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lundi, 19 décembre 2016

Présidentielle: moins de 30% des Français souhaitent la victoire de Fillon

 

 Moins de trois sondés sur dix (28%) souhaitent la victoire de François Fillon, candidat de la droite, à l’élection présidentielle de 2017, selon un sondage* Ifop pour le Journal du dimanche.

10% des personnes interrogées souhaitent « tout à fait » la victoire du député de Paris, et 18% « plutôt ». Parmi les sympathisants de LR, ils sont 76% à souhaiter cette victoire, contre 17% de ceux du FN et 8% des sympathisants de gauche. À l’inverse, 72% des sondés ne souhaitent pas la victoire dans cinq mois de l’ancien Premier ministre (34% « plutôt pas » et 38% « pas du tout »).
Plus d’un sondé sur deux (55%) pense cependant que François Fillon va l’emporter en mai prochain. 82% des sympathisants de LR, 50% de ceux de la gauche et 45% des sympathisants FN pensent qu’il gagnera.

Par ailleurs, 54% pensent qu’il a la stature d’un président de la République, 47% qu’il est capable de réformer le pays et 46% qu’il tient les engagements qu’il prend. En revanche, ils ne sont que 28% à penser qu’il comprend les problème des gens et ils sont 62% à s’inquiéter de son programme. 

*Sondage réalisé du 14 au 16 décembre en ligne et par téléphone auprès d’un échantillon représentatif de 987 personnes (méthode des quotas).

Source 

Entretien avec le Bernard Plouvier, auteur du livre LE DERANGEMENT DU MONDE

 

 
(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul, publiés sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés.
« Mon objectif est de traiter des trois compagnons maudits de l’être humain :
l’angoisse existentielle, l’ennui et la solitude,
et d’envisager une étude des remèdes, erronés ou bons,
dont l’histoire porte témoignage »
Que signifie le sous-titre de ce livre : « des erreurs et des hommes » ? Est-ce que par hasard vous vous prendriez pour un gourou omniscient ?
Certes non. Je ne prétends nullement au statut de pontife de la philosophie. Quant à l’omniscience, je la laisse bien volontiers aux « politologues », ces curieux spécialistes à la mode, qui développent leur arrogante suffisance en une époque où la politique n’est plus que l’humble servante de l’économie globale.
Mon objectif est de traiter des trois compagnons maudits de l’être humain : l’angoisse existentielle, l’ennui et la solitude, et d’envisager une étude des remèdes, erronés ou bons, dont l’histoire porte témoignage.
Il va pleuvoir des vérités premières ; faut-il tendre nos vastes tabliers pour les récolter ?
Bravo pour la citation de Tristan Bernard, mais le problème mérite mieux qu’une boutade, puisque après tout, chaque être humain un peu dégagé de l’animalité est confronté aux trois facteurs majeurs cités plus haut.
La société de consommation offre en abondance les remèdes ultra-classiques, mais autrefois moins aisément abordables : l’excès de nourriture, la sexualité sous tous ses aspects (qui n’ont rien de bien neuf, car ce n’est pas à un vieux singe, comme l’est collectivement l’humanité, que l’on apprend à grimacer), l’alcool, le tabac, les stupéfiants (et de nombreux commerçants de haschisch sont favorables à sa libre consommation), auxquels la chimie moderne a joint les tranquillisants et les antidépresseurs.
Et les autres remèdes, moins minables, pour lutter contre les démons de l’être humain ?
Ils sont nombreux et ce livre en est une recension, probablement non exhaustive. Une majorité d’humains dotés de sens moral se contentent de trois valeurs fondamentales : honneur, travail et famille… et nul ne peut le leur reprocher ! Certains y joignent une passion pour le sport, qui risque de tourner au narcissisme, ou une activité manuelle, d’utilité pratique souvent évidente.
On peut être tenté par l’aventure collective de la politique. Très vite toutefois, force est de constater que l’idéaliste est une exception dans ce milieu où abondent les vulgaires ambitieux. De façon universelle et à toute époque, ce milieu, si proche de celui des malfrats, a dégagé de forts relents de pourriture.
D’autres individus fort insatisfaits de leur sort ont recours aux féeries de l’imagination pour embellir un quotidien plat, médiocre et parfois ignoble. À notre époque de triomphe des images virtuelles, ces poètes passifs sont à la fête, mais risquent fort de se détacher des réalités de la vie.
L’intellectuel pur calme son angoisse, son ennui, sa solitude en essayant d’appréhender le monde de l’extérieur, soit rationnellement, découvrant un peu tard qu’il n’existe aucune certitude, aucune « vérité » en dehors de la simple arithmétique.
À l’opposé, l’on trouve une majorité d’humains pour se jeter avec passion dans l’irrationnel, assurés qu’ils sont de pénétrer les mystères intimes de l’Univers. Que ce soit par l’entremise d’une religion établie, par de subtiles dissertations métaphysiques concoctées en cénacles ou par des rituels de magie, tous souhaitent en tirer une gratification. On n’évoque l’essence supérieure, imaginée par un cerveau humain plus ou moins pathologique, que dans l’espoir qu’elle s’occupera personnellement, voire préférentiellement du croyant et de ses proches.
Le cerveau humain étant ce qu’il est, toutes ces options ne sont pas dénuées de risque pour l’individu ni pour la collectivité. La conviction, qu’elle soit de nature religieuse, politique ou scientifique débouche presque inévitablement sur le fanatisme et la violence.
Les comportements animaux – et l’homme actuel n’est que l’exemplaire le plus élaboré du monde animal terrestre – étant génétiquement programmés, donc non susceptibles d’éducation ni de rééducation, sauf cas de sainteté dont on voudra bien admettre qu’elle fut toujours et partout une exception, l’humanité refait constamment les mêmes erreurs depuis qu’elle est apparue.
Il est vain d’espérer grand-chose de l’eugénisme, soit la sélection des reproducteurs. Le fils du grand Wolfgang Mozart (et de Constance Weber, nièce de Carl-Maria) ou celui du grand Wagner (petit-fils, par sa mère, de Franz Liszt) furent de très médiocres compositeurs. Et l’on pourrait multiplier les exemples de nullités issues de parents remarquables. À l’inverse, nombre de génies (tels le pape Sylvestre II ou le grandiose Kepler) sont nés dans la fange.
En attendant que notre espèce disparaisse ou mute en surespèce, il n’est pas inutile de réfléchir aux errements des humains pour tenter, chacun pour soi, d’utiliser au mieux ses dons et d’orienter ses pulsions de façon utile à la communauté.
Le dérangement du monde de Bernard Plouvier, Éditions de l’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux », dirigée par Philippe Randa, 582 pages, 37 euros.
BON DE COMMANDE
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Les autres livres disponibles de Bernard Plouvier :
… ex. Dictionnaire de la Révolution Française (39 euros).
… ex. François d’Assise. L’utopie Évangèlique et l’attente de la Parousie au prix de 27 euros.
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Une mosquée de Château-Thierry victime d’un incendie criminel

 

 
Un incendie a ravagé la salle de prière des femmes de la mosquée du quartier du Patis Saint-Martin à Château-Thierry…

Source 

samedi, 17 décembre 2016

Nouvelle prison dans le Rhône : six terrains choisis par le préfet

 


C'est une liste secrète que le préfet du Rhône doit remettre au gouvernement.

