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mercredi, 25 janvier 2017

Pays Bas: le 1er ministre durcit le ton contre l'immigration

 

 
Le premier ministre néerlandais, à l'approche des élections législatives qui se tiendront le 15 mars, a décidé de durcir le ton sur la question de l'immigration, rapporte aujourd'hui The Guardian.
Mark Rutte, chef du gouvernement depuis 2010, a publié une lettre ouverte dans laquelle il s'en prend aux étrangers qui ne s'intégreraient pas à la société néerlandaise. Il y indique que les personnes qui "refusent de s'adapter, et critiquent nos valeurs" devront "se comporter normalement ou s'en aller".

Les Néerlandais se sentiraient "de plus en plus mal à l'aise" avec ceux qui abusent des libertés une fois fois arrivés dans le pays. Par ailleurs, le premier ministre attaque les étrangers qui "harcèlent les homosexuels, sifflent les femmes en jupe courte ou jugent racistes les Néerlandais ordinaires".

Cette lettre n'est pas anodine dans un contexte de campagne électorale en vue des élections législatives de mars. Mark Rutte, également chef du Parti populaire libéral et démocrate (VVD), de centre-droit, doit faire face à la montée en puissance du mouvement d'extrême droite de Geert Wilders, le Parti pour la liberté (PVV). Allié du Front National, à l'échelle européen, le parti est connu pour ses prises de position contre l'islam et l'immigration.

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Culte/ La Mosquée de Paris ne veut pas d’un non musulman à la tête de la Fondation de l’islam de France

 

 
Culte/ La Mosquée de Paris ne veut pas d’un non musulman à la tête de la Fondation de l’islam de France
 
La Fédération de la Grande Mosquée de Paris (FGMP), que préside le recteur Dalil Boubekeur, a décidée de ne pas participer à la mise en place de  la Fondation de l’islam de France. Celle-ci appelle même, dans un communiqué, toutes les organisations, associations et instances des musulmans à rejeter l’initiative du gouvernement français, en raison de sa volonté s’«ingérer» dans la gestion du culte musulman.
 
«La FGMP dénonce toute forme d’ingérence dans la gestion du culte musulman  et de sa représentation, d’autant que l’élaboration des dites structures n’a  jamais fait l’objet d’une large concertation avec les musulmans de France», dit Boubekeur dans un communiqué.
 
La Grande mosquée de Paris, liée à l’Algérie, précisent à chaque fois les médias français, avait déjà, au mois de novembre dernier, refusé de prendre part à une réunion consacrée à la préparation de la mise en œuvre de la Fondation de l’Islam de France. Mais, le refus de la FGMP de s’impliquer dans la Fondation, lancée rappelons-le, par le ministère français de l’Intérieur, ne s’explique pas seulement par des craintes de voir l’islam de France mis sous tutelle des autorités. Selon une source proche de la Grande mosquée de Paris, citée par l’APS, il n’est pas question qu’une institution qui a pour mission de gérer les affaires des musulmans de France confiée à un non-musulman.
 
En effet, c’est l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement qui a été désigné pour présider cette Fondation. De plus, la Fédération de la grande mosquée de Paris voit d’un mauvais œil le fait que sur les 30 membres de la fondation, seuls trois représenteront la FGMP, alors qu’elle se prévaut d’être l’institution la plus représentative des musulmans de France.
 
En tout cas, le problème de la représentativité des musulmans au sein des institutions du gouvernement français se pose depuis quelques années déjà. Par le passé, le grande Mosquée de Paris était en opposition également avec Conseil français du culte musulman (CFCM).
 
Elyas Nour
 

L’élu écolo (EELV) de Montpellier transforme le McDonalds en mosquée

 

 
1-mmajdoul_afficheLu dans Le Midi Libre  du 19 janvier (extrait) :

Les tags recouvrent murs, vitres. Au pied du Grand-Mail et de la tour d’Assas, à quelques centaines de mètres du stade de la Mosson, l’ancien McDonalds, déménagé vers Juvignac à l’été 2005, sept ans après son ouverture, ressemble… à rien ! Surtout pas à une mosquée. C’est pourtant le destin promis par le propriétaire, Mustapha Madjoul, élu municipal d’opposition EELV à l’association musulmane Vivre en paix.

« La Piété, notre salle sur le Grand-Mail, est trop petite (220 m², NDLR), détaille son président Rachid Aboutayeb. Les vendredis de grande prière comme durant le Ramadan, une centaine de fidèles se masse sur les allées… Les voisins s’en plaignent. »


Jusqu’à 500 fidèles


Le futur lieu de prière pourra, lui, abriter jusqu’à 500 croyants. « Nous avons signé le contrat de location il y a trois semaines avec Monsieur Madjoul sur la base d’un local commercial accueillant des activités cultuelles et spécifiques ». Mustapha Madjoul avait, dans ce même local, exploité une pizzeria hallal, baptisée Top’s, dès le printemps 2006. » Lire l’article intégral

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La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Quartier de Juvisy saccagé: quinze interpellations à Athis-Mons

Des voitures, portes d'immeubles et un appartement avaient été saccagés dans la nuit du 14 janvier. La police a arrêté ce mardi matin quinze personnes grâce à la vidéosurveillance.

Il y a une dizaine jours, Juvisy-sur-Orge (Essonne) a vécu une véritable scène de guérilla. Ce mardi matin, la police a arrêté une quinzaine de suspects à Athis-Mons et Paray-Vieille-Poste, deux villes voisines, révèle Le Point. Placés en garde à vue, ils sont suspectés d'avoir participé aux violences qui ont eu lieu dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 janvier: voitures vandalisées, portes d'immeubles fracturées, appartement saccagé. 

 "C'est probablement une histoire de bandes rivales entre différents quartiers de nos communes voisines, avait estimé le maire Les Républicains de la ville, Robin Reda. Ils cherchaient à régler des comptes avec quelqu'un. Manifestement, ils n'ont pas trouvé cette personne, ils se sont trompés d'appartement."  

