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dimanche, 13 mars 2016

Test électoral pour Merkel en pleine crise des réfugiés, les populistes en embuscade

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Quelque 13 millions d'Allemands votent dimanche pour trois élections régionales , des scrutins qui pourraient faire plonger le camp d'Angela Merkel et faire s'envoler la droite populiste dans un pays en proie aux doutes face à l'afflux de réfugiés.

Pour ce test à 18 mois des législatives, la mobilisation à la mi-journée était en nette hausse dans les Etats régionaux du Bade-Wurtemberg (sud-ouest), de Rhénanie-Palatinat (ouest) et de Saxe-Anhalt (est).

A 13H00 GMT, 35,5% des inscrits s'étaient déplacés dans le Bade-Wurtemberg, contre 30,7% lors du précédent scrutin de 2011, 35,4% en Saxe-Anhalt contre 28,5% en 2011, et 56% en Rhénanie-Palatinat contre 43% cinq ans plus tôt.

"Je vais voter pour donner une bonne leçon à la chancelière à cause de sa politique envers les réfugiés", confiait à l'AFP Ulrich, 78 ans, électeur de Magdebourg (Saxe-Anhlat) préférant taire son nom de famille.

L'Allemagne se tourmente depuis qu'elle a ouvert ses portes en 2015 à plus d'un million de demandeurs d'asile, notamment des Syriens fuyant l'enfer de la guerre à bord de canots pneumatiques pour rejoindre l'Union européenne.

- "Campagne de haine" -

Incendies de foyers de demandeurs d'asile, population scandalisée par des agressions sexuelles commises par des migrants à Cologne: les Allemands, qui avaient dans un premier temps accueilli les réfugiés avec des friandises et des oursons en peluche, semblent déboussolés.

Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers la droite populiste, qui espère un score historique dimanche et, pronostique le Spiegel, "ne disparaîtra pas de sitôt".

Pour éviter un revers trop cuisant de son Union chrétienne-démocrate (CDU), la chancelière a multiplié les meetings électoraux, notamment dans le Bade-Wurtemberg, fief conservateur en péril, et en Rhénanie-Palatinat où la CDU est au coude à coude avec les sociaux-démocrates (SPD).

L'Alternative pour l'Allemagne (AfD), créée il y a trois ans pour contester l'euro avant de prôner principalement la fermeture des frontières, est néanmoins pressentie comme la grande gagnante de ces scrutins, créditée d'entre 9% et 19% des intentions de vote selon la région.

"La campagne de haine de ces dernières semaines était abominable", déplore Ingeborg Klumpp, 74 ans, retraitée à Stuttgart, qui redoute un score important de l'AfD mais assure que l'Allemagne "n'est pas un pays pauvre" et "peut" accueillir les migrants.

A l'issue du vote dimanche, l'AfD, qui siège au Parlement européen, pourrait être représentée dans la moitié des 16 parlements régionaux.

En Saxe-Anhalt, avec 19% dans les sondages, elle dispute même la place de deuxième force politique régionale au parti de la gauche radicale, die Linke. Et ce, bien que cette région déshéritée d'ex-Allemagne de l'Est accueille peu de réfugiés.

L'envolée de ce parti constitue un scénario inédit depuis 1945 dans un pays perpétuellement en quête d'exemplarité morale après l'horreur nazie.

- Merkel incontournable ? -

Les partis traditionnels qui dominent la vie politique depuis 70 ans rejettent toute coopération avec l'AfD, qualifiée de "honte pour l'Allemagne" par le ministre des Finances Wolfgang Schäuble.

La formation de coalitions régionales viables pourrait se compliquer pour le SPD et la CDU mais Angela Merkel, confiante, jure que l'AfD va refluer dès que la crise des réfugiés sera résolue.

Dans le Bade-Wurtemberg, région prospère où le taux de chômage de 4% est le plus bas d'Allemagne, la CDU pourrait perdre jusqu'à dix points par rapport au précédent scrutin et être détrônée comme première force politique régionale par les Verts. Les populistes y sont crédités de 11%.

Le candidat Guido Wolf, jugé falot dans ce Land, a pris ses distances avec Mme Merkel durant la campagne pour tenter d'amadouer un électorat très attaché aux valeurs chrétiennes et qui craint pour ses repères avec l'afflux de migrants musulmans.

Dans la région voisine de Rhénanie-Palatinat, la candidate CDU Julia Klöckner a cherché aussi à se démarquer en prônant un tour de vis en matière de politique migratoire. Elle est désormais au coude à coude avec la candidate sociale-démocrate, Malu Dreyer, tandis que l'AfD peut espérer 9% des voix.

Pour le Spiegel, "même les principaux critiques" de Merkel au sein de la CDU continuent cependant à la juger incontournable à la chancellerie. Sa popularité a d'ailleurs amorcé un rebond ces dernières semaines.

Pauline Curtet avec Marion Payet

Metronews

 

 

Le refus de l’islamisation de la France n’est ni raciste, ni populiste et ni extrémiste

Ce n’est pas du racisme que de défendre l’identité de sa patrie. Le racisme est de vouloir imposer sa culture au nom de son identité religieuse à son pays d’accueil pour pouvoir un jour le dissoudre dans son système idéologico-cultuel ?

Les extrémistes sont ceux qui oeuvrent à la destruction de la France comme l’ont fait naguère leurs aïeux en Egypte et en Ifrikiya. Plutôt que de s’adapter à leur nouvel environnement ils préfèrent le réduire en cendres pour qu’ils finissent par ressembler à cet univers lunaire d’où leur croyance est sortie. Au moins ils n’auront pas à faire l’effort de se changer eux-mêmes. Le racisme est le non-respect et la transgression délibérée des lois de leur pays d’accueil.

Jusqu’à preuve du contraire ce ne sont pas des identitaires qui ont massacré des Français au Bataclan. Ce ne sont pas des adolescentes de cette France martyrisée par le terrorisme et le politiquement correct qui projettent de commettre un attentat terroriste contre un symbole du mode de vie à la française.

Il est grand d’arrêter de diaboliser et de stigmatiser ces Français qui ne veulent que leur France perde son âme et sa culture pour devenir une nouvelle Somalie.

Ces Français qui sont vent debout contre l’islamisation galopante de la France sont les Mousquetaires de la République qui se battent contre les forces de la réaction et de l’obscurantisme, du suprémacisme religieux, de la ségrégation sexuelle, de l’exclusion de la femme du champ social et de son assujettissement à l’homme.

Ce n’est pas de l’extrémisme que de vouloir refuser à ce que la France ne voie s’éteindre sur elle la lumière de la vie pour devenir un cimetière pour morts-vivants comme en Arabie.

Ces identitaires ne sont pas une menace pour les valeurs de la France ils sont les avertisseurs sur les dangers d’une politique trop laxiste et trop accommodante avec des extrémistes issus d’une culture antinomique, hégémonique et nuisible pas seulement pour la France mais pour toute forme de vie sur terre.
N’en déplaise aux esprits chagrins et aux islamo-naïfs ces identitaires engagés dans un combat civilisationnel ne défendent pas une autre France ils défendent la France qui est en nous. Une France de liberté, d’égalité et anti-communautariste, sans clivage religieux et apartheid sexuel de tous les hommes épris d’amour pour elle et sont dans le respect de son identité, son histoire, son intégrité territoriale, son unité et sa personnalité.

Les identitaires ne sont pas les ennemis de la France, ils sont ses enfants portés par leur idéal France en butte aux agressions répétées et ensanglantées d’un autre idéal, le musulman. Celui au nom duquel on est en train de plonger le monde dans les nuits froides de la mort.

Ce ne sont pas les identitaires qui terrorisent et endeuillent l’humanité au quotidien et lapident et décapitent leurs victimes, ce sont ceux qui ont jouissent d’une impunité coupable de nos gouvernants et l’intelligentsia collaborationniste.

Que ceux qui les condamnent et compatissent sur le sort des soldats d’Allah dont ils se font les avocats inconditionnels sachent qu’un jour viendra où ils n’auront plus le bonheur de déguster leur verre de vin et savourer leur bière accompagnée d’un jambon-beurre à la terrasse d’un café parisien. C’est aussi cette France-là qui est au coeur du combat des identitaires.

Ce n’est ni du populisme, ni de l’extrémisme, ni de la beaufitude, ni du racisme, ni de la xénophobie c’est tout simplement la France qui fait rêver le monde entier.En faisant le choix des forces hostiles à l’art de vivre et au mode de vie français, ils seront les premiers à regretter d’avoir dénigré et tourné le dos à ceux qui militent pour la perpétuation de ces libertés humaines qui auront encore plus de sens le jour où elles leur manqueront.

Les identitaires ne militent pas contre la France, ils militent pour une France debout et pérenne. Il n’y a pas pire trahison que de jeter à la fosse aux lions les résistants à l’islamisation et qui ne veulent pas une France de la Charia, au paysage pollué par le halal. Le crime est de rester spectateur impuissant, d’honorer de la légion d’honneur et de dérouler le tapis rouge aux pieds des représentants d’une communauté ethnocentrique, féminicide, raciste et antisémite qui n’a que mépris et haine pour des valeurs différentes des siennes et qui caressent le dessein d’imposer la dictature de son système doctrinaire à l’humanité tout entière.

Ce n’est pas être anti-France que de ne pas caresser l’hydre islamique dans le sens du poil. Ce n’est plus une manifestation du rejet de la France que de vouloir préserver ses cathédrales qui sont pour la France ce que les Pyramides ou tout au moins ce qui a pu être épargnées par le vandalisme de leurs aïeux sont à l’Egypte , ses églises, ses monuments historiques, ses espaces de vie, ses théâtres, ses salles de concert, ses musées, sa gastronomie, son vin, sa charcuterie, son champagne, tout ce qui concours à son identité et spécificité patrimoniale.

Les identitaires ne sont pas le mal de la France. Ils sonnent le tocsin sur l’avenir sombre qui l’attend si on ne fait rien.

Salem Ben Ammar

Source : Salenbenammar

 

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Source : Synthèse Nationale

Migrants : le démantelement de la «jungle» de Calais touche à sa fin

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Les deux tiers de la zone sud du camp ont été démantelés. Par ailleurs, une manifestation sans autorisation d'un groupuscule d'extrême droite s'est déroulée samedi dans la ville. Quatorze personnes ont été arrêtées.

«L'Etat poursuit avec détermination son travail de mise à l'abri des migrants et de résolution des effets de la crise migratoire à Calais», a expliqué samedi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. La préfecture du Pas-de-Calais a indiqué qu'«un peu plus de cinq» des 7,5 hectares de la zone sud de la «Jungle» de Calais ont été démantelés depuis le 29 février, cela représente les deux tiers de la zone sud. Un avancement qui pourrait signifier la fin de l'opération dès la semaine prochaine.

