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samedi, 17 décembre 2016

Bernard Tapie qui n'y connait absolument rien a l'immigration menace Eric Zemmour «Je vais me lever, je vais t'en mettre une»

 

 

Bernard Tapie, c'est une honte pour la France, comment peut on encore inviter ce genre d'orang outan ultra gauchiste justiciable sur un plateau de télévision !!! aurait il besoin de sous pour finir ses fins de mois !!!

 

Les deux personnalités, connues pour ne pas mâcher leurs mots, ont eu un échange musclé sur un plateau de télévision, alors que le ton du débat, qui portait sur le multiculturalisme, commençait à monter.
 
«Vous êtes ringard, vous avez trente ans de retard.» Ces mots, qui lui ont été adressés par Eric Zemmour, n'ont visiblement pas plu à Bernard Tapie. Le chroniqueur reprochait à l'homme politique de prôner un «discours multiculturel» déconnecté de la réalité en banlieue. «Ne dis pas des conneries !», s'est agacé une première fois Bernard Tapie, alors que le journaliste venait de lui lancer : «Vous ne connaissez rien !»
 
Alors que le ton montait sur le plateau de l'émission Zemmour et Naulleau diffusée le 14 novembre, l'échange d'arguments a fait place aux menaces. «Je vais me lever, je vais t'en mettre une», a prévenu Bernard Tapie, apparemment excédé par les violentes critiques de son contradicteur.
 
 
S'il n'a pas mis sa menace à exécution, Bernard Tapie, qui a décidé de faire son retour en politique en décembre 2015, n'en a pas pour le moins perdu son sang froid.
 
«Baissons d'un ton, déjà parce que vous ne boxez pas dans la même catégorie !», a réagi Eric Naulleau, tentant d'apaiser une tension plus que palpable. 
 

Mantes-la-Ville : la justice donne encore raison à l’association des musulmans

 

 
Une nouvelle fois, la justice a tranché en faveur de l’association des musulmans de Mantes-sud (AAMS) contre la mairie FN de Mantes-la-Ville. Ce vendredi, lors d’une audience au tribunal administratif de Versailles, les juges ont donné raison à l’association qui contestait le refus du maire de délivrer un permis de construire pour des travaux à la mosquée des Merisiers. « Le tribunal oblige le maire Cyril Nauth à étudier le permis d’ici trois mois. Il a été condamné pour détournement de pouvoir », se félicite Aziz El Jaouhari, président de l’association des musulmans de Mantes -sud. Le maire dispose de deux mois pour faire appel.

Source 

Un an de prison ferme pour l'auteur d'un livre antisémite

 

 

Hervé Lalin (dit Ryssen) était jugé pour plusieurs passages de son livre, dans lequel il qualifie notamment les juifs de «secte incestueuse».

 

Déjà condamné a plusieurs reprises pour des messages antisémites publiés sur les réseaux sociaux, le militant d'extrême droite Hervé Lalin (dit Ryssen) a écopé de cinq mois de prison ferme ce jeudi pour plusieurs passages de son livre «Comprendre le judaïsme - comprendre l'antisémitisme».

Là où son auteur soutient que cet ouvrage représente «l'étude la plus sérieuse et la plus importante sur ce sujet depuis trois mille ans», le tribunal correctionnel de Paris a condamné des injures et diffamations antisémites, ainsi que des provocations à la discrimination.
 

Des faits d'une «exceptionnelle gravité»


Dans ce livre, Hervé Lalin qualifie notamment les juifs de «secte incestueuse», leur attribue un «projet d'asservissement de l'humanité», les accusant d'être omniprésents et omnipotents. Le tribunal a souligné l'«exceptionnelle gravité» des faits reprochés au prévenu, «la violence et la réitération des propos et la stigmatisation à l'égard des juifs constante, affirmée et assumée, qu'ils traduisent».
 

Hervé Lalin a en outre été condamné à verser à la Ligue des droits de l'Homme (LDH), la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) et SOS Racisme 1 000 euros de dommages et intérêts chacune. S'y ajoutent, au titre des frais de justice, 2 000 euros pour chacune des deux premières et 3 000 euros pour la dernière, qui avait porté plainte.

Source 

Harcèlement de rue en france et immigration...

 

 
 

Vols ultraviolents contre des Chinois: 6 à 14 ans de prison pour cinq accusés

 

 
La cour d’assises de Paris a condamné ce soir cinq des sept accusés, jugés pour des vols ultraviolents commis en 2012 aux domiciles de commerçants asiatiques, à des peines allant de 6 ans de prison à 14 ans de réclusion criminelle, les deux autres étant acquittés L’avocat général, Philippe Courroye avait requis mardi des peines allant de douze à vingt ans de réclusion criminelle contre six accusés et l’acquittement du septième.

Canon de pistolet dans la bouche, chairs lacérées, doigt entaillé au sécateur… le représentant du ministère public avait appelé les jurés à « sanctionner des faits d’une violence extrême », qualifiés de « tortures ». Au total, cinq agressions ultraviolentes commises entre juillet et novembre 2012 sont reprochées aux accusés.

Comme dans un film d’horreur, les auteurs n’hésitaient pas à taillader leurs victimes avec une feuille de boucher ou un couteau pour les faire parler. Si le dernier coup leur a rapporté 40.000 euros, les autres se sont soldés par des gains bien plus modestes. Seules cinq victimes ont osé se porter parties civiles. La cour d’assises a condamné à quatorze ans de réclusion criminelle Farouk Benouadfel, 34 ans, décrit comme « le chef » de la bande, « le donneur d’ordres qui pourvoyait ses complices en informations » sur les cibles. Il avait un « ascendant » sur le groupe et se situait, avec 17 condamnations sur son casier judiciaire, « au plus haut de leur hiérarchie criminelle », a expliqué l’avocat général.
Dans le box, l’accusé, barbe fournie, s’était présenté lui même à l’audience comme un « intégriste » et avait refusé de se lever à l’entrée de la cour, lui déniant toute légitimité pour le juger. Des peines de 10 ans de réclusion criminelle ont été prononcées à l’encontre de Jonathan Eustache, 31 ans, et Jamal Biganzi, 29 ans, présentés par l’accusation comme les recruteurs de la bande. Enfin, la cour a condamné à six ans de prison Yasser Mouigni, 28 ans, et Aboulai Gakou, 27 ans, dépeints comme des exécutants. Les deux derniers accusés, Nabil Kilou, 25 ans, et Rachid Ben Jamaa, 32 ans, ont été acquittés.

