vendredi, 20 janvier 2017
Crèche de Beaucaire : la LDH saisit le Conseil d’État…
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Un 4ème refus pour le permis d'urbanisme de la nouvelle mosquée de Court-Saint-Etienne...
« Je n’ai plus de mot. C’est dégueulasse », souligne Abdelhafid Jellouli, coordinateur du projet de la mosquée Assalam. La communauté musulmane stéphanoise vient en effet de se voir, une nouvelle fois, refuser le permis d’urbanisme pour bâtir la future mosquée sur l’emplacement de l’ancien home Chantebrise à l’avenue des Combattants. Il s’agit du quatrième refus qui lui est opposé. « Il existe une communauté musulmane à Court-Saint-Etienne depuis plus de 50 ans et tout le monde est d’accord pour dire que notre communauté n’a jamais posé de problème », expose le coordinateur. « Cela fait presque 50 ans qu’il y a une mosquée à Court-Saint-Etienne et tout le monde est d’accord pour dire que la mosquée actuelle, dans un ancien dépôt, n’est absolument pas adaptée. La communauté a donc décidé de financer elle-même, entièrement, la construction d’une nouvelle mosquée. »
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Trois quarts de musulmans et 5 % d’Européens dans les prisons, l’islam radical se généralise
Même si les prisons ne sont pas la filière privilégiée du recrutement djihadiste, l’islam radical s’y est généralisé. Face à cette menace, les personnels pénitentiaires sont handicapés par le manque de moyens et l’absence d’arsenal judiciaire approprié.
« Dans les prisons parisiennes, il y a à peu près trois quarts de musulmans et seulement 5 % d’Européens. »Prières collectives illégales, apologie du terrorisme, prosélytisme omniprésent : le dernier ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar1 dresse un portrait alarmant des prisons françaises, devenues l’un des théâtres de la propagation de l’islam radical en France. Il aura fallu des centaines de morts pour que, en haut lieu, on prenne le problème au sérieux. Reste à se demander si les moyens mis en œuvre sont à la hauteur des enjeux.
Que se passe-t-il vraiment à l’ombre des cellules, derrière les portiques de sécurité, dans le secret des parloirs, entre les yeux des miradors ? Nous avons interrogé surveillants, hauts fonctionnaires de la pénitentiaire, directeurs honoraires ou en fonction, experts et conseillers qui, tous, vivent ou ont vécu la prison au quotidien. Derrière les grilles, on ne parle pas. Aussi ont-ils tous tenu à être protégés par un strict anonymat, refusant d’être identifiés, fût-ce par de faux prénoms.
Pour commencer, il faudrait connaître la véritable ampleur du problème. […]« Lors du ramadan, 80 % des détenus des prisons franciliennes demandent des plateaux-repas compatibles avec leurs impératifs religieux ».
L’une de ses collègues confirme : «Le Coran est, avec le Code de procédure pénale, l’ouvrage le plus emprunté dans les prisons.»Pour autant, tous deux rejettent toute corrélation systématique entre prison et radicalisation. « Il est ridicule de jeter la pierre à la seule pénitentiaire. Avant d’atterrir chez nous, ils ont fréquenté des terreaux infiniment plus favorables à la radicalisation. Il peut exister un phénomène de contagion, mais la prison est loin d’être un élément déclencheur. » […]
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Expulsions de clandestins : l’impéritie du pouvoir
Tous les chiffres sont en baisse : éloignements contraints, aidés ou « départs spontanés ». Pas de quoi affoler la Direction générale des étrangers en France, dont les représentants assurent que « ces évolutions ne traduisent pas un relâchement ». Adepte de la méthode Coué, la Direction générale des étrangers en France estime que le rétablissement des frontières (tout relatif) aurait permis de signifier environ 60.000 non-admissions sur le territoire français pour l’année 2016.
Primo, ces personnes « refoulées » n’ont peut-être pas renoncé à s’introduire dans l’Hexagone. Un préfet, cité anonymement par Le Figaro, déclarait que « ces chiffres de non-admission » montreraient surtout « l’énorme pression migratoire ».
Ce qui m’amène à mon deuxième point : les chiffres du nombre d’expulsés ou de « refoulés » sont dérisoires quand on les rapporte à l’immigration, légale et illégale, prise dans son ensemble, mais aussi aux « stocks » d’immigrés non assimilés !
Ces méthodes ont été appliquées avec succès en Australie. Tous les clandestins sont immédiatement expulsés et l’immigration légale y est très strictement contrôlée. Qui pourrait, pourtant, nier que l’Australie reste une grande démocratie libérale ? Personne. Les socialistes nous laisseront un bilan calamiteux en matière d’immigration : 120.000 clandestins régularisés sur la base de la circulaire Valls de 2012, moins de 10 % des déboutés du droit d’asile reconduits à la frontière (!), l’abandon du placement des clandestins en centres de rétention administratif et la loi Cazeneuve qui a étendu le principe du regroupement familial et a complexifié les procédures d’expulsion.
