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lundi, 07 mars 2016

Halte à l'invasion migratoire


Halte à l'invasion migratoire par terreetpeuple

Source : Terre et Peuple

Mosquée de Fréjus: Après l’appel du parquet, faut-il craindre à nouveau une démolition de la mosquée ?

Nouvel épisode du bras de fer entre le maire Front national de Fréjus et les dirigeants de la nouvelle mosquée.

La municipalité avait demandé la démolition du lieu de culte, en raison d’irrégularités dans le permis de construire. Elle a été déboutée vendredi par le tribunal correctionnel de Draguignan.

Mais le parquet a fait appel.

L’association el Fath, qui gère la mosquée, a également fait appel : le tribunal l’a en effet condamnée à payer 60 000 euros et son président Driss Maaroufi a écopé d’une amende de 15 000 euros. Motif : le permis de construire était périmé au moment des travaux.

Les dirigeants de la Mosquée contestent ces amendes, alors que l’ancien maire est le principal accusé : il a écopé de 18 mois de prison avec sursis et de 100 000 euros d’amende pour avoir délivré un permis de construire de façon frauduleuse.

Alors, après l’appel du parquet, faut-il craindre à nouveau une démolition de la mosquée ?

La réaction du trésorier de la mosquée Oualid Afraz.

Propos recueillis par Maria Lafitte.

Source : Radio Orient

Notre proposition au maire FN

Parce qu’il a perdu son procès contre nous, le maire FN de notre ville, M. Cyrill Nauth, a récemment dû nous verser la somme de 6000 euros en guise de frais irrépétibles.


Bien que nous soyons légalement en droit d’investir cette somme d’argent dans notre projet de mosquée, nous faisons le choix de la restituer si notre maire accepte notre proposition de la réinvestir dans un projet d’utilité publique pour lequel M.Cyrill Nauth cherche actuellement des financements: un bus pour transporter nos élèves et nos personnes âgées.


Ainsi, nous tenons à ce que notre mosquée soit entièrement financée par nos fidèles et non par l’argent des contribuables (dont nous faisons partie par ailleurs). Nous invitons, par la même occasion, notre maire à respecter le principe de laïcité en reconsidérant sa mise à disposition gracieuse de locaux de la ville à une association cultuelle…


Avec notre proposition, nous ne faisons qu’agir avec responsabilité et éthique. Une attitude que notre foi préconise en nous invitant à prendre de la hauteur, à faire preuve de sagesse et de retenue, y compris et surtout face à la provocation et à la haine…

En attendant la réponse de M. Cyrill Nauth, voici la lettre que nous lui avons adressée:

Source : Mosquéemantesud (permet de voir la lettre)

SFCVH – mosquée de Paris : la « déclaration » de Dalil Boubakeur

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Nous vous livrons aujourd’hui la lettre du recteur de la mosquée de Paris du 2 novembre 2015 qui a semé le trouble chez les industriels.

Entre la mosquée de Paris et son partenaire certificateur, la SFCVH (société française de contrôle de la viande halal), c’est la guerre.

Longtemps partenaires, les deux parties sont aujourd’hui au coeur d’un scandale aux enjeux financiers gigantesques : le couple SFCVH-mosquée de Paris est en effet l’organisme de certification plébiscité par les industriels.

Son atout premier : il certifie, c’est-à-dire délivre une autorisation d’apposer un logo attestant de la qualité halal des produits, sans exiger ni opérer un contrôle permanent, indépendant et systématique. L’industriel, débarrassé de contrôleurs contraignants, peut ainsi utiliser le logo du certificateur, a priori sésame pour adresser efficacement le marché des consommateurs musulmans, et ainsi commercialiser son halal, c’est-à-dire le halal comme lui l’entend. Seul écueil à éviter à tout prix : la présence de porc dans ses produits.

Dans la guerre qui oppose la mosquée de Paris à la SFCVH, le document ci-après aussi cinglant que menaçant donne le ton. Daté du 2 novembre dernier, il sema alors le trouble chez les industriels qui estampillent leurs produits prétendument halal du logo fourni par la SFCVH.

Une seconde lettre, longue de quatre pages, envoyée aux mêmes industriels le 13 janvier 2016 a cette fois provoqué la panique. Entre stocks de produits, packaging déjà imprimé avec ledit logo et produits déjà dans les rayons halal des super, hypermarchés et autres épiceries, les pertes financières s’annoncent colossales. Sans parler de la crise que vont traverser les Carrefour, Fleury Michon, Bigard, Findus, Shems, etc. La liste est longue.

Source : Al Kanz

France: ouverture à Paris du procès d'une filière jihadiste présumée

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Ce lundi 7 mars 2016 s'ouvre au palais de justice de Paris le procès d'une filière jihadiste, dite de Champigny-sur-Marne, une commune du Val-de-Marne. Cette filière est suspectée d'avoir acheminé plusieurs candidats au jihad en Syrie en 2013. Onze hommes et une femme sont renvoyés devant le tribunal correctionnel.

Sur ces douze prévenus, seul cinq seront réellement présent dans le boxe ce lundi. Car les autres seraient aujourd'hui en Syrie. Deux d'entre eux y auraient même trouvé la mort.

Le grand absent de ce procès, parmi les prévenus, se nomme Mustapha Mraoui, dit Abou Abdallah. Ex-imam de la mosquée de Villiers-sur-Marne, âgé de 30 ans, il est soupçonné d'avoir été le cerveau de cette filière jihadiste.

Mustapha Mraoui, connu pour ces prêches radicaux, est présenté par la justice comme le recruteur, le chef de cette filière. Il aurait rejoint lui-même les rangs de Daech.

Conditionnement mental au départ en Syrie

 L'enquête a permis d'établir qu'en 2013, Mraoui réunissait quotidiennement à la mosquée de Villiers un groupe de jeunes hommes. Au programme : enseignement religieux teinté de radicalisme et aussi entraînement aux sports de combat.

Les témoignages ont aussi révélé que cet imam conditionnait mentalement ses recrues, afin qu'ils se coupent de leur famille, les menaçant de représailles s'ils renonçaient à se rendre en Syrie.

Pendant une semaine, la justice va donc tenter de déterminer les rôles endossés par chacun des prévenus et s'attacher aussi à établir des liens entre les membres de cette filière et d'autres jihadistes français actifs en Syrie.

Source : RFI

Berlin refuse que l'UE endosse la "fermeture" de la route des Balkans

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La chancelière allemande Angela Merkel a exprimé lundi ses réserves sur la "fermeture" de la route migratoire des Balkans, que des dirigeants de l'Union européenne souhaitent entériner à l'issue d'un sommet extraordinaire à Bruxelles.

"Il ne peut s'agir de fermer quoi que ce soit", a souligné lundi Mme Merkel en arrivant à ce sommet, auquel participe Ankara. "Ce qui importe, c'est que l'on trouve une solution durable avec la Turquie", a-t-elle plaidé, prévenant que la réunion bruxelloise pourrait durer de "longues heures".

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, s'est également opposé à la formulation retenue dimanche soir dans le projet de déclaration finale du sommet européen, principalement consacré à la coopération avec la Turquie pour endiguer les flux de migrants, selon une source européenne.

"Le flux des migrants irréguliers le long des Balkans occidentaux arrive à son terme. Cette route est désormais fermée", peut-on lire dans un projet du texte, selon une version datant de dimanche soir.

Ce texte semblait ainsi donner l'assentiment des dirigeants européens à un fait accompli après la quasi-fermeture des frontières en Europe centrale et dans les Balkans, empruntée l'an dernier par plus de 850.000 migrants ralliant le nord de l'Europe, décidée unilatéralement par certains pays pour stopper les arrivées.

Du fait de ces restrictions, plus de 30.000 migrants sont aujourd'hui bloqués dans des conditions misérables en Grèce, dont quelque 13.000 à la frontière avec la Macédoine.

"J'ai pris connaissance de ces informations, qu'on spécule sur une fermeture de la route des Balkans. Mais je veux dire qu'à l'heure actuelle il s'agit de spéculations, les négociations, les discussions sont en cours et il faut attendre", avait déclaré de son côté une porte-parole de Mme Merkel, Christiane Wirtz, lors d'un point presse régulier à Berlin.

La même source européenne a affirmé à la mi-journée à l'AFP que le texte des conclusions "a été réécrit" et que la phrase semblant entériner la fermeture de la route des Balkans avait été "barrée".