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Toulouse : engin incendiaire découvert devant une église

 

 
L’engin, placé devant l’église de la paroisse Saint-André, a été découvert et neutralisé au matin du vendredi 9 décembre dernier.
Un dispositif incendiaire déposé devant un lieu de culte à Toulouse. Le scénario n’est pas une fiction. Il s’est bien produit, la semaine dernière, devant la paroisse Saint-André, chemin Michoun, dans le quartier de la Roseraie […] Un carton, contenant plusieurs bouteilles ainsi qu’un dispositif possiblement dangereux, a été découvert sur les lieux. Les policiers se sont rendus sur place et ont pris en charge le “paquet”. Une fois ramené au commissariat central, l’ensemble a fait l’objet de toutes les attentions dans la cour d’honneur de l’hôtel de police. Les bâtiments ont été évacués et les sapeurs-pompiers ainsi que les démineurs ont été appelés sur place […] Un périmètre de sécurité a été établi, le temps, pour les professionnels du déminage d’examiner l’engin qui s’est révélé être un véritable dispositif incendiaire. Il a été neutralisé. Cette découverte inquiétante a donné lieu à l’ouverture d’une enquête confiée au service régional de la police judiciaire de Toulouse (SRPJ). Que faisait ce dispositif devant la paroisse Saint-André ? Quelqu’un en veut-il aux paroissiens ? Dans le contexte de l’État d’urgence et de la sécurité renforcée autour des lieux de culte et […] cette découverte intrigue. Du côté de la paroisse, aucun commentaire même si certains estiment qu’il « doit s’agir de jeunes qui ont voulu faire les malins. Il n’y a pas de peur particulière », assure-t-on. Contacté, le diocèse a indiqué qu’il était « très attentif à la situation. Nous attendons les résultats de l’enquête pour nous prononcer plus avant ». La préfecture de Haute-Garonne doit réunir les représentants du diocèse pour élargir cette année la surveillance autour des lieux de culte dans tout le département. Un dispositif qui n’avait concerné, l’an passé que Toulouse. « Nous avons fait des réunions spécifiques avec les responsables des différents cultes sur les mesures que nous prenons à l’extérieur, mais qu’il appartient aux représentants des cultes de prendre à l’intérieur. Je pense en particulier au contrôle des sacs et des personnes », a confié hier le préfet Pascal Mailhos.
Source : La Dépêche, 15 décembre (merci J. L. R. pour ce signalement)
 
Daniel Hamiche 
 

Paris : session de formation sur l’islam

 


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Le Collectif Saint-Michel Archange organise une journée de formation sur l’islam, qui se déroulera à Paris le samedi 17 décembre (9 h – 17 h). Je vous suggère de ne pas la manquer… Pour vous inscrire, c’est ici !
 
 
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Italie : une crèche peut nuire à la « sensibilité des musulmans »

 

 
Dans la galaxie des média du réel, Boulevard Voltaire n’est pas le moins en pointe pour alerter nos lecteurs sur l’inexorable avancée du Grand remplacement et ses conséquences, notamment civilisationnelles. D’ailleurs, l’intérêt porté à ces questions dépend davantage d’une profuse actualité obstinément et délibérément occultée par les média « mainstream », que de choix éditoriaux qui seraient orientés ou connotés, comme ceux-ci se complaisent à le répandre à longueur d’ondes ou d’antennes.

Les faits étant farouchement têtus, c’est tout l’honneur des chroniqueurs, éditorialistes, billettistes et reporters luttant contre la « mésinformation », selon le vocable forgé par Vladimir Volkoff, que de s’en tenir à ces mêmes faits, souvent affligeants, arborant bien plus le funeste visage de la Fée Carabosse que celui, plus avenant, de la Fée Clochette.

Derechef, l’on ne pourra donc passer sous silence ce courageux acte de dhimmitude transalpine par lequel le chapelain du cimetière municipal de la cité lombarde de Crémone y a refusé l’installation, comme à l’accoutumée (depuis 2010), d’une crèche de la Nativité à l’entrée du cimetière de la ville. 

La défroque est consommée lorsque notre curaillon argue de ce qu’« un petit (sic !) coin du cimetière [étant] réservé aux tombes musulmanes, un berceau placé à leur vue peut être vu comme un manque de respect pour les fidèles d’autres religions, nuire à la sensibilité des musulmans, ainsi que les Indiens et même les athées ». Tant qu’on y est, ajoutons-y les Témoins de Jéhovah, l’Eglise des saints des Derniers Jours, voire l’amicale philanthropique des anciens adorateurs du Mandarom…

Don Sante Braggiè – ainsi se prénomme ce couard serviteur patenté de notre sainte Mère l’Église – n’hésite pas à associer à sa veulerie les employés de la municipalité, en sous-effectifs, qui, « entre autres choses, sont occupés avec de nombreux crémations » et, paraît-il, guère convaincus par « berceau placé dans un endroit comme cela ». (Corriere della Serra, 9 décembre)

Le prédécesseur de Braggiè, Don Oreste Mori, s’en étrangle d’indignation : « nous ne pouvons pas abandonner notre culture et nos traditions, ce serait une faiblesse impardonnable.
Nous sommes, au moins pour l’instant, en Italie, pas en Arabie Saoudite ».
 Se voulant néanmoins conciliant avec les habitants, un tantinet remontés devant cette apostasie, l’ecclésiastique a tenté de cacher ces saints que l’on ne saurait voir. Ainsi, a-t-il assuré que « la scène de la Nativité sera transportée à l’intérieur de la petite chapelle de Notre-Dame des Douleurs » située à l’arrière du cimetière.
A l’heure où ces lignes sont écrites, une rapide recension de la Toile permet de se rendre compte que, hormis FDesouche et quelques rares sites identitaires, aucun titre de la prétendue « grande presse » nationale n’a repris cette information, au point que Google a pu masquer l’onglet « Actualité », faute de référencements suffisants !
Un non-évènement, semble-t-il, qui, pour anecdotique qu’il soit, porte, nonobstant, témoignage d’une révolution silencieuse sous nos yeux grands fermés. Dans sa préface à l’ouvrage de Bat Ye’or, Le dhimmi : juifs et chrétiens sous l’islam (1985), Jacques Ellul rappelait que « le dhimmi […] n’est pas du tout le résultat d’un hasard historique, c’est ce qui doit être, du point de vue religieux et du point de vue de la conception musulmane du monde. C’est-à-dire, c’est l’expression de la conception totale, permanente, fondée théologiquement de la relation entre l’islam et le non-islam. » Que les politiques ne veuillent pas le comprendre est une erreur. Que l’Église catholique leur emboîte le pas dans la naïveté œcuménique est une faute. Elle se paiera.

Aristide Leucate

Source 

Monsieur Chevènement, l’islam français n’est-il pas qu’un fantasme ?

 

 
Cet islam français tant fantasmé pourra-t-il exister un jour ? En d’autres termes, l’islam importé pourra-t-il devenir un jour un islam local ?

Ces questions sont directement liées aux problèmes de l’intégration, non celle des musulmans comme individus, mais comme principes religieux. Il faudrait questionner le système islamique des valeurs autour duquel tourne toute la vie du musulman. En peu de mots : l’islam, tel qu’il est compris et pratiqué aujourd’hui en France, est-il soluble dans la République ? Pourrait-il vivre en paix au sein de cette société française sécularisée ? Trouverait-il sa place dans cette civilisation sans opérer un changement dans sa nature même ? Ses adeptes qui vivent sur le sol français oseraient-ils adapter les principes de ce qu’ils appellent « charia » à la culture occidentale, sociale et familiale, et surtout légale ? 

Ces questions, et d’autres encore, sont esquivées par le monde des médias et de la recherche pour des raisons diverses, en particulier la peur d’être accusé d’islamophobie. 

