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lundi, 12 décembre 2016
Primaire PS : les étrangers pourront voter
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Saint-Denis : querelles autour de la gestion de la mosquée Tawhid
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« Lycées passoires »: « Nous avons régulièrement des intrusions de personnes armées »
[…] « Actuellement, ce sont de véritables passoires. On rentre par le parking des profs, on saute par-dessus un petit muret, voire on passe par l’entrée principale: c’est open bar. […] Dans mon établissement, nous avons régulièrement des intrusions de personnes armées de bombes lacrymogènes, de battes de baseball, de couteaux, etc. Par exemple, il y a trois jours, des personnes se sont introduites pour causer des troubles dans le lycée. Une professeure a été agressée verbalement et physiquement ». […]
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Des tags racistes retrouvés sur les murs de la grande mosquée de Perpignan
Le nouveau ministre de l'Intérieur a aussitôt réagi. Bruno Le Roux condamne ces actes "odieux et inacceptables".
Les inscriptions ont été effacées, une plainte bientôt déposée
"Tous les moyens seront mis en œuvre pour retrouver les auteurs" précise le ministre de l'intérieur.
En janvier dernier , la mosquée de Perpignan, a déjà subi des dégradations. Les pattes et la tête d'un sanglier avaient été jetés dans l'enceinte de la grande mosquée. Des tags, notamment le mot "dehors" avaient été inscrits sur les murs.
Le préfet du département, Philippe Vignes, s'est rendu sur place samedi matin "afin de témoigner de la solidarité du gouvernement à l'ensemble de la confession musulmane"
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"Le FN baisse quand il parle de la Banque centrale européenne. Il augmente quand il parle de Mohamed Merah"
"Si Marine Le Pen a recadré sa nièce sur l'IVG, sa ligne identitaire reprend le dessus sur celle, plus souverainiste, du numéro 2 du parti."
"L'immigration n'est pas un sujet qui indiffère le numéro 2 du FN, mais il considère que c'est en sortant de l'Union européenne que la France pourra mieux la contrôler. Contrairement à la députée du Vaucluse, il ne croit pas à la théorie du grand remplacement. Il laisse « les pompes aspirantes » à Jean-Marie Le Pen, dont il a obtenu l'exclusion du parti.
Certes, François Fillon sera la cible des attaques frontistes autant pour son programme de « casse sociale » que pour son « bilan sur l'immigration lorsqu'il était ministre ». D'ailleurs, pour l'historien spécialiste du FN Nicolas Lebourg, la force du FN est de faire « un pack » avec les sujets portés par Philippot et ceux de Marion Maréchal-Le Pen. Cependant, il constate qu'ils n'ont pas le même effet sur l'électorat. « J'ai repris tous les sondages depuis 2012. Le FN baisse quand il parle de la Banque centrale européenne. Il augmente quand il parle de Mohamed Merah. » Un constat qui donne des indications sur la suite de la campagne frontière."
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Marie-Hélène de Lacoste-Lareymondie : Saint Nicolas chassé de la maternelle en Alsace - pressions communautaristes ?
Marie-Hélène de Lacoste-Lareymondie
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Les ONG introduisent-elles des migrants en Europe à une échelle industrielle ?
Depuis deux mois, et à l’aide de marine-traffic.com, GEFIRA observe les mouvements quotidiens de navires appartenant à des ONG (tels que Médecins sans frontières). GEFIRA a ensuite compilé ces mouvements dans une vidéo en mode accéléré. C’est donc une véritable flottille qui fait quotidiennement l’aller-retour entre la Libye et l’Italie afin de « sauver » des migrants qui ne sont, bien souvent, qu’à moins de 10 km de la côte libyenne. Par la suite, ils sont ramenés dans les différents ports de Sicile et d’Italie du Sud, soit un voyage de plus de 400 km. Pourtant, le port de secours le plus proche est en Tunisie, soit un peu plus de 90 km de la « zone de sauvetage de migrants ».
Au total, et au cours des deux derniers mois, ces différentes ONG ont débarqué en Italie un peu moins de 40.000 migrants, soit… l’équivalent de la ville de Chartres !
Toujours selon GEFIRA :
« Sous le prétexte de sauver des gens, les ONG, les passeurs et la mafia sont de mèche avec l’Union européenne afin d’expédier des milliers de clandestins en Europe, tout en étant aidés par la garde côtière italienne qui coordonne leurs activités. »
Quant à l’Union européenne, elle soutient ces actions puisque, le 12 avril 2016, le Parlement européen a adopté une résolution précisant que « les capitaines de navire ou les organisations non gouvernementales qui aident réellement des personnes en détresse en mer ne devraient pas risquer de sanction » (sic).
Ainsi, et en voulant appliquer « les droits de l’homme », c’est au contraire le trafic d’êtres humains que l’Union européenne a réussi à légaliser…
Quant aux ONG, que leurs actions soient motivées de manière bienveillante ou non, il n´en reste pas moins qu´en agissant tel un « aimant pour migrants », elles sont in fine devenues la pierre angulaire de cette traite humaine d’un genre nouveau.
Pensant aider leurs prochains, ces ONG contribuent au contraire à entretenir la déstabilisation de l’Afrique, car elles la dépeuplent de ses forces vives (71 % des migrants sont des hommes). Par ailleurs, et puisque non éligibles au droit d’asile, ces migrants erreront inévitablement dans les rues de Rome, de Paris, de Berlin ou toute autre capitale européenne, accentuant ainsi encore plus les tensions sociales et ethniques qui sont palpables à travers toute l’Europe.
Xavier Scott
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08:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Levée du secret-défense sur les attentats du 13 novembre : trop peu? trop tard ?
Cette fois-ci, ce sont les attentats du 13 novembre 2015, à Paris et à Saint-Denis, qui s’invitent dans le débat. En effet, suite aux demandes des avocats des parties civiles et des magistrats chargés de l’instruction, la Commission consultative du secret de la défense nationale vient de donner son accord à la déclassification de 129 documents sur les centaines concernés par la procédure. Une fois de plus, le faible nombre des documents possiblement déclassifiés (il faut maintenant les accords des ministres de l’Intérieur et de la Défense) ainsi que la longueur du délai nécessaire à cette déclassification (plus de huit mois) font réagir les avocats des victimes.