Lalibre.be

Charles Michel (PM belge) : «Il faut stopper les flux d’immigration non contrôlés»

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La priorité du sommet de lundi, qui réunit les chefs d’État et de gouvernement des 28 États membres de l’Union européenne et le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, est de «stopper purement et simplement les flux d’immigration irrégulière» et de «rendre parfaitement hermétiques» les frontières extérieures de Schengen, a déclaré le Premier ministre Charles Michel à son arrivée au sommet.

Des frontières « parfaitement hermétiques »

«On va parler de tout, mais la priorité immédiate est qu’on stoppe purement et simplement les flux d’immigration irrégulière et non contrôlée», a-t-il commenté. Il faut rendre les frontières extérieures de l’Espace Schengen «parfaitement hermétiques», «seule solution pour protéger la libre circulation à l’intérieur de l’Espace Schengen», a-t-il encore souligné.

Source : Fdesouche

Les babtous s’excusent de demander pardon

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La tendance actuelle sur le Net, notamment via les #whitepeoplebelike ou les #babtousfragiles, est de se moquer des Blancs, de leurs goûts, leurs habitudes, leurs façons d’être et de penser. Ce qui correspondrait à du racisme pour une catégorie ne s’applique pas à une autre… Tacler un Blanc pour sa couleur, ce n’est pas du racisme, c’est de la contestation de privilèges !

Le professeur Nelly Quemener, maître de conférences à Sciences Po Paris, nous l’explique : « S’il y a une forme de stéréotypisation des Blancs, est-ce du racisme pour autant ? Nous ne sommes pas sur une même forme d’exclusion. Les Blancs ne sont pas exclus de la société […] Il s’agit davantage, selon moi, d’une stratégie minoritaire de mise en abîme des positions de pouvoir. »

Ainsi, tout est question de minorité ou pas. Si vous êtes Noir, Maghrébin, Latino ou ce que vous voulez, vous pouvez dire ce que vous voulez sur les Blancs : allez-y, lâchez-vous ! A contrario, si vous êtes Blanc, un mot de travers et c’est le tribunal que vous retrouverez… Le professeur l’avoue elle-même : ce n’est pas le « même » type d’exclusion. Alors, si vous êtes pauvre et Blanc, malheur à vous !

Ainsi, la parole du raciste anti-blanc s’est libérée : un commentaire sous une photo représentant un verre d’eau qui dit « Oh mon Dieu, c’est trop épicé » suivi du #whitepeoplebelike… Mais également le célèbre : « Les Blancs ont détruits les trois quarts du monde pour importer des épices mais ont le culot de ne pas assaisonner leurs plats ! » réveillant ainsi le vieux fantasme colonialiste… Pour finir par des tests qui circulent sur le Net pour voir votre niveau de « blanchité » avec le génial « Bravo, vous n’êtes pas Blanc » en cas de réussite ! Être Blanc est une honte a priori…

La « stratégie minoritaire » utilisée comme un talisman, un passe-droit, permet d’insulter une civilisation. Très bien. Les babtous devraient donc s’excuser de demander pardon. S’excuser de manger épicé et d’avoir développé des trésors de raffinement culinaire ! S’excuser aussi de leur histoire bimillénaire, et dont ils sont fiers ! S’excuser, encore, d’évoquer avec orgueil Jeanne d’Arc, Clovis, Louis IX, Charles V, Nelson, Rollon, Richelieu, Bismarck et tant d’autres avant eux qui n’étaient sûrement pas des « babtous fragiles » ! S’excuser de détester entendre le mot « babtou » dans la bouche d’une racaille qui deale, fracasse ou qui insulte la France, l’Europe (la vraie, pas celle des technocrates de Bruxelles) ou les Blancs.

Les « babtous » s’excusent mais là, franchement, ils ont envie de dire tout simplement, sans esprit de grossièreté : merde!

Henri d'Aramis

Source : Boulevard Voltaire

Alain de Benoist : Quand les films de propagande de Daech empruntent les codes hollywoodiens

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Dès 1917, l’industrie hollywoodienne avait été conviée à la Maison-Blanche, histoire de conclure l’alliance entre le “soft power”, le cinéma et le “hard power”, l’invincible armada, afin de promouvoir l’“American way of life” sur l’ensemble de la planète. En 1947, en parallèle au plan Marshall, il était prévu que les écrans français soient grands ouverts au cinéma américain. On se trompe ?

Vous faites allusion aux accords Blum-Byrnes signés, le 28 mai 1946, par Léon Blum et Jean Monnet du côté français, et par le secrétaire d’État américain James F. Byrnes. En échange de l’effacement d’une partie de la dette française envers les États-Unis, ces accords mettaient fin au régime d’interdiction des films américains décrété en 1939 et resté en place après la Libération. Supprimant toute préférence nationale, ils prévoyaient que les salles de cinéma ne pourraient plus programmer exclusivement des films français que quatre semaines par trimestre, les États-Unis – qui disposaient alors de plus de 2.000 films qu’ils voulaient écouler sur le marché européen – pouvant envahir les salles tout le reste du temps. « Le résultat auquel nous venons d’aboutir, déclara Léon Blum, accroîtra encore la reconnaissance que le peuple français doit et porte au peuple américain. » Les résultats se firent immédiatement sentir : en 1948, les films américains représentaient déjà 43,6 % de l’audience des films projetés sur les écrans.

Les accords en question furent très vite perçus comme un moyen, pour les Américains, de diffuser les valeurs qui leur sont propres. De grands réalisateurs comme Marcel Carné ou Jacques Becker n’hésitèrent pas à parler de « bradage du cinéma français », et un Comité de défense du cinéma français (CDCF) fut fondé par Claude Autant-Lara. C’est d’ailleurs à la même époque, le 25 octobre 1946, que fut créé le Centre national de la cinématographie (CNC), dont la mission explicite était de protéger la création française en la finançant de manière autonome à partir d’une taxe sur les billets. En 1948, suite à la mobilisation des professionnels (le 4 janvier, une manifestation avait réuni plus de dix mille cinéastes, acteurs et techniciens), il fut finalement convenu de fixer à 121 le contingent annuel de films américains. Mais ceux-ci absorberont à eux seuls la quasi-totalité du temps normalement réservé à tous les films étrangers. Depuis, Hollywood déverse régulièrement sa production sur nos écrans, pour le pire comme pour le meilleur. Et désormais, bien souvent, les titres des films américains ne sont même plus traduits en français.

Hubert Védrine assurait, récemment, que si les États-Unis avaient gagné la guerre froide contre l’URSS, c’était surtout grâce à Mickey et à Elvis Presley. Le glamour californien plus fort que la rugosité du KGB ?

N’exagérons rien. Les chefs-d’œuvre de Vsevolod Poudovkine, Sergueï Eisenstein ou Alexandre Dovjenko ne le cèdent en rien à ceux d’un D.W. Griffith, d’un John Ford ou d’un Raoul Walsh ! Disons plutôt que les Américains, pour qui le cinématographe ne relève pas tant de la culture que du seul divertissement, ont très tôt compris que leurs films constituaient un vecteur d’influence essentiel, surtout quand ils sont tournés de telle manière qu’ils indiquent au spectateur comment interpréter les images. La manipulation s’appuie sur l’identification aux protagonistes, le comportement des personnages secondaires, le rapport aux objets, la façon de se tenir et de se parler. Elle s’exerce, bien sûr, sur le marché intérieur (95 % des spectateurs américains n’ont jamais vu de leur vie un film non américain), mais plus encore à l’extérieur, où le mode de vie américain, du fait de son omniprésence sur les écrans, est implicitement présenté comme le meilleur et le plus normal qui soit.

Aujourd’hui, plus personne à Hollywood ne croit qu’un film doit être de qualité pour rapporter de l’argent. Les blockbusters rapportent d’ailleurs beaucoup plus par leurs produits dérivés que par le nombre d’entrées en salles qu’ils peuvent engranger. Dans un essai récent, Thibault Isabel a très finement analysé la façon dont les films américains à base d’images de synthèse, de décors numériques et d’effets spéciaux titanesques équivalent à un harcèlement visuel, du fait d’une nervosité narrative et d’un montage saccadé où les plans se succèdent plus qu’ils ne s’enchaînent et où la vitesse « ne laisse rien subsister hormis la sensation de l’instant », produisant dans l’esprit du spectateur un ahurissement de type hystérique. Cette frénésie visuelle a pour avantage d’inhiber toute défense immunitaire, en l’occurrence toute forme d’esprit critique, en sorte que le message idéologique est distillé de façon sous-jacente, ce qui facilite son intériorisation. Qui est encore capable, par exemple, d’analyser le contenu idéologique du Réveil de la force, dernier épisode de Star Wars (un milliard de dollars de recettes en douze jours d’exploitation, record historique !) ?