Il faut tout changer. Sujet central de la prochaine élection présidentielle, l’immigration n’a jamais été correctement traitée par les partis qui se sont succédé au pouvoir, gauche et droite comprises. Si le docteur ne donne pas les bons médicaments et que vous continuez à être malade, continuez-vous à le consulter ? Marine Le Pen a le bon diagnostic et les bons remèdes.
Dominique Bilde
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Afrique : la crise migratoire n’en est qu’à son commencement !
Rappelons quelques données brutes pour commencer :
– l’immigration africaine a largement supplanté l’immigration moyen-orientale en 2016 ;
– selon Frontex, 93 % des personnes débarquées sur les côtes italiennes en 2016 provenaient du continent africain ;
– les Africains venant en Europe transitent par la Libye, pays en proie au chaos suite à la funeste décision de la communauté internationale, menée par Nicolas Sarkozy et Hillary Clinton, de l’attaquer ;
– parmi les « migrants » arrivés en Italie en 2016, des personnes venues indifféremment d’Afrique de l’Est comme d’Afrique subsaharienne (21 % de Nigérians, 11,7 % d’Érythréens, 7,2 % de Guinéens et 6,7 % d’Ivoiriens) ;
– quelques « migrants » sont éligibles au droit d’asile, véritable machine à blanchir les clandestins, quand les autres, beaucoup plus nombreux, ne sont que de simples « migrants économiques » ;
– quand les pays commencent à se développer, les candidats à l’émigration se font plus nombreux parce qu’ils ont les moyens techniques, intellectuels et financiers de nourrir un tel projet ;
– les Maghrébins continuent à arriver en Europe, par tous les moyens mis à leur disposition, le plus souvent légaux (il faudra y mettre un terme) ;
– la natalité continue d’exploser au Sahel, zone francophone comprenant notamment la Mauritanie, le Burkina Faso et le Tchad ;
Rien de très réjouissant pour nous. Insuffisamment préparés et culpabilisés par l’idéologie mondialiste, nous ne sommes pas en mesure de lutter contre ce qui ressemble de plus en plus à une invasion, pire que celle que vécut l’Empire romain finissant au cours des Ve et VIe siècles après Jésus-Christ.
Ce que nous disions, sous les injures, est confirmé par toutes les études sérieuses en la matière : les « migrants » sont pour la plupart des Africains, viennent pour des motifs économiques et ne devraient pas bénéficier du régime de l’asile, lequel est par ailleurs très souvent dévoyé. L’asile n’est pas un droit. C’est une faveur que nous accordons.
Il suffit de songer aux difficultés que l’immigration cause à la France comme au reste de l’Europe, y compris les petits-enfants d’immigrés qui ne sont pas encore intégrés, pour mesurer l’ampleur des dégâts que pourraient causer ces mouvements de population inédits. Nous pourrions sombrer et, avec nous, toute une civilisation qui a longtemps été un phare pour le monde.
Gabriel Robin
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Église et immigration : Le grand malaise de Laurent Dandrieu
On peut écrire un livre par plaisir. Celui-ci, on le sent, a été écrit par devoir. Parce qu’il fallait bien, un jour, que quelqu’un crève l’abcès. Que quelqu’un pose les questions qui fâchent, non pas de façon épidermique, mais en posant les faits. Et qu’il le fasse de l’intérieur, avec un regard catholique, une connaissance de l’enseignement bimillénaire de l’Église, et un respect filial.
Et c’est aussi un devoir pour nous autres, catholiques, de le lire.
Parce que nous n’avons pas le droit de rester dans un confort intellectuel schizophrénique qui écarte comme une mouche importune les incohérences : combien peuvent prétendre, en leur for intérieur, considérer en toute quiétude ce déferlement migratoire ? Mais combien osent en parler, tant, en haut lieu, le clergé semble tout acquis à la cause de cet accueil total ? Comme l’écrit Laurent Dandrieu , il est « plus facile de se situer sans autre question dans le camp des belles âmes qui prônent une générosité inconditionnelle à l’égard de ces migrants que de passer pour un cœur sec en rappelant certaines évidences ».
Parce que la charité n’est pas l’utopie. Parce que l’universalisme n’est pas le mondialisme, le catholicisme n’est pas « l’autrisme », comme l’appelle Laurent Dandrieu , ni la religion de l’indifférence. Parce que seul Dieu peut aimer tous les hommes pleinement et également, et ce serait se croire son égal que de s’en prétendre capable. Parce que notre devoir d’État nous commande de prendre soin, d’abord, de notre prochain que le hasard (« Dieu qui passe incognito », dit-on) a mis sur notre route. Parce que saint Thomas professe lui-même, comme le rappelle l’auteur, que « toutes choses étant égales, les plus proches ont un droit de priorité ».
