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samedi, 05 mars 2016

Le Conseil fédéral présente son projet de loi sur la gestion de l’immigration

Berne, 04.03.2016 - Ce vendredi, le Conseil fédéral a adopté, à l’intention du Parlement, plusieurs projets de loi visant à mettre en œuvre les dispositions constitutionnelles relatives à l’immigration. Il s’efforce par ailleurs de parvenir à une solution consensuelle avec l’Union européenne (UE). Toutefois, étant donné qu’aucun accord n’a encore pu être trouvé avec l’UE, il propose, comme il l’avait annoncé, de gérer l’immigration au moyen d’une clause de sauvegarde unilatérale : lorsqu’un certain seuil sera dépassé, le Conseil fédéral devra fixer des nombres maximaux annuels. Afin de mieux exploiter le potentiel des travailleurs en Suisse, le Conseil fédéral souhaite que les personnes qui relèvent de la législation sur l’asile et qui peuvent demeurer dans notre pays puissent trouver du travail plus facilement. En outre, il a arrêté une modification de la loi fédérale sur les étrangers (LEtr) en vue d’empêcher que les étrangers en quête d’un emploi en Suisse aient accès à l’aide sociale. Enfin, le Conseil fédéral a adopté le message concernant l’extension de l’accord sur la libre circulation des personnes (ALCP) à la Croatie. La ratification du protocole sur la Croatie est une condition de la poursuite de la participation de la Suisse au programme-cadre de recherche Horizon 2020.

Aujourd’hui, le Conseil fédéral a confirmé ses décisions du 4 décembre 2015. Il entend donc poursuivre les pourparlers avec l’UE en vue de parvenir à une solution consensuelle et de consolider ainsi la voie bilatérale. Toutefois, aucun accord n’a pu être trouvé à ce jour. Les consultations avec l’UE se poursuivront rapidement au plus tard après le référendum sur le maintien de la Grande-Bretagne dans l’UE. Si les pourparlers se concluent par un accord, le Conseil fédéral veillera à ce que les résultats des négociations soient pris en compte dans les délibérations parlementaires. Afin que le délai constitutionnel en matière de gestion de l’immigration puisse être respecté, le projet de loi du Conseil fédéral prévoit une clause de sauvegarde unilatérale.

Clause de sauvegarde unilatérale envers les ressortissants des Etats membres de l’UE ou de l’AELE

La clause de sauvegarde unilatérale proposée prévoit que le Conseil fédéral détermine des nombres maximaux annuels pour les autorisations octroyées aux ressortissants des Etats membres de l’UE ou de l’AELE, lorsqu’un certain seuil d’immigration est dépassé. A cet égard, le Conseil fédéral tiendra compte des intérêts économiques globaux de la Suisse, comme le prévoit la Constitution, et des recommandations d’une commission de l’immigration qui doit encore être créée. En parallèle, il prendra des mesures en vue d’encourager le potentiel des travailleurs en Suisse et d’adapter, si nécessaire, l’exécution de la législation sur les étrangers. Il entend ainsi réduire la demande de main-d’œuvre étrangère supplémentaire.

Mesures contre les abus en matière d’aide sociale

La modification de la LEtr comprend des mesures destinées à améliorer l’application de l’ALCP. Concrètement, il s’agit d’éviter que des étrangers qui sont à la recherche d’un emploi en Suisse puissent y toucher des prestations d’aide sociale. Le projet de loi définit aussi les critères selon lesquels un ressortissant d’un Etat membre de l’UE ou de l’AELE perd son droit de séjour en cas de cessation des rapports de travail. Désormais, la loi contiendra également une disposition prévoyant un échange de données entre les autorités en cas de versement de prestations complémentaires.

En outre, le Conseil fédéral a adopté un message additionnel sur les dispositions de la LEtr qui portent sur l’intégration. Pour renforcer les effets de l’initiative visant à combattre la pénurie de main-d’œuvre qualifiée en exploitant mieux le potentiel indigène, le Conseil fédéral propose une série de mesures dans le domaine de l’asile. Afin que les personnes autorisées à demeurer en Suisse puissent accéder plus facilement à une activité lucrative, il propose de simplifier les procédures d’autorisation et de supprimer l’obligation de verser la taxe spéciale.

Extension de l’ALCP à la Croatie

Aujourd’hui, le Conseil fédéral a également adopté, à l’intention du Parlement, le message concernant l’extension de l’ALCP à la Croatie, membre de l’UE depuis le 1er juillet 2013. Désormais, la libre circulation des personnes entre la Suisse et l’UE sera également valable pour les ressortissants croates. Le protocole III, qui en règle les modalités, a été signé aujourd’hui et soumis au Parlement pour approbation. Sa ratification, soit son entrée en vigueur juridiquement contraignante, aura lieu lorsqu’une solution compatible avec l’ALCP aura été trouvée.

La signature du protocole III et l’examen parlementaire sont importants pour deux raisons. D’une part, les conditions seront ainsi créées pour que la Croatie soit un jour traitée de la même manière que les autres Etats de l’UE. D’autre part, la signature du protocole III constitue une étape importante d’un processus devant permettre la pleine association de la Suisse au programme-cadre de recherche Horizon 2020. Si le protocole III n’était pas ratifié d’ici à février 2017, la Suisse serait considérée, à titre rétroactif à partir du 1er janvier 2017, comme un Etat tiers dans ce programme qui revêt une importance capitale pour la recherche et l’économie de notre pays. Les chercheurs suisses ne pourraient dès lors participer aux projets qu’en tant que partenaires externes, c’est-à-dire sans bénéficier d’un financement de l’UE. Cette mise à l’écart serait aussi dommageable pour la réputation de la Suisse comme place de recherche.

Effets négligeables de la crise de l’euro sur l’immigration en Suisse

Le Conseil fédéral a pris acte d’une étude consacrée aux répercussions de la crise de l’euro sur l’immigration en Suisse. Il ressort de cette analyse que la crise a surtout renforcé l’immigration en provenance de pays durement touchés par cette crise et qui étaient déjà des pays d’émigration traditionnels (Portugal, Espagne et Italie). Sont concernées en premier lieu des branches saisonnières comme le bâtiment ou l’hôtellerie et restauration, qui emploient avant tout des travailleurs peu qualifiés. Au vu de ces constatations, la promotion du potentiel indigène dans ces branches revêt une importance particulière.

Par ailleurs, le Conseil fédéral a arrêté diverses mesures supplémentaires en vue de lutter contre les abus sur le marché du travail. En particulier, un plan d’action doit permettre d’améliorer la mise en œuvre des mesures d’accompagnement à la libre circulation des personnes. Enfin, le Conseil fédéral a adopté le message relatif à la modification du code des obligations (prolongation des contrats-types de travail imposant des salaires minimaux).
 

vendredi, 04 mars 2016

L'image du jour

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Le Danemark accosté de tous bords, tous côtés

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Après avoir ouvert les frontières à des centaines de milliers d’Irakiens et de Syriens pendant la dernière décennie en Suède, on doit gérer une augmentation des problèmes sociaux et la montée de l’extrême droite. Au Danemark, on craint de vivre dans une seconde Suède, d’après Hugh Eakin du New York Review of Books.

Six réfugiés en provenance de la Syrie, du Pakistan, de l’Érythrée, du Myanmar et de l’Ouganda ont participé au spectacle de danse Uropa au Théâtre royal de la capitale Copenhague du 29 janvier au 14 février afin de raconter leur expérience au Danemark. « Si l’on est de gauche, on les voit souvent comme des victimes. Si l’on est de droite, on les voit comme des personnes qui viennent prendre nos biens. Il est intéressant de voir comment ils voient eux-mêmes leur situation », affirme le metteur en scène, Christian Lollike au quotidien danois Politiken le 21 janvier. Au départ, ils étaient dix. Les autorités danoises ont refusé l’asile à deux réfugiés, un autre a été arrêté et expulsé et le quatrième a quitté le pays.

Pour la première fois en Scandinavie, une mosquée dirigée par deux femmes va ouvrir ses portes à Copenhague. La mosquée Mariam réserve la prière du vendredi aux femmes. « Il s’agit de changer l’image de l’Islam au Danemark et de montrer qu’il existe un mouvement spirituel et progressiste », explique l’imam Sherin Khankan à Politiken du 17 février. La mosquée proposera un nouveau contrat de mariage où la femme a les mêmes droits que l’homme, lors du divorce entre autres.

Les dirigeants danois ont longtemps protégé les minorités religieuses. Pendant l’occupation nazie de l’Europe, le Danemark était le seul pays qui persécutait l’antisémitisme et qui a sauvé une grande partie de la population juive, rapporte Hugh Eakin. « 95 pour cent des juifs du pays pendant la Seconde Guerre mondiale avaient été envoyés clandestinement en Suède afin d’échapper à la persécution nazie », a affirmé le rédacteur en chef de Politiken, Bo Lidegaard dans une tribune publiée le 29 janvier par le Financial Times.

Le Danemark a également été le premier État à ratifier la convention de l’ONU sur le statut des réfugiés en 1951, a rappelé le rédacteur en chef afin de mettre en contexte la « loi des bijoux », votée le 26 janvier. La loi implique que les policiers confisquent les biens des réfugiés au-delà d’une valeur de 10 000 couronnes ( 1 908 dollars canadiens ), et allonge le délai pour le regroupement familial de une année à trois ans. « Cette loi est une alerte qui rappelle jusqu’où l’Europe pourrait dériver si nous ne sommes pas capables d’affronter ce problème ensemble », a affirmé Bo Lidegaard.

En marge

Plusieurs écrivains danois ont associé le traumatisme causé par l’invasion de leur territoire par l’Allemagne de Bismarck au 19e siècle, qui a fait plusieurs morts, à l’obsession d’affirmer son identité nationale, sa danité. La résistance de ce petit pays, qui possède le Groenland, a amené le penseur Søren Kierkegaard à développer une philosophie existentialiste en réaction à l’idéalisme allemand, en vogue sur le continent à l’époque.