» Calais: les réponses aux rumeurs qui circulent sur la santé des migrants

«Ils ont pratiquement terminé, à mon avis ce sera fait d'ici mardi soir», estime Christian Salomé, président de l'association L'Auberge des migrants. Lors de cette opération d'expulsion, des maraudes protégées par les CRS passent dans les cabanes des migrants afin de les convaincre d'opter pour les solutions d'hébergement de l'Etat: la centaine de Centre d'accueil et d'orientations (CAO) disséminés en France, les places restantes parmi les 1500 disponibles au Centre d'accueil provisoire (CAP), ou encore 450 places en tentes de la Sécurité civile. De nombreuses associations s'étaient opposées à ce démantèlement, mais leur recours devant la justice administrative avait été rejeté sauf en ce qui concerne «les lieux de vie» collectifs, qui doivent être préservés.

Les résidents de la «Jungle» sud, au nombre d'un millier selon l'Etat, de plusieurs milliers selon les associations, «ont été chassés de leur pays par la guerre et les bombardements, ils sont à nouveau chassés ici de leurs abris», dénonce Christian Salomé. Pour lui, «la plupart des réfugiés chassés de la partie sud sont allés dans la partie nord», soit en y déplaçant leurs cabanes, soit en s'installant dans des tentes collectives. «La différence avec avant, c'est que les gens qui arrivent au CAP ne le font plus de façon volontaire, mais subie», constate Stéphane Duval, directeur du CAP et d'un autre centre d'accueil.

» Le vrai coût économique de la «jungle» de Calais

Ces opérations de démantèlement se poursuivent alors que nous avons appris que samedi matin une manifestation non autorisée de militants d'extrême droite s'est déroulée dans les rues de Calais. Bernard Cazeneuve a assuré que la France ne laissera pas «quelques extrémistes instrumentaliser la question migratoire à Calais». Dans un communiqué, le ministre de l'Intérieur annonce que «quatre-vingt individus d'un groupuscule d'extrême droite ont tenté de troubler l'ordre public dans la ville, avant d'être rapidement dispersés par l'intervention rapide et efficace des forces de l'ordre». Environ 80 personnes selon la préfecture, 130 selon un communiqué du groupuscule Génération identitaire, s'étaient réunis dans la ville pour protester contre la présence de migrants dans le camp de Calais.

Les manifestants sont parvenus à bloquer un temps deux ponts de la ville. «Ils portaient des banderoles, ont enflammé quelques pneus et avaient des fumigènes», a déclaré Etienne Desplanques, directeur de cabinet de la préfète Fabienne Buccio. Des photos et une vidéo publiées sur Twitter montraient plusieurs groupes de jeunes assis à même le sol, certains portant des banderoles «No Way» (»On ne passe pas»), «Go Home» (»Rentrez chez vous»), et des policiers encerclant l'un des groupes.

Le parquet de Boulogne-sur-Mer a rapporté en début de soirée à l'AFP que les gardes à vue avaient été prolongées et que la décision d'éventuelles poursuites serait prise dimanche.

Le parquet a également précisé que l'une des 14 personnes en garde à vue est le jeune homme qui avait brandi un fusil en marge d'une manifestation de soutien aux migrants, le 23 janvier. Il avait été interpellé mais n'avait finalement pas été poursuivi par le ministère public.

Plusieurs associations ont dénoncé ces dernières semaines une recrudescence des agressions contre les migrants. Cinq hommes soupçonnés d'avoir agressé des migrants au début de l'année ont été interpellés à Calais et dans sa région pendant la semaine écoulée. Les cinq jeunes adultes sont notamment soupçonnés d'avoir frappé et dépouillé de leurs affaires des migrants syriens mi-janvier à la gare de Calais. Ils ont été placés en garde à vue.

Amaury Peyrach'

Source : Le Figaro

 

 

Alain Minc, prix du livre politique 2016 ("Un Français de tant de souches")

Le Prix du livre politique 2016 a été décerné samedi à Alain Minc pour "Un Français de tant de souches" (Grasset), une réflexion sur l'identité française. Le Prix des députés a été remis cette année à l'académicien Jean d'Ormesson pour "Je dirai malgré tout que cette vie fut belle" (Gallimard).

Les récompenses ont été remises au Palais-Bourbon par le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS), dans le cadre de la 25e journée du Livre politique, placée sous le thème cette année de "Que sera la politique demain ?"La manifestation permet chaque année à plus d'un millier de visiteurs de rencontrer des personnalités et auteurs politiques.

Outre Alain Minc, les finalistes du Prix du livre politique étaient Ariane Chemin et Vanessa Schneider pour "Le mauvais génie" (Fayard) et Gilles Kepel pour "Terreur dans l'hexagone" (Gallimard). Pour le Prix des députés, Jean d'Ormesson l'emporte sur Laure Adler pour "François Mitterrand, journées particulières" (Flammarion) et Robert Schneider pour "De Gaulle, Mitterrand, la bataille des deux France" (Perrin). Le jury du Prix du livre politique est composé d'une trentaine de journalistes (chefs de service politique, éditorialistes, rédacteurs en chef, directeurs de médias nationaux). Il était présidé cette année par le cinéaste Costa-Gavras.

Le Prix des députés est décerné par un jury de 15 députés sous la houlette de Claude Bartolone.

Source : Le Figaro

 

Paris : le 16e arrondissement va enfin subir les désagréments de l’immigration

Dans le 16ème arrondissement de Paris, un centre d’accueil de 200 clandestins doit bientôt voir le jour, au grand dam de certains riverains et élus. La mairie de Paris se moque et assume sa provocation :

Source : Nouvelles de France

 

Islamisation: Clermont-Ferrand va accueillir trois nouvelles mosquées et une école musulmane

Selon France Bleu Auvergne, trois quartiers de Clermont-Ferrand vont disposer d’une mosquée neuve.

Alors que la ville de Clermont-Ferrand dispose actuellement de cinq mosquées principales, sans compter les salles de prière et autres lieux de culte, le « contingent » de mosquées de la ville pourrait augmenter significativement. En effet, comme le relate France Bleu Auvergne, trois projets de construction sont actuellement en cours respectivement à la Gauthière, aux Gavranches et dans les quartiers nord de la ville.

Le projet le plus « emblématique « concerne justement cette dernière zone où l’actuel lieu de culte devrait être étendue grâce à l’acquisition d’un terrain de 2 200 m2. En outre, un collège privée musulman verra également le jour sur ce même terrain et devrait accueillir près de 600 élèves.

Source : Prechi precha

 

Le général Antoine Martinez (2S) « L’idéologie multiculturaliste imposée par de nombreux dirigeants aux peuples européens. » – Communiqué et vidéo

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Communiqué du Général (2s) Antoine MARTINEZ

« Devant l’invasion migratoire planifiée que subit l’Europe depuis le « printemps arabe », devenue massive depuis plusieurs mois, des citoyens européens commencent à réagir et à s’opposer aux tenants de l’idéologie multiculturaliste que de nombreux dirigeants veulent imposer aux peuples européens.

Cette réaction traduit la prise de conscience des européens patriotes de toutes tendances, attachés à leur civilisation, à leur culture façonnée par le christianisme, à leurs traditions et modes de vie, du danger qui menace l’Europe face à cette intrusion incontrôlée et massive sur nos territoires de populations dont la majorité ne peut pas être considérée comme réfugiée et doit être renvoyée car motivée par des raisons économiques. Par ailleurs, la majorité de ces migrants est composée d’hommes jeunes dont certains infiltrés par l’État islamique, les attentats de Paris du 13 novembre le démontrent clairement. Enfin, à quelques rares exceptions, ces populations sont de culture modelée par l’islam dont on voit bien qu’il est d’essence violent et donc incompatible avec nos démocraties.

Alors, ces patriotes européens ont voulu se manifester le 6 février sur l’ensemble du territoire européen et, pour la France, quatre manifestations étaient programmées à Saint-Brieuc, Calais, Bordeaux et Montpellier. Un meeting au cours duquel je suis intervenu était organisé à Rungis, près de Paris, le 7 février.

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A Calais, cette manifestation était interdite par le ministre de l’Intérieur pour des raisons fallacieuses et de simple impuissance devant des événements qui dépassent totalement le gouvernement incapable de faire régner la légalité sur notre territoire. Le général PIQUEMAL le savait. Il a toutefois considéré que l’intérêt supérieur des peuples européens, et particulièrement du peuple français et de cette France charnelle qui nous unit, lui commandait de braver cette interdiction. Je salue son courage et appelle les Français à lui manifester maintenant leur soutien et leur solidarité.

L’arrestation de ce serviteur de l’État et de la Nation, comme le sont tous ceux qui servent ou qui ont servi sous l’uniforme, constitue une manœuvre d’intimidation d’un gouvernement aux abois qui tente de bâillonner la liberté d’expression de patriotes qui ont une vision de la France et de la Nation française dont ceux qui nous gouvernent sont incapables, leur seule préoccupation étant de gagner des élections. De plus, ils n’ont pas conscience que leur réaction irréfléchie favorise la radicalisation des esprits.

Cette manœuvre d’intimidation s’inscrit dans une démarche totalitaire que le Chef d’État-major des Armées a pu lui-même relever lors de sa dernière audition au Sénat lorsqu’un sénateur lui a demandé de faire taire certains militaires en retraite. Il en est de même lorsqu’on reçoit d’un autre élu du peuple un message assassin qui se termine par « avec le regret que la France ait pu vous compter parmi ses généraux ».

Il faut qu’ils sachent qu’un général n’est jamais en retraite, même s’il n’est plus en activité, car il continue de servir la France d’une autre façon, même s’il est évident qu’il prend parfois des risques. Mais comme l’a dit le poète « un général ne se rend jamais, même à l’évidence ». Seule compte la France. Nous sommes les sentinelles et les gardiens de la mémoire et de l’histoire de la Nation que nous avons le devoir de défendre et de transmettre. Et si nos camarades d’active sont soumis au devoir de réserve, et c’est bien compréhensible, ceux qui ne le sont plus ont un devoir d’expression, comme tout citoyen, et même plus en raison de leurs expériences diverses au service de la France et de son peuple.

Alors, face à ces provocations grossières d’un gouvernement nerveux et contesté, seulement capable d’intimider les vrais patriotes, mais incapable, par manque de courage politique, de faire appliquer la loi sur l’ensemble du territoire, il nous faut rester calmes. Mais nous devons également être déterminés et résister pour redonner leur fierté aux Français au lieu de les maintenir dans la haine de soi injustifiée afin de leur rendre l’espoir pour redresser cette France que nous aimons tous. Nos gouvernants qui confondent la France avec la République la guident vers le chaos. Ils ont oublié que l’essence du politique c’est d’assurer la sécurité à l’extérieur et la concorde à l’intérieur. Ils devraient savoir qu’ils ne sont que les fondés de pouvoir d’un souverain qui s’appelle le peuple. Et en démocratie le peuple est souverain. Alors, qu’on lui donne la parole.

