Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 19 avril 2016

Terrorisme : j’irai danser sur vos tombes

musulmans-1550x660.jpg

Le ministre belge de l’Intérieur Jan Jambon (N-VA, Nieuw-Vlaamse Alliantie/Alliance néo-flamande) vient de lancer un fameux pavé dans la mare en affirmant, dans une interview accordée au Standaard, quotidien flamand, qu’« une partie significative de la communauté musulmane avait dansé à l’occasion des attentats », précisant que ce sont des faits rapportés par les services de renseignement et non de simples spéculations.

On se souvient qu’en 2001, après l’effondrement des tours jumelles à New York, et les 2.977 victimes que le 11 septembre engendra, partout dans le monde arabe, notamment à Gaza, les attentats furent célébrés aussi bruyamment qu’une victoire sportive.

Quinze ans plus tard, c’est en Occident même, dans les territoires perdus de nos pays, que l’on fête les actes barbares de terroristes agissant aujourd’hui au nom de Daech. Faut-il, dans ce contexte, s’étonner qu’il ait fallu plusieurs mois pour retrouver Salah Abseslam dans la commune même d’où il était parti commettre ses méfaits ?

Les pays de la vieille Europe ont donc leurs communes et quartiers au sein desquels la bataille métapolitique est en passe d’être gagnée par les islamistes. Dans son dernier ouvrage, La France djihadiste, Alexandre Mendel explique remarquablement comment Molenbeek est devenue une zone grise dans laquelle un environnement, que l’on qualifiera de halal, fait de boutiques vendant des livres aux titres évocateurs, d’enseignes en arabe ou de voiles, sert de terreau à la guerre sainte.

Pire encore : nous pouvons également affirmer que dans certaines écoles belges, où il n’y a plus beaucoup de têtes blondes, il est désormais interdit de manger des bonbons ou des tartines de jambon sous peine d’insultes et de crachats. N’essayez pas non plus d’y expliquer la théorie de l’évolution et ne vous aventurez pas trop dans un débat sur le terrorisme. Le Premier ministre belge, le libéral Charles Michel, tout en confirmant qu’il y a eu « des expressions de soutien aux auteurs des attentats », a néanmoins recadré son ministre de l’Intérieur, pourtant l’un des meilleurs depuis longtemps, en affirmant qu’il s’agissait « d’actes provenant de personnes minoritaires » et qu’il faut éviter « de faire des généralisations ». En d’autres termes, cachez cette réalité que je ne saurais voir.

Les médias se sont mis au diapason : alors que la Belgique organisait ce dimanche une marche contre la haine et la terreur, organisée et soutenue par le ban et l’arrière-ban de la gauche et de l’extrême gauche – sorte de marche du 11 janvier, mais à la belge -, les médias ont fait tourner en boucle l’image des quelques musulmans et musulmanes voilées présents sur les lieux. L’honneur du multiculturalisme est sauf !

Si l’on peut se féliciter que des musulmans se désolidarisent de la terreur, on ne peut occulter une réalité autrement préoccupante : oui, en Belgique, quand les cadavres jonchent le sol, certains dansent et font la fête à quelques encablures de corps sans vie !

Gregory Vanden Bruel

Source : Boulevard Voltaire

Renaud Camus : « Il faut interrompre le processus du Grand Remplacement »

À l’origine du concept du Grand Remplacement, Renaud Camus réagit aux propos tenus par Marion Maréchal-Le Pen, qui a déclaré que le Grand Remplacement est une vérité sur un certain nombre de territoires en France. Répondant aux questions de Boulevard Voltaire, il rappelle qu’il est important que les Français se dressent contre ce qu’il convient d’appeler un phénomène qui ne s’est encore jamais produit et qui ressemble à une vaste « colonisation ».

Renaud Camus

Source : Boulevard Voltaire

Mensonges d’État

imam-Rachid-Abu-Houdeyfa.jpg

Alors là, c’est grave ! Vraiment grave. Le président Hollande – j’insiste sur « président » -, interrogé sur le sort de l’imam de Brest – vous vous souvenez, c’est celui qui menace les gamins qui écoutent de la musique d’être transformés en porcs ! -, eh bien, le président a déclaré devant trois millions et demi de téléspectateurs : « Celui-là est français et ne peut pas être expulsé, mais son lieu de prière – je ne veux même pas utiliser ce mot -, ce lieu de haine a été fermé. » À une question de la journaliste demandant s’il ne pouvait pas, quand même, être inquiété, le Président a répondu : « Il est inquiété, il est poursuivi et il est dans une procédure judiciaire. »

Deux affirmations tombent donc du verbe présidentiel, la plus haute autorité de France : un, la mosquée de Brest est fermée, et deux, l’imam est poursuivi.

En réalité, deux mensonges ! La mosquée Al Sunna, là où cet excité – je parle de l’imam – prêche ses diatribes, n’est pas fermée. Ces derniers jours encore, le tenancier faisait de la retape. Il cherche 830.000 euros pour construire son école coranique qui se donne un triple objectif : l’éducation religieuse, l’apprentissage de la langue arabe et la mémorisation du Coran. Le permis de construire, accordé par la mairie socialiste, est actuellement contesté devant le tribunal administratif par des voisins. L’imam, quant à lui, le sinistre Rachid Abou Houdeyfa, contrairement à ce qu’a affirmé Hollande, vit sa vie paisiblement. Son domicile et la mosquée ont bien été un peu perquisitionnés il y a six mois, mais c’est tout : pas de poursuite, pas de procédure judiciaire en cours. Le type est libre comme l’air. Évidemment ! Il se permet même de claquer les bretelles en se fichant ouvertement du Président, un peu à la manière d’une certaine Leonarda ! En effet, selon Libération, il affirme : « L’imam de Brest n’a jamais commis le moindre délit pénal, il n’a jamais enfreint la moindre loi ou a été mis en examen suite à ses discours, contrairement à beaucoup de personnes. »

Trois jours avant la soirée catastrophe sur France 2, tous les médias nous racontaient à longueur d’antenne que François Hollande préparait son intervention avec minutie, que c’était sa dernière chance, qu’il peaufinait ses réponses, etc. Et dans ses petites fiches, rien sur la mosquée de Brest ? Rien sur ce prêcheur en eaux troubles ? Stupeur : il ne connaît pas le sujet. Ou s’il le connaît, il n’a rien compris ! C’est hallucinant de la part d’un président de la République, gardien de l’ordre, de la moralité, de la sécurité, de la cohésion des Français – de la loi, en somme. Ne pas maîtriser un tel sujet lorsque l’on parle à la France entière, qui en a plus que marre de cette islamisation même plus rampante, c’est se moquer ouvertement du monde. Et dire qu’il y a encore 13 % des gens à lui sauver la mise ! On ne tire pas sur une ambulance, d’accord, mais il y a des limites à l’incompétence ou à la fourberie. N’est-ce pas, Dilma ?

Yannik Chauvin

Source : Boulevard Voltaire

L’affaire Benzema, c’est l’antiracisme dans toute sa splendeur

benzema-1081x660.jpg

Il est des semaines où tout va mal. Les adeptes de la France multiculturelle s’apprêtaient, mercredi dernier, à fêter l’inévitable qualification du Paris Saint-Germain pour les demi-finales de la Champions League. Ils imaginaient déjà des centaines de milliers de Parisiens remonter les Champs-Élysées avec un maillot « Fly Emirates ». Peut-être même les communicants de l’Élysée avaient-ils réfléchi à faire défiler Hollande et Hidalgo revêtus du maillot du Qatar, au milieu d’une foule en liesse majoritairement venue du 9-3… Hélas, les « Parisiens » se sont liquéfiés et, pour la quatrième année consécutive, ils sont éliminés en quart de finales. Caramba, encore raté !

Comme un malheur n’arrive jamais seul, une autre bien mauvaise nouvelle tombait, le lendemain. La Fédération française de football annonçait que Karim Benzema ne serait pas retenu en équipe de France, pour le prochain Euro 2016. Le prétexte évoqué étant la volonté de « préserver le groupe ». Belle hypocrisie qui cachait une autre réalité : 70 % des Français, rejoints par Valls et le ministre des Sports, ne voulaient pas de Benzema dans cette équipe. Ces affreux « racistes » ne supportaient plus l’arrogance du joueur, ses frasques judiciaires et surtout son mépris à peine dissimulé pour le maillot tricolore, l’hymne national et notre pays. Et comme d’autre part, en deux matchs, sans « Karim », l’équipe de France avait marqué sept buts et enthousiasmé le public, imposer dans ce contexte aux supporters un joueur aussi détesté devenait périlleux. Exit Benzema, qui avait pourtant pris comme avocats Jakubowicz et Dupond-Moretti, des pointures de l’antiracisme et du politiquement correct !

Coup terrible pour le journal L’Équipe, qui nous avait fait un numéro spécial sur « celui que le monde entier nous envie ». Frustration énorme pour Cambadélis et Askolovitch qui, les rares fois où Benzema (un but tous les trois matchs, c’est peu) marque en équipe de France, tweetent aussitôt pour rappeler aux Français le prénom du buteur.

Dans un autre registre, le chef du service des sports d’Europe 1, François Clauss, osait : « Ne pas prendre Benzema, c’est céder à une certaine France raciste. C’est envoyer un message très négatif aux quartiers. » Donc, par antiracisme, il faudrait sélectionner un joueur à cause de ses origines. Intéressant…

L’ineffable Guy Roux, entraîneur mythique d’Auxerre durant 40 ans, jouera dans le même registre. « S’il s’appelait Jean-Claude et était né à Brest, on ne parlerait pas autant de cette affaire. Mais son problème est de s’appeler Karim. C’est déplorable, mais c’est ainsi. Aux yeux de certains, il paie ses origines. Il faudra un siècle avant que ce genre de préjugés disparaisse. »

Le même Guy Roux n’avait pas eu un mot, en 1998, quand Aimé Jacquet avait choisi de ne pas retenir, pour préserver le groupe, les deux meilleurs joueurs français de l’époque. Mais eux s’appelaient Éric et David, cela n’intéressait donc pas l’entraîneur d’Auxerre.

Rappelons ce que disait « l’antiraciste » Guy Roux, il y a quelque temps, sur le plateau de Ruquier : « À Auxerre, le centre de formation, c’était 80 % d’Africains, 10 % de Maghrébins et 10 % de Gaulois. » Si on applique ces principes à la société française, cela devrait aller plus vite qu’un siècle pour que « ce genre de préjugés disparaisse »…

Faut-il le rappeler, Benzema est juste mouillé jusqu’au cou dans une affaire de chantage à l’encontre d’un coéquipier de l’équipe de France, Valbuena.