Des jeunes de 15 à 22 ans

 

Au lendemain des faits, onze jeunes, âgées de 15 à 22 ans et qui font partis des arrestations de ce matin, avaient été interpellés. Faute d'indices, ils avaient été remis en liberté. Selon Le Point, la vidéosurveillance a permis de préciser le rôle actif de certains mis en cause. Ils étaient visiblement à la recherche d'un individu précis. 

La majeure partie des arrestations ont eu lieu dans la cité réputée difficile du Noyer-Renard, à Athis-Mons, a précisé une source policière. Ils ont été placés en garde à vue dans plusieurs commissariats du département. "Aucun mobile clair" de ce déchaînement de violences n'est encore apparu dans l'enquête, a dit la source policière. 

Un "sentiment d'insécurité persistant"

 

"Ce qui a frappé les gens, c'est le côté bande organisée", commentait auprès de L'Express un habitant, membre du bureau de "Juvisy c'est vous". L'association a lancé une pétition pour demander un "accroissement de la présence policière" dans la ville, pointant un "sentiment d'insécurité persistant".

"Les policiers sont en flux tendu depuis deux ans, poursuit-il. Après l'agression au cocktail Molotov de Viry-Châtillon [ville voisine] en octobre dernier, Bernard Cazeneuve avait promis plus de 100 policiers supplémentaires dans l'Essonne, on aimerait qu'une partie soit affectés à Juvisy-sur-Orge." En attendant, des patrouilles de la police municipale sont mises en place pour "rassurer les habitants".

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Tentative d'entrisme islamiste dans la police ?

 

 
Un syndicat pose la question :
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2 février : conférence de Xavier Lemoine à Versailles sur l'islam

 

 

 

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Philippe de Villiers : « Nous sommes à la veille d’un changement de peuplement que nous ne voulons pas ! »

Bande de filles immigrées : le nouveau fléau marseillais

En Allemagne, les féministes anti-Trump défilent au cri d' »Allah Akbar »…

 

 

Benoît Hamon : « Arrêtons de faire de l’islam un problème de la République »

 

 

« Veilleur de Civilisation »

 

 

*****
Le groupe de rock identitaire français FTP, diffuse le clip du premier titre de leur troisième album, « Veilleur de Civilisation ». Cette chanson est un hommage aux Français qui se sont mobilisés lors des manifestations contre le mariage des invertis en 2012-2013. Ce titre est une véritable réussite et doit être diffusé au maximum. Album disponible ici.

Eric Martin

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La mort du féminisme européen ou l’abandon des féministes de pays musulmans

 

 

Énième refus de publication. Une revue féministe a publié, il y a quelques mois, la recension d’un livre Le Déni, écrit par deux femmes catholiques, critiquant la misogynie de la Bible et du Vatican. Je propose à cette revue une fiche de lecture du livre de Zineb El Rhazoui : Détruire le totalitarisme islamique. Refus. « Nous ne sommes pas sur la même ligne », m’écrit-on. C’est-à-dire, demandé-je ? Pas de réponse.

Nous sommes un certain nombre de féministes, y compris des féministes originaires de pays conquis par l’islam, qui critiquons les normes de toutes les idéologies, sans distinction ni restriction selon leur type : athée ou religieux ; ou leur lieu de prédominance : Europe ou autres continents.

Autrement dit : nous, féministes originaires de tous les continents (Europe, Asie, Afrique, Amériques), estimons parfaitement légitime d’analyser et de critiquer, le cas échéant, toute source de normes prétendant régir la vie des femmes, partout dans le monde.
Nous avons, par exemple, récemment écrit un texte intitulé « Les vraies féministes en colère », publié par L’Humanité.
Nous sommes universalistes et nous nous réclamons de l’universalité de droits humains fondamentaux, valables pour tous les êtres humains, quel que soit, entre autres critères possibles de distinction, leur sexe.
 
Il y a quelques années, nous étions durement opposées aux mouvements dits, en gros, « différentialistes » ou « relativistes ». Ainsi, nous nous opposions à des « psys » qui « comprenaient » l’excision… Aujourd’hui, nous sommes mises au ban des accusées par des féministes et des laïcistes qui, tout en se vantant de combattre « l’intégrisme » et l’interdiction du « blasphème », nous reprochent ce qui est la définition du blasphème selon les nombreuses législations anti-blasphème des pays européens : Allemagne, Autriche, Danemark, Suisse, Grèce, Irlande, Islande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal…

Ces lois interdisent, en effet, toute critique féministe des idées issues de religions, car toute critique de ces idées est offensante, effectivement, pour les croyants.

Elles étaient, jusqu’à il y a peu, tombées en désuétude. Qui les ravive aujourd’hui ? Tous les défenseurs de l’« islam ». Qui confondent allègrement sous ce nom foi, lois, idées, personnes, civilisations « islamiques ». Dont les antiracistes et féministes qui ne se privent pas, par ailleurs, d’attaquer les textes et dogmes juifs et catholiques, comme la naissance d’Adam avant Ève, le péché d’Ève, la virginité de Marie, etc. Mais affirment qu’attaquer l’« islam » — et pas seulement ce qui serait une mauvaise interprétation de l’islam, l’« islamisme » — est du racisme.

Aujourd’hui, le mouvement féministe européen paraît mort aux yeux des féministes de pays musulmans qui comptaient sur nous, féministes européennes, pour les aider à échapper à la loi islamique. Mort par chute dans le différentialisme le plus éhonté.

Elise Elisseievna

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Obertone « enfariné » : petits arrangements entre « antifas » et médias

 

 
Un sociologue inspiré pourrait écrire, au moment de classifier les militants politiques selon leurs habitus, que les antifas chassent toujours en meute. Un politologue honnête ajouterait, quant à lui, qu’il est davantage question de fascisme dans le comportement, souvent violent, de ces jeunes gens de gauche que dans celui de leurs proies, souvent isolées.

