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mercredi, 21 décembre 2016

Herserange (54) : bagarre générale pour les beaux yeux d’une ado

 
Une adolescente qui fait battre le cœur de deux mineurs, des fratries rivales. Ou les ingrédients d’une grosse bagarre qui a éclaté à Herserange, en janvier dernier. Des coups et beaucoup de confusion. Face à ce casse-tête, le tribunal s’est laissé du temps pour juger.



Ça va aller ? », demande le président. « Oui, oui, c’est pas grave », répond le traducteur, souffrant d’une extinction de voix. De toute façon, l’interprète de ce prévenu qui parle le kabyle n’aura pas le loisir de s’exprimer longuement. Car dans ce genre d’affaire, les protagonistes ne sont guère loquaces, préférant laisser les magistrats dans le flou.L’affaire en question : une belle bagarre générale, avec plusieurs individus et une multiplicité d’armes. Un sacré désordre sur la voie publique et un beau casse-tête pour les juges du tribunal correctionnel de Briey, qui doivent comme on dit dérouler la pelote de laine.

On va retenir l’essentiel : deux adolescents dont le cœur bat pour la même fille, deux fratries rivales et, au final, quatre prévenus poursuivis mardi pour violences aggravées. Deux autres lascars, les mineurs en question, auront affaire ultérieurement au tribunal pour enfants.

La rixe qui nous intéresse éclate le 3 janvier 2016, à Herserange. Ramzy* se rend dans un café pour chercher des noises à Jamel. Cela fait plusieurs jours que ces deux ados de 16 ans s’échangent des amabilités sur les réseaux sociaux à propos de la même fille qu’ils « kiffent ». Mais, selon les auditions, Ramzy vient armé d’un couteau papillon. Abdel, le frère de Jamel, s’en mêle. Le jeune de 20 ans frappe Ramzy

Surgit tout à coup une Golf avec Rafik et Rachid. Agés de 22 et 32 ans, ils sont respectivement les frère et cousin de Ramzy. Ne parlant pas le français (d’où les services de l’interprète à la voix éteinte), Rachid est arrivé fin 2015 dans l’Hexagone. Naturellement, ce dernier et Rafik prennent part à la bagarre même s’ils affirment n’avoir jamais donné de coups. « On a juste voulu les séparer », clame le duo. Enfin, un 6e joyeux luron, Kamel, intervient dans ce violent ramdam. Du haut de ses 20 ans, il se trouvait dans le café avec Jamel et Abdel. Et bien entendu, il « roule » pour eux. C’est le seul à ne pas s’être déplacé au tribunal pour livrer sa version.Difficile de savoir qui a fait quoi. Ce que l’on sait, c’est que des armes ont été utilisées. Un clan a usé d’une batte de base-ball ; l’autre d’une barre de fer. Un poing américain aurait également servi. En tout cas, les blessures sont sérieuses. C’est Abdel qui a été le plus sévèrement touché : fracture du poignet et trois semaines d’arrêt.
(…)

Source 

mardi, 20 décembre 2016

Nogent-sur-Oise : le projet de mosquée est sur les rails

 

 
La municipalité veut en finir avec l’islam « des caves et des garages ». Pour l’heure, aucune mosquée n’est officiellement implantée à Nogent-sur-Oise, alors que la ville compterait entre 7000 et 8000 habitants de confession musulmane, selon l’Association nogentaise d’échanges culturels (Anec). Cette dernière s’est vue céder un terrain pour 50 000 € par la mairie, lors du dernier conseil municipal. Elle a lancé une collecte pour financer la bâtisse. Le projet dans son ensemble est estimé à près de 770 000 €.
Des voix se sont élevées dans l’opposition, contre un prix jugé en deçà du coût du marché ainsi que sur l’échelonnement du paiement sans intérêt. Le maire (DVG) Jean-François Dardenne balaie les critiques. « On compare ce prix à celui d’un terrain qui n’a pas la même valeur, insiste-t-il. Nous ne faisons pas de cadeau à l’Anec. Nous préférons leur permettre de payer en plusieurs fois de façon à avoir le temps de réunir les fonds nécessaires, plutôt que de voir un pays étranger mettre la main sur le projet. » Un premier paiement interviendra en avril prochain, un deuxième en avril 2019, puis chaque année en juin. L’Anec devra commencer les travaux entre ces deux dates, sous peine de voir le terrain revenir à la ville.
 
Faute de mosquée, les musulmans de Nogent se retrouvent actuellement dans un local du foyer Adoma ou dans des garages du quartier des Rochers. « Il manque un lieu de culte digne de ce nom, appuie un responsable de l’association. Le projet avance doucement, nous avons récolté 20 % de la somme globale, mais la décision de la mairie est un signal positif. Ce sera un lieu de prière mais aussi de discussion et d’échange ouvert à tous. » Et cette mosquée ne serait pas la dernière. Jean-François Dardenne annonce qu’il emploiera la même méthode pour fournir un lieu de culte en bonne et due forme, probablement pour 2018, aux habitants du quartier des Rochers.

Renseignements sur mosqueenogentsuroise.fr
 
Simon Gourru
 

Islamisation : patience, la France est bientôt mûre

 

 
Jeudi dernier le 15 décembre 2016, Nice-Matin relatait un fait divers qui s’était déroulé deux jours auparavant.
 
Ce matin-là, à 8 heures 30 avenue de la Californie, Halima, une « femme française » selon l’article, âgée de 49 ans et née en Algérie, attendait le bus vêtue d’un niqab − tenue islamique intégrale ne laissant apparaître que les yeux − interdit sur la voie publique. Une patrouille de police voulut verbaliser la contrevenante. S’en sont suivies des vociférations agressives et des insultes à agents détenteurs de l’autorité publique qui conduisirent la récalcitrante devant le tribunal correctionnel de Nice.
 
À l’audience, celle-ci a renouvelé ses provocations à tel point que la présidente dut suspendre les débats. À la reprise, on apprenait qu’Halima était coutumière du fait lorsque la présidente rappela qu’elle avait été contrôlée et verbalisée pour le même motif de nombreuses fois : elle avait déjà sept procédures à son actif ! Le tribunal l’a donc condamnée à trois mois de prison avec sursis, une amende de 100 euros, des dommages et intérêts à verser au policier insulté ainsi qu’un stage de citoyenneté suggéré par l’avocat de la défense (!).
 
Gageons que, grâce à ce stage, Halima ne demandera pas mieux que d’ôter son niqab quand elle aura compris que celui-ci n’est tout simplement pas conforme aux règles de la République, sans même parler du vivre-ensemble auquel elle aspire. Ce dont on ne doutera plus un instant quand on saura que notre authentique musulmane, pétrie d’amour et de paix, a affirmé haut et fort « Je ne reconnais aucune loi. La loi, c’est moi. Je ne reconnais que la loi universelle, celle d’Allah. » Ce qui signifie sans ambiguïté que, pour Halima, la charia prime sur les lois de la République et doit – à terme – les remplacer !
 
Alors, je dis à Halima : patience, Halima, la France est bientôt mûre ! Tous les signes sont là :
 
Déjà l’avocat des policiers a tenu à rappeler que dans l’esprit de la loi du 11 octobre 2010 « ce n’est pas le signe religieux qui est mis en cause par le législateur mais bien la dissimulation du visage qui en découle » et la présidente, pour sa part, a rappelé que « l’interdiction du niqab a pour unique but de pouvoir contrôler les personnes pour des raisons de sécurité ». Indéniablement ces propos tiennent à refouler le fait religieux. Et ceux qui, comme moi, veulent voir dans le comportement d’Halima les signes d’une « pratique religieuse devenue identitaire, revendicatrice et séparatiste », comme dit Ziad Khoury (Valeurs actuelles), ne sont, au mieux, que de vilains islamophobes, au pire, d’affreux racistes voire de dangereux fascistes !
 
Ensuite il y a le comportement honteux des associations dites féministes qui ont observé le plus grand mutisme face à cette terrible atteinte aux droits et à la dignité des femmes de Sevran − et pas seulement : allez voir dans le quartier de l’Ariane à Nice − révélée par le reportage de France 2. En revanche ces mêmes associations montent tout de suite en régime à propos du concours Miss France : le chef de file d’« Osez le féminisme », Claire Serre-Combe, a déclaré que ce concours « impose des stéréotypes physiques irréels, sans compter le culte de la pureté avec des concurrentes sans petits amis ». Par contre les stéréotypes de misogynie et de domination masculine imposés à Sevran par l’islam conquérant ne suscitent pas le moindre communiqué. Pire, ce sont des cabales fomentées par la droite réactionnaire adepte du repli sur soi. Comprenne qui pourra.
 
