mardi, 26 février 2013
Mosquée de Nice : Estrosi se couche, la NDP réagit...
Christian Estrosi a confirmé ce mercredi soir qu'une salle de prières musulmane ouvrira bien dans le quartier HLM de Roquebillière, à Nice-Est.
Le maire a choisi pour la gérer l'association cultuelle "Alliance des musulmans de l'est niçois". L'AMEN, membre de l'Union des musulmans des Alpes-Maritimes (UMAM), lui a été suggérée par le Comité de suivi du culte musulman, instance consultative qu'il a créée et qui réunit des élus et des représentants musulmans.
Un bail doit maintenant être signé entre l'association et le bailleur social Côte d'Azur Habitat, propriétaire des locaux. L'AMEN disposera de 500 m², dont 200 pour le culte musulman et 300 pour des activités scolaires et culturelles, dont l'apprentissage de l'arabe.
La ville conservera 300 m² contigus "entièrement dédiés à des activités sociales, comme la petite enfance ou les seniors".
"On ne peut pas se plaindre des prières de rues si, par ailleurs, on n'offre pas des solutions aux musulmans pour qu'ils pratiquent leur culte dans les meilleures conditions" a expliqué Christian Estrosi : "Mais il ne s'agit pas de soutenir une démarche communautariste."
Communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :
Encore une fois le maire de Nice a cédé devant les pressions communautaristes !
Cette ouverture de "salle de prières" cache en fait la main-mise des musulmans sur tout un quartier de Nice.
Car, il y aura, en plus du lieu de culte, des "activités culturelles et scolaires" et même des "cours d'arabe" !
On assiste à une libanisation de notre territoire qui se découpe désormais en zones Halal, ou non Halal…
L'UMP local se fait complice de cette politique, et l'encourage. Les Azuréens doivent le savoir !
C'est le message que veut faire passer la NOUVELLE DROITE POPULAIRE DES ALPES MARITIMES. Si vous voulez vraiment lutter contre l'islamisation de votre région, rejoignez-nous !
Pour défendre votre identité, votre sécurité, et vos libertés, IL N'Y A QUE LA NDP.
NDP 06 cliquez ici
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lundi, 18 février 2013
Le site de la Basilique St Rémi de Reims piraté par des Algériens...
REIMS (Marne). Le site internet de la basilique Saint-Remi à Reims a été piraté. Selon le webmaster, le site est la cible d'une attaque depuis le début du week-end. Si la page d'accueil n'annonce rien d'anormal, la navigation est impossible et bloquée. Tous les liens présents sur la page d'accueil redirigent vers des pages portant la signature du hacker qui se désigne comme étant 'Hacker DZ27" et se présentant comme un pirate algérien.
Le drapeau algérien flotte d'ailleurs sur la page. Ce mystérieux DZ27 semble viser particulièrement les sites chrétiens.
Dans l'onglet du navigateur, toujours le même message qui se déploie : " fucked by DZ27".
Source cliquez là
20:27 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 16 février 2013
Action Résistance :
LISEZ BIEN CET APPEL :
Consigne de Synthèse nationale :
Vous allez recevoir une lettre de François Hollande pour vous expliquer l'avantage, selon lui, du vote des étrangers…
Après le mariage homo, le gouvernement, en bon petit serviteur du projet mondialiste et dans l’incapacité de résoudre la crise, va essayer de masquer ses échecs en donnant le droit de vote aux étrangers dans un premier temps lors des élections locales.
L’immense majorité des Français ne veut de cette loi, sauf bien entendu l’hyper-classe et sa cohorte de domestiques aux ordres (journalistes, golden boys, bobos, résidus du PS, droit de l’hommistes, donneurs de leçons patentés et gauchistes reconvertis dans la com…). Bref tous ceux pour qui les mots « nations », « peuples », « civilisations » et « identités » ne font pas partis de leurs culture…
Alors, voici la consigne que nous donnons aux Français qui aiment la France et qui ne souhaitent pas voir leur municipalité tomber entre les mains des islamistes :
La lettre de François HOLLANDE arrivera prochainement dans nos boîtes....
Cette lettre doit être renvoyée sans l'ouvrir
16 860 685 enveloppes, qui lui reviennent, ça fait désordre !
La procédure est simple : Retour à l'expéditeur !
1/ Ne pas ouvrir le courrier
2/ Inscrire en toutes lettres : RETOUR à L'EXPÉDITEUR
3/ Déposez votre lettre, sans affranchissement supplémentaire (quand on écrit à l’Elysée, c’est gratuit), à la poste qui se chargera de la retourner à l'envoyeur
4/ Pour un franc succès, faites passer le message autour de vous, par téléphone, e-mail, internet, etc.
5/ Inutile de motiver votre renvoi, Il comprendra...
Faites suivre… S.V.P.
00:53 Publié dans Infos sur la campagne | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 12 février 2013
Lille : l'islam s'impose grâce à ses collabos...
13:35 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 30 janvier 2013
A partir de vendredi, sur Synthèse nationale :
15:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
Kosovo : les musulmans albanais persécutent à nouveau les Serbes !
Yves Darchicourt
Depuis quinze jours maintenant, les cimetières chrétiens du Kosovo-Metochie font l'objet de profanations systématiques et de destructions parfois même à l'explosif; un lâche déchaînement de haine anti-chrétienne qui s'en prend aux défunts des communautés serbes orthodoxes qui s'obstinent à ne pas vouloir abandonner aux albanais musulmans la terre de leurs ancêtres. Monseigneur Théodose, l'évêque de cette malheureuse province serbe arrachée à la mère patrie pour complaire aux mondialistes de l'Union Européenne, vient de déclarer que les serbes du Kosovo vivent les instants les plus douloureux depuis les pogroms anti-chrétiens de 2004.
L'impunité totale dont jouissent les auteurs de ces profanations est révélatrice de la complicité des autorités albano-musulmanes et de la fort étrange passivité des eurocrates dont il n'est pas exclu qu'ils se réjouissent même de ces actions visant - au travers des tombes de leurs aïeux- à couper définitivement les serbes de leurs racines. La guerre faite aux morts est une des facettes de l'ethnocide programmé qui vise à l'anéantissement de l'identité serbe au Kosovo par les mahométans albanais.
Et cela se passe en Europe, pas très loin de nos frontières-passoires, ce qui nous fera affirmer une fois de plus que c'est chez nous, que c'est en Europe que l'islamisme doit d'abord être combattu, pas dans les palmeraies du Mali !
15:07 Publié dans Au niveau européen | Lien permanent | Commentaires (0)
Un grand magasin de Munich sombre dans la dhimitude absolue !
A l'intérieur du magasin Oberpollinger situé près du Stachus, à Munich, se trouve désormais un panneau qui indique la présence d’un espace de prière pour les musulmans. Les nombreux touristes venus des pays arabes bénéficient également, selon le magasin, d’une priorité aux caisses. Des instructions auraient été données en ce sens aux caissières.
Source Lionel Baland cliquez ici
15:05 Publié dans Au niveau européen | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 23 janvier 2013
Europe : de ci de là l'islamisation à petits et grands pas !
Espagne : tandis que le Conseil Islamique de Grenade osait protester contre l'organisation des festivités marquant le 512e anniversaire de la libération de Grenade du joug musulman, Mansur Abdusalam Escudero - responsable des "Entités Islamiques d'Espagne"- prophétisait que sous peu l'Andalousie sera un paysage islamique sous la férule du Maroc ", le mahométan base sans doute ses certitudes sur le mot d'ordre du mouvement islamiste marocain "Justice et Bienfaisance" recommandant aux musulmans d'Espagne d'avoir beaucoup d'enfants avec des femmes espagnoles...sans toutefois préciser si celles-ci devaient obligatoirement être consentantes !
Autriche : le cardinal Tauran a participé à l'inauguration à Vienne d'un centre destiné à promouvoir la tolérance envers l'Islam en Europe, selon Tauran les islamophobes sont surtout des "ignorants" qu'il faut donc éduquer convenablement, d'où le bidule. Etrangement, Tauran n'a pas prêché la tolérance aux autorités saoudiennes qui ont fait arrêter 41 personnes par la police religieuse du royaume au prétexte qu'elles avaient osé fêter Noël.
Allemagne : après Hambourg, la ville-état de Brême a officialisé les jours de fête musulmans qui pourront être chômés pour les pratiquants.