Selon le Progrès, elle contient six emplacements potentiels pour accueillir la future prison du Rhône. Manuel Valls et Bernard Cazeneuve avaient annoncé en octobre leur volonté de construire de nouveaux établissements pénitentiaires partout en France, et notamment un site de 500 places dans la région de Villefranche-sur-Saône. Une décision qui avait pris de court le préfet, mais aussi le maire de Villefranche Bernard Perrut qui avait rappelé qu'il comptait déjà une maison d'arrêt sur sa commune.

Selon nos confrères, Michel Delpuech a donc sélectionné six emplacements dans tout le département. D'où sa décision de ne pas communiquer à ce propos, pour ne pas se mettre à dos les différents maires voire habitants concernés. Il semblerait même que le Rhône puisse échapper au plan gouvernemental, si une solution est trouvée dans un département limitrophe.

Les premières décisions devraient tomber en mars 2017, à l'occasion de la remise du premier rapport d'une commission nommée par le ministère de la Justice.

Source 

Bernard Tapie qui n'y connait absolument rien a l'immigration menace Eric Zemmour «Je vais me lever, je vais t'en mettre une»

 

 

Bernard Tapie, c'est une honte pour la France, comment peut on encore inviter ce genre d'orang outan ultra gauchiste justiciable sur un plateau de télévision !!! aurait il besoin de sous pour finir ses fins de mois !!!

 

Les deux personnalités, connues pour ne pas mâcher leurs mots, ont eu un échange musclé sur un plateau de télévision, alors que le ton du débat, qui portait sur le multiculturalisme, commençait à monter.
 
«Vous êtes ringard, vous avez trente ans de retard.» Ces mots, qui lui ont été adressés par Eric Zemmour, n'ont visiblement pas plu à Bernard Tapie. Le chroniqueur reprochait à l'homme politique de prôner un «discours multiculturel» déconnecté de la réalité en banlieue. «Ne dis pas des conneries !», s'est agacé une première fois Bernard Tapie, alors que le journaliste venait de lui lancer : «Vous ne connaissez rien !»
 
Alors que le ton montait sur le plateau de l'émission Zemmour et Naulleau diffusée le 14 novembre, l'échange d'arguments a fait place aux menaces. «Je vais me lever, je vais t'en mettre une», a prévenu Bernard Tapie, apparemment excédé par les violentes critiques de son contradicteur.
 
 
S'il n'a pas mis sa menace à exécution, Bernard Tapie, qui a décidé de faire son retour en politique en décembre 2015, n'en a pas pour le moins perdu son sang froid.
 
«Baissons d'un ton, déjà parce que vous ne boxez pas dans la même catégorie !», a réagi Eric Naulleau, tentant d'apaiser une tension plus que palpable. 
 

Mantes-la-Ville : la justice donne encore raison à l’association des musulmans

 

 
Une nouvelle fois, la justice a tranché en faveur de l’association des musulmans de Mantes-sud (AAMS) contre la mairie FN de Mantes-la-Ville. Ce vendredi, lors d’une audience au tribunal administratif de Versailles, les juges ont donné raison à l’association qui contestait le refus du maire de délivrer un permis de construire pour des travaux à la mosquée des Merisiers. « Le tribunal oblige le maire Cyril Nauth à étudier le permis d’ici trois mois. Il a été condamné pour détournement de pouvoir », se félicite Aziz El Jaouhari, président de l’association des musulmans de Mantes -sud. Le maire dispose de deux mois pour faire appel.

Source 

Un an de prison ferme pour l'auteur d'un livre antisémite

 

 

Hervé Lalin (dit Ryssen) était jugé pour plusieurs passages de son livre, dans lequel il qualifie notamment les juifs de «secte incestueuse».

 

Déjà condamné a plusieurs reprises pour des messages antisémites publiés sur les réseaux sociaux, le militant d'extrême droite Hervé Lalin (dit Ryssen) a écopé de cinq mois de prison ferme ce jeudi pour plusieurs passages de son livre «Comprendre le judaïsme - comprendre l'antisémitisme».

Là où son auteur soutient que cet ouvrage représente «l'étude la plus sérieuse et la plus importante sur ce sujet depuis trois mille ans», le tribunal correctionnel de Paris a condamné des injures et diffamations antisémites, ainsi que des provocations à la discrimination.
 

Des faits d'une «exceptionnelle gravité»


Dans ce livre, Hervé Lalin qualifie notamment les juifs de «secte incestueuse», leur attribue un «projet d'asservissement de l'humanité», les accusant d'être omniprésents et omnipotents. Le tribunal a souligné l'«exceptionnelle gravité» des faits reprochés au prévenu, «la violence et la réitération des propos et la stigmatisation à l'égard des juifs constante, affirmée et assumée, qu'ils traduisent».
 

Hervé Lalin a en outre été condamné à verser à la Ligue des droits de l'Homme (LDH), la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et SOS Racisme 1 000 euros de dommages et intérêts chacune. S'y ajoutent, au titre des frais de justice, 2 000 euros pour chacune des deux premières et 3 000 euros pour la dernière, qui avait porté plainte.

Source 

Harcèlement de rue en france et immigration...

 

 
 

Vols ultraviolents contre des Chinois: 6 à 14 ans de prison pour cinq accusés

 

 
La cour d’assises de Paris a condamné ce soir cinq des sept accusés, jugés pour des vols ultraviolents commis en 2012 aux domiciles de commerçants asiatiques, à des peines allant de 6 ans de prison à 14 ans de réclusion criminelle, les deux autres étant acquittés L’avocat général, Philippe Courroye avait requis mardi des peines allant de douze à vingt ans de réclusion criminelle contre six accusés et l’acquittement du septième.

Canon de pistolet dans la bouche, chairs lacérées, doigt entaillé au sécateur… le représentant du ministère public avait appelé les jurés à « sanctionner des faits d’une violence extrême », qualifiés de « tortures ». Au total, cinq agressions ultraviolentes commises entre juillet et novembre 2012 sont reprochées aux accusés.

