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mardi, 13 décembre 2016

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Dans certains territoires, le vivre-ensemble au quotidien, c'est l'islamisme

 

 
Elisabeth Lévy déclare au Figarovox :
"[...] C'est une annonce prématurée, mais de fait, comme l'explique Jean-Pierre Legoff dans ce numéro [Causeur], le gauchisme culturel est en train de perdre de sa superbe. En clair, il n'est plus le seul arbitre des élégances intellectuelles et morales. Et c'est vrai, en dépit des différences de situation, aux Etats-Unis comme en France. L'universitaire Mark Lilla a expliqué cette semaine dans Le Monde que l'échec de Clinton était celui de la gauche qu'il appelle «diversitaire», qui n'a pas vu, écrit-il, que «son obsession de la diversité incitait les Américains blancs, ruraux, croyants à se concevoir comme un groupe défavorisé dont l'identité est menacée ou bafouée. Ces personnes ne réagissent pas contre la réalité d'une Amérique multiculturelle (en réalité, elles ont tendance à vivre dans des régions où la population est homogène). Elles réagissent contre l'omniprésence du discours de l'identité, ce qu'elles appellent le ‘politiquement correct'». Et en France, la défaite d'Alain Juppé s'explique largement par le rejet d'un multiculturalisme réel qui n'a pas grand-chose à voir avec les beaux discours de la gauche Terra Nova ni avec l'illusion de l'identité heureuse. Dans certains territoires, le vivre-ensemble au quotidien, c'est l'islamisme, la pression sociale, le séparatisme, l'exclusion des femmes. Il doit être permis de le voir. Et de le dire. [...]"

Source 

lundi, 12 décembre 2016

Bernard Plouvier - Judéo-bolchevisme : fantasme ou réalité des années 1917-1937 ? (1ère partie)

 

 

 
 
Première partie : la Russie
 
 
Il est de bon ton, chez les bien-pensants et les bien-écrivants, de nier toute réalité à cette notion de judéo-bolchevisme, qui paraissait pourtant une évidence à des hommes aussi peu judéophobes que Winston Churchill, Mustafa Kemal Atatürk, Marcel Bucard ou Jacques Doriot (les vrais personnages, pas ceux que décrivent des auteurs à la documentation très curieuse). 

De nos jours, il est devenu très incorrect de rappeler la réalité du judéo-bolchevisme. Les auteurs juifs se contorsionnent pour éliminer ce souvenir, autrefois jugé glorieux, devenu importun depuis 1990 et l’effondrement de l’URSS. Saül Friedländer (1997) remporte la palme de la narration historique politiquement correcte : « La disproportion massive des dirigeants d’origine juive parmi les bolcheviks semblait donner corps à ce qui est devenu un mythe ».
Le lecteur est (encore) libre de se faire une opinion, qui ne dépend que de son point de vue, à condition toutefois que celui-ci soit suffisamment éclairé. Il est évident que, lorsqu’Adolf Hitler lance le 22 juin 1941 sa Wehrmacht à l’assaut de l’URSS, présentée comme « la citadelle du judéo-bolchevisme », il est dans l’erreur : Joseph Dougashvili, alias ‘’Staline’’, a fait le ménage (on parlerait de nos jours d’épuration ethnique), de la fin des années vingt jusqu’aux purges de 1936-37. 

Chacun sait qu’au début de 1917, Erich Ludendorff (le Quartier-maître général de l’Armée allemande, en situation de quasi-dictateur civil et militaire) a autorisé l’Oberstleutnant Walter Nicolaï (le chef du SR allemand) à faire transiter par le Reich le wagon, venu de Suisse et bouclé jusqu’à l’arrivée à destination en Finlande, contenant Wladimir Oulianov, alias ‘’Lénine’’, et sa smala (épouse et admirateurs). Il a même poussé la complaisance jusqu’à financer petitement l’œuvre révolutionnaire des bolcheviks, qui lui paraissait utile pour se débarrasser de l’armée russe, plus coriace qu’on ne l’avait imaginé en 1914. 

Ce financement était misérable au regard de celui offert par des banquiers juifs de New York, même s’il est de bon ton, depuis les années 1990, de nier le fait. Felix Warburg et Jacob Schiff (de la banque Kuhn-Loeb and Cy.) ont envoyé un peu d’or au Goy Alexandre Kerensky, au printemps de 1917, pour assurer le renversement du régime tsariste, haï des Juifs de la planète (Rivera, 1994). Mais, dès 1916, ces mécènes finançaient le marxiste Lev Bronstein, alias ‘’Trotsky’’, à hauteur de 20 millions de dollars (soit 104 millions de francs-or, ce qui représente un pouvoir d’achat d’environ 332 millions d’euros). 

Schiff s’en est vanté dans la livraison du 5 juin 1916 du New York Times, où il rappelait aussi que, dès 1911, il voulait obtenir du Président William Taft la rupture des relations commerciales entre les USA et l’Empire russe. Il aurait pu ajouter que la finance juive avait soutenu Thomas Woodrow Wilson aux élections de 1912 pour faire payer son refus à Taft (longue étude, fort bien documentée, in Rivera, 1994). 

De fait, les chefs mencheviks sont tous juifs et ‘’Trotsky’’ en fait partie jusqu’à ce qu’il passe au camp des frères ennemis, les bolcheviks , où la plupart des chefs sont également juifs.
Bien avant l’effondrement de l’URSS, il était inconvenant pour certains auteurs juifs de rappeler le rôle des Juifs dans le bolchevisme et ses méfaits : « Les Juifs, faible minorité à qui on attribuait une puissance formidable, offraient aux chefs nazis le souffre-douleur recherché » (Loewenstein, 1952, dans un ouvrage de psychanalyse où l’auteur, à la différence de nombre de ses coreligionnaires pour lesquels le fanatisme chrétien et le racisme sont des facteurs prédominants, reconnaît que « l’antisémitisme est surtout d’ordre économique »). 

En 1917-19, années cruciales pour la Révolution communiste, 17 des 22 membres du premier Sovnarkom (le Conseil des Commissaires du peuple ou ministres bolcheviks) sont des Juifs. Seuls sont des Goyim : Oulianov, dit ‘’Lénine’’ (encore est-il possible que son grand-père maternel, Alexandre Blank, ait été juif), le Géorgien Dougashvili, dit ‘’Staline’’, l’Arménien Protian, Anatole Lounatcharsky et Georgi Tchitchérine (Wilton, 1921). À la même époque, 42 des 61 membres du Comité Central exécutif du Parti Communiste soviétique (présidé par le Juif Salomon Sverdlov) sont des Juifs, dont un Karaïte – un descendant de Khazar (liste complète in Wilton, 1921). Le Juif Andrei Soltz est le chef de la Commission de contrôle du Comité Central et un autre Juif, Isaac Zelenski, est le secrétaire du Comité Central (il dirigera ensuite les coopératives de l’URSS et sera exécuté après le procès de mars 1938, qui clôt les purges du Parti). 

La direction de la Tchéka de Moscou, la féroce et sanguinaire police politique, compte 23 Juifs sur ses 37 membres et celle de Petrograd (future Léningrad) 6 Juifs sur ses 12 membres (Fisher, 1964). Brille à la Tchéka puis au Guépéou, le Juif Jacob Blumkine, l’assassin de l’ambassadeur allemand en Russie, au mois de juillet 1918, et que ‘’Staline’’ fera exécuter en 1929 comme trotskyste.
Entre 1918 et 1921, les Juifs forment 15% des cadres provinciaux du Parti bolchevik (Gitelman, 1972). Si, de 1918 à 1920, des pogroms font quelques dizaines de milliers de morts (75 000, selon Gitelman, 1972) en Ukraine révoltée contre la direction bolchevique, c’est pour venger les assassinats d’Ukrainiens par les tueurs bolcheviks, parfois juifs, mais presque toujours encadrés de chefs juifs (Juvin, 1923). 