À vrai dire, ces reproches ne sont pas récents. Depuis l’inscription dans un décret-loi, en 1939, de l’expression « secret de la Défense nationale », cette notion a maintes fois été renforcée, et encore ces dernières années pour ajouter les biens immobiliers à la liste des procédés, écrits, documents, informations, réseaux informatiques, données informatisées ou fichiers, déjà concernés par le secret-défense. Aujourd’hui, trois niveaux de protection se complètent afin d’assurer la préservation de nos intérêts nationaux. Il s’agit du « très secret-défense », du « secret-défense » et du « confidentiel-défense ».
Pour autant, dans le cadre de l’enquête sur les attentats de 2015 actuellement instruite par la justice, les mêmes sempiternelles questions restent posées.
Ainsi en est-il de la pertinence de la classification secret-défense de documents qui, certes, concernent la défense de notre pays. Mais cette classification, de par la lourdeur de la procédure, entrave le bon déroulement de l’action de la justice. Par ailleurs, la mise sous secret de certaines pièces pose toujours la question du « qu’aurait-on à cacher ? »
Ignorant les contenus des documents qui devraient être consultables d’ici quelques jours par la justice, il est difficile de dire aujourd’hui s’ils seront d’une importance primordiale pour les investigations à venir. Permettront-ils de définir les responsabilités des protagonistes impliqués dans les attentats ?
Permettront-ils d’identifier les réseaux et les commanditaires ? Permettront-ils aux victimes, et à leurs familles, sur la base des informations révélées, de connaître enfin la vérité ? Rien n’est moins sûr. Une chose est cependant certaine : du temps aura été perdu.
Olivier Damien
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08:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Migrants en Allemagne : trois petits tours … et puis s’en vont
Confrontée à une courbe démographique en piteux déclin, ne faisant plus assez d’enfants, l’Allemagne a décidé, depuis longtemps déjà, d’adopter ceux des autres ou (ce qui revient au même) d’importer une main-d’œuvre censée être immédiatement opérationnelle. Mais ce choix que d’autres pays européens ont aussi fait, par facilité, par idéalisme et toujours par renoncement, se retourne parfois contre ses auteurs.
La chaîne d’information en continu LCI nous apprenait, le 9 décembre, que de nombreux migrants, accueillis avec tous les égards dus à leur situation, rechignaient à partager le bonheur germanique et repartaient, là d’où ils venaient. En gros, ils sont venus, ils ont vu et cela ne leur a pas plu. Quel affront pour cette Allemagne qui s’était posée en modèle de pays d’accueil, donnant leçons et conseils aux autres nations européennes ! Quel affront pour la chancelière qui, au grand dam de son ministre de l’Intérieur, avait décidé de gérer elle-même le dossier des migrants ! Quel désaveu pour une chancelière qui vient d’être reconduite à la tête de la CDU… certes avec 80 % des votes, ce qui est très en deçà de ses scores antérieurs ; et sans adversaire, de surcroît.
Sur les 900.000 migrants que l’Allemagne a reçus depuis 2015, ils sont quelques milliers seulement à être repartis. Mais le mouvement, selon notre confrère, s’amplifie et, semaine après semaine, les migrants découragés par les lourdes procédures d’accueil, les déçus d’un pays qu’ils « voyaient autrement », les rebutés par l’apprentissage d’une langue compliquée grossissent la liste des candidats au retour. Le rêve des uns et des autres se casse sur la réalité.
Le paradis espéré est devenu un enfer normatif.
Il n’est pas étonnant que la seule immigration qui ait pris en Allemagne soit turque. L’Empire ottoman hier, la Turquie d’aujourd’hui ont, avec l’Allemagne, des relations anciennes et durables, teintées d’impérialisme et d’arrogance. Aux yeux des Allemands, les Turcs, n’étant pas arabes mais musulmans, ont vocation à régenter un Moyen-Orient totalement incontrôlable. Connivence et respect dominent leurs rapports.
Les autres ? Ces Érythréens, ces Afghans, ces Irakiens, ces Africains, que font-ils là ? Qu’ils fuient la guerre ou la misère, ils représentent pour l’Allemand moyen la figure du vaincu, voire tout bonnement celle du pauvre bougre victime de sa paresse ou de ses lâchetés ; en tout cas, l’exemple de quelqu’un qui ne sait pas retrousser ses manches et gagner son pain. Autant d’images, autant de clichés peut-être, qu’il n’est jamais bon d’évoquer devant cette nation allemande traumatisée par son passé, engluée aujourd’hui dans sa mauvaise conscience.
Cette mauvaise conscience qui tend la main à tous les damnés de la terre… pour mieux démontrer ensuite que, décidément, l’immigration a ses limites !
Jean-Paul Charbonneau
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Les étrangers pourront voter à la primaire de la gauche : plus qu’un détail
Il s’agissait même de la proposition n° 50 du candidat Hollande, rendue caduque par la crise migratoire et les attentats terroristes. Comme pour se dédouaner, ils ouvriront les élections primaires de la gauche aux mineurs de 16 ans et aux étrangers, à la condition que ces derniers soient « adhérents aux partis ou organisations de jeunesse des partis organisateurs ».
Bien entendu, ils ne pourront pas voter pour leur champion en mai prochain. D’ailleurs, imaginons que le candidat désigné par les élections primaires de la gauche devienne, par malheur, président de la République ; sera-t-il alors totalement légitime, l’ayant emporté dans son camp grâce à un corps électoral qui n’a pas le droit de vote aux élections ?
Alain Bergounioux, historien socialiste, s’en réjouit :
« En 2011, l’idée était de faire participer les jeunes socialistes qui adhéraient dès 16 ans, même si je conviens qu’ils sont plus rares aujourd’hui. Le parti est en quelque sorte à l’avant-garde de la démocratie : concernant les étrangers, cela paraissait naturel car ça s’inscrivait dans l’idée du droit de vote aux élections locales portée par la gauche. »
En dépit des discours martiaux d’un Manuel Valls, le Parti socialiste reste profondément le parti de l’étranger, le parti de Terra Nova. Ce cas le prouve. En ouvrant les élections primaires de la gauche à des populations étrangères, qui ne voteront donc pas en fonction des intérêts français mais de leurs propres intérêts, les socialistes ouvrent la boîte de Pandore.