Comme dans un film d’horreur, les auteurs n’hésitaient pas à taillader leurs victimes avec une feuille de boucher ou un couteau pour les faire parler. Si le dernier coup leur a rapporté 40.000 euros, les autres se sont soldés par des gains bien plus modestes. Seules cinq victimes ont osé se porter parties civiles. La cour d’assises a condamné à quatorze ans de réclusion criminelle Farouk Benouadfel, 34 ans, décrit comme « le chef » de la bande, « le donneur d’ordres qui pourvoyait ses complices en informations » sur les cibles. Il avait un « ascendant » sur le groupe et se situait, avec 17 condamnations sur son casier judiciaire, « au plus haut de leur hiérarchie criminelle », a expliqué l’avocat général.
Dans le box, l’accusé, barbe fournie, s’était présenté lui même à l’audience comme un « intégriste » et avait refusé de se lever à l’entrée de la cour, lui déniant toute légitimité pour le juger. Des peines de 10 ans de réclusion criminelle ont été prononcées à l’encontre de Jonathan Eustache, 31 ans, et Jamal Biganzi, 29 ans, présentés par l’accusation comme les recruteurs de la bande. Enfin, la cour a condamné à six ans de prison Yasser Mouigni, 28 ans, et Aboulai Gakou, 27 ans, dépeints comme des exécutants. Les deux derniers accusés, Nabil Kilou, 25 ans, et Rachid Ben Jamaa, 32 ans, ont été acquittés.

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Toulouse : engin incendiaire découvert devant une église

 

 
L’engin, placé devant l’église de la paroisse Saint-André, a été découvert et neutralisé au matin du vendredi 9 décembre dernier.
Un dispositif incendiaire déposé devant un lieu de culte à Toulouse. Le scénario n’est pas une fiction. Il s’est bien produit, la semaine dernière, devant la paroisse Saint-André, chemin Michoun, dans le quartier de la Roseraie […] Un carton, contenant plusieurs bouteilles ainsi qu’un dispositif possiblement dangereux, a été découvert sur les lieux. Les policiers se sont rendus sur place et ont pris en charge le “paquet”. Une fois ramené au commissariat central, l’ensemble a fait l’objet de toutes les attentions dans la cour d’honneur de l’hôtel de police. Les bâtiments ont été évacués et les sapeurs-pompiers ainsi que les démineurs ont été appelés sur place […] Un périmètre de sécurité a été établi, le temps, pour les professionnels du déminage d’examiner l’engin qui s’est révélé être un véritable dispositif incendiaire. Il a été neutralisé. Cette découverte inquiétante a donné lieu à l’ouverture d’une enquête confiée au service régional de la police judiciaire de Toulouse (SRPJ). Que faisait ce dispositif devant la paroisse Saint-André ? Quelqu’un en veut-il aux paroissiens ? Dans le contexte de l’État d’urgence et de la sécurité renforcée autour des lieux de culte et […] cette découverte intrigue. Du côté de la paroisse, aucun commentaire même si certains estiment qu’il « doit s’agir de jeunes qui ont voulu faire les malins. Il n’y a pas de peur particulière », assure-t-on. Contacté, le diocèse a indiqué qu’il était « très attentif à la situation. Nous attendons les résultats de l’enquête pour nous prononcer plus avant ». La préfecture de Haute-Garonne doit réunir les représentants du diocèse pour élargir cette année la surveillance autour des lieux de culte dans tout le département. Un dispositif qui n’avait concerné, l’an passé que Toulouse. « Nous avons fait des réunions spécifiques avec les responsables des différents cultes sur les mesures que nous prenons à l’extérieur, mais qu’il appartient aux représentants des cultes de prendre à l’intérieur. Je pense en particulier au contrôle des sacs et des personnes », a confié hier le préfet Pascal Mailhos.
Source : La Dépêche, 15 décembre (merci J. L. R. pour ce signalement)
 
Daniel Hamiche 
 

Paris : session de formation sur l’islam

 


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Le Collectif Saint-Michel Archange organise une journée de formation sur l’islam, qui se déroulera à Paris le samedi 17 décembre (9 h – 17 h). Je vous suggère de ne pas la manquer… Pour vous inscrire, c’est ici !
 
 
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Italie : une crèche peut nuire à la « sensibilité des musulmans »

 

 
Dans la galaxie des média du réel, Boulevard Voltaire n’est pas le moins en pointe pour alerter nos lecteurs sur l’inexorable avancée du Grand remplacement et ses conséquences, notamment civilisationnelles. D’ailleurs, l’intérêt porté à ces questions dépend davantage d’une profuse actualité obstinément et délibérément occultée par les média « mainstream », que de choix éditoriaux qui seraient orientés ou connotés, comme ceux-ci se complaisent à le répandre à longueur d’ondes ou d’antennes.

Les faits étant farouchement têtus, c’est tout l’honneur des chroniqueurs, éditorialistes, billettistes et reporters luttant contre la « mésinformation », selon le vocable forgé par Vladimir Volkoff, que de s’en tenir à ces mêmes faits, souvent affligeants, arborant bien plus le funeste visage de la Fée Carabosse que celui, plus avenant, de la Fée Clochette.

Derechef, l’on ne pourra donc passer sous silence ce courageux acte de dhimmitude transalpine par lequel le chapelain du cimetière municipal de la cité lombarde de Crémone y a refusé l’installation, comme à l’accoutumée (depuis 2010), d’une crèche de la Nativité à l’entrée du cimetière de la ville. 

La défroque est consommée lorsque notre curaillon argue de ce qu’« un petit (sic !) coin du cimetière [étant] réservé aux tombes musulmanes, un berceau placé à leur vue peut être vu comme un manque de respect pour les fidèles d’autres religions, nuire à la sensibilité des musulmans, ainsi que les Indiens et même les athées ». Tant qu’on y est, ajoutons-y les Témoins de Jéhovah, l’Eglise des saints des Derniers Jours, voire l’amicale philanthropique des anciens adorateurs du Mandarom…

Don Sante Braggiè – ainsi se prénomme ce couard serviteur patenté de notre sainte Mère l’Église – n’hésite pas à associer à sa veulerie les employés de la municipalité, en sous-effectifs, qui, « entre autres choses, sont occupés avec de nombreux crémations » et, paraît-il, guère convaincus par « berceau placé dans un endroit comme cela ». (Corriere della Serra, 9 décembre)

Le prédécesseur de Braggiè, Don Oreste Mori, s’en étrangle d’indignation : « nous ne pouvons pas abandonner notre culture et nos traditions, ce serait une faiblesse impardonnable.
Nous sommes, au moins pour l’instant, en Italie, pas en Arabie Saoudite ».
 Se voulant néanmoins conciliant avec les habitants, un tantinet remontés devant cette apostasie, l’ecclésiastique a tenté de cacher ces saints que l’on ne saurait voir. Ainsi, a-t-il assuré que « la scène de la Nativité sera transportée à l’intérieur de la petite chapelle de Notre-Dame des Douleurs » située à l’arrière du cimetière.
A l’heure où ces lignes sont écrites, une rapide recension de la Toile permet de se rendre compte que, hormis FDesouche et quelques rares sites identitaires, aucun titre de la prétendue « grande presse » nationale n’a repris cette information, au point que Google a pu masquer l’onglet « Actualité », faute de référencements suffisants !
Un non-évènement, semble-t-il, qui, pour anecdotique qu’il soit, porte, nonobstant, témoignage d’une révolution silencieuse sous nos yeux grands fermés. Dans sa préface à l’ouvrage de Bat Ye’or, Le dhimmi : juifs et chrétiens sous l’islam (1985), Jacques Ellul rappelait que « le dhimmi […] n’est pas du tout le résultat d’un hasard historique, c’est ce qui doit être, du point de vue religieux et du point de vue de la conception musulmane du monde. C’est-à-dire, c’est l’expression de la conception totale, permanente, fondée théologiquement de la relation entre l’islam et le non-islam. » Que les politiques ne veuillent pas le comprendre est une erreur. Que l’Église catholique leur emboîte le pas dans la naïveté œcuménique est une faute. Elle se paiera.