Ensemble pour notre patrie charnelle. Vive la France éternelle. »

Source : Mpi

 

France : l'extrême droite demande le "retrait" de la Légion d'honneur au prince héritier saoudien

Le Front National, puissant parti d'extrême droite français, a demandé samedi le "retrait" de la Légion d'honneur au prince héritier d'Arabie saoudite, jugeant cette distinction, la plus haute existant en France, "incompatible avec le régime" de Riyad.

L'affaire de cette décoration remise en catimini, vendredi 4 mars, par le président François Hollande au prince Mohammed ben Nayef, "sent de plus en plus mauvais, et c'est l'image de la France qui en souffre", a estimé le numéro deux du FN, Florian Philippot.

Une telle distinction est "incompatible avec le régime saoudien", "aux antipodes des droits de l'homme et de la femme en particulier", a-t-il jugé dans un communiqué. La révélation par la presse de courriels diplomatiques donnant l'impression que les autorités françaises ont agi sous pression saoudienne "ajoutent au déshonneur", a poursuivi M. Philippot.

Cette "affaire pèse de tout son poids nauséabond sur l'image, la réputation et le rayonnement de notre pays", a ajouté ce vice-président, selon qui "par dignité, par honneur, le chef de l'Etat doit retirer cette Légion d'honneur au prince d'Arabie Saoudite".

La France entretient des relations très suivies avec l'Arabie saoudite, qu'elle présente comme un allié important en Syrie dans la lutte contre le groupe Etat islamique (EI), et avec laquelle elle a conclu d'importants contrats d'armement.

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Nayef est aussi le ministre de l'Intérieur de son pays, où 71 personnes ont été exécutées depuis le début de l'année et 153 en 2015, selon un comptage de l'AFP reposant sur des chiffres officiels. Ce niveau est inégalé en 20 ans en Arabie saoudite, royaume ultra-conservateur régi par une interprétation rigoriste de la loi islamique.

Source : L'orient le jour

 

Un groupuscule d'extrême droite manifeste sans autorisation à Calais, 14 interpellations

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Calais a été samedi le théâtre de nouvelles tensions liées à la présence massive de migrants avec la manifestation non déclarée, tôt le matin, du groupuscule d'extrême droite Génération identitaire, qui s'est soldée par 14 interpellations.

Vers 07H00, 80 jeunes militants de Génération identitaire, munis de fumigènes, de banderoles et de pneus qu'ils ont incendiés, ont interdit l'accès à deux ponts près du centre-ville de la cité portuaire, a indiqué la préfecture.

Au nombre de 130 selon un communiqué du groupuscule, ils protestaient contre la présence d'entre 3.700 et 7.000 migrants, selon les sources, dans la "jungle" à l'est de la cité portuaire.

La manifestation n'avait pas été déclarée en préfecture, ce qui a conduit les CRS à intervenir, puis disperser ses participants vers 09H00. Les autorités ont interpellé 14 personnes et saisi un camion "transportant du matériel du groupe identitaire", a informé la préfecture du Pas-de-Calais à l'AFP.

"Bernard Cazeneuve réaffirme la détermination du gouvernement à ne pas laisser quelques extrémistes instrumentaliser la question migratoire à Calais", a dit par communiqué le ministère de l'Intérieur samedi après-midi.

Le parquet de Boulogne-sur-Mer a rapporté en début de soirée à l'AFP que les gardes à vue avaient été prolongées et que la décision d'éventuelles poursuites serait prise dimanche.

Le parquet a également précisé que l'une des 14 personnes en garde à vue est le jeune homme qui avait brandi un fusil en marge d'une manifestation de soutien aux migrants, le 23 janvier. Il avait été interpellé mais n'avait finalement pas été poursuivi par le ministère public.

Durant le blocage des deux ponts, des photos et une vidéo publiées sur Twitter montraient plusieurs groupes de jeunes assis à même le sol, certains portant des banderoles "No Way" ("On ne passe pas") et "Go Home" ("Rentrez chez vous"), et des CRS encerclant l'un des groupes. Les banderoles "Génération identitaire" avaient en outre été déployées sur les barrières des ponts.

Agressions

Génération identitaire est la branche jeunes du Bloc identitaire, fondé en 2003 par d'anciens leaders d'Unité radicale, le groupuscule dissous un an plus tôt après la tentative d'assassinat contre Jacques Chirac par l'un de ses sympathisants lors du défilé du 14 juillet. Adepte d'actions médiatiques, très présent sur internet, le Bloc identitaire défend une vision "ethnique" et "culturelle" de l'identité européenne, avec un discours islamophobe.

"Agressions contre les forces de l'ordre, contre des automobilistes et des chauffeurs routiers, émeutes en ville, désagrégation totale du tissu social et économique – voilà ce qu'est devenu le quotidien de la ville martyre, avec une terrible accélération ces dernières semaines", a dit samedi Génération identitaire dans son communiqué.

Plusieurs associations ont fait état depuis quelques semaines de la recrudescence des agressions contre les migrants. Vendredi, cinq hommes soupçonnés d'avoir agressé des migrants à Calais en se faisant passer pour des policiers ont été mis en examen des chefs de "vol avec armes" et "transport d'armes de catégorie D" (barres de fer et manches de pioche).

Fin février, quatre personnes âgées d'entre 20 et 30 ans avaient également été mises en examen pour l'agression de migrants aux abords de la "jungle" entre mai et juin 2015.

Ces tensions de samedi surviennent après plusieurs manifestations antimigrants à Calais. L'une d'entre elles, début février à l'initiative du mouvement Pegida, né en Allemagne, avait conduit à l'interpellation puis la comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer de cinq personnes, dont le général Christian Piquemal, 75 ans.

Les milieux d'extrême droite avaient protesté contre l'arrestation de cet ancien patron de la légion étrangère (1995-1999), qui n'est plus en service actif. ils avaient organisé une autre manifestation, également interdite, quelques jours plus tard. Le procès du général Piquemal a été reporté au 12 mai pour raisons de santé. Deux personnes avaient été condamnées à trois et deux mois de prison ferme.

Samedi, le ministère de l'Intérieur a réaffirmé que "l'Etat poursui(vait) avec détermination son travail de mise à l'abri des migrants et de résolution des effets de la crise migratoire à Calais".

L'Etat démantèle ainsi depuis deux semaines la zone sud de la "jungle". Vendredi soir, selon la préfecture, un peu plus de cinq hectares, sur les 7,5 que compte la zone, avaient été déblayés par la société mandatée par l'Etat, après le passage des maraudes tentant de convaincre les migrants de quitter leurs abris pour d'autres solutions d'hébergement.

Source : La dépêche

 

samedi, 12 mars 2016

La conquête de l’Europe commence (Guillaume Faye)

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En Allemagne, à cause du laxisme – ou plutôt de la volonté complice de la catastrophique Mme Merkel – plus d’un million de ”réfugiés” se sont entassés depuis 2015. Avec tous les problèmes que cela pose. Du jamais vu. C’est l’accélération exponentielle d’un mouvement invasif qui débuta voici plus de trente ans. On passe du goutte-à-goutte au robinet ouvert. La Grèce est submergée. L’Europe est (volontairement) impuissante et ses élites complices, en proie à une logique masochiste d’autodestruction. « Nous n’avons encore rien vu en matière de poussée migratoire » dit Serge Michaïlov, chercheur à l’Iris (Le Figaro, 01/02/2016).

Un mouvement d’invasion programmé

Et il en arrive de partout, profitant de la guerre civile syrienne : de l’Afghanistan à l’Afrique subsaharienne en passant par toute l’Afrique du Nord. Ce n’est plus une immigration massive à jets continu mais bel et bien un mouvement d’invasion. Il risque d’être le début de la disparition par submersion des peuples et de la civilisation européenne millénaire, qui entre dans le projet de génocide des autorités qui gouvernent l’Europe contre ses peuples. La mort, la disparition des peuples européens est un projet qui, pour des raisons différentes, fédère plusieurs acteurs : une partie de la classe dirigeante politique en Europe (surtout à gauche mais pas seulement, voir Mme Merkel), la majorité de l’intelligentsia européenne de gauche ethnomasochiste, certains cercles politiques et économiques américains dirigeants qui veulent se débarrasser du concurrent européen et, évidemment, l’islam lui–même et ses différentes autorités gouvernementales et religieuses.

Je pèse mes mots : ce phénomène historique est beaucoup plus important et plus grave que les deux guerres mondiales de 1914–1918 et de 1939–1945 et que le communisme soviétique (1917–1991), et aura des conséquences beaucoup plus dévastatrices.

Ils arrivent par millions

En 2015, 1,2 millions de migrants sont arrivés en Europe, dont 270.000 mineurs. Rien que sur les îles de Lesbos et de Keos, en mer Égée, on recense 3.000 arrivées par jour selon l’OIM (Office international pour les migrations). Ils sont recueillis, nourris, aidés, aux frais de l’Union européenne ; bien mieux traités que les populations locales paupérisées et au chômage ! Préférence étrangère… En Grèce, salle d’attente pour les prétendus réfugiés, 70.000 d’entre eux sont escomptés fin mars, bloqués en Grèce. 50.000 places d’hébergement provisoires sont prévues. Cet été, avec une météo clémente, les arrivées vont exploser. Depuis le début de janvier 2016, plus de 350.000 migrants sont déjà parvenus en Croatie, Slovénie, Serbie et Macédoine. Ce raz-de-marée humain de populations dépasse tout ce que l’Europe a connu dans son histoire.

Destinations privilégiées : Allemagne, Europe de l’Ouest et du Nord. 2,7 millions de Syriens et d’Irakiens (et d’autres qui profitent de l’aubaine) sont en attente en Turquie. Sans oublier la ”route italienne” qui passe par la Méditerranée en provenance de Lybie. En Suède, pays le plus submergé d’Europe, 35.000 mineurs étrangers isolés ont été accueillis en 2015, à charge de la collectivité, soit 20% des migrants arrivés.

Depuis le premier janvier 2016, 133.000 migrants ont débarqué en Grèce depuis la Turquie. En 2015, 470.000 migrants sont passés par Lesbos, principalement des jeunes hommes et pratiquement à 100% musulmans. Ils veulent rejoindre leurs communautés, déjà établies en Europe du nord et de l’ouest. Profitant de la mollesse et de la faiblesse des Européens, les ”migrants”, sûrs de leurs bons droits, se montrent (comme à Calais d’ailleurs) revendicatifs, agressifs, certains qu’ils seront impunis, inexpulsables et aidés par les associations ”humanitaires” et par l’État. Logique de l’envahisseur qui aurait tort de se gêner en se faisant passer pour une victime.