Si ce « détail » ne semble pas interpeller les médias et l’opinion, c’est d’abord parce que l’hégémonie culturelle de la gauche a progressivement supprimé les défenses immunitaires du peuple, trop longtemps habitué à tolérer l’inacceptable. Cette décision est grave, très grave. J’espère qu’elle sera lourde de conséquences pour le futur vainqueur des élections primaires de la gauche et que ses adversaires sauront le marteler sur les plateaux de télévision lors du grand combat.
Gabriel Robin
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Toutes les polices aux trousses de Karim Ouali, fan du « Joker » et présumé tueur à la hache
Karim Ouali apparaît ce samedi sur le calendrier de l’Avent « EU most wanted » des criminels les plus recherchés par Europol. Âgé de 40 ans, ce natif du XVIIe arrondissement parisien est accusé d’avoir tué à l’aide d’une hache artisanale – qu’il a lui-même confectionnée – un collègue contrôleur aérien, retrouvé frappé à sept reprises au sein d’une tour de contrôle de l’EuroAirport, le 27 avril 2011 à Saint-Louis (Haut-Rhin).
Diplômé de l’École nationale de l’aviation civile (l’ENAC), ce fort en thème avait commencé sa carrière de contrôleur aérien en région parisienne avant de rejoindre en octobre 2010 l’EuroAirport pour suivre une formation et gravir des échelons. « Peu de temps après son arrivée, son comportement a changé, explique une note de police. Souffrant d’un délire de persécution, il a été mis en arrêt maladie en décembre 2010. »
« Depuis des semaines, il souffrait de graves troubles psychologiques, en particulier un délire de la persécution », précise le commissaire Christophe Foissey, patron de la Brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF).
Présenté comme « très intelligent », Karim Ouali a un signe particulier: sa passion pour le personnage du « Joker », comme en témoignent des écrits mais aussi des cartes à jouer retrouvées à son domicile, où se trouvait par ailleurs encore le badge de la tour de contrôle. Pour brouiller les pistes, il avait laissé sur une table le carton d’emballage d’un téléphone portable qu’il venait d’acheter et il avait ensuite posté l’appareil à un inconnu en Suisse. Les policiers, qui croyaient tenir une piste, ont mis trois jours avant de voir la supercherie. Ensuite, à l’aide de faux papiers, il a circulé sous plusieurs identités d’emprunts avant d’abandonner une voiture sur la commune de Bron, près de Lyon (Rhône). Dans l’habitacle, les policiers ont retrouvé sa «signature»: une carte de jeu du Joker. Depuis lors, le fugitif s’est évaporé.
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Le gouvernement veut prolonger de l’état d’urgence jusqu’au 15 juillet 2017
Le gouvernement va «demander au parlement de reconduire l’état d’urgence pour sept mois supplémentaires, jusqu’au 15 juillet précisément», a déclaré le Premier ministre Bernard Cazeneuve, à l’issue du Conseil.
«Au cours des mois qui sont devant nous, notre pays a un rendez-vous démocratique important avecl’élection présidentielle et les élections législatives du printemps prochain», a-t-il rappelé dans la cour de l’Elysée, entouré des ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, et de la Justice, Jean-Jacques Urvoas.
«Cette période de campagne électorale, qui sera naturellement marquée par de nombreuses réunions publiques et rassemblements, peut aussi constituer malheureusement un contexte de risque d’attentat accru pour ceux qui veulent frapper au coeur nos valeurs démocratiques et nos principes républicains», a mis en garde l’ancien ministre de l’Intérieur. «Il apparaît donc nécessaire aux yeux du gouvernement d’englober la période complète des opérations électorales», a expliqué M. Cazeneuve.
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Allemagne : un parti identitaire demande à des élus municipaux favorables à la construction d’une mosquée de quitter le pays pour l’Afrique
«Si vous n’aimez pas l’Allemagne, vous devriez la quitter», pouvait-on lire sur un des prospectus, «Bon pour un voyage pour l’Afrique pour les défenseurs de l’aliénation [par l’Islam]», sur un autre.
Peter Klockner avance que ces lettres ont probablement été envoyées par le parti d’extrême droite Troisième Voie, qui s’oppose depuis des mois à la construction d’une mosquée dans la ville. Il a qualifié leur geste de «dégoûtant et humiliant», selon l’hebdomadaire allemand Focus.
Les activistes de Troisième voie ont protesté à maintes reprises contre la construction d’une mosquée. Lors de leur dernière manifestation, le 17 novembre, le groupe a distribué des prospectus demandant aux autorités locales de ne pas délivrer le permis nécessaire à sa construction.
La parti assène sur son site internet qu’il ne «s’oppose pas à l’Islam en tant que religion», mais considère «que [l’Islam] n’a pas sa place en Allemagne». Il affirme en outre qu’une mosquée est «un signe supplémentaire de l’aliénation de l’Allemagne».
Selon le magazine, des plaintes ont été déposées par certains membres du conseil, mais aucune enquête n’a été ouverte pour le moment.
Le construction de la mosquée à Hachenbuch est préconisée depuis 2014 par le centre culturel musulman local. L’édifice religieux est source de préoccupation pour les habitants locaux. En juin, quarante résidents des environs du site ont écrit une lettre aux autorités pour demander que soit conservée la neutralité du lieu et que la construction d’un minaret soit interdite.
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dimanche, 11 décembre 2016
Perpignan: tags racistes sur la grande mosquée
Le préfet du département, Philippe Vignes, s'est rendu sur place dans la matinée "afin de témoigner de la solidarité du gouvernement à l'ensemble de nos concitoyens de confession musulmane", selon un communiqué du ministre de l'Intérieur, Bruno Le Roux. "Le racisme et tous ceux qui entendent diviser la communauté nationale n'ont pas leur place au sein de la République, qui respecte toutes les croyances", déclare le ministre. "Tous les moyens seront mis en oeuvre pour retrouver les auteurs de ces actes odieux et inacceptables", conclut-il.
En janvier, la mosquée a déjà subi des dégradations: les pattes et la tête d'un sanglier avaient été jetés dans l'enceinte de la grande mosquée et des tags, notamment le mot "dehors", avaient été inscrits sur les murs.
