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jeudi, 18 février 2016

ISLAMISATION A MADAGASCAR

Le paradoxe d’une religion

La peur, la méfiance, et la bonté 

 

La montée en puissance de la religion musulmane effraye au plus haut point les dirigeants malgaches, actuellement.  Les responsables religieux  partagent également  ce souci, surtout que les jeunes  se tournent de plus en plus  vers la foi musulmane. Dans la paroisse Saint André  sis à Ambohidratrimo, par exemple, les parents et les enseignants de catéchèses projettent d’organiser  mensuellement une série de sensibilisations auprès des jeunes. L’objectif c’est de prévenir leurs éventuelles  reconversions.

« Nous respectons énormément la liberté de religion à Madagascar, mais notre souci se situe au niveau de la manipulation avec des intérêts financiers. Nous souhaitons que la religion reste à éduquer et  non pas une arme à détruire une  personne avec des lavages de cerveaux », explique Armanda Ralalaoarinirina, une bénévole en enseignement de catéchèses.

Il est néanmoins important de mentionner que cette femme a fait de réserves car il y a toujours des atouts et des inconvénients en matière de religion, au moment où  il y a les extrémismes.

Justement, certains chefs d’églises surtout chrétiennes profitent du contexte mondial  où les actes de violences perpétrés par les islamiques sont en recrudescence. Ils  véhiculent d’une manière généralisée le culte du terrorisme  pour freiner l’islamisation à Madagascar. « Nous déplorons ce comportement car l’islam est contre toutes sortes de violence. Nous respectons l’homme et nous prêchons la tolérance et l’amour », témoigne le Cheik Abdoul, d’une mosquée Chiite à Antohomadinika.

Les anciens étudiants, membres de la ligue des diplômés des universités islamiques de Madagascar ou le LDUIM, dont leur siège se situe au 67 ha Nord Ouest, partagent cet avis d’un cheik, malgré leur appartenance à la congrégation sunnite. «  Je pense que le problème se situe au niveau de la communication. A Madagascar, on crée une image négative de l’islamisation. La mise en lien avec le terrorisme n’est qu’une pure discrimination faite par des gens malintentionnés. Non seulement la philosophie de terrorisme est contre notre religion mais il est complètement contraire à la culture malgache. Nous tenons beaucoup à la vie. Se sacrifier ou mourir pour défendre une cause qui ne lui appartient pas, ne tente pas un malgache », argumente Alexis Razafindrabe de son vrai nom, mais l’Oustase Said, selon ses amis de la communauté. Il est un professeur d’arabe et de culture musulmane bénévole au centre LDUIM.

 

Partage

 

On compte plus d’un millier d’écoles coraniques à Madagascar. Il est imaginable que même dans les quartiers les plus pauvres de la capitale, on trouve une mosquée. Les habitants se mettent petit  à petit dans la pratique musulmane en commençant par les habillements. Les responsables de ces mosquées distribuent gratuitement des foulards pour les femmes, des Kofis  et des  vêtements pour les hommes. Il y a aussi des distributions de vivres hebdomadaires, après la séance de prière qui a été facultative au début, mais devient obligatoire après des mois d’initiation. La notion de partage est largement exploitée car la population locale en a besoin face à la pauvreté qui ronge leur société.

A part la mise en place des mosquées et des écoles coraniques, la plupart des grandes communautés musulmanes envoient des étudiants de diverses spécialités vers les pays islamiques : Egypte, Tunisie, Maroc, Arabie Saoudite, Yemen, Iran, et Irak.

« Une quarantaine de jeunes jouit annuellement des  bourses d’études vers ces pays étrangers. Mais localement nous aidons des milliers de jeunes malgaches en payant leurs frais de scolarités de la maternelle jusqu’au terminale. Nous sélectionnons des enfants malgaches qui n’ont pas les moyens alors qu’ils veulent s’épanouir. Nous créons même des écoles pour tous et nous offrons les fournitures nécessaires », explique fièrement Abdoul El Khader Abdoul, un responsable d’une école coranique et de lycée privé à Ambohitahara Ambohidratrimo.

 

Méfiance

 

L’Etat malgache ne minimise pas l’expansion de l’Islam à Madagascar. Le ministre de la justice Noeline Ramanantenasoa, a déjà annoncé en 2015 que : « Les mosquées et les écoles coraniques font l’objet d’une surveillance très stricte. Cette décision entre dans le cadre de la mesure préventive contre les éventuels actes de terrorisme à Madagascar ». D’ailleurs, depuis le mois de juin, 2015, l’Etat malgache ne minimise pas la lutte contre le terrorisme, même la situation n’est pas encore inquiétante. L’envoi d’étudiants à l’étranger, la mise en place des centres d’accueils pour enfants en difficulté par les musulmans sont d’ailleurs  mal vus à Madagascar. « On les considère toujours comme des centres d’initiation et d’apprentissage pour terroristes. C’est une accusation mal fondée », condamne  Elias Tovoson, un jeune de 14 ans, bénéficiaire d’une bourse ans un collège et  école coranique sis à Ambohidratrimo. « Je prépare mon diplôme de BEPC cette année. Nous sommes boursiers dans cette école et nous résidons également, ici. Nous suivons le même programme que les autres élèves en classe de troisième. Mais, nous sommes avantageux par rapport à ceux qui sont dehors car, nous maitrisons déjà quatre langues : malgache, français, anglais, et l’arabe. Nous faisons aussi de l’informatique. Je me considère comme un chanceux dans ce centre. Après le Baccalauréat même, quand nous aurions une mention, l’avenir est assuré car nous partirons d’office à l’étranger dans un pays où nous aimions poursuivre nos études. Nos directeurs nous a promis et il va le réaliser »,  se réjouit cet adolescent.

Interrogé sur la culture musulmane et le terrorisme, il ne connait pas vraiment le fondement de sa foi.

 

Randrianary

Source

Le dhimmi du jour est le maire de Courbevoie, Jacques Kossowski, pour l’implantation d’une mosquée UOIF sur sa commune

Pendant la menace d’attentats islamistes et l’état d’urgence, l’islamisation continue. À Courbevoie, les habitants ont pu découvrir leur future mosquée, sur terrain municipal bien sûr.

Le bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal de Courbevoie pour la construction d’une mosquée d’une surface au sol de 680m2 avait été signé fin juin. Ce week-end, les Courbevoisiens ont pu découvrir leur future mosquée lors d’une journée portes ouvertes de l’actuelle salle de prière dirigée par l’ACMC, l’association Cultuelle des Musulmans de Courbevoie. Le bâtiment pourra recevoir environ 1 800 fidèles, avec salles de prière pour femmes séparées, bien entendu. Si le style est bien d’inspiration orientale, il ne comporte pas de minaret, c’est toujours ça.


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Il faut croire que ce projet était d’une grande importance puisque la présentation des maquettes et plans s’est faite en présence du préfet des Hauts-de-Seine, Yann Jounot, du président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, de militants de gauche, en passant par les adjointes de droite de Courbevoie, Aurélie Taquillain et Puteaux.
Le parisien relève aussi la présence de « riverains, un peu sur la réserve ». Ce délicat euphémisme dit bien la joie des voisins d’entendre bientôt l’appel à la prière.

Mieux, le site officiel de la mosquée annonce la visite du co-fondateur de l’UOIF Abdallah Ben Mansour. « Quand les musulmans auront mis en place la charia partout dans le monde, tout le monde sera heureux », affirma Ben Mansour au Bourget en 2013 et la visite du prédicateur UOIF Hassan Iquioussen, connu pour nier le « pseudo génocide arménien »

Si la laïcité suppose le respect de tous les cultes, elle n’implique pas d’en favoriser une par l’octroi de conditions particulièrement favorables pour l’implantation de ses lieux de culte, faut-il le rappeler une nouvelle fois. Par l’octroi d’un bail emphytéotique dont le montant des loyers reste mystérieux, la présence de son adjointe à cette journée portes ouvertes, consacrant l’importance que le projet revêt à ses yeux, Jacques Kossowski mérite bien son titre de dhimmi du jour.

 

Ingolstadt : Les Allemands de Russie en colère contre l’immigration musulmane

Arrivés eux-mêmes dans les années 1990, les Allemands de souche venus de l’Est se mobilisent aujourd’hui contre l’accueil des réfugiés arabo-musulmans. Au risque de tomber dans la xénophobie.

