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mercredi, 14 décembre 2016

Joachim Véliocas invité de Radio courtoisie pour présenter « Mosquées Radicales »

 

 

Sarcelles : le ton monte au sujet de la construction de la grande mosquée

 

 

Le projet de grande mosquée prévu avenue Pierre-Koenig a de nouveau fait l’objet d’échanges vifs au conseil municipal de Sarcelles. Cette fois, le ton est passé de houleux à acerbe entre le maire François Pupponi (PS) et Mourad Chikaoui (PS), conseiller municipal de la majorité.

C’est la demande faite par l’association Metivta qui a ravivé les tensions. Celle-ci tient une crèche dans des locaux préfabriqués qui étaient utilisés par l’école Jean-Jaurès lorsqu’elle était en travaux. En difficulté financière, elle demande que son loyer baisse de 1 375 € à 300 € par mois. « Et on peut savoir où se situe cette crèche ? », a fait mine d’interroger Mourad Chikaoui. Selon ce dernier, ces locaux étaient promis à l’Association des musulmans d’inspiration sunnites (Amis), dont la salle de prière doit disparaître dans le cadre des travaux de rénovation urbaine.

« Je ne sais pas », a répondu le maire. « Vous dites que vous ne savez pas ? » « Je ne m’en souviens plus », poursuit l’édile « Mais que va devenir cette crèche quand sera construite l’avenue du Parisis », a demandé l’élue d’opposition Chantal Grolier (UDI). « On va leur trouver des locaux, on a trouvé un endroit, on est en train de voir comment le financer avec la CAF », a répondu le maire.
 


Mourad Chikaoui a interrogé à plusieurs reprises le maire, au sujet du projet de grande mosquée. LP/T.C.

Le sujet est revenu sur le tapis au point suivant, où il était question d’autoriser le projet d’agrandissement de la maison de quartier Valery-Watteau. « Est-ce qu’avec cet agrandissement, il y aura toujours de la place pour construire la grande mosquée ? », a interrogé Mourad Chikaoui. « Non », a répondu le maire à la stupéfaction générale, avant de reprendre. « A une question débile, j’ai du mal à répondre par autre chose que par une réponse débile. Vous êtes en train de dire qu’on va construire sur un terrain qui ne nous appartient plus ! (NDLR : il a été cédé pour un euro symbolique à la fédération des musulmans de Sarcelles). Bien entendu que l’extension se fera dans le périmètre actuel de la maison de quartier »

Les hostilités entre les deux élus ont démarré dès le compte-rendu de la séance précédente. Mourad Chikaoui avait demandé si l’intention affichée la dernière fois par la maire de rencontrer les responsables de l’Amis s’était soldée par un rendez-vous. François Pupponi a indiqué que le président de l’association était en voyage pour cinq mois et qu’il n’avait pas pu rencontrer d’autres représentants. Les échanges se sont corsés quelques minutes plus tard quand le maire a coupé la parole de son opposant, enjoignant ensuite son premier adjoint de lire la délibération suivante… pendant que l’autre élu s’égosillait au micro, sans succès.

 Thibault Chaffotte

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Attentat du Caire: 4 suspects arrêtés

 

 
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a annoncé aujourd'hui l'arrestation de quatre suspects dans l'enquête sur l'attentat contre une église copte au Caire qui a fait 24 morts dimanche.

M. Sissi, qui s'exprimait lors des funérailles des victimes, a également indiqué que l'auteur des faits était un kamikaze qui portait une ceinture d'explosifs.

En marge des obsèques, qui avaient lieu au Caire, certains rescapés et proches des victimes n'ont pas caché leur colère contre les forces de police, qui malgré leur présence aux abords de la cathédrale n'ont pu déjouer l'attentat.

Des échauffourées avaient éclaté dès dimanche, lorsque des manifestants avaient accusé les forces de police d'incompétence et exigé de Sissi qu'il limoge le ministre de l'Intérieur. Certains avaient scandé "Le peuple veut la chute du régime!", cri de ralliement en 2011 de l'insurrection qui avait fait tomber le président Hosni Moubarak.

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Il comparaît pour apologie du terrorisme

 

 
Un homme de 32 ans, interpellé samedi après le signalement d'un utilisateur de Facebook, doit être présenté aujourd'hui en comparution immédiate à Foix pour "apologie publique d'un acte de terrorisme" et "menace de mort en raison de la religion", a-t-on appris auprès du parquet. L'audience est fixée à 14H00 au tribunal correctionnel de Foix, a précisé une représentante du parquet.
Samedi, un utilisateur de Facebook avait signalé à la police des "menaces de mort réitérées" de la part d'un "individu se réclamant d'Allah et faisant l'apologie du terrorisme", selon un communiqué du procureur de la République à Foix, Karline Bouisset. Selon le document, "sans énoncer de cible particulière, l'intéressé indiquait parallèlement vouloir donner son âme à Allah le 12 décembre 2016", jour d'une visite du Premier ministre, Bernard Cazeneuve, en Ariège.

Le trentenaire a été interpellé samedi après-midi avec l'assistance du RAID à Pamiers (Ariège) et placé en garde à vue au SRPJ de Toulouse. Dimanche, sa garde à vue a été prolongée. Entendu, il s'est "défend[u] d'avoir conçu un quelconque projet criminel", avait indiqué dimanche Mme Bouisset. "La minutieuse perquisition menée chez lui confirme l'absence d'armes et aucun élément matériel n'accrédite à ce stade de l'enquête l'existence d'actes préparatoires tendant à la commission d'un crime", selon la même source.

"Questionné sur sa volonté de donner son âme à Allah le 12 décembre 2016, le mis en cause a expliqué qu'il avait choisi ce jour car il s'agit de la date anniversaire du prophète", poursuivait le parquet. Dimanche, la procureur écartait ainsi "en l'état des investigations", "tout lien" avec la venue du Premier ministre, Bernard Cazeneuve, et du Garde des Sceaux, Jean-Jacques Urvoas, dans le département hier. Ce qu'une source proche du dossier a confirmé aujourd'hui à l'issue de la garde à vue.

En janvier, le prévenu avait été condamné à 8 mois de prison en comparution immédiate, pour "outrage sur personne dépositaire de l'autorité publique", "menaces de mort sous condition", "intrusion dans un établissement scolaire" et "détention de stupéfiants", avait précisé le parquet.

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Espagne: arrêté pour soupçon de djihadisme

 

 
Un ancien membre des GAL, groupe paramilitaire clandestin opérant dans les années 1980 contre les séparatistes basques, a été arrêté par la police espagnole qui le soupçonne de liens avec le groupe Etat islamique (EI), a annoncé aujourd'hui le ministère de l'Intérieur.

L'homme arrêté à Ségovie, au nord de Madrid, par les agents de la Guardia civil, se préparait à commettre un attentat suicide dans des transports publics, ajoute le ministère. Il a également exprimé via internet son soutien aux attaques revendiquées par l'EI l'an dernier en Europe. Ancien membre des Groupes antiterroristes de libération, il a purgé une peine de prison pour sa participation au meurtre, en 1984 à Hendaye, d'un employé français des chemins de fer, Jean-Pierre Leiba. Il s'est également rendu en Afghanistan, en Syrie et dans les territoires palestiniens.

"Son degré de radicalisation l'a conduit à tenter de se procurer les moyens de commettre une attaque terroriste, en se portant volontaire pour commettre un attentat suicide aveugle contre des moyens de transport", note le ministère sans préciser de cibles. Les GAL, liés à des structures du pouvoir espagnol, ont été constitués clandestinement dans les années 1980 pour combattre les séparatistes basques de l'ETA. Quelque 28 assassinats leur ont été imputés entre 1983 et 1987.

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L’attentat du Caire lié aux Frères musulmans

 

 
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a annoncé lundi l'arrestation de quatre suspects dans l'attentat qui a fait 25 morts dimanche contre une église du Caire, alors que les soupçons des enquêteurs se dirigent désormais vers les Frères Musulmans.

L'attaque perpétrée dimanche dans l'église Saint-Pierre et Saint-Paul contiguë à la cathédrale copte Saint-Marc, siège du pape Tawadros II, n'a certes toujours pas été revendiquée.

Mais lundi soir le ministère de l'Intérieur a clairement accusé les dirigeants des Frères musulmans établis au Qatar d'en être à l'origine, avec pour objectif "de créer un conflit religieux à grande échelle".