Ces bonnes âmes, qui pleurnichent pour « Karim », oublient juste que, dans cette affaire, la véritable victime est celui qui, déstabilisé par cette affaire, ne sera probablement pas sélectionné pour l’Euro. Cela lui apprendra à s’appeler Mathieu, et d’avoir refusé de céder au chantage des amis de Karim…

L’affaire Benzema, c’est l’antiracisme dans toute sa splendeur !

Pierre Cassen

Source : Boulevard Voltaire

 

Vive la guerre civile ?

Une guerre civile est-elle inévitable ? Faudrait-il l’appeler de nos vœux ? Car une guerre civile aurait le triste mérite de clarifier une fois pour toutes le débat qui se joue en France au lieu de condamner la France à la mort lente par strangulation ou étouffement au travers de l’ inévitable islamisation de notre pays, processus qui est clairement en route et que rien ni personne ne semblent devoir arrêter.

Rappelons qu’à un taux de croissance de 2 % , une population double en 35 ans, à 3 % elle double en 25 ans, à 3,5 % elle double en 20 ans . Ainsi le veut l’inexorable loi des intérêts composés qui commande l’évolution du volume d’une population dans le temps. Il s’agit , bien entendu, du potentiel de croissance de la population musulmane en France. L’islamisation gagne de proche en proche tel un cancer malin, toutes les cellules du corps social français. Et nul ne s’en soucie.

Mais de quoi s’agit-il , comme aurait dit le général Foch ?

On parle beaucoup de guerre civile ici et là devant les attentats répétitifs qui ont secoué la France l’an dernier un peu comme les enfants évoquent avec effroi des malheurs épouvantables pour se faire peur sans risque.

Selon le dictionnaire, une guerre civile est un soulèvement armé qui oppose un État à une partie de la population décidée à prendre le pouvoir ou plus simplement déterminée à s’opposer au reste du pays pour de multiples raisons ethniques, religieuses, politiques, etc. Les motifs ne manquent pas. Tous les prétextes sont bons pour s’entretuer.

Le motif principal est la haine de l’autre, celui d’en face, et la volonté de ne plus vivre paisiblement ensemble au sein d’un même pays, ou d’une même nation, ou d’un même territoire, associées au désir de tuer, de détruire , de faire souffrir.. Exactement l’inverse de la définition d’Ernest Renan sur « le désir de vivre ensemble » qui, selon lui, définissait l’appartenance à une même nation. Cette définition donne un guide pour comprendre le phénomène qui se donne libre cours en France. La communauté musulmane reste encore aujourd’hui un corps étranger au sein de la nation française.

Devant les attentats meurtriers de l’an dernier, peut-on raisonnablement parler de guerre ?

En fait, on voit bien qu’il ne s’agit que d’un abus de langage, comme ceux dont Emmanuel Valls est coutumier. On l’a entendu rouge, les traits crispés et les joues gonflées, parler de guerre pour faire peur et justifier au passage les manquements et les incapacités de son gouvernement en regard des crises spasmodiques meurtrières qui ont secoué le pays en 2015.

En fait, ces attentats sont à la fois beaucoup plus que cela et beaucoup moins qu’une guerre civile. On ne peut pas dire que le pays soit en guerre le moindrement du monde. Le Marathon de Paris vient de prendre place le plus paisiblement du monde avec plus de 54 000 personnes dans les rues sans le moindre incident de parcours . Un climat de guerre civile ? Vous voulez rire.
En revanche, les ingrédients d’une guerre civile larvée, une guerre à venir, sont clairement en place.

En premier lieu , il y a la présence sur le sol national d’une importante communauté musulmane dont une fraction significative a clairement refusé l’assimilation au sens classique du terme (voir sur ce point les lumineuses analyses de Michelle Tribalat- Assimilation : la fin du modèle français, ed. du Toucan,2013) . Il faut entendre par là l’adoption des mœurs des us et coutumes de la plus grande partie de la population d’accueil , qu’il s’agisse du port du voile, de la viande hallal, mais aussi le refus d’attenter à la vie d’autrui, l’acceptation d’une justice égale pour tous, le respect du résultat des élections démocratiquement menées, en fait , tout ce qui fait le propre d’une société civilisée.

C’est par pur aveuglement politique que les gouvernements successifs, depuis Valéry Giscard d’Estaing jusqu’à François Hollande en passant par l’ineffable Nicolas Sarkozy ont laissé se constituer, année après année, cette accumulation de personnes étrangères aux traditions françaises par la religion, l’ethnie , le langage , bref, en tout.

Combien sont-ils ? Nul ne sait avec précision puisque le gouvernement, fidèle à la politique de l’autruche de rigueur dans notre pays, se refuse à autoriser la publication de statistiques ethniques ou religieuses. Mais les estimations se situent dans une fourchette allant de 4 millions (selon Michelle Tribalat) à 6 ou 7 millions selon d’autres sources (Jacques Dupâquier). Mais comment traiter convenablement un problème si l’on n’en connait pas avec précision les dimensions ?

Mais il faut garder à l’esprit que ces communautés ont un taux de fécondité largement supérieur à celui de la population française dite de souche, en fait, presque le double (soit environ 1,6 enfant par femme pour les Français de souche contre de 2,5 à 3 enfant par femme pour les Maghrébins (4,2 pour les femmes d’origine africaine).En outre, les flux migratoires, qui n’ont nullement diminué,  comportent une importante fraction de Musulmans, au moins 50 % , sinon bien davantage. En conclusion, par le seul effet démographique (fécondité plus immigration) , la place relative des Musulmans dans la société française est arithmétiquement appelée à s’élargir, avec les conséquences que l’on peut imaginer à terme.

Comment on en est-on arrivé là ?

La classe politique a totalement manqué de courage et de lucidité en s’abandonnant avec bonheur à des concepts bonasses passe partout comme la « France, terre d’asile », France « terre d’accueil » etc. etc. Elle ne s’est jamais soucié de mettre en question la validité de ces slogans commodes portés largement par les « bobos » du monde diplomatique, de la politique et de la presse résidant pour la plupart dans le 6° et 7° arrondissements pour éviter des voisinages gênants pour eux-mêmes et leur progéniture. Les voisins encombrants, c’est pour la banlieue ou les arrondissements du nord de Paris. En France, la générosité c’est toujours pour le compte d’autrui.

Ces concepts avaient l’immense avantage d’éviter à avoir à se poser des questions gênantes et à prendre des décisions difficiles. Tout est là, dans la lâcheté de la classe politique, de droite comme de gauche. Cette lâcheté a évidemment atteint son apogée avec le présent président de République qui rassemblait sur sa personne rotonde tout ce que la classe politique peut incarner de méprisable.

L’homme qui, le soir même de son élection, allait nuitamment, toutes affaires cessantes, satisfaire ses pulsions avec la petite actrice du moment , puis d’échecs en reculades, qui s’est révélé totalement incapable de faire adopter une mesure de déchéance de la nationalité pour des Français qui assassinent d’autres Français . Et tout cela par manque d’autorité et de prestige. C’est le triomphe du mépris en politique. Malheureux de Gaulle ! Quel successeur pathétique l’histoire lui aura cruellement désigné.

En fait, les candidats au terrorisme ont de beaux jours devant eux. Le seul dispositif efficace et encore pour la prévention est une police, il faut le reconnaître, remarquablement dévouée et motivée . La triste constatation est que le régime ne tient que par la police. Sinon il s’effondrerait sur lui-même. Le Général de Gaulle aura légué aux Français un système institutionnel qui tient debout par lui-même sans que rien de vivant ne vive à l’intérieur, comme dans une armure vide.

Mais le reste ? Des politiciens mous qui ont peur de leur ombre , des institutions molles qui ne permettent pas d‘agir, des politiques molles qui ne règlent rien, des associations caritatives au grand cœur aux aguets du moindre manquement à la pensée unique et des Français , il faut bien le constater, qui sont loin d’être des foudres de guerre. Après ces atroces attentats de l’an dernier le mot d’ordre du jour n’était-il de s’amuser, par patriotisme, bien sûr, et de faire la fête comme si rien de bien grave ne s’était passé ? On ne peut mieux exprimer la médiocrité d’une époque et d’un peuple veule, adonné à la jouissance du moment. Du moment que ce sont les autres qui trinquent …

Les Français sont clairement prêts à tout accepter pourvu qu’on ne touche pas au portefeuille et aux vacances . Ah, j’oubliai l’essentiel : la bouffe. Du reste , il n’y a qu’à voir le nombre d’émissions à la télévision, sur la cuisine, les petit plats, la façon de les préparer, bref, la bouffe. Pour le reste, les grands problèmes de l’heure, c’est l’affaire des autres. Faire une guerre civile dans ces conditions. Monsieur veut rire.

Or c’est à une guerre civile larvée, une guerre à venir que nous avons à faire. Pour l’affronter il faudrait du courage politique et non des accommodements au jour le jour destinés à préparer l’opinion à l’inévitable triomphe de l’Islam sur la terre de France. A cet égard il est permis de considérer que l’islamophobie tant décriée n’ est en fait que le réflexe ultime de survie de la part de Français qui se savent condamnés à disparaître.

Est-ce que le gouvernement actuel est en mesure d’ouvrir ce gigantesque chantier ?

Surement pas , ne serait-ce que parce que le socialisme est, de fait , l’antichambre de l’islamisation, son compagnon de route (Immigration : la droite pourra-elle encore gagner ? Colloque de l’Institut de Géopolitique des Populations,13 avril 2013). Cela est d’ailleurs tout à fait normal car les immigrés musulmans votent massivement socialiste . François Hollande lui-même, cette caricature de président, a été élu avec 2 millions de voix des électeurs musulmans qui ont fait la différence. Les élus socialistes sont les obligés des électeurs musulmans. Cela créé des liens et des rapports de force. Il faudra donc attendre les changements d’équipe à venir.

La bataille peut encore être gagnée à condition de l’engager dès maintenant. Cela passe par la volonté de juguler les sources de l’expansion démographique de l’islam en France. Mais il faut aussi engager la lutte pour la conquête de esprits sur le terrain à l’école, dans les mosquées, dans les cantines, sur les lieux de travail , en fait partout où aujourd’hui l’islamisme , et son frère jumeau, le salafisme, gagnent du terrain. C’est une immense cause nationale qu’ il faut entreprendre avec le concours de tous les Français.

Sinon ce sera effectivement la guerre civile, et cette guerre- là, nous avons toutes les chances de la perdre.