« Par rapport à l’image que les Danois ont d’eux-mêmes, la tolérance est vue d’un bon œil (…) mais, une tolérance excessive est perçue comme étant naïve et contreproductive pour maintenir l’identité nationale danoise », écrit l’anthropologue danois, Peter Hervik.

Le consensus anti-immigration au Danemark s’est créé après les incidents de septembre 2001 aux États-Unis. Le parti d’extrême droite Danish People’s Party était exclu de la scène politique jusqu’aux élections de novembre 2001. L’immigration a été le thème central de la campagne électorale, comme la population musulmane a doublé dans les années 1990. Le Liberal Party a pris la décision historique de former un gouvernement avec le parti d’extrême droite.

« Ils sont durs sur les crimes, durs sur l’immigration, mais sur les politiques d’aide sociale, ils sont de centre gauche. Parfois, ils essayent même de surpasser les Social Democrats », a confié l’ex-premier ministre du Danemark, Anders Fogh Rasmussen à Hugh Eakin. Le système de sécurité sociale est excellent pour les danois, mais difficile d’accès pour les nouveaux arrivants.

À partir de 2002, on a commencé à limiter le nombre de demandeurs d’asile par une série de nouvelles règles et mis fin au mariage comme moyen d’acquérir rapidement la citoyenneté, en plus de resserrer les critères pour obtenir un statut de réfugié.

Avec sa nouvelle politique étrangère, le Danemark a abandonné sa neutralité traditionnelle pour prendre part aux interventions en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie aux côtés des troupes américaines.

L’ex-premier ministre, Anders Fogh Rasmussen, siège au poste de secrétaire général de l’OTAN.

René-Maxime Parent

Source : Pieuvre.ca

« La face cachée de l’islamisation »… un nouveau livre dans nos librairies

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Ce livre, attendu, n’est pas une révélation pour qui s’intéresse aux travaux du Professeur Yassine Essid [1]. Il s’inscrit, en effet, dans le droit fil de ses ouvrages portant sur la genèse de la pensée économique chez les arabes [2].

On y retrouve une grande rigueur d’analyse fondée sur une critique approfondie des sources lui permettant d’établir une chronologie argumentée et cohérente sur laquelle il construit son sujet, présenté pour l’essentiel sous la forme d’un récit très précisément articulé et déroulé selon une logique implacable.

L’auteur nous propose dans cette recherche, publiée à Paris chez les éditions de l’Aube, d’enquêter sur ce qu’il nomme la « face cachée de l’islamisation ». Dans les trois premiers chapitres de son livre, il nous présente le contexte historique dans lequel l’idée de la finance islamique a été conçue.

Née en 1973, dans la foulée du quadruplement des prix du pétrole et de l’embargo pétrolier arabe, la Banque Islamique du Développement (IDB), basée à Djeddah, posa les jalons d’un système d’entraide fondé sur des principes islamiques comme la prohibition de l’intérêt.

Deux ans plus tard, en 1975, la Dubaï Islamic Bank (DIB), la première banque universelle privée islamique, voit le jour. En 1979, apparaît également la première compagnie d’assurances islamique, Islamic Insurance Company of Soudan.

Au cours de la décennie suivante, le nombre des institutions financières islamiques et le volume de leurs actifs croissent de manière ininterrompue et ces opérateurs commencent, pour la première fois, à étendre leur activité au-delà des frontières physiques du Moyen Orient (en Asie de Sud-Est, dans un premier temps, vers l’Afrique de Nord et les pays de l’Europe occidentale par la suite).

En France, l’Institut français de finance islamique (IFFI) a été créé en 2009 et la place de Paris dispose depuis 2010 d’un cadre juridique, fiscal et réglementaire permettant la réalisation d’opérations de finance islamique et le développement des banques du même type.

Dans les deux derniers chapitres de son livre, l’auteur nous présente une lecture critique de ce nouveau type de finance. Selon le Professeur Essid, le mélange particulier entre techniques financières et éthique religieuse que représente la finance islamique suscite de nombreuses appréhensions et polémiques.

Elle est ainsi parfois considérée incompatible avec une société laïque, construite sur la séparation entre le religieux et l’État. L’auteur se propose aussi d’étudier le mythe du « bon musulman » qui ferme les yeux sur la provenance des capitaux des banques considérées comme islamiques.

Puis par le truchement de l’histoire, il pose une question capitale sur le sens des slogans utilisés par ces banques. Ainsi, la mourabaha, l’un des principaux outils utilisés par les banques islamiques pour prêter de l’argent au « bon musulman » n’est qu’un intérêt déguisé puisque la marge facturée par la banque islamique au client ressemble tant à l’intérêt que certains estiment qu’il ne s’agit que d’un habillage cosmétique pour duper le client.

Là où une banque conventionnelle aurait simplement proposé un intérêt à 5%, la banque islamique obtient le même résultat à travers un montage commercial d’achat et de revente. Ici, l’interdiction de l’intérêt dans le système financier islamique est contournée par l’usage de la commission, pratiquée à des taux souvent astronomiques.

À travers cette recherche fouillée, Yassine Essid entend dénoncer la soumission déguisée au Wahhabisme à qui on donne encore plus d’emprise sur nos sociétés modernes. Il entend dénoncer aussi les fondements de la finance islamique conçue, depuis quelques décennies, comme un élément constructif du radicalisme sociétal.

Le livre de Yassine Essid est un appel aux gardiens de l’orthodoxie pour qu’ils cessent leur manipulation basée sur l’adhésion des cœurs et des esprits des simples musulmans aux normes d’une lecture primaire, littéraliste et fondamentaliste du Coran.

Mohamed Arbi Nsiri – Historien

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  1. Yassine Essid, est un professeur d’histoire médiévale à la Faculté des sciences humaines et sociales de Tunis. Ancien doyen de la Faculté des lettres et sciences humaines de Sfax. Il est également président du Groupe d’études et de recherches interdisciplinaires sur la Méditerranée.
  2. Yassine Essid est l’auteur de plusieurs ouvrages qui portent sur la pensée économiques arabes dont :
    – At-tadbir/Oikonomia : Pour une critique des origines de la pensée économique arabo-musulmane, Tunis, Édition T.S, 1993
    – A Critique of the Origins of Islamic Economic Thought, Leiden-New York, Brill édition, 1995
    – Dictionnaire historique de la pensée arabe et musulmane (avec Youssef Seddik), Tunis, MediaCom, 1998

Source : Webdo

A lire : "Le temps du phénix", le nouveau livre de Bruno Mégret.

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Je viens de lire le nouveau livre de Bruno Mégret, "Le Temps du phénix", et je dois vous avouer que je suis assez "emballé". Dans cet ouvrage, remarquablement bien écrit, Bruno Mégret nous fait rêver. Ce qui n'est pas évident dans l'état actuel des choses.

L'auteur s'est retiré de la vie politique en 2008. Mais cela ne lui interdit pas de s'intéresser à l'avenir de notre pays. Pour lui, rien n'est encore définitivement perdu. Tout est une question de volonté.

Imaginons un instant qu'en 2017 un Président issu du "mouvement national" soit élu. Celui-ci aurait comme premier objectif de remettre la France debout... Ce qui n'est pas une mince affaire. Et la question que beaucoup peuvent légitimement se poser est de savoir quelle méthode il devra employer pour réussir cette tâche ?

A travers ce roman de "politique fiction" Bruno Mégret imagine cette situation pour le moins hypothétique et raconte comment ce Président, à la fois déterminé et attachant, finira par réaliser, non sans embuches, ce pourquoi il a été élu. Il profite aussi de cette occasion pour développer des idées qui, vous le verrez, ne sont pas aussi irréalistes que cela.

Les éternels pessimistes diront bien sûr qu'il ne s'agit là que d'un roman. Mais l'Histoire de France n'est-elle pas justement une succession de romans ?

Roland Hélie

Le Temps du phénix, Bruno Mégret, Editions Cité Liberté, 2016, 324 pages, 20 €

Pour le commander :

Vous pouvez le commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (par correspondance, ajouter 3 € de port, chèque à l'ordre de Synthèse nationale).

Pour le commander en ligne cliquez ici

Source : Synthèse Nationale

Strasbourg: Des inscriptions signées du GUD découvertes sur la façade d'une association

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La vitrine de l'Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF) à Strasbourg a été taguée...

« Collabos » ou « Occupez-vous des SDF pas des clandestins ! ». Voilà les inscriptions signées du mouvement d’extrême-droite GUD (Groupe union défense) découvertes ce vendredi matin sur la vitrine de l' Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), dont les locaux sont situés sur la route de Schirmeck à Strasbourg.

L’ATMF est une association qui participe à la défense des travailleurs d’origine maghrébine, mais aussi des exclus et des migrants, avec ou sans papiers. L'association s’inscrit également dans la lutte contre les discriminations et les inégalités.

Alexia Ighirri

20 minutes

Immigration : trois généraux dénoncent « la capitulation de l’Etat »

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Trois généraux, le général de corps d’armée Pierre Coursier, ancien gouverneur militaire de Lille, et les généraux Antoine Martinez et Jean du Verdier, ont adressé une lettre ce vendredi à l’Élysée, dans laquelle ils interpellent le président de la République sur sa «responsabilité» face à cette «zone de non-droit» qu’est ­devenue Calais.

«Vous ne pouvez pas vous dérober à vos devoirs», écrivent-ils à François Hollande.

«Le président de la République française, en vertu de l’article V de la Constitution de 1958, est “le garant de l’intégrité du territoire”. Sa responsabilité est donc engagée dès lors que des migrants illégaux entrent massivement en France, avec des points de fixation comme Calais et le Calaisis.»