 

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Il fait gris et froid lorsque l’homme à la chapka grimpe sur le banc, devant l’hôtel de ville. C’est une ouchanka comme en portait jadis Brejnev, en fourrure, avec les oreilles rabattues. A la main, l’homme tient une pancarte en carton où l’on peut lire : “Protégez nos femmes et nos enfants !” Il hurle, lance des invectives, gesticule. Il est très remonté, mais on ne sait pas exactement pourquoi, en tout cas si l’on ne comprend pas le russe.

Puis un autre se juche sur le banc à son tour. De haute stature, bien en chair, un bonnet de laine sur la tête, il parle allemand avec un accent russe. “Si on ne fait rien maintenant, on est foutus, s’exclame-t-il avant d’ajouter: Merkel doit démissionner !” Nous sommes le dernier samedi de janvier. Un millier de personnes environ se sont réunies sur le parvis de la mairie d’Ingolstadt. Lorsque l’homme bien en chair évoque la démission de la chancelière, la foule approuve, applaudit, siffle.

Ce sont surtout des Russlanddeutsche [“Allemands de Russie”, descendants des Allemands ayant émigré en Russie sous le règne de Catherine II et rentrés en Allemagne après la chute du Mur] qui descendent dans la rue pour manifester contre la politique migratoire du gouvernement Merkel. Ils ne manifestent pas seulement à Ingolstadt, mais aussi à Nuremberg, à Kempten, à Ratisbonne, dans toute la Bavière. […]

Eugen Kunz (nom modifié) a participé à la manifestation. Quinze jours plus tard, nous le retrouvons au centre d’animation du quartier Pius, dans le nord d’Ingolstadt. Dans les boutiques, au pied des barres d’immeubles, tout est écrit en cyrillique. Eugen Kunz est arrivé à Ingolstadt dans les années 1990. Comme tant d’autres Allemands de Russie, c’est un Spätaussiedler [rentré d’Europe de l’Est après 1993]. Ingolstadt en a vu affluer plus qu’aucune autre ville : ils ont été environ 15.000 à y poser leurs valises depuis les années 1990. Beaucoup, à l’instar d’Eugen Kunz, 63 ans, ont élu domicile dans le quartier Pius.

Double nationalité

Kunz pose son couvre-chef sur la table, s’assied, puis se relève et recule sa chaise. “C’est trop près pour moi”, dit-il. Il n’aime pas trop les journalistes et préfère donc mettre un peu de distance. Première question : pourquoi les Allemands de Russie s’en prennent-ils aujourd’hui aux réfugiés ? Eux-mêmes n’ont- ils pas été parfois mal accueillis à leur arrivée en Allemagne, dans les années 1990 ? “Je ne vois pas le rapport, tranche Eugen Kunz. Je n’admets pas qu’on nous compare à ces gens qui débarquent chez nous.

Eugen Kunz est né en Russie, où il a vécu 47 ans durant, il a un passeport russe et un autre allemand, ses grands-parents étaient allemands, ses parents aussi, et l’allemand est sa langue maternelle. Il a raison : on ne peut pas mettre sur le même plan les réfugiés d’aujourd’hui et les Aussiedler d’hier [tous les Allemands de souche qui sont rentrés après la chute du Mur] – mais il existe bien des parallèles. On se souvient par exemple que l’ancien ministre de l’Intérieur bavarois Günther Beckstein (CSU) fustigeait la criminalité de cette population, lors des campagnes électorales de 1998.

Selon les préjugés de l’époque, les Allemands de Russie étaient des ivrognes, des vandales, des voleurs. Et voilà qu’aujourd’hui, surtout depuis les événements du nouvel an à Cologne, les préjugés sont de retour : tous des ivrognes, vandales, voleurs – sauf que, cette fois-ci, ils s’agit des réfugiés de Syrie, d’Afghanistan, d’Irak, du Maroc . “Bien sûr que la période où l’on traitait les Allemands de Russie de criminels a été difficile à vivre, admet Eugen Kunz, mais les gens se sont pris en main et aujourd’hui nous sommes parfaitement intégrés.

Dont acte. Dans un rapport de l’Office fédéral des migrations et des réfugiés, on peut lire : “Les Spätaussiedler [arrivés après 1993] sont pour la plupart intégrés sur le marché du travail. Leur taux de chômage est faible.” Leur intégration a été une réussite. Pour Eugen Kunz aussi, tout a bien marché.

En Sibérie, il était ingénieur. A la fin des années 1990, il est arrivé avec son épouse en Allemagne, où il a pu suivre une formation. Moins d’un an et demi plus tard, il avait un travail. Aujourd’hui, il est ingénieur R&D chez un fournisseur d’Audi. “Sans l’aide de l’État, j’aurais mis deux fois plus de temps. Mais je voulais vivre le moins longtemps possible aux crochets de l’État.” Et c’est là qu’il voit la différence avec la situation actuelle : à leur arrivée en Allemagne, les Allemands de Russie parlaient la langue et comprenaient la culture, au moins pour la plupart d’entre eux.

Alors qu’aujourd’hui, pour les réfugiés, “l’intégration prendra deux fois plus de temps, si ce n’est trois fois plus”, assure Eugen Kunz. Voilà pourquoi il ne veut plus qu’il en vienne. Le fait que les Allemands de Russie aient eux-mêmes expérimenté les difficultés de l’intégration est-il la cause de leur mouvement de grogne ?

Se croient-ils mieux placés pour juger de la situation que des gens qui n’ont jamais eu à s’intégrer dans la société ? Les médias ont échafaudé ces derniers temps des théories bien différentes – en l’occurrence, que les Allemands de Russie auraient été montés contre les réfugiés par les médias russes et que les manifestations auraient été téléguidées par le Kremlin pour affaiblir la chancelière.

“N’importe quoi !” grommelle Sofia Dortmann, 62 ans, lunettes à monture dorée, boucles d’oreille dorées, chaînette dorée autour du cou, dans la cuisine de son deux- pièces, situé dans l’ouest d’Ingolstadt. Elle regarde aussi bien les journaux télévisés allemands que les russes “et c’est bien là le problème”, dit-elle.

En d’autres termes : c’est le contraste entre les médias russes et allemands qui inquiète les Allemands de Russie. “Je ne crois ni les uns, ni les autres”, conclut Sofia Dortmann. Elle fait davantage confiance aux gens du quartier qui racontent des horreurs. Par exemple l’histoire de ces réfugiés qui auraient immolé une jeune fille, ici même, à Ingolstadt, juste comme ça.

“Je n’en ai pas entendu parler aux informations, commente Sofia Dortmann, mais je suis sûre que c’est vrai. Une chose pareille, ça ne s’invente pas.” Est-ce que ce genre d’histoire ne lui rappelle pas les clichés colportés jadis contre les Allemands de Russie ? Des clichés qui se sont dissipés depuis. “Pour l’instant, je m’en fiche”, tranche Sofia Dortmann.

Tout ce qu’elle veut, c’est pouvoir sortir à nouveau dans la rue sans avoir peur. Sofia Dortmann était enseignante en Sibérie. A son arrivée en Allemagne, dans les années 1990, elle a dû se reconvertir. Après ça, elle a été pendant 12 ans opératrice de saisie chez Audi, puis deux ans au chômage, avant de prendre sa retraite.

“J’ai perçu 260 euros d’allocations-chômage, alors que j’avais travaillé douze ans. Les réfugiés, ils n’ont jamais travaillé, et ils touchent plus que ça. Ça me met en colère”, tempête-t-elle. Fermer les frontières. Et sa cou- sine, qui a dû patienter neuf ans en Russie avant que son dossier de Spätaussiedlerin [candidate au retour] soit accepté ? “Les réfugiés, eux, ils entrent comme dans un moulin. Ça, je ne comprends pas.” Les envierait-elle ? Elle assure que non, se dit sceptique quant à leur intégration.

“Moi, je suis allemande. Quand j’étais petite, ma grand-mère me chantait des chansons allemandes, j’ai appris à les chanter. Eux, ils ont une culture radicalement différente, ils ne chanteront jamais de chansons allemandes.” Aux yeux de Sofia Dortmann, il n’y a qu’une solution : “Fermer les frontières, ne plus laisser entrer personne.” Pourtant, elle ne participera pas à la prochaine manifestation. “On y parle trop russe, je trouve que ce n’est pas bien.

