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mercredi, 30 novembre 2016

Arcueil : un appel aux dons lancé pour construire la future mosquée

 

 
Un million d’euros. Si la somme jugée nécessaire à la construction d’une mosquée par l’Association indépendante des musulmans d’Arcueil peut sembler colossale, elle s’explique notamment par la nature du terrain destiné à l’accueillir. « Il s’agit d’une ancienne carrière, explique Jamal Hamdani, président de la structure. Le bâtiment que nous souhaitons bâtir sera doté de trois étages, et pour que l’ensemble soit solide, nous allons creuser très profondément, et mettre en place des micropieux pour en consolider les fondations. La moitié du budget total servira à financer cette seule étape. »
C’est la mairie qui a mis ce terrain à disposition de l’association, via la signature d’un bail emphytéotique*. Une façon pour elle de « créer les conditions propices à l’exercice du culte musulman dans la dignité, tout en respectant le principe de laïcité », affirme un membre de l’équipe municipale.

Afin de voir ce projet se concrétiser, un appel aux dons a été émis à destination de tous les citoyens français de confession musulmane. « Des banderoles ont été déployées le long de notre actuel lieu de culte, à Arcueil, nous avons pris des contacts en province, et sommes en train de créer un site Internet pour récolter l’argent, poursuit Jamal Hamdani. Nous avons d’ores et déjà reçu quelques aides financières, mais elles ne sont pas à la hauteur de ce que nous espérions. Peut-être allons-nous également solliciter les musulmans des autres pays d’Europe : Belgique, Allemagne, etc. »

Le permis de construire a été accordé à l’association en décembre dernier, mais l’édification de la mosquée ne sera pas achevée avant plusieurs années. « Si nous ne parvenons pas à récolter suffisamment d’argent, alors nous nous montrerons moins ambitieux, et nous nous contenterons de préfabriqués, sourit Jamal Hamdani. De toute façon, nous prions actuellement sous une sorte de chapiteau. Une situation qui n’était supposée durer que quelques semaines, et qui remonte en réalité à au moins cinq ans ! »

*Le bail emphytéotique est un bail immobilier de longue durée, dix-huit à quatre-vingt-dix-neuf ans. Il confère au preneur un droit réel sur le bien immobilier.

 Marie-Charlotte Dutheil

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Mosquée : le projet est-il mort-né ?

 

 
C'est un vrai coup de théâtre qui s'est joué, ce jeudi après-midi, devant le tribunal administratif de Toulouse où était examiné le recours lancé contre la mosquée de Montauban par les élus municipaux FN, ces derniers s'opposant à l'échange d'un terrain municipal, chemin de Matras, contre l'actuel édifice, avenue du Chamier.

 Chargé de donner ses conclusions à la cour, le rapporteur public s'est prononcé en faveur de l'annulation de la délibération municipale votée en septembre 2015. L'expert suivant en cela les conclusions déposées par l'avocat du FN, Me Patrice Charles : à savoir que l'échange de terrain serait «une subvention déguisée» à l'association cultuelle Es-Salem, porteuse du projet de la mosquée et en cela une atteinte à la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905. En somme une atteinte à la laïcité. Même s'il faudra attendre le délibéré de ce jugement qui sera donné le 1er décembre, ces conclusions mettent un sérieux coup au projet : «le tribunal administratif suivant à 90 % les décisions du rapporteur», lâchait très satisfait Me Charles.

Les avocats de l'association Es-Salem, Mes Jean-Lou et Charlotte Lévi qui défendent depuis le début que la commune de Montauban n'a fait aucun cadeau au profit de la mosquée, espérait encore un sursaut de la juridiction. «La différence de prix du bâtiment de l'avenue Chamier, établi par les Domaines à 100 000 €, et à 118 440 € pour le terrain communal à bâtir chemin de Matras, est compensée par un loyer payé par l'association durant la durée du chantier», rappelait l'ancien bâtonnier qui infirmait avec fermeté les allégations d'un échange gratuit. «Un bail a, par ailleurs, été fixé à 200 € par mois durant la durée de travaux de construction qui doivent s'étaler sur six ans.» Et Me Charlotte Lévi d'insister : «Le projet est encore viable, même si la cour suit les conclusions du rapporteur, la mairie est en mesure de modifier sa délibération pour la rendre conforme».


 Un projet qui satisfaisait toutes les parties : mairie et association cultuelle musulmane


Jointe par nos soins, la mairesse Brigitte Barèges n'a pas souhaité commenter cette préconisation en l'attente du jugement. Les conclusions de la pénaliste montalbanaise Charlotte Lévi résumait toutefois bien l'enjeu de ce dossier suivi avec attention par le préfet de Tarn-et-Garonne. «L'actuelle mosquée dont l'état de vétusté a été maintes fois signalé aux autorités ne répond pas aux besoins des 1200 fidèles de la commune qui sont contraints de prier hors les murs de l'édifice. Dans le même temps, ce transfert de la mosquée à Matras satisfait toutes les parties, la commune voulant requalifier ce quartier».

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Lyon: Une nouvelle mosquée à la Duchère qui entend symboliser le «vrai islam»

 

 
Ce lieu de culte, qui a ouvert ce vendredi matin à La Duchère, remplace d’anciens locaux vétustes, gérés par des proches du milieu salafiste…
 
 Trente ans qu’ils attendaient ça. Les musulmans de la Duchère à Lyon ont désormais une mosquée flambant neuve, pouvant accueillir 900 fidèles. Un lieu, inauguré vendredi matin bien différent de l’ancien préfabriqué dans lequel s’entassaient les pratiquants du quartier.


La nouvelle mosquée de la Duchère a ouvert vendredi 18 novembre 2016. KONRAD K/SIPA
La nouvelle mosquée de la Duchère a ouvert vendredi 18 novembre 2016. KONRAD K/SIP

« Si l’on veut vraiment suivre l’esprit de la loi de 1905, il n’est pas acceptable que dans notre République, alors qu’ils représentent la deuxième religion de France, les musulmans ne puissent pas vivre leur culte dans la dignité, la sérénité, la sécurité », lâche en préambule Gérard Collomb, le maire socialiste de Lyon dans son discours.

 Ce lieu, en réalité, était également fortement attendu des autorités locales. Pas seulement en raison de la vétusté des anciens locaux. Mais parce que la précédente mosquée était gérée par l’association Et-Tawba, dont les représentants, à l’époque, étaient aux yeux de l’Etat, bien trop proches des milieux salafistes. Le préfet du Rhône avait dès lors menacé de fermer les lieux si les responsables musulmans de la ville ne se saisissaient pas rapidement du problème.