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Bruno Le Roux plonge dans le bain à remous de «l’islam de France»
La place Beauvau accueillera la troisième réunion de «l’instance de dialogue avec l’islam», lancée en juin 2015 pour élargir et renforcer le débat avec la deuxième religion de France, forte de quatre à cinq millions de fidèles.
Pour mieux lutter contre la radicalisation violente, l’Etat a souhaité dialoguer avec d’autres voix que celles du Conseil français du culte musulman (CFCM). L’institution considérée comme représentative des quelque 2.500 mosquées et salles de prière souffre d’un déficit d’image et d’efficacité depuis sa création en 2003, même si sa légitimité n’est pas remise en cause.
Pour son baptême du feu sur ces sujets, le nouveau ministre de l’Intérieur et des Cultes devrait se glisser dans les pas de son prédécesseur Bernard Cazeneuve, promu à Matignon.
«Je poursuivrai (...) les actions engagées», a prévenu Bruno Le Roux lors de la passation de pouvoirs, en précisant qu’il le ferait avec sa «sensibilité» d’»élu de Seine-Saint-Denis», où vit une importante population musulmane.
Le nouveau ministre héritera de dossiers préparés par son prédécesseur, qui ouvrira cette nouvelle réunion de l’»instance de dialogue» en tant que Premier ministre.
Fraîchement créée, la «Fondation de l’islam de France», présidée par Jean-Pierre Chevènement, qui doit permettre de lever des fonds pour financer des projets éducatifs et culturels, sera au coeur des débats.
Le choix de l’ancien ministre, 77 ans, au profil de républicain très laïque et au verbe parfois rugueux, a d’abord suscité perplexité voire hostilité dans les cercles de l’islam français. Mécontente du sort qui lui était réservé - la présidence-strapontin du «conseil d’orientation» de la fondation -, la puissante Grande mosquée de Paris a menacé de boycotter l’»instance», avant de revoir sa position.
- Contribution sur le halal
Mais la fondation, qui a tenu un premier conseil d’administration jeudi dernier, est sur les rails.
Elle peut compter sur le soutien de plusieurs grandes entreprises comme la SNCF, le groupe Aéroports de Paris et le bailleur social SNI. Et d’un capital issu du transfert de celui de la «Fondation des oeuvres de l’islam», mort-née en 2005 sur fond de dissensions entre fédérations musulmanes: près d’un million d’euros doté par l’industriel Serge Dassault.
Les participants à «l’instance de dialogue», qui représentent toutes les nuances de l’islam sunnite français - salafistes exceptés - se pencheront aussi sur la formation des imams, qui dépend pour l’instant beaucoup de l’étranger.
A côté de l’offre, insuffisante, des instituts français privés de théologie musulmane, et des diplômes universitaires de formation civile et civique désormais proposés par 14 universités, le gouvernement veut développer des cursus d’islamologie de haut niveau.
Prochaine étape, qui peine à prendre forme: la mise sur pied d’une association cultuelle nationale pour financer, sans recourir à des fonds étrangers, des projets en matière religieuse, autour du statut des imams et aumôniers, la construction de mosquées ou la production d’un contre-discours face à la propagande jihadiste.
L’»instance de dialogue» va se pencher sur les ressources potentielles de cette association loi 1905, parmi lesquelles figurent une «contribution volontaire» sur le halal, voire un prélèvement sur les billets du hajj, le grand pèlerinage à La Mecque.
Mais «cette association est l’objet de luttes de pouvoir qui n’augurent rien de bon. Elle ne marchera pas si elle est gérée par des représentants de mosquées, or ils sont dans la place», peste le consultant Hakim El Karoui, porte-parole des signataires d’un «Appel des 41» personnalités de la société civile musulmane bien décidées à entrer dans le jeu.
Pas question cependant de saboter «une initiative qui part d’une bonne idée». «Il y a tellement de choses à faire» pour sortir de «l’islam des consulats» étrangers, plaide-t-il.
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09:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pour un élu mayennais, « L’argent du RSA sert à acheter de l’alcool, de la drogue et à la prostitution »
Des propos tenus par le porte-parole du candidat François Fillon dans le cadre de la campagne des primaires de la droite et du centre qui ont choqué Guillaume Garot, chef de file de l’opposition au conseil départemental.
Pauvrophobie ? ou surenchère pour appâter les électeurs de l’extrême-droite ? Au cours de la session budgétaire du conseil départemental, Guillaume Garot a dénoncé une insulte faite aux plus démunis et a demandé au président Olivier Richefou de condamner ces propos lequel a considéré que ce n’était pas le lieu.
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Tous unis pour l’islamisation des Français…
Fondation de « l’islam de France »
SNCF, Aéroports de Paris, SNI ou encore Dassault : tous ont balancé une fortune et se sont mis au service de cette fameuse « Fondation de l’islam de France », lancée officiellement jeudi, et dont la mission, nous dit-on, serait de « contribuer à mieux faire connaître la religion et la civilisation musulmanes » aux Français. En clair, à les islamiser !
« D’utilité publique » ?
Après la parution mardi au Journal officiel du décret portant création de cette Fondation « reconnue comme établissement d’utilité publique », son premier conseil d’administration s’est ainsi tenu jeudi à l’Assemblée, autour de son président Jean-Pierre Chevènement et de quelques personnalités dites « qualifiées », telles que l’écrivain Tahar Ben Jelloun, le théologien Ghaleb Bencheikh, le recteur de la grande mosquée de Lyon Kamel Kabtane, le cadre supérieur d’entreprise Najoua Arduini-Elatfani ou encore le président du CFCM, Anouar Kbibech.
Succédant à la « Fondation des œuvres de l’islam de France », créée en 2005 mais qui n’a jamais fonctionné en raison de dissensions liées à la rivalité des grandes fédérations musulmanes, cette nouvelle fondation, espère l’Intérieur, devrait contribuer « à faire émerger un islam de France pleinement inséré dans la République et à lui donner une visibilité accrue auprès du grand public ». Et c’est à cette fin qu’elle sera « appelée à soutenir des projets à caractère culturel, social ou éducatif », tels que la « recherche universitaire en islamologie » et la « formation profane des imams ». Sans oublier, bien sûr, « des initiatives en faveur de la jeunesse »…
Avec la complicité du Capital
En clair, sous couvert de lutte contre la « radicalisation », le gouvernement vient de mettre en place une vaste entreprise d’islamisation de nos compatriotes. Et cela, bien sûr, avec la complicité des grandes entreprises que sont la SNCF, Aéroports de Paris, SNI ou encore Dassault, qui a déjà versé près d’un million d’euros à la Fondation !
