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mardi, 10 janvier 2017

La dévastation après la révolte des migrants : « Ils ont cannibalisé la structure »


Une semaine après la révolte de clandestins logés dans un centre d’accueil de Cona dans la région de Venise, en Italie, les responsables de la structure font le bilan des dommages. La dégradation du site est impressionnante : radiateurs et poêles fracassés, cameras de surveillance détruites, robinets cassés, mobilier vandalisé, salles de bain dévastées, infrastructures détériorées, tentes déchirées, tuyauterie déboulonnée, chaufferie bloquée et saleté partout !
 
En deux jours les « demandeurs d’asile » mécontents ont engendré cet exploit de dévastation.
« C’est un désastre, explique le directeur du centre, Simone Borile, au quotidien Il Giornale. Nous n’avons pas encore fait le bilan des dommages mais ils s’élèveront à plus de 100 000€. Une tente vaut déjà 30 00€. Pendant deux jours les personnes hôtes du centre ont bloqué les sorties, ce qui empêchait le ravitaillement en fuel domestique. Ils ont cannibalisé la structure, se sont construits des cabanes, ont été jusqu’à arracher les radiateurs électriques des salles de bain pour les emmener dans les tentes, les branchant aux prises électriques. Ils ont détruit les cameras, sur les 14 ils ont laissé intègres seulement celles inutiles. »
« Ils ont cassé les prises électriques, détaché les modules, vandalisé les installations de gaz, cassé les robinets, ont frappé et coupé la tuyauterie, débranché les chaufferies et en ont détruit une, poursuit-il. Nous avons du refaire les tests de pression aux installations. Une tente a été déchirée et nous avons du l’enlever. En deux jours ils ont pris des milliers de choses pour se faire à manger. Et ne parlons pas du fait qu’en bloquant l’énergie électrique certains tuyaux ont éclaté à cause du gel. »
25 employés du centre sont restés « séquestrés » à l’intérieur de la structure aux sorties bloquées par les immigrés clandestins. Apeurés, maintenant ils ne veulent plus aller travailler. Certains se sont mis en maladie et d’autres pourraient annoncer leur démission explique le journaliste de Il Giornale.
« J’étais parmi les otages lundi, explique Verena au journal local, et j’ai eu peur. Ce sera le parquet qui décidera s’il s’est agit ou non d’une séquestration mais moi je l’ai vécue ainsi. »
« Avant ces incidents la situation était déjà explosive. Alors ne parlons pas maintenant ! » ajoute un autre témoin.
Malheureusement de tels actes violents, qui auraient de quoi faire réfléchir les bobos de tout poil sur la réalité de l’immigration-invasion qui submerge l’Europe, ne les sortent pas de leurs illusions : de l’évêque qui défend les pauvres migrants mal-logés au responsable lui-même de la structure, Simone Borile, qui minimise ces incidents, « Ce n’est pas une révolte. Je ne me sens pas de les criminaliser. Ce n’est pas vrai que ce sont des délinquants, des révoltés », le politiquement correct tient bien corsetés ces beaux moralisateurs humanitaristes dans l’idéologie immigrationniste !
 
Francesca de Villasmundo
 

Foggia (Italie) : un migrant gambien met le feu à une crèche dans une église

Un migrant musulman qui « cherchait à détruire des symboles chrétiens » a été arrêté après qu’il a mis le feu à une crèche.




Le sans-abri a été pris en flagrant délit par le prêtre de l’église, qui a informé les autorités.

Ils se sont précipités sur les lieux et se sont battus pour contenir l’homme, qui souffrait d’une « crise psychophysique visible ».
Selon des informations locales,
le Gambien de 25 ans a déclaré à la police qu’il était musulman et qu’il voulait détruire des symboles chrétiens.
En plus de mettre le feu à la crèche, il a détruit une statue de Marie.
(…)
L’homme, titulaire d’un permis de résidence légale, vit en Italie depuis deux ans.
(…)

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

Non, l’Occident n’est pas mort !

Dans son nouveau livre Décadence, dont la sortie est prévue le 11 janvier, Michel Onfray prédit la fin de la civilisation judéo-chrétienne. Cette civilisation a « fait son temps », selon lui.
Il est vrai que le constat est alarmant : les vagues migratoires qui s’abattent sur l’Europe, la perte de l’identité nationale, la déchristianisation de la société et, enfin, la collaboration des élites au désir de conquête islamique font que l’Occident, autrefois chrétien, n’a plus d’âme ni d’espérance… 

Mais la France est éternelle et il faudra faire preuve de courage le jour où tout s’embrasera. Le jour où la machine de mort islamique se mettra en marche et voudra triompher d’un Occident gangrené et corrompu, il faudra retrouver cette ardeur qui a toujours animé les combattants français dans la défense de leur chère patrie. Le peuple de France a la capacité de se réveiller et de se révolter pour se reconstruire, soyons-en sûrs ! 

Les élites politico-médiatiques et consuméristes n’ont pas tout à fait achevé leur travail de déconstruction. Le peuple français a une âme, il suffit de la réveiller ! Contre le péril islamique, nous nous devons de défendre notre foi et notre France qui est et restera une terre chrétienne ! Il ne faut donc pas perdre espoir. « La fin de l’espoir est le commencement de la mort », disait le général de Gaulle. La France, fille aînée de l’Église, est dotée d’une Histoire glorieuse et éternelle ! Nous devons être les chouans du XXIe siècle, il ne faut pas se défiler, après il sera trop tard, l’ennemi ne nous aura pas attendus ! 

Le temps joue contre nous. Notre devoir, celui de notre génération, sera, selon les mots d’Albert Camus, d’éviter la mort de notre civilisation. « De nombreuses générations ont vu que leur devoir était de refaire le monde. 

La nôtre devrait se donner pour mission d’éviter qu’il se défasse. » Nous devons croire en notre force qui puise à une source intarissable : celle du baptême de notre pays. Nous ne pouvons plus supporter encore très longtemps les atteintes faites à l’Église et à la religion catholique. « Si supporter les injures qui n’atteignent que nous-même (enseigne saint Thomas) est un acte vertueux, supporter celles qui atteignent Dieu est le comble de l’impiété. » Nous devons agir et arrêter de nous cacher, comme nous l’a rappelé Benoît XVI. Le catholique n’a pas à avoir honte de sa foi. « Chacun est tenu de manifester publiquement sa foi, soit pour instruire et encourager les autres fidèles, soit pour repousser les attaques des adversaires », affirmait encore saint Thomas. À n’en point douter, notre action trouvera un écho – je veux, par là, faire allusion au réel besoin de transcendance qui émerge dans notre société. « Le XXIe sera spirituel ou ne sera pas », affirmait André Malraux. C’est aussi pour cette raison que, malheureusement, beaucoup de jeunes Français choisissent la voie de l’islam et partent rejoindre Daech en Syrie. L’islam constitue une réponse à leur besoin de transcendance. 

