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lundi, 14 novembre 2016
Pantin: douze jeunes mis en examen un an après le meurtre d'un adolescent
Il aura fallu un d’investigations. Douze jeunes majeurs ont été mis en examen pour meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs, dont dix ont été écroués, dans le cadre de l’enquête sur la mort d’un adolescent de 16 ans tué à coups de couteau dans une rue de Pantin, en Seine-saint-Denis, en octobre 2015. Le meurtre de Fossary Sanha avait suscité une vive émotion à Aubervilliers où il résidait.
Lundi, 17 personnes avaient été interpellées ou extraites, certaines étant en détention, avait indiqué à l’AFP une source policière. Les arrestations avaient pour la plupart eu lieu dans la cité des 4000 à La Courneuve, ville voisine d’Aubervilliers. « La majorité des mis en cause sont âgés d’une vingtaine d’années », « certains étaient mineurs au moment des faits », selon cette source.
« L’enquête a permis de déterminer que c’était une expédition organisée à la suite d’une vague altercation qui avait eu lieu l’après-midi des faits dans un centre commercial, sur fond de rivalité entre deux cités », a précisé une source proche de l’enquête. Ces arrestations « sont l’aboutissement d’un travail de longue haleine de police scientifique et de téléphonie, qui a permis d’arriver au ciblage des mis en cause », a raconté une source policière. « On partait de très loin, on avait relativement peu de choses à exploiter, peu de témoignages ».
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Benjamin Blanchard : « Trump veut lutter plus efficacement contre Daech »
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11 novembre : défendre la France, pas simplement en commémorant !
« Versailles ? Une affaire de bourgeois ! » seraient tentés de clamer certains. Au risque de les décevoir, la manifestation rassemblait pêle-mêle des Versaillais, des Parisiens, des provinciaux, de toutes origines sociales, politiques et confessionnelles, seulement motivés par la peur – justifiée – de voir disparaître leur identité avec la dissémination des migrants de Calais et d’ailleurs sur l’ensemble du territoire national.
Et, après les échauffourées dans le quartier de Stalingrad à Paris ou les viols répétés de femmes européennes, beaucoup, dont une mère de famille de Rocquencourt venue parler avec sa petite fille, craignaient tout simplement pour leur sécurité.
Des messages de soutien à cette juste cause furent lus (notamment celui de Jean-Frédéric Poisson) et Christine Tasin ne manqua pas de rappeler que, derrière cette invasion migratoire, il y avait la main de l’islam conquérant. Enfin, le général Christian Piquemal, dans un discours concis et non moins édifiant, rendit un hommage appuyé aux forces de police, aussi incomprises et méprisées que les citoyens français, subissant le joug d’une idéologie mondialiste appliquée par des décideurs hors-sol, qui n’ont cure de la vox populi !
Tout s’acheva par une « Marseillaise » qui, entre la statue équestre de Louis XIV, au loin, et les drapeaux bleu blanc rouge fleurissant çà et là, rendait pour un instant l’espoir que les Français de cœur et d’âme oublieraient leurs dissensions pour s’unir contre un péril inédit.
Charles Demassieux
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« Le djihadisme est la réponse du berger à la bergère ! »
Le sociologie Michel Maffesoli analyse, pour Boulevard Voltaire, l’impossible unité nationale et le djihadisme. Selon lui, l’intelligentsia repose sur une marxisation des esprits.
Elle ne saisit pas qu’il puisse y avoir une infrastructure spirituelle, et a réduit la vie sociale à un « économicisme ». Le sens du sacré revient de façon perverse avec le djihadisme.
05:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 13 novembre 2016
Le n°44 (automne 2016) de Synthèse nationale est sorti
Sommaire N°44 Automne 2016
P 2 - EDITORIAL Roland Hélie
P 5 - POPULISME
Le grand méchant loup Pierre Vial
P 10 - EN COUVERTURE
L'inénarrable Monsieur Cazeneuve Patrick Parment
P 20 - TRIBUNE LIBRE
Nice : Cazeneuve préférait protéger une bouffe privée de Hollande Paul Le Poulpe
P 22 - PRESIDENTIELLE
Le Sarko-Zorro est arrivé Pieter Kerstens
P 26 - LE GUD EST DE RETOUR
Il n'est pas mort, il se porte même plutôt bien Rencontre avec Steven Bissuel
P 30 - ELECTION AMERICAINE
Hilary Clinton présidente ? Patrick Gofman
P 38 - CETA
Un pas de plus vers le TAFTA Arnaud Raffard de Brienne
P 42 - CANADA
L'affaire Heritage front Rémi Tremblay
P 51 - BUDAPEST
Quand Paris se levait pour soutenir l'insurrection Lu dans Europe Action
P 62 - LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
P 67 - REÇU, LU ET APPROUVÉ
Adieu l'argent roi Jean-Claude Rolinat
P 72 - LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
P 83 - BIOGRAPHIES LITTERAIRES Daniel Cologne
P 88 - LA CHRONIQUE Charles-Henri d'Elloy
P 93 - SYNTHESE NATIONALE
La vie de l'association - Les 10 ans de la revue
N° 44 - Automne 2016
102 pages, 12 €
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13:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
Etats-Unis: deux femmes voilées affirment avoir été agressées au nom de Trump
La première a été agressée mercredi après-midi à l’université de San Diego, rapporte le Washington Post. Alors qu’elle se rendait sur le parking du campus, deux hommes l’ont accostée, « faisant des commentaires à propos de l’élection de Donald Trump et des musulmans », explique la police. Ils lui ont arraché son sac, avant d’y dérober les clés et de fuir avec le véhicule de la victime. La police parle de « crime de haine ».
« La haine et le racisme de Donald Trump ne trouveront pas leur place à San Diego »
Les suspects seraient un homme blanc et un homme d’origine hispanique, dont l’âge se situerait entre 20 et 25 ans. L’association des étudiants musulmans de l’université de San Diego s’est insurgée sur Facebook. Le groupe, qui a organisé une manifestation contre la victoire de Donald Trump, écrit dans un post: « Nous devons résister à toutes les discriminations qui ont été fortement banalisées pendant la campagne, et maintenant l’élection, de Donald Trump. (…) Sa haine et son racisme ne trouveront pas leur place à San Diego ».
La seconde étudiante, elle, se rendait à ses cours mercredi matin, à l’université de Louisiane, quand elle a été assommée par un objet métallique, avant d’être frappée à terre par deux autres hommes. Elle a également été dépouillée, avant que son voile ne lui soit arraché. La police ne précise pas si la victime est musulmane. Selon son témoignage, l’un des deux agresseurs arborait une casquette à l’effigie de Donald Trump.
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L'extrême-droite européenne dopée par la victoire de Trump (Analyse)
L'élection du républicain Donald Trump renforce la position de l'extrême-droite en Europe, partageant la même vision que ce dernier, surtout à l'approche des échéances électorales dans des pays comme la France,l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Autriche
L'élection de Donald Trump en tant que 45e président des Etats-Unis a beau créé la surprise chez les dirigeants européens qui misaient sur une victoire de Hillary Clinton, elle a été appréciée de manière univoque par l'extrême-droite dans le Vieux Continent, qui se voit confortée par l'arrivée au pouvoir d'un leader protectionniste et anti-migrants.