Ce vocable est suspendu en France comme l’épée de Damoclès et empêche d’approfondir la question de « l’islam et la civilisation occidentale ». Il est vrai que nous sommes devant une problématique épineuse, mais il revient aux musulmans eux-mêmes de trouver une harmonisation entre leurs croyances et la culture de la société moderne. Il est évident que cela n’est possible que par l’invention d’une approche nouvelle de penser et de vivre, différente, pour ne pas dire en contradiction avec les règles et les principes islamiques répandus. 
 Si le musulman s’adapte et s’intègre d’une façon ou d’une autre dans la société française, le système islamique global – représenté par des associations, des unions, des conseils islamiques – pourra-t-il adhérer à cette mutation et renier ce qui est appelé, dans le jargon islamique, « charia » islamique ou identité islamique ? Telle est la question, Monsieur !

 Hamid Zanaz

Source 

Immigration à Saint-Brieuc. Sous obligation de quitter le territoire, ils restent dans la ville

 

 
Une famille d’Arméniens, déboutée du droit d’asile et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) persiste à vouloir rester en France, à Saint-Brieuc.  Il s’agit d’une jeune femme de 26 ans et de ses deux enfants, dont l’un en bas âge – le compagnon étant loin de sa famille dans le Sud de la France – qui étaient hébergés gracieusement depuis plusieurs mois dans un hôtel à Saint-Brieuc, comme c’est le cas pour beaucoup d’immigrés clandestins dans la commune.

Certains hôtels du centre-ville de Saint-Brieuc, comme d’ailleurs en banlieue nantaise, sont en effet désormais presque monopolisés par des familles ou des groupes d’immigrés clandestins, les clients traditionnels n’étant manifestement plus la priorité de certains hôteliers rémunérés directement par l’Etat.
« Des Arméniens à la rue » titre un quotidien régional subventionné au sujet de cette famille. Arrivée depuis trois ans, et déboutée du droit d’asile (l’Arménie est un pays jugé sûr par l’OFPRA qui a en charge les réfugiés), la famille – actuellement divisée puisque le père est dans le sud de la France – persiste à vouloir rester sur le territoire.
Sur l’obligation de quitter le territoire français, voici ce que dit le site du service public : 
À la fin du délai de 30 jours, vous devez avoir quitté la France par vos propres moyens. Si vous êtes toujours en France passé ce délai, vous pouvez être placé en centre de rétention ou assigné à résidence. C’est l’administration française qui organisera alors votre départ. Cependant, vous ne pouvez pas être éloigné de force tant que le tribunal administratif examine votre recours.
Vous êtes éloigné à destination :
  • de votre pays d’origine. Cependant, vous ne pouvez pas être éloigné si vous vous avez obtenu le statut de réfugié ou le bénéfice de la protection subsidiaire ou si votre demande d’asile est encore en cours. Vous ne pouvez pas non plus être éloigné vers votre pays si votre vie ou votre liberté y sont menacées ou si vous êtes exposés à la torture, à des peines ou traitements inhumains ou dégradants.
  • ou du dernier pays qui lui a délivré un document de voyage en cours de validité,
  • ou d’un autre pays dans lequel elle peut être légalement admise.
Si jamais le recours devant le tribunal administratif est rejeté la personne doit quitter la France, ou bien être assigné à résidence dans le pays . Dans le cas de cette famille, le délai de trente jour est dépassé, et la Préfecture des Côtes d’Armor rappelle d’ailleurs que la jeune femme est entrée illégalement sur le territoire (premier acte de délinquance) qu’elle a eu le temps nécessaire pour se conformer à son OQTF.
« C’est donc bien elle – ainsi que son compagnon – qui mettent en danger les enfants, qu’on arrête de toujours se servir d’eux comme de caution morale » commente un Internaute. « Quand on dit dehors, c’est dehors, c’est tout. Ce n’est pas notre société qui manque d’humanité, mais c’est bien ceux qui persistent à faire croire à cette famille qu’elle à un avenir ici ». 
Comme à Rennes précédemment avec une famille géorgienne devant être expulsée, des associations de quelques individus ayant des appuis au sein de la presse subventionnée multiplient les recours, et les mobilisations pour faire annuler, au cas par cas, toute possibilité d’expulsion d’individus qui pourtant, son persona non grata sur le territoire.
Pour l’heure, la famille est hébergée chez des amis, et la mobilisation pourrait, une nouvelle fois, aboutir à ce qu’elle finisse par être placée «à l’abri» par le 115, pour l’hiver. Ces exemples à répétition – les dossiers s’accumulent dans les préfectures – démontrent qu’au cas par cas, il est impossible de faire respecter la loi française et de protéger ses frontières d’une immigration rejetée majoritairement par les Français dans tous les derniers sondages.

vendredi, 16 décembre 2016

Bondy (93) : soupçons de viol au collège

 

 
[…] Lundi vers 16 h 30, une ado de 13 ans aurait été entraînée par quatre jeunes âgés de 14 à 16 ans dans les toilettes du collège Jean-Zay, établissement classé REP + (Réseau d’éducation prioritaire), situé dans le quartier nord de la ville.




« Deux d’entre-deux auraient alors abusé d’elle tandis que les deux autres observaient la scène », indique une source proche du dossier. Mais les enquêteurs restent prudents. « La victime a désigné ses agresseurs qui réfutent les accusations. Ils contestent tous avoir été présents sur les lieux. » Interpellés mercredi matin, les quatre jeunes étaient encore en garde à vue mercredi soir. Celle-ci a été prolongée. […]

« On n’aurait jamais cru que des camarades de classe soient capables de faire un truc pareil… », regrette une élève, qui semble tout de même avoir du mal à réaliser la gravité des accusations. « Un collégien, ça peut aller en prison pour ça ? », s’interroge-t-elle.
[…] Mardi, l’inspection académique — qui a accompagné la famille de la victime dans son dépôt de plainte — a mis en place une cellule psychologique au sein de l’établissement. « Il n’y a pas eu d’élève témoin de l’agression », précise tout de même le rectorat de Créteil. Les quatre auteurs présumés ont été exclus à titre conservatoire en attendant de passer devant un conseil de discipline.

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Moselle : des mineurs et des armes dans un clip de rap

 

 
Mis en ligne le 2 décembre 2016, un clip de rap réalisé à Guénange (Moselle) fait polémique. Diffusé à la fois notamment par des sites proches de l'extrême-droite qui le dénonce, il met en scène des mineurs et majeurs, dont certains exhibent des armes de poings et des armes blanches.

 Il n'en est pas à ses premiers essais musicaux mais S. T., présenté comme mineur "de 16 ans" sur l'un de ses compte en ligne, peut se vanter d'avoir obtenu un succès d'estime avec le clip qu'il a mis en ligne le 2 décembre 2016 et qui a été très largement relayé sur la toile et les réseaux sociaux proches de l'extrême-Doite en vue d'en dénoncer le contenu pour "promotion du trafic de drogue et des dealers, des drapeaux étrangers et des propos tombant sous le coup de la loi."

Dans cette séquence vidéo de 4 minutes et 18 secondes, le bas d'un immeuble de la rue Jeanne d'Arc à Guénange (Moselle) est occupé par un groupe d'une trentaine de jeunes hommes dont des enfants. Les images  de ce clip de rap mélangent vues extérieures, vues aériennes prises par un drone et séquences en intérieures dans lesquelles les deux chanteurs met leurs accolytes exhibent des armes blanches, des armes de poing et des liasses de billets.