Aujourd’hui, seule la France résiste en Europe, grâce (ou à cause) du système d’avance sur recettes, tandis qu’en Italie et en Angleterre (pour ne citer que ces deux pays), c’est le trou noir. On s’égare ?

C’est vrai que, grâce au CNC et à son système d’avances sur recettes, le cinéma français tire plutôt mieux son épingle du jeu que celui des autres pays européens – ce qui lui permet de sortir à la fois de bons films et nombre de navets. Mais le cinéma français s’américanise lui aussi peu à peu. Et il n’est pas le seul. Pour ne prendre qu’un exemple auquel on pense rarement, voyez les films de propagande de l’État islamique. On y retrouve le même style frénétique, le même manichéisme, le même mélange de virtuosité technique, d’esthétisme kitsch et de violence pure que dans la plupart des films vidéo ou des films d’action hollywoodiens (tel le ridicule 300 de Zack Snyder, grotesque caricature de la bataille des Thermopyles). Du Luc Besson ou du Quentin Tarantino en version djihadiste ! Spectacle édifiant.

Alain de Benoist

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

Source : Boulevard Voltaire

Légion d’honneur remise au prince d’Arabie saoudite. Pour sévices ou services rendus ?

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Mohammed ben Nayef, prince héritier d’Arabie saoudite, vice-président du Conseil des ministres et ministre de l’Intérieur de la pétromonarchie islamique, a été décoré de la Légion d’honneur, vendredi dernier, par François Hollande en personne. Peut-être gênées, les équipes du président de la République n’avaient pas communiqué sur cette réception, le Journal officiel ne relatant même pas l’événement. De son côté, l’agence de presse saoudienne, beaucoup moins timide, se félicitait de l’événement. L’an dernier, de la même manière, François Hollande remettait la Légion d’honneur à Akbar al-Baker, PDG de Qatar Airways, entreprise qui entend desservir les aéroports français au grand dam d’Air France. Le Président entretient d’excellentes relations avec les monarchies du golfe Persique. Il sait donc se montrer généreux en compliments.

Interrogé, l’entourage du Président déclarait que la décoration avait été remise au prince héritier selon « une pratique protocolaire courante », rappelant que le président de la République avait, pour sa part, été « décoré de l’ordre suprême du Royaume » lors d’une visite à Riyad. En plus de ces déclarations d’usage en matière diplomatique, François Hollande n’a pas manqué d’évoquer « les dernières évolutions de la situation au Proche-Orient et les efforts déployés par les deux pays amis ». Curieux exercice de « realpolitik » de la part de François Hollande, pourtant enclin à délivrer ses pathétiques leçons de morale aux pays du monde entier. À commencer par la Russie, actuellement frappée par un embargo qui handicape sérieusement notre agriculture.

Je suis suffisamment critique, à l’encontre de François Hollande, pour sa propension maladive à s’ingérer dans les affaires intérieures d’États souverains au nom de grands principes hypocrites pour ne pas tomber dans les mêmes travers vis-à-vis de l’Arabie saoudite. Mais enfin, doit-on pour autant passer sous silence la véritable nature de cette théocratie ? Les récipiendaires étrangers de la Légion d’honneur doivent avoir rendu des services à la France ou encouragé des causes qu’elle défend. Le prince héritier est-il décoré pour son « féminisme », comme celui que défendait récemment François Hollande en couverture de Elle ?

Riyad collabore en ce moment avec des groupes armés proches d’Al-Qaïda, en Syrie et au Yémen. Riyad est en guerre ouverte contre toutes les minorités non sunnites du Moyen-Orient. Riyad a récemment fait condamner Mohammed al-Nimr, opposant politique de confession chiite, à une peine de « décapitation et crucifiement », son corps devant être ensuite « exposé publiquement jusqu’au pourrissement de ses chairs ». Riyad entretient un jeu particulièrement trouble avec l’État islamique depuis la création de ce dernier. Riyad ne respecte pas les droits de l’homme. Est-ce donc un pays modèle sur lequel s’appuyer dans cette région du monde ? Je ne le crois pas. Est-ce donc un pays que la France peut se flatter d’avoir pour « ami » ? Certainement pas.

Dans le même esprit de soumission, la Belgique faisait Erdoğan chevalier de l’ordre de Léopold en octobre 2015. Ce même Erdoğan qui massacre les Kurdes. Ce même Erdoğan qui fait donner l’assaut de sa police contre le journal Zaman. Ce même Erdoğan qui trafique avec l’État islamique. Ce même Erdoğan qui enjoint ses ressortissants à créer des États communautaires turcs au sein des États européens.

Les nations européennes sont soumises. Dans un célèbre discours prononcé à la Chambre des communes en 1938, Winston Churchill dit : « Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre. » Par leurs politiques étrangères déshonorantes, couplées à une irresponsabilité totale en matière de politique migratoire, les pays d’Europe, au premier rang desquels se trouvent la France et l’Allemagne, nous livrent à la guerre. Distinguer avec une telle déférence la dynastie des Al Saoud, revient à distinguer une idéologie qui nous menace très directement, ainsi qu’un système politique planétaire aux pratiques quasi mafieuses. L’argent corrompt l’homme. François Hollande n’est qu’un homme.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

 

Au camp de Grande-Synthe, le pari de l’accueil des réfugiés

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À partir de lundi 7 mars et jusqu’à mercredi, 1 200 migrants doivent quitter le terrain inondable qu’ils occupent pour un nouveau camp humanitaire financé par MSF.

Tout est fin prêt, derrière l’ancienne coopérative linière de Grande-Synthe près de Dunkerque (Nord). Deux mois de chantier ont été nécessaires pour terrasser et drainer ce terrain de 5 hectares, y apporter l’eau et l’électricité, y installer des blocs sanitaires… Il a surtout fallu remplacer à la hâte les 200 tentes initialement prévues, retournées comme des fétus de paille lors de la grande tempête de février et ses rafales à 110 km/h.

À la place, Médecins sans frontières a fait installer 300 cabanons en bois. Lundi 7 mars, c’est le jour J : près de 1 200 exilés, essentiellement des Kurdes d’Irak, doivent quitter le camp boueux du Basroch à un kilomètre de là, et s’installer dans ce camp humanitaire. Coût de l’opération pour MSF : deux millions d’euros.

« L’État ne prend pas ses responsabilités alors nous nous substituons », explique le docteur Michel Janssens, chef de mission à MSF. À Grande-Synthe, quelques centaines d’exilés ont déjà accepté de se rendre dans des centres d’accueil et d’orientation répartis sur tout le territoire. Mais aucun hébergement officiel n’est prévu sur place contrairement à ce qui se fait sur le camp de Calais, à seulement 40 kilomètres de là, où la « jungle » est progressivement démantelée au profit de 1 500 places dans des conteneurs installés par la préfecture

« Un camp ouvert, sans restriction de mouvements »

Le changement d’approche tient aussi à la personnalité du maire écologiste de Grande-Synthe, Damien Carême. Avec MSF, il défend sa propre méthode : « Un camp ouvert, sans restriction de mouvements. » L’élu ne veut pas d’un contrôle d’accès strict comme à Calais, où les migrants qui résident dans les conteneurs doivent donner l’empreinte de leur main pour entrer. Beaucoup de migrants refusent de s’y rendre de peur d’être fiché ou retenu, lorsque leur projet reste d’aller en Angleterre.

À Calais, La Vie active, l’association qui gère le centre d’hébergement, défend néanmoins sa solution : « Laisser aux personnes une clé ou un badge, c’était nous exposer à leur vol ou leur revente, explique Stéphane Duval, le directeur. Pour des raisons évidentes de sécurité, nous avons besoin de savoir qui est dans la structure », poursuit-il. Mais Damien Carême, souhaitant une mise à l’abri inconditionnelle, fait le pari d’un moindre niveau de contrainte.

C’est une toute nouvelle association, Utopia 56, qui a été retenue pour organiser la vie sur place. L’intervention humanitaire n’est pas le cœur de métier de son président, Yann Manzi. D’habitude, c’est plutôt dans les festivals de musique que ce Breton s’active. Pendant les Vieilles Charrues, il régit le camping de près de 35 000 festivaliers. Gérer les mouvements de personnes, il a l’habitude.