Enfin il y a l’attitude pusillanime de nos politiques face, encore, à cette affaire de Sevran qui, décidément, met beaucoup de monde dans l’embarras. Après la très activiste Clémentine Autain (voir notre article du 15 décembre 2016 La théorie du genre à la mode Sevran), voici le candidat à la primaire socialiste pour l’élection présidentielle, Benoît Hamon, qui vient à son tour défendre la non-mixité dans les bars français en prétextant sur France 3 : « Historiquement, dans les cafés ouvriers, il n’y avait pas de femmes ». Et d’un, c’est faux. Notre prétendant de gauche à la magistrature suprême ne connaît pas les classiques populaires, notamment La Madelon.

 Et de deux, cela n’a rien à voir. Si les femmes ne sont pas admises dans les bars de Sevran, c’est bien pour des motifs religieux dictés par le Coran. Par conséquent pour Benoît Hamon, si les femmes de Sevran ne sont plus tolérées dans les bars, c’est de notre faute car il recommande de « s’interroger sur la responsabilité de la République ». Une volonté clairement affichée de disculper l’islam avec ses pratiques d’un autre monde et de culpabiliser notre société qui imposerait « l’inégalité et la contrainte » [sic].
 
Ce déni perpétuel des attaques répétées et de plus en plus affirmées de l’islam sur notre territoire illustre parfaitement la lâcheté ambiante — la dhimmitude — de plus en plus commune qui envahit et gangrène notre société. Une société qui préfère désormais s’accommoder du communautarisme islamique et de ses dérives culturelles rétrogrades.
 
C’est pourquoi je redis à Halima : patience, la France est bientôt mûre !
 
Charles ANDRÉ
 

Le gros chèque du cheik du Qatar sème la zizanie dans un village des Alpes-Maritimes

 

 
L’ancien émir du Qatar a fait don d’un million d’euros à une commune près de Cannes. Cette générosité alimente les rumeurs et assombrit le climat politique local.



À Mouans-Sartoux, près de Cannes, tout le monde ne parle plus que de cela: l’ex-émir du Qatar le cheik Hamad Ben Khalifa al-Thani, qui possède ici une résidence secondaire, a signé un chèque d’un million d’euros à cette petite commune de 10.000 âmes. Depuis, c’est la zizanie au village.

«La question qu’on pourrait se poser, c’est en échange de quoi ce don a été effectué?», s’interroge prudemment Pierre, un retraité d’EDF. Dominique, une esthéticienne de 58 ans, est persuadée de son côté que l’ancien émir, résident depuis 1995 sur la colline de Castellaras, a bénéficié, au minimum, de «facilités» en matière d’urbanisme et trouve ce don «intrinsèquement inadmissible».(…)

Par le passé, alors qu’il était encore émir, le cheik al-Thani avait déjà fait preuve de prodigalité en versant plus de 200.000 euros pour la construction d’une caserne de pompiers à Mouans-Sartoux. Les mauvaises langues remarquent, au-delà du geste désintéressé, que la colline où demeure l’ancien souverain est très exposée aux incendies. (…)

(…)En 2003, un an après le don destiné aux soldats du feu, la famille qatarienne obtient ainsi, pour un euro symbolique, un tronçon de chemin communal «délaissé» pour réunir deux de ses terrains. L’an dernier, elle a été autorisée à percer, à ses frais, un tunnel sous la route, pour relier deux dépendances. Il faut dire que depuis 1995 et l’achat d’une première propriété, le domaine qatarien s’est bigrement agrandi et couvre désormais, sur la colline qui domine toute la plaine de Mouans-Sartoux, plus de 30 hectares, avec neuf villas, huit piscines, un héliport et une salle de sport dernier cri.(..)
«La question qu’on pourrait se poser, c’est en échange de quoi ce don a été ­effectué ?»
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Etrechy (91) : un conseiller municipal FN agressé par des racailles à l’issue du conseil municipal

 

 
Depuis plus de six mois, les résidents de la place de la Mairie à Etréchy sont excédés par les nuisances commises le soir et la nuit par une bande de « jeunes » qui squattent le kiosque à musique ou les bancs publics et qui s’adonnent à la consommation massive d’alcool et de cannabis.


 

Une pétition de la part des riverains a même été remise à madame Dailly, maire d’Etréchy, et malgré des passages réguliers des forces de gendarmerie, la situation perdure, surtout les week-ends.
Il est de notoriété publique à Etréchy que certains de ces « jeunes », dont la plupart sont étrangers à la commune, s’adonnent à un trafic de stupéfiants.

Vendredi 16 décembre, durant le conseil municipal nous entendions, provenant de la place de la Mairie, de nombreux éclats de voix et de la musique à très fort volume. Nous recevions même des SMS de la part de riverains excédés nous informant qu’ils venaient d’envoyer un nouveau mail à madame le maire lui demandant de faire cesser une fois pour toutes ces nuisances, car ces « jeunes » les insultaient après une énième demande de faire moins de bruit.
A l’issue du conseil municipal, nous avons pu observer que les « jeunes » étaient en effet sur un banc public sous les fenêtres des Strépiniacois et à l’aide d’une enceinte portative écoutaient de la musique à très fort volume tout en fumant du cannabis, reconnaissable à l’odeur ambiante. Nous constations aussi que ces derniers posaient leurs bouteilles d’alcool sur le toit des véhicules des résidents stationnés à cet endroit.

Nous avons dénoncé cet état de fait à la directrice générale des services de la mairie qui a procédé à la fermeture des grilles et cette dernière en a alerté Madame le maire qui est allée à la rencontre de ce groupe afin de lui demander de cesser ce trouble à l’ordre public.
Or, Madame le maire, n’a absolument pas eu conscience de l’attitude très menaçante des membres du groupe qui l’entouraient De plus, d’autres « jeunes » qui se trouvaient à bord de véhicules commençaient à se regrouper.

Nous sommes alors allés à la rencontre de Madame le maire afin de l’informer de la dangerosité de cette situation notamment pour son intégrité physique. François HELIE, lui déclarait que si elle restait au contact de ces personnes, ce «serait à ces risques et périls».
Alors que François Helie, s’était clairement identifé comme élu, ila de suite reçu un coup de poing au niveau du visage de la part d’un des jeunes qui se targuait d’être de la Cité de la Grande Borne à Grigny et d’après lui, de sortir de la prison de Fleury Merogis . Et c’est après que François HELIE ait repoussé son agresseur que cinq autres personnes lui ont assené coups de poings et coups de pieds jusqu’à l’amener au sol !

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Après «Ali Juppé», la «fachosphère» s'en prend à «Farid Fillon»

 

 
 
Sur les réseaux sociaux, le candidat de la droite est la cible d'attaques sur sa connivence supposée envers l'islamisme radical.
Alain Juppé en est persuadé. S'il n'est pas parvenu à remporter la primaire de la droite en novembre dernier, c'est en partie à cause des attaques qu'il a dû subir tout au long d'une campagne «dégueulasse» orchestrée par l'extrême droite. Parmi ces invectives, un surnom: Ali Juppé. Rebaptisé ainsi par la «fachosphère», le maire de Bordeaux s'était vu soupçonné sur les réseaux sociaux de connivence avec l'islam radical. Au cœur de la contestation, le projet de Grande Mosquée de Bordeaux pour lequel Alain Juppé avait donné son accord en 2008, et qui a été enterré par la suite.
Juppé éliminé, la «fachosphère» a déjà sa prochaine cible: François Fillon ou plutôt «Farid Fillon»... Depuis quelques jours, des internautes s'activent pour démontrer à travers ce nouveau surnom la proximité du vainqueur de la primaire à droite avec des figures de l'islam radical. Une accusation qu'ils étayent en se référant à l'inauguration par François Fillon de la mosquée d'Argenteuil en 2010, alors qu'il était encore premier ministre. Une photographie sur laquelle François Fillon pose aux côtés de Salih Farhoud, recteur de la mosquée de Stains (Seine-Saint-Denis), qui fait l'objet d'une fermeture administrative, circule également. 

Une page de riposte en préparation

 

Le camp Fillon se presse déjà d'éteindre le début d'incendie. Invité au Grand Jury de RTL dimanche, Jérôme Chartier, conseiller spécial du candidat, a cherché à minimiser. «L'objectif de cette “fachosphère” est de faire en sorte de reproduire le coup d'“Ali Juppé”. Mais sauf que maintenant, tout le monde sait que c'est eux, alors qu'avant personne ne savait. Tout le monde pensait que c'était un mouvement spontané. Ça n'a rien de spontané, c'est un mouvement organisé par la “fachosphère”. Et le simple fait de les dénoncer, c'est aussi commencer à les combattre.»