Ce samedi à Lille, en marge d’une manifestation contre « La Citadelle », local du mouvement Génération identitaire, la cible se nommait Laurent Obertone, auteur de La France Orange mécanique, un des meilleurs ouvrages rédigés à ce jour sur l’ensauvagement, mais aussi d’Utoya, relatant l’épopée sanglante d’Anders Behring Breivik, de La France Big Brother, sur le conditionnement d’une population, et, plus récemment, de Guérilla, imaginant, en temps réel, l’embrasement de la France.
Dans l’article relatant les faits pour Les Inrocks, Cyril Castelliti décrit l’« enfarinage » dont aurait été victime le polémiste à succès : « D’un pas ferme, les militants investissent les lieux. Le ton monte alors que le groupe descend au sous-sol où se déroule la rencontre. Les insultes fusent, la farine aussi. »

Le calme revenu, un certain Marc commente son acte de résistance : « Il faut que les gens prennent conscience du danger de la situation. Nous assistons à une véritable montée des idées fascistes. 

Des brigades anti-racailles se forment en France. Il faut réagir. » L’heure est grave : la peste brune a fait sa réapparition dans nos villes. No pasarán !

S’il n’y avait eu un tel abîme entre le talent des auteurs respectifs, on se serait cru dans L’Armée des ombres, de Joseph Kessel, avec, dans la peau de Philippe Gerbier et de Mathilde, des jeunes myrmidons vêtus de pulls à capuche.

La plume sous laquelle coule la bravoure est celle d’un « antifa » agissant sous le nom de « Kapsy Katrik » lorsqu’il chasse ses « ennemis bruns » et de Cyril Castelliti quand il revêt ses habits lustrés de journaliste (ou plutôt, pour rependre ses termes d’agent double, « d’infiltré dans les médias »). Une rapide visite sur Facebook ne laisse planer aucun doute sur la double vie du jeune homme.

C’est Laurent Obertone lui-même, niant par ailleurs avoir été « enfariné », qui a révélé le pot aux roses sur son journal en ligne, avant de poursuivre la réflexion : « Quoi qu’il en soit, Pigasse [ndlr : propriétaire du magazine] ne peut plus financer ça, et Les Inrocks n’ont pas le choix : soit ils virent ce militant infiltré, chargé de com’ des antifas, soit ils assument être l’organe officiel de la mouvance, et rémunérer des militants antifas actifs. »

Les Inrocks n’ont jamais caché leur tropisme gauchisant. C’est d’ailleurs leur droit le plus strict que d’assumer leur ligne éditoriale. Néanmoins, leur devoir, au moins déontologique, est de relater les faits dans leur véracité ou, au moins, de ne pas tromper leurs lecteurs sur le pedigree de leurs rédacteurs. 

Cliquez ici pour écouter notre entretien téléphonique avec Laurent Obertone.

Gregory Vanden Bruel

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La requête de la Grande Mosquée de Marseille rejetée

 

 
Le tribunal administratif de Marseille, qui statuait en référé, vient de rejeter la requête de l'association de la Grande Mosquée de Marseille. Dans son ordonnance, le juge estime qu'"une reprise des relations contractuelles à titre provisoire (entre l'association et la mairie de Marseille) serait, dans les circonstances de l'espèce, de nature à porter une atteinte excessive à l'intérêt général". Le tribunal rappelle l'état de délabrement du site et notamment que l'association n'a pas respecté ses engagements, en ne payant pas ses loyers en 2015, ce qui la rend débitrice de plus de 62.259 euros. Il en conclut que "la matérialité de l'ensemble des faits reprochés à l'association n'apparaît pas sérieusement contestable".

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La Mosquée de Paris se retire des nouvelles instances gouvernementales de l’Islam de France

La Mosquée de Paris se retire des nouvelles instances gouvernementales sur l’Islam de France

L’information est tombée ce soir. Dalil Boubakeur a fait savoir par la presse que la fédération de la Mosquée de Paris et ses mosquées inféodées se retiraient de l’instance de dialogue sur l’Islam initiée par Caseneuve mais également de  la fondation de l’islam en France du vizir Chevènement.
Un camouflet total pour le gouvernement PS qui aura tout fait pour faire revivre le cadavre de l’islam de France en la personne du CFCM. La Fondation de l’islam de France et l’instance de dialogue étaient en effet sensées donner un second souffle à l’organisation étatique de l’islam de France.
Cette reculade de Dalil Boubakeur sonne le glas de ces initiatives d’OPA du gouvernement sur l’Islam et la gestion de la communauté musulmane en France initiée par Valls et son second.
Une nouvelle fois le gouvernement français échoue dans sa volonté d’encadrement paternaliste de la communauté musulmane. Ce désaveu intervient alors que le nouveau ministre de l’intérieur avait demandé une accélération du processus … Il pourra encore attendre.
L’exclusion de la société civile musulmane, de sa jeunesse et de ses acteurs communautaires au profit de fédérations serviles inféodées à des ambassades étrangères ne paye plus. Même les serviteurs des ministères leur font maintenant défaut à face découverte. Un camouflet également pour les militants à mi-temps qui avaient accompagné lâchement cette initiative délétère en plein état d’urgence anti-musulman.
Dalil Boubakeur a même déclaré dans un style très Islam&Info :
« Nous dénonçons toute forme d’ingérence dans la gestion du culte musulman»
Une attaque directe contre la gestion néo-coloniale de l’islam de France voulue par les politiques et gouvernements.
Une gageure donc pour le gouvernement PS, ses services et son « islam discret » mais une victoire pour vos serviteurs à l’Islam en france et sans complexe
 
 
 
 
 

mardi, 24 janvier 2017

Policiers pour la sécurité des enfants dans les écoles : et la CGT proteste !