Aristide Leucate

Source 

Monsieur Chevènement, l’islam français n’est-il pas qu’un fantasme ?

 

 
Cet islam français tant fantasmé pourra-t-il exister un jour ? En d’autres termes, l’islam importé pourra-t-il devenir un jour un islam local ?

Ces questions sont directement liées aux problèmes de l’intégration, non celle des musulmans comme individus, mais comme principes religieux. Il faudrait questionner le système islamique des valeurs autour duquel tourne toute la vie du musulman. En peu de mots : l’islam, tel qu’il est compris et pratiqué aujourd’hui en France, est-il soluble dans la République ? Pourrait-il vivre en paix au sein de cette société française sécularisée ? Trouverait-il sa place dans cette civilisation sans opérer un changement dans sa nature même ? Ses adeptes qui vivent sur le sol français oseraient-ils adapter les principes de ce qu’ils appellent « charia » à la culture occidentale, sociale et familiale, et surtout légale ? 

Ces questions, et d’autres encore, sont esquivées par le monde des médias et de la recherche pour des raisons diverses, en particulier la peur d’être accusé d’islamophobie. 

Ce vocable est suspendu en France comme l’épée de Damoclès et empêche d’approfondir la question de « l’islam et la civilisation occidentale ». Il est vrai que nous sommes devant une problématique épineuse, mais il revient aux musulmans eux-mêmes de trouver une harmonisation entre leurs croyances et la culture de la société moderne. Il est évident que cela n’est possible que par l’invention d’une approche nouvelle de penser et de vivre, différente, pour ne pas dire en contradiction avec les règles et les principes islamiques répandus. 
 Si le musulman s’adapte et s’intègre d’une façon ou d’une autre dans la société française, le système islamique global – représenté par des associations, des unions, des conseils islamiques – pourra-t-il adhérer à cette mutation et renier ce qui est appelé, dans le jargon islamique, « charia » islamique ou identité islamique ? Telle est la question, Monsieur !

 Hamid Zanaz

Source 

Immigration à Saint-Brieuc. Sous obligation de quitter le territoire, ils restent dans la ville

 

 
Une famille d’Arméniens, déboutée du droit d’asile et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) persiste à vouloir rester en France, à Saint-Brieuc.  Il s’agit d’une jeune femme de 26 ans et de ses deux enfants, dont l’un en bas âge – le compagnon étant loin de sa famille dans le Sud de la France – qui étaient hébergés gracieusement depuis plusieurs mois dans un hôtel à Saint-Brieuc, comme c’est le cas pour beaucoup d’immigrés clandestins dans la commune.

Certains hôtels du centre-ville de Saint-Brieuc, comme d’ailleurs en banlieue nantaise, sont en effet désormais presque monopolisés par des familles ou des groupes d’immigrés clandestins, les clients traditionnels n’étant manifestement plus la priorité de certains hôteliers rémunérés directement par l’Etat.
« Des Arméniens à la rue » titre un quotidien régional subventionné au sujet de cette famille. Arrivée depuis trois ans, et déboutée du droit d’asile (l’Arménie est un pays jugé sûr par l’OFPRA qui a en charge les réfugiés), la famille – actuellement divisée puisque le père est dans le sud de la France – persiste à vouloir rester sur le territoire.
Sur l’obligation de quitter le territoire français, voici ce que dit le site du service public : 
À la fin du délai de 30 jours, vous devez avoir quitté la France par vos propres moyens. Si vous êtes toujours en France passé ce délai, vous pouvez être placé en centre de rétention ou assigné à résidence. C’est l’administration française qui organisera alors votre départ. Cependant, vous ne pouvez pas être éloigné de force tant que le tribunal administratif examine votre recours.
Vous êtes éloigné à destination :
  • de votre pays d’origine. Cependant, vous ne pouvez pas être éloigné si vous vous avez obtenu le statut de réfugié ou le bénéfice de la protection subsidiaire ou si votre demande d’asile est encore en cours. Vous ne pouvez pas non plus être éloigné vers votre pays si votre vie ou votre liberté y sont menacées ou si vous êtes exposés à la torture, à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.
  • ou du dernier pays qui lui a délivré un document de voyage en cours de validité,
  • ou d’un autre pays dans lequel elle peut être légalement admise.
Si jamais le recours devant le tribunal administratif est rejeté la personne doit quitter la France, ou bien être assigné à résidence dans le pays . Dans le cas de cette famille, le délai de trente jour est dépassé, et la Préfecture des Côtes d’Armor rappelle d’ailleurs que la jeune femme est entrée illégalement sur le territoire (premier acte de délinquance) qu’elle a eu le temps nécessaire pour se conformer à son OQTF.
« C’est donc bien elle – ainsi que son compagnon – qui mettent en danger les enfants, qu’on arrête de toujours se servir d’eux comme de caution morale » commente un Internaute. « Quand on dit dehors, c’est dehors, c’est tout. Ce n’est pas notre société qui manque d’humanité, mais c’est bien ceux qui persistent à faire croire à cette famille qu’elle à un avenir ici ». 
Comme à Rennes précédemment avec une famille géorgienne devant être expulsée, des associations de quelques individus ayant des appuis au sein de la presse subventionnée multiplient les recours, et les mobilisations pour faire annuler, au cas par cas, toute possibilité d’expulsion d’individus qui pourtant, son persona non grata sur le territoire.
Pour l’heure, la famille est hébergée chez des amis, et la mobilisation pourrait, une nouvelle fois, aboutir à ce qu’elle finisse par être placée «à l’abri» par le 115, pour l’hiver. Ces exemples à répétition – les dossiers s’accumulent dans les préfectures – démontrent qu’au cas par cas, il est impossible de faire respecter la loi française et de protéger ses frontières d’une immigration rejetée majoritairement par les Français dans tous les derniers sondages.

vendredi, 16 décembre 2016

Bondy (93) : soupçons de viol au collège

 

 
[…] Lundi vers 16 h 30, une ado de 13 ans aurait été entraînée par quatre jeunes âgés de 14 à 16 ans dans les toilettes du collège Jean-Zay, établissement classé REP + (Réseau d’éducation prioritaire), situé dans le quartier nord de la ville.