Parce qu’un père de famille qui accueillerait toutes sortes d’étrangers au grave détriment de ses enfants ne serait pas qualifié de généreux mais d’irresponsable. Et qu’il en est de même, par extension, pour un gouvernant.
Parce qu’étant croyants, nous pensons que notre foi est notre plus grand trésor et que ses manifestations culturelles ne sont pas d’orgueilleux musées, mais autant de moyens d’oraison, catéchisation, méditation, contemplation, célébration de la création que nous souhaitons faire partager, connaître et rayonner, mais non laisser submerger, engloutir, piétiner par une autre religion conquérante débarquant en masse.
Parce que la charité, c’est aussi se laisser aider, et nous devons donc écouter nos frères chrétiens d’Orient lorsqu’ils nous mettent en garde.
Parce qu’aborder ces sujets, ce n’est pas, comme le dit Laurent Dandrieu , « accabler l’Église » mais, au contraire, « tenter modestement de l’aider ». On a assez reproché à celle-ci de garder une respectabilité souriante de façade en cachant sous le tapis les sujets inconvenants pour éviter, par un nouveau tabou, de récidiver.
Si, depuis Pie XII, règne sur le sujet de l’immigration une certaine ambiguïté, il faut dire que la question ne s’est jamais posée avec autant d’acuité. C’est donc maintenant qu’il est urgent d’y revenir, en regardant en face la réalité. Si le dialogue interreligieux, par esprit d’apaisement, a pu générer un inconscient syncrétisme qui paralyse face à l’islam, c’est aujourd’hui qu’il faut l’évoquer, en toute vérité. Et c’est un service à rendre à l’Église que de montrer à tous ceux qui, amers, l’assimilent à une élite déconnectée et indifférente au sort de ses ouailles son aptitude à en parler sans faux-semblant.
Gabrielle Cluzel
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Un policier avec son arme a été écarté d’un match du mondial de handball
Tout d’abord, les règles relatives à la légitime défense des policiers. Ce vaste chantier, dont il est question depuis de nombreuses années, et qui ne consisterait, en fin de compte, qu’à aligner sur les policiers la procédure applicable aux gendarmes, se trouve régulièrement retoquée et sans cesse reportée. Une tentative législative, récemment initiée par l’actuel pouvoir, risque à son tour de s’enliser dans les sables électoraux d’une période peu propice à ce genre de réforme. Il y a en effet fort à parier que, face aux campagnes de presse et d’opinion, cette mesure, pourtant indispensable à la sécurité dans notre pays, connaisse le même sort que les initiatives identiques qui ont précédé.
Le deuxième exemple peut être emprunté à l’actualité. Il y quelques jours, un policier qui venait en famille, mais en possession de son arme de service, assister à un match du Mondial de handball s’est vu refuser l’entrée de la salle. Pourtant, depuis plusieurs mois, suite aux attentats, tous les policiers sont autorisés à être porteurs de leur arme même en dehors du service normal. Cette mesure, destinée à permettre une réaction rapide des forces de l’ordre en cas d’actions terroristes, n’est cependant pas applicable dans les lieux privés. Et c’est la loi. En effet, seul le propriétaire d’un tel lieu est en mesure de pouvoir accorder, ou non, le droit d’accès à un fonctionnaire de police (ou à un gendarme) porteur de son arme.
Une telle situation n’est pas sans poser de nombreuses questions. Tout d’abord, quelle signification, et surtout quelle portée peut avoir un état d’urgence dont les modalités pratiques d’application peuvent rester à l’appréciation de personnes privées ? L’intérêt général qui recouvre la notion de sécurité publique doit-il pouvoir être déterminé par des personnes n’ayant pas forcément les compétences pour ça ? Ensuite, malgré les expériences dramatiques vécues, comment peut-on encore accepter de faire courir un risque mortel à nos concitoyens, en se privant sciemment de l’aide de la force publique ? Enfin, plutôt que de tergiverser sur des sujets sans intérêt, le moment n’est-il pas venu de faire évoluer notre arsenal législatif pour permettre aux policiers et aux gendarmes d’intervenir en tout temps et en tout lieu.
Malgré ses expériences douloureuses, la France n’a toujours pas choisi de lutter contre le terrorisme. Bien que la menace soit plus que jamais à un niveau élevé, les autorités temporisent et hésitent à prendre les mesures de bons sens qui s’imposeraient. Faudra-t-il un autre Bataclan pour que l’on comprenne enfin que les terroristes, eux, n’ont que faire de la distinction sphère publique/sphère privée ?