Source : Metamag

Le fondateur de Pegida jugé pour avoir qualifié les réfugiés de « bétail »

21500beb3a8cbd491cc402d89fbffc20.jpg

Le fondateur du mouvement islamophobe allemand Pegida va de nouveau devoir faire face à la justice de son pays. Lutz Bachmann comparaît à partir du mardi 19 avril dans son fief de Dresde, dans la Saxe, pour avoir traité les réfugiés de « bétail », dans un contexte de forte poussée de l’extrême droite au niveau national.

Déjà condamné pour braquages, violences et trafic de cocaïne, détenu quatorze mois en Allemagne après s’être enfui en Afrique du Sud, l’homme de 43 ans encourt cette fois trois mois à cinq ans de prison. Il sera jugé sur trois jours jusqu’au 10 mai, sous haute sécurité.

La justice lui reproche des propos postés en septembre 2014 sur sa page Facebook, décrivant les « réfugiés de guerre » comme du « bétail » ou de la « racaille », soit une « incitation à la haine » et une « atteinte à la dignité » aux yeux de l’accusation.

Sursaut du mouvement islamophobe en pleine crise des migrants

Les Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident (Pegida) avaient lancé leur mouvement à l’automne 2014 à Dresde, avec quelques centaines de personnes. Ils ont pris rapidement de l’ampleur avant de culminer après les attentats de janvier 2015 en région parisienne.

Mais le mouvement, après avoir tenté d’essaimer dans toute l’Allemagne et dans les pays voisins, avait subi un coup d’arrêt avec la publication par le journal Bild de photos de Lutz Bachmann grimé en Adolf Hitler puis l’implosion de sa direction, avec le départ des plus modérés.

Malgré un sursaut à l’automne dernier, porté par les inquiétudes suscitées par l’afflux record de demandeurs d’asile en Allemagne, Pegida n’a pas renoué avec ses sommets et reste principalement cantonné à son berceau dans la capitale de l’Etat régional de Saxe, en ex-RDA.

Lundi soir, lors du traditionnel rassemblement hebdomadaire de Pegida, au cœur de Dresde, M. Bachmann n’a fait aucune allusion au procès mais a ironisé sur l’émoi suscité ces derniers jours en Allemagne par la menace de poursuites contre l’humoriste Jan Böhmermann, pour un poème traitant le président turc Recep Tayyip Erdogan de zoophile et de pédophile.

« Imaginez le tollé (…) si ce poème était venu de moi ! On m’aurait arrêté directement devant la scène, placé en détention provisoire », et finalement « exécuté », a raillé Lutz Bachmann face à quelques milliers de manifestants venus réclamer l’expulsion des demandeurs d’asile et conspuer le gouvernement et la « presse mensongère ».

En quête de débouchés politiques, Pegida a multiplié les appels du pied – jusqu’ici en vain – au parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), entré à la mi-mars dans trois nouveaux parlements régionaux. Avant la crise des réfugiés vivaient en Allemagne environ quatre millions de musulmans, majoritairement d’origine turque. En 2015, le pays a accueilli plus d’un million de demandeurs d’asile, principalement venus de pays musulmans.

Source : Le Monde

Allemagne: le fondateur de Pegida au tribunal

Le fondateur du mouvement islamophobe allemand Pegida comparaît à partir d'aujourd'hui dans son fief de Dresde, dans l'est du pays, pour avoir traité les réfugiés de «bétail», dans un contexte de forte poussée de l'extrême droite au niveau national.

Déjà condamné pour braquages, violences et trafic de cocaïne, détenu 14 mois en Allemagne après s'être enfui en Afrique du Sud, Lutz Bachmann, 43 ans, encourt cette fois trois mois à cinq ans de prison. Une manifestation s'inspirant des positions de Pegida avait été organisée le 6 février dernier à Calais pour protester contre la présence des migrants dans la région.

La justice lui reproche des propos postés en septembre 2014 sur sa page Facebook, décrivant les «réfugiés de guerre» comme du «bétail» ou de la «racaille», soit une «incitation à la haine» et une «atteinte à la dignité» aux yeux de l'accusation.

Hier soir, lors du traditionnel rassemblement hebdomadaire de Pegida, au coeur de Dresde, Lutz Bachmann n'a fait aucune allusion au procès mais a ironisé sur l'émoi suscité ces derniers jours en Allemagne par la menace de poursuites contre l'humoriste Jan Böhmermann, pour un poème traitant le président turc Recep Tayyip Erdogan de zoophile et de pédophile.

Source : Le Figaro

Pour la Suisse, le bon étranger est avant tout un étranger utile

1024351271.jpg

La Suisse, qui est avant tout un pays pragmatique, voudrait introduire des quotas d’immigration au mépris de la libre-circulation préconisée par l'Union européenne, les étrangers y étant les bienvenus pour travailler, mais pas plus.

Plus de deux ans après le vote du 9 février 2014 sur l'initiative populaire "Contre l'immigration de masse", la Suisse ne sait toujours pas comment s’y prendre pour concilier les quotas voulus par le peuple et la libre circulation préconisée par l'Union européenne.

Tout au long de son histoire, les immigrés ont largement contribué à construire la Suisse moderne. Néanmoins, la Suisse est avant tout un pays pragmatique pour lequel le bon étranger est avant tout un étranger utile.

Par tradition, la Suisse n’est pas un pays d’immigration et les étrangers ne peuvent en règle générale y effectuer que des séjours temporaires. Il suffit de rappeler le fameux "statut de saisonnier".

La population, surtout rurale, est opposée à "l’emprise étrangère", estimant que la Suisse offre du travail, et ceux qui veulent le prendre n’ont qu’à s’estimer heureux et rentrer ensuite avec leurs économies se réinstaller dans leur pays d'origine. 

Dans les années 1970, cette vague xénophobe a été contre-attaquée par la gauche avec une proposition de supprimer le statut de saisonnier, qu’elle jugeait inhumain.

Dans ce contexte, il s'agissait pour la Suisse de développer son économie, tout en limitant l’immigration. Telle est sans doute la contradiction majeure de la politique pratiquée par la droite conservatrice qui plaide en faveur des quotas d’immigration au mépris de la libre-circulation.

Il est toutefois évident qu'il n'y a pas de solution miracle pour résoudre la contradiction entre quotas et libre circulation. Les analystes estiment que la Suisse va pourtant essayer de conserver autant de liberté que possible vis à vis de l'Union européenne.

Au cours des 60 dernières années, on estime toutefois à plus de 6 millions le nombre d’immigrants entrés en Suisse. Beaucoup sont repartis, mais la Confédération a connu, proportionnellement à sa taille, une immigration durable largement supérieure à celle de la plupart des pays du monde. Fin 2014, la Suisse comptait près de 2 millions d’étrangers sur 8,2 millions d’habitants.

Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), pour la période 2005-2009, la Suisse se trouve au premier rang des pays d’immigration, avec 16,5 entrées par an pour 1.000 habitants. Elle devance de peu l’Irlande (16,3) et l’Espagne (16), mais de beaucoup l’Autriche (11,1), l’Australie (9), le Canada (7,6), le Royaume-Uni (7,3), l’Allemagne (7), l’Italie (4), les Etats-Unis (3,8) ou la France (2,1).

Si l’on exceptait des cas très particuliers comme les monarchies pétrolières du Golfe, des petits pays d’accueil massif de réfugiés (Jordanie, Liban) ou des cités-Etats comme Singapour ou le Luxembourg, on dirait que la Suisse est la championne du monde de l’immigration.

Source : Sputnik

Allemagne : pour l'AfD, l'islam est incompatible avec la Constitution

allemagneafdpolitique-jpg_3499397_660x281.jpg

Le parti populiste allemand AfD a créé la polémique outre-Rhin en estimant qu'"il n'y a pas d'islam démocratique, y compris en Allemagne".

Le parti populiste allemand Alternative für Deutschland (AfD) a déclenché de nombreuses réactions lundi en affirmant que l'islam n'était pas compatible avec la Constitution allemande. "L'islam est en soi une idéologie politique qui n'est pas compatible avec la loi fondamentale", a déclaré dimanche dans le journal Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung, Beatrix von Storch, une des responsables du parti. Ce n'est pas la première fois que la formation politique qui a dernièrement engrangé d'importants succès électoraux lors de scrutins régionaux, suscite la polémique.

En février, sa chef de file, Frauke Petry, avait suggéré que la police pouvait "en dernière instance" "avoir recours aux armes" pour protéger les frontières nationales de l'afflux de migrants. Et plusieurs autres responsables de l'AfD ont multiplié ce week-end les déclarations concernant l'islam. "Il n'y a pas d'islam démocratique, y compris en Allemagne", a par exemple affirmé Alexander Gauland, un autre responsable du parti, dans un autre journal, qualifiant l'islam de "corps étranger". Interrogé lundi à propos de ces déclarations, le porte-parole d'Angela Merkel, Steffen Seibert, a souligné que la chancelière avait "à maintes reprises" affirmé que l'islam appartenait "indubitablement à l'Allemagne". Il a par ailleurs rappelé que la loi fondamentale allemande garantissait "la liberté de croyance et de conscience" ainsi que le droit de pratiquer sa religion.

Des déclarations "contraires aux valeurs européennes"

Dans un communiqué, le secrétaire général du Conseil de l'Europe, Thorbjørn Jagland, a estimé que les déclarations de l'AfD étaient "contraires aux valeurs européennes, valeurs que l'Allemagne, en tant que membre fondateur du Conseil de l'Europe, a toujours soutenues avec force". "S'il est juste et nécessaire d'avoir un débat sur des questions importantes comme l'intégration et l'éducation, dépeindre l'islam comme une menace pour notre société n'est pas bon et blesse des millions d'Européens musulmans", a-t-il ajouté. Des représentants de la communauté musulmane allemande ont aussi vivement critiqué le positionnement antimusulman de l'AfD.

Le Conseil central des musulmans d'Allemagne a ainsi jugé que c'était "la première fois depuis l'Allemagne d'Hitler qu'il y a un parti qui de nouveau discrédite une communauté religieuse dans son ensemble et la menace dans son existence". L'ensemble des partis politiques allemands ont également dénoncé les propos de l'AfD. Avant la crise des réfugiés, vivaient en Allemagne environ quatre millions de musulmans, majoritairement d'origine turque. En 2015, le pays a accueilli plus d'un million de demandeurs d'asile, principalement de confession musulmane.

Source : Afp via le Point

Finances de la mosquée controversée disséquées

Les bailleurs de fonds du lieu de culte où travaille le père des deux ados dispensés de serrer les mains devront fournir des renseignements aux autorités.