Une école et des cuisines

« Notre mission sera avant tout d’aider les migrants et les associations à s’approprier l’espace. Cela implique beaucoup de coordination », explique le responsable. Parmi les associations partenaires du projet, on trouve l’Auberge des Migrants, Salam, Emmaüs… Les mêmes qui se sont élevés contre le démantèlement des « lieux de vie » (lieux de culte, théâtre, bibliothèque, espaces d’échange, services juridiques, de cours de français…) dans la « jungle » de Calais.

À Grande-Synthe, elles sont parties prenantes du projet. Une école doit ouvrir ses portes ainsi que des cuisines, permettant aux migrants de se faire à manger plutôt que de vivre des distributions de repas. En tant qu’organisateur d’événements culturels, Yann Manzi n’écarte pas l’idée de mobiliser des artistes pour organiser concerts et spectacles dans le camp.

Le responsable se prépare aussi à des moments difficiles. Il faudra lutter contre les pratiques mafieuses des passeurs à l’intérieur du camp, éviter que les hangars désaffectés situés à proximité ne soient squattés. « On ne fera pas le travail de la police, mais nos équipes seront vigilantes avec une présence sur le site 24 heures sur 24 », assure Yann Manzi. Dernier défi, enfin : éviter les intrusions sur l’A16 et la gare de triage, à proximité du lieu d’accueil. Des clôtures ont été érigées par la mairie. Car l’autoroute et le rail mènent tout droit à Loon-Plage, où les exilés montent à bord des camions pour rejoindre l’Angleterre.

Plus d’un quart de la « jungle » de Calais évacuée

Alors que le démantèlement de la moitié sud du bidonville de Calais a commencé il y a tout juste une semaine, 2 hectares sur 7,5 ont été évacués vendredi avant la pause du week-end.

Parallèlement des « maraudes sociales » ont eu lieu pour convaincre les migrants de rejoindre les conteneurs chauffés du centre d’accueil provisoire (CAP) ou les tentes de la sécurité civile.

Les exilés peuvent aussi aller dans l’un des 102 centres d’accueil et d’orientation (CAO) répartis sur le territoire et faire une demande d’asile en France. Une centaine de migrants ont opté pour cette solution la semaine dernière.

Jean-Baptiste François

Source : La Croix

152 réfugiés accueillis en France ce lundi

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Environ 150 réfugiés ayant transité par des «hot spots» en Grèce arrivent lundi en France, dans le cadre du programme européen de répartition des demandeurs d’asile, indique le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve dans une tribune à liberation.fr.

Environ 150 réfugiés ayant transité par des «hot spots» en Grèce arrivent lundi en France, dans le cadre du programme européen de répartition des demandeurs d’asile, indique le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve dans une tribune à liberation.fr.

«La France est le pays qui a accueilli à ce jour le plus grand nombre de réfugiés relocalisés: 152 d’entre eux arrivent ce lundi 7 mars sur le sol français en provenance de Grèce et seront accueillis dans des centres d’accueil pour demandeurs d’asile dans plusieurs régions françaises», affirme M. Cazeneuve.


Essentiellement des Syriens et Irakiens

Ces arrivées portent à près de 300 le nombre total des personnes prises en charge par la France dans le cadre du programme européen de répartition (dit de «relocalisation") validé l’été dernier. Les premiers, des Érythréens, avaient été pris en charge en novembre. Cette fois-ci, il s’agit essentiellement de Syriens et d’Irakiens, avec une vingtaine de familles et quelques hommes isolés, a-t-on précisé au ministère de l’Intérieur. Après leur arrivée, les réfugiés devraient être dirigés vers des centres pour demandeurs d’asile en Aquitaine-Poitou-Charentes, en Bourgogne-Franche-Comté, ainsi que, pour une poignée d’entre eux, dans le Nord-Pas-de-Calais.

La France s’est engagée à accueillir 30.000 réfugiés sur deux ans. Mais le démarrage est laborieux, puisque, avec 300 personnes, la France est en tête des pays d’accueil devant la Finlande (140 personnes environ), ce que Bernard Cazeneuve attribue au fait que «les dispositifs d’accueil et de répartition des réfugiés dans les hot spots ne fonctionnent encore que de façon très imparfaite».


"Mettre à l'abri des personnes en grande détresse"

Le ministre de l’Intérieur réfute l’idée d’un «manque d’attractivité» ou d’une «mauvaise volonté délibérée» de la France, dans cette tribune rédigée en réponse à un article du philosophe Étienne Balibar, très critique envers la politique française en matière d’asile et d’immigration, notamment à Calais (Pas-de-Calais).

«Nul ne saurait écrire de façon informée que le plan de démantèlement de la jungle de Calais aura pour effet de rejeter sur les routes des centaines de désespérés», affirme ainsi Bernard Cazeneuve, en expliquant que l’opération «n’a pas d’autre objectif que de mettre à l’abri des personnes en situation de grande détresse, exposées au froid, vivant dans la boue» et «soumises aux violences des passeurs».

Définition

Les «hot spots» sont des centres d’enregistrement des migrants arrivant dans l’Union européenne, chargés de distinguer les réfugiés aptes à la protection internationale des migrants économiques.

Source : l'Alsace

Grande-Synthe (59) : un premier camp de migrants « aux normes internationales »

Le premier camp de migrants de l’Hexagone qui répond aux normes internationales du HCR doit accueillir à partir de lundi 1.500 personnes à Grande-Synthe, dans le Nord. Sanitaires de qualité, espaces de vie, présence des associations, liberté de circulation sont les points d’orgues de ce « camp humanitaire ».

La mairie de Grande-Synthe a précisé que ce camp n’a pas vocation à durer, tout en reconnaissant qu’il perdura tant que des migrants seront là.

Les migrants seront hébergés dans des maisonnettes en bois, installées sur un espace de cinq hectares qui jouxte l’autoroute Dunkerque-Calais. « Il y a aujourd’hui un peu plus de 200 cabanons. On espère en avoir 275 à court terme pour loger au moins 1.500 personnes », a indiqué à l’AFP Angélique Muler, coordinatrice du camp chez MSF, précisant que le camp a été dimensionné pour 2.500 personnes. L’ONG installera 500 habitations à terme.

Chaque petit chalet fait entre 8 et 10 mètres carrés, dans lesquels seront logées 4 ou 5 personnes. Ce camp dit humanitaire a la particularité d’être pourvu de sanitaires de qualité : points d’eau, douches avec eau chaude, toilettes en nombre suffisant. Sur son site, le HCR précise par exemple qu’un point d’eau doit être installé pour 200 à 250 personnes. Amener l’eau, l’électricité, l’éclairage public a constitué le plus gros œuvre des travaux, explique France Info. […]

Enfin, les migrants sont libres d’entrer et sortir du camp comme ils le souhaitent. […]

L’installation de ce camp a coûté 2,7 millions d’euros. Il est financé à 75% par MSF (soit 2 millions d’euros), le reste étant pris en charge par la ville de Grande-Synthe. L’Etat n’a pas participé à son financement. […]

Source : islamisme.fr

 

Europe. Que peut faire la Turquie face à la crise migratoire ?

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Sommet crucial aujourd’hui à Bruxelles. L’Union européenne compte sur Ankara pour endiguer le flux de réfugiés et l’aider à refouler les migrants économiques.

Décourager les départs vers l’UE

Sombre décompte : 25 personnes dont 10 enfants ont encore péri, hier, au large de Didim, en Turquie. Elles pensaient trouver refuge en Europe, comme les 130 000 migrants arrivés depuis janvier, via la Turquie. D’où l’urgence des discussions qui s’engagent ce lundi à Bruxelles. Il s’agit de convaincre les Turcs de maintenir chez eux les 2,7 millions de migrants qui s’y trouvent...
 
Cécile Réto.

Suisse. Immigration: C’est l’heure de vérité pour l’armée de milice

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Le commandant des forces terrestres Dominique Andrey estime que si l'armée est appelée en renfort pour gérer les migrations de masse, le système de milice connaîtra "son heure de vérité".

«En fonction de l’évolution de la situation, le corps des garde-frontières sera vite confronté à ses limites. Le seul moyen pour lui prêter main forte c’est l’armée. Elle pourrait intervenir de différente manière, pour effectuer la surveillance ou en appui.» Pour l’instant, rien n’a été décidé. Le dossier est entre les mains du pouvoir politique, en l’occurrence le Conseil fédéral.

