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jeudi, 26 janvier 2017

Belgique: opération antiterroriste en cours dans la région de Bruxelles

La police belge a conduit tôt ce matin des perquisitions dans huit habitations de la région de Bruxelles, dans le cadre d’une opération antiterroriste toujours en cours, a-t-on appris auprès du parquet fédéral.


Ces perquisitions ne sont pas liées aux attentats jihadistes de Paris en novembre 2015 ou de Bruxelles en mars 2016, a précisé à l’AFP un porte-parole du bureau du procureur fédéral.

Le porte-parole, qui confirmait des informations du site internet du quotidien belge La Dernière Heure, a ajouté que l’opération était toujours en cours et qu’il y aurait un nouveau communiqué aux environs de midi heure locale.

Selon le site de La Dernière Heure les perquisitions ont été menées dans des habitations situées à Molenbeek, Schaerbeek, Anderlecht et Laeken. Plusieurs personnes soupçonnées d’être en partance ou de retour de Syrie ont été emmenées pour audition, selon le site.

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La mosquée El Fath se voit pousser une aile

Depuis 2014, la mosquée El Fath, route d’Ancerville, connaît des travaux sans précédent depuis sa construction en 1995 : un chantier d’extension pour proposerà la communauté un espace de partage et d’échanges, distinct du bâtiment de culte.

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La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

Surnommé « Bilal Hamon », Benoît Hamon dénonce une « offensive de l’extrême droite »

Sablé-sur-Sarthe : tentative d’incendie criminel en l’église Notre-Dame

 

 
Une lectrice (merci M. F. G.) me signale un “fait divers” publié aujourd’hui dans le quotidien Ouest-France. L’affaire remonte au 7 janvier dernier…
 
 
 
 
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Benoît Hamon, l’imam trappiste ?


Après quelques années passées en région parisienne, le Breton monté à la capitale qu’était devenu Benoît Hamon déclarait : « La rupture a été terrible : la température, la culture, la manière de vivre, les odeurs, tout était trop différent. Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de Blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique. » Désorienté par son retour, ce Breton enraciné, premier d’entre les siens à quitter le Finistère, montrait son peu d’attachement pour son terroir natal.
Député des Yvelines et conseiller municipal de Trappes, Benoît Hamon est aussi un membre éminent de la « gauchosphère » qui a fait de l’horizon multiculturel sa réponse à notre sortie de l’Histoire. Maison témoin de ses ambitions politiques, la ville de Trappes appartient à ces « Molenbeek français » si justement décriés. Ils seraient au moins cinquante trappistes à avoir trouvé un idéal dans la lutte armée en Syrie. Ah, Trappes, cette ville modèle du sociétalisme à la française qui a vu naître Jamel Debbouze, le rappeur La Fouine ou le footballeur Nicolas Anelka !
Bénéficiaire des importants subsides alloués par les différents programmes de la « politique de ville » menée par les gouvernements de « droite » et de « gauche » confondus, Trappes a été correctement rénovée sans jamais enrayer la spirale communautariste ou la criminalité. Trafiquants et islamistes se côtoient au marché de la place des Merisiers, où il vous sera plus facile de trouver une barrette de shit qu’un saucisson. 

Les hommes sont souvent vêtus du kamis traditionnel et les femmes du niqab. De quoi expliquer les positions ambiguës du candidat Hamon sur la laïcité, partisan du burkini et de l’autorisation du port du voile islamique dans les universités ?
 
Fort de ce constat, Benoît Hamon a pourtant décidé de faire de Trappes un exemple de la politique qu’il entend mener pour la France. En le choisissant, on comprend que les socialistes ont intériorisé leur place dans l’opposition pour les cinq années à venir après l’élection présidentielle. Benoît Hamon représente cette gauche, déconnectée des questionnements contemporains, qui a renoncé au vote populaire et à la France périphérique. Un sondage Harris publié hier montrait d’ailleurs que l’électorat populaire et les jeunes avaient plutôt voté pour Manuel Valls. Preuve que le triptyque « sécurité – identité – immigration » est aussi un moteur du vote à l’intérieur même du Parti socialiste !

Le courant de Benoît Hamon n’a strictement aucune chance d’être majoritaire au suffrage universel direct. Au moins en 2017. Car, n’en doutez pas, Benoît Hamon a déjà les yeux rivés sur les échéances de 2022 et 2027, se rêvant en François Mitterrand 2.0 d’une France qui aurait basculé démographiquement, totalement transformée. Il sera le premier secrétaire d’un Parti socialiste pleinement Terra Nova pour quelques années.

Gabriel Robin

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La France raciste de Balotelli…

La France est raciste. C’est Mario Balotelli qui l’insinue. À l’issue de la rencontre disputée par l’OGC Nice, club où l’attaquant évolue depuis le début de la saison, à Bastia, dans l’enfer de Furiani, l’attaquant italien d’origine ghanéenne s’est demandé, après avoir été l’objet d’insultes à caractère raciste, si le racisme était légal en France.

Les quelques cris de singe entendus à Bastia sont évidemment déplorables et ne grandissent pas les sympathisants du club insulaire qui les ont proférés. 