Les trois généraux soulignent que cette partie du territoire est «abandonnée de facto par les autorités de la République» et s’indignent de «la situation existentielle désastreuse qui est faite aux habitants de cette région» qui vivent «dans la terreur des bandes mafieuses».

Les trois généraux dénoncent également l’arrestation du général Piquemal, qui «s’est rendu pacifiquement sur place pour constater cette capitulation de l’État».

«Par une ironie blessante, il a été arrêté au nom de l’ordre public alors que les migrants illégaux demeurent libres de leurs faits et gestes pendant ce temps. Vous devez, Monsieur le Président, prendre la mesure de l’indignation que ce paradoxe provoque dans le cœur de beaucoup de Français.»

«Il convient, au lieu de s’acharner sur un soldat, fût-il général et patriote, de rétablir l’ordre public à Calais, ce qui suppose l’éradication de la “jungle” (une “jungle” peut-elle exister en République?) et le renvoi de tous les clandestins dans leurs pays d’origine.»

Pierre-Alain Depauw
 

Migrants : Kléber Arhoul, coordinateur de l’accueil des réfugiés, tire la sonnette d’alarme !

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Pour l’irremplaçable écrivain G.K. Chesterton, notre monde serait empli de « vertus chrétiennes devenues folles ». Mais ne serait-ce pas, tout simplement, notre monde qui serait devenu fou ? Ou alors notre monde dirigé par une oligarchie mondialisée qui, elle, ne perdant jamais le nord, tenterait, à défaut de nous rendre fous, d’au moins nous aveugler.

Ainsi, l’immigration de masse déferlant actuellement sur l’Europe. Au début, c’est youpi la fête ! Puis, la photo du cadavre d’un infortuné gamin échoué sur une plage, photo qui fait le tour de la planète, et aussitôt, le délire émotionnel. On ne réfléchit plus : on compatit et nous serons tous de bons samaritains. Et qui ne compatit pas se trouve, de fait, tenu pour salaud sans cœur. Puis, des hordes de gueux qui arrivent, tremblant de froid, de soif et de faim sur les côtes de notre eldorado présumé.

Des « familles entières », nous est-il assuré. Marrant, tout de même, de constater à quel point la vision de cette « famille » peut être à géométrie variable, surtout en ce jour où l’intitulé du ministère concernant le sujet éponyme se verra bientôt affublé d’un « s », histoire de ne pas froisser ces familles d’un autre genre, celle de Pierre et Paul, Pierrette et Paulette qui, vu leur livret familial, auraient sûrement quelques difficultés à s’assimiler en contrées islamo-orientales.

En effet, ces « familles », on les voit assez peu sur les photos. Marine Le Pen fut l’une des premières personnalités politiques à lever le lièvre – ou le fennec -, à peu près en même temps que l’auteur de ces lignes et ses confrères de Boulevard Voltaire. Kléber Arhoul, coordinateur national de l’accueil des réfugiés, reconnaît : « La population accueillie est très majoritairement masculine. La preuve en est que les demandes d’hébergement d’urgence concernent presque exclusivement des studios. »

Et le même de souligner la « diversité des professions » des impétrants : « Tous les migrants ne sont pas des ingénieurs en pétrochimie ou des médecins. […] Il y a des agriculteurs, des commerçants, aussi des chômeurs. » Ça tombe bien : on en manquait, en France…

Mais c’est sur les chiffres que l’histoire devient autrement plus intéressante, ces derniers venant encore contredire la puissance des images et l’inanité des propos de notre actuel personnel politique, sachant que d’un côté, on nous montre d’interminables cohortes de gueux tout en nous assurant de l’autre qu’il ne s’agit, pour la seule France, d’en prendre seulement en charge 31.000 réfugiés et d’en relocaliser 160.000. Pourtant, en 2015, Kléber Arhoul affirme que plus d’un million de migrants sont déjà entrés en Europe, tout en ajoutant : « Je pense que les flux seront de plus en plus importants. » Où est passé le reste, soit quelques centaines de milliers d’individus ? L’histoire ne le dit pas.

Ce que Kléber Arhoul ne dit pas non plus, c’est qu’il est réduit à l’état d’un médecin condamné à soigner les effets d’une maladie, s’en sans prendre aux véritables causes. La première voulant que ces pays d’Orient qui vivaient jusque-là dans une stabilité relative sont désormais la proie d’un chaos créé par les Occidentaux, ce, pour de basses raisons gazières et pétrolières.

La seconde, sûrement plus profonde, a déjà été pointée par la plume de l’essayiste Hervé Juvin. Nous voulions, à l’instar d’un Jacques Attali, une humanité nomade qui ferait son beurre en une transhumance permanente, une humanité ayant grandi hors-sol, sans racines ni attaches, une humanité ne croyant plus qu’en une croissance infinie, une richesse sans limites. C’est l’hubris, la démesure crainte par nos ancêtres grecs : la volonté d’un « toujours plus » qui n’a pas forcément les atours d’un « toujours mieux ». Nous y sommes. Et pas au mieux de notre forme, semble-t-il.

Nicolas Gauthier

Boulevard Voltaire

Une seule civilisation ?

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Selon le sociologue Raphaël Liogier, interviewé le 16 janvier par Libération, « il n’y a qu’une seule civilisation ».

Nous assisterions « au déploiement d’une civilisation globale », avec « ses tensions », certes, « ses disparités, ses conflits, des guerres hautement destructrices » mais cela n’a rien à voir avec « des guerres de civilisation ». Un grand penseur, ce philosophe.

Au CNRS, trois chercheurs ne se sont pas contentés de penser, ils ont enquêté. Auprès de 9.000 collégiens de 91 établissements des Bouches-du Rhône, de la 5e à la 3e, afin de mettre en lumière le lien qu’ils entretiennent avec « les institutions publiques et les pratiques sociales et culturelles, et les valeurs qui les tendent ». Et la partie « Athéisme, religion, laïcité » montre que, sur toutes les questions posées, entre musulmans et catholiques, c’est (si j’ose dire) un amour impossible.

Pour 83 % des élèves musulmans contre 22 % des catholiques, « la religion est importante et très importante ». En outre, 90,7 % des premiers en sont fiers, contre 49,4 % des seconds.

Plus préoccupant : 84,9 % des musulmans indiquent être fortement ou complètement d’accord avec l’affirmation « Il n’y a qu’une seule interprétation du texte sacré », contre 31,9 % chez les catholiques.

Ensuite, 71,8 % des musulmans « affirmés » (représentant 83 % de l’ensemble des musulmans) nient la théorie de l’évolution, contre 48,2 % des catholiques dits affirmés, lesquels représentent 22 % de l’ensemble. Quant aux musulmans dit « modérés », 39,5 % d’entre eux pensent que Dieu a créé les espèces vivantes, contre moins de 15 % des catholiques de la même catégorie.

Enfin, à propos de blasphème et de l’homosexualité, 91,2 % des musulmans modérés et affirmés réunis condamnent le premier, et 71,5 % estiment que les homosexuels « ne sont pas des gens comme les autres ». Contre respectivement 52,6 % et 40,3 % des catholiques du même panel.

Mieux : les catholiques affirmés sont plus tolérants envers l’homosexualité que les musulmans dit modérés…

N’en déplaise au sociologue susnommé, cette étude (résumée), sur un échantillon suffisamment grand pour être représentatif, confirme bel et bien un choc de civilisation. Elle démontre de façon éclatante l’intolérance de la religion musulmane. Elle en souligne sa vigueur et, surtout, son incompatibilité à respecter un État démocratique et laïque.

Alors, M. Liogier et tous les mabouls du multiculuralisme peuvent bien se moquer de « l’idée d’une civilisation assiégée » qui serait « plutôt caractéristique d’une Europe devenue fondamentaliste, c’est-à-dire en quête de son origine et de son hégémonie perdue ». Mais de quel côté se trouve donc le fondamentalisme quand 80,1 % des gamins musulmans âgés de 12 à 15 ans sont d’accord pour « appliquer rigoureusement tous les principes de la religion », alors que seuls 35,9 % des catholiques partagent ce point de vue ?

M. Liogier pourra continuer de se masturber intellectuellement en glosant sur la « légitime défense » à laquelle osent prétendre les peuples européens, une justification, selon lui, à la « stigmatisation de l’autre » et autres fadaises… Il n’empêche. La conclusion, à la lecture de cette enquête, est implacable : l’État nous mène tout droit à une guerre de civilisation. On s’en doutait, non ?

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

Le Conseil de l’Europe estime que la France est un pays « raciste »

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La Commission européenne contre le racisme et l’intolérance vient de publier un rapport incroyable sur la France.

Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, et à ce qu’avançait sur Challenges le journaliste Maurice Szafran, cette Commission ne dépend pas de la Commission européenne, ni même de l’Union européenne, mais du Conseil de l’Europe. Cette organisation supranationale, composée de 47 États membres, dispose d’un budget annuel d’un peu plus de 200 millions d’euros, destinés à assurer sa mission de « promotion des droits de l’homme » et de « lutte contre toutes les formes d’intolérance ».

Les « experts » du Conseil de l’Europe s’alarment de la « banalisation » des discours racistes en France. Problème : les résultats et la méthode interpellent. Thorbjørn Jagland, homme politique norvégien de gauche et secrétaire général du Conseil de l’Europe, a vertement interpellé la France : « Le discours de haine, de par sa banalisation dans la sphère publique, demeure un sujet de préoccupation. » Il a même attaqué directement les responsables politiques, les enjoignant à s’abstenir « de tenir des propos qui stigmatisent des groupes déjà vulnérables et attisent les tensions dans la société française ». Rien que ça !