 

 

Quelle légitimité les représentants d’un syndicat d’enseignants, dont les instances nationales ont cautionné, à de multiples reprises, des campagnes de dénigrement à l’encontre des forces de police, et encouragé des manifestations violentes, ont-ils pour se prononcer sur des mesures de sécurité voulues par une autorité publique ? Aucune. Bien plus : la tentation peut même être grande de renvoyer ces donneurs de leçons à leurs propres carences. Qu’ils commencent d’abord par se remettre en cause et cessent, par leur aveuglement idéologique, de fabriquer des générations d’illettrés. Rappelons, pour mémoire, qu’entre 20 et 25 % de nos élèves rejoignent, chaque année, la classe de 6e sans maîtriser le français, tant à l’oral qu’à l’écrit. Mais il est vrai qu’il ne s’agit pas d’illettrés mais d’élèves en difficulté !

Car c’est bien de sécurité en milieu scolaire que la CGT Éduc’action et la CGT Nice Métropole Côte d’Azur, appuyées en cela par la FCPE locale, ont décidé de se mêler, en contestant certaines des mesures envisagées par la mairie de Nice à l’occasion de la prochaine rentrée scolaire. Parmi celles-ci, la présence d’un policier municipal armé au sein de chaque école.

Dans ce contexte, il est toutefois nécessaire de rappeler que la mise en place d’une politique globale de sécurité ne peut être une réponse dictée par l’émotion. Elle doit, dans le cadre de la loi, s’appuyer sur des faits tangibles et proposer des solutions cohérentes, rationnelles et aussi complètes que possible. Destinées à s’appliquer à l’ensemble d’une population, elles doivent également recueillir son assentiment. 

Ainsi, pour séduisante qu’elle paraisse, la mesure envisagée ne saurait se suffire à elle-même. Un policier seul, fût-il armé, n’a jamais été un obstacle solide face à un kamikaze ou un terroriste déterminé et lourdement armé. Bien plus : comment envisager de protéger les établissements scolaires sans prendre en considération l’ensemble des lieux qui accueillent du public ?
 
Lutter contre l’insécurité, et a fortiori contre le terrorisme, nécessite donc la mise en place d’une stratégie faisant appel à des notions de défense active et passive. Contrôle des périmètres sensibles, protection matérielle des cibles potentielles identifiées, suivi et contrôle des mouvements et des flux de personnes sont les préalables indispensables à toute forme de réaction. Cette dernière, confiée à des personnels formés, entraînés et en nombre suffisant, doit, par ailleurs, intervenir dans un cadre parfaitement légal et sécurisé.

Si les dispositions sécuritaires retenues par la mairie de Nice doivent être analysées minutieusement, ce n’est certainement pas, comme le dénonce la CGT, parce qu’elles sont démagogiques ou qu’elles jouent sur les peurs. La peur est bien là, et les démagogues sont à rechercher parmi ceux qui, à la première occasion, mettront en cause les policiers qui n’auront pas su ou pas pu réagir avec efficacité.

Face aux événements vécus, et à ceux qui ne manqueront pas de se produire, c’est une réflexion d’envergure qui doit être menée. Tous les moyens, humains et matériels, qui peuvent être mis en œuvre doivent être mobilisés pour que de nouveaux carnages ne se produisent pas. Force est, malheureusement, de constater que chaque jour qui nous éloigne des derniers actes terroristes nous incite à baisser la garde. C’est une erreur fondamentale. Quant aux arguments de la CGT en la matière, prenons-les pour ce qu’ils sont : des foutaises !

 Olivier Damien

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Un incubateur d’entreprises interdit aux Français mais payé par les Français !

 

 
Vous souhaitez être accompagné dans la réalisation d’un projet culturel ? Vous rêvez de créer votre entreprise ? Vous vous sentez déclassé socialement suite à une longue période de chômage ? Vous êtes même peut-être SDF ?

SINGA France vous accueille dans ses locaux parisiens du XIe arrondissement. Dans ces modestes locaux de 450 m2 refaits à neuf, l’association met GRATUITEMENT et SANS CONDITION à votre disposition tous les outils et toutes les compétences nécessaires à la réalisation de votre projet de création d’entreprise.

À vrai dire, il y a quand même une condition : VOUS NE DEVEZ PAS ÊTRE FRANÇAIS ! En effet, cet incubateur est réservé exclusivement aux réfugiés et aux migrants.

Cette association ne gère pas que cet incubateur.

Elle propose des solutions d’hébergement chez l’habitant pour les réfugiés (SDF français « go home » ou, justement, « go out ») et développe une application pour smartphone permettant de mettre en relation hébergeurs et migrants. Vous noterez, au passage, que nos migrants ont un smartphone, alors que mon père n’en a pas. L’association, créée en 2012, a ainsi trouvé des logements pour 380 réfugiés et accueille, cette année, sa deuxième promotion de 12 « entrepreneurs ».

Modestes résultats pour cette association au budget de plus de 610.000 € (dont 123.000 € de salaires chargés, 20.000 € de fournitures et matériaux, 12.000 € pour la location des bureaux, 11.000 € en voyages et missions, 2.500 € de titres restaurant et 1.400 € de téléphone et Internet) en 2015 !

D’ailleurs, d’où vient cette manne financière ? Les dirigeants de l’association rappellent fièrement les partenariats privés obtenus auprès de sociétés comme Free, Vinci ou Carrefour. L’étude de leur budget 2015 révèle également une subvention de la région Île-de-France de 20.000 € (merci, M. Huchon), une subvention de 80.000 € de la ville de Paris (merci, Mme Hidalgo) et, pour finir, une subvention de 200.000 € versée par la FAMI (Fonds asile migration et intégration), fonds sous tutelle du gouvernement via le ministère de l’Intérieur (merci, M. Valls).

Bref, 610.000 € financés pour moitié par les Français pour une association qui leur est interdite.

Les contribuables apprécieront !