Cet idéal de la France qui est, aujourd’hui, foulé au pied, il n’appartient qu’à nous de le redresser car, comme l’affirmait encore André Malraux, « les idées ne sont pas faites pour être pensées mais vécues ». Contrairement à ce que pense Michel Onfray, je crois que notre civilisation n’a pas fait son temps… car elle est de notre temps, si nous le voulons…

Nicolas Pécari

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Bientôt des salles de shoot en prison ?


Nos prisons vont-elles devenir, à leur tour, des salles de shoot ? C’est ce que l’on peut craindre à la lecture du projet de réforme de la santé, qui prévoit la possibilité, pour certains détenus, dans le cadre de la lutte contre le SIDA en milieu carcéral, de se droguer en toute impunité à l’intérieur de leur cellule. 

Le décret qui devrait consacrer cet état de fait part du principe que les prisons ne sont pas étanches aux drogues dures – ce que l’on savait depuis longtemps – et qu’elles y circulent quasiment librement. Cette réalité, qui fait courir aux détenus des risques pour leur santé, doit donc être contrecarrée. La mise à disposition du matériel nécessaire à leurs injections personnelles étant censée répondre à cet objectif. Les mesures réglementaires envisagées prévoient même que les seringues seront propres, les produits stupéfiants répertoriés et que des médecins superviseront le tout.
La question que pourrait être amené à se poser le simple citoyen est pourtant celle de savoir si, plutôt que d’être le temps de la facilitation, voire de la complicité, la détention ne devrait pas être le moment propice au sevrage et à la désintoxication ? En effet, ne serait-il pas, pour la santé publique, plus efficace de dépenser l’argent du contribuable pour soigner plutôt que d’ancrer les détenus dans leurs pratiques déviantes ?

Par ailleurs, ne soyons pas hypocrites : si la toxicomanie est bien un facteur aggravant de la propagation du SIDA en prison, les pratiques sexuelles, consenties ou subies, entre détenus favorisent également la diffusion de cette maladie. 

Alors, pourquoi prétendre lutter contre un des aspects du phénomène, en feignant d’ignorer les autres. Dès lors, après la distribution de seringues, c’est bien celle des préservatifs qu’il faudra envisager. Mais il est vrai que, pour en arriver là, il faudrait assumer publiquement le fait que l’État et son administration ont abdiqué toute volonté de faire respecter les lois de la République derrière les barreaux de nos centres de détention.
 Mais, pour l’heure, c’est l’article 26 dudit décret qui fait réagir le plus vivement les surveillants pénitentiaires. Celui qui, justement, prévoit que les détenus pourront détenir des seringues dans leur cellule. Ils objectent en attirant l’attention de leur hiérarchie sur le fait que ces objets pourraient constituer des armes redoutables peu conciliables avec la notion de sécurité qui devrait normalement prévaloir en milieu carcéral. Les pourparlers entamés entre la corporation et les porteurs de cette brillante idée ont commencé dans la douleur et promettent d’être musclés.

Si l’on peut entendre les arguments des promoteurs de cette décision, qui reprennent ceux développés lorsqu’il a été question d’ouvrir des salles de shoot en plein Paris, on ne peut que déplorer la nouvelle reculade que constitue la mise en place d’une telle mesure dans des bâtiments publics, sous l’œil bienveillant de l’État. Dès lors, et partant du principe que les toxicomanes appartiennent à toutes les catégories socioprofessionnelles, pourquoi ne pas autoriser, au nom du principe de santé publique, toutes les administrations, et ensuite toutes les entreprises, à ouvrir leurs salles de shoot ? Mais nous y viendrons sûrement.

Face au délitement généralisé de nos mœurs et de nos lois, il n’y a plus qu’à souhaiter bon courage à celles et ceux qui, dans nos prisons, voient chaque jour davantage leur autorité bafouée et leur intégrité physique menacée.

Olivier Damien

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Les préoccupations « peu religieuses » de Dalil Boubakeur

 

 
C’est sous ce titre que, dans le silence le plus complet des médias français, le journal généraliste algérien, généralement bien informé, El Watan nous apprend, dans son édition du 5 janvier 2017, que « le recteur de la Mosquée de Paris (Dalil Boubakeur) semble davantage préoccupé par l’avenir de son fils, Sami, que par le rôle que requiert son statut en tant que figure de l’islam de France. » De quoi s’agit-il ?

Dans un mail adressé aux services du nouveau Premier ministre, Dalil Boubakeur aurait sollicité une entrevue avec Bernard Cazeneuve pour demander que son fils soit promu au rang de conseiller technique au sein de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), espérant ainsi faire pression sur cet office. Si cette information est exacte – et il n’y a pas de raison d’en douter car elle n’a pas été contredite -, il s’agit d’une bien curieuse demande, au moment même où la problématique de la montée de l’extrémisme religieux en France inquiète. Dalil Boubakeur aurait même fait du chantage en menaçant de boycotter la réunion de l’instance de dialogue avec l’islam de France du 12 décembre 2016, menace qui n’a toutefois pas été mise à exécution. Matignon, qui n’a pas accédé à sa demande, n’en revient, paraît-il, pas « de son peu d’intérêt pour les choses essentielles ». El Watan nous rapporte que « Bernard Cazeneuve, qui ne souhaite pas aboutir à une rupture avec la Grande Mosquée de Paris, a tenté d’“amadouer” le vieux Boubakeur lors de son discours d’ouverture par des louanges qui n’ont pas été du goût des représentants des autres pays, dont les Marocains et les Turcs ».
Le problème est que la réputation morale de Dalil Boubakeur a déjà été écornée dans le passé à cause de sa grande proximité avec les puissants. En 2007, son fils Sami – déjà lui – avait été nommé à l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrations (l’ancêtre de l’OFII) par Brice Hortefeux, dont il a pris la défense en 2009 au moment où il était accusé de propos racistes et xénophobes par ces paroles : « Je témoigne qu’il n’a eu que des paroles de respect et d’aménité pour toute la communauté musulmane de France dans mes contacts avec lui. » Ce qui l’avait fait affubler par Mediapart du sobriquet de « calife au service des puissants ».