Vivant en France depuis toujours, je ne reconnais pas mon pays dans le rapport du Conseil de l’Europe. Par ailleurs, je constate que le sujet du racisme anti-français, vécu par de nombreux Français, est soigneusement évité par ces « experts ». Le marxisme culturel a décrété que les Français endosseraient pour l’éternité le rôle peu enviable d’éternels oppresseurs. Les descendants des colons ne sauraient être victimes de l’intolérance des damnés de la terre, nous disent en substance les mondialistes du Conseil de l’Europe.

Quels faits sont expressément visés par la Commission européenne contre le racisme et l’intolérance ? Pêle-mêle : les propos de Marine Le Pen sur les prières de rue interdites en France, la progression supposée de l’homophobie depuis les manifestations pour tous, les « discriminations » faites aux mères voilées accompagnantes lors des sorties scolaires… La Commission estime, en outre, que la France a « une conception restrictive de la laïcité » qui peut entraîner des décisions « perçues comme sources de discrimination ». Les fameux experts saluent, en revanche, les efforts des autorités pour « endiguer le phénomène » des discours de haine sur Internet et les réseaux sociaux… Les visées liberticides de la Commission ne seront pas un mystère pour qui sait lire entre les lignes.

Le concept contestable d’ « islamophobie » traverse le rapport de part en part. La laïcité serait-elle donc « islamophobe » ? Les débats autour de l’islam seraient-ils automatiquement « islamophobes » ? L’interdiction du port du voile islamique dans les institutions publiques serait aussi « islamophobe » ? La Commission relève l’augmentation du nombre d’actes antisémites, mais ose-t-elle dire que cette augmentation résulte aussi de l’antisémitisme des quartiers, de l’antisémitisme de nature « islamo-racaille » ? Non, pas une seule fois !

Ce rapport hypocrite est une attaque masquée contre nos lois, nos mœurs et la façon de vivre à la française. La Commission contre le racisme et l’intolérance n’est qu’un organisme de promotion du multiculturalisme et du communautarisme. Les organisations supranationales deviennent des ennemies des nations, des identités et des cultures. Surtout les cultures européennes, ce qui est assez paradoxal pour une institution nommée « Conseil de l’Europe ».

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

Me Gabriel Versini : « Le risque, c’est la radicalité religieuse qui risque de gangréner nos institutions ».

Jeudi, le policier Sébastien Jallamion était jugé une nouvelle fois pour incitation à la haine, à la violence et à la discrimination en raison de l’appartenance à la religion musulmane. Sur une page Facebook, il avait posté des photos et des commentaires à la suite de la décapitation par des islamistes d’Hervé Gourdel en Algérie. Il avait été dénoncé par un collègue de travail.
Son avocat, Maître Versini, répond aux questions de Charlotte d’Ornellas.

Source : Boulevard Voltaire

 

En Suède, une loi destinée à répartir l’immigration dans l’ensemble du pays

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Une nouvelle loi entrée en vigueur le 1er mars exige légalement que toutes les communes du pays prennent des immigrants.

Cette nouvelle loi signifie qu’il serait illégal que des communes rejettent l’immigration.

L’Agence Suédoise des Migrations avaient précédemment laissé entendre qu’elle voulait envoyer vivre les immigrés dans les zones peuplées de suédois de souche, plutôt que dans celles déjà dotées de larges populations immigrées.

Cette loi était en projet depuis la fin 2014. L’objectif de cette loi est de s’assurer qu’aucune zone suédoise n’échapperait à la « diversité » en contrôlant le flux des immigrés vers certaines zones.

La Suède a une crise du logement (à cause de l’immigration de masse), et beaucoup de zones n’ont pas assez de maison pour les immigrants.

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Pour contourner ce « problème », le gouvernement suédois est prêt à payer aux propriétaires beaucoup d’argent s’ils convertissent leurs propriétés en « hébergement pour réfugiés » (…)

Source : Civil war in Europe

Libre circulation: accord entre la Suisse et la Croatie

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Le Conseil fédéral avait bloqué le texte après l'acceptation de l'initiative contre l'immigration de masse, déclenchant des mesures de rétorsion.

La Suisse et la Croatie signent vendredi matin à Bruxelles l'extension de l'accord sur la libre circulation des personnes.

Le Conseil fédéral avait bloqué le texte après l'acceptation de l'initiative contre l'immigration de masse, déclenchant des mesures de rétorsion.

Après la votation du 9 février 2014, le gouvernement estimait que la votation ne lui permettait plus de signer le protocole prévu avec Zagreb. L'UE avait réagi en suspendant la participation de la Suisse au programme européen de recherche Horizon 2020 et au programme européen d'échange d'étudiants Erasmus .

Le Conseil fédéral a débloqué les choses en annonçant qu'il respecterait la libre circulation même sans accord et verserait les 45 millions d'aide prévues à la Croatie. La Suisse a ainsi pu être partiellement réassociée aux programmes européens jusqu'à fin 2016.

Signé vendredi à Bruxelles par le secrétaire d'Etat aux migrations Mario Gattiker, l'accord doit être ratifié par le Parlement pour aboutir à la pleine réintégration helvétique aux programmes européens.

Dans le camp du Parlement

Mais encore faut-il que la solution retenue par le Parlement pour appliquer l'initiative contre l'immigration soit acceptable pour l'UE. Les Chambres fédérales devraient recevoir ce vendredi les propositions du gouvernement à ce sujet. Le National a déjà annoncé qu'il traiterait le volet croate lors de sa prochaine session spéciale, fin avril.

L'UDC s'y opposera au Parlement, mais ne lancera pas le référendum, a annoncé le président de l'UDC Toni Brunner sur les ondes de la RSR. Le parti avait combattu les précédentes extensions, mais il veut concentrer ses forces sur l'essentiel à ses yeux: l'application du nouvel article constitutionnel pour limiter l'immigration et l'accord sur la collaboration institutionnelle avec l'UE. «La Croatie est une bataille secondaire.»

L'enjeu du dossier européen chiffre en milliards de francs du côté de la recherche. Faute de solution solution définitive, la Suisse participera comme Etat tiers à l'ensemble du programme Horizon 2020. Cette situation a prévalu entre 1987 et 2003.

L'association partielle actuelle permet aux institutions suisses de participer aux projets, mais sans recevoir de financement européen. Du coup, la participation aux programmes de recherche 2014-2020 a a été divisée presque par deux par rapport à 2007-2013 et le nombre de projets coordonnés par la Suisse est en nette diminution.

Source : 24heures.ch

Mosquée de Tulle : le lieu de culte pourrait recevoir un nouveau soutien pour s’installer à Souilhac

La solution pourrait s'appeler UMF. L'Union des mosquées de France, à laquelle adhère l'association des musulmans de Tulle (AMT), pourrait aider cette dernière à acheter le bâtiment qui devrait accueillir le lieu de prière. « Nous avons récemment rencontré son président, Mohammed Moussaoui, qui a souhaité connaître notre projet suite à une demande que nous avions déposée en juillet dernier » explique Mimoun Akkaoui, président de l'AMT. « L'UMF tient une assemblée générale le 13 mars. S'ils nous apportent leur soutien, nous pourrons ainsi financer la totalité du projet (une transaction de 350.000 €) et déménager courant 2016 dans le bâtiment des Assedic. Avec toujours les mêmes principes : le vivre-ensemble et des portes ouvertes au public tulliste ». Un soutien à la fois financier et moral qui serait précieux pour les quelque 200 adhérents que compte l'AMT. Il faut dire que depuis plus d'un an, entre fausses rumeurs, refus de permis de construire, réunions publiques animées, acte malveillant et pétitions « pro » et « anti » diverses, le projet d'une nouvelle mosquée tulliste a connu bien des déboires. L'actuel lieu de culte musulman, jugé trop exigu et situé dans une zone dangereuse sur la route de Poissac, devait déménager dans un ancien local industriel aux Fontaines, sur la route de Naves. Une idée qui avait suscité des polémiques disproportionnées. Par souci de transparence, un débat ouvert au public avait été organisé et avait clos le premier volet de cette « saga » : le maire, Bernard Combes, avait à cette occasion annoncé le refus de permis de construire pour des raisons d'urbanisme et d'apaisement du voisinage. « La nécessité d'avoir un lieu de culte digne » Mais l'envie et la nécessité du vivre-ensemble a ensuite conduit vers une autre solution : installer le lieu de prière dans le bâtiment des Assedic, rue Pauphile, dans le quartier de souilhac. Même si des tensions sont, peut-être toujours présentes (certains craignent une « remise en cause de l'équilibre social du quartier déjà fragile »), Mimoun Akkaoui tient à rappeler l'importance de cette démarche : « C'est une nécessité d'avoir un lieu de culte digne. De plus, une des priorités de notre prophète est le respect du voisinage, c'est donc quelque chose qui nous tient à cœur. En tant que membres de l'association, nous veillerons aussi au stationnement : nous vérifierons que tout le monde soit garé correctement lors des venues au lieu de prière ». Mohammed Moussaoui, membre du conseil Français du culte musulman depuis 2003, est donc venu récemment à la rencontre des musulmans tullistes. « L'UMF est un réseau fédérateur de près de 650 mosquées » a précisé Mimoun Akkaoui. Cette organisation a pour mission, entre autres, de veiller au bon fonctionnement des instances représentatives du culte musulman, de favoriser le partage d'informations entre mosquées et la formation des imams.