Olivier Damien
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Jean-Paul Gourévitch : « Les statistiques de l’INSEE sur le solde migratoire sont un enfumage »
Jean-Paul Gourévitch : "Les statistiques de l... par bvoltaire
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Jean-Paul Gourévitch conteste les statistiques de l’INSEE qui, selon lui, confond dans ses calculs immigration et expatriation et oublie les naissances d’origine étrangère. Il réclame la mise en place d’un observatoire indépendant des migrations qui permettrait d’éviter les schémas, les amalgames, les rumeurs et les faux chiffres.
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Retour au tribunal le 15 février pour la mosquée de Montfermeil
La mairie de Montfermeil a assigné l’association pour faire exécuter les décisions de justice visant le pavillon transformé en lieu de culte depuis plus quinze ans, avenue Jean-Jaurès. En cause : des extensions illégalement construites, des amendes de plusieurs dizaines de milliers d’euros et l’accueil du public. Plusieurs procès ont déjà eu lieu. « Un certain nombre de régularisations ont été faites, une demande d’ouverture au public a été déposée et nous attendons une réponse », a expliqué l’avocat de l’association Me Hatem Hsaïni à la sortie du tribunal pour justifier sa demande de délai. L’audience a été renvoyée au 15 février.
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Nos excellences et le sens du ridicule
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Opérations antiterroristes autour de Strasbourg et Trappes ce mardi
« Une vague de perquisitions et d’interpellations a été menée mardi dans cette commune des Yvelines, « bastion » du djihadisme français.
Les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) épaulée par le Raid ont investi plusieurs appartements des quartiers populaires de la ville de Trappes, dans les Yvelines. Selon différentes sources, certains des individus interpellés seraient en lien avec des « Trappistes » combattants en Syrie. D’autres sources font état de l’achat de matériel « sensible » nécessaire à la préparation d’attentats. Contacté par Le Point, le parquet antiterroriste n’a pas répondu à nos sollicitations. Le ministère de l’Intérieur a confirmé l’information, mais ne souhaite pas « faire plus de commentaires à ce stade de l’enquête ». La direction de la DGSI, quant à elle, « ne souhaite pas communiquer sur une enquête en cours ».(…)
Depuis plusieurs mois, Trappes fait l’objet d’une attention particulière de plusieurs services de renseignements français. Près d’une centaine de jeunes hommes et femmes parfois avec leurs enfants ont rejoint les rangs de l’organisation État islamique dans les zones de combat en Irak et en Syrie ces dernières années. (…) Lire la suite
A Strasbourg :
La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a mené plusieurs opérations antiterroristes, ce mardi dans la banlieue de Strasbourg. Selon les informations de nos confrères des Dernières Nouvelles d’Alsace, les hommes de la DGSI ont pénétré dans un immeuble de deux étages, situé dans un quartier résidentiel de Schiltigheim.
Un jeune homme d’origine turque, entre 20 et 30 ans, qui vivait là avec sa mère et deux autres membres de sa famille, a été placé en garde à vue.
Toujours selon le quotidien, d’autres opérations ont été dirigées en même temps. Selon des témoins, des policiers lourdement armés et encagoulés auraient été aperçus devant un immeuble de la route du Rhin, à Neudorf.
Trois personnes auraient été placées en garde à vue.
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jeudi, 19 janvier 2017
Trappes (78): opérations antiterroristes dans le « bastion du djihadisme français »
Les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) épaulée par le Raid ont investi plusieurs appartements des quartiers populaires de la ville de Trappes, dans les Yvelines. Selon différentes sources, certains des individus interpellés seraient en lien avec des « Trappistes » combattants en Syrie. D’autres sources font état de l’achat de matériel « sensible » nécessaire à la préparation d’attentats. Contacté par Le Point, le parquet antiterroriste n’a pas répondu à nos sollicitations. Le ministère de l’Intérieur a confirmé l’information, mais ne souhaite pas « faire plus de commentaires à ce stade de l’enquête ». La direction de la DGSI, quant à elle, « ne souhaite pas communiquer sur une enquête en cours ».(…)
Depuis plusieurs mois, Trappes fait l’objet d’une attention particulière de plusieurs services de renseignements français. Près d’une centaine de jeunes hommes et femmes parfois avec leurs enfants ont rejoint les rangs de l’organisation État islamique dans les zones de combat en Irak et en Syrie ces dernières années. (…)
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Remous autour de la grande Mosquée de Marseille
Alors que les travaux de la grande Mosquée de Marseille devraient débuter en décembre prochain, une demande de permis de construire devait être formulée le 15 mai avant la fin du mois en cours, des voix s´élèvent déjà pour s´opposer à ce projet. Ces opposants ont même exigé de Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, de surseoir à toute décision concernant le permis de construction. D´ailleurs, un recours d´annulation a été déposé auprès de la Cour d´Appel de Marseille. Mais le prétexte avancé a trait au fait que le budget serait augmenté passant de 8 à 22 millions d´euros. Ce qui, selon les opposants, dénaturerait l´esprit du projet, particulièrement sur la durée du bail qui se transformerait en achat du terrain par l´association musulmane.