Sources : comptes annuels 2015 de l’association SINGA France
Région IDF – Commission permanente du 8 octobre 2015 – Dossier 15018542

Laurent Sailly

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lundi, 23 janvier 2017

Lyon : 350 personnes ont réclamé "justice et vérité pour Adama"

 


Ce dimanche après-midi, près de 350 personnes se sont rassemblées place Jean Macé à Lyon.

Cinq mois après la mort d’Adama Traoré lors de son interpellation à Beaumont, les manifestants ont réclamé "justice et vérité" pour le jeune homme. Et notamment la condamnation de ceux qu’ils jugent responsables de son décès.

Pas de débordement à relever lors du défilé lyonnais, les soutiens de la famille Traoré ont scandé des slogans anti-policiers avant de se disperser.


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NATION agit…pour les nôtres !

Par les grands froids qui règnent actuellement, l’association « Pour les Nôtres » en collaboration avec le Mouvement NATION a relancé des maraudes sociales.


C’est ainsi que ce dimanche 22 janvier, à Mons et à Namur, de la soupe et des vêtements chauds ont été proposés à de nombreux SDF.

Tous les volontaires présents ont pu constater à quel point, de petits actes de solidarité et de chaleur humaine peuvent compter pour des gens qui sont dans la misère.

En voyant nos compatriotes dans de telles difficultés, on ne peut qu’être d’autant plus révolté lorsqu’on voit à quel point, certains politicards s’en mettent plein les poches.

Une anecdote significative est d’ailleurs à signaler à Mons où le patron d’un établissement situé sur la Grand Place (1) nous a demandé d’aller servir les SDF sur l’autre trottoir. Sans doute que cela faisait tâche devant son établissement. A noter que cet établissement est connu pour être proche du PS, un des clients portant d’ailleurs un sweet-shirt « antifasciste ».

Plus que jamais, à bas la gauche caviar et félicitations à ceux qui ont bravé le froid pour aider les nôtres !

(1) Il s’agit du Central, histoire que vous le sachiez pour ne plus jamais y dépenser un euro…




 

Montpellier : l'extrême gauche attaque une réunion de Génération Identitaire

 

 
Montpellier : l'extrême gauche attaque une réunion de Génération Identitaire


Hier soir à Montpellier, une réunion publique de Génération Identitaire a été attaquée par des racailles d'extrême gauche.

Le service d'ordre a repoussé puis chassé les agresseurs qui ont même abandonné deux des leurs (des femmes !) dans leur déroute. Celles-ci se sont empressées de dénoncer leurs petits camarades à la police.

Après cet échauffement, la réunion a pu reprendre dans le calme, devant près d'une cinquantaine de personnes, et de nombreuses nouvelles adhésions ont été effectuées.

Manifestations de femmes en Inde

Des centaines de femmes se sont rassemblées samedi soir dans une trentaine de villes en Inde pour « occuper les rues la nuit » et exiger la sécurité de l’espace public après une série d’agressions sexuelles survenue lors du réveillon du nouvel an.


De New Delhi à Kolkata dans l’Est, de Chennai dans le Sud à Bombay dans l’Ouest, des militantes, des étudiantes, des travailleuses se sont rassemblées pour chanter des chansons ou déclamer des poèmes sur l’égalité des sexes. De nombreux hommes étaient également présents.

« Reprenons la nuit, brisons le silence » ou encore: « Personne ne demande à l’agresseur ce qu’il portait », pouvait-on lire sur les banderoles déployées par les manifestantes.

« Depuis l’âge de 12 ans, je ne me suis jamais sentie à l’aise dans la rue, de jour comme de nuit, mais c’est la première fois que je participe à une marche comme celle-là », a expliqué Anuradha Sinha, 37 ans, cadre dans une société de commerce électronique. « J’ai une fille de 2 ans, je ne veux pas qu’elle endure ce que nous devons endurer tous les jours. Cela doit changer », a-t-elle ajouté.
Ces manifestations en Inde ont coïncidé avec de nombreuses marches des femmes organisées dans le monde entier pour protester contre les propos misogynes et racistes du nouveau président américain Donald Trump.

Mais les organisatrices de cette campagne ont expliqué qu’elle gardait une spécificité propre à l’Inde, où plusieurs femmes ont été sexuellement agressées par une foule dans le centre de Bangalore, dans le sud de l’Inde, la nuit du 31 décembre.

Le viol collectif d’une passagère à bord d’un bus à Delhi en décembre 2012 a favorisé l’émergence en Inde d’un vaste mouvement contre les violences sexuelles, qui sont répandues dans le pays.

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Insultes racistes : «Stupéfaction» à Bastia suite aux «accusations» de Balotelli

Dans un communiqué, Bastia a réagi à la polémique lancée par Mario Balotelli,qui s’est plaint sur les réseaux sociaux d’avoir été la cible de «cris de singe» vendredi lors de Bastia-Nice : «Depuis la mi-journée un message posté sur un réseau social du joueur niçois Mario Balotelli, selon lequel ce dernier aurait subi durant toute la rencontre Bastia-Nice des cris de singe émanant de supporters bastiais, a entrainé une stigmatisation en règle de notre club et du public de Furiani. N’ayant à aucun moment constaté ni été informé hier soir, tant par les arbitres, les délégués, ni par aucun membre de l’OGC Nice d’un quelconque incident de ce type, c’est avec stupéfaction que notre club a découvert ces accusations a posteriori, qui portent un tort considérable à l’image du Sporting dans son ensemble.» 


«Depuis toujours attaché aux valeurs fondamentales de respect, le SCB sait ce qu’il doit aux joueurs de toutes origines qui ont porté et portent encore nos couleurs, poursuit le club corse dans son communiqué. Prenant acte du communiqué de la LFP annonçant l’ouverture d’une enquête, notre club se tient donc dès à présent à l’entière disposition des instances afin que toute la lumière soit faite, de manière irréfutable et non équivoque, sur ce type de comportements par nature stupides et inacceptables.» 