En aucun cas on ne saurait justifier le racisme.

Rapidement, les médias, heureux de renouer avec leur grille de lecture traditionnelle – celle d’une France rance et repliée sur elle-même -, ont relayé l’information qu’ils ont agrémentée d’images « accablantes » pour les supporters corses. Ceux-ci, pourtant, n’étaient qu’une minorité à déraper.

Les autres insultes que l’on peut entendre sur les bandes-son, certes également regrettables, ne sont en rien racistes et sont à peu près celles que tous les joueurs, en tout cas les plus médiatisés d’entre eux, entendent sur les terrains du monde entier, toutes les semaines.
“Why always me ?” C’est la question qu’arborait fièrement Balotelli sur un T-shirt après avoir marqué un but sous la vareuse de Manchester City, un de ses clubs précédents, il y a quelques années. Pourquoi toujours lui, en effet ? Répondre à la question revient à comprendre pourquoi il est si souvent la cible des supporters adverses.

Mario Balotelli incarne ce que le football moderne a produit de plus détestable. L’homme fait éclater des pétards et des fusées sur le balcon de son appartement et trouve cela amusant, insulte tout ceux qui le contrarient, affiche partout ses richesses (« parce que je suis riche », répond-il à un policier qui lui demande pourquoi il a tant d’argent sur lui) et le mauvais goût qui souvent les accompagne, balance des fléchettes en direction de jeunes du club…

Footballistiquement, malgré quelques bonnes saisons, l’attaquant est pourtant bien loin de posséder les qualités d’un Ronaldo ou d’un Messi, voire même d’un Rooney qui est devenu, le week-end dernier, le meilleur buteur de l’histoire de Manchester United.
Partout, donc, Balotelli a fini par avoir des ennuis. En laissant sous-entendre, par un amalgame douteux, que la France était raciste, alors qu’il n’a été insulté que par une minorité de fans, il pourrait se mettre à dos un pays qui l’a pourtant bien accueilli après ses déboires passés.

Il ne reste qu’à espérer que le joueur italien se concentre à nouveau sur son sujet – le football — et que les incidents de Bastia ne portent pas à conséquence pour l’OGC Nice, club dont la forme actuelle rafraîchit le football français, lassé d’être dominé par un club certes mythique, mais qui n’a plus de parisien que le nom.

Gregory Vanden Bruel

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Priorités de l’Éducation nationale pour 2017 : l’arabe et les migrants !

 

 
Chacun le sait : la prochaine rentrée de vos enfants, en septembre, se prépare en ce moment. Les recteurs et les directeurs départementaux de l’Éducation nationale commencent à dévoiler les dotations, les ouvertures et les fermetures de classes.
Et, surprise, en ces temps de rigueur budgétaire, si la dotation pour le secondaire dans le Lot-et-Garonne (47) a été rognée, les responsables affirment qu’ils ont dégagé des moyens pour certaines priorités. Des plus contestables…

On aurait pu croire que le ministère et le recteur auraient eu à cœur de corriger les erreurs regrettables de la réforme du collège : suppression des classes bilangues en espagnol et allemand, réduction à la portion congrue du latin et du grec, heures perdues dans des EPI (enseignements pratiques interdisciplinaires) au détriment des disciplines fondamentales, et notamment le français.
Eh bien, non ! Le ministère, pour sa dernière rentrée Najat, persiste dans l’erreur. Non seulement il ne répare rien, mais il crée un choc profond parmi les enseignants et les parents d’élèves du département, et au-delà : il ouvre des sections… d’arabe, dès la 5e, dans deux gros collèges d’Agen et dans les deux lycées.
Une offensive massive qui laisse pantois.

Et on ne sait d’ailleurs pas ce qu’en pense le maire d’Agen (UDI) M. Dionis du Séjour. Aura-t-il le courage, comme d’autres maires, de dénoncer ces choix ?

Donc les heures d’espagnol, d’allemand, de latin, de grec et de français dont vos enfants ne bénéficient plus sont littéralement remplacées par des heures d’arabe.

Ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité : le Grand Remplacement a commencé jusque dans les enseignements et les moyens attribués aux établissements. Les collèges et les lycées de vos enfants, sous la conduite de Najat Vallaud-Belkacem, mettent en œuvre dès la prochaine rentrée le Grand Remplacement de vos langues et de vos cultures européennes, avec l’étude de leurs racines.

Vous voulez savoir l’autre priorité pour vos enfants, dans le département ? C’est un autre dispositif qui va être étendu : les Unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants (UP2A). Traduction ? Des classes et des moyens pour les enfants de migrants.
« Celles-ci ont fait leur entrée à la rentrée 2015 à Aiguillon, en 2016 à Agen (Joseph-Chaumié et Paul-Dangla). Une troisième sera ouverte en lycée, à Couffignal, à Villeneuve-sur-Lot. Et peut-être d’autres en fonction des besoins des établissements, »
​‌”
nous prévient, comme si de rien n’était, le quotidien Sud-Ouest, nous préparant à leur généralisation.

Désormais, les choses sont claires : des moyens financiers massifs sont consacrés à l’enseignement de l’arabe et à l’accueil des migrants au détriment du français et des langues européennes, auxquelles les Français sont justement attachés pour l’avenir de leurs enfants.