France : promoteur douçâtre du Grand Califat et admirateur des Frères Musulmans, l'imâm "bordelais" Taraq Oubrou a été fait chevalier de la Légion d'Honneur, il va sans doute travailler à renforcer les statistiques du journal Le Monde selon lequel il y avait à fin 2012 en France 2200 mosquées de toutes tailles et 200 projets de construction en cours...comme à Vannes où le maire UMP David Bodo avait cru bon de donner dans le subventionnement hypocrite en accordant un bail pépère à "l'Association Culturelle des Musulmans de Vannes" avant de se faire tacler par le Tribunal Administratif. On ne sait pas si le légionnaire Oubrou sera un fidèle de la chaîne salafiste Iqra, intégrée à un bouquet arabo-musulman et désormais disponible d'accès en France sur Free-Box-TV mais il doit probablement bien s'entendre avec Jean-François Copé pour qui le respect du jeûne du Ramadan prévaut sur toute autre considération et même sur la sécurité de petits enfants :l'homme en effet ne manque pas une occasion de rappeler qu'il a soutenu quatre animateurs de colonies de vacances révoqués parce que s'obstinant à jeûner durant le Ramadan alors même qu'ils avaient de jeunes colons en charge ( peut-on sans risque conduire un car à 18h quand on on a ni bu ni mangé depuis 6h du matin ? )
Union Européenne : à Chypre, les eurocrates vont financer la réhabilitation de 4 mosquées dans la partie de l'île envahie par les turcs (opération Attila de 1974) au même titre que les édifices chrétiens sciemment endommagés par les ottomans; sur le sol d'un pays chrétien occupé par une armée musulmane, l'UE va donc financer l'entretien de bâtiments hautement symboliques de l'islamisation forcée de ce pays !
A suivre...!
01:11 Publié dans Au niveau européen | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 18 janvier 2013
’Union européenne donne de l’argent pour des mosquées turques dans le Nord de Chypre...
Lionel Baland cliquez ici
Le député européen du Vlaams Belang Philip Claeys a découvert que l’Union européenne va donner de l’argent pour des mosquées turques située dans le Nord de Chypre, occupé par la Turquie.
En 1974, l’armée turque a envahi Chypre et occupé le Nord de l’île. Les Grecs en ont été chassés, des milliers d’entre eux ont été assassinés. Des centaines d’églises grecques orthodoxes et de monastères ont été détruits par les Turcs, pillés, brûlés et depuis lors négligés.
Depuis 2004, Chypre est membre de l’Union européenne, mais la Turquie poursuit l’occupation de la partie située au Nord. Les Turcs refusent d’entretenir les restes des églises orthodoxes situées dans leur zone.
Après une longue opposition des Turcs, la Commission européenne a maintenant décidé d’établir une liste de 11 monuments prioritaires au sein des deux communautés qui doivent recevoir de l’argent. Les Turcs ont placé, en tant que provocation, quatre mosquées sur la liste. Pas de problème pour l’Union européenne : elle s’engage à verser 4 millions d’euros et encore plus d’argent suivra.
Pour Philip Claeys, « l’Union européenne va donc payer aux occupants au profit de bâtiments qui sont le symbole de l’occupation. Pas étonnant que l’Union européenne ne soit prise au sérieux nulle part dans le monde. »
01:32 Publié dans Au niveau européen | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 17 janvier 2013
Le numéro 30 de la revue Synthèse nationale (janvier février 2013) :
Au sommaire :
● Edito de Roland Hélie : l’heure du bilan et celle des projets…
● Dossier : SOS-RACISME, L’ARNAQUE DOIT CESSER !
Arnaud Raffard de Brienne, Patrick Parment, Roland Hélie.
● Défendre la famille traditionnelle, Pierre Descaves.
● Libre échangisme et libre échange, Eric Miné.
● Quand Salman Rushdie fut lâché par ses amis antiracistes…
Francis Bergeron.
● Du désenchantement, Georges Dillinger.
● Doriot et le PPF, Robert Spieler.
● Les pages du Marquis, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
● Les rubriques d’Yves Darchicourt (Histoire), Pieter Kerstens (l’oncle Sam), Lionel Baland (les droites nationales en Europe), Georges Feltin-Tracole (livres),Patrick Gofman…
● 11 novembre 2012 : le compte rendu de la 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.
132 pages, 12,00 €
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lundi, 14 janvier 2013
L'ancien numéro deux des RG du Val d'Oise voyageait aux frais de l'abattoir halal
L’ancien numéro deux des renseignements généraux du département aurait bénéficié de billets d’avion payés par l’abattoir d’Ableiges, qui a été fermé en mai.
L’abattoir d’Ableiges enterrait en douce ses carcasses et soignait ses relations. Le parquet de Pontoise a confié une enquête en préliminaire à la police des polices, l’IGPN, à l’encontre d’un policier du Val-d’Oise. Ce commandant de police, à l’époque numéro deux du Sdig, le service départemental de l’information générale (ex-RG), est suspecté d’avoir bénéficié des largesses de l’ancien patron de l’abattoir d’Ableiges, Mohammed Hammouti.
L’affaire remonte au 24 mai, quand les services vétérinaires du Val-d’Oise et la gendarmerie opèrent une descente dans l’abattoir et décident de le fermer. Ils y découvrent notamment 25 t de carcasses d’ovins enterrées en toute illégalité derrière le bâtiment et dissimulées sous une dalle en béton fraîchement coulée. En tout, 22 infractions ont été relevées. Cela va de vastes problèmes d’hygiène dans les bâtiments consacrés à l’abattage ou dans les boucheries à de fausses factures. Mohammed Hammouti devra en répondre le 23 janvier devant le tribunal correctionnel.
Il a aussitôt quitté son poste
Dans cette procédure figurent aussi des billets d’avion payés par les sociétés d’Hammouti pour un total de 8152 €. Parmi les bénéficiaires, le commandant de police du Val-d’Oise, un fonctionnaire par ailleurs déjà condamné dans le cadre de ses fonctions, qui a été entendu par la police des polices.
L’enquête n’établit pas quels actes il aurait effectué — ou se serait abstenu d’effectuer — pour éventuellement couvrir l’activité illégale de l’abattoir en échange de ces avantages. D’où la qualification actuelle limitée au « recel d’abus de biens sociaux » et non étendue au délit de « corruption ». Le fonctionnaire a quitté aussitôt son poste d’adjoint au Sdig pour rejoindre un placard à la direction départementale. En interne, on souligne qu’il est hors de question de couvrir ses agissements. La procédure est aujourd’hui entre les mains du parquet.
Le policier est à ce jour la seule personne visée par une enquête judiciaire, même si un autre bénéficiaire des billets d’avion a pu être identifié : un vétérinaire de la DDPP (la direction départementale de la protection des populations, qui regroupe les anciens services vétérinaires et les fraudes). Depuis quelques mois à la retraite, il a utilisé un billet pour la Pologne payé par l’abattoir. Le parquet n’a toutefois pas donné suite, estimant qu’il pouvait s’agir d’un vol professionnel.
Depuis les faits, l’adjoint au directeur de la DDPP, qui entretenait des liens de proximité avec Hammouti, a été muté très rapidement en novembre, et promu dans le Val-de-Marne. Il y a eu une démission au sein du service, des changements d’affectation…
Depuis 2009, les riverains avaient alerté les autorités sur les pratiques douteuses de l’abattoir. Un voisin avait découvert son champ couvert de sang à la suite de rejets, quand ce n’était pas une invasion de mouches et d’odeurs. Une vidéo a été transmise en 2009, l’année de la création de l’abattoir. Elle montre des employés, visiblement dérangés par la caméra, manipuler des peaux et des déchets animaux qui semblent alors enterrés sous un hangar. Une autre séquence montre un conteneur à bout de souffle rempli de déchets entassés dans des conditions suspectes.
Plusieurs procédures ont ainsi été lancées par la DDPP depuis cette date, mais aucune n’a abouti jusqu’à la descente aux résultats éloquents de mai 2012. Ce que déplore le Collectif citoyen d’Ableiges (CCA), qui a alerté le préfet dans un courrier. Ce dernier dénonce notamment l’absence de réaction des autorités au fil des ans malgré les alertes, et l’aveuglement de certains. Mohammed Hammouti était hier toujours injoignable.
Source Le Parisien via France Action Jeunesse cliquez ici
08:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 08 janvier 2013
Belgique : ils veulent imposer la loi islamique...
02:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 06 janvier 2013
Un parfait petit collabo de l'islmisation : le maire PS d'Amiens Gilles Demailly
19:16 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 01 janvier 2013
Franck Abed apporte son soutien à la campagne de Synthèse nationale pour la dissolution de SOS-Racisme !
16:40 Publié dans Argumentaires | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 22 décembre 2012
Revue de presse : Synthèse nationale part en campagne contre SOS racisme…
Un entretien avec Roland Hélie, directeur de la revue nationale et identitaire Synthèse nationale, publié dans l'hebdomadaire Rivarol de cette semaine (cliquez là).
Vous venez de lancer une campagne militante pour la dissolution de SOS racisme. Pourquoi ?