 
© Capture d'écran Youtube

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Alep: les évêques pour l’accueil des migrants

 

 
Les évêques catholiques de France ont estimé jeudi que la situation d’Alep, la deuxième ville de Syrie, sous les bombes, « nous remet tous, élus, responsables et citoyens, devant nos responsabilités vis-à-vis de l’accueil des migrants et des étrangers ».

« Alors que la communauté internationale en reste à des déclarations d’indignation, le jeu stratégique des puissances en présence ignore toute dimension humaine », dénonce le conseil permanent – l’exécutif – de la Conférence des évêques de France (CEF), exprimant sa « très vive inquiétude » dans un communiqué titré « Alep: qui dira qu’il ne savait pas? »

Pour les évêques, « cette situation nous remet tous, élus, responsables et citoyens, devant nos responsabilités vis-à-vis de l’accueil des migrants et des étrangers. Nous ne pouvons pas fermer les yeux sur la situation des personnes réfugiées chez nous. Nous devons les accueillir et les accompagner dans la durée ».

Le conseil permanent – composé de dix des quelque 120 évêques en activité – déplore que « pour des milliers de personnes, cette situation est souvent indigne, en particulier en Île-de-France où, sous couvert de les prendre en charge, on se contente de les déplacer de quelques kilomètres ».

« A l’approche de Noël, nous appelons tous nos concitoyens à ne pas baisser les bras et à se montrer solidaires de ceux qui souffrent, proches et lointains », conclut le communiqué.

Début décembre, le pape François, recevant 260 élus français en pèlerinage à Rome, les avait appelés à prêter une attention particulière aux précaires et migrants.

Source 

Philippe de Villiers à Versailles : au nom de la grande dissidence !

 

 
Les Éveilleurs d’espérance accueillaient, mardi soir à Versailles, dans une salle comble, Philippe de Villiers venu présenter son dernier livre Les cloches sonneront-elles toujours demain ? Avec de nombreuses personnalités présentes pour l’écouter et l’applaudir, au premier rang desquelles… Marion Maréchal-Le Pen ! Reportage.
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Jean-Yves Le Gallou, les musulmans et Marine Le Pen…

 

 
Monsieur Le Gallou critique, dans un de ses articles récents, Marine Le Pen lorsqu’elle dit : « Moi, je crois que, oui, l’islam est compatible avec la République. Un islam tel que nous l’avons connu, laïcisé par les Lumières comme les autres religions. »

L’islam tel que nous l’avons connu, et auquel elle fait allusion, je pense, c’est celui des années 50 à 70, et ce, malgré la guerre en Algérie. En Afrique du Nord cohabitaient musulmans, juifs, catholiques et autres, sans problème majeur, et les fils de la Toussaint étaient les précurseurs d’une guerre d’indépendance, qui n’était pas de religion. Ça, c’était avant que n’apparaissent ces « fous de Dieu » qui martyrisent les peuples de la terre avec kalachnikov, bombes humaines et voitures piégées. C’est un constat.

En d’autres temps, des musulmans sont morts au champ d’honneur pour la France. J’ai aussi une pensée pour les harkis et je me souviens de Mimoun, qui était plus français que certains d’entre nous. Ce n’est pas à propos que de généraliser.

Mais surtout, dans le contexte actuel, est-ce qu’elle peut dire autre chose ? Par exemple « l’islam n’est pas compatible avec la République » ? Ça mènerait à quoi, à quelle politique autre que celle qu’elle propose déjà ? Que voulez-vous, M. Le Gallou ? Une Saint-Barthélemy ? On envoie les troupes spéciales avec quelques bataillons de la Légion et on les zigouille tous, avec femmes et enfants ? Soyons sérieux !

Quelles sont les estimations les plus couramment avancées sur leur nombre, en absence de statistiques interdites ? Selon Jean-Paul Gourévitch, la population musulmane pourrait être raisonnablement évaluée entre 6 et 9 millions, soit une estimation moyenne de 7,5 millions. 

Le FN table sur 7. Mais je ne sais pas si ces chiffres prennent en compte les clandestins ; sinon, il faudrait les multiplier par 1,5. Cette population est donc importante, très importante, et on est obligé de constater que la solution la moins pire, au moins provisoirement, c’est « l’accommodement raisonnable ».

Mais revenons à Marine Le Pen et ses propositions : 

– sa volonté première est d’interrompre totalement l’immigration dite légale originaire de certains pays dont la liste est facile à dresser ;
– lutter contre les clandestins en les empêchant de venir et en « chassant » ceux qui sont déjà sur le territoire ;
– expulser les doubles nationaux condamnés par la justice ;
– elle annonce ne rien vouloir céder aux revendications cultuelles ou culturelles des diverses communautés (voile, repas dans les cantines, fêtes religieuses, religion dans l’entreprise, etc.) ;
– enfin, diverses mesures comme l’arrêt de la construction de mosquées ou le durcissement des moyens de coercition et de sanction à l’encontre de ceux qui ne respectent pas l’ordre républicain.


L’exaspération de tous ces problèmes se trouve concentrée dans les « no go » zones, les territoires perdus de la République. Elle veut :

– y rétablir l’ordre ;
– en chasser les islamistes radicaux ;
– les stabiliser par les offres d’emploi que pourra permettre une économie en redémarrage. 


Si elle y arrive, elle aura résolu une grande partie des problèmes.
Dans le contexte actuel, ce « catalogue » de mesures me semble satisfaisant car il est difficile, sinon impossible, d’aller plus loin. Mais le combat contre les excès de cette religion est avant tout idéologique. Non pas en pensant déradicaliser des extrémistes – idée plus que saugrenue, tant on connaît son inefficacité – mais en s’appuyant sur son point faible : la situation de la femme. Elles ne vont rien conquérir avec leur ventre si nous savons mener à bien leur émancipation. C’est elles, et elles seules, qui ont le pouvoir de faire évoluer l’islam, et c’est sur elles qu’il faudra s’appuyer…
Toutefois, il ne faut pas se leurrer. L’islam a mis près de 40 ans pour devenir ce qu’il est chez nous, il faudra beaucoup de temps pour l’obliger à s’adapter à notre culture, à nos lois et à notre République.

Yves Costa

Source 

Discrimination à l’embauche : vaste blague ?

 

 
Nous vivons décidément une époque formidable, laquelle voudrait que la France d’en haut puisse exiger et obtenir une dérégulation permanente à tous les étages, tandis que celle d’en bas aurait vocation à être régulée chaque jour que Dieu fait.

Dans le registre intrusif, voilà qu’une étude gouvernementale vient pointer les « discriminations à l’embauche ». Témoin, ou témouine (pour reprendre l’actuelle sémantique féministe), cette étude citée par Le Monde, qui nous dit : « Pour trouver un emploi, il vaut mieux avoir un nom à consonance française. » D’où campagne de testing menée par ces associations antiracistes ayant le don de se faire financer par l’argent du contribuable, alors qu’elles ne sont jamais qu’officines de délation.