Premier président du Conseil français du culte musulman (CFCM) en 2003, Dalil Boubakeur n’a pas su non plus s’imposer à sa tête et imposer cette instance à l’ensemble des musulmans de France. L’unité qui était attendue par les pouvoirs publics n’a pas été au rendez-vous de son mandat et ne l’est toujours pas. À sa décharge, cette tâche était sans doute impossible, tant les courants en son sein sont antagonistes et l’influence d’États étrangers importante. Plus médiatique que visionnaire et progressiste, il a parfois pris des positions intenables et provocatrices, comme son appel en 2015 à doubler le nombre de mosquées en France d’ici deux ans pour pallier le manque de lieux de culte, comme pour se rattraper de son inaction religieuse. La Grande Mosquée de Paris, qui tient une place symbolique importante pour la visibilité de l’islam et des musulmans en France en tant que mosquée mère des mosquées françaises (elle est la plus vieille mosquée en France métropolitaine), n’a pas non plus su ou pu montrer la voie.
Cette information tombe donc mal au moment où les musulmans de France auraient tant besoin d’un guide spirituel ayant une autorité morale et religieuse incontestable, rôle que Dalil Boubakeur ne peut définitivement plus jouer aujourd’hui auprès des pouvoirs publics. Cela ne va pas non plus améliorer son image ainsi que celle de la Grande Mosquée de Paris auprès des autres instances représentatives de l’islam en France et risque de favoriser encore davantage leur morcellement.

Philippe Franceschi

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Un demi-milliard récupéré chez les gangsters !

 

 

Sarkozy avait promis que les criminels de tous bords avaient du mouron à se faire s’ils arboraient des signes un peu trop évidents de richesse. Il semblerait que cette menace soit appliquée, certes pas avec toute la rigueur qui serait nécessaire pour mettre à bas grand et petit banditisme, mais les chiffres révélés par l’AGRASC (un acronyme barbare qui signifie Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués), établissement public administratif placé sous la double tutelle des ministères de la Justice et du Budget, sont là. Près d’un demi-milliard d’avoirs ont effectivement été saisis au cours des onze premiers mois de 2016 alors que les services du ministère de l’Intérieur traitaient 1.100 dossiers par mois.

La description de ces saisies est impressionnante ! 800 véhicules dont plusieurs gros 4×4, des camping-cars, des camionnettes. Cinq Ferrari Maranello d’un montant de 700.000 euros ont été saisies dans une entreprise bordelaise, dans le cadre d’une arnaque aux faux ordres de virement. Une masse considérable d’euros en petites coupures pour un montant de 7,6 millions ont été collectés dans le cadre de l’opération Kouri en vue de démanteler un réseau de blanchiment d’argent chez des narco-trafiquants.

Ces chiffres révélés par Le Figaro et France Inter totalisent donc 471.425 millions d’euros. Si l’on rajoute le douzième mois de 2016, le demi-milliard sera largement dépassé. Par les temps et le déficit qui courent…

Cette agence gouvernementale avait été créée en 2011 sous la présidence Sarkozy. Elle a vu son « chiffre d’affaires » quadrupler en quatre ans. 

De quoi faire plaisir à Bernard Cazeneuve, qui devrait retrouver un sourire perdu il y a bien longtemps… L’argent sale trouve ainsi une nouvelle raison de servir l’État. Le général Jean-Pierre Michel, sous-directeur de la police judiciaire, a des raisons d’être satisfait et peut déclarer avec bonheur : « Ce résultat est le fruit d’un investissement à long terme amorcé il y a dix ans avec un seul objectif : confisquer le magot. » « Au départ, on identifiait bien les délinquants, mais pas le produit de leurs infractions. Or, il n’était pas acceptable de les envoyer en prison alors que des millions les attendaient à la sortie », a déclaré, par ailleurs, au Figaro le chef d’escadron Romain Stiffel, chef de la cellule nationale des avoirs criminels à la direction générale de la gendarmerie. 
 Mais le magot ne cesse de grossir chez nos trafiquants de toutes sortes et les 160 militaires transformés en « enquêteurs patrimoniaux » ont bien du mal à traquer cet argent sale. Sarkozy avait promis que les voitures de luxe conduites par les trafiquants de nos banlieues seraient systématiquement confisquées. Ce fut le cas un certain temps, et si l’on continue de voir quelques rutilantes voitures pétarader sur nos routes avec de toute évidence, au volant, un « jeune » à qui on ne donnerait pas le Bon Dieu sans confession, c’est à leurs risques et périls. Car les chefs de gangs préfèrent, désormais, circuler dans des voitures louées… La criminalité s’adapte d’ailleurs très vite aux nouvelles conditions de répression, ce qui permet d’estimer encore à plus de deux milliards d’euros le marché des stupéfiants !

Le rapport de l’AGRASC est digne d’un vrai polar, avec thriller en supplément, puisqu’on y apprend aussi que le blanchiment est de plus en plus difficile. Exemple, celui des bitcoins, cette monnaie pas aussi virtuelle que nous pourrions le croire, qui transforme chaque bitcoin en 900 dollars difficilement traçables… sauf pour la gendarmerie, qui a les outils nécessaires pour en retrouver les propriétaires…

Comme quoi, MM. les trafiquants, un conseil : redoublez de vigilance, car vous avez, face à vous, une force de frappe qui ne cessera jamais de vous harceler. Pour notre bien à tous !

Floris de Bonneville

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lundi, 09 janvier 2017

Yvan Blot : la menace révolutionnaire du terrorisme islamiste

La petite histoire : L'islam et la violence

Trois policiers roués de coups à Bobigny

Trois policiers ont été roués de coups après avoir tenté de procéder vendredi soir à des contrôles d’identité dans un hall d’immeuble à Bobigny, où 10 jeunes ont été interpellés.


Vers 20 heures, ces policiers « contrôlaient des jeunes qui semblaient consommer des stupéfiants dans un hall d’immeuble quand ils ont été roués de coups », a indiqué à l’AFP une source proche de l’enquête.

Une policière a été gravement blessée au niveau de l’oeil. Dix jours d’incapacité totale de travail (ITT) lui ont été prescrits, dans l’attente d’examens complémentaires. Les deux autres fonctionnaires, blessés à la jambe et au visage, ont eu 15 et 10 jours d’ITT.

Dix jeunes hommes âgés de 16 à 21 ans ont été interpellés. Leurs gardes à vue ont été prolongées de 24 heures samedi soir, a indiqué le parquet. La sûreté départementale a été saisie de l’enquête.

