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Berlin va lancer un programme de 150 millions d’euros d’aide au retour pour des demandeurs d’asile qui n’ont pas de perspective de rester en Allemagne ou qui souhaitent rentrer dans leur pays d’origine, a annoncé aujourd’hui le ministre du Développement dans un entretien. « Pour les trois prochaines années, nous mettons à disposition 50 millions d’euros annuels pour ce programme de retour« , a indiqué le ministre Gerd Müller au quotidien régional Augsburger Allgemeine. Concrètement, les mesures d’aide concerneront des personnes originaires d’Irak, d’Afghanistan, des différents pays des Balkans qui, pour diverses raisons, veulent finalement rentrer chez elles, ou dont la demande d’asile ne pourra être acceptée, selon un document de présentation de ce programme dont le journal a eu copie. Il s’agit pour l’Allemagne de les aider « à entreprendre un nouveau départ » dans leur pays d’origine. « Nous pouvons leur offrir de l’éducation, une formation, des emplois, et des aides« , a détaillé le ministre.
L’Allemagne, qui a accueilli 900.000 demandeurs d’asile en 2015, a décidé de serrer la vis en matière d’immigration. Sous pression dans son propre camp, la chancelière Angela Merkel s’est engagé à ce que l’afflux massif de migrants, dont beaucoup de Syriens, Irakiens et Afghans, de l’an dernier ne se reproduise plus. Certains responsables politiques dénoncent en outre ces derniers mois le faible nombre d’expulsions effectives de demandeurs d’asile déboutés.
« Eurislam »… Pas besoin de vous faire un dessin, vous avez compris où ils veulent en venir. À ce titre, le montage illustrant le rapport dit tout : un minaret orné d’un croissant islamique figure au centre du drapeau bleu européen aux étoiles dorées. L’islam n’est pas « inclus », il est central dans le destin historique que comptent bâtir les déconstructeurs qui nous gouvernent.
Récemment, Philippe de Villiers révélait l’existence de ce rapport, qui prévoit notamment un plan formel de partition, à l’identique du constat d’échec formulé par François Hollande dans Un Président ne devrait pas dire ça. Financé par le fonds FP7-SSH, qui bénéficie d’un budget de 623 millions d’euros entièrement consacrés aux recherches en sciences humaines pour l’Union européenne de demain, le rapport Eurislam essaye de donner des clés aux États membres pour qu’ils parviennent à correctement intégrer les populations immigrées, et plus particulièrement les musulmans.
Le rapport propose les solutions suivantes, que je vais m’efforcer de décrypter en expurgeant la novlangue :
– conseiller aux associations musulmanes de s’affranchir de leurs relations avec les États pour privilégier des partenaires privés ;
– renforcer les missions des associations dites « antiracistes », médiatrices idéales pour l’intégration des musulmans en Europe ;
– obliger les médias à parler en bien des musulmans plutôt que de rapporter les drames du terrorisme ou les difficultés que leurs pratiques font naître dans nos sociétés occidentales ;
– rééduquer les peuples qui estiment que la distance culturelle entre eux et les musulmans serait trop importante ;
– promouvoir l’intégration « socioculturelle » ;
– envisager de créer une organisation supranationale représentant les intérêts des musulmans ;
– pratiquer la discrimination positive et offrir des politiques prenant en compte les différences ethniques.
Je n’invente rien. Tout est disponible sur Internet. Pendant que les Européens financent ces rapports iréniques, les femmes n’ont plus le droit de prendre un café en terrasse dans la ville de Sevran, comme le montrait un reportage de France 2. L’Union imposera bientôt aux États membres les politiques d’immigration qu’ils doivent mener, forcément « inclusives » et « multicuturelles ». « À Rome, fais comme les Romains » semble bien loin de leur préoccupation. Quel message envoie-t-on ? À Paris, fais comme à Kaboul. Et c’est ainsi que les civilisations s’effondrent…
Il paraît qu’on trouve encore au Royaume-Uni des pubs portant l’écriteau : « Interdit aux chiens et aux Français. » Cette formule avait servi de titre – les plus anciens s’en souviennent – à l’ouvrage de Jean Brune sur la tragédie de la guerre d’Algérie. Un reportage diffusé récemment sur France 2 nous rappelle qu’il existe des cafés où les femmes ne sont pas – c’est le moins qu’on puisse dire – les bienvenues. Lira-t-on bientôt sur les devantures : « Interdit aux chiens et aux femmes » ?
On sait que cela se produit dans des pays du Moyen-Orient, comme l’Arabie saoudite, où la chaîne de café Starbucks a interdit aux femmes d’accéder à l’un de ses établissements : il ne possédait pas le mur de séparation hommes-femmes obligatoire. La non-mixité s’est donc imposée, au détriment d’un des sexes : devinez lequel. Mais ce n’est pas dans un État où un comité pour le commandement de la vertu et la répression du vice surveille l’application de la charia que cela se passe. Cette fois, c’est en France.
Dans ce reportage, intitulé « Lieux publics : quand les femmes sont indésirables », France 2 suit deux militantes de la Brigade des mères : elles se battent contre la radicalisation des jeunes et pour la liberté des femmes dans les quartiers. Aux terrasses des cafés, aucune représentante de la gent féminine. Elles entrent dans l’un d’entre eux. Le dialogue est instructif : « Vous cherchez qui, madame ? », « Un monsieur ? », « Ici, y a que des hommes », « Voilà, dans ce café, y a pas de mixité », « On est à Sevran, pas à Paris ». Sevran n’est donc plus en France ?
Après Sevran, un saut dans la banlieue lyonnaise. Une assistante maternelle, qui promène un enfant dans une poussette, fait tout pour ne pas se faire remarquer.
Selon ses propres mots, elle « s’efface ». Un groupe de femmes militantes s’installe à la terrasse d’un café. Les hommes finissent par partir : pas question de cautionner une telle immoralité ! Ces exemples, qu’on pourrait malheureusement multiplier, montrent symboliquement à quel point certains quartiers échappent à la loi française : c’est la loi musulmane qui domine. On peut imaginer les pressions qui s’exercent sur les jeunes femmes, les insultes qu’elles subissent si elles sont maquillées ou portent une jupe jugée trop courte…
Apparemment, les autorités laissent faire. Elles ont déjà du mal à assurer un minimum de sécurité. Alors, on ne va pas leur demander, en plus, de lutter contre la discrimination entre les sexes. C’est pourtant un principe fondamental – celui de l’égalité entre l’homme et la femme – qui est remis en question ! Il y a neuf mois, ne célébrait-on pas en grande pompe la Journée de la femme ? Bof ! Ça donne bonne conscience une fois par an…
Les pouvoirs publics semblent fermer les yeux pour ne rien voir. Pourtant, il y aurait beaucoup à faire si l’on ne veut pas que la loi et les coutumes islamiques étendent leur domination – les plus pessimistes diront que c’est déjà trop tard. Il faut, notamment, aider les filles, les femmes en général, à résister aux pressions, à se libérer du joug masculin avant qu’elles ne cèdent toutes, bon gré mal gré, à cette oppression qui les abaisse.
Il est scandaleux qu’en France, il puisse y avoir des lieux publics interdits aux chiens et aux femmes ! Un gouvernement qui se dit soucieux des droits de l’homme et prétend donner des leçons aux autres devrait commencer par les faire respecter sur tout le territoire. Il est vrai que quand un ministre affirme, sans être repris par le Premier ministre, que le régime castriste n’est pas une dictature, il y a de quoi en perdre son latin.
Le gouvernement lance une vaste offensive pour lutter contre le djihadisme. « Toujours le choix ? » présente deux histoires réalistes, tournées en vidéo subjective : une jeune fille, séduite par un recruteur, part en Syrie ; un jeune homme, manipulé durant des mois, finit par commettre un attentat en France. Dans ce jeu de rôle, l’internaute peut à chaque étape choisir s’il écoute les propositions du recruteur ou les conseils de ses amis. Des témoignages de victimes authentiques (parents d’une jeune fille partie en Syrie, djihadiste repenti) s’intercalent dans ces séquences. À moins qu’il ne s’agisse d’un simple coup de com’, l’opération est en elle-même inquiétante. Dans cette vidéo, en effet, un des recruteurs lâche : « Même le gouvernement nous dit qu’ils sont déjà des milliers à être partis en Syrie. » Ah… En effet, si même ce gouvernement, d’ordinaire si prompt à nier l’évidence, ne peut plus dissimuler ou minimiser le problème, c’est qu’il y vraiment le feu à la maison.
Mais alors, comment a-t-on pu laisser la société dériver au point d’avoir rendu nécessaire une campagne de prévention contre le djihadisme d’une telle ampleur ? À qui la faute si la tentation djihadiste menace, aujourd’hui, tant d’adolescents français ? Et pas seulement des Français musulmans puisque, si l’un des protagonistes de cette vidéo s’appelle Mehdi, l’autre se prénomme Emma.
Je m’interroge également sur la forme de cette campagne. D’abord, cette vidéo interactive reprend, pour séduire les adolescents, le principe des jeux de rôle dont ils sont friands. Mais elle est censée s’adresser à des esprits fragiles, déjà privés de repères. Ne risque-t-elle pas de leur faire considérer le parcours qui mène au djihadisme comme un jeu dont ils seraient les héros ? Il s’agit de retenir ceux qui ont déjà mis le doigt dans l’engrenage en montrant qu’« il n’est jamais trop tard » pour interrompre le processus. Mais c’est aussi leur laisser croire que la machine infernale peut être aisément arrêtée tant qu’on n’est pas complètement radicalisé. Ensuite, le djihadisme y est en quelque sorte présenté comme un simple avatar de la crise d’adolescence. Certains adolescents répondraient au malaise fréquent à cet âge en partant faire le djihad, comme naguère ils fumaient des joints ou dérobaient des Ray-Ban dans un grand magasin. C’est, là, une dangereuse banalisation du djihadisme, qui prouve surtout la frilosité du gouvernement sur la question de l’islam.