Va-t-elle rejoindre le mouvement Pegida [mouvement des “Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident”] ? Non, Dieu soit loué, on trouve encore des hommes politiques qui ont la tête sur les épaules en Allemagne. Elle hèle son mari qui est au salon, plongé dans la lecture de la presse sur son ordinateur : “Pas vrai, Alexander ?” Ce jour-là [4 février], le patron de l’Union chrétienne-sociale [et ministre-président de Bavière], Horst Seehofer (CSU), rencontre Vladimir Poutine à Moscou. Alexander se lève, nous rejoint dans la cuisine et confirme : “Notre bon roi Seehofer, c’est vraiment quelqu’un de bien.

Sueddeutsche.de

(Merci à Diberville)

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Le maire Sarkozyste de Suresnes achète un terrain 977 000 euros pour une mosquée !

“L’association Islamique Al Badr peut avoir le sourire. Tous les élus municipaux Ump Ps pcf ont voté hier [28 mai] lors d’un Conseil municipal houleux un bail emphytéotique administratif pour l’inauguration d’une salle de prière musulmane de 349M²au 5 rue des Velettes.
 
 

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Laurent SALLES, Chef de file du FN Suresnois, a une nouvelle fois dénoncé le double jeu de la fausse droite qui, au niveau national reprend nos thématiques, mais qui au niveau local applique le programme du Parti socialiste. Cette délibération est symptomatique des libertés que l’UMPS prend avec les principes fondamentaux de la laïcité édictés par la loi de 1905.
Depuis 2006, vraie gauche et fausse droite ont permis aux élus locaux de contrevenir au principe de non-subventionnement des cultes, grâce au bail emphytéotique administratif. Nous ne voyons pas en quoi un édifice ou un local cultuel constituerait une mission de service public ou même une opération d’intérêt général comme le sont les crèches, les commerces par exemple… alors que cela relève d’un intérêt privé.
 
En achetant en VEFA ce lot nu au promoteur Bouygues pour 977 000€, on peut considérer que la Ville a pris à sa charge le coût du gros œuvre, ce qui est à notre sens un avantage considérable accordé à cette association cultuelle, même si il lui est laissé le soin de réaliser les travaux de second œuvre évalués par France Domaine à 506 000€. […]
Laurent SALLES s’insurgea contre le Maire C. Dupuy quand celui-ci évoqua le financement de lieux de culte antérieur à la loi de 1905 : « Monsieur le Maire vous n’allez tout de même pas comparer nos cathédrales, nos églises avec des mosquées en parpaing !?. Il s’agit là de notre patrimoine. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons chaque année 70 millions de touristes ! »”
 
Les deux élus vont attaquer la délibération en justice devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise.

Annemasse : un compromis de vente pour le terrain de la mosquée

Jeudi 18 février, le conseil municipal se prononce sur le compromis de vente d’un terrain destiné à accueillir la future mosquée.

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Cette fois sera-t-elle la bonne ? C’est ce que doivent se demander les musulmans de l’agglomération annemassienne qui attendent depuis plus de trente ans la construction d’un lieu de culte décent. La Ville va proposer au Centre culturel et cultuel des musulmans d’Annemasse (CCMA) de lui vendre une parcelle de 7 500 m² qui se trouve dans le quartier du Brouaz. Situé entre les services des espaces verts et une réserve foncière appartenant à ATMB, le terrain a été estimé à 80 euros du mètre carré par le service des Domaines.

Des travaux sont cependant à prévoir. Le lieu a accueilli des abattoirs et le sous-sol devra être dépollué par la Ville. Le chantier le plus important pour rendre la parcelle constructible sera cependant de détourner un écoulement d’eaux pluviales. « Nous en avons tenu compte dans le prix de vente », indique Michel Boucher, premier adjoint en charge de l’urbanisme. L’offre faite au CCMA comprendra ainsi une ristourne de 60 000 euros, correspondant au coût des travaux. Le prix demandé sera donc de 540 000 euros, soit 72 €/m².

« L’heure est grave, assure Hamid Zeddoug, président du CCMA. Il faut doter les musulmans d’ici d’une mosquée digne de ce nom. » Car pour la communauté comme pour la mairie, la construction d’un nouveau lieu de culte va bien au-delà d’une simple question de confort. « Cela serait un outil pour limiter la radicalisation des jeunes », assure Hamid Zeddoug. Car pour lui, accueillir les croyants qui pourraient être attirés par les sirènes djihadistes dans un endroit convivial permettrait de stopper bien des dérives.

« Il est hors de question d’attendre », estime le responsable musulman qui veut oublier les péripéties du précédent projet (lire ci-contre). La proposition de la mairie sera ainsi débattue lors la prochaine assemblée générale de l’association, le 27 février.

En juillet 2015, lorsque la parcelle avait été déclassée, la majorité n’avait pas voulu entrer dans les débats sur l’utilisation de ce terrain. Les échanges promettent d’être plus animés lors du conseil du 18 février mais la proposition devrait être adoptée sans souci. Lors de la dernière campagne électorale, le groupe A-GIR (alors emmené par Louis Mermet) s’était prononcé pour le projet de mosquée tandis que Jean Capasso, tête de liste FN, avait exprimé son opposition.

Yves GALLARD

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Mosquée de Marignane : le maire souhaite une "fermeture définitive"

À la suite des incidents entre Turcs et Kurdes vendredi dernier, le lieu de culte sera fermé demain pour la prière. La Ville entend bien aller plus loin

 

 

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La semaine dernière, le contexte international, qui oppose actuellement Turcs et Kurdes sur la problématique syrienne, s'est invité sans prévenir dans les ruelles du centre ancien de Marignane, où se situe la mosquée. Une violente rixe a opposé des jeunes gens issus des deux communautés, et a nécessité une intervention massive des forces de l'ordre, caillassées au passage (lire ci-dessous).

De quoi déclencher l'ire d'Éric Le Dissès, maire (sans étiquette) de la commune, qui a officialisé hier par un communiqué son souhait de "fermer définitivement la mosquée. La ville fera jouer son droit de préemption et j'irai jusqu'au bout".

"La mosquée turque n'a plus sa place au centre-ville"

"Il n'est pas question de transporter à Marignane ce qui se passe en Turquie. Ici, nous sommes en France et les étrangers accueillis sur notre sol doivent savoir se tenir. Je ne peux accepter ce qui s'est passé, c'est intolérable et je veux éviter que cela ne recommence. Les affrontements de vendredi dernier ont mis en exergue de graves problèmes de sécurité et de risques potentiels d'atteintes aux personnes", ajoute le premier magistrat dans sa missive. Ces cinq dernières années, trois incidents similaires se sont déjà déroulés devant la mosquée, où les tensions se faisaient de plus en plus palpables ces dernières semaines. Dans un centre ancien qui fait l'objet d'un vaste plan de réhabilitation. Un point qui semble avoir motivé la décision municipale.

"Le centre ancien se restructure, il n'est pas question d'y laisser s'installer un climat de tension, en plus des autres problèmes : la mosquée turque, installée depuis des décennies et située en quartier kurde, n'a plus sa place au centre-ville", assène Éric Le Dissès. Joint hier soir, Sali Agdad, représentant de la communauté kurde de Marignane s'est dit "satisfait par cette sage décision". "Nous ne sommes jamais contents lorsqu'une mosquée ferme, mais si dans ce cas ça peut éviter les tensions, les débordements, alors nous disons oui", précise-t-il. Le maire a, avant d'émettre son voeu de fermeture, rencontré l'imam turc de la mosquée, qui s'est dit "favorable à une fermeture ponctuelle ce vendredi dans un souci d'apaisement". Mais sur une fermeture définitive, la Ville n'a pour l'heure aucun pouvoir direct, la mosquée étant une partie d'immeuble que les fidèles louent à un privé. Si en revanche ce dernier envisage une vente, le fameux droit de préemption évoqué par le premier magistrat sera alors, vraiment, d'actualité.

Lionel Modrzyk

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mercredi, 17 février 2016

"L’imam à la voix d’or" et ses relations dangereuses

Belgique

C’est, assurément, une première dans les annales terroristes en Belgique. Un imam, qui a reçu une formation dans une des universités les plus réputées au monde dans l’étude de l’islam, se retrouve sur le banc des prévenus dans un dossier de terrorisme . Contrairement à l’idée reçue, les présumés terroristes n’ont en effet généralement qu’une connaissance très parcellaire de la religion.

On reproche à cet homme d’avoir pris part à une filière d’acheminement de candidats au djihad en Syrie. Mais il nie tout discours radical et tout contact avec, comme le relève le parquet fédéral, de nombreux jeunes hommes partis se battre en Syrie.