Et ce n’est pas fini. Car, comme le confiait un proche du dossier, si « d’autres entreprises, publiques ou privées, n’ont pas souhaité s’engager lors de la création de la fondation », celles-ci cependant « se sont dites prêtes à financer des projets spécifiques ».
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10 ans de prison pour le buraliste du Tarn qui avait tué un cambrioleur
La décision, prononcée après 5 heures 30 de délibéré, a entraîné une vague d’émotion et de colère chez la famille de Luc Fournié, alors que des pleurs résonnaient du côté des proches de la victime. L’accusé, qui comparaissait libre, a semblé assommé.
Mise en place d’un « stratagème » par Luc Fournié
Dans son verdict, la cour a écarté la légitime défense, jugeant qu’il y avait une « totale disproportion » dans la riposte de Luc Fournié, avec notamment la mise en place, au cours des jours précédents, d’un « stratagème afin de pouvoir tirer sur tout intrus qui entrerait ».
Jugeant le verdict « absolument aberrant, incompréhensible », Me Georges Catala, avocat de la défense, a indiqué son intention de se pourvoir en cassation. La cour a « refusé ce glissement dangereux de la légitime défense à l’autodéfense, que la force l’emporte sur le droit », s’est au contraire félicité Me Simon Cohen, avocat des parties civiles.
Dans son réquisitoire, l’avocat général avait exclu la légitime défense mais en requérant « cinq ans d’emprisonnement, en n’excluant pas l’octroi du sursis simple pour une partie, voire pour la totalité de la peine ». Il avait demandé aux jurés de retenir une peine « proportionnée, juste, équitable et socialement utile ».
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Mosquée de Villiers : un mois après la fermeture, les musulmans n’ont toujours pas de lieu de culte
Le 2 novembre dernier, Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’Intérieur, fait fermer administrativement la mosquée El Islah de Villiers. Dans l’arrêté préfectoral toujours placardé sur la porte, on peut lire qu’elle est un « lieu de référence influent de la mouvance salafiste, représentant par son fonctionnement et sa fréquentation, une menace grave pour la sécurité et l’ordre public ». L’Etat l’accuse également d’avoir permis à des djihadistes de se retrouver et d’avoir hébergé une école coranique. Quoiqu’il en soit, les quelques 800 fidèles de la mosquée ont dû s’organiser. « Certains vont à Bry, d’autres à Champigny… Mais tous me demandent de faire quelque chose », poursuit le président de la mosquée. Dans l’optique de créer un nouveau lieu où la communauté pourrait se réunir, Ali Oumari a trouvé un terrain, mais attend de pouvoir acheter un barnum. « Ils ont aussi un problème de nivellement du terrain à régler », précise le maire (LR), Jacques Alain Bénisti. Lors de la fermeture, ce dernier avait promis de ne pas laisser la communauté à la rue et de lui trouver un barnum, tout en précisant que sauf pour une fête exceptionnelle, il refusait de prêter un local pour une cérémonie religieuse.
Les musulmans de Villiers eux, préfèrent rester loin des querelles, inquiets qu’on puisse leur reprocher leur comportement. « Tout le monde aimerait que ça aille mieux, dit l’un d’eux. Mais on ne fera pas n’importe quoi ».
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L’Allemagne voudrait-elle organiser la « remigration » ?
Depuis lors, l’impopularité de cette fille de pasteur ne cesse de croître. Par son inconscience, elle a donné un signal à tous les candidats à l’exil, aussi nombreux que pressés. Toutefois, les élections approchant et l’Alternative für Deutschland menaçant le pouvoir conservateur en ne cédant pas au chantage moral que lui font subir médias et classe politique, Angela Merkel ne peut que revoir sa copie, non par conviction mais par opportunisme. C’est ainsi qu’après avoir pratiqué l’accueil illimité, le gouvernement allemand se trouve désormais dans l’obligation de lancer un programme de 150 millions d’euros destiné à l’aide au retour, concernant principalement les « demandeurs d’asile » déboutés mais aussi les oiseaux rares qui entendent tout simplement retourner dans leur pays.
L’Allemagne pourrait donc lancer la première vague de « remigration ».
Enfin, une « remigration » animée par des principes utopiques. Gerd Müller, ministre du Développement (à ne pas confondre avec son célèbre homonyme champion de football), a indiqué au quotidien régional Augsburger Allgemeine que ce fonds serait l’occasion d’offrir un « nouveau départ » aux em> »migrants venus d’Irak ou d’Afghanistan », lesquels recevraient, pour les y aider, « de l’éducation, une formation, des emplois et des aides »…
Seule une politique de fermeté absolue, à la manière de ce qui est pratiqué par la grande démocratie qu’est l’Australie, sera à même de répondre à la crise migratoire ou, devrais-je dire, à la crise démographique que nous vivons. Dans cette perspective, une alliance stratégique avec les pays du Maghreb, confrontés aux mêmes problèmes, pourrait être envisagée. Leurs frontières sont régulièrement franchies de force par des migrants subsahariens, tant parce que la vie y est un peu moins rude que chez eux que dans l’espoir de pouvoir par la suite aller en Europe.
Dernièrement, les nouveaux Montaigne défonçaient la frontière hispano-marocaine. Rien ne saurait les retenir. Sévir ou subir ? Il faudra choisir.
Gabriel Robin
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En route pour le Grand Remplacement : nos sociétés refusent la fertilité !
La question de la liberté d’expression – dans le cas du projet de loi français sur le délit d’entrave à l’IVG – revient hanter tous les patriotes qui se mobilisent contre la pensée unique. En effet, une fois le débat sur l’IVG confisqué, l’oligarchie en place pourra légiférer sur le droit de discuter de l’immigration, des frontières ou du mariage. La gauche caviar perd, manifestement, les pédales à l’heure où elle risque d’être remerciée de ses services par le peuple.