Islam et Europe

Par des murs de barbelés ou des législations, des États d’Europe centrale et des Balkans essaient de protéger l’Europe de l’invasion en fermant leurs frontières : Macédoine, Bulgarie, Hongrie, Pologne, Autriche, Slovénie, Serbie, Slovaquie. La ”route des Balkans” a vu passer plus d’un million de migrants en 2015. En Slovaquie, le Premier ministre sortant, Robert Fico, vient d’être reconduit après une campagne sur le refus d’accueillir tout réfugié « musulman ». Car c’est bien de cela qu’il s’agit : d’une invasion de l’Europe par l’islam pour appeler les choses par leur nom, ce qui doit réjouir Tarik Ramadan.

Ces États contreviennent au traité de Schengen et désobéissent aux injonctions des fonctionnaires de l’Union européenne. Pour Nicolas Bay, secrétaire général du FN : « Ce que reprochent en fait ces commissaires non élus aux gouvernements – démocratiquement élus eux – de la Pologne et de la Hongrie, c’est de ne pas se plier à leurs injonctions sur l’ ”accueil des migrants” et autres pulsions suicidaires ». (in Valeurs actuelles, 03–09/03/2016, tribune Quand l’Union veut empêcher les nations d’Europe de se protéger ). Comme quoi les cadres du FN peuvent avoir sur ce sujet des idées pertinentes, loin de leur délirant programme économique socialo-étatiste. Mais cette négation de la civilisation européenne et de ses valeurs, de ses traditions, de son avenir par les institutions de Bruxelles n’est pas seulement le fait de l’UE en tant que telle, comme l’imagine M. Bay, mais surtout des gouvernements européens eux-mêmes. Il faut réfléchir à cette question.

Le chantage d’Erdogan et son objectif

Le problème central est évidemment le président de la Turquie, le ”sultan”, autocrate islamique Erdogan et son chantage : il négocie avec l’Allemagne – la France ne compte plus, dirigée par un bras cassé – en échange de milliards d’euros, le fait de bloquer l’immigration en provenance de Turquie, ce qui est un marché de dupes. Il exige aussi l’abolition des visas pour les visiteurs turcs dans l’espace Schengen et la reprise des négociations pour l’entrée de la Turquie dans l’UE. Le but d’Erdogan est exactement le même que celui des islamistes et de l’entité criminelle Dae’ch : islamiser l’Europe, vieux rêve millénaire.

Hans Werner Sinn, directeur de l’Institut pour la recherche économique de Munich (Ifo) : « À chaque fois que l’Allemagne ne se montre pas assez docile, les Turcs laissent passer quelques réfugiés de plus vers l’Europe ». R. T. Ergogan suit une logique historique compréhensible et intelligente qui est celle de l’Empire Ottoman qu’il essaie de ressusciter : la conquête de l’Europe sous la férule turque ; non plus par la force (militaire) mais par la ruse, celle de l’invasion migratoire et de la démographie.

Le Pape François et l’ « invasion arabe » reconnue et acceptée

« On peut parler d’invasion arabe [en Europe] c’est un fait social », a déclaré le Pape. Mais il s’en réjouit ! : « combien d’invasions l’Europe a connu ! Et elle a toujours su se dépasser elle même, aller de l’avant pour se trouver ensuite comme agrandie par l’échange entre les cultures ». (Entretien avec des catholiques de gauche français, dans La Vie hebdo).

Naïveté ? Cynisme ? Aveuglement ? Ou bien mélange des trois ? En tout cas, le Pape, dans sa position sur les bienfaits supposés des ”invasions”, manifeste une méconnaissance totale de l’histoire, par ignorance ou dogmatisme idéologique. Il nomme ”échange” l’affrontement sanglant…Ses propos reflètent une étrange parenté avec les thèses trotskistes. D’où les soupçons sur son appartenance aux cercles sud–américains de la ”théologie de la libération”. Ses déclarations, en tout cas, ressemblent à celles de certains intellectuels gauchistes islamophiles.

Le Pape François s’est déjà signalé pour ses encouragements moraux à l’immigration musulmane en Europe et son opposition à tout barrage, au nom d’une conception quelque peu délirante, ”devenue folle”, de la charité chrétienne. La hiérarchie catholique actuelle, de manière suicidaire et en opposition avec les opinions du ”peuple catholique ”, est sur une ligne proche. En revanche les autorités religieuses de la communauté juive se gardent bien de prendre de telles positions, à cause de la corrélation évidente entre islamisation et antisémitisme. Quant aux persécutions contre les chrétiens d’Orient, elles passent en pertes et profits…

Lucidité d’intellectuels musulmans

Les plus lucides et courageux se trouvent souvent parmi des intellectuel(le)s arabo-musulman(e)s car sachant de quoi ils ou elles parlent. Par exemple, l’écrivain et journaliste algérien Kamel Daoud, traîné dans la boue par les gauchistes et l’intelligentsia. Prix Goncourt du premier roman pour Meursault, contre–enquête, accusé d’islamophobie, péché central, il est victime d’une fatwa par les islamistes et d’un lynchage médiatique par l’intelligentsia collaborationniste de gauche française. Dans un entretien publié par La Repubblica (« Cologne, lieu de fantasmes »),traduit dans Le Monde, il explique les agressions sexuelles commises contre des femmes allemandes à Cologne dans la nuit de la Saint Sylvestre par des immigrés et ”réfugiés” arabes, par la sexualité frustrée de l’homme arabo-musulman.

Il a osé affirmer : « Le sexe est la plus grande misère dans le monde d’Allah. À tel point qu’il a donné naissance à ce porno–islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs fidèles : description d’un paradis plus proche du bordel que de la récompense pour gens pieux , fantasme de vierges pour le kamikaze ». Kamel Daoud est en fait accusé d’apostasie par les islamistes et leurs collaborateurs français. C’est un traître, un ”harki”. « Le verdict d’islamophobie sert aujourd’hui d’inquisition », déclare–t–il.

De même, Mohammed Sifaoui, auteur de Pourquoi l’islamisme séduit-il ? écrit : « Les idiots utiles de gauche comme de droite empêchent […] au nom d’un relativisme culturel idiot la critique et la discussion des dogmes fanatiques ». Il est lui aussi victime d’une vindicte de la part de ses coreligionnaires comme de l’intelligentsia. Un autre écrivain algérien sulfureux est Boualem Sansal, très mal vu par les autorités de son pays, qui a fait scandale avec son roman d’anticipation 2084, décrivant « un monde dominé par l’islamisme radical ».

Les prédictions de l’Algérien Boualem Sansal

Ce dernier, déclarait au magazine Vzebek et Rika : « bientôt, nous seront tous musulmans, alors, révisez votre Coran ». Dans l’Express : « L’islamisme a trouvé dans la communauté maghrébine en France, fortement communautarisée, un terreau favorable » (24/02/ 2016).

Avec la chute des cours du pétrole et du gaz, l’Algérie plonge dans la récession, puisque son régime, corrompu et incapable, ne fait pratiquement vivre le pays que des recettes des hydrocarbures exportés. Pour acheter la paix sociale et compenser le chômage endémique, le régime subventionne, « arrose » la population selon Sansal. Il prévoit une explosion dans une Algérie où les islamistes sont aux portes du pouvoir.

« Un scénario syrien est possible en Algérie » déclare–t-il au Figaro (24/02/2016). Pour lui, son pays est une bombe à retardement : « Bouteflika a cédé la gestion du peuple aux islamistes. Dans les petites villes et les villages, ils sont maîtres du jeu et font régner leurs règles théocratiques terrifiantes. […] L’Algérie court vers le chaos. […] Un scénario d’esclavage, de terreur, sur le modèle syrien, me paraît tout à fait crédible. […] Le problème politique sera transformé en problème religieux et exporté hors des frontières algériennes jusqu’en Europe et singulièrement en France » (art. cité.) La France est donc menacée par une nouvelle vague d’immigration, de fuite massive en provenance d’Algérie. Ce qui entre évidemment dans les plans des islamistes.

Mais Sansal va plus loin : « Peu à peu, le monde musulman se reconstruit et retrouve ses ambitions premières et sa volonté hégémonique . La frontière avec l’Occident commence à être abolie puisque maintenant l’islam politique s’ouvre des espaces à Londres, à Paris et à Bruxelles. On peut estimer que dans trente ans l’islamisme gouvernera l’ensemble du monde musulman qu’il aura unifié. Dans soixante ans, il partira à la conquête de la civilisation occidentale » (art. cité) Bien avant, probablement….Sansal est censuré et menacé dans son pays : « Maintenant, la peur est partout, elle me suit, à Alger comme à Paris » (art. cité).

Le pire scénario est probable

Mais ces intellectuels musulmans lucides et courageux sont minoritaires. L’islam apaisé et réformé qu’ils appellent de leurs vœux est une utopie, infirmée par la réalité observée. Le plus extraordinaire des paradoxes est la trahison de certaines élites européennes complices et organisatrices de l’immigration de masse et de l’islamisation, qui s’opposent à des minorités arabo-musulmanes lucides. Même configuration qu’entre 1940 et 1944 : la collaboration ; ou plus proches de nous : les ”porteurs de valises” du FLN.

La force de ce mouvement migratoire invasif, c’est qu’il s’appuie sur l’apitoiement provoqué dans une opinion versatile et émotive par les médias du système envers les ”réfugiés”, notamment les boat people qui se noient.

Ces millions de migrants, musulmans à 95%, issus du Moyen–Orient, d’Afghanistan, d’Afrique du Nord et d’Afrique noire qui débarquent en Europe, s’ajoutant aux masses déjà présentes vont évidemment importer chez nous leurs désordres et leur chaos. L’islam sera au centre de cette explosion à venir bientôt. Ivan Rioufol, dans La guerre civile qui vient (éd. PGDR) évoque cette hypothèse probable. Nous devons nous préparer au pire.

Guillaume Faye

Source : Metamag

 

Une arrivée massive de migrants attendue dans les Pouilles en Italie

Le verrouillage de la route des Balkans fait craindre à l’Italie la réouverture de la route de l’Adriatique et, par conséquent, des arrivées massives dans la région des Pouilles. Baignée par la mer Adriatique, et la mer ionienne, cette région du sud de l’Italie, qui compte plus de 800 km de côtes, a vu débarquer au début des années 90 des dizaines de milliers d’Albanais qui fuyaient le régime communiste et la crise économique. Un quart de siècle après, elle craint un nouvel afflux de Syriens en particulier, qui pourraient passer par l’Albanie ou l’île de Corfou.

Pour le moment, le gouvernement italien évite tout alarmisme. Mais suite à la fermeture des frontières en Slovénie, en Croatie et en Macédoine, Rome craint effectivement la reprise de la « route adriatique ». Et donc l’arrivée, via l’Albanie, et le canal d’Otrante, de milliers de migrants dans les Pouilles.

Jeudi 10 mars, le ministre de l’Intérieur, Angelino Alfano, a expliqué que l’Italie espère obtenir « la pleine collaboration » de l’Albanie, dont le port de Vlorë est, rappelons-le, distant de 70 km des côtes des Pouilles. Pour cela, Rome fournira à Tirana des moyens logistiques et humains, afin de mieux contrôler les frontières et les organisations criminelles dédiées au trafic d’êtres humains. Par ailleurs, le gouvernement Renzi assure qu’il travaille aussi avec les autorités grecques et celle du Monténégro.