Source : lesobservateurs.ch

Jean-Marc Rouillan, héros de Libé et des antifas, juge les assaillants du Bataclan courageux

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Jean-Marc Rouillan, né le 30 août 1952 à Auch (Gers), est un terroriste et militant d’extrême gauche (MIL, GARI, Action directe) et un écrivain français. Il est aussi connu sous le nom de Jann-Marc Rouillan à partir de 2002.

Arrêté en 1987 avec d’autres membres du groupe, il est condamné en 1989 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de dix-huit ans, pour l’assassinat de l’ingénieur général de l’armement René Audran en 1985 et celui du PDG de Renault Georges Besse en 1986.
Il a bénéficié d’un régime de semi-liberté du 17 décembre 2007 au 2 octobre 2008. Ce régime a été suspendu puis révoqué pour des propos tenus lors d’une interview à L’Express en 2007. Il bénéficie de nouveau d’un régime de semi-liberté le 19 mai 2011.

islamisme.fr

dimanche, 06 mars 2016

Les 20 bonnes raisons d'être antiaméricain de Martin Peltier

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Malgré les apparences, la «crise», le «danger islamiste», «l'invasion», la principale menace pour nos libertés, notre prospérité et notre identité vient d'outre Atlantique. Le rêve américain est devenu le cauchemar de la planète. Les Etats-Unis ne sont pas seulement un ennemi qui vise à l'hégémonie mondiale, un supermodèle dont la façon de vivre infantilise l'univers, ils sont aussi la patrie du mondialisme, les parrains des nouvelles normes qui subvertissent le globe pour l'asservir. 20 bonnes raisons d'être antiaméricain va jusqu'à la racine religieuse de la chose : la théocratie américaine est judéo-maçonne et protestante, et cela en fait un monstre très semblable à l'islamisme radical qu'elle prétend combattre.

20 bonnes raisons d'être anti américain, Martin Peltier, Editions DIE, juin 2015, 210 pages, 26,00 €,

L'auteur : Martin Peltier, journaliste, écrivain, essayiste.

L'acheter en ligne cliquez ici

Vous pouvez le commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) 26,00 € + 3,00 € de port (chèque à l'ordre de Synthèse nationale)

Source : Les bouquins de Synthèse Nationale

Angela Merkel dénonce le parti anti-immigrés AfD

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A la veille d'un sommet entre les Européens et la Turquie consacré à la crise migratoire, Angela Merkel s'en est pris directement dimanche au parti Alternativ für Deutschland (AfD), la formation anti-immigrés qui a le vent en poupe dans les sondages en Allemagne.

Dans une interview accordée au Bild am Sonntag, la chancelière allemande accuse ce nouveau venu sur la scène politique de jouer sur les préjugés et de diviser la société allemande.

"L'AfD est un parti qui ne rassemble pas la société, qui n'offre pas de solutions appropriées aux problèmes, mais qui attise les préjugés et polarise", dit-elle dans cette interview.

Angela Merkel, dont la politique d'accueil des réfugiés et des migrants est contestée jusque dans les rangs de sa coalition, passera un test électoral d'envergure dimanche prochain, avec des élections dans trois Länder (Bade-Wurtemberg, Rhénanie-Palatinat et Saxe-Anhalt).

D'après les derniers sondages, l'AfD est créditée de près de 20% des intentions de vote dans la région de Saxe-Anhalt, en ex-Allemagne de l'Est, et pourrait faire jeu égal avec les sociaux-démocrates du SPD dans le Bade-Wurtemberg (sud).

Pour Merkel, les membres du gouvernement et les partis politiques traditionnels ont le devoir de défier l'AfD dans le débat publique en se distinguant clairement des prises de position hostiles à l'immigration du mouvement.

Créé à l'origine contre l'euro, l'AfD, sous l'impulsion de ses nouveaux dirigeants élus à l'été 2015, a mis de côté les questions liées à la monnaie unique européenne et a adopté une ligne très ferme contre l'immigration.

Sur la crise des migrants, la plus grave crise de ce genre qu'ait connue l'Europe depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, la chancelière réaffirme que seule une solution européenne, avec renforcement des frontières extérieures et coopération avec la Turquie, est à la hauteur du défi.

"Nous ne pourrons relever ce défi qu'ensemble", dit-elle.

Elle souhaite aussi que les Européens discutent des moyens de venir en aide à la Grèce, placée dans une "situation très difficile" du fait de sa position géographique, en première ligne face aux flux migratoires.

(Michael Nienaber; Henri-Pierre André pour le service français)

Source : Capital.fr

Autriche : « Afghans, restez chez vous ! »

Présentée cette semaine par Johanna Mikl-Leitner (ÖVP), ministre de l’Intérieur, la campagne d’information en Afghanistan vient de démarrer sur Internet. À partir de lundi, on pourra lire aussi à la télévision, sur les panneaux publicitaires et sur les bus des slogans comme „Les lois autrichiennes sur l’asile sont devenues encore plus sévères“. On cherche ainsi à dissuader la population de fuir le pays. Chez les Afghans de Kaboul, les réactions vont de l’étonnement au haussement d’épaules. Presque personne ne croit au succès de cette campagne.

„Si cela dissuade 10 Afghans de partir d’ici, ce sera beaucoup“, dit Maryam, étudiante à Kaboul, qui exprime l’opinion d’une grande majorité. Car […] elle ne connaît personne qui, avant sa fuite, aurait délibérément décidé d’aller en Autriche. „Tous veulent aller en Allemagne.“ Mais en réalité, 88912 demandes d’asil ont été déposées l’an dernier en Autriche, et la plupart l’ont été par des Afghans (25 475), le groupe des Syriens venant ensuite.

[…]

Même si la plupart des Afghans n’accordent aucune chance de succès à la campagne menée par l’Autriche, il y a cependant des citoyens qui l’approuvent. „De telles campagnes sont importantes et justes, car cette fuite en masse est un problème pour les Européens et les Afghans“, déclare Habib Hamizada, membre du „Mouvement contre le chômage“, une organisation de la société civile. „Oui, la vie en Afghanistan est dure, mais c’est notre pays“, ajoute Hamizada. Il n’est pas admissible que ceux qui ont les capacités de reconstruire le pays soient dispersés aux quatre coins du monde.

(Traduction Fdesouche)

Source : islamisme.fr

Wancourt (62) : vols de fret en série, vaste opération de gendarmerie dans un camp de gens du voyage

Près de cent cinquante gendarmes, appuyés par un hélicoptère, ont mené une vaste opération dans un camp de gens du voyage sédentarisés, mercredi matin à Wancourt. Soupçonnées de vols, quinze personnes ont été arrêtées. Une information judiciaire a été ouverte et huit personnes présentées à un juge d’instruction en vue de mises en examen. […] […]

Cet article Wancourt (62) : vols de fret en série, vaste opération de gendarmerie dans un camp de gens du voyage est apparu en premier sur Fdesouche.

Source : islamisme.fr

Ryad annonce que Hollande a remis la Légion d’honneur au Prince héritier saoudien. Pas un mot à Paris

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Le président de la République française, François Hollande, a reçu aujourd’hui le prince Mohammed bin Nayef bin Abdelaziz Al Saoud, prince héritier, vice-président du Conseil des ministres et ministre de l’Intérieur.
A son arrivée au palais de l’Elysée, à Paris, le prince héritier a salué les hauts responsables français présents. De même, le président français a salué la délégation accompagnant son altesse.

(…) Après cela, le président français a remis à son altesse la médaille de l’ordre national de la Légion d’honneur qui est la plus haute distinction française pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme.

Source : Fdesouche

Les contrôles « au faciès » en question

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À l’occasion d’une affaire remontant au 24 juin 2015, l’État avait été condamné par la cour d’appel de Paris pour « faute lourde » dans cinq cas de contrôles d’identité jugés discriminatoires ; il s’agissait d’étrangers. En effet, les organisations internationales rappellent régulièrement que tout contrôle policier effectué sur la base de caractéristiques physiques est illégal.

Pourtant, suite à cette condamnation, l’État vient de se pourvoir en cassation. Son représentant devant la haute juridiction a fait valoir qu’agissant sur réquisitions du procureur de la République, laquelle visait d’éventuelles infractions à la législation sur les étrangers, les policiers qui n’avaient fait que respecter et mettre en œuvre les instructions du magistrat avaient donc agi légalement.