Les partis de l'extrême-droite avaient unanimement soutenu Trump dès le départ, "l'outsider" politique, dont la candidature, marquée par une campagne exceptionnellement anti-migrants et anti-multiculturalistes, n'avait même pas été prise au sérieux par une grande majorité des gouvernements européens.
L'extrême-droite a ainsi réussi à miser, pour la deuxième fois en l'espace de quelques mois, sur le bon cheval, contrairement aux dirigeants européens, qu'ils soient issus de la gauche ou de la droite. En effet, les partis de l'extrême-droite avaient été les seules formations politiques à soutenir la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE), qui s'est réalisée par le résultat choc du référendum britannique du juin dernier.
Comme dans le cas du "Brexit", l'extrême-droite n'a pas manqué de féliciter le résultat de l'élection américaine, de manière précoce et vraisemblablement plus sincère que les gouvernements européens.
Marine Le Pen, présidente du Front national (FN), a été la première personnalité politique en Europe à féliciter l'élection de Trump, cela avant même l'annonce officielle des résultats. "Félicitations au nouveau président des Etats-Unis Donald Trump et au peuple américain, libre", a écrit Le Pen sur son compte Twitter (un message qu'elle maintient "épinglé" depuis), avant d'enchaîner avec une conférence de presse dans la journée.
"La décision du peuple américain doit s’interpréter comme la victoire de la liberté, la liberté d’un peuple souverain", a soutenu la dirigeante frontiste, "osant" dire que l'élection de Trump est une "bonne nouvelle" pour la France.
Poursuivant ses interventions médiatiques, Le Pen s'est exprimée mercredi soir sur France 2, accusant cette fois-ci les dirigeants européens qui ont soutenu la candidature de Clinton d'être "déconnectés" de la réalité. "Les élites sont déconnectées, elles refusent de voir et d'entendre les peuples. Dans cette élection américaine, de Nicolas Sarkozy à François Hollande, en passant par la presse, ils soutenaient tous Clinton", a-t-elle noté.
L'élection de Trump, qui fait suite au Brexit, pourrait être une aubaine pour Le Pen, qui a tout intérêt à voir la vague anti-multculturaliste et altermondialiste déferler en France, à l'approche des échéances électorales en 2017. Ces deux grands évènements marquent, selon la présidente du FN, la décadence des élites politiques et l'émergence même d'un "monde nouveau", celui qui serait bien enclin aux extrêmes.
Le Pen n'est pas seule à penser que l'élection de Trump conforte sa position à l'élection présidentielle de 2017. Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, a aussi dit voir dans la victoire du candidat républicain "l’effritement des démocraties classiques" et "la montée des populismes, des mécontentements et d’un vote anti-système".
Invité de France Info peu après l'annonce de la victoire de Trump, Villepin a même estimé que Marine Le Pen pourrait gagner en 2017. "Tout est possible. Marine Le Pen peut gagner l’élection présidentielle car les peuples sont de retour et que les passions politiques dans nos démocraties désormais sont débridées. La peur et la colère sont les premiers acteurs de la démocratie. Et la raison au service des élites et au service d’un système ne convainc plus personne", a-t-il estimé.
Les sondages sur les intentions de vote prévoient de plus en plus la qualification de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, souvent au détriment du candidat de la gauche. Elle pourrait même remporter l'élection en cas d'un éventuel second tour face à François Hollande avec 51% des voix, selon le dernier sondage d'Ifop, paru fin octobre.
- Un futur président d'extrême-droite en Autriche?
Le déferlement de l'extrême-droite, dopé par la victoire de Trump, est également visible en Autriche, qui élira le 4 décembre son président de la République. Comme en France, l'extrême -droite autrichienne a été la seule formation politique du pays à féliciter la victoire de Trump contrairement à la retenue des sociaux-démocrates et de la droite.
"La gauche politique ainsi que l’establishment déconnecté et clanique sont punis par les électeurs et écartés de différentes positions de prise de décision", a déclaré Heinz-Christian Strache, président du Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ), mercredi sur sa page Facebook.
Les partis et les médias "mainstream" ont été "humiliés" par le peuple pour leur soutien à Hillary Clinton, a encore argué Strache.
La victoire de Trump, tout comme la crise économique, la vague migratoire et le Brexit, ne fait que renforcer la positon de l'extrême-droite en Autriche, qui s'apprête désormais à occuper le poste du président et du Premier ministre.
Les sondages pour la prochaine élection présidentielle accordent déjà la victoire à Norbert Hofer, candidat d l'extrême-droite autrichienne. Hofer, qui avait perdu de justesse la précédente élection, invalidée par la Cour constitutionnelle, est désormais crédité de 2% de plus des intentions de vote que son adversaire Alexander Van der Bellen (Verts).
La victoire de Hofer pourrait faciliter par la suite l'accès de l'extrême-droite au pouvoir dans les élections législatives de 2018, répétant ainsi le succès de Jorg Haider, ancien président du FPÖ, qui avait formé une coalition avec le Parti populaire autrichien (ÖVP) dans les années 2000.
- Répercussions en Allemagne et aux Pays-Bas
L'élection de Trump a également fait écho en Allemagne et aux Pays-Bas, deux pays européens qui connaîtront comme la France, un calendrier électoral chargé en 2017.
Jörg Meuthen, président du Parti populiste Alternative pour l'Allemagne (AfD), n'a pas manqué de féliciter Trump mercredi très tôt le matin, comme d'autres dirigeants de l'extrême-droite, soulignant une "victoire grandiose". "Son élection est un bon signe pour le monde entier et marque un tournant", a-t-il noté dans un communiqué de presse.
L'élection de Trump permettrait également de modifier les rapports de force dans la classe politique allemande et européenne, a encore estimé Meuthen. L'AfD a tout intérêt à voir un tel changement, à l'approche des élections fédérales en 2017.
Le parti extrémiste, qui a sécurisé sa place au sein de 10 parlements régionaux dans les élections régionales dans le pays en septembre dernier, espère cette fois-ci obtenir plus de 10% des voix aux élections fédérales et entrer finalement au Bundestag.
Le contexte politique est encore plus favorable au parti de l'extrême-droite néerlandais, Parti pour la liberté (PVV), dirigé par Geert Wilders, après l'élection de Trump. Wilders, allié de Le Pen au Parlement européen, a lui aussi félicité le candidat républicain pour sa victoire "historique" et sa "révolution".
Wilders, qui continue depuis mercredi d'intervenir dans les médias sur la victoire de Trump, a par ailleurs repris le slogan électoral de Trump "Make America Great Again" en créant le hashtag "Make the Netherlands Great Again" sur Twitter.
Comme d'autres dirigeants de l'extrême-droite, Wilders a prôné une victoire "anti-establishment" et "contre les élites", estimant que l'Europe devra suivre la voie de cette nouvelle Amérique.
L'allusion sans cesse à Trump à l'approche des élections législatives de 2017 aux Pays-Bas confortera certainement la position du PVV, qui occupe déjà 12 sièges sur 150, à la Seconde Chambre des Etats-généraux (Chambre des représentants) néerlandaise.