L’accueil des migrants, « un devoir humain »

Pour cette population du sud du pays, l’accueil des migrants est « un devoir humain », comme le souligne souvent le gouverneur de la région Michele Emiliano. Mais tenant compte de l’arrivée possible de plus de 100 000 migrants au cours des prochains mois, il avertit que les centres d’accueil pour demandeurs d’asile, dans les Pouilles, sont tous saturés. Et que la préparation de nouvelles structures d’accueil exige un délai minimum de trois mois. Donc, en attendant les consignes de Rome, une réunion des six préfets la région ,et des forces de police, se tiendra dans la ville de Lecce, la plus au centre des Pouilles, au début de la semaine prochaine. Il s’agit d’évaluer les capacités d’accueil, les moyens financiers nécessaires à leur renforcement et à la sécurité.

Plan d'urgence prévu pour les Pouilles

Les centres d’accueil qui doivent permettent de distinguer les réfugiés des migrants dits économiques, fonctionnent depuis peu. Celui prévu dans les Pouilles devrait être opérationnel depuis le 28 février. Mais en réalité, ce centre, installé sur un ancien parking du port de Tarante, qui pourra accueillir seulement 300 personnes, n’est toujours pas ouvert ! Il le sera avant la fin du mois de mars. D’ici là, le gouvernement devrait avoir lancé un plan d’urgence pour la région des Pouilles, qui mérite certainement une attention plus soutenue; pour ne pas être prise au dépourvu.

Anne Le Nir

Source : Rfi

 

Guerre, immigration et terrorisme

 

Samedi 19 mars 2016, CIVITAS organise avec le Rassemblement pour la Syrie et Alliance for Peace and Freedom, un colloque à Paris de 14h à 18h, au Forum de Grenelle. Jean-Marie Le Pen, Pierre Hillard, Elie Hatem, Mère Agnès-Mariam de la Croix, Jean-Michel Vernochet, Youssef Hindi, Damien Viguier, Alexandre Marchenko et Alain Escada débattront sur la guerre au Proche Orient, l'immigration et le terrorisme

Source : Civitas

Communiqué de génération identitaire

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Calais : 130 jeunes identitaires

bloquent les accès des « migrants » à la ville

 

Puisque l’État se montre incapable de défendre réellement les Calaisiens, depuis 7h30 ce matin, 130 jeunes militantes et militants de Génération Identitaire ont pris le contrôle de deux ponts permettant l'accès des migrants à la ville de Calais.                    

Depuis des mois, Calais est devenue le symbole dans notre pays de la véritable invasion à laquelle est confrontée notre continent.

Agressions contre les forces de l'ordre, contre des automobilistes et des chauffeurs routiers, émeutes en ville, désagrégation totale du tissu social et économique – voilà ce qu'est devenu le quotidien de la ville martyre, avec une terrible accélération ces dernières semaines. Au sein de la « jungle » elle-même, on ne compte plus les violences (plusieurs journalistes en ont fait les frais) et les agressions sexuelles, y compris sur des mineurs.

 

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Cette situation est le fruit d'une politique irresponsable, dont sont coupables les dirigeants politiques nationaux comme européens, à Paris, Berlin et Bruxelles.

Puisque ces gouvernants refusent de protéger les populations en rétablissant des frontières, à l'échelle nationale comme européenne, alors ils verront les peuples dresser des barricades ! Comme ce matin à Calais.

 

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On est chez nous !

 

Inquisition socialiste : après le général et le curé, voici le prof

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La police politique aurait-elle encore sévi ? Ce n’est plus, cette fois, un général (Piquemal) ou un prêtre (Pagès) mais un professeur d’histoire et six de ses élèves que la répression socialiste a pris pour cible.

Avant de soumettre le professeur à la question, façon feuilleton télévisé, la police judiciaire a convoqué un par un, pendant les vacances d’hiver, six de ses élèves pour vérifier qu’il avait bien proféré des erreurs destinées à leur laver le cerveau. Et quelles étaient ces erreurs ? Je vous le donne en mille : prononcer les mots – et non pour les honnir – de Russie et de Poutine ! Poutine, l’associé du monstrueux Assad, responsable à lui tout seul de la mort de 270.000 Syriens. La Russie, mise au ban de la société européenne pour avoir violé le territoire ukrainien et s’accaparer une partie de son territoire.


Pascal Geneste enseigne dans une institution renommée de Bretagne, le collège et lycée Sainte-Anne d’Auray. À l’ombre de la basilique du même nom. Il y est professeur d’histoire en langue bretonne et en français.

C’est à une radio russe et à Boulevard Voltaire qu’il a confié ses explications, seuls organes de presse à avoir voulu l’interroger : « Dans une introduction à la géopolitique, j’ai voulu, conformément au programme scolaire, montrer ce qu’était la Russie aujourd’hui. J’ai voulu montrer que l’alliance avec la Russie est une alliance d’avenir, qu’elle est raisonnable et claire », précise-t-il.

« Je voudrais faire ici la genèse de l’“affaire”. Juste avant les vacances de février, le mardi 2 février, j’ai constaté qu’une de mes élèves avait tout simplement séché mon cours. J’ai cru bon, bien entendu, de signaler cette absence à la direction du collège. Je soupçonne cette jeune fille, prise de panique à l’idée de sanctions pédagogique et familiale, d’avoir voulu se “couvrir” en rappelant un cours que j’avais donné sur la Russie de Poutine et son rôle dans la lutte contre le venin islamiste dans le monde. »

Il continue : « J’ai parlé de la chute du communisme jusqu’à l’accession au pouvoir de Vladimir Poutine. J’ai replacé le combat de Vladimir Poutine dans le contexte de sa lutte contre l’islamisme et notamment contre Daech, en montrant que Vladimir Poutine était un des précurseurs de cette lutte contre l’État islamique ».

Et de demander, en guise de conclusion : « Cela valait-il une convocation de mes élèves, qui à 14 ans ont été profondément choqués de se retrouver face à un officier de police judiciaire ? Ce sont les parents de cette élève qui m’ont dénoncé aux autorités policières. J’ai décide de porter plainte contre elle pour “dénonciation abusive ayant ou pouvant entraîner des préjudices moraux et professionnels”. »

Que lui reproche-t-on ? D’avoir dénoncé l’islamisme, ce qui fait donc forcément de lui un « islamophobe » ?

Ou d’avoir laissé entendre que Poutine et la Russie n’étaient pas nécessairement le diable incarné que l’on veut bien nous montrer ?

Monsieur Geneste dit attendre « avec confiance et sérénité » la suite que donnera le parquet de Lorient : « Quoi qu’il arrive, on ne me fera jamais renoncer à transmettre aux jeunes le goût du bien commun et l’amour de l’histoire pour ce qu’elle est : la volonté des peuples de survivre malgré les aléas des guerres, des déchirements fratricides, des trahisons de toutes espèces. »

Que dire de plus ?

Floris de Bonneville

Source : Boulevard Voltaire

 

 

Inquisition socialiste : après le général et le curé, voici le prof

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La police politique aurait-elle encore sévi ? Ce n’est plus, cette fois, un général (Piquemal) ou un prêtre (Pagès) mais un professeur d’histoire et six de ses élèves que la répression socialiste a pris pour cible.

Avant de soumettre le professeur à la question, façon feuilleton télévisé, la police judiciaire a convoqué un par un, pendant les vacances d’hiver, six de ses élèves pour vérifier qu’il avait bien proféré des erreurs destinées à leur laver le cerveau. Et quelles étaient ces erreurs ? Je vous le donne en mille : prononcer les mots – et non pour les honnir – de Russie et de Poutine ! Poutine, l’associé du monstrueux Assad, responsable à lui tout seul de la mort de 270.000 Syriens. La Russie, mise au ban de la société européenne pour avoir violé le territoire ukrainien et s’accaparer une partie de son territoire.


Pascal Geneste enseigne dans une institution renommée de Bretagne, le collège et lycée Sainte-Anne d’Auray. À l’ombre de la basilique du même nom. Il y est professeur d’histoire en langue bretonne et en français.

C’est à une radio russe et à Boulevard Voltaire qu’il a confié ses explications, seuls organes de presse à avoir voulu l’interroger : « Dans une introduction à la géopolitique, j’ai voulu, conformément au programme scolaire, montrer ce qu’était la Russie aujourd’hui. J’ai voulu montrer que l’alliance avec la Russie est une alliance d’avenir, qu’elle est raisonnable et claire », précise-t-il.

« Je voudrais faire ici la genèse de l’“affaire”. Juste avant les vacances de février, le mardi 2 février, j’ai constaté qu’une de mes élèves avait tout simplement séché mon cours. J’ai cru bon, bien entendu, de signaler cette absence à la direction du collège. Je soupçonne cette jeune fille, prise de panique à l’idée de sanctions pédagogique et familiale, d’avoir voulu se “couvrir” en rappelant un cours que j’avais donné sur la Russie de Poutine et son rôle dans la lutte contre le venin islamiste dans le monde. »

Il continue : « J’ai parlé de la chute du communisme jusqu’à l’accession au pouvoir de Vladimir Poutine. J’ai replacé le combat de Vladimir Poutine dans le contexte de sa lutte contre l’islamisme et notamment contre Daech, en montrant que Vladimir Poutine était un des précurseurs de cette lutte contre l’État islamique ».

Et de demander, en guise de conclusion : « Cela valait-il une convocation de mes élèves, qui à 14 ans ont été profondément choqués de se retrouver face à un officier de police judiciaire ? Ce sont les parents de cette élève qui m’ont dénoncé aux autorités policières. J’ai décide de porter plainte contre elle pour “dénonciation abusive ayant ou pouvant entraîner des préjudices moraux et professionnels”. »

Que lui reproche-t-on ? D’avoir dénoncé l’islamisme, ce qui fait donc forcément de lui un « islamophobe » ?

Ou d’avoir laissé entendre que Poutine et la Russie n’étaient pas nécessairement le diable incarné que l’on veut bien nous montrer ?

Monsieur Geneste dit attendre « avec confiance et sérénité » la suite que donnera le parquet de Lorient : « Quoi qu’il arrive, on ne me fera jamais renoncer à transmettre aux jeunes le goût du bien commun et l’amour de l’histoire pour ce qu’elle est : la volonté des peuples de survivre malgré les aléas des guerres, des déchirements fratricides, des trahisons de toutes espèces. »

Que dire de plus ?