La communauté copte égyptienne n'avait pas connu d'attentat aussi meurtrier depuis l'attaque suicide qui avait fait plus d'une vingtaine de morts le 1er janvier 2011 à la sortie d'une église à Alexandrie.
"L'auteur de l'attentat est Mahmoud Chafiq Mohamed Mostafa, il a 22 ans et il s'est fait exploser à l'aide d'une ceinture explosive", a affirmé M. Sissi lundi, lors des funérailles des victimes en présence de proches accablés par la douleur.

Un prélèvement ADN sur les parties du corps du kamikaze a permis de l'identifier.

Mahmoud Chafiq Mohamed Mostafa avait été arrêté et remis en liberté en 2014 alors qu'il assurait la sécurité des convois des Frères musulmans, selon un communiqué du ministère de l'Intérieur. Depuis, il était recherché dans le cadre de deux autres dossiers en lien avec des groupes fondamentalistes musulmans.

"Trois hommes et une femme ont été arrêtés et deux autres personnes sont toujours recherchées", a précisé le président égyptien.

Le ministère de l'Intérieur a communiqué leurs identités quelques heures plus tard. Mais les autorités continuent de rechercher d'autres suspects. Et parmi eux, un certain Mohab Mostafa el-Sayed Qassem, surnommé "Le Docteur", qui dirigeait le groupe.

Il s'était rendu en 2015 au Qatar pour rejoindre les dirigeants des Frères musulmans qui avaient fui l'Egypte. Ces derniers lui auraient offert un soutien logistique et financier pour mener ces attaques terroristes.

"C'est un coup qui nous a fait mal mais qui ne va pas nous briser", a assuré devant des dignitaires civils et religieux, coptes et musulmans, M. Sissi.

Pendant les funérailles, retransmises sur plusieurs chaînes de télévision égyptiennes, le président et le pape de l'Eglise copte Tawadros II, ont accompagné les cercueils portés par des militaires et recouverts de drapeaux égyptiens. Une minute de silence a été observée.

Le pape copte avait béni les cercueils rassemblés dans l'église de la Vierge Marie au Caire, devant plusieurs centaines de fidèles, dont beaucoup étaient en larmes. Cette attaque est "un coup dans le coeur de l'Egypte", a-t-il estimé.

L'attentat a durement frappé les Coptes d'Egypte mais il embarrasse aussi le régime d'Abdel Fattah al-Sissi, véritable cible des agresseurs, et lui donne du fil à retordre.

En premier lieu selon Victor Salama, professeur à la faculté de Sciences politiques de l'université du Caire, c'est le soutien de l'Eglise copte au gouvernement qui est visé.

"La revendication politique des islamistes pourrait être de dire qu'on fait payer aux Coptes leur soutien à la destitution des Frères musulmans (en juillet 2013, ndlr)", explique cet expert.

Déjà ciblés à plusieurs reprises depuis la destitution par l'armée de l'ancien président islamiste Mohamed Morsi, les Coptes représentent une cible facile.

Depuis l'été 2013, au moins 42 églises ont été attaquées, dont 37 incendiées ou endommagées, ainsi que des dizaines d'écoles, de maisons et de commerces appartenant à des Coptes, affirme Human Rights Watch. L'ONG accuse les forces de l'ordre d'avoir été absentes lors de ces attaques confessionnelles.

Le nouvel attentat laisse par ailleurs apparaître les faiblesses de l'appareil répressif tout puissant de l'Etat égyptien.

"C'est une claque pour le gouvernement", estime l'expert.

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Indonésie: un gouverneur chrétien jugé

 

 
Le gouverneur chrétien de Jakarta est jugé depuis mardi pour blasphème devant un tribunal de la capitale indonésienne, dans une affaire qui a déchaîné les passions dans ce pays musulman et déclenché des manifestations massives de partisans d'une ligne dure de l'islam.

Basuki Thahaja Purnama, surnommé Ahok -- premier gouverneur chrétien de la capitale depuis plus de 50 ans -- doit répondre de blasphème, un délit pour lequel il encourt jusqu'à cinq ans de prison de ferme.

Des dizaines d'islamistes partisans d'une ligne dure manifestaient à l'extérieur du tribunal, réclamant l'incarcération du gouverneur, au début de ce procès placé sous haute surveillance policière et retransmis en direct par les grandes chaînes de télévision nationales.
Issu d'une double minorité -- chrétienne et chinoise -- Ahok a provoqué une vague de contestation dans le pays musulman le plus peuplé au monde depuis sa prise de position controversée en septembre sur l'islam, en pleine campagne pour sa réélection en février 2017 à un scrutin qui s'annonce serré.

Le gouverneur connu pour son franc-parler avait déclaré que l'interprétation par certains oulémas (théologiens musulmans) d'un verset du Coran selon lequel un musulman ne doit élire qu'un dirigeant musulman était erronée.

Après la mise en ligne du discours qui s'est répandu sur les réseaux sociaux, des musulmans conservateurs ont dénoncé une insulte à l'islam et réclament depuis avec insistance le placement en détention du gouverneur. Des organisations islamistes ont appelé à des manifestations qui ont réuni ces derniers mois à deux reprises plus de 100.000 personnes à Jakarta. Un rassemblement s'était achevé par des violences.

Cette affaire est considérée par de nombreux observateurs comme un test pour la tolérance religieuse en Indonésie, pays d'Asie du Sud-Est où la réputation de pluralisme s'est érodée depuis la récente augmentation des attaques contre les minorités, notamment des chrétiens.

Le gouverneur de Jakarta, qui devançait largement ses concurrents dans les sondages avant cette affaire de blasphème, a depuis vu sa cote de popularité dégringoler et se retrouve en deuxième position dans les dernières enquêtes d'opinion, derrière Agus Harimurti Yudhoyono, le fils aîné de l'ancien président de confession musulmane.

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La crise du pétrole de 1973: le début de l'islamisation de l'Europe (video)

 

 

Le financement de l’islam, c’est le Coran alternatif !

 

 
Ce lundi se tenait, place Beauvau, la troisième session de « l’instance de dialogue avec l’islam » que le ci-devant ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait créée avec Manuel Valls, le 15 juin 2015. Parmi les dossiers à l’ordre du jour, celui sur le financement de l’islam en France.

Observons brièvement, à titre liminaire, que cette question se pose avec une acuité particulière en islam, dans la mesure où, précisément, le rapport des mahométans avec l’argent se conçoit différemment dans les autres religions du Livre. Pour nous en tenir au catholicisme, la Tradition de l’Église procède de Thomas d’Aquin distinguant, dans sa Somme théologique, la propriété d’un bien et l’usage de ce bien. Dans Rerum novarum, réquisitoire antisocialiste s’il en fut, Léon XIII enfonce le clou : « Sous ce rapport [celui de la possession légitime d’un bien], l’homme ne doit pas tenir les choses extérieures pour privées, mais pour communes, de telle sorte qu’il en fasse part facilement aux autres dans leurs nécessités. »

En d’autres termes, l’argent n’est pas une fin en soi et s’enchâsse dans une téléologie précise qui répond, en même temps, à la définition du bien commun : l’épanouissement collectif et individuel. Dans sa constitution pastorale, Gaudium et Spes (« joie et espoir »), promulguée par Paul VI à l’issue du concile de Vatican II, il est fermement rappelé que l’unité d’évaluation du bien commun est l’homme, animal social aristotélicien par excellence : « Dans la vie économico-sociale aussi, il faut honorer la dignité de la personne humaine, sa vocation intégrale et le bien de toute la société » (63, 1).

On le voit : contrairement à une opinion répandue, l’argent n’est pas un sujet tabou chez les catholiques, pour peu qu’on le considère sous sa dimension à la fois holiste et altruiste. 

