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samedi, 27 février 2016

Calais. Témoignage d’un policier : « se faire caillasser est devenu une triste habitude »

À quoi ressemble le travail des forces de l’ordre dans la jungle de Calais ? Les policiers sont au bout du rouleau. Gilles Debove, délégué syndical SGP Police FO, travaille à Calais depuis 2000. Désemparé, il craint que la situation ne dure encore plusieurs années.

Les jets de pierres, les menaces à l’arme blanche, les rébellions, les outrages font partie de notre quotidien. Près de 150 fonctionnaires de police ont été blessés depuis le début de l’année 2015.

Policier de la brigade anti-criminalité, j’ai été affecté à Calais en 2000. Sangatte, puis la « jungle », les flux migratoires, je connais. En 2012, suite à une blessure, j’ai été préempté par Unité SGP FO Police pour être délégué syndical à plein temps.

La situation à Calais m’avait toujours semblé gérable, mais depuis le printemps 2014, j’ai le sentiment que nous perdons pied. Et, je n’ai pas l’impression que ça va en s’arrangeant.

À cette époque, notre travail était tourné pratiquement à 100% vers les migrants, au détriment souvent de la population calaisienne. […]

Il y a quelques années, quand des CRS réclamaient à un groupe de migrants cachés dans un camion d’en sortir, cela ne posait aucun problème. Aujourd’hui, nous sommes parfois obligés de monter à l’intérieur pour les en extraire manu militari, toujours dans le respect de la personne. […]

Avec le temps, se faire caillasser est devenu une triste habitude qui n’est plus tolérable. Des jets de pierres, ça nous apparaît comme « normal ». Les collègues ne déposent jamais de plaintes, ils connaissent les suites données même si un migrant est interpellé. […]

On nous de traite tantôt de « fachos », tantôt de « collabos », mais en réalité, nous ne faisons que notre devoir et exécutons les ordres qui nous sont donnés.

Source : islamisme.fr

Vaucluse (84) : Roujdi crie « vive Daesch » et se débarrasse d’un couteau

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« Je suis Français et fier de l’être. J’aime pas ces gens là mais c’est vrai que j’ai dit ces mots » se désole Roujdi, un Carpentrassien âgé de 30 ans, à la barre du tribunal. « Vous comprenez, des jeunes assis au bar m’avaient traité de « sale arabe » et ça m’a fait mal alors j’ai répondu bêtement« . Puis il est remonté dans sa voiture qu’il avait garée « pour quelques minutes » mais qui obstruait l’accès à un parking de Cavaillon.

Appelée par des automobilistes, la police est arrivée au moment où il regagnait son véhicule. À leur vue, Youssef a jeté un couteau. Poursuivi pour port d’arme, il est condamné à la peine de 400 € d’amende.

islamisme.fr

Une région allemande lance l'immigration... à points

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Une région allemande lance ce vendredi un projet pilote d'immigration à points, pour tenter d'attirer plus de main d'oeuvre étrangère qualifiée et pallier la pénurie de personnel qui, malgré des arrivées massives de réfugiés, affecte le pays.

Le Bade-Wurtemberg au sud-ouest, limitrophe de la France et très industriel, notamment dans le secteur automobile et des machines-outils, abritera ce projet inspiré des systèmes d'immigration en vigueur au Canada ou en Nouvelle-Zélande.

Remplir des critères pour gagner des points

Les étrangers - non-ressortissants de l'UE - peuvent déjà venir travailler dans le pays, mais selon des critères très stricts et seulement dans certains métiers où le manque de main d'œuvre est patent.

Dans le cadre du projet, des permis de travail seront accordés à "un petit nombre de personnes" qui ne remplissent pas les conditions en vigueur à l'heure actuelle, mais qui ont une offre d'emploi concrète dans la région et répondent à des critères pré-établis (compétence linguistique, précédent séjour en Allemagne ou ailleurs dans l'UE...) qui leur rapportent suffisamment de points.

Le principe des systèmes à points est l'attribution de notes pour des compétences ou caractéristiques, avec une pondération fixée à l'avance. L'immigration dépend de l'obtention d'un nombre plancher de points. Les cobayes choisis dans le Bade-Wurtemberg seront suivis pendant trois ans pour évaluer les mérites du modèle.

Le dauphiné libéré

Le salafisme en France

Pendant des mois, des journalistes de France 2 ont enquêté sur ces jeunes Français séduits par la mouvance salafiste. Ils seraient entre 10 000 et 20 000 en France. Refus de la mixité, port du niqab, polygamie autorisée... Un document sur ce courant de l'islam diffusé dans "Envoyé spécial" sur France 2, jeudi 25 février (à partir de la 33e mn). Extrait :


Envoyé spécial : au coeur de la mouvance salafiste

Source : Le salon Beige

Une guerre civile s’avance à pas de loup islamiste

L’écrivain algérien Boualem Sansal écrivait dans Le Figaro:


"La frontière avec l’Occident commence à être abolie puisque maintenant l’islam politique s’ouvre des espaces à Londres, à Paris et à Bruxelles. On peut imaginer que dans trente ans l’islam gouvernera l’ensemble du monde musulman qu’il aura unifié (ndlr : entre chiites et sunnites). Dans soixante ans, il partira à la conquête de la civilisation occidentale".


Ivan Rioufol commente:


"En réalité, cette conquête est déjà entamée en France, fragilisée par une République pacifiste et culpabilisée, affaiblie par quarante ans de doute et de mésestime d’elle-même. Dans ce contexte, voici un extrait de l’avant-propos de mon essai : La guerre civile qui vient (Editions Pierre-Guillaume de Roux, 200 pages), qui sortira le 3 mars.


"Rien n’est plus factice que la tranquillité des cités, qui endort les vigilances et permet au chef de l’Etat d’assurer : < Il n’y a pas de quartiers perdus de la République >. En réalité, ceux-là sont en état de sécession territoriale. Une plongée dans l’univers islamiste de l’Internet, où s’aiguisent les sabres, fait découvrir les haines enracinées qui se déversent contre la France. Je ne compte plus ce que j’y essuie de violences ordurières, menaçantes, venues de meutes excitées par des sites ayant pignon sur rue. Devant les tueries, ces continuités du harcèlement millénaire de l’islam contre l’Occident, les plus cyniques des néo-colonisateurs assurent, comme Hani Ramadan en avril 2014, au 31e congrès annuel de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) : < L’islam est agressé de toute part >. Cette dialectique victimaire est reprise par les revanchards, et avalisée par les capitulards. Elle autorise le djihad soutenu par l’Etat islamique. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, l’a qualifié d’ < Etat apocalyptique > (Europe 1, 22 novembre 2015). Dans le délire millénariste qui veut accélérer le déluge de feu annonçant l’imam caché, tous les coups sont permis.


"Une guerre civile s’avance à pas de loup. Elle ne verra pas s’affronter la classe moyenne oubliée aux nantis européistes, la gauche à la droite, la province à Paris, les jeunes aux vieux, même si les tensions entre ces contraires s’avivent parallèlement. Celle qui rôde oppose déjà l’idéologie coranique conquérante aux démocraties occidentales fatiguées. La menace est chez ceux qui sont convaincus d’avoir à mener un combat au nom de leur Dieu et des prophéties, pour poursuivre l’œuvre de conversion des pays < impies > et des < mécréants >, et pour relever l’affront d’une humiliation que subiraient les musulmans depuis la colonisation européenne, en passant par la guerre de George Bush contre < l’islamo-fascisme > en Irak. Les attentats de janvier et de novembre annoncent d’autres assauts. Car l’armée de l’ombre existe. Elle compte en France des milliers de guerriers, bénéficie de la passivité des cités, de la myopie du pouvoir, de la collaboration des premiers traîtres. Les huit cents < zones sensibles >, les cent cinquante mosquées salafistes, les écoles coraniques, les Frères musulmans sont autant de foyers d’incubation. En face, nombreux sont ceux qui se sont déjà soumis. Or cette manière d’éviter l’affrontement est la pire. Une urgente et authentique résistance s’impose. Ce livre se propose d’expliquer pourquoi et comment."

Source : Le salon beige

Éthiopie : tombes et lieux de culte chrétiens incendiés et détruits

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Si le christianisme demeure la religion majoritaire en Éthiopie (63 % de la population), l’islam y compte aussi un nombre significatif de fidèles (près du tiers de la population). Dans l’État d’Oromia, les musulmans sont aussi nombreux que les chrétiens (± 47 %). Ceci pourrait expliquer cela…

Plusieurs tombes et lieux de cultes chrétiens ont été incendiés ou détruits, et des biens de l’Église dérobés, à l’ouest du pays, dans diverses localités de l’État d’Oromia, a rapporté le 24 février 2016 l’agence de presse éthiopienne, Ethpress. Des attaques similaires ont eu lieu dans les régions de Gambella, à l’extrême ouest, et Amhara au nord-ouest. Le Conseil Interreligieux de l’Éthiopie (IRCE) a dénoncé ces profanations, les attribuant à des groupes de personnes qui ne représentent pas le peuple dans les régions. Les [dirigeants] du IRCE ont rappelé que ces actes sont strictement interdits par tous les enseignements religieux du monde, craignant qu’ils n’affectent le climat religieux pacifique du pays. Dans leur déclaration en huit points, les chefs religieux de l’Éthiopie indiquent que « l’histoire, les relations séculaires, la culture de la tolérance religieuse et le respect mutuel doivent préservés dans le pays ». Ils ont exhorté le gouvernement et la population, en particulier les jeunes, à œuvrer ensemble pour assurer la tranquillité dans les régions.

Source : christianophobie

Nigéria : l’effroyable bilan des atrocités antichrétiennes

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Dans un communiqué diffusé hier, l’ONG protestante au service des chrétiens persécutés Portes Ouvertes nous signalait l’ampleur effrayante des atrocités antichrétiennes commises par les islamistes de Boko Haram et des musulmans peuls (fulanis en anglais) :

* plus de 11 500 chrétiens ont été tués depuis 2006 ;

* plus de 13 000 églises ou lieux de culte chrétiens ont été fermés ou détruits :

* plus d’1,3 million de chrétiens ont été déplacés depuis l’an 2000.