Cette vidéo comporte, d’ailleurs, une ambiguïté à mon sens significative de l’incohérence du discours officiel sur l’islam. Son slogan (« Se radicaliser, c’est détruire sa famille, sa vie et celle des autres ») présente explicitement le djihadisme comme une radicalisation de l’islam. Or, la radicalisation est le retour aux racines : le djihadisme, loin d’être une excroissance étrangère à l’islam, tiendrait donc bien au principe même de cette religion. Pourtant, on continue à nous dire que l’islam est parfaitement « compatible avec la République ». Il y a, là, quelque chose que je ne comprends décidément pas.
« Toujours le choix » ? En avril et mai prochains, les Français pourront encore choisir celui ou celle qui dirigera le pays. Ensuite, il leur faudra assumer les conséquences de ce choix pendant cinq ans.
Pour ceux qui doutent encore de la réalité du Grand Remplacement et de l’islamisation de pans entiers de notre territoire, le journal télévisé de 20 h 00 de France 2 du 7/12/2016, au cours duquel a été diffusée une enquête sur le sort des femmes dans l’espace public de nos quartier, a fait l’effet d’un électrochoc.
Alors que Bernard de La Villardière a subi les foudres de la critique suite à la diffusion de son documentaire sur l’islam en France, voici que David Pujadas crève à son tour l’abcès en s’intéressant au sort des femmes dans les territoires perdus de la République.
La nouveauté réside dans le fait que, pour une fois, ce n’est pas un site de réinformation – que certains se plaisent à caricaturer en l’appelant « fachosphère » – qui a diffusé ce reportage, mais une chaîne du service public.
Est-ce le signe d’une prise de conscience ?
Saluons, en tout cas, le militantisme de ces femmes, en particulier celui de Nadia Remadna, qui dénoncent une réalité sur laquelle un tabou médiatique s’abat depuis des années : l’islam a remplacé les lois de la République dans nos quartiers, et le sort des femmes illustre l’obscurantisme lié à un mode de vie qui n’a sa place ni en France ni en Occident. Elles ne peuvent, en effet, se vêtir comme elles le souhaitent, ni circuler librement, encore moins fréquenter des espaces tels que les cafés…
À l’heure où la victimisation systématique des femmes voilées est utilisée comme une arme de propagande par les islamistes, via leurs réseaux d’influence (notamment le CCIF et l’UOIF), voilà donc une enquête journalistique qui, pour une fois – l’expression ne peut être mieux choisie –, lève le voile sur la discrimination faite aux femmes qui ne répondent pas à des codes dictés par la charia, c’est-à-dire la loi islamique.
Tournées à Sevran et à Rillieux-la-Pape, les images de ce reportage pourraient se décliner en des milliers d’autres lieux et doivent éclairer nos concitoyens sur l’impérieuse nécessité de reconquête de ces territoires, qui ne pourra se faire ni par l’aveuglement ni par le dialogue.
Ceux qui affirmeront le contraire nieront que c’est précisément pour acheter la paix sociale que les politiques ont choisi de renoncer aux libertés fondamentales qui définissent notre identité, en particulier l’égalité entre les hommes et les femmes, en livrant certains de nos territoires aux islamistes.
Les citoyens les plus modestes, ceux qui n’ont d’autre choix que de vivre dans ces secteurs, se retrouvent donc en première ligne et doivent courber l’échine en se soumettant à des codes issus de traditions extra-européennes et de traditions moyen-âgeuses directement importées du « bled », comme cela est clairement et fièrement assumé par un interlocteur dans le reportage.
C’est pourquoi il est urgent de rappeler que l’islam n’est pas compatible avec la République, et que Karim Ouchikh, président du SIEL, a raison d’affirmer qu’il doit être mis sous tutelle. Il y va de la sauvegarde de nos modes de vie, de notre identité et, plus simplement, de nos libertés.
La célèbre formule de l’officier prussien Carl Clausewitz dans son ouvrage « De la guerre » (« La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens ») est toujours autant d’actualité. Il suffit simplement d’en modifier quelque termes et elle se change en : « La guerre civile est la continuation des fractures communautaires par d’autres moyens. » En effet, examinons lucidement l’état de notre nation :
– Les avancées, religieuses avec l’islam, ethniques avec les migrants, progressent de plus en plus vite. Or, elles ne peuvent générer qu’un destin conflictuel. – La greffe du multiculturalisme, malgré la propagande de tous les partis de gouvernement, n’a pas fonctionné. Elle engendre simplement un repli territorial de la « France périphérique » et de nouvelles délimitations. – Le retour de l’identité, la quête de notre histoire et l’affirmation de nos racines prennent, avec le temps, de plus en plus d’ampleur. – Le déni de réalité des gouvernants conduit la « France profonde » vers un désarroi aussi bien social que culturel qui engendre une sourde colère. Celle-ci est de moins en moins freinée par les anathèmes lancés par le politiquement correct avec les accusations de racisme, nazisme, fascisme ou islamophobie.
Il est évident que les digues de la bien-pensance sont prêtes à se rompre.
Il suffit d’un incident issu des cités ou d’un fait divers meurtrier pour mettre le feu aux poudres.
Ces tensions sous-jacentes mais visibles entraîneront l’action de groupes armés de chaque côté. Sera-t-il trop tard ? Là est la question.
Quel est l’intérêt, alors, de l’élection présidentielle face à cette conflagration programmée ? Il est à la fois superflu et fondamental : – Il est superflu car la machine à détruire les peuples est en marche et celle-ci suscitera indubitablement une réaction immunitaire. S’il est impossible de savoir quand, il est aussi impossible d’imaginer par le vote des changements cruciaux.
– Il est fondamental car il peut faire émerger de nouvelles entités dans les domaines du social, du religieux, du fait migratoire et des médias. Pour aborder au mieux ce conflit avec le vieil ordre mondial, ces entités anti-système nous aideront à savonner la planche des libéraux-libertaires.
Aujourd’hui, les mouvements identitaires et patriotes sont d’abord des baromètres de l’état d’esprit de nos concitoyens. Mais ils recèlent aussi une autre capacité : celle, une fois au gouvernement, de préparer le terreau fertile de la réaction des peuples. L’arrivée, au sommet de l’Etat, des partis souverainistes doit être, même si ceux-ci n’en sont pas conscients, un prélude à la victoire dans la lutte clanique qui, inexorablement, embrassera le monde occidental.
Il est donc important, en France, que le FN accède au pouvoir. Il est le seul mouvement à placer les valeurs d’une solidarité ancestrale au sommet de l’État. Dans cette perspective, et sachant la probabilité d’un affrontement, il est irritant d’observer que les seules questions faisant débat dans nos rangs sont :
Faut-il que le FN se débarrasse ou pas de Philippot ? Faut-il que Marion prenne plus ou moins de recul ? Marine doit-elle se situer plus à droite pour contrer Fillon ? L’IVG doit-elle être interdite ou, au moins, ne plus être remboursée ?
La guerre civile est à nos portes, elle risque d’être effroyable, elle n’épargnera aucun de nous, alors arrêtons de nous préoccuper de l’âge du capitaine !
Justice : Le député néerlandais populiste n'assistera pas vendredi au prononcé de son jugement pour incitation à la haine.
Le député néerlandais populiste Geert Wildersn'assistera pas vendredi au prononcé de son jugement pour incitation à la haine, un verdict qui, quelle que soit son issue, ne fera que gonfler sa popularité à l'approche des élections législatives de mars, d'après les experts.
«Je diffuserai ma réaction par vidéo en anglais et en néerlandais» après la décision des trois juges, a déclaré jeudi à l'AFP l'élu d'extrême droite, contre lequel le ministère public a requis une amende de 5000 euros.
Connu pour ses positions anti-islam, le politicien est poursuivi pour des propos tenus lors d'une soirée après les élections municipales de mars 2014 à La Haye. L'homme à la chevelure peroxydée avait demandé à ses militants s'ils voulaient «plus ou moins de Marocains dans (leur) ville et aux Pays-Bas».
Face à une foule scandant «Moins! Moins! Moins!», il avait répondu dans un sourire: «Nous allons nous en charger».
A trois mois des élections
Le jugement sera rendu à peine trois mois avant que des millions de Néerlandais ne se rendent aux urnes pour élire leur prochain Premier ministre, un poste sur lequel Geert Wilders lorgne depuis longtemps. Les derniers sondages attribuent 34 sièges à son Parti pour la Liberté (PVV), soit dix de plus qu'au parti du Premier ministre libéral Mark Rutte.
Car, plutôt que de porter un coup au député controversé, son procès a renforcé sa popularité auprès des électeurs.
L'élu se trouve désormais dans une situation des plus confortables: «dans tous les cas, pour lui, c'est gagnant-gagnant», analyse Joost van Spanje, professeur assistant à l'Université d'Amsterdam. S'il est relaxé, Geert Wilders accueillera l'acquittement comme «un triomphe», d'après le quotidien néerlandais populaire AD.
Un «procès politique» selon lui
Les représentants du ministère public, qu'il qualifie de «marionnettes» du gouvernement, se trouveront «à nouveau sous le feu» des critiques. «Pourquoi n'ont-ils pas laissé le leader du PVV tranquille?», réagira l'opinion publique, selon le journal.
De quoi renforcer la position du député qui accuse le ministère public et les élus de l'opposition de mener un «procès politique» et de chercher à le réduire au silence en vue du scrutin. Et s'il est condamné, le politicien de 53 ans aura le loisir de confirmer que ce procès était celui de «l'élite contre le peuple», précise Algemeen Dagblad.
Celui qui a snobé la quasi-totalité des audiences devant le tribunal de Schiphol, près d'Amsterdam, «pourra jouer la victime du régime et du système, qui +essaient de l'arrêter+», selon Andre Krouwel, professeur en politique à l'Université libre d'Amsterdam.
Casier judiciaire
Mais, dans ce scénario, une ombre viendrait tout de même noircir le tableau: un casier judiciaire pour discrimination.