Chez nous, au Québec, il est malaisé de traiter d’un sujet aussi controversé que l’IVG et, bien que nos lois soient moins liberticides que celles qui prévalent chez vous, plusieurs officines de la rectitude politique veillent au grain. C’est tout de même cocasse de profiter de la controverse qui entoure le nouveau projet de loi français pour venir s’épancher sur le sujet en profitant de l’hospitalité d’un site de réinformation comme le vôtre. On se sent, littéralement, entre l’arbre et l’écorce !
La natalité est en baisse au Québec, comme en France, et l’augmentation incessante des ratios d’immigrants fait en sorte d’accélérer un phénomène que certains qualifient de « Grand Remplacement » chez vous. Plus de 50.000 immigrants déferlent, année après année, sur le Québec et les oligarques aux manettes aimeraient hausser la cadence jusqu’à atteindre le nombre fatidique de 75.000 nouveaux venus. On parle d’une véritable déferlante migratoire alors que la population totale du Québec avoisine les 8 millions d’âmes. Les Québécois tentent, bon an mal an, d’absorber un ratio d’immigrants deux fois plus élevé que chez leurs cousins français. Et il faut ajouter à ce tableau l’incontournable réalité des IVG qui dépassent le cap des 25.000 cas recensés chaque année.
Une donne qui est biaisée depuis que la loi n’oblige plus les praticiens à émettre une déclaration en bonne et due forme. La société du spectacle impose ses dogmes et ceux ou celles qui refusent de s’y soumettre s’exposent à en payer le prix. Prônant d’accessoires droits de la personne, asservis à la libre circulation du capital, la nouvelle inquisition libérale-libertaire mousse des plans qui sont manifestement destinés à dissoudre tout ce qui fondait la famille, socle de notre civilisation. Nos censeurs réclament l’ouverture des frontières à une immigration croissante et interdisent, d’office, tous les mouvements citoyens qui ambitionnent de défendre la famille. Voyez-vous, la famille, contrairement aux images d’Épinal véhiculées par la gauche institutionnelle, n’est pas une institution bourgeoise. Il s’agit de la fondation sur laquelle nous avons bâti nos sociétés depuis la nuit des temps. Il est peut-être temps que les hommes et les femmes se questionnent sur leur rapport avec une sexualité qui s’apparente, de plus en plus, à une fuite en avant.
L’IVG ne doit pas devenir une forme de contraception comme une autre. Notre société décervelée aurait besoin d’un temps d’arrêt pour que les hommes et les femmes puissent réapprendre à s’aimer. Puisque l’amour possède ses propres saisons qu’il importe de respecter, comme l’agriculture ou le temps de la chasse. Sans pour autant rejeter les méthodes contraceptives qui existent, il serait sage que la femme apprivoise les cycles qui fondent son bios. Et que l’homme sorte de sa léthargie libidinale ! Mais nous sommes loin de la coupe aux lèvres. Débattre de l’avortement ne consiste pas à vouloir l’interdire ou en faire la promotion, mais devrait plutôt, dans une société saine d’esprit, nous aider à prendre conscience de cette infertilité qui fonde nos rapports trop souvent égoïstes.
Patrice-Hans Perrier
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La France une terre d’islam ? Philippe de Villiers : Les cloches sonneront elles encore demain ?
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Immigration: Près de 400 personnes forcent la frontière Maroc-Espagne à Ceuta
Les migrants ont réussi à forcer les portes en deux points de la barrière de six mètres de haut entourant l’enclave, a précisé à l’AFP un porte-parole de la préfecture.
Les images publiées par le journal local El Faro de Ceuta sur son site montrent des dizaines de migrants euphoriques, certains torse nu ou pieds nus, criant « España! ».
Selon le ministre de l’Intérieur Juan Ignacio Zoido, en déplacement à Bruxelles, près 20% d’entre eux n’étaient pas encore localisés en début de matinée.
« Il faut remonter au début des années 2000 pour atteindre ce genre de chiffres », a déclaré à l’AFP un porte-parole de la préfecture.
Le secrétaire d’Etat à la Sécurité, José Antonio Nieto, a d’ailleurs annoncé un déplacement dans l’enclave à la mi-journée.
La Croix-Rouge affirme avoir soigné 103 migrants, dont 25 ont été transférés à l’hôpital pour des blessures sans gravité lors de l’assaut, essentiellement des points de suture.
Selon les images tournées par El Faro, certains semblent blessés, victimes d’écorchures aux pieds ou à la tête, et d’autres étaient encore en début de matinée perchés en haut de la double clôture.
La dernière entrée massive remonte au 31 octobre, quand près de 220 migrants avaient franchi deux portes d’accès de la barrière de Ceuta lors d’un « assaut » similaire qui avait fait 35 blessés dont trois gardes civils.
L’objectif des migrants, sans-papiers pour la plupart, est de se rendre au centre de séjour temporaire pour étrangers (CETI), où ils doivent en principe avoir la possibilité de présenter une demande d’asile.
Des organisations de défense des droits de l’Homme épinglent régulièrement l’Espagne pour le traitement réservé aux migrants dans les enclaves de Ceuta et Melilla, les deux seules frontières terrestres de l’Union européenne avec l’Afrique.
En novembre, Amnesty International a qualifié ces villes de « territoires de non-droit », dénonçant notamment des violences policières des deux côtés de la frontière et des refoulements illégaux de demandeurs d’asile entrés en territoire espagnol.
Karifa Zoumanigui
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samedi, 10 décembre 2016
Immigration clandestine. Un réseau démantelé, 8 arrestations en France
Europol a annoncé ce vendredi avoir démantelé un réseau de passeurs de migrants somaliens. Neuf personnes ont été arrêtées, dont huit en France.
Arrêtées à Strasbourg et écrouées l’une jeudi, l’autre vendredi, ces deux personnes, qui nient les faits, vivent en France depuis plusieurs années, en situation régulière, a-t-il ajouté.
Utilisation de faux papiers
« L’instigateur du réseau, arrêté aux Pays-Bas », devrait également être entendu à Nancy, a précisé M. Fohlen.Les policiers de l’office central pour la répression de l’immigration irrégulière (Ocriest) ont été saisis.
Selon un communiqué d’Europol, « ce réseau criminel, composé de Somaliens résidant pour la plupart en France et en Italie, a fait passer clandestinement des migrants somaliens de l’Italie vers d’autres pays, dont la Belgique, les Pays-Bas, la France, l’Allemagne et d’autres pays du Nord ».