Mohammed Benajiba est né au Maroc. Il ne parle pas français mais néerlandais, choisi, dit-il, car la langue présente des similitudes avec les sons de l’arabe. Eduqué dans une école coranique, il a parfait ses connaissances en Syrie et à l’Université Al-Azhar au Caire.

 

Entre chômage et CPAS

 

Il est arrivé en Belgique en 2005. Il a officié comme imam à Amsterdam, tout en vivant en Belgique. Il a été imam à Gand avant de venir à la mosquée Ettaouba à Evere, une des plus grandes de Bruxelles. Ce fut toujours des temps partiels, entrecoupés de périodes où il a vécu d’allocations de chômage ou du CPAS.

C’est là un parcours qui intrigue les juges car, malgré ses faibles revenus, il a fait de très nombreux allers-retours vers le Maroc, confiant sa carte de pointage à un ami. "Je ne savais pas que c’était interdit", dit-il candidement.

Ses prêches ont été diffusés sur YouTube. Il y était connu, en raison de la douceur de sa voix, comme "l’imam à la voix d’or". Il a changé physiquement. Comme quasi tous les hommes jugés pour terrorisme, il est rasé de près.

Il nie avoir jamais été radical : "Me prêter une telle appellation, c’est me dénigrer", dit cet homme qui se dit soufi et parle de lui à la troisième personne.

Sa seconde femme, de qui il a divorcé, l’a chargé. Elle a expliqué qu’il lui imposait le port du voile, l’empêchait de sortir seule, de voir d’autres hommes. Il le nie.

L’enquête a relevé que l’on venait de loin pour l’écouter à Evere, dans cette mosquée qui pouvait accueillir plus d’un millier de fidèles. C’était le cas des membres de Sharia4Belgium, venus d’Anvers. "Ils ne venaient pas que chez moi", dit-il de ces "gens un peu zinzins", qu’il conteste connaître.

Jean-Louis Denis et d’autres recruteurs condamnés seraient venus prêcher à sa demande dans la mosquée d’Evere. Là encore, il le conteste, affirmant que cela n’a rien à voir avec son éviction de la mosquée, qu’il attribue à des règlements de comptes internes.

Il officie aujourd’hui dans une mosquée à Anderlecht. Il garde un mauvais souvenir de son incarcération - "c’était indescriptible" - car il avait violé les conditions fixées à sa libération.

 

Une filière syrienne démantelée

 

 Cinq lieux visités par la police à Molenbeek, deux à Koekelberg et à Schaerbeek et un à Etterbeek : les policiers de l’antiterrorisme ont mené une nouvelle action mardi matin à l’aube. Dix personnes ont été emmenées pour interrogatoire. L’opération, a précisé le parquet fédéral, visait une filière d’envoi de combattants vers la Syrie. Les candidats djihadistes voulaient rejoindre les rangs de l’Etat islamique. Certaines personnes - le parquet fédéral ne peut préciser combien - ont réussi. D’autres personnes, parties en Syrie, sont revenues et ont fait l’objet des perquisitions menées mardi. 

L’enquête est dirigée par un juge d’instruction liégeois car les premiers indices faisaient état d’une candidate au départ - qui ne partira finalement pas grâce à sa famille qui a prévenu la police - installée en région liégeoise. Cette enquête, dit-on encore au parquet fédéral, n’a aucun lien avec les attentats de Paris. La cellule terroriste qui a été visée ne projetait pas d’actions sur le territoire belge ou en Europe. Ni armes ni explosifs n’ont été retrouvés lors des perquisitions. 

Ces cellules, dont plusieurs ont déjà été démantelées ou jugées, disposent de recruteurs et de logisticiens, chargés notamment de conduire les recrues vers les aéroports. Trois des dix personnes interpellées ont été placées sous mandat d’arrêt pour participation aux activités d’un groupe terroriste : un Français âgé de 25 ans, un Belge de 23 ans et une Belge de 31 ans.

 

Jacques Laruelle

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“Le viol d’une femme alaouite ou chrétienne n’est pas contraire aux préceptes de l’Islam”

Lu sur l’Agence Fides, traduit par Le Salon Beige :

“La conquête du quartier de Cheikh Maksoud à Alep par la milice anti-Assadpourrait marquer le sort de la métropole battue pendant des mois par une guerre civile sanglante. “Ce quartier», confirme à l’Agence Fides le Père David Fernandez, un missionnaire de l’Institut du Verbe Incarné – est situé sur une colline surplombant Alep et est un point stratégique pour ceux qui veulent conquérir la zone centrale de la ville, où il y a aussi des bâtiments gouvernementaux. On me dit que déjà de nombreuses rues du centre-ville ont été fermées et personne ne peut passer à travers ces rues, parce que des snipers tirent sur tout ce qui bouge.

 

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Parmi les fugitifs, des nouvelles sur les meurtres et les viols de femmes commis ont circulé. “Même moi, j’en ai entendu parler”, dit le père David, “mais l’information que nous recevons est parfois contradictoire, et pour le moment il n’y a aucun moyen de la vérifier.” Hier, une fatwa émise par Yasser al-Ajlawni – un salafiste jordanien résident à Damas – a été émise sur le réseau social, qui déclare légale pour les opposants au régime de Bachar al-Assad le viol commis contre toute femme syrienne non sunnite. Selon le cheikh, la capture et le viol de femmes alaouites ou chrétiennes ne sont pas contraires aux préceptes de Islam.”

Sur cette question de la légalité du viol en islam (sur les femmes considérées comme butin de guerre),lire notre article précédent

Un imam salafiste de Saint-Denis placé en garde à vue

Il va devoir s’expliquer sur ses connaissances troubles. Selon nos informations, l’imam d’une mosquée de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) a été placé tôt ce mercredi matin en garde à vue dans le cadre d’une enquête  préliminaire pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste.

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Le suspect prêche à la mosquée Taqwa, rue Bailly, dans le quartier de La Plaine. Le nom de cet homme, considéré comme salafiste par les services de renseignement, est apparu récemment dans le cadre d’investigations visant un djihadiste français parti en Syrie. Sa garde à vue, décidée par le parquet antiterroriste de Paris, peut durer jusqu’à 96 heures.

Thibault Raisse

Source

Reconquête islamique de l’Europe

Depuis des années, l’Europe est soumise à un envahissement régulier par les peuples du Tiers-monde, principalement musulmans. Ces migrations peuvent prendre une allure légale ou illégale, mais elles s’amplifient
et deviennent une vague déferlante incontrôlable.

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Nous assistons désormais à un tsunami hallucinant qui risque de submerger les pays européens. Si, auparavant, les migrations se chiffraient en milliers d’individus, aujourd’hui, c’est en millions qu’on doit compter. Il faut bien admettre que les peuples européens subissent une invasion massive, organisée et dirigée, pour reconquérir l’Europe, sans que, pour l’instant, les meneurs soient clairement identifiés. Cette invasion est le principal danger pour l’identité des nations européennes. Tous les pays européens sont concernés. Il semblerait même qu’il y ait une collaboration étroite entre les dirigeants européens et les dirigeants nationaux pour favoriser
cette marée humaine. Cette catastrophique situation pour les pays euro-chrétiens a de fortes chances d’être fatale dans les prochaines années, s’il n’apparaît pas une opposition efficace de la part des peuples européens ayant retrouvé leur volonté de combattre l’engourdissement et l’esclavage coranique.

Pourquoi l’Europe doit-elle assurer seule l’accueil, l’installation, l’hébergement, la santé, l’éducation de ces foules de migrants musulmans? Quelles sont les lois qui obligent les pays européens à ce sacrifice financier et humain Pourquoi les pays européens doivent-ils accepter les diktats stupides et criminels de l’Union européenne? Raison de plus pour supprimer cette Union européenne qui veut accélérer le « grand remplacement » de la population authentiquement européenne, par l’admission de la Turquie, sans consultation populaire préalable.

L’islam s’est installé en Europe et progresse régulièrement, spécialement en France, et il est idiot de discourir sur l’islam de France, comme le font tous les politiciens méconnaissant l’histoire musulmane et la lutte
séculaire entre islam et chrétienté. La religion mahométane n’admet aucun accord, aucune compromission avec d’autres religions ou institutions laïques. L’islam est un, c’est une religion intransigeante, intolérante, conquérante. Les infidèles doivent se soumettre volontairement ou de force. Pourquoi les riches monarchies pétrolières arabes n’accueillent-elles pas généreusement leurs frères en priorité ? Pourquoi le
Pape incite-t-il les catholiques à accueillir nos « frères musulmans » qui nous haïssent et veulent nous exterminer ? Bien sûr, cet amour du prochain est la base de notre foi, mais il serait préférable que le Pape prêche nos Évangiles, assure leur diffusion dans le monde et participe à la défense des chrétiens persécutés.