De ce point de vue, la relation islamique à l’argent paraît plus ambivalente dans la mesure où il sert moins à l’épanouissement direct de l’Oumma (la communauté de croyants, seule nation qui tienne aux yeux de tout musulman) qu’à l’accomplissement individuel de la seule volonté d’Allah. Si le Coran proscrit l’usure (à l’instar des deux autres religions monothéistes) et érige l’aumône (la zakat, un des cinq piliers de l’islam) en obligation imprescriptible (« Dieu exterminera l’usure et fera germer l’aumône », II, 277), l’argent n’est pas ordonné autour d’une conception morale et théologique unitaire qui en fixerait le « mode d’emploi » dans tout le monde musulman. Ainsi, par exemple, « faute de clergé dans l’islam sunnite, il existe une “concurrence pour la collecte de la zakat”, explique Jérôme Bellion-Jourdan, docteur en sciences politiques, spécialiste des organisations caritatives islamiques » (Boris Thiolay et Besma Lahouri, « L’argent de l’islam », L’Express, 21 novembre 2002).
 Or, si le financement de l’islam suscite autant d’interrogations et d’inquiétudes, c’est bien à cause des colossales levées de fonds opérées auprès des fidèles mais encore par le biais d’un véritable capitalisme islamique organisé (banques coraniques, dons divers, etc.) ou informel (trafics en tous genres, caïdats des banlieues, etc.). Au surplus, aux dires de Hakim El Karoui, auteur d’Un islam français est possible, publié par l’Institut Montaigne, « la très grande majorité de l’argent qui circule bénéficie à des investisseurs privés, ceux qui contrôlent le monde du halal. Quant aux dons des fidèles, leur collecte et leur usage manquent de transparence » (Le Figaro, 11 décembre).

Il existe donc une réelle et problématique dynamique du nerf de la guerre islamique qu’une suppression des financements publics (baux emphytéotiques) conjuguée à une interdiction officielle des financements étrangers contribuerait à enrayer. Le flou comme la pusillanimité en ce domaine font le jeu de « l’islamo-business, vivier du terrorisme », pour reprendre l’intitulé du dernier essai (recensé dans ces colonnes) de Jean-Paul Gourévitch.

 Aristide Leucate

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Italie : les logements de particuliers vacants réquisitionnés pour les migrants

 

 

Entre Français et Italiens, on se chamaille souvent à qui de nos gouvernements est le plus décadent. Une petite rivalité aussi stérile que révélatrice, tant ces derniers excellent dans la mise en place de toutes sortes de procédés mirant à l’accélération du Grand Remplacement de leur peuple.

Ainsi, un nouveau plan national de distribution des migrants vient d’être adopté par le ministère de l’Intérieur italien, qui ne prévoit rien d’autre que la réquisition des propriétés secondaires vacantes de particuliers. Vous avez bien lu : des clandestins, qui violent nos lois et nos territoires, se verront offrir un séjour tous frais payés dans notre maison de vacances ou d’investissement, souvent si durement acquise. Oltre il danno la beffa : le citoyen italien, en plus de financer par ses impôts le remorquage, l’accueil et le maintien d’hôtes non désirés, sera contraint de leur céder son bien immobilier. Jean Raspail, dans son incroyable roman d’anticipation Le Camps des saints – où il décrit avec autant de clairvoyance le renoncement de l’homme blanc face à une invasion masquée de pitié -, n’aurait pas osé l’imaginer.
« Nous sommes prêts à abattre murs et barricades. Les circulaires sont écrites, les préfets avertis, »
​‌”
tonne le ministère. Cette mesure, s’il ne fait aucun doute qu’elle sera appliquée – au moins trois édifices privés ayant déjà été réquisitionnés de force -, vise surtout à obliger les maires récalcitrants à accueillir dans leur commune lesdits migrants, les structures d’accueil étant bondées depuis des mois, et les flux en augmentation constante (+24 % par rapport à l’année dernière), dans un pays où le nombre de vrais réfugiés ne dépasse pas la barre des 5 % (et même seulement 3 %, selon certaines préfectures).
Les incitations financières de 500 euros par immigré n’ayant pas convaincu les 5.600 municipalités sur 8.000 qui refusent encore de recevoir les clandestins, on est donc passé à la force brute par les réquisitions.

Un outrage à la démocratie encouragé ultérieurement par Mario Morcone, chef du département pour l’immigration au ministère de l’Intérieur, pour qui
« les maires pourraient en faire beaucoup, si seulement ils trouvaient la force de se débarrasser de l’angoisse du consensus qui conditionne trop la politique. »
​‌”
Une véritable incitation à braver la volonté des électeurs.

Audrey D’Aguanno

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Faut-il voiler les femmes corses ?

 

 

En réaction au reportage de France 2 qui montrait un café de Sevran où les femmes n’étaient pas les bienvenues, Maurice Szafran, ex-patron de Marianne, affirme sur le plateau de Canal+ qu’il en est de même dans les bars situés sur une île du sud de la France… L’homme procède par sous-entendus et ne nomme pas la Corse. La peur des représailles. Pas envie d’être honni sur l’île de beauté, hué, pourchassé, coupé en rondelles et intégré dans une quelconque charcutaille locale. Le saucisson d’âne aromatisé au Maurice Szafran. Son cauchemar.

Donc, d’après ce mythomane, en Corse, les clients de bar regardent de travers toute femme qui s’avise de venir s’asseoir en terrasse ou derrière le comptoir… Décidément, le bisoubobo est prêt à tout pour dédramatiser ce refus de toute présence féminine dans les quartiers musulmans. Bientôt, ce seront les Français qui auront inspiré cette exclusion à la culture islamique. Ils ne font que nous copier, mon pauvre monsieur… Les Corses voilent leurs femmes depuis des siècles, les Bretons les recouvrent d’une coiffe intégrale, les Alsaciens idem… Allez… Nous ne sommes pas en position de leur donner des leçons sur ce sujet. 

Il faut considérer le problème dans son entièreté, il n’y a pas que dans le 93 que les femmes sont mal accueillies dans les bars, persiste l’invité du « Grand Journal ». Sur ce point, notre bon Maurice a raison. Il n’y a pas que dans le 93. En Algérie aussi, en Tunisie, au Maroc, en Égypte, dans certains quartiers de Marseille, de Lyon, de Lille, etc. Le 93 n’a pas le monopole de l’apartheid anti-femmes. 

Mais à quoi bon lutter contre ce phénomène puisque les femmes musulmanes des quartiers concernés sont parties prenantes de cette exclusion ? Nullement gênées par cette interdiction tacite. L’Occidental se trompe de combat. Dans cette affaire, la gent masculine n’a pas le monopole du Moyen Âge. C’est un ensemble culturel qui est à prendre ou à laisser. Excepté quelques très rares militantes musulmanes, l’immense majorité adhère au concept. Les bien-pensants n’ont toujours pas compris qu’ils avaient importé un mode de fonctionnement global. Une mécanique bien huilée. Revoir le rôle de la femme dans la culture musulmane reviendrait à réviser toute la copie islamique. La cause est perdue d’avance. 

À moitié conscient de cette réalité, plutôt gênés aux entournures, les Maurice Szafran de tous les plateaux de télévision tentent le coup de la diversion. Inventent une autre réalité mais se prennent les pieds dans le tapis oriental. Ironiquement, un reporter de France 3 Corse est allé sur le terrain démontrer l’ineptie de l’accusation… À bien y regarder, les femmes semblent majoritaires sur la terrasse choisie pour le reportage. Diable ! Les hommes seraient-ils triquards dans les bars d’Ajaccio ? Chassés par les clientes à coups de rouleau à pâtisserie ? Maurice Szafran doit se rendre sur place pour enquêter… Les charcutiers corses s’occuperont de son hébergement. 

Jany Leroy

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Ligne Philippot ? Juste la traditionnelle ligne lepéniste !

 

 



Le Front national ? Voilà une nouvelle fois le Landernau médiatique tout agité. Il y aurait donc deux lignes politiques contradictoires au sein du Front national. L’une serait « philippotesque » et l’autre « marioniste ».

Il est un fait que, sociologie électorale aidant, le lepénisme nordiste social (avec descendants de mineurs issus de l’immigration) ne concorde pas toujours avec son homologue sudiste et libéral (retraités niçois façon CSP+, eux aussi parfois issus d’une autre immigration).

Pour être plus précis, la ligne « phillipotiste » serait donc plus d’ordre social, tandis que la « marionnesque » relèverait du seul domaine sociétal : ANPE contre IVG ou l’inverse, en d’autres termes. Voilà pour l’analyse à courte vue, généralement répercutée par les « médias dominants », et trop souvent régurgitée par un « peuple militant » aux contours idéologiques des plus flous, puisque recouvrant les multiples complexités et nuances de la sociologie française.