Parmi les grands maîtres juifs de ces premières années de domination du bolchevisme, l’on peut citer Lev Bronstein-‘’Trotsky’’, fils de riche propriétaire terrien, bientôt maître de l’Armée Rouge (il est célèbre pour sa morgue et son entourage quasi-exclusivement composé de Juifs) ; son beau-frère, le viveur Liev Rosenfeld, alias Kamenev ; l’ennemi farouche de ‘’Lénine’’ : Grigori Radomylski, alias Apfelbaum, plus connu sous le pseudonyme russe de ‘’Zinoviev’’, maître quasi-absolu du Komintern à partir de 1921, jusqu’à l’omnipotence de ‘’Staline’’ à partir de 1924 ; le rouquin fort laid Karl Sobelssohn, alias Radek, beau-frère du richissime Walter Rathenau - avec quelques autres Juifs, dont Adolf Joffe, ‘’Radek’’ est très vite chargé d’exporter le bolchevisme en terres germaniques ; Christian Rakowski, célèbre pour sa crasse et son insolence, chef de la meute d’assassins qui ravage la ville ukrainienne de Kharkov en 1918-19 (in Juvin, 1923, qui se trompe en faisant un Juif de Lounatcharsky ; d’autres auteurs se trompent en faisant un Juif de l’aristocrate slave Tchitchérine).
À partir de 1923 le chef de l’Internationale Syndicale Rouge (ou Profintern), dépendant du Komintern, est le Juif Salomon Dridzo, alias ‘’Lozowski’’, liquidé en 1946. Enfin, les frères Lazare et Mikhaïl Kaganovitch resteront des ministres très appréciés de ‘’Staline’’, tandis que le Commissaire au Commerce extérieur Arkady Rosengoltz sera écarté en 1937, puis exécuté après le procès de mars 1938. Un des pontes du GRU (le SR de l’Armée Rouge), et un temps chef des commissaires politiques de l’Armée Rouge, est le Juif Lazare-‘’Manfred’’ Stern, qui dirigera les liquidations des « ennemis de classe » durant la Guerre d’Espagne puis commandera en second les Brigades Internationales : enfermé, à partir de 1939, dans divers camps dépendant de la chaleureuse administration dénommée GOULAG, il y mourra en 1954.
Sonia Margolina, juive et fille de cadre bolchevik, se souvenant des années 1917-1930 (l’âge d’or de la domination juive sur l’URSS), a écrit : « La participation enthousiaste des Juifs à la destruction de la Russie tsariste fut disproportionnée à leur représentation démographique… Le citoyen russe non-juif avait une bonne chance d’avoir affaire à un interrogateur et à un exécuteur juifs. Partout où le Russe allait, il rencontrait des Juifs aux postes supérieurs… À la fin des années vingt, on vit pour la première fois un grand nombre de Juifs investis d’un pouvoir de vie ou de mort dans les campagnes » (Margolina, 1999). Il reste à déterminer si, pour un Russe ou un Ukrainien des années 1917-30, rencontrer ce type de Juifs était une « chance » ou une réelle malchance, mais il est vrai que, dans le jargon des statisticiens, une occurrence, bonne ou mauvaise, s’appelle toujours une « chance ». 

Avant les purges des années 1936-38, où ‘’Staline’’ se débarrasse de très nombreux Juifs à la tête du PC et du Komintern, le Comité Central du PC de l’URSS comptait encore 11 Juifs sur 104 membres ; à Moscou, 12% des fonctionnaires étaient des Juifs et 9% à Léningrad (Letellier, 1991). 

En 1936, lorsque Nahum Goldmann, le futur patron du Congrès Juif Mondial, croise dans les locaux genevois de la SDN (la Société des Nations) la délégation soviétique conduite par le Juif très grossier et germanophobe Maxime ‘’Litvinov’’ - de son véritable patronyme Meir Wallach, alias ‘’Filkenstein’’, fils de banquier -, 11 de ses 14 membres sont des Juifs, choisis en principe parce qu’ils sont polyglottes (Goldmann, 1976). 

Cette même « petite erreur de dosage » se rencontre, en Europe centrale et danubienne, dans la meute d’assassins de ‘’Bela Kun’’, né Albert Kohn, alias ‘’Sebestyen’’, en Hongrie, où 18 des 26 commissaires du peuple de la République des Soviets, autoproclamée le 20 mars 1919, sont des Juifs. C’est en tant que Commissaire-adjoint à l’Éducation du gouvernement rouge qu’un Juif richissime, fils de banquier haïssant sa mère (un régal pour psychanalyste !), Georg Lukacs débute sa carrière publique ; il se réfugiera en 1930 à Moscou, passera quinze années en autocritiques salvatrices, puis tentera de concilier les thèses de Marx et d’Hegel (Kadarkay, 1991), soit un travail d’un intérêt palpitant pour les amateurs de querelles byzantines ; il est toujours abondamment cité par les auteurs sérieux, qui n’ont peut-être pas lu ses œuvres soporifiques. 

Il en va de même chez les Juifs de Roumanie et surtout de Pologne, où, avant sa dissolution en 1938, 90% des membres du Parti communiste étaient des Juifs (Hillel, 1985). C’est
d’ailleurs en souvenir de la collusion entre les Juifs et les assassins du NKVD durant la période de domination soviétique sur l’est de la Pologne, d’octobre 1939 à juin 1941, que des survivants juifs des camps de concentration nazis seront exterminés par des Polonais, de 1945 à 1947 (Hillel, 1985). Le 29 février 1936, dans une Lettre pastorale, le cardinal August Hlond, primat de Pologne et germanophobe enragé (cf. Plouvier 2009), écrit des Juifs qu’ils sont extrêmement nombreux dans le mouvement communiste, la prostitution et la diffusion de la pornographie, ainsi que dans la pratique de l’usure (in Friedländer, 2008, écumant de rage).
Aux USA, le PC est très largement dominé par l’élément juif (Rothman, 1982). Au Mexique, le très sanguinaire chef de l’État, de 1924 à 1928, Plutarco Elias Calles, Franc-maçon tueur de prêtres catholiques, et réputé marxiste (l’administration du Président Coolidge le surnomme « le bolchevik mexicain »), est un juif sépharade. Et l’on retrouvera le même phénomène de surreprésentation juive, à partir de 1945, en Hongrie, en Roumanie et même en RDA (l’Allemagne de l’Est). 

Comme l’a déploré un auteur juif à propos des Juifs communistes de ces années 1917 sq. : « Leur présence aux postes d’autorité a fourni un nouvel aliment à l’antisémitisme populaire » (‘’Fejtö’’, 1997)… non pas leur présence, mais leur surabondance, leur fanatisme et, trop souvent, leur comportement sanguinaire. Les crimes impunis ne sont jamais pardonnés. 

Que le dogme politiquement correct de nos jours soit de nier la réalité du judéo-bolchevisme, cela n’engage que les fonctionnaires de la narration historique. Les contemporains de ‘’Lénine’’ et de ‘’Trosky’’ savaient à quoi s’en tenir. Le catholique franco-britannique Hilaire Belloc a écrit en 1922 : « Le bolchevisme a posé la question juive avec une telle violence… qu’elle ne peut plus être niée… même par le menteur le plus effronté… L’explosion bolcheviste est juive » (in Poliakov, 1981, volume 2). 

Winston Spencer Churchill, qui dépend si souvent de sponsors juifs pour éponger ses dettes de jeu et soutenir son fastueux train de vie durant les années 1925-1939 (Irving, 1987), est du même avis et le sera encore en 1936-37. 

En outre, le rabbin Stephen-Samuel Wise, futur président-fondateur du Congrès juif mondial, a écrit dans la livraison du 23 mars 1917 du New York Times : « Parmi toutes les réalisations de mon peuple, aucune n’a été plus noble que la participation des fils et des filles d’Israël au mouvement de libération de la Russie » (cité in Petrovsky, 1931). Une « libération » qui a coûté la vie à plus de trente millions d’êtres humains, si l’on additionne les morts de la guerre civile, des famines et des purges staliniennes des années vingt et trente : il y a réellement de quoi pavoiser… on comprend que certains auteurs préfèrent parler de « mythe ».

Bibliographie 

* F. Fetjö, né Fischel : Dieu et son Juif, Éditions Pierre Horay, 1997
* L. Fischer : The life of Lenin, Harper, New York, 1964
* S. Friedländer : L’Allemagne nazie et les juifs, volume 1 : 1933-1939. Les années de persécution, Seuil, 1997
* S. Friedländer : L’Allemagne nazie et les Juifs, volume 2 : 1939-1945. Les années d’extermination, Seuil, réédition de 2008
* Z. Gitelman : Jewish nationality and soviet politics. The jewish sections of the CPSU, 1917-1930, Princeton University Press, Princeton [État du New Jersey], 1972
* N. Goldmann : Le paradoxe juif. Conversations en français avec Léon Abramovitz, Stock, 1976
* M. Hillel : Le massacre des survivants en Pologne après l’Holocauste (1945, 1947), Plon, 1985
* D. Irving : Churchill’s war. The struggle for power, 2 volumes, Veritas Publishing Co., Sydney, 1987
* L. Juvin : La République juive des Soviets. Deux années en Russie (1919-1921), Déterna, 2009 (1ère édition de 1923)
* A. Kadarkay : Georg Lukacs. Life, thought and politics, Blackwell, Oxford, 1991
* J. Letellier : Les Juifs chez les chrétiens. 20 siècles de déraison, Éditions du Centurion, 1991
* R. Loewenstein : Psychanalyse de l’antisémitisme, P.U.F., réédition de 2001 (1ère édition de 1952 ; un régal, à la condition de le consommer avec beaucoup d’humour et de détachement)
* S. Margolina : Das Ende der Lügen. Russland und die Juden im 20. Jahrhundert, Siedler, Berlin, 1999
* D. Petrovsky : La Russie et les Juifs, Éditions Baudinière, 1931
* B. Plouvier : Pie XII contre Hitler, Dualpha, 2009
* L. Poliakov : Histoire de l’antisémitisme, 2 volumes, Calmann-Lévy, réédition de 1981
* D. A. Rivera : Final warning. A history of the New World Order, 1994 (en libre lecture sur le site The Unjust Media ; pour son étude très précise sur l’octroi de crédits de Jacob Schiff à Léon ‘’Trotski’’, sans trop s’attarder sur le pathos complotiste)
* S. Rothman, S. R. Lichter : Roots of radicalism : Jews, christians and the new left, Oxford University Press, New York, 1982
* R. Wilton : Les derniers jours des Romanoff, Crès, 1921 (c’est le texte fondateur et irréfutable de la notion de « judéo-bolchevisme » ; l’auteur était Britannique, germanophobe et nullement judéophobe).