« L’islam du juste milieu »

 

L’ouverture de la nouvelle mosquée est donc perçue par tous comme « la victoire de l’islam du juste milieu », selon Salah Bayarassou, président de l’association des musulmans de la Duchère.

« L’islam vient du mot salam qui signifie paix. Comme son nom l’indique, il prêche la paix et rejette toute forme d’extrémisme », rappelle-t-il, désavouant publiquement « les monstres à visage humain », « les lâches » qui « ont commis de tels actes barbares et infâmes » sur le sol français ces derniers mois.

La chasse aux salafistes

 

Son combat pour bouter les salafistes de la mosquée de la Duchère a pris du temps. Hicham Baba, l’imam installé à la place de l’ancien, a dû tenir bon malgré les menaces proférées à son encontre, rappelle, Benaïssa Chana, président du conseil régional du culte musulman.

« Un retour aux racines n’est pas un signe de repli identitaire mais un accès la citoyenneté. Cette nouvelle mosquée véhicule des valeurs de tolérance et d’ouverture. », conclut-il précisant qu’il mise sur les cours d’arabe et de religion, dispensés dans les huit salles de classe de l’établissement, pour que les fidèles apprennent ou réapprennent le « vrai islam ».

 Caroline Girardon

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Le jihadiste Mokhtar Belmokhtar visé par une frappe française, probablement mort

 

 
Le jihadiste d’origine algérienne Mokhtar Belmokhtar, rallié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), a été visé récemment par une frappe aérienne française en Libye, et est problement mort, a indiqué ce lundi un responsable américain.
  
Mokhtar Belmokhtar, chef du groupe Al-Mourabitoune qui a mené de nombreuses attaques sanglantes dans la région du Sahel, a déjà été donné pour mort à plusieurs reprises, notamment en juin 2015 lors d’une frappe américaine en Libye. Le responsable américain confirmait des informations parues dans le Wall Street Journal. 

Il a déjà été donné pour mort à plusieurs reprises, notamment en juin 2015 lors d’une frappe américaine en Libye, et en 2013. Selon le quotidien américain, la frappe illustre l’étendue de la coopération militaire et de renseignement entre les Etats-Unis et la France.
  
Après les attentats de Paris en novembre 2015, le président Obama avait annoncé un renforcement des échanges d’informations entre les services de renseignement français et américains.


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Bondy: une balle perdue blesse une enfant endormie

 
Dans le quartier nord de Bondy, une enfant de 12 ans a été touchée d’une balle dans le dos alors qu’elle dormait. Samedi matin, la balle a perforé le mur à la hauteur du 4e étage, avant d’atteindre le dos de la fillette, relate Le Parisien. 

Le tireur se trouvait vraisemblablement entre l’immeuble et l’autoroute A3, qui longe le quartier. Peu après de nouveaux tirs ont été entendus, à l’autre extrémité de la rue. Il pourrait s’agir du même tireur.

Quant à l’enfant, elle est toujours hospitalisée mais elle est tirée d’affaire. « La balle s’est logée sous la peau… On a frôlé la catastrophe », rapporte un policier au Parisien. L’enquête a été confiée à la Sûreté territoriale de Seine-Saint-Denis.

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Attentats de Paris: face au juge antiterroriste, Salah Abdeslam se mure dans le silence

 

 
Salah Abdeslam, seul survivant des commandos des attentats du 13-novembre à Paris, a été extrait de sa cellule de la prison de Fleury-Mérogis ce mardi matin pour être interrogé par un juge d’instruction. Son convoi, sous surveillance maximale, est parti vers 7 heures pour le palais de justice de Paris. 

 La justice cherche toujours à savoir s’il existe d’autres complices du 13-novembre dans la nature. Salah Abdeslam détient peut-être la réponse à cette question, mais il reste muré dans le silence depuis son transfert de Belgique vers la France le 27 avril dernier. Mardi, face au juge, il a de nouveau « refusé de répondre aux questions » qui lui étaient posées, selon une source judiciaire.

Mi-octobre, ses avocats avaient renoncé à le défendre, ayant « la conviction qu’il ne s’exprimera pas ». Depuis, il n’en a pas designé de nouveau pour le défendre.

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Gironde: 13 ans après, un violeur récidiviste interpellé avec le même mode opératoire

 

 
Un père de famille de 40 ans a été présenté à un juge d’instruction pour des faits de viol et de vol en état de récidive légale. Placé en détention provisoire, l’homme a nié les faits. Pourtant, son mode opératoire est en tous points semblable à une précédente affaire de viol pour laquelle il a été condamné, rapporte Sud-Ouest.

Le 16 novembre dernier, l’auteur présumé des faits pénètre par la force dans le domicile d’une jeune femme, à Bordeaux, alors qu’elle rentrait chez elle vers 3 heures du matin. La menaçant d’un couteau, l’agresseur lui couvre la tête avec une serviette, l’attache aux pieds et aux mains avec une ceinture et la viole dans sa salle de bain. Après son crime, il la contraint à se laver avec du liquide vaisselle pour effacer les traces d’ADN et nettoie lui-même les lieux avec du détergent. 

L’homme a déjà été condamné pour viol

 

Profondément traumatisée, elle apporte aux services de police des éléments troublants qui réveillent la mémoire d’une fonctionnaire assermentée: son agresseur l’a agrippée alors qu’elle regagnait son domicile via la baie vitrée de son jardin et a affirmé être un ancien commando militaire. Ce modus operandi est le même que lors d’une précédente affaire de viol, en 2003 à Mérignac, pour laquelle le suspect a écopé d’une peine de 15 ans de réclusion criminelle.
Après seulement quelques mois de liberté, l’agresseur présumé est rapidement interpellé, un couteau sur lui. Malgré ses dénégations lors de sa garde à vue, il est placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Draguignan (Gironde) et est passible d’un nouveau procès en cour d’assises.

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Jean-Yves Le Gallou: L’immigration, cette catastrophe qui impose la dissidence !

 

 
Civitas organisait à Paris, le vendredi 25 novembre, une réunion publique animée par Thierry Bouzard et Jean-Yves Le Gallou sur le sujet : « Immigration, la catastrophe. »
***** 
 
 

NATION dénonce : l’immigration illégale de masse est voulue !

 

 
Selon « Cellule44 », le général français quatre étoiles Christophe Gomart, également patron de la « Direction du Renseignement Militaire » (DRM), avait expliqué en septembre dernier lors du Colloque Geoint, à la Société de géographie à Paris, que le trafic migratoire clandestin au Moyen-Orient et en Méditerranée, n’est pas dû au hasard.
 