Des zones entières sont presque entièrement vidées de toute présence chrétienne. Un Christenrein qui rappelle un certain Judenrein

Source : christianophobie.fr

vendredi, 26 février 2016

Immigration de masse : quand l’Allemagne se résigne à sa propre disparition

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Le livre-cri d’alarme de Thilo Sarrazin « L’Allemagne disparaît », vendu à deux millions d’exemplaires outre-Rhin, n’y changera sans doute pas grand-chose : l’Allemagne semble s’être résignée à sa propre disparition…

Depuis l’après-guerre, le vieux pays germain semble sous perfusion d’un insidieux poison. Quotidiennement sommé de sacrifier au culte universel de la Shoah, le peuple allemand a fini par s’y soumettre de bonne grâce, et par souhaiter sa mort, la mort du plus grand assassin de l’Histoire. Si l’on en croit Jérôme Bourbon, patron de Rivarol, la « religion shoatique » est la clé de voûte du protocole de destruction de l’Edom — l’Europe dans la terminologie talmudique. Il s’agirait de venger Bar Kokhba dans le sang, non seulement des Allemands, mais de l’ensemble des peuples du vieux continent.

« Mesdames, si vous ne vous laissez pas violer de bon cœur, c’est que vous êtes racistes ! »


C’est le message qui ressort d’un tract en train de tourner sur Internet et dans les grandes villes allemandes, assorti des hashtag #refugieeswelcome, #antifa et #diversity. Sur ce tract, on voit une jeune femme, blonde, en train de pleurer, la tête entre les mains, et on lit, je cite : « Le viol ne dure que 30 secondes, mais le racisme la vie entière ! Faites-les entrer. »
Le message est clair : le viol n’est qu’un simple désagrément passager, qui ne doit pas remettre en cause la politique oligarchique d’immigration de masse.

Ce message a obtenu une large audience sur les réseaux sociaux allemands…


Et pas seulement à gauche. Pour l’ensemble de la classe politique, il est nécessaire que la population accepte le viol de masse comme une réalité quotidienne, au même titre que les Japonais doivent s’habituer aux tremblements de terre et les Indiens aux inondations. L’opinion publique a compris le message : pour l’Allemand de base, mieux vaut offrir le corps de sa femme et de ses filles aux clandestins, plutôt que de risquer de passer pour un nostalgique du 3e Reich. En France, le Premier ministre Valls n’a-t-il pas de son côté demandé à nos concitoyens d’accepter l’« hyperterrorisme » comme une « fatalité » ?

Message également entendu dans d’autres pays européens


En Italie, Montassar Ayari, un Tunisien de 33 ans, par ailleurs vendeur de cocaïne, a séquestré, violé et torturé une adolescente de 16 ans dans un appartement géré par la commune de Bologne. Alors qu’il passait en cour d’assises le 12 février dernier, il s’est trouvé un juge italien pour estimer que 6 ans de détention étaient largement suffisants contre un violeur tortionnaire. Lequel bénéficiera naturellement des traditionnelles « remises de peine ».

Novopress avec le bulletin de réinformation

Calais : une femme écrouée pour l’agression de migrants

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Elle est soupçonnée d’avoir participé, en mai et juin 2015, à plusieurs agressions de migrants avec des barres de fer. Trois jeunes hommes ont également été mis en examen.

Des migrants attaqués à la barre de fer. Si les agressions remontent à mai et juin 2015, une femme, âgée d'une vingtaine d'années, a été mise en examen, puis écrouée, souçonnée d'avoir participé à ces violences. Les agressions avaient eu lieu aux abords de la "jungle de Calais".

Dans le même dossier, trois jeunes hommes, âgés de 20 à 30 ans, ont également été mis en examen, mardi, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Boulogne-sur-Mer. Ils ont reconnu avoir participé à une dizaine d'agressions.

"Violences en réunion avec armes"

Ces quatre personnes ont toutes été mises en examen pour "violences en réunion avec armes" ayant entrainé "des incapacités de travail de zéro jour à plus de huit jours", et trois d'entre elles, dont la femme, ont été placées en détention provisoire.                

La femme a également été mise en examen pour "non assistance à personne en danger", a précisé vendredi le parquet. Selon une source policière citée par La voix du nord, qui a révélé l'information, elle n'avait "pas de rôle actif" et se trouvait dans la voiture des agresseurs durant les faits.      

D'autres agressions          

La police judiciaire de Lille avait interpellé ces quatre personnes lundi, suite à une enquête longue de plusieurs mois. Selon une source policière, citée par La Voix du Nord, "il s’agit d’individus natifs de la région, et qui expriment par la violence ce qu’ils considèrent comme une forme d’envahissement de leur pays d’origine".

Le 11 février, sept hommes avaient également été interpellés en flagrant délit à Loon-plage (Nord), près de Dunkerque, après avoir agressé cinq migrants, des Kurdes irakiens. Ils avaient été mis en examen et placés en détention provisoire. Ils pourraient faire partie d'une mouvance d'extrême-droite.

M6 infos via Yahoo

Envoyé spécial : Génération salafiste


Envoyé spécial. Génération salafiste

Refus de la mixité, port du niqab, qui pratique le salafisme en France ? Document sur ce courant de l’islam ultra-orthodoxe et minoritaire. Est-il compatible avec les valeurs de la République ?

Source : Fdesouche

 

Immigration : quid de l’Arabie Saoudite, du Qatar, du Koweit et des autres ?

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Nous avons écouté ce matin le géopolitologue Bernard Guéta développer à nouveau avec sa sûreté habituelle qu’il serait catastrophique pour la Turquie et pour l’Europe que cette dernière n’accueille pas massivement les migrants selon l’admirable politique de madame Merkel.

Pas un instant Bernard Guéta n’a abordé la nature islamique de cette tsunamigration venant de « l’oumma » islamique en Europe avec tout ce que cela entraînera inéluctablement à terme de syro-libanisation tragique de nos nations.

« Trotskyste un jour, trotskyste toujours , M. Guéta voit sans doute avec satisfaction dans l’immigration islamique un beau facteur de « déconstruction » nationale et civilisationnelle.

Il ne lui vient pas à l’idée que le simple bon sens voudrait que les réfugiés musulmans soient accueillis peut-être ailleurs en effet que dans la Turquie de M. Erdogan qui n’a de cesse, en bon islamiste ottoman conquérant, de les pousser en Europe afin de créer de nouveaux Kosovos.

L’Arabie saoudite et les autres riches États musulmans du Golfe persique, scandaleusement, n’en accueillent aucun ! Qu’en est-il donc des beaux principes de générosité et de solidarité au sein de l’oumma ?  

Chrétienté-Solidarité, qui pour sa part assure modestement la survie matérielle de plus de quatre cents enfants chrétiens d’Orient, orphelins ou sinistrés, pense que les migrants musulmans seront plus heureux de trouver refuge dans des pays proches du leur, de même culture, de mêmes mœurs et de langue voisine.

L’immigrationnisme idéologique est ce qu’il y a de plus contraire à la mise en œuvre d’une charité authentique qui ne peut être détournée du souci de la paix. Il est criminellement irresponsable. 

Bernard Anthony

Le Blog de Bernard Anthony

L'Allemagne ne sait pas où se trouvent plus de 130.000 migrants enregistrés

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Le gouvernement allemand a indiqué vendredi 26 février que les autorités ne savaient pas où se trouvent 13% du million de migrants enregistrés en 2015, ceux-ci ne s'étant pas présentés dans les foyers où ils devaient se rendre.


"Les causes possibles (de l'absence de ces migrants) pourraient être par exemple un retour dans le pays d'origine, la poursuite du voyage vers un autre pays ou bien une plongée dans l'illégalité", explique le gouvernement dans une réponse écrite à des parlementaires du parti de gauche Die Linke et transmise à l'AFP par cette formation.


Une autre possibilité est l’existence de doublons dans l'enregistrement EASY qui comptabilise les migrants souhaitant déposer une demande d'asile et sur la base duquel il leur est attribué un foyer dans l'une des régions allemandes. Ce système a enregistré 1,09 million de migrants en 2015, un record en Allemagne et en Europe.


Dépassées par cet afflux, les autorités ont adopté fin 2015 et début 2016 une série de mesures pour accélérer l'examen des demandes d'asile et les expulsions mais aussi donner aux autorités une meilleure vision d'ensemble.


L'Allemagne vient ainsi de créer son premier fichier centralisant les identités de tous les migrants enregistrés et tous doivent désormais recevoir une pièce d'identité appelée "preuve d'arrivée".


Merkel de plus en plus critiquée


Par ailleurs, la chambre basse du Parlement allemand a adopté jeudi une loi prévoyant entre autres que tout migrant ne se présentant pas dans le foyer qui lui a été attribué ne pourra pas bénéficier de toutes les aides sociales.


Enfin, certaines catégories de demandeurs d'asile, notamment ceux dont la demande n'a que peu de chance d'aboutir car originaires de pays dits "sûrs", auront une obligation de résidence.


"Nous avons pris les mesures qui s'attaquent justement à ce phénomène (des migrants dont les autorités perdent la trace) et elles vont à l'avenir participer à la réduction de ce phénomène", a souligné le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Johannes Dimroth, lors d'un point presse régulier.


"Il est encore trop tôt (...) pour évaluer les effets", a-t-il souligné, alors que certaines de ces mesures viennent seulement d'entrer en vigueur et d'autres ne le sont pas encore. Il a par ailleurs exclu de limiter la liberté de circulation des migrants pour juguler le problème. "Il n'y a pas en Allemagne de bases légales pour priver ou limiter la liberté des" demandeurs d'asile, a-t-il souligné.
La chancelière allemande Angela Merkel est de plus en plus critiquée dans son pays pour avoir ouvert grand les portes de son pays aux réfugiés.

Le Huffpost

La mosquée de Fréjus échappe à la démolition, lourde amende pour ses dirigeants

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La mosquée de Fréjus (Var) ne sera pas détruite. Saisi pour statuer sur la validité du permis de construire de ce lieu de culte, dont les travaux ont été achevés en 2015, le tribunal correctionnel de Draguignan a rejeté, vendredi 26 février, la demande de démolition formulée par la mairie FN de Fréjus.