Jusqu'à présent, aux Pays-Bas, seul le député et chef d'un parti néerlandais d'extrême droite aujourd'hui disparu, Hans Janmaat décédé en 2002, a été condamné en 1997 à quatre semaines d'emprisonnement, dont deux ferme, pour incitation à la discrimination, après avoir scandé des slogans hostiles aux étrangers lors d'une manifestation, comme «Les Pays-Bas aux Néerlandais», «Plein, c'est plein» ou «Notre peuple d'abord».
Or, si Geert Wilders a été poursuivi devant la justice, c'est parce que «les remarques racistes doivent être arrêtées», avait assuré le parquet.
Des paroles comme les siennes, qui avaient provoqué le dépôt de 6400 plaintes par des citoyens et des organisations, «nuisent profondément à la dignité humaine», avait déclaré le représentant du ministère public Wouter Bos.
Des Néerlando-Marocains disent s'être sentis comme des «citoyens de seconde zone» tandis que «les enfants ont peur» des déclarations de Geert Wilders.
Certains sont engagés dans les primaires organisées par leur parti. D’autres vont passer outre. Certains n’obtiendront pas les 500 parrainages nécessaires mais entendent juste goûter à un peu d’exposition médiatique. Le point sur les candidats, poids lourds de la politique ou parfaits inconnus qui aspirent à la plus haute fonction de l’État.
On approche doucement mais sûrement de la centaine de candidats… Parmi eux, quelques noms connus comme ceux d’Alexandre Jardin, François Asselineau. Mais aussi Bastien Faudot, proche Jean-Pierre Chevènement ou encore l’ex-Frontiste Carl Lang qui considère Marine Le Pen comme une « usurpatrice ». D’autres politiques se rappellent au souvenir des électeurs comme Rama Yade, ancienne secrétaire d’État sous Nicolas Sarkozy, Paul Mumbach, maire de Dannemarie (Haut-Rhin) qui souhaite représenter les élus ruraux et qui se dit le candidat des « maires en colère ». Des anciens candidats à la Présidentielle aussi comme Antoine Waechter, président fondateur du Mouvement écologiste indépendant, qui avait recueilli 3,78 % des voix en 1988. Ou Gérard Schivardi (Parti ouvrier indépendant), maire de Mailhac (Aude). Des gens de la société civile aussi comme le sociologue Michel Fize qui a reçu le soutien de Brigitte Bardot, mais aussi des ex-candidats d’émissions de télévision comme Jean-Pierre Mélia qui a participé à Pékin Express. Ou encore Henry de Lesquen, président de Radio Courtoisie, classée à l’extrême droite.
La liste (très évolutive) des candidats
Alain Mourguy (Union des Gens de bon sens), 68 ans, ancien directeur commercial. Alexandre Jardin (Maison des citoyens), 51 ans, écrivain, cinéaste. Alexandre Lecouillard (La primaire.org), 40 ans ; conseiller en communication. Antoine Waechter (Mouvement écologiste indépendant), 67 ans, ex-député européen, candidat des Verts à la présidentielle de 1988. Ariane Vitalis, 24 ans, auteure. Bastien Faudot (Mouvement Républicain et Citoyen), 38 ans, conseiller municipal et départemental de Belfort. Carl Lang (Parti de la France), 58 ans, ex-député européen FN. Charlotte Marchandise Franquet, 42 ans, maire-adjointe de Rennes à la santé, présidente du réseau français des Villes-Santé de l’OMS. Christian Troadec, 50 ans, maire de Carhaix, conseiller département du Finistère. Daniel Adam, 68 ans, consultant en économie de la santé. Daniel Bussard, 43 ans, ancien délégué du préfet de Seine-et-Marne. David Saforcada, 44 ans, président de France Bonapartiste, ancien Debout la France. Didier Tauzin (Rebatir la France), 65 ans, ancien général armée de terre. Édouard De Broglie (La vraie primaire), président fondateur d’Ethik Investment. François Asselineau (Union Populaire Républicaine), 59 ans, inspecteur général des finances, ancien conseiller de Paris. Gérard Charollois (Convention Vie et Nature), 65 ans, magistrat et militant écologiste. Gérard Schivardi (Parti ouvrier indépendant), 66 ans, maire de Mailhac (Aude). Henry de Lesquen, 67 ans, président de Radio Courtoisie. Jacques Borie, 51 ans, responsable restauration dans l’hôtellerie. Jean-Marc Fortané, 54 ans, Dr vétérinaire. Jean-Michel Billaut, 71 ans, ancien cadre de BNP Paribas. Jean-Pierre Mélia (Le Vrai Rassemblement), 70 ans, ancien cadre. Mathieu Leporini (La vraie primaire), 39 ans, ancien chercheur et Dr en sciences de l’atmosphère. Maxime Verner, 26 ans, président de l’Association des Jeunes de France. Michael Pettini, 42 ans, médecin. Michel Bourgeois, 59 ans, avocat pénaliste. Michel Fize (Parti des animaux), 65 ans, sociologue au CNRS. Nicolas Bernabeu, 31 ans, médecin. Candidature commune avec Pauline Lejeune. Oscar Temaru, 71 ans, ancien président de la Polynésie française et ancien président de l’Assemblée de la Polynésie française. Paul Mumbach, (Les Fédérés), 64 ans, maire de Dannemarie (Haut-Rhin), président de la fédération haut-rhinoise de l’association des maires ruraux de France. Pauline Lejeune, 25 ans, employée dans une association de santé environnement. Candidature commune avec Nicolas Bernabeu. Philippe Mazuel (Parti des citoyens européens), 60 ans, administrateur civil, ex-maire adjoint d’Abbeville (Somme). Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne), 51 ans, économiste et ancien conseiller régional d’Ile-de-France. Rafik Smati (Objectif France), 39 ans, directeur du groupe Aventers. Rama Yade, 39 ans, ancienne secrétaire d’État (2007-2010), ex-conseillère régionale d’Ile-de-France. Ramïn Farhangi, 31 ans, Fondateur de l’école dynamique, ancien professeur de mathématiques et de physique. Roxane Revon, 30 ans, actrice, directrice artistique, fondatrice de l’Atelier Théâtre NY et maître de conférences à l’université John Jay (New York). Régis André, 38 ans, chef d’entreprise. Serge Tinland, 54 ans, responsable du développement des formations Aéronautiques à la CCI Nice Côte d’Azur. Stéphane Guyot (Parti du vote blanc), 47 ans, fleuriste. Sébastien Nadot (Mouvement des progressistes), 43 ans, professeur agrégé d’éducation physique et sportive, Dr en Histoire. Thomas Nonnez, 37 ans, professeur de mathématiques. William Rouanet (L’autre voie de l’écologie), 41 ans, juriste et consultant. Yves Bontaz, 78 ans, ancien chef d’entreprise.
Sur les 1.200 lycéens et 300 étudiantes (BTS et classes préparatoires) du lycée Lesage, à Vannes (Morbihan), 800 élèves et 40 professeurs ont été confinés dans leurs classes dès le début de l’attaque et le déclenchement de la sirène antiintrusion.
14 h 03. Les trois individus pénètrent dans la cour aux cris de « allah akbar » et « on va tous vous tuer ». Ils tirent à vu sur un groupe de personnes qui nettoyent la cour, avant d’entrer dans le bâtiment administratif.
14 h 13. Une première voiture de police-secours arrive devant l’établissement. Les policiers prennent le témoignage d’un groupe de personnes qui a pu s’enfuir au début de l’attaque. Les trois individus sont retranchés à l’étage du bâtiment administratif. […]
14 h 32. « On a les intrus en visuel« , entend-on à la radio. « Quatre victimes à l’étage« .
14 h 37. 10 personnes sont évacuées du bâtiment administratif.
14 h 41. Les trois individus sont neutralisés.
14 h 45. La cour est sécurisée. Les forces de l’ordre ont recensent 15 victimes. […]
François Fillon a bien rencontré le recteur de la mosquée Al Rawda de Stains, Salih Farhoud , dont la mosquée est fermée depuis novembre pour radicalisme :
BFMTV du 7 décembre informait :
Dans l’arrêté pris le 2 novembre par la préfecture de Seine-Saint-Denis, il était notamment reproché à la mosquée Al Rawda, qui accueillait près de 600 fidèles lors de la prière du vendredi, d’avoir laissé la parole à un imam qui « tenait ouvertement des prêches radicaux » ou encore de compter parmi ses anciens fidèles « de très nombreux individus jihadistes ». Les autorités reprochent également au président de l’association de n’avoir « jamais désavoué publiquement l’imam » et d’avoir deux fils « combattants jihadistes (…) recherchés pour association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme ».
Jin Linotte était accusée d’actes de barbarie et d’avoir tué ses deux voisins au Pontet (Vaucluse). Après un délibéré de quatre heures ce mercredi 7 décembre, la cour l’a condamné à 30 ans de réclusion criminelle, dont 20 ans de sûreté.
Parce qu’elle ne supportait pas les « bruits » de ses deux voisins, Didier Gérard et Bruno Declas. Parce qu’elle se sentait épiée par ces deux-là qui l’invitaient pourtant souvent chez eux. Et enfin parce qu’elle leur reprochait d’être à l’origine de son expulsion, Jin Linotte a séquestré et frappé en octobre 2012 pendant trois nuits et deux jours ses voisins, deux braves types alcooliques vivant de peu de chose dans leur appartement au Pontet (Vaucluse). […]
L’UE a dernièrement donné le feu vert à la demande d’adhésion de la Bosnie-Herzégovine[1] présentée en février 2016.
Bien que les négociations actuelles ne portent pas sur l’adhésion elle-même, l’UE devra pourtant, à ce stade, vérifier soigneusement que la Bosnie remplit les exigences fondamentales indispensables à une coexistence réussie entre les différentes cultures. Et c’est justement là que surgissent d’ores et déjà les premiers problèmes.