À les en croire, un patronyme arabe serait un obstacle dans le monde du travail. Il n’empêche que le très complet rapport de l’Institut Montaigne nous confirme que si un Mohamed a deux fois moins de chances de décrocher un CDI qu’un Jean-Paul, sa progression en interne sera exactement la même qu’un Jean-Pierre.
Mais sortons des statistiques et des directives gouvernementales pour entrer dans la vraie vie. Et parlons plutôt du domaine des artisans, des petites et moyennes entreprises – premier employeur de France, rappelons-le, au contraire de nos grands groupes transnationaux. On aura beau tout faire, l’entrepreneur en BTP qui ne veut pas d’Arabe chez lui se fout comme d’une pelle d’un CV anonyme, sachant qu’après réception du document en question, il y aura entretien de visu et que, là, Mohamed ne pourra pas se faire passer pour Kevin.

Puis, les quelques mois à l’essai… Soit tout le temps de comprendre si Kevin est apte et que Mohamed n’est pas trop mauvais, ou le contraire.

De même, je me vois assez mal postuler en tant qu’éditorialiste aux Inrockuptibles, même en glissant ma godasse dans la porte, tout comme un ancien de Libération ne serait pas forcément accueilli à bras ouverts – quoique… – dans les colonnes de Boulevard Voltaire 1. Pareillement, un juif à kippa sera-t-il le premier embauché dans une boucherie halal de la rue Ordener, à Paris ? Et le salafiste à barbe et kamis sera-t-il forcément le bienvenu dans les ateliers de la rue d’Aboukir ? La discrimination ? Elle est pour tout le monde.
Les exemples et contre-exemples pourraient être multipliés à l’infini. Mais la vie, pour être parfois détestable, demeure indéniable réalité. On ne sculpte pas des statues de sable, pas plus qu’on ne transforme les cerises en poireaux, malgré cette longue plainte du ministre du Travail, Myriam El Khomri :
« Les discriminations à l’embauche sont prohibées par la loi. Elles constituent une faute morale inacceptable et une absurdité économique. »
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Fort bien, mais grosse méfiance. Ainsi, méfions-nous de dénombrer nos compatriotes aux origines et confessions diverses et leur visibilité potentielle. Quand on commence à faire entrer l’arithmétique en politique, on ne sait jamais véritablement où l’on s’arrête. Compter les Noirs, les Jaunes et les Arabes sur nos chantiers et nos écrans ? Mais qui empêchera, ensuite, le premier clampin venu d’en faire de même des juifs et des homosexuels, voire de ceux qui pratiquent le cumul des mandats ?
Notes:
 
La directrice de publication proteste : on ne demande que ça, mais c’est eux qui ne veulent pas rire avec nous…

1 La directrice de publication proteste : on ne demande que ça, mais c’est eux qui ne veulent pas rire avec nous…

Caméra cachée dans un hôpital de Marseille…

 

 
Une femme fait semblant de téléphoner, pour tenir son téléphone droit et filmer ce qu’elle voit.
Regardez.
Et souvenez-vous : le Grand Remplacement est « un fantasme ».

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Arabie saoudite : la mort pour un vêtement ?

 

 
 

Malak al-Shehri, vous connaissez ? Sans doute pas puisque, à ma connaissance, la « grande » presse quotidienne française n’en a pas parlé ; il faut se tourner vers l’étranger, et notamment le Daily Mail online, pour y lire l’histoire ahurissante de cette jeune Saoudienne.
Elle a publié sur Twitter une photo d’elle, lunettes de soleil, cheveux tombant sur les épaules, bottillons, vêtue d’un manteau trois-quarts d’où dépasse une jupe multicolore descendant à mi-mollet. On croise tous les jours des milliers de Malak dans les rues de nos villes. Pas de quoi fouetter un dromadaire, me direz-vous ? Vous avez tort ! 

Car la scène se passe dans une rue de Riyad, capitale d’Arabie saoudite. Là-bas, le code vestimentaire féminin comporte obligatoirement – o-bli-ga-toi-re-ment – un voile masquant la plus grande partie de la tête et une abaya, cette robe islamique qui couvre le corps, du cou aux chevilles. Il n’en a pas fallu plus pour que certains Saoudiens s’échauffent. L’une des amies de Malak, à l’abri d’un faux nom par sécurité, a mis sur les réseaux les commentaires que cette photo a suscités : « Il faut qu’elle paie pour son crime. » « Tuez-la et jetez son corps aux chiens. » « Nous voulons du sang. » « Nous demandons l’emprisonnement de la rebelle. » Ah ! La religion de tolérance et de paix…

L’affaire a eu lieu en début de semaine. Aujourd’hui, on ne sait pas exactement ce qu’est devenue Malak. Citant le journal arabe Al Sharq, le Daily Mail annonce que la jeune femme a été arrêtée à la suite d’une plainte déposée par la police religieuse. 

Elle risque l’exécution capitale.
 Chez nous, nos féministes en peau de lapin regardent ailleurs. Ainsi, et par exemple, l’association Osez le féminisme, porte-drapeau de cette lutte farouche des classes, constelle son site de « campagnes d’action », toutes vachement importantes : « Guide de la routarde », « Journées du matrimoine », « LesBieFamily », « À bas le concours Miss France » et plein d’autres trucs du même tabac. Sur Malak, pas une ligne !

Car, en France, il semble que nous ayons l’indignation sélective. Tout dépend, en fait, de celui qui tient le manche du coutelas et là, comme dans les westerns, il y a les bons et les méchants.

 Aujourd’hui, le méchant, c’est Poutine : Ukraine, Crimée, Syrie – beurk. Le bon, c’est l’Arabie saoudite. Alors, le Yémen en guerre ? C’est où, ça, le Yémen ? Malak ? C’est bien fait pour elle ! N’avait qu’à se saper comme tout le monde ! Non mais, des fois, on ne va pas arrêter de vendre nos avions pour une donzelle qui se balade « à poil » ! Hollande a même refilé la Légion d’honneur au prince héritier de ce royaume qui, dans les trois premiers mois de 2016, avait déjà décapité 70 personnes.

Et pendant ce temps-là, nos prétendants au trône républicain nous gavent de belles paroles où il est sans arrêt question des « valeurs de la République ». Bon ! Ça va ! J’ai compris. C’est une potion à usage interne et, en aucun cas, un produit d’exportation.

« Oh eh la gauche », en rafistolant votre « Belle alliance », pensez un peu à Malak.

 Yannik Chauvin

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Jean-Frédéric Poisson : « L’efficacité de l’état d’urgence n’a absolument pas été prouvée ! »

 

 
Alors que les députés ont adopté, dans la nuit de mardi à mercredi, le projet de loi qui étend l’état d’urgence jusqu’au 15 juillet 2017, Jean-Frédéric Poisson explique pourquoi il a fait partie des 32 députés qui s’y sont opposés. Décryptage. 
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« Boomerang » : cette religion et ce prophète dont il faut taire les noms…

 

 
On ne présente plus Augustin Trapenard. Normalien, agrégé d’anglais, il a très vite abandonné la recherche et l’enseignement. Non pas pour la politique : ça, c’était avant, quand l’intelligence se mettait au service du pays et que les normaliens investissaient la sphère politique. Cela donnait un Blum, un Herriot, la République des professeurs décrite naguère par Albert Thibaudet. Avec ses grandeurs et ses limites.