Juridiquement, rappelons que c’est sur la base des articles 78-1 et suivants du Code de procédure pénale que les officiers de police judiciaire et, sous le contrôle de ceux-ci, les agents de police judiciaire peuvent inviter à justifier par tout moyen de son identité toute personne à l’égard de laquelle existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tenté de commettre une infraction. Dans le cadre de réquisitions écrites du procureur de la République, l’identité de toute personne peut également être contrôlée dans les lieux et pour une période de temps déterminés par ce magistrat.

Pour certains médias, cette décision de l’État de se pourvoir en cassation revient à justifier les contrôles « au faciès ». En réalité, elle révèle plus certainement un changement de position par rapport à l’action des services de police qui, dans bien des cas, étaient peu ou prou livrés à eux-mêmes lorsqu’il s’agissait de contrôles d’identité visant en particulier des étrangers. Depuis de nombreuses années, sous la pression des instances internationales, les conditions légales pour effectuer ce geste élémentaire d’investigation devenaient de plus en plus difficiles à réunir. Bon nombre de procédures ont ainsi été sanctionnées, les magistrats ayant jugé que les enquêtes policières ne répondaient pas aux impératifs développés, en particulier, par les juridictions européennes.

Il est vrai que depuis ce 24 juin 2015, des faits particulièrement graves se sont déroulés dans notre pays. L’arsenal juridique, sans cesse plus complexe, mis à la disposition des forces de sécurité intérieure a révélé ses limites, et l’équilibre entre les impératifs de sécurité publique et le respect des libertés individuelles est devenu extrêmement fragile.

On ne peut que se réjouir de ce que l’État soutienne les forces de l’ordre dans l’exercice de leurs missions. Il est grand temps que les équivoques soient levées et que les cadres juridiques propres à assurer la sécurité des Françaises et des Français soient clarifiés.

Reste simplement à espérer que la Cour de cassation suivra l’État dans ses conclusions.

Olivier Damien

Source : Boulevard Voltaire

Statut du Coran et Mahomet le "Beau Modèle"

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Les "Petites Feuilles Vertes" 37 et 38 reprennent un article d'Annie Laurent publié dans le cadre d’un dossier comparatif sur la force et la violence dans le christianisme et dans l’islam, paru dans la revue Sedes Sapientiae n° 134 (décembre 2015).

Annie Laurent montre que l'islam restera un problème insoluble pour le monde entier tant que le Coran sera considéré comme divin et tant que Mahomet restera un modèle :

"Nonobstant les thèmes inoffensifs qu’ils contiennent, ces textes sacrés (Coran, Sunna, Sîra) justifient au nom de Dieu toutes formes de violence et de comportements considérés comme immoraux au regard de l’enseignement du christianisme. Appliqués à la lettre, ces passages sont susceptibles de mettre en péril la paix du monde, de briser l’harmonie des sociétés et de porter gravement atteinte à la dignité des personnes.

C’est ce que dénonçait de son vivant l’intellectuel français d’origine tunisienne, Abdelwahab Meddeb (m. 2014), lorsqu’il écrivait : « Je le répète encore une fois : le Coran porte dans sa lettre la violence, l’appel à la guerre. La recommandation de tuer les ennemis et les récalcitrants n’est pas une invention malveillante, elle est dans le texte même du Coran » (Face à l’islam, éd. Textuel, 2004, p. 145-146).

Devant ces évidences, un certain nombre de musulmans, y compris parmi les plus savants ou parmi ceux qui exercent des responsabilités importantes dans les domaines de la religion ou du droit, nient la légitimité de la violence ou sa conformité avec les textes sacrés dont ils connaissent évidemment le contenu. A chaque excès commis en référence au Coran ou à la Sunna, ils s’empressent de répéter que l’islam est une religion « de paix, de tolérance et d’amour ». Comment comprendre de telles attitudes si opposées à la réalité ? Certains de ces musulmans recourent sans doute à une forme de taqiya (dissimulation), attitude reconnue conforme à la religion, d’autant plus qu’elle a un fondement coranique (cf. Petite Feuille verte n° 33 – novembre 2015).

Dans l’appréhension de ce phénomène, il faut cependant tenir compte de ceux qui, dans l’islam, optent pour une pratique paisible de leur religion. On pense d’abord aux adeptes du soufisme, mouvement marginal et souvent combattu pour s’être éloigné de l’islam orthodoxe. Orientés vers une conception et une pratique mystiques de l’islam, les soufis répugnent en principe à la violence de type djihad belliqueux mais le caractère initiatique ou ésotérique de leurs confréries, où l’exaltation est promue, ne les met pas forcément à l’abri d’un certain fanatisme religieux.

Restent enfin les musulmans sincères qui, en conscience, déniant toute légitimité sacrée à la violence, fabriquent « leur » islam sans trop se poser de questions sur leurs Écritures sacrées. Il est difficile de mettre leur bonne foi en doute. Mais force est de constater que leurs bonnes dispositions sont jusqu’à présent demeurées impuissantes à s’imposer à l’Oumma.

Hormis quelques épisodes historiques éphémères ou des exemples individuels, rien ne pourra changer dans le rapport du monde musulman avec le reste de l’humanité tant que persisteront les dogmes du Coran incréé et de l’exemplarité de Mahomet, qui empêchent par là même la possibilité d’un magistère humain authentique, fondé sur l’autonomie de la raison et soucieux de libérer les musulmans de leur enfermement."

Source : Le salon beige

Immigration: régler les problèmes par étapes

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Didier Burkhlater, chef des Affaires étrangères, explique en quoi le protocole de Croatie est un message de la Suisse à l'Europe.

La signature du protocole sur la Croatie est aussi un message de la Suisse envoyé à l'Union européenne (UE). «Nous disons simplement à l'UE (...) que les problèmes peuvent se régler par étapes», déclare le conseiller fédéral Didier Burkhalter.

«Nous avons signé ce protocole pour montrer que nous souhaitons réellement aller jusqu'au bout dans la discussion sur un accord négocié», explique le ministre suisse des Affaires étrangères dans un entretien publié par Le Matin Dimanche et la NZZ am Sonntag.

«Nous sommes intéressés à continuer à contribuer à l'avenir du continent européen», ajoute le conseiller fédéral. Et de citer le programme de recherche européen Horizon 2020.

«Désormais, nous avons une ouverture avec l'Union européenne pour une clause de sauvegarde commune», constate Didier Burkhlater. «Malheureusement, il n'a pas été possible de conclure avant fin février, comme la Suisse le souhaitait. Mais une issue favorable est encore possible.»

«Gesticulation politique»

«Nous disons simplement à l'UE, qu'avec un peu de pragmatisme et d'imagination, les problèmes peuvent se régler par étapes. La signature du protocole en est une qui nous rapproche du but qui est de régler mieux la gestion de la migration en Suisse tout en préservant et développant la voie bilatérale, souligne Didier Burkhalter.

Pour le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), la Suisse a «un bon plan», la solution négociée, mais qui n'est pas encore prêt. Il souligne que pour le Conseil fédéral, le seul vrai bon plan est l«accord commun avec l«UE, car cela améliore la sécurité du droit et la prospérité.

Faute d'accord avec Bruxelles, le Conseil fédéral a proposé vendredi un plan B: activer une clause unilatérale. Pour Didier Burkhalter, il ne s'agit pas de «gesticulation politique. C'est même tout le contraire...» Il insiste sur le fait que cette clause respecte les institutions.

Vote britannique

Le Parlement a la possibilité de suspendre ce projet et d'attendre le résultat du vote britannique sur une éventuelle sortie de l'UE, le «Brexit». Ce scrutin est prévu le 23 juin. De l'avis du chef du DFAE, les négociations avec l'UE reprendront «vraisemblablement très fort» après le vote britannique.

Source : 24heures.ch

Slovaquie. Avec Fico les anti-migrants gagnent les législatives

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Le Premier ministre slovaque sortant, Robert Fico, connu pour ses positions anti-migrants, a remporté, hier, les élections législatives avec 27,30 % des voix, selon un sondage sortie des urnes pour une télévision privée. Son parti social-démocrate, Smer-SD, perd toutefois la majorité absolue au Parlement. Les libéraux de SaS terminent seconds (13,30 %) et les conservateurs d'Olano-Nova troisièmes (11,20 %), selon ce sondage, suivis par les nationalistes du SNS (8 %), partenaires de coalition probables de Robert Fico, tandis que l'extrême droite nationaliste (6,8 %) fait son entrée au Parlement. Le sortant, qui briguait son troisième mandat à la tête du gouvernement, a axé toute sa campagne sur le refus d'accueillir des migrants. Robert Fico a ainsi intenté un recours en justice contre le système de quotas proposé par l'UE et s'est engagé à aider la Bulgarie et la Macédoine à sceller leurs frontières avec la Grèce, où 13.000 migrants s'entassaient, hier, bloqués du côté grec. Des grèves d'enseignants et d'infirmières ont cependant réduit, les derniers jours avant le scrutin, l'impact de cette question à Bratislava.