Fin novembre 2015, le parquet avait pourtant requis la démolition dans un délai de six mois de cette mosquée de 1 500 m² et pouvant accueillir 700 fidèles. Il estimait que l'association qui gère la mosquée n'était pas propriétaire de l'intégralité des terrains au moment de la construction du bâtiment. "C'est un jugement particulièrement laxiste", a réagi David Rachline, le maire de la ville. "S'il s'était agi de n'importe quel citoyen, sa maison aurait été rasée", a affirmé l'élu frontiste.

"Je suis content qu'on ne détruise pas la mosquée"

Les juges ont en revanche infligé une amende aux dirigeants de la mosquée. Le tribunal a condamné l'association El Fath, qui gère la mosquée, à 60 000 euros d'amende pour avoir construit avec un permis périmé et au mépris de certaines dispositions sur les zones inondables. Son président, Driss Maaoroufi, a écopé lui de 15 000 euros d'amende. "Je suis content qu'on ne détruise pas la mosquée", a-t-il dit.

L'ancien maire UMP de Fréjus, Elie Brun, a également été condamné à une peine de 18 mois de prison avec sursis et 100 000 euros d'amende pour délivrance frauduleuse du permis de construire. Il a également interdiction d'exercer des fonctions publiques pendant 5 ans. Le feuilleton judiciaire n'est pas terminé car une procédure est encore en cours devant le tribunal administratif.

Source : France tv info

Résumé de la situation sur le front de l'immigration et de l'Union Européenne par Boris Le Lay

Je résume la situation actuelle au niveau des états-membres de l'UE :

- La Norvège va passer une loi en prévision de "l'effondrement de la Suède" sous le poids de l'immigration (Premier ministre).

- Le groupe de Visegrad (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie) a annoncé qu'il allait aider la Macédoine et la Bulgarie à construire leur mur anti-migrants à la frontière grecque.

- 10 pays se sont réunis à Vienne hier pour organiser la fermeture des frontières des Balkans. Bruxelles a protesté, en vain.

- L'Angleterre a obtenu quelques concessions en vue de son référendum. Ce qui a déclenché un "effet domino" : tout le monde veut la même chose, cad, ne plus écouter Bruxelles.

- La Suisse, qui a voté en 2014 pour établir des quotas d'immigrés par an, a été menacée par Bruxelles si elle appliquait cette décision démocratiquement décidée. Bruxelles a menacé Berne, disant que la Suisse ne devait pas s'imaginer avoir le statut anglais (?!).

- La Belgique a commencé à renvoyer des migrants vers la France aujourd'hui.

- La Hongrie va tenir un référendum contre la décision arbitaire de Bruxelles et Berlin d'imposer des migrants dans tous les pays européens.

Logiquement, on peut dire que le démantèlement de Schengen est fait. La suite, c'est que les acteurs internationaux vont logiquement se dire que l'UE n'existe plus que sur le papier. Moyennant quoi, la cohésion économique de l'Eurozone va être remise en cause. L'Euro va commencer à tanguer dès mars.

La Grèce va s'effondrer sous le flot d'immigrants, ce qu'Erdogan va encourager massivement.

Attention, la désintégration des pays européens ne fait que commencer.

Boris Le Lay

Source : Imposture - Bibliothèque de combat

L'UE tente de mettre fin à la cacophonie face à l'afflux de migrants

Les pays de l’UE étaient réunis jeudi à Bruxelles dans l’espoir de mettre fin à un engrenage de décisions isolées face à l’afflux de migrants, notamment sur la route des Balkans menacée d’une « crise humanitaire ».

« Les initiatives isolées ne mènent nulle part », a lancé le commissaire européen en charge du dossier, Dimitris Avramopoulos, à son arrivée à la réunion des ministres de l’Intérieur des 28. « L’unité de l’Union et des vies humaines sont en jeu », a insisté M. Avramopoulos.

Une réunion critiquée, en comité plus restreint et sans la Grèce, avait eu lieu la veille, à l’initiative de l’Autriche, avec des pays des Balkans. Deux des participants, la Serbie et la Macédoine, non membres de l’UE, ont également été conviés jeudi à Bruxelles.

Comme l’Autriche ou la Slovénie (membres de l’UE et de l’espace Schengen), ils ont été invités à expliquer le filtrage décrié des migrants qu’ils appliquent désormais à leurs frontières et qui a provoqué un engorgement en Grèce.

« Il est bon aujourd’hui que tout le monde soit autour de la table », a souligné le ministre néerlandais de l’Immigration, Klaas Dijkhoff, dont le pays assure la présidence tournante du conseil de l’UE.

L’enjeu d’une réponse collective est d’autant plus fort que la menace d’une « crise humanitaire » plane désormais sur certains pays, en particulier la Grèce, insistent la présidence comme la Commission.

– Dialoguer avec la Turquie –

Les 28, qui continuent de voir dans la Turquie l’une des principales clés de la crise en cours, devaient accueillir aussi à la mi-journée le vice-ministre de l’Intérieur turc, Sebahattin Öztürk.

L’objectif est de faire le point sur les efforts d’Ankara pour freiner les flux de migrants vers l’UE, avant un nouveau sommet qui sera consacré à la question le 7 mars à Bruxelles.

« C’est une priorité », a martelé le ministre allemand de l’Intérieur Thomas de Maizière.

Malgré les engagements de la Turquie, ces flux restent « beaucoup trop élevés », ne cessent de répéter les dirigeants européens. Depuis début janvier, plus de 102.000 migrants ont ainsi gagné la Grèce par la Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrants (OIM).

La Grèce est d’autant plus débordée que le plan de répartition des demandeurs d’asile arrivés sur son sol vers d’autres pays de l’UE peine toujours à démarrer. Moins de 600 réfugiés ont été répartis depuis l’Italie et la Grèce ces derniers mois, sur les 160.000 qui doivent l’être en deux ans.

Dans ce contexte, la décision de la Macédoine de refuser le passage aux Afghans à sa frontière avec la Grèce, et d’exiger des Syriens et Irakiens des papiers d’identité, a alourdi la tâche des Grecs.

« La Grèce n’acceptera pas de devenir le Liban de l’Europe », a averti le ministre grec Yannis Mouzalas. Les réfugiés syriens représentent désormais le quart de la population libanaise de quatre millions d’habitants.

– La Grèce en accusation –

La Commission devrait une nouvelle fois appeler les Etats membres à prendre des mesures concertées, et à mettre fin à la politique du « laisser passer » des migrants.

L’Autriche, qui a instauré un quota journalier de 3.200 migrants en transit à laisser passer sur son territoire, est la cible des critiques de Bruxelles.

Selon la Commission, les pays européens doivent refuser l’entrée aux migrants économiques. En revanche, tous les demandeurs d’asile se présentant à la frontière d’un pays doivent pouvoir accéder aux procédures d’asile.

L’Autriche s’est défendue en expliquant avoir voulu, avec d’autres pays des Balkans, envoyer « un signal clair » sur sa volonté de « réduire le flux de migrants » se dirigeant vers le nord depuis la Grèce.

Si la Grèce n’est pas capable de protéger la frontière extérieure de l’UE, « peut-elle encore être une frontière extérieure de l’espace Schengen »?, a lancé la ministre autrichienne Johanna Mikl-Leitner, évoquant à nouveau une exclusion de la Grèce de l’espace européen de libre-circulation, pourtant juridiquement impossible.

La nécessité d’une meilleure coordination entre pays européens est loin de ne concerner que la route des Balkans.

Le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve a ainsi qualifié jeudi d' »étrange » la décision de la Belgique de rétablir des contrôles à sa frontière avec la France, de crainte d’un éventuel afflux de migrants en provenance de la « jungle » de Calais (nord de la France).

M. Cazeneuve a notamment regretté que Paris n’ait pas été prévenu à l’avance.

Source : Boulevard Voltaire

Migrants : vives tensions entre Grèce et Autriche

De vives tensions entre la Grèce et l’Autriche ont empoisonné jeudi la rencontre à Bruxelles des pays de l’UE censée mettre fin à la cacophonie face à l’afflux de migrants qui risque de déclencher une crise humanitaire de grande ampleur.

Montrée du doigt par plusieurs pays emmenés par l’Autriche qui lui reprochent de ne pas suffisamment protéger la frontière extérieure de l’UE par laquelle de nombreux réfugiés entrent sur son territoire, la Grèce a vertement répliqué au cours de cette réunion des ministres de l’Intérieur des 28.

« L’Autriche nous traite comme des ennemis », s’est exclamé le ministre grec Yannis Mouzalas devant ses homologues, selon une source diplomatique, tandis que, dans le même temps, Athènes rappelait son ambassadrice à Vienne pour des « consultations ».

« La Grèce n’acceptera pas de devenir le Liban de l’Europe », a averti M. Mouzalas, les réfugiés syriens représentant désormais le quart de la population du Pays du Cèdre.

La Grèce se sent en effet de plus en plus livrée à elle-même. Depuis début janvier, plus de 102.000 migrants ont ainsi gagné ce pays par la Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrants (OIM).

Elle est d’autant plus débordée que le plan de répartition des demandeurs d’asile arrivés sur son sol dans d’autres pays de l’UE peine toujours à être mis en oeuvre. Moins de 600 réfugiés ont été « relocalisés » à partir de l’Italie et de la Grèce ces derniers mois, sur les 160.000 qui doivent l’être en deux ans.

Et la décision de la Macédoine de refuser le passage aux Afghans à sa frontière avec la Grèce, et d’exiger des Syriens et Irakiens des papiers d’identité, a alourdi la tâche des Grecs et plongé dans le désarroi des migrants déboussolés.

Jeudi, des centaines d’entre eux marchaient sur les routes grecques en direction de la Macédoine, les autorités grecques limitant le nombre des autocars pouvant s’y rendre afin de ne pas aggraver l’encombrement du poste frontalier d’Idomeni.