Désormais, fini les Pompidou, les VGE. Juppé fut le dernier dinosaure de cette tradition. Les politiciens n’ont même plus à fournir de prestigieux diplômes. Soit ils crachent dessus, soit ils s’en fabriquent de faux : Macron pseudo-normalien. 

Le Roux faux HEC-ESSEC.
 Car maintenant, les normaliens émancipés, avides de reconnaissance et de gloire, mettent leurs compétences et leur narcissisme au service… des médias.

Raphaël Enthoven serait le meilleur symbole de cette dérive de la culture et de l’intelligence diplômée. Quant à Augustin Trapenard, lui, il a choisi France Inter et Canal+. Tout ce qu’il y a de plus… À vous de juger !

On pourrait donc espérer, à côté de la pauvreté abêtissante de nos radios et télés, un surcroît d’intelligence, d’esprit critique, de vision. Mais malheureusement, de même que les normaliens en politique ont souvent manqué d’intelligence face aux situations (Alain Juppé), les normaliens des médias, eux aussi, sont parfois confondants de conformisme, de cécité, de servitude volontaire.
Et notre cher Trapenard, jeudi dernier, en fut l’exemple criant.
Il recevait dans sa matinale culturelle, bienheureusement intitulée « Boomerang », l’artiste féministe Annette Messager, plasticienne couronnée par le Praemium Imperiale, le Nobel des arts, qui venait parler de sa nouvelle installation à la galerie Marian Goodman à Paris. Et ladite Messager avait évidemment un « message » à délivrer, surtout avec ce qui faisait l’actualité du moment. Vous savez, ces bars qu’un média ami, France 2, au-dessus de tout soupçon, avait révélé à cette France qui ignorait la chose, ou ne voulait pas la voir.

Ces bars interdits aux femmes. Dans certains endroits de France. Ces choses d’une autre époque qu’on ne pensait plus voir en France. Cet « ordre moral » ! Eh bien, notre normalien surdiplômé, spécialiste de tous les langages, de toutes ses subtilités et ses ruses, et notre plasticienne « impériale » ont réussi l’exploit d’évoquer ces bars (mais tenus par qui ? Et dans quels quartiers ?) et ces Femen se tatouant sur le corps « Je suis mon propre prophète » sans jamais nommer cette religion, cette culture, ce prophète qui règnent dans ces bars et ces quartiers.

Et la tranquille conversation politico-cultureuse grave glissa sur ce non-dit, cet innommé, ce tabou. 

Pour finir avec : La Manif pour tous, bien sûr ! C’était donc ça ! Tous ces bars de nos banlieues, à Sevran, Tourcoing, Marseille, Toulouse où les femmes sont persona non grata, ce sont des bars LMPT, tenus par des catholiques rétrogrades ! C’était tellement évident !

Il fallait bien tout le talent interprétatif d’un normalien et d’une plasticienne de renommée mondiale pour créer cette œuvre d’art éphémère, cette « installation », cette « performance » d’un jeudi matin sur nos ondes.

Vous avez dit « Boomerang » ?

Pascal Célérier

Source 

jeudi, 15 décembre 2016

Assa Traoré, une « machine de guerre » pour Adama

 

 
Adama Traoré, 24 ans, est mort le 19 juillet dernier lors de son interpellation à Beaumont-sur-Oise. Sa grande sœur Assa, portée par sa famille, a décidé de faire éclater la vérité. Elle en a la trempe.



Omar Sy, Kerry James, Youssoufa, Jean-Luc Mélenchon, Olivier Besancenot, lui ont apporté leur soutien. Son téléphone déborde d’appels de journalistes : la presse française, anglaise, américaine, malienne, turque, sénégalaise, italienne, espagnole, parle d’elle.
Dans des meetings, face aux caméras, ou derrière des banderoles dans la rue, Assa Traoré « dégage quelque chose de particulier, un charisme hors norme« , remarque son avocat parisien, Yassine Bouzrou. […]

Nouvel Obs

Source 

L’Europe bientôt en Tchador

 

 
Source : revue de presse du Mouvement Pour la France.

Dans son édition du 1er février, Courrier International reprend, sous un titre on ne peut plus explicite « L’Europe bientôt en tchador », quelques extraits d’un « article hallucinant du quotidien de droite israélien [Jerusalem Post] sur la poussée démographique des musulmans en Europe et ses conséquences néfastes pour les Etats-Unis, Israël et les Juifs ». Et cela commence fort :
« Si jamais vous vouliez voir Paris ou Rome avant de mourir, et que vous n’en avez pas encore eu l’occasion, vous feriez peut-être bien de vous hâter. Car, bientôt, l’essentiel de ce que nous considérons aujourd’hui comme l’Europe occidentale se sera transformé en une branche du monde musulman. C’est en tout cas la conclusion déplaisante, mais absolument inévitable qu’il faut tirer de la dégringolade démographique qui entraîne l’Europe vers le néant ».
Et pour justifier cette constatation, le quotidien de citer le récent rapport de la Rand Corporation (un think-tank américain) : « dans toute l’Europe, les taux de natalité sont en chute libre et la taille des familles se réduit. Le taux de fertilité total est aujourd’hui de moins de deux enfants par femme dans chaque Etat membre de l’Union européenne ». Or, selon les démographes, « pour que la population d’une société demeure stable, son seuil de remplacement implique un taux de natalité de 2,1 enfants par famille », « tout chiffre inférieur est synonyme de déclin et de dissolution ». Même le Conseil de l’Europe a lancé un avertissement en déclarant en 2004 dans son « livre blanc de la démographie » que « dans toute l’Europe, il y a eu plus de décès que de naissances pour l’année 2003 ». Et le quotidien de citer l’éditorialiste canadien Mark Steyn qui souligne dans son nouveau livre, America Alone (L’Amérique seule) :
« Quel est le pourcentage de la population musulmane de Rotterdam ? 40%. Quel est le prénom masculin le plus répandu en Belgique ? Mohammed. A Amsterdam ? Mohammed. A Malmö, en Suède ? Mohammed ».
Et même The Daily Telegraph de Londres rapportait en décembre 2006 que « Mohammed et son autre graphie la plus courante, Muhammad, sont désormais des prénoms de bébés plus populaires en Angleterre et au pays de Galles que Georges ». Car, comme le relève le quotidien, « si les Européens sont actifs partout sauf au lit, les populations musulmanes qui vivent en leur sein se montrent beaucoup plus prolifiques ». Or d’après des « projections réalisées par le National Intelligence Council du gouvernement américain, la population musulmane du continent, actuellement de 20 millions, aura probablement doublé d’ici à 2025 ». Le quotidien note qu’une «
Europe de plus en plus islamisée sera de plus en plus hostile à Israël et aux Etats-Unis »
et que
« même si les gouvernements européens parvenaient à inverser la tendance, ce qui semble fort peu probable, il faudrait des années avant que le changement ne soit perceptible. Or, en attendant, l’influence politique musulmane continuera de se développer et de s’étendre, et les dirigeants européens ne pourront que difficilement faire abstraction des exigences de la communauté ».
Et de conclure :
« Par conséquent, si vous voulez vraiment voir la tour Eiffel de près, je vous conseille de ne pas trop tarder. Le temps de dire ouf, et elle pourrait bien avoir été transformée en minaret »…
Une analyse qui rejoint ce que dénonce Philippe de Villiers :
non seulement, il a préconisé de longue date de mettre en place une vraie politique familiale, qui aurait eu pour conséquence de relancer la natalité ; mais de plus, il met en garde contre « l’islamisation » de la France, prônant une immigration zéro et une politique généreuse de co-développement des pays les plus pauvres.