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04:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 12 novembre 2016
"Rendez-nous Obama!", exige un Tunisien perché sur un monument de Tunis
Un Tunisien, apparemment mécontent de l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis, a escaladé ce jeudi l’un des principaux monuments de Tunis. Il exigeait que Barack Obama reste à son poste, ont indiqué le ministère de l’Intérieur et des témoins.
L’homme, qui a escaladé au petit matin sur cette tour-horloge de 32 mètres de haut en plein centre de Tunis, était en état d’ivresse.
« Il est monté sur l’horloge et il a commencé à crier: ‘Rendez-nous Obama!' », a raconté un témoin attablé à un café tout proche. « Il a d’abord commencé à dire qu’il ne voulait pas d’un retour de Zine » El Abidine Ben Ali, le dictateur tunisien renversé par la révolution de 2011, « puis il a crié qu’il voulait qu’on lui rende Obama », a décrit un policier ayant assisté à la scène. « Il avait l’air ivre. Ça a pris du temps aux collègues de le convaincre de descendre », a-t-il ajouté.
L’horloge, symbole de liberté pour le peuple tunisien
La scène a suscité un petit attroupement sur la place. Une fois sur la terre ferme, l’homme a été pris en charge par les services de la protection civile, selon le ministère de l’Intérieur.
L’horloge, une grande structure métallique installée dans le centre de Tunis après le coup d’Etat de Ben Ali en 1987, est devenue un monument emblématique de la capitale tunisienne. Elle trône au milieu de la place « du 14-Janvier 2011 », date correspondant au départ de Ben Ali pour l’Arabie saoudite, où il vit toujours en exil.
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Attaque de Viry-Châtillon: les trois interpellés relâchés
Les trois hommes interpellés mercredi, un mois après l’attaque aux cocktails Molotov contre quatre policiers à Viry-Châtillon, dans l’Essonne, ont été relâchés jeudi soir, a appris l’AFP de sources policières.
Agés de 16, 19 et 22 ans, ils étaient soupçonnés d’avoir filmé puis mis en ligne des vidéos de l’agression, au cours de laquelle deux policiers avaient été grièvement brûlés. Ils avaient été arrêtés à l’aube mercredi dans la cité difficile de la Grande Borne, à cheval sur les communes de Viry-Châtillon et Grigny.
Le 8 octobre, une quinzaine d’agresseurs ont incendié deux voitures de police, occupées par quatre agents, en mission de surveillance à proximité d’un feu rouge de la Grande Borne connu pour ses vols à la portière avec violences. L’attaque a déclenché un mouvement de grogne nationale de plusieurs semaines chez les policiers.
Ces arrestations avaient été décidées par les deux juges d’instruction saisis dans l’enquête ouverte pour « tentatives de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique commises en bande organisée » et confiée à la Sûreté départementale de l’Essonne.
Une quatrième personne résidant au même domicile que l’un des interpellés avait été mise en cause pour des faits distincts, dans une affaire de détention de produits stupéfiants. Elle a été relâchée dès mercredi.
Aucun des auteurs directs de l’agression n’a jusqu’à présent été arrêté, en dépit des recherches ADN menées sur des objets retrouvés sur les lieux de l’attaque et de l’analyse de plusieurs bandes vidéos.
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13:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Attentats du 13 novembre: une plaque dévoilée à Saint-Denis dimanche
Chauffeur de car vivant à Reims, Manuel Dias a été tué par le souffle provoqué par la ceinture d’explosifs d’un kamikaze, alors qu’il venait de déposer un petit groupe de spectateurs. En bas de cette plaque seront également inscrites les dates de naissance et de décès de l’homme, mort à 63 ans.
Cet hommage sera rendu dans le cadre des commémorations des attentats du 13 novembre, au cours desquelles des plaques seront donc posées sur les différents lieux où les terroristes de Daesh ont semé la mort. Les associations de victimes ont demandé de la « sobriété » aux officiels, et de ne pas faire « évidemment » de « récupération », a répété Georges Salines, président de « 13-Novembre: fraternité et vérité », lors d’une conférence de presse.
« Nous voulons que la journée du 13 novembre garde un caractère solennel, entièrement tourné vers la mémoire des événements, le souvenir, la solidarité », a-t-il déclaré.
Ces volontés ont été respectées par l’exécutif, qui ne prononcera aucun discours lors des différentes cérémonies, alors que le président de la République et de nombreux ministres seront présents.
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Etats-Unis: deux femmes voilées affirment avoir été agressées au nom de Trump
Deux agressions distinctes mais similaires. Quelques heures après l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche, deux étudiantes, l’une de confession musulmane et l’autre voilée, ont été agressées par deux hommes, l’un invoquant le nouveau président des Etats-Unis et les musulmans, l’autre portant une casquette Trump.
« La haine et le racisme de Donald Trump ne trouveront pas leur place à San Diego »
Les suspects seraient un homme blanc et un homme d’origine hispanique, dont l’âge se situerait entre 20 et 25 ans. L’association des étudiants musulmans de l’université de San Diego s’est insurgée sur Facebook. Le groupe, qui a organisé une manifestation contre la victoire de Donald Trump, écrit dans un post: « Nous devons résister à toutes les discriminations qui ont été fortement banalisées pendant la campagne, et maintenant l’élection, de Donald Trump. (…) Sa haine et son racisme ne trouveront pas leur place à San Diego ».
La seconde étudiante, elle, se rendait à ses cours mercredi matin, à l’université de Louisiane, quand elle a été assommée par un objet métallique, avant d’être frappée à terre par deux autres hommes. Elle a également été dépouillée, avant que son voile ne lui soit arraché. La police ne précise pas si la victime est musulmane. Selon son témoignage, l’un des deux agresseurs arborait une casquette à l’effigie de Donald Trump.
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Calais et la France des ghettos : vers la guerre civile ?
Tous les derniers faits divers survenus ces derniers mois à Brunoy, Agde, La Courneuve , Nantes, Nanterre, les Yvelines, attestent de l’irrémédiable. On semble bien approcher du jour où tout s’embrasera, le grand soir de Guérilla, le jour où tout s’embrasa décrite par Laurent Obertone dans son dernier ouvrage.
Alors est-ce trop tard ?
C’est un peu ce que veulent nous dire les policiers en colère. Il faudra se défendre seul puisqu’il n’y a plus de voitures de police ou qu’elles servent à protéger en priorité des édifices religieux.
En un week-end, les garde-côtes italiens ont secourus pas moins de 5.700 personnes durant ces dernières 48 heures. La conjonction de vagues migratoires hors de contrôle, d’attentats terroristes de grande ampleur et d’une délinquance au quotidien devenue insupportable pourrait bien dessiner les traits de la France vers laquelle nous allons : une France ghettoïsée, conflictuelle.
Les tenants de la société multiculturelle pensent toujours que la diversité des communautés allogènes implantées sur tout le territoire constituera un enrichissement pour le pays par la multiplication des échanges et le croisement des cultures qu’elle suscitera. Cela est vrai quand les dites communautés ne sont qu’une minorité, trop réduite pour rester dans l’entre-soi et pour apparaître comme une menace, Ce ne peut plus, sociologiquement, être le cas lorsque le seuil de tolérance est atteint.