D’où le débat concernant les prétendus « fondamentaux » du Front national, qui ne sont finalement que vue de l’esprit ou question de perspectives. François Duprat, son théoricien historique, était de l’engeance nationale-révolutionnaire. D’autres lui ont succédé et, selon les époques, étaient plus ou moins étatistes ou libéraux, régionalistes ou colbertistes, occidentalistes ou européistes, atlantistes ou partisans d’une Europe incluant la vaste Russie, certains sonnant le tocsin contre l’immigration de masse tandis que d’autres en appelaient au rassemblement de Français de branche et de souche. Bref, open bar et happy hour à tous les étages…
Pour en revenir au temps qui nous occupe, à cinq mois de l’échéance majeure, vouloir résumer l’actuelle situation du FN à des arguments relevant plus du vaudou que de la politique paraît singulièrement saugrenu. 

Comme si Marine Le Pen avait été, en quelque sorte, « maraboutée » par un Florian Philippot, désormais présenté comme une sorte de Patrick Buisson lepéniste. Tout cela ne tient guère debout.
 Car ce serait considérer que le cerveau de la présidente du FN ne serait qu’outre vide, prête à se faire remplir aux quatre vents. Pour qui connaît la donzelle – et moi pas qu’un peu, ayant travaillé, depuis trente ans, pour trois générations de Le Pen –, j’en ai vu défiler un paquet, de gourous putatifs, généralement autoproclamés, et souvent virés dès qu’ils avaient la prétention de servir de cerveau d’appoint.

L’occasion, pour l’auteur de ces lignes, de rappeler que Marine Le Pen faisait déjà du Philippot dès 2002, alors que Florian usait encore son futal sur les bancs d’école… Bref, Marine Le Pen n’a attendu personne pour pencher du côté de la préférence nationale, privilégiant ainsi la question sociale plutôt que la problématique sociétale.

Cela signifie-t-il, pour autant, que Marine Le Pen aurait transformé le Front national en Front de gauche ? Tout au contraire.
Récemment, dans la revue Éléments, notre ami Christian Brosio, ancien directeur du défunt mensuel Le Spectacle du Monde, a signé un remarquable double portrait consacré à Jean d’Ormesson et Michel de Saint Pierre, membre historique du Front national « à l’ancienne ». Qu’y apprend-on ? Qu’à l’instar d’un François Fillon, Jean d’Ormesson était parangon des élégances bourgeoises, nuque raide et échine souple, tandis que Michel de Saint Pierre, véritable aristocrate, lui, fort d’une licence de lettres classiques, se fit « embaucher aux chantiers navals de Saint-Nazaire. […] Deux ans d’immersion au sein du prolétariat qui achèvent de le convaincre de l’urgence de la question sociale. Anticommuniste, il n’en approuve pas moins les mesures du Front populaire. »

Tout est dit. Et bien dit. Front national ou Front de gauche ? Front du peuple, tout simplement.

 Nicolas Gauthier

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Le mur « anti-intrusions » de la rocade de Calais est achevé

 

 
Financé par le Royaume-Uni, l’édifice de 4 mètres de hauteur et 1 km de long est destiné à empêcher les migrants de monter clandestinement dans des camions.
 
 
La construction d’un mur « anti-intrusions » à Calais est terminée, a annoncé lundi 12 décembre la préfecture du Pas-de-Calais. L’édifice de 4 mètres de hauteur et 1 kilomètre de long prolonge les grillages déjà installés sur la rocade près du port.
 
 Financé par le Royaume-Uni – à hauteur de 2,7 millions d’euros –, il doit être progressivement végétalisé côté circulation et vise à empêcher les migrants de monter clandestinement dans des camions.
 
Les travaux d’édification avaient débuté le 20 septembre, alors que « le camp de la Lande » – le nom officiel de la « jungle » où vivaient plusieurs milliers de migrants – était situé à proximité. Le camp a été démantelé à la fin d’octobre.
 
« C’est un outil extrêmement important, ça montre que l’autoroute est sécurisée », avait déclaré Jean-Marc Puissesseau, PDG du port de Boulogne-Calais, à la fin de novembre à l’occasion d’une conférence de presse.

Flux de migrants intarissable

 

Le mur avait été attaqué devant le tribunal administratif de Lille par la maire de Calais, Natacha Bouchart (Les Républicains). La justice avait finalement rejeté le 22 novembre la demande de la municipalité de suspendre la construction, estimant notamment que le flux de migrants n’allait pas « à court terme » se tarir.
Dans ces conditions, le mur pouvait « prévenir les probables tentatives d’intrusions » en sécurisant la circulation routière, « compte tenu de l’importance du trafic de camions », avait souligné le tribunal.
 
Avec dix millions de passagers par an, le port de Calais est le premier port français et le deuxième port européen de voyageurs, derrière Douvres en Angleterre.

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Le Parlement boucle sa mise en oeuvre de l'initiative de l'UDC

Le Parlement tient sa solution pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse. Le Conseil national a mis lundi la touche finale à un projet qui cible le marché du travail avec des contraintes limitées pour les employeurs.



Le National a éliminé toutes les divergences restantes. Par 98 voix contre 94, les députés n'ont pas voulu obliger le Conseil fédéral à soumettre les ordonnances d'application de la loi au Parlement, rejetant une proposition du PDC et de l'UDC.


Cette dernière a insisté en vain pour inscrire la préférence nationale. Le PDC aurait voulu assouplir les conditions permettant au Conseil fédéral d'agir, sans plus de succès. Marco Romani (PDC/TI) a décrié un projet "inefficace". Le solde migratoire dépend de la conjoncture économique, pas des lois, a rétorqué Cesla Amarelle (PS/VD) au nom de la commission.


UDC insatisfaite




Le projet doit encore passer le cap des votations finales vendredi, mais ce devrait être une formalité car l'UDC est la seule opposante déclarée. La direction du parti a en outre décidé de ne pas lancer de référendum, estimant que cela ne servirait à rien.


L'UDC est pourtant tout sauf satisfaite du travail parlementaire. A son grand dam, les Chambres n'ont jamais voulu instaurer ni plafonds, ni contingents annuels pour les Européens. Pas question de mettre en danger les relations bilatérales avec l'UE en enfreignant l'accord sur la libre circulation des personnes.


Le Parlement espère limiter l'immigration européenne en incitant les employeurs à recruter des chômeurs plutôt que des personnes à l'étranger. Dans le modèle par pallier retenu, le Conseil fédéral doit d'abord prendre des mesures pour épuiser le potentiel offert par la main-d'oeuvre en Suisse.


Chômeurs d'abord





Les patrons ne seront bridés que pour les groupes de profession, domaines d'activité ou régions économiques qui enregistrent un chômage supérieur à la moyenne. Sous peine d'une amende pouvant aller jusqu'à 40'000 francs, les employeurs devront annoncer leurs postes vacants aux services publics de l'emploi et convoquer à un entretien ou un test d'aptitude les candidats sélectionnés par le service.


Pas question toutefois d'obliger les patrons à justifier leur éventuel refus. Craignant un excès de bureaucratie, la majorité bourgeoise a vite tordu le cou à cette idée initialement soutenue par le Conseil des Etats. Les résultats de la procédure devront simplement être communiqués au service de l'emploi.


Les mesures concernant les embauches pourront être limitées à des régions économiques comme le Tessin et les cantons en proposer au Conseil fédéral, par exemple en cas de problèmes sérieux causés par des frontaliers. Le gouvernement pourra aussi arrêter des exceptions, notamment pour les entreprises familiales.


Le Parlement saisi



Si l'effet visé n'est pas atteint, il devra soumettre des mesures supplémentaires au Parlement. Elles devront être respectueuses des engagements de la Suisse relevant du droit international même si le Parlement ne l'a finalement pas précisé dans la loi.


Contrairement à ce que proposait le Conseil fédéral, il sera exclu de contingenter les permis des personnes ne venant pas travailler comme les étudiants, les rentiers ou les étrangers en séjour de soins. Pour l'immigration extra-européenne, l'actuel système de plafonds annuels sera poursuivi.


Afin d'éviter les abus à la libre circulation, les étrangers séjournant en Suisse comme chercheurs d'emploi n'auront pas accès à l'aide sociale. Les Européens qui perdent leur emploi durant la première année de séjour auront six mois pour quitter la Suisse.


Constitution enfreinte


Cette mise en oeuvre ne respecte pas le texte voté par le peuple le 9 février 2014. Mais les accords bilatéraux doivent être sauvés et le peuple devra de toute façon revoter sur une adaptation de la charte fondamentale en raison de l'initiative "Sortons de l'impasse" (RASA) qui veut biffer le nouvel article constitutionnel, ont fait valoir le Conseil fédéral et la majorité durant les débats.