 La riposte se prépare. Selon le Huffington Post, une page web serait même en préparation sur le site du candidat pour contre-attaquer. Gauthier Guignard, responsable de la communication numérique, explique par là qu'il s'agira de «mettre fin aux rumeurs, aux candidatures et aux déformations.» Une opération indispensable selon le leader du mouvement des Jeunes avec Fillon, Cédric Rivet: «Quelqu'un qui tombe sur ces images sans être informé peut forcément y croire. Il ne faut pas prendre ça à la légère», prévient-il. Enfin, pour Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône et soutien de François Fillon, ce nouvel épisode vient «poser des questions de déontologie quant à l'utilisation des images, et notamment des montages d'images, sur les réseaux sociaux», décrypte-elle au Figaro

Pierre Lepelletier 

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Services publics: La sécurité en deuxième place des attentes des Français

 

 
SOCIETE La préoccupation principale reste la lutte contre le chômage et pour l'emploi
 
 
La sécurité arrive pour la première fois à la deuxième place des attentes des Français vis-à-vis des services publics, la préoccupation principale restant la lutte contre le chômage et pour l’emploi, selon un baromètre publié lundi [PDF].

Dans un contexte post-attentats, les attentes à l’égard de la police et de la gendarmerie progressent fortement (+16 points) par rapport à 2015, note cette étude Kantar Public pour l’Institut Paul Delouvrier, une association qui veut favoriser la modernisation de l’action publique.

Le seul service public où l’action de l’Etat est majoritairement jugée positive

 

Les attentes vis-à-vis de la défense nationale enregistrent elles une hausse de 8 points, selon ce baromètre annuel, le 12e. Autre domaine régalien de l’Etat, la justice progresse aussi, mais moins fortement (+3).

Avec 44 %, la sécurité intérieure entre ainsi pour la première fois dans le trio de tête des préoccupations des Français, derrière l’emploi/la lutte contre le chômage (52 %, -1) et devant l’éducation nationale (38 %, +1). C’est aussi le seul service public où l’action de l’Etat est jugée positive par une majorité (57 %) des Français, malgré une baisse de 6 points, et celui qui satisfait le plus ses usagers (82 %, +4).

Le service public de l’emploi est le plus mal perçu

 

L’action de l’Etat dans la santé publique, quatrième domaine où les attentes sont les plus fortes (36 %, -1), est jugée positive par 49 % (-3) des personnes interrogées. Le service public de l’emploi reste le service le plus mal perçu. Seuls 13 % des Français en ont une bonne opinion et seulement 45 % de ses usagers en sont satisfaits.
Globalement, seuls 37 % des Français (-1) ont une bonne ou plutôt bonne opinion des services publics mais 69 % (=) des usagers en sont satisfaits. De l’administration et des services publics, les Français attendent surtout qu’ils soient "plus efficaces" (45 %), plus simples (29 %) et plus justes (25 %).

Quant aux économies de budget, les trois premiers services où elles semblent possibles aux usagers sont la fiscalité, la sécurité sociale et l’environnement. 29 % seulement estiment possible d’économiser sur le budget de la police et de la gendarmerie.

 Enquête réalisée par internet du 20 octobre au 7 novembre auprès d'un échantillon représentatif de 2.572 personnes âgées de 15 ans et plus selon la méthode des quotas.

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Paris: Un homme grièvement blessé par balles dans le XVIe arrondissement

ENQUETE La tentative de meurtre s’est déroulée dimanche soir en pleine rue…


Il a été pris pour cible en pleine rue. Un homme a été grièvement blessé par balle ce dimanche soir dans le 16e arrondissement de Paris, révèle Le Parisien. Il a été rapidement secouru et transporté vers l’hôpital le plus proche. Dimanche soir, son pronostic vital était engagé.

Les faits se sont déroulés vers 18 heures. L’homme venait tout juste de garer son scooter sur le boulevard Flandrin dans ce quartier cossu de Paris lorsqu’il a été pris pour cible par deux hommes qui ont fait feu sur lui. Les deux agresseurs ont ensuite pris la fuite à bord d’une voiture conduite par un troisième homme, selon Le Parisien.

La piste du règlement de comptes privilégiée

 

Deux douilles de gros calibre ont été retrouvées sur les lieux. Les tireurs auraient pris la fuite en direction du Bois de Boulogne. Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade criminelle.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime est « très défavorablement connue » des services de police, pour ses liens avec le grand banditisme, notamment dans des affaires de blanchiment d’argent et de recel en bande organisée. « La piste du règlement de comptes est privilégiée », selon une source proche de l’enquête.

H. B.

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Dordogne: 3 mineurs mis en examen pour viol en réunion

 

 
Trois mineurs ont été mis en examen aujourd’hui pour viol en réunion sur une jeune femme dans des toilettes publiques dans le centre de Périgueux, a indiqué le Parquet. Agés de 14, 15 et 16 ans, ils ont reconnu avoir eu un rapport sexuel jeudi en fin d’après-midi mais ont nié avoir violé la jeune femme de 18 ans, qui a porté plainte.

Les trois mineurs, qui font partie de la communauté des gens du voyage, ont été placés sous contrôle judiciaire.

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11 septembre: l’Arabie saoudite fait pression pour modifier la loi américaine

Le ministre saoudien des Affaires étrangères a annoncé aujourd’hui qu’il essayait de persuader des législateurs américains de modifier une loi autorisant les victimes des attentats du 11-Septembre à poursuivre l’Arabie saoudite en justice. Adel al-Jubeir a déclaré à la presse qu’il venait d’effectuer un séjour prolongé aux Etats-Unis, notamment pour « tenter de convaincre (les législateurs) qu’il fallait amender la loi » Jasta (Justice Against Sponsors of Terrorism Act).


Cette loi a été adoptée fin septembre par le Congrès américain qui a passé outre le veto du président Barack Obama. Elle permet aux survivants et aux proches de victimes du « terrorisme » de poursuivre en justice des gouvernements étrangers et d’exiger une indemnisation si leur responsabilité est reconnue dans les attentats du 11 septembre 2001, qui avaient fait plus de 3000 morts.
L’Arabie saoudite, fidèle alliée des Etats-Unis, a toujours nié la moindre implication dans les attaques –15 des 19 auteurs étaient des Saoudiens– et a été lavée de tout soupçon par une commission d’enquête américaine en 2004. « Nous pensons que cette loi (…) représente un grave danger pour le système international », a déclaré M. Jubeir lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry.

Cette loi a également été critiquée par les alliés de l’Arabie dans le Golfe. Ses détracteurs s’inquiètent notamment de la remise en cause d’un sacro-saint principe en droit international: l’immunité souveraine des Etats.

Des membres de l’Union européenne, comme la France et les Pays-Bas, ont même menacé de légiférer en représailles, ce qui déclencherait une cascade de poursuites internationales en justice contre les Etats-Unis et leurs représentants à l’étranger. « Les Etats-Unis, en érodant ce principe, ouvrent la voie à d’autres pays pour prendre des mesures similaires », a déclaré M. Jubeir, s’inquiétant que l’ordre international soit « régi par la loi de la jungle ». « La question est maintenant de savoir comment amender la loi », a-t-il ajouté.

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Marseille: un homme arrêté avec une fausse kalachnikov

 

 
Un homme a été arrêté hier soir en possession d’une fausse kalachnikov à proximité d’une salle de concert à Marseille où était prévu un concert du rappeur Jul, a-t-on appris ce matin auprès de la police.

Vers 19H30 dimanche, un policier hors service qui circulait près du Dôme, une salle de concert marseillaise, a été intrigué par la présence dans une voiture d’un homme avec une arme d’épaule, accompagné d’un autre homme et d’une femme, a raconté lundi matin à l’AFP le préfet de police des Bouches-du-Rhône Laurent Nuñez.

En s’approchant, le fonctionnaire a constaté qu’il s’agissait d’une arme de type AK-47. Aussitôt, il a alerté son centre d’information et de commandement, qui a avisé le service d’ordre qui assurait la sécurité de la soirée. Les policiers ont rapidement retrouvé l’automobile signalée, qui était vide, puis identifié son conducteur près d’un arrêt de bus.

Ils ont déployé un dispositif d’intervention adapté, créant une « bulle de sécurité » autour de l’homme qu’ils pensaient armé d’une kalachnikov, avant de l’interpeller. L’homme, un trentenaire, dissimulait sous son blouson une réplique d’AK-47 tirant des billes de plastique.

En état d’ivresse, l’homme a prétexté vouloir vendre des billets à la sauvette et avoir pris une arme factice « pour se protéger », selon la police. Il n’avait pas de billets de concert sur lui. L’homme possède de nombreux antécédents judiciaires. Il était toujours entendu par la police marseillaise ce matin.

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Un règlement de comptes entre migrants à l’origine de l’incendie du centre d’accueil de Boulogne

 

 

Déception chez les professionnels de l’antiracisme et les éternels culpabilisateurs du peuple français, les forces de l’ordre et le ministère de l’Intérieur privilégient la piste du règlement de compte entre migrants dans l’enquête sur l’incendie criminel qui a touché le foyer pour migrants de Boulogne, coûtant la vie à l’un des résidents.