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Immigration de masse : Plus de la moitié des femmes allemandes ne se sentent pas en sécurité

 
Plus de la moitié des femmes allemandes constatent une dégradation de la situation sécuritaire dans leur pays et envisagent des mesures afin de réagir aux agressions sexuelles.

Plus de la moitié des femmes habitant en Allemagne sont convaincues que le pays n'est plus aussi sûr qu'avant, selon un sondage effectué par l'institut d'opinion publique Emnid à la demande du quotidien allemand Bild.

D'après le sondage, 58 % des femmes estiment que la fréquentation des lieux publics est plus dangereuse qu'auparavant. Pour 31 % des femmes, la situation n'a pas changé alors que 10 % d'entre elles pensent que l'Allemagne est même devenue plus sûre pour les femmes. 

Il est à noter que près de la moitié des sondées (52 %) préfèrent éviter certains lieux proches de leur domicile après la tombée de la nuit. 16 % des femmes allemandes ont toujours un spray au poivre avec elles. Une femme sur deux envisage d'en acheter.

Le scandale survenu dans la nuit du 1er janvier 2016 à Cologne, lorsque des centaines de femmes avaient été agressées par plusieurs dizaines de migrants, a profondément choqué l'opinion allemande et nourri les critiques envers la politique migratoire « généreuse » de la chancelière Angela Merkel et l'inaction de la police. Par la suite, un rapport de la police allemande a précisé les chiffres concernant les crimes sexuels, faisant état de 1 200 femmes victimes. 

Source 

Allahïcité : Pour la LDH, la nuit du Ramadan, c'est moins grave qu'une crèche de Noël

 

 

La présidente de la Ligue des Droits de l'Homme, connue pour sa haine envers les crèches de Noël, répond au Midi Libre :


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Galette des rois de l'Agrif

IMG_0321L'Agrif, présidée par Bernard Antony (photo), a fêté, samedi 7 janvier, la traditionnelle fête des rois.

Plus d'une centaine de personnes s'y sont retrouvées dans une atmosphère d'amitié francaise et chrétienne, parmi lesquels des personnalités aussi diverses que Jeanne Smits, Jerôme Triomphe, le pasteur Said Oujibou, Richard Haddad, Cecile Edel, Christophe Bilek, Guillaume de Thieulloy, Didier Rochard, Alain Toulza, François Foucart ...
 
Une belle occasion de se retrouver au seuil d'une année décisive pour la France.
 

Conférence sur l'Islam, de Marie-Thérèse Urvoy

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Les mardis de Politique magazine

Conférence mardi 10 janvier 2017

La France, l’islam, les musulmans

par Marie-Thérèse Urvoy ,
professeur d’islamologie et d’arabe.
La conférencière dédicacera son ouvrage Islamologie et monde islamique (Le Cerf)
Rendez-vous à partir de 19h00 Conférence à 19h30 précises
Participation aux frais : 10 euros
Etudiants et chômeurs : 5 euros
Salle Messiaen
3, rue de la Trinité
75009 Paris
Métro: La Trinité, Saint-Lazare
Pour tout renseignement : Politique magazine, 1, rue de Courcelles, 75008 Paris
Tel. : 01 42 57 43 22
 

Viols en réunion à Corbeil-Essonnes : les rappeurs devant la cour d’assises

La cour d’assises des mineurs de l’Essonne planche, depuis mercredi 4 janvier 2017, sur l’affaire sordide des viols en réunion dont se sont rendus coupables sept membres d’un groupe de rap, les bien nommés « Gangsta du zoo », habitants du quartier des Tartetêts à Corbeil-Essonnes, où se rencontrent, plus ou moins à l’abri des regards extérieurs et mélangés en une bouillie infâme, culture américaine de la violence, communautarisme décomplexé, éducation pornographique sur smartphone, loi des gangs en culottes courtes (ces rappeurs étaient tous mineurs au moment des faits) et rejet de toutes les normes qui, dans une société saine, composent le cadre moral qui sculpte et perpétue la bienséance.
Les quatre victimes, âgées de 15 et 16 ans au moment des faits, étaient violées par des bourreaux rigolards qui décidaient de l’ordre de passage à « pierre-papier-ciseaux ».
Ultime manifestation de leur sentiment d’impunité : ils filmaient eux-mêmes la scène sur leurs téléphones.

Officiellement, c’est le procès de sept mineurs coupables de viol. En filigrane, toujours, la peur de l’amalgame qui fait se tenir prête l’armée des idéologues « vivrensemblistes », amis de quartiers et de la diversité, qui travaillent à convaincre ceux que la récurrence de ces faits finit par rendre soupçonneux que ces événements ne sont ni la norme ni la tendance de ces quartiers (où il fait bon vivre le reste du temps ?).

La vérité est que ce procès pourrait être, devrait être celui de notre époque tout entière. Nous avons voulu un monde où l’on puisse jouir sans entraves, nous l’avons ; un monde débarrassé des vertus ringardes où l’on ne diffuse plus timidement qu’un ersatz de morale dans quelques cours d’éducation civique au collège, nous l’avons ; un monde sans frontières qui fabrique des déracinés et des déboussolés, nous l’avons ; un monde sans foi, nous l’avons ; sans loi ? Si, quelques-unes, mais qui ne peuvent rien contre le réveil des intempérances provoqué par l’éloge de l’individualisme nombriliste. Les horreurs vécues dans des caves par ces jeunes filles sont moins une anomalie qu’une conséquence inévitable du monde que nous avons créé.

Dans La Civilisation de la Renaissance en Italie (1860), Jacob Burckhardt écrit ceci : « Enfin l’Italie, ce pays où l’individualisme arrive sous tous les rapports à son extrême limite, a produit quelques hommes d’une scélératesse absolue, qui commettent des crimes pour le crime même, qui le regardent comme un moyen d’arriver, non plus à un but déterminé, mais à des fins qui échappent à toute règle psychologique. » Nous pourrions citer, encore, l’intemporelle leçon de sagesse de Bossuet (« Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer ») et militer pour qu’en plus des monstres, nous jugions aussi un jour leurs Dr Frankenstein.


Jonathan Sturel

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Pour la LDH, ramadan : bien ! Crèches : pas bien !

 
Pourquoi la Ligue des droits de l’homme ne trouve rien à redire à ce que la mairie de Paris, depuis 2001, se mette en quatre pour fêter des nuits du ramadan à 100.000 euros mais porte plainte pour cause de présence de crèches dans les mairies ? Parce qu’« une crèche de la Nativité, c’est extrêmement marqué religieusement » alors que le ramadan, lui, c’est… « une manifestation festive » ! Ainsi l’explique la présidente de la LDH à Midi libre en réponse aux reproches « d’une partie de la droite » de favoriser l’un au détriment de l’autre.

Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ? Cette retraitée de l’enseignement qu’est la présidente de la LDH montre pour le moins une ignorance crasse ou une hypocrisie sans nom, quand on sait que le ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam ! Autrefois, les mauvaises langues auraient accusé madame la présidente d’avoir fait ses études chez les Jésuites…
Mais le cheval de bataille de la LDH, on l’a compris, c’est la religion catholique. Et cette bonne dame Dumont de se féliciter d’attaquer « pratiquement systématiquement » les mairies qui ont exposé des crèches ou rendu des arrêtés contre le burkini. Ainsi, selon sa grille de lecture, crèches et interdiction du burkini – vêtement religieux par excellence ! – représentent toutes deux des atteintes à la laïcité !

Nous en sommes là. À subir en même temps – au nom de la laïcité – les interdictions de signes chrétiens et les autorisations de signes musulmans. 

Ce qui revient à dire qu’au nom de cette laïcité complètement détournée, l’État français s’entend à implanter la religion musulmane en extirpant petit à petit notre passé chrétien millénaire. En outre, quelle aubaine pour les défenseurs de l’islam : la loi, lit-on dans Le Monde, de toutes façons, ne prévoit rien « concernant le fait, pour une administration publique, d’organiser une fête à destination d’une communauté »

Non, ce qui l’embête, cette brave dame, c’est que les tribunaux administratifs, à propos de la légalité ou pas des crèches dans les mairies ou sur le port du burkini, « ont à chaque fois une interprétation extrêmement différente ». C’est vrai, ça, sauf qu’à part part semer la zizanie et la confusion partout, voire à rendre tout le monde marteau, on ne comprend pas pourquoi, justement, chacun est autorisé à rendre des verdicts opposés…

Encore une année à la tête de la LDH et mâme Dumont pourra aller planter ses salades. Une année encore « compliquée » et « malsaine » – c’est ainsi qu’elle voyait son mandat. À cause de quoi, vous demandez-vous ? Mais « en raison de la forte montée de l’extrême droite », pardi ! disait-elle après les attentats de janvier…
Mais ce qui fait le plus enrager cette ligueuse de fond (depuis 35 ans à la LDH) ? C’est « quand on en rajoute sur les racines chrétiennes de la France ». Qu’on en rajoute ? Mais alors, madame la retraitée de l’enseignement l’avoue : nos racines sont chrétiennes ! Oh ?

Caroline Artus

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Une crèche incendiée dans une église : c’est forcément la bêtise…

La crèche de la cathédrale de Saint-Étienne (Loire) a été détruite vendredi 6 janvier, jour de l’Épiphanie, par un incendie volontaire. Le feu aurait été mis à la paille par une ou plusieurs personnes. Jusqu’à présent, l’on comptabilisait les voitures brûlées le soir de la Saint-Sylvestre – tradition désormais bien établie en France. Devrons-nous, désormais, ajouter l’incendie des crèches des églises à la liste de ces coutumes festives de fin et de début d’année dans notre pays ? En effet, le 8 décembre 2016, jour de l’Immaculée Conception, c’était la crèche de l’église Notre-Dame de Metz qui était incendiée, rappelons-le.

Pour l’instant, on ne sait rien sur les auteurs de ce délit puisqu’il n’a été procédé à aucune interpellation. On ne sait rien mais le maire LR de la ville sait déjà beaucoup de choses : « Nous devons nous interroger collectivement sur le sens de ce type de méfait où la bêtise le dispute à l’ignorance de ces auteurs. » Donc, M. le maire sait que, derrière cet acte, il y a la bêtise et l’ignorance. Forcément.
À titre de comparaison, lorsque le 26 décembre dernier des tags antisémites avaient été découverts sur les murs de l’école Anne-Frank de Montreuil, pas à un seul instant l’hypothèse n’avait été émise que ces graffitis pussent être l’œuvre de la bêtise et de l’ignorance. Forcément.

À Saint-Étienne, acte antichrétien ? On n’en sait rien, mais cela semble d’ores et déjà impensable. Tout au plus le maire parle d’une profanation, mais en prenant toutes les précautions oratoires qui s’imposent : « Comme toute profanation de tout lieu de culte et quel qu’il soit, cet acte est inadmissible. » Et, évidemment, en atténuant immédiatement son propos par l’évocation de la bêtise et l’ignorance. 

Les grandes orgues de l’indignation ne déploient par leur faste comme cela, aujourd’hui, en France. Autrefois, il y avait les enterrements de 1e, 2e et jusqu’à la 6e classe. Aujourd’hui, c’est un peu pareil pour l’indignation. Une église catholique profanée, pour avoir droit à la première classe, c’est-à-dire aux tweets, communiqués d’un ou plusieurs ministres, voire du premier d’entre eux, il faut y mettre le paquet, le flagrant délit est requis. Je ne vous parle même pas du supplément, le nec plus ultra, je veux parler du déplacement in situ, toutes affaires cessantes, d’un ou plusieurs ministres. Le gros bourdon des valeurs de la République ne se met pas en branle comme ça non plus – qu’est-ce que vous croyez ! – pour faire entendre ces mots qui, à force, c’est vrai, sonnent tout de même un peu creux : « inqualifiable », « abject », « odieux », « intolérable », « acte qui ne restera pas impuni »… Tous ces fastes sont réservés aux œuvres et pompes de la bête immonde, pas de la bêtise.

Du reste, ne perdez pas votre temps à aller voir ce que le ministre de l’Intérieur, chargé des Cultes, aurait pu tweeter pour cette malheureuse affaire de crèche. Je l’ai fait pour vous. Rien. Si – ironie d’un soir et du sort : un tweet posté vendredi à 17 h 00, à peu près à l’heure où a été commis l’incendie, pour évoquer les vœux de François Hollande aux autorités religieuses.

Le communiqué de l’évêque du lieu, Dieu merci, « ouvre le champ des possibles », comme on dit parfois dans le jargon jargonnant : « Laissons la police faire son enquête afin qu’elle définisse s’il s’agit d’une bêtise d’adolescent ou d’un acte de malveillance. » La malveillance d’un adolescent est possible aussi, tout comme la bêtise d’un vieux. Mais bon, mettons…

En tout cas, un mot semble exclu à Saint-Étienne : 
christianophobie.