Deux libertés sont particulièrement sujettes à controverse en Bosnie : la libre circulation des personnes, tout comme la démocratie, comme nous l’entendons en Europe, puisqu’il n’y existe pas de synergie qu’engendrent les valeurs communes à la culture chrétienne. La Bosnie-Herzégovine est islamique à plus de 50% et c’est à partir de Sarajevo que l’Islam salafiste se répand toujours plus en Europe.
Le Dr Peter Hammond a démontré dans une étude conduite sur une longue période[2] que, lorsque le nombre de musulmans vivant dans un pays non musulman grandit, l’influence de leurs objectifs idéologiques se développe dans une proportion beaucoup plus grande. Situation qui, au final, provoque une guerre civile. Si l’on considère les résultats du développement social en Bosnie-Herzégovine, on s’aperçoit très vite qu’il y a un problème lié à des valeurs conflictuelles inhérentes à ce pays multireligieux. LesBosniaques (Bosniens musulmans) placentle facteurpolitico–idéologiqueau centre de leurcommunauté de valeurs: «La Bosnie-Herzégovine ne fait pas de progrès en s’intégrant à l’UE − ce vide est comblé par des idéologies militantes autoritaires et extrémistes. Beaucoup de polémiques, beaucoup de nationalisme, mais pas de perspective.»[3]
Les présentations optimistes de la presse locale (comme le SarajevoTimes.com) semblent déplacer les problèmes et les réduire à une «représentation victimaire». Raymond Ibrahim, directeur du Middle East Forum, nous éclaire dans sa déclaration clé: «Celui qui veut comprendre l’Islam et les musulmans doit d’abord comprendre ce qu’est la taqiyya.»[4]
Un contexte politique flou
La présidence est un triumvirat exerçant collectivement les fonctions de chef de l’État de la Bosnie-Herzégovine. Selon l’article V de la Constitution de 1995, elle est assurée collégialement par trois membres élus au suffrage direct : un Bosniaque et un Croate élus par la fédération et un Serbe élu par la République serbe de Bosnie. Ensemble, ils accomplissent un mandat de quatre ans et sont rééligibles une fois. La présidence du collège est exercée à tour de rôle par chacun des trois représentants pour un mandat de huit mois, afin d’assurer l’égalité entre les communautés[5]. Sont actuellement en fonction:
Bakir Izetbegović (Bosniaque musulman)
Mladen Ivanić (Serbe orthodoxe)
Dragan Čović (Croate catholique)
Ainsi, la Bosnie-Herzégovine apparaît plutôt comme une unionpolitique (semblable à l’UE), dans laquelle chaque groupe ethnique place un président, sans qu’ily ait de continuité dans lepaysagepolitique. Ce sont les différents groupes idéologico-religieux qui déterminent la majorité gouvernant une région, et non les partis politiques.
La plupart des habitants sont formellement rattachés à l’une des trois grandes communautés religieuses. Voici les résultats du recensement de 2013:
− Musulmans (appelés Bosniaques): 50‚7% (1991, 42,8%). − Serbes (chrétiens orthodoxes): 30,7% (1991, 30,1%). − Croates (chrétiens catholiques): 15,2% (1991, 17,6%). − Agnostiques : 0,3%; athées: 0,8%. − Les 2,3% appartenant à d’autres groupes (protestants, etc.) n’ont pas renseigné sur leurs liens avec une communauté ou ont refusé de répondre.
Des conflits latents
La paix résulte d’un état interne et non de l’absence de guerre. En Bosnie cependant, desconflitslatentssont ancrésdanslesstructuresreligieuses, ce qui entraîne une hétérogénéité sur le plan politique. Tandis que la Bosnie place de grands espoirs dans l’UE et ses subventions pour apaiser l’agitation ambiante, il n’est pas improbable qu’aprèssonentrée dans l’Union,sesconflitsinternesgagnentlesautrespays de l’UE. Par ailleurs, le capital social et l’encouragement à investir dans l’industrie bosnienne − la base pour une construction économique − dépendent de la paix sociale du pays.
Des situations à la bosniaque apparaissent en Autriche
La société autrichienne subit déjà l’influence bosniaque. Et ce, principalement au niveau local, comme dans le Vöcklabruck (Haute-Autriche), où la population a une longue expérience de la cohabitation avec des salafistes bosniaques venus d’installer dans cette région. Entre-temps, une association chiite s’est séparée d’eux. L’initiative citoyenne et communauté d’intérêts ekiw.com, qui depuis des années fait campagne avec son slogan «Pas de mosquée dans un quartier résidentiel» et s’efforce de restaurer la qualité de vie de la population locale, a donc également lancé le mouvement «Opposition à l’entrée de la Bosnie-Herzégovine dans l’UE» et présenté plusieurs arguments valant avertissements :
L’émergence desociétés parallèlesdétruitlecapital social
La prospérité dans l’Europe d’après-guerre a reposé sur l’homogénéité des sociétés qui la composent. Celles-ci se sont identifiées à une communauté de valeurs, dont la démocratie, et se sont efforcées de construire un avenir meilleur pour leurs enfants. Ironie de l’Histoire, les nettoyages ethniques des deux guerres mondiales ont contribué à ce processus. Pourtant, on assiste à un renversement de tendance dans l’Europe actuelle. Pendant que les Croates de Bosnie (catholiques) et les Serbes bosniens (chrétiens orthodoxes), mais également les musulmans cultivés non organisés se sont intégrés après les guerres de l’ex-Yougoslavie, les musulmans bosniaques organisent leurs sociétés parallèles depuis une vingtaine d’années. Ils suivent en cela la vieille tradition islamique et manifestent peu d’intérêt à s’intégrer dans une société autrichienne empreinte d’un système de valeurs chrétiennes.
Propension à des violences latentes
Cette propension à la violence paraît être sous-tendue par l’idéologie de l’Islam organisé. Exemple parlant de sa façon de procéder: l’Association culturelle austro-bosniaque de Vöcklabruck a acquis un bâtiment dans une zone résidentielle, sans autorisation d’utilisation et en faisant une fausse déclaration d’intention d’usage. Après l’avoir transformé illégalement en mosquée pendant des années, elle a engagé plusieurs recours auprès du tribunal administratif régional. Une telle taqiyya[6] accapare les ressources publiques, y compris avec la nécessité d’une présence policière, et entraîne ainsi une augmentation des coûts pour toute la société.
Pourquoi les Bosniaques ne retournent-ils pas dans leur pays?
Si l’on veut préparer correctement la Bosnie-Herzégovine à son entrée dans l’Europe, on peut supposer que les Bosniaques apportent leurs expériences acquises en Europe à leur propre patrie et les y mettent en œuvre. Il serait logique que toute personne n’étant pas disposée à s’intégrer en Autriche ou dans l’UE retourne dans son pays pour y partager son savoir-faire. Il est toutefois révélateur qu’après la guerre de Bosnie, peu de citoyens appartenant à la communauté majoritaire ont rejoint leur patrie. Le développement économique de la Bosnie nécessiterait pourtant que des hommes ayant accumulé des savoirs à l’Ouest mettent leurs capacités de gestion au service de leur pays et assument la direction de celui-ci. Par ailleurs, la Bosnie est étroitement associée à l’Arabie saoudite, qui soutient son développement à coups d’investissements généreux. Assistance qui poursuit parallèlement un but idéologique : lapropagationdescourants de l’Islam salafisto-whahhabite, ayant la Bosnie comme tête de pont en Europe.
Conclusion
Bien que l’Europe soit parvenue à refouler différentes idéologies au cours de son histoire, elle doit aujourd’hui assurer la liberté contre l’arbitraire de l’Islam politique, source de nouveaux et de plus grands conflits. Le fondement de l’Islam politique (en bosniaque: Dzemat) est de nature militante et s’identifie également de plus en plus clairement par un recours à la violence en Europe centrale.
La Bosnie-Herzégovine doit donc d’abord en finir avec le salafisme avant de pouvoir vivre en paix et coopérer avec les autres cultures européennes[7].
Voulez-vous que vos impôts continuent à encourager l’immigration ?
Durant l’année 2015, le gouvernement a offert 348.000 euros de subventions à l’association France Terre d’Asile et 177.000 euros à l’Association de Service Social et Familial des Migrants, 90.000 euros à l’Association d’Aide aux travailleurs migrants de la région Nord, 50.000 euros à l’Inter-Service des Migrants, etc, etc. Tout va dans le même sens. La Croix-Rouge a ainsi reçu du gouvernement 50.500 euros de subventions pour son programme “Immigration et Asile”.
Et pour compléter le plan d’immigration de grand remplacement par celui de la culpabilisation des Français, le gouvernement a également accordé, durant l’année 2015, 550.000 euros de subventions à la Ligue contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA), 400.000 euros à SOS Racisme, 115.000 euros à la Maison des Potes et 30.000 euros au MRAP.
Cet argent, c’est celui obtenu grâce aux impôts payés par les Français.
Voulez-vous que cela continue ainsi ? Ne faites rien, versez tranquillement l’intégralité de vos impôts réclamés sur vos revenus de l’année 2016 à ce gouvernement qui se chargera de le redistribuer aux officines de l’anti-France.
Voulez-vous au contraire empêcher que l’intégralité de vos impôts serve à détruire la France ? Profitez des dernières semaines de décembre pour faire à Civitas un don déductible d’impôt. Civitas est le parti qui réclame l’arrêt immédiat de toute immigration extra-européenne, l’organisation d’une rémigration en plusieurs phases et l’arrêt immédiat de toute subvention aux organismes servant la préférence étrangère.
Suivez la procédure ci-dessous pour faire un don à Civitas et obtenir la déductibilité fiscale. Un geste simple au service de la vraie France.
Le gouvernement dénonce les « amalgames » faits par le parti d’extrême droite AfD.
Quand un fait divers a droit, le même jour, à la « une » de Bild, le plus célèbre tabloïd allemand, et à la page trois de la Süddeutsche Zeitung, un quotidien qui s’intéresse généralement assez peu à ce type d’événement, c’est qu’il est justement un peu plus qu’un simple fait divers. Il en est ainsi du meurtre de Maria L.