En extrapolant les courbes démographiques des populations allogènes et autochtones en Europe, on peut tirer des conclusions effrayantes. Si aucune politique énergique, authentiquement nationale, n’est mise en place rapidement, nous assisterons à un changement complet du peuplement européen. Il est presque certain qu’une telle situation engendrera de violents conflits.

Une telle catastrophe humaine se produira-telle au cours des prochaines décennies ? Rien n’est moins sûr, compte tenu de la possibilité du réveil des peuples européens. L’avenir reste ouvert. Quoi qu’il en soit, il est fort possible que ce XXIe siècle ne soit pas « un long fleuve tranquille »!

 

Jean de Sourel pour les4Vhebdo

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Pour aller plus loin, immigration et charité chrétienne

 

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Bonne nouvelle : une prof musulmane enseigne que les musulmans peuvent violer et voler les femmes non-musulmanes dans certaines circonstances

Comment les apologistes de l’islam peuvent ils encore rationaliser la violence et la haine de l’infidèle et des non-musulmans. Voici une autre vidéo ou une « Prof » musulmane qui justifie l’asservissement et le viol de femmes non-musulmanes?

Suad Saleh est professeur de doctrine à l’Université Al Azhar. Elle définit correctement l’expression arabe melk al – Yamin –  » possession de droit  » (voir Coran 4 : 3 ) :

[ non – musulman(e)s ] prisonnières de guerre sont « ceux que vous possédez.  » Afin de les humilier , ils deviendront la propriété de l’armée commandant [ musulmane ] , ou d’un musulman , et il peut avoir des relations sexuelles avec eux comme il a des relations sexuelles avec ses femmes.

 

Les commentaires de Mme Saleh ne sont pas exceptionnels ou uniques. D’innombrables musulmans, à commencer par Mahomet lui-même, ont confirmé que l’Islam permet la réduction en esclavage sexuel de femmes non-musulmanes capturées pendant le jihad. SOURCE: PJMEDIA

 

 

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Winterthour : les visites scolaires à la mosquée An'Nur sont supprimées

Sortie scolaire - "Pas sensé", a estimé l'office scolaire de Winterthour en ce qui concerne les visites scolaires à la mosquée An'Nur. Celle-ci s'est retrouvée sur le devant de la scène médiatique à plusieurs reprises pour la radicalisation présumée de jeunes. La visite d'autres lieux de culte musulmans du canton sont toujours autorisées.

Les visites scolaires dans la mosquée An'Nur à Winterthour (ZH) sont supprimées. Ce lieu de culte a fait à plusieurs reprises la "une" des médias en raison de la radicalisation présumée de certains jeunes qui l'ont fréquenté.

L'office scolaire de Winterthour estime que la visite de la mosquée An'Nur "n'est actuellement pas sensée", a-t-il indiqué mercredi. L'office attend d'obtenir des informations supplémentaires avant d'éventuellement autoriser à nouveau les visites scolaires.

La mosquée An'Nur est la seule concernée par la suppression des visites scolaires. D'autres mosquées et organisations musulmanes peuvent être visitées dans le canton de Zurich. La visite de lieux de culte de différentes religions fait partie du plan scolaire des cours obligatoires de "religion et culture".

La ville de Winterthour a souvent été citée ces derniers mois en relation avec la radicalisation de jeunes partis en Syrie. Ils seraient tous passés dans la mosquée An'Nur avant de rejoindre les combattants de l'Etat islamique.

Soupçonné de diriger une filière djihadiste, il enseigne toujours la religion à Anderlecht

Nathalie Gallant, avocate de Ben Ajiba: «Je n’ai pas entendu quiconque venir se plaindre de la qualité des prêches ou du contenu des prêches de M. Ben Ajiba à la mosquée d’Anderlecht.» © NICOLAS MAETERLINCK   BELGA -                                                         128c8fa76ba26d7e7cd-1455699769.jpg

Professeur de religion dans une mosquée d'Anderlecht, un ancien mmam d'Evere, en région bruxelloise, est accusé d'avoir recruté des djihadistes. Il enseigne donc la religion à des adolescents, alors qu'il est accusé d'avoir dirigé une organisation terroriste qui organisait une filière de combattants vers la Syrie. 31 prévenus sont poursuivis dans ce procès. L’imam n’aurait-il pas dû être suspendu, jusqu'au prononcé du jugement ?

Selon son avocate, le parquet fédéral a tout simplement "oublié" de reconduire une série de conditions à sa libération. Cet imam a été arrêté en février 2014, puis relâché, mais à certaines condition s: il ne pouvait plus prêcher et avait uniquement le droit de prier, mais dans une seule et unique mosquée.

Suite à cet "oubli", ces conditions sont aujourd’hui supprimées. Il peut donc légalement donner des cours de religion, ce qu’il fait chaque mercredi et dimanche après-midi. Il s'occupe également de la prière du vendredi à Anderlecht. Et selon l'avocate de cet imam, Nathalie Galant, ça se passe tout à fait bien : "Je n’ai pas entendu quiconque venir se plaindre de la qualité des prêches ou du contenu des prêches de M. Ben Ajiba à la mosquée d’Anderlecht."

Un interrogatoire a permis de constater qu’entre l’image qu’il donne de lui aujourd’hui, sans barbe et habillé à l’occidentale, et les éléments du dossier d’enquête, cela ne correspond pas vraiment. Mais un imam qui enseigne alors qu'il est soupçonné de diriger une organisation terroriste, ça pose question. Comme tous les prévenus, il est présumé innocent.

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Communiqué de Civitas : 19 mars : Colloque de géopolitique à Paris

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Les mosquées de Dreux sous la même bannière

Wassim Kamel en visite à la mosquée des Oriels, accueilli par Oulaïd Alami, l’un des bénévoles de l’association qui gère l’une des plus grandes mosquées de la ville.? - Photo d’archives

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Les bénévoles de sept lieux de culte majeurs du Drouais sont invités par Wassim Kamel à travailler ensemble, avec les élus et l’État.

Depuis la grande réunion de tous les responsables des lieux de culte musulmans du département, réunis par le préfet, le 18 décembre, les choses avancent ( notre édition du 19 décembre).

Dans un souci de transparence, plusieurs mosquées de Dreux et Vernouillet ont ouvert leurs portes au grand public. Aujourd'hui, c'est au tour de Wassim Kamel de prendre la part qui revient au représentant de l'État pour établir des rapports sereins entre les lieux de culte musulmans, la population et les institutions.

L'abattoir mobile à bout de souffle

Hier soir, le sous-préfet a réuni les représentants des associations qui gèrent les sept mosquées du Drouais (*). Deux bénévoles de chaque association étaient invités ainsi que les maires de Dreux, Gérard Hamel, Vernouillet, Daniel Frard et Gérard Sourisseau, Saint-Lubin-des-Joncherets.

Pas question pour Wassim Kamel de transiger avec la laïcité et de se mêler des cultes. « Il s'agit simplement de mettre en place un comité de liaison qui réunit les associations des sept mosquées du Drouais.

La réunion d'hier n'était pas une simple rencontre de courtoisie autour d'un thé. Mais bien une réunion de travail autour de quatre axes.

« On s'intéresse d'abord au fonctionnement d'une mosquée. Cela va de la simple traduction de leur nom jusqu'aux initiatives que chacune peut prendre pour s'ouvrir au public. » Wassim Kamel entend bien faire avancer les choses vers une transparence totale du financement des lieux de culte. « Mais également se pencher très sérieusement sur le recrutement des imans et leur formation. »

 

Autre sujet de taille : les pratiques rituelles avec au centre la question de l'abattage des moutons le jour de l'Aïd. « L'abattoir mobile arrive à bout de souffle et l'Agglo ne renouvellera pas l'achat de ce matériel. Nous avons deux ans pour trouver une solution satisfaisante. »

Deux ans ne seront sans doute pas de trop pour pérenniser le marché au vif de Flonville qui a réussi, depuis dix ans, à résoudre, en grande partie, le problème de l'abattage clandestin.

Dernier thème abordé par le sous-préfet, celui de la sécurité des lieux de culte. Sans doute le morceau le plus léger de ce menu : les mosquées du Drouais n'ont jamais été gravement victimes de vandalisme ou d'agressions.