La mosquée du roi Fayçal à Bâle continue de faire les gros titres, après l’affaire du refus de deux frères syriens de serrer la main de leur prof à Therwil (BL), et dont le père n’est autre que l’un des imams du lieu. La Surveillance fédérale des fondations veut en effet examiner de près le flux de trésorerie autour de l’institution qui finance la mosquée. Selon la «NZZ am Sonntag» qui cite une source bien informée, le Ministère public de la Confédération (MPC) mène lui aussi des investigations.

Il est reproché depuis des années à la fondation Fayçal, qui reçoit de l’argent directement d’Arabie saoudite, sa proximité avec des courants de pensée radicaux et avec l’islam fondamentaliste. Le gérant de la mosquée indique de son côté que l’institution n’est plus financée par les fonds du royaume et vit des dons de ses quelque 200 fidèles. Riyad verse pourtant des contributions considérables à d’autres associations musulmanes et à des mosquées en Suisse. A Zurich, les Emirats arabes unis soutiennent également une mosquée, en versant annuellement une contribution pour son fonctionnement.

Par ailleurs, la «Basler Zeitung» rapporte que les deux frangins syriens de Therwil qui refusent de toucher leur enseignante veulent obtenir la nationalité suisse. Leur père a déposé une demande en ce sens pour toute sa famille le 4 janvier dernier. Formellement, ils remplissent tous les critères.

Source : 20min.ch

lundi, 18 avril 2016

Cologne : misère sexuelle ou choc des barbaries ?

cologne.jpgw900-1128x660.jpeg

Un des premiers procès des viols de Cologne commence cette semaine et Thibaut d’Arcy donne une longue liste d’autres viols dans son article « Migrants : l’Europe accueille la misère sexuelle ».

Le djihad sexuel ne s’est pas abattu sur Cologne par hasard. Un prêtre horrifié, défenseur de longue date des personnes prostituées, me le rappelle : dans l’Allemagne où la prostitution est entièrement légalisée, Cologne, c’est le « Pascha », la plus grande usine à f… d’Europe, bordel de dix étages, 1.000 passes par jour.

Choc des civilisations ? Non, choc des barbaries ; l’une payante, l’autre gratuite.

Non, nous ne sommes globalement pas plus civilisés que Mahomet, nous sommes juste plus hypocrites en parlant de « liberté ». Oui, nous vivons toujours sous le « culte des ventres » que dénonçait saint Paul, comme le montrent les propos qui suivent…

Un psychiatre et député (Nicolas Dhuicq, Les Républicains) nous explique que tout le monde peut aller en prison : « un crime passionnel » peut arriver au plus honnête citoyen… Un avocat (Nicolas Gardères, EELV) nous dit que la loi venant d’être votée contre la prostitution serait anticonstitutionnelle. Un antiraciste émérite (Pierre-André Taguieff) accuse les féministes favorables à la condamnation de l’achat de prostitution d’« androphobie ». Une avocate (Brigitte Bogucki) affirme à une députée que le droit actuel reconnaît un droit à l’enfant par la PMA et la GPA (contrats de mères porteuses).

L’homme qui assassine sa femme estime avoir droit à l’amour – et à la vengeance. L’acheteur de prostitution estime avoir droit au sexe. L’acheteur de gamète ou de grossesse estime avoir droit à l’enfant. Avoir le droit de faire prendre à une femme le risque parfois mortel d’une grossesse, avoir le droit d’arracher le nouveau-né à sa mère sans se préoccuper du bouleversement du bébé.

Or, nous n’avons ni droit à l’amour ni droit au sexe ni droit à l’enfant. Si affirmer cette inexistence est moraliste, je suis moraliste. Il faut refuser les réquisitions d’amour, de sexe ou d’enfant. Il faut refuser les termes « crime passionnel » et « misère sexuelle ».

Peut-on vivre sans amour ni sexe ni enfant ? Sans doute. Sans doute bien mal. Mais même à supposer que ces aspirations soient aussi matériellement vitales que l’alimentation ou la chaleur, a-t-on le droit de vivre au prix de la vie d’autrui, le droit de jouir au prix de la santé ou de la souffrance d’autrui ? Non.

Parfois, la vie n’est pas possible. Non, effectivement, parfois elle n’est pas possible. Parfois, on a de la chance : seule la vie sans souffrance terrible n’est pas possible, mais la vie demeure, du moins tant que la souffrance ne l’épuise pas.

À l’extrême, la logique de ma hiérarchie des droits aboutit à dire qu’une femme n’a pas le droit de prendre la vie d’un être pour préserver sa propre santé ou même sa propre vie… mais le raisonnement vaut aussi pour son enfant. Qui est prioritaire : le plus fragile ou le plus souffrant ?

Tous les raisonnements opposés sont des légitimations du cannibalisme. Moussaillon, tu as tiré la plus courte paille et tu seras mangé. L’habillage du droit du plus fort de détruire et tourmenter plus faible que soi. Au fond, qu’il s’agisse de détruire et tourmenter pour conserver sa propre vie ou pour soulager sa propre souffrance ou par pure jouissance, l’acte n’est-il pas identique ? Un être détruit ou tourmente un être plus fragile.

Et par là se détruit, dans sa propre humanité. Définition de l’enfer sur terre.

Elise Elisseievna

Source : Boulevard Voltaire

 

Un colloque tenu à Paris VIII était-il raciste ?

ded5b471834fe408-1.jpg

Un comité autoproclamé non mixte et racialisé a organisé du 11 au 15 avril une série de conférences intitulées « Paroles non blanches » (sic !). Ces réunions se tenaient à l’université Paris VIII dans un bâtiment « occupé » (ce détail a son importance). Les thèmes étaient « Islamophobie au travail et à l’école » (sous-entendu : interdire le voile est raciste ), « S’organiser en non-mixité », « Le racisme institutionnalisé, police et médias » et enfin « Être noir(e) en France ».

Le comité Mwasi à l’origine de ce colloque ne regroupe que des femmes d’origine africaine. Son site spécifie que les hommes et les non-Noirs ont interdiction de participer aux réunions. On ajoute benoîtement qu’on accepte les transsexuelles et que ce comité n’est pas dirigé contre les hommes ou les autres ethnies. Dans Libération, un « intellectuel progressiste » a justifié cette exclusion en sous-entendant sans frémir que si on autorisait les Blancs, les Blanches ou les mâles à se joindre au mouvement, ceux-ci monopoliseraient la direction de la « lutte » au détriment des « dominées ».

Si des « suprémacistes blancs » organisaient une conférence ou un mouvement auquel ne pourraient participer que des mâles caucasiens, ils seraient évidemment poursuivis et condamnés, et avec raison ! En revanche, ne réserver qu’aux femmes d’origine africaine une réunion me semble faire preuve d’un double racisme ! Envers les ethnies non noires et envers les hommes. Une vraie démocratie ne devrait pas tolérer de tels dérapages.

Il est également intolérable de prétendre que les forces de l’ordre et nos médias sont racistes. Il peut exister, ici ou là, des débordements individuels de la part de policiers ou de journalistes. Il faut les condamner, bien sûr, mais affirmer que l’État institue le racisme est un mensonge antidémocratique. Nous ne sommes pas l’Afrique du Sud entre 1948 et 1991 (heureusement) !

Enfin, déclarer que l’interdiction du voile islamique à l’école est raciste est une odieuse contre-vérité car la Cour européenne, si pointilleuse en matière de droits de l’homme, autorise les États à proscrire, sous certaines conditions, le hijab ou la burqua. Non, il n’y a absolument aucun racisme dans l’interdiction du voile.

Le colloque s’est tenu tranquillement. Comme l’amphithéâtre où il s’est tenu était occupé, la direction de l’université n’a sans doute pas donné son accord. Enfin, j’ose l’espérer, sinon la dérive antidémocratique serait effrayante. Le président de Paris VIII avait donc toute latitude et toute légitimité pour faire cesser ces délires choquants mais il ne l’a pas fait.

Nous ne devons plus accepter ces discours issus d’une minorité qui, sous couvert d’antiracisme, est profondément raciste. Et, à en lire l’éditorial de M. Joffrin, paru mardi 12 avril dans Libération et qui reprend exactement ce que beaucoup affirment dans ces colonnes ou ailleurs, même la gauche bien-pensante commence à en convenir !

Christian de Moliner

Source : Boulevard Voltaire

 

 

En 15 ans, 28.146 attaques terroristes mortelles ont été perpétrées par des musulmans de par le monde

boulevard-voltaire-musulmans1.jpg

Libération et Le Parisien/Aujourd’hui se sont penchés la semaine dernière sur le casse-tête du salafisme dans nos banlieues. Si Libération, en sélectionnant trois quartiers, a bien voulu admettre que dans l’un d’eux pouvaient se poser des problèmes, c’est pour mieux invoquer les deux autres au titre de règle confirmant l’exception (titre de l’article de Libération du 10 avril : « Les “Molenbeek” français, trois villes derrière les amalgames. Saint-Denis, Roubaix et Lunel »).

L’on apprend que le salafisme est « un courant fondamentaliste prônant un retour à l’islam des origines » (Le Parisien, 12 avril)… Mais qu’était donc cet islam des origines ? Lorsque l’on voit avec quel aplomb l’islam présent passe par pertes et profits ses crimes de 12 siècles d’esclavage arabo-musulman… Depuis les attaques sur les tours jumelles, en 15 ans donc, 28.146 attaques terroristes mortelles ont été perpétrées par des musulmans de par le monde. Tous musulmans, mais aucun n’est représentatif du « véritable » islam. Serge Grouard, député LR du Loiret, a beau affirmer dans sa récente lettre aux musulmans de France que « le terrorisme est le fait de quelques dégénérés », le fait est que cette religion génère plus de 28.000 attentats en 15 ans. De quelque côté sémantique que l’on se tourne, l’islam est donc toujours victime, se tordant si nécessaire de douleur dans la surface de réparation, tel l’attaquant que le défenseur adverse n’a même pas effleuré. C’est ce qui rend cette religion si inquiétante à mon sens.