– Crise humanitaire imminente –

L’Autriche et la Slovénie, comme la Macédoine et la Serbie également conviées bien que ne faisant pas partie de l’UE, ont été invitées jeudi à expliquer le filtrage décrié des migrants qu’elles appliquent désormais, à l’origine de l’engorgement en Grèce.

« Nous ne pouvons pas continuer à agir par des actions unilatérales, bilatérales ou trilatérales », a insisté le commissaire européen chargé du dossier, Dimitris Avramopoulos.

Celui-ci a une nouvelle fois appelé les Etats membres à mettre fin à la politique du « laisser-passer », consistant à laisser transiter des migrants vers d’autres pays sans les accueillir ni les refouler.

« La possibilité d’une crise humanitaire de grande ampleur est là, très réelle, très proche », a-t-il prévenu.

L’Autriche, qui a instauré un quota quotidien de demandes d’asile acceptées ainsi que de migrants autorisés à traverser son territoire (3.200), est particulièrement visée par les critiques de Bruxelles.

Vienne s’est défendue en expliquant qu’il fallait envoyer « un signal clair » pour « réduire le flux des migrants » se dirigeant vers le nord à partir de la Grèce.

Plusieurs pays de l’Est ont également critiqué Athènes. « Le ministre français leur a demandé de cesser d’accabler la Grèce, et de plutôt l’aider », a précisé une source diplomatique.

Les 28, qui continuent de voir dans la collaboration de Turquie l’une des principales clés en vue d’une sortie de crise, ont aussi accueilli jeudi le vice-ministre de l’Intérieur turc, Sebahattin Öztürk.

L’objectif était de faire le point sur les efforts d’Ankara pour freiner l’arrivée de migrants dans l’UE.

L’Otan a de son côté défini les modalités opérationnelles de sa mission navale contre le trafic de migrants au départ des côtes turques.

Malgré les engagements de la Turquie, les flux restent « beaucoup trop élevés », ne cessent de répéter les dirigeants européens avant un nouveau sommet avec les Turcs le 7 mars à Bruxelles.

« Dans les dix prochains jours, il nous faut des résultats clairs et tangibles sur le terrain », a plaidé M. Avramopoulos. « Autrement il y a un risque que le système s’effondre complètement ».

Les divisions ont d’ailleurs débordé hors du cadre de la seule route migratoire des Balkans.

La France a ainsi qualifié jeudi d' »étrange » la décision de la Belgique de rétablir des contrôles à leur frontière commune, de crainte d’un éventuel afflux de migrants en provenance de la « jungle » de Calais (nord de la France), dont la justice française a validé jeudi l’ordre d’évacuation partielle.

Source : Boulevard Voltaire

L’Europe sous le flot de l’immigration

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Il ne se passe plus une journée sans que de nouveaux problèmes d’immigration surgissent en Europe.

En Allemagne des badauds applaudissent devant un incendie qui ravage un centre pour réfugiés. En France, le camp d’immigrants à Calais est démantelé. La Hongrie va tenir un référendum sur les quotas de réfugiés. Même l’Allemagne veut moins de réfugiés. La Grèce menace de bloquer les décisions du Conseil de l’Europe si les pays plus au nord continuent à freiner l’accueil des réfugiés. Les dirigeants européens semblent de plus en plus dépassés par les flots d’immigrants qui arrivent de partout.

1. D’où proviennent les réfugiés et les immigrants ?

Selon les chiffres les plus récents, les réfugiés provenaient majoritairement de neuf pays: la Syrie (33 %), l’Irak (14 %), l’Afghanistan (11 %), l’Albanie (6 %), le Nigeria (3 %), le Bangladesh (2 %), la Somalie (1 %) et la Russie (1 %). Si la tendance se maintient, l’Europe devrait recevoir plus de 1, 6 millions de réfugiés en 2016. En plus de ces réfugiés, l’Europe accueille 22 millions d’immigrants non européens. Ces derniers proviennent à 57 % de pays européens non membres de l’Union (surtout l’Albanie, la Russie et l’Ukraine). Ils sont aussi Africains à 25 %, Asiatiques à 21% et des Amériques à 15 %. Il faut enfin ajouter à cette liste les illégaux, qui ne sont ni réfugiés ni immigrants. Chaque année, au moins 400 000 nouveaux illégaux entreraient en Europe.

2. Pourquoi y a-t-il tant de réactions contre les réfugiés ?

L’Europe compte 509 millions d’habitants. En additionnant les réfugiés, les illégaux et les immigrants européens et non européens, on découvre que les migrants forment tout au plus 8 % de la population européenne. Les réactions anti-immigrants s’expliquent donc par d’autres facteurs que leur nombre. Par exemple, le chômage demeure très élevé en Europe, en particulier chez les jeunes. Or, les migrants sont en majorité des jeunes. Les migrants ont tendance à s’agglomérer au même endroit, ce qui donne l’illusion d’un grand nombre d’entre eux. Les migrants sont souvent prêts à accepter des conditions de travail en deçà des normes, ce que les autres travailleurs leur reprochent. Enfin, beaucoup de migrants possèdent une culture politique et religieuse opposée à celle des Européens.

3. Que redoute la Grèce ?

La Grèce possède 11 millions d’habitants. Si jamais les autres pays européens commencent à bloquer les migrants, ceux-ci pourraient demeurer sur le territoire grec. Au rythme où ils arrivent, la Grèce pourrait rapidement se retrouver avec quelques millions de migrants. Cette situation serait invivable économiquement. Elle serait aussi politiquement explosive.

4. Est-il possible d’arrêter le flot de réfugiés et d’immigrants ?

Il n’existe pas de solution simple. La première solution comporte une série de mesures de longue haleine. Il faut commencer par vaincre l’État islamique et ses alliés. Ensuite, il faut reconstruire l’Irak et la Syrie. Enfin, il faut lutter contre la pauvreté en Afrique et contre la surpopulation. L’autre solution, humanitairement indéfendable, consiste à fermer les frontières avec l’armée.

5. Que va-t-il se produire si les réfugiés et les immigrants continuent à entrer en grand nombre ?

Les migrants de toute nature seront de moins en moins bien reçus. Ceci risque de transformer les agglomérations de migrants en véritables ghettos. En attendant que le flot de migrants diminue, seules une nouvelle prospérité européenne et des politiques d’assimilation fortes pourraient résoudre le problème. Mais les dirigeants européens actuels semblent incapables de s’entendre sur les mesures requises.

Loïc Tassé

Source : Journal De Montréal

L’élue « Les Républicains » voilée, la République violée

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Pour que l’affaire ne sorte que ces jours ci, il en aura fallu, des renoncements et des silences lourds de lâcheté.

À Argenteuil, dans le trombinoscope de la mairie trône la trombine d’une élue voilée.

Les féministes ont libéré le corps de la femme à coups de mini-jupe et de droit à en disposer librement jusqu’à la nausée, et voilà qu’aujourd’hui, dans l’indifférence totale, une élue – les Républicains -, censée représenter la République, s’affiche les cheveux masqués par un voile.

L’État s’est séparé de l’Église en 1905 et l’élue d’Argenteuil, par ce signe, revendique son appartenance à une religion.

C’est Amine El Khatmi, adjoint au maire d’Avignon et membre du Conseil national du PS, qui, sur Twitter, a fait part de sa consternation devant la photo de Fatiha Bacha voilée, rappelant le principe de laïcité. Attaqué dans son propre camp, il raconte « qu’il y a un vrai malaise, deux positions irréconciliables : les tenants d’une interprétation stricte de la laïcité et ceux qui tiennent une position plus cool. […] Il y a une vraie gêne à ce sujet, par peur d’être traité d’islamophobe. » 

Car c’est la crainte de l’armée d’autruches qui nous gouverne, la menace ultime qui tétanise notre monde bien-pensant jusqu’à la paralysie intellectuelle : la peur panique d’être étiqueté raciste et, pire encore, islamophobe.

L’ancien maire PS d’Argenteuil, Philippe Doucet, estime même que « cette élue a été choisie par la droite dans le but de lancer un signal aux Argenteuillais musulmans en faisant du communautarisme ». Là où il y a de la gêne…

Cependant, cette maire adjointe d’Argenteuil n’enfreint, ainsi, aucune loi de la République. En matière de signe religieux, aucun texte ne s’adresse, en effet, aux élus. Une circulaire du 13 avril 2007 soumet les agents publics à « un devoir de stricte neutralité ». Or, les élus ne sont pas des agents de l’État. Aux yeux de la loi, ils sont autorisés à afficher leurs croyances religieuses.

Un débat aura lieu en France pour savoir si une mère voilée peut accompagner une sortie scolaire, mais une élue voilée peut, en toute légalité, afficher son appartenance à l’islam durant son mandat.

La République française est donc violée et soumise, voir soumise et consentante, le viol s’effectuant même en réunion : tous partis politiques dirigeants confondus depuis 30 ans.

Les féministes ravalent leurs grands principes devant les pratiques d’un islam galopant peu enclin à encourager l’émancipation de la femme. Les politiques pratiquent le racolage communautariste, au mieux, la lâcheté érigée en principe, souvent.

Et la France s’enfonce mollement dans la soumission. De celle décrite par Houellebecq dans une France qui voit élire un président islamiste sans que les Français ne réagissent. Viendra ensuite l’application de la loi islamique. Inch’allah.

Anne-Sophie Désir

Source : Boulevard Voltaire

Informations sur les viols à Cologne : plainte contre... la police

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La police de Cologne a lancé une enquête pour trouver quels sont les policiers qui ont livré des informations à la presse sur les agressions sexuelles dissimulées par les autorités. Alors qu’au lendemain de ces agressions, les forces de police avaient déclaré que la nuit s’était bien passée, puis avaient tenté de minimiser le rôle des immigrés dans la vague de violences sexuelles du Nouvel An, des fuites — comprenant un document interne secret détaillant l’ampleur des crimes et une interview d’un officier supérieur — avaient révélé comment la police avait reçu des centaines d’appels dans la nuit et son impuissance à y faire face.