Les Chambres fédérales ont paré au plus pressé. Rien ne dit que leur solution permettra de limiter l'immigration, mais elles devaient boucler leur travail cette session afin que Conseil fédéral puisse ratifier l'extension de l'accord à la Croatie et la Suisse être pleinement réintégrée à l'accord européen sur la recherche Horizon 2020.


Source 

Le djihad politique de Marwan Muhammad…

 

 

Marwan Muhammad est un personnage de Michel Houellebecq dans Soumission, as simple as that. Visage aimable de l’islamisation du pays à marche forcée, il n’a jamais hésité à s’afficher avec des individus sulfureux. Il compte parmi ses relations Rachid Abou Houdeyfa, l’imam de Brest qui déclarait que la musique pouvait transformer les enfants en porcs, le parti raciste anti-blanc des Indigènes de la République, les Frères musulmans de l’UOIF, le blogueur Al-Kanz ou bien encore Tariq Ramadan, dont vous devez tous connaître la carrière… Qui se ressemble s’assemble !

Marwan Muhammad est la nouvelle star de l’islamisme sympa que les éditocrates de la presse bobo veulent nous vendre à toute force. Il avait tout pour plaire à ces gens-là : un esprit de sérieux que ne dément jamais son visage fermé par un bouc bien taillé, une dialectique marxiste culturelle axée sur la détestation de l’oppresseur occidental et une propension rare à la victimisation.
Sous le masque d’une pseudo-modernité de façade, Marwan Muhammad défend une vision obscurantiste de l’islam où le fait, pour un homme, de serrer la main d’une femme s’apparente à de la « fornication »… Nous, simples mortels, Français simplex, ontologiquement coupables de tous les crimes de l’humanité, ne pouvons pas comprendre qu’il s’agit simplement d’une distance culturelle. 

Trop intolérants, nous voulons forcer les musulmans à respecter les lois de la République française, chose que se refuseront à faire les partisans du Collectif contre l’islamophobie en France.
 Pour ces gens, interdire la burka ou prohiber les minarets sur le territoire national constitueraient d’affreuses atteintes aux musulmans, victimes éternelles de discriminations… On rêve. Pourtant, ces discours séduisent la deuxième gauche, acquise aux idées multiculturelles et au dogme du village global. Ethno-masochistes, ils voient en l’autre un idéal, un substitut, une victime et un remplaçant potentiel.

Très fourbe, le président du Collectif contre l’islamophobie en France a récemment publié un texte dans lequel il explique que « le racisme et l’intolérance, c’est prendre la différence de l’autre pour en faire un problème ». Un moyen pernicieux de nous dire que si nous n’acceptons pas le port du voile islamique dans les lieux publics, c’est peut-être parce que nous serions racistes !

Organisateur de la cabale contre le restaurateur du Cénacle, accusé d’islamophobie pour avoir refusé de servir deux femmes voilées venues en service commandé, Marwan Muhammad ne trouve pourtant rien à redire contre les cafés réservés aux hommes qui poussent comme des champignons dans les zones de non-France. Disons-le tout net : poison islamiste aux méthodes léninistes, Marwan Muhammad agit contre la France en essayant de traduire politiquement l’islam de combat.

Gabriel Robin

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Fillon, Chartier et Estrosi en flagrant délit de complaisance avec l’islam ?

 

 
 


Durant la primaire de la droite et du centre, les Français avaient découvert « Ali Juppé », le candidat d’une complaisante naïveté sur la question de l’islamisme. Le corps électoral des Républicains ne lui avait pas pardonné cette compromission affichée et lui avait infligé une violente défaite dans les urnes. Mais ces derniers jours, c’est au tour de trois autres hommes forts du parti de se retrouver au cœur de polémiques similaires : François Fillon, Jérôme Chartier et Christian Estrosi.

François Fillon, tout d’abord. Le candidat à la présidentielle a eu la désagréable surprise de voir remonter des abîmes d’un Internet qui n’oublie jamais rien la photo d’une rencontre avec Salih Farhoud, le recteur de la mosquée de Stains. Administrativement fermée depuis un mois par le ministère de l’Intérieur, cette mosquée se révèle être un véritable nid à djihadistes : pendant que certains fidèles partent combattre en Syrie (notamment le célèbre Fabien Clain), d’autres sont suspectés d’avoir préparé une attaque terroriste sur le sol français. Si Salih Farhoud tente de nous expliquer qu’il n’y est pour rien, c’est quand même bien lui qui a tenu des propos anti-chrétiens, déclarant sans complexe à la télévision égyptienne qu’« un chrétien ne peut être affecté au ministère du Trésor » et que « ce portefeuille doit être détenu par un musulman ».
Au lendemain d’une attaque terroriste dans la cathédrale copte du Caire qui a fait 23 morts et 49 blessés, cette phrase prend une tournure plus terrifiante encore. Mais cela ne devrait pas empêcher de dormir ce leader de la communauté égyptienne de France : il est surtout préoccupé par la réouverture de sa mosquée, multipliant les recours et pressions auprès de l’administration ces derniers jours. Passionné par les armes (on l’aperçoit sur de nombreux clichés le fusil à la main), Salih Farhoud est aussi proche du très médiatique imam « modéré » Chalghoumi (du coup, l’est-il vraiment ?). Il a, en tout cas, parfaitement transmis sa passion pour la religion et les armes à ses deux fils : il sont partis faire le djihad !

Offrons le bénéfice du doute à François Fillon : peut-être ne connaissait-il pas le pedigree du personnage lorsqu’il l’a rencontré en 2014.

Ce qui dénote, dans ce cas, un amateurisme inquiétant : comment se fait-il que l’ancien numéro 1 du gouvernement Sarkozy n’ait pas vérifié quel était le profil de celui qu’il rencontrait ? Son équipe est, en tout cas, embarrassée : elle a d’abord tenté de faire croire à un montage, avant de finalement reconnaître l’authenticité du cliché.
Cette affaire est un nouveau discrédit pour celui qui doit, déjà, se justifier d’avoir été le premier Premier ministre en exercice à inaugurer une mosquée – l’une des plus grandes d’Europe – à coté d’une fillette… en hijab. 
 Difficile, ensuite, de croire en sa volonté de « Vaincre le totalitarisme islamique », titre du livre qui lui avait pourtant permis de créer la dynamique de campagne qui lui manquait tant. Mais c’est aussi au cœur de son équipe que les faits viennent contredire le positionnement de communication du candidat à la présidentielle. Le 3 décembre, c’est Jérôme Chartier qui déclenchait la polémique sur les réseaux sociaux, en invitant aux Entretiens de Royaumont – son club d’influence – des personnalités de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), émanation des Frères musulmans… et organisation classée comme terroriste dans de nombreux pays ! Ainsi, le porte-parole de François Fillon offrait une tribune, devant un parterre de patrons et d’élus, à l’imam UOIF de Bordeaux Tareq Oubrou (décoré de la Légion d’honneur… par Alain Juppé) et à El Hassan Oukfer, directeur du très sulfureux lycée Averroès, lui aussi piloté par la branche française des Frères musulmans. 

Enfin, depuis la sortie du livre Les Revenants écrit par le spécialiste du djihad David Thomson, c’est Christian Estrosi qui est touché par une autre polémique. Cette fois, c’est un djihadiste repenti qui accuse l’ancien maire de Nice d’avoir « laissé faire » Omar Omsen, le principal recruteur de l’État islamique en France. Selon lui, Estrosi « était au courant de tout ça ». Si le désormais premier adjoint de la ville la plus touchée par les départs pour le djihad a porté plainte contre son accusateur et crie au mensonge sur les plateaux de télévision, cette affaire risque d’alimenter le surnom que lui donnent certains de ses détracteurs : « l’imam Estrosi ».
Condamné par le tribunal administratif pour le loyer complaisant de la mosquée rue de Suisse, Christian Estrosi a aussi accordé une subvention municipale de 3.000 € aux Jeunes musulmans de France (JMF), la branche jeune de l’UOIF. Difficile à expliquer aux habitants d’une ville qui a basculé dans l’horreur du terrorisme islamiste, le 14 juillet dernier. 

Damien Rieu

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mardi, 13 décembre 2016

Toulouse : la mosquée de Bagatelle conteste la fermeture municipale

 

 
Depuis la fin du mois de septembre, la mosquée du chemin de Bagatelle, animée par le centre toulousain de la spiritualité musulmane, est sous le coup d’un arrêté municipal de fermeture pour des raisons de sécurité et d’accessibilité. Une décision que le président de l’association Khalid ne s’explique pas.