La lettre de Serge Grouard ne fait qu’illustrer une prise de conscience tardive du politique. Il suffisait de saisir la nature radicalement inédite de la situation dans laquelle se trouve l’espèce humaine : une expansion mondiale de l’islam, majoritairement par voie migratoire. Sa lettre aux musulmans de France pourrait s’adresser dans les mêmes termes aux musulmans de Belgique ou de Grande-Bretagne, d’Australie ou de Papouasie. La première faute incombe aux politiques : leur insondable sottise et leur couardise ont imposé le multiculturalisme. C’est exactement ce contre quoi de Gaulle prévenait dès 1958 : Colombey-les-Deux-Églises deviendrait Colombey-les-Deux-Mosquées. Même lorsque les instances musulmanes se démarquent des violences en avançant que « l’on ne peut tuer des innocents », demandons désormais, et à tout hasard, plus de précisions : qu’est-ce qu’un innocent en islam ? Bien des intellectuels en vue évoquent des différences de degré, mais non pas de nature…

Illustration du niveau de basse-fosse affiché par le politique, ce « tweet » du député PS Mennucci, rapporteur de la commission d’enquête sur les filières djihadistes, suite à l’interpellation de François Hollande par la mère (Véronique Roy) d’un djihadiste mort en Syrie, au cours de l’émission spéciale sur France 2 jeudi soir : « La mère du djihadiste n’a donc aucune responsabilité dans l’évolution de son fils, tout ça est la faute de François Hollande. » Lequel Hollande affirme par ailleurs à tort que la fameuse mosquée de Brest est fermée… Notre sécurité est en de bonnes mains. Gageons, au passage, que si la maman s’était prénommée Fatima et non Véronique, jamais ce pauvre Mennucci n’aurait osé proférer une sottise d’une telle crasse.

Serge Grouard appelle encore les musulmans de France à faire « leur révolution intérieure » : imaginons un article du Code de la route stipulant qu’un automobiliste n’a pas le droit de ne pas s’arrêter à un stop. Exercice : faites une lecture successivement modérée et fondamentaliste de cet article, sachant que Dieu l’a rédigé et qu’à ce titre, il est interdit de le modifier. Bonne chance à tous.

Silvio Molenaar

Source : Boulevard Voltaire

Prostitution, voile, banlieues : c’est du grand n’importe quoi

illusioniste.jpg

Le Président s’est emmuré dans un univers virtuel qui lui fait fonction de carapace, il en a bien besoin, car comment pourrait-il encore supporter l’insupportable, à savoir le mépris total que lui renvoie le peuple français tout entier. Puisque Valls suit le même chemin, c’est donc un exécutif en pleine décomposition qui a la charge du pays. Jamais, depuis 1944, la France n’a connu une telle situation. Avec ses ultras qui alignent les lois les plus ineptes comme on enfile des perles, ce gouvernement Valls en perdition n’est pas sans rappeler les fuyards de Sigmaringen.

Verbaliser les clients des prostituées tout en abrogeant le délit de racolage ? C’est quoi, cette ineptie ? Comment constater la matérialité des faits prohibés ? Va-t-on mettre des agents de police déguisés en péripatéticienne (ou travelo, car il en faut pour tous les goûts) pour attirer le client dans un piège ? Car à part le cas de flagrant délit, je voudrais bien qu’on m’explique comment la maréchaussée va s’y prendre pour verbaliser.

Interdire le voile ? Là aussi, on nage en plein délire. Car de deux choses l’une, ou bien la femme qui porte le voile le fait de son plein gré et, dans ce cas, une interdiction est contraire aux principes les plus élémentaires du droit, sans parler des conventions internationales. Ou bien la femme est contrainte de porter le voile et le résultat inévitable d’une interdiction est que la femme restera cloîtrée chez elle. Je précise ici à l’intention des islamophobes qui liront ces lignes que rendre l’islam invisible est encore le moyen le plus sûr pour arriver au Grand Remplacement.

Le projet de loi Égalité et citoyenneté enfin, présenté la semaine dernière en Conseil des ministres et dont l’ambition est d’apporter une réponse législative à « l’apartheid territorial, social et ethnique » dénoncé par Manuel Valls. Alors là, c’est la saignée finale, celle qui achève le malade. Pas un mot sur la discipline à l’école, pas un mot sur la lutte contre les petits trafics des cités, pas un mot sur les effectifs de police. En revanche, le projet prévoit de durcir le dispositif qui vise à réprimer les actes racistes et les discriminations à l’embauche. Le projet entend user de la contrainte pour forcer des populations qui ne le veulent pas à vivre ensemble. Enfin, il entend renforcer l’action du mouvement associatif en instaurant des congés supplémentaires pour les bénévoles. Une loi dont la tonalité générale oscille entre « Touche pas à mon pote » et « Tout le monde il est bon, tout le monde il est gentil ». Il y a quinze jours, nous avons eu droit au retrait tragi-comique de la révision constitutionnelle. Aujourd’hui, la loi El Khomry – une bonne loi dans l’absolu, mais présentée bien trop tard – est en train d’être vidée de sa substance. En somme, tout ce que ces gens savent faire est inepte ou voué à l’échec.

Tout récemment, lors d’une interview accordée à la chaîne britannique Channel 4 News, Yánis Varoufákis, évoquant les forces centrifuges qui pèsent sur l’Europe, a eu cette phrase que je trouve à la fois drôle et terrible : « Les Grecs détestent les Allemands, les Allemands détestent les Grecs, tout le monde déteste les Français et les Anglais veulent partir. » Je me demande si ce n’est pas encore le meilleur résumé que l’on puisse faire de ce quinquennat. Tous les Français détestent François Hollande et tout le monde a fini par détester les Français !

Christophe Servan

Source : Boulevard Voltaire

Les Livrets de Rachida Dati sur la radicalisation : il manque des mots…

rachida-dati-une2.jpg

Rachida Dati a drôlement travaillé. Son rapport intitulé Mon combat contre la radicalisation, au Parlement européen, vient de remporter un franc succès. Adopté à une écrasante majorité de voix, il a de ce pas été envoyé aux autres pays européens qui, d’ailleurs, n’attendaient que lui pour lutter contre la radicalisation.

Un rapport, ça ? Sobrement baptisé les Livrets de Rachida Dati, en fait un insignifiant ospuscule minuscule de douze pages dont six de photos. Rachida au Parlement en train de voter sur le clavier, avec le bras, Rachida en train de s’exprimer. Des bâtiments européens hyper « design », tout en verre et des paysages tout proprets. Et, trop bien, une péniche, avec son toit, en verre, lui aussi. Quelle netteté, quelle transparence, l’Europe ! Comme la définition de la radicalisation de madame Dati.

« Le terme de radicalisation est utilisé aujourd’hui pour désigner l’adhésion de personnes dont les points de vue ou opinions intolérantes et opposées aux droits de l’homme et aux valeurs de la démocratie sont susceptibles de les amener à commettre des actes violents ou dangereux pour eux-mêmes et pour les autres. »

C’est tout ? Les radicalisés ne se réclameraient-ils pas d’Allah ? Ne les appelle-t-on pas des intégristes, des islamistes, des intégristes islamistes, des terroristes islamistes ? Aurait-on mal entendu ? Bon, mais qui rejoignent-ils, ces radicalisés tout court ? L’État islamique, Daech, Al-Qaïda, Boko Haram, AQMI ? D’après les « Livrets de Rachida Dati », ils partent intégrer « des organisations terroristes ». On est bien avancé…

En revanche, les « Livrets » peuvent être précis. Enfin, ça dépend. Ainsi, on apprend que « plus de 5.000 Européens auraient rejoints des organisations terroristes » (la faute d’orthographe est offerte par Rachida ou, tout du moins, par le rédacteur de cette œuvre éponyme). Et, bien sûr, ces 5.000 Européens, 40 % sont des femmes, 20 % des mineurs et 50 % des « convertis ». À quoi ? C’est bête, Rachida ne le mentionne pas. Par souci de ne pas stigmatiser les bouddhistes, peut-être…

Nous en sommes donc là. Entre un président de la République de gauche, dont les termes précédemment cités écorchent la bouche au point de ne pas les prononcer, et un ex-garde des Sceaux de droite prenant soin de ne pas les écrire, le terrorisme islamique a de beaux jours devant lui, et nous… beaucoup de soucis en perspective.

En outre, ce qui est alarmant, dans cette histoire de Livrets d’une médiocrité à pleurer, c’est qu’ils émanent d’un député européen à la double culture marocaine et algérienne d’origine. D’un parlementaire – selon la loi islamique, de religion musulmane -, qui, en réaction au débat sur le port du voile à l’université ou les menus de substitution dans les cantines, lançait, il y a un an, un lapidaire « Il faut arrêter de délirer ». Et, au motif qu’on « allait encore diviser et fracturer les Français », Rachida Dati considérait même que c’était « un non-sujet ». Apparemment, « l’islamisme » aussi.

Bon, pour tout dire, ces Livrets de Rachida Dati, dont le titre évoque un peu « Les Carnets de Julie », manquent non pas de sel mais tout simplement de mots pour nommer les maux…

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Mosquée 2.0: les prêches sur internet se démocratisent

Avec Internet, tout est accessible et encore plus facilement qu’auparavant. Il y a encore quelques années, pour ce qui concerne les mosquées il était difficile de trouver des prêches, des conférences ou cours, encore moins récents, sur leurs sites internet. Ils étaient souvent enregistrés, mais rarement en lignes. Pour ceux qui ont plus de 35 ans, il y avait les cassettes à bandes où les cours et conférences y étaient enregistrés. Internet et YouTube ont balayé les walkmans et ont laissé place au prêche 2.0.

En 2009, au lancement de Trouvetamosquee.fr seulement quelques mosquées diffusaient leurs discours ou les prêches sur leur site internet.

Aujourd’hui, à l’instar de la mosquée de Vigneux-sur-Seine où celle de Clamart, de nombreuses mosquées même les petites n’hésitent plus à diffuser les prêches et les rendre accessibles aux plus grands nombres. Les outils d’enregistrement sonore sont devenus accessibles et les outils de diffusions sont gratuits et facile à utiliser, par exemple YouTube et Soundcloud. Mais pourquoi ces mosquées diffusent-elles les prêches ?

Répondre à la demande des internautes

Il n’y a pas d’offre sans demande, les internautes sont demandeurs du prêche 2.0. Pourquoi ne pas se réécouter le prêche du vendredi dernier tranquillement à la maison ou dans le métro ? Il y a eu empêchement et je n’ai pas pu assister à la conférence de tel ou tel imam ou simplement, je suis curieux et je voudrais écouter ce qui a été dit dans telle ou telle mosquée. Voilà quelques raisons parmi d’autres qui amènent les mosquées à partager leurs conférences, prêches ou autres cours.

Une question de visibilité 

Désormais, les nouvelles mosquées sortent de terre et des sous-sols d’immeuble sans complexes. Elles sont visibles et ont une forte volonté de rayonner sur leurs territoires.

Et c’est pour cette raison que partager ce qui s’y dit à l’intérieur développera l’image et la visibilité de la mosquée.