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Paris : animateur de la ville, Nassim, pédophile présumé, s’était enfui en Algérie
Un homme de 24 ans, , Nassim H, vient d’être écroué après avoir été mis en examen pour une agression sexuelle sur une mineure de 10 ans à Paris. Les faits remontent à l’été 2016. Le suspect s’était réfugié en Algérie après les faits. De retour en France la semaine dernière, il a été interpellé à sa descente d’avion, mis en examen et écroué. . Les investigations se poursuivent afin d’identifier d’éventuelles autres victimes.
Employé comme animateur par la ville de Paris, le suspect s’en était pris à une fillette, le 28 juillet dernier, alors que cette dernière regagnait le domicile de ses parents, du côté du boulevard de la Chapelle dans le XVIIIe arrondissement.
Après avoir agrippé sa victime par un bras, l’agresseur l’a ensuite forcée à le suivre dans le hall d’un immeuble avant de descendre dans les caves. Il l’a ensuite menacé de mort à plusieurs reprises avant de prendre la fuite.
Sous le choc, la fillette a trouvé refuge auprès de proches. Ces derniers ont aussitôt alerté la police. Un minutieux travail d’investigations a permis d’isoler un ADN sur les lieux des faits. Enregistré dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), il a rapidement « matché » avec celui d’un homme, connu pour infraction à la législation sur les stupéfiants. […]
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Viry-Châtillon: les gardes à vue prolongées
Les gardes à vue des onze personnes interpellées hier matin dans l’enquête sur l’attaque de policiers début octobre à Viry-Châtillon ont toutes été prolongées de 24 heures aujourd’hui.
« Sauf alibi solide pour l’un des suspects le jour des faits, nous irons a priori au bout des 96 heures », durée maximale de la garde à vue pour ce type d’affaire, a indiqué une source policière. « Le gros du travail a été fait en amont pour recueillir un maximum de d’éléments mais les prochaines heures vont être décisives », a ajouté cette source.
Les auditions, menées par les enquêteurs de la Sûreté départementale de l’Essonne, doivent permettre « d’entendre et de confronter des personnes, dont certaines sont susceptibles d’avoir participé aux faits », avait expliqué mardi le parquet d’Évry. Le contenu des téléphones portables et du matériel informatique saisis lors des perquisitions doit également être analysé.
Sur les onze interpellations, neuf se sont déroulées dans le quartier difficile de la Grande Borne à Grigny, ville voisine de Viry-Châtillon. Les deux autres, ont eu lieu à Étampes, dans le sud de l’Essonne, et en Seine-et-Marne.
Neuf majeurs et deux mineurs
Le groupe de suspects compte neuf majeurs, dont quatre étaient mineurs au moment des faits, et deux mineurs âgés de 17 ans. Deux d’entre eux font déjà l’objet d’une mise en examen et d’un placement sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une autre affaire dans le Val-de-Marne. Un troisième, régulièrement interpellé par la police, a déjà été condamné pour des violences volontaires par le tribunal pour enfants.
Dans cette enquête confiée à deux juges d’instruction, un adolescent de 17 ans, soupçonné d’avoir participé à la confection des cocktails Molotov utilisés lors de l’agression, a déjà été mis en examen et écroué début décembre, avant d’être remis en liberté. Un second mineur âgé de 15 ans, soupçonné aussi d’avoir participé à la fabrication des engins incendiaires, avait été placé sous le statut de témoin assisté, intermédiaire entre la mise en examen et l’état de simple témoin.
Le 8 octobre, une quinzaine d’agresseurs avaient incendié deux voitures de police, occupées par quatre agents en mission de surveillance près d’un feu rouge connu pour ses vols avec violences sur des automobilistes.
L’agression, qui avait grièvement brûlé deux policiers et blessé plus légèrement les deux autres, avait déclenché un mouvement de fronde, inédit par son ampleur, chez les policiers.
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Toujours plus d’immigrés en France, et toujours moins d’expulsions !
10:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Syrie/Alep : le seul résultat des rebelles, c’est la destruction !
A la mosquée des Ommeyyades par bvoltaire
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À la célèbre Grande Mosquée des Omeyyades désormais en ruines, Charlotte d’Ornellas a tendu son micro aux Alépins. Leur jugement sur les rebelles est sans appel : ce sont des ignorants qui ont été attirés par l’argent et ont vendu leur pays.
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Saccages à Juvisy-sur-Orge : un remake d’Orange mécanique !