Source : France actualités

Crèche de Beaucaire : la LDH cite le maire au tribunal administratif…

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Révélée aujourd’hui par nos confrères et amis du Salon Beige, ce communiqué du 2 mars de Julien Sanchez, maire de Beaucaire, traîné devant le Tribunal administratif de Nîmes par la Ligue des droits de l’homme (LDH) pour la crèche provençale installée en mairie pour Noël 2015. Le maire avait déjà été attaqué en décembre 2014 pour le même fait anodin, mais il n’avait pas calé . Je vous invite à manifester votre soutien à ce maire courageux et défenseur du patrimoine provençal en adressant votre courriel de sympathie ici : com@beaucaire.fr

Daniel Hamiche

Source : christianophobie.fr

Une deuxième mosquée en projet à Bagatelle

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C'est un espace encore vert et seulement utilisé par quelques promeneurs avec leurs chiens, entre rocade et rue du Lot. La place de la Réunion se greffe sur la tortueuse rue du Cher. Sur ce terrain encore vide, il y avait autrefois une barre d'immeubles, détruite pour la réhabilitation du quartier à la grande satisfaction des habitants. Ce morceau de Bagatelle est en effet ouvert sur la Cépière, avec de nouveaux immeubles et habitants, une transformation destinée à favoriser mixité sociale, avec à la fois des copropriétaires et des locataires HLM.

Un panneau au milieu de la place annonce la construction sur ce terrain de 3 892 m2 de superficie d'une mosquée de 14 m de haut sur 1 296 m2 de plancher. Le permis de construire en date du 26 janvier 2016 a pour bénéficiaire l'association Al Rahma, qui s'occupe actuellement de la mosquée de la Faourette depuis 29 ans. Un lieu de prière exigu, 350 m2 au 59, rue de la Faourette pour 900 fidèles le vendredi, et 1 200 fidèles revendiqués au total. Un premier projet pour une mosquée mieux dimensionnée avait été validé par l'équipe municipale précédente rue Jules Amilhau, retoqué par la municipalité actuelle car jugé trop enclavé et trop proche du marché du vendredi ce qui faisait craindre des problèmes de circulation et de stationnement.

«Le terrain de la place de la réunion présente l'avantage d'être plus vaste et moins enclavé, avec possibilité de stationnement sur le terrain même, autour de la mosquée future», indique Daniel Rougé, adjoint au maire en charge de la laïcité et des cultes. «Le terrain a été cédé par la mairie à l'association au prix des Domaines, le permis de construire est en cours d'instruction, une délibération doit être présentée au prochain conseil municipal, le 18 mars. L'accès sera possible depuis la Faourette grâce au bus 3, l'arrêt «Cher» étant à 150 m à pied». Dans le voisinage, certains se sont inquiétés de l'apparition de ce panneau, évoquant un projet précédent de jardins partagés ou craignant pour la circulation, le calme et la mixité sociale et culturelle du secteur, fort appréciés. «La place doit avoir une mixité d'usage, il n'y aura pas que la mosquée», note Daniel Rougé.

On notera que cette future mosquée constituerait un deuxième lieu de culte musulman dans le quartier de Bagatelle, puisqu'il existe depuis 5 ans une salle de prières dite «mosquée du Repentir», située dans une maison et un garage donnant à la fois chemin de Bagatelle et rue du Vivarais. Celle-ci, liée à l'association CTSM, a été agrandie en 2012 et revendique 400 fidèles le vendredi. «Les conditions d'accueil et de sécurité n'y sont pas idéales pour les fidèles», relève Daniel Rougé, qui estime que ce lieu «n'a pas le caractère officiel de la mosquée de la Faourette».

Près de 32.000 migrants et réfugiés se trouvent en ce moment en Grèce, selon le ministre grec de la Défense

Le nombre de réfugiés et migrants à travers la Grèce a atteint près de 32.000 personnes, a indiqué jeudi le ministre adjoint de la Défense, Dimitres Vitsas. 

"Il y a actuellement dans les îles de la mer Egée 6.857 réfugiés" [arrivés des proches côtes turques] et "en Grèce continentale 24.985", a précisé Dimitres Vitsas lors d'une conférence de presse conjointe avec le ministre chargé de la politique d'immigration Yannis Mouzalas sur la gestion de la crise migratoire.

La situation est surtout grave à la frontière nord de la Grèce avec la Macédoine où plus de 11.500 personnes attendent de traverser la frontière pour rejoindre les pays de l'Europe du nord, selon la police de la région.

Le Premier ministre Alexis Tsipras doit annoncer vendredi "le plan" détaillé du pays sur la gestion des migrants, après une réunion prévue avec les dirigeants de tous les partis politiques du pays.

Source : L'obs

Sacré Georges !

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L’on rappelait récemment le roman, fait de fiction, mais prémonitoire, de Jean Raspail en 1974, «Le camp des Saints», faisant état de la disparition de notre population par submersion migratoire. Quotidiennement, de la «jungle» de Calais aux flux déferlant sur l’Europe, l’information nous éclaire sur le problème, de plus en plus aigu, des migrants et l’absence de véritable solution. Dans la fuite en avant eurobéate et immigrationniste, quelques députés présents ont voté ces jours derniers une nouvelle loi sur les droits des étrangers, qui rend définitivement illusoire la maîtrise de l’immigration. Puisqu’en France plus personne ne se risque à froisser un électorat « exotique », il s’agit de transformer l’actuel système, déjà guère dissuasif pour les immigrés entrés clandestinement, en une procédure plus laxiste renforçant leurs droits. La carte de séjour pluriannuelle de quatre ans serait obtenue au bout d’un an de présence, la rétention administrative d’un clandestin serait réduite à 48 heures au lieu de six jours, le juge des libertés pouvant ainsi arguer d’un temps trop court pour organiser le retour au pays d’origine, etc. L’Etat, toujours moins exigeant avec les nouveaux arrivés, illégaux et toujours plus nombreux, s’acheminerait vers la dissolution du peuple français qu’il ne s’y prendrait pas autrement.

La semaine dernière, en Allemagne, Manuel Valls a déclaré : «Nous ne pouvons accueillir plus de réfugiés !». Mais quand la compétence prétendue se limite à la glose télévisuelle, c’est-à-dire à rien, autant se taire. Se diffuse en boucle la soporifique bienséance du langage lissé du  «politiquement correct» et du «vivre ensemble». Ce gouvernement a un sérieux problème avec les questions identitaires. A gauche, évidemment, on s’imagine que tous ces immigrants deviendront des électeurs intéressants dans le futur, mais en même temps l’on perd le support de la gauche traditionnelle : il ne faut pas s’étonner que l’on trouve des CGTistes au FN ! Et quand François Hollande pérore sur Canal+ : «Mme Le Pen parle comme un tract du Parti Communiste des années 70», il ne faut pas s’étonner que ses alliés communistes regimbent et demandent des excuses. Pense-t-il aussi que son record de mensonges de la campagne de 2012 pourrait avoir des responsabilités dans le glissement vers le FN d’électeurs de gauche dépités ? Diable ! «Un tract du PC des années 70» ? Vous vous souvenez de Georges Marchais ? «Les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître !» comme dit le refrain. L’on sait la faculté d’oubli des générations. Ce Secrétaire fédéral du Parti Communiste Français et candidat aux Présidentielles réclamait le 6 janvier 1981, dans un discours remarqué, des mesures radicales contre l’immigration, perçue comme nuisible aux droits et aux conditions des travailleurs : «En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et membres de leur famille, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut stopper l’immigration officielle et clandestine !… Dans la crise actuelle, l’immigration constitue pour les patrons et le gouvernement un moyen d’aggraver le chômage, les bas salaires, les mauvaises conditions de travail, la répression envers les travailleurs.» Cette vision de l’immigration est radicale : elle rend responsables du chômage les travailleurs immigrés ! Et de poursuivre : «C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage !…» Un discours d’il y a 35 ans, le PC était alors avec le PS dans l’Union de la gauche. Et l’on croirait entendre le FN ! Depuis, le PC – ou ce qu’il en reste – s’est converti à l’immigrationnisme doublé d’un clientélisme islamique de son allié PS. La clientèle prolétaire de l’extrême gauche s’étant réduite comme peau de chagrin, il fallait lui en trouver une autre, tant pis si cela nécessitait de retourner sa veste. Alors, Georges Marchais ? On le traiterait aujourd’hui de raciste, d’islamophobe, de révisionniste, et pourquoi pas de nazi ?

Imposer au peuple une immigration qu’il ne veut pas note l’échec de l’intégration, et légiférer à la hâte pour faire taire toute contestation sur ce sujet tabou, telle est la politique menée. Il faudrait que les immigrants aient envie de s’intégrer à la nation française, ce qui ne semble plus être le cas comme ce le fut dans les années 1920 et 1930, avec, certes, des immigrants d’origine européenne de même culture gréco-latine et judéo-chrétienne, soucieux de s’intégrer sans aucune revendication de communautarisme. Que le modèle français ne soit pas attractif seulement par ses couvertures sociales, ses droits sans obligations mais par les devoirs qui en sont le corollaire.

Outre les nouvelles dispositions scélérates, votées en catimini par l’Assemblée, le plus incroyable est le silence qui les entoure. Personne pour relayer, personne pour commenter, personne pour condamner… Alors, on saupoudre les campagnes de migrants, à Lacaune par exemple, comme on cache la poussière sous le tapis. Et puis, pourquoi l’Europe et l’Europe seule ? Le tiers-monde est invité à venir chez nous et à se servir. Bon… Il reste la Patagonie sous-peuplée où ils pourraient aller et construire un monde meilleur, mais curieusement ils ne sont pas attirés par cette région du monde…

Pierre Nespoulous

Source : La semaine de Castres

Clermont-Ferrand (63) : la conférence de Bernard Lugan attaquée avec des barres de fer

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Le jeudi 3 mars 2016, à la Faculté de droit de Clermont-Ferrand, et à l’invitation de l’Alliance française, Bernard Lugan devait prononcer une conférence ayant pour thème la Déstabilisation de la Libye, suivie d’une séance de dédicaces de son dernier livre Histoire et géopolitique de la Libye.