Georges Michel 

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Calais : un appel aux citoyens va être lancé pour nettoyer l’ex- »Jungle »

 

 


Des tubes de dentifrice, des sacs de couchage, des bouteilles en plastique écrasées… Deux mois après son démantèlement, la « Jungle » n’est toujours pas propre. Rien de catastrophique mais les restes du camp de migrants sont encore bien visibles. En parcourant les 40 hectares désormais déserts, on s’aperçoit que le site est encore loin d’avoir retrouvé son aspect originel.

 L’établissement public propriétaire des 20 hectares de la moitié nord de la lande, va lancer un appel aux volontaires pour enlever le plus gros des détritus qui jonchent encore le sol du site. « Il s’agit de permettre aux habitants de se réapproprier les lieux à travers une opération citoyenne », estime Loïc Obled, délégué Manche-mer du Nord au Conservatoire du littoral. Mais ce sera une opération symbolique. »

Natacha Bouchart, maire de Calais, n’est pas contre cette idée de faire participer les habitants au nettoyage : « Le Conservatoire du littoral a l’habitude de faire participer les habitants à ses actions, alors pourquoi pas », a-t-elle expliqué dans La Voix du Nord.

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dimanche, 08 janvier 2017

Rhône : plus de la moitié des migrants mineurs de Calais sont déjà repartis


Le constat est sans appel.

Sur les 36 migrants mineurs arrivés fin octobre de Calais dans le Rhône, il n’en reste plus que 15 aujourd’hui. Le Progrès révèle que plus de la moitié d’entre eux ont fugué, n’abandonnant donc pas leur rêve initial de rejoindre l’Angleterre.

D’ailleurs, jusqu’à 26 des 36 migrants ont quitté un jour leurs quartiers de Châtillon-d’Azergues. Mais certains d’entre eux sont revenus de leur fugue. Sur place, malgré les départs impromptus, on se félicite d’avoir offert "un moment de répit" à ces jeunes qui restent sous la responsabiltié de l'Etat français.


Pour les migrants majeurs, l’histoire n’est pas la même. Sur les 181 réfugiés adultes accueillis dans le Rhône, la plupart sont encore là, répartis entre Lyon, Villeurbanne, Vénissieux et Saint-Fons. Ceux qui sont repartis l’ont fait dans les premiers jours de leur arrivée.

Une dizaine d’entre eux ont obtenu un titre de séjour, la procédure de demande d’asile se poursuit pour une trentaine d’autres migrants. La grande majorité profite des cours de français pour disposer d’un meilleur bagage. Mais aussi des soins dispensés, car un cas de tuberculose avéré a été détecté et traité parmi eux.

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Algérie : de plus en plus d’Algériens quittent leur pays pour l’Europe

On les appelle les harragas. Il s’agit des migrants algériens, qui tentent par milliers, chaque année, la traversée clandestine de la Méditerranée en direction de l’Union européenne. Focus sur un phénomène méconnu.

 



La chasse aux migrants subsahariens transitant par le territoire algérien, lancée par Alger en décembre dernier, a focalisé l’attention des médias locaux et internationaux et contribué à remettre l’Algérie sur la carte de la crise migratoire.
Mais elle masque en partie un autre phénomène qui prend de l’ampleur, selon la presse algérienne : le départ clandestin de ses propres citoyens.
L’Algérie est classée, en 2015, au 9e rang des pays d’origine de migrants clandestins arrivés aux frontières extérieures de l’Union européenne (UE), selon un rapport de l’ONG « Algeria Watch ».
En Algérie, on appelle ces migrants les « harragas », en arabe les « brûleurs ». En l’occurrence, des « brûleurs » de frontières. En quête d’un meilleur avenir et faute de visas, plusieurs milliers d’Algériens décident chaque année de quitter clandestinement le pays sur des embarcations légères, et de traverser la Méditerranée en direction de l’Italie ou de l’Espagne, le plus souvent au péril de leur vie.

Selon le quotidien El Watan, le phénomène des harragas, qui est apparu au milieu des années 2000, a pris ces derniers mois « de plus en plus d’ampleur et suscite de nombreuses interrogations chez les services compétents ».

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Saint-Etienne : une crèche incendiée dans une église

 

 

Une crèche de Noël a été détruite par un incendie dans la cathédrale de Saint-Étienne.

 De la paille de la crèche, mais aussi des cierges ont été incendiés en deux endroits ce qui laisse à penser qu'il était intentionnel. Le feu a pris hier soir, vendredi 5 janvier, moins d'une heure après le dernier office dans l'église de Saint-Etienne. Ce sont des paroissiens avec l'eau d'un bénitier qui ont réussi à éteindre les flammes. L’incendie a été finalement limité mais l'émotion reste vive.

 

"Un moment douloureux"

 

"Le symbole de la crèche est particulièrement fort pour nous les Chrétiens. On sort de Noël, la présence de Dieu est toute proche, est toute simple, c'est toujours douloureux de vivre un moment comme celui-là", indique Mgr Sylvain Bataille, évêque de Saint-Etienne. Sur sa page Facebook, le maire de Saint-Etienne se dit consterné. Il y a eu beaucoup d'effervescence notamment sur les réseaux sociaux de la part des élus de droite et d'extrême droite.

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Saint-Antonin-du-Var (83) : trois jeunes interpellés pour avoir écrasé volontairement la mère de leur « hôte » le soir du Nouvel an

La victime avait mis à la porte trois jeunes hommes que sa fille avait invités via Facebook pour la Saint-Sylvestre. La dispute qui s’en était suivie a amené, dans des conditions qui restent à établir, le conducteur du véhicule volé à écraser mortellement la mère de famille.




Âgés d’une vingtaine d’années, tous trois étaient déjà connus des services de police. Le procureur de la République de Draguignan a annoncé jeudi que les jeunes hommes suspectés d’avoir écrasé une mère de famille de Saint-Antonin-du-Var (Var) les chassant de chez elle, dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, avaient été interpellés.

Tout avait commencé par une invitation sur Facebook. Alors que ses parents sont partis réveillonner chez des amis, laissant la maison à leurs trois enfants mineurs, l’aînée de la fratrie aurait décidé d’organiser une soirée chez elle. Selon Var Matin, elle aurait alors invité une personne qu’elle ne connaissait qu’à travers ce réseau social… et se présentant sous une fausse identité.