Comme nous l’avons annoncé lors de la 6e journée de Synthèse nationale qui s’est déroulée à Paris le 11 novembre dernier, notre revue, au-delà de sa vocation purement éditoriale, entend désormais prendre des initiatives militantes afin de dénoncer les impostures qui gangrènent notre pays. Or, au premier rang de ces impostures, nous trouvons toutes les officines prétendument antiracistes. Depuis des années ces officines, grassement entretenues à coup de subventions publiques, polluent, à coup de diktats idéologiques pour les plus dociles et de procédures judiciaires pour les plus récalcitrants, le débat politique sur l’immigration. Elles servent les intérêts du mondialisme et portent une lourde part de responsabilité dans le processus de dilution de notre identité et, quelque part, elles favorisent aussi l’islamisation rampante de la France. Voilà pourquoi nous avons décidé de lancer cette campagne nationale pour la dissolution de la plus voyante d’entre elles, à savoir SOS racisme.
Mais SOS racisme n’est pas la seule officine de ce type. Pourquoi avoir concentré vos tirs sur elle ?
Certes elle n’est pas, loin s’en faut, la seule. Toutes ces organisations mériteraient effectivement que l’on s’intéresse plus à leurs agissements. Néanmoins SOS racisme est sans doute, par son histoire et ses combines douteuses, la plus emblématique.
Rappelez-vous dans quelles conditions elle fut créée. Au milieu des années 80, Mitterrand alors Président et en chute libre dans les sondages eut l’idée de favoriser le lancement de ce mouvement afin de rameuter dans le giron de la gauche une partie de la jeunesse qui semblait lui échapper. En jouant sur la crédulité et les bons sentiments SOS racisme, dont l’organisation avait été confiée à un groupe de militants trotskistes issus de la Ligue communiste révolutionnaire et rassemblé autour de Julien Dray (qui légitimait ainsi son admission au PS), s’imposa très vite comme une véritable machine de guerre contre « la droite » en général et contre le Front national en particulier. En dénonçant régulièrement, comme c’était le cas lors de gigantesques concerts sur la place de La Concorde, toutes velléités d’entente entre « la droite » et le FN, SOS racisme offrait à Mitterrand et aux siens la tranquillité de rester à l’Elysée pour longtemps. Il faut dire que la pusillanimité indécrottable de « la droite » servis largement aussi les intérêts de Julien Dray et de sa clique.
Depuis, à vrai dire, rien a changé… Les acteurs ne sont bien sûr plus tout à fait les mêmes mais SOS racisme joue toujours le même rôle néfaste. Voilà pourquoi nous avons décidé de le dénoncer.
Vous dites que SOS racisme sert les intérêts du mondialisme. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?
Nous pensons que le monde n’est plus dirigé aujourd’hui par les gouvernements des Etats mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ceux-ci ont réussi à se substituer aux pouvoirs politiques locaux afin d’imposer leur volonté de transformer la planète en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus, à terme, qu’un vulgaire consommateur juste bon à enrichir les comptes des multinationales. Dans cette conception du monde, il n’y a bien évidement plus de place pour les nations, les civilisations, les races et tout ce qui fait les différences. Il en va de même d’ailleurs pour ce qui est des sexes si l’on s’en tient à la promotion faite de la fumeuse théorie dite « du gender ». Théorie qui fut, rappelons-le au passage, introduite dans les programmes scolaires par un ministre du gouvernement Fillon… Mais revenons à SOS racisme. Pour arriver à ses fins, l’hyper classe mondialiste a besoin de « forces de frappes » destinées à combattre toutes les formes de résistances qui pourraient se développer au sein des peuples et des nations. Voilà le rôle imputé à SOS racisme. Lancée il y a 30 ans avec la mission de servir de soupape à la gauche socialiste, elle s’est transformée en petite domestique servile du capitalisme international.
Ce n’est pas un hasard si, depuis quelques semaines, SOS racisme commence à agiter les idiots utiles de service (Emmanuelle Béart, BHL, le chanteur Renaud, Yannick Noah et les habituels pétitionnaires de la « bien-pensance » institutionnalisée…) pour faire accélérer l’instauration du droit de vote aux étrangers promis par François Hollande dans son programme présidentiel. Notre campagne tombe donc à pic pour contrer cette nouvelle attaque contre ce qui reste de spécificité à notre peuple.
Comment se déroule votre campagne ?
Celle-ci a débuté par la diffusion d’un tract (cliquez ici) sur les réseaux sociaux que nous commençons à bien maitriser. Nous avons ainsi rassemblé en quelques jours des centaines de réponses venant de toute la France et parfois même d’au-delà. Nous venons de publier une plaquette (cliquez là) reprenant les arguments que nous développons et qui est envoyée à nos fichiers et aux personnes qui signent notre pétition. Nous avons aussi le soutien précieux de la Nouvelle Droite Populaire dont les militants s’activent localement pour relayer notre campagne.
Disposant hélas de peu de moyens financiers, nous demandons aux signataires de reproduire eux-mêmes notre tract et de le diffuser autour d’eux. C’est déjà le cas dans plusieurs dizaines de communes. Plus ce tract sera diffusé, plus nombreux seront nos compatriotes informés de cette véritable escroquerie publique qu’est SOS racisme. Nous demandons aussi à nos contacts de porter nos textes à la connaissance des élus de leurs villes respectives afin que ceux-ci réfléchissent à deux fois lorsqu’ils seront sollicités pour verser des subventions à SOS racisme. Il faut savoir que les subventions publiques représentent 98% du budget de cette association. Sans notre argent ces mouvements n’existeraient plus.
Pensez-vous que votre campagne changera les choses ?
En demandant la dissolution, nous avons volontairement placé la barre haute. Alors, même si nous n’obtenons pas gain de cause, car nous savons que nous n’avons rien à attendre du pouvoir actuel, nous aurons au moins réussi à informer nombre de nos compatriotes sur les agissements de cette officine parasitaire antinationale. Nous aurons aussi semé le doute chez de nombreux élus qui, jusqu’à présent souvent par conformisme intellectuel, accordaient les subventions à SOS racisme. En cela, ce sera déjà une victoire.
Trop souvent, la force de nos ennemis réside dans nos faiblesses. Il est temps que la peur change de camp.
Comment vous aider ?
Contactez-nous, nous vous adresserons notre plaquette ainsi que le tract à diffuser. Aidez-nous à amplifier notre campagne (vous pouvez nous adresser un don par chèque à l’ordre de Synthèse nationale) à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (cliquez ici).
Propos recueillis par Jérôme Bourbon
Chaque vendredi, chez votre marchand de journaux 3,50 €
ou sur abonnement cliquez ici
23:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 13 décembre 2012
A Poitiers, la deuxième mosquée reste d'actualité...
Source La Nouvelle République cliquez ici
Bouchaïb Kamali est depuis 2011 le président du conseil régional du culte musulman.
Le président du conseil régional du culte musulman défend le projet d’une seconde mosquée. Concernant la première, il souhaite la transparence.
A l'image du reste de la société, la communauté musulmane n'est pas constituée d'un seul bloc. A Poitiers comme ailleurs, des tiraillements, parfois de réelles divergences se font jour entre différentes tendances de l'islam. Elles émergent notamment au sujet de la future grande mosquée, encore en chantier du côté de la rue de la Vincenderie, dont le permis de construire fut accordé en octobre 2003 à l'UOIF ( Union des organisations islamiques de France).
" L'entretien coûtera cher "
« Déjà en 1998, rappelle le poitevin Bouchaïb Kamali, aujourd'hui président du conseil régional du culte musulman, un groupe avait commencé à réfléchir sur un projet de mosquée à Poitiers. » Puis le projet de la Vincenderie est arrivé, piloté par le président de la communauté musulmane Boubaker El Hadj Amor, l'un des dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France, réputée proche des Frères musulmans.
A plusieurs reprises, le financement de la mosquée a posé question. D'où vient l'argent ? Des émirats arabes unis ? Des Etats du Golfe ? « Il n'y a pas de traçabilité et de transparence sur l'origine des fonds. Deux millions d'euros ont déjà été dépensés. Et puis c'est un grand monument dont l'entretien coûtera cher. Comment gérer l'après ? Je crois en fait que tous ces éléments n'encouragent pas la communauté musulmane locale à donner », déplore Bouchaïb Kamali, inquiet par ailleurs de la destination d'une certaine partie de la future mosquée.
