorial de Berlin dédié aux Juifs assassinés d’Europe, Björn Höcke, le leader de l’AfD en Thuringe, a déclenché la même mécanique. Au lendemain d’un discours très ambivalent sur ce «monument de la honte» (la honte de qui?), il a réussi à se présenter comme une victime des médias, accusés de l’avoir mal interprété. «Je ne doute pas un instant que les termes de son discours ont été choisis soigneusement par son conseiller, Günther Lachmann, un stratège en communication, pour jeter le trouble sur le sens du mot «honte», assure le politologue Timo Lochocki.

Frauke Petry veut faire de ce congrès, organisé officiellement par le groupe ENL (Europe des nations et des libertés) du Parlement de l’UE, le lancement de la campagne électorale 2017 pour les formations d’extrême droite en Europe. Elle a invité la Française Marine Le Pen du Front national et le Néerlandais Geert Wilders du PVV (Parti pour la liberté), qui sont déterminés à prendre le pouvoir cette année dans leur pays.


Une première pour Marin Le Pen


Geert Wilders a déjà tenu plusieurs discours en Allemagne, notamment en 2015 lors d’une manifestation des Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident (Pegida). Pour Marine le Pen, c’est une première. Elle n’a jamais mis le pied en Allemagne en tant que présidente du FN. Le député européen italien Matteo Salvini de la Lega Nord sera aussi à la tribune pour prononcer un discours.

Plus de 150 organisations, syndicats et partis politiques ont appelé à protester. «Les populistes ne sont pas les bienvenus», a lâché hier le maire social-démocrate (SPD) de Coblence, Joachim Hofmann-Göttig. On attend plus de 1000 manifestants et 1000 policiers pour le maintien de l’ordre.

Christophe Bourdoiseau 

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Dans le nouveau centre pour envahisseurs d’Ivry-sur-Seine


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C’est le contribuable français qui régale !

 Vous noterez que de nombreux Parisiens, étudiants ou âgés, sont forcés de (sur)vivre dans moins confortable que ces logements neufs. Comment y voir autre chose que de la préférence étrangère ?

Eric Martin 

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Guy Bedos s’interroge sur la façon dont ses « amis musulmans » traitent les femmes

 
L’humoriste âgé de 82 ans a tenu des propos politiquement incorrects à l’égard des immigrés musulmans lors d’un meeting d’Arnaud Montebourg, qu’il soutient. « Je suis contre tous les racismes », a-t-il déclaré mercredi 18 janvier, avant d’ajouter : « Aussi antiraciste que je sois, je ne suis pas toujours d’accord avec mes amis musulmans, et la façon dont ils traitent les femmes. » « Je m’en fous de déplaire à certains, je le pense », a-t-il enfin continué :

Eric Martin

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Inde : au moins 361 attaques contre des chrétiens en 2016

 

 
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International Christian Concern (ICC), ONG de défense des droits des chrétiens et des minorités dans le monde (Washington D.C. États-Unis), signale dans un communiqué du 19 janvier qu’elle a établi et documenté 361 attaques contre les chrétiens en Inde au cours de l’année 2016, donc près d’une par jour… Autrement dit, le nombre d’actes antichrétiens a plus que doublé par rapport à 2015 puisque l’Evangelical Fellowhip (Inde) n’en avait recensé que 177 cette année-là…
 

300M€ pour les demandeurs d'asile en 2016

 

Unknown-274 774 migrants ont bénéficié du dispositif d'"aide au retour" en 2016, soit 2500€ :
  • 529 Afghans
  • 401 Chinois
  • 362 Albanais
  • 243 Kosovars. 
Par ailleurs, 105 000 personnes ont reçu l'allocation pour demandeurs d'asile (ADA) en décembre. Elle est versée à un migrant pendant l'instruction de la demande d'asile et est fixée à 6,80 euros par jour (en moyenne 204 euros par mois), modulable selon la composition familiale.

Les demandeurs qui ne sont pas hébergés perçoivent 11 euros par jour (en moyenne 330 euros).

Le budget de l'ADA a atteint 300 millions d'euros l'année dernière.
C'est gratuit c'est l'Etat qui paie...