Pour l’affirmer, il se basait sur les faits suivants :
 
De très nombreux migrants subsahariens étaient déjà sur le territoire libyen et le mode opératoire des passeurs de clandestins est bien connu Les passeurs préparent les départs vers l’Europe à partir des plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, sous les yeux de militaires européens cantonnés dans ces régions .
 
Les passeurs appellent le « Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes » avant tout départ en mer, ce qui permet aux bateaux européens d’aller « secourir » en mer ces masses migratoires pour les amener sur la terre ferme. Ce qui n’empêche malheureusement pas certains drames… Le motif (bidon) des messages au CCISM serait la « crainte que les migrants ne s’égarent sur les côtes africaines » . Les zodiacs qui servent au passage vers l’Europe étaient achetés chez la Consule de France qui, suite à un reportage de France 2, a perdu son poste. Malgré la perte de son poste diplomatique, cette femme continue son trafic aux yeux de tous.
 
  C’est donc clair : CETTE INVASION MIGRATOIRE EST VOULUE !!!
 
Pour NATION, c’est clair ! Il s’agit de la continuité du plan multiculturaliste des mondialistes. NATION refuse avec fermeté un multiculturalisme imposé, utopique, dangereux, et génocidaire pour nos valeurs.
 
Jean-Pierre Demol

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La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Pays-Bas : le Parti pour la Liberté de Geert Wilders en tête des sondages

 

 

 

Lu sur FDesouche :
"Si les élections se tenaient cette semaine, le Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders deviendrait le premier parti du pays avec 33 sièges sur les 150 que compte la chambre basse du parlement néerlandais, selon un sondage hebdomadaire de référence de l’institut Maurice de Hond.Les Néerlandais doivent se rendre aux urnes en mars pour des élections législatives. Le PVV occupe actuellement 12 sièges à la chambre basse.
 
« Le procès [pour incitation à la haine raciale] contre Wilders a renforcé la tendance électorale positive du PVV, enregistrée depuis l’élection de Donald Trump » à la tête des Etats-Unis, a affirmé l’institut (...)
 
Geert Wilders est poursuivi pour avoir promis « moins de Marocains » aux Pays-Bas lors d’une soirée après les élections municipales de mars 2014 à La Haye. Au dernier jour de son procès mercredi, Geert Wilders avait argué devant les juges ne pas « être raciste », dans une intervention de 15 minutes retransmise en direct à la télévision. « Si vous me jugez coupable, c’est la moitié des Pays-Bas que vous jugez coupable », avait-il notamment déclaré."
 
Aux Pays-Bas, pas besoin de dédiabolisation pour être en tête des sondages...
 

François Fillon : "Nous sommes dans une perspective d’augmentation de l’accueil des Algériens en France"

 

 
Lu dans Le Nouvel Observateur du 22 juin 2008 « En visite en Algérie, Fillon signe un accord sans précédent »  :
« Nous avons beaucoup, beaucoup ouvert notre pays. Nous sommes dans une perspective d’augmentation de l’accueil des Algériens en France ».
Et en 2011, François Fillon ajoutait sur RMC :
« La France n’est pas fermée, écoutez : 200.000 autorisations de séjour par an Jean-Jacques Bourdin ! C’est l’équivalent d’une ville comme Rennes, je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que ça représente. »
 

Clichy (92) : manifestation de 800 musulmans contre la fermeture d’une mosquée

Des fidèles protestent contre la transformation de leur mosquée en médiathèque. Jusqu’à 800 personnes selon la police, plus de 1000 selon les organisateurs, ont manifesté ce samedi devant la mairie de Clichy, dans les Hauts-de-Seine, contre la fermeture du lieu de culte musulman décidée par la municipalité, qui souhaite reconvertir l’espace. 



 

La manifestation, qui s’est déroulée « dans le calme » selon une source policière, était organisée par l’Union des associations musulmanes de Clichy (UAMC). « On n’est pas contre le maire, on n’est pas contre la médiathèque, on demande seulement un lieu digne pour les 20.000 musulmans de Clichy« , a expliqué Hamid Kazed, président de l’UAMC.  [...]
 
A l’échéance du bail, le nouveau maire du parti Les Républicains (LR) Rémi Muzeau, élu en 2015, a décidé de transformer le lieu en médiathèque, tout en proposant un nouveau lieu de prière, mais qui ne convient pas à l’UAMC. « La salle fait 350 m2. Ce n’est pas assez pour les 3.000 fidèles réguliers d’Estienne-d’Orves« , a commenté Hamid Kazed.
 

Valérie Boyer avec et sans croix !

 

 



Caroline Fourest, la pasionaria LGBT, a encore frappé ! Contre quoi, je vous prie ? Sa religieuse bête noire, évidemment ! Pas celle qui, à l’instar de Rimbaud avec ses rimes, égrène des cadavres çà et là dans le monde au nom d’Allah, mais bel et bien le catholicisme et ses sournoises manifestations !

Ainsi, au soir de la victoire de François Fillon au second tour de la primaire de la droite et du centre, sa porte-parole, Valérie Boyer, a commis le crime de lèse-laïcité en arborant sur le plateau de France 2 « une grosse croix autour du cou », expliquent Les Inrockuptibles. Je laisse le soin à chacun d’observer la taille de ladite croix – bien modeste en vérité – pour constater à quel point il n’y a pas de quoi effrayer un vampire !

Aussitôt constaté l’outrage aux bonnes mœurs christianophobes, Caroline Fourest s’est donc emparée de sa prose – laquelle mériterait un peu de repos au vu de sa fatigue ! – pour tweeter : « Le retour des signes religieux ostensibles, c’est maintenant… »
Parce que le niqab, le burkini, la barbe plus longue que celle du regrettable Fidel Castro, c’est sans doute moins attentatoire à la pudeur laïque qu’une croix. C’est du folklore, un peu comme les coiffes des Bigoudènes !

Après avoir quitté le plateau de France 2, Valérie Boyer s’est alors expliquée, déclarant qu’elle ne retirait jamais sa croix, ajoutant avec raison : « Ce n’est pas un symbole d’oppression, bien au contraire… »

Cependant, l’« incident majeur » a tellement affolé les réseaux sociaux que l’objet incriminé avait miraculeusement disparu lorsque sa propriétaire est intervenue plus tard sur BFM TV

Ce renoncement, Valérie Boyer n’aurait pas dû l’accepter car, pour autant que je refuse d’infliger mes convictions religieuses à quiconque ne les partage pas, je ne considère effectivement pas ce symbole comme l’expression d’une menace pour la République laïque. Aussi, la seule croix dont je veuille bien me débarrasser loge en ce moment à l’Élysée !
 Ce non-événement montre combien l’opinion publique est tyrannisée par les dévots de l’anticléricalisme, dont la véhémence a justement précipité nombre de chrétiens dans les bras de François Fillon.
Usés, sans doute, par des décennies d’humiliations, les catholiques – n’en déplaise à miss LGBT – ont, en effet, décidé de reprendre leur destin en main. Et même si je ne vois pas forcément ce destin avec François Fillon, ce dernier a eu au moins le mérite de ne pas cacher ses convictions religieuses sous le tapis pour séduire l’électorat. Ce qui est déjà une faute en soi pour ces Émile Combes acharnés. Alors, exhiber une croix à la télévision, imaginez la provocation !