Tout cela est mené sans consultation des Français, à la fin d’une présidence discréditée, et par des socialistes qui ne parviennent même pas à mobiliser leurs propres militants.

Si le gouvernement avait voulu ajouter de la colère à la colère, il n’aurait pas trouvé mieux. Les Français, à qui est imposée cette autre forme de Grand Remplacement, savent désormais qu’ils ne disposent que d’une arme : le bulletin de vote. Pour un autre Grand Remplacement, au sommet de l’État et dans les ministères.

Dominique Monthus

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Lorsqu’on monte au cocotier, il faut essayer d’avoir le caleçon propre !

 

 
Parfois, on nous reproche d’avoir la dent dure contre les partis de droite, vaguement patriotiques, ayant peur de tout mais qui arrivent à semer la confusion dans les esprits des électeurs dont les voix se perdent dans ces partis qui, en finale, ne font rien !
Ainsi, à l’occasion de la récente et lamentable affaire Publifin, le Parti Populaire ne s’est pas gêné de tirer à boulet rouge sur les politiciens, les cumuls, etc…Et c’est de bonne guerre.
Le hic, c’est que le conseiller communal du PP à Frameries, qui est un proche du président Moodrikamen, a 8 mandats rémunérés :
  1. HYGEA
  2. Intercommunaleommunale de Développement Economique et d’Aménagement du territoire
  3. Interercommunale Pure de Financement du Hainaut
  4. Administrateur IRSIA
  5. Administrateur Régie communale autonome RCA
  6. Administrateur Alteria
  7. Membre de 4 commissions communales
  8. Administrateur de la Fondation du Parti Populaire
Alors bien sûr, il n’y a rien d’illégal ! Bien sûr, les rémunérations des mandats ne sont pas forcément toutes aussi élevées qu’à Publifin (quoi que…). Mais les partis de « droite nationale », comme le PP, qui protestent contre ce genre de pratiques devraient eux-mêmes établir en interne des règles claires en ce domaine.
Décidément, ce système ne peut, ne doit pas être réformé ! Il doit être changé ! Et profondément !
 

Cette société est malade, nous en serons les médecins !

 

 
Des rebondissements autour de l’affaire Publifin, où des élus socialistes (mais pas seulement) ont manifestement usé et abusé d’un système d’enrichissement, à l’histoire des résultats trafiqués de la primaire socialiste en France, le moins que l’on puisse dire est que partout en Europe les politiciens traditionnels n’en finissent pas de montrer leur vrai visage . Celui de de gens qui ne sont motivés que par la gamelle. Gamelle qu’ils essaient en plus de remplir à ras bord.

Et il ne s’agit pas de quelques débordements. Voici 30 ans que les scandales se succèdent. En Belgique, quand ce n’est pas le PS qui se goinfre, c’est le MR qui aide, contre généreuse rétribution financière, ses amis louches et cosmopolites à devenir belges…
Il ne s’agit pas de quelques brebis galeuses. Il s’agit bien d’un véritable système politico-financier qui fait que la majorité des décisions ne se prennent pas pour l’intérêt de tous mais bien uniquement dans celui de quelques-uns.

C’est bien pourquoi, nous le répétons sans cesse : il ne s’agit pas de réformer ou de corriger ce système…il faut le changer de fond en comble ! 

Cette société est malade, nous en serons les médecins !
 

Saint-Sulpice-sur-Risle (61) : ils avaient ligoté et menacé une retraitée avec une arme

 

 
Ils avaient ligoté la propriétaire d’une maison de Saint-Sulpice-sur-Risle avant de faire main basse sur 20 000 € de bijoux. Identifiés par leur ADN, trois hommes ont été condamnés à de la prison ferme.

Elle avait reçu des amis à dîner, ce soir du 28 avril 2014. Les invités ont quitté la demeure de Saint-Suplice-sur-Risle vers minuit. L’Ornaise de 61 ans a enclenché l’alarme avant de se diriger vers sa chambre. Sa fille de 27 ans était « montée se coucher » quelque temps plus tôt à l’étage.

Vers minuit et demi, l’alarme s’est déclenchée. Dans la foulée, la propriétaire a vu arriver, dans sa chambre, trois individus, gantés et encagoulés. « Ils m’ont ligoté les poignets avec des colliers de serrage et m’ont demandé où était le coffre, mes bijoux, mon argent ». L’un des trois hommes a pointé une arme sur sa tempe en lui demandant : « Ton argent ! ».
Son portable sonnait. « C’était la société de surveillance qui insistait et j’ai eu peur qu’ils découvrent ma fille. Son chien, qui était avec elle à l’étage, a aboyé. J’ai crié pour masquer l’aboiement. Mais l’un d’eux a dit : « Il y a un chien qui aboie » et ils sont partis ». Avec une « colonne de bijoux » d’une valeur de 20 000 €.
« J’ai eu peur de mourir », a confié la sexagénaire à la Cour d’Assises devant laquelle trois accusés étaient jugés pour vol avec usage ou menace d’une arme, lundi 16 et mardi 17 janvier. Depuis cette nuit d’avril 2014, la propriétaire a « renforcé l’alarme, fait poser des détecteurs de présence sur le chemin, des barreaux aux fenêtres et installer des alarmes fumigènes ».
(…)