(*) À Dreux : deux mosquées aux Oriels, une aux Bâtes, une aux Rochelles, une rue Hoche. À Vernouillet : une mosquée à La Tabellionne. En vallée d'Avre : une mosquée à Saint-Lubin-des-Joncherets.

Valérie Beaudoin

"Le Temps du phénix", un nouveau livre de Bruno Mégret

Le Temps du phénix est un récit d'anticipation qui relate le quinquennat d'un président imaginaire élu en 2017. En rupture avec le politiquement correct et la classe politique actuelle, ce dernier devra surmonter de multiples difficultés pour mener à bien son projet.

 

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Porté par une vision géopolitique, animé par un projet européen novateur, défendant l’identité, la prospérité et la puissance de la France, le chef de l’État imaginé par Bruno Mégret ouvre une voie nouvelle qui rompt avec les errements de la vie publique d’aujourd’hui.

Au cœur de l'actualité, ce livre apporte un éclairage original sur les débats qui agitent la scène médiatique. À un moment où la mode est au déclinisme, le Temps du phénix propose une vision optimiste et volontariste de l'avenir de la France. Il montre comment un autre projet et une autre méthode de gouvernement pourraient, malgré les obstacles, redonner un destin à notre nation.

Loin des ouvrages politiques militants, le Temps du phénix s’apparente à un roman. Le récit y est nourri par de nombreux rebondissements, le flux d’événements tour à tour heureux ou décevants et le sort parfois tragique des personnages.

 

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Tonsberg

Norvège : Les « Soldats d’Odin » patrouillent à Tonsberg pour «protéger» les citoyens des migrants

 

Un groupe de 14 hommes en blousons noirs avec le symbole des «Soldats d’Odin» a patrouillé pendant trois heures dans des rues de la ville de Tonsberg, dans le sud de la Norvège, a annoncé The Local. Selon le journal local Tønsberg Blad Il s’agit de la première fois que ce groupe, «patriote» autoproclamé et né en Finlande, fait son apparition en Norvège

Samedi 13 février, un groupe de 14 hommes en manteaux noirs avec le symbole des «Soldats d’Odin» a patrouillé pendant trois heures dans des rues de la ville de Tonsberg, dans le sud de la Norvège, a annoncé The Local.

«Nous voulons tout simplement que la ville soit sûre face à l’immigration incontrôlée», a expliqué Ronny Alte, le porte-parole de l’organisation, au quotidien norvégien VG.

Il s’agit de la première fois que ce groupe, «patriote» autoproclamé et né en Finlande, fait son apparition en Norvège. Une présence renforcée des forces de l’ordre a été ordonnée par les autorités locales pour éviter tout débordement. […]

Baptisé en l’honneur d’un dieu de la mythologie nordique, le groupe a été fondé fin 2015 dans la ville de Kemi (nord de la Finlande), située non loin de Tornio, l’un des plus importants points de passage des migrants en Finlande. Les «Soldats d’Odin» se disent être «une organisation patriotique luttant pour toute la Finlande» et dont les patrouilles sont censées «faire fuir les intrus islamistes qui engendrent insécurité et hausse de la criminalité».

 

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Portes ouvertes à la Mosquée de Soyaux

A l'occasion de la matinée "portes ouvertes" de la Mosquée de Soyaux, Jérôme SEGUY, directeur de cabinet du Préfet, a répondu à l'invitation de M. El Mami ADJIMI, président de l'association des Musulmans de la Charente, qui gère ce lieu de culte.

Une cinquantaine de personnes était présente, parmi lesquelles le maire de Soyaux, l’évêque d'Angoulême, l'Imam de Mérignac,  les représentants de la Mosquée de Basseau, plusieurs responsables associatifs et le délégué du Préfet dans les quartiers.

Après avoir salué cette initiative innovante et fédératrice, le directeur de cabinet a tenu à rappeler le soutien de l'État aux différentes communautés religieuses et a précisé le sens et le contenu des mesures prises localement par le préfet dans le cadre de l'état d'urgence :  celles-ci sont avant tout destinées à garantir la sécurité de chacun, quelle que soit son origine ethnique ou culturelle, dans le respect des principes de la République Française, et non à contraindre les citoyens dans l'accomplissement de leur vie quotidienne.

Il a insisté sur la nécessité d'un partenariat le plus étroit possible non seulement entre les deux associations du culte musulman elles-mêmes, mais également avec les autres communautés religieuses, saluant au passage l'action de structures fédératrices telle "Pierre, David, Mohamed et les autres".

Son intervention a été accueillie avec enthousiasme par les divers représentants de la communauté musulmane, ainsi que par l'ensemble des personnes présentes.

Un échange entre la salle et les représentants religieux s'est ensuite instauré, en particulier autour de la pratique de l'Islam et de la "bonne lecture du Coran", prônée par les Imams présents, qui se veut résolument tolérante et pacifiste, et le danger des sites internet qui livrent au grand public une interprétation totalement erronée et dangereuse de la religion musulmane.

Cette rencontre s'est achevée en fin de matinée autour du "verre de l'amitié", synonyme de partage et de solidarité entre tous.

 

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Quand la LICRA s'attaque à Riposte laïque

                           Un spécialiste de l'islam dénonce la justice française !

 

La réaction de l'avocat de RL et de son Président, Pierre Cassen

 

A propos de la LICRA : lire le livre d'Anne Kling, La France licratisée cliquez ici

 

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Pendant l’état d’urgence la construction de mosquées bat son plein !

Par Danielle Moulins

 

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Mulhouse :

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http://www.desdomesetdesminarets.fr/2015/12/13/en-images-...


« Le Centre Annour de Mulhouse prend forme. Le chantier est nettement visible à l’entrée nord de la ville au niveau de la voie rapide. Après le sous sol et le rez-de-chaussée, les ouvriers s’attaquent au premier étage. A terme, le centre sera l’un des plus grands d’Europe. L’Association des Musulmans d’Alsace porteuse de ce projet ambitieux espère l’inaugurer d’ici 18 mois si le budget estimé à 23 millions d’euros (TTC) est bouclé, Inch’Allah.

Pour l’instant, près de la moitié du coût total a été réunie. Un Gala sera organisé dimanche 31 janvier au profit du projet. Vous y êtes fraternellement invité. Vous pouvez dès à présent réserver votre billet en ligne. L’association organise également une visite de chantier dimanche 20 décembre. Ce projet est le vôtre et celui des générations futures. Construisons-le ensemble ! »

 

Belfort :

 

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http://www.desdomesetdesminarets.fr/2015/04/02/la-troisie...


« A Belfort, il y a la Grande Mosquée ouverte depuis 2010, la mosquée Kouba (Millî Görüş) et puis une troisième mosquée en cours de construction dans le quartier du Mont. Le chantier débuté il y a six ans déjà a pris du retard. En cause, un manque de financement. Bien que le bâtiment ait pris forme, des finitions restent encore à réaliser. La mosquée est bâtie sur un terrain de 1.051 m² pour une surface totale de 3.700 m². Le site de la nouvelle mosquée se situe au cœur du quartier du Mont, non loin du centre ville, limitrophe du quartier des Résidences et des communes d’Essert, de Bavilliers et de Cravanches formant ainsi une zone où vit la plus grande majorité des musulmans de la cité du Lion.
L’édifice est sous forme d’un immeuble de 2 niveaux : au RDC, un hall d’entrée principale, un bureau, une salle de prière pour hommes, une salle polyvalente, une salle de détente, des locaux sanitaires, une chaufferie, une salle de réception de défunts, deux cages d’escaliers, un ascenseur desservant tous les niveaux, des dégagements, des locaux de rangement, six sorties de secours. Au premier étage, la partie cultuelle pour femmes, une salle polyvalente, deux bureaux, une cafétéria, des locaux sanitaires, un local de rangement, un ascenseur, deux cages d’escaliers et des dégagements. Elle sera équipée d’une toiture de type terrasse. Des espaces verts sont également prévus. La future mosquée ne sera pas uniquement un lieu de prière, mais aussi un lieu d’apprentissage du Saint Coran, de langue arabe et de soutien scolaire. Un petit minaret est également prévu. »

 

Saint-Louis :


http://www.desdomesetdesminarets.fr/2015/05/18/en-images-...