En effet, lorsqu’on est encore dans une perspective minoritaire, chacun de ses membres a encore de fortes chances de s’assimiler au mode de vie des autochtones,. Quand les autochtones ne sentent pas leur primauté remise en cause, ils se montrent souvent accueillants et ouverts aux échanges mais il n’en est plus de même quand les dites communautés se font nombreuses. Le problème de la religion et de l’Islam n’est pour nous qu’une manière de piéger le débat migratoire en le dépolitisant.
Il y a donc en France la construction d’une République des camps, de mini camps comme celui en formation à Dieppe ou de véritables ghettos comme le sont devenus la plupart de nos quartiers populaires. En France, la reprise de la fécondité immigrée depuis quinze ans est un marqueur fort de la communautarisation en cours. A terme, c’est bien une société d’apartheid, une société à l’israélienne qui se construit telle que l’Allemagne en a montré l’exemple depuis longtemps. A Berlin, il n’y a pas d’Allemands dans les quartiers turcs et très peu de Turcs dans les quartiers allemands. Ainsi, plus les populations immigrées seront importantes, plus la séparation sera grande.
Le démantèlement de la Jungle de Calais est suivi du saupoudrage sur tout le territoire des illégaux. La France multiculturaliste, généreuse de Touche pas à mon pote s’achève dans des camps et des quartiers fermés. Nous sommes le pays des frontières intérieures et du séparatisme communautaire, une France de cavernes dans les falaises et de tentes sous les bois qui sera demain couvertes de barbelés et bourrées d’agents de sécurité.
Des pays comme le Liban, la Bosnie, Ceylan et toute l’Afrique ont pourtant montré que des communautés ethniques et religieuses d’importance comparable ne peuvent coexister longtemps de manière pacifique, Sans aller jusqu’à évoquer une guerre civile ouverte, ce qui est certain c’est que la démocratie française ne pourra pas prospérer dans une communauté totalement hétérogène. L’hétérogénéité multiculturelle est en effet forcément fatale à la démocratie. C’est une loi historique que, plus une société est hétérogène, plus il lui faut un pouvoir fort pour y maintenir la paix civile. La société israélienne qu’on nous vante tant et qui est même devenu en coulisses le modèle programmé du Ministère de l’Intérieur et des responsables de Les républicains est en réalité la société du rapport de force permanent. Israël ne tient que parce que l’un écrase l’autre . C’est la force et l’autoritarisme qui sont les seuls modèles politiques d’un multiculturalisme qui fonctionne.
Quand le pouvoir socialiste proclame son attachement aux valeurs républicaines, il conforte chaque jour sa légitimité par une gesticulation sécuritaire qui entretient la psychose de l’attentat, habituant ainsi insensiblement les esprits citoyens à un régime d’exception. En même temps, l’idéologie officielle de la tolérance et de la bienveillance, transmise à l’école, à la télévision et dans la presse imagine une politique d’accueil large et généreuse qui rendra les gens meilleurs et la société plus prospère et démocratique. Certains sont même prêts à faire émerger cette société vertueuse par la force d’une loi impitoyable. (la judiciarisation du politiquement correct et la censure d’internet). Ce n’est pas la première fois dans l’histoire contemporaine que les bons sentiments amènent des catastrophes; c’est même plutôt là la règle que l’exception.
C’est le tweet menaçant et rageur de Manuel Valls : « Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux ». N’en doutons pas !
Guerilla le jour où tout s’embrasa, de Laurent Obertone,
Michel Lhomme, philosophe, politologue
Metamag
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Croix gammée et inscription « White Power » taguées sur la mosquée de Comines
Les fidèles de la mosquée de Comines située dans le département du Nord sont choqués après la découverte, dimanche 6 Novembre, d’une croix gammée et d’une croix celtique accompagnée de l’inscription « White Power » taguées sur le lieu de culte.
Les représentants de la mosquée Er-Rhama ont déclaré que du jambon a aussi été retrouvé sur la porte.
L’association qui gère le lieu de culte musulman a porté plainte lundi matin.
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Marie-France Clergeau (PS) et 16 députés vont financer l’immigration avec sa réserve parlementaire
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vendredi, 11 novembre 2016
Le centre pour migrants ouvre ses portes à Paris
A l’arrière, un ancien entrepôt de la SNCF de 10 000 m2 abrite désormais huit « villages », composés chacun de douze cabanes en bois de 16 m2 chauffées avec quatre lits, ainsi qu’un pôle santé, une laverie, un « magasin » qui distribue gratuitement vêtements et kits d’hygiène, des tables de ping-pong et bientôt un terrain de foot. Le tout dans un sinistre bloc de béton défraîchi, coincé entre le périphérique et les boulevards des Maréchaux, que quelques fresques en couleurs tentent d’égayer.
Ce démantèlement, ainsi que celui de la « jungle » de Calais intervenu quelques jours plus tôt, et l’afflux important de nouveaux migrants ont été à l’origine du retard de l’ouverture du centre, initialement prévue début octobre. L’Etat a fait attendre la maire de Paris le temps de placer les réfugiés dont les campements devaient être évacués. Il fallait éviter que le centre parisien soit pris d’assaut et engorgé, à peine ouvert, par les milliers de migrants déjà présents dans les rues. Au risque de déplacer le problème : il reste moins de places dans les centres d’accueil ouverts partout en France pour répartir les futurs arrivants du camp parisien. C’est là que le bât blesse.
Le centre du boulevard Ney est un lieu de transit : les migrants sont censés y rester de cinq à dix jours maximum. « Ce n’est pas un centre d’hébergement mais un sas au sein duquel nous pourrons répondre à leurs besoins vitaux, précise Bruno Morel, directeur général d’Emmaüs Solidarité, qui gère les lieux (avec l’aide de quelques centaines de bénévoles). Les migrants pourront recevoir les premiers soins, avoir quelques jours de répit, être informés sur leurs possibilités et sur ce qui va leur arriver. »
Le bon fonctionnement de cette nouvelle structure va donc entièrement dépendre de la gestion du flux. Il faudra que des migrants sortent du centre chaque jour pour faire de la place aux nouveaux arrivants. Seulement, les CAO et les CADA de France affichent pour beaucoup déjà complets, tandis que le nombre d’exilés ne cesse d’augmenter. A l’heure actuelle, personne ne sait combien de réfugiés vont se présenter boulevard Ney.
Devant cette incertitude, Médecins du monde, qui propose avec le SAMU social de Paris des bilans de santé au sein du centre, ne s’est pas engagé au-delà du mois de janvier. Sa présidente, Françoise Sivignon, juge le challenge « phénoménal » et admet se poser « beaucoup de questions ». Parmi ses craintes : que le centre ne devienne un camp de triage entre ceux que l’on appelle les « dublinés » (demandeurs d’asile qui ont laissé leurs empreintes dans un autre pays d’Europe et qui, au nom du règlement de Dublin, devraient y demander l’asile) et les autres.
Mais les migrants n’ont plus le choix. La politique de la Ville est claire : Paris ne veut plus de réfugiés dans ses rues. Place Stalingrad, quatre camionnettes de CRS, deux voitures de police, des policiers en uniforme et d’autres en civil avec des brassards orange sont là pour s’en assurer. Et l’allée centrale de l’avenue de Flandre a été condamnée par des grillages. Les exilés qui n’ont pas l’air de savoir où ils vont ont peu de chances d’échapper au contrôle d’identité.