Ce charivari provoqué par un petit bout de métal anodin montre, une fois de plus, que la gauche, dans son ensemble, ne veut pas le bien de notre pays puisqu’elle ne veut pas de son Histoire, laquelle est tout de même très chrétienne !

Enfin, il faut être bien ignorant pour invectiver la croix et laisser prospérer le croissant !

 Charles Demassieux

Source 

Un gendarme assassiné. Quand rejoindront-ils le mouvement des policiers ?

 

 
 


Sa femme et ses enfants l’ont attendu en vain. Le major Christian Rusig ne rentrera plus à la maison : il a été assassiné.

23 heures, samedi soir, sur une petite route de campagne entre Ussat et Tarascon-sur-Ariège.

Une patrouille de police avec, à son bord, le commandant de la brigade (55 ans) et un gendarme (48 ans) qui terminent leur service et s’apprêtent à regagner leur logis. Alertés par le comportement suspect d’un véhicule, ils appellent immédiatement des renforts et le prennent en chasse.

Le suspect effectue un demi-tour et roule vers leur voiture. Pensant l’intercepter, les gendarmes se mettent en travers de la route et le commandant sort du véhicule. Mal lui en prit : le suspect fonce, le percutant de plein fouet. Le major Rusig décédera quelques heures plus tard.

Oh, bien sûr, au gouvernement, on montre les muscles ! « Le conducteur du véhicule devra répondre devant la justice de cet acte inqualifiable », annonce le résident de l’Élysée.

Son ministricule de l’Intérieur fait part « de sa très vive émotion et de sa grande tristesse »

Il parle d’« acte odieux [qui] rappelle que, chaque jour, les gendarmes comme les policiers exposent leur vie pour protéger celle des autres ». Il en appelle, comme à chaque funeste occasion, à la justice qui devra faire preuve de « toute la fermeté nécessaire ».
 Ah oui, la fermeté de la justice ? Celle grâce à qui un délinquant notoirement connu des services de police se balade en toute liberté ? Personne ne les a « briefés » sur son pedigree, Hollande et Cazeneuve, avant qu’ils ne nous servent leur soupe habituelle ?
Ce type-là – sur lequel aucun journal ne s’est appesanti concernant sa nationalité ou origine — qui a « délibérément » foncé sur les gendarmes, on va donc leur rappeler pourquoi il a été de nombreuses fois incarcéré.

Viol sur mineur, incendies, cambriolages, vols, rébellion, port d’armes, outrage, violation d’interdiction de séjour en Ardèche, conduite sans permis de conduire. Rien de moins.

Ah, oui, la justice ! Celle qui permet à un délinquant, d’évidence doté de tous les vices et sans la moindre parcelle de repentir, de continuer de commettre ses forfaits ?

La justice, mais quelle justice, quand les médias cherchent par tous les moyens à les minimiser ?

Des « délits plutôt mineurs », selon Le Figaro.

Un individu qui n’appartient « pas au grand banditisme » – c’est censé rassurer ? – selon Libération. Qui va d’ailleurs jusqu’à occulter le flagrant délit puisqu’il n’encourra la réclusion à perpétuité, peine prévue dans le cas « d’homicide volontaire sur militaire ou gendarmerie nationale », que… « s’il est mis en examen et reconnu coupable ». Il pourrait donc être reconnu innocent ?

Quant à francetvinfo, le site parle d’un « suspect »… heureusement neutralisé par le second gendarme !

La justice ? Celle évoquée par un procureur de la République prenant soin de préciser que le coéquipier « l’a mis en joue (le tueur à la voiture) sans faire usage de son arme malgré le contexte » ? Sous-entend-elle – en écho à la vision de Bernard Cazeneuve pour qui un bon policier évite de faire usage de son arme – que le contraire eût été fâcheux ?

Deux gendarmes tués dans l’exercice de leurs fonctions, en 2015. Christian Rusig est la 8e victime en 2016. Qui aurait dû être évitée. Ne reste plus, à Hollande et Cazeneuve, qu’à organiser une énième cérémonie de remise de médaille à titre posthume…

 Caroline Artus

Source 

Moselle : l’immigration irrégulière dans le viseur

 

 

Les forces de la police aux frontières sont sur le terrain pour contrôler les flux migratoires en Moselle. Un passeur a été interpellé.

 En matière d’immigration, la Moselle est un carrefour. Une terre de transit pour ceux qui veulent filer en Angleterre. Une terre d’installation pour d’autres qui rêvent d’obtenir le droit d’asile. Le camp de Blida, à Metz, est la pointe visible de ces flux migratoires. L’endroit a été démantelé mais, déjà, des tentes ont repoussé à proximité. Un mouvement que les autorités tentent d’endiguer à travers un dispositif articulé autour des services de la préfecture et de la police aux frontières.

 

Pourquoi ?

 

Sur consigne du ministre de l’Intérieur, le préfet de la Moselle a lancé un plan d’actions qui doit permettre de fluidifier les dispositifs d’accueil des demandeurs d’asile. Le dispositif de premier accueil, installé rue des Alliés à Metz, a rouvert le 25 novembre. Les effectifs du guichet unique d’accueil des demandeurs d’asile de Metz ont été renforcés. Les actions doivent aussi mettre un frein à l’immigration irrégulière et à tous les trafics qui gravitent autour.

Comment ?

 

Les contrôles se sont intensifiés sur des points de passage ciblés. « Nous avons renforcé notre présence à l’aéroport de Strasbourg et le long des frontières, expose Christian Lajarrige, directeur zonal de la police aux frontières. En Moselle, nous sommes présents au péage de Saint-Avold, ou aux points d’entrée du Luxembourg. Ce dispositif ne concerne pas seulement les voies routières mais aussi les gares ferroviaires, du côté de Forbach et Thionville. » Depuis une semaine environ, les forces de l’ordre sont en nombre au cœur de Metz, non loin du camp de Blida. Un escadron de gendarmes mobiles a été mis à disposition pour mener des surveillances et des contrôles.

Qui ?