Le procureur du tribunal Cologne a confirmé que la police rassemblait des éléments quant à la source de la fuite qui a donné lieu à une plainte émanant du ministre de l’Intérieur de la région. Cette affaire avait conduit l’ancien chef de police Wolfgang Albers à prendre sa retraite après que ses déclarations mensongères furent mises en défaut par ces fuites. Une enquête publique est maintenant lancée en Rhénanie du Nord-Westphalie sur ces incidents.


Pour le moment, face aux 1000 plaintes enregistrées, seulement 73 individus ont été mis en examen pour ces agressions de masse, dont beaucoup sont apparemment d’Afrique du Nord. Parmi ceux-ci, 15 sont maintenus en détention alors que l’enquête se poursuit.


Le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Ralf Jager, a déclaré que les autorités fédérales avaient convenu de ne plus envoyer de Marocains dans des centres de réfugiés de la région. Il a ajouté que le nombre d’arrivées de personnes du Maghreb a fortement augmenté, mais bon nombre de ces migrants « ne sont pas admissibles comme réfugiés et par conséquent, ne reçoivent pas d’asile ».


« Les immigrants d’Afrique du Nord sont surreprésentés dans la population délinquante du pays », a déclaré Ralf Jäger. « Les suspects sont souvent de jeunes hommes voyageant seuls. »


Selon les données provinciales, 6 444 Marocains et 6 790 Algériens ont cherché asile en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en 2015, soit une augmentation de 300 %. 80 % des immigrants marocains vivent dans cette région, principalement dans les deux grandes villes de Cologne et Düsseldorf. Mais ils ont peu de chances d’obtenir l’asile en Allemagne, car ils ne fuient pas la guerre ou un conflit dans leur pays d’origine.

Source : Le salon Beige

« Rome sera conquise ! », affirme un imam au Canada

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Lors son prêche du vendredi 16 février dans une mosquée d’Edmonton (Alberta, Canada), l’imam Shaban Sherif Mady a déclaré :

« Constantinople sera conquise. C’est le prophète Mahomet qui l’a dit. Et qu’est-ce que c’était Constantinople ? La même chose que le Vatican aujourd’hui : c’était la capitale de tous les chrétiens du monde. Elle a été conquise et est devenue la Turquie. La Sainte Sophie est devenue une grande mosquée où l’on rend un culte à Allah. Les prophéties de Mahomet se sont réalisées. Attendez le avec impatience, car le prophète Mahomet a dit que Rome serait conquise ! Et elle sera conquise ! »

Source : christianophobie.fr

Une vingtaine de tombes vandalisées à Abbeville

Une quarantaine d’objets funéraires cassés, voire brisés, ont été dénombrés : essentiellement des plaques, dont celles d’anciens combattants d’Algérie, mais aussi des vases et même quelques croix. Au total, 23 sépultures auraient été vandalisées.


Une enquête de police a été ouverte. Les familles concernées sont invitées à porter plainte.

Source : Le salon Beige

La mairie LR d’Aulnay-sous-Bois a prêté une salle à des salafistes

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700 personnes ont participé à une conférence organisée au gymnase de la Rose des vents, organisée par l'Espérance musulmane de la jeunesse française (EMJF), avec des prédicateurs connus pour leurs positions radicales... Cette salle municipale a été prêté gracieusement par Bruno Beschizza, le maire Les Républicains.


Nader Abou Anas est un prédicateur assez peu progressiste, qui déclare par exemple :


"La femme, elle ne sort de chez elle que par la permission de son mari". "Qu'elle sache que les anges la maudissent toute la nuit dans le cas où elle se refuse à son mari sans raison valable."


Il explique qu'il est "haram" (interdit par l'islam) de serrer la main aux femmes.
Eric Younous, de son côté, estime que le shabbat était "une punition qu'Allah a infligée aux juifs".


Enfin, un certain Mehdi Bouzid, qui exerce à la mosquée de la Fraternité d'Aubervilliers, perquisitionnée quelques jours après les attentats du 13 novembre, était un proche de Cherif Kouachi, l'un des deux auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo. Selon la préfecture de Seine-Saint-Denis, il est "un prosélyte radical" qui "tient des discours pro-djihadistes". Mehdi Bouzid a fréquenté la filière des Buttes-Chaumont, qui acheminait des djihadistes en Irak.

Source : Le salon Beige

Dans Rivarol de cette semaine : un grand entretien avec Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

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Rivarol : Pourriez-vous expliquer pour quel motif vous avez été placé en garde à vue pendant 6 heures vendredi 19 février ?

Thomas Joly : J’étais convoqué à la gendarmerie de ma commune de résidence vendredi dernier pour être entendu à propos d'une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur ». On m’a signifié ma garde à vue dès mon arrivée. Il s'agissait en fait d'une procédure engagée par l'OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication) visant l'utilisation de deux photos pour illustrer des articles de mon blog (www.thomasjoly.fr) consacrés aux atrocités commises par DAECH et au meurtre par décapitation commis par l'islamiste Yassin Salhi en juin 2015. Les gendarmes qui m’ont reçu ont été extrêmement corrects et m’ont confié que ma garde à vue avait été réclamée par le Parquet. Lors de mon audition, j’ai signifié que je n’étais ni l’auteur de ces photos (trouvables en moins d’une minute sur Internet), ni l’auteur des crimes qu’elles illustraient. J’ai également déclaré que je n’avais fait qu’user de mon droit à la libre expression de mes opinions politiques tout en rappelant que la diffusion de ces photos n’avait pour objectif que d’accompagner en images des articles dénonçant la barbarie islamiste. Enfin, j’ai précisé que la diffusion jusqu’à la nausée de la photo d’un enfant mort échoué sur une plage turque n’avait semble-t-il pas scandalisé l’OCLCTIC ni le Parquet aux ordres de l’engeance socialiste, alors qu’elle était bien plus « accessible à un mineur » que celles que j’ai diffusées.

Cette minable petite intimidation politico-judiciaire est évidemment sans effet sur ma détermination à dire la vérité aux Français sur le danger islamiste dans un pays ravagé par la colonisation migratoire et dirigé par des irresponsables.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, ayant diffusé ces mêmes photos sur son compte Twitter, il sera intéressant de voir si elle subit le même traitement que moi.

Depuis l’instauration de l’état d’urgence, le Parti de la France semble être une cible privilégiée du gouvernement socialiste puisque certains de nos militants ont subi des perquisitions, d’autres une interdiction d’exercer dans le domaine de la sécurité (entrainant la perte de leur emploi). Des pressions ont aussi été exercées sur les établissements qui accueillaient nos réunions et nos activités sont étroitement surveillées par les services de renseignement.

Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités.

Toujours vendredi 19 février, des colleurs d’affiches du Parti de la France étaient attaqués à Marseille par des nervis d’extrême-gauche ? Que s’est-il passé ?

En effet, quatre de nos militants collaient des affiches du Parti de la France dans un quartier de Marseille lorsqu’ils ont été pris à parti par une bonne douzaine de voyous se prétendant « antifascistes », armés de battes de base-ball et de barres de fer. Les militants du PdF étant imperméables à la dévirilisation qui touche hélas une bonne partie de la jeunesse française, ceux-ci ont courageusement fait face à leurs agresseurs qui ont détalé comme des lapins à la première charge, ne laissant sur place que leurs militantes ! Cette anecdote est tout à fait significative de la lâcheté de ces individus qui, même en surnombre, prennent lamentablement la fuite dès qu’ils rencontrent la moindre résistance. L’adage « la rue appartient à ceux qui y descendent » prend ici tout son sens et doit être médité par tous les nationalistes qui se contentent de « militer » sur les réseaux sociaux.

Le Parti de la France organise son IIIe Congrès le 7 mai prochain, pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

Les statuts de notre mouvement prévoient le renouvellement de nos instances dirigeantes tous les trois ans, de ce fait le Parti de la France organise son IIIe Congrès qui se déroulera à Paris. Nous demandons la mobilisation de nos militants de la France entière pour faire de cette journée une réussite politique qui lancera la campagne du PdF en vue des échéances électorales de 2017.

Le matin, l’entrée sera limitée aux adhérents du Parti de la France qui éliront les membres du Conseil National qui ensuite élira le Bureau Politique. L’élection du Président du Parti de la France par les adhérents sera également effectuée. Carl Lang est bien sûr candidat à sa succession.

L’après-midi, le Congrès sera ouvert au public et un certain nombre de cadres du Parti de la France prendront la parole pour des interventions thématiques. Ce sera l’occasion de mettre en avant de nouvelles têtes, notamment des jeunes, symboles du renouvellement de nos cadres et de nos militants. Martine Lehideux et Roger Holeindre, respectivement vice-présidente et Président d’honneur du Parti de la France interviendront également, tout comme des personnalités extérieures au PdF dont nous divulguerons l’identité dans quelques temps. Enfin, le Président du Parti de la France clôturera la journée.

Ce congrès est un événement important dans la vie de notre mouvement politique qui, depuis 2008, a su se structurer, recruter, s’organiser et perdurer avec des moyens dérisoires grâce au travail et au dévouement de ses militants.

Dès sa création, Carl Lang avait annoncé que le Parti de la France ne serait pas un feu de paille et qu’il n’avait pas pour objectif de retomber dans les travers d’un Front National devenu une écurie électorale au service d’un clan. Le PdF entend incarner la droite nationale de conviction dont le devoir est de dire la vérité aux Français. Nous sommes la structure d’accueil naturelle de tous les déçus d’un Front National dévoyé, du souverainisme trop tiède, de la fausse droite dite « républicaine », du groupuscularisme stérile et de tous ceux qui souhaitent une véritable alternative nationale, populaire et sociale.

Le lendemain de notre Congrès, le dimanche 8 mai, nous participerons comme chaque année au défilé en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc.

Que pensez-vous de l’évolution du Front National et de la mise à l’écart de son fondateur, Jean-Marie Le Pen ?