« Deux d’entre-deux auraient alors abusé d’elle tandis que les deux autres observaient la scène », indique une source proche du dossier. Mais les enquêteurs restent prudents. « La victime a désigné ses agresseurs qui réfutent les accusations. Ils contestent tous avoir été présents sur les lieux. » Interpellés mercredi matin, les quatre jeunes étaient encore en garde à vue mercredi soir. Celle-ci a été prolongée. […]

« On n’aurait jamais cru que des camarades de classe soient capables de faire un truc pareil… », regrette une élève, qui semble tout de même avoir du mal à réaliser la gravité des accusations. « Un collégien, ça peut aller en prison pour ça ? », s’interroge-t-elle.
[…] Mardi, l’inspection académique — qui a accompagné la famille de la victime dans son dépôt de plainte — a mis en place une cellule psychologique au sein de l’établissement. « Il n’y a pas eu d’élève témoin de l’agression », précise tout de même le rectorat de Créteil. Les quatre auteurs présumés ont été exclus à titre conservatoire en attendant de passer devant un conseil de discipline.

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Moselle : des mineurs et des armes dans un clip de rap

 

 
Mis en ligne le 2 décembre 2016, un clip de rap réalisé à Guénange (Moselle) fait polémique. Diffusé à la fois notamment par des sites proches de l'extrême-droite qui le dénonce, il met en scène des mineurs et majeurs, dont certains exhibent des armes de poings et des armes blanches.

 Il n'en est pas à ses premiers essais musicaux mais S. T., présenté comme mineur "de 16 ans" sur l'un de ses compte en ligne, peut se vanter d'avoir obtenu un succès d'estime avec le clip qu'il a mis en ligne le 2 décembre 2016 et qui a été très largement relayé sur la toile et les réseaux sociaux proches de l'extrême-Doite en vue d'en dénoncer le contenu pour "promotion du trafic de drogue et des dealers, des drapeaux étrangers et des propos tombant sous le coup de la loi."

Dans cette séquence vidéo de 4 minutes et 18 secondes, le bas d'un immeuble de la rue Jeanne d'Arc à Guénange (Moselle) est occupé par un groupe d'une trentaine de jeunes hommes dont des enfants. Les images  de ce clip de rap mélangent vues extérieures, vues aériennes prises par un drone et séquences en intérieures dans lesquelles les deux chanteurs met leurs accolytes exhibent des armes blanches, des armes de poing et des liasses de billets.

 
© Capture d'écran Youtube

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Alep: les évêques pour l’accueil des migrants

 

 
Les évêques catholiques de France ont estimé jeudi que la situation d’Alep, la deuxième ville de Syrie, sous les bombes, « nous remet tous, élus, responsables et citoyens, devant nos responsabilités vis-à-vis de l’accueil des migrants et des étrangers ».

« Alors que la communauté internationale en reste à des déclarations d’indignation, le jeu stratégique des puissances en présence ignore toute dimension humaine », dénonce le conseil permanent – l’exécutif – de la Conférence des évêques de France (CEF), exprimant sa « très vive inquiétude » dans un communiqué titré « Alep: qui dira qu’il ne savait pas? »

Pour les évêques, « cette situation nous remet tous, élus, responsables et citoyens, devant nos responsabilités vis-à-vis de l’accueil des migrants et des étrangers. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur la situation des personnes réfugiées chez nous. Nous devons les accueillir et les accompagner dans la durée ».

Le conseil permanent – composé de dix des quelque 120 évêques en activité – déplore que « pour des milliers de personnes, cette situation est souvent indigne, en particulier en Île-de-France où, sous couvert de les prendre en charge, on se contente de les déplacer de quelques kilomètres ».

« A l’approche de Noël, nous appelons tous nos concitoyens à ne pas baisser les bras et à se montrer solidaires de ceux qui souffrent, proches et lointains », conclut le communiqué.

Début décembre, le pape François, recevant 260 élus français en pèlerinage à Rome, les avait appelés à prêter une attention particulière aux précaires et migrants.

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Philippe de Villiers à Versailles : au nom de la grande dissidence !

 

 
Les Éveilleurs d’espérance accueillaient, mardi soir à Versailles, dans une salle comble, Philippe de Villiers venu présenter son dernier livre Les cloches sonneront-elles toujours demain ? Avec de nombreuses personnalités présentes pour l’écouter et l’applaudir, au premier rang desquelles… Marion Maréchal-Le Pen ! Reportage.
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Jean-Yves Le Gallou, les musulmans et Marine Le Pen…

 

 
Monsieur Le Gallou critique, dans un de ses articles récents, Marine Le Pen lorsqu’elle dit : « Moi, je crois que, oui, l’islam est compatible avec la République. Un islam tel que nous l’avons connu, laïcisé par les Lumières comme les autres religions. »

L’islam tel que nous l’avons connu, et auquel elle fait allusion, je pense, c’est celui des années 50 à 70, et ce, malgré la guerre en Algérie. En Afrique du Nord cohabitaient musulmans, juifs, catholiques et autres, sans problème majeur, et les fils de la Toussaint étaient les précurseurs d’une guerre d’indépendance, qui n’était pas de religion. Ça, c’était avant que n’apparaissent ces « fous de Dieu » qui martyrisent les peuples de la terre avec kalachnikov, bombes humaines et voitures piégées. C’est un constat.

En d’autres temps, des musulmans sont morts au champ d’honneur pour la France. J’ai aussi une pensée pour les harkis et je me souviens de Mimoun, qui était plus français que certains d’entre nous. Ce n’est pas à propos que de généraliser.

Mais surtout, dans le contexte actuel, est-ce qu’elle peut dire autre chose ? Par exemple « l’islam n’est pas compatible avec la République » ? Ça mènerait à quoi, à quelle politique autre que celle qu’elle propose déjà ? Que voulez-vous, M. Le Gallou ? Une Saint-Barthélemy ? On envoie les troupes spéciales avec quelques bataillons de la Légion et on les zigouille tous, avec femmes et enfants ? Soyons sérieux !

Quelles sont les estimations les plus couramment avancées sur leur nombre, en absence de statistiques interdites ? Selon Jean-Paul Gourévitch, la population musulmane pourrait être raisonnablement évaluée entre 6 et 9 millions, soit une estimation moyenne de 7,5 millions. 

Le FN table sur 7. Mais je ne sais pas si ces chiffres prennent en compte les clandestins ; sinon, il faudrait les multiplier par 1,5. Cette population est donc importante, très importante, et on est obligé de constater que la solution la moins pire, au moins provisoirement, c’est « l’accommodement raisonnable ».

Mais revenons à Marine Le Pen et ses propositions : 

– sa volonté première est d’interrompre totalement l’immigration dite légale originaire de certains pays dont la liste est facile à dresser ;
– lutter contre les clandestins en les empêchant de venir et en « chassant » ceux qui sont déjà sur le territoire ;
– expulser les doubles nationaux condamnés par la justice ;
– elle annonce ne rien vouloir céder aux revendications cultuelles ou culturelles des diverses communautés (voile, repas dans les cantines, fêtes religieuses, religion dans l’entreprise, etc.) ;
– enfin, diverses mesures comme l’arrêt de la construction de mosquées ou le durcissement des moyens de coercition et de sanction à l’encontre de ceux qui ne respectent pas l’ordre républicain.