Mosquée salafiste fermée de Villiers (94) : Les Républicains s’engagent à installer un chapiteau et à prêter un terrain municipal

 

 
Membre de l’équipe Fillon, le député-maire Jacques-Alain Bénisti souhaite répondre aux souhaits des fidèles musulmans de la mosquée Islah fermée administrativement pour cause de radicalité, foyer djihadiste et hébergeant une école clandestine. Deux imâms ultra radicaux s’y sont pourtant succédés : Béchir Ben Hassen (Frère musulman qui prescrit le meurtre des caricaturistes) et Mustafa Mraoui (parti rejoindre l’Etat Islamique avec dix fidèles de la mosquée). Pour plus d’informations lire notre enquête « Mosquées Radicales » (éditions DMM,2016).
 
Lu dans Le Parisien du 4 novembre 2016 : « La ville est propriétaire d’un terrain vague, sur lequel doit être construite une nouvelle mosquée, avant la démolition de l’ancienne, explique Jacques-Alain Bénisti, maire (LR) de Villiers-sur-Marne. Il est situé derrière la zone commerciale qui longe la cité des Hautes-Noues, à hauteur du boulevard de Bishop’s Stortford. Nous mettons tout en œuvre pour qu’un chapiteau, ou un barnum, puisse y être installé d’ici vendredi prochain, et que les fidèles disposent d’un lieu de repli où prier. »

Lire en complément : Ces membres de l’équipe Fillon qui collaborent avec des mosquées en mairie

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Primaire PS : les étrangers pourront voter

 

 
Contrairement à la primaire de la droite, les étrangers et les mineurs (16-18 ans) membres du PS ou du MJS (Mouvement des Jeunes socialistes) pourront participer. Une décision paradoxale : ces derniers ne pourront pas voter pour leur champion en avril prochain.




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Saint-Denis : querelles autour de la gestion de la mosquée Tawhid

 

 
Par Qui pour diriger la mosquée Tawhid ? Ce lundi, le tribunal de grande instance de Bobigny rendra un délibéré relatif à la gestion du lieu de culte implanté depuis 1992 en centre-ville de Saint-Denis, rue de la Boulangerie. Depuis plusieurs mois, deux camps s’opposent en interne : cet été, une nouvelle équipe avait pris les rênes de la mosquée… avant d’en être écartée fin octobre par les anciens gestionnaires qui ont repris le contrôle des lieux. Plus de 2000 fidèles se rassemblent pour la prière du vendredi à la mosquée Tawhid, l’une des principales de Saint-Denis.

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« Lycées passoires »: « Nous avons régulièrement des intrusions de personnes armées »

 

 
Olivier, habitant de Champagne-sur-Seine (Seine-et-Marne), est professeur dans le Val-de-Marne. Il a appelé ce vendredi Radio Brunet afin d’alerter les Français de « l’insécurité dans les établissements scolaires » et plus particulièrement sur « les risques d’attentats et les actes terroristes ».

[…] « Actuellement, ce sont de véritables passoires. On rentre par le parking des profs, on saute par-dessus un petit muret, voire on passe par l’entrée principale: c’est open bar. […] Dans mon établissement, nous avons régulièrement des intrusions de personnes armées de bombes lacrymogènes, de battes de baseball, de couteaux, etc. Par exemple, il y a trois jours, des personnes se sont introduites pour causer des troubles dans le lycée. Une professeure a été agressée verbalement et physiquement ». […]

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Des tags racistes retrouvés sur les murs de la grande mosquée de Perpignan

 

 
Les insciptions ont aussitôt été effacées samedi matin. Une plainte sera bientôt déposée. La mosquée de Perpignan avait été la cible de dégradations en début d'année 2016. Le ministre de l'Intérieur dénonce ces actes odieux et inacceptables
 
Ces tags racistes ont été retrouvés ce samedi matin par le gardien de la grande mosquée de Perpignan. Une croix gammée et les mots "arabes dehors" ont été retrouvés.

Le nouveau ministre de l'Intérieur a aussitôt réagi. Bruno Le Roux condamne ces actes "odieux et inacceptables".

Les inscriptions ont été effacées, une plainte bientôt déposée

 

"Tous les moyens seront mis en œuvre pour retrouver les auteurs" précise le ministre de l'intérieur.

En janvier dernier , la mosquée de Perpignan, a déjà subi des dégradations. Les pattes et la tête d'un sanglier avaient été jetés dans l'enceinte de la grande mosquée. Des tags, notamment le mot "dehors" avaient été inscrits sur les murs.

Le préfet du département, Philippe Vignes, s'est rendu sur place samedi matin "afin de témoigner de la solidarité du gouvernement à l'ensemble de la confession musulmane"

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"Le FN baisse quand il parle de la Banque centrale européenne. Il augmente quand il parle de Mohamed Merah"

 

 
Selon Le Point, Florian Philippot pourrait avoir perdu la bataille face à Marion Maréchal-Le Pen :
"Si Marine Le Pen a recadré sa nièce sur l'IVG, sa ligne identitaire reprend le dessus sur celle, plus souverainiste, du numéro 2 du parti."

"L'immigration n'est pas un sujet qui indiffère le numéro 2 du FN, mais il considère que c'est en sortant de l'Union européenne que la France pourra mieux la contrôler. Contrairement à la députée du Vaucluse, il ne croit pas à la théorie du grand remplacement. Il laisse « les pompes aspirantes » à Jean-Marie Le Pen, dont il a obtenu l'exclusion du parti.

Certes, François Fillon sera la cible des attaques frontistes autant pour son programme de « casse sociale » que pour son « bilan sur l'immigration lorsqu'il était ministre ». D'ailleurs, pour l'historien spécialiste du FN Nicolas Lebourg, la force du FN est de faire « un pack » avec les sujets portés par Philippot et ceux de Marion Maréchal-Le Pen. Cependant, il constate qu'ils n'ont pas le même effet sur l'électorat. « J'ai repris tous les sondages depuis 2012. Le FN baisse quand il parle de la Banque centrale européenne. Il augmente quand il parle de Mohamed Merah. » Un constat qui donne des indications sur la suite de la campagne frontière."

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Marie-Hélène de Lacoste-Lareymondie : Saint Nicolas chassé de la maternelle en Alsace - pressions communautaristes ?

 

La conseillère régionale Front national Marie-Hélène de Lacoste-Lareymondie réagit à la décision de deux directrices de maternelles du Haut-Rhin de ne plus fêter la Saint-Nicolas dans leurs écoles. Une goutte d’eau qui fait déborder le vase après la suppression de l’arche du « Marché de l’Enfant Jésus » à Strasbourg.
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Marie-Hélène de Lacoste-Lareymondie
 

Les ONG introduisent-elles des migrants en Europe à une échelle industrielle ?

 

 
Les ONG introduisent-elles des migrants en Europe « à une échelle industrielle » ? C’est du moins ce qu’affirme GEFIRA (Global Analysis from the European Perspective), une fondation néerlandaise se présentant comme un think tank paneuropéen et qui se focalise sur les instabilités géopolitiques et financières actuelles.
Depuis deux mois, et à l’aide de marine-traffic.com, GEFIRA observe les mouvements quotidiens de navires appartenant à des ONG (tels que Médecins sans frontières). GEFIRA a ensuite compilé ces mouvements dans une vidéo en mode accéléré. C’est donc une véritable flottille qui fait quotidiennement l’aller-retour entre la Libye et l’Italie afin de « sauver » des migrants qui ne sont, bien souvent, qu’à moins de 10 km de la côte libyenne. Par la suite, ils sont ramenés dans les différents ports de Sicile et d’Italie du Sud, soit un voyage de plus de 400 km. Pourtant, le port de secours le plus proche est en Tunisie, soit un peu plus de 90 km de la « zone de sauvetage de migrants ».

Au total, et au cours des deux derniers mois, ces différentes ONG ont débarqué en Italie un peu moins de 40.000 migrants, soit… l’équivalent de la ville de Chartres !
Toujours selon GEFIRA :
« Sous le prétexte de sauver des gens, les ONG, les passeurs et la mafia sont de mèche avec l’Union européenne afin d’expédier des milliers de clandestins en Europe, tout en étant aidés par la garde côtière italienne qui coordonne leurs activités. »
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En effet, les rapports de journalistes qui sont à bord de certains de ces bateaux de sauvetage — telle Eveline Rethmeier, journaliste néerlandaise et qui tenait un blog vidéo des événements sur son compte Facebook — prouvent que les ONG, la garde côtière italienne et les contrebandiers coordonnent leurs actions.