Floris de Bonneville

Source : Boulevard Voltaire

 

 

Beaumont-en-Véron : ses paysages, son centre de déradicalisation

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Entre Vienne et Loire, entre nature et tradition, Beaumont-en-Véron vous accueille. Les photos qui illustrent le site officiel de la commune sont magnifiquement choisies : le village français traditionnel, bordé de vignobles, dans la douceur du soleil couchant qui donne au tuffeau des façades une couleur belle dorée. On comprend mieux pourquoi les rois de France aimaient la Loire et sa douceur de vivre…

Malheureusement pour elle, cette petite ville de 3.000 âmes a été désignée volontaire pour accueillir un établissement assez spécialisé : un « centre de déradicalisation ». Enfin, le nom officiel de ce machin est centre « réinsertion et citoyenneté ». Bien entendu, le maire de la commune ne semble pas avoir été consulté, à moins qu’il ait, prudemment, décidé de n’en rien dire. Mais la population locale, elle, est très remontée contre cette annonce choc diffusée par la matinale de France Inter jeudi 10 mars. On peut faire confiance à la radio d’État pour diffuser officieusement ce que le gouvernement a décidé.

Pierre N’Gahane, président du groupement d’intérêt public qui va gérer l’ensemble des centres de ce type, déclare : « Il y aura une dizaine de centres “réinsertion et citoyenneté”, certains pour des personnes “volontaires”, d’autres pour des individus sous main de justice. Chacun accueillera 30 individus que nous devrons remettre dans le giron de la République. Il fallait bien que je choisisse un premier endroit. Le site n’est pas arrêté, je suis en prospection. »

Eh oui, il fallait bien qu’il choisisse un endroit. Sur 36.000 communes de France, il n’avait que l’embarras du choix. Pourquoi un village comme celui-ci au lieu d’un centre culturel désaffecté en banlieue parisienne ? Pourquoi pas, non plus, Oudon (Loire-Atlantique), Courtagnon (Marne) ou Beuzeville–la-Grenier (Seine-Maritime) ? Il fallait bien que cela tombe sur quelqu’un, et les Bellimontois n’en reviennent pas. Parce qu’un centre « réinsertion et citoyenneté », c’est un concentré de musulmans intégristes, fanatiques, à qui on va tenter d’expliquer qu’ils ont le droit de croire à toutes les horreurs qui figurent dans le Coran à condition de respecter les valeurs de vous savez quoi.

À qui fera-t-on croire qu’un jeune délinquant, sans formation ni instruction, amateur d’éructations musicales, participera activement aux activités d’un tel centre ? Qu’un salafiste en djellaba, qui croit que la musique le transformera en singe, applaudira au docte énoncé des principes laïcs, publics, gratuits et obligatoires du régime ? Qu’une jeune fille voilée de la tête aux pieds comprendra la charge d’aliénation imposée par ce cercueil vestimentaire ?

À qui fera-t-on avaler que les fous d’Allah seront sensibles à la beauté bucolique du paysage ligérien, à la douceur de vivre de ce pays béni, alors qu’ils ne rêvent que de sang, de massacre et de soumission ? Il faudrait arrêter de nous prendre pour des débiles. D’un côté, la République française continue de clamer urbi et orbi qu’elle ne croit en rien d’autre que ses propres fondements, d’un autre côté, elle imagine benoîtement que des gens qui ne conçoivent même pas l’idée de distinguer spirituel et temporel pourront se réinsérer – comme s’ils avaient déjà été insérés ! – dans la société.

François Teutsch

Source : Boulevard Voltaire

 

« Ce droit du sol va à l’encontre de notre conception de la nation ! »

Le 8 mars, le vote final d’une loi sur le statut des étrangers en France a eu lieu à l’Assemblée nationale, élargissant le droit du sol.
Pas un seul député FN présent, et seulement un député LR. Jacques Myard réagit à la loi, et à l’absence massive des députés d’opposition.

Jacques Myard

Source : Boulevard Voltaire

Mon imam chez les militaires

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Ça décore sec, par les temps qui courent, et à tous les niveaux ! Il est vrai qu’en France – et pas qu’en France -, on adore les décorations, les médailles. On fait semblant de s’en moquer mais in fine, à part quelques exceptions notoires, on est bien content de recevoir sa petite médaille. « Laissons les rubans voler », chante-t-on dans l’infanterie !

Ainsi, la semaine dernière, François Hollande remettait les insignes de la Légion d’honneur au prince héritier d’Arabie. L’affaire fait encore grand bruit puisque la presse de ce matin relaie une nouvelle information révélée par le magazine féminin Causette : cette distinction aurait été attribuée à la demande du royaume. Pourquoi se gêner ? Monseigneur, les désirs de Votre Altesse Royale sont des ordres ! Si l’information se confirme, on aurait ainsi une nouvelle preuve que ceux qui nous gouvernent sont frappés au dernier degré du fameux syndrome du valet de chambre. Vous voulez peut-être un dessin ? Vous ne l’aurez pas…

À tous les niveaux, vous disais-je. Ainsi, plus modeste certes qu’une Légion d’honneur – mais il faut un début à tout -, c’est l’insigne de la réserve citoyenne de l’armée de l’air qui était remis mercredi 9 mars à un imam par le commandant de la base aérienne de Bordeaux-Mérignac. Pas une décoration à proprement parler, mais la marque de l’intégration de cet imam, Mahmoud Doua, au sein de la réserve citoyenne.

Qu’est-ce que la réserve citoyenne ? Elle rassemble des personnes volontaires pour contribuer au renforcement du lien entre la nation et les forces armées. Les réservistes citoyens sont des collaborateurs bénévoles du service public, des ambassadeurs de la Défense et de la gendarmerie, qui ont choisi de servir en faisant bénéficier les forces armées de leur expérience et de leur connaissance du tissu socio-économique mais sans faire du métier des armes leur profession.

Donc, qui est ce nouvel ambassadeur de la Défense ? M. Mahmoud Doua, l’imam de Cenon en Gironde, membre de l’Union des organisations islamiques de France dont on connaît les liens avec les Frères musulmans. L’UOIF qu’un des cofondateurs qualifiait de fusée à deux étages. « Le premier est démocratique, le second mettra en orbite une société islamique. » On ne peut être plus clair.

Mahmoud Doua présente le visage d’un islam tolérant, adapté à la République. Son discours est apparemment assez consensuel. Répondant aux questions du journal de la métropole bordelaise ABM en février 2014, il déclarait : « Je refuse de tomber dans le piège, de considérer la France comme islamophobe ou comme raciste. Elle ne l’est pas du tout. Même ceux qui votent FN. » Toujours séparer les électeurs des dirigeants FN : si ça, ce n’est pas de l’intégration, voire de l’assimilation, qu’est-ce alors !

Moins consensuels, en revanche, les propos qu’il tint en 2011 chez Guillaume Durand : « Parler de la répression des minorités chrétiennes en Orient, c’est de la désinformation… » Et ce, sous le regard plutôt approbateur du prédicateur Tariq Ramadan, l’homme qui voulait récemment devenir français. Impossible n’est pas français, dit-on, alors, on attend non pas une repentance – n’exagérons pas – mais au moins une petite actualisation du discours de M. Doua, rapport à ce que subissent les chrétiens de Syrie…

Gageons aussi que le commandant – puisque c’est le grade qui lui a été conféré – Mahmoud Doua sera un ambassadeur de l’armée de l’air efficace auprès de ses coreligionnaires et non le contraire. J’imagine que du côté de l’armée de l’air, on doit attendre avec impatience que cette nouvelle recrue apporte son expérience et sa connaissance du tissu socio-économique comme il se doit.

Georges Michel

 

Source : Boulevard Voltaire

Pour Zlatan Ibrahimović, le PSG est né grâce au Qatar

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Le PSG ne m’a jamais fait dresser un poil de moustache. Bien sûr, comme bon nombre de contribuables parisiens, j’ai usé de temps à autre les tribunes du Parc des Princes, plus en office de catharsis qu’en supporter, et comme tous les patriotes qui se respectent, un match contre les Anglais, même si c’est le PSG qui représente la France, reste une revanche de Waterloo.

Alors quand Zlatan et son pif de Cyrano fessent Chelsea, ne radinons pas sur les hommages : une Légion d’honneur, une descente des Champs-Élysées sur un char Leclerc, une statue place Vendôme, son autobio à La Pléiade et une station de métro à son nom.

Ce n’est que mérité et il le reconnaît bien volontiers : « Sans manquer de respect à personne, le PSG est né quand le Qatar est arrivé, il y a trois ans et demi. » Et leur effigie, c’est lui. Pas fou, le Viking. Dahleb, Sušić, Leonardo, Raí, Ronaldinho, Fernandez, Pauleta, Bianchi, Weah… juste du joueur de bac à sable, juste du Ballon d’or et des champions du monde, juste des parfums que le grand Suédois ne reniflera jamais. Mais peut-on lui reprocher cet Alzheimer précoce ? Le problème n’est pas qu’il le pense – reconnaissons-lui au moins de la cohérence dans son égocentrisme – mais qu’il le dise sans susciter la moindre réaction.

Les représentants de l’institution, garants de l’identité, n’ont pas bronché, pas plus que les supporters, garants de l’Histoire.

« L’argent détruit les racines partout où il pénètre, en remplaçant tous les mobiles par le désir de gagner. Il l’emporte sans peine sur les autres mobiles parce qu’il demande un effort d’attention tellement moins grand. Rien n’est si clair et si simple qu’un chiffre », écrivait Simone Weil. Nous en sommes là. Un but, une victoire, un titre gomment tout, jusqu’à notre identité. Seul le résultat compte. C’est la philosophie de notre football en France.

Le football, ce n’est pas grand-chose, certes, mais il est le miroir d’une société.

Zlatan annexe le club qui l’accueille, chèrement, au lieu de l’incarner. Il excommunie le passé du PSG avec la bénédiction des comptables de son héritage, certain d’écrire la première page de l’histoire. Mais en refusant de perpétuer l’histoire, on ne commence rien, sinon l’ère de l’indifférence.

Si aujourd’hui même une chose aussi naturelle que la passion ne se transmet plus, ce n’est pas seulement notre identité que nous allons perdre, mais notre condition. Après tout, qui sommes-nous sinon des êtres de relation appelés à transmettre aux générations à venir, et d’autant plus libres d’entrer en relation avec les autres qu’ils sont ancrés dans une histoire, une patrie, une famille, une identité ?

Source : Boulevard Voltaire

 

Allemagne: un vote blanc pour familiariser les immigrés au système électoral

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Pour la première fois en Allemagne, les immigrés non européens ont été appelés à se rendre aux urnes pour voter. Ça s’est passé dans le Land de la Saxe-Anhalt, une des trois régions dont le Parlement sera renouvelé ce dimanche. Mais il s'agit bien d'un vote blanc, qui ne comptait donc pas pour les élections régionales. L’objectif de cette action soutenue par les autorités était de familiariser les immigrés, y compris les réfugiés récemment arrivés en Allemagne, avec le système électoral. L’initiative a été vivement critiquée par le parti d’extrême droite, l’AfD (Alternative pour l'Allemagne) qui a le vent en poupe en Saxe-Anhalt. Reportage.