La Cour d’Assises a finalement condamné Nagib R. (qui a reconnu les faits) à cinq ans de prison ferme. Mujdat K. et Akin K., qui ont toujours nié leur participation, ont, chacun, été condamnés à sept ans de prison ferme. Il leur est par ailleurs, interdit de détenir une arme sur une période de cinq ans.
(…)


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La justice donne son feu vert pour édifier une grande mosquée à Marseille

 

 
Le tribunal administratif de Marseille a donné vendredi son feu vert à la résiliation, par la mairie de Marseille d'un bail, signé en 2007, pour terrain destiné à la construction d'une grande mosquée.
 
La justice donne son feu vert pour édifier une grande mosquée à Marseille
 
Le tribunal avait été saisi en référé par l'association "la Mosquée de Marseille" après que la municipalité dirigée par Jean-Claude Gaudin (LR) eut résilié le bail en novembre 2016. 
 
Après des années d'atermoiements sur la construction d'une mosquée dans la deuxième ville de France qui compte environ un tiers de musulmans, la municipalité avait consenti, en 2007, un bail de 50 ans pour un terrain de 8.000 m2 sur le site d'anciens abattoirs, dans les quartiers nord. Une première pierre avait été posée en 2010, une arche avait ensuite été construite mais la mosquée n'a jamais vu le jour.
 
"On a imposé un budget 5 étoiles à cette association qui n'en a pas les moyens", a plaidé, lors de l'audience, Me Benoît Candon, avocat de l'association selon lequel le projet est "passé de 8,4 millions d'euros à 22 millions". 
 
"L'association va déposer un permis moins ambitieux", a indiqué l'avocat faisant valoir que la mairie avait par ailleurs "délivré un permis qui avait deux failles" qui ont conduit à son annulation en 2011 avant que la cour d'appel ne le valide en 2012. 
 
Au nom de l'association "la Mosquée de Marseille", Me Candon a défendu le projet de construire un lieu de culte pour les musulmans qui sont "300.000 dont 10 à 20% de pratiquants, soit 411 personnes dans les 73 mosquées" que compte la cité phocéenne. Elles sont trop petites pour accueillir tous ces fidèles, alors "les sermons sont faits en deux services, comme à la cantine !", a-t-il poursuivi. Sinon "le prêche a lieu dans la rue".  "Sans grande mosquée, on génère la multiplication des petites mosquées" avec "imams autoproclamés " et "hors contrôle", a-t-il encore plaidé.     
 
L'avocat de la mairie de Marseille, Me François Rosenfeld, a dénoncé "un procès mal venu" contre le maire "qui a soutenu ce projet depuis l'origine". 
 
Pour la mairie, "les conditions de la résiliation sanction sont remplies, le permis de construire est caduc" et le bâtiment n'a pas été réalisé dans les temps et le terrain n'a pas été entretenu.
La municipalité a encore invoqué un retard de paiement des loyers de plus de 62.000 euros. 
 
"La matérialité de l'ensemble des faits reprochés à l'association n'apparaît pas sérieusement contestable", a jugé le tribunal.
Lors du vote entérinant la résiliation du bail, le 3 octobre 2016, M. Gaudin s'est engagé à "faciliter" un éventuel projet, "si un jour la communauté musulmane veut ériger une grande mosquée".
 

Gravelines (59) : ils tirent à 15 reprises sur une voiture de police

 

 
Deux hommes sont en garde à vue depuis dimanche soir, après avoir fait feu à au moins 15 reprises sur une voiture des policiers de la brigade anti-criminalité, à Gravelines.
 


Gros calibre

Ce sont des riverains qui avaient appelé les forces de l’ordre après avoir entendu des détonations, vers 23 heures, rapportent nos confrères de La Voix du Nord.


Les policiers ont été pris pour cible dès leur arrivée sur les lieux. Leur véhicule a été criblé de balles de gros calibre. Aucun des policiers n’a été blessé.


Fortement alcoolisés






Les fonctionnaires de la BAC ont réussi à maîtriser les deux tireurs, deux hommes âgés de 55 et 33 ans, l’un originaire du Lot-et-Garonne et l’autre du Var. Fortement alcoolisés, ils ont été placés en cellule de dégrisement avant de pouvoir être interrogés.


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Une journaliste refuse de croire au nombre de viols commis en France (iTELE)

 

 
Sur iTELE lundi 23 janvier, la journaliste Hélène Pilichowski a refusé de croire qu’une femme est violée toutes les sept minutes en France.

Les propos ne manqueront pas de faire polémique. Sur le plateau d’iTELE lundi 23 janvier, durant l’émission L’heure des pros présentée par Pascal Praud, la journaliste Hélène Pilichowski était invitée, aux côtés du publicitaire Jacques Séguela et de la militante féministe Caroline de Haas, afin de débattre sur la sanction donnée à un professeur d’université pour avoir fait une remarque sexiste pendant son cours.