Quant à l’Union européenne, elle soutient ces actions puisque, le 12 avril 2016, le Parlement européen a adopté une résolution précisant que « les capitaines de navire ou les organisations non gouvernementales qui aident réellement des personnes en détresse en mer ne devraient pas risquer de sanction » (sic).
Ainsi, et en voulant appliquer « les droits de l’homme », c’est au contraire le trafic d’êtres humains que l’Union européenne a réussi à légaliser…

Quant aux ONG, que leurs actions soient motivées de manière bienveillante ou non, il n´en reste pas moins qu´en agissant tel un « aimant pour migrants », elles sont in fine devenues la pierre angulaire de cette traite humaine d’un genre nouveau.

Pensant aider leurs prochains, ces ONG contribuent au contraire à entretenir la déstabilisation de l’Afrique, car elles la dépeuplent de ses forces vives (71 % des migrants sont des hommes). Par ailleurs, et puisque non éligibles au droit d’asile, ces migrants erreront inévitablement dans les rues de Rome, de Paris, de Berlin ou toute autre capitale européenne, accentuant ainsi encore plus les tensions sociales et ethniques qui sont palpables à travers toute l’Europe.

 Xavier Scott

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Levée du secret-défense sur les attentats du 13 novembre : trop peu? trop tard ?

 

 
 


C’est souvent par le biais d’affaires très médiatiques que les Français sont confrontés à la réalité du secret-défense. Souvenons-nous des « frégates de Taïwan », de l’affaire Clearstream ou bien encore de l’attentat de Karachi, en 2002. Autant d’événements qui, en leur temps, vinrent rappeler la cohabitation parfois difficile qui existe entre l’intérêt supérieur de l’État et la manifestation de la vérité. 

Cette fois-ci, ce sont les attentats du 13 novembre 2015, à Paris et à Saint-Denis, qui s’invitent dans le débat. En effet, suite aux demandes des avocats des parties civiles et des magistrats chargés de l’instruction, la Commission consultative du secret de la défense nationale vient de donner son accord à la déclassification de 129 documents sur les centaines concernés par la procédure. Une fois de plus, le faible nombre des documents possiblement déclassifiés (il faut maintenant les accords des ministres de l’Intérieur et de la Défense) ainsi que la longueur du délai nécessaire à cette déclassification (plus de huit mois) font réagir les avocats des victimes.

À vrai dire, ces reproches ne sont pas récents. Depuis l’inscription dans un décret-loi, en 1939, de l’expression « secret de la Défense nationale », cette notion a maintes fois été renforcée, et encore ces dernières années pour ajouter les biens immobiliers à la liste des procédés, écrits, documents, informations, réseaux informatiques, données informatisées ou fichiers, déjà concernés par le secret-défense. Aujourd’hui, trois niveaux de protection se complètent afin d’assurer la préservation de nos intérêts nationaux. Il s’agit du « très secret-défense », du « secret-défense » et du « confidentiel-défense ».

Pour autant, dans le cadre de l’enquête sur les attentats de 2015 actuellement instruite par la justice, les mêmes sempiternelles questions restent posées.

Ainsi en est-il de la pertinence de la classification secret-défense de documents qui, certes, concernent la défense de notre pays. Mais cette classification, de par la lourdeur de la procédure, entrave le bon déroulement de l’action de la justice. Par ailleurs, la mise sous secret de certaines pièces pose toujours la question du « qu’aurait-on à cacher ? »
 Même si des procédures de déclassification interviennent, une autre question se pose. Celle du temps indispensable à cette procédure. En matière judiciaire, le temps qui passe est l’ennemi des enquêteurs. Ne dit-on pas qu’une affaire se résout, ou pas, dans les tout premiers jours, voire les toutes premières heures qui suivent les faits. Ainsi, laisser passer plusieurs mois avant de permettre aux enquêteurs d’accéder à certaines pièces importantes hypothèque gravement la réussite des investigations. Enfin, le nombre de documents rendus accessibles après leur déclassification, en l’occurrence 129 sur plusieurs centaines, laisse planer un doute sur la portée et l’efficacité de la démarche.

Ignorant les contenus des documents qui devraient être consultables d’ici quelques jours par la justice, il est difficile de dire aujourd’hui s’ils seront d’une importance primordiale pour les investigations à venir. Permettront-ils de définir les responsabilités des protagonistes impliqués dans les attentats ?

Permettront-ils d’identifier les réseaux et les commanditaires ? Permettront-ils aux victimes, et à leurs familles, sur la base des informations révélées, de connaître enfin la vérité ? Rien n’est moins sûr. Une chose est cependant certaine : du temps aura été perdu.

Olivier Damien

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Migrants en Allemagne : trois petits tours … et puis s’en vont

 

 
Angela Merkel – « Mutti », pour les intimes -, la bonne mère d’outre-Rhin, aurait-elle un problème avec sa progéniture ?
Confrontée à une courbe démographique en piteux déclin, ne faisant plus assez d’enfants, l’Allemagne a décidé, depuis longtemps déjà, d’adopter ceux des autres ou (ce qui revient au même) d’importer une main-d’œuvre censée être immédiatement opérationnelle. Mais ce choix que d’autres pays européens ont aussi fait, par facilité, par idéalisme et toujours par renoncement, se retourne parfois contre ses auteurs.

La chaîne d’information en continu LCI nous apprenait, le 9 décembre, que de nombreux migrants, accueillis avec tous les égards dus à leur situation, rechignaient à partager le bonheur germanique et repartaient, là d’où ils venaient. En gros, ils sont venus, ils ont vu et cela ne leur a pas plu. Quel affront pour cette Allemagne qui s’était posée en modèle de pays d’accueil, donnant leçons et conseils aux autres nations européennes ! Quel affront pour la chancelière qui, au grand dam de son ministre de l’Intérieur, avait décidé de gérer elle-même le dossier des migrants ! Quel désaveu pour une chancelière qui vient d’être reconduite à la tête de la CDU… certes avec 80 % des votes, ce qui est très en deçà de ses scores antérieurs ; et sans adversaire, de surcroît.

Sur les 900.000 migrants que l’Allemagne a reçus depuis 2015, ils sont quelques milliers seulement à être repartis. Mais le mouvement, selon notre confrère, s’amplifie et, semaine après semaine, les migrants découragés par les lourdes procédures d’accueil, les déçus d’un pays qu’ils « voyaient autrement », les rebutés par l’apprentissage d’une langue compliquée grossissent la liste des candidats au retour. Le rêve des uns et des autres se casse sur la réalité. 

Le paradis espéré est devenu un enfer normatif.
 La nationalité des migrants souhaitant revenir au pays, principalement des Irakiens et des Afghans, est également significative d’un autre malaise : celui de l’impossible assimilation. La greffe ne prend pas, ne prendra jamais avec certaines populations.

Il n’est pas étonnant que la seule immigration qui ait pris en Allemagne soit turque. L’Empire ottoman hier, la Turquie d’aujourd’hui ont, avec l’Allemagne, des relations anciennes et durables, teintées d’impérialisme et d’arrogance. Aux yeux des Allemands, les Turcs, n’étant pas arabes mais musulmans, ont vocation à régenter un Moyen-Orient totalement incontrôlable. Connivence et respect dominent leurs rapports. 

Les autres ? Ces Érythréens, ces Afghans, ces Irakiens, ces Africains, que font-ils là ? Qu’ils fuient la guerre ou la misère, ils représentent pour l’Allemand moyen la figure du vaincu, voire tout bonnement celle du pauvre bougre victime de sa paresse ou de ses lâchetés ; en tout cas, l’exemple de quelqu’un qui ne sait pas retrousser ses manches et gagner son pain. Autant d’images, autant de clichés peut-être, qu’il n’est jamais bon d’évoquer devant cette nation allemande traumatisée par son passé, engluée aujourd’hui dans sa mauvaise conscience.

Cette mauvaise conscience qui tend la main à tous les damnés de la terre… pour mieux démontrer ensuite que, décidément, l’immigration a ses limites ! 

 Jean-Paul Charbonneau

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Les étrangers pourront voter à la primaire de la gauche : plus qu’un détail

 

 

Serait-ce un signe annonciateur ? De nombreuses personnalités de gauche souhaitent ardemment permettre aux étrangers de voter pour les élections locales et étendre le droit de vote aux mineurs de 16 ans. Ils en parlent depuis trente ans mais n’ont jamais eu le cran d’aller jusqu’au bout, soumis à la pression d’une opinion publique largement hostile.

Il s’agissait même de la proposition n° 50 du candidat Hollande, rendue caduque par la crise migratoire et les attentats terroristes. Comme pour se dédouaner, ils ouvriront les élections primaires de la gauche aux mineurs de 16 ans et aux étrangers, à la condition que ces derniers soient « adhérents aux partis ou organisations de jeunesse des partis organisateurs ».

Bien entendu, ils ne pourront pas voter pour leur champion en mai prochain. D’ailleurs, imaginons que le candidat désigné par les élections primaires de la gauche devienne, par malheur, président de la République ; sera-t-il alors totalement légitime, l’ayant emporté dans son camp grâce à un corps électoral qui n’a pas le droit de vote aux élections ?