« C’est une fermeture brutale qui nous met en difficulté, explique-t-il. Que faire des quelques 300 personnes qui fréquentent le lieu de culte et qui viennent prier quotidiennement»? Pour lui, la décision de la mairie est d’autant plus paradoxale  que c’est à l’initiative de la mosquée  « dans un souci de dialogue» que la municipalité a été approchée notamment pour régler ces questions de sécurité.

« On nous a dit, on va vous accompagner avec d’ailleurs le concours de la sécurité civile et des risques majeurs, poursuit Khalid, nous avons fait des efforts et nous continuons à en faire.Nous nous sommes équipés d’un tapis antifeu et d’extincteurs, ce qui rend la fermeture d’autant plus incompréhensible».  Aujourd’hui, l’association demande des délais pour faire des propositions susceptibles d’améliorer encore la sécurité. «On veut un compromis, plaide Khalid, le président, d’autant qu’on ne peut pas gérer une fermeture pure et simple au regard de la demande des fidèles». Et quand on lui demande si c’est le contexte d’islamophobie qui a pu peser,  il constate que «la mairie n’a jamais eu de griefs et qu’il n’y a eu que des échos favorables à la démarche interconfessionnelle de la mosquée".Dimanche prochain, par exemple, des prêtres viendront se joindre aux imams "pour  une conférence sur Jésus et Mohammed». Sans solution, le centre toulousain de la spiritualité musulmane a engagé une action devant le tribunal administratif après avoir été débouté en référé.


Gilles Souilles

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Attentat de Nice: 11 nouvelles interpellations

 

 
Onze personnes soupçonnées d'avoir apporté une aide matérielle directe ou indirecte à la réalisation de l'attentat de Nice le 14 juillet dernier, ont été interpellées ce matin par des policiers d'élite, indique une source proche du dossier.

"Il s'agit de la filière logistique, de gens qui auraient pu aider à commettre l'attentat" a précisé cette source. Les investigations portent notamment sur le "volet armes" du dossier. Plusieurs ressortissants de pays de l'Est figurent parmi les personnes arrêtées dans plusieurs secteurs de Nice et une autre à Nantes. Toutes ont été placées en garde à vue pour 96 heures.

L'attaque commise le 14 juillet sur la promenade des Anglais par Mohamed Lahouaiej Bouhlel et revendiquée par l'Etat islamique a fait 86 morts et plus de 300 blessés.

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Lutte antiterroriste. Un mouvement néonazi interdit au Royaume-Uni

 

 
 

 

Le mouvement néonazi britannique « National Action », qui a salué le « sacrifice » du meurtrier de la députée Jo Cox, sera le premier groupe d’extrême droite à être interdit en vertu de la législation antiterroriste britannique, a annoncé ce lundi le ministère de l’Intérieur.
 
 
Cette interdiction, qui prendra effet vendredi, est la première de ce genre, en vertu du Terrorism Act 2000, a confirmé un porte-parole du ministère de l’Intérieur.

« Je prends aujourd’hui des mesures pour interdire le groupe néonazi National Action. Cela signifiera qu’en être membre ou appeler à soutenir cette organisation sera un délit », a indiqué lundi dans un communiqué la ministre de l’Intérieur Amber Rudd.
Le décret d’interdiction doit être présenté au Parlement ce lundi et prendra effet vendredi, après avoir été débattu mercredi et jeudi.

Une organisation « qui attise la haine »

 

« National Action est une organisation raciste, antisémite et homophobe qui attise la haine, glorifie la violence et fait la promotion d’une idéologie abjecte », a ajouté la ministre. « Elle n’a absolument pas sa place au Royaume-Uni », a-t-elle écrit.
Le site internet du groupuscule montre notamment des photographies de membres faisant le salut nazi. Il indique également avoir organisé un concours de la « Miss Hitler 2016 » et fait l’apologie du « pouvoir blanc ».

Sur son compte Twitter, le groupe a défendu « le sacrifice » de Thomas Mair, l’homme qui a tué la députée europhile Jo Cox de plusieurs balles et coups d couteau le 16 juin, une semaine avant le référendum britannique sur l’appartenance du pays à l’Union européenne.

Motivations politiques

 

« #Votezlasortie, ne laissez pas le sacrifice de cet homme être vain. #JoCox aurait rempli le Yorkshire avec davantage de sous-humains », a ainsi écrit le groupe sur son compte Twitter.
La Cour criminelle de l’Old Bailey, à Londres, a établi que Thomas Mair, 53 ans, qui consultait notamment des sites néonazis, avait agi pour des motivations politiques et qualifié son crime de terroriste. Il a été condamné fin novembre à la prison à vie.

Le ministère a précisé dans son communiqué « avoir pris la décision d’interdire National Action avant le procès de Thomas Mair », mais rendre public l’ordre d’interdiction du groupe seulement maintenant parce qu’il ne voulait pas que cela « ait un impact » sur le procès.

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Mosquée d'Ecquevilly: un homme arrêté après des menaces contre un gendarme

 

 

L'individu est soupçonné d'avoir proféré des menaces samedi à l'encontre d'un gendarme des renseignements territoriaux en civil. Il l'aurait verbalement agressé au sujet de la fermeture de la salle de prière d'Ecquevilly.

Interpellation ce lundi matin à Ecquevilly, dans les Yvelines. Un homme soupçonné de menaces à l'encontre d'un gendarme des renseignements territoriaux a été arrêté, rapportent à L'Express des sources concordantes, confirmant une information du Parisien. Les faits qui lui sont reprochés se sont déroulés samedi en fin de matinée, nous précise une source policière. 

Le gendarme, alors en civil, est reconnu par trois hommes à la sortie d'une mosquée. Toujours selon la même source, les individus âgés d'une trentaine d'années et connus notamment pour des faits de violences et d'outrages l'auraient alors abordé et menacé au sujet de la fermeture de la mosquée d'Ecquevilly le 2 novembre dernier.  

Incitation à la haine et apologie du terrorisme 

 

C'est l'un des trois suspects qui a été arrêté ce lundi, les deux autres étant en fuite. D'après Le Parisien, ce sont des vêtements retrouvés à son domicile lors d'une perquisition qui ont permis de le confondre, leur description correspondant à celle de la victime.  
Le Conseil d'État a confirmé la semaine dernière la fermeture de la mosquée salafiste d'Ecquevilly par les autorités, qui l'accusent d'incitation à la haine et d'apologie du terrorisme. Cette salle de prière salafiste quiétiste avait été fermée le 2 novembre dernier par la préfecture jusqu'à la fin de l'état d'urgence, mesure confirmée par le tribunal administratif de Versailles le 17 novembre. En cause, la teneur des discours de son populaire imam.

Claire Hache 

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Vigilence Hallal

 

 

La Région bruxelloise indemnise les musulmans: 75€ pour ceux qui n'ont pas reçu leur mouton

 

 
Les particuliers qui n’ont pas reçu en septembre leur mouton lors de la fête du Sacrifice recevront une indemnité de 75 €.

 
Le gouvernement bruxellois a décidé d’indemniser partiellement les centaines de particuliers de confession musulmane qui n’ont pas reçu, en septembre dernier, le mouton sacrifié qu’ils avaient commandé dans le cadre de la fête du Sacrifice. Alors que la Région bruxelloise avait pris pour la première fois en charge l’organisation de l’abattage rituel, afin de concilier le respect des rites musulmans et la nouvelle réglementation européenne sur le bien-être animal, la société chargée d’abattre et livrer les moutons n’avait pas été capable de le faire. Un échec qui avait eu pour conséquence de gâcher ce qui est une fête très importante pour les musulmans.

Dans les quatre communes où la société flamande ITC était censée livrer les bêtes abattues sur le tout nouveau méga-site unique situé sur le territoire de la Ville de Bruxelles, à savoir Schaerbeek, Molenbeek, Anderlecht et Bruxelles-ville, seule une partie des 655 animaux était finalement arrivée. À l’époque, les familles concernées avaient déboursé 220 € pour une bête qu’ils n’avaient jamais reçue. La Région bruxelloise va donc débloquer un montant forfaitaire de 75 € pour chaque particulier lésé, ce qui représente un tiers de la somme dépensée.