L’exaspération de tous ces problèmes se trouve concentrée dans les « no go » zones, les territoires perdus de la République. Elle veut :

– y rétablir l’ordre ;
– en chasser les islamistes radicaux ;
– les stabiliser par les offres d’emploi que pourra permettre une économie en redémarrage. 


Si elle y arrive, elle aura résolu une grande partie des problèmes.
Dans le contexte actuel, ce « catalogue » de mesures me semble satisfaisant car il est difficile, sinon impossible, d’aller plus loin. Mais le combat contre les excès de cette religion est avant tout idéologique. Non pas en pensant déradicaliser des extrémistes – idée plus que saugrenue, tant on connaît son inefficacité – mais en s’appuyant sur son point faible : la situation de la femme. Elles ne vont rien conquérir avec leur ventre si nous savons mener à bien leur émancipation. C’est elles, et elles seules, qui ont le pouvoir de faire évoluer l’islam, et c’est sur elles qu’il faudra s’appuyer…
Toutefois, il ne faut pas se leurrer. L’islam a mis près de 40 ans pour devenir ce qu’il est chez nous, il faudra beaucoup de temps pour l’obliger à s’adapter à notre culture, à nos lois et à notre République.

Yves Costa

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Discrimination à l’embauche : vaste blague ?

 

 
Nous vivons décidément une époque formidable, laquelle voudrait que la France d’en haut puisse exiger et obtenir une dérégulation permanente à tous les étages, tandis que celle d’en bas aurait vocation à être régulée chaque jour que Dieu fait.

Dans le registre intrusif, voilà qu’une étude gouvernementale vient pointer les « discriminations à l’embauche ». Témoin, ou témouine (pour reprendre l’actuelle sémantique féministe), cette étude citée par Le Monde, qui nous dit : « Pour trouver un emploi, il vaut mieux avoir un nom à consonance française. » D’où campagne de testing menée par ces associations antiracistes ayant le don de se faire financer par l’argent du contribuable, alors qu’elles ne sont jamais qu’officines de délation.

À les en croire, un patronyme arabe serait un obstacle dans le monde du travail. Il n’empêche que le très complet rapport de l’Institut Montaigne nous confirme que si un Mohamed a deux fois moins de chances de décrocher un CDI qu’un Jean-Paul, sa progression en interne sera exactement la même qu’un Jean-Pierre.
Mais sortons des statistiques et des directives gouvernementales pour entrer dans la vraie vie. Et parlons plutôt du domaine des artisans, des petites et moyennes entreprises – premier employeur de France, rappelons-le, au contraire de nos grands groupes transnationaux. On aura beau tout faire, l’entrepreneur en BTP qui ne veut pas d’Arabe chez lui se fout comme d’une pelle d’un CV anonyme, sachant qu’après réception du document en question, il y aura entretien de visu et que, là, Mohamed ne pourra pas se faire passer pour Kevin.

Puis, les quelques mois à l’essai… Soit tout le temps de comprendre si Kevin est apte et que Mohamed n’est pas trop mauvais, ou le contraire.

De même, je me vois assez mal postuler en tant qu’éditorialiste aux Inrockuptibles, même en glissant ma godasse dans la porte, tout comme un ancien de Libération ne serait pas forcément accueilli à bras ouverts – quoique… – dans les colonnes de Boulevard Voltaire 1. Pareillement, un juif à kippa sera-t-il le premier embauché dans une boucherie halal de la rue Ordener, à Paris ? Et le salafiste à barbe et kamis sera-t-il forcément le bienvenu dans les ateliers de la rue d’Aboukir ? La discrimination ? Elle est pour tout le monde.
Les exemples et contre-exemples pourraient être multipliés à l’infini. Mais la vie, pour être parfois détestable, demeure indéniable réalité. On ne sculpte pas des statues de sable, pas plus qu’on ne transforme les cerises en poireaux, malgré cette longue plainte du ministre du Travail, Myriam El Khomri :
« Les discriminations à l’embauche sont prohibées par la loi. Elles constituent une faute morale inacceptable et une absurdité économique. »
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Fort bien, mais grosse méfiance. Ainsi, méfions-nous de dénombrer nos compatriotes aux origines et confessions diverses et leur visibilité potentielle. Quand on commence à faire entrer l’arithmétique en politique, on ne sait jamais véritablement où l’on s’arrête. Compter les Noirs, les Jaunes et les Arabes sur nos chantiers et nos écrans ? Mais qui empêchera, ensuite, le premier clampin venu d’en faire de même des juifs et des homosexuels, voire de ceux qui pratiquent le cumul des mandats ?
Notes:
 
La directrice de publication proteste : on ne demande que ça, mais c’est eux qui ne veulent pas rire avec nous…

1 La directrice de publication proteste : on ne demande que ça, mais c’est eux qui ne veulent pas rire avec nous…

Caméra cachée dans un hôpital de Marseille…

 

 
Une femme fait semblant de téléphoner, pour tenir son téléphone droit et filmer ce qu’elle voit.
Regardez.
Et souvenez-vous : le Grand Remplacement est « un fantasme ».

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Arabie saoudite : la mort pour un vêtement ?

 

 
 

Malak al-Shehri, vous connaissez ? Sans doute pas puisque, à ma connaissance, la « grande » presse quotidienne française n’en a pas parlé ; il faut se tourner vers l’étranger, et notamment le Daily Mail online, pour y lire l’histoire ahurissante de cette jeune Saoudienne.
Elle a publié sur Twitter une photo d’elle, lunettes de soleil, cheveux tombant sur les épaules, bottillons, vêtue d’un manteau trois-quarts d’où dépasse une jupe multicolore descendant à mi-mollet. On croise tous les jours des milliers de Malak dans les rues de nos villes. Pas de quoi fouetter un dromadaire, me direz-vous ? Vous avez tort ! 

Car la scène se passe dans une rue de Riyad, capitale d’Arabie saoudite. Là-bas, le code vestimentaire féminin comporte obligatoirement – o-bli-ga-toi-re-ment – un voile masquant la plus grande partie de la tête et une abaya, cette robe islamique qui couvre le corps, du cou aux chevilles. Il n’en a pas fallu plus pour que certains Saoudiens s’échauffent. L’une des amies de Malak, à l’abri d’un faux nom par sécurité, a mis sur les réseaux les commentaires que cette photo a suscités : « Il faut qu’elle paie pour son crime. » « Tuez-la et jetez son corps aux chiens. » « Nous voulons du sang. » « Nous demandons l’emprisonnement de la rebelle. » Ah ! La religion de tolérance et de paix…

L’affaire a eu lieu en début de semaine. Aujourd’hui, on ne sait pas exactement ce qu’est devenue Malak. Citant le journal arabe Al Sharq, le Daily Mail annonce que la jeune femme a été arrêtée à la suite d’une plainte déposée par la police religieuse. 