Alain Bergounioux, historien socialiste, s’en réjouit :
« En 2011, l’idée était de faire participer les jeunes socialistes qui adhéraient dès 16 ans, même si je conviens qu’ils sont plus rares aujourd’hui. Le parti est en quelque sorte à l’avant-garde de la démocratie : concernant les étrangers, cela paraissait naturel car ça s’inscrivait dans l’idée du droit de vote aux élections locales portée par la gauche. »
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Chantre du « made in France » (in English, please), Arnaud Montebourg défendra le droit de vote des étrangers aux élections locales, avec tout ce que cela implique. Les maires sont déjà tenus par les intérêts ethnoculturels de certaines populations issues de l’immigration : on le constate notamment en banlieue parisienne, où les élus sont soumis à de véritables chantages pour qu’ils consentent, par exemple, à construire des mosquées de plus en plus grandes. Qu’en sera-t-il quand les étrangers pourront voter aux élections locales ? La nationalité crée les droits civiques en République. Rien ne saurait être plus antirépublicain que le droit de vote des étrangers.

En dépit des discours martiaux d’un Manuel Valls, le Parti socialiste reste profondément le parti de l’étranger, le parti de Terra Nova. Ce cas le prouve. En ouvrant les élections primaires de la gauche à des populations étrangères, qui ne voteront donc pas en fonction des intérêts français mais de leurs propres intérêts, les socialistes ouvrent la boîte de Pandore.

Si ce « détail » ne semble pas interpeller les médias et l’opinion, c’est d’abord parce que l’hégémonie culturelle de la gauche a progressivement supprimé les défenses immunitaires du peuple, trop longtemps habitué à tolérer l’inacceptable. Cette décision est grave, très grave. J’espère qu’elle sera lourde de conséquences pour le futur vainqueur des élections primaires de la gauche et que ses adversaires sauront le marteler sur les plateaux de télévision lors du grand combat.

 Gabriel Robin

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Toutes les polices aux trousses de Karim Ouali, fan du « Joker » et présumé tueur à la hache

 

 
Accusé d’avoir assassiné en avril 2011 son collègue à la hache dans une tour de contrôle aérien, Karim Ouali figure depuis ce samedi sur la liste des criminels les plus recherchés par Europol. Présenté comme « très intelligent », le fugitif voue une passion pour le personnage du Joker.



Karim Ouali apparaît ce samedi sur le calendrier de l’Avent « EU most wanted » des criminels les plus recherchés par Europol. Âgé de 40 ans, ce natif du XVIIe arrondissement parisien est accusé d’avoir tué à l’aide d’une hache artisanale – qu’il a lui-même confectionnée – un collègue contrôleur aérien, retrouvé frappé à sept reprises au sein d’une tour de contrôle de l’EuroAirport, le 27 avril 2011 à Saint-Louis (Haut-Rhin).

Diplômé de l’École nationale de l’aviation civile (l’ENAC), ce fort en thème avait commencé sa carrière de contrôleur aérien en région parisienne avant de rejoindre en octobre 2010 l’EuroAirport pour suivre une formation et gravir des échelons. « Peu de temps après son arrivée, son comportement a changé, explique une note de police. Souffrant d’un délire de persécution, il a été mis en arrêt maladie en décembre 2010. »

« Depuis des semaines, il souffrait de graves troubles psychologiques, en particulier un délire de la persécution », précise le commissaire Christophe Foissey, patron de la Brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF).

Présenté comme « très intelligent », Karim Ouali a un signe particulier: sa passion pour le personnage du « Joker », comme en témoignent des écrits mais aussi des cartes à jouer retrouvées à son domicile, où se trouvait par ailleurs encore le badge de la tour de contrôle. Pour brouiller les pistes, il avait laissé sur une table le carton d’emballage d’un téléphone portable qu’il venait d’acheter et il avait ensuite posté l’appareil à un inconnu en Suisse. Les policiers, qui croyaient tenir une piste, ont mis trois jours avant de voir la supercherie. Ensuite, à l’aide de faux papiers, il a circulé sous plusieurs identités d’emprunts avant d’abandonner une voiture sur la commune de Bron, près de Lyon (Rhône). Dans l’habitacle, les policiers ont retrouvé sa «signature»: une carte de jeu du Joker. Depuis lors, le fugitif s’est évaporé.

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Le gouvernement veut prolonger de l’état d’urgence jusqu’au 15 juillet 2017

 

 
Le Conseil des ministres a adopté samedi, avant son examen au parlement, le projet de loi prolongeant jusqu’au 15 juillet 2017 l’état d’urgence en vigueur depuis les attentats du 13 novembre, pour «englober l’ensemble des opérations électorales» de la présidentielle et des législatives.




Le gouvernement va «demander au parlement de reconduire l’état d’urgence pour sept mois supplémentaires, jusqu’au 15 juillet précisément», a déclaré le Premier ministre Bernard Cazeneuve, à l’issue du Conseil.

«Au cours des mois qui sont devant nous, notre pays a un rendez-vous démocratique important avecl’élection présidentielle et les élections législatives du printemps prochain», a-t-il rappelé dans la cour de l’Elysée, entouré des ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, et de la Justice, Jean-Jacques Urvoas.

«Cette période de campagne électorale, qui sera naturellement marquée par de nombreuses réunions publiques et rassemblements, peut aussi constituer malheureusement un contexte de risque d’attentat accru pour ceux qui veulent frapper au coeur nos valeurs démocratiques et nos principes républicains», a mis en garde l’ancien ministre de l’Intérieur. «Il apparaît donc nécessaire aux yeux du gouvernement d’englober la période complète des opérations électorales», a expliqué M. Cazeneuve.

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Allemagne : un parti identitaire demande à des élus municipaux favorables à la construction d’une mosquée de quitter le pays pour l’Afrique

 

 
Dans la ville de Hachenbuch dans l’ouest de l’Allemagne, 22 membres du conseil municipal ont reçu à leur domicile des prospectus leur intimant de quitter le pays pour l’Afrique rapporte le président du conseil municipal de la ville, Peter Klockner.
«Si vous n’aimez pas l’Allemagne, vous devriez la quitter», pouvait-on lire sur un des prospectus, «Bon pour un voyage pour l’Afrique pour les défenseurs de l’aliénation [par l’Islam]», sur un autre.

Peter Klockner avance que ces lettres ont probablement été envoyées par le parti d’extrême droite Troisième Voie, qui s’oppose depuis des mois à la construction d’une mosquée dans la ville. Il a qualifié leur geste de «dégoûtant et humiliant», selon l’hebdomadaire allemand Focus.

Les activistes de Troisième voie ont protesté à maintes reprises contre la construction d’une mosquée. Lors de leur dernière manifestation, le 17 novembre, le groupe a distribué des prospectus demandant aux autorités locales de ne pas délivrer le permis nécessaire à sa construction. 

La parti assène sur son site internet qu’il ne «s’oppose pas à l’Islam en tant que religion», mais considère «que [l’Islam] n’a pas sa place en Allemagne». Il affirme en outre qu’une mosquée est «un signe supplémentaire de l’aliénation de l’Allemagne».

Selon le magazine, des plaintes ont été déposées par certains membres du conseil, mais aucune enquête n’a été ouverte pour le moment.

Le construction de la mosquée à Hachenbuch est préconisée depuis 2014 par le centre culturel musulman local. L’édifice religieux est source de préoccupation pour les habitants locaux. En juin, quarante résidents des environs du site ont écrit une lettre aux autorités pour demander que soit conservée la neutralité du lieu et que la construction d’un minaret soit interdite.

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dimanche, 11 décembre 2016

Perpignan: tags racistes sur la grande mosquée

 

 
Des "inscriptions à caractères racistes" ont été retrouvées ce samedi matin sur les murs de la grande mosquée de Perpignan, a-t-on appris auprès de la préfecture des Pyrénées-Orientales. Les tags ont été rapidement effacés, et une plainte pour "dégradations" doit être déposée, selon la même source.

Le préfet du département, Philippe Vignes, s'est rendu sur place dans la matinée "afin de témoigner de la solidarité du gouvernement à l'ensemble de nos concitoyens de confession musulmane", selon un communiqué du ministre de l'Intérieur, Bruno Le Roux. "Le racisme et tous ceux qui entendent diviser la communauté nationale n'ont pas leur place au sein de la République, qui respecte toutes les croyances", déclare le ministre. "Tous les moyens seront mis en oeuvre pour retrouver les auteurs de ces actes odieux et inacceptables", conclut-il.

En janvier, la mosquée a déjà subi des dégradations: les pattes et la tête d'un sanglier avaient été jetés dans l'enceinte de la grande mosquée et des tags, notamment le mot "dehors", avaient été inscrits sur les murs.

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Bruno Le Roux plonge dans le bain à remous de «l’islam de France»

 

 
Moins d’une semaine après son arrivée au ministère de l’Intérieur, Bruno Le Roux plongera lundi 12 décembre dans le grand bain à remous de «l’islam de France», dont les acteurs sont soumis à de fortes attentes dans un pays meurtri par les attentats jihadistes.

La place Beauvau accueillera la troisième réunion de «l’instance de dialogue avec l’islam», lancée en juin 2015 pour élargir et renforcer le débat avec la deuxième religion de France, forte de quatre à cinq millions de fidèles.