Ismail trace sa route. Emmitouflé dans sa doudoune noire, un sac à dos à l’épaule, le regard fixé droit devant lui, ce Soudanais de 26 ans arrivé à Paris il y a deux semaines traverse la rue sans dévier de sa trajectoire, malgré la quinzaine de policiers qu’il vient d’apercevoir sur le trottoir d’en face. Il frôle les uniformes avec la mine assurée d’un Parisien qui connaît son chemin. Le tour est joué, il passe sans être repéré.
Ce n’est pas le cas d’un groupe de jeunes, à quelques mètres de lui. Certains, dans l’incapacité de fournir la preuve immédiate qu’ils sont hébergés quelque part, sont embarqués. « On va leur trouver un hébergement », assure un policier. Encore faut-il qu’il y ait de la place. Le nombre de migrants arrivant chaque jour à Paris est évalué entre 50 et 70. Entre l’évacuation du campement de Stalingrad, vendredi 4 novembre, et l’ouverture du centre, il y aurait donc déjà près de 400 nouveaux réfugiés dans les rues. Soit exactement le nombre de places disponibles dans le centre humanitaire. A peine ouvert et déjà saturé ?
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« J’ai entendu l’apologie de la pédophilie dans une grande mosquée de Bruxelles »
Joachim Véliocas de l'Observatoire de l'islamisation s'est entretenu avec Farah Kay , belge-marocaine qui a renié l'islam après avoir étudié les "sciences islamiques" dans les mosquées bruxelloises. La violence des textes, les appels à la haine et les justifications de la pédophilie l'ont définitivement vaccinée de l'hérésie islamique. Cette courageuse femme libre sort un livre : Papa, maman, Allah et moi aux éditions de la Boîte à Pandore (septembre 2016). Entretien du 9 novembre 2016.
"L'islam, c'est une foi criminelle" :
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Un jeune homme poignardé et frappé à coups de marteau en Seine-et-Marne
Il a échappé de peu à la mort. Un jeune homme âgé de 21 ans a été grièvement blessé mardi soir à Pontault-Combault, en Seine-et-Marne, rapporte Le Parisien. Transporté dans un état critique à l’hôpital, ses jours ne seraient plus en danger.
Cinq suspects en garde à vue
La victime a reçu quatre coups de couteau, dont un dans la poitrine, et a également été frappé sur la tête à coups de marteau. Son frère -qui aurait prévenu les secours- a été placé en garde à vue après que des témoins ont indiqué à la police l’avoir vu tirer avec un fusil.
Quelques heures après leur fuite, l’auteur présumé des coups de couteau, son frère ainsi que trois autres individus ont été interpellés par la police et placés en garde à vue. Tous les cinq sont âgés de 20 et 24 ans.
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En meeting, Sarkozy se pose en "défenseur acharné" des jeunes musulmanes
« Je veux être le défenseur acharné de ces jeunes Françaises musulmanes dont je veux leur garantir le droit qu’elles choisiront leurs maris, leurs familles, leurs tenues vestimentaires », a déclaré Nicolas Sarkozy dans une salle d’un millier de places pleine à craquer, à l’auditoire essentiellement poivre et sel.Ciblant le burkini, il a promis une loi pour l’interdire « partout en France » car « on est plus au Moyen Age ». Et il a refusé des plages où « les femmes devraient se cacher parce qu’elles sont diaboliques ».
« On n’enferme pas les femmes sur le sol de la République française », a-t-il ajouté.
Et pour lui, l' »islam djihadiste » est un « ennemi (…) qu’il faut exterminer en lui livrant une guerre intraitable ».
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Moisselles (95) : simulation d’une tuerie de masse dans un centre commercial
Dans le rôle des victimes, 80 figurants mis à disposition par les instituts de formation en soins infirmiers de Pontoise et d’Eaubonne, la Croix Rouge, la Protection civile, l’unité mobile de premiers secours et la préfecture.
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Obama et son bilan désastreux : économie – immigration – ingérence
Débarrassée de sa boue et de ses relents de scandales privés, la campagne des présidentielles aux USA a porté sur les trois points mentionnés en titre et qui forment le bilan désastreux des deux mandats de Barack-Hussein Obama, dont l’Europe occidentale et scandinave a subi de plein fouet les tristes conséquences.
En tous pays hautement civilisé, l’économie globale n’a objectivement apporté que ruine industrielle et agricole. Fort heureusement pour les Européens, les Usa n’échappent pas plus aux délocalisations d’entreprises que l’Europe occidentale et scandinave. Seuls les services, qui nécessitent un haut niveau de valeur ajoutée cérébrale, sont en pleine expansion.Rappelez-vous : c’est au début de l’ère nouvelle, dans la première moitié des années 1980, qu’est apparu ce triste néologisme de « délocalisation d’entreprises », ce qui fut une cause de chômage massif et de très longue durée (une durée nettement plus importante que celle de la crise de 1929-39) pour les ouvriers US et européens.
Avant de célébrer comme un grand moment de notre histoire nationale les « années Mitterrand », il serait bon de se souvenir que c’est ce bourgeois avide, ce socialiste de salons, qui a précipité la France dans le globalo-mondialisme. Mitterrand, ce n’était toutefois rien, en matière de capacité de nuisance, comparé au crypto-islamiste Obama.
« C’est aux fruits qu’on juge l’arbre » semble avoir dit l’un des plus grands penseurs de l’humanité. Obama, ce fut en de nombreux pays musulmans le remplacement violent des potentats calmes par les plus féroces islamistes : Tunisie, Libye, Syrie sont les joyaux du triste sire qui va enfin quitter la scène. Il a échoué au Yémen, mais a remarquablement poursuivi l’œuvre de son prédécesseur en Irak et en Afghanistan, parvenant même à laisser se développer l’État Islamique du Kurdistan, qu’il faut désormais anéantir pour cause de résurrection imprévue du califat, lorgné par les Saoudiens.
La collusion Obama-Erdogan, en dépit de pseudo-querelles destinées à masquer le but du jeu, est l’élément le moins discret de la politique pro-touranienne des maîtres de la globalo-mondialisation : on flatte le racisme pantouranien et le sectarisme sunnite pour mieux exploiter les richesses naturelles de pays qui – heureuse « coïncidence » ! – bordent les frontières du sud de la Russie et de l’est de la Chine.
L’Europe, ravagée par l’économie globale, s’est vue envahir par des millions d’immigrés en provenance d’Afrique, du Proche et du moyen-Orient. C’est un double avantage pour les sponsors d’Obama (et d’Hillary Clinton, la perdante) : on accroît la consommation européenne et on pourrit ses sociétés par l’agent le plus pernicieux qui soit, l’islam violent, djihadiste, sectaire et rétrograde.
Enfin, la doctrine globalo-mondialiste a créé, dans les années 1990, le « Droit d’ingérence »… rappelez-vous encore ce merveilleux Kouchner qui voulait lancer la France en guerre contre l’Iran chiite dont le président (effectivement maboule) injuriait quotidiennement l’État d’Israël et contestait la réalité même de la Shoah, source perpétuelle de royalties.