Mercredi 7 décembre, les deux journaux ont consacré une large place au destin tragique de cette étudiante en médecine de 19 ans, dont le cadavre a été repêché dans une rivière, le 16 octobre, à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg), et dont le meurtrier présumé, un réfugié afghan de 17 ans, a été arrêté, vendredi 2 décembre, après que les enquêteurs ont retrouvé des traces de son ADN sur le corps de la victime, qui a été violée avant sa mort. C’est au lendemain de l’arrestation du jeune homme, un demandeur d’asile arrivé en 2015, que l’affaire a pris un retentissement national. En cause : le choix de la télévision publique ARD de ne pas en parler, samedi, dans son journal de 20 heures. Une décision justifiée, selon les responsables de la chaîne, par la portée seulement « régionale » de l’événement. Un silence interprété par d’autres, au contraire, comme une volonté de la « presse mensongère » d’étouffer un crime qui, à leurs yeux, illustre le danger que représente l’arrivée massive de réfugiés en Allemagne au cours des derniers mois.
« Nous sommes bouleversés par cet acte et nous constatons que nos avertissements concernant la venue incontrôlée de centaines de milliers de jeunes hommes issus de cultures islamo-patriarcales sont qualifiés de populistes », a ainsi commenté Jörg Meuthen, l’un des dirigeants du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD). Il n’est pas le seul à avoir réagi dans ce sens. Rainer Wendt, patron du syndicat policier DPolG, a estimé, quant à lui, que « cette victime et beaucoup d’autres auraient pu être évitées, si [leur] pays avait été préparé aux dangers qui vont de pair avec une immigration massive ».
Contre ce qu’ils considèrent comme un « amalgame », les principaux responsables politiques du pays se sont exprimés sur l’affaire. « Nous devons éviter que ces faits épouvantables alimentent la haine. (…) De tels meurtres odieux existaient bien avant que le premier réfugié venu d’Afghanistan ou de Syrie n’arrive » en Allemagne, a déclaré Sigmar Gabriel, ministre de l’économie, vice-chancelier et président du Parti social-démocrate (SPD).
« De tels délits sont évidemment dramatiques et doivent faire l’objet de poursuites. (…) Mais, pour autant, il ne faut pas tirer des conclusions sur l’ensemble d’un groupe », a affirmé, quant à elle, la chancelière, Angela Merkel, lundi soir.
Crainte d’un basculement
Il est rare que M. Gabriel et Mme Merkel commentent ainsi un fait divers. De ce point de vue, leur choix d’intervenir en dit long sur leur crainte de voir l’opinion publique basculer dans le sens d’un rejet des immigrés. La chancelière a pu s’en rendre compte, mardi, lors du congrès de son parti, l’Union chrétienne démocrate (CDU), à Essen (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).
Lors de son discours, ce sont en effet les passages les plus durs sur les questions identitaires et migratoires qui ont été le plus applaudis. Quand elle a, par exemple, expliqué que « le droit allemand prévaut sur la charia » et affirmé vouloir« interdire » le voile intégral. Ou encore quand elle a assuré que le gouvernement était déterminé à expulser tous les demandeurs d’asile déboutés. Il n’est pas certain, cependant, que de telles déclarations suffisent à apaiser le débat. En témoigne, justement, la question posée mercredi à la « une » de Bild : « Les réfugiés ont-ils un problème avec les femmes ? » Une question qui a suscité, sur les réseaux sociaux, des réponses d’une grande violence raciste. Avec, bien souvent, un lien établi entre le cas de Maria L. et les agressions commises contre plus de 500 femmes à Cologne, le 31 décembre 2015.
Presque un an plus tard jour pour jour, le gouvernement allemand sait qu’il a tout intérêt à empêcher qu’un tel lien se fasse dans les esprits. A dix mois des prochaines élections législatives, lors desquelles elle briguera un quatrième mandat de chancelière, c’est la seule chose que peut attendre Mme Merkel : que ce fait divers reste un simple fait divers.
L’imam de la mosquée « Essalam » à Sfax a été classé « dangereux terroriste » et empêché d’entrer dans l’espace Schengen en raison d’une plainte déposée contre lui par l’association « Shems » pour incitation à la haine et à la violence dans un prêche en date du 25 avril 2016. L’association a porté plainte contre lui auprès du procureur de la république de Tunis qui l’a transmise à son collègue de Sfax pour compétence territoriale. Une commission rogatoire a émise au poste de police de Sakiet Eddayer qui n’a pas encore interrogé l’imam en question. C’est alors que « Shems » a pris contact avec une autre association française « Adios » et lui a transmis une copie du prêche traduit en français. Cette dernière a écrit aux ministres français de l’intérieur et des affaires étrangères pour les alerter sur « la gravité » des propos de l’imam. Suite à cela, il a été décidé de classer l’imam de la mosquée « Essalem de Sfax d’interdire à l’imam de la mosquée Essalem » de Sfax comme « dangereux terroriste » et de lui interdire d’entrer dans tous les pays de l’Europe.
Qu’est-ce qu’un héros ? Un héros est un être humain d’un niveau intellectuel suffisant qui choisit consciemment, librement, courageusement, et d’une façon désintéressée son destin, en étant prêt à faire le sacrifice de sa vie pour une cause qui le dépasse.
La quasi- totalité des musulmans qui rejoignent le djihad armé, Al-Qaeda ou l’État islamique relèvent de quatre catégories. Ce sont :
. des délinquants ou des criminels, souvent recrutés en prison. La plupart sont des minables avec des têtes vides qui ne connaissent rien au Coran. L’islam leur apporte clés en main ces repères dont ils ressentent le besoin. . des exaltés et des dérangés qui rêvent de guerre et d’action, qui cherchent à affirmer leur virilité à tout prix et qui sont en recherche de violence fanatique pour l’exprimer. . des frustrés ne parvenant pas à s’intégrer dans notre société par le travail, l’étude, la socialisation, le mariage. Ces frustrés jalousent et haïssent les Européens de souche pour ce qu’ils sont : des êtres libres avec une organisation sociale supérieure, des réalisations techniques et spirituelles supérieures, un niveau de vie plus élevé. . des demeurés et des simples d’esprit, des adolescents ou des enfants, sans repère, d’une grande fragilité psychologique, sur lesquels la propagande aussi stupide que simpliste des barbus fonctionne à merveille. C’est ainsi qu’en Irak, Daech appelle ses kamikazes des « jeunes mariés » parce qu’il leur promet d’épouser 72 jeunes filles vierges, une fois leur crime accompli. Juste avant leur mission suicide, des responsables religieux leur récitent des versets du Coran et les droguent avec de la fénétyline, substance psychotrope synthétique interdite dans la plupart des pays.
Si les terroristes risquent leur vie, il est tout aussi vrai que ce sont des lâches pour oser s’en prendre armés à des civils désarmés. S’ils sont éduqués, désintéressés, non endoctrinés et libres de leurs actes, cas très peu fréquent, ce sont effectivement des héros. Ce pourrait être le cas pour quelques- uns des Saoudiens diplômés et conscients qui ont jeté, le « Onze Septembre » 2001, leur avion contre les tours du World Trade Center à New-York Encore. Outre le fait qu’ils s’en prenaient à des civils sans défense, faudrait-il s’assurer, ce qui est fort possible, que ces Saoudiens n’aient pas perçu la mort violente et combattante pour l’islam comme le privilège d’accéder rapidement en martyr à la félicité divine et d’échapper ainsi à l’interminable « supplice de la tombe » .
Il est donc vrai que même chez les pires terroristes imbéciles, il y a un fond d’héroïsme, mais de là à faire des terroristes musulmans des héros, non, dans plus de 95% des cas ! La plupart ne sont pas des héros, mais des zéros, des fous manipulés, endoctrinés, frustrés relevant de la psychiatrie !
Marc Rousset est l’auteur de « Adieu l’argent-roi-Place aux héros européens, Critique de la Civilisation de l’argent et Apologie de l’héroisme« , Éditions Godefroy de Bouillon– 499p- 2016. Contact.
Dans son dernier numéro, Minute reproduit une note émanant du Service central du Renseignement territorial.
Cette note sur « les lieux de culte salafistes en France » date de juin 2016. Ce document s’ouvre d’ailleurs par cette phrase :
« Apparue en France au milieu des années 1990, la mouvance salafiste, qui contrôle 120 lieux de culte en France métropolitaine et compte entre 25 et 40 000 fidèles, exerce une influence grandissante auprès de la communauté musulmane. » « Peu adaptée au mode de vie occidental, cette doctrine ultraorthodoxe prône une lecture de l’islam incompatible avec les valeurs fondamentales de la société française. »
Le service de renseignement estime que, « sur les 2 358 lieux de culte [musulmans] recensés sur les territoires métropolitain » – hors zone de compétence de la préfecture de police de Paris ! – 120 relèvent de la mouvance salafiste. Le chiffre est en progression constante : il n’était«que» de 44 en 2010, de 79 en 2012, de 87 en 2014.
« De 2010 à 2016, le nombre de lieux de culte salafistes a connu une hausse d’environ 170 % » « en dépit de la fermeture administrative récente de plusieurs salles de prière, notamment dans le cadre de l’état d’urgence ».
Le service a isolé deux périodes de progression : entre 2010 et 2012 (+ 80% !) – sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy donc, François Fillon n’ayant manifestement pas entrepris de Vaincre le totalitarisme islamique, titre de son dernier ouvrage... – et de 2014 à 2016 (+38%) – dans une période où François Hollande se disait en guerre...
Le parlement polonais (Sejm) a approuvé mi-novembre la création d’une armée de 53.000 hommes pour assurer la défense du territoire (WOT). Le parlement a donc donné le feu vert à un projet appuyé par le ministre de la Défense d’extrême-droite, Antoni Macierewicz.