Pour mieux lutter contre la radicalisation violente, l’Etat a souhaité dialoguer avec d’autres voix que celles du Conseil français du culte musulman (CFCM). L’institution considérée comme représentative des quelque 2.500 mosquées et salles de prière souffre d’un déficit d’image et d’efficacité depuis sa création en 2003, même si sa légitimité n’est pas remise en cause.

Pour son baptême du feu sur ces sujets, le nouveau ministre de l’Intérieur et des Cultes devrait se glisser dans les pas de son prédécesseur Bernard Cazeneuve, promu à Matignon.
«Je poursuivrai (...) les actions engagées», a prévenu Bruno Le Roux lors de la passation de pouvoirs, en précisant qu’il le ferait avec sa «sensibilité» d’»élu de Seine-Saint-Denis», où vit une importante population musulmane.

Le nouveau ministre héritera de dossiers préparés par son prédécesseur, qui ouvrira cette nouvelle réunion de l’»instance de dialogue» en tant que Premier ministre.

Fraîchement créée, la «Fondation de l’islam de France», présidée par Jean-Pierre Chevènement, qui doit permettre de lever des fonds pour financer des projets éducatifs et culturels, sera au coeur des débats.

Le choix de l’ancien ministre, 77 ans, au profil de républicain très laïque et au verbe parfois rugueux, a d’abord suscité perplexité voire hostilité dans les cercles de l’islam français. Mécontente du sort qui lui était réservé - la présidence-strapontin du «conseil d’orientation» de la fondation -, la puissante Grande mosquée de Paris a menacé de boycotter l’»instance», avant de revoir sa position.


- Contribution sur le halal 


Mais la fondation, qui a tenu un premier conseil d’administration jeudi dernier, est sur les rails.

Elle peut compter sur le soutien de plusieurs grandes entreprises comme la SNCF, le groupe Aéroports de Paris et le bailleur social SNI. Et d’un capital issu du transfert de celui de la «Fondation des oeuvres de l’islam», mort-née en 2005 sur fond de dissensions entre fédérations musulmanes: près d’un million d’euros doté par l’industriel Serge Dassault.

Les participants à «l’instance de dialogue», qui représentent toutes les nuances de l’islam sunnite français - salafistes exceptés - se pencheront aussi sur la formation des imams, qui dépend pour l’instant beaucoup de l’étranger.

A côté de l’offre, insuffisante, des instituts français privés de théologie musulmane, et des diplômes universitaires de formation civile et civique désormais proposés par 14 universités, le gouvernement veut développer des cursus d’islamologie de haut niveau.

Prochaine étape, qui peine à prendre forme: la mise sur pied d’une association cultuelle nationale pour financer, sans recourir à des fonds étrangers, des projets en matière religieuse, autour du statut des imams et aumôniers, la construction de mosquées ou la production d’un contre-discours face à la propagande jihadiste.

L’»instance de dialogue» va se pencher sur les ressources potentielles de cette association loi 1905, parmi lesquelles figurent une «contribution volontaire» sur le halal, voire un prélèvement sur les billets du hajj, le grand pèlerinage à La Mecque.

Mais «cette association est l’objet de luttes de pouvoir qui n’augurent rien de bon. Elle ne marchera pas si elle est gérée par des représentants de mosquées, or ils sont dans la place», peste le consultant Hakim El Karoui, porte-parole des signataires d’un «Appel des 41» personnalités de la société civile musulmane bien décidées à entrer dans le jeu.

Pas question cependant de saboter «une initiative qui part d’une bonne idée». «Il y a tellement de choses à faire» pour sortir de «l’islam des consulats» étrangers, plaide-t-il.

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Pour un élu mayennais, « L’argent du RSA sert à acheter de l’alcool, de la drogue et à la prostitution »

 

Le 24 novembre dernier, sur France Bleu Mayenne, Norbert Bouvet,, vice-président du Conseil départemental, déclarait que « l’argent du RSA sert à acheter de l’alcool, de la drogue et à la prostitution ».

Des propos tenus par le porte-parole du candidat François Fillon dans le cadre de la campagne des primaires de la droite et du centre qui ont choqué Guillaume Garot, chef de file de l’opposition au conseil départemental.

Pauvrophobie ? ou surenchère pour appâter les électeurs de l’extrême-droite ? Au cours de la session budgétaire du conseil départemental, Guillaume  Garot a dénoncé une insulte faite aux plus démunis et a demandé au président Olivier Richefou de condamner ces propos lequel a considéré que ce n’était pas le lieu.

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Tous unis pour l’islamisation des Français…

 

 

Fondation de « l’islam de France »

SNCF, Aéroports de Paris, SNI ou encore Dassault : tous ont balancé une fortune et se sont mis au service de cette fameuse « Fondation de l’islam de France », lancée officiellement jeudi, et dont la mission, nous dit-on, serait de « contribuer à mieux faire connaître la religion et la civilisation musulmanes » aux Français. En clair, à les islamiser !

« D’utilité publique » ?

Après la parution mardi au Journal officiel du décret portant création de cette Fondation « reconnue comme établissement d’utilité publique », son premier conseil d’administration s’est ainsi tenu jeudi à l’Assemblée, autour de son président Jean-Pierre Chevènement et de quelques personnalités dites « qualifiées », telles que l’écrivain Tahar Ben Jelloun, le théologien Ghaleb Bencheikh, le recteur de la grande mosquée de Lyon Kamel Kabtane, le cadre supérieur d’entreprise Najoua Arduini-Elatfani ou encore le président du CFCM, Anouar Kbibech.

Succédant à la « Fondation des œuvres de l’islam de France », créée en 2005 mais qui n’a jamais fonctionné en raison de dissensions liées à la rivalité des grandes fédérations musulmanes, cette nouvelle fondation, espère l’Intérieur, devrait contribuer « à faire émerger un islam de France pleinement inséré dans la République et à lui donner une visibilité accrue auprès du grand public ». Et c’est à cette fin qu’elle sera « appelée à soutenir des projets à caractère culturel, social ou éducatif », tels que la « recherche universitaire en islamologie » et la « formation profane des imams ». Sans oublier, bien sûr, « des initiatives en faveur de la jeunesse »…

Avec la complicité du Capital

En clair, sous couvert de lutte contre la « radicalisation », le gouvernement vient de mettre en place une vaste entreprise d’islamisation de nos compatriotes. Et cela, bien sûr, avec la complicité des grandes entreprises que sont la SNCF, Aéroports de Paris, SNI ou encore Dassault, qui a déjà versé près d’un million d’euros à la Fondation !
Et ce n’est pas fini. Car, comme le confiait un proche du dossier, si « d’autres entreprises, publiques ou privées, n’ont pas souhaité s’engager lors de la création de la fondation », celles-ci cependant « se sont dites prêtes à financer des projets spécifiques ».

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10 ans de prison pour le buraliste du Tarn qui avait tué un cambrioleur

 

 
  Peine alourdie pour Luc Fournié. Le buraliste du Tarn qui avait tué un cambrioleur de 17 ans a été condamné vendredi en appel à Toulouse à 10 ans de prison, soit trois ans de plus qu’en première instance, par la cour d’assises de Haute-Garonne.


La décision, prononcée après 5 heures 30 de délibéré, a entraîné une vague d’émotion et de colère chez la famille de Luc Fournié, alors que des pleurs résonnaient du côté des proches de la victime. L’accusé, qui comparaissait libre, a semblé assommé.


Mise en place d’un « stratagème » par Luc Fournié

Dans son verdict, la cour a écarté la légitime défense, jugeant qu’il y avait une « totale disproportion » dans la riposte de Luc Fournié, avec notamment la mise en place, au cours des jours précédents, d’un « stratagème afin de pouvoir tirer sur tout intrus qui entrerait ».

Jugeant le verdict « absolument aberrant, incompréhensible », Me Georges Catala, avocat de la défense, a indiqué son intention de se pourvoir en cassation. La cour a « refusé ce glissement dangereux de la légitime défense à l’autodéfense, que la force l’emporte sur le droit », s’est au contraire félicité Me Simon Cohen, avocat des parties civiles.

Dans son réquisitoire, l’avocat général avait exclu la légitime défense mais en requérant « cinq ans d’emprisonnement, en n’excluant pas l’octroi du sursis simple pour une partie, voire pour la totalité de la peine ». Il avait demandé aux jurés de retenir une peine « proportionnée, juste, équitable et socialement utile ».