« C’est un foyer qui pose problème, avec activités et restaurants clandestins. L’ambiance y est délétère avec des rixes entre résidents et des trafics », a indiqué le ministère de l’Intérieur. « L’un des blessés est soupçonné d’être l’incendiaire, il est par ailleurs résident. Il est donc probable qu’il s’agisse d’un règlement de comptes interne. » a-t-il également ajouté.
La piste d’un « acte raciste » est donc totalement écartée, au grand dam des habituels « vigilants » si prompts à dénoncer la haine et le rejet, à condition qu’ils proviennent des français de souche. Sur les violences et les détestations inter-communautaires et inter-ethniques qui mènent à ce genre de drame de l’immigration, ils se montrent, comme toujours, beaucoup plus discrets.

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Rennes. Nouveau règlement de compte entre ethnies rivales

Le 14 décembre dernier, un jeune Algérien âgé de 16 ans – récemment incarcéré à Orvault (établissement pénitentiaire pour mineur) a été agressé à coup de couteau par plusieurs individus originaires de Tchétchénie et d’Albanie – le terme « originaires des pays de l’Est » employé par la presse mainstream, étant particulièrement flou car englobant de nombreuses nationalités n’ayant aucun lien les unes avec les autres.


Les faits se sont déroulés rue du capitaine Dreyfus, en centre-ville.
C’est la BAC qui a découvert l’individu, dont l’état a nécessité une intervention chirurgicale – mais qui ne présente pas un état préoccupant. Par ailleurs, 10 minutes avant d’intervenir sur les lieux, à noter qu’un groupe d’individus armés de bâtons et de barres de fer avait été identifiés et signalés par la police, se dirigeant vers la place de la République.
 
 Les 5 individus ont été interpellés et placés en garde à vue pour être entendus comme « témoins ». La garde à vue a ensuite été levée, sauf pour le ressortissant albanais, âgé de 19 ans.
 
Cette affaire intervient quelques jours après l’attaque, par un groupe de Mineurs Isolés Etrangers maghrébins, en marge de la fête foraine, durant laquelle un jeune Géorgien avait été poignardé. Là encore, un algérien bénéficiant du régime des « Mineurs Isolés Etrangers » – et donc aidé par le conseil départemental d’Ille et Vilaine – a été mis en examen pour « violences volontaires avec arme et en réunion » et placé en détention provisoire.
 
 
 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Etre chrétien en Tunisie

 

 

Ce n'est pas une chose facile dans un pays musulman à 99% où, pour être chrétien, il faut s'accrocher. Un article lu dans Jeune Afrique :

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"La Tunisie s’enorgueillit d’avoir inscrit la liberté de conscience et de culte dans sa loi fondamentale mais ses ressortissants récemment convertis au christianisme n’en sont pas moins placés au ban de la société.[...]

Début décembre, l’interpellation de neuf jeunes chrétiens, dont trois Tunisiens, à Gafsa (Sud), par des agents de lutte anti-terroriste leur reprochant leur conversion et les menaçant de poursuites s’ils ne renonçaient pas à leur foi, a fait grand bruit.

Une liberté cachée

« Nous avons craint les salafistes mais c’est les représentants de l’ordre, qui devraient faire respecter la liberté de conscience, qui sont les plus retors et estiment que nous sommes suspects », confie Anes, 23 ans, devenu chrétien en 2013. Comme lui, ils sont une vingtaine à se retrouver discrètement tous les samedis en début d’après midi à l’église réformiste de Tunis pour une cérémonie où les textes et les chants en arabe et en dialectal rappellent les rituels en Égypte ou au Liban.

Ils se retrouvent parfois chez les uns et les autres pour des lectures de la Bible et s’apprêtent à fêter Noël sans ostentation. Les nouveaux convertis, généralement jeunes et en lien avec les églises évangéliques, seraient près d’un millier sur le territoire à avoir rejoint les rangs des quelques 20 000 chrétiens, essentiellement étrangers, installés en Tunisie. Une situation qui ne changera rien à une Tunisie à 99 % musulmane, où seule une dizaine de mariages chrétiens sont célébrés chaque année…

Tous les convertis affirment avoir embrassé la foi chrétienne par conviction et y être venus après avoir reçu des signes et des révélations ou simplement par attrait pour la parole du Christ. « Je n’ai rien contre l’islam mais j’apprécie dans le catholicisme une démarche totalement individuelle et la quête du pardon », précise Amel, qui vient régulièrement prier à l’église réformiste de Tunis sans pour autant avoir franchi le cap de la conversion.


« Ma foi est plus forte que les railleries »


Dans tous les cas, les églises catholique et évangélique ne font pas de prosélytisme, comme cela leur est interdit depuis 1964. « Quand quelqu’un rentre pour assister à une messe, personne ne le renvoie », note simplement Hiba, qui montre les piles de bibles en arabe mises à disposition des visiteurs.[...]

Depuis la chute de l’ancien régime, qui exerçait un strict contrôle sur les lieux de culte, et sous l’effet des libertés acquises mais également de l’émergence du conservatisme religieux, de plus en plus de Tunisiens se renseignent sur la foi chrétienne. Si le baptême est plus ou moins rapide chez les protestants évangéliques, il peut prendre 4 à 5 ans de préparation chez les catholiques. Une manière de tester la sincérité des futures ouailles ?

De fait, certains convertis semblent sensibles à des avantages assez peu spirituels. Il y a par exemple l’aide matérielle offerte par la communauté évangélique. Quant au pasteur William Brown et au père Jean Fontaine, ils s’accordent tous deux sur le fait que beaucoup deviennent chrétiens pour obtenir des visas plus facilement, en prétextant brimades ou vexations de leur entourage. Entre la foi et la mauvaise foi… il n’y a parfois qu’un pas."

Source 

En Sardaigne, on évacue les hôpitaux pour soigner les migrants

 

 
Les Sardes n'ont plus qu'à bien se porter ou aller se faire soigner ailleurs. Lu ici :
BateauDiciotti
"Cagliari en Sardaigne, le mercredi 13 décembre 2016. Les directeurs de hôpital "San Giovanni di Dio" et de la polyclinique "Casula" de Monserrato ont reçu une circulaire "choc" provenant de la direction des hôpitaux de Cagliari dont le président est Giuseppe Ortu. 

L’objet de cette circulaire est de faire bloquer toutes les admissions déjà programmées et de renvoyer chez eux tous les patients qui peuvent être démis, afin de pouvoir faire face à une éventuelle urgence. 


Quelle est cette urgence ?


Ce même jour, 13 décembre, le navire le "Diciotti", entre dans le port de Cagliari en Sardaigne, chargé de 858 migrants. 818 d’entre eux sont des hommes, 40 sont des femmes et des mineurs. 6 cadavres de femmes complètent le chargement.

Ces clandestins récupérés sur des canots à moteur le long des côtes de la Libye et ont été pris en charge au cours de différentes opérations et portés en Sardaigne. 
Quant aux patients sardes, de série B, hospitalisés pour un motif, - autrement ils ne seraient pas à l’hôpital - et ceux qui parfois attendaient depuis des mois de subir un examen de contrôle ou une visite par un spécialiste, devront rentrer chez eux en attendant une nouvelle et hypothétique convocation.

L’ex président de la région sarde, Mauro Pili, commente scandalisé : « Il s’agit d’une communication imposée par les services responsables de la santé du gouvernement de la Région, qui en arrivent à planifier l’évacuation des hôpitaux. C’est une situation de folie dans la gestion de l’immigration. Mais qu’est-ce que la « machine » de l’accueil est en train de programmer, et à quoi pense le ministre chargé de la santé en Sardaigne, au de-là du renvoi des patients pour faire de la place, pour ce qui ressemble à une urgence jamais vue à ce jour ? »
CirculaireCagliair

Inquiétudes après l'incendie d'une mosquée

L'acte criminel visant le lieu de culte à Château-Thierry ne fait aucun doute.

Cinq départs de feu,au moins, ont déjà été relevés. Peut-être d'autres sont encore à découvrir. C'est bien un incendie criminel qui a ravagé une salle de prière à Château-Thierry (Aisne) dans la nuit de vendredi à samedi.

L'établissement discret, sans signe extérieur religieux et installé dans un pavillon de la ville depuis le début des années 1980, n'avait jamais fait l'objet de menaces ou de dégradations jusqu'à présent. Un acte intentionnel qui inquiète, dans un département où des groupes d'extrême droite organisés ont fait souche de longue date et ne font pas mystères de leurs intentions de « nettoyer » le département dans leur propagande. Mais pour l'instant, rien ne permet de trouver les incendiaires.