Timidement, une jeune femme tchétchène s’approche de l’urne. Elle discute avec Igor Matfilds, le responsable du bureau de vote installé dans un café fréquenté par des immigrés. Igor réussit finalement à la convaincre de remplir le bulletin. « Beaucoup de personnes ne sont pas habituées qu’on les invite à exprimer leur opinion politique, explique-t-il. Dans leurs pays, très souvent, les autorités ne souhaitent pas que les citoyens participent à une élection. »

Omran Saberi, un jeune Afghan récemment arrivé en Allemagne, est tout fier de pouvoir voter. Il considère cet acte comme une reconnaissance à l’égard des réfugiés. « Ce vote est très précieux pour moi, même s’il ne compte pas, dit-il. Les réfugiés sont heureux de savoir que les autorités allemandes les soutiennent, comptent eux, en leur permettant de voter. »

L’action est organisée par une association dont fait partie le Burkinabé Noël Kaboré. Lui aussi a participé au vote, non sans une certaine émotion. « Je peux dire qu'au Burkina, on a des votes. Mais ici particulièrement c'est autre chose. C'est une émotion. Quelque chose qu'on a jamais eu encore la chance de faire. »

Pour éviter tout amalgame avec les « vraies » élections régionales de ce dimanche, les résultats du vote blanc seront publiés le week-end prochain. Même si ce scrutin blanc s'est dans l'ensemble déroulé dans le calme, un groupe d’extrême droite a reconnu avoir érigé un mur devant l’entrée d’un des bureaux de vote à Halle, afin d’empêcher le déroulement du scrutin, entraînant une vague de protestation.

En Saxe-Anhalt, les conservateurs de la CDU bousculés sur leur droite

Trois parlements régionaux sont renouvelés ce dimanche. Ce scrutin a une valeur de test pour la chancelière Angela Merkel. Son parti, le CDU risque de perdre gros. En revanche, l'AfD (l'Alternative pour l'Allemagne), la nouvelle formation de droite populiste pourrait faire une percée dans les trois Länder. En Saxe-Anhalt, une région de l'ex-RDA au sud de Berlin, elle est crédité de 20% dans les sondages. Ce parti anti-immigration et anti-euro pourrait même dépasser les sociaux-démocrates qui forment, avec la CDU, une grande coalition dans ce Land (tout comme au niveau fédéral). Lors d'un dernier meeting de campagne à Halle, les conservateurs de la Saxe-Anhalt ont appelé les électeurs à ne pas céder aux sirènes de l'AfD.

Ce Länd court le risque que les populistes de droite fassent leur entrée au parlement. Ces populistes se nourrissent d'un discours selon lequel la démocratie ne remplirait plus ses fonctions. Il faut combattre ce discours parce qu'il est faux

La situation socio-économique « assez spéciale » de la Saxe-Anhalt explique, entre autres raisons, la montée de l'AfD, décrit le député fédéral social-démocrate de Halle, Karamba Diaby. Ce Länder, explique-t-il, a « un taux de chômage toujours un peu plus élevé que dans d'autres régions de l'Allemagne. L'AfD essaie justement de convaincre cette couche de la population. » D'ailleurs, dans certains quartiers comme le centre de Halle, où vivent des classes moyennes, leur discours ne prend pas, continue M. Diaby.

Si ce « ferment est dangereux » et que « les sondages nous inquiètent beaucoup », cet élu, premier élu d'origine africaine au parlement allemand, veut croire que le verdict des urnes n'en sera pas le reflet : « nous avons quelques jours jusqu'aux élections, nous continuons à nous battre pour convaincre. »

Achim Lippold

Source : Rfi

 

Allemagne : la politique migratoire de Merkel à l‘épreuve des régionales

Demain s’ouvriront les régionales en Allemagne. Un test crucial pour les partis traditionnels, à commencer par l’Union chrétienne-démocrate (CDU) d’Angela Merkel et le parti social-démocrate (SPD).

Près de 13 millions d’Allemands sont appelés à voter dans trois des seize Etats-régions. Deux sont situés dans l’ouest, le Bade-Wurtemberg, et la Rhénanie-Palatinat et la Saxe-Anhalt est quant à elle à l’est.

Dans le riche et puissant Bade-Wurtemberg, où le taux de chômage est aux environs de 4%, les Verts, qui dirigent la région dans une alliance avec le SPD, sont les favoris du scrutin. Ils menacent de détrôner la CDU comme première force politique.

Les Verts sont en faveur de la politique de Merkel envers les réfugiés. Cette question cristallise l’opinion allemande. En Rhénanie-Palatinat, la chef du SPD, la ministre-présidente sortante Malu Dreyer, approuve elle aussi cette politique d’accueil lancée par la chancelière.

Les sociaux démocrates sont crédités dans cette région d’une courte avance sur la CDU, représentée par son étoile montante Julia Klöckner. Cette dernière, en revanche, s’est démarquée de la politique migratoire de Merkel.

En Saxe-Anhalt, dans l’est du pays, la CDU dispose d’une confortable avance face à ses adversaires traditionnels. Mais elle doit compter avec la droite dure et la formation populiste anti-migrants Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui pourrait même devancer les sociaux démocrates.

Dans cette région, le parti d’extrême droite est crédité d’environ 19 % des suffrages. Il a de fortes chances d‘être représenté dans les deux autre parlements régionaux, dans le Bade-Wurtemberg et en Rhénanie-Palatinat où on lui prédit des scores entre 9 et 12,5%.

Euronews

 

Jungle de Calais: une mosquée, des restaurants et plusieurs abris en train de brûler

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Vers 16h30, ce vendredi, un incendie s’est déclaré à la Jungle. L’ampleur est incontestable, la fumée est visible du centre-ville de Calais. Selon les premiers témoignages, une mosquée, plusieurs restaurants et plusieurs abris s’embrasent.

Source : Nord Littoral

 

Islamisation forcée : l’ONU juge illégales les expulsions de migrants et illégitime l’interdiction du voile

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L’ONU fait entendre sa voix, cette semaine, tout particulièrement face au phénomène migratoire actuel et aux réactions des Etats européens. Non contente de juger illégales « les expulsions collectives de migrants », requises par l’ébauche d’accord entre l’Union européenne et la Turquie, elle s’attaque à l’interdiction « de grande envergure » de porter le voile, envisagée dans plusieurs cas en Suisse. Interdiction qui serait, selon elle, illégitime. Immigration rime d’ores et déjà avec islamisation galopante.

Le concept de laïcité ne semble s’appliquer qu’aux tristes accoucheurs des droits de l’homme. Mais pour qui se prend donc l’ONU ?!

Les expulsions collectives de migrants ? Illégales

Est-ce légal, mais surtout est-ce humain ?! Ce sont les deux questions auxquelles veut nous confronter l’ONU. Jeudi, le Haut-Commissaire aux droits de l’Homme a jugé « illégales » les expulsions collectives de migrants figurant dans le projet d’accord entre Ankara et l’UE, qui prévoit, entre autres, de renvoyer les demandeurs d’asile syriens vers la Turquie.

Les ONG contestent également ce principe selon lequel Ankara accepterait sur son territoire tous les migrants arrivés clandestinement en Grèce, quels qu’ils soient – la route désormais fermée des Balkans les y fait stationner et s’accumuler. En échange, les Européens s’engageraient, pour chaque Syrien renvoyé, à transférer un réfugié syrien depuis la Turquie vers le territoire de l’UE. Une disposition qui permettrait – en théorie – de distinguer les migrants économiques des réfugiés politiques qui, seuls, seront incités à déposer en Turquie une demande d’asile pour espérer un transfert légal et sûr vers l’UE.

Mais voilà, « les restrictions aux frontières qui ne prennent pas en considération le parcours de chaque individu violent le droit international et européen ». Sans compter « les principes fondamentaux de la solidarité, de la dignité humaine et des droits de l’Homme », « les valeurs et les normes » européennes… Pour l’ONU, le droit d’asile doit primer sur tout, pour permettre et continuer précisément cette invasion migratoire sans précédent.

L’interdiction du port du voile ? Illégitime

Et une fois qu’ils sont rentrés – comme tous ceux d’avant – ils ne doivent pas, visiblement, être soumis aux diktats laïcistes de leurs pays d’accueil… Quand cela concernait le catholicisme, les Lumières avaient raison – et elles ont toujours raison – mais le « contexte » n’est plus le même.

 C’est pour la Suisse, qu’un expert de l’ONU s’est inquiété, cette semaine, de l’interdiction « de grande envergure » de porter le voile qui y serait envisagée…

 Il ne semble pourtant pas qu’un vaste mouvement d’anti-islamisation soit en cours, mais bien plutôt l’inverse. A la mi-décembre, le Tribunal fédéral suisse a désavoué les autorités scolaires d’une commune qui avaient interdit à une jeune musulmane de 14 ans de porter son voile en classe, faisant primer soi-disant « la liberté religieuse ». Et dans un canton, deux écoles ont carrément ouvert une salle de prières à leurs élèves, au motif que « les jeunes déroulaient leurs tapis de prière partout dans l’école, dans les couloirs et dans la cage d’escaliers »…

 Islamisation en marche

Devant cette tendance, deux partis suisses, le Mouvement citoyens genevois (MCG) et l’Union démocrate du Centre (UDC), en Ville de Genève, ont justement déposé deux textes parlementaires, lors de la séance du Conseil municipal, mardi 8 mars. L’un veut interdire à tout personnel de la municipalité « de signaler leur appartenance religieuse par des propos ou des signes extérieurs lorsqu’ils sont en contact avec le public » ( le port du voile est visé), l’autre veut prendre « toutes les mesures utiles afin d’empêcher la suppression pure et simple du porc dans les menus des restaurants scolaires » – des raisons dites « logistiques » l’en avaient évincé… Il faut empêcher un « signal fort de soumission », alors même que la loi cantonale sur la laïcité devrait être votée, en Suisse, cette année.

Mais même la délibération du conseil municipal sur ces sujets, a fini mercredi soir en une suspension de facto : deux élus du parti Ensemble à Gauche ont joué les « trouble-débat », en se recouvrant la tête, pour l’une, d’un voile et en coiffant, pour l’autre, un keffieh… C’est bien connu, les partisans de la laïcité pour tous sont devenus des xénophobes, il faut soutenir l’affirmation de l’identité musulmane.

La laïcité seulement pour les Européens de souche selon l’ONU ?

Jeudi, le rapporteur spécial sur la liberté religieuse de l’ONU, a donc carrément pris les devants en disant s’inquiéter de ces « limitations » qui doivent être décidées, selon ses mots, avec des « justifications spécifiques » – l’Etat n’est visiblement plus le seul juge pour les donner. Attention à « l’affirmation d’une identité nationale » qui « discrimine les minorités » !

 Et de mélanger ces « précautions » avec les lois contre le blasphème qui tuent dans d’autres Etats – tout sauf chrétiens… Il a, certes, évoqué la radicalisation qui « n’est pas justifiable par la liberté religieuse. » Mais son « dialogue interreligieux »et son « respect de la diversité » ne semblent pas s’adresser, dans les faits, à tous les pays – qui a nommé un Saoudien à la tête du conseil des Droits de l’Homme ?