En plus d’un simple partage, la mise à disposition des audios et vidéos permet d’attirer de nouveaux musulmans, en particulier ceux qui n’ont pas l’habitude de fréquenter les mosquées.

Pour les curieux et ceux qui veulent en savoir plus

Nous disons dans un autre article qu’il était nécessaire de « laisser la lumière sortir des mosquées » et cela nécessite de laisser la porte ouverte. La mise en ligne de ce qui se dit dans les mosquées et le développement de ce service 2.0 prouvent bien que les portes s’ouvrent.  Ainsi, quiconque peut facilement se faire une idée de ce qui se dit sans aucun prisme. Cela permettra peut-être de combattre les préjugées.

Cependant, les mosquées ont une épée de Damoclès au-dessus de leur tête. Chaque publication peut se retourner contre le publicateur. Une mauvaise interprétation peut facilement créer une polémique surtout quand elle est créée et alimentée par l’extrême droite. Des polémiques que la plupart des mosquées n’ont ni le temps ni les compétences pour les gérer.

Source : Trouvetamosquée

Beaucoup de musulmans "ont dansé" après les attentats, affirme un ministre belge


Polémique: Jan Jambon: "De nombreux musulmans... par i24news-fr

Jan Jambon évoque la radicalisation des jeunes musulmans issus des 3è et 4è générations de l'immigration

Le ministre belge de l'Intérieur, le nationaliste flamand Jan Jambon, affirme que la politique d'intégration des étrangers en Belgique a échoué, y voyant pour preuve le fait qu'"une partie significative de la communauté musulmane a dansé à l'occasion des attentats", dans un entretien samedi avec le quotidien flamand De Standaard.

Cette figure de proue de la Nouvelle alliance flamande (N-VA), parti qui est un pilier de la coalition de droite au pouvoir depuis octobre 2014, ne précise pas à quels attentats il fait allusion, ceux de Paris en 2015 (130 morts le 13 novembre) ou ceux de Bruxelles le 22 mars (32 morts).

Et M. Jambon d'enchaîner : "ils ont jeté des pierres et des bouteilles en direction de la police et de la presse au moment de l'arrestation de Salah Abdeslam (le seul survivant des commandos djihadistes du 13 novembre à Paris, interpellé le 18 mars dans sa commune bruxelloise de Molenbeek, ndlr). C'est ça le vrai problème".

"Les terroristes, on peut les arrêter, les écarter de la société. Mais ils ne sont qu'une pustule. En dessous se trouve un cancer beaucoup plus difficile à traiter. Nous pouvons le faire, mais pas du jour au lendemain", assure encore le ministre, qui revendique de dépasser "la pensée politiquement correcte" et d'"appeler un chat un chat".

 

Il explique aussi que le "danger" lié à la radicalisation de jeunes issus des troisième et quatrième générations de l'immigration a désormais "trop profondément pris racine" dans certains quartiers, car la Belgique "a ignoré pendant des années les signaux de détresse".

Après les attentats du 13 novembre, Jan Jambon avait créé la polémique en promettant de "nettoyer Molenbeek", quand il était apparu que plusieurs membres des commandos ayant frappé Paris étaient issus de cette commune qui a désormais la réputation d'être un des principaux foyers du djihadisme en Europe.

La semaine dernière, Jan Jambon avait été également au centre d'une polémique à la suite de propos controversés, faisant une analogie entre les djihadistes cachés et les Juifs traqués pendant l'occupation nazie en Belgique.

Source : i24news

Mosquée 2.0: les prêches sur internet se démocratisent

Avec Internet, tout est accessible et encore plus facilement qu’auparavant. Il y a encore quelques années, pour ce qui concerne les mosquées il était difficile de trouver des prêches, des conférences ou cours, encore moins récents, sur leurs sites internet. Ils étaient souvent enregistrés, mais rarement en lignes. Pour ceux qui ont plus de 35 ans, il y avait les cassettes à bandes où les cours et conférences y étaient enregistrés. Internet et YouTube ont balayé les walkmans et ont laissé place au prêche 2.0.

En 2009, au lancement de Trouvetamosquee.fr seulement quelques mosquées diffusaient leurs discours ou les prêches sur leur site internet.

Aujourd’hui, à l’instar de la mosquée de Vigneux-sur-Seine où celle de Clamart, de nombreuses mosquées même les petites n’hésitent plus à diffuser les prêches et les rendre accessibles aux plus grands nombres. Les outils d’enregistrement sonore sont devenus accessibles et les outils de diffusions sont gratuits et facile à utiliser, par exemple YouTube et Soundcloud. Mais pourquoi ces mosquées diffusent-elles les prêches ?

Répondre à la demande des internautes

Il n’y a pas d’offre sans demande, les internautes sont demandeurs du prêche 2.0. Pourquoi ne pas se réécouter le prêche du vendredi dernier tranquillement à la maison ou dans le métro ? Il y a eu empêchement et je n’ai pas pu assister à la conférence de tel ou tel imam ou simplement, je suis curieux et je voudrais écouter ce qui a été dit dans telle ou telle mosquée. Voilà quelques raisons parmi d’autres qui amènent les mosquées à partager leurs conférences, prêches ou autres cours.

Une question de visibilité 

Désormais, les nouvelles mosquées sortent de terre et des sous-sols d’immeuble sans complexes. Elles sont visibles et ont une forte volonté de rayonner sur leurs territoires.

Et c’est pour cette raison que partager ce qui s’y dit à l’intérieur développera l’image et la visibilité de la mosquée.

En plus d’un simple partage, la mise à disposition des audios et vidéos permet d’attirer de nouveaux musulmans, en particulier ceux qui n’ont pas l’habitude de fréquenter les mosquées.

Pour les curieux et ceux qui veulent en savoir plus

Nous disons dans un autre article qu’il était nécessaire de « laisser la lumière sortir des mosquées » et cela nécessite de laisser la porte ouverte. La mise en ligne de ce qui se dit dans les mosquées et le développement de ce service 2.0 prouvent bien que les portes s’ouvrent.  Ainsi, quiconque peut facilement se faire une idée de ce qui se dit sans aucun prisme. Cela permettra peut-être de combattre les préjugées.

Cependant, les mosquées ont une épée de Damoclès au-dessus de leur tête. Chaque publication peut se retourner contre le publicateur. Une mauvaise interprétation peut facilement créer une polémique surtout quand elle est créée et alimentée par l’extrême droite. Des polémiques que la plupart des mosquées n’ont ni le temps ni les compétences pour les gérer.

Source : Trouvetamosquée

En Allemagne, la coalition présente une loi sur l’intégration

asile-Berlin-septembre-2015_0_730_486.jpg

L’accès à la formation et au marché du travail sera facilité. En échange, la pression augmente sur les demandeurs d’asile.

Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas vu Angela Merkel, Sigmar Gabriel et Horst Seehofer, sur la même photo, le sourire aux lèvres. Jeudi 14 avril, les leaders des trois partis qui forment la coalition gouvernementale sont apparus satisfaits devant la presse, pour présenter leur future loi sur l’intégration des migrants. Il leur a fallu plusieurs semaines de débats et sept heures de négociations finales pour trouver un accord sur le sujet.

La chancelière Angela Merkel, présidente de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), a qualifié cet accord de « première » dans l’histoire du pays. Le vice-chancelier Sigmar Gabriel, social-démocrate (SPD), parle de texte « historique ». Même le très critique Horst Seehofer, de l’Union chrétienne-sociale (CSU), juge qu’il « existe aujourd’hui une chance que l’intégration réussisse ».

La future loi d’intégration se base sur deux principes : encourager les demandeurs d’asile à s’intégrer et exiger des efforts de leur part. Cela implique que les prestations de l’État seront réduites si la personne ne coopère pas. Le gouvernement prévoit tout d’abord de rendre obligatoire les cours d’intégration.

Un dispositif pour faciliter l’emploi des réfugiés

Les personnes refusant d’apprendre la langue pourront se voir annuler leur permis de séjour. De même, celles qui trouvent une formation obtiendront un permis de séjour de la durée de leurs études mais le perdront si elles abandonnent leur formation. L’accès au marché du travail se voit par ailleurs facilité. Les demandeurs d’asile pourront désormais travailler en tant qu’intérimaires.

Fini aussi la durée de trois ans durant laquelle ils se voient actuellement refuser des postes auxquels peuvent prétendre des citoyens allemands et des ressortissants de l’Union européenne. Berlin souhaite aussi financer 100 000 « opportunités de travail », des jobs payés un euro de l’heure. Actuellement, ce dispositif vise à réintégrer des chômeurs de longue durée.

Enfin, les demandeurs d’asile seront contraints de résider dans des lieux déterminés par les autorités. Le but est d’éviter la formation de ghettos dans les grandes villes et de repeupler certaines communes où, à défaut de travail, se trouvent des logements vacants.

Éviter une « explosion sociale »

Cette mesure est l’une des plus polémiques. Herbert Brücker, économiste à l’Institut de recherche pour le marché du travail et les professions (IAB) prône davantage de mobilité afin que les migrants trouvent un emploi. Günter Burkhardt, président de l’association Pro Asyl, constate « un manque d’offre d’intégration de la part du gouvernement et non un manque de volonté d’intégration de la part des migrants ».

Le Conseil central des musulmans pose, lui, la question des moyens financiers afin que tous les demandeurs d’asile apprennent l’allemand. La coalition gouvernementale n’a pas évoqué le budget nécessaire à la mise en œuvre de cette loi mais certains parlent de 10 milliards d’euros.

Le quotidien conservateur Die Welt estime de son côté que le texte « calmera les mouvements populistes ». L’hebdomadaire social-démocrate Die Zeit juge lui aussi que cette loi « évitera une explosion sociale dont de nombreux citoyens allemands ont si peur », alors que le pays a accueilli un million de demandeurs d’asile l’an dernier.

Die Zeit estime toutefois que l’Allemagne a besoin de beaucoup plus qu’une simple loi d’intégration. Il appelle de ses vœux une loi générale sur l’immigration.

Delphine Nerbollier

Source : La Croix

Les djihadistes restent inscrits au registre national pour le suivi policier

media_xll_8582660.jpg

Les autorités veillent à ce que tous les djihadistes de retour de Syrie soient bien inscrits au registre national, a indiqué dimanche le cabinet du ministre de l'Intérieur Jan Jambon, réagissant à un article de De Zondag.

"Nous veillons précisément à ce que tous les djihadistes (belges) de retour de Syrie soient inscrits dans le registre national. Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons les suivre sur le plan policier", selon le porte-parole du ministre, Olivier Van Raemdonck.