C'est dans la salle de prière réservée aux femmes que l'incendie a commencé. Des livres pieux mais aussi des Coran ont servi d'allume-feu tandis que d'autres ont été visiblement arrosés de Javel. Un acte qui n'est pas innocent pour les enquêteurs.

Les incendiaires ont commis d'autres dégradations, notamment dans la cuisine de la salle de prière dont l'évier a été bouché intentionnellement sans oublier les dégâts dans des salles d'eau attenantes et les sanitaires. C'est là que la police scientifique concentrait ses efforts pour retrouver des indices ou des traces biologiques permettant d'identifier les auteurs et déterminer les causes de l'incendie, qui n'a fait jusqu'à présent l'objet d'aucune revendication. Les auteurs connaissaient visiblement cette salle située très à l'écart du centre-ville. Une certitude pour le parquet de Soissons : « L'acte criminel est clair » car il y a bien au moins cinq départs de feu à des endroits éloignés de sources de chaleur électriques.
 

Une enquête de flagrance a été ouverte hier et confiée au commissariat de Château-Thierry. L'association culturelle marocaine qui gère cette salle de prière, située entre le quartier des bords de Marne et le quartier des Vaucrises, a assuré n'avoir reçu aucune menace et ne pas avoir subi d'acte d'intimidation ces derniers temps. Ce que le parquet de Soissons a confirmé. Le ministre de l'Intérieur, Bruno Le Roux, a condamné hier « ces actes intolérables et criminels » car « ils portent atteinte au pacte républicain et au vivre-ensemble auquel nous sommes attachés ».

Quant au député-maire de la ville de Château-Thierry, Jacques Krabal (PRG), il estime qu'il « est essentiel de ne tirer aucune conclusion hâtive face à ces agissements » et qu'il « n'existe aucune difficulté entre les pratiquants de tel ou tel culte ou avec les non-croyants » avant de renouveler « sa solidarité envers la communauté musulmane ».

Jean-marc Ducos

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Fusillade en Jordanie : 10 morts dont une touriste canadienne, une trentaine de blessés

Sept policiers et deux civils jordaniens, ainsi qu’une touriste canadienne, ont été tués, dimanche après-midi, lors d’une intense fusillade à Karak, une localité touristique située à l’est de la Mer morte, tandis qu’une trentaine d’autres personnes ont été blessées.


Les circonstances sont encore peu claires. Selon les autorités, un accrochage aurait eu lieu entre des hommes armés et la police en dehors de la ville de Karak. Ils auraient alors fuit vers le centre-ville et trouvé refuge dans le chateau.

A ce moment là des touristes sont pris au piège dans la citadelle médiévale. Une source de sécurité a indiqué que des gens s‘étaient retrouvés piégés dans un des premiers niveaux de la forteresse quand les hommes armés y ont trouvé refuge mais a démenti des informations de presse selon lesquelles ils avaient été pris en otage.

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Lutte contre l' « islamophobie » ou consignes de vote ?

Lutte contre l' « islamophobie » ou consignes de vote ?

 
Le 18 décembre 2016 a eu lieu à la Bourse du Travail de Saint Denis la « Conférence Internationale contre l'islamophobie ».
Le discours général concernait la stratégie d'alliance entre associations, syndicats et partis politiques à l'approche des présidentielles en 2017, ainsi que des consignes de vote plus ou moins déguisées. Certains candidats, comme Manuel Valls, ont fait l'objet d'un bashing particulièrement virulent de la part des conférenciers.


Philippe Marlière, militant du mouvement Ensemble ! du Front de Gauche participait à la table ronde animée par Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République : « l'islamophobie au cœur de la campagne présidentielle ». Il a affirmé que « s'il y a un communautarisme en France, il s'agit du néo-républicanisme laïciste, au cœur du champ politique actuel ». Un vocabulaire tout droit sorti de la droite cléricale du début du 20ème siècle. Pour lui, « l'islamophobie est un écran de fumée politique utilisé pour masquer l'échec patent [de nos politiques] sur les questions politiques et sociales ». Cette rhétorique complotiste, partagée par le CCIF, consistant à faire croire que le gouvernement français fomente et met en place des polémiques autour de l'Islam est contredite par les faits. S'il est indéniable qu'une certaine partie de la droite ou l'extrême-droite veut centrer leur campagne de 2017 autour de questions « identitaires » et souhaiteraient un retour des « valeurs chrétiennes », les récentes polémiques autour de l'Islam n'ont rien à voir et sont pas le fruit d'un complot du gouvernement. L'affaire du burkini d'août 2016, citée lors de la conférence, a d'abord explosé sur les réseaux sociaux, avant que quelques maires de droite ne souhaitent légiférer et que le gouvernement ne s'exprime. Philippe Marlière a ensuite directement plaidé pour « la mise en place d’accommodements » à la laïcité, qui différeraient en fonction des personnes, « comme pour les prestations sociales ».
Stéphane Lavignotte, pasteur protestant de Saint Denis, est intervenu lors d'une table ronde au nom du « christianisme social ». Il s'est dit militant au sein d' « un mouvement du Front de Gauche » (qui est en réalité Ensemble! comme Philippe Marlière) et espère également que Philippe Poutou et Yannick Jadot auront assez de signatures pour se présenter en 2017. Il se plaint de ne pas assez entendre Tariq Ramadan s'exprimer en France et ajoute :
« il y en a assez de la diabolisation des intellectuels qui font du bien à la France comme Ramadan ! ».
Un lobbying en faveur du prédicateur intégriste controversé qu'il poursuit depuis plusieurs années. Stéphane Lavignotte, s'est aussi se dit « fier d'avoir témoigné en faveur d'Houria Bouteldja » lors de son dernier procès.


Ismahane Chouder a été la troisième intervenante. Représentante de l'association Participation et Spiritualité Musulmane (PSM), déjà épinglée pour ses liens avec le parti islamiste marocain Al Adl Wal Ihsane et le Cheikh Abdessalam Yassine, elle est également présidente du Collectif Féministe Pour l'Egalité. Fait étonnant, il se trouve dans la salle quelques porte-parole ou militantes d'associations LGBT visiblement fascinées qui n'hésitent pas à applaudir Ismahane Chouder, alors que Participation et Spiritualité Musulmane avait rejoint La Manif Pour Tous dès ses debuts... Ismahane Chouder a listé lors de la conférence « quatre figures emblématiques de l'Islam lorsque l'on parle des musulmans » qui seraient : les terroristes, les radicalisés, les réfugiés et les controverses (voile, halal, prières de rue). Evoquer ces sujets de société, qui peuvent interpeller chaque français en tant que citoyen serait donc... islamophobe. Ismahane Chouder a notamment affirmé que lorsque l'on dit « il faut lutter contre les djihadistes », cela veut dire lutter contre... les « musulmans ». Elle charge alors Manuel Valls, François Hollande ou encore Laurence Rossignol.
Olivier Besancenot a envoyé un message qu'Omar Slaouti (membre du Collectif Ali Ziri et tête de liste du NPA) lit au public. Il a dit « regretter de ne pas être présent à cette initiative essentielle » et parle d'un « imprévu personnel ». Olivier Besancenot affirme également de façon conspirationniste qu' « avec l'islamophobie, la classe dirigeante a trouvé comment diviser la classe ouvrière, en instrumentalisant de manière sordide les attentats, et une situation internationale dont elle est largement responsable ». Pour Omar Slaouti, il est légitime de s'opposer aux institutions comme les « institutions européennes » : les jeunes « se méfient de manière rationnelle aux institutions, ce qui explique le Brexit ». Pour lui, cela « se traduit sous le gouvernement Valls (…) par l'utilisation de leviers pour centrer le discours autour de l'islamophobie, de la haine de l'autre (…) et pour pouvoir mener des guerres à l'extérieur ». L'état d'urgence est présenté comme « une arme de destruction massive pour les musulmans ».
La dernière table ronde s'intitulait « face à la répression de l'antiracisme politique et du mouvement social, quelles perspectives ? ». Thomas Coutrot, porte-parole d'Attac, a félicité Houria Bouteldja pour son « excellent bouquin » à propos de son dernier ouvrage Les Blancs, les Juifs et Nous. Ce livre a pourtant été largement critiqué pour ses injonctions sexistes envers les femmes ou les sœurs d' « indigènes » : « Il faudra deviner dans la virilité testostéronée du mâle indigène, la part qui résiste à la domination blanche » , pour l'essentialisation « virile et macho » des « indigènes », pour ses propos anti-féministes et identitaires : « j'appartiens à ma famille, à mon clan, à ma race, à mon quartier, à l'islam, à l'Algérie » ou pour ses éloges à l'homophobie de l'ancien président iranien : « Ahmadinejad, mon héros ». Verveine Angeli (syndicaliste) et Pierre Tartakowski (président de la Ligue des Droits de l'Homme) appellent à un rapprochement et à une convergence des luttes entre le syndicat Solidaire, les associations LDH, Attac, CCIF et les autres associations présentes au meeting (PIR, PSM, ALCIR, camp décolonial...). Marwan Muhammad du CCIF appelle le public et les organisations à venir « remplir » les tribunaux pour faire pression sur la justice lorsque le CCIF y est présent.
Sihame Assbague a affirmé elle-aussi que l'état d'urgence cible « les musulmans et les quartiers populaires ». Elle a appellé le public à « refuser le barrage républicain » lors des élections en 2017. Selon elle, l'élection de Donald Trump est due à « la suprématie blanche qui craint le déclin blanc », ce qui expliquerait également le succès de François Fillon à la primaire des Républicains, ou encore le fait que « Manuel Valls puisse vouloir se présenter avec tant d'entrain »...La preuve : ses combats sont « criminalisés », comme la marche de la dignité ou le camp décolonial qui ont été « attaqués de toutes parts », ou la page Facebook du Parti des Indigènes de la République qui est parfois « bloquée par le pouvoir et les organisations antiracistes traditionnelles ». Elle appelle les organisations de gauche à la rejoindre en donnant les conditions pour une alliance : « arrêter de critiquer le terme d'islamophobie », d' « espérer le dévoilement des musulmanes grâce à l'éducation », d' « incriminer les mecs des quartiers populaires », de « refuser le terme de racisme d'état », et de parler de « division et à la racialiation des luttes ».
Finalement, les conférenciers de salle de conférence de la Bourse du Travail de Saint Denis auront certainement réussi en une journée à faire passer à un public d'à peine 300 personnes leurs appels à ne pas voter pour certains candidats. Il paraît que c'est cela, la « lutte contre l'islamophobie » et l' « antiracisme politique ».