« Un institut de formation ou une école d'imams ? J'émets toutes mes réserves sauf si l'encadrement est fait par l'Etat, de manière claire et transparente. La formation des imams doit se traiter au niveau national. La question ce n'est pas de finir la mosquée, c'est son entretien et son utilisation, une fois construite… »
Aujourd'hui, Bouchaïb Kamali affirme qu'il est en train de travailler « sur un projet poitevin de deuxième mosquée. Une mosquée de proximité qui intégrerait toutes les nationalités et communautés, des Turcs aux Algériens… »
Repères
L'interlocuteur du pouvoir
- Créé en 2003 par Nicolas Sarkozy, le Conseil français du culte musulman (CFCM) se veut l'instance représentative du culte musulman en France. Il intervient notamment dans les relations avec le pouvoir politique français, dans la construction des mosquées, dans le marché des aliments halal ou la gestion des lieux de culte.
- Plusieurs grandes fédérations y sont affiliées parmi lesquelles le rassemblement des musulmans de France (RMF) plutôt soutenue par le royaume du Maroc, la grande mosquée de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le comité de coordination des musulmans Turcs de France ou encore la fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles.
- On dénombre actuellement 13 lieux de culte en Poitou-Charentes : Châtellerault (1), Angoulême (3), Parthenay (1), La Rochelle (2), Rochefort (1), Royan (1), Cognac (1), Niort (1), Poitiers (2).
- Contact CRCM : tél. 06.42.56.67.70
Via Terre et peuple Poitiers cliquez là
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mardi, 11 décembre 2012
Révolte de CRS qui refusent qu’on leur impose la viande halal...
Un tract syndical dénonce avec virulence de la viande halal au menu de CRS.
Un tract, rédigé par une section locale d’Unité SGP police FO (premier syndicat de gardiens de la paix) et affiché dans une caserne de CRS à Rouen début avril, dénonce en termes très virulents le fait que de la viande halal ait figuré au menu des policiers.
Nicolas Comte, secrétaire général de ce syndicat, s’est totalement démarqué de cette initiative “locale” qui n’est pas “la position de notre organisation profondément laïque et républicaine”. Dans ce tract en date du 6 avril, parvenu mercredi à l’AFP et dont l’authenticité a été confirmée de source syndicale, le bureau local de ce syndicat écrit au commandant de la compagnie de CRS 31 basée à Rouen. Il lui signale que les CRS, de passage en région parisienne et cantonnés à Pondorly (Val-de-Marne), mangent de la viande halal au mess “et ceci à notre insu”. Il lui demande de mettre fin “à des approvisionnements au rituel étranger à nos coutumes”, selon une argumentation proche de celle de l’extrême droite et éloignée des écrits habituels de ce syndicat.
“Il serait inutile de vous rappeler que tout musulman qui entre dans notre corporation se voit proposer un régime au regard des us et coutumes de sa religion”, écrit ainsi le bureau local. “Ce qui ne veut pas dire, ajoute-t-il, que les catholiques de notre unité doivent +avaler+ toutes les couleuvres qu’on leur propose et que les athées ou agnostiques ne revêtiront pas la +burka+ (sic) après avoir digéré, avec beaucoup de mal, les indigences de nos gérants” du mess des CRS. Le tract ajoute que “manger halal, c’est payer l’impôt islamiste”. Il ajoute : “Nous ne voulons pas être complices de cette déviance, et nous ne voulons plus manger Halal à l’avenir“.
Interrogé par l’AFP, le syndicat, par la voix de son porte-parole national Yannick Danio, avait jugé dans un premier temps ce tract “très indélicat”. M. Danio a ajouté que son organisation “enquêtait” sur le “problème soulevé” par le tract à savoir que de la viande halal serait bien au menu de plusieurs compagnies de CRS “apparemment dans un souci d’économie”.
Source cliquez ici
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samedi, 08 décembre 2012
IL FAUT DISSOUDRE SOS RACISME !
En 1984, François Mitterrand, en délicatesse dans les sondages, notamment parmi les jeunes, favorisa l’émergence d’un mouvement destiné à appâter une partie de la jeunesse qui lui échappait en s’appuyant sur la naïveté qui souvent la caractérise.
Ce fut la naissance de SOS racisme, association qui, au-delà des calculs électoraux, prétendait mobiliser les Français contre un prétendu racisme dans la nation certainement la moins raciste au monde. Vaste défi apparent mais la pusillanimité de nos contemporains lui facilita grandement la tâche.
De puissants parrainages permirent à l’association naissante d’atteindre rapidement une notoriété médiatique sans commune mesure avec le poids de ses maigres troupes. Le Grand Orient de France, la MNEF, les CFDT, l’UEJF (Union des étudiants juifs de France) et la FEN (Fédération de l’éducation nationale) accueillirent avec un enthousiasme actif et généreux la création de l’officine dont la fonction essentielle et l’action se résumèrent à calomnier les Français de souche et à manipuler les immigrés afin de leur faire redouter un racisme latent sinon exprimé chez leurs hôtes, et cela bien malgré eux. Du côté des personnalités, l’incontournable Bernard-Henri Lévy (alias la « mouche du coche »), Jacques Attali (le polygraphe compulsif), Marek Halter (l’homme à l’imagination débordante), Jack Lang et de nombreux « intellectuels » apportèrent leur soutien inconditionnel à l’expérience trostko-socialiste.
A ces grandes âmes se joindront les soutiens sonnants et trébuchants émanant de Christophe Riboud, le fils du milliardaire Antoine Riboud, ou d’un Pierre Bergé, copropriétaire du quotidien Le Monde et propriétaire de Têtu, le magazine de prédilection des homosexuels branchés et quelques autres généreux riches mécènes.
A ces prestigieux parrainages vint s’agglomérer l’inévitable cohorte des « idiots utiles » tels Simone Signoret, Yves Mourousi, Dominique Baudis, Jacques Toubon et quelques dizaines d’autres notoriétés dont la motivation profonde ne relève bien souvent que de leur vie intime et des fantasmes y afférents.
Il ne manquait plus que trouver un secrétaire général suffisamment terne pour feindre de présider aux destinées de cette organisation exclusivement animée par des trotskistes issus le la Ligue communiste révolutionnaire et de la MNEF et dont le véritable patron, Julien Dray, tirait l’ensemble des ficelles. C’est au jeune et falot Jean-Philippe Désir, alias Harlem Désir (tout un programme !), actuel président du PS, qu’incomba ce rôle de composition. Ce métis, idéal représentant de la France plurielle, offrait à SOS racisme la vitrine d’une France multicolore tout en évitant l’écueil d’éventuelles revendications identitaires. De fait, il fallait que ce ne fut ni un Maghrébin, ni un Africain, ni un Asiatique et encore moins un Français de type européen qui présidât à l’association. Pour mieux comprendre la stratégie, il suffit de se référer à l’élection présidentielle des Etats-Unis.
Cette stratégie ne trompa d’ailleurs que ceux destinés à l’être et Jean-Philippe (Harlem) Désir fut immédiatement considéré par tous comme l’homme de paille de Julien Dray ainsi que le relate sans ambigüité aucune Serge Malik, l’un des militants de la première heure, dans son « Histoire secrète de SOS racisme » parue en 1990 (chez Albin Michel).
Julien Dray, grand amateur d’objets de luxe et notamment de montres, fit l’objet d’une enquête pour abus de confiance, notamment motivée par d’étranges mouvements de fonds entre l’association des « Parrains de SOS racisme » et son compte en banque ainsi que pour de curieux prêts dont lui firent bénéficier Gérard Sebag, un commerçant d’Antibes, Marc Rozenbat, époux d’Isabelle Thomas, une pétroleuse de l’UNEF-ID dans les années 80 recyclée dans l’entourage de Mitterrand, et Pierre Bergé. Preuve s’il en fallait que les grands idéaux ne suffisent pas toujours au complet détachement des biens de ce monde. Ses tourments judiciaires mirent Julien Dray, Juju comme l’appellent ses proches, en relative disgrâce parmi ses « amis » du PS. Sa dernière bourde n’arrangea certes pas les bidons : une semaine avant le second tour de la dernière présidentielle, Dray invita Dominique Strauss-Kahn à son anniversaire, dans un ancien sex-shop transformé en restaurant, rue Saint-Denis, faisant fuir par des sorties dérobées de prestigieux invités parmi lesquels Ségolène Royal, Emmanuel Valls ou Pierre Moscovici, peu enclins à fréquenter l’infréquentable ex-patron du FMI (Fourre-Moi Immédiatement persiflent quelques mauvaises langues), surtout en un tel endroit symbolique. Est-on plus maladroit ?