Le ministère de la Défense contrôlera directement la nouvelle unité militaire. Celle-ci doit soutenir l’armée polonaise contre la Russie en cas de guerre et réprimer l’opposition sociale et politique intérieure. Le Sejm a explicitement rejeté des motions soumises par l’opposition, demandant que la WOT soit apolitique et ne soit pas déployée contre les Polonais.
Macierewicz avait annoncé cet été son intention de mettre en place une milice calquée sur le modèle de la garde nationale américaine. Le Sejm vient à présent de voter ce projet à la majorité absolue. D’ici 2019, cette force comprendra 53.000 personnes. Les premières unités seront en place à l’est du pays avant la fin de l’année. D’ici 2019, le gouvernement projette de dépenser 3,6 milliards de zloty (environ 800 millions d’euros) pour la WOT. La rémunération mensuelle des miliciens sera d’environ 500 zloty (120 euros).
Dans une interview télévisée Macierewicz a déclaré : « Ces unités sont le moyen le plus efficace d’étendre la force de nos forces armées et de ses capacités de défense. C’est également la meilleure réponse pour faire face aux dangers d’une guerre hybride comme celle que nous avons connue après l’agression russe au sujet de la Crimée ».
Chacune des 16 provinces polonaises doit créer une unité de défense regroupant entre 3.000 et 5.000 hommes. Les unités seront recrutées parmi des volontaires, qui bénéficieront d’une formation aux frais de l'Etat. La plupart seront stationnées dans l’est, à Podlaskie, Lublin et des Basses Carpates (Podkarpackie) près de l’Ukraine et de la Biélorussie. L’est de la Pologne est la partie la plus pauvre et économiquement la plus arriérée du pays et comprend de larges zones forestières. Grâce à la catastrophe sociale engendrée par la restauration du capitalisme, les forces fascistes et le PiS (parti Droit et Justice) ont pu en faire leur bastion. Le vote du Sejm en faveur de la WOT a une portée très large et s’oriente ouvertement vers le nationalisme d’extrême-droite. Selon le texte voté, la WOT est responsable des « missions anti-crise, anti-sabotage, antiterrorisme et anti-désinformation, afin de défendre la sécurité de la population civile et le patrimoine du peuple polonais. » Le ministère de la Défense est habilité à définir une crise, le sabotage, une attaque terroriste ou la désinformation comme bon lui semble.
Devant un comité parlementaire, les politiciens du PiS qui est au pouvoir ont expliqué en amont du vote que la WOT avait pour objectif de « renforcer les fondements patriotiques et chrétiens de la Pologne et des forces armées ». Le « patriotisme et la foi des soldats polonais » sont selon eux « la meilleure garantie de notre sécurité ».
Ce faisant, ils en appellent aux forces d’extrême-droite de rejoindre la WOT. Plusieurs dirigeants d’extrême-droite ou de milices citoyennes ont déjà indiqué vouloir encourager leurs membres à rejoindre la WOT.
Depuis son arrivée au pouvoir il y a un an, le PiS a à plusieurs reprises renforcé les forces d’extrême-droite et antisémites en Pologne. Il coopère étroitement avec l’église catholique, qui entretient des liens historiques très étroits avec le fascisme. Le ministre de la Défense Macierewicz, qui a un passé fasciste et antisémite, a joué un rôle crucial dans la promotion des forces d’extrême-droite et de leur intégration dans l’appareil d’Etat. La création d’une milice ultra-droite en Pologne jouit aussi d'un soutien international. Dans un document publié en juillet, le think tank américain Atlantic Council a proposé de faire de la Pologne un rempart contre la Russie. Il voulait notamment renforcer l'armée régulière, dont les effectifs passeraient de 100.000 à 150.000 hommes, et élargir des forces paramilitaires sous contrôle gouvernemental. Selon les auteurs du document, les divers groupes paramilitaires, dont certains groupes privés, comptent d’ores et déjà environ 400.000 hommes.
Selon le magazine Polityka, l’organisation paramilitaire Stowarzyszenie Jednostka Strzelecka 2039, basée à Cracovie, avait participé aux exercices « Anaconda » de l’OTAN. Un certain nombre de ces unités ont maintenant l’intention de rejoindre la WOT. D’autres organisations d’extrême-droite et fascistes, dont Falanga et Zmiana, comptent participer à la WOT.
La WOT ressemble aux organisations paramilitaires en Ukraine qui non seulement ont combattu les séparatistes pro-russes dans l’est du pays, mais sont aussi intervenus contre l’opposition populaire à travers le pays. Des organisations paramilitaires d’extrême-droite qui ont joué un rôle de premier plan lors du renversement du président ukrainien Victor Ianoukovitch en février 2014, s'étaient entraînées en Pologne. A présent, il s'agit de créer et de former des forces d’extrême-droite en Pologne même.
L'opposition libérale critique la création de la milice d’un point de vue bourgeois de droite. Une profonde inquiétude a été suscitée du fait que la milice ne sera pas sous contrôle de l’état-major de l’armée, mais du ministère de la Défense. La vice-présidente du parti d’opposition Nowoczesna, Katarzyna Lubnauer, a traité la WOT d’« armée privée » de Macierewicz.
Une opposition s’est fait jour au sein de l’armée polonaise contre la politique de Macierewicz. Au début de l’année, plusieurs généraux haut placés ont démissionné pour protester contre les réformes militaires de Macierewicz en critiquant le gouvernement dans la presse.
Le général Janusz Bronowith s’en est pris publiquement au ministre et à ses réformes. Dans une interview accordée au magazine Polityka, il a averti que la politique du PiS pourrait entraîner la Pologne dans une catastrophe comme celle de 1939. En guise de protestation contre la politique de Macierewicz, Bronowicz avait démissionné au début de l’année.
Le journal libéral Newsweek Polska a exprimé dans une rubrique la crainte que le ministère de la Défense puisse déployer la WOT contre l’opposition libérale. Cette préoccupation n’est pas sans fondement. De violentes agressions contre des membres du Comité de Défense de la Démocratie (KOD) commises par des forces d’extrême-droite furent assez ouvertement encouragées par le PiS. De plus, l’opposition ne souhaite pas perdre son influence sur la direction de l’armée. Plusieurs généraux et officiers à la direction de l’armée soutiennent toujours l’opposition libérale sur le plan intérieur et extérieur.
Toutefois,les libéraux n’ont pas d’objection à formuler contre le renforcement des forces armées contre la Russie, ou contre la classe ouvrière à l’intérieur du pays. Certains ont exprimé la crainte que des organisations fascistes qui cherchent à rejoindre la WOT n'adoptent une position antiaméricaine en préconisant une alliance plus étroite avec le Kremlin.
D’autres affirment que le budget prévu ne suffirait pas à mettre en place des unités bien équipées d’ici 2019. Selon eux, le gouvernement polonais, tout comme les autres Etats de l’OTAN, devrait donc concentrer ses ressources sur les forces armées. Bogdan Klich, l'ancien ministre de la Défense du gouvernement PO (Plate-forme civique) de Donald Tusk, s’est plaint en disant : « La majorité des Etats de l’OTAN investissent dans le potentiel des forces existantes, et non dans la création d’une force de défense territoriale. La priorité budgétaire devrait revenir à l’achat de nouvelles technologies pour mener des guerres modernes ».
Immigration de masse : Pas de référendum de l'UDC contre l'application de son initiative qui pourtant est très loin de satisfaire le parti politique.
L'UDC ne devrait pas lancer de référendum contre la voie qui sera choisie pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse, même si le parti est tout sauf content de la solution discutée au Parlement.
C'est ce qu'a indiqué mercredi son président Albert Rösti au Tagesschau de la télévision alémanique SRF.
Les Chambres fédérales débattent actuellement pour savoir comment mettre en oeuvre l'initiative du parti agrarien, acceptée le 14 février 2014 par le peuple.
Le Parlement veut limiter l'immigration en privilégiant le recours aux demandeurs d'emploi en Suisse. Avant d'aller recruter à l'étranger, certains employeurs devront d'abord annoncer les postes vacances aux services de l'emploi et convoquer des personnes inscrites.
Cette obligation ne s'appliquera toutefois que pour les professions, domaines d'activité ou régions économiques avec un taux de chômage «supérieur à la moyenne». Il faut réduire la marge d'interprétation autorisée par la mention «très supérieur» retenue par le National et viser l'efficacité, a expliqué Philipp Müller (PLR/AG) en plaidant pour cette divergence votée par 30 voix contre 13 de l'UDC et du PDC.
Les Chambres doivent s'entendre sur le fond, le Conseil fédéral préciser ensuite les modalités dans une ordonnance, a annoncé la ministre de justice et police Simonetta Sommaruga. Les mesures pourront être limitées à des régions économiques comme le Tessin et les cantons en proposer au Conseil fédéral. Ce dernier pourra arrêter des exceptions, notamment pour les entreprises familiales.
Test d'aptitude
Les travailleurs ne devront pas justifier la non-embauche de chômeurs inscrits. Le Conseil des Etats n'a pas cherché à réintroduire ce point biffé par la Chambre du peuple. Reprenant une demande des employeurs, il a même ajouté que les demandeurs d'emploi devront être convoqués pour un entretien «ou un test d'aptitude professionnelle».
Au grand dam de l'UDC, la majorité s'est sinon efforcée que la loi soit encore moins susceptible de violer l'accord sur la libre circulation des personnes. Si les mesures concernant les embauches ne sont pas assez efficaces, le Conseil fédéral devra en proposer d'autres au Parlement.
Mais la loi ne devrait finalement pas préciser que ces mesures doivent respecter les engagements de la Suisse relevant du droit international. Cela va de soi, les engagements devront de toute manière être respectés. Cette correction permet aussi de renoncer à une provocation inutile envers la majorité de la population qui a soutenu l'initiative, a estimé Pirmin Bischof (PDC/SO).
Bricolage de l'Avent
C'est digne d'un «atelier de bricolage de l'Avent», s'est énervé l'indépendant Thomas Minder (SH). Les mesures concernant le marché du travail ne permettront jamais de limiter l'immigration. Ce ne sont même pas les travailleurs en Suisse qui devront être privilégiés, mais tous les inscrits à un service de l'emploi, donc aussi les citoyens européens.