 

Ces actions permettent de vérifier les conditions d’entrée dans l’espace Schengen de ressortissants en provenance, pour la majorité, des pays des Balkans. Pour circuler sur le sol français, un passeport biométrique ne suffit pas : les migrants doivent notamment être en possession d’une somme d’argent correspondant à la durée du séjour. Les contrevenants sont placés en rétention administrative et font l’objet d’une procédure. Le préfet prend ensuite une mesure de placement dans un centre de rétention en vue de leur renvoi au pays, avec souvent interdiction de retour. « Ce qui ne les empêche pas de demander l’asile durant la rétention, indique le directeur de la Paf. Leur demande est étudiée en priorité. » Une trentaine de personnes, la plupart d’origine albanaise, se trouvent actuellement au Centre de rétention administrative de Metz. Des vols à destination du Kosovo et de l’Albanie sont en cours de planification

K. G.
 

Nancy (54) : affrontement entre bandes rivales au village de St Nicolas

 

 
(…)Le temps que des renforts policiers n’interviennent, une dizaine de commerçants du Village, pris à partie verbalement, tentait de repousser « ces jeunes désœuvrés » vers le bas de la rue de Ponts. Pour préserver la sérénité et la sécurité des visiteurs du Village inauguré quelques jours plus tôt. Un suspect était placé en garde à vue. Il a été libéré, sans suites.


 
« Ils ont sorti des couteaux et une sorte de poing américain », assure un vendeur. « Une vingtaine d’entre eux a essayé d’entrer dans le Village, mais on a fait barrage. Selon moi, la sécurité a été débordée ». Le calme reviendra avec le gaz lacrymogène des renforts policiers. Pas les visiteurs. « J’ai appelé deux fois la police », enchaîne une commerçante qui a vu ses clients en terrasse, s’enfuir en laissant l’argent sur la table. De la monnaie raflée par les « fighters »…

« On ne parle pas ici de terrorisme, mais d’une délinquance locale qu’on ne parvient pas à gérer alors qu’un phénomène de squatters à proximité du Saint-Seb perdure depuis des mois », déplore Sébastien Duchowicz, président des Vitrines de Nancy  dans l’attente d’une « réunion d’urgence et d’un protocole strict » sur la sécurisation de la place Charles-III.(…)

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Fusillade du Théatro à Lille : Fayçal Mokhtari aux assises

 

 
Selon les conclusions de la présidente après l’enquête de personnalité dévoilée lundi, Mokhtari a connu « une enfance normale au sein d’une famille nombreuse avec une éducation stricte et des principes », marquée ensuite par « une scolarité pas aboutie » et différents petits boulots. Mokhtari, qui a huit frères et soeurs, a révélé lundi être le père de cinq enfants, dont deux nés lors de sa détention.

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Résistance corse à l’islamisation : 3 mois après les évènements de Sisco

 

 

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Hervé Grandchamp, que les téléspectateurs d’IMedia connaissent bien, a réalisé un remarquable reportage sur la Corse, 3 mois après les événements de Cisco. D’Ajaccio à la plage de Sisco, le reporter multiplie les témoignages pour mieux comprendre l’embrasement des Corses face aux actes de racisme anti-Français qui ont ponctué la vie de l’île depuis Noël 2015. Le document, réalisé pour le compte de la Fondation Polémia et de Jean-Yves Le Gallou, apporte de nombreuses réponses et rétablit la vérité ! Découvrez sans plus attendre, un reportage qui nous plonge au coeur de l’Ile de beauté qui entend conserver son identité et ses spécificités.
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« La source du terrorisme est dans l’enseignement islamique officiel » alerte un général égyptien

 

 


Colloque « Origines du terrorisme islamique » à l’Assemblée Nationale, salle Colbert, du 26 novembre 2016, sous le patronage du député Philippe Folliot. 

Intervention du général Ahmad Abou Maher, responsable de la lutte contre l’extrémisme religieux dans le gouvernement égyptien du président Abdel Fattah al-Sissi. Il pointe la responsabilité d’al-Azhar, la prestigieuse université islamique, ainsi que des programmes scolaires officiels. Il brandit deux ouvrages programmés dans les collèges-lycées, qui prescrivent la haine des chrétiens : marquer leurs maisons, exiger des vêtements distincts, l’interdiction de construire des églises, la peine de mort contre les apostats
 
L’Observatoire de l’islamisation (www.islamisation.fr) fut le seul média à couvrir ce colloque sensible, co organisé par l’Organisation Franco-égyptienne pour les droits de l »homme (OFEDH) et l’Union des Nords Africains Chrétiens de France (UNACF). En complément, regarder le passage d’Ahmad Abou Maher à la télévision égyptienne sur ce grave problème de l’enseignement de l’islam à l’école.

Source 

mardi, 29 novembre 2016

Les femmes issues de l'immigration souvent plus vulnérables aux violences conjugales

 

 
Les femmes issues de l'immigration sont souvent plus vulnérables aux violences conjugales en raison de leur situation. C'est ce qu'il ressort d'un colloque organisé lundi par la secrétaire d'État bruxelloise à l'Égalité des chances Bianca Debaets (CD&V), dont l'objectif est de trouver des solutions pour mieux les protéger.

 En 2015, la police a enregistré 2.401 plaintes pour violences conjugales en Région bruxelloise. Ce chiffre ne représente toutefois qu'une partie du phénomène, dans la mesure où toutes les victimes ne portent pas systématiquement plainte. 

Selon la secrétaire d'État bruxelloise à l'Égalité des chances, les femmes issues de l'immigration sont moins enclines à signaler ces violences en raison de leur situation. La peur de perdre leur titre de séjour, le manque d'information ou d'un cercle d'amis sur lequel s'appuyer les rendent encore plus vulnérables.

Les femmes qui migrent pour rejoindre leur mari en Belgique à travers le regroupement familial reçoivent normalement une protection. Mais il existe une exception: "Celles qui ne disposent pas encore d'un statut de séjour définitif n'ont pas droit à cette protection. Cela signifie que si ces femmes quittent leur domicile sans signaler à l'Office des étrangers qu'elles sont victimes de violences conjugales, elles peuvent être expulsées", regrette Bianca Debaets.

Un autre problème réside dans la dépendance financière à leur mari. Selon les statistiques, à peine 41% des femmes issues de l'immigration non-européenne travaillent, tandis qu'ils sont 71% des hommes à avoir un emploi.

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Immigration de masse: la peur du peuple est-elle bonne conseillère?

 

 
Si le Conseil des Etats se rallie au Conseil national cette semaine sur la question de la mise en œuvre de l’initiative votée le 9 février 2014, le scrutin populaire sera privé d’effet, en violation inouïe de la Constitution, estime le constitutionnaliste Etienne Grisel

Le Brexit aura lieu, M. Trump entrera en fonction: la décision des peuples est respectée, que cela plaise ou non. Mais si le Conseil des Etats se rallie au Conseil national, le vote du 9 février sera privé d’effet, en violation inouïe de la Constitution.