Cette ingérence a échoué partout : la République centrafricaine, le Mali, la Libye (et il ne faudrait pas oublier le Tchad ni l’ex-Haute-Volta ou Burkina-Faso) sont ingouvernables, minés par l’islam djihadiste que l’intervention française n’a su maîtriser. Bien au contraire, l’intervention de « diables étrangers » n’a fait qu’accroître fort logiquement les effectifs des agents de la subversion. Les gouvernants français (mais aussi britanniques – en Irak et en Afghanistan – ou italiens – en Libye) se sont comportés en bons petits soldats – légèrement abrutis – du sieur Obama.
Abrutis, parce qu’il faut soit être très stupide, soit avoir des raisons personnelles, pour continuer à détruire l’outil industriel national, gêner considérablement l’agriculture et la pêche, pénaliser le commerce extérieur en acceptant des conditions imposées par les globalo-mondialistes (via leurs valets de l’organisme supranational de Bruxelles), enfin pour admettre d’énormes quantités d’immigrés-« réfugiés »-envahisseurs extra-européens en des pays où existent une foule de chômeurs (un peu plus de cinq millions, toutes catégories réunies, pour la seule France).
Obama s’en va et sa candidate est battue. Tant mieux !
Nul Président Us depuis Franklin Roosevelt n’a autant fait pour détruire l’Europe (son successeur Harry Truman fut, au contraire, un bienfaiteur de l’Europe au nom d’une communauté d’origine que cet homme de bon sens se refusait à ignorer). Il reste à espérer que les Usa, où Président et Congrès sont du même parti, vont calmer le jeu politique mondial, en évitant de pourrir davantage la situation européenne et celle des rives du Pacifique.
Trump apporte un espoir de relations moins tendues avec la Chine et la Russie. Peut-être voudra-t-il bien s’occuper de la misère industrielle de son énorme pays et, durant les quatre prochaines années, oublier de pourrir la vie des Européens et se désintéresser du « devoir d’ingérence » dans les pays du Tiers-Monde où l’on joue les prolongations du triste XXe siècle.
Peut-être s’agira-t-il d’un Président qui n’utilisera plus les immigrés mahométans comme d’agents de pourrissement des sociétés occidentales.
Du moins peut-on l’espérer.
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jeudi, 10 novembre 2016
Allemagne: cinq recruteurs présumés de Daesh arrêtés
Le réseau jihadiste envoyait des recrues à Daesh
Le chef présumé du groupe est un ressortissant irakien de 32 ans. Ses quatre complices présumés sont un Turc de 50 ans, un germano-Serbe de 36 ans, un Allemand de 27 ans, et un Camerounais de 26 ans.
« Le but du réseau était d’envoyer des recrues à Daesh », a indiqué le parquet fédéral, chargé des affaires de terrorisme, dans un communiqué. Les suspects organisaient à cette fin des cours d’arabe et de thèses islamistes radicales. « Il est démontré que ce réseau a envoyé à Daesh en Syrie au moins un jeune homme et toute sa famille », relève la même source. Les cinq suspects doivent être présentés au juge des détentions ces mardi et mercredi.
820 jihadistes ont quitté l’Allemagne pour se rendre en Syrie et en Irak
Selon un bilan présenté en mai par le renseignement intérieur allemand, un total de 820 jihadistes ont quitté l’Allemagne pour la Syrie et l’Irak. Près d’un tiers d’entre eux est déjà revenu et environ 140 autres ont été tués. Quelque 420 seraient ainsi encore en territoire syrien ou irakien.
L’Allemagne a été jusqu’ici épargnée par des attaques jihadistes d’ampleur du groupe EI, du type de celles qui ont ensanglanté Paris ou Bruxelles.
En revanche, plusieurs attentats islamistes ont été récemment commis par des personnes isolées, notamment des demandeurs d’asile arrivés lors de l’afflux migratoire de 2015.
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145 migrants de la « jungle » de Calais en Franche-Comté
Ils sont cinq à attendre dans le couloir s’étirant en long balcon au-dessus de la salle des guichets pour cartes grises et permis de conduire du bâtiment d’accueil public de la préfecture du Doubs. En ce mardi matin, plusieurs ont fait route depuis Montbéliard jusqu’à Besançon, accompagnés par des travailleurs sociaux. Tous sont des migrants faisant partie de l’ensemble de ceux qui ont été évacués de la « jungle » de Calais et répartis dans les divers centres d‘accueil et d’orientation (CAO). Au total, ils sont 145 adultes, des hommes dans la quasi-totalité, surtout afghans et soudanais, à se trouver désormais hébergés en diverses villes de la région.
« Tous souhaitaient passer en Angleterre, on connaît la situation, ils ont accepté d’aller en centre d’accueil. L’objectif est de les mettre à l’abri afin qu’ils aient un répit et puissent réfléchir à leur projet migratoire », explique Guillaume Germain, directeur de l’Office français de l‘immigration et de l’intégration (OFII) à la préfecture du Doubs. Besançon est à cet égard l’un des six pôles nationaux de gestion de l’accueil des réfugiés.
En fait, chacun de ces migrants venus de Calais est reçu successivement par un fonctionnaire de la préfecture recensant ses éléments d’identité puis par un agent de l’OFII. Chacun est appelé à se soumettre à la borne Eurodac, base de données répertoriant les empreintes digitales des demandeurs d’asile et permettant de savoir s’ils sont passés par un autre pays.
« Il s’agit ici de déterminer la procédure dans laquelle se trouve la personne. Elle peut se trouver sous procédure Dublin, en référence aux accords de Dublin, soit passée par un autre pays où il a laissé ses empreintes et où il peut être renvoyé, en procédure accélérée ou normale », rapporte Guillaume Germain. Visiblement, les migrants venus de Calais, même en procédure Dublin, ont droit à une certaine mansuétude et peuvent demander l’asile en France. À coup sûr, les migrants suivants ne seront pas logés à la même enseigne et « les dublinés », selon le jargon, devraient être transférés en Grèce ou Italie, souvent le pays de leur prime arrivée.
Une carte et un code confidentiel
Pas de risque d’être renvoyé dans un autre pays pour tous ces hommes venus de la « jungle ». Âgé de 26 ans, Suleyman vient de passer à la borne Eurodac, pas d’empreintes. Ce Soudanais n’a pas séjourné trop longtemps à Calais. Avec l’agent de l’OFII le recevant, le dialogue s’instaure par le biais d’une interprète de langue arabe d’ISM Interprétariat jointe au téléphone. D’abord, un point sur la situation de ce migrant logé dans un centre de Montbéliard. Les questions se succèdent. « Je n’ai pas de problème de santé, je suis marié et sans enfant, ma femme est restée au Soudan. Je demande une place en centre d’accueil pour demandeurs d’asile. J’ai une formation de mécanicien auto. » Le temps de noter son numéro de portable, d’enregistrer sa demande sur le logiciel de l’OFPRA, l’agent de l’OFII lui fait signer une offre de prise en charge et lui remet deux lettres cachetées. « C’est un code confidentiel et une carte de retrait bancaire sans support de compte, la plupart des migrants n’ont pas de compte. Il aura un SMS lui indiquant que la carte est créditée du montant de l’allocation de demandeur d’asile à laquelle il a droit. Il pourra faire trois retraits par mois », explique l’agent de l’OFII. Pour précision, le montant de cette allocation est de 6,80 € par jour et de 12,20 € pour un couple et non de 40 € comme cela a circulé sur des réseaux sociaux.