En vertu de la libre circulation des personnes, des Européens peuvent effectivement venir trois mois en Suisse et s'inscrire à service public de l'emploi, mais ils doivent remplir un certain nombre d'obligations, a répliqué M. Müller et c'est une «quantité négligeable». Entre 90 et 160 citoyens de l'UE ou frontaliers par an l'ont fait ces quatre dernières années, a-t-il cité de mémoire.
Dernière ligne droite
La loi entre dans sa dernière ligne droite, a salué Paul Rechsteiner (PS/SG). Selon lui, on peut partir du principe que le texte passera le cap des votations finales le 16 décembre. Cela ouvrirait la voie à la ratification du protocole étendant la libre circulation européenne à la Croatie et à la réintégration de la Suisse à l'accord européen sur la recherche Horizon 2020. Simonetta Sommaruga n'a toutefois pas voulu le garantir formellement, relevant que la décision relève du Conseil fédéral.
Parce que la chienlit qui, en Mai 1968 dévastait nos rues et cassait par plaisir a aujourd’hui infiltré tous les rouages de nos institutions. Plus grave : elle a aussi engendré des rejetons bobos, ayant le prêt-à-penser franc-maçon et un comportement pastèque (vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur).
Pour les rares dirigeants clairvoyants qui résistent encore en Europe, la situation actuelle dans les domaines sociaux, culturels, financiers, industriels ou politiques est catastrophique, mais pas encore désespérée. Le délabrement et la décomposition de l’Europe ne sont pas les conséquences directes de Mai 68, mais l’accélération d’une fin de civilisation entamée depuis de longues décennies.
Une intelligentsia judéo-bolchevique qui fêtera le Cinquantenaire de la Révolution étudiante.
Lors des diverses commémorations des révoltes étudiantes de 68 (25e ou 40e anniversaire), on a systématiquement entendu le pédophile Cohn-Bendit, mais les médias ne se sont pas suffisamment intéressés aux manipulateurs et aux responsables des organisations qui ont joué un rôle primordial durant cette période. La plupart d’entre eux ont accédé à des postes clés de notre Société, notamment Lionel Jospin-trotskyste patenté- devenu premier ministre en France.
Et jetons un regard sur les groupements gauchistes et leurs dirigeants :
*Ligue Communiste (ex-JCR) : P. Franck, A. Krivine, B. Ben Saïd, H.Weber, P. Abramovici, S. Rabehl, J. Stein, S. Niemetz, A.Bethel.
*Lutte Ouvrière (Ex-Voix Ouvrière) : M. Schroeot, O.Kaldy, L. Stean, V.Goria, C.Jung.
*Alliance Marxiste Révolutionnaire (Ex-GMR) : N. Baby, M. Najmann, B. Schalsha, L. Weisberg, S. Mandel, D. Rothenstein, L. Rosenblatt.
*Alliance des Jeunes pour le Socialisme (ex-FER) : P. Boussel (alias Lambert), Ch. Stobnicer (alias Berg), G. Bloch, G. Rousselot. Ce mouvement possédait un Service d’ordre dirigé par un transfuge d’Occident, Rémy. Nous les retrouverons face à nous au Palais des Sports, le 9 mars 1971, lors d’un meeting d’Ordre nouveau.
*Parti Communiste Révolutionnaire : M. Mestri.
*La Voie : Blumenthal et Spitzer.
Comme on peut s’en rendre compte, les responsables de tous les mouvements gauchistes des années 1965-1972 appartiennent en grande majorité au « Peuple sûr de lui et dominateur ».
Le marxisme est toujours puissant et sera présent pour le centenaire de la guerre 1914-1918.
Enfant mongolien d’un Socialisme qui, en 1968, se voulait « à visage humain », le marxisme a entamé une mutation, à tel point que 48 ans plus tard, la « société citoyenne » a remplacé la lutte des classes. En décryptant la phraséologie et le vocabulaire utilisés par les médias, on se retrouve plongé dans la dialectique la plus stalinienne, où la novlangue a remplacé la langue de bois. La terreur rouge a émasculé des dizaines de millions d’élèves et d’étudiants ; son emprise s’étend à la Culture et à la Communication, à l’Economie et aux Finances, à la Justice, la Police et la Gendarmerie…
Alors tous ceux qui ont participé aux « Manif pour Tous » ou aux défilés pour la Vie et la Famille, devraient quand même se poser certaines questions.
QUI a voté pour les députés qui se pavanent à l’Assemblée ?
QUI a désigné les responsables des partis au Pouvoir ?
QUI soutient les partis de Droite cosmopolite et ceux de la Gauche caviar ?
QUI se taisait quand ses enfants lui expliquaient que la drogue était vendue aux portes des Collèges et des Lycées par des maghrébins clandestins ?
QUI ricanait quand il apprenait que dans le même établissement certains adultes pervers profitaient de leur fonction pour assouvir leur pédérastie ?
Le constat : en quelques décennies, le Socialolaxisme a pourri l’esprit de la majorité de nos compatriotes, leur retirant même le courage de penser !
Et ne parlons pas de la volonté d’agir, face au fléau de l’immigration/invasion, de la hausse permanente des crimes et délits, ni de la colonisation de nos quartiers, de nos rues, de nos commerces et de nos piscines par le « vivr’ensemble », le « padamalgam » et le monopole du Hallal !
Œil pour œil, dent pour dent !
Le sabotage insidieux de toutes nos institutions n’a été possible que grâce à la complicité abjecte de ce que d’aucuns dénomment la Droite. Afin de préserver certains acquis et privilèges financiers et économiques, les prétendus « libéraux » ont laissé gangréner nos Règles et nos Valeurs ancestrales par les théories « avant-gardistes » et humanistes.
La Foi est devenue une notion ringarde.
La Conviction et l’Idéal, seraient des valeurs démodées.
La Famille est présentée comme une entrave à la liberté sexuelle des pédérastes et des lesbiennes.
Les enfants, avenir de la Nation, et fruits d’un Amour réciproque, sont considérés comme une entrave au sacro-saint niveau de vie.
Le Travail et la Conscience professionnelle, sont maintenant des sujets hors de propos.
Par confort intellectuel et facilité économique, le peuple s’est embourgeoisé et au lieu d’opposer une légitime résistance à la décadence générale, il a préféré la carte de crédit et les loisirs tarifés, collé à l’écran de sa TV ou de son PC, zombie moderne relié à son I-Phone comme un grabataire en phase terminale ne survit que grâce au goutte-à-goutte.
L’hédonisme règne en maître et l’Europe glisse vers l’abîme aussi sûrement que le soleil se lève à l’Est.
La fin de l’Empire Romain s’est effectuée sur plusieurs siècles, mais s’est brusquement accélérée quand les métèques ont acquis le droit de cité. En accordant le droit de vote aux barbares établis en Europe, nous acceptons le génocide de la race blanche.
Le métissage n’est pas un enrichissement : l’état d’Israël l’a bien compris !
Comment Faire Face à l’héritage de Mai 68 :
En clamant à haute et intelligible voix votre refus du Nouvel Ordre Mondial, de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de l’Euro, monnaie d’escrocs, au service d’un lobby : la Banque Centrale Européenne (BCE).
En écrivant aux médias qu’ils ne détiennent pas la Vérité Absolue, que l’information n’est pas leur monopole et que vous avez un avis différent.
En exigeant des maires, des députés et sénateurs qu’ils appliquent le principe de Préférence Nationale dans tous les domaines et qu’ils cessent de gaspiller nos impôts au profit de parasites sociaux.
En déposant plainte, avec constitution de partie civile pour chaque agression dont vous êtes la victime.
En contactant les syndicats, les centrales d’achats et les supermarchés pour réclamer l’arrêt des importations de produits étrangers, que nous sommes capables de produire nous-mêmes et mieux : c’est votre emploi qui est en jeu et plus tard celui de vos enfants !
En infligeant un vote sanction à la mafia socialaud-libéro-écolo-capitaliste ; d’abord pour les présidentielles d’avril et mai 2017 et ensuite pour les législatives du mois de juin.
C’est maintenant qu’il faut éradiquer la pègre rouge !
Le dossier de la future mosquée de Montauban est-il mort et enterré ? Non selon Mohamed Hajji, président de l'association Es-Salem. On le sait, le tribunal administratif de Toulouse (lire notre édition du 2 décembre) a annulé la délibération du conseil municipal, en date du 29 septembre 2015, qui autorisait le maire à signer une promesse d'échange avec l'association cultuelle musulmane Es Salem en vue de la construction d'une mosquée neuve plus spacieuse que l'actuel lieu de culte, avenue de Chamier, dont la vétusté est évidente. Le tribunal a mis en avant la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat pour justifier sa décision. Tout en notant que le «conseil municipal avait fixé, pour la parcelle dont l'association est propriétaire ; une valeur d'échange supérieure à l'estimation du service des Domaines» de 18 400 euros.
Tout en prenant acte de cette décision de justice, Mohamed Hajji et Mohamed Bousraf, président et vice-président du conseil d'administration de l'association cultuelle, souhaitent, plus que jamais, parvenir à sortir ce dossier de l'impasse : «ça fait 7 ans qu'on parle de la nouvelle mosquée, rappellent les deux hommes. Nous accueillons avenue Chamier jusqu'à mille fidèles dans des conditions qui ne sont pas dignes. Nous débordons sur le trottoir. La nouvelle mosquée n'est donc pas un luxe mais une nécessité pour tous et pour les Montalbanais».
Les membres de l'association, qui restent en contact avec la ville de Montauban, n'entendent pas lâcher le morceau : «Nous avons accepté le premier terrain qu'on nous a proposé, souligne Mohamed Hajji. La future mosquée sera financée à 100 % par les fidèles». on évoque un délai de travaux de 5 à 6 ans. On n'est pas encore au bout du chemin.