Ce dernier arrive un peu plus tard. Surprise, toujours selon Var Matin, à bord de son véhicule, volé un peu plus tôt dans la région toulonnaise, deux autres jeunes l’accompagnent. […]

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Var. La police municipale à l'école pour s'opposer aux cours d'arabe

Le maire (Les Républicains - LR) a demandé à deux reprises la mobilisation des forces de l'ordre pour une intervention auprès de la personne chargée de l'enseignement de la langue arabe à l'école primaire Reynier, destiné aux élèves d'origine maghrébine, selon une ordonnance du tribunal administratif de Toulon saisi par la préfecture du Var, à, la suite d'une action engagée par le maire.
Alors que l'on savait que ce dernier avait contacté le rectorat pour signifier son désaccord, on apprend auprès de nos confères de LCI qu'il est allé jusqu'à envoyer la police devant l'établissement pour marquer le désaccord de la mairie sur cet enseignement.

Jean-Sébastien Vialatte, maire de Six-Fours-les-Plages (Sud de la France), a autorisé l'intervention de la police municipale dans une école publique pour empêcher l'enseignement facultatif de la langue arabe aux élèves, ont rapporté vendredi des médias français. Le Monde avait révélé qu'il s'agissait en fait d'un gros malentendu, monté en épingle par l'extrême droite: les cours étaient en réalité facultatifs, et proposés en dehors des heures d'école. Les cours d'arabe ont depuis cessé.

Le maire redit aussi son hostilité à ces enseignements. "Il serait opportun d'envisager sans tarder leur suppression au profit, suggère-t-il, de l'enseignement de langues étrangères classiques sur le temps scolaire" et "de mesures supplémentaires à accorder à tous les élèves en difficulté scolaire dont les besoins sont prioritaires". La seconde, elle remet à l'enseignant "un pli émanant de la mairie", "sans pour autant s'opposer à la tenue du cours". De plus, il est assez courant que la police municipale aille porter des plis. Et l'élu de justifier à propos du chargé de cours: "Il s'agit d'un personnage que je ne connais pas, qui n'est pas payé par l'Education nationale, et à propos de qui je n'ai aucune assurance".

Mais le maire de la commune est allé encore plus loin.
Saisi par le préfet du Var, le juge des référés a donné raison au maire de Six-Fours-Les-Plages le 28 novembre 2016, estimant "qu'il n'y a pas eu "d'obstacle effectif à l'exercice de l'enseignement". Le cours d'arabe a eu lieu trois jours plus tôt, le 25 novembre.

Jean-Pascal Bellegarde

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Saint-Seurin (33) : le menu unique à la cantine fait des remous

La commune de Saint-Seurin-sur-l’Isle (Gironde, 3130 hab) a décidé de ne plus faire qu’un menu unique à la cantine scolaire. Les enfants des écoles maternelle et primaire sont concernés par cette nouvelle mesure Ce qui provoque le mécontentement de certains parents notamment ceux de confession musulmane.


Une manifestation pourrait avoir lieu devant les écoles maternelle et primaire de Saint-Seurin-sur-l’Isle, ce lundi matin, après que les parents d’élèves ont appris ce jeudi une mesure phare concernant l’alimentation à la cantine scolaire.

 Le courrier émanant de la direction générale des services municipale date de jeudi. Il est adressé aux parents et indique qu’à compter du 1er janvier 2017, « la restauration scolaire propose un seul et unique menu par repas (sauf contre-indication médicale), comme évoqué dans le compte-rendu du conseil d’école du 3 novembre» dernier.

La commune de Saint-Seurin-sur-l’Isle se lance donc elle-aussi dans la politique du menu unique. Contrairement à certains de ses homologues, qui arguaient de la laïcité pour légitimer leur mesure, le maire Marcel Berthomé est beaucoup plus pragmatique puisque, selon lui, c’est un choix économique. « Il s’agit d’une réduction des dépenses de nos services, livre l’édile. Cela simplifie les activités de la restauration et permet des économies au niveau du personnel. » […]

Sonia ne décolère pas. Elle dont le fils de cinq ans, pratiquant la religion musulmane, est scolarisé à l’école maternelle Jacques-Prévert. «Je ne comprends pas le geste de la mairie, lâche la mère de famille. Nous ne comprenons pas. C’est révoltant. Nous payons ces repas, ce n’est pas gratuit… Peut-être qu’ils cherchent tout simplement à ce que l’on parte ! »

Juridiquement, en tout cas, le menu unique n’est pas illégal. Reste qu’il pourrait accoucher de tensions. « Nous avons des familles maghrébines depuis très longtemps dans la commune, insiste une habitante, maman d’un grand garçon d’une vingtaine d’années. Elles payent leurs impôts, elles sont intégrées. Cette mesure, cela peut juste créer des soucis.« 

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Lyon : 80 personnes au rassemblement antifasciste

Ce samedi après-midi, environ 80 personnes se sont retrouvées place Raspail à Lyon pour le rassemblement antifasciste.

 
Selon les organisateurs, l’extrême-droite est de plus en plus présente entre Rhône et Saône. Et les agressions et opérations coup-de-poing augmentent rappellent-ils, faisant allusion à la récente attaque menée contre la librairie anarchiste La plume noire dans le 1er arrondissement.

Les manifestants ont également dénoncé le fait que Marine Le Pen a choisi Lyon pour lancer sa campagne présidentielle le 4 février prochain.


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Deux hommes condamnés à 15 et 10 ans de prison pour viol de trois mineurs

Deux Marocains en situation irrégulière ont été condamnés aujourd’hui à 15 et 10 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de Paris pour avoir abusé et violé trois jeunes garçons à Paris. Tous deux sont par ailleurs définitivement interdits de territoire en France.


Benyounes Lmehdi, 47 ans, a écopé de la peine la plus lourde. Considéré comme l’initiateur et le principal acteur des viols, il a reconnu l’ensemble des faits. La cour a été un peu moins sévère pour Driss Kherraki, 52 ans. Un jugement « intelligent, sévère, mais légitime au regard des faits », a estimé Me Jean-Alain Michel, avocat de l’une des parties civiles.

Les deux hommes, considérés par leur voisinage comme de gentils « tontons », étaient jugés depuis lundi pour des viols et attouchements sur trois garçons âgés à l’époque de 8 à 11 ans, qu’ils gardaient en l’absence de leurs parents. Ils offraient des cadeaux et des bonbons aux enfants, dont l’un a dénoncé les faits en juin 2014. L’affaire s’est déroulée en grande partie dans un petit ensemble d’immeubles en plein coeur de Paris, sur fond de précarité sociale et de misère sexuelle.

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Val-de-Marne: 25 ans de prison pour l’assassin d’un trafiquant de drogues

La Cour d’assises du Val-de-Marne a condamné ce vendredi à 25 ans de réclusion criminelle l’assassin d’un trafiquant de drogue qu’il avait tué à la terrasse d’un café.