Le Front National d’aujourd’hui, aux mains d’une parvenue sans foi ni loi et d’un inverti socialo-gaulliste, n’a évidemment plus rien à voir avec le grand mouvement de résistance nationale que nous avons connu auparavant. Ses dirigeants sont prêts à tout renier pour obtenir quelques miettes de pouvoir et, au mieux, gérer le déclin et la décadence de notre Nation, comme le font tous ceux qui nous gouvernent depuis des décennies. La dédiabolisation voulue de manière obsessionnelle par Marine Le Pen s’est révélée être un échec total lors des dernières élections régionales. Dans un contexte on-ne-peut plus favorable (attentats islamistes, crise des migrants, ras-le-bol anti-Hollande, etc), le FN version Philippot-mariniste a subi, lors de l’entre-deux tours, le même traitement que Jean-Marie Le Pen en 2002 après sa qualification au 2nd tour des élections présidentielles, et n’a remporté aucune région. C'est-à-dire que toutes les reptations, les reniements, les courbettes médiatiques et maçonniques, l’épuration de tous les éléments sains de la direction du parti, n’ont servi strictement à rien. Ni même l’ignoble trahison infligée à Jean-Marie Le Pen de la part de celle à qui il a tout donné, dans un manque de lucidité stupéfiant, alors même que ses plus fidèles compagnons l’avaient mis en garde depuis bien longtemps. Après avoir tué le père, la Présidente du Front National n’hésitera plus à couper aucune tête, y compris celle de sa nièce Marion qui, si elle prend trop d’importance et gagne encore en popularité, subira elle-aussi les foudres hystériques de sa tante. En outre, il est aussi possible que l’ambitieux Florian Philippot profite des ennuis judiciaires de Madame Le Pen pour organiser son éviction si elle se retrouvait mise en examen puis inéligible. Tout est possible au sein de ce panier de crabes, de ce cloaque pestilentiel qui n’a plus rien à envier au PS ou à la fausse droite.

Les patriotes lucides doivent faire leur deuil du Front National, arrêter de se bercer d’illusions électorales et rejoindre les véritables forces de résistance afin, non pas de participer au Système comme le désirent Madame Le Pen et ses porte-cotons, mais de l’abattre pour entreprendre la reconquête nationale et identitaire de la France éternelle.

Propos recueillis par Jérôme Bourbon

Source : Synthèse Nationale

Migrants : le flux s'intensifie, l'Europe se disloque

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L'Allemagne lance un ultimatum à la Turquie, lui laissant dix jours pour réduire le flux de migrants traversant la mer Égée.

Fin de partie. Berlin laisse dix jours à la Turquie pour prouver sa bonne foi en réduisant «considérablement»l'exode de réfugiés et de migrants traversant la mer Égée, faute de quoi l'Europe ne pourrait plus échapper à la fermeture en série de frontières nationales.


L'ultimatum, lancé par le ministre allemand de l'Intérieur, Thomas de Maizière, vise autant Ankara qu'Athènes et les autres capitales, celles qui ont jusqu'ici laissé le flux des nouveaux arrivants remonter jusqu'à la République fédérale. Le calendrier, lui, ne doit rien au hasard: dans dix jours précisément, un sommet UE-Turquie tirera le bilan d'un «pacte» qui n'a jusqu'ici suscité que des frustrations, des deux côtés. Après une brève accalmie, les arrivées repartent à la hausse dans les îles grecques, 20.000 par semaine, non loin des records de l'automne.


Un scénario catastrophe


Angela Merkel est aussi pressée par une échéance intérieure: moins d'une semaine plus tard, le 13 mars, son parti chrétien-démocrate risque de perdre des plumes au profit de l'extrême droite lors de trois élections régionales cruciales, Bade-Wurtemberg, Rhénanie-Palatinat et Saxe-Anhalt. Elles pourraient donner lieu à un vote sanction, le premier de dix mois d'une crise qui a entamé le capital politique de la chancelière.


«D'ici au 7 mars, nous voulons constater une baisse considérable du nombre de réfugiés à la frontière turco-grecque, a dit Thomas de Maizière. Si le recul ne se produit pas, il faudra prendre des mesures européennes supplémentaires.» Le ministre n'a pas précisé lesquelles, «nous verrons le moment venu», ajoute-t-il. Mais le message a été décrypté par plusieurs diplomates: c'est le scénario catastrophe, dans lequel Berlin restreint drastiquement les réfugiés admis sur son territoire, après les avoir généreusement invités l'été dernier.

Fût-ce de manière coordonnée, les frontières se refermeraient à travers toute l'Europe, comme dans une réaction en chaîne. «Pour Schengen, ce pourrait être le signal de la fin», concède un ambassadeur.
L'Autriche, dernière étape des réfugiés avant la frontière allemande, vient d'en donner un avant-goût. Par précaution, elle vient d'instaurer un double quota quotidien d'offres d'asile et de transit à travers son territoire, multipliant du même coup les refoulements vers le sud. Vienne, avec neuf capitales des Balkans, veut aussi «réduire massivement» le flux migratoire. La commission Juncker déplore ces «initiatives isolées» dans l'UE. Avec un soutien affiché à Paris et à Berlin.


La Grèce a peur d'être submergée


Inexorablement pourtant, la nasse des frontières se resserre sur la Grèce. Point de débarquement pour près d'un million de nouveaux arrivants depuis un an, elle risque de devenir bientôt la destination finale. Elle craint d'être submergée et proteste vigoureusement contre le manque de solidarité européenne dans le partage des réfugiés.


Comme pour crédibiliser le risque d'un verrouillage généralisé, l'Europe insiste pour que la Grèce commence à renvoyer les déboutés du droit d'asile vers la Turquie, plutôt que de laisser filer tout le monde vers le Nord, ainsi qu'elle l'a fait jusqu'ici. À huis clos, Thomas de Maizière a demandé au ministre grec de l'Immigration, Yannis Mouzalas, de recourir enfin à l'accord gréco-turc de «réadmission» (refoulement vers le pays d'origine). Un responsable français pousse à une opération symbolique: un ferry, chargé de migrants expulsés, qui ferait la traversée en sens inverse, des îles grecques vers la côte anatolienne. Theresa May, ministre britannique, enchaîne: «Aux yeux des réfugiés, il faut enfin casser la certitude que s'embarquer sur la mer Égée, c'est décrocher un ticket pour l'Allemagne.»

Jean-Jacques Mevel

Source : Le Figaro

Comment lutter contre l’inévitable islamisation de la France ?

 

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Yves-Marie Laulan est essayiste, docteur en science économique. Ses domaines de recherche vont de l’économie à la défense en passant par la démographie. Auteur de nombreux ouvrage, il est également Président de l’Institut de géopolitique des populations.


Qu’est-­ce que l’islamisation ?


C’est le fait que la communauté musulmane aujourd’hui minoritaire avec 7 à 8 millions de personne selon certaines sources, soit autour de 12,5 % de la population, devienne un jour majoritaire ou proche de la majorité. (On constate, à un moindre degré, un phénomène semblable en Grande Bretagne. Ce qui rend encore plus incompréhensible la décision criminogène d’Angéla Merkel d’accueil en masse des immigrés). Par la force des choses, cette situation lui permettrait, à terme, d’imposer à la population d’accueil sa culture, ses mœurs, sa religion, ses lois et ses coutumes. Comme le général de Gaulle l’aurait dit « en la circonstance, la France ne serait plus la France »


C’est un problème purement démographique, une simple question de nombre de personnes, de volume relatif des communautés en présence. Il est compliqué par le fait que la France, conformément à sa tradition, persiste à nier les problèmes désagréables pour ne pas avoir à les affronter, encore moins à les résoudre.
Á titre d’exemple, l’État n’autorise toujours pas la publication de statistiques démographiques jugées, Dieu sait pourquoi, discriminatoires, contrairement aux États­-Unis qui n’hésitent pas à afficher ouvertement le nombre d’Afro­américains, deJuifs, d’Hispaniques etc. etc. qui peuplent le territoire américain


Autre exemple, la suppression « pour des raisons d’économies » des recensements traditionnels remplacés par des « enquêtes » partielles et périodiques , donc par estimations et non par calcul. Il en résulte qu’en matière de connaissance de sa population effective, la France est en plein brouillard. La population de la France est connue à 1 à 2 millions près. C’est beaucoup pour un pays développé.


Les chiffres concernant la présence musulmane en France sont très divers : en 2010, on l’estimait à 7,5 % de la population française pour 4,7 millions de personnes (selon Wikipédia). Plus de 5 ans plus tard, en 2015, ces chiffres devraient sans doute être significativement revus à la hausse et se rapprocher de ceux provenant d’autres sources, soit 7 à 8 millions pour 12,5 % de la population. L’admirable Michelle Tribalat, devenue à force de déconvenues statistiques à l’INED la nouvelle égérie de la démographie « vraie » m’assurait en avoir compté 5 millions, un à un affirmait­-elle. On veut bien la croire.


Car ces chiffres sont abondés par les flux migratoires lesquels tournent autour de 200 000 personnes par an pour l’immigration légale. Entrées auxquelles il faut ajouter l’immigration clandestine (estimée à partir des régularisations), soit entre 30 000 et 50 000 personnes par an. Environ 70 % de ces flux proviennent du Maghreb et d’ Afrique et comportent donc très forte majorité musulmane.


Quels que soient les chiffres, il n’en demeure pas moins que les enquêtes révèlent une forte progression de la pratique du culte, surtout chez les jeunes, ainsi que du nombre et de la fréquentation des mosquées, signe qui ne trompe pas d’un échec significatif de la politique d’intégration. Les attentats enregistrés en 2015 sont également un signal qu’il serait difficile d’ignorer au nom de l’optimisme angélique pratiqué dans les milieux officiels, et aussi les médias, lesquels ne reculent pas toujours devant la tentation de farder la vérité comme ils l’ont longtemps fait, pour la rendre plus compatible avec les exigences de leur conscience. On pense naturellement ici à la presse dite de gauche , depuis le Monde en passant pour le Nouvel Obs dont la pratique de la désinformation systématique dans ce domaine était devenue une seconde nature.


L’islamisation est clairement en marche. Peut­-on renverser le cours des choses ?