"Le fait que ces 'foreign fighters' soient inscrits ne signifie absolument pas qu'ils ont automatiquement droit à des allocations", a rappelé le cabinet. "Il est exact que nous supprimons du registre les personnes qui sont en Syrie. Mais celles qui reviennent, nous voulons précisément qu'elles soient toutes inscrites".

De Zondag faisait état dimanche du fait que seules 21 sur 113 personnes revenues de Syrie avaient été rayées du registre national, selon des chiffres réclamés par Filip Dewinter (Vlaams Belang) au ministre Jambon. Le député d'extrême droite en tirait certaines conclusions - "erronées" selon le cabinet Jambon - en lien avec les allocations.

Source : 7sur7.be

Brice Hortefeux : "Demain il faudra faire baisser l'immigration légale" en France


Brice Hortefeux : "Demain il faudra faire... par ITELE

Source : Itele

À la Grande mosquée de Paris, les musulmans se disent "touchés" par le geste du pape

Le souverain pontife accueille au Vatican douze musulmans immigrés de Syrie. 

Douze musulmans anonymes sont accueillis par le chef de l'Eglise catholique. Le pape François a montré l'exemple samedi, en ramenant dans son avion douze réfugiés syriens qui étaient depuis des semaines enfermés dans un camp de réfugiés sur l'île grecques de Lesbos. Trois familles qui ont fui la guerre et les bombardements, et sont donc depuis samedi soir au Vatican. Cet automne, le pape avait déjà demandé que chaque paroisse d'Europe accueille une famille de réfugiés. Que pense-t-on de ce geste chez les musulmans ? Reportage à la Grande mosquée de Paris.

"Courageux". A la sortie de la Mosquée, le même adjectif revient pour qualifier la sortie du pape : "courageux". "C'est une belle initiative pour rapprocher toutes les religions. Il reste encore un peu d'humanisme dans ce monde de brutes, on va dire ça comme ça!", salue Farid.

A entendre les musulmans présents à la Grande mosquée samedi soir, le personnage du pape François, son charisme, font un tabac. Sous son voile vert, le visage de Zora s'illumine d'un sourire à l'évocation du "Saint Père". Elle se dit encore "touchée" par l'accueil des trois familles musulmanes. "Oui, ça touche. J'oublie qu'il est chrétien, on voit juste qu'il est gentil. C'est un être humain. Je pense que celui-là a un grand cœur".

"Le faire chez nous". Pour Farid, ce geste doit également inciter les musulmans à se poser des questions. "La plupart des musulmans, en fin de compte, doivent se poser la question : 'ce que lui arrive à faire, pourquoi nous n'arrivons pas à le faire chez-nous ? Quand les chrétiens ont des problèmes, les chrétiens agissent. Nous sommes absents là où il faudrait être là".


Le geste du pape ? "Courageux" par Europe1fr

Source : Europe1

Attentats de Paris: comment la France et la Belgique coopèrent?

Equipe commune d’enquêteurs, magistrat de liaison, échange de renseignements… comment la France et la Belgique, base arrière de la cellule jihadiste qui a tué 130 personnes le 13 novembre à Paris, coopèrent dans l’enquête ?

Créée dans les jours qui ont suivi les attentats, une équipe commune d’enquête rassemble l’ensemble des magistrats et policiers saisis de l’enquête dans les deux pays. Concrètement, elle permet à des enquêteurs français de se déplacer en Belgique pour assister à certains actes diligentés par leurs homologues. Ils sont notamment présents lors des auditions de Salah Abdeslam, seul survivant des commandos parisiens, interrogé à au moins deux reprises depuis son interpellation à Bruxelles, le 18 mars.

« Ils ne participent pas aux interrogatoires, ils sont là en tant qu’observateurs », explique Carine Couquelet, avocate d’Hamza Hattou qui a ramené Abdeslam à Bruxelles le lendemain des attaques.

Bientôt un magistrat de liaison

Des Français assistent aussi à des perquisitions, comme le 15 mars dans un appartement bruxellois qui a servi de planque à Salah Abdeslam. La perquisition avait dégénéré et quatre enquêteurs, dont une Française, avaient été blessés au cours d’une fusillade. L’équipe commune permet ainsi aux Français d’avoir accès rapidement aux écoutes téléphoniques, images de vidéosurveillance, ou tout autre scellé saisi par leurs homologues Belges. Des équipes franco-belges travaillent sur quatre autres dossiers terroristes: l’attentat au Musée juif de Bruxelles, l’attaque ratée dans le Thalys, la filière jihadiste démantelée de Verviers en Belgique, et le projet d’attentat déjoué en France après l’arrestation de Reda Kriket.  

Le procureur de Paris, François Molins, s’entretient « plusieurs fois par jour » avec le procureur fédéral belge Frédéric Van Leeuw, assure le député socialiste Sébastien Pietrasanta, rapporteur de la commission d’enquête parlementaire française sur le 13 novembre. Mais la coopération entre Paris et Bruxelles reste pointée du doigt. Pour faire taire les critiques, les deux gouvernements ont annoncé en février la nomination prochaine d’un magistrat de liaison détaché à l’ambassade de France à Bruxelles. Ce « trait d’union » aura pour mission de « fluidifier l’entraide » et de familiariser les magistrats avec le système judiciaire du pays voisin alors que des différences notables existent, notamment en termes de garde à vue ou de perquisition, ce qui complique le travail des enquêteurs.  

Trois scénarios envisagés

Il dépend de la bonne volonté de chaque Etat. « Cela circule plutôt bien. Mais la culture n’est pas à l’ouverture totale », relève Michaël Dantinne, criminologue à l’université de Liège. « Pour être efficace, il faudrait une plateforme d’échanges au sein des services européens et on en est très loin. » Des spécialistes pointent aussi l’organisation complexe de la collecte de renseignements côté belge: l’existence de 192 forces locales de police et, pour Bruxelles, de 19 communes autonomes, dont Molenbeek, Forest et Schaerbeek au coeur de l’enquête, ne favorise pas le partage des informations.  

De nombreux suspects interpellés en Belgique, aux premiers rangs desquels Salah Abdeslam et Mohamed Abrini, soupçonné d’avoir eu au moins un rôle de logisticien dans les tueries de Paris, intéressent la France. Mais, les attentats du 22 mars à Bruxelles ont compliqué la donne: Abrini a reconnu être « le troisième homme » de l’aéroport de Zaventem et les enquêteurs belges s’interrogent sur le rôle qu’aurait pu jouer Salah Abdeslam s’il n’avait pas été arrêté quatre jours plus tôt.

« On travaille pour savoir qui va récupérer qui », relève une source proche du dossier.

Trois scénarios sont envisagés. D’abord une remise différée comme cela devrait être le cas pour Salah Abdeslam, qui devrait être transféré définitivement en France une fois que les Belges l’auront entendu. Pour les autres suspects, des remises temporaires peuvent être envisagées. « On va les limiter au maximum car des allers-retours entre pays posent des problèmes de sécurité », explique une source proche de l’enquête. Troisième hypothèse, les Belges peuvent également proposer aux juges français de se déplacer chez eux pour les interroger.

Source : Boulevard Voltaire

De la propagande jihadiste retrouvée chez des chauffeurs du Parlement européen

Une découverte inquiétante. Des CD faisant la « propagande » de Daesh ont été découverts dans les effets personnels de deux chauffeurs travaillant pour le Parlement européen, à Bruxelles et à Strasbourg, ce qui leur a valu de perdre leur emploi, affirme ce samedi l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.

Changement de flotte

L’hebdomadaire, qui cite des sources proches du dossier, établit un lien avec la récente décision du Parlement européen de ne plus faire appel à des prestataires de service pour conduire les élus et de se doter de sa propre flotte de chauffeurs. Une résolution en ce sens a été votée cette semaine par les eurodéputés réunis en séance plénière à Strasbourg. Le sujet est controversé parmi les élus car cette flotte « maison » implique le relèvement de 50% de l’enveloppe transports, à environ 10 millions d’euros annuels.

Mais le Parlement européen, qui explique ce changement par des raisons de sécurité, soupçonne, selon Der Spiegel, que les cas de ces deux chauffeurs ne sont pas isolés, d’autres employés de sociétés prestataires étant susceptibles d’être liés à l’organisation jihadiste. « Le Parlement européen ne fait pas de commentaires sur les questions de sécurité », a réagi une porte-parole, à Bruxelles.

Elle a précisé que la création à terme de 110 postes de chauffeurs s’inscrivait pour l’instant dans le cadre des « lignes directrices » du budget 2017, le vote final du budget ne devant intervenir qu’à l’automne prochain. Il y a deux raisons à ce changement, a ajouté la porte-parole: « on veut que les chauffeurs bénéficient d’une meilleure sécurité sociale, et on veut aussi savoir exactement qui travaille pour nous, qui est susceptible d’entrer dans les bâtiments », à Bruxelles et Strasbourg.

« Tissu de mensonges »

Selon un responsable de la société Biribin Limousines, qui s’occupe des chauffeurs du Parlement à Strasbourg et en partie à Bruxelles, « aucun chauffeur n’a été licencié. Il n’y a jamais rien eu de trouvé dans nos voitures ». Les informations du Spiegel sont un « tissu de mensonges », affirme-t-il.

Cette compagnie, dont le siège est à Paris, a 85 voitures à Strasbourg et 35 à Bruxelles. « La phase d’internalisation très récente du Parlement n’a rien à voir » avec un problème de sécurité qui impliquerait un de leurs chauffeurs, a précisé un autre responsable de la société.

Le 6 avril, le Parlement européen avait reconnu que l’un des kamikazes des attentats de Bruxelles -en l’occurrence Najim Laachraoui– avait effectué en 2009 et 2010 des jobs d’été dans ses murs, employé par une entreprise de nettoyage sous contrat avec l’institution.

Source : Boulevard Voltaire

L’islamisation de l’Occident (vidéo)

 

Source : Lesobservateurs.ch

L’ensauvagement de la France : des rixes de migrants du métro parisien au harcèlement scolaire

1508_Kos_reuters_v_3408864b.jpg

Nous assistons à l’ensauvagement progressif de la France. Progressif à l’échelle de nos vies mortelles, fulgurant à l’échelle de l’Histoire. Sous les effets conjugués du laxisme et de l’immigration massive, la tiers-mondisation du pays n’est plus désormais le seul « fantasme » de Jean Raspail et Louis Pauwels, vilipendés en 1985 pour avoir osé jouer les Cassandre avec une certaine prescience, mais un phénomène observable sur lequel nous n’avons, pour lors, aucune influence. Les exemples prouvant cet ensauvagement sont multiples, il faudrait un véritable almanach pour les recenser. Deux d’entre eux ont attiré mon attention cette semaine ; ils sont éminemment révélateurs.