Elle risque l’exécution capitale.
 Chez nous, nos féministes en peau de lapin regardent ailleurs. Ainsi, et par exemple, l’association Osez le féminisme, porte-drapeau de cette lutte farouche des classes, constelle son site de « campagnes d’action », toutes vachement importantes : « Guide de la routarde », « Journées du matrimoine », « LesBieFamily », « À bas le concours Miss France » et plein d’autres trucs du même tabac. Sur Malak, pas une ligne !

Car, en France, il semble que nous ayons l’indignation sélective. Tout dépend, en fait, de celui qui tient le manche du coutelas et là, comme dans les westerns, il y a les bons et les méchants.

 Aujourd’hui, le méchant, c’est Poutine : Ukraine, Crimée, Syrie – beurk. Le bon, c’est l’Arabie saoudite. Alors, le Yémen en guerre ? C’est où, ça, le Yémen ? Malak ? C’est bien fait pour elle ! N’avait qu’à se saper comme tout le monde ! Non mais, des fois, on ne va pas arrêter de vendre nos avions pour une donzelle qui se balade « à poil » ! Hollande a même refilé la Légion d’honneur au prince héritier de ce royaume qui, dans les trois premiers mois de 2016, avait déjà décapité 70 personnes.

Et pendant ce temps-là, nos prétendants au trône républicain nous gavent de belles paroles où il est sans arrêt question des « valeurs de la République ». Bon ! Ça va ! J’ai compris. C’est une potion à usage interne et, en aucun cas, un produit d’exportation.

« Oh eh la gauche », en rafistolant votre « Belle alliance », pensez un peu à Malak.

 Yannik Chauvin

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Jean-Frédéric Poisson : « L’efficacité de l’état d’urgence n’a absolument pas été prouvée ! »

 

 
Alors que les députés ont adopté, dans la nuit de mardi à mercredi, le projet de loi qui étend l’état d’urgence jusqu’au 15 juillet 2017, Jean-Frédéric Poisson explique pourquoi il a fait partie des 32 députés qui s’y sont opposés. Décryptage. 
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« Boomerang » : cette religion et ce prophète dont il faut taire les noms…

 

 
On ne présente plus Augustin Trapenard. Normalien, agrégé d’anglais, il a très vite abandonné la recherche et l’enseignement. Non pas pour la politique : ça, c’était avant, quand l’intelligence se mettait au service du pays et que les normaliens investissaient la sphère politique. Cela donnait un Blum, un Herriot, la République des professeurs décrite naguère par Albert Thibaudet. Avec ses grandeurs et ses limites.

Désormais, fini les Pompidou, les VGE. Juppé fut le dernier dinosaure de cette tradition. Les politiciens n’ont même plus à fournir de prestigieux diplômes. Soit ils crachent dessus, soit ils s’en fabriquent de faux : Macron pseudo-normalien. 

Le Roux faux HEC-ESSEC.
 Car maintenant, les normaliens émancipés, avides de reconnaissance et de gloire, mettent leurs compétences et leur narcissisme au service… des médias.

Raphaël Enthoven serait le meilleur symbole de cette dérive de la culture et de l’intelligence diplômée. Quant à Augustin Trapenard, lui, il a choisi France Inter et Canal+. Tout ce qu’il y a de plus… À vous de juger !

On pourrait donc espérer, à côté de la pauvreté abêtissante de nos radios et télés, un surcroît d’intelligence, d’esprit critique, de vision. Mais malheureusement, de même que les normaliens en politique ont souvent manqué d’intelligence face aux situations (Alain Juppé), les normaliens des médias, eux aussi, sont parfois confondants de conformisme, de cécité, de servitude volontaire.
Et notre cher Trapenard, jeudi dernier, en fut l’exemple criant.
Il recevait dans sa matinale culturelle, bienheureusement intitulée « Boomerang », l’artiste féministe Annette Messager, plasticienne couronnée par le Praemium Imperiale, le Nobel des arts, qui venait parler de sa nouvelle installation à la galerie Marian Goodman à Paris. Et ladite Messager avait évidemment un « message » à délivrer, surtout avec ce qui faisait l’actualité du moment. Vous savez, ces bars qu’un média ami, France 2, au-dessus de tout soupçon, avait révélé à cette France qui ignorait la chose, ou ne voulait pas la voir.

Ces bars interdits aux femmes. Dans certains endroits de France. Ces choses d’une autre époque qu’on ne pensait plus voir en France. Cet « ordre moral » ! Eh bien, notre normalien surdiplômé, spécialiste de tous les langages, de toutes ses subtilités et ses ruses, et notre plasticienne « impériale » ont réussi l’exploit d’évoquer ces bars (mais tenus par qui ? Et dans quels quartiers ?) et ces Femen se tatouant sur le corps « Je suis mon propre prophète » sans jamais nommer cette religion, cette culture, ce prophète qui règnent dans ces bars et ces quartiers.

Et la tranquille conversation politico-cultureuse grave glissa sur ce non-dit, cet innommé, ce tabou. 

Pour finir avec : La Manif pour tous, bien sûr ! C’était donc ça ! Tous ces bars de nos banlieues, à Sevran, Tourcoing, Marseille, Toulouse où les femmes sont persona non grata, ce sont des bars LMPT, tenus par des catholiques rétrogrades ! C’était tellement évident !

Il fallait bien tout le talent interprétatif d’un normalien et d’une plasticienne de renommée mondiale pour créer cette œuvre d’art éphémère, cette « installation », cette « performance » d’un jeudi matin sur nos ondes.

Vous avez dit « Boomerang » ?

Pascal Célérier

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jeudi, 15 décembre 2016

Assa Traoré, une « machine de guerre » pour Adama

 

 
Adama Traoré, 24 ans, est mort le 19 juillet dernier lors de son interpellation à Beaumont-sur-Oise. Sa grande sœur Assa, portée par sa famille, a décidé de faire éclater la vérité. Elle en a la trempe.



Omar Sy, Kerry James, Youssoufa, Jean-Luc Mélenchon, Olivier Besancenot, lui ont apporté leur soutien. Son téléphone déborde d’appels de journalistes : la presse française, anglaise, américaine, malienne, turque, sénégalaise, italienne, espagnole, parle d’elle.
Dans des meetings, face aux caméras, ou derrière des banderoles dans la rue, Assa Traoré « dégage quelque chose de particulier, un charisme hors norme« , remarque son avocat parisien, Yassine Bouzrou. […]

Nouvel Obs

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L’Europe bientôt en Tchador

 

 
Source : revue de presse du Mouvement Pour la France.