 L’inquiétude qui prédomine : voir se durcir les législations européennes contre l’islam qui arrive, qui envahit… et qui doit être respecté dans ses normes, face à un christianisme libéralisé et dissous.

 Clémentine Jallais

Source : Reiformation.tv

 

Brest (29) : un collectif pro-migrants perturbe le conseil municipal

Une quarantaine de manifestants, se revendiquant du collectif des Casss Papiers et dénonçant la situation de migrants vivant dans la rue à Brest ont fait irruption en pleine séance du conseil municipal. Ils réclament que le maire prenne position et trouve des solutions. Ils perturbent les débats et promettent de ne pas bouger. Ambiance très tendue.

Source : islamisme.fr

vendredi, 11 mars 2016

ZOOM - Ivan Rioufol :"La guerre civile arrive !"

Le journaliste et essayiste, Ivan Rioufol, vient de publier un ouvrage sombre en forme de mise en garde intitulé :”La guerre civile qui vient”. Le célèbre éditorialiste du Figaro affirme que l’islamisme s’inscrit dans la continuité des 2 totalitarismes du 20ème siècle. Il dénonce les politiques soldeurs de la Nation, les intellectuels en état de soumission et les musulmans indifférents à la montée du radicalisme religieux. Si le constat est brutal, Ivan Rioufol refuse toute forme de défaitisme et annonce qu’il est encore possible de sauver les meubles. “Ne rien lâcher” doit devenir la devise des nouveaux insoumis.

 

 

 

 

 

Lyon : le préfet interdit la manifestation des identitaires

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Michel Delpuech a décidé d'interdire la manifestation d'extrême droite "4e fête des patriotes, halte à l’invasion, foutons les dehors" qui devait avoir lieu ce week-end.

Le préfet de région et préfet du Rhône, Michel Delpuech a pris un arrêté préfectoral interdisant dans le département du Rhône tout rassemblement, manifestation ou réunion sur la voie publique en lien avec l'initiative "4e fête des patriotes, halte à l’invasion, foutons les dehors".

"Cette interdiction est justifiée par le fait que cette initiative, qui n’a fait l’objet d’aucune déclaration, fait apparaître la participation de dirigeants de mouvements dissous tels que "l’oeuvre française" et "les jeunesses nationalistes", qu’elle présente dans le contexte actuel un réel risque de trouble à l’ordre public, et qu’elle véhicule des messages contraires aux valeurs de la République", a déclaré le Michel Delpuech dans un communiqué.

Selon Rue 89 Lyon, deux ans après la dissolution de l'Oeuvre française d'Yvan Benedetti et les Jeunesses nationalistes d'Alexandre Gabriac, ces derniers seraient derrière cette manifestation qui souhaitaient mettre en avant des thèmes proches des deux leaders d'extrême droite.

Justin Boche

Source : Lyon capitale

 

 

 

L’archevêque de Canterbury : il est « absolument scandaleux » d’appeler les gens « racistes » simplement parce qu’ils s’opposent à l’immigration de masse

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Si la commentatrice du Daily Telegraph se demande pourquoi il a fallu si longtemps à l’archevêque Justin Welby, primat de l’Église d’Angleterre, pour se scandaliser du traitement réservé aux citoyens qui s’inquiètent de la vague migratoire sans précédent submergeant aujourd’hui l’Europe, les propos du prélat anglican méritent tout de même d’être salués.

« Une crise colossale », « un des plus gros déplacement de gens dans l’histoire humaine », et il est raisonnable d’éprouver de l’inquiétude face à ce phénomène, a déclaré Mgr Welby dans une interview pour le magazine parlementaire britannique The House. Des propos repris par les principaux médias britanniques aujourd’hui comme ici, en images, sur Sky News.

« En particulier au sein des communautés fragiles, il y a de vraies craintes : quel va être l’impact sur le logement ? Sur l’emploi ? Sur l’accès aux services de santé ? Et il est important d’écouter ces craintes et d’y répondre. », a rappelé l’évêque pour qui la peur de l’immigration de masse est un sentiment justifié. « La peur est une émotion normale face à une crise aussi colossale. C’est un des plus gros déplacements de gens dans l’histoire humaine. C’est énorme. Il est tout à fait raisonnable de s’en inquiéter. »

« On a tendance à dire [en parlant des personnes qui expriment leurs réticences] ‘Ces gens sont racistes’, ce qui est scandaleux, absolument scandaleux. »

Les images de l’invasion en 2015 : « Frontières grandes ouvertes – Le suicide collectif des nations européennes »

Olivier Bault

 

 

Source : Nouvelles de France

 

Il s’agit d’encadrer notre sortie de l’Histoire

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La crise des migrants, largement entretenue par les États-Unis et les pétromonarchies en Syrie et en Irak, est l’occasion d’une relance de la politique néo-ottomane d’Erdoğan, un temps freinée par la reprise en main militaire des « printemps arabes ».

Autrement dit : développement de foyers d’instabilité ; intensification des attaques contre l’éternel front « romain » de la Turquie usant du chantage à l’arme migratoire ; tandis que l’Allemagne demeure à l’évidence le pivot stratégique de Washington en Europe. Une coordination d’acteurs à l’identité distincte, unis par une même conclusion : l’affaiblissement des Européens, en tant que tels, est l’enjeu principal de cette crise, y compris pour cet « astre noir » du continent qu’est l’Allemagne.

Postulons que l’Europe fait face à une guerre d’un nouveau type, qui vise non plus la destruction directe des ressources humaines, des infrastructures matérielles, ni même la distorsion des superstructures idéologiques (cas de la guerre froide), mais la neutralisation dans la longue durée et de l’un et de l’autre, par un travail de sape de ses fondements.

 Qui est attaqué ? Non seulement l’Europe comme réalité actuelle, mais l’Europe comme potentiel. C’est l’ensemble des potentialités représentées par la qualité des hommes, par la qualité des terres et des acquis techniques, par la qualité de nos sources culturelles (Athènes, Rome, Jérusalem, en un triptyque classique et toujours fécond). Ces potentialités qui permettent au cap européen de se manifester régulièrement, dans la longue durée et sous des formes politiques diverses, comme l’un des rares lieux de la puissance.

L’arrivée massive de migrants, outre la mise à jour de fractures politiques continentales latentes, devrait modifier en profondeur le paysage humain et civilisationnel de l’Europe (Caldwell), bien au-delà de la condamnation de l’État-providence. Sous l’écume, 2016 pourrait faire suite aux étapes qui scandent depuis plus de deux siècles l’opposition d’un principe de souveraineté européenne et d’un ordre mondial impliquant notre commune neutralisation : 1812-1815, 1914, 1940-1945.

Désormais, il peut s’agir pour la puissance dominante mondiale, non européenne, d’en finir avec son durable concurrent : 2016 prépare ainsi les trente prochaines années, et la certaine explosion démographique de l’Afrique, et le futur choc euro-méditerranéen. Lorsque l’Europe sera vieille et divisée, donc « impolitique » (Freund).

 Bien au-delà d’affrontements pour les nouvelles routes de l’énergie, de la paralysie temporaire des Européens (Brexit, résurrection du groupe de Visegrád), il s’agit d’encadrer notre sortie de l’Histoire.

Assez pour que nous ne puissions pas affronter l’avenir comme puissance, nous préservant assez pour que nous puissions appuyer les politiques de puissances étrangères et absorber leur surplus de production ou leurs diasporas (de la lutte contre le blocus napoléonien au TAFTA).

Benjamin Wirtz

Source : Boulevard Voltaire

 

 

 

Combien de soldats d’Allah dorment dans nos casernes ?

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On savait que la France n’était plus un État (tout au plus un pâle gouvernorat, une sorte de super-préfecture européenne), qu’il n’était, par conséquent, plus réellement gouverné (nos soi-disant dirigeants passant, désormais, leur temps à organiser la substitution de peuple, comme la subversion de ses mœurs) et, consécutivement, que les principaux attributs de sa puissance n’étaient plus que des vestiges muséaux, quand ils ne furent pas bradés à l’encan.

On saura aussi, dorénavant, que les quelques soldats qui composent notre rachitique armée de terre sont des djihadistes potentiels (sorte d’agents dormants) quand ils ne sont pas, tout simplement, des mahométans « modérés », leur pacifisme s’expliquant, pour l’essentiel, par le fait qu’ils n’ont pas encore été tentés de retourner leurs armes contre le drapeau tricolore qu’ils ont juré de servir.

Un de ceux-là, Manuel Broustail, a été pris la main dans le sac alors qu’il passait les portiques de sécurité de l’aéroport de Fès (Maroc). Comble de l’inefficacité de notre prétendu état d’urgence conjugué à une tout aussi platonique surveillance renforcée des gares et aérogares, notre militaire en goguette avait pu décoller de France, tandis qu’il transportait armes blanches, cagoules, bonbonne de gaz, treillis militaires et matraque rétractable.

Loin d’être inspiré par les mânes de Bob Denard et autres illustres chiens de guerre, cet ancien militaire du génie, âgé de 31 ans, natif de Rouen et habitant Angers, s’était converti à l’islam salafiste, n’hésitant pas à effectuer au grand jour des entraînements de type commando, notamment à proximité de parcs publics.

Ce nouveau soldat d’Allah était connu de nos services de renseignement puisque même notre aboulique ministre de l’Intérieur avait jugé opportun de l’assigner à résidence, dans le cadre de l’état d’urgence. Celui-ci, une fois levé, permit à Ben Broustail de se tailler par les airs en toute légalité et sans éveiller le moindre soupçon quant au contenu peu orthodoxe de ses bagages.

Ce fait navrant et récurrent soulève toute une série de graves problèmes qui sont autant de pièces à charge dans le lourd dossier de l’inconséquence révoltante et criminelle de la clique insane qui nous gouverne. Son idéologisme conduit à accepter (bien que ce ne soit pas tout à fait le cas en l’espèce) n’importe qui au sein de nos administrations régaliennes (police, justice, défense) au prétexte de ne pas discriminer.

Combien, en effet, sont ceux qui, sur nos porte-avions ou dans nos casernes, vouent une allégeance tenace à l’Oumma (nation des croyants islamiques) plutôt qu’à la France – laquelle est sommée de s’effacer derrière une abstraite et absconse « République » ?

Comment qualifier un système proprement défaillant qui filtre le moustique en laissant passer le chameau ? La réponse est contenue dans la récente circulaire du 18 février 2016, par laquelle le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve incite les préfets à ouvrir les dispositifs administratifs et financiers « d’intégration républicaine » aux « réfugiés statutaires que notre pays s’est engagé à accueillir au cours des deux prochaines années dans le contexte de la crise migratoire internationale ».

Aristide Leucate

Source : Boulevard Voltaire