Source 

La mairie PS de Sarcelles donne 150 000 € pour la mosquée et le terrain pour l’euro symbolique

 

 


La mairie PS de Sarcelles donne 150 000 € pour la mosquée et le terrain pour l’euro symbolique
VIDEO  :  https://youtu.be/O_9qHUOkc3U
Le Parisien du 12 septembre 2016 présentait le projet ambitieux de grande mosquée de Sarcelles piloté par deux associations, celle des musulmans d’inspiration sunnite en France (Amis) et Dar-At-Tawid, notoirement salafiste, regroupées pour la cause de l’édifice dans la Fédération des Musulmans de Sarcelles :
« La municipalité a déjà donné 150 000 €, a souligné Mamadou Gassama, le président de l’Amis. C’est un geste considérable. » Cette subvention concerne la partie culturelle du centre, qui doit accueillir bibliothèque et salles de cours. Difficile de savoir combien coûtera réellement la construction. « On est en train d’évaluer tout ça », indique Sabar Ladj, en ajoutant que la collecte de fonds n’en est qu’à ses débuts. »
Un autre article du Parisien du 14 décembre 2016 rappelle que le terrain « a été cédé pour un euro symbolique à la fédération des musulmans de Sarcelles »
L’association Dar At Tawid, intégrée à la fédération des musulmans de Sarcelles, a vu sa salle de prière fermée administrativement en janvier 2016. Son trésorier, Issam.N, est également le trésorier de l’association salafiste « Al-Islah-La Réforme ». Un des imâms occasionnels de Dar At Tawid est le syrien Abou Layth Al Armany, dirigeant l’institut salafiste Sounnah, qui assume parfaitement son orientation salafiste. 
Nous avons dans notre livre-enquête Mosquées Radicales, ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (éd.DMM,2016), retranscrit les prêches de l’imâm Abou ‘Assim de Dar-At-Tawid, qui insiste sur l’ « apprentissage de la science », soit « les règles de la législation islamique comme les transactions commerciales, les règles relatives à l’héritage, au mariage, et à la juridiction » (prêche du 6 mars 2015). Aussi, nous avons relevé l’apprentissage chaque mercredi du livre « Bréviaire de la jurisprudence » du cheikh saoudien Nassir as-Sa’adi (mort en 1956), qui commande de « décapiter par l’épée » l’apostat qui abjure l’islam, de tuer les couples non mariés, et qui précise que « les mécréants n’ont pas droit à la zakât  [l’aumône] » (Nassir as-Sa’adi, Bréviaire de la jurisprudence à l’usage des étudiants en sciences religieuses, éditions Assia).
Ou comment les députés-maires Parti Socialiste financent le salafisme.

Vigilance Halal

 

 


   
 

 
Madame, Monsieur


En cette fin d’année, voici venue l’heure du bilan de Vigilance Halal :
  • actions judiciaires en cours : plaintes pénales (Alès, St Etienne,Toulon), tribunaux administratifs ( Lyon, Meaux, Limoges ) , Conseil d’Etat. Voir les détails sur notre site.
  • Actions de communication : publicités, conférences ( 7 au cours de l’année), page Facebook suivie par 11600 personnes, Tweeter avec plus de 1000 followers, edition d’ouvrages scientifiques, émissions radio et TVlibertés.
  • Création du site Suivez le coq.fr, et de son réseau de boucheries traditionnelles dont vous pouvez voir ci-joint une publicité à paraître sur le prochain numéro de « Valeurs actuelles »
Tout cela grâce à vous !
Merci du fond du cœur, je vous souhaite un Joyeux Noël et une heureuse année 2017.
CONTINUEZ A NOUS SOUTENIR PAR VOS DONS DEDUCTIBLES FISCALEMENT SUR VOS REVENUS 2016 POUR UN DON AVANT LE 31 DECEMBRE /
UN DON DE 60 € VOUS PERMETTRA DE DEDUIRE 40€ ;

Alain de Peretti
Président de Vigilance Halal
 
 
 
 
 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Jack Lang veut faire de l’arabe l’équivalent de l’anglais !

 

 
À l’occasion de la fête de la langue arabe, organisée à l’IMA – Institut du monde arabe –, son président, Jack Lang – dont la carrière ressemble à un placement fructueux et sans risque ! –, vient encore de démontrer sa parfaite capacité à aller dans le sens du vent socialiste en déclarant, dans un entretien à Libération, que « la langue arabe doit être traitée comme l’anglais [car] c’est la quatrième langue la plus parlée au monde, la sixième officielle des Nations Unies, la cinquième en France. Nous sommes dans un pays où la langue arabe devrait être reine. »

Notre pays a déjà sa langue souveraine, merci ! 

Quant à l’anglais, monsieur Lang oublie que l’Empire britannique – « sur lequel le Soleil ne se couche jamais », disait-on – s’étendait, jadis, aux quatre coins du monde, ceci expliquant cela ; l’anglais a été adopté comme langue officielle dans 32 États sur 50 aux États-Unis, lesquels se sont développés sur les principes du libéralisme économique et ont essaimé sur la planète, comme chacun sait. Cerise sur le gâteau : Adam Smith, père fondateur de l’économie politique, était écossais !

L’arabe ne saurait donc être comparé à la langue de Dickens, au moins dans l’Histoire contemporaine. 

Que les liens avec le monde musulman soient anciens, c’est un fait, mais plus pour le pire que le meilleur ! Et si François Ier a « noué la première alliance entre un empire chrétien et un non chrétien avec Soliman le Magnifique », c’était pour contrer Charles Quint à défaut de s’enrichir intellectuellement, comme ce fut le cas avec l’Italie. Toujours pas de minaret en vue à Chambord !

Dans son essai Aristote au mont Saint-Michel, le médiéviste Sylvain Gouguenheim avait tempéré cet apport majeur de l’islam à la chrétienté, ce qui lui valut un lynchage en règle. 

Affirmant que « c’est une chance d’avoir été ensemencé par ses cultures », Jack Lang ne fait ainsi que réciter un catéchisme islamophile sans réelle consistance. Catéchisme qui, sous couvert d’enrichissement culturel – toujours à sens unique, au passage ! –, promeut en réalité l’enseignement de l’arabe au nom d’un électoralisme patent. Cet engouement massif pour la langue arabe trahit, surtout, un ancrage identitaire parallèle et un esprit de conquête. C’est un défi lancé à la nation française sur son propre sol. 

Enfin, essayer de « faire comprendre qu’elle est rattachée à autre chose qu’à la religion » est un contresens : l’arabe est indissociable du Coran. C’est dans cette langue que ce dernier fut révélé à Mahomet ; celle choisie exclusivement par Dieu, selon les musulmans. Son enseignement revêt forcément une connotation religieuse.