Dans son édition du 1er février, Courrier International reprend, sous un titre on ne peut plus explicite « L’Europe bientôt en tchador », quelques extraits d’un « article hallucinant du quotidien de droite israélien [Jerusalem Post] sur la poussée démographique des musulmans en Europe et ses conséquences néfastes pour les Etats-Unis, Israël et les Juifs ». Et cela commence fort :
« Si jamais vous vouliez voir Paris ou Rome avant de mourir, et que vous n’en avez pas encore eu l’occasion, vous feriez peut-être bien de vous hâter. Car, bientôt, l’essentiel de ce que nous considérons aujourd’hui comme l’Europe occidentale se sera transformé en une branche du monde musulman. C’est en tout cas la conclusion déplaisante, mais absolument inévitable qu’il faut tirer de la dégringolade démographique qui entraîne l’Europe vers le néant ».
Et pour justifier cette constatation, le quotidien de citer le récent rapport de la Rand Corporation (un think-tank américain) : « dans toute l’Europe, les taux de natalité sont en chute libre et la taille des familles se réduit. Le taux de fertilité total est aujourd’hui de moins de deux enfants par femme dans chaque Etat membre de l’Union européenne ». Or, selon les démographes, « pour que la population d’une société demeure stable, son seuil de remplacement implique un taux de natalité de 2,1 enfants par famille », « tout chiffre inférieur est synonyme de déclin et de dissolution ». Même le Conseil de l’Europe a lancé un avertissement en déclarant en 2004 dans son « livre blanc de la démographie » que « dans toute l’Europe, il y a eu plus de décès que de naissances pour l’année 2003 ». Et le quotidien de citer l’éditorialiste canadien Mark Steyn qui souligne dans son nouveau livre, America Alone (L’Amérique seule) :
« Quel est le pourcentage de la population musulmane de Rotterdam ? 40%. Quel est le prénom masculin le plus répandu en Belgique ? Mohammed. A Amsterdam ? Mohammed. A Malmö, en Suède ? Mohammed ».
Et même The Daily Telegraph de Londres rapportait en décembre 2006 que « Mohammed et son autre graphie la plus courante, Muhammad, sont désormais des prénoms de bébés plus populaires en Angleterre et au pays de Galles que Georges ». Car, comme le relève le quotidien, « si les Européens sont actifs partout sauf au lit, les populations musulmanes qui vivent en leur sein se montrent beaucoup plus prolifiques ». Or d’après des « projections réalisées par le National Intelligence Council du gouvernement américain, la population musulmane du continent, actuellement de 20 millions, aura probablement doublé d’ici à 2025 ». Le quotidien note qu’une «
Europe de plus en plus islamisée sera de plus en plus hostile à Israël et aux Etats-Unis »
et que
« même si les gouvernements européens parvenaient à inverser la tendance, ce qui semble fort peu probable, il faudrait des années avant que le changement ne soit perceptible. Or, en attendant, l’influence politique musulmane continuera de se développer et de s’étendre, et les dirigeants européens ne pourront que difficilement faire abstraction des exigences de la communauté ».
Et de conclure :
« Par conséquent, si vous voulez vraiment voir la tour Eiffel de près, je vous conseille de ne pas trop tarder. Le temps de dire ouf, et elle pourrait bien avoir été transformée en minaret »…
Une analyse qui rejoint ce que dénonce Philippe de Villiers :
non seulement, il a préconisé de longue date de mettre en place une vraie politique familiale, qui aurait eu pour conséquence de relancer la natalité ; mais de plus, il met en garde contre « l’islamisation » de la France, prônant une immigration zéro et une politique généreuse de co-développement des pays les plus pauvres.

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La mairie PS de Sarcelles donne 150 000 € pour la mosquée et le terrain pour l’euro symbolique

 

 


La mairie PS de Sarcelles donne 150 000 € pour la mosquée et le terrain pour l’euro symbolique
VIDEO  :  https://youtu.be/O_9qHUOkc3U
Le Parisien du 12 septembre 2016 présentait le projet ambitieux de grande mosquée de Sarcelles piloté par deux associations, celle des musulmans d’inspiration sunnite en France (Amis) et Dar-At-Tawid, notoirement salafiste, regroupées pour la cause de l’édifice dans la Fédération des Musulmans de Sarcelles :
« La municipalité a déjà donné 150 000 €, a souligné Mamadou Gassama, le président de l’Amis. C’est un geste considérable. » Cette subvention concerne la partie culturelle du centre, qui doit accueillir bibliothèque et salles de cours. Difficile de savoir combien coûtera réellement la construction. « On est en train d’évaluer tout ça », indique Sabar Ladj, en ajoutant que la collecte de fonds n’en est qu’à ses débuts. »
Un autre article du Parisien du 14 décembre 2016 rappelle que le terrain « a été cédé pour un euro symbolique à la fédération des musulmans de Sarcelles »
L’association Dar At Tawid, intégrée à la fédération des musulmans de Sarcelles, a vu sa salle de prière fermée administrativement en janvier 2016. Son trésorier, Issam.N, est également le trésorier de l’association salafiste « Al-Islah-La Réforme ». Un des imâms occasionnels de Dar At Tawid est le syrien Abou Layth Al Armany, dirigeant l’institut salafiste Sounnah, qui assume parfaitement son orientation salafiste. 
Nous avons dans notre livre-enquête Mosquées Radicales, ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (éd.DMM,2016), retranscrit les prêches de l’imâm Abou ‘Assim de Dar-At-Tawid, qui insiste sur l’ « apprentissage de la science », soit « les règles de la législation islamique comme les transactions commerciales, les règles relatives à l’héritage, au mariage, et à la juridiction » (prêche du 6 mars 2015). Aussi, nous avons relevé l’apprentissage chaque mercredi du livre « Bréviaire de la jurisprudence » du cheikh saoudien Nassir as-Sa’adi (mort en 1956), qui commande de « décapiter par l’épée » l’apostat qui abjure l’islam, de tuer les couples non mariés, et qui précise que « les mécréants n’ont pas droit à la zakât  [l’aumône] » (Nassir as-Sa’adi, Bréviaire de la jurisprudence à l’usage des étudiants en sciences religieuses, éditions Assia).
Ou comment les députés-maires Parti Socialiste financent le salafisme.

Vigilance Halal

 

 


   
 

 
Madame, Monsieur


En cette fin d’année, voici venue l’heure du bilan de Vigilance Halal :
  • actions judiciaires en cours : plaintes pénales (Alès, St Etienne,Toulon), tribunaux administratifs ( Lyon, Meaux, Limoges ) , Conseil d’Etat. Voir les détails sur notre site.
  • Actions de communication : publicités, conférences ( 7 au cours de l’année), page Facebook suivie par 11600 personnes, Tweeter avec plus de 1000 followers, edition d’ouvrages scientifiques, émissions radio et TVlibertés.
  • Création du site Suivez le coq.fr, et de son réseau de boucheries traditionnelles dont vous pouvez voir ci-joint une publicité à paraître sur le prochain numéro de « Valeurs actuelles »
Tout cela grâce à vous !
Merci du fond du cœur, je vous souhaite un Joyeux Noël et une heureuse année 2017.
CONTINUEZ A NOUS SOUTENIR PAR VOS DONS DEDUCTIBLES FISCALEMENT SUR VOS REVENUS 2016 POUR UN DON AVANT LE 31 DECEMBRE /
UN DON DE 60 € VOUS PERMETTRA DE DEDUIRE 40€ ;

Alain de Peretti
Président de Vigilance Halal
 
 
 
 
 

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