Source 

Conférence sur l'avenir de l'Etat islamique (Daesh)

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L'INSTITUT DE LA DÉMOCRATIE ET DE LA COOPÉRATION 
vous invite à une conférence sur le thème
Que veut l’Etat islamique 
et quelles sont ses chances de l’obtenir?
mercredi 25 janvier 2017, à 18h30 au 63bis rue de Varenne, Paris 7e.  
Intervenants: 
  • Mezri HADDAD, président du Centre international de Géopolitique et de Prospective Analytique, ancien diplomate tunisien;
  • Cap. Grégoire CHAMBAZ, Rédacteur adjoint de la Revue Militaire Suisse;
  • La conférence sera présidée par Ekaterina NAROTCHNITSKAÏA, chercheur à l’Académie russe des sciences, vice-présidente de l’IDC. 
Inscriptions:  idc@idc-europe.org / 01 40 62 91 00

Source 

Les migrants sont de retour à Calais

 

 
Malgré le démantèlement de la "Jungle" en octobre dernier, entre 200 et 400 migrants, pour la plupart des jeunes, sont revenus à Calais, toujours dans l'espoir de gagner l'Angleterre.

Pression policière

 

 « On est toujours très vigilant à ce qu’il n’y ait pas de squat qui se reforme et à l’heure actuelle il n’y en a toujours pas », avait pourtant indiqué la préfecture du Pas-de-Calais.

En effet, la pression policière pour empêcher un nouveau camp d'émerger n'a jamais été aussi forte, a constaté sur place Le Parisien. Mais les migrants sont revenus.

« Avec l'expérience du démantèlement de Sangatte, on savait que les migrants reviendraient, mais on les attendait au printemps », détaille Amin Trouvé-Baghdouche, coordinateur pour Médecins du monde, au Parisien. « Là, c'est plus tôt que prévu. »

Samedi, un migrant âgé d’une vingtaine d’années et de nationalité éthiopienne est mort après avoir heurté un camion aux abords de Calais.

Il s’agissait du premier décès de migrant depuis le démantèlement de la "Jungle" de Calais.

Source 

Vidéo : une ancienne musulmane nous alerte et nous avertit…

 




Alicia Kolba 3 - copie
Vraiment c’est à voir st surtout à écouter ! Celle qui nous parle, dans cette vidéo, des dangers de l’islam pour nos sociétés et pour tout l’Occident, se présente comme Alicia Kolba et ancienne musulmane vivant aux États-Unis. C’est donc d’abord aux citoyens de ce pays qu’elle s’adresse en anglais, mais ses paroles sont sous-titrées en français par un locuteur probablement Québécois (traduire shopping par magasinage semble le démontrer…). N’hésitez pas à partage la mise en garde de cette Judith d’aujourd’hui !
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Et maintenant, le viol des vieilles dames !

 
Au catalogue des paradoxes de notre époque, celui qui suit n’est pas le moindre : on trouve en effet réunis, dans une même société, des idées et des comportements qui, loin d’être faits pour cohabiter, devraient plutôt s’invalider structurellement et s’exclure mécaniquement. 

Dans quelques siècles, si par chance nos successeurs ont retrouvé le bon sens que nous avons perdu, leurs historiens qui s’intéresseront à notre monde s’étonneront de voir qu’une société d’êtres humains a existé où les uns, cédant à tous les caprices de l’imagination, se sont mis en tête de ne plus manger un œuf en signe de respect pour la vie sous ses formes animales et végétales, tandis que d’autres ont sans cesse repoussé les limites de l’ignoble et de la barbarie. 

Quelle autre époque peut se targuer d’avoir vu un multirécidiviste en liberté abattre de sang-froid, pour un motif dérisoire, un « vegan » sans gluten ?

L’abandon progressif de l’armature morale qui fonde une société bien portante nous conduit à voir repoussées constamment les limites de l’intolérable. 

Ultime avatar de la loi du plus fort, version définitive du monstre à visage humain : l’agression, parfois mortelle, souvent sexuelle, des personnes âgées. Réputés sans défense, et éveillant à ce titre notre empathie et notre sollicitude, témoins des temps passés, représentants d’une sagesse forgée par les années, les « vieux » ont été jusqu’à récemment un sanctuaire intouchable et intouché. Dans la nuit du 12 au 13 janvier, dans l’Aisne, puis le mardi 17 du même mois dans l’Eure, deux malheureuses, âgées respectivement de 88 et 72 ans, ont eu, elles, le malheur de croiser la route de ces monstres que le modernisme produit désormais à échelle industrielle dans notre pays. Violées, volées, battues, torturées, et même brûlée pour l’une des deux, elles ont enduré le calvaire qui jette une honte définitive sur notre monde.

L’émotion légitime que cela suscite s’ajoute à l’inquiétude de voir se produire ces ignominies de plus en plus souvent si on ne prend pas la mesure de leurs causes. Au lieu de cela, on décuple les moyens de police et de justice pour tenter de canaliser, de plus en plus vainement, le déferlement d’une violence assumée devenue un moyen d’expression comme un autre. L’étude étiologique des racines du mal a pourtant été faite depuis longtemps par des gens intelligents, hélas connus de quelques initiés seulement. Le philosophe Louis de Bonald (1754-1840), dans un recueil de textes publié en 1819 sous le titre Mélanges, écrivait ceci :
« Vous affaiblissez la foi des peuples aux grands principes de la religion ; il vous faudra multiplier les mesures de surveillance et de répression. Ce que vous épargnez en instruction forte et sévère pour l’enfance, vous le dépenserez un jour en rigueurs pour les hommes faits ; et parce que vous aurez porté la mollesse de Solon dans la morale, vous serez obligé de porter la dureté de Dracon dans la police. »
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En écho, le philosophe Gustave Thibon (1903-2001) confirme que « [la meilleure société] est celle où il y a un maximum de mœurs et un minimum de lois ».