Un comité « antifasciste » se réclamant du très actuel « communisme maoïste » ayant appelé à manifester contre la venue du conférencier, Madame le doyen de la faculté, en place d’un solide et salutaire éclat de rire, décida, avec la force de caractère propre à nombre d’universitaires français, d’annuler purement et simplement cette conférence ; qui plus est, au dernier moment. Plus encore, Madame le doyen rendit directement compte aux commissaires politiques qui lui avaient dicté leurs ordres au moyen de l’insolite message facebook suivant :
Indignés de la mise en dhimmitude de leur doyen par une poignée d’énergumènes pensant encore vivre à l’époque du « petit livre rouge », et face à la démission de la bourgeoise Alliance française, les étudiants de Clermont-Ferrand réussirent, dans l’urgence, à louer une salle en ville. La conférence s’est donc tenue quasiment à l’heure prévue, devant un public très nombreux et particulièrement enthousiaste.

Dépités par leur échec, armés de barres de fer, de planches à clous et lançant des pavés, les gentils et doux démocrates du comité « antifasciste » tentèrent alors d’attaquer l’hôtel qui abritait la réunion. Mal leur en a pris après que, spontanément sortis de la salle, des participants les eurent virilement chargés et copieusement corrigés. Pour les trente ou quarante héritiers de Mao Tsé Toung qui avaient tenté l’aventure, la soirée se termina piteusement, par une « longue marche » en forme de fuite panique à travers les rues humides de la cité arverne…

Cette lamentable affaire met certes en évidence la grande faiblesse de Madame le doyen de la faculté de droit de Clermont-Ferrand, mais elle illustre d’abord la superbe capacité de réaction de ses étudiants. Qu’on se le dise !

Bernard Lugan

Source : Fdesouche

Les maires et députés Républicains des Hauts-de-Seine aident les mosquées.

Interview du 2 mars 2016 avec la fédération Front National des Hauts-de-Seine, faisant un remarquable travail d’opposition contre les terrains municipaux mis à disposition des musulmans à Courbevoie, Clichy, Suresnes, par des maires Les Républicains (LR). Le député-maire de Courbevoie est Jacques Kossowski qui met à disposition 680 m2 du foncier municipal pour une mosquée radicale proche des Frères Musulmans. Le maire de Suresnes est Christian Dupuy qui a acheté un terrain pour 977 000 euros, en le viabilisant et effectuant le gros oeuvre, pour ensuite le louer aux musulmans. Enfin, à Clichy-la-Garenne, le maire Rémi Muzeau, proche de Bruno Lemaire, a mis à disposition un terrain communal pour la prochaine mosquée contre un loyer. A Rueil-Malmaison le député LR Patrick Ollier met à disposition les bus de la mairie pour les musulmans, prend à sa charge les travaux des bureaux de l’association musulmane, et prête le gymnase municipal pour les fêtes islamiques.

islamisation.fr

L’immigration, source des préoccupations

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Les temps changent. Et les préoccupations des Français aussi. Depuis une décennie, le chômage trustait à la place de numéro 1 dans les préoccupations des Français. Ce n’est plus le cas. Selon un sondage Eurobaromètre publié le 29 février, l’immigration est passée en tête des préoccupations. Cette enquête, réalisée en France en novembre dernier par l’Institut TNS Sofres pour la Commission européenne, place l’immigration devant le terrorisme (27 %), la situation économique (22 %) et le chômage (22 %). Un classement à nuancer dans la mesure où la plupart des personnes interviewées l’ont été avant les attentats de Paris du 13 novembre.

Une solution venue d’Europe ?

 Bruxelles doit réagir et agir car l’immigration est un problème européen. C’est en tout cas l’avis de 49  % des Français interrogés. Pour près de deux Français sur trois (64 %), Bruxelles doit mettre en place une politique européenne commune de l’immigration. Néanmoins, 27 % se disent opposés à une gestion européenne en la matière. Les classes supérieures (92 %) et les sympathisants de gauche (81 %) sont parmi les plus grands soutiens d’une réponse européenne. À l’inverse, la classe ouvrière (35 %) et les sympathisants de droite (58 %) sont plus réticents à cette idée.

Bienvenue chez nous… sous conditions

 L’origine des migrants est un facteur décisif. Oui à l’immigration des Européens. C’est en substance ce que dit le sondage. En effet, 51 % des Français acceptent une immigration de personnes venant de pays européens. À l’inverse, moins d’un tiers voit positivement la venue de migrants extérieurs à l’Union européenne. L’Eurobaromètre de l’automne 2015 met en lumière des sentiments comparables. Les Européens sont légèrement favorables à l’immigration intracommunautaire (55 %) : ce sentiment positif est partagé dans 23 pays sur les 28. Pour 38 % des Européens interrogés, cette immigration est tout de même vue de manière négative. C’est en Suède (80 %), au Luxembourg (77 %) et en Finlande (74 %) que les réponses positives sont les plus nombreuses. Par contre, l’immigration extracommunautaire rencontre des taux de réponses négatives dans 25 pays de l’Union européenne. C’est en Slovaquie et en Lettonie (86 %), puis en Hongrie (82 %) et en République Tchèque (81 %) que le rejet est le plus fort. La Suède (70 %), l’Espagne (53 %) et l’Irlande (49 %) se montrent les plus accueillants, tout du moins dans ce sondage. À noter : les opinions négatives ont progressé dans 18 pays depuis le printemps 2015. L’émotion suscitée par la mort d’Aylan passée, l’immigration est désormais la principale préoccupation des Européens.

Stéphanie Demandrille

Actumag

Colloque à Paris le samedi 19 mars

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Marion Sigaut et Claire Séverac viendront y dédicacer leurs livres

19 mars 2016 après-midi au Forum de Grenelle, colloque sur le thème :
De la guerre au Proche-Orient à l’immigration et au terrorisme en Europe

avec notamment

Introduction (Roberto Fiore, ancien député européen)

. “Le plan mondialiste de remodelage des frontières du Moyen-Orient” (Pierre Hillard, géopolitologue, ancien professeur en relations internationales)

. “Ce que nous vivons en Syrie aujourd’hui” (Mère Agnès-Mariam de la Croix, supérieure du monastère de Qara en Syrie)

. “L’étincelle libanaise” (Elie Hatem, avocat à la Cour, docteur en droit et chargé d’enseignement à la Faculté Libre de Droit, d’Economie et de Gestion de Paris)

. “Le rôle du wahhabisme” (Jean-Michel Vernochet, journaliste et géopolitologue)

. "Le terrorisme : instrument du Choc des civilisations au service du sionisme" (Youssef Hindi, écrivain et historien marocain)

“L’engagement russe contre le terrorisme” (Alexandre Marchenko, Conseiller de l'Ambassade de la Fédération de Russie en France)

. “Chaos au Proche-Orient et en Europe Les responsabilités du gouvernement français” (Damien Viguier, avocat aux barreaux de l’Ain et de Genève, docteur en droit privé et sciences criminelles, chargé d’enseignement à l’université)

. “Les conséquences migratoires” (Jean-Marie Le Pen, député européen)

Conclusion (Alain Escada, président de Civitas)


+ Stands de livres et séances de dédicaces

Calais : Le Grand Orient fait un don de 50 000 euros aux migrants

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Le Grand Orient de France, principale obédience maçonnique du pays,a annoncé sur son site avoir fait un don de 50 000 euros, via sa fondation, aux immigrés de Calais.

Le chèque a été remis le 23 janvier dernier par Daniel Keller, président de la fondation du GODF, à Alain Duconseil, représentant l’association « La vie active », à l’occasion de la conférence « Accueil en Fraternité, les migrants » en présence de Natacha Bouchart, Maire de Calais…

Nouvelle preuve, s’il en était besoin, de l’implication des organisations maçonniques dans l’invasion migratoire que subit notre pays et tout particulièrement la ville de Calais : les autres avant les nôtres, tel est leur crédo !

La Dissidence Française dénonce cette indécence et cette préférence étrangère, à l’heure où des milliers de nos compatriotes crèvent dans la rue et le froid dans l’indifférence générale. Cela ne restera pas sans conséquences.

Source : La dissidence

Migrants. Les contrôles aux frontières prolongés d'un mois au Danemark

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Le Danemark a décidé jeudi de prolonger de trente jours, jusqu'au 3 avril, ses contrôles aux frontières, annonce la ministre de l'Immigration Inger Støjberg.

Les contrôles ont été rétablis le 4 janvier dernier en réaction à des mesures similaires prises par la Suède voisine pour freiner l'afflux de migrants et réfugiés en provenance d'Afrique et du Proche-Orient.

« Le gouvernement danois reste convaincu que les contrôles danois aux frontières n'excédent pas le strict nécessaire face à cette situation », écrit la ministre dans une lettre adressée au commissaire européen aux Migrations, Dimitris Avramopoulos.
 

Strasbourg : Condamné à 25 reprises, Mickael Habib dépouille un malade pendant son hospitalisation

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Un homme bien connu de la justice comparaissait devant mardi devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour avoir volé un patient durant la nuit pendant son hospitalisation…

Il a profité de la nuit et de son hospitalisation au service de neurochirurgie du CHU de Hautepierre pour voler un malade durant son sommeil. Alors qu’il était toujours pris en charge par l’établissement, un homme, âgé de 35 ans, a fouillé le sac et le pantalon de sa victime et lui a dérobé la somme de 170 euros, rapportent les Dernières Nouvelles d’Alsace.

L’individu, déjà condamné à vingt-cinq reprises sous une quinzaine d’identités différentes, a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Strasbourg à cinq mois d’emprisonnement ferme, avec maintien en détention.