Carla Parisi

Programme de la journée du 18 décembre :
9h30 : accueil
Mot de bienvenue de la mairie

10h : L'islamophobie depuis les attentats
Lila Charef (CCIF),
M. Gomès (victime de l'Etat d'urgence),
Stéphane Lavignotte (Pasteur),
Mathieu Lopes (Survie),
Alain Gresh (Orient XXI)

11h30 : De la politique de guerre au rejet des migrants
Houssam El Assimi (collectif La chapelle Debout),
Geneviève Garrigos (ancienne présidente d'Amnesty International), Jean Courtaudière (prêtre à St Denis et membre du service national des relations avec les Musulmans auprès de la conférence des Evêques de France),
Christine Delphy (collectif anti-guerre),
Karine Parrot (Gisti),
Stathis Kouvélakis (universitaire)

Débat avec la salle
14h30 : L'islamophobie au coeur de la campagne présidentielle
Ismahane Chouder (CFPE, PSM),
Omar Slaouti (membre du collectif Ali Ziri),
Amina Damerdji (doctorante),
Philippe Marlière (universitaire)

16h00 : Face à la répression de l'antiracisme politique et du mouvement social : quelles perspectives ?
Marwan Muhammad (CCIF),
Sihame Assebague (Contre-attaques et camp décolonial),
Said Bouamama (FUIQP),
Verveine Angéli (syndicaliste Solidaires),
Meriem Belhadj (Alcir),
Thomas Coutrot (militant altermondialiste),
Pierre Tartakowsky (LDH)

Débat avec la salle
18h30 : Conclusion : Omar Slaouti, Amal Bentounsi (UNPA)


Signataires de l'appel de la conférence :

AFD International,
ATTAC
Association des Marcheurs de 1983
Association Marocaine des Droits Humains section Paris/IDF (AMDH-Paris/IDF)
Association de Lutte Contre l’Islamophobie et les Racismes, Paris 20 ème (ALCIR)
Association des Travailleurs Maghrébins (ATMF)
Association Femmes Plurielles
Association Dell’Arte (Toulouse)
Association Radio Droit de Cité
Autre Maroc
Bruxelles Panthères
CAPJPO-EuroPalestine
Cedetim
Centre d’études postcoloniales de Lyon
Collectif des féministes pour l’Egalité (CFPE)
Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF)
Collectif des Enseignant.es pour l’Abrogation de Loi de 2004 (CEAL)
Collectif des Musulmans de France (CMF)
Collectif “Ni guerres ni état de guerre”
Contre-Attaque(s)
Convergence Citoyenne Ivryenne (CCI)
Coordination nationale Pas sans Nous
Droit à la différence
Ensemble!
Europe solidaire sans frontières (ESSF)
Fondation Frantz Fanon
Français & Musulmans
Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires (FUIQP)
Front Antiraciste Alsacien
Identité Plurielle
Les Indivisibles
International Jewish Antizionist Network (IJAN)
Le 93 au coeur de la République
Mouvement du christianisme social,
MRAP de Saint Denis
NPA
Participation et Spiritualité Musulmane (PSM)
Parti des Indigènes de la République (PIR)
Politique et Islam
Reprenons l’Initiative contre les politiques de racialisation (RI)
Réseau pour une gauche décoloniale
Union Juive Française pour la Paix (UJFP)
Signatures individuelles
Verveine Angeli, syndicaliste
Marie-Hélène Bacqué, professeure des universités
Mounia Benaili, conseillère municipale PG à Juvisy
Boualem Benkhelouf, Maire Adjoint à Aubervilliers
Nadia Ben Moussa, conseiller municipal de Villeneuve St Georges
Mohamed Ben Yakhlef, conseiller municipal de Villeneuve St Georges
Amal Bentounsi (UNPA)
Adda Bekkouche, militant altermondialiste
Olivier Besancenot, NPA
Judith Bernard, enseignante, metteur en scène
Myriam Bouregba, actrice du dialogue islamo chrétien
Antoine Boulangé, enseignant, syndicaliste
Alima Boumediene Thiery, avocate
Marie-Hélène Bourcier, maître de conférences à l’Université Lille 3
Félicien Breton, activiste décolonial
François Brun, NPA
Omar Cheriguene, conseiller municipal de Villeneuve St Georges
Fethi Chouder, Adjoint à la Maire d’Aubervilliers, en charge de la Jeunesse
Françoise Clément, militante altermondialiste
Annick Coupé, militante syndicaliste et associative
Pierre cours-salies, sociologue, membre d’Ensemble !
Thomas Coutrot, économiste, militant associatif
Christine Delphy, féministe
Didier Epsztajn, bloggeur
Éric Hazan, éditeur
Hanane Karimi, doctorante en sociologie, féministe
Pierre Khalfa, militant associatif
Stefan Kipfer, professeur
Stathis Kouvélakis, universitaire
Léopold Lambert, rédacteur en chef de The Funambulist
André Landrain, militant antiraciste, soutien des migrants
Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire
Marie-Thérèse Lenoir, militantes anti-raciste et soutien aux migrants
Didier Lestrade, journaliste
Nathalie Levallois, militante antiraciste, PG Alfortville
Laurent Lévy, militant d’Ensemble
Raphaël Liogier, Professeur des universités, IEP d’Aix-en-Provence
Yasser Louati, Militant des droits humains et libertés publiques
Stella Magliani-Belkacem, directrice éditoriale de la revue Période
Gustave Massiah, militant altermondialiste
Sanchez Maximilien, Conseiller Municipal de Gentilly
Philippe Marlière, politiste et membre d’Ensemble !
Madjid Messaoudene, élu à Saint-Denis en charge de la lutte contre les discriminations et de l’égalité des droits.
François Munier, militant antiraciste
Fatima Mostefaoui, co-présidente de la coordination Pas sans nous Marseille
Kamel Mouhoubi, PG Reims
Martine Platel, militante associative
Christine Poupin, NPA
Tariq Ramadan, professeur
Marguerite Rollinde, militante
Catherine Samary, militante altermondialiste
Brahim Senouci, écrivain et maître de conférence
Patrick Silberstein, éditeur
Isabelle Stengers, philosophe
Catherine Stern, militantes anti-raciste et soutien aux migrants
Pascal Troadec, Adjoint au maire de Grigny (91), Conseiller de l’agglomération Grand Paris Sud
Béatrice Turpin, réalisatrice
Marie-Christine Vergiat, députée européenne, Gauche unitaire européenne
Louis Weber, éditeur
Héla Yousfi, universitaire
Sophie Zafari, syndicaliste
Avec le soutien :
d’Oumma.com

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lundi, 19 décembre 2016

Course-poursuite dans le 1er après un refus de contrôle

 

 
 
L’automobiliste était fortement alcoolisé.