Ainsi, en plein week-end, une vingtaine de jeunes, cagoulés et armés de barres de fer, de battes de baseball et de machettes, ont fait irruption sur la voie publique, détruisant voitures et halls d’immeubles. Un appartement a même été saccagé, alors que ses occupants (dont un enfant) s’y trouvaient encore. Fort heureusement, il semblerait que ce règlement de comptes entre bandes rivales – puisque c’est de cela qu’il s’agirait – se soit achevé de manière moins dramatique que le film de Stanley Kubrick. Il n’empêche, une telle violence déployée en pleine rue, à une heure où de nombreux passants peuvent circuler, ne peut que poser de nombreuses interrogations sur l’état sécuritaire dans lequel se trouve notre pays.
Depuis des mois, malgré la présence sur le terrain de nombreux militaires et policiers dans le cadre de la lutte antiterroriste, la délinquance ne cesse de s’aggraver. Les chiffres ont été soigneusement « travaillés » par le ministère de l’Intérieur pour que le bilan du quinquennat puisse s’achever sur une note pas trop noire, comme ce sera sans doute le cas dans d’autres domaines (chômage, dette). Mais les faits sont là, têtus, attestant du fait que nombre de nos quartiers deviennent de véritables coupe-gorge.
Ce nouveau fait divers, qui ne manquera pas de provoquer des déclarations tout aussi martiales qu’inefficaces, renvoie à l’organisation et au fonctionnement de nos services de police. Il aura fallu une heure et demie pour que les premiers policiers arrivent sur place et procèdent à des interpellations.
Ce délai, anormalement long, s’explique pourtant de différentes manières.
Ce fait divers rappelle, une fois encore, la nécessité qu’il y a à opérer une vraie réforme de nos services de sécurité. Effectifs et matériels supplémentaires ne suffiront pas à endiguer la montée de violence que connaît notre société. C’est une réforme de fond qu’il faut. À cet égard, les actuelles propositions formulées par nos candidats à la présidentielle sont d’ores et déjà insuffisantes.
Olivier Damien
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10:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Anis Amri drogué : incompatible avec l’islam ?
Selon le même journal, il était même probablement sous influence au moment de perpétrer, au volant d’un camion, la tuerie qui a ensanglanté le marché de Noël berlinois. Pourtant, lors de son arrestation, le 23 décembre, à Milan, les policiers n’avaient trouvé aucune trace de drogue sur lui.
Que faut-il conclure de ces informations ?
Écartons d’emblée l’hypothèse, complotiste, de mensonges en série qui partiraient des services de renseignement teutons et qui auraient, ensuite, été abondamment relayés par la presse.
Néanmoins, la conjecture d’un Anis Amri drogué jusqu’au moment des faits arrange les islamophiles désireux de dédouaner la religion dans les attentats commis.
De la même manière, ils ont souvent vu des « détraqués » n’ayant rien à voir avec l’islam plutôt que des islamistes derrière les tueries de masse.
A priori, être musulman et drogué est incompatible. Pourtant, le cas d’Anis Amri est révélateur d’une problématique forcément plus complexe que les islamologues et les sociologues, souvent inféodés à la pensée admise, n’ont jusqu’à présent su — ou voulu — démêler.
Nombre de terroristes ayant agi sur le territoire européen, ces dernières années, émargeaient à la petite délinquance, milieu dans lequel la drogue n’est jamais éloignée, tout en se « fondant » dans leur environnement – certains ont été aperçus en boîte quelque temps avant leurs méfaits.
Pour ces jeunes voyous, aguerris dès le plus jeune âge, donc, aux méthodes de la criminalité, tantôt pour gagner de petits revenus, tantôt sans autre but que la violence gratuite, l’islam et ses injonctions guerrières sont venus agrémenter leurs errances d’un but transcendant l’intérêt personnel, immanent et immédiat.
Il faut, dans ce cas, distinguer, d’une part, les délinquants ayant rangé leur vie passée pour vivre pleinement un islam radical et mener le petit djihad (guerre sacrée contre les infidèles) après avoir mené le grand djihad (interne, spirituel) et, d’autre part, les voyous désireux de mener la guerre sainte (en réalité une guerre contre l’Occident) sans avoir fait, au préalable, un travail spirituel sur eux-mêmes. Anis Amri semble appartenir à cette seconde catégorie.
Gregory Vanden Bruel
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Jean-Paul Gourévitch : « Les demandeurs d’asile les plus nombreux sont les Albanais, pas les Syriens ! »
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« Malheureusement, Juvisy-sur-Orge est tout sauf une exception ! »
Xavier Raufer : "Malheureusement, Juvisy-sur... par bvoltaire
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Un groupe d’une trentaine de jeunes, armés notamment de sabres, de machettes, et de barres de fer, a saccagé un quartier de Juvisy-sur-Orge dans la nuit de samedi à dimanche. Un véritable déchaînement de violence qui a vu des portes de hall d’immeubles défoncées, des véhicules abîmés et un appartement ravagé sous les yeux d’un père de famille et de son bébé.