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Mosquée de Villiers : un mois après la fermeture, les musulmans n’ont toujours pas de lieu de culte

 

 
Il est clair que cela n’est pas son sujet préféré. Un mois après la fermeture de la mosquée de Villiers, celui qui la présidait veut tourner la page. « Ce n’était pas une mosquée salafiste, persiste-t-il, les fidèles ne comprennent pas sa fermeture et l’autre jour j’en ai trouvé qui pleuraient devant… » Mais Ali Oumari a surtout envie de mettre tout cela derrière lui. A presque 80 ans, il « croit qu’[il] va démissionner ». « Pour le moment je tiens la barre, mais je ne suis plus aussi fort », lâche-t-il comme un aveu d’impuissance.
Le 2 novembre dernier, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur, fait fermer administrativement la mosquée El Islah de Villiers. Dans l’arrêté préfectoral toujours placardé sur la porte, on peut lire qu’elle est un « lieu de référence influent de la mouvance salafiste, représentant par son fonctionnement et sa fréquentation, une menace grave pour la sécurité et l’ordre public ». L’Etat l’accuse également d’avoir permis à des djihadistes de se retrouver et d’avoir hébergé une école coranique. Quoiqu’il en soit, les quelques 800 fidèles de la mosquée ont dû s’organiser. « Certains vont à Bry, d’autres à Champigny… Mais tous me demandent de faire quelque chose », poursuit le président de la mosquée. Dans l’optique de créer un nouveau lieu où la communauté pourrait se réunir, Ali Oumari a trouvé un terrain, mais attend de pouvoir acheter un barnum. « Ils ont aussi un problème de nivellement du terrain à régler », précise le maire (LR), Jacques Alain Bénisti. Lors de la fermeture, ce dernier avait promis de ne pas laisser la communauté à la rue et de lui trouver un barnum, tout en précisant que sauf pour une fête exceptionnelle, il refusait de prêter un local pour une cérémonie religieuse.

 
Un argument rejeté aujourd’hui par une partie de l’opposition, qui estime que la mairie pourrait « ponctuellement », c’est-à-dire le vendredi, mettre un lieu à la disposition de la communauté. « A situation exceptionnelle, disposition exceptionnelle, assène Frédéric Massot, président du groupe socialiste à Villiers. Je me demande juste s’il y a bien un traitement égalitaire. »

Les musulmans de Villiers eux, préfèrent rester loin des querelles, inquiets qu’on puisse leur reprocher leur comportement. « Tout le monde aimerait que ça aille mieux, dit l’un d’eux. Mais on ne fera pas n’importe quoi ».

Clawdia Prolongeau

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L’Allemagne voudrait-elle organiser la « remigration » ?

 

 

En octobre 2017, Angela Merkel pourrait être sortie du pouvoir par les électeurs allemands de plus en plus furieux contre la funeste politique menée par la chancelière. Cela fait trois ans que Madame Merkel encourage les « migrants » à s’installer dans le pays de Goethe. Alléchés par l’aubaine, ils ont été plusieurs millions à débarquer dans l’espace Schengen, ouvert aux quatre vents.

Depuis lors, l’impopularité de cette fille de pasteur ne cesse de croître. Par son inconscience, elle a donné un signal à tous les candidats à l’exil, aussi nombreux que pressés. Toutefois, les élections approchant et l’Alternative für Deutschland menaçant le pouvoir conservateur en ne cédant pas au chantage moral que lui font subir médias et classe politique, Angela Merkel ne peut que revoir sa copie, non par conviction mais par opportunisme. C’est ainsi qu’après avoir pratiqué l’accueil illimité, le gouvernement allemand se trouve désormais dans l’obligation de lancer un programme de 150 millions d’euros destiné à l’aide au retour, concernant principalement les « demandeurs d’asile » déboutés mais aussi les oiseaux rares qui entendent tout simplement retourner dans leur pays.

L’Allemagne pourrait donc lancer la première vague de « remigration ». 


Enfin, une « remigration » animée par des principes utopiques. Gerd Müller, ministre du Développement (à ne pas confondre avec son célèbre homonyme champion de football), a indiqué au quotidien régional Augsburger Allgemeine que ce fonds serait l’occasion d’offrir un « nouveau départ » aux em> »migrants venus d’Irak ou d’Afghanistan », lesquels recevraient, pour les y aider, « de l’éducation, une formation, des emplois et des aides »
 
 On croit rêver.
 Évidemment, le discours tenu par la CDU est hypocrite et irréaliste, simplement mû par la volonté de ne pas laisser l’AFD accéder aux plus hautes responsabilités dans l’avenir. Ces 150 millions d’euros ne serviront strictement à rien. Qui peut, en effet, imaginer que ces hommes seuls qui ont tout quitté pour partir pourraient avoir envie de faire le chemin en sens inverse ?

Seule une politique de fermeté absolue, à la manière de ce qui est pratiqué par la grande démocratie qu’est l’Australie, sera à même de répondre à la crise migratoire ou, devrais-je dire, à la crise démographique que nous vivons. Dans cette perspective, une alliance stratégique avec les pays du Maghreb, confrontés aux mêmes problèmes, pourrait être envisagée. Leurs frontières sont régulièrement franchies de force par des migrants subsahariens, tant parce que la vie y est un peu moins rude que chez eux que dans l’espoir de pouvoir par la suite aller en Europe.


Dernièrement, les nouveaux Montaigne défonçaient la frontière hispano-marocaine. Rien ne saurait les retenir. Sévir ou subir ? Il faudra choisir.

 Gabriel Robin

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En route pour le Grand Remplacement : nos sociétés refusent la fertilité !

 

 
Le Québec souffre des conséquences d’un véritable génocide en douce à l’heure où l’IVG est sanctuarisée en France. Il importe de témoigner de la réalité avant que la police de la pensée ne finisse par imposer sa chape de plomb sur toute la francophonie.

La question de la liberté d’expression – dans le cas du projet de loi français sur le délit d’entrave à l’IVG – revient hanter tous les patriotes qui se mobilisent contre la pensée unique. En effet, une fois le débat sur l’IVG confisqué, l’oligarchie en place pourra légiférer sur le droit de discuter de l’immigration, des frontières ou du mariage. La gauche caviar perd, manifestement, les pédales à l’heure où elle risque d’être remerciée de ses services par le peuple.
Chez nous, au Québec, il est malaisé de traiter d’un sujet aussi controversé que l’IVG et, bien que nos lois soient moins liberticides que celles qui prévalent chez vous, plusieurs officines de la rectitude politique veillent au grain. C’est tout de même cocasse de profiter de la controverse qui entoure le nouveau projet de loi français pour venir s’épancher sur le sujet en profitant de l’hospitalité d’un site de réinformation comme le vôtre. On se sent, littéralement, entre l’arbre et l’écorce ! 

La natalité est en baisse au Québec, comme en France, et l’augmentation incessante des ratios d’immigrants fait en sorte d’accélérer un phénomène que certains qualifient de « Grand Remplacement » chez vous. Plus de 50.000 immigrants déferlent, année après année, sur le Québec et les oligarques aux manettes aimeraient hausser la cadence jusqu’à atteindre le nombre fatidique de 75.000 nouveaux venus. On parle d’une véritable déferlante migratoire alors que la population totale du Québec avoisine les 8 millions d’âmes. Les Québécois tentent, bon an mal an, d’absorber un ratio d’immigrants deux fois plus élevé que chez leurs cousins français. Et il faut ajouter à ce tableau l’incontournable réalité des IVG qui dépassent le cap des 25.000 cas recensés chaque année.
Une donne qui est biaisée depuis que la loi n’oblige plus les praticiens à émettre une déclaration en bonne et due forme. La société du spectacle impose ses dogmes et ceux ou celles qui refusent de s’y soumettre s’exposent à en payer le prix. Prônant d’accessoires droits de la personne, asservis à la libre circulation du capital, la nouvelle inquisition libérale-libertaire mousse des plans qui sont manifestement destinés à dissoudre tout ce qui fondait la famille, socle de notre civilisation. Nos censeurs réclament l’ouverture des frontières à une immigration croissante et interdisent, d’office, tous les mouvements citoyens qui ambitionnent de défendre la famille. Voyez-vous, la famille, contrairement aux images d’Épinal véhiculées par la gauche institutionnelle, n’est pas une institution bourgeoise. Il s’agit de la fondation sur laquelle nous avons bâti nos sociétés depuis la nuit des temps. Il est peut-être temps que les hommes et les femmes se questionnent sur leur rapport avec une sexualité qui s’apparente, de plus en plus, à une fuite en avant.

L’IVG ne doit pas devenir une forme de contraception comme une autre. Notre société décervelée aurait besoin d’un temps d’arrêt pour que les hommes et les femmes puissent réapprendre à s’aimer. Puisque l’amour possède ses propres saisons qu’il importe de respecter, comme l’agriculture ou le temps de la chasse. Sans pour autant rejeter les méthodes contraceptives qui existent, il serait sage que la femme apprivoise les cycles qui fondent son bios. Et que l’homme sorte de sa léthargie libidinale ! Mais nous sommes loin de la coupe aux lèvres. Débattre de l’avortement ne consiste pas à vouloir l’interdire ou en faire la promotion, mais devrait plutôt, dans une société saine d’esprit, nous aider à prendre conscience de cette infertilité qui fonde nos rapports trop souvent égoïstes.

 Patrice-Hans Perrier

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La France une terre d’islam ? Philippe de Villiers : Les cloches sonneront elles encore demain ?

 

 
 

Immigration: Près de 400 personnes forcent la frontière Maroc-Espagne à Ceuta

 

 
Près de 400 migrants originaires d’Afrique subsaharienne ont forcé vendredi à l’aube la haute barrière entourant l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc, l’assaut le plus important depuis plus de dix ans, a-t-on appris auprès de la préfecture locale.


Les migrants ont réussi à forcer les portes en deux points de la barrière de six mètres de haut entourant l’enclave, a précisé à l’AFP un porte-parole de la préfecture.