Du côté du MR , dans l’opposition, le geste financier est vu d’un très mauvais œil. "C’est absolument scandaleux ! Cela relève d’un insupportable communautarisme et c’est du pur clientélisme électoral. Si quelqu’un doit éventuellement indemniser c’est l’entreprise privée pas le gouvernement bruxellois. Le MR refuse catégoriquement que de l’argent public soit utilisé à cette fin", insiste le député bruxellois Alain Destexhe.

Reste que les autorités régionales vont indemniser les particuliers lésés grâce à une ristourne obtenue auprès de l’entreprise défaillante. "La SPRL ITC a accepté de réduire la facture au montant de 150.000 €. Cette réduction de 50.000 € par rapport au montant initial du marché permet à la Région de Bruxelles-Capitale d’indemniser les particuliers ayant subi un dommage en raison de l’exécution défaillante du marché", explique le gouvernement dans son projet d’ordonnance.

En vertu d’un accord passé le mois dernier entre la Région bruxelloise et l’entreprise défaillante, c’est cette dernière qui prendra à sa charge toute éventuelle nouvelle demande d’indemnité supérieure à 75 €. Désirant rapidement tourner la page, les autorités régionales ont en tout cas annoncé, fin novembre, qu’elles n’organiseront plus à l’avenir la fête du sacrifice.

 Julien Thomas

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McDonald’s explique son process halal

 

 
McDonald’s a révélé les étapes de certification «halal» des produits qu’il sert ainsi que le processus de conditionnement et d’acheminement vers les restaurants présents au Maroc.

McDonald’s Maroc prend ses certifications «halal» très au sérieux, si bien que les fournisseurs qui ont coutume de répondre aux besoins des restaurants basés dans la région MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient) passent au peigne fin l'ensemble de leurs processus de production afin de donner constamment satisfaction. Et c’est pour faire l’exposé de ces procédés qu’un point de presse a été tenu, mercredi 7 décembre à Casablanca, à l’occasion d’une table ronde riche de la présence de plusieurs partenaires de l’enseigne, spécialisés dans ce segment de marché. Tenant des stands individuels en marge de l’événement, ces derniers ont révélé les détails de leur cuisine interne et les efforts déployés pour honorer leurs engagements avec la chaîne de fast-food.

C’est le cas de l’Égyptien FarmFrites, fournisseur de pommes-frites attitré de McDonald's Maroc. Celui-ci, depuis qu’il a obtenu le certificat halal de l’Institut marocain de normalisation (Imanor), dont le management était   également présent, fournit les représentations marocaines de l’enseigne, ainsi que les marchés à compositions culturelle et cultuelle similaires, de pommes-frites conformes aux standards établis en la matière.

Les pommes de terre sont récoltées à près de 130 km au nord du Caire (en Égypte) et sont ensuite acheminées vers les usines locales ou à destination des unités de production situées en Pologne ou en Belgique. Ces usines sont également certifiées halal et sont soumises régulièrement à des simulations de continuité afin de s'assurer que le risque de rupture soit maintenu à zéro. Dès lors, FarmFrites garantit que la frite présente sur les zones desservies est la même partout, avec la même consistance et le même goût.
Ensuite, c’était au tour d’Olivier Enderli, représentant d’Ospelt, représentant du fournisseur de viande de poulet de McDonald’s Maroc. Ce dernier a réitéré l’attachement de son groupe à maintenir des procédés halal au niveau souhaité par les organismes de certification. Les poulets sont ainsi égorgés manuellement par un égorgeur attitré, puis traités et conditionnés pour en faire, entre autres, les fameux nuggets. Enfin, Diego Salgado, représentant du fournisseur de viande de bœuf de McDonald’s Maroc, a assuré à son tour que les bœufs égorgés pour le compte de l’enseigne le sont de manière halal, sous le contrôle des certificateurs. Le quart avant de la bête est ensuite enveloppé et conditionné pour préserver ses qualités alimentaires. Des procédés, de bout en bout, certifiés par l’Imanor. 

 Mehdi MOUTTALIB

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Commerce halal : condamnation au pénal du supermarché le Triangle

 

 
Le 3 novembre dernier, le magasin le Triangle, de Roubaix, était condamné par le tribunal correctionnel de Lille à plusieurs amendes représentant près de 8 000 €. Le supermarché a réagi à notre article paru le lendemain.


Le 3 novembre dernier, une audience du tribunal correctionnel de Lille était l’occasion d’apprendre que le supermarché le Triangle, avait, depuis sa création, fait l’objet de deux séries de contrôles de la Direction départementale de protection des populations, chargée notamment des questions d’hygiène. L’une de deux inspections a eu lieu en 2013, l’autre en 2015. Nous avons publié un article le 4 novembre dernier. L’avocat du Triangle s’inquiète de possibles confusions dans ce texte, notamment entre les deux opérations de la préfecture. Cette position nous surprend.

Un défi commercial 

 

Revoici donc les faits. Ouvert rue de l’Épeule le 22 juin 2013, le commerce fait l’objet d’un contrôle de la DDPP quelques mois plus tard. Lorsque ses agents débarquent dans les allées et les coulisses de la grande surface, ils découvrent des sols laissant à désirer, des portes rouillées… «  Nous avions un impératif d’ouverture, expliquera l’un des co-responsables du magasin à l’audience du 4 novembre dernier. Notre investissement était important et nous ne pouvions pas attendre. Le premier contrôle a eu lieu deux mois après notre inauguration . » «  Nous avons emménagé dans un ancien supermarché vieux de vingt ans, insistera l’investisseur, admettant des manquements. L’état général n’était pas brillant. Ce sont 3 000 m2. Un vrai défi  ! »

Un pulvérisateur de jardin utilisé pour… asperger les pains

 

Les inspecteurs de la DDPP ont observé des problèmes d’affichage. Là, il est question d’origine, de traçabilité de la viande. «  Quand le contrôle a eu lieu, le travail n’était pas achevé, complétera le commerçant face au président Defossez. On ne nous a pas reproché de vendre de la viande avariée. » Un inspecteur de la DDPP le remplacera à la barre. Le fonctionnaire rappelle qu’après une inspection, une entreprise se voit confier un délai pour se mettre en conformité, sous peine, par exemple, de poursuites. La deuxième visite aura lieu en novembre 2013. Le constat ne sera pas plus brillant. Au moment du premier contrôle, les agents étaient tombés sur un pulvérisateur de jardin utilisé pour… asperger les pains. Cette fois, c’est un appareil non destiné aux denrées alimentaires qui est utilisé. De la semoule est également stockée à même le sol. Enfin, des bouteilles de produit d’entretien sont repêchées dans des sachets contenant des épices…

« Le consommateur n’a pas à prendre les risques »
 
Le 3 novembre dernier, le Triangle n’était poursuivi que pour les inspections de 2013. Les débats ont cependant été l’occasion d’apprendre l’existence d’une autre série de vérifications survenues au Triangle, deux ans plus tard, en septembre et novembre 2015. Le représentant de la DDPP en révélera les conclusions à la barre. À l’occasion de ces nouvelles visites, la DDPP découvrira un stockage de viande non protégée dans un chariot dans un atelier, des caisses de viande verdâtre, sans oublier des moisissures dans l’atelier de fabrication de merguez. «  Nous avançons en fonction de nos moyens  », insistera de nouveau le manager face aux magistrats. «  Le consommateur n’a rien demandé, rétorquera alors le procureur Stéphane Magnino. Il n’a pas à prendre les risques. »

Seules les constatations de 2013 étaient poursuivies début novembre. Avec comme sanction plus de 8 000 euros en amendes diverses.

 Lakhdar Belaid 

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La Frette-sur-Seine (95) : Leur petit garçon dormait dans le garage et pesait 17 kilos, 6 mois avec sursis

 

 
 
Il y a deux ans, début août, le voisin d’un couple vivant à La Frette-sur-Seine découvre leur enfant de cinq ans et demi dans un état pitoyable sur le chemin menant à la maison familiale. Seul. Le tee-shirt déchiré. L’oeil blessé. Il mesure 1,11 mètre pour seulement 17 kilos…
(…)




Jeudi soir, les parents du petit garçon, Mohamed, 35 ans, et son épouse, Sitty, 30 ans, ont répondu devant le tribunal correctionnel de Pontoise de délaissement de mineur de 15 ans compromettant sa santé ou sa sécurité. Ils ont reconnu le minimum : quelques fessées et des absences prolongées, mais ont nié la chambre dans le garage. Ils ont été respectivement condamnés à six et quatre mois de prison avec sursis.