Par ailleurs, la gestion n’est certainement pas le point fort de SOS racisme, épinglée systématiquement par le Cour des comptes sans qu’apparemment les conseils de la docte institution ne modifient notoirement les pratiques. Nourrie aux subventions et dons divers, SOS racisme perçut en 2010, 579 000 € de subventions auxquels s’ajoutent les dons à hauteur de 100 000 € pour Pierre Bergé, 72 000 € pour la Fondation Ford et, le bouquet, 348 000 € en 2009 pour le FASILD, association dédiée à l’accueil des migrants qui elle-même vit de subventions... Sans parler des fonds spéciaux du Premier ministre mobilisés pour sauver SOS racisme de la banqueroute. On vous épargnera les détails des démêlés judiciaires, les perquisitions, les fausses factures (affaire C.Discount), les ventes de tableaux à SOS racisme, les gardes à vue, l’intervention de la Brigade financière et autres épisodes crapoteux. Pour simplifier, c’est 98% de ses ressources qui proviennent de subventions et de dons tandis que les cotisations n’en représentent que 2%.
En somme, il est demandé aux Français de payer toujours davantage pour se faire soupçonner de racisme et insulter par une organisation qui n’est qu’une, mais non la moindre, courroie de transmission du Parti socialiste destinée à recycler des trotskistes en recherche d’emploi, si possible prestigieux. La preuve ? Jean-Philippe (Harlem) Désir, promu aux fonctions de secrétaire général du parti en question dont l’ancien locataire est devenu… Président de la république. Le tremplin semble puissant, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est que temps de dissoudre cette coûteuse officine hostile à la France française.
Derrière SOS racisme :
la volonté génocidaire des mondialistes…
La France n’est plus maîtresse de son destin. Notre pays n’est plus dirigé par ce qui est censé être « son gouvernement » mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ce sont eux qui décident quel sera l’avenir de la planète… Leur objectif : imposer une économie globale en transformant la terre en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus qu’un consommateur docile juste bon à enrichir les comptes des multinationales.
Dans cette vision mondialiste des choses, il n’y aurait bien entendu plus de place pour les nations, les races et même pour les sexes. L’introduction par le gouvernement Sarkozy-Fillon de la théorie dite « du gender » à l’école est une étape vers cette destruction programmée des identités. L’homme idéal pour les mondialistes sera métissé, déraciné et asexué…
Mais pour arriver à leur but ils doivent par tous les moyens détruire toutes les formes de résistances nationalistes et identitaires. Pour cela ils se servent de petits collabos tels SOS racisme pour entretenir un climat de haine permanente contre la France et contre son peuple.
Combattre SOS racisme, c’est combattre pour le renouveau de la France !
Combattre SOS racisme, c’est défendre notre identité européenne !
Pour prononcer la dissolution de SOS racisme, il suffit d’appliquer la loi !
L’article L 622-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CEDESA), « punit de 5 ans de prison et de 30 000 € d'amende quiconque favorise l'entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d'un étranger en France ».
En soutenant les clandestins qui s’installent sur le territoire français, SOS racisme contrevient régulièrement à l'article ci-dessus. SOS racisme doit donc être mis hors la loi. Pour cela, il suffit de se référer à l'article 450-1 du Code pénal définissant comme une association de malfaiteurs « toute association établie en vue de la préparation caractérisée par un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins 5 ans de prison ». Ce qui est le cas de SOS racisme.
Les adversaires de ces dispositions, prétendent que SOS racisme, comme toutes les autres officines du même type, détiennent leurs pouvoirs notamment du « Plan national d'action contre le racisme et l'antisémitisme » du 15 février 2012, pour la période 2012-2014, élaboré par MM Sarkozy et Guéant.
Mais il faut savoir que ce plan fait référence à l'article 10 du TFUE (Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) dit "de Lisbonne" qui stipule : « Dans la définition et la mise en œuvre de ses politiques et actions, l'Union cherche à combattre toute discrimination fondée sur le sexe, la race ou l'origine ethnique, la religion ou les convictions, un handicap, l'âge ou l'orientation sexuelle ».
Ce que le Peuple refuse, le Congrès l’impose !
Or, ce traité, et ce texte, ne sont que la reconduction du « Traité pour une Constitution européenne » rejeté massivement par le Peuple français lors du référendum en mai 2005 et sournoisement réintroduit par un vote du Congrès à Versailles en 2008… sous la présidence de M. Sarkozy. Il s’agit donc là, à nos yeux, d’une véritable forfaiture. La ratification de ce « Traité », dès lors, ne pouvant avoir de légitimité ni de valeur contraignante sur le territoire de la République française. Quel crédit peut-on en effet accorder à une assemblée dans laquelle plus de 6 millions d’électeurs nationaux à la présidentielle sont représentés par seulement 3 députés alors que les Verts, avec 800 000 voix, ont près d’une vingtaine de députés.
Nous vivons actuellement sous un régime édictant des lois non fondées sur la volonté du peuple souverain, donc illégales sur le fond. Quelle légitimité peut-on en effet accorder à des assemblées qui ne représentent qu’une minorité de Français ?
ALLER AU-DELA…
Nous savons bien que nous n’avons pas grand-chose à attendre du « pouvoir » actuel complètement inféodé qu’il est aux mondialistes. Notre but est avant tout d’éclairer notre peuple. Seule l’instauration d’un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire permettra à la France de retrouver sa liberté et son identité !
En réalité, au-delà du cas SOS racisme, se sont toutes ces pompes à fric, tels le MRAP, la LICRA, la LDH et autres qu’il faudrait mettre hors d’état de nuire. Par leur obsession procédurière et en se conduisant en véritable petits flics de la pensée, elles cherchent à détruire tous les formes de résistance nationales et identitaires à l’invasion de notre sol.
Un jour viendra où nos compatriotes seront bien obligés d’ouvrir les yeux…
Pour soutenir la campagne pour la dissolution de SOS racisme :
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vendredi, 07 décembre 2012
Amplifions la campagne nationale pour la dissolution de l'officine SOS racisme !
01:20 Publié dans Argumentaires | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 06 décembre 2012
Islamisation à Montargis : le Père Noël exclu d’une maternelle
La décision d’une maternelle de Montargis (Loiret) de déprogrammer sa visite annuelle suscite beaucoup d’inquiétudes, plusieurs parents d’élèves y voyant une reculade face aux revendications de certaines familles de confession musulmane.
« Je suis allée voir la directrice pour comprendre cette annulation, raconte cette mère d’une petite fille souhaitant garder l’anonymat, et elle m’a expliqué qu’elle ne voulait pas se faire taper sur les doigts par certaines familles de musulmans. » Un argument qu’a également invoqué la directrice, depuis quelques semaines à la tête de l’école du Grand-Clos, selon les services de la mairie qui l’ont appelée pour avoir des explications.
« Elle nous a avoué avoir appelé la directrice précédente pour savoir comment gérer les familles qui, chaque année, menacent de boycotter l’école le jour de la visite du Père Noël », se rappelle Jean-Paul Fonteneau, adjoint à l’enfance et à l’enseignement.
La directrice refuse de s’exprimer. Officiellement, les motifs de cette décision, entérinée en octobre lors d’un conseil d’école, sont d’ordre financier. Mais pour Jean-Paul Fonteneau, ils sont indéfendables car d’ordre confessionnel. « Je comprendrais à la limite qu’on s’attaque au côté mercantile de cette fête, mais s’attaquer à son emblème en invoquant la laïcité, ça n’a aucun sens! » Le maire UMP a d’ailleurs envoyé hier une lettre à l’inspection académique ainsi qu’à la fameuse directrice, en rappelant qu’à ses yeux, le Père Noël n’avait aucune connotation religieuse. Et c’est vrai que le bonhomme rouge à la barbe rouge est une tradition païenne.
DES PARENTS ABASOURDIS, L’INSPECTION ACADÉMIQUE AVEUGLE
Du côté de l’académie, on se refuse à y voir des motifs religieux. « Voir dans l’absence du Père Noël le fruit d’une pression religieuse n’a aucun sens, c’est une erreur d’interprétation », assure Denis Toupry, directeur académique des services de l’Éducation nationale du Loiret, sans vraiment préciser les raisons de l’annulation. Pas de quoi convaincre certains parents « abasourdis » par cette décision. « C’est choquant », lâche ce papa, amer, qui comprend d’autant moins cette décision que les musulmans qu’il connaît « n’ont aucun problème avec le Père Noël » !
France presse infos cliquez ici - Le Parisien
00:21 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 30 novembre 2012
SOS Racisme : CA SUFFIT ! Une pétition lancée par Synthèse nationale et la NDP
Soutenez notre campagne pour demander la dissolution de l'officine "SOS racisme" !
Adressez-nous vos coordonnées (nom, prénom, adresse, courriel) en indiquant :
"Je soutiens votre campagne
pour la dissolution de SOS racisme"
à l'adresse suivante :
synthesenationale@club-internet.fr
Reproduisez et diffusez le tract : cliquez ici
17:27 Publié dans Infos sur la campagne | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 27 novembre 2012
La France considère l'Arabe comme une langue officielle... en France !