« Les chiffres sont gonflés » : Une journaliste… par closer

La discussion a pris un tournant assez lunaire lorsqu’Helène Pilichowski a pris la parole… « Il faut bien évidemment condamner cet enseignant qui a fait preuve d’une vulgarité absolument insupportable… Mais en même temps se méfier du déferlement médiatique et des réseaux sociaux qui tout de suite vous disent que toutes les femmes sont violées en France toutes les secondes ou à peu près…« , s’est-elle indignée.

La journaliste s’est tout de suite fait reprendre par Caroline de Haas, qui lui a rappelé que les statistiques sur le nombre de viols commis en France sont pourtant établies selon des enquêtes du ministère de l’Intérieur et l’INSEE. Mais rien n’y fait… « Eh bah moi je dis que c’est faux« , lui a répliqué Hélène Pilichowski, qui commençait même à s’agacer. Closer.fr vous propose de revoir cette séquence.

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Sciences-Po veut 100 % de boursiers parmi les élèves venant de ZEP

 

 
Il y a quinze ans, l’Institut d’études politiques de Paris mettait en place la convention d’éducation prioritaire (CEP, son nom officiel) pour ouvrir ses portes aux élèves venus de lycées en ZEP. Mais l’an dernier, plus de 40 % des élèves admis par cette filière étaient issus de familles CSP + (catégories socio-professionnelles favorisées). L’établissement s’apprête à prendre des mesures pour tendre vers 100 % de boursiers.

 Au début des années 2000, Richard Descoings, le patron de l’école, s’inquiète de voir des élèves tous pareils, venant des mêmes établissements, situés dans les mêmes quartiers parisiens. Henri-IV, Louis-le-Grand, Victor-Duruy pour le public, Stanislas, Saint-Louis de Gonzague, l’Ecole alsacienne pour le privé, tous implantés dans les IVe, Ve, Vle, VIIe et XVIe arrondissements de Paris. Une machine caricaturale qui donne raison à Pierre Bourdieu, l’auteur de la Reproduction, qui dénonçait en 1970 une société figée dans laquelle les fils de prof deviennent prof. Les sociologues des riches, le couple Pinçon-Charlot notamment, parlent des «ghettos du gotha». […]
 
En quinze ans, 1 611 étudiants, issus de 106 lycées situés dans 19 académies, ont fait leur entrée à Sciences-Po Paris par la filière CEP, et tout le monde la reprend peu ou prou. D’où sortent alors ces «plus de 40 %» de «faux CEP» de Sciences-Po, ces contrebandiers de la mixité sociale ? De bonne ou de mauvaise foi, les lycées partenaires ont laissé venir à eux des élèves qui n’auraient sans doute pas dû avoir accès aux ateliers Sciences-Po. Pour les proviseurs de lycées qui se trouvent à Sarcelles (Val-d’Oise), Montreuil, Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne) ou Roubaix (Nord), l’étiquette Sciences-Po permet d’attirer des enfants qui seraient partis ailleurs dans l’enseignement public ou dans le privé et donc de maintenir dans leur établissement une mixité sociale. D’où leur mansuétude, à laquelle s’ajoute la réticence des professeurs à refuser l’accès des ateliers Sciences-Po a des non-boursiers. Si l’objectif est de permettre aux uns de franchir les frontières sociales dans un sens, les enseignants se voient mal jouer aux douaniers sociaux en interdisant la présence d’un fils de prof ou de médecin dans ces ateliers. Ce qui explique les 40 % d’élèves CSP + venant de lycées situés en ZEP et le dévoiement de l’objectif fixé à l’époque. […]

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mercredi, 25 janvier 2017

Plus de 13 000 euros cachés au cimetière Montparnasse par des djihadistes

 

 

Selon Le Parisien, les enquêteurs sont parvenus à démanteler la cellule terroriste de Strasbourg en novembre dernier en faisant passer l'un des leurs pour un sympathisant djihadiste. Et ont découvert que des complices avaient dissimulé une grosse somme d'argent à Paris.

La planque des terroristes est plutôt surprenante. Selon Le Parisien, en juin 2016, les policiers antiterroristes ont récupéré 13 300 euros glissés entre les dalles d'une tombe à l'abandon du cimetière du Montparnasse (Paris 14e). L'argent était destiné à l'achat de fusils d'assaut par une filière djihadiste, démantelée fin novembre 2016 à Strasbourg et à Marseille. Le groupe s'apprêtait à commettre un attentat en France. 

Quelques mois plus tôt, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a reçu des informations indiquant qu'un certain Nil Shewil, alias Abou Taha Mohamed, préparait une action violente. Basé en zone irako-syrienne, il avait été filmé avec Rachid Kassim en train de décapiter deux otages.
  

"Prends un petit chemin de terre"

 

Pour déjouer ce projet, les policiers ont réussi à infiltrer le réseau. Le quotidien révèle ainsi qu'"ils ont réussi à faire passer l'un d'entre eux pour un sympathisant de la cause djihadiste". Contacté par l'émir, le policier infiltré a alors reçu pour ordre de trouver "quatre fusils d'assaut kalachnikov et seize chargeurs". 