Et comme toujours : COMMENTAIRES CLOS!!!

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Manneville-Sur-Risle (27) : un élève de 13 ans frappe et menace d’égorger trois surveillants

 

 
Les évènements ont eu lieu à Manneville-Sur-Risle, commune de l’agglomération de Pont-Audemer, département de l’Eure, en haute-Normandie. Nous sommes à environ une demie-heure de route de Saint-Étienne du Rouvray, où le Père Hamel a été égorgé.



l’Éveil de Pont-Audemer

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Dans certains territoires, le vivre-ensemble au quotidien, c'est l'islamisme

 

 
Elisabeth Lévy déclare au Figarovox :
"[...] C'est une annonce prématurée, mais de fait, comme l'explique Jean-Pierre Legoff dans ce numéro [Causeur], le gauchisme culturel est en train de perdre de sa superbe. En clair, il n'est plus le seul arbitre des élégances intellectuelles et morales. Et c'est vrai, en dépit des différences de situation, aux Etats-Unis comme en France. L'universitaire Mark Lilla a expliqué cette semaine dans Le Monde que l'échec de Clinton était celui de la gauche qu'il appelle «diversitaire», qui n'a pas vu, écrit-il, que «son obsession de la diversité incitait les Américains blancs, ruraux, croyants à se concevoir comme un groupe défavorisé dont l'identité est menacée ou bafouée. Ces personnes ne réagissent pas contre la réalité d'une Amérique multiculturelle (en réalité, elles ont tendance à vivre dans des régions où la population est homogène). Elles réagissent contre l'omniprésence du discours de l'identité, ce qu'elles appellent le ‘politiquement correct'». Et en France, la défaite d'Alain Juppé s'explique largement par le rejet d'un multiculturalisme réel qui n'a pas grand-chose à voir avec les beaux discours de la gauche Terra Nova ni avec l'illusion de l'identité heureuse. Dans certains territoires, le vivre-ensemble au quotidien, c'est l'islamisme, la pression sociale, le séparatisme, l'exclusion des femmes. Il doit être permis de le voir. Et de le dire. [...]"

Source 

lundi, 12 décembre 2016

Bernard Plouvier - Judéo-bolchevisme : fantasme ou réalité des années 1917-1937 ? (1ère partie)

 

 

 
 
Première partie : la Russie
 
 
Il est de bon ton, chez les bien-pensants et les bien-écrivants, de nier toute réalité à cette notion de judéo-bolchevisme, qui paraissait pourtant une évidence à des hommes aussi peu judéophobes que Winston Churchill, Mustafa Kemal Atatürk, Marcel Bucard ou Jacques Doriot (les vrais personnages, pas ceux que décrivent des auteurs à la documentation très curieuse). 

De nos jours, il est devenu très incorrect de rappeler la réalité du judéo-bolchevisme. Les auteurs juifs se contorsionnent pour éliminer ce souvenir, autrefois jugé glorieux, devenu importun depuis 1990 et l’effondrement de l’URSS. Saül Friedländer (1997) remporte la palme de la narration historique politiquement correcte : « La disproportion massive des dirigeants d’origine juive parmi les bolcheviks semblait donner corps à ce qui est devenu un mythe ».
Le lecteur est (encore) libre de se faire une opinion, qui ne dépend que de son point de vue, à condition toutefois que celui-ci soit suffisamment éclairé. Il est évident que, lorsqu’Adolf Hitler lance le 22 juin 1941 sa Wehrmacht à l’assaut de l’URSS, présentée comme « la citadelle du judéo-bolchevisme », il est dans l’erreur : Joseph Dougashvili, alias ‘’Staline’’, a fait le ménage (on parlerait de nos jours d’épuration ethnique), de la fin des années vingt jusqu’aux purges de 1936-37. 

Chacun sait qu’au début de 1917, Erich Ludendorff (le Quartier-maître général de l’Armée allemande, en situation de quasi-dictateur civil et militaire) a autorisé l’Oberstleutnant Walter Nicolaï (le chef du SR allemand) à faire transiter par le Reich le wagon, venu de Suisse et bouclé jusqu’à l’arrivée à destination en Finlande, contenant Wladimir Oulianov, alias ‘’Lénine’’, et sa smala (épouse et admirateurs). Il a même poussé la complaisance jusqu’à financer petitement l’œuvre révolutionnaire des bolcheviks, qui lui paraissait utile pour se débarrasser de l’armée russe, plus coriace qu’on ne l’avait imaginé en 1914. 

Ce financement était misérable au regard de celui offert par des banquiers juifs de New York, même s’il est de bon ton, depuis les années 1990, de nier le fait. Felix Warburg et Jacob Schiff (de la banque Kuhn-Loeb and Cy.) ont envoyé un peu d’or au Goy Alexandre Kerensky, au printemps de 1917, pour assurer le renversement du régime tsariste, haï des Juifs de la planète (Rivera, 1994). Mais, dès 1916, ces mécènes finançaient le marxiste Lev Bronstein, alias ‘’Trotsky’’, à hauteur de 20 millions de dollars (soit 104 millions de francs-or, ce qui représente un pouvoir d’achat d’environ 332 millions d’euros). 

Schiff s’en est vanté dans la livraison du 5 juin 1916 du New York Times, où il rappelait aussi que, dès 1911, il voulait obtenir du Président William Taft la rupture des relations commerciales entre les USA et l’Empire russe. Il aurait pu ajouter que la finance juive avait soutenu Thomas Woodrow Wilson aux élections de 1912 pour faire payer son refus à Taft (longue étude, fort bien documentée, in Rivera, 1994). 

De fait, les chefs mencheviks sont tous juifs et ‘’Trotsky’’ en fait partie jusqu’à ce qu’il passe au camp des frères ennemis, les bolcheviks , où la plupart des chefs sont également juifs.
Bien avant l’effondrement de l’URSS, il était inconvenant pour certains auteurs juifs de rappeler le rôle des Juifs dans le bolchevisme et ses méfaits : « Les Juifs, faible minorité à qui on attribuait une puissance formidable, offraient aux chefs nazis le souffre-douleur recherché » (Loewenstein, 1952, dans un ouvrage de psychanalyse où l’auteur, à la différence de nombre de ses coreligionnaires pour lesquels le fanatisme chrétien et le racisme sont des facteurs prédominants, reconnaît que « l’antisémitisme est surtout d’ordre économique »). 

En 1917-19, années cruciales pour la Révolution communiste, 17 des 22 membres du premier Sovnarkom (le Conseil des Commissaires du peuple ou ministres bolcheviks) sont des Juifs. Seuls sont des Goyim : Oulianov, dit ‘’Lénine’’ (encore est-il possible que son grand-père maternel, Alexandre Blank, ait été juif), le Géorgien Dougashvili, dit ‘’Staline’’, l’Arménien Protian, Anatole Lounatcharsky et Georgi Tchitchérine (Wilton, 1921). À la même époque, 42 des 61 membres du Comité Central exécutif du Parti Communiste soviétique (présidé par le Juif Salomon Sverdlov) sont des Juifs, dont un Karaïte – un descendant de Khazar (liste complète in Wilton, 1921). Le Juif Andrei Soltz est le chef de la Commission de contrôle du Comité Central et un autre Juif, Isaac Zelenski, est le secrétaire du Comité Central (il dirigera ensuite les coopératives de l’URSS et sera exécuté après le procès de mars 1938, qui clôt les purges du Parti). 

La direction de la Tchéka de Moscou, la féroce et sanguinaire police politique, compte 23 Juifs sur ses 37 membres et celle de Petrograd (future Léningrad) 6 Juifs sur ses 12 membres (Fisher, 1964). Brille à la Tchéka puis au Guépéou, le Juif Jacob Blumkine, l’assassin de l’ambassadeur allemand en Russie, au mois de juillet 1918, et que ‘’Staline’’ fera exécuter en 1929 comme trotskyste.
Entre 1918 et 1921, les Juifs forment 15% des cadres provinciaux du Parti bolchevik (Gitelman, 1972). Si, de 1918 à 1920, des pogroms font quelques dizaines de milliers de morts (75 000, selon Gitelman, 1972) en Ukraine révoltée contre la direction bolchevique, c’est pour venger les assassinats d’Ukrainiens par les tueurs bolcheviks, parfois juifs, mais presque toujours encadrés de chefs juifs (Juvin, 1923). 

Parmi les grands maîtres juifs de ces premières années de