 Jonathan Sturel

Source 

Islamisation de la France : quand la charia crée ses ghettos

 

 
Des musulmans en prière dans un stade, à Marseille. Une occupation de l'espace public de plus en plus visible. Photo © AFP
 

Islamisation. Aux quatre coins du pays, la charia a créé ses ghettos. Dans le décor comme dans les relations personnelles, certains quartiers et certaines populations sont en voie de partition avancée. Tour d’horizon d’un processus qu’il y a tout lieu de craindre inexorable.

 Devant le bar où Ismaël (le prénom a été changé) sirote tristement son verre, un cortège de salafistes défile d’un pas rapide, véritable procession de têtes baissées et de corps ficelés dans des qamis, ces djellabas sans capuche, desquelles dépassent les seules chevilles. La France parallèle, celle de la charia, des provocations et des fichés S, celle de la région parisienne comme des grandes villes de province, détourne son regard du petit café sans âme du Blanc-Mesnil et presse le pas pour se rendre à la mosquée.

 Elle supporte difficilement l’attitude “trop française” de son mari

À 43 ans, Ismaël, agent de sécurité dans le secteur privé, amateur de scotch bon marché à ses heures, est considéré comme l’apostat du quartier. Au mieux, on le raille. Au pire, on le menace. Une islamisation culturelle, qui doit beaucoup à la démographie, et à des intégristes toujours plus nombreux et plus craints que jamais. « On ne me considère pas comme un musulman. Même mes parents ne m’ont jamais vu comme un homme assez pieux. Il y a seulement quinze ans, en France, ça allait encore. Mais désormais c’est pesant, que ce soit au travail, où mes collègues prennent des pauses pour prier et faire leurs ablutions tout en me sermonnant, ou dans une mosquée de La Courneuve dont j’ai pourtant été le secrétaire bénévole. On m’appelle d’ailleurs le “mécroyant” [sic]. Aujourd’hui, c’est même au tour de mes voisins de culture chrétienne de me rappeler mes obligations au moment du ramadan », confie, tout en se resservant un verre, ce petit homme, débarqué en France en 1991.
 
Sa femme, bien plus religieuse, reste à la maison toute la journée. Quoiqu’analphabète, elle prétend savoir lire le Coran et tout connaître des hadiths. Elle supporte difficilement l’attitude “trop française” de son mari, mais semble beaucoup plus tolérante à l’égard d’une mosquée de La Courneuve, où sa fille, inscrite à l’école coranique de l’association cultuelle, a tout bonnement appris qu’elle ne pourrait réaliser son rêve, devenir avocate, « un métier de menteur et donc non islamique », lui a-t-on expliqué. Omnisciente sur l’islam, elle n’est pas au courant qu’Ismaël, d’origine mauricienne comme elle, fuit régulièrement, pour aller trinquer au bar, le climat familial du petit pavillon HLM plutôt coquet qu’ils occupent, à 200 mètres à peine de la mosquée salafiste du Blanc-Mesnil, lieu que fréquentait Samy Amimour, l’un des assaillants du Bataclan. Dans cet estaminet, on sert toujours de l’alcool, y compris les vendredis de grande prière. Pour combien de temps encore ?

« La génération Mitterrand est arrivée dans la magistrature et n’ose pas agir. C’est foutu »

Depuis quelques années, on n’y organise plus la fête de la Musique. Ça embêtait le voisinage, trop pieux, trop conservateur, trop majoritairement islamiste, et plus habitué aux bistrots ethniques — c’est-à-dire sans alcool — de la ville voisine de Bondy, où le café allongé de lait et servi dans des verres a remplacé la bière pression, et d’où les femmes sont absentes. Dans le coin, la seule pression qui existe est celle exercée par les islamistes.
 
Le patron du bar, d’origine algérienne, ne veut pas s’en ouvrir : « Non, non, ne me citez pas… Je préfère ne pas en parler. » On sent son agacement et sa gêne cependant que des fidèles musulmans, revêtus de chasubles fluorescentes, font au même moment des gestes de sémaphores pour régler la circulation, anarchique à cette heure de la journée, devant la mosquée. En l’absence de la police municipale, pourtant créée sous le mandat — commencé en 2014 — du maire LR Thierry Meignen, ce sont eux qui assurent cette mission.
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Une femme en "jilbab" sort d'une salle d'audience au tribunal. Exploiter toutes les failles de la loi. Photo © AFP
Autre front sur lequel la charia ne cesse de progresser et la République de reculer : le mariage. Ismaël s’est d’abord contenté de se marier religieusement mais, ajoute-t-il, « depuis, j’ai régularisé ma situation… Au bout de dix ans, je suis finalement passé devant le maire ». Un cas qui n’est pas du tout isolé. Nombreux sont les imams à outrepasser le code pénal, qui sanctionne pourtant le mariage exclusivement prononcé par un ministre du culte. « Qui se souvient d’une condamnation d’un imam pour de telles pratiques ? C’est pourtant puni de six mois de prison », souffle un avocat marseillais, « préférant rester anonyme pour des raisons commerciales [sic] », ses clients étant pour la plupart des musulmans. « On ne veut déjà pas faire retirer le voile aux femmes venues témoigner dans les procès… Alors, allez vérifier s’ils sont, en plus, mariés civilement… Les juges sont complexés. La génération Mitterrand, celle qui n’a connu que l’idéologie du “vivre-ensemble”, est arrivée dans la magistrature et n’ose pas agir. C’est foutu », poursuit-il.
 