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2700 femmes Yazidis esclaves de l'Etat islamique

 

Irak3Extrait du témoignage d’un médecin, actuellement séminariste, ayant effectué un séjour au Kurdistan Irakien, dans la province de Dohuk, dans un camp de réfugiés Yazidis :
"Le camp accueille plus de 1.000 familles, qui sont assez nombreuses, en moyenne dix personnes. Ces familles partagent le sort tragique de leurs coreligionnaires qui ont fuit l’arrivée de Daesh en août 2014. Ils se retrouvèrent prisonniers des montagnes de Sinjar, sans eau ni nourriture. Les récits sont terribles ! Plusieurs ont été témoins du massacre des leurs, et du kidnapping des femmes de tous âges, réduites à l’état d’esclave sexuelle. Ainsi, mon interprète Yazidi, Raad, me confiait que trois de ses sœurs sont toujours entre les mains de Daesh. 2700 femmes Yazidis sont dans la même situation ! Quel sera leur avenir si un jour elles sont libérées ?  Une femme qui a perdu sa virginité dans les sociétés Moyen- Orientales est souvent rejetée  voir tuée, l’honneur de la famille, de la tribu repose sur cela. La haute autorité religieuse Yazidi a émis  un décret afin que ces femmes soient accueillies  par leurs familles, et qu’elles ne soient pas rejetées. Cela semble fonctionner, mais…."
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Jack Lang remercie l'Arabie Saoudite

 

 

 

Unknown-28Lundi 16 janvier, Jack Lang, directeur de l’Institut du Monde Arabe, a dévoilé une plaque de remerciement à destination de l’Arabie Saoudite pour le don de 5 millions d’euros que le royaume a fait pour l’Institut.
L'Institut du Monde Arabe en sera-t-il plus honnête sur le wahhabisme ?

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Immigration : ce sont les chiffres qui en parlent le mieux

Nicolas Dupont-Aignan l'a compris : dans sa tribune publiée par Valeurs Actuelles, il n'aborde par l'immigration sous l'angle moraliste, philosophique (voire théologique !), mais sur les faits :


VALEURS4182_001"[...] En 2016 nous dit le ministère de l'Intérieur, l'immigration légale se traduit par l'entrée de 227 550 personnes sur notre sol, une hausse de 4,6% par rapport à l'année précédente. C'est presque autant que la population de Bordeaux en une seule année ! On apprend aussi que l'immigration déclarée au titre du travail représente 10% de l'effectif, environ 38% étant dus à l'immigration familiale (regroupement familial et mariage avec un conjoint étranger) soit plus de 88 000 personnes, tandis que les étudiants (dont une minorité quitte le pays à la fin de leurs études) pèsent 77 000 entrées. Enfin, les entrées pour motif humanitaire (qui se concrétisent par l'octroi du droit d'asile dans peu de cas) s'élèvent à plus de 32 000, soit 15% du total.

Mais au-delà de ce constat, Il faut rappeler que les demandes d’asile sont en forte progression : 85 244 demandes, en hausse de 6,4 %. Or, ils ne sont que 26 351 à avoir obtenu le droit de séjourner en France (taux en hausse de 35 % !). Ce qui implique donc qu’environ 59 000 auraient dû être reconduits à la frontière. Mais seules un peu plus de 10 000 reconduites sont effectuées chaque année : ce sont donc probablement 47 000 personnes qui sont restées clandestinement sur le territoire.

A ces entrées légales s'ajoutent évidemment l'immigration illégale, impossible à quantifier par nature, ainsi que celles des ressortissants clandestins ou irréguliers de l'Union européenne, en provenance pour une large part de l'est du continent. Enfin, s'ajoute donc le solde de tous les ressortissants étrangers (déboutés du droit d'asile et autres), grossissant année après année, censés quitter le territoire national mais ne s'exécutant pas et n'ayant pas grand chose à craindre d'autorités publiques qui ne pratiquent, au plus, que quelques milliers de reconduites à la frontière par an (moins de 13 000 en 2016 !).

Or, rapportés à la démographie nationale, ces chiffres correspondent clairement à une dynamique de remplacement : pour mémoire, la plupart des entrants ont entre 20 et 30 ans, et si l’on comptabilise seulement les 227 550 entrées officielles et les 47 000 « réfugiés » restés clandestinement, on arrive à 274 550 personnes en 2016. A comparer aux 750 000 personnes par génération annuelle que nous avons sur les 20-30 ans ! Nos entrées annuelles légales et semi-clandestines représentent ainsi l’équivalent de 36 % d’une génération annuelle."
Ce qui permet à Nicolas Dupont-Aignan de valider l'idée (qui n'est plus une thèse) du grand remplacement.

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Au pays de Jérôme Cahuzac, on détruit ou on vend les églises

Il s’appelle Devilliers. Mais les ressemblances s’arrêtent là. Il n’est pas un élu de Vendée et, visiblement, les cloches qui ne sonnent plus, ça ne l’empêche pas de dormir.

Maire d’un superbe village, Penne-d’Agenais (47), dont la basilique Notre-Dame de Peyragude, qui surplombe le Lot, attire les pèlerins, Arnaud Devilliers est d’abord un élu soucieux d’avoir une « une gestion dynamique du patrimoine communal ».

Donc, dans la liste des biens de la commune inutiles et onéreux, il y a l’église de Noaillac. Pas en bon état, c’est certain, la petite église du XVe siècle. 