Cette situation d’islamisation sournoise n’est nullement hypothétique. Elle commence à faire l’objet d’une certaine prise de conscience dans l’opinion, comme l’illustre la publication depuis quelques années de nombre d’ouvrages d’anticipation plus ou moins prophétiques . On songerait ici, parmi bien d’autres, au roman de Michel Houellebecq « Soumission ». Cela fait près de 40 ans que l’auteur de ces lignes dénonce inlassablement ce danger. Aujourd’hui il est loin d’être seul : René Marchand, Joachim Veliocas, Samuel Laurent, et le célèbre Renaud Camus, et bien d’autres encore. Une bibliothèque n’y suffirait pas pour les citer tous. Le problème est que ces talentueux auteurs se gardent bien de préconiser un remède quelconque au mal qu’ils s’époumonent à dénoncer. C’est l’attitude confortable du « spectateur engagé « de Raymond Aron.
Les mécanismes de ce processus d’islamisation sont bien connus. Elle se produira inévitablement en raison de l’évolution de la croissance démographique relative dans notre pays . Elle met en présence une population d’origine ou d’accueil, « dite de souche », ( de tradition chrétienne ou laïque) ont la fécondité tourne autour de 1,6 enfant par femme (selon calculs de Jacques Dupaquier ) et la fécondité des populations d’origine musulmane ou sous l’influence de l’Islam (arabe ou africaine ) dont la fécondité se situe entre 2,5 et 3,5 enfants par femme pour la communauté d’origine arabe (voire 4,2 pour les Africains).


Car il ne faut pas se faire d’illusion. Le taux de reproduction global fièrement proclamé par l’INED, soit 1,99 enfant par femme, (un taux de 2 enfants par femme, comme il est logique, est le taux de renouvellement de la population à l’identique, sans perte ni accroissement) recouvre deux réalités bien différentes. Le taux de reproduction de la population d’origine, 1,6 comme on vient de le voir, et le taux des immigrés, en majorité musulmans, presque le double, qui vient » la doper »


Cette comparaison permet de penser selon certains calculs, que la population musulmane rejoindra ou dépassera la population d’origine dans un délai de 20 à 30 ans, soit autour de l’an 2040 à 2050. Ce jour­ là le roman d’anticipation de Michel Houellebecq deviendra une réalité. Ce jour­ là la France ne sera plus la France. Les déclarations récurrentes de hauts responsables musulmans, et l’on songerait ici au président Bouteflika, montrent bien que ces personnalités sont bien conscientes que leur forte fécondité est un moyen aisé et sûr d’accéder à la domination politique en l’absence de sang versé ( du moins jusqu’au 13 novembre 2015). Mais ce n’est peut­-être qu’un « galop d’essai ».)


Les pouvoirs publics sont bien conscients de ce phénomène


Mais par la lâcheté caractéristique des responsables politiques, révulsés de peur à l’idée de pouvoir être taxés de « racisme », cette arme incapacitante soigneusement mise au point par la « pensée unique », ils préfèrent se taire, toute honte bue, en attendant l’inévitable « déluge » en espérant, on se sait jamais, passer entre les gouttes de la catastrophe à venir.


Que faire ?


La France a renoncé depuis longtemps à assurer la maîtrise de sa politique démographique. Il faut pourtant impérativement reprendre le contrôle d’un des paramètres les plus importants de la vie nationale, la population et son évolution. Mais, au préalable, il importe de se poser une question de fond à laquelle il faudra bien apporter une réponse laquelle va éclairer la suite du débat.


1- Pourquoi le sort de la France et de sa population devrait-­il être déterminé par les mœurs, la libido, le comportement devant le phénomène de la reproduction de populations d’origine étrangère vivant sur le territoire national ou au Maghreb, en Afrique ou en Syrie?


Si ces populations ne connaissent aucune propension ou aucune capacité à maîtriser leur comportement sexuel, pourquoi la France devrait­-elle en subir les conséquences ? Ne serait-­il pas temps de poser enfin le problème en termes de morale collective, ­ce que l’on refuse à faire depuis 70 ans au nom de la liberté individuelle et des droits de l’homme­, de façon à pouvoir la guider et pourquoi pas, l’orienter?


Si les principes démocratiques adoptés en Occident depuis la dernière guerre l’entraînent inévitablement sur le chemin de disparition par étranglement démographique, ne serait-­il pas concevable de s’interroger enfin sur les moyens de prévenir autant que faire se peut une fin aussi funeste au risque de mettre ces principes en état de « suspension » légitime provisoire, commec’est le cas en temps de guerre (ou d’état d’urgence pour cause de terrorisme).


2- Il est vrai qu’à travers l’histoire, les tentatives du pouvoir de réguler la croissance d’une population n’ont pas toujours été couronnées de succès depuis les lois d’Auguste sous l’Empire romain jusqu’à la singulière politique nataliste d’Hitler dans les années d’avant­-guerre. On dénombre néanmoins quelques exemples de succès relatifs : les pays scandinaves dans les années 90 ou même la politique de l’enfant unique en Chine ou encore la politique nataliste de la République Démocratique Allemande. Le malheur veut que ces politiques soient souvent liées à des gouvernements autoritaires. Les pays démocratiques ont eu moins de chance.


Il conviendrait donc d’introduire enfin le principe de discrimination positive en matière de politique démographique comme cela a été fait depuis longtemps dans d’autres pays, notamment en Chine. Il ne s’agirait nullement de porter atteinte aux droits d’une ou de l’autre des deux communautés de vivre paisiblement et côte à côte sur le territoire national mais simplement de faire en sorte que l’une des deux ne se mette pas en position d’exercer des effets de domination sur l’autre du fait de son expansion démographie supérieure. En d’autres termes, il importe de maintenir un équilibre démographique harmonieux porteur de paix et de sérénité politique et sociétale.


En matière de démographie, il serait donc souhaitable de passer du descriptif au normatif, d’une politique neutre à une politique proactive. A l’heure actuelle, les mesures concernant la famille et la natalité s’appliquent uniformément toutes les catégories de la population, quelle que soient leurs situations spécifiques avec, comme conséquence, que l’on donne trop aux uns et pas assez aux autres. Cela revient trop souvent à administrer des calmants aux déprimés et des excitants aux fébriles. Il convient d’opérer ici une révolution copernicienne en privilégiant un traitement spécifiquement adapté au comportement particulier de chaque catégorie de la population en matière de fécondité. Ayons le courage de changer de paradigme tant qu’il est encore temps.


3- En conséquence , il faut agir sur les deux pinces du crabe, ou si l’on préfère, les deux branches de l’alternative.


On est, en effet ici, en présence de deux évolutions démographiques divergentes, voire contrastées : celle de la population d’origine, les Français dit de souche » ou la population d’accueil, dont la fécondité est insuffisante, et qu’il faut faire remonter, au minimum, au taux de reproduction à l’identique, autour de 2 enfants par femme. Une telle idée apparaîtra certes, dans le contexte culturel actuel, comme une sorte de provocation quasi obscène, un quasi blasphème démographique ( comme le serait par exemple, un appel au meurtre. L’accès au rapport entre les deux sexes sont quasi exclusivement axées sur le plaisir, la jouissance, la libido dans toutes ses diversités et déviances. Même le beau roman de Houellebecq n’échappe pas à cette nécessité. Le succès en librairie y oblige). Mais après tout, tant pis. Il faut savoir ce que l’on veut.


A cela s’oppose la croissance de la population musulmane qu’il serait envisageable de « tempérer » au lieu de pratiquer mollement, comme aujourd’hui, la « politique du chien crevé au fil de l’eau » caractérisée par le laissez faire ou le laisser aller. Elle est nourrie par deux vecteurs, l’immigration en provenance des pays musulmans et le croît naturel résultant d’une fécondité supérieure à la moyenne nationale.


Cette situation recommande l’adoption d’une vigoureuse politique de « discrimination démographique » corrective destinée à rétablir l’équilibre démographique menacé.


Pour ce qui concerne la population d’origine, il importe de restaurer la politique familiale qui a été démantelée, certains diront dévastée, par tous les gouvernements sans exception, de droite comme de gauche en quête d’économies de « bouts de chandelle » faciles pour boucher les trous toujours renaissants du budget de l’État ou de la Sécurité sociale. Les dispositifs sont connus : quotients familiaux, allocations familiales, facilité d’accès au logement. Il est significatif qu’un grand parti de droite qui prétend incarner le renouveau national fasse aveuglément l’impasse sur cette donnée essentielle du destin de la France.

Il conviendrait au surplus d’orchestrer une campagne publique d’information destinée à faire connaître au grand public la situation désastreuse de la famille et les remèdes proposés pour y remédier. La société, au travers des médias, tend à dévaloriser l’image de la mère au profit de la femme amante, chef d’entreprise, femme politique, tout sauf la femme mère. Il faut revaloriser l’image de la femme qui accepte d’être mère, celle qui veut avoir des enfants.


Le contre exemple est incarné par Angela Merkel, femme politique sans enfant, qui ne voit aucun intérêt ni aucun enjeu stratégique dans le drame allemand contemporain : le tragique déficit des naissances en Allemagne lequel date , en fait, de 1945 en Allemagne de l’Ouest (Certains y voient, comme moi­-même, le reflet d’un certain désespoir collectif, le refus de la vie, après l’effondrement de la défaite. C’est le même phénomène au Japon, autre grand vaincu de la dernière guerre).


Elle croit y trouver un remède dans l’introduction massive sur le sol allemand de jeunes musulmans reproducteurs venus du Maghreb et du Moyen­ Orient, comme on organise l’importation massive de bétail pour repeupler un territoire dépeuplé. Ce qui dénote, au passage, un solide mépris de l’homme , sans doute hérité de l’histoire de l’Allemagne nazie ou de la période soviétique en Allemagne de l’Est. Il est à prévoir que l’histoire sanctionnera cruellement cette bévue monumentale dans les années à venir.


Pour conclure, nul doute qu’il faudra tôt ou tard revenir sur certaines dispositions excessivement laxistes de la loi Veil qui, avec la meilleure conscience monde, a savamment organisé le suicide collectif de la France. Ce sont les jeunes femmes françaises qui avortent et les jeunes Musulmanes qui élèvent leurs enfants. Il faut mettre un terme à ce déséquilibre mortifère.