Les palais de justice de France, autres lieux où, lentement, un droit succède à un autre ? François, qui fut juré aux assises de Bobigny, se souvient des intimidations que la communauté musulmane adressait aux membres de la cour à la sortie des audiences : « À midi, on finissait par manger nos gamelles entre quatre murs. Trop de menaces pesaient sur nous pour qu’on aille se restaurer ailleurs. » Il n’y a pas qu’à Bobigny où l’islam se fait visible : à Béziers, dans l’Hérault, les agents de sécurité du tribunal hésitent à fouiller les femmes voilées à l’entrée. Peur du scandale ou, parfois, solidarité communautaire.
La visibilité de la “chariaïsation” est désormais une réalité de coin de rue
 
La loi, les musulmans intégristes en jouent autant qu’ils veulent et autant qu’ils le peuvent. La France n’est pas que métamorphosée dans son paysage, elle l’est également dans son organisation sociale. Ce laisser-faire législatif s’illustre notamment au moment des grands rassemblements islamiques. Ainsi, à Montpellier, à l’occasion du salon annuel des musulmans du Languedoc, sorte de répétition de celui de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) du Bourget, qui se tient quelques semaines plus tard au printemps, des petites guérites en toile, qui ressemblent à s’y méprendre à des confessionnaux, sont installées sous le hangar du parc des expositions. Elles sont appelées “espaces fatwa”. C’est là qu’on vient régler, de manière halal, son mariage religieux, ses successions… Bref, tout ce qui a trait au droit de la famille. « Il ne faut pas exagérer le rôle de ces espaces fatwa. Il y a des savants qui jouent le jeu. Même si, surtout parmi ceux proches de l’UOIF, il existe des charlatans qui officient à la manière de juges islamiques », explique en off un imam strasbourgeois. On n’est pas loin des tribunaux de la charia, qui ont poussé un peu partout en Grande-Bretagne, notamment en banlieue de Londres.
La visibilité de la “chariaïsation” des relations personnelles, sans atteindre encore celle du Royaume-Uni, est pourtant désormais une réalité de coin de rue. Noorassur, une banque islamique, vient ainsi de s’installer à Nantes, à Pont-Rousseau, plus grand quartier de la capitale de la région Pays de la Loire. Elle se situe à dix minutes du centre-ville en tramway, dans un secteur assez mixte, constitué, d’un côté, de pavillons assez bobos et, de l’autre, de barres HLM. L’agence ne désemplit pas. Les fidèles musulmans y font souvent la queue. S’appuyant sur une armée de courtiers, cet établissement, fort de son réseau national, propose des placements et des assurances qui se fondent sur la loi uniquement musulmane. « Où va l’argent ? On sait très bien que les financements halal sont assez occultes. Et qu’ils servent à subventionner des mosquées, parfois pas très recommandables. Que font les pouvoirs publics ? », s’interroge le président de l’association Vigilance halal, Alain de Peretti. Comme les boucheries ou encore les pompes funèbres halal, ce genre d’institution vient accentuer davantage la formation de nouveaux ghettos identitaires, avec des acteurs et des décors qui alimentent, de plus belle, les théories du “grand remplacement”.
 
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Une serveuse voilée dans un "snack hallal" en région parisienne. Photo © AFP
Dans l’est du pays, Mulhouse est un autre exemple frappant de cette “halalisation” urbaine. Il suffit de se promener dans le quartier de Bourtzwiller. En Algérie, dans les années 1990, on les appelait “les hitistes”. Littéralement : ceux qui tiennent le mur. Chômeurs installés des journées entières au pied des immeubles, parfois “chouffeurs” (guetteurs) pour quelques dealers, mués en une dizaine d’années en gardiens de l’ordre moral islamique, ils sont légion dans ce quartier de la cité alsacienne, où la dernière boucherie traditionnelle, Tempé, a revendu son fonds à des commerçants halal. Tout se prête à cette islamisation tranquille : le quartier des Côteaux est un réservoir à salafistes. Le centre-ville lui-même s’est métamorphosé : on ne compte plus les bars abandonnés, les tourne-broches halal, les écoles coraniques.

« Tout a changé à une telle vitesse, ici »

Valérie, Mulhousienne de 41 ans, s’amuse sur sa page Facebook à recenser les cafés fermés, photos de devantures à l’appui. C’est devenu quasiment un passe-temps archéologique dans cette ville où s’édifie une mosquée gigantesque, le centre An-Nour, sur un terrain qui fut, naguère, industriel. Pour une vingtaine de millions d’euros, ce lieu de culte pourra accueillir au total plus de 2 300 fidèles.
« Tout a changé à une telle vitesse, ici », se lamente Valérie, qui ne prend plus les transports en commun « par peur de se faire caillasser » et garde avec elle « un Taser dans le sac à main, au cas où… » Le samedi, jour de soldes, on peine à reconnaître la ville. La rue du Sauvage, artère piétonnière du centre historique, est un défilé de femmes voilées, le marché de la place Franklin ne propose presque plus que du halal et les stands de foulards islamiques y pullulent. Comme si Mulhouse était vendu par pans entiers aux tenants d’un islam dur. Comme si le décor de l’ex-capitale du textile alsacien résumait à lui seul le détricotage de la France.


Alexandre Mendel
 

dimanche, 22 janvier 2017

Le fonctionnaire fait l'apologie du terrorisme devant son conseil de discipline

 

Un habitant de Saint-Fons âgé de 41 ans a été interpellé ce jeudi.

Les faits qui lui étaient reprochés remontaient au 21 juillet dernier. Lors du conseil de discipline qui statuait sur sa révocation de la fonction publique territoriale, le quadragénaire avait fait l'apologie du terrorisme.

Il sera présenté au parquet ce vendredi.

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Lyon : prison avec sursis pour avoir crié "je suis Daech"



Le 10 décembre dernier, un homme s’était mêlé de ce qui ne le regardait pas.

Alors qu’un contrôle de police se déroulait non loin de Fourvière, dans le 5e arrondissement de Lyon, il avait voulu défendre les deux jeunes contrôlés par les fonctionnaires.

Il avait d’abord commencé par traiter les policiers de « bons à rien » et de « bleus », selon Le Progrès. Ensuite, il avait lâché « je suis Daech ! Allah Akbar ».

C’est pour ces faits qu’il s’est retrouvé devant la justice. Malgré le fait que ce père de famille, déjà connu des services de police, ait contesté les propos retenus, il a été condamné à 4 mois de prison avec sursis.

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