Source Parti de la France cliquez ici
13:05 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
Après les élections de dimanche dernier en Catalogne, Terre et peuple (Catalogne Nord) s'inquiète sur l'influence de Terra Nova sur les mouvements catalans...
Terra i Poble Catalunya Nord cliquez ici
Les catalans auraient-ils consulté le rapport du laboratoire d’idée Terra Nova fondée en 2008 par Olivier Ferrand, membre du Parti Socialiste. Le 10 mai 2011 Terra Nova a publié un essai intitulé Gauche, quelle majorité électorale pour 2012 ?
Il est en effet troublant de trouver des similitudes entre le Parti Socialiste français et la fondation Nous Catalans (« nouveaux Catalans ») affiliée à Convergència i Unió (CiU, centre droit), Ciutadans (C’S centraliste et jacobin de centre gauche) et la CUP (Candidature Unité Populaire, parti d’extrême gauche catalaniste).
Les membres de CiU courtisent les immigrés jusque dans les mosquées (Le Monde cliquez ici), les ciutadans collent des affiches bilingues, castillan et arabe (voir photo en médaillon), alors que nous sommes en Catalogne. La CUP tire le pompon, elle a réalisé une vidéo de campagne totalement en arabe. Plus de quatre minutes dans une langue étrangère… pour une élection catalane, logique… voir la vidéo cliquez là
Dans le califat d’al Catalunya tout va très bien madame la marquise…
Lire : « Petit rappel sur la Fondation Terra Nova » publié par Terre et peuple Catalogne cliquez ici
A propos des élections en Catalogne, lire aussi : cliquez là
13:04 Publié dans Au niveau européen | Lien permanent | Commentaires (0)
Suggestion d'un lecteur militant :
Bonjour à toutes et à tous,
Si vous souhaitez répondre aux appels aux dons de nourriture qui se multiplient en cette période hivernale et si vous souhaitez le faire en joignant l'utile à l'agréable, pourquoi ne choisiriez-vous pas des produits alimentaires en sélectionnant principalement ceux où le mot "PORC" est écrit de la manière la plus voyante possible ? Vous saisissez l'idée ?...
Voici quelques suggestions de produits à déposer dans les chariots de collecte : choucroute garnie, petit salé, pâté de campagne, pâté de jambon, pâté de porc, rillettes, soupe de légumes au lard, lard paysan, jambon blanc ou de campagne, cassoulet, saucisson, saucisses, etc., etc., notre très riche gastronomie française (un des piliers de notre culture occidentale et chrétienne...) regorge de mets divers et variés réalisés grâce au porc... Comme qui dirait, ma brave dame, dans l'cochon, tout est bon !
Vous n'en pouvez PLUS de l'invasion du "halal" (corollaire d'une autre invasion...), REAGISSEZ !
Faites-le et on verra bien ce que nos "biens" pensants et médias gauchistes (c'est presque un pléonasme...) trouveront à redire...
FAITES CIRCULER CE MAIL ET L'HIVER SERA PEUT ÊTRE MOINS RUDE POUR CERTAINS !
LA SOLIDARITE, CA MARCHE AUSSI COMME CA !
00:11 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
Immigration : c'est aussi une ruine pour la France !
Yves Darchicourt
L'association "Contribuables Associés" a demandé à Jean-Paul Gourevitch (expert international en sciences humaines) d'actualiser son étude sur le coût de l'immigration en France : une immigatrion dont on sait bien qu'elle est quasi entièrement allogène et massivement originaire du Maghreb et d'Afrique Noire. Pour ce faire, Jean-Paul Gourevitch a cette fois considéré l'ensemble du terrtoire national (territoires et départements d'outre-mer compris) et l'ensemble des populations intéressées vivant sur ce territoire (immigrés réguliers et illégaux, descendants directs de migrants)
Le résultat obtenu est ahurissant : chaque année, l'immigration coûte 17,412 milliards d'euros aux contribuables gaulois ! Un chiffre qui ne sera évidemment pas repris par nos "grands" médias et qui pourtant intéresserait vivement les Français que le gouvernement socialiste va tondre d'importance pour essayer de combler le gouffre de son déficit budgétaire.
Cette étude réactualisée de Jean-Paul Gourevitch est disponible sur commande à partir du site des Contribuables Associés cliquez ici). Elle est médiatiquement tabou parce qu'elle révèle qu'en plus d'être une gravissime menace pour notre Identité, pour notre Civilisation européenne et pour la paix publique, elle est aussi un gouffre financier. Elle est à faire connaître !
00:09 Publié dans Argumentaires | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 17 novembre 2012
La plus grande mosquée de Bretagne ouvre samedi à Nantes
NOVOPRESS - « La Cité de l’Edit, le choix du vivre ensemble, un centre et bien plus » : c’est en ces termes très consensuels que la mosquée Assalam (« la paix » en arabe), située dans le quartier très « sensible » de Malakoff à Nantes, sera officiellement ouverte samedi. Après trois ans de chantier, cet édifice – le plus important construit en terre bretonne – pourra accueillir plus de 1.200 fidèles. Cette réalisation, qui a reçu tout l’appui de la municipalité Ayrault, témoigne de l’avancée inexorable du « Grand Remplacement ».
« C’est un rêve qui se réalise ». Dans 20 Minutes (13/11/12), M. Labidi, membre de l’Association islamique de l’ouest de la France (AIOF) ne tarit pas d’éloge sur la nouvelle mosquée. Située au 136 boulevard de Seattle à Nantes, celle-ci sera la plus grande de Bretagne. Elle remplace la mosquée Al Forkane – devenue trop petite –, une ancienne église. Flanqué d’un minaret haut de 20 mètres doté d’un panneau lumineux (!) le bâtiment – surmonté d’une coupole de 12 mètres de diamètre – comprend une salle de prière répartie sur deux niveaux – les hommes et les femmes sont séparés –, des salles d’ablutions, des bureaux, une salle polyvalente et un espace pour les enfants.
Un centre culturel de 1.250 m2 comprenant une cafétéria, une bibliothèque, des salles de détente et de réunion, est relié à la mosquée par une passerelle en verre. M. Labidi signale qu’on y proposera « du soutien scolaire, des activités de loisirs ou sociales en lien avec le quartier. » Selon lui le projet, qui aura coûté 5 millions d’euros, a été financé « uniquement par des dons collectés à l’issue des prières, sur le marché, ou en provenance de mosquées européennes (?). »
L’AIOF, qui a touché au passage une coquette subvention de 200.000 euros de la Ville de Nantes – pas pour la mosquée bien sûr, pour le centre « culturel » – estime que « ce projet exprime le niveau de représentativité du centre qui est amené à devenir un lieu majeur du paysage nantais, de portée symbolique, lieu référent au sein de la ville et de la région. » De leur côté, les architectes et urbanistes chargés du projet n’hésitent pas à affirmer qu’il s’agit là d’un « modèle d’intégration » (sic).
On sait que L’AIOF est rattachée à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), réputée proche des Frères musulmans. Cette dernière avait fait parler d’elle en avril dernier pour s’être vu refuser l’entrée sur le territoire français de six de ses conférenciers vedettes connus pour enseigner l’extermination des Juifs, le meurtre des apostats et des homosexuels, la violence envers les femmes désobéissantes, la conquête de l’Europe etc.
L’agglomération nantaise compte à ce jour dix lieux dédiés au culte musulman. Parmi eux trois mosquées, celle de Malakoff, celle de Nantes nord (Arrahma) et la mosquée dite des Turcs, boulevard du Bâtonnier-Cholet, à Bellevue. Une association réclame la construction d’une autre mosquée dans la partie ouest de la ville. Le « Grand Remplacement » (Renaud Camus) se poursuit.
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samedi, 03 novembre 2012
Cet « islam sans gêne » qui veut mettre la France à l’heure mahométane
Présent d'aujourd'hui cliquez là
« Cet islam sans gêne »… C’est le titre d’un dossier, bien étayé, que publie cette semaine l’hebdomadaire Le Point. Un islam qui pousse sa corne, de plus en plus pointue et acérée, dans toujours plus de domaines de notre espace public. Exemples : les collèges, où pour défier l’interdiction du voile, de jeunes musulmanes « portent de longues robes de couleurs sombres nommées abayas ». Renforcées parfois d’un passe-montagne noir « qu’elles appellent bonnet ». A la moindre remarque d’un proviseur, des imams débarquent dans le bureau de ce dernier pour lui expliquer sur un ton courroucé qu’il s’agit d’une tenue « culturelle » et non religieuse.