La position de la ville et de Brigitte Barèges, le maire, en pointe dans ce dossier, s'avère donc plus que jamais nécessaire dans un contexte politique explosif. L'hypothèse de faire appel du jugement du tribunal administratif prend de plus en plus corps. Mais, dans l'entourage du maire, on réfléchirait aussi à d'autres solutions. Voilà un dossier qui a tout du feuilleton…
La mairie saisira-t-elle au bond la solution suggérée par le tribunal, à savoir une promesse d'échange conforme à la loi de 1905 ? Me Jean-Lou Lévi le souhaite : «Nous allons tout faire, en relation avec les services de la ville et de l'Etat pour trouver la meilleure solution possible. il faut traiter cette question de manière sereine et l'extirper des campagnes électorales», souhaite l'avocat montalbanais.
Angela Merkel a lancé, hier, la bataille pour les législatives avec un discours ferme sur l'immigration. « Une situation comme celle de l'été 2015 ne peut et ne doit pas se répéter », a lâché la chancelière allemande, plus d'un an après sa spectaculaire décision d'ouvrir les portes de son pays à quelque 900.000 demandeurs d'asile fuyant notamment la guerre en Syrie. Après onze ans au pouvoir, Angela Merkel s'est vu toutefois adresser un avertissement par le millier de délégués de l'Union chrétienne-démocrate (CDU) réunis en congrès à Essen : elle a été reconduite à la tête du parti avec son plus mauvais score depuis qu'elle dirige l'Allemagne : 89,5 % des voix.
[…] Le classement international PISA, qui évalue le niveau des élèves de 15 ans des pays de l’OCDE. 2016, publiée ce 6 décembre, place le pays en 26e position en sciences, le domaine majeur d’évaluation de cette dernière étude (*). Ni progression, ni régression par rapport à 2013, pour la 5e économie mondiale. Et un classement général en demi-teinte.
«Malgré les grandes avancées technologiques et les investissements importants dans l’éducation, les performances en sciences sont restées identiques ou ont chuté depuis 2006», constate Gabriela Ramos, directrice de Cabinet du Secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), jugeant ces résultats «décevants».
Parmi les membres de l’OCDE, seuls le Portugal et Israël ont progressé. Onze pays accusent une baisse, parmi lesquels la Finlande, jusqu’alors si souvent citée en modèle. En chute de 11 points, elle occupe malgré tout la 5e place du classement. Le podium vient confirmer cette année l’écrasante domination de l’Asie. «Lors des premiers PISA, il fallait aller en Finlande. Désormais, c’est à Singapour que cela se passe», poursuit Gabriela Ramos.
Avec un score de 495 points en sciences, la France se situe légèrement au-dessus de la moyenne de l’OCDE (493), derrière l’Allemagne ou la Belgique (au-dessus de 500 points) et devant l’Italie (481). Une performance stable depuis 2006. […] Cette année encore, l’Hexagone se démarque par sa capacité à reproduire les inégalités sociales. Ainsi, le milieu socio-économique explique plus de 20% de la performance obtenue par les élèves de 15 ans, contre 13% en moyenne dans l’OCDE. Seuls la Hongrie et le Luxembourg se situent également à un niveau supérieur à 20%. Pour Eric Charbonnier, expert éducation à l’OCDE, ce résultat ne doit pas être perçu comme une fatalité. «Car les pays qui ont réussi à réduire les inégalités sont très différents», du Japon au Canada, en passant par la Corée et l’Estonie.
*Environ 540.000 élèves, représentatifs des quelque 29 millions d’élèves âgés de 15 ans scolarisés dans les 72 pays et économies participants, ont passé les épreuves PISA en 2015.
Le corps de Maria Ladenburger, 19 ans, a été retrouvé le 16 octobre à Fribourg. La victime a été violée avant d’être jetée dans la Dreisam, la rivière qui traverse la ville. Sur la scène du crime, l’ADN d’un demandeur d’asile Afghan âgé de 17 ans a été retrouvé.
La justice a suspendu la consultation controversée du sulfureux maire de la commune en émettant un "doute sérieux sur la légalité du projet".
Le tribunal administratif de Montpellier a suspendu mardi l'exécution de la délibération de la ville de Béziers sur une « consultation » controversée, portant sur l'immigration, dans la commune dirigée par Robert Ménard, proche du Front national. « Par une ordonnance du 6 décembre 2016, le juge des référés du tribunal a suspendu l'exécution de la délibération du 18 octobre 2016 par laquelle le conseil municipal de Béziers a décidé d'organiser, le 8 janvier 2017, une consultation des électeurs sur la question Approuvez-vous l'installation de nouveaux migrants, imposée par l'État, sans consultation du conseil municipal ? », indique le tribunal dans un communiqué. Le tribunal avait été saisi par le préfet de l'Hérault.
Dans son ordonnance, le juge des référés estime que « la question posée ne relève pas de celles qui sont autorisées » par le Code des collectivités, qui « prévoit que les électeurs d'une collectivité territoriale peuvent être consultés sur les décisions que les autorités de cette collectivité envisagent de prendre pour régler les affaires relevant de la compétence de celle-ci ». Le juge considère en effet que « la question posée aux électeurs de Béziers ne précise pas les décisions qui pourraient être prises à l'issue de la consultation, notamment celles qui pourraient être adoptées par la commune de Béziers à la suite de l'extension d'un des centres d'accueil des demandeurs d'asile de la commune, extension décidée par les autorités de l'État et relevant de leur seule compétence ».
Doute sur la légalité du projet
Constatant en l'état de l'instruction un « doute sérieux sur la légalité du projet soumis à consultation », le juge ordonne donc sa suspension jusqu'à ce que le tribunal statue sur le fond. « Les communes ont interdiction de consulter la population », déplore la municipalité de Robert Ménard, mardi, dans un communiqué. « On ne peut que regretter cette décision centralisatrice et technocratique », poursuit-elle. Robert Ménard avait pris l'initiative inhabituelle de défendre lui-même le 1er décembre devant le tribunal administratif de Montpellier sa « consultation » municipale sur « l'installation de nouveaux migrants », qui avait peu de chance de voir le jour.
La commune est « compétente, concernant les modalités d'installation de populations étrangères », avait-il assuré, dans ses interventions plus politiques que juridiques qui lui avaient valu plusieurs rappels à l'ordre de la juge. La délibération municipale visée avait été votée après l'annonce préfectorale de l'ouverture de 40 places supplémentaires dans un centre d'accueil des demandeurs d'asile (Cada) de Béziers, géré par la Cimade. L'ancien président de Reporters sans frontières, élu en 2014 à la faveur d'une triangulaire et avec le soutien du FN à la tête de cette ville de 75 000 habitants, est coutumier des polémiques, notamment sur l'immigration.
Ce n'est pas un, mais deux convois censés alimenter la région lyonnaise en drogue qui ont été interceptés par la police il y a une dizaine de jours. Selon le Progrès, le premier go-fast a été arrêté à hauteur de Dijon sur l'A31. Dans une trappe actionnable par télécommande se cachait 50 kilos de cachets d'ecstasy. Plus tard dans la même journée, les forces de l'ordre mettaient la main sur une autre voiture à Lyon où était cachée la même quantité de drogue, à l'aide du même procédé sophistiqué. A noter que l'un des deux convois était conduit par un couple, qui avait amené leurs enfants. Ces derniers ont été placés.
La drogue proviendrait des Pays-Bas, et le butin est estimé à la revente à 3,5 millions d'euros.
L'homme et les trois femmes ont été mis en examen et écroués la semaine dernière. L'enquête se poursuit afin de remonter la piste de l'ecstasy, voire de trouver les complices lyonnais qui devaient réceptionner la marchandise.
Ce n'est pas un, mais deux convois censés alimenter la région lyonnaise en drogue qui ont été interceptés par la police il y a une dizaine de jours. Selon le Progrès, le premier go-fast a été arrêté à hauteur de Dijon sur l'A31. Dans une trappe actionnable par télécommande se cachait 50 kilos de cachets d'ecstasy. Plus tard dans la même journée, les forces de l'ordre mettaient la main sur une autre voiture à Lyon où était cachée la même quantité de drogue, à l'aide du même procédé sophistiqué. A noter que l'un des deux convois était conduit par un couple, qui avait amené leurs enfants. Ces derniers ont été placés.
La drogue proviendrait des Pays-Bas, et le butin est estimé à la revente à 3,5 millions d'euros.
L'homme et les trois femmes ont été mis en examen et écroués la semaine dernière. L'enquête se poursuit afin de remonter la piste de l'ecstasy, voire de trouver les complices lyonnais qui devaient réceptionner la marchandise.
Ce lundi, dans le 8e arrondissement de Lyon, rue Pierre Delore, un homme a été interpellé après avoir tenté de braquer un commerce à l’aide d’un couteau. Vers 18h10, le mineur a tenté de se faire remette la caisse du commerce sous la menace d’une arme blanche. Le gérant et son père se sont alors emparés du jeune voleur en le désarmant et l’ont immobilisé jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre. L’un des deux commerçants a été légèrement blessé au doigt. L’agresseur a été placé en garde à vue.
Ce mardi, un homme âgé de 32 ans a été condamné par la justice lyonnaise. Ce ressortissant somalien avait été surpris en 2015 par sa femme dans le lit de sa belle-fille. Au terme de l'enquête, la victime âgée de seulement 12 ans avait confié avoir été violée à 15 reprises en seulement quelques semaines. Le beau-père ne lui avait imposé que des pénétrations anales, pour ne pas laisser de traces.
Face à la justice, l'homme s'est confondu en excuse, et a évoqué son enfance difficile, elle aussi marqué par des abus sexuels.
Le parquet a requis 5 ans de prison dont 1 avec sursis. Un réquisitoire qui n'a pas été suivi par le juge, qui a ramené sa peine à 24 mois de prison, ainsi que 8000 euros de dommages et intérêts à sa victime, et 1500 euros pour son ex-compagne, mère de l'ado.