Source : islamisme.fr

Pour l'association Entraide solidarité, Martial Roudier s'est rendu à Calais pour rencontrer les familles des inculpés

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Il nous raconte son séjour à Calais :

Quand vous débarquez dans une région différente de la vôtre, les « locaux » ont à cœur de vous faire découvrir les particularités locales, bâtiments historiques, bonnes tables… À Calais, la première chose qu’on vous fait visiter c’est la Jungle ! Ambiance surréaliste : des grillages recouverts de barbelés, des camions de CRS à chaque carrefour, des gyrophares bleus dans la nuit, un no man’s land de 80 mètres de large établi au bulldozer entourant les habitats de fortune des « migrants », des hordes de clandestins déferlant dans les rues de Calais où un couvre feu pèse sur les habitants…

La première soirée est consacrée à de la veille internet et à de la surveillance des événements liés aux migrants. « Est ce que ça bouge ? » Tout le monde est prêt à se déplacer pour faire de la vidéo afin de témoigner de la réalité. Le gouvernement souhaiterait que personne ne sache ce qui se passe mais aujourd’hui la lutte passe par les réseaux sociaux. Chaque femme se soutient moralement en attendant le retour des « maris ».

Samedi matin, Séverine reçoit une lettre de Christophe, incarcéré depuis plus de 15 jours et me la lit avec beaucoup d’émotion dans la voix. C’est la première fois que ces familles sont confrontées au monde carcéral et elles sont désemparées. Je sais que cette situation ne va pas durer, puisqu’il n’y a aucun élément dans le dossier et je tente de la rassurer. C’est une femme forte.

Christophe lui raconte sa petite vie de « taulard ». Ça se passe bien pour lui car il n’est pas considéré comme un « vrai délinquant » par les matons. Il est seul en cellule mais a dû montrer qu’il ne se laisserait pas faire aux autres détenus qui ont tenté de lui « mettre la pression ». Heureusement pour lui, c’est un grand gaillard qui impose naturellement le respect.

Espérons que ça se passe bien pour les autres gars, dispersés dans 6 maisons d’arrêt différentes.

Dans le jardin un drapeau français flotte bravement.

J’apprends qu’il y a eu des blessures importantes pendant l’interpellation. Christophe a 2 côtes cassées, Stéphane en a 3 plus un œil tuméfié. Son fils, Jefferson a un traumatisme important au niveau du tympan. Les jours d’ITT sont nombreux. Tous ont des blessures un peu partout suite à un tabassage en règle alors qu’ils s’étaient laissés arrêter et qu’ils étaient menottés au sol.

J’apprends également que le Parquet a obligé les inculpés à prendre un avocat chacun au motif que leurs déclarations étaient contradictoires. C’est bien la première fois que j’entends parler de ce genre de choses !

Dans l’après-midi je rencontre les familles des personnes incarcérées. Les femmes sont angoissées et les enfants sont maintenus dans une ignorance du sort de leur papa. Alice, 14 ans, n’est pas dupe et sait très bien que quelque chose de pas normal est en train de se passer. Nous mangeons les gâteaux que j’ai aidé à préparer le matin avec la femme de Christophe, le soi-disant « meneur ». J’ai hâte de le rencontrer, il a l’air de quelqu’un de bien. Il fait partie des « Voisins Vigilants » et est une figure de son quartier: bricoleur, serviable…

Corinne la femme de Nino ne peut pas se joindre à nous car elle habite loin et la police a placé les véhicules de nos patriotes sous scellés. Elle ne peut pas se déplacer…

15 jours après l’incarcération, personne n’a encore d’autorisation de parloir.

Je transmets un chèque de 250€ à chacun de la part d’Entraide Solidarité pour que les détenus puissent cantiner le minimum nécessaire pour le premier mois.

J’explique que la situation ne peut pas s’éterniser puisque le dossier est vide. Lorsqu’elles partent, les familles me remercient pour le geste et le soutien et semblent rassurées quant à la suite des événements.

Bien évidement je n’ai pas résisté à la tentation de me rendre à l’intérieur de la « Jungle ». C’est réellement impressionnant. J’y ai vu des magasins, des restaurants, des centres de soins, un homme se faisant soigner une dent sur un banc. J’ai assisté à une distribution de nourriture. Je ne me sentais pas trop en insécurité car il y avait beaucoup d’européens. Ces derniers font partie des « bénévoles » des nombreuses associations qui travaillent à l’intérieur de la Jungle. Beaucoup d’anglais parmi ces derniers. C’est d’ailleurs l’anglais qui est la langue commune ici. Ce sont ces bénévoles blancs qui ramassent les déchets que les migrants laissent partout. Je ne peux m’empêcher d’imaginer l’état de la Jungle et les problèmes d’hygiène si ces bénévoles ne s’occupaient pas de la propreté des lieux. Mais ça fait un choc !

Stéphane a pu sortir suite à un appel sur la décision de placement en détention. Entraide Solidarité lui a proposé de changer d’avocat car son « commis d’office » était favorable aux migrants, on ne sait jamais. Ce matin c’est au tour de Jefferson de quitter les murs de sa maison d’arrêt. Signe que l’affaire commence à se dégonfler, mais c’est surtout grâce au travail des avocats et à la mobilisation de tous !

Je repars de Calais avec l’assurance que les familles restent soudées et tiennent le choc. Il faut maintenant travailler la « Justice » au corps pour qu’elle relâche les 5 autres gars, que l’ensemble des 7 soient relaxés et que nous arrivions à faire condamner les policiers auteurs du passage à tabac! Rude boulot…

Vous pouvez aider Entraide solidarité en cliquant ici ou par chèque en précisant « soutien aux 7 de Calais » au dos à : Entraide Solidarité - BP4-7187 - 30914 Nîmes Cedex

Source : Synthèse Nationale

Libérons Calais, protégeons les Français, refusons la colonisation de la France et de L’Europe

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Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

Depuis plusieurs jours, le gouvernement envoie les forces de l'ordre afin de démanteler une partie de la Jungle de Calais.

Un démantèlement bien évidemment émaillé de violences à l’encontre des forces de l'ordre, des riverains et des automobilistes commises par des hordes déchaînées dont très peu des auteurs sont arrêtés.

Libérons Calais, protégeons les Français, refusons la colonisation de la France et de l’Europe !
Mais derrière cette opération se cache avant tout une immense imposture ; une partie de la Jungle de Calais va être fermée, mais pour mieux la répartir sur l'ensemble du territoire français. Ces délinquants migratoires que le peuple français n'a pas invités ici, arrivent désormais en bus dans les Centres d'Accueil et d'Orientation dans toutes nos régions. Ils n'en repartiront plus, la France ne pratiquant plus d'expulsions dans leur cas.

Le Parti de la France souhaiterait que les sans domicile fixe français livrés à eux-mêmes dans nos rues puissent bénéficier des mêmes attentions humanitaires de la part du gouvernement socialiste et que le ministre de l’intérieur puisse leur offrir, à eux aussi, la garantie d’un logement et d’une régularisation sociale.

Le Parti de la France réclame non seulement le démantèlement total et immédiat de la Jungle de Calais, mais aussi l'expulsion de la totalité des clandestins présents sur notre territoire national.

Pour se faire, la France se doit d'avoir le courage de rompre avec l’ensemble des politiques qui font systématiquement basculer les procédures administratives en faveur des clandestins.
Elle doit ensuite mettre sa flotte aérienne en situation de pouvoir expulser tous ces individus hors des frontières de l'Europe, sauf menace réelle et prouvée dans leur pays d’origine pour les demandeurs d'asile potentiels.

La France doit enfin engager une partie de son armée aux frontières maritimes de l’Union européenne afin de nous protéger contre l’arrivée massive et quotidienne de clandestins. Un dialogue et un travail doivent être menés conjointement avec le groupe de Visegrad qui s'est montré efficace dans la lutte contre l'immigration sauvage.

Le temps est venu de tourner le dos à la démagogie pseudo humanitariste et aux politiques immigrationistes qui sont mortelles pour l’identité, la sécurité et les libertés des peuples d’Europe. L'heure est au déploiement de forces capables de protéger nos patries d’Europe du danger de la colonisation migratoire et de la submersion étrangère.

Libérons Calais, protégeons les Français, refusons la colonisation de la France et de l’Europe !

Source : Synthèse Nationale

La Jungle aux alouettes de Calais

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"Ces migrants, certains de ce qu’ils voulaient quitter, mais tragiquement trompés sur ce qu’ils ont trouvés !"

L’immigration extra-européenne est redevenue, si tant est qu’elle n’a jamais cessée de l’être, le problème majeur de notre continent depuis l’arrivée massive d’un million de migrants en 2015… Tous ceux qui tentaient jusqu’alors de minimiser le problème migratoire ou encore de le fantasmer comme une « chance » pour son avenir ont perdu toute crédibilité… ou font face à de sévères contestations jusque dans leur propre camp politique à l’image de la chancelière allemande Angela Merkel…

À l’exception de groupes extrémistes reconvertis dans la manipulation des migrants, la quasi-totalité des responsables politiques est aujourd’hui unanime à vouloir endiguer les flots migratoires à venir… sans toutefois proposer quoi que ce soit de concret pour cela.

Et si, pourtant, nous allions assister au tarissement de l’invasion migratoire dans les années à venir ? Non par l’inaction affichée des dirigeants de l’Union européenne, mais parce que les candidats potentiels à l’immigration prenaient conscience de l’imposture de cet Eldorado européen dans lequel on les a encouragés à croire ? Et renonçaient eux-mêmes dans le futur à abandonner leurs pays d’origine ?

Ce qui peut apparaître comme un vœu pieu pour beaucoup est peut-être toutefois en passe de devenir une réalité grâce au cauchemar humain baptisé – jusqu’au lundi 29 février 2016, premier jour de son éradication – la « jungle de Calais ».

L’Europe, pire que l’Afghanistan des Talibans ? Pire que la Syrie en guerre ? Pire que l’esclavage avéré au Quatar ? Pire que les petits boulots au Koweit ?