La mosquée s’appelle « El Feth« , la conquête…Mosquée-El-Fath-de-Saint-Louis-Alsace-6
« Les travaux de la mosquée El Feth de Saint-Louis dans le Haut-Rhin sont bientôt terminés quatre ans après le démarrage du chantier. Il ne manque plus que quelques finitions d’intérieur et l’aménagement du parking. Un lieu très attendu par les musulmans Ludoviciens à l’étroit dans leurs salles de prières trop petites pour permettre d’accueillir dignement l’ensemble des fidèles. Le bâtiment sur trois niveaux est surmonté d’un dôme vitrifié. Le sous-sol comprend une salle polyvalente (capacité : de 500 à 600 personnes), quatre salles de classe, des commerces, une cuisine, une bibliothèque et des salles d’ablutions. Le RDC est réservé à la salle de prière pour hommes, en plus de bureaux pour l’association. La salle de prière pour femmes est située à l’étage, avec également une salle pour enfants. »
Le site précise que la région bat des records d’islamisation : « Dans la région, une quinzaine de nouvelles mosquées sont en construction ou en projet. »

 

Courbevoie :

Mosquée de Courbevoie
Là c’est l’excellent site de Joachim Véliocas http://islamisation.fr/qui nous informe, via un article du Parisien de l’avancement du projet avec aides et bénédiction de la Mairie « Les Républicains » : « Nous apprenons dans Le Parisien du 14 février 2016 que l’association cultuelle des musulmans de Courbevoie (ACMC) “attend le feu vert de la mairie pour signer le bail emphytéotique officialisant la location du terrain“. C’est déjà bien parti car samedi dernier l’adjointe au maire LR est venue à la présentation du projet grandiloquent : une mosquée sur trois niveaux pouvant accueillir 1800 fidèles, d’un coût de 6 millions d’euros, avec salles de classe pour apprendre l’arabe aux enfants dès 4 ans.

 Floriane Deniau, Conseillère Municipale FN, informait en juin 2015 :
“Lors du Conseil Municipal de Courbevoie du 29 juin 2015, tous les élus «Républicains», PS et Divers Droite ont voté le bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal, en vue d’une future mosquée sur une surface au sol de 680m2, à l’Association Cultuelle des Musulmans de Courbevoie (ACMC). Seuls les deux élus FN s’y sont opposés. Un vote accordé les yeux fermés sans connaître le montant des loyers qui seront communiqués plus tard par le député Maire, Monsieur Jacques KOSSOWSKI.”

Décidément les Républicains ont la folie des grandeurs et on reste effaré de constater que personne au conseil municipal, à part les deux élus FN, n’a au moins toussoté devant ce projet pharaonique de base islamique polyvalente mené par une association musulmane affiliée à l’UOIF et qui invite des promoteurs de la charia tels que Abdellah Benmansour et Hassen Iquioussen : http://www.acmc-courbevoie.fr/index.php/actualite

Décidément clientélisme et léchage de babouches sont de mise comme au temps de l’UMP…

 

Mantes-la-Jolie :

Mosquée de Mantes-la-Jolie
Un article du Parisien du 10 janvier dernier nous annonce que la mosquée Othmane, sise dans le délicieux quartier du Val Fourré, énorme bunker de béton de six niveaux, est en panne par manque de financement malgré plusieurs millions de dons venant du Maroc. Qu’à cela ne tienne, le Maroc se porte acquéreur et la base islamique géante, si ce projet n’est pas contrarié par de vils islamophobes, pourra être achevée et propager la bonne parole grâce à notre ami le Roi.

http://www.leparisien.fr/mantes-la-jolie-78200/mantes-la-jolie-tractations-autour-de-la-nouvelle-mosquee-10-01-2016-5437645.php

Ne négligeons pas notre source « Des dômes et des minarets » jamais avare de renseignements :http://www.desdomesetdesminarets.fr/2014/12/16/une-deuxieme-mosquee-en-construction-a-mantes-la-jolie/

« Les Yvelines est le deuxième département français après le Nord, en nombre de projets de mosquées avec 20 projets en cours. »

Voilà un avant-goût de ce qui pourrait se produire un peu partout, la voix du muezzin dans nos rues :

                   Adhan à la mosquée Othmane de Mantes la Jolie

 

Attention il est temps de prendre peur à la lecture de cette longue liste : http://www.desdomesetdesminarets.fr/2014/02/04/islam-en-f...

Plus de 300 mosquées dans les tuyaux! Certes à différents stades de projets ou d’avancement, certes parfois en panne pour d’obscures raisons de magouilles et de tambouille islamiques ou de prévarication électoraliste, certes certains projets n’aboutirons jamais,  grâce aussi à des maires patriotes et des citoyens lucides qui feront tout pour éviter le dévoiement de la loi de 1905. Mais tous les jours nous constatons que plus de 2500 mosquées gangrènent déjà la France entière.

L’islamisation de nos villes et campagnes due à l’opiniâtreté mahométane sans faille et sans lassitude continue. Avec de nouvelles mosquées le funeste projet se répand avec l’aide, l’abjection, la forfaiture ou l’innocence coupable des édiles idiots utiles. Prenez le temps de lire cette étude de la toute récente mosquée Bilal de Roubaix, un désastre, un modèle effrayant de totale destruction de nos valeurs :
http://islamineurope.unblog.fr/2016/02/07/la-grande-mosqu...

Seulement trois mosquées salafistes ont été fermées par Cazeneuve.
Aucune mosquée UOIF n’a été fermée malgré leurs propos intolérables et destructrices des valeurs démocratiques.
Aucun projet de mosquée n’a été stoppée et aucune construction n’a été interdite.
Vous dites « état d’urgence »?

 

Danielle Moulins

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France : Les habitants de Courbevoie découvrent la future mosquée sans minaret

 

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«C’est normal qu’on ne voit pas le minaret sur le projet ? Toutes les mosquées ne doivent-elles pas en avoir un ? » Venue samedi aux portes ouvertes de l’Association cultuelle des musulmans de Courbevoie, installée dans des préfabriqués rue des Fauvelles, cette habitante a découvert le projet de mosquée que fidèles et adhérents espèrent construire sur ce terrain.

Un terrain voisin de la déchetterie municipale, et mis à disposition par la mairie depuis 2013. «Je trouve le bâtiment très beau, mais l’architecte n’est pas musulman ? poursuit la quinquagénaire en désignant Sébastien Maniglier, l’architecte venu présenter au public le futur édifice. «Ne faut-il pas un spécialiste des mosquées ? » «Non, Sébastien est plutôt spécialisé dans l’environnement, explique la secrétaire générale de l’association, Norouda Benali. Il s’est attaché à proposer un bâtiment qui accueille la lumière naturelle et très économe en énergie. On ne veut pas de gaspillage. Et étant donné la situation de la mosquée, à côté de La Défense, on voulait un bâtiment qui donne envie d’y entrer ».

Ce samedi, grâce au président de l’association, Mohammed Hicham, tout le monde a été accueilli chaleureusement, du préfet des Hauts-de-Seine aux riveraines un peu sur la réserve, du président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, aux militants de gauche, en passant par les adjointes de droite de Courbevoie et Puteaux. Cours d’arabe dispensés selon la méthode Montessori, soutien scolaire avec un professeur d’université, alphabétisation, étude du Coran pour les femmes, l’association multiplie les activités et occupe les lieux sept jours sur sept. «Nous avons de nombreux collégiens et lycéens, qui viennent parfois de loin pour préparer le brevet ou le bac ici », assure la secrétaire générale.

6 à 7 M€ à financer

Le bâtiment projeté prévoit donc une grande salle polyvalente au troisième étage pour les activités pédagogiques, au-dessus des salles de prière, qui pourront recevoir environ 1 800 fidèles. «Les espaces de prière réservés aux femmes sont au deuxième étage », indique l’architecte aux visiteuses voilées penchées sur ses plans. «Les voisins de la résidence Villapollonia se plaignent des problèmes de stationnement les jours de prière. Il n’y aura pas de parking en sous-sol ? » interroge-t-on. «On m’a fait remarquer qu’on ne mettait pas de parking sous les églises, commente l’architecte. Mais pour l’instant, le sous-sol n’est pas finalisé ».

Les hommes abordent l’aspect financier. «Il faut compter 6 à 7 M€ pour un édifice comme celui-ci. Mais avec 2 M€, on peut déjà réaliser le clos et le couvert et accueillir les fidèles. Puis effectuer les finitions par tranche, étage par étage », estime l’architecte. Aujourd’hui, l’association a collecté environ 300 000 €. Et elle attend le feu vert de la mairie pour signer le bail emphytéotique officialisant la location du terrain.