Si certaines personnes étaient emmenées depuis l’Italie « en voiture, en train ou en car, d’autres venaient directement d’Afrique vers l’Europe par avion, en passant par l’Asie, et en utilisant de faux papiers », poursuit le communiqué.
Des mandats européens
Le démantèlement du réseau fait suite à « un long travail d’enquête » des autorités italiennes, souligne encore Europol, et à une coopération efficace entre les services des différents pays, qui a permis l’exécution de mandats d’arrêts européens menant à l’arrestation « de l’un des principaux suspects » aux Pays-Bas.
En France, où une enquête est ouverte depuis un peu plus d’un an à Nancy sur cette affaire, ce sont notamment des écoutes qui ont permis d’identifier à Strasbourg « plusieurs logisticiens du réseau ».
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Allemagne : un membre de Pegida arrêté après un attentat contre une mosquée
Le suspect, Nino K., s'était fait remarquer à l'été 2015 en dénonçant publiquement les «étrangers criminels», lors d'un rassemblement du mouvement islamophobe Pegida.
Placé en détention, Nino K., 30 ans, est connu pour avoir été l'un des orateurs du mouvement islamophobe Pegida lors d'un rassemblement organisé à Dresde à l'été 2015, a annoncé la police. Il y avait invectivé la foule en dénonçant les «étrangers criminels» et «les Africains feignants», comme on peut le voir dans cette vidéo YouTube (en allemand).
Nino K. est soupçonné d'avoir fait exploser une bombe le 29 septembre au soir devant la porte d'entrée d'une mosquée turque située près de la gare de Dresde, sans faire de victime, quelques jours avant la fête nationale. L'attentat avait suscité un vif émoi, d'autant que l'imam, son épouse et leurs deux enfants se trouvaient alors dans l'édifice.
Les enquêteurs l'accusent en outre d'avoir fait exploser, le même soir, un engin artisanal sur la terrasse d'un centre de congrès de la capitale de la Saxe.
Son domicile perquisitionné
Le suspect a été interpellé jeudi en Hesse, dans le centre du pays, sur un chantier de construction qui l'emploie, et deux perquisitions menées chez lui et sur son lieu de travail ont permis de retrouver du matériel pouvant servir à la fabrication d'explosifs, a précisé Wolfgang Klein, porte-parole du procureur général de Dresde.
Selon le parquet, «aucun élément» n'indique pour l'instant qu'il ait pu «appartenir à un groupe», et la piste d'un «homme agissant seul» est pour l'heure privilégiée.
Dresde, «capitale» de l'islamophobie allemande
Dresde avait accueilli le 3 octobre les cérémonies annuelles marquant le 26e anniversaire de la Réunification allemande en présence notamment de la chancelière Angela Merkel et du président Joachim Gauck. Mme Merkel avait été sifflée et prise à partie par une foule mécontente et virulente.
Dresde, ville de plus de 500 000 habitants dans l'ancienne RDA communiste, est devenue depuis deux ans le théâtre de manifestations anti-islam et antiréfugiés du mouvement Pegida alors que la population étrangère y est peu nombreuse.
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Valls: "horreur" sur le refus de scolariser des étrangers
"C'est une horreur ce que dit Marine Le Pen. Ce n'est pas uniquement que c'est contraire à notre constitution, c'est une vision de la société", a déclaré l'ancien Premier ministre (PS) au micro de BFMTV/RMC.
"Le projet de Marine Le Pen et de l'extrême droite, c'est l'affrontement entre les citoyens. J'en ai assez de tous ces discours qui stigmatisent là nos compatriotes musulmans, là les réfugiés qui fuient la guerre (...) et ici les étrangers, les immigrés", a déclaré l'ex-chef du gouvernement.
"Je ne veux pas que l'extrême droite soit au deuxième tour de l'élection présidentielle parce que son projet, non seulement sortirait la France de l'Histoire, en la faisant sortir de la zone euro et de l'Europe, mais (...) ruinerait les petits, les sans-grade, les ouvriers, les retraités, il faut leur dire", a-t-il affirmé.
Marine Le Pen s'était attiré jeudi une volée de critiques en prônant de barrer l'accès à l'école aux enfants étrangers en situation irrégulière et de faire payer la scolarité pour ceux dont les parents en situation régulière ne travaillent pas.
"Je n'ai rien contre les étrangers, mais je leur dis: +Si vous venez dans notre pays, ne vous attendez pas à être pris en charge, à être soignés, que vos enfants soient éduqués gratuitement, maintenant c'est terminé, c'est la fin de la récréation!+" a lancé la présidente du FN, interrogée par l'institut de sondage BVA.
Mme Le Pen a ensuite très rapidement précisé à l'AFP que ces propos ne concernaient en fait que les enfants de "clandestins".
Cette position figurait déjà en 2012 au programme du Front national (celui de 2017 devrait être dévoilé fin janvier), au contraire d'une nouvelle mesure annoncée à l'AFP jeudi: une "contribution au système scolaire de la part des étrangers, sauf s'ils cotisent en situation légale". "Demander une participation aux étrangers pour la scolarisation de leurs enfants en France est une mesure qui ne me choque pas outre mesure, cela se fait dans beaucoup de pays", a dit Mme Le Pen.
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Lot-et-Garonne: il poignarde deux femmes à une heure d'intervalle
Un homme d’une trentaine d’années a été placé en garde à vue ce mercredi à Agen après les agressions au couteau de deux femmes, dont l’une a été grièvement blessée, à une heure d’intervalle dans l’agglomération, pour des motifs encore troubles, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
La première agression a eu lieu mardi vers 19h30 sur le parking d’un supermarché du sud d’Agen, où une femme de 55 ans a ressenti une brusque douleur au dos. Pensant d’abord à un coup du hayon de son coffre, ce n’est qu’une fois chez elle qu’elle a aperçu une plaie de 4 cm de profondeur et largeur, a-t-on précisé auprès de la gendarmerie. Elle a fait l’objet d’une ITT de 7 jours.
Le profil du suspect jugé comme « atypique » par les enquêteurs
Une heure plus tard, à environ 6 km d’Agen, une automobiliste de 26 ans a été percutée à l’arrière par un autre véhicule qui la suivait de près. Les deux voitures arrêtées, l’occupant du second véhicule est venu à hauteur de la conductrice et, à travers la fenêtre ouverte, l’a poignardée au visage et à l’aisselle, avant qu’elle ne réussisse à démarrer. La victime, sérieusement atteinte, restait hospitalisée jeudi en soins intensifs.