Jeudi soir, deux « rixes » sont survenues sous la station du métro aérien Stalingrad à Paris. Depuis le début du mois de mars, des centaines de « migrants », originaires de plusieurs régions du monde (Érythrée, Soudan ou bien encore Afghanistan), campent à cet endroit. La cohabitation est difficile entre ces migrants aux origines ethnoculturelles variées, mais tout sauf européennes. Inévitablement, des tensions se font fait jour pour le contrôle du territoire, des trafics, la domination d’une communauté.

Comme le disait le philosophe anglais Thomas Hobbes : « À l’état de nature, l’homme est un loup pour l’homme (…) » Livrés à eux-mêmes, sans règles, sans menaces de sanctions ou d’expulsions, les migrants sont revenus à l’état de nature. Au cœur de cet inframonde barbare, la loi est la force. D’où ces bagarres de grande ampleur. Une vidéo diffusée par le journal Le Parisien en témoigne : jets de palettes, hurlements monstrueux, coups de bâtons…

Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays. La brigade anticriminalité de nuit (BAC N) en a d’ailleurs fait les frais, accueillie par une volée de projectiles lancés par un migrant ivre. Les riverains sont sous le choc, une habitante du quartier déclarait ainsi au Parisien : « Jamais il n’y avait eu de violences, jusqu’à présent. Là, c’était vraiment impressionnant. » La crise migratoire amène au milieu de la capitale ce que les habitants des banlieues perdues connaissaient déjà : la violence, l’arbitraire de la rue, le chaos des ensembles multiculturels qui ne font pas société. Les Parisiens peuvent aussi enfin observer ce que signifie l’impuissance d’un État qui a renoncé à sa souveraineté, à son pouvoir d’agir. En effet, le 30 mars dernier, Bernard Cazeneuve et Anne Hidalgo annonçaient le démantèlement du camp. Quinze jours plus tard, les envahisseurs reprenaient leurs droits, installant matelas et tentes de fortune.

L’autre cas qui a retenu mon attention concerne une jeune fille, une très jeune fille. Sandra, âgée de 12 ans, a été littéralement torturée par des « camarades » à la sortie de son collège à Créteil, en banlieue parisienne. À la sortie des classes, plusieurs jeunes filles de son âge lui ont demandé la somme de 170 euros. Elle n’avait pas cette somme. Un déchaînement de violence d’une intensité sans nom s’est alors abattu sur la collégienne, menacée à l’aide d’un couteau de boucher : brûlures de cigarettes, lacérations, coups de genoux au visage, humiliations (les tortionnaires se sont filmées en train de lui uriner dessus et l’ont forcée à voler dans des magasins)… Laissée pour morte, à moitié nue sous une voiture, il lui restait à peine la force nécessaire pour rentrer au domicile parental.

Ce cas sinistre montre une autre facette de l’ensauvagement généralisé. Quel monde laisserons-nous à notre descendance ? Une France ruinée économiquement, vidée de son peuple, oublieuse de sa culture, envahie ? Notre pays est gouverné de l’extérieur, mais, avant tout, il s’effondre de l’intérieur. Le chronomètre tourne…

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

Belgique : un Franco-Marocain incendie une église

comines-warneton_jpg00.png

Le site Internet du quotidien belge La Dernière Heure nous signalait, jeudi dernier, une bien curieuse histoire.

Le tribunal correctionnel a rendu son jugement, jeudi [14 avril], à l’encontre d’un ressortissant français cité à comparaître pour des faits d’incendie volontaire. Agé de 31 ans, A.S., domicilié à Roubaix, a écopé de 15 mois de prison ferme pour avoir bouté le feu à la porte de l’église de Comines. Sans vraiment mesurer les conséquences de son geste passible d’un an de prison, le prévenu espérait attirer l’attention des pouvoirs publics sur sa situation précaire et obtenir gratuitement un billet d’avion qui lui aurait permis de regagner son pays d’origine, à savoir le Maroc. A l’issue du prononcé de la sanction carcérale, le substitut du procureur du Roi a ordonné son arrestation immédiate.

L’information ne précise pas la date de l’incendie ni l’église qui en a été la victime. L’église est celle de Saint-Chrysole dans la commune de Comines-Warneton (province du Hainaut). Choses curieuses, Comines-Warneton n’est séparée de la ville française de Comines (département du Nord) que par la Lys et ces deux villes homonymes possèdent, chacune, une église placé sous le patronage de Saint-Chrysole. En outre, l’église Saint-Chrysole, côté français, a elle aussi été victime d’un incendie de sa porte d’entrée en juin dernier… C’est sans doute cette série vraiment étrange d’homonymies qui fait commettre à Valeurs Actuelles une confusion. Le site Internet de cet hebdomadaire plaçait l’incendie commis par « A. S. » dans le Nord-Pas-de-Calais

Source : christianophobie.fr

dimanche, 17 avril 2016

Marine Le Pen: "chaque pays devrait décider s'il veut rester ou non dans l'Union européenne"

La Grande-Bretagne va décider ou non de rester dans l’Union européenne, la dirigeante du parti d’extrême droite Front National demande la même chose pour tous les pays.

20160416171816_000_G1Q6JVKLP.1-0.jpg

Marine Le Pen, la dirigeante du parti d’extrême droite français Front National, a plaidé samedi pour que chaque pays puisse, comme la Grande-Bretagne, décider s’il veut ou non rester dans l’Union européenne, lors d’une conférence à Sinaia (centre de la Roumanie).

« Les Britanniques voteront dans deux mois, c’est un moment clef de l’histoire européenne », a déclaré Marine Le Pen en référence au référendum sur un « Brexit », qui décidera de l’avenir européen de la Grande-Bretagne.

« J’espère que les Français auront eux aussi sans trop attendre une occasion semblable. Je souhaite que chaque peuple puisse s’exprimer sur le sujet », a-t-elle ajouté.

Marine Le Pen intervenait dans le cadre d’une conférence-débat organisée par Laurentiu Rebega, vice-président roumain du groupe d’extrême-droite au Parlement européen « Europe des nations et des libertés ». D’autres représentants de mouvements d’extrême droite européens, notamment de la Ligue du nord italienne ou du FPÖ autrichien, étaient également invités à Sinaia, ville touristique des Carpates.

« Aucune crise n’est résolue » par l’UE, a-t-elle martelé, évoquant les migrants ou encore l’économie. Pour elle, « il faut un autre modèle de coopération entre les peuples, il faut respecter leur histoire, leur souveraineté, leur liberté ».

Source : Lacapitale.be

L’immigration massive et l’état d’esprit anti-blanc

Une vidéo extrêmement pertinente, à voir et à diffuser, tout particulièrement auprès des personnes qui n’ont pas encore pris conscience de la situation réelle mais qui peuvent encore être informées et changer d’opinion :

Cette vidéo aborde avec talent des points essentiels :

  • L’existence objective d’un génocide de la race blanche, et la nature fondamentalement anti-blanche du « multiculturalisme », de la « diversité », etc.
  • L’état d’esprit anti-blanc qui domine aujourd’hui, et ses innombrables contradictions. Cet état d’esprit est moins celui de nos ennemis raciaux que celui de blancs au cerveau lavé par la propagande et qui finissent par haïr les leurs.

En règle générale, ces blancs ne sont pas conscients des contradictions de leur pensée car ils ne sont jamais confrontés à la présentation de ces aspects contradictoires. Aussi, les forcer à y faire face est un bon moyen pour les inciter à remettre en cause leurs croyances, dans un premier pas vers un passage au nationalisme.

Le champ de bataille avec nos ennemis se trouve d’abord et avant tout dans l’esprit de tout ces blancs confus. Tout ce qui pousse les Blancs à accepter la propagande anti-blanche et à ne pas résister face à nos ennemis doit être combattu avec détermination, sans relâche.

Cette vidéo n’aborde pas (((l’une des principales causes du problème))), mais cela la rend sans doute aussi plus accessible : il est difficile d’assimiler trop de vérités choc d’un coup, et dès lors qu’une personne aura admis qu’on lui a menti tout du long de sa vie pour lui faire accepter la destruction de sa propre race, elle finira naturellement par se demander « pourquoi ». Pourquoi cela se passe-t-il donc ? Pourquoi donc les élites cherchent-elles la destruction de la race blanche ? Et nous pourrons alors leur répondre.

N’oubliez pas : diffusez, diffusez, diffusez. Les individus faisant chacun leur devoir constituent ensemble une puissante force collective qui finit par changer les choses.

Source : Blanche Europe

La Pologne, contre l’immigration, joue la politique familiale

carte_pologne.gif

La Pologne fait le choix de la politique familiale plutôt que l’immigration de remplacement

A partir du 1er avril l’Etat polonais versera aux familles 500 zlotys (environ 120 €) par enfant et par mois à partir du deuxième enfant. Ce montant, dans un pays où le salaire net moyen est de 2800 zlotys par mois, représentera une aide non négligeable, notamment pour les familles avec 4 enfants et plus dont le quart environ vivent avec un revenu en dessous du minimum vital (statistiques de 2012). Depuis la chute du communisme en 1989-90, c’est la première fois que des allocations familiales de ce type sont mises en place en Pologne. Cette allocation ne sera pas conditionnée au niveau de revenu mais elle sera versée à partir du premier enfant pour les familles où le revenu par tête est inférieur à 800 zlotys (ou à 1200 zlotys pour les familles avec un enfant handicapé).


Cela faisait partie des promesses électorales du PiS qui souhaite mener une politique familiale volontariste pour contrer le désastre démographique. Car avec 1,3 enfants par femme, la Pologne est un des pays au monde avec le taux de fécondité le plus bas. Les contraintes financières liées au niveau des salaires encore bien inférieur à celui des pays d’Europe occidentale n’y est sans doute pas pour rien, puisque les Polonaises résidant au Royaume-Uni ont au contraire un taux de fécondité supérieur à 2,1.


Parallèlement, la nouvelle majorité conservatrice (PiS) au pouvoir depuis novembre a voté il y a quelques jours une nouvelle loi qui interdit aux tribunaux de confisquer des enfants à leurs parents au motif de l’incapacité financière de ces derniers a assurer des conditions de vie suffisantes. Jusqu’ici, il n’était malheureusement pas rare que des juges retirent la garde d’enfants à leurs parents justement pour des motifs liés au niveau de vie et aux conditions d’habitation.

http://www.ndf.fr/nos-breves/26-03-2016/le-choix-de-la-po...

Alain de Catalogne

Source : Résistance républicaine