Le "cyberpatrouilleur" reçoit plus tard un message sur l'application Telegram, utilisée par les terroristes, qui lui demande de récupérer l'argent dans le 14e arrondissement de Paris, ajoute Le Parisien: "Salam Aleykum frero, le paquet est dans le cimetière Montparnasse. Prends un petit chemin de terre qui part à gauche du panneau vert 28e division 3e section continue tout droit (...) tu trouveras la tombe au nom de (...), le paquet est entre la pierre tombale et la dalle de la tombe dans une fente." 

Six hommes arrêtés

 

Le lendemain, les policiers de la DGSI se rendent sur place et trouvent une enveloppe renfermant les 13 300 euros en billets de 50 et 100 euros.  

Entre novembre et décembre, six hommes ont été mis en examen et écroués, soupçonnés d'avoir voulu commettre cet attentat le 1er décembre en région parisienne, notamment à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et au 36 Quai des Orfèvres. Interpellés à Strasbourg et à Marseille pour, ils avaient fait allégeance au groupe Etat islamique et disposaient d'instructions "communiquées par un donneur d'ordre depuis la zone irako-syrienne".

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Prières de rue après la fermeture d’une mosquée prônant le djihad

 

 

Islam. En décembre 2015, la mosquée de Lagny-sur-Marne avait été fermée car des fidèles avaient été soupçonnés de prôner le djihad. Depuis, des prières de rues sont organisées dans la ville.

Le maire UDI de Lagny-sur-Marne va être reçu le 15 février prochain par le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux. Au programme du jour ? La situation de la mosquée de Lagny-sur-Marne. Fermée en décembre 2015, la mosquée était fréquentée par des fidèles soupçonnés de prôner le djihad armé et de participer au départ de jeunes Français vers la zone irako-syrienne. 

 Par la suite, neuf personnes avaient été assignés à résidence et vingt-deux autres interdites de sortie du territoire. Mais cette fermeture a provoqué une conséquence inévitable : la multiplication des prières de rues dans la ville. “Ils sont là cinq fois par jour. Ils sont une quinzaine en semaine. Le vendredi, quand ils sont plus nombreux, ils débordent sur des espaces publics. Il est important que cette situation ne perdure pas”, affirme le maire de la ville, des propos que rapporte Le Parisien. Il souhaite rouvrir la mosquée alors que l’Etat ne le souhaite pas. 

Pour le maire de la commune, “à partir du moment où l’Etat accepterait qu’il y ait de nouveau un lieu de culte, il faut qu’une association se forme, qu’elle soit validée par les services de l’Etat”. Au contraire, si l’Etat pense que cette mosquée constitue toujours un danger, alors il faut que ce soit à l’Etat de faire “cesser les prières de rue”. 

Source 

Le syndicat UNSA Police ose critiquer ces associations qui préfèrent aider les immigrés clandestins que les Français qui meurent de faim, de maladie ou de froid


« Alors que des dizaines de Français, quels que soient leur origine, sexe ou religion, meurent chaque année de faim, de maladie ou de froid, dans l’indifférence la plus totale, l’UNSA Police s’interroge sur la propension qu’ont ces associations à défendre les clandestins…

Commande politique, cash assuré en termes de subventions, ou les deux ? »
Pierre-Alain Depauw

Source 

Un viol diffusé en direct sur Facebook par des immigrés

 

 
Trois hommes ont été arrêtés à Uppsala, en Suède, accusés de viol collectif. Les médias locaux rapportent que la police est intervenue après avoir été informée qu’un viol était diffusé en direct sur Facebook via streaming. 
 
Les faits ont eu lieu tôt dimanche matin. La police en aurait été informée vers 9h00. 
 
Selon le journal local Aftonbladet, les membres d’un groupe Facebook fermé pouvaient assister en direct au viol. La jeune fille violée par un gang d’immigrés était presque inconsciente au moment des faits.
 
Lovisa, 22 ans, a expliqué à un journaliste qu’elle est venue sur la page par accident tout en bavardant en ligne. Ce qu’elle a vu l’a choquée, dit-elle. «Deux types poussant une fille sur le lit… J’ai d’abord pensé que c’était une plaisanterie mal orchestrée. Mais ce n’était pas le cas. »
 
Selon Lovisa, environ 200 personnes regardaient le viol en direct avant que la police n’arrive soudainement sur les lieux et que la vidéo s’arrête. 
 
Les violeurs sont d’origine immigrée. Ce qui explique probablement que la presse suédoise cache leurs visages. Le suspect principal se nommerait Emil Khodagholi et avait déjà été précédemment arrêté en 2012 pour avoir agressé un jeune de 16 ans avec une barre de fer.
 