Cet homme de 41 ans avait semé la panique en 2013 dans la commune cossue de Saint-Mandé (Val-de-Marne). Arrivé à visage découvert dans un bar-restaurant situé à deux pas du périphérique parisien, il avait sorti un pistolet automatique et logé une balle dans la tête de l’un des trois trafiquants avec qui il faisait affaire. Les deux amis de la victime l’avaient immédiatement maîtrisé, avant l’arrivée de la police.

Selon cet homme, déjà condamné pour escroquerie, détention d’arme, trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs, il s’agissait du seul moyen de protéger sa famille, « menacée de mort » à plusieurs reprises par la victime et ses acolytes. Des pressions exercées à cause de deux gros convois de cannabis interceptés par les forces de l’ordre françaises, et pour lesquels il avait servi d’intermédiaire en faisant jouer ses relations au Maroc.
Les trois transporteurs réclamaient un troisième convoi. Lui les soupçonnait de travailler avec la police et souhaitait trouver un arrangement financier pour s’extraire d’une situation épineuse. « C’est pas le tuer qui m’intéresse, c’est que cette situation cesse », a maintenu l’accusé face aux jurés. Avant le rendez-vous, il a encore espéré s’arranger avec le trio, mais s’est procuré au cas où son arme le matin-même, qu’il n’a chargée que d’une seule balle. C’est après de nouvelles menaces qu’il aurait tiré, a-t-il juré.

L’instruction a révélé que les transporteurs étaient des indics de la gendarmerie nationale, et étaient aussi en relation avec la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. L’accusation comme la défense souhaitaient en savoir plus, mais un militaire convoqué comme témoin a opposé le « secret défense ». « C’est aussi le procès d’un système (…) qui a installé les indics en position de toute puissance. Sans protection particulière, ils n’auraient jamais fait ce genre de menaces », s’est indigné à l’issue de l’audience Hugues Vigier, un des avocats du condamné. « Il était impossible d’en rester à l’assassinat sans évoquer le contexte », a estimé Jean-David Scemama, l’avocat de la famille de la victime. Mais les menaces « n’étaient pas la raison première de l’assassinat », a-t-il rétorqué. « On a affaire à quelqu’un qui se savait en situation de porte-à-faux et qui a volontairement donné un signal au milieu, qu’il était capable de tuer, pour couper court à tout effet boomerang ».
La cour est allée au-delà des 20 ans de réclusion demandés par l’avocate générale, qui dénonçait un « escroc », incapable de prouver les menaces sur sa famille.

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Rhône : une vingtaine de migrants mineurs de Calais sont partis

Plus de la moitié des migrants mineurs arrivés de Calais dans le Rhône, à l'automne 2016, ont déjà quitté leur centre d'accueil.



L'arrivée de réfugiés à Lyon, au sein des bâtiments de Forums réfugiés.
©Tim Douet
 
L'arrivée de réfugiés à Lyon, au sein des bâtiments de Forums réfugiés.
 
Ils étaient 36, ils ne sont plus que 15. Le Progrès révèle ce jour que moins de la moitié des mineurs soudanais arrivés en octobre dans le Rhône sont encore présents. Ils avaient été accueillis, suite au démantèlement de la lande de Calais, dans le Centre d'accueil et d'orientation pour mineurs isolés (CAOMI), géré par la Fondation OVE à Châtillon-d'Azergues.

Trois rapprochements familiaux

 

De nombreux "fugueurs", jusqu'à 26 au total, sont partis, principalement la semaine avant Noël. Mais certains sont revenus, et il ne sont plus que 15 aujourd'hui. Trois ont pu rejoindre l'Angleterre dans le cadre du rapprochement familial. À noter qu'en décembre, dans l'Ain, le CAOMI de Bourg-en-Bresse dénombrait le départ légal de neuf mineurs vers le Royaume-Uni, sur un total de 46 accueillis.

En revanche, pour les autres, l'espoir de passer outre-Manche s'amenuise. Ceux qui n'ont pas déserté le Centre vont relever du dispositif d'aide sociale à l'enfance, et/ou pouvoir déposer une demande d'asile. Pour ceux qui sont partis seuls (mais qui ne sont pas assignés à résidence, le CAOMI n'étant pas une prison), parfois en direction de Paris, de la Belgique ou de l'Angleterre, indique au Progrès la préfecture, ils demeurent "sous la responsabilité de l'État" et sont signalés à la gendarmerie.


Benjamin Roure
 

Actes christianophobes en France : en augmentation de près de 40 %

En matière d’actes christianophobes commis en France, le mois de décembre fut particulièrement “lourd” car 27 lieux ont été touchés : le nombre le plus important de toute cette année 2016. En nombre d’actes christianophobes différents, décembre vient en troisième position avec 35 actes, plus d’un par jour… En nombre de départements touchés, décembre en a compté 21, un peu moins que mai qui fut un mois “record” avec 22 départements touchés.
 
Cette dernière synthèse pour l’année 2016, nous permet de tirer un bilan provisoire des actes de christianophobie en France sur les douze moins écoulés. J’ai enregistré 375 actes différents (contre 273 en 2015, soit une augmentation de 37,4 % !).
 
Si vous souhaitez recevoir gratuitement notre synthèse pour décembre 2016, n’hésitez pas à nous la demander ici (en précisant bien #synthèse décembre 2016) et avant lundi 9 janvier à midi !
 

Lyon : pas de poursuite contre le provocateur musulman de l’église Saint Joseph

Le 22 décembre dernier, lors d’une cérémonie d’obsèques en l’église Saint-Joseph de Lyon (6ème arrondissement), les parents du défunt avaient été surpris de voir au premier rang de l’assemblée, un homme vêtu d’une djellaba qui leur était parfaitement inconnu. Dans ce climat bien compréhensible de “précaution”, ils alertèrent la police qui vint interpeller l’importun ainsi qu’une autre personne, également vêtu d’une djellaba, qui l’attendait devant l’église au volant d’une voiture. Les deux hommes auraient prétendu s’être rendus aux obsèques pour manifester leur compassion à la famille du défunt. L’église fut évacuée et une équipe de déminage se rendit sur les lieux : mais rien de suspect ne fut trouvé. Comme ils n’en étaient pas à leur première provocation aux abords d’un lieu de culte chrétien, mais qu’ils n’ont, en l’occurrence, commis aucun délit, ils ne seront pas poursuivis par la justice. Toutefois, la Préfecture leur a interdit par arrêté l’accès à tout lieu de culte chrétien jusqu’au « 9 janvier 2017, lendemain des fêtes de l’Épiphanie ».

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