Quant à la population musulmane, il faudra bien entendu l’associer à cette campagne d’information dans la mesure où elle est partie prenante de cette problématique qui conditionne aussi son propre avenir. Nul doute que les meilleurs de ses leaders d’opinion ne comprennent la nécessité de prévenir les désordres démographiques graves à venir


Par ailleurs, il faudra viser à réduire au minimum les flux migratoires dont on sait pertinemment que les deux tiers , sinon les trois quarts provoquent l’entrée massive d’immigrés musulmans sur le territoire national. Le drame des réfugiés venus de Syrie, mais surtout du Maghreb en Allemagne , donc indirectement en France, ne doit nullement dissimuler le fait que sous prétexte d’action humanitaire, la présence musulmane en Europe , et en France, va se trouver puissamment renforcée , avec les conséquences faciles à imaginer, en particulier en matière de sécurité. Si l’on n’y prend garde, les migrants seront le Cheval de Troie de notre société en route vers une islamisation sans retour. C’est dire à quel point le facteur religieux que nos responsables écartent commodément par respect du principe de laïcité doit, au contraire, être pris sérieusement en considération comme une des données essentielles d’une politique d’immigration réaliste. Si l’on se refuse d’accepter l’entrée de terroristes susceptibles de porter atteinte à la sécurité de la population civile, a fortiori est-­il légitime de s’interroger sur les orientations religieuses de migrants susceptibles de le devenir tôt ou tard. Ce que l’on se refuse aveuglément à faire aujourd’hui. (Le maire d’un petit village de France s’est déclaré prêt à accueillir des réfugiés syriens , mais à condition qu’ils ne soient pas musulmans).
Quoi qu’il en soit, que le gouvernement soit de droite ou de gauche , les grands traits de notre politique d’immigration sont restés largement inchangés. L’aveuglement et la lâcheté ne connaissent pas les frontières politiques .Or, comme on l’a vu, l’immigration légale introduit chaque année environ 200 000 personnes, chiffre auquel il faut ajouter l’immigration clandestine, entre 30 000 et 50 000 laquelle tôt ou tard donne lieu à des régulations individuelles de l’ordre de 30 000 à 50 000 selon les années. Autotal , ce sont donc entre 200 000 et 230 000 personnes au moins qui viennent gonfler les chiffres de l’immigration, ce qui représente, sur 5 ans, approximativement entre 800 000 et 1 million d’immigrés supplémentaires, lesquelles votent massivement pour les candidats socialistes à chaque élection, comme le démontre l’analyse du dernier scrutin présidentiel. Il ne faudra pas compter sur François Hollande pour changer le cours des choses.
En d’autres termes, du seul fait de l’immigration,, la communauté musulmane vivant en France progresse d’au moins 20 à 25 % tous les 5 ans. Le remède ici est simple et radical : il importe de supprimer le regroupement familial et l’acquisition de la nationalité par mariage( ou tout au moins la soumettre à des conditions restrictives tout à fait sévères).


Reste la fécondité différentielle des ménages immigrés. Ici le seul levier dont on dispose est celui des aides familiales qui seraient exclusivement réservées aux ménages qui travaillent sous forme de quotient familiaux autorisant la déduction des revenus déclarés. Les allocations familiales seraient totalement supprimées au­-delà de la naissance du deuxième enfant, quitte à autoriserles entreprises à abonder ces aides si elles le souhaitent sur leurs ressources propres. On pourrait aussi permettre aux églises à lever des fonds spécifiques destinés à aider les familles nombreuses chrétiennes, quitte à ce que les communautés musulmanes ou juives fassent de même en faveur de leurs fidèles.


Bien entendu ces dispositions seront forcément dénoncées comme discriminatoires. Ce qui est exact.


Reste à savoir si la non discrimination ne serait pas une politique mortifère entraînant à terme toute forme de politique démographique équilibrée . Il faudra choisir entre la vie dans le courage ou la mort dans le respect de principes mortifères.


Avant qu’il ne soit trop tard.

Yves-Marie Laulan

Source : Metamag

 

Fréjus : la nouvelle mosquée sera-t-elle démolie ?


Une mosquée à Fréjus pourrait se voir démolir. Retour sur l'affaire.

À Fréjus, la communauté musulmane attend avec appréhension la décision de justice demain, vendredi 26 février, sur une éventuelle démolition d'une mosquée. Il s'agit d'un bâtiment flambant neuf, ouvert il y a quelques semaines à peine. Une mosquée de 1 500m² qui fait la fierté des musulmans de Fréjus. "Ça remplace les garages, les caves, tous les lieux où on a pu prier", affirme une fidèle.

Une plainte déposée en 2013


Vendredi, le tribunal correctionnel de Draguignan pourrait exiger sa destruction pour cause d'irrégularité du permis de construire. Pourtant, il y a tout juste un mois, la mosquée était autorisée à ouvrir sur décision du préfet. À l'époque, c'est un soulagement pour les fidèles, après neuf mois de bataille juridique. Mais c'était sans compter avec le maire Front national de Fréjus, qui s'implique personnellement dans ce dossier. Depuis plusieurs mois David Rachline dénonce le permis de construire illégal délivré par son prédécesseur. Saisi à la suite d'une plainte déposée en 2013, le parquet a requis la démolition pure et simple de la mosquée. Le tribunal correctionnel rendra sa décision vendredi.

Source : Francetvinfo

Jean-Yves Le Gallou "Immigration, la catastrophe – que faire ?"

 


 
Du Bataclan à Cologne, de la mer Égée à la Scandinavie : chacun le voit, l’immigration est une catastrophe pour la France et l’Europe. L’invasion les menace d’anéantissement. Ses causes ? L’explosion démographique du Sud, les guerres, mais pas seulement. Après quarante ans de déni organisé, la réalité s’impose.

Même Hollande et Merkel semblent commencer à prendre conscience des difficultés. L’Europe est en train de mourir d’un projet idéologique : le mondialisme immigrationniste marchand, le « MIM », facilité par la trahison de ses élites politiques, économiques, judiciaires, médiatiques. Cette trahison explique quarante ans de mensonges, d’omerta, d’impuissance à traiter le problème malgré les promesses.

Énarque, inspecteur général de l’administration, ancien élu régional et européen, Jean-Yves Le Gallou développe à partir de sources inédites un constat accablant aussi documenté que sans concession. Mais non sans espoir : notre patrie, notre continent, notre civilisation peuvent encore se réveiller. A condition de changer radicalement de modèle. Ici, c’est de courage qu’il va falloir faire preuve. Le temps presse !

Auteur : Jean-Yves Le Gallou

Prix: 23,00 €
 

Le Conseil d'Etat confirme la fermeture de la mosquée de Lagny-sur-Marne

Le juge des référés du Conseil d'Etat a refusé ce jeudi de suspendre l'arrêté préfectoral ordonnant la fermeture de la mosquée de Lagny-sur-Marne, en Seine-et-Marne, annonce France Info. Cette salle qui accueillait jusqu'à 200 fidèles représenterait "par son fonctionnement et sa fréquentation une menace grave pour la sécurité publique".


La plus haute juridiction administrative indique dans un communiqué que l'état d'urgence permet d'ordonner la fermeture provisoire de lieux de réunion, dont les lieux de culte". Le Conseil d'Etat avait été saisi en référé par le responsable de cette salle et par des fidèles de la ville qui demandaient sa réouverture.
Perquisitionnée en décembre dernier, la mosquée présentée comme salafiste avait été fermée par décision préfectorale.

Source : Le Figaro

Liège: l'ASBL de la future grande mosquée de Glain refuse des financements en provenance de l'étranger

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La plus grande mosquée de Wallonie est actuellement en construction sur les hauteurs de Liège, du côté de Glain. Ce lieu de culte, porté par la communauté musulmane turque de la région, est financé uniquement par les dons des fidèles. Plusieurs mouvements étrangers, dont la tendance wahhabite via des approches de la grande mosquée de Bruxelles, ont pourtant voulu intégrer la mosquée, conditionnant un apport financier à diverses exigences (imam, prêches, etc.). Ce que l’ASBL locale a refusé en bloc.

Mehmet Aydogdu, conseiller communal à Liège et « coordinateur » du projet nous le confirme : «  Le président de l’ASBL a effectivement été sollicité par ces personnes, qui cherchent à étendre leur influence  ». Chose que le président lui-même, M.Aktas, nous a certifiée également. «  Vous savez, cela pourrait être très simple de se financer. Il suffirait d’aller aux ambassades d’Arabie ou du Qatar et ça suivrait. Mais alors l’imam serait imposé, la « ligne » aussi, et ainsi de suite  », renchérissent les intéressés.

C’est pourquoi le geste des responsables est à souligner : «  Nous n’avons aucune entente financière avec personne. Ni avec la Turquie, ni avec des pays comme l’Arabie et le Qatar, malgré les tentatives de certains.  »

Source : Sudinfo.be

Liège: l'ASBL de la future grande mosquée de Glain refuse des financements en provenance de l'étranger

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La plus grande mosquée de Wallonie est actuellement en construction sur les hauteurs de Liège, du côté de Glain. Ce lieu de culte, porté par la communauté musulmane turque de la région, est financé uniquement par les dons des fidèles. Plusieurs mouvements étrangers, dont la tendance wahhabite via des approches de la grande mosquée de Bruxelles, ont pourtant voulu intégrer la mosquée, conditionnant un apport financier à diverses exigences (imam, prêches, etc.). Ce que l’ASBL locale a refusé en bloc.

Mehmet Aydogdu, conseiller communal à Liège et « coordinateur » du projet nous le confirme : «  Le président de l’ASBL a effectivement été sollicité par ces personnes, qui cherchent à étendre leur influence  ». Chose que le président lui-même, M.Aktas, nous a certifiée également. «  Vous savez, cela pourrait être très simple de se financer. Il suffirait d’aller aux ambassades d’Arabie ou du Qatar et ça suivrait. Mais alors l’imam serait imposé, la « ligne » aussi, et ainsi de suite  », renchérissent les intéressés.

C’est pourquoi le geste des responsables est à souligner : «  Nous n’avons aucune entente financière avec personne. Ni avec la Turquie, ni avec des pays comme l’Arabie et le Qatar, malgré les tentatives de certains.  »

Source : Sudinfo.be