Fin de l’entretien, Suleyman a bien assimilé que le numéro du code bancaire est à effectuer de gauche à droite et non l’inverse comme beaucoup de locuteurs de langue arabe l’ont fait. Son dossier complet de demandeur d’asile doit être à l’OFPRA dans les vingt et un jours à venir, il le fera depuis le centre d’accueil avec l’aide de travailleurs sociaux. Suleylan sourit : « J’aimerais bien apprendre le français. » S’il obtient le statut de réfugié, le contrat d’intégration républicaine lui permettra de suivre des cours de français.
14:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ils préfèrent embaucher des migrants plutôt que des Français !
L’année dernière, quatre grandes entreprises, toutes cotées en Bourse, avaient lancé un appel à la mobilisation en faveur des migrants : Total, Air Liquide, Sodexo et Michelin. Total n’a pas hésité à signer un chèque de 200.000 euros pour prendre en charge une formation au métier de développeur informatique. Pour soutenir cette initiative, des consultants de la société Accenture auraient, ainsi, travaillé gratuitement tout en donnant des conseils pour rédiger un CV et passer un entretien d’embauche. De son côté, Axa a débloqué un budget d’un million d’euros pour venir en aide aux migrants et les accompagner « en matière de formation et d’insertion professionnelle ». Et BNP Paribas a également annoncé la création d’un plan de soutien de cinq millions d’euros grâce à son fonds Urgence & Développement.
L’objectif est, notamment, d’ouvrir un lieu à Paris pour aider les migrants à trouver un emploi et/ou créer leur propre entreprise. L’ONG Action emploi réfugiés a, pour sa part, misé sur un site Web qui met en relation les « réfugiés » en quête d’un emploi et les entreprises. « Il n’y a pas de job réservé, ce serait de la discrimination positive, mais un accès facilité aux annonces », a précisé Diane Binder, la cofondatrice du projet. Certes, le site ne fait que mettre en relation des demandeurs avec des employeurs. La plate-forme semble donc difficilement attaquable juridiquement car la discrimination ne peut être prouvée qu’à l’embauche. Mais il s’agit bien, en tout cas, d’un projet destiné à faciliter l’installation définitive de nouveaux immigrés sur notre sol.
Si l’entreprise d’intérim Adecco est dans le coup, avec son application permettant de géolocaliser les offres d’emploi, Action emploi réfugiés peut surtout compter sur l’association France terre d’asile. Cette dernière a, d’ailleurs, signé un partenariat avec Franprix, fin 2015, pour favoriser l’insertion professionnelle des migrants en leur offrant la possibilité d’accéder à un emploi en magasin. Si cette information est passée quasiment inaperçue, l’approche discriminatoire semble clairement établie. Il serait opportun de demander des comptes à cette enseigne, qui semble privilégier l’embauche des autres avant les nôtres.
Face à l’invasion migratoire facilitée par des acteurs politico-économiques, des mesures radicales s’imposent. Outre un arrêt des subventions et une interdiction des associations soutenant l’immigration, il faudrait prévoir l’insertion – dans le Code pénal – du délit d’aide à l’immigration illégale avec peine de prison systématique en cas de récidive. Quant aux patrons qui préfèrent embaucher des immigrés, la prison est un minimum quand on touche à la communauté de destin de notre peuple.
Ils sont favorables à la répartition ? Nous prônons la remigration ! Ils pensent que l’immigration est une chance pour la France ? Nous considérons plutôt notre civilisation comme une chance pour l’Europe !
Fabrice Robert
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mercredi, 09 novembre 2016
Projet de mosquée à Aussillon
Ce projet de construction de mosquée se situe dans le quartier de la gare à Aussillon. Le permis de construite a été déposé l'année dernière et a été accepté. Certains ne voient pas d'un bon oeil la construction d'un nouveau lieu de culte, comme Dominique Petit, élu d'opposition à Aussillon. Le Maire de la commune, explique de son côté que c'est en fait le simple déplacement d'une mosquée qui existe déjà. Bref, polémique pour les uns et pas de quoi fouetter un chat pour les autres.
pages hallal
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Nantes : Marion, 14 ans, violée, torturée et assassinée de 68 coups de couteau par un Angolais « déséquilibré »
L’accusé, Yannick Luende Bothelo, un Angolais de 29 ans corpulent, est entré dans le box peu après 09H00. Il comparaît pour l’assassinat et le viol de Marion, accompagné d’actes de tortures et de barbarie, ainsi que pour tentative d’assassinat et violences volontaires sur deux hommes âgés. […]
Le corps sans vie de Marion, frappé de 68 coups de couteau, avait été découvert le matin du 19 mars 2012 par une passante, à Bouguenais (Loire-Atlantique), dans des toilettes publiques près de Nantes en 2012.
Connu de la justice pour des cambriolages et des vols divers, il avait brisé son bracelet électronique quelques jours avant les faits et était visé par un mandat d’arrêt. […]
« Je suis Dieu », avait-il asséné aux enquêteurs, expliquant avoir croisé Marion et décidé de la tuer car tel était son « destin ». Il lui aurait ensuite volé son téléphone « pour appeler directement Sarkozy », le président de la République par qui il entendait se faire remettre les pleins pouvoirs… Une véritable fixation depuis des mois, révélera l’enquête, de la part de Luende Bothelo, qui se disait « né pour amener la paix », et qui avait appelé l’Élysée à plusieurs reprises.
Au-delà du caractère odieux de cet assassinat, c’est la santé mentale de l’accusé qui sera au cœur des débats, un homme dont le cas divise les experts. Si tous ont reconnu qu’il souffrait d’une « schizophrénie paranoïde » et de « troubles psychotiques », seuls deux d’entre eux ont estimé que son discernement n’était pas « aboli » mais seulement « altéré » au moment des faits — en clair, qu’il était responsable pénalement et ne nécessitait pas d’être envoyé en hôpital psychiatrique.
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«La Suisse est une plaque tournante pour les Saoudiens»
Contrôlée par l’Arabie Saoudite, la Ligue islamique mondiale est riche et influente. En Suisse également. Dans 30 mosquées du pays, elle diffuse une interprétation de la religion qui crée un terrain fertile pour le radicalisme, affirme l’experte de l’islam Saida Keller-Messahli.
«La Ligue mondiale soutient les musulmans du monde entier, en particulier en Occident, car ils y sont de plus en plus nombreux», dit Nabil Arab, directeur de la Fondation du roi Faysal. La Fondation gère le centre islamique de la Friedensgasse à Bâle, un des deux centres de Suisse qui sont liés à la Ligue islamique mondiale.Nabil Arab est en relation avec la Ligue depuis 14 ans. Ce qui a notamment permis à certaines sommes d’argent de couler de la Mecque vers Bâle. Et Nabil Arab s’est déjà rendu plusieurs fois dans la ville sainte pour des conférences de la Ligue. Il se dit fasciné par la région du Golfe et son développement rapide. Il loue la bonne organisation des conférences de la Ligue, la générosité des hôtes et l’intelligence des érudits musulmans qu’il y rencontre.
Quand on lui demande si la Ligue serait radicale, il répond «non, en aucun cas. Ce sont des gens aimables et très instruits». La Ligue travaille au contraire pour la paix et tient même des conférences contre le terrorisme.