Les appels répétés au respect de la volonté populaire sont entendus par une élue comme des «arguties constitutionnelles». Or il n’est pas question de forme, mais du fonctionnement des institutions et surtout du droit d’initiative, qui est notre liberté essentielle.

Sans se soucier de l’opinion des électeurs

 

La majorité des citoyens et des cantons a choisi de soumettre l’immigration à une gestion autonome. La prétendue «loi d’application» de l’art. 121a préparée par les Chambres veut dire précisément le contraire. Il est vrai que la procédure n’est pas terminée et qu’on ne connaît ni sa durée ni son issue.

Pour l’instant, il apparaît que les députés s’estiment seuls habilités à identifier l’intérêt général, sans se soucier de l’opinion de leurs électeurs. En démocratie, il ne s’agit pas de savoir qui a tort ou raison sur le fond, question subjective et toujours discutable. Mais il importe de déterminer qui, du peuple ou des représentants, a le dernier mot.

Le Conseil fédéral a manqué de cohérence

 

Le Conseil fédéral a certes manqué de cohérence et de cohésion. Il devait, ou bien présenter rapidement un projet de loi pour respecter le délai, ou bien attendre l’issue des négociations. Les deux attitudes se défendaient. Mais le Conseil fédéral n’a pris ni l’une ni l’autre. Il a préféré entamer, puis interrompre les pourparlers, pour présenter un projet de loi tardif, qui ne pourra pas entrer en vigueur dans le délai au 9 février 2017, compte tenu du droit de référendum.

Ce projet fut refusé par le Conseil national, qui lui substitua une version toute différente. La représentante du Conseil fédéral avait d’emblée et ouvertement approuvé la proposition d’une mise en œuvre «légère». Elle ne pouvait donc plus guère défendre la position gouvernementale, comme la collégialité lui en faisait le devoir.

Ligne politique d’autant moins lisible

 

Au surplus, il semble singulier qu’un dossier d’une pareille portée soit confié à trois chefs de département différents, sans que le partage des responsabilités soit clairement établi et rendu public. La ligne politique en paraît d’autant moins lisible.

Le refus d’appliquer le nouvel article 121a s’appuie sur des arguments pseudo-juridiques. Selon les uns, l’initiative serait inexécutable, alors qu’elle implique simplement le retour à la situation légale en vigueur jusqu’en 2009: elle est donc praticable malgré ses inconvénients.

Pour d’autres, elle serait contraire au droit international, thèse manifestement erronée. L’accord de libre circulation lie la Suisse, mais pas pour l’éternité, et chaque partie à une convention bilatérale peut demander de renégocier et résilier licitement le traité, si la démarche échoue.

Les autorités trompent le peuple

 

Dès le dépôt de l’initiative «Contre l’immigration de masse», chacun savait qu’elle était incompatible avec l’ALC et qu’elle remettait en cause les relations avec l’UE. Mais ni le Conseil fédéral, ni les Chambres n’ont mis en doute la validité de la demande populaire. Le parlement n’a été saisi d’aucune proposition en vue de l’annuler. Quand les autorités valident une initiative et prétendent ensuite qu’elle est inapplicable, elles trompent le peuple.
Les conseillers nationaux ont perdu leur temps à discuter le point de savoir si le droit international l’emporte sur la Constitution fédérale ou l’inverse. Or le problème ne se pose pas, puisque l’art. 121a ne viole en aucune manière les règles internationales sur le droit des traités.

Cela s’appelle un coup d’Etat

 

Certains prétendent encore que l’initiative des Alpes n’aurait pas été exécutée et qu’il y aurait là un précédent. C’est oublier que la Confédération a, pour réaliser le transfert de la route au rail, construit le plus long tunnel de base au monde et dépensé environ 20 milliards de francs.

On entend aussi dire que le peuple se serait – ou aurait été – trompé et qu’il aurait changé d’avis. Dans ce cas, qu’on soumette sans tarder l’initiative RASA au scrutin. Mais on s’y refuse, jugeant un nouveau vote «dangereux». Il est donc bien question de contrecarrer la volonté populaire. Celle-ci s’est sans doute exercée à mauvais escient, mais en partie par la faute des opposants et du Conseil fédéral, qui ont mené une campagne notoirement insuffisante. Cependant, la peur du peuple est-elle bonne conseillère?

La nature obligatoire d’une votation va tellement de soi qu’elle n’est même pas inscrite dans la Constitution. Mais son efficacité dépend de la bonne foi du législateur. Si celui-ci peut en fait se soustraire à son devoir, faute de juge pour l’y contraindre, la souveraineté populaire est confisquée, la démocratie n’est plus semi-directe et le système devient représentatif.

Lorsqu’un pouvoir abuse de sa position de force pour imposer ses vues, au mépris des institutions, cela s’appelle un coup d’Etat.


Le constitutionnaliste Etienne Grisel est professeur honoraire de l’Université de Lausanne.

Letemps.ch 

Halima Aden, la première prétendante, musulmane et voilée, au titre de Miss Minnesota

 

 
Sa beauté irradie sous le hijab qui lui entoure délicatement le visage depuis son plus jeune âge, Halima Aden, 19 ans, une Américaine musulmane originaire de Somalie, est sans conteste l’outsider inattendu du concours Miss Minnesota qui aura lieu les 2 et 3 décembre, à Burnsville.
 
Prétendante atypique, voire hors-normes, à un diadème scintillant particulièrement convoité, la jeune fille, gracieuse et gracile, qui n’a rien oublié de sa jeunesse passée dans les camps de réfugiés au Kenya avant de trouver refuge en famille à Saint-Cloud, en plein cœur du Minnesota, semble sereine à l’approche du grand jour, ne craignant pas d’affronter les regards et les jugements, même les plus interloqués, réprobateurs et sans appel.
 
Cette postulante pas comme les autres, dont la candidature a été examinée avec interêt et bienveillance par Denise Wallace, la co-directrice du concours, qui voit en elle le symbole de la diversité que veut valoriser son grand show annuel, a été autorisée à se démarquer de ses rivales, incarnant l’exception à la règle sur un podium où les canons de beauté sont standardisés et les attraits physiques dévoilés.
 
Sur une scène qui sacralise davantage le culte du corps que la beauté intérieure, Halima Aden s’apprête à faire sensation devant le jury et des millions de téléspectateurs, revêtue de robes de soirée couvrantes et d’un burkini. Elle est convaincue du bien-fondé de sa présence dont elle sait pertinemment qu’elle risque fort d’être considérée comme incongrue, dans et en dehors de la sphère musulmane.
 