Les habitants du quartier sont encore aujourd’hui sous le choc.
Réaction de Xavier Raufer.
09:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés
09:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mahomet ou Mohamed ?
Cette question, qui a l'air anodine et ressemble à un non-sujet, est pourtant importante, car elle dénote l'état d'esprit de celui qui emploie telle ou telle orthographe du nom du "prophète". Soutenue en cela par Tareq Oubrou lui-même (!), Annie Laurent dans la Petite Feuille Verte montre que l'orthographe traditionnellement utilisée en France et fixée depuis le XVIIIe siècle, Mahomet, est une francisation du nom du "prophète" qui a toujours été utilisée dans les écrits de langue française, et que cette orthographe ne constitue en rien une dépréciation du personnage. Cette graphie de Mahomet a permis la création et l'usage du terme "mahométan", qui signifie un adepte de l'islam et rien d'autre.
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Le grand remplacement, l'un des axes principaux de la campagne de Nicolas Dupont-Aignan
Nicolas Dupont-Aignan a lancé sur Twitter :
Au Figaro il répond :
«Si nous voulons un État en capacité d'assimiler les nouveaux venus, il faut d'urgence réguler l'afflux de nouveaux migrants». «En 5 ans, la France a accueilli près d'un million d'immigrés légaux (…) le nombre de titres de séjour accordés a encore augmenté en 2016 pour atteindre 227.550. Le nombre d'immigrés légaux annuels a ainsi explosé de 32,3% par rapport à il y a 10 ans! À cette immigration légale s'ajoute l'ensemble des clandestins qui vivent sur notre territoire en bénéficiant de l'appel d'air social, tout en profitant du laxisme socialiste en matière d'expulsions: au moins 300.000 au regard des bénéficiaires de l'AME».
«Il faut arrêter d'avoir peur des mots. Cette prise de position est tout à fait réfléchie et je brise ce tabou volontairement. Je ne suis pas pour l'immigration zéro, mais pour la prise en compte de ce remplacement rampant».
Source«Le choc démographique historique qui s'annonce en Afrique devrait être une obsession de tout futur chef d'État. La population pourrait y croître dans les années à venir d'un million d'individus. Si je suis président de la République, il y aura une carte de l'Afrique placardée dans mon bureau».
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Fournes-en-Weppes : un calvaire profané
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Nantes : après les lycéens, des séminaristes visitent la mosquée de l’UOIF
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L'immigration en hausse de 4,6% en France en 2016
Les autorités soulignent l'impact des réfugiés sur le bilan, les titres "humanitaires" ayant en effet augmenté de 45%, à 19.845.
Dans le même temps, l'immigration professionnelle est restée modeste, à 22.600 titres, même si cela représente une hausse de 9,4%. Le principal motif d'admission au séjour reste l'immigration familiale, qui a cependant reculé de 2,3% à 88.000 titres.
En 2016, les éloignements forcés d'étrangers en situation irrégulière sont en baisse de 16,3 %, à 12.961 après 15.485 en 2015.
Dans le contexte du rétablissement des contrôles aux frontières intérieures, cette évolution est à rapprocher de la très forte augmentation des non admissions d'étrangers en situation irrégulière prononcées aux frontières (63.732 en 2016 contre 15.849 en 2015, +302 %), souligne le ministère.
(Gérard Bon)
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mercredi, 18 janvier 2017
Mantes-la-Jolie : la mosquée va bientôt passer sous pavillon marocain
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Quelle réalité de l'immigration en France ?
-La France est-elle un pays d'immigration massive ?
Oui elle l'a été... à la fin des années 1920, lorsque le pays affichait un taux d'immigration record devant les États-Unis, ou dans les années 1950-1960. Aujourd'hui, avec en moyenne 200 000 immigrés (définis comme des personnes nées étrangères à l'étranger) qui sont entrés chaque année sur le territoire français entre 2004 et 2012 selon l'INSEE ou 235 000 en 2013, soit entre 0,3 % et 0,4 % de la population française, on est loin d'un phénomène massif. A titre de comparaison, ce chiffre correspond à l'arrivée de 291 supporters dans un Stade de France de 81 000 places. Avec un tel taux d'immigration, la France est en dessous de la moyenne des pays de l'OCDE, qui s'établit à 0,6 %. En outre, pour évaluer de façon pertinente le flux d'immigrés, il faut soustraire aux 235 000 entrées de 2013 les 95 000 immigrés qui ont quitté la France cette année là, ce qui porte le flux net d'entrées d'immigrés à 140 000.