Pierre-Alain Depauw
 

Immigration – Civitas irrite Régis Banquet, maire socialiste d’Alzonne et grand partisan de l’accueil des immigrés

 

 
Régis Banquet, le maire socialiste d’Alzonne (11), n’a pas du tout apprécié que Civitas diffuse un tract dans sa commune pour dénoncer l’invasion migratoire.
Sa réaction est publiée par la presse locale qui soutient la même politique d’installation de clandestins dans les communes rurales. Il accuse Civitas de mensonge alors qu’il accueille des Afghans sans demander l’avis de la population. Il se garde bien de mentionner s’ils sont réfugiés comme c’est répété par toute la propagande gouvernementale.
La « nouvelle pauvreté » est apparue en 1985 avec la création des Resto du Cœur. Ils sont une réaction généreuse à l’échec du gouvernement socialiste arrivé au pouvoir avec Mitterrand en 1981. La pauvreté a encore augmenté en 2015, sous un nouveau gouvernement socialiste, celui du calamiteux Hollande.
Fonctionnaire aux finances, l’administration chargée de collecter les taxes et les impôts responsables des faillites des entreprises et du chômage des Français ICI, Régis Banquet, le maire d’Alzonne manifestait encore récemment ICI toute sa servilité à l’égard du Président le plus impopulaire de toute la Ve République :
Respect pour l’élu, l’homme d’État, qui fait passer l’intérêt supérieur de la Nation avant toute autre considération personnelle ! Mais aussi respect pour le bilan de son action qui, n’aura malheureusement pas pu être à la hauteur de toutes les espérances. […] Mais, comme nos concitoyens que je rencontre tous les jours, je suis convaincu que l’essentiel, au-delà des trajectoires personnelles des femmes et des hommes politiques, réside dans l’action concrète, menée jour après jour, pour améliorer la vie quotidienne des Françaises et des Français.
Banquet refuse de voir cette terrible réalité du chômage qui touche nos compatriotes, comme il refuse de considérer le sort fait aux clandestins. Il n’est que le relai local de cette politique qui consacre ses budgets à loger des clandestins et à laisser mourir dans les rues les SDF français. Les SDF ne trouvent pas de logement car les « migrants » sont prioritaires ainsi que l’admet Le Monde ICI.
 
Maire, conseiller général, président de Carcassonne Agglo et fonctionnaire, Banquet cumule les mandats et les émoluments correspondants. Il peut s’en prendre à ceux qui dénoncent cette politique, et faire appel à une tradition humaniste qui est en réalité celle de la franc-maçonnerie.
 
En vertu de quelle tradition Alzonne aurait vocation à accueillir des musulmans Afghans ?
 
Il faut dénoncer ces élus et ces fonctionnaires prévaricateurs qui ont détournés les institutions à leur profit alors qu’elles devraient être au service du bien commun.
 
  Léo Kersauzie
 

Pays Bas: le 1er ministre durcit le ton contre l'immigration

 

 
Le premier ministre néerlandais, à l'approche des élections législatives qui se tiendront le 15 mars, a décidé de durcir le ton sur la question de l'immigration, rapporte aujourd'hui The Guardian.
Mark Rutte, chef du gouvernement depuis 2010, a publié une lettre ouverte dans laquelle il s'en prend aux étrangers qui ne s'intégreraient pas à la société néerlandaise. Il y indique que les personnes qui "refusent de s'adapter, et critiquent nos valeurs" devront "se comporter normalement ou s'en aller".

Les Néerlandais se sentiraient "de plus en plus mal à l'aise" avec ceux qui abusent des libertés une fois fois arrivés dans le pays. Par ailleurs, le premier ministre attaque les étrangers qui "harcèlent les homosexuels, sifflent les femmes en jupe courte ou jugent racistes les Néerlandais ordinaires".

Cette lettre n'est pas anodine dans un contexte de campagne électorale en vue des élections législatives de mars. Mark Rutte, également chef du Parti populaire libéral et démocrate (VVD), de centre-droit, doit faire face à la montée en puissance du mouvement d'extrême droite de Geert Wilders, le Parti pour la liberté (PVV). Allié du Front National, à l'échelle européen, le parti est connu pour ses prises de position contre l'islam et l'immigration.

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Culte/ La Mosquée de Paris ne veut pas d’un non musulman à la tête de la Fondation de l’islam de France

 

 
Culte/ La Mosquée de Paris ne veut pas d’un non musulman à la tête de la Fondation de l’islam de France
 
La Fédération de la Grande Mosquée de Paris (FGMP), que préside le recteur Dalil Boubekeur, a décidée de ne pas participer à la mise en place de  la Fondation de l’islam de France. Celle-ci appelle même, dans un communiqué, toutes les organisations, associations et instances des musulmans à rejeter l’initiative du gouvernement français, en raison de sa volonté s’«ingérer» dans la gestion du culte musulman.
 
«La FGMP dénonce toute forme d’ingérence dans la gestion du culte musulman  et de sa représentation, d’autant que l’élaboration des dites structures n’a  jamais fait l’objet d’une large concertation avec les musulmans de France», dit Boubekeur dans un communiqué.
 
La Grande mosquée de Paris, liée à l’Algérie, précisent à chaque fois les médias français, avait déjà, au mois de novembre dernier, refusé de prendre part à une réunion consacrée à la préparation de la mise en œuvre de la Fondation de l’Islam de France. Mais, le refus de la FGMP de s’impliquer dans la Fondation, lancée rappelons-le, par le ministère français de l’Intérieur, ne s’explique pas seulement par des craintes de voir l’islam de France mis sous tutelle des autorités. Selon une source proche de la Grande mosquée de Paris, citée par l’APS, il n’est pas question qu’une institution qui a pour mission de gérer les affaires des musulmans de France confiée à un non-musulman.
 