« Ce spectacle représente tellement plus que la seule valorisation de la beauté féminine. Les messages des candidates sont toujours positifs, pleins de bonnes intentions », a déclaré la première prétendante, musulmane et voilée, au titre de Miss Minnesota, ajoutant en anticipant les critiques : « Je ne vois pas pourquoi j’aurais dû renoncer à mon hijab pour participer au concours. J’espère que ce podium sera un tremplin pour montrer au monde qui je suis et dissiper les idées fausses sur l’islam et les musulmanes voilées », a-t-elle insisté.
 
Alors que l’on observera au passage que le port du burkini, loin de déclencher l’hystérie collective, a été non seulement approuvé par Denise Wallace, mais estimé en parfaite adéquation avec les valeurs prônées par l’Organisation des concours de Miss visant à promouvoir la beauté de toutes les femmes, sans exclusive, les spéculations vont bon train, Outre-Atlantique, sur les chances d’Halima Aden de surclasser ses concurrentes.
 
Si jamais la jeune femme venait à créer la surprise en montant sur la première marche du podium, ce serait alors une reine de beauté en tout point incomparable qui ferait ses premiers pas, sous les feux des projecteurs, sur la scène ultra-médiatisée de Miss USA, entrant par là même dans les annales du grand concours qui fait rêver plus d’une Américaine.
 

Gironde: Des inscriptions hostiles aux musulmans découvertes sur une mosquée

 

 
FAITS DIVERS Dimanche, des fidèles ont repéré des tags anti-musulmans sur les murs de l'édifice. Une plainte va être déposée ce lundi...
 
« Vive la France », « Salafistes dehors, fini les attentat (sic) sinon » : deux inscriptions hostiles aux musulmans ont été découvertes dimanche sur les murs de la mosquée de Mérignac, près de Bordeaux.

Une plainte déposée ce lundi

 

Ces inscriptions ont été constatées par des fidèles dans la matinée sur un mur latéral de l’édifice, a expliqué le président de l’association des musulmans de Mérignac, Hassan Belmajdoub, qui a indiqué avoir averti la municipalité et les autorités. Une plainte devrait être déposée lundi, a-t-il précisé.

« Nous avons des caméras de surveillance sur lesquelles nous avons pu voir un individu qui a escaladé le mur des voisins un peu après minuit », a-t-il expliqué. « Nous condamnons ces inscriptions racistes et islamophobes. C’est un acte, certes isolé, mais lâche et ignoble, en particulier en ce jour d’élection », a-t-il ajouté, en référence au vote de la primaire de la droite et du centre.

Alain Anziani, sénateur-maire PS de Mérignac, a lui aussi dénoncé ces inscriptions : « C’est aussi sans doute lié au scrutin de ce jour, avec une volonté d’affirmer des idées négatives et d’exclusion », a-t-il déploré.

« On n’a besoin de personne pour dénoncer les salafistes »

 

Pour le président de l’Observatoire contre l’islamophobie et secrétaire général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, « on n’a besoin de personne pour dénoncer les salafistes, nous-mêmes nous dénonçons ceux qui portent atteinte à la République et qui prônent la violence », a-t-il dit. Il a dénoncé des actes « qui ont un effet inverse sur les jeunes musulmans qui considèrent ainsi qu’ils sont victimes d’islamophobie ».

La Direction départementale de la sécurité publique (DDSP), chargée de l’enquête, a indiqué que la Police scientifique s’était rendue sur place.

En août 2015, cette même mosquée avait essuyé un jet de cocktail Molotov qui avait provoqué un début d’incendie sur le portail, rapidement maîtrisé par des fidèles.

 E.P. avec AFP

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Lille: Les auteurs de la fusillade du Theatro passent aux Assises

 

 
JUSTICE Après avoir été refoulé à l'entrée, Fayçal Mokhtari avait tiré à la kalachnikov sur la discothèque lilloise le Theatro, tuant deux personnes...
 
 
Le drame avait relancé le débat sur la circulation des armes lourdes. Le procès de la fusillade du Theatro de Lille s’ouvre lundi aux assises du Nord, plus de quatre ans après les faits.

Deux hommes seront dans le box des accusés : Fayçal Mokhtari, 36 ans, tireur présumé, et son ami Djelloul Cherifi, 28 ans. Le premier est accusé d’avoir tiré au fusil kalachnikov sur l’entrée de la boîte de nuit lilloise d’où le duo venait d’être refoulé, tuant deux personnes et en blessant six autres.

Interpellés en Espagne

 

Les faits s’étaient produits vers 3h00 du matin le 1er juillet 2012. Les tirs, qui ont duré une trentaine de secondes, ont tué une employée de 25 ans, Sabrina Vasseur, une esthéticienne qui tenait le vestiaire pour arrondir ses fins de mois, et Hamza Belaïdi un Algérien de 26 ans travaillant pour un bailleur social.
Les accusés ont été interpellés cinq jours après les faits à Figueras, en Espagne, alors qu’ils avaient espéré gagner le Maghreb.

Le procès doit se tenir jusqu’au 6 décembre. Pour les jurés, il s’agira notamment de déterminer s’il y a eu ou non préméditation de la part du tireur présumé et de son complice, qui risquent la réclusion criminelle à perpétuité.

Préméditation, ou « violence irrationnelle »

 

L’accusation fait valoir que Fayçal Mokhtari a proféré des menaces avant de retourner à sa voiture, pour y prendre la kalachnikov. Une action en deux temps qui prouve la préméditation, explique à l’agence AFP Me Blandine Lejeune, avocate de la famille de Hamza Belaïdi : « Ce n’est pas “Je veux rentrer dans une boîte, il y a une altercation, je sors un couteau et je frappe”. C’est “Je repars en disant je vais revenir et je vais vous buter et je reviens avec une kalach et je tire en rafale” ».

De son côté, Me Éric Plouvier, l’avocat de Fayçal Mokhtari, assure que son client « s’expliquera sur la violence parfaitement irrationnelle qui a été la sienne », en réaction aux « coups de matraque » qu’il aurait reçus devant le Theatro.

Mais la personnalité du principal suspect pèsera lourd dans les débats, car Fayçal Mokhtari était déjà bien connu des services de police, et de la justice qui l’avait condamné pour un double braquage en région parisienne.

Un policier, qui l’avait croisé quelques mois avant la fusillade dans une affaire liée au trafic de stupéfiants, confie d’ailleurs à 20 Minutes qu’il avait prévenu l’accusé : « Je lui ai dit qu’un jour on le retrouverait avec une balle dans la tête, ou qu’il tuerait quelqu’un ».

 Olivier Aballain, avec G.D.