Pour narguer plus encore l’institution laïque ces militantes islamistes s’installent souvent devant les établissements scolaires, en brandissant des calicots : « Islamophobes, on est là ! » Et bien là… Des collèges où les professeurs n’osent même plus enseigner l’histoire, risquant de se faire chahuter (ou tabasser) quand ils abordent des sujets comme les croisades, la Shoa ou la période coloniale. L’histoire de France n’est certes pas le passé des enfants d’immigrés. Pour préserver la susceptibilité toujours à vif de ces derniers les petits Français ne reçoivent donc plus, comme cours d’histoire, qu’une mélasse insipide sans chronologie ni héros, une compote amnésique cuite par pochage au sirop des droits de l’homme, du pacifisme et de la repentance. La musique même se trouve mise en cause, « parce que contraire à l’islam ».
Dans les crèches, où « le fait religieux s’est peu à peu immiscé », des petits enfants refusent d’écouter l’histoire des Trois petits cochons, parce que cet animal est jugé « impur » par leurs parents.
Cantines scolaires, prisons : l’empreinte islamique
La bataille des cantines, dont on parle depuis maintenant vingt ans, s’est temporairement terminée, dans beaucoup d’entre elles, par une sorte d’armistice : on n’y sert plus de viande. C’est ce que l’on appelle la cantine « laïque et républicaine », aux menus strictement végétariens. « Le problème ce n’est plus seulement le porc, mais la viande que certains enfants refusaient dans leurs assiettes parce qu’elle n’avait pas été préparée selon le rite halal. » Donc plus de viande. Les petits Français sont priés d’abandonner leurs traditions culinaires par respect pour celles des nouveaux venus.
L’islam, bien sûr, règne en maître dans les prisons, dont de faux imams sont en quelque sorte les prophètes écoutés. Des prisons où plus de 50 % des détenus – entre 70 et 80 % dans certaines d’entre elles – sont musulmans. Sans « stigmatiser » personne, on est bien obligé de remarquer, à la vue de ces chiffres, que cette communauté est tout de même la plus criminogène de France. On peut même parler, pour ces droit-commun musulmans mélangeant délinquance et militantisme religieux, d’un phénomène d’islamo-gangstérisme. « Dans certains établissements, il existe désormais une hiérarchie parallèle à l’administration qui impose ses propres règles. » Dès lors que ces mahométans sont en position de force, leur prosélytisme s’exerce de façon sommaire mais efficace. « Le détenu est approché par des sous-fifres qui lui donnent des cigarettes et lui offrent la possibilité de cantiner. Et puis, très vite, on lui tend le Coran… »
Sport : vertes pelouses
Le sport évidemment n’est pas épargné, où l’on voit, avant des matchs de football, des joueurs musulmans transformer la pelouse en tapis de prière. « Ce n’est un secret pour personne que la religion islamique joue un rôle grandissant dans le foot. Et cela à tous les niveaux de la hiérarchie. » Un sport où, avec les Nasri, les Ribéry, les Anelka, les Evra, les musulmans mènent la danse. A tel point qu’en son temps le piteux Raymond Domenech avait décidé, « afin d’éviter certaines tensions », que les buffets de l’équipe de France seraient halal. Même dans les équipes amateurs les joueurs non musulmans sont désormais contraints de s’adapter aux horaires d’entraînements « réglés sur ceux des prières ». Afin « d’éviter certaines tensions », jusqu’où les dirigeants continueront-ils à se prosterner devant les fous de Mahomet ?
Dans les hôpitaux ce sont « d’innombrables patients qui exigent que le soignant qui les prend en charge soit du même sexe qu’eux ». Sinon, gare aux coups ou, dans le meilleur des cas, aux insultes.
En pointe de la « diversité », l’entreprise de téléphonie Orange, où, au nom du « vivre ensemble » et d’une contraignante législation européenne sur la non-discrimination (1) se côtoient « sikhs, juifs religieux, femmes voilées », les managers voit sur le terrain les incidents se multiplier : « C’est un salarié (…) qui pratique le jeûne et interdit aux autres de manger (2). C’est une femme de ménage d’origine maghrébine qui reçoit des SMS sur son portable lui enjoignant de se conduire en bonne musulmane (…) et de se vêtir autrement. Ce sont des refus de serrer la main des collaboratrices, de partager le bureau avec une femme… » Décidément, comme l’avait constaté Mme Merkel elle-même, « le multi, ça ne marche pas ». Pas plus ailleurs que chez Orange…
Ramadan : la faute à la France
Tariq Ramadan, qui affirme dans un entretien que « l’islam est une religion française », nous explique que si certains musulmans adoptent des comportements provocateurs et intolérants c’est la faute de la laïcité française. Ils se sentent « stigmatisés » par elle. Ramadan, au cours de son interview, conceptualise également : « L’islam n’a pas de problème avec les femmes, mais les musulmans en ont. » Analyse que l’on peut aussi transposer : la France n’a pas peut-être de problème avec les musulmans, mais les Français eux en ont. Et beaucoup… Face à cette poussée continue de l’islam dans la société civile française, le seul mot d’ordre de nos autorités a été jusqu’ici : « surtout pas de vagues ». A la moindre vaguelette, au moindre clapotement, on rentre dans sa coquille.
Dans son éditorial, le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, dénonce cette « politique du moindre mal dont crève la France ». Et d’aligner quelques exemples de cette soumission baveuse. « C’est ainsi, chose comique, que les notables d’Amiens en sont venus à débaptiser le traditionnel marché de Noël, oh le vilain mot, pour l’appeler marché d’Hiver (…). C’est ainsi encore que nous sommes condamnés à manger de la viande halal qui n’est pas qualifiée comme telle, contrairement à toutes les lois de transparence et de traçabilité. Si on en est arrivé là, c’est sous le fallacieux prétexte qu’il ne faudrait pas montrer du doigt une religion qui, de surcroît, touche la dîme sur chaque bifteck ou bas morceau. Tant mieux pour les imams et tant pis pour la souffrance animale : les bêtes ne votent pas. » Malheureusement ceux qui votent sont souvent bêtes eux aussi.
Nous l’avions dit, bien avant Giesbert
Giesbert prétend qu’il tire le signal d’alarme (après quelques autres) pour ne pas « laisser le débat aux gueulards populistes… ». Pourtant tout ce qu’il nous sort aujourd’hui, la droite nationale et sa presse l’ont dit, écrit et décrit bien avant lui. Mais alors nous étions bien seuls face aux « agents de la circulation idéologique, armés jusqu’aux dents » qui prétendaient nous « verbaliser » sous prétexte de xénophobie, d’islamophobie et d’incitation à la haine raciale. L’islam, dit justement Giesbert, « a simplement gagné le terrain qu’on lui a cédé, pleutres que nous sommes ». C’est vrai. Mais la pleutrerie, hélas majoritaire dans notre pays, ne fut pourtant pas le cas de tous les Français. Giesbert s’honorerait de le reconnaître. « Les gueulards populistes » n’auront pas « gueulé » totalement en vain. Ils ont au moins eu le mérite de briser sur ce sujet, à leurs risques et périls, quelques tabous trop bien enracinés de la bien-pensance progressiste.
(1) Celle-ci stipule que si un candidat à un poste s’estime discriminé en raison de ses signes d’appartenance religieuse, c’est à l’entreprise de démontrer que ce candidat n’était pas le meilleur. La recherche des preuves peut alors devenir longue et délicate.
(2) Confirmation donc du petit pain au chocolat de Copé…
L’affaire Merah
Les Verts (et semble-t-il le président de la République) demandent une commission d’enquête parlementaire sur ce qu’ils appellent les dysfonctionnements de l’affaire Merah. Peut-être y a-t-il eu effectivement quelques ratés de la part des services de renseignement français. Notamment une erreur d’appréciation des enquêteurs de la DCRI sur la dangerosité du personnage ? Il y a surtout un manque de moyens. « Les personnes présentant un profil pouvant déboucher sur une action violente et entretenant une relation avec une mouvance radicale sont de plus en plus nombreuses (…). Il y en a aujourd’hui plusieurs centaines. » Et ce chiffre ne cesse de croître. Côté DCRI « une quarantaine de personnes serraient actuellement employées à la section terroriste du département des affaires judiciaires… ». Alors que faut-il faire ? Multiplier par cent également le recrutement des agents de la DCRI ? En tout cas, malgré son infériorité numérique, celle-ci ne se débrouille pas si mal. Depuis 2007, près de 1 500 dhjihadistes ont été interpellés, dont plus de 650 par la seule DCRI… « On ne peut pas mettre tous les barbus en prison », se défend l’ancien patron de ce service, Bernard Squarcini, aujourd’hui sur la sellette. En effet : d’autant que les juges les feraient sortir sur le champ. Le plus gros dysfonctionnement de cette affaire ne vient pas de la police. Le ratage monumental c’est avant tout celui de nos responsables politiques qui ont laissé, durant des années, s’installer chez nous des millions de musulmans, tolérant ensuite, par pusillanimité, toutes leurs exigences… Les centaines de Merah en puissance sont nés de cette double incurie.