Les images publiées par le journal local El Faro de Ceuta sur son site montrent des dizaines de migrants euphoriques, certains torse nu ou pieds nus, criant « España! ».

Selon le ministre de l’Intérieur Juan Ignacio Zoido, en déplacement à Bruxelles, près 20% d’entre eux n’étaient pas encore localisés en début de matinée.

« Il faut remonter au début des années 2000 pour atteindre ce genre de chiffres », a déclaré à l’AFP un porte-parole de la préfecture.
Le secrétaire d’Etat à la Sécurité, José Antonio Nieto, a d’ailleurs annoncé un déplacement dans l’enclave à la mi-journée.

La Croix-Rouge affirme avoir soigné 103 migrants, dont 25 ont été transférés à l’hôpital pour des blessures sans gravité lors de l’assaut, essentiellement des points de suture.

Selon les images tournées par El Faro, certains semblent blessés, victimes d’écorchures aux pieds ou à la tête, et d’autres étaient encore en début de matinée perchés en haut de la double clôture.
La dernière entrée massive remonte au 31 octobre, quand près de 220 migrants avaient franchi deux portes d’accès de la barrière de Ceuta lors d’un « assaut » similaire qui avait fait 35 blessés dont trois gardes civils.

L’objectif des migrants, sans-papiers pour la plupart, est de se rendre au centre de séjour temporaire pour étrangers (CETI), où ils doivent en principe avoir la possibilité de présenter une demande d’asile.

Des organisations de défense des droits de l’Homme épinglent régulièrement l’Espagne pour le traitement réservé aux migrants dans les enclaves de Ceuta et Melilla, les deux seules frontières terrestres de l’Union européenne avec l’Afrique.

En novembre, Amnesty International a qualifié ces villes de « territoires de non-droit », dénonçant notamment des violences policières des deux côtés de la frontière et des refoulements illégaux de demandeurs d’asile entrés en territoire espagnol.

Karifa Zoumanigui 

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samedi, 10 décembre 2016

Immigration clandestine. Un réseau démantelé, 8 arrestations en France

Europol a annoncé ce vendredi avoir démantelé un réseau de passeurs de migrants somaliens. Neuf personnes ont été arrêtées, dont huit en France.

 
Un réseau de passeurs, qui a fait venir illégalement en Europe des centaines de personnes originaires de la corne de l’Afrique, a été démantelé et neuf personnes arrêtées, dont 8 en France, à Strasbourg, Modane (Italie) et Paris, a annoncé Europol vendredi.
 
Parmi les personnes arrêtées, deux Somaliens ont été mis en examen et écroués à Nancy pour aide au séjour irrégulier en bande organisée, a indiqué le vice-procureur de la juridiction inter-régionale spécialisée (JIRS) de Nancy, Mathieu Fohlen.
Arrêtées à Strasbourg et écrouées l’une jeudi, l’autre vendredi, ces deux personnes, qui nient les faits, vivent en France depuis plusieurs années, en situation régulière, a-t-il ajouté.

Utilisation de faux papiers

 

« L’instigateur du réseau, arrêté aux Pays-Bas », devrait également être entendu à Nancy, a précisé M. Fohlen.Les policiers de l’office central pour la répression de l’immigration irrégulière (Ocriest) ont été saisis.

Selon un communiqué d’Europol, « ce réseau criminel, composé de Somaliens résidant pour la plupart en France et en Italie, a fait passer clandestinement des migrants somaliens de l’Italie vers d’autres pays, dont la Belgique, les Pays-Bas, la France, l’Allemagne et d’autres pays du Nord ».

Si certaines personnes étaient emmenées depuis l’Italie « en voiture, en train ou en car, d’autres venaient directement d’Afrique vers l’Europe par avion, en passant par l’Asie, et en utilisant de faux papiers », poursuit le communiqué.

Des mandats européens

 

Le démantèlement du réseau fait suite à « un long travail d’enquête » des autorités italiennes, souligne encore Europol, et à une coopération efficace entre les services des différents pays, qui a permis l’exécution de mandats d’arrêts européens menant à l’arrestation « de l’un des principaux suspects » aux Pays-Bas.
En France, où une enquête est ouverte depuis un peu plus d’un an à Nancy sur cette affaire, ce sont notamment des écoutes qui ont permis d’identifier à Strasbourg « plusieurs logisticiens du réseau ».

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Allemagne : un membre de Pegida arrêté après un attentat contre une mosquée

Le suspect, Nino K., s'était fait remarquer à l'été 2015 en dénonçant publiquement les «étrangers criminels», lors d'un rassemblement du mouvement islamophobe Pegida.

Un homme a été arrêté en Allemagne dans l'enquête des deux attentats à la bombe commis fin septembre à Dresde, dans l'est du pays, dont un contre une mosquée, ont annoncé vendredi le Parquet et la police.

Placé en détention, Nino K., 30 ans, est connu pour avoir été l'un des orateurs du mouvement islamophobe Pegida lors d'un rassemblement organisé à Dresde à l'été 2015, a annoncé la police. Il y avait invectivé la foule en dénonçant les «étrangers criminels» et «les Africains feignants», comme on peut le voir dans cette vidéo YouTube (en allemand).


Nino K. est soupçonné d'avoir fait exploser une bombe le 29 septembre au soir devant la porte d'entrée d'une mosquée turque située près de la gare de Dresde, sans faire de victime, quelques jours avant la fête nationale. L'attentat avait suscité un vif émoi, d'autant que l'imam, son épouse et leurs deux enfants se trouvaient alors dans l'édifice.
 

Les enquêteurs l'accusent en outre d'avoir fait exploser, le même soir, un engin artisanal sur la terrasse d'un centre de congrès de la capitale de la Saxe.

Son domicile perquisitionné


Le suspect a été interpellé jeudi en Hesse, dans le centre du pays, sur un chantier de construction qui l'emploie, et deux perquisitions menées chez lui et sur son lieu de travail ont permis de retrouver du matériel pouvant servir à la fabrication d'explosifs, a précisé Wolfgang Klein, porte-parole du procureur général de Dresde.

Selon le parquet, «aucun élément» n'indique pour l'instant qu'il ait pu «appartenir à un groupe», et la piste d'un «homme agissant seul» est pour l'heure privilégiée.

Dresde, «capitale» de l'islamophobie allemande


Dresde avait accueilli le 3 octobre les cérémonies annuelles marquant le 26e anniversaire de la Réunification allemande en présence notamment de la chancelière Angela Merkel et du président Joachim Gauck. Mme Merkel avait été sifflée et prise à partie par une foule mécontente et virulente.

Dresde, ville de plus de 500 000 habitants dans l'ancienne RDA communiste, est devenue depuis deux ans le théâtre de manifestations anti-islam et antiréfugiés du mouvement Pegida alors que la population étrangère y est peu nombreuse.

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Valls: "horreur" sur le refus de scolariser des étrangers

 

 
Manuel Valls, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, a qualifié vendredi d'"horreur" les propos de Marine Le Pen, prônant d'interdire l'école aux enfants étrangers en situation irrégulière.

"C'est une horreur ce que dit Marine Le Pen. Ce n'est pas uniquement que c'est contraire à notre constitution, c'est une vision de la société", a déclaré l'ancien Premier ministre (PS) au micro de BFMTV/RMC.


"Le projet de Marine Le Pen et de l'extrême droite, c'est l'affrontement entre les citoyens. J'en ai assez de tous ces discours qui stigmatisent là nos compatriotes musulmans, là les réfugiés qui fuient la guerre (...) et ici les étrangers, les immigrés", a déclaré l'ex-chef du gouvernement.

"Je ne veux pas que l'extrême droite soit au deuxième tour de l'élection présidentielle parce que son projet, non seulement sortirait la France de l'Histoire, en la faisant sortir de la zone euro et de l'Europe, mais (...) ruinerait les petits, les sans-grade, les ouvriers, les retraités, il faut leur dire", a-t-il affirmé.

Marine Le Pen s'était attiré jeudi une volée de critiques en prônant de barrer l'accès à l'école aux enfants étrangers en situation irrégulière et de faire payer la scolarité pour ceux dont les parents en situation régulière ne travaillent pas. 

"Je n'ai rien contre les étrangers, mais je leur dis: +Si vous venez dans notre pays, ne vous attendez pas à être pris en charge, à être soignés, que vos enfants soient éduqués gratuitement, maintenant c'est terminé, c'est la fin de la récréation!+" a lancé la présidente du FN, interrogée par l'institut de sondage BVA.

Mme Le Pen a ensuite très rapidement précisé à l'AFP que ces propos ne concernaient en fait que les enfants de "clandestins".
Cette position figurait déjà en 2012 au programme du Front national (celui de 2017 devrait être dévoilé fin janvier), au contraire d'une nouvelle mesure annoncée à l'AFP jeudi: une "contribution au système scolaire de la part des étrangers, sauf s'ils cotisent en situation légale". "Demander une participation aux étrangers pour la scolarisation de leurs enfants en France est une mesure qui ne me choque pas outre mesure, cela se fait dans beaucoup de pays", a dit Mme Le Pen.

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