Une fois de plus, la gauche et ses thuriféraires – de Paris, Bruxelles et d’ailleurs ! – prouvent que le Grand Remplacement n’est pas une lubie d’extrême droite mais bien une réalité tangible.
À ce rythme de négation du réel et de notre culture, Albert Camus sera bientôt cloué au pilori pour avoir écrit :
« Ma patrie, c’est la langue française. »
Source 

Attentats de Nice : faut-il être attaqué pour adopter les bonnes mesures ?

 

 

La ville de Nice est-elle en train de devenir le laboratoire de la sécurité urbaine de demain ? Alors que le nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, préconise des sourires et des mots aimables pour redonner le moral aux policiers, alors qu’Emmanuel Macron annonce le retour à la très socialiste police de proximité pour répondre à la criminalité et au terrorisme, alors que les policiers continuent leurs manifestations, désespérant de se faire entendre par un gouvernement à la dérive, l’enquête sur l’attentat de Nice avance, mettant au jour une organisation bien plus complexe que celle à laquelle on aurait pu croire initialement.
Cinq mois après cet attentat qui a fait, sur la promenade des Anglais, le jour de la fête nationale, 86 morts et 400 blessés de 19 nationalités différentes, l’enquête progresse à grands pas. Loin d’entériner l’action d’un individu isolé qui se serait radicalisé face à son ordinateur, elle met au grand jour un réseau qui a bénéficié de ramifications dans différentes villes de France. À ce jour, ce ne sont pas moins de 11 personnes qui ont été interpellées à Nice et à Nantes, mises en cause, pour certaines d’entre elles, pour avoir procuré des armes à celui qui, au volant de son camion, allait provoquer le carnage que l’on sait. L’enquête actuellement diligentée met ainsi en évidence les relations qui existent entre le « milieu », souvent pourvoyeur de moyens criminels, et les terroristes susceptibles, à tout moment, d’agir sur notre territoire.
Si l’on en doutait encore, c’est donc bien une réponse globale qu’il convient d’apporter aujourd’hui aux phénomènes d’insécurité qui touchent la France. 

Ainsi, la ville de Nice, sans attendre la réaction d’un État défaillant qui en est encore à se demander par quel bout traiter de la question, a décidé de prendre le problème à bras-le-corps.
 – En augmentant tout d’abord son budget sécurité, pour le faire passer de 14 millions à plus de 20 millions par an.

– En renforçant, ensuite, sa police municipale. En effet, en doublant ses effectifs sur le terrain, et en les armant d’armes performantes, cette dernière sera à même de renforcer son efficacité opérationnelle 7 jours sur 7, tout au long de l’année.

– En faisant appel, afin de développer une politique de sécurité urbaine à la hauteur des risques sécuritaires que notre pays court aujourd’hui, à un groupe israélien, le groupe Lotan, qui s’est occupé par le passé de la sécurisation de l’aéroport de Tel Aviv.
Dans ce contexte, l’opposition est flagrante entre les responsables d’une ville qui a connu l’horreur d’un attentat terroriste de grande ampleur et des responsables locaux, pourtant de premier ordre, qui, réunis à l’occasion des états généraux de sécurité locale le 24 novembre dernier à Paris, ont été incapables de faire émerger la moindre solution concrète pour faire évoluer une stratégie adaptée aux enjeux sécuritaires que connaît notre société. 

Faut-il attendre d’être touché par de tels drames pour que nos responsables politiques prennent, enfin, la mesure de leurs responsabilités et adoptent les solutions qui conviennent ? Faut-il attendre le retour des djihadistes et d’attentats toujours plus meurtriers pour que notre pays se donne enfin les moyens, juridiques, matériels et institutionnels, à même de répondre à cette menace ? 

Dans la douleur, la ville de Nice vient de répondre à ces questions. L’organisation et les moyens de notre défense intérieure doivent évoluer rapidement, et chacun doit y prendre sa part.

 Olivier Damien

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Heureux comme un incendiaire de policier en France !

 

 
Vous pensiez benoîtement comme votre serviteur que l’exfiltration vers des cieux plus gauchisants de la sainte patronne des causes désespérées – j’ai nommé l’inénarrable ex-garde des Sceaux – allait sonner le glas du laxisme judiciaire. Eh bien, dois-je vous annoncer qu’en dépit des déclarations de fermeté du Catalan courroucé, Manuel le candidat de la révolte (sic), un des participants à la confection des cocktails Molotov qui ont permis la tentative d’assassinat de policiers à Viry-Châtillon en octobre dernier vient d’être libéré sous contrôle judiciaire… 

L’Express nous indique que, selon les avocats du mineur mis en examen pour complicité de tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique, « la famille est extrêmement soulagée » (sic). Ouf, nous respirons, l’honneur du pays des droits de l’homme et des Lumières est sauf, l’embastillement décidé par l’État arbitraire est levé, le « jeune », gentil, poli et travailleur selon l’expression consacrée par les riverains triés par les médias, peut vaquer à nouveau à ses occupations en cette veille de Noël – oups : en cette veille de fêtes-de-fin-d’année, en laïcisme dans le texte.
Faut-il rappeler que l’ex-Premier ministre qui s’essaye depuis une semaine à le faire oublier, colère rentrée et menton relevé, nous avait assuré que les coupables de « cet acte lâche et ignoble » seraient « sévèrement jugés »

Mots vains et pathétiques face à une justice qui fait la sourde oreille et continue à se vautrer dans la culture de l’excuse face à des prédateurs sans foi ni loi capables du pire. Sur la quinzaine d’assassins incendiaires, aucun n’a, à ce jour, été interpellé, laissant les quatre policiers blessés (dont deux très grièvement) dans une attente insupportable.

Il semblerait que la tentative d’incendie de fonctionnaire de police soit devenue un acte anodin à classer au rang des faits divers par nos juges au regard des atermoiements dont ils font preuve dans l’autre tentative de meurtre perpétrée lors des manifestations contre la loi El Khomri en mai 2016. Le courageux policier, échappant à l’incendie de son véhicule, avait esquivé les coups de son agresseur et s’était vu remettre une médaille pour ne pas avoir utilisé son arme de service… tout un symbole ! 

Pour autant, nos belles âmes argueront que la justice sait faire preuve de fermeté si l’on en croit la condamnation, en appel, à 10 ans de prison du buraliste tarnais pour le « meurtre » d’un cambrioleur qui s’était introduit dans son commerce, rejetant de ce fait l’argument de légitime défense. Cherchez l’erreur…

 Stanislas Lepic

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Des Juifs américains financent la reconstruction d’une mosquée en Floride

 

 
Le Comité juif américain (AJC) a fait don de fonds pour aider à reconstruire une mosquée en Floride qui avait été détruite par un incendie criminel.

Robert Silverman, le directeur des relations entre Musulmans et Juifs au sein de l’AJC, s’est rendu vendredi au centre islamique de Fort Pierce, dans le centre de la Floride, pour parler aux fidèles lors d’un office de prière du matin.

« Quand les Juifs ont été persécutés en Europe pendant l’époque de l’Inquisition il y a des siècles, ils se sont abrités dans des pays islamiques », a déclaré M. Silverman à l’assemblée, selon un communiqué de l’AJC. « Accueillir ces réfugiés était un acte de bonté qui ne sera jamais oublié par le peuple juif. Aujourd’hui, l’AJC est honoré de rendre un peu de cela, de manière symbolique. »

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