En effet, c’est l’ancien ministre Jean-Pierre Chevènement qui a été désigné pour présider cette Fondation. De plus, la Fédération de la grande mosquée de Paris voit d’un mauvais œil le fait que sur les 30 membres de la fondation, seuls trois représenteront la FGMP, alors qu’elle se prévaut d’être l’institution la plus représentative des musulmans de France.
 
En tout cas, le problème de la représentativité des musulmans au sein des institutions du gouvernement français se pose depuis quelques années déjà. Par le passé, le grande Mosquée de Paris était en opposition également avec Conseil français du culte musulman (CFCM).
 
Elyas Nour
 

L’élu écolo (EELV) de Montpellier transforme le McDonalds en mosquée

 

 
1-mmajdoul_afficheLu dans Le Midi Libre  du 19 janvier (extrait) :

Les tags recouvrent murs, vitres. Au pied du Grand-Mail et de la tour d’Assas, à quelques centaines de mètres du stade de la Mosson, l’ancien McDonalds, déménagé vers Juvignac à l’été 2005, sept ans après son ouverture, ressemble… à rien ! Surtout pas à une mosquée. C’est pourtant le destin promis par le propriétaire, Mustapha Madjoul, élu municipal d’opposition EELV à l’association musulmane Vivre en paix.

« La Piété, notre salle sur le Grand-Mail, est trop petite (220 m², NDLR), détaille son président Rachid Aboutayeb. Les vendredis de grande prière comme durant le Ramadan, une centaine de fidèles se masse sur les allées… Les voisins s’en plaignent. »


Jusqu’à 500 fidèles


Le futur lieu de prière pourra, lui, abriter jusqu’à 500 croyants. « Nous avons signé le contrat de location il y a trois semaines avec Monsieur Madjoul sur la base d’un local commercial accueillant des activités cultuelles et spécifiques ». Mustapha Madjoul avait, dans ce même local, exploité une pizzeria hallal, baptisée Top’s, dès le printemps 2006. » Lire l’article intégral

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Quartier de Juvisy saccagé: quinze interpellations à Athis-Mons

Des voitures, portes d'immeubles et un appartement avaient été saccagés dans la nuit du 14 janvier. La police a arrêté ce mardi matin quinze personnes grâce à la vidéosurveillance.

Il y a une dizaine jours, Juvisy-sur-Orge (Essonne) a vécu une véritable scène de guérilla. Ce mardi matin, la police a arrêté une quinzaine de suspects à Athis-Mons et Paray-Vieille-Poste, deux villes voisines, révèle Le Point. Placés en garde à vue, ils sont suspectés d'avoir participé aux violences qui ont eu lieu dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15 janvier: voitures vandalisées, portes d'immeubles fracturées, appartement saccagé. 

 "C'est probablement une histoire de bandes rivales entre différents quartiers de nos communes voisines, avait estimé le maire Les Républicains de la ville, Robin Reda. Ils cherchaient à régler des comptes avec quelqu'un. Manifestement, ils n'ont pas trouvé cette personne, ils se sont trompés d'appartement."  

Des jeunes de 15 à 22 ans

 

Au lendemain des faits, onze jeunes, âgées de 15 à 22 ans et qui font partis des arrestations de ce matin, avaient été interpellés. Faute d'indices, ils avaient été remis en liberté. Selon Le Point, la vidéosurveillance a permis de préciser le rôle actif de certains mis en cause. Ils étaient visiblement à la recherche d'un individu précis. 

La majeure partie des arrestations ont eu lieu dans la cité réputée difficile du Noyer-Renard, à Athis-Mons, a précisé une source policière. Ils ont été placés en garde à vue dans plusieurs commissariats du département. "Aucun mobile clair" de ce déchaînement de violences n'est encore apparu dans l'enquête, a dit la source policière. 

Un "sentiment d'insécurité persistant"

 

"Ce qui a frappé les gens, c'est le côté bande organisée", commentait auprès de L'Express un habitant, membre du bureau de "Juvisy c'est vous". L'association a lancé une pétition pour demander un "accroissement de la présence policière" dans la ville, pointant un "sentiment d'insécurité persistant".

"Les policiers sont en flux tendu depuis deux ans, poursuit-il. Après l'agression au cocktail Molotov de Viry-Châtillon [ville voisine] en octobre dernier, Bernard Cazeneuve avait promis plus de 100 policiers supplémentaires dans l'Essonne, on aimerait qu'une partie soit affectés à Juvisy-sur-Orge." En attendant, des patrouilles de la police municipale sont mises en place pour "rassurer les habitants".

Source 

Tentative d'entrisme islamiste dans la police ?

 

 
Un syndicat pose la question :
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2 février : conférence de Xavier Lemoine à Versailles sur l'islam

 

 

 

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Philippe de Villiers : « Nous sommes à la veille d’un changement de peuplement que nous ne voulons pas ! »

Bande de filles immigrées : le nouveau fléau marseillais

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