Edouard de Mareschal a recueilli pour Le Figaro des témoignages édifiants de migrants avant et pendant le démantèlement de ce no man’s land de violences et de désespérance… Au-delà des jugements lapidaires – « On est traités comme des animaux », « J’ai perdu une année de ma vie dans cette foutue jungle » –, on découvre ainsi l’autre réalité de ces demandeurs d’asile pour beaucoup économiques… et pour beaucoup sans illusion aucune désormais sur une vie meilleur en Occident qu’en Orient.

Tous savaient ce qu’ils voulaient quitter, mais ont été tragiquement sur trompés ce qu’ils ont trouvé !

Ainsi Hussein, syrien d’Homs, photographié dans une caravane, qui reconnaît qu’il avait un travail au Koweit où il envisage de retourner, n’ayant pas découvert la fortune espérée en Europe… ou encore cet Afghan, Nasarat, qui « préfère encore retourner dans (son) village, malgré les talibans… »

Si l’enfer est pavé de bonnes intentions, les tragédies peuvent parfois arracher des sourires ironiques lorsqu’on apprend que l’Europe est mauvais pour la santé grâce à l’aveu d’Amarkhan, Afghan de 24 ans, qui n’aura trouvé ni éducation, ni maison, ni travail, mais une addiction à l’alcool et au tabac : « Aujourd’hui, je fume un paquet par jour ». Vu le prix du tabac en incessante augmentation, on ne peut que compatir… tout en se demandant tout de même comment il a pu assurer financièrement sa consommation ; gageons qu’il est préférable de l’ignorer pour ne pas heurter les esprits trop sensibles !

Les cas cités par le journaliste du Figaro ne semblent pas être exceptionnels, comme le confirme le directeur de l’OFII (L’Office français de l’immigration et de l’intégration) ; les dossiers d’aide au retour sont en progression et « c’est un mouvement qui s’observe dans plusieurs pays d’Europe… »

Ces dossiers concernent des Afghans (à 75 %), des Pakistanais, des Iraniens et des Soudanais, pays sans guerre civile, à ce qu’on sache (en tout cas depuis 2005 en ce qui concerne le Soudan).

La jungle de Calais, monstruosité humanitaire, ce que personne ne songe à contester, aura-t-elle permis une prise de conscience, à la fois par les Européens – car images désastreuses et témoignages poignants des riverains autant que des clandestins ont été largement diffusés à travers le continent – mais surtout par les éventuels candidats à l’immigration : il est à espérer que ceux qui retourneront chez eux rapporteront ce qu’ils ont vécus… évitant ainsi à leurs compatriotes les mêmes tourments.

L’Eldorado européen apparaîtra-t-il désormais comme ce qu’il est, soit un miroir aux alouettes, aux yeux des populations du tiers-monde ? Et celles-ci décideront-elles enfin de prendre leur destin en main… plutôt que de tendre celle-ci comme certains manipulateurs sans scrupules, les ont incités à faire pour leur plus grand malheur et le nôtre ?

La chronique de Philippe Randa

Source : Synthèse Nationale

Le métissage universel : avenir ou cauchemar de l’humanité ?

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Deux constatations de départ : les races existent au sein de l’espèce Homo sapiens sapiens ; on a publié en Europe, depuis la fin du XIXe siècle - et bien avant que le métis Richard Coudenhove-Kalergi ne débute son apostolat, dans les années 1920 sq. -, un nombre effarant de livres vantant les qualités du métissage, généralement écrits par des individus provenant d’une race imaginaire, auto-proclamée élue de la divinité pour diriger le troupeau humain et où l’on pratique rituellement l’endogamie.

Le racisme ne peut en aucun cas être la conséquence de la subdivision de l’humanité en quatre grandes races fondamentales (blanche ou caucasienne, qu’on ferait mieux de dénommer européenne ; noire ou africaine ; asiatique et mélanésienne) avec une multitude de sous-variantes, liées aux produits de métissage, car la réalité de ce phénomène est aussi vieille que la pré-humanité… la génétique nous a fait connaître des métissages entre Homo sapiens neandert(h)alensis et Homo sapiens sapiens ou entre Homo sapiens sapiens et Homo sapiens denisoviensis.

Le racisme est une vue de l’esprit parfaitement stupide, puisque l’on trouve des surdoués et des crétins dans chacune des races fondamentales et dans leurs sous-variantes. Un seul surdoué suffit à mettre fin à la notion de race inférieure et une poignée de crétins à celle de race supérieure. Nous autres, Européens, avons hébergé au sein de notre groupe ethnique tellement de marxistes ces dernières 150 années que nous pouvons abandonner définitivement tout sentiment indu de supériorité.

À ce propos, si l’on considère l’effarante surreprésentation de membres de la soi-disant race élue d’un certain Yahvé dans les milieux marxistes, où l’on fut directement responsable de la mort de 100 à 120 millions d’êtres humains et d’au moins deux milliards de vies irrémédiablement gâchées, l’on peut imaginer que se fera jour très prochainement, de ce côté-là, une certaine repentance avec excuses publiques adressées à l’humanité souffrante.

Des années 1890 à nos jours, de Jakob Novicow aux immortels théoriciens de la « pureté [raciale] dangereuse » et de la « panmixie », a-t-on assez vanté les charmes et les bienfaits du métissage universel !

Or, il existe depuis ses origines un continent peuplé des races différentes qui ont donné naissance à toutes les variantes possibles de métis : les Trois Amériques, peuplées lors de la dernière glaciation, à la fois d’Européens de l’Est (des Sibériens et des Aïnos) et d’Asiates (Lapons et Mongoloïdes), les Européens d’Occident apportant ensuite un nouveau contingent de Blancs en plus des malheureuses victimes de la Traite négrière.

Chacun connaît les bienfaits du melting pot nord-américain et brésilien : émeutes raciales et flamboiement de racismes, en ville et aux champs, en prison comme dans les forces armées. Les deux mandats du métis Obama ont apporté, comme nul n’en ignore, paix et prospérité non seulement aux libres citoyens des USA, mais aussi au monde occidental et aux pays d’islam. Encore deux ou trois métis surdoués comme lui à la tête des USA et nous serons délivrés pour quelques siècles de la domination fort pesante de ce pays trop grand et trop riche pour la tranquillité du reste de la planète.

Un Européen qui a goûté, depuis ces quarante dernières années, aux charmes peu discrets de l’immigration-invasion africaine ne peut qu’approuver, sans la moindre restriction, le slogan : « L’Afrique aux Africains ». Il est curieux que le slogan similaire : « L’Europe aux Européens » soit devenu répréhensible en certains pays d’atteintes répétées à la libre expression de la pensée.

Qui connaît un peu le Japon et la Chine sait que l’on n’y goûte guère les immigrés non-asiatiques s’ils sont bruyants et turbulents ou sont jugés trop nombreux. Reconnaissons que les Asiatiques sont suffisamment travailleurs et prolifiques pour n’avoir pas à importer en grand nombre d’immigrés venus d’autres continents. Quant aux métissages, ils y sont tolérés, mais sans le moindre enthousiasme… et l’on fait dans la litote en parlant de tolérance.

La conclusion s’impose d’elle-même : si le racisme est une absolue stupidité, largement démontrée par l’histoire, le métissage est affaire de goût et d’habitude. À dose homéopathique, il peut passer pour une expérience amusante. Pour envisager sa généralisation, qui serait la conséquence d’un énorme brassage de populations induit par une immigration massive (soit la répétition annuelle durant 20 ou 30 ans de ce qui s’est passé en Europe occidentale et danubienne l’An maudit 2015), il faut au moins demander l’avis des autochtones.

On sait, par la malheureuse et honteuse expérience marxiste, ce qu’il en coûte de souffrances et d’abjection à imposer par la force un dogme peu judicieux, voire du plus haut crétinisme. On est encore en droit d’espérer que cette douloureuse leçon ne soit pas perdue !

Docteur Bernard Plouvier

Source : Synthèse Nationale

jeudi, 03 mars 2016

Daesh se «propage comme un cancer» parmi les réfugiés, d'après l'OTAN

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Le commandant de l’OTAN en Europe, le général américain Philip Breedlove, a indiqué ce mardi 1er mars que des terroristes, des criminels et des combattants étrangers profitaient du flot de réfugiés pour s'infiltrer en Europe.

Les membres de l'organisation terroriste «profitent du manque de résistance pour se frayer un chemin, traitant les nations européennes comme les leurs», a notamment déclaré le général devant le comité sénatorial des services armés.

Philip Breedlove a également critiqué la campagne russe de bombardements en Syrie qui est menée en soutien au pouvoir de Bachar el-Assad et «exacerbe grandement le problème». Il a estimé que ces attaques terroriseraient les Syriens et les inciteraient à prendre la route vers les pays voisins puis l'Europe.

«Nous parlons d'une aiguille dans une botte de foin», selon HRW

Le Kremlin et Bachar el-Assad utiliseraient l'immigration comme une arme pour affaiblir l'unité de l'Europe et ses infrastructures, d'après le général. Il a ajouté que les mouvements nationalistes européens qui s'opposent à l'arrivée des réfugiés représentaient également un risque de violence.

Depuis son entrée en poste en 2013, Philip Breedlove a plaidé pour un renforcement des capacités militaires de l'Europe, qualifiant la Russie de «menace existentielle à long terme» pour les Etats-Unis. Il a suggéré à l'Europe et aux Etats-Unis de faire plus pour contrer Bachar el-Assad et l'Etat islamique.

«Nous parlons d'une aiguille dans une botte de foin», a répondu le directeur du programme sur les droits des réfugiés à Human Rights Watch, Bill Frelick. «Il ne s'agit pas de dire qu'ils n'y a pas de dangereuses épingles dans ces bottes de foin, mais dans l'écrasante majorité des cas, nous parlons de personnes qui cherchent une protection». Il a indiqué que ces déclarations de Philip Breedlove reflétaient la crise des réfugiés «vue d'un prisme militaire».

Philip Breedlove

Source : RT en Français