Le télégramme

La Suisse présente son plan pour limiter l’immigration à partir de 2017

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Pressé par le temps, le gouvernement suisse a présenté vendredi son plan pour limiter l’immigration à partir de 2017, comme cela a été décidé lors d’un référendum il y a deux ans qui avait bouleversé les relations du pays avec l’UE, son principal partenaire.

Ce référendum, visant à limiter "massivement l’immigration" en introduisant des quotas, avait été adopté à une courte majorité. Le texte prévoyait un délai de trois ans au gouvernement pour adopter les mesures nécessaires afin d’assurer une mise en oeuvre des restrictions le 9 février 2017.

Sont directement visés les Européens venus par dizaines de milliers s’installer en Suisse depuis l’entrée en vigueur au début des années 2000 des accords de libre circulation entre la Suisse et l’UE.

Dès l’annonce du résultat du référendum, l’UE avait vivement condamné ce texte, estimant qu’il était totalement incompatible avec les accords de libre-circulation en vigueur.

Concrètement, le gouvernement suisse propose de fixer chaque année le montant maximal de ressortissants de l’UE pouvant venir vivre et travailler en Suisse.

Si ce montant est dépassé, le gouvernement mettra en place des contingents contraignants, qui concerneront aussi les frontaliers.

"L’UE ne veut pas de cette solution (...) mais elle doit aussi comprendre que nous sommes obligés" de respecter la volonté du peuple suisse et de la mettre en oeuvre", a déclaré Mme Simonetta Sommaruga, ministre suisse de l’Intérieur lors d’une conférence de presse à Berne. Avant elle, le président en exercice de la Confédération, Johann Schneider-Ammann, avait indiqué qu’il s’agissait pour le gouvernement suisse de "résoudre la quadrature du cercle".

Selon Mme Sommaruga, après le vote du 9 février 2014, "pendant une année, il n’y a eu aucun contact avec l’UE". L’UE a en effet considéré ce résultat comme un camouflet inacceptable. Puis en février 2015, la Suisse a commencé à négocier avec l’UE, mais jusqu’à présent aucun résultat tangible n’a été obtenu, en "dix rondes de négociations", selon la ministre suisse.

- "Plan B" -

Si le plan est mis en place à temps, les quotas pourraient entrer en vigueur vers 2019, a encore indiqué Mme Sommaruga.

Selon elle, le projet présenté vendredi est clairement "un plan B", car "le plan A", qui aurait été une solution négociée avec l’UE n’est pas possible pour l’instant.

"Nous sommes pressés par le temps" et l’UE ne veut pas reprendre les négociations avec la Suisse avant le référendum sur le Brexit, alors que la limitation de l’immigration doit impérativement entrer en vigueur le 9 février 2017, a souligné Mme Sommaruga.

Le système politique suisse est basé sur la démocratie directe, qui donne beaucoup de pouvoirs au peuple, notamment celui d’imposer un texte, pour autant qu’il soit adopté à la majorité lors d’un référendum.

L’initiative votée en février 2014 avait été lancée par le parti majoritaire UDC (droite populiste), qui a fait de l’immigration son cheval de bataille, et qui dénonce inlassablement les arrivées massives tous les ans en Suisse de dizaines de milliers d’Européens.

En 2014, année des derniers chiffres officiels publiés, 76.200 étrangers supplémentaires se sont installés en Suisse, un pays qui compte 8 millions d’habitants dont plus de 20% d’étrangers.

Le projet présenté vendredi par le gouvernement va être présenté au Parlement. Si ce dernier n’arrivait pas à se décider avant la date butoir du 9 février 2017, le gouvernement agira par décret.

Source : Mayotte orange

Adhérez à l'association des amis de Synthèse Nationale

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Depuis bientôt dix ans, Synthèse nationale mène sans relâche un combat contre le Système mondialiste broyeur des Peuples et des Nations et pour l’instauration d’un Ordre nouveau, nationaliste, social et identitaire.

Pour cela nous avons créé une machine de guerre qui repose sur :


■ la revue Synthèse nationale, 40 numéros parus, diffusée à 4 000 exemplaires, qui est le fer de lance de notre organisation... Ajoutez à cela des numéros thématiques hors-série…


■ Le blog éponyme, actualisé trois fois par jours, consulté quotidiennement par des milliers d’internautes…


■ Une maison d’édition, Les Bouquins de Synthèse nationale, créée en 2012, qui a déjà publié une vingtaine de titres diffusés dans les librairies non-conformistes et grâce au site synthese-editions.com


■ Une revue historique, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, lancée en avril 2014, dont le septième numéro, consacré à la Croix celtique, vient de paraître…


■ Les « Journées nationalistes et identitaires » qui se déroulent chaque année depuis neuf ans et qui sont devenues le rendez-vous de rentrée des forces patriotiques… Nous en sommes à la neuvième édition cette année. Une autre réunion de ce type a lieu chaque année au printemps, depuis 2013, près de Lille…


■ Des réunions, colloques, conférences de presse dans plus d’une trentaine de villes de France...


■ Des campagnes militantes remarquées (contre la réintégration dans l’OTAN en 2009, contre l’islamisation de la France en 2009 et 2010, contre l’étau bruxellois en 2011, pour l’Union de la Droite nationale en 2012, pour la dissolution de l’officine anti-française SOS-Racisme en 2013, contre le Traité transatlantique en 2014, « Non, nous ne sommes pas Charlie » en 2015…).


■ Un soutien fraternel aux organisations nationalistes victimes de la répression gouvernementale, comme ce fut le cas en 2013 au moment de « l’affaire Méric »…


■ Des contacts amicaux avec une grande partie des mouvements nationaux, nationalistes et identitaires, tant en France qu’en Europe…

Aujourd’hui, face à l’accélération du processus de décomposition de notre Nation et contre le génocide par substitution que nous impose le Système, nous avons le devoir d’intensifier notre action. Pour cela, nous avons besoin de votre soutien !

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CIVITAS invite Jean-Marie Le Pen et les sympathisants du FN à rejoindre son défilé d’hommage à Jeanne d’Arc le 8 mai à 14h30 place Saint Augustin

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Un communiqué d'Alain Escada, Président de Civitas :

Civitas vient d’apprendre la décision du Front national d’abandonner son défilé d’hommage à Jeanne d’Arc.

J’invite Jean-Marie Le Pen et tous les membres et sympathisants du Front National qui souhaitent continuer à honorer la Sainte de la Patrie à rejoindre le défilé organisé par CIVITAS ce dimanche 8 mai, à partir de 14h30, de la place Saint Augustin à la place des Pyramides.

Tous les patriotes y seront les bienvenus.

Nous rendrons hommage avec faste et panache à Jeanne d’Arc, sainte héroïne de la France. Elle, qui a chassé l’envahisseur et accompli sa mission sans faillir, est et reste le modèle de chef dont nous avons cruellement besoin pour l'indispensable restauration nationale.

Source : Synthèse Nationale

« Immigration : la catastrophe » : la leçon de réalisme et de courage de Jean-Yves Le Gallou

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Assurément le livre que Jean-Yves Le Gallou vient de faire paraître aux Editions Via Romana, Immigration :la catastrophe. Que faire ? fera date.
Jean Yves Le Gallou a déjà écrit de nombreux essais sur la question de l’immigration, de l’identité ou de la préférence nationale. Mais son dernier livre marque un tournant.


Un ouvrage de référence sur l’immigration

C’est d’abord une somme : près de 500 pages denses, ponctuées de nombreuses références, cartes, tableaux, graphiques et annexes. Car l’auteur, qui connaît à fond son sujet, aborde l’immigration sous tous ses aspects : économique, social, éducatif, culturel, sécuritaire, institutionnel, politique, historique, religieux, géopolitique, etc. Rien n’échappe à son analyse. Et tout est référencé, justifié, démontré.