Un automobiliste sans permis et ivre a cherché à semer la police ce samedi matin. L’homme conduisait ivre au volant d’une Renault Clio volée.
Quatre accrochages entre la voiture volée et celle des policiers ont eu lieu pendant la course-poursuite qui a commencé rue Sainte-Catherine vers 8 heures, révèle le Progrès.


Suivi par la BAC, l’homme âgé de 38 ans, qui a près de 80 antécédents, conduisait alors que son permis avait été annulé et que son taux d’alcoolémie s’élevait à 1,37 g/l d’air expiré. L’automobiliste a été placé en garde à vue.

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Réussite du Congrès européen de l’APF à Bruxelles !

 

 

Ce 17 décembre restera comme une réussite complète pour le parti pan-européen Alliance for Peace and Freedom (APF), dont NATION fait partie, et qui devait tenir son Congrès annuel à Bruxelles.

Réussite sur un plan organisationnel puisque malgré certaines manœuvres politiques et des pressions exercées sur la salle prévue pour la réunion, malgré les menaces et les violences d’extrême-gauche, l’APF a pu tenir son Congrès en plein Bruxelles.
 
Réussite sur un plan politique puisque le Congrès fut très positif, qu’il s’est tenu devant une salle comble, que le bilan de l’année a été plébiscité et que la direction a été confirmée dans ses fonctions. De plus, l’APF vient d’accueillir un nouveau membre de poids puisqu’il s’agit du parti slovaque Ľudová strana Naše Slovensko (Parti du Peuple-Notre Slovaquie) qui a récemment obtenu plusieurs élus nationaux aux élections et dont le dirigeant  Marian Kotleba est actuellement gouverneur de province.
 
Réussite sur un plan médiatique puisque la violente et vaine tentative de l’extrême-gauche (attaque des bureaux de l’APF, violences contre la police, destruction de mobilier urbain) d’empêcher le Congrès a eu comme seul résultat que l’essentiel des médias écrits et audio-visuels belges  ont parlé du congrès de l’APF ainsi que de NATION et de ses partenaires. De plus, les gauchistes ont montré leur vrai visage en usant de violences et en commettant des dégradations.
 
Nous allons développer ces informations dans le courant de la semaine mais reconnaissons qu’au moins une analyse de l’extrême-gauche était correcte lorsqu’ils écrivaient « L’APF s’imposera ainsi comme l’une des principales alliances représentante (…) au niveau européen. »
 
Un merci particulier aux militants de NATION qui ont permis d’organiser et de sécuriser le Congrès.

Vues du bien plus paisible congrès de l’APF
 

Mantes-la-Ville : le fichier musulman avait été créé « pour faire réélire la maire PS »

 

 

Julien Constant
 
 L’enquête, menée par les policiers de la PJ de Versailles, sur l’affaire du fichier recensant les musulmans de Mantes-la-Ville est terminée. C’est désormais à la justice de prendre le relais. Le 10 janvier prochain, un responsable d’une association de la ville, Youness Jaddaoui, 36 ans, et trois autres figures de la communauté musulmane locale, âgées de 36 à 66 ans, comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Versailles pour « détournement et collecte de données à caractère personnel ». Il leur est reproché d’avoir tenté de constituer des fichiers répertoriant les musulmans de la commune, dans le but de les inciter à reconduire la maire (PS) Monique Brochot à la tête de la ville, lors des municipales de mars 2014. Sans succès, puisque c’est le candidat FN Cyril Nauth qui l’avait emporté lors de ce scrutin.

Tout avait commencé par une plainte adressée anonymement au parquet de Versailles, dénonçant un fichage des musulmans de la commune par l’ancienne municipalité socialiste. « D’après ce courrier, l’idée était d’établir un fichier afin de préparer les élections municipales de 2014, précise une source proche de l’affaire. Mais en spécifiant la religion des habitants, on tombe dans le fichage ethnique, ce qui est illégal. »

 
Une perquisition avait été réalisée en mai dernier à la mairie de Mantes-la-Ville et les enquêteurs avaient finalement découvert quelques jours plus tard, le fichier intégral dans l’ordinateur portable d’un ex-adjoint de Monique Brochot. Il se présente sous la forme d’un tableau avec une série de noms à consonance maghrébine et africaine. A gauche, un chiffre indique le bureau dans lequel votent ces habitants. A droite, figure un prénom, censé être le référent du bureau de vote concerné.

L’ancienne maire, qui s’est toujours dit « très sereine » dans cette affaire, et ses adjoints, ont tous été mis hors de cause durant l’enquête. Mais ce n’est pas son successeur FN qui est derrière ce fichier, comme elle le laissait entendre : selon les investigations de la PJ, l’initiative venait de membres de la communauté musulmane de Mantes-la-Ville, qui ont été placés en garde à vue.

Youness Jaddaoui, qui figurait (en 16e position) sur la liste Brochot aux municipales de 2014, est passé aux aveux. En garde à vue, il a reconnu qu’il souhaitait créer et utiliser ce fichier « pour faire réélire la candidate PS », car elle s’était engagée à soutenir le projet de construction d’une mosquée sur la ville. Les trois autres personnes renvoyées devant le tribunal ont expliqué qu’elles avaient participé à l’élaboration du fichier.

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A Aussillon dans le Tarn, la future mosquée reste contestée

 

 
Un nouveau lieu de culte musulman doit se construire à Aussillon. Le permis de construire a été validé par le maire il y a quelques sermaines. Un projet que conteste l'opposition l'opposition municipale.
 Laurence Boffet

Il y aura bientôt une nouvelle mosquée à Aussillon, dans le Tarn. Les travaux devraient commencer en mars prochain. La cinquantaine de fidèles qui fréquentent depuis 3 ans un immeuble riverain du futur site auront bientôt un nouveau lieu de culte, une mosquée de 300 m2 avec deux salles de prière et une capacité d'accueil de 200 personnes.  

Le projet, porté par l'association El Badr, doit être financé entièrement par des dons. Il avait déjà suscité la polémique il y a quelques mois, au moment du défrichement du site. A l'époque, les fidèles d'une autre mosquée voisine ne voyaient pas vraiment l'utilité de construire un nouveau lieu de culte, quand certains riverains espéraient au contraire que cette mosquée pourrait redynamiser un ancien quartier industriel laissé en friche. Aujourd'hui, l'opposition municipale continue d'affirmer son désacord alors que le permis de construire a été signé il y a quelques semaines.


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NATION rend hommage à Léopold II à Namur !

 

 
A NATION, contrairement à de nombreux « politiciens du net », on peut organiser plusieurs activités le même jour, y compris des activités majeures.

C’est ainsi qu’alors que les militants bruxellois et du Brabant wallon veillaient au grain à Bruxelles (voir l’article sur le congrès de l’APF ICI !), la dynamique section de NATION Namur organisait un hommage au Roi Léopold II devant la statue érigée à Salzinnes.
L’action avait comme but de répondre aux campagnes lancées par la gauche contre l’œuvre de Léopold II mais aussi pour rappeler toutes les réalisations de ce souverain.

 

Syrie : 3 responsables de l’État islamique tués dans une frappe aérienne

 

 
La coalition internationale luttant contre le groupe Etat islamique a tué trois responsables de l’organisation jihadiste « directement impliqués dans des attentats » hors de la Syrie et « dans le recrutement de combattants étrangers », lors d’une frappe aérienne le 4 décembre à Raqa en Syrie.

Selon le Pentagone, deux de ces responsables, Salah Gourmat et Sammy Djedou, auraient aidé à la préparation des attentats du 13 novembre 2015, à Paris.

Libye: Syrte officiellement libérée de l’EI

 

 
Le chef du gouvernement libyen d’union nationale (GNA), Fayez al-Sarraj a annoncé officiellement ce soir la libération de la ville de Syrte ancien fief libyen de l’organisation Etat islamique (EI), tout en affirmant que la guerre contre le terrorisme en Libye n’était « pas finie ».

« Après huit mois du début des opérations contre l’Etat islamique dans la ville de Syrte, j’annonce officiellement la fin des opérations militaires et la libération de la ville », a déclaré M. Sarraj dans un discours à la télévision, près de deux semaines après l’annonce de la reprise de la ville par des forces loyales au GNA. Le chef du GNA a fait cette annonce à l’occasion du premier l’anniversaire de la signature de l’accord interlibyen parrainé par l’ONU, dont est issu le gouvernement d’union qu’il dirige.

Le 5 décembre, des forces libyennes fidèles au GNA avaient annoncé avoir repris le contrôle total de Syrte, ville côtière située à 450 km à l’est de Tripoli.

Le GNA espère sortir renforcé de la bataille de Syrte au moment où il peine toujours, depuis son installation fin mars à Tripoli, à asseoir son autorité dans un pays dévasté par les conflits depuis la chute de Mouammar Kadhafi en 2011. M. Sarraj reste notamment contesté par le chef militaire des autorités parallèles basées dans l’est du pays, le maréchal Khalifa Haftar.