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Prison de Valence: deux détenus menacent un surveillant et prennent ses clés

Une mutinerie a été soulevée dans la prison de Valence, dans la Drôme. Selon un communiqué du ministère de la Justice, les faits débutent à la mi-journée, plus précisément à 12h30. 


Deux détenus du quartier de la maison centrale de la prison menacent un surveillant de la prison avec un couteau. Leur injonction: ils demandent au fonctionnaire de leur donner ses clés. Une fois le sésame remis, les prisonniers se sont enfermés à l’étage. 

De grands moyens policiers déployés

 

Il n’y a pas eu de prise d’otages car l’ensemble du personnel a pu quitter l’étage en question à temps. Les détenus ont ensuite mis le feu à au moins trois cellules.

La Chancellerie précise également le dispositif policier dépêché sur place pour faire face à la situation. Une cellule de crise a été mise en place au sein de la direction de l’administration pénitentiaire. Les équipes régionales d’intervention et de sécurité (ERIS) ont aussi été envoyées sur les lieux. Les forces de sécurité intérieure ont sécurisé le bâtiment et des pompiers sont présents.

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Des lycéens exigent plus d’autorité et de sécurité

 

 
Une drôle de manifestation s’est déroulée, vendredi 25 novembre, au lycée professionnel Albert-Chassagne à Paimboeuf en Loire-Atlantique, a rapporté le quotidien régional Ouest-France. 

Des lycéens ont, en effet, dénoncé le laxisme de la direction face à l’attitude agressive de certains élèves. « Sanctions, sanctions ! » ont-ils ainsi scandé devant les grilles de l’établissement. « Il y a des vols, des agressions, des provocations et la direction ne sanctionne pas. Certains enseignants sont à bout, on a peur qu’ils quittent l’établissement », a déploré un des porte-parole du mouvement.
« Des élèves ont fouillé dans le sac d’un enseignant, ont balancé ses clés. Ils lancent des bouts de gomme, des cailloux, des chaises en classe. Les toilettes ont été dégradées, tout comme une imprimante », a énuméré un autre lycéen. 

« Nous avons écrit une lettre à la direction pour que des mesures soient prises », a expliqué une jeune fille qui affirme ne pas se sentir en sécurité dans l’établissement.
On demande que les fautifs soient sanctionnés. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui,
a expliqué un de ses camarades.

La direction est consternée par de telles revendications. « Ma conviction est que la réponse aux problèmes se fait par le dialogue et non en coupant des têtes », explique-t-elle. « L’école doit être inclusive et bienveillante. Ça me fait très peur que des élèves demandent ainsi des sanctions à l’encontre d’autres élèves. »
De son côté, l’inspecteur d’académie concède qu’il a « rarement vu des élèves demander des sanctions à l’encontre de leurs camarades »

La situation est devenue si absurde que ce sont désormais des mineurs qui en viennent à demander aux adultes de mieux les protéger dans l’enceinte scolaire. L’école est tellement frappée par l’inversion des valeurs et par ce dogme qui érige les agresseurs en victimes qu’elle est dans l’incapacité de protéger les véritables victimes et de sanctionner les agresseurs, qui se sentent dorénavant tout-puissants.

Pétri de mythologie antifasciste à quatre sous, la direction rejoue la partition des Justes en réprimant ce qu’elle considère comme de la délation au lieu de réprimer ceux qui terrorisent son lycée.
La direction refuse d’exercer l’autorité pour laquelle elle est rémunérée, prenant le parti des coupables et n’assurant pas la sécurité de ceux qui subissent, arborant ce principe pervers de bienveillance à l’endroit des délinquants qui est toujours, au fond, une malveillance à l’endroit des élèves respectueux.
Il paraît que la lutte contre le harcèlement scolaire est désormais une priorité pour l’Éducation nationale.

Il serait peut-être souhaitable que les directions d’établissement soient, elles aussi, sensibilisées à cette question. 

 Thomas Clavel

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lundi, 28 novembre 2016

Rhône : les migrants manifestent contre leur cantine

 

 




C’est une scène surréaliste qui s’est déroulée samedi après-midi.

A Châtillon dans la vallée de l'Azergues, 36 migrants soudanais sont hébergés dans l’Institut Lonjaret depuis un mois et leur arrivée de la jungle de Calais.

Mais leurs conditions d’hébergement ne semblent pas leur plaire. Une dizaine d’entre eux ont donc manifesté pour se plaindre de la qualité de la cantine.

Le calme est finalement revenu très vite selon le Progrès.


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Le Parti Populaire veut stopper l'immigration non européenne

 

 




Les adhérents du Parti Populaire ont approuvé dimanche à l'unanimité un nouveau manifeste lors de leur congrès annuel, a indiqué le président du PP, Mischaël Modrikamen, sur son compte Facebook. 

 Le rassemblement de la formation politique, organisé à Anhée en province de Namur, a été ouvert par un discours du président du parti "Debout la France" Nicolas Dupont-Aignan, qui a annoncé en mars dernier sa candidature à l'élection présidentielle française de 2017.

Adoption

 
Les membres du PP présents ont ensuite procédé, après une introduction par le député fédéral Aldo Carcaci, à l'examen du nouveau manifeste. Ce dernier a été adopté à l'unanimité.

Propositions

 
Dans ce document, le PP propose notamment l'élection directe par les citoyens des présidents des tribunaux, procureurs et commissaires de police-chefs de zone tous les 5 ans, la mise sur pied d'une garde civile composée de 50.000 volontaires armés pour surveiller les endroits stratégiques, ou encore la fermeture des frontières à l'immigration non européenne.


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Tentative d'incendie contre une église dans le Nord: Cazeneuve condamne « avec une extrême fermeté »

Bernard Cazeneuve a indiqué samedi dans un communiqué condamner avec « une extrême fermeté la tentative d’incendie, accompagnée de dégradations, qui a visé hier l’église Saint-Nicolas-de-Zuydcoote », près de Dunkerque.


Selon La Voix du Nord, l’incendie a été déclenché par des vandales, qui s’en sont également pris au mobilier. Les pompiers ont été alertés par une femme qui fleurissait une tombe dans le cimetière voisin. 

Statue décapitée

 

« Il appartiendra à l’enquête de déterminer les circonstances exactes de cet incendie. Tout sera mis en oeuvre pour que les auteurs de ces actes odieux soient interpellés, traduits en justice et punis », souligne encore le communiqué du ministère de l’Intérieur.
Le maire, qui a décidé de porter plainte a déclaré à France 3 Régions « C’est un déchaînement de violence assez rare, qu’on a du mal à imaginer dans une église et dans un village comme Zuydcoote, avec toute une mise en scène pour décapiter une statue. Les gens ici sont choqués ».

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