On en viendrait à regretter l’absence d’un index tant son étude est vaste et argumentée ! Mais il est vrai que le sommaire, très détaillé, facilitera la tâche des chercheurs. Car il s’agit à l’évidence d’un ouvrage de référence mais qui se lit facilement, car le style est alerte, non dénué d’humour, au surplus, malgré la gravité du sujet.
Un ouvrage contre le mensonge systémique

Il serait vain de prétendre résumer en quelques lignes un ouvrage aussi riche. Mais son titre parle de lui-même : Immigration : la catastrophe, sans point d’interrogation.

Contrairement à ce que prétendent l’oligarchie et les médias de propagande à longueur de journée, Jean-Yves Le Gallou démontre en effet que l’immigration n’est une chance ni pour la France ni pour l’Europe.

C’est l’objet de la première partie de son ouvrage de démonter le mensonge systémique qui entoure les réalités de l’immigration et de décliner, secteur par secteur, les conséquences catastrophiques de la politique menée depuis 40 ans en la matière. Le constat est accablant.

Mais, justement, l’auteur ne vise pas à nous accabler, ce qui ne serait qu’une autre forme de renoncement, mais à nous ouvrir les yeux.


Une analyse innovante des causes de la catastrophe

Jean-Yves Le Gallou ne se limite pas à ce constat, déjà en partie abordé dans ses précédents essais, mais ouvre une vaste réflexion sur les causes, lointaines ou proches, de cette catastrophe. Avec une certaine modestie qui l’honore, d’ailleurs, puisqu’il reconnaît l’enchevêtrement et la complexité des facteurs.

Cette analyse correspond au second grand temps de son ouvrage. C’est sans doute la plus innovante.

Que nous dit-il en substance en effet ? Que l’immigration en Europe ne correspond pas tant à une fatalité démographique, climatique ou géopolitique, comme le prétendent les oligarques, qu’à un projet :

– Car l’immigration est d’abord le projet du patronat qui dès les années 1970 compte sur elle pour pousser les salaires à la baisse.
– L’immigration est ensuite le projet de la super-classe mondiale qui entend abolir les frontières et dissoudre les identités pour établir son utopique gouvernement mondial.
– Enfin, la bombe migratoire correspond au projet chaotique des Etats-Unis pour neutraliser durablement l’Europe, concurrent potentiel de son leadership.

Et, à chaque fois, l’auteur verse des pièces probantes au dossier.


Immigration : la grande trahison des « élites »

La troisième partie de l’ouvrage s’intitule d’ailleurs significativement La Grande Trahison. Car le livre est aussi un lourd réquisitoire.

– C’est d’abord un réquisitoire contre les pouvoirs publics qui, non seulement se sont révélés incapables de réguler l’immigration, mais qui font désormais la guerre à leur propre peuple pour imposer son Grand Remplacement, pour reprendre l’expression de l’écrivain Renaud Camus.
– C’est notamment un réquisitoire contre le gouvernement des juges qui n’a eu de cesse d’empêcher toute tentative de juguler la catastrophe migratoire au nom de l’idéologie des droits de l’homme ou de la « lutte contre les discriminations ».
– C’est un réquisitoire contre les politiciens qui se sont sciemment mis à la remorque du communautarisme à des fins électoralistes.
– C’est aussi un réquisitoire contre les « élites » qui vantent les charmes du « vivre-ensemble » ou de la « discrimination positive », tout en se préservant, personnellement, d’en subir les conséquences. On appréciera à cet égard l’annexe rappelant où habite exactement le gotha judiciaire français ainsi que l’anecdote relative à la scolarisation des enfants de Fleur Pellerin !


L’économie de l’immigration derrière l’idéologie de l’immigration

C’est enfin un réquisitoire contre les idiots utiles ou intéressés qui se font les agents de la catastrophe migratoire, en échange de la considération médiatique ou de bénéfices matériels encore plus palpables.

Car Jean-Yves Le Gallou montre bien que derrière les « nobles » sentiments invoqués se cachent la plupart du temps de sordides intérêts. L’idéologie de l’immigration cache l’économie de l’immigration, comme l’écrit si bien l’auteur.

Elle cache notamment que la superclasse mondiale empoche seule les bénéfices du chaos migratoire pendant que les peuples du Nord s’appauvrissent.


Que faire ?

On attend évidemment la réponse à la question du titre : Que faire ?

C’est le dernier temps du livre de Jean-Yves Le Gallou.

Fort de son expérience politique mais aussi administrative, l’auteur n’entend pas nous bercer d’illusions, si fréquentes à droite quand il est question d’immigration. Il nous montre d’ailleurs selon quel processus fatal les mâles déclarations à répétition des politiciens de droite promettant de juguler l’immigration, irrégulière ou non, finissent toujours par produire les résultats inverses : toujours… plus d’immigration !

A l’évidence, mettre un terme à la catastrophe sera long et difficile.

Significativement, l’auteur cite l’ancien ministre Hubert Védrines selon qui « un recours à la force sera à un moment ou à un autre inévitable ».
Force et courage

La force, telle est bien la question.

Car Jean-Yves Le Gallou nous explique qu’on ne mettra pas fin à la catastrophe migratoire sans un réarmement moral préalable des Européens. Lequel suppose de briser les tabous qui interdisent de mettre en œuvre les solutions. Car, comme il l’écrit : « Sans nommer les maux, sans évoquer les vraies solutions, rien ne sera réglé ».

Les solutions existent, mais l’oligarchie les a rendues taboues car elles menaceraient, non pas l’humanité comme elle veut nous le faire croire, mais son projet et ses intérêts.

On ne mettra donc pas fin à la catastrophe migratoire si on ne se libère pas d’abord de la chape de mauvaise conscience et de repentance ethno-masochiste que l’oligarchie et ses idiots utiles nous ont imposée ; si on ne met pas fin aux lois liberticides dont la fonction réelle est de museler le peuple français ; et si on ne retrouve pas la fierté de notre identité et de notre civilisation.


Le courage de mettre fin à notre dormition

Maurras disait « Politique d’abord ». Jean-Yves Le Gallou nous dit à sa manière : « Courage d’abord ».

Le courage d’appeler les choses par leur nom, droit que le politiquement correct nous refuse. Le courage d’être fier de sa race, de son identité et de ses ancêtres. Le courage de proposer les solutions qui se nomment : souveraineté du peuple, préférence nationale, préférence de civilisation, remigration, indépendance européenne. Le courage enfin de les mettre en œuvre sans faiblesse le moment venu.

Jean-Yves Le Gallou termine son livre par ces mots « L’histoire revient ». C’est plus qu’un constat : c’est un appel à sortir de notre dormition avant qu’il ne soit trop tard.

Immigration : la catastrophe, un livre destiné, non pas à nous accabler, mais à nous réveiller.

Michel Geoffroy

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Polemia

A Nîmes, le maire décide de vendre la plus ancienne mosquée de la vill

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C’est dans une lettre adressée au président de l’association de la mosquée, que le maire Les Républicains de Nîmes, Jean-Paul Fournier affirme sa volonté de vendre la mosquée de la gare. Dans quelques semaines la première mosquée de Nîmes ancienne depuis plus de 40 ans sera officiellement mise en vente.

Cette mosquée hautement symbolique pour les musulmans de Nîmes risque de voir ses portes définitivement fermées. En 2014, une estimation des locaux avait déjà été faite élevant son prix à plus de 500.000 €.

Les responsables de la mosquée ont quant à eux indiqué vouloir racheter les locaux et ainsi préserver cet héritage. Ils n’ont que quelques jours pour faire une demande écrite. Dans le cas contraire, la mairie de Nîmes fermera définitivement les portes de la mosquée dans l’attente de trouver un nouvel acquéreur.

Appel aux dons pour sauver la plus ancienne mosquée de Nîmes

A la suite de cette décision, l’Association Culturelle Islamique «Mosquée de la Miséricorde» a lancé un appel aux dons pour racheter les locaux. Ci-dessous, le message que nous avons reçu, de la vice-présidente de l’association, Dominique Mimoun.

Vous pouvez effectuer un don par chèque libellé au nom de l’Association Culturelle Islamique en vous rapprochant de la « Mosquée de la Miséricorde » 8 boulevard Sergent Triaire 30000 Nîmes. Si vous ne pouvez-vous déplacer, nous acceptons l’envoie de chèque par courrier. Si vous possédez une adresse mail, transmettez nous la afin que nous vous envoyons votre reçu. Pour tous dons en liquidités, une permanence est assurée 7 jours sur 7. Nous aurions besoin de votre nom et du montant pour des raisons de comptabilité dans les règles. Dans les deux cas, nous vous donnerons un reçu conformément à la loi.

Des dômes et des minarets