Les images de Sud-Ouest ou de France 3 en témoignent. On comprend l’édile soucieux des deniers de sa commune :
 « Si l’objectif est de préserver le patrimoine, mieux vaut la céder à un privé qui entretiendrait l’édifice, en respectant un cahier des charges strict puisqu’il est inscrit aux Monuments historiques, plutôt que de le maintenir dans le domaine public et se retrouver avec un tas de pierres dans quelques années, car nous n’avons plus les moyens de le rénover. »

Argument imparable.

Et il faut espérer que cette petite église trouvera, non seulement un amoureux des vieilles pierres (ils sont, en général, nombreux dans le coin), mais, surtout – denrée plus rare -, des chrétiens de bonne volonté.

Mais ce reportage dans la presse locale suscite un certain malaise.
Ne parlons pas de la maladresse de ce maire qui, sur la photo de Sud-Ouest, tout sourire et fier de lui, vous tend les clés de cette pauvre église abandonnée…

Quel symbole… un élu français heureux de se débarrasser de ce fardeau : une église…

Mais on aurait aussi envie de demander à ces élus si soucieux de bonne gestion : qu’avez-vous fait avant, pour qu’on en soit arrivé là ? Vous et votre parti ? M. Devilliers se dit « électron libre ». Ce qui, ici, veut dire quelque chose comme centre droit.

Et quand on leur demandera d’ouvrir un centre culturel islamique ou une mosquée, nul doute que les collectivités sauront trouver les moyens pour satisfaire cette demande, malgré les contraintes qui, paraît-il, les obligent à vendre le patrimoine religieux chrétien.
La gestion, c’est une affaire de priorité, non ?
Naguère, Michel Sardou chantait : « Dans le Lot-et-Garonne, on bouffait du curé »

C’est toujours le cas, mais les curés se font rares. À tel point que l’évêque fait un appel massif à des prêtres africains car, après avoir regroupé les paroisses, il n’a pas de prêtre à y nommer : cinq grandes paroisses sur vingt-six sont sans prêtre. Et on le comprend, notre bon évêque, quand il nous dit lui aussi dans Sud-Ouest : « Je fais tout pour trouver des curés. »

Certes, cela se passe en Lot-et-Garonne, l’un des départements les plus déchristianisés de France, où les francs-maçons anticléricaux font, depuis un siècle, la pluie et le beau temps dans la vie politique locale.

Le dernier de ces illustres, député de cette circonscription où se trouve cette église de Noaillac, s’appelait Jérôme Cahuzac. En 2010, l’un de ses derniers actes de maire, avant sa chute, fut la destruction d’une chapelle de sa ville, jouxtant la mairie, pour faire un parking…

Les temps ont bien changé, même chez nos riches francs-maçons villeneuvois devenus ministres : si Georges Leygues avait financé, sur ses deniers, la construction de la grande église Sainte-Catherine de Villeneuve-sur-Lot, les priorités financières et patrimoniales de M. Cahuzac étaient visiblement différentes.

En 2017, en Lot-et-Garonne, on ne bouffe plus du curé, on se contente de vendre ou de détruire les églises abandonnées.

 Dominique Monthus

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Le CCIF appelle à la délation dans la police nationale


Marwan Muhammad, porte parole du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a publié, le 13 janvier dernier sur sa page Facebook, un appel à destination des forces de l’ordre en vue de le renseigner sur des pratiques policières, manifestement en vue de lui permettre d’agir dans son activité de lobbyisme islamique.

La teneur du message est la suivante : « Un petit appel à bénévoles très spécifique : si vous êtes policier, gendarme ou que vous travaillez à la PAF [police de l’air et des frontières, NDLR] et que vous avez envie d’aider dans la lutte contre l’islamophobie, faites-nous signe en PM. On a besoin de vous pour des petites missions de prévention et pour mieux comprendre certaines pratiques policières, vues de l’intérieur.
Merci d’avance ! »
 
En dehors du fait que le CCIF (comme le CCIB en Belgique) est clairement, et à juste titre, décrié quant à ses accointances avec les Frères musulmans et les salafistes, ainsi que pour la propagande communautariste qu’il véhicule sur fond de victimisation, cet appel est pour le moins surprenant, quelques jours après une polémique au sujet de la révélation de cas de radicalisation religieuse au sein de la police dans l’agglomération parisienne.