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Tags sur la mosquée d’Elne : des nationalistes dans le viseur

 

 

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PHOTO/Arnaud Andreu Un matin, les fidèles avaient entre autres découvert sur la façade de l'édifice un tag à caractère islamophobe.

 

 

Un groupuscule d'ultra-droite a révélé que certains de ses militants avaient été interpellés et placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur les inscriptions islamophobes de la mosquée d'Elne en novembre 2015.

L’affaire avait été tenue sous silence. Or, quelques éléments viennent de filtrer dans un communiqué du parti nationaliste français section du Roussillon (PNF 66). Les services de gendarmerie auraient lancé une opération la semaine dernière visant des militants des Pyrénées-Orientales de ce groupuscule d’ultra-droite.

Ces derniers étant soupçonnés d’inscriptions xénophobes sur des lieux de culte, gendarmerie, fédération du parti socialiste, véhicules municipaux dans le département, mais également de tags racistes et actes de vandalisme perpétrés fin novembre sur la mosquée d’Elne.

Selon le PNF, le 4 février, à l’aube, six militants ont été interpellés et placés en garde à vue afin d’être interrogés sur ces différents dossiers tandis que des perquisitions étaient menées à leurs domiciles. D’autres personnes, considérées comme proches de cette mouvance, ont également été convoquées et auditionnées. "Nous pensons que nombre de ces inscriptions sont l’œuvre de gamins. À notre connaissance, aucun des suspects n’a pu être confondu", termine le PNF 66 qui appelle à la mobilisation dans "le calme et la sérénité"  mais qui, sur sa page Facebook, affichait très clairement son soutien au collectif "Non à la construction de la grande mosquée d’Elne !". De quoi nourrir quelques soupçons.

Selon nos sources, les investigations se poursuivent dans le cadre d’une information judiciaire qui a été ouverte sur ces faits à connotation xénophobe. Les services de gendarmerie se refusent pour l’heure à tout commentaire. 

 

source

 Lien facebook : non à la mosquée d'Edme

La réponse du GUD au grand remplacement

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Un petit coup de rétro : le retour de Bada, fafstar des années 80...

 

 

mardi, 16 février 2016

Islamisme. Des centaines d’individus radicalisés dans la région Languedoc Roussillon

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En un an, le nombre de personnes signalées pour radicalisme a doublé en France, et toucherait 8 250 individus qui se sont tournés vers l’islamisme. Dans un bilan officiel, réalisé le 28 janvier dernier, et dévoilé par le Figaro, la France connaît une explosion des signalements d’islamistes radicaux et la région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées est loin d’être épargnée par ce phénomène inquiétant.

Une montée de l’islamisme dans notre région

L’Hérault, le Gard et le Tarn sont particulièrement touchés. Dans ces trois départements, entre cent et deux cents cas de radicalisation ont été signalés. Pire, en Haute-Garonne, ces individus seraient plus de deux cents. L’Aveyron, l’Aude, les Pyrénées Orientales et les Hautes-Pyrénées compteraient entre cinquante et cent cas tandis que les autres départements de la région comptabiliseraient moins de cinquante cas chacun. En tout, le nombre d’islamistes radicaux signalés dans la région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées pourrait dépasser le millier d’individus.

Un islamisme qui se développe d’avantage par les relations humaines que par internet

Des chiffres inquiétants d’autant plus que le Figaro rapporte que pour l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste, ces individus « ne basculent quasiment jamais en pianotant seuls sur leur ordinateur. Le déclencheur est dans 95% des cas lié à un contact humain ». Ce qui veut dire que l’individu radicalisé n’est pas un cas isolé, le fameux loup solitaire, mais évolue dans un milieu favorable à la radicalisation. Un phénomène bien connu puisque l’on constate que les candidats au Jihad qui partent en Syrie et en Irak sont souvent accompagnés. De même, cette radicalisation concerne parfois des familles entières ou des groupes de personnes fréquentant la même mosquée comme c’est notamment le cas à Lunel.

 Source

"Kosovka", de Luc Luret, un livre prémonitoire, un roman attachant...

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Qui se souvient du Kosovo ? Qui se souvient de cette guerre qui conduit une coalition internationale, dans laquelle la France était partie prenante, à bombarder sans répit des mois durant Belgrade, une capitale européenne qui avait l'impudence de vouloir sauver l'intégrité du territoire de ce qui était encore la République fédérative de Yougoslavie ?

La guerre du Kosovo (1998-1999) fut, à bien des égards, prémonitoire. Ce territoire, situé au sud de la Serbie et jouxtant l'Albanie musulmane et post-maoïste, était depuis longtemps envahi par ses voisins qui finirent par y être majoritaires. Petit à petit les Serbes devinrent des étrangers chez eux. Le Kosovo était pourtant historiquement considéré comme étant le berceau de la Serbie. Toute la bienpensance mondiale, aveuglée par la propagande anti-serbe orchestrée par les média aux ordres, prit fait et cause pour les terroristes de l'UCK qui, en fin de compte, imposèrent un état indépendant, mafieux et musulman, en pleine Europe. Cette situation n'est-elle pas en train de se reproduire aujourd'hui dans notre pays où l'on voit des pans entiers de notre territoire devenir des zones de non droit contrôlées par des étrangers ?

Dans Kosovka (traduction : la kossovaque), Luc Luret, ancien officier parachutiste français qui fut alors engagé dans cette tragédie qu'il a observée avec lucidité, nous raconte l'histoire d'une jeune femme, belle et attachante, qui doit surmonter les épreuves que sa qualité de Serbe du Kosovo lui impose. A travers cette histoire, il montre les procédés barbares employés par les musulmans pour chasser les Serbes de leur terre ancestrale et pour éradiquer la religion orthodoxe en brulant églises et monastères sans retenue aucune. Kosovka est un ouvrage bien écrit qui mériterait d'être lu par tous. C'est un avertissement sur lequel il convient de méditer. Voilà pourquoi nous avons décidé de le diffuser.

Kosovka, Luc Luret, Editions La Cocarde, 164 pages,  février 2016, 15,00 € (+ 3,00 € de port)

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jeudi, 10 septembre 2015

L'EVENEMENT DE LA RENTREE : LA 9e JOURNEE DE SYNTHESE NATIONALE

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dimanche, 04 janvier 2015

Calais, dimanche 25 janvier :

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mardi, 09 décembre 2014

Contre la construction d'une nouvelle mosquée dans leur ville, les strasbourgeois se mobilisent...

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Jacques Cordonnier, l’association Forum d’Alsace et treize habitants du quartier de la Meinau à Strasbourg ont demandé au Tribunal administratif d’annuler le permis de construire délivré à la communauté islamique Millî Görüs pour la construction de la nouvelle mosquée turque Eyyub sultan. La requête a été déposée le 19 novembre dernier.

Le Maire de Strasbourg et son adjoint à l’urbanisme, désireux de voir s’ériger à tout prix une mosquée cathédrale de style ottoman, n’ont pas hésité à accorder un permis de construire comportant plusieurs anomalies et irrégularités.

Le projet ne respecte pas :

- les prescriptions du Plan de prévention des risques inondation,

- le règlement du Plan d’occupation des sols qui limite à 18 mètres la hauteur des constructions alors que le projet prévoit une coupole à 26 mètres et des minarets culminant à plus de 44 mètres, parmi les plus hauts d’Europe,

- les contraintes liées à la proximité d’un bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques (ancienne usine Junkers).

Les conditions anormales dans lesquelles ce permis a été accordé lui vaudront d’être annulé.

La municipalité de Strasbourg commet une faute en autorisant la construction de minarets, ce qu’aucun maire d’Alsace n’avait autorisé jusqu’à présent. Dans leur grande majorité, les habitants de la Meinau, et les Alsaciens en général, considèrent que les minarets ne font pas partie des traditions de notre région et ne s’intègrent pas dans nos paysages.

SIGNEZ LA PÉTITION CONTRE LES MINARETS cliquez ici

dimanche, 26 octobre 2014

Quimper dit : NON AU MINARET !

Notez une lamentable prestation d'une poignée de collabos locaux (NPA, pro-islamistes etc...) qui ont donné une piètre image de la Bretagne... Face à eux la résistance nationaliste et identitaire est en marche.

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A Quimper comme à Calais : RESISTANCE !

Ouest France cliquez ici

vendredi, 24 octobre 2014

L'intervention de David Charpen, Président de Résistance à l'immigration, lors de la 8e Journée de Synthèse nationale le 12 octobre à Rungis (94)