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jeudi, 01 novembre 2012
Erstein (Bas-Rhin) : le maire n’aura pas sa mosquée...
Quand les citoyens décident de ne pas se laisser faire, ils peuvent empêcher la construction d’une mosquée dans leur quartier ou dans leur ville.
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Le maire d’Erstein, Jean-Marc Willer (en médaillon - NDLR), également conseiller régional élu en 2010 sur la liste PS, a la tête des mauvais jours depuis qu’il a appris, le jeudi 25 octobre dernier, l’échec de sa tentative d’imposer une mosquée aux habitants du quartier résidentiel du Bruhly.
Et pourtant, Jean-Marc Willer la voulait, sa mosquée. Il n’a pas ménagé sa peine, ni lésiné sur les manœuvres dilatoires et les mesures autoritaires pour imposer aux habitants de ce quartier résidentiel l’installation d’une mosquée et d’un centre culturel turcs.
Revenons au printemps 2009. Le maire annonce aux habitants du lotissement l’ouverture prochaine d’une épicerie à l’emplacement de l’ancienne petite COOP située en face de l’école du Briehly, à la satisfaction de tous, les gens étant ravis d’avoir à nouveau un commerce de proximité près de chez eux.
Mais la réalité est tout autre. En effet, fin octobre 2009, le maire prévient les habitants par courrier qu’un projet d’aménagement d’un lieu de culte musulman remplacera le projet d’épicerie. La réunion publique qui a eu lieu le 6 novembre 2009 était tout sauf une réunion de concertation. Le maire Jean-Marc Willer a refusé de tenir compte de l’avis des riverains, il s’est contenté d’expliquer qu’outre un lieu de culte, les Turcs disposeraient aussi en cet endroit d’une salle de danse et de musique. Comment un maire peut-il se soucier si peu de l’avis des habitants ? Et pourtant il était évident que les problèmes de stationnement et de circulation étaient réels.
Le maire passe en force
Jean-Marc Willer a voulu passer en force et a délivré en octobre 2010 un permis de construire mal ficelé. S’estimant certainement au-dessus des lois, il n’a respecté ni les règles des Établissements recevant du public (ERP), ni le Plan d’occupation du sol.
Mal lui en a pris. Les habitants ne se sont pas laissés faire. Réunis dans l’association “Bien vivre au Mittelholz“, ils ont déposé un recours contre le permis et ont confié le dossier à Me Pierre-Marie Bonneau, avocat au barreau de Toulouse. Le 13 septembre 2012, le Tribunal administratif a annulé le permis de construire. Le maire s’obstine et fait appel.
Occupation illégale ?
Chose étrange, pendant toute la durée de l’instruction du recours, l’association turque d’Erstein poursuit les travaux, et continue d’occuper les locaux. On peut se poser la question de savoir si les membres de l’association ont juridiquement le droit d’occuper les lieux, depuis que le tribunal de Nancy a définitivement annulé le permis. Cette occupation est-elle légale ? C’est du moins ce qu’affirme le maire avec beaucoup d’aplomb. Un arrêté municipal autorisant l’exploitation de cet ERP a-t-il été délivré ? En fait, l’occupation n’est pas légale. Mais le maire se garde bien de faire dresser un procès-verbal. Les Ersteinois qui doivent payer des contraventions pour un simple dépassement de temps de stationnement apprécieront moyennement.
En tout cas, l’occupation des lieux a permis de se faire une idée des conséquences et des nuisances : stationnement encombré en face des deux écoles maternelles, stationnement en double file et sur le trottoir, rassemblement de scooters et cyclomoteurs sur le terrain de jeux d’en face, installation de tables et chaises sur le trottoir, occupation bruyante tardive parfois jusqu’à trois heures du matin, etc.
Les juges annulent le permis
Le 25 octobre dernier, la Cour administrative d’appel de Nancy a rendu sa décision qui confirme celle du Tribunal de Strasbourg : le permis de construire est bel et bien annulé.
Jean-Marc Willer, sachant que la Cour d’appel lui donnerait tort, n’a pas attendu. Dès le 2 juillet 2012, il a accordé un nouveau permis à l’association turque qui avait déposé sa demande le 29 février 2012. Par quel tour de passe-passe les parkings qui étaient insuffisants pour le premier permis seraient-ils suffisants pour ce nouveau permis ? La réponse ressemble à un gag : les Turcs ont “découvert“ qu’il y aura moins de fidèles qu’ils ne l’avaient déclaré deux ans plus tôt, car un musulman qui prie à genoux occupe plus de places qu’un fidèle qui prie debout. On divise la superficie de la salle de prière par la surface d’un tapis de prière, et hop ! le nombre de personnes fréquentant la mosquée diminue d’un seul coup. À cela on ajoute quelques parkings fictifs, et le tour est joué.
Histoire de sous et de subventions
Mais pour qui le maire prend-il les magistrats ? et les Ersteinois ? En tout cas, Me Bonneau, pour le compte de l’association “Bien vivre au Mittelholz“ a aussitôt déposé un nouveau recours.
Pourquoi Jean-Marc Willer s’obstine-t-il ainsi ? La réponse est une histoire de gros sous. Il faut savoir que le maire a fait voter une subvention de 65 000 € en faveur l’association turque, pour les travaux, et que le Conseil général du Bas-Rhin a aussi accordé une somme de 30 000 €. On comprend l’exaspération des habitants du lotissement. Non seulement on leur impose une mosquée, mais en plus le maire la fait financer avec l’argent du contribuable. Or ces subventions ont été accordées alors qu’il y avait un recours contre le permis. Et maintenant que le permis est annulé, qu’en est-il de ces subventions ? Comment va réagir la communauté turque à qui le maire avait donné toutes les assurances ? Pourtant l’association “Bien vivre au Mittelholz“ avait maintes et maintes fois demandé au maire de revoir sa position.
Cette histoire a profondément choqué les Ersteinois, et elle n’est pas finie. Bien entendu, nous vous tiendrons informés de ses prolongements.
10:40 Publié dans Dans nos villes | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 30 octobre 2012
Prêche de La Mecque à usage du pélerin musulman : la charia toujours et partout !
Yves Darchicourt
Ce visage tellement avenant est celui de Abdelaziz Al-cheikh, le fort sympathique "grand" mufti du royaume chamelier d'Arabie Saoudite. Dans un prêche éructé la semaine dernière sur le mont Arafat près de La Mecque à l'occasion d'un des temps forts du pélerinage mahométan, il a vigoureusement appelé à la destruction de ce qui restait d'édifices religieux chrétiens dans toute la péninsule arabique et rappelé que la charia doit être la source unique de toute législation et qu'elle s'applique à tous les aspects de la vie, en tout lieu et en tout temps.
Un message à destination première des populations des pays qui - à l'occasion des révolutions du printemps arabe si niaisement épaulées par les pays occidentaux - font désormais la part belle aux islamistes les plus radicaux comme notamment la Tunisie et l'Egypte. Ce message de tolérance, de paix et d'amour est sans nul doute aussi parvenu aux oreilles des membres des communautés mahométanes de France et d'Europe constamment renforcées - outre par leur natalité galopante - de nouveaux arrivants formant les gros bataillon d'une immigration planétaire facilitée par les inconscients et les collabos suicidaires du mondialisme et du brassage des peuples.
Les paroles du prédicateur arabe, lancées devant quelques 2,5 millions de pélerins, n'ont guère été répercutées par les médias "français" ! D'autant que l'homme muftisait haut et fort la nécessité pour la nation islamique de s'ancrer dans son identité... une défense de l'identité qui est condamnée quand elle est une revendication de peuples européens et qui est systématiquement matraquée par ces mêmes médias aux ordres du politiquement correct. Des paroles de programme politique d'islamisation du monde qu'il importe de faire connaître à nos congénères : Rassemblement Résistance Reconquête !
19:04 Publié dans Argumentaires | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 29 octobre 2012
A Guéret, les habitants descendent dans la rue pour manifester contre la construction d'un abattoir rituel musulman...
Samedi après-midi, les opposants au projet d'abattoir halal, un investissment soutenu par la Communauté de communes Guéret-Saint-Vaury, sont montés d'un ton. Organisée à l'appel du collectif NARG (Non à l'abattoir rituel de Guéret), la manifestation a réuni une centaine de personnes dans le centre de Guéret. Comme lors de la première manifestation organisée au printemps dernier, le collectif a eu recours à la technique du happening (mise enscène à des fins de propagande), afin à frapper les esprits sur la question de la souffrance animale. Mais la radicalisation de cette contestation s'est matérialisée aussi dans les discours: des élus locaux ont été associés au projet et désignés nominativement comme "responsables".
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