Bien que la technique du « chantage à l’islamophobie » ait été dénoncée par plusieurs voix, dont celle du journaliste Mohamed Sifaoui, comme relevant d’une stratégie de conquête mûrement réfléchie et employée par les islamistes en Occident, force est de constater que cet appel au bénévolat va au-delà de la simple propagande : ne s’agit-il pas, en quelque sorte, d’un recrutement pur et simple au sein de la police nationale et de la gendarmerie ?
À l’heure où la problématique de l’islam ne cesse de se poser au sein de notre pays, où l’efficacité de nos services de renseignement est montrée du doigt par certains journalistes, où le terrorisme a fait de nombreuses victimes, y compris dans les rangs de la police nationale, un tel appel doit être d’abord et avant tout considéré pour ce qu’il est : une provocation inacceptable.

Au-delà de mon expérience personnelle, et de ses lourdes conséquences, j’ose espérer qu’il restera lettre morte. Mais j’ai conscience que ce n’est pas une chose acquise.

C’est pourquoi j’invite l’ensemble de ceux qui pourraient considérer le CCIF comme une association anodine, et – ce qui serait un comble – pourraient être tentés de répondre à son appel, à réfléchir… Il semble que l’activité et le financement de ladite structure puissent être qualifiés de « troubles » ou soient, tout du moins, à clarifier.

Contribuer à son fonctionnement, en répondant à un appel de son porte-parole Marwan Muhammad, revient à collaborer avec ceux qui œuvrent à la promotion d’un islam politique, contraire aux valeurs de la République dont les forces de l’ordre (gendarmerie et police nationale) sont les garants. Cette forme de délation, à laquelle appelle le porte-parole du CCIF, est évidemment contraire à la loyauté que l’on attend d’un gendarme et d’un policier.

Sébastien Jallamion

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Les immigrés créent de la croissance : quelle blague !

 
Le Monde, fidèle à son penchant migrantophile, est tout fier de nous annoncer qu’en Allemagne, l’arrivée de 1,1 million de réfugiés a boosté la croissance : 1,9 % au lieu de 1,4 %. Et de sous-entendre que nous devrions les imiter afin de bénéficier, nous aussi, de cette manne inattendue.

D’abord, les journalistes admettent que ce petit 0,5 % de croissance supplémentaire est dû aux 11 milliards déversés pour accueillir les nouveaux venus. C’est simplement de la relance keynésienne par la dépense. On aurait à peu près la même croissance en distribuant en moyenne 135 € par Allemand, ou plutôt en ordonnant de grands travaux afin de s’assurer que les sommes colossales distribuées relancent le moins possible les économies extérieures.

Ensuite, Le Monde avoue que seulement quelques dizaines de milliers de réfugiés ont trouvé du travail (42.000) sur 1,1 million, alors que l’économie germanique, contrairement à la nôtre, manque cruellement de bras. On croyait accueillir des médecins, des ingénieurs, des personnels qualifiés. On a surtout des non-diplômés qui ne connaissent ni l’allemand ni l’anglais et sont, pour l’instant, inemployables. Malheureusement, il y a de grandes chances pour qu’ils le restent toujours. Si on se fie aux statistiques antérieures, 50 % d’entre eux ne travailleront jamais ! On a donc introduit 500.000 personnes qui vivront de charité publique pendant toute leur vie. Une absolue folie économique ! Une catastrophe totale. Sur 50 ans, une dette de 300 milliards pour rien. Et encore, l’Allemagne a un surplus budgétaire à dépenser, contrairement à nous qui sommes en faillite.

Bien sûr, les ONG rétorquent qu’au moins, les migrants tirent bénéfice de ce tonneau des Danaïdes. 

Cette remarque est pleine de naïveté. D’abord, les conditions de vie des migrants sont précaires. De plus, le salaire d’un smicard sénégalais est de 300 € par an. Il en coûte 10.000 € s’il vient en Allemagne. S’il reste dans son pays et si on lui verse 1.000 € par an, il vivra bien mieux que s’il vient chez nous. Et comme les migrants, par solidarité, envoient une partie de leurs allocations à leur famille, « l’évaporation » des sommes consacrées aux migrants vers l’Afrique serait sans doute moindre si on les payait à rester chez eux. Ils auraient un meilleur niveau de vie et ils ne seraient plus des déclassés. 
 Je ne suggère pas, bien entendu, de « salarier » les migrants. Cela serait absurde. Mais au lieu de dépenser 11 milliards chez nous, ne ferait-on pas mieux d’en verser 2 ou 3 chez eux – sachant que la plupart de ces migrants le sont pour raisons économiques – pour des actions concrètes de développement, en refusant systématiquement leurs ressortissants, en dehors du nécessaire droit d’asile ? Bien sûr, nous exigerions des contreparties économiques. Une solution gagnante-gagnante pour tout le monde.

Et on n’introduirait pas chez nous des terroristes, des délinquants ou des violeurs, même si ceux-ci ne sont qu’une infime minorité parmi les réfugiés. Le coût social des migrants est élevé et risque de détruire notre société.

Christian de Moliner

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