Le wahhabisme comme seul islam authentique
On peut toutefois être un peu sceptique quand on sait par exemple qu’un des érudits invités aux conférences de la Ligue se nomme Yussuf al-Qaradawi. Ce prédicateur très populaire, notamment sur la chaîne Al-Jazeera, prône entre autres le droit pour l’homme de battre sa femme et la mort pour les couples adultères. Il a également dit qu’une conquête de l’Europe par l’idéologie musulmane était actuellement en cours.
Le fait est que la Ligue islamique mondiale est active sur les cinq continents et serait ainsi la plus grande organisation religieuse au monde, comme l’a expliqué à Radio SRF Saida Keller-Messahli, présidente du Forum pour un islam progressiste.
La Ligue a été fondée en 1962 en Arabie Saoudite pour faire contrepoids aux appels à la démocratie et au panarabisme lancés par des leaders comme Nasser en Egypte. Elle est pilotée par le pouvoir saoudien et son objectif est de gagner les musulmans du monde entier au wahhabisme, qui est doctrine d’Etat en Arabie Saoudite. La Ligue propage un islam dont l’idéologie vient en droite ligne du début du VIIe siècle et présente le wahhabisme comme le seul vrai islam.
La Suisse est importante pour les Saoudiens
Selon Saida Keller-Messahli, le wahhabisme est une doctrine «qui ne tient aucun compte des acquis contemporains, comme les droits de l’homme ou les droits individuels». Toute radicalisation se fait sur un terreau mental propice, et le wahhabisme est pour elle un terreau idéal. «L’idéologie saoudienne, qui partage le monde entre le bien et le mal, qui propage à l’occasion des contenus très racistes et misanthropes, commence dans la tête des individus. Ce qui veut dire que les prédicateurs propagent ces visions du monde, qui vont s’infiltrer dans les esprits des fidèles».
L’experte rappelle que la Suisse est importante pour les Saoudiens – surtout Genève. Car c’est là qu’a été fondé le premier centre de la Ligue mondiale à l’étranger. Et c’est là aussi qu’elle a depuis peu un conseil de coordination européen. Et de ce conseil partent, selon Saida Keller-Messahli, des connections vers au moins 30 mosquées en Suisse.
(Traduction de l’allemand: Marc-André Miserez)
Judith Huber, SRF
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Menaces des musulmans en Italie : « redonnez-nous nos mosquées illégales ou nous prierons Allah au Vatican »
Les mosquées abusives prolifèrent en Italie comme en France. A Rome, nonobstant la protestation de la communauté musulmane au Colisée contre la fermeture des mosquées illégales, la police de la capitale a opposé les scellés à une autre salle de prières dans la rue Montenovesi. C’est la sixième mosquée qui n’est pas aux normes et qui est mise sous séquestres en peu de mois.
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Bruxelles: un homme se fait "arracher" les yeux en pleine rue
Un suspect de nationalité néerlandaise, avec qui la victime s’est battu, « aurait lors de cette bagarre arraché les yeux » du trentenaire, avant de prendre la fuite, a indiqué le parquet, faisant état des « premiers éléments de l’enquête ».
La police a pu l’interpeller plus tard dans la journée de ce dimanche. Il doit être déféré ce lundi devant un juge d’instruction, saisi pour coups et blessures volontaires, torture et traitement inhumain. Il « reconnaît s’être bagarré » avec la victime, « mais ne peut affirmer avec certitude lui avoir arraché les yeux », a ajouté le parquet.
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04:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Baumettes : 3 mois de prison pour une tentative d'évasion au culot
Au culot, sans violence ni effraction: un détenu qui était parvenu à franchir plusieurs grilles et portiques, jusqu’à la dernière porte de la prison des Baumettes à Marseille. Il a été condamné lundi, à trois mois de prison.
Laurent Choukroun, 43 ans, incarcéré depuis le 17 octobre 2012 et libérable en avril 2020, avait, le 31 mars dernier, circulé dans la prison durant 24 minutes, sans être inquiété. « Vous avez joué au poker et ça a failli marcher », a relevé le président Laurent Sebag, lors d’une audience au tribunal correctionnel de Marseille.
Sa tentative de belle, qu’il nomme « balade pénitentiaire », s’était achevée dans le sas de sortie, devant la porte donnant sur la rue. Ne pouvant remettre le badge réclamé par le surveillant, il avait tenté sa chance: « Je suis policier, je suis en mission secrète. »
Tout commence à l’infirmerie
De sa cellule, Laurent Choukroun qui purge un total de neuf années pour différentes affaires de stupéfiants, s’était rendu à l’infirmerie sans rendez-vous.
« Je ne sais pas ce qui m’a pris », a-t-il raconté au tribunal. « J’ai suivi un infirmier qui a pris le chemin de la sortie. Je n’avais pas l’intention de m’évader. Mais une fois dans la cour d’honneur, j’ai pensé à ma fille. J’ai vu le panneau sortie, j’ai sonné, on m’a ouvert. Je me disais: ce n’est pas possible. »Dans un rapport évoqué à l’audience, la direction des Baumettes évoque plusieurs dysfonctionnements : un déplacement sans bulletin de circulation, une ouverture de grilles sans badger et un défaut de contrôle au dernier portique de sécurité avant le sas de sortie, où quatre personnes étaient en train de discuter lorsque le détenu est passé.
Le procureur Max Gazan qui avait requis un an de prison n’a pas cru à cette « version romanesque », estimant que cette tentative d’évasion par ruse « tourne en dérision et porte atteinte au crédit de toute une institution ».
Défenseur du détenu qui exerce la profession de prospecteur diamantaire en Afrique, Me Benjamin Liautaud a mis l’accent sur l’absence de préparation, Laurent Choukroun n’ayant sur lui ni argent ni téléphone. L’avocat a souligné qu’avant les lois Perben de 2004, une évasion sans « bris de prison » (effraction) ni violence n’était pas punissable.
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"Mouvement des policiers en colère": une association créée officiellement
Ses membres refusent catégoriquement toute subvention gouvernementale. Ils se disent apolitiques et hors syndicats. Leur volonté: représenter tous les policiers français en colère.
Un mouvement qui prend de l’ampleur
Depuis la mi-octobre, la grogne des policiers ne faiblit pas. Le mouvement avait commencé par une manifestation nocturne spontanée sur les Champs-Elysées, le 17 octobre dernier. Il s’est ensuite étendu à toute la France, en particulier dans les grandes villes. Vendredi soir, ils étaient près de 700 à manifester à Lyon, et plus d’une centaine dans de nombreuses villes telles que Béziers et Avignon.
Pour tenter d’apaiser cette mobilisation, largement soutenue par l’opinion publique, le gouvernement a annoncé une enveloppe de 250 millions d’euros pour permettre un renouvellement du matériel, la fin des « tâches indues » (comme les gardes statiques devant les bâtiments), l’alignement des sanctions pour « outrages » à l’encontre des forces de l’ordre avec celles des magistrats, qui passera de six mois à un an d’emprisonnement, ainsi que des mesures pour préserver l’anonymat des policiers dans le cadre des procédures ou en intervention.
Malgré cette annonce, l’insatisfaction des policiers demeure, et les mobilisations se poursuivent.
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