Une autre façon de répondre à la question est de quantifier la contribution des migrations à la croissance de la population française. Pour cela, il convient de comparer le flux net d'immigrés au solde naturel (naissances moins décès). En 2013, la France comptait 243 000 naissances de plus que de décès. L'apport de l'immigration net à la croissance de la population française est donc de moins de 40 % (140 000 / (243 000 + 140 000)). A comparer aux presque 200 % que représente l'apport des migrations à la croissance de la population allemande, du fait d'un solde naturel négatif lié à une fécondité en berne.
-Donc pas tant d'entrées nettes que ça chaque année. Mais qu'en est-il de la présence immigrée en France ?
Au siècle dernier, la part des immigrés dans la population française est passée de 6,6 % en 1931 à 7,4 % en 1975, puis s'est stabilisée jusqu'au milieu des années 1990. En 2014, l'INSEE a recensé un peu moins de six millions d'immigrés en France, soit 8,9 % de la population. Parmi eux, 3,6 millions sont de nationalité étrangère et 2,3 millions, soit 39 % des immigrés, ont acquis la nationalité française. Selon l'OCDE, la France se situe ainsi au 17ème rang des pays développés pour la part d'immigrés dans la population ; en Allemagne et aux Etats-Unis, par exemple, 13 % de la population est immigrée en 2013.
-Ces chiffres sont-ils conformes à la perception que les Français en ont ?
Loin de là. Les Français interrogés en 2010 par le Transatlantic Trend Survey estimaient que la part des immigrés était de 24 % alors qu'elle n'était que de 8,5 %. Cette surestimation du nombre d'immigrés qui résident dans leur pays n'est d'ailleurs pas propre aux Français. Les Allemands et les Américains, par exemple, estiment le pourcentage d'immigrés dans leur population respective à 22 % et 37 %, bien au-delà des 13 % réels.
< Ces écarts sont-ils liés à l'immigration irrégulière ?
Chiffrer l'immigration irrégulière est par définition difficile. Mais si l'on s'appuie sur les 282 000 demandes de l'aide médicale d'État offerte en 2013 aux étrangers en situation irrégulière ou même sur le chiffre plus élevé qui circule de 500 000 immigrés en situation irrégulière, la part des immigrés dans la population française n'atteint pas 10 %. On est toujours loin de la perception des Français.
-Mais alors pourquoi un tel écart ? Est-ce dû à l'inégale répartition des immigrés sur le territoire ?
Probablement. La très forte concentration locale des immigrés et leur surreprésentation dans des quartiers précarisés et modestes peut conduire les Français à estimer qu'il en va ainsi ailleurs et donc à surestimer le nombre d'immigrés dans le pays.
Cet écart entre le chiffre et la perception tient aussi à des confusions, comme celle entre immigrés et personnes nées en France de parents immigrés qui, par définition, n'en sont pas. Cependant, si on ajoute à la population immigrée les individus nés en France dont au moins l'un des deux parents est immigré, on obtient une proportion d'environ 19 % de la population française en 2011, ce qui pourrait indiquer que cette confusion contribue à l'écart observé. Le regroupement familial fait l'objet d'une autre confusion lorsque le discours politique en fait la principale source d'immigration en France, alors qu'il a représenté moins de 24 000 personnes immigrées en 2014 selon le ministère de l'intérieur, soit 11 % seulement du total. C'est un dispositif qui permet aux étrangers vivant en France de faire venir conjoint et enfants de moins de 18 ans. Il ne faut pas le confondre avec l'entrée des membres étrangers de familles de Français sur le territoire qui représente la plus forte composante des admissions au séjour pour motif familial (99 374 personnes).
-Cette perception de l'immigration peut-elle changer ?
Pour cela, il faut informer davantage. Une étude réalisée par des chercheurs des universités d'Oxford et Bocconi montre clairement que les individus, lorsqu'ils sont informés des chiffres de l'immigration, sont moins enclins à considérer que les immigrés sont trop nombreux.
Source : INSEE
Propos recueillis par Isabelle Bensidoun & Jézabel Couppey-Soubeyran
-Pour aller plus loin
Chojnicki X. et Ragot L. [2012], « Pour une refondation de la politique migratoire française », Billet de Blog du CEPII, 18 juin.
Edo A. [2016], « Migrations et mouvements de réfugiés : état des lieux et conséquences économiques », in CEPII L'économie mondiale 2017, La Découverte, « Repères », Paris.
Grigorieff A., Roth C., Ubfal D. [2016], « Does Information Change Attitudes Towards Immigrants? Evidence from Survey Experiments », Available at SSRN: https://ssrn.com/abstract=2768187, November 12.
Héran F. [2005], « Cinq idées reçues sur l'immigration », Population et Sociétés, n° 397.
Insee Première [2014], Les immigrés récemment arrivés en France, n° 1524, novembre.
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18:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Immigration: Les réfugiés « Merkel » arrivent à Paris
13:37 | Lien permanent | Commentaires (0)