Grâce au signalement du véhicule, et après une importante traque police-gendarmerie, le suspect a été interpellé mercredi dans une station-service. Soupçonné de tentative d’assassinat et de violences volontaires avec arme et préméditation, il a été placé en garde à vue.
Le profil du suspect, qui travaillerait comme intérimaire, a été jugé comme « atypique » par les enquêteurs, mais sans antécédent connu comme déséquilibre mental. Une éventuelle piste terroriste ou des velléités jihadistes ont été écartées a priori, selon une source proche du dossier.
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La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés
07:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
FN: Marion Maréchal Le Pen et Florian Philippot à couteaux tirés !
La guéguerre — cette fois sur l'IVG — entre Marion Maréchal-Le Pen et Florian Philippot s'intensifie.
Fillon contrarie les plans de Marion-Maréchal Le Pen
Une fois n'est pas coutume, sept responsables départementaux, plus d'une dizaine de conseillers régionaux, de conseillers départementaux ou municipaux et de nombreux militants sont sortis du bois sur les réseaux sociaux pour soutenir la jeune députée du Vaucluse. « Non Marion Maréchal Le Pen n'est pas isolée, elle a fait 80 % au congrès (NDLR : du parti en 2014, 68 % pour Philippot) très loin devant vous », tacle l'un d'eux sur Twitter. « Il s'agit de sept secrétaires départementaux et de quatorze trolls », raille un proche de Philippot. David Rachline, le directeur de campagne de Marine Le Pen, a sifflé la fin de la récréation : « On n'est pas obligé d'être d'accord au millimètre près. En revanche, on s'attend à ce que les responsables locaux soient en phase avec la présidente du mouvement. » Menace à peine voilée.
« Marion Maréchal-Le Pen a dit exactement ce que Marine Le Pen disait en 2012, en 2013... Il semblerait que la candidate ait changé de ligne cette semaine, mais elle ne nous a pas prévenus », s'émeut un soutien de la députée. « Ce petit remous n'est pas inutile. Beaucoup d'électeurs pensaient encore que Marine Le Pen était contre l'IVG. Ça permet de clarifier les choses », se félicite Florian Philippot.
Ce « petit remous » souligne en tout cas le regain de tension entre les deux fortes têtes du FN, aux lignes politiques parfois divergentes. La victoire de François Fillon à la primaire de la droite a sans doute ravivé l'affrontement. Au sein du FN, certains cadres estiment en effet que la qualification triomphale du député de Paris affaiblit Marion Maréchal-Le Pen. La jeune femme est ultraconservatrice, proche des catholiques traditionnels. Des milieux qui semblent désormais plus prompts à voter Fillon que FN. A contrario, la ligne plus sociale et étatiste de Florian Philippot semble confortée. De quoi donner des ailes au vice-président du FN, et l'inciter à lâcher ses coups...
07:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : Geert Wilders reconnu coupable de discrimination
«Je vais vous poser trois questions, explique-t-il sur scène. Donnez-moi les réponses claires, celles qui définissent notre parti, le PVV. Voulez-vous plus ou moins d'Union européenne?
Deuxièmement, peut-être encore plus important, voulez-vous plus ou moins de PVDA [le Parti travailliste néerlandais, gauche, NDLR]? La dernière question, je ne sais pas si je suis autorisé à dire cela, peut-être que des membres du D66 (parti démocrate, centre) vont nous intenter un procès […] Voulez-vous, dans cette ville et au Pays-Bas, plus ou moins de Marocains?» En guise de réponse, la foule scande pour chaque réponse: «Moins! Moins! Moins!» À la fin de sa tirade, il conclut, dans un sourire, «nous allons y remédier». La scène avait provoqué un vif émoi dans le royaume et nombre de plaintes avaient été déposées à l'encontre du leader d'extrême droite.
Tribune
Alors qu'il encourait jusqu'à deux ans de prison et plus de 20.000 euros d'amende, le procureur n'avait requis que 5000 euros d'amende à son encontre, estimant qu'il y avait «pire» que ces propos. Le parquet n'en avait pas moins estimé qu'ils étaient «insultants envers les Marocains comme groupe de population» et étaient porteurs de «sentiments fortement négatifs» envers eux et pouvaient donc être considérés comme une incitation à la haine. «Les remarques racistes doivent être arrêtées», avait affirmé le procureur. Geert Wilders a fait savoir vendredi par la voix de son avocat son intention de faire appel de sa condamnation pour discrimination.
La fameuse crinière blonde du condamné n'était pas présente à l'annonce du verdict. Il prévoit tout de même de faire connaître sa réaction dans une vidéo en anglais et en néerlandais. Les juges avaient dû attendre la dernière journée pour apercevoir Geert Wilders qui n'avait pas daigné assister aux précédentes audiences, dénonçant «un procès politique» sur Twitter. Changeant finalement d'avis, le patron du PVV va utiliser la barre comme une tribune, son intervention étant diffusée en direct sur Internet. Il se pose en champion de la liberté d'expression. «Si vous me jugez coupable, c'est la moitié des Pays-Bas que vous jugez coupable, tonne-t-il, affirmant plaider pour «des gens normaux qui veulent récupérer leur pays et qui en ont assez de ne pas être écoutés.» Il rejette toute accusation de racisme. «C'est mon droit et mon devoir en tant qu'homme politique que de parler des problèmes de notre pays.»
Le procès, au final, pourrait apparaître comme une véritable opportunité pour Geert Wilders. Il lui a offert une visibilité inespérée et l'occasion de se poser en victime du système, alors que se profilent des élections législatives cruciales pour les Pays-Bas. D'après les sondages, si elles avaient lieu maintenant, le PVV les remporteraient largement, offrant une chance à Geert Wilders d'accéder au poste de premier ministre. Une progression fulgurante pour ce parti créé seulement en 2006 mais qui a su en 10 ans imposer le populisme aux Pays-Bas. Le jugement pourrait bien encourager une tendance déjà dopée par l'effet Trump.
Julien Licourt
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07:01 | Lien permanent | Commentaires (0)