Dans son discours, le chef du gouvernement d’union a toutefois rendu hommage aux forces loyales à M. Haftar, qui mènent depuis deux ans une guerre contre les groupes jihadistes dans l’est libyen, en saluant « les martyrs et les héros qui ont combattu et combattent le terrorisme à Benghazi », la grande ville de l’est du pays.

« La bataille de Syrte est finie mais la guerre contre le terrorisme en Libye n’est pas finie encore », a averti M. Sarraj, soulignant la nécessité d’unifier les forces militaires dans une seule armée ». L’EI s’était emparé de Syrte en juin 2015 en profitant de l’absence d’Etat en Libye, plongée dans le chaos depuis la chute du dictateur Mouammar Kadhafi en 2011.

Source 

Présidentielle: moins de 30% des Français souhaitent la victoire de Fillon

 

 Moins de trois sondés sur dix (28%) souhaitent la victoire de François Fillon, candidat de la droite, à l’élection présidentielle de 2017, selon un sondage* Ifop pour le Journal du dimanche.

10% des personnes interrogées souhaitent « tout à fait » la victoire du député de Paris, et 18% « plutôt ». Parmi les sympathisants de LR, ils sont 76% à souhaiter cette victoire, contre 17% de ceux du FN et 8% des sympathisants de gauche. À l’inverse, 72% des sondés ne souhaitent pas la victoire dans cinq mois de l’ancien Premier ministre (34% « plutôt pas » et 38% « pas du tout »).
Plus d’un sondé sur deux (55%) pense cependant que François Fillon va l’emporter en mai prochain. 82% des sympathisants de LR, 50% de ceux de la gauche et 45% des sympathisants FN pensent qu’il gagnera.

Par ailleurs, 54% pensent qu’il a la stature d’un président de la République, 47% qu’il est capable de réformer le pays et 46% qu’il tient les engagements qu’il prend. En revanche, ils ne sont que 28% à penser qu’il comprend les problème des gens et ils sont 62% à s’inquiéter de son programme. 

*Sondage réalisé du 14 au 16 décembre en ligne et par téléphone auprès d’un échantillon représentatif de 987 personnes (méthode des quotas).

Source 

Entretien avec le Bernard Plouvier, auteur du livre LE DERANGEMENT DU MONDE

 

 
(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul, publiés sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés.
« Mon objectif est de traiter des trois compagnons maudits de l’être humain :
l’angoisse existentielle, l’ennui et la solitude,
et d’envisager une étude des remèdes, erronés ou bons,
dont l’histoire porte témoignage »
Que signifie le sous-titre de ce livre : « des erreurs et des hommes » ? Est-ce que par hasard vous vous prendriez pour un gourou omniscient ?
Certes non. Je ne prétends nullement au statut de pontife de la philosophie. Quant à l’omniscience, je la laisse bien volontiers aux « politologues », ces curieux spécialistes à la mode, qui développent leur arrogante suffisance en une époque où la politique n’est plus que l’humble servante de l’économie globale.
Mon objectif est de traiter des trois compagnons maudits de l’être humain : l’angoisse existentielle, l’ennui et la solitude, et d’envisager une étude des remèdes, erronés ou bons, dont l’histoire porte témoignage.
Il va pleuvoir des vérités premières ; faut-il tendre nos vastes tabliers pour les récolter ?
Bravo pour la citation de Tristan Bernard, mais le problème mérite mieux qu’une boutade, puisque après tout, chaque être humain un peu dégagé de l’animalité est confronté aux trois facteurs majeurs cités plus haut.
La société de consommation offre en abondance les remèdes ultra-classiques, mais autrefois moins aisément abordables : l’excès de nourriture, la sexualité sous tous ses aspects (qui n’ont rien de bien neuf, car ce n’est pas à un vieux singe, comme l’est collectivement l’humanité, que l’on apprend à grimacer), l’alcool, le tabac, les stupéfiants (et de nombreux commerçants de haschisch sont favorables à sa libre consommation), auxquels la chimie moderne a joint les tranquillisants et les antidépresseurs.
Et les autres remèdes, moins minables, pour lutter contre les démons de l’être humain ?
Ils sont nombreux et ce livre en est une recension, probablement non exhaustive. Une majorité d’humains dotés de sens moral se contentent de trois valeurs fondamentales : honneur, travail et famille… et nul ne peut le leur reprocher ! Certains y joignent une passion pour le sport, qui risque de tourner au narcissisme, ou une activité manuelle, d’utilité pratique souvent évidente.
On peut être tenté par l’aventure collective de la politique. Très vite toutefois, force est de constater que l’idéaliste est une exception dans ce milieu où abondent les vulgaires ambitieux. De façon universelle et à toute époque, ce milieu, si proche de celui des malfrats, a dégagé de forts relents de pourriture.
D’autres individus fort insatisfaits de leur sort ont recours aux féeries de l’imagination pour embellir un quotidien plat, médiocre et parfois ignoble. À notre époque de triomphe des images virtuelles, ces poètes passifs sont à la fête, mais risquent fort de se détacher des réalités de la vie.
L’intellectuel pur calme son angoisse, son ennui, sa solitude en essayant d’appréhender le monde de l’extérieur, soit rationnellement, découvrant un peu tard qu’il n’existe aucune certitude, aucune « vérité » en dehors de la simple arithmétique.
À l’opposé, l’on trouve une majorité d’humains pour se jeter avec passion dans l’irrationnel, assurés qu’ils sont de pénétrer les mystères intimes de l’Univers. Que ce soit par l’entremise d’une religion établie, par de subtiles dissertations métaphysiques concoctées en cénacles ou par des rituels de magie, tous souhaitent en tirer une gratification. On n’évoque l’essence supérieure, imaginée par un cerveau humain plus ou moins pathologique, que dans l’espoir qu’elle s’occupera personnellement, voire préférentiellement du croyant et de ses proches.
Le cerveau humain étant ce qu’il est, toutes ces options ne sont pas dénuées de risque pour l’individu ni pour la collectivité. La conviction, qu’elle soit de nature religieuse, politique ou scientifique débouche presque inévitablement sur le fanatisme et la violence.
Les comportements animaux – et l’homme actuel n’est que l’exemplaire le plus élaboré du monde animal terrestre – étant génétiquement programmés, donc non susceptibles d’éducation ni de rééducation, sauf cas de sainteté dont on voudra bien admettre qu’elle fut toujours et partout une exception, l’humanité refait constamment les mêmes erreurs depuis qu’elle est apparue.
Il est vain d’espérer grand-chose de l’eugénisme, soit la sélection des reproducteurs. Le fils du grand Wolfgang Mozart (et de Constance Weber, nièce de Carl-Maria) ou celui du grand Wagner (petit-fils, par sa mère, de Franz Liszt) furent de très médiocres compositeurs. Et l’on pourrait multiplier les exemples de nullités issues de parents remarquables. À l’inverse, nombre de génies (tels le pape Sylvestre II ou le grandiose Kepler) sont nés dans la fange.
En attendant que notre espèce disparaisse ou mute en surespèce, il n’est pas inutile de réfléchir aux errements des humains pour tenter, chacun pour soi, d’utiliser au mieux ses dons et d’orienter ses pulsions de façon utile à la communauté.
Le dérangement du monde de Bernard Plouvier, Éditions de l’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux », dirigée par Philippe Randa, 582 pages, 37 euros.
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Une mosquée de Château-Thierry victime d’un incendie criminel

 

 
Un incendie a ravagé la salle de prière des femmes de la mosquée du quartier du Patis Saint-Martin à Château-Thierry…

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samedi, 17 décembre 2016

Nouvelle prison dans le Rhône : six terrains choisis par le préfet

 


C'est une liste secrète que le préfet du Rhône doit remettre au gouvernement.

Selon le Progrès, elle contient six emplacements potentiels pour accueillir la future prison du Rhône. Manuel Valls et Bernard Cazeneuve avaient annoncé en octobre leur volonté de construire de nouveaux établissements pénitentiaires partout en France, et notamment un site de 500 places dans la région de Villefranche-sur-Saône. Une décision qui avait pris de court le préfet, mais aussi le maire de Villefranche Bernard Perrut qui avait rappelé qu'il comptait déjà une maison d'arrêt sur sa commune.

Selon nos confrères, Michel Delpuech a donc sélectionné six emplacements dans tout le département. D'où sa décision de ne pas communiquer à ce propos, pour ne pas se mettre à dos les différents maires voire habitants concernés. Il semblerait même que le Rhône puisse échapper au plan gouvernemental, si une solution est trouvée dans un département limitrophe.

Les premières décisions devraient tomber en mars 2017, à l'occasion de la remise du premier rapport d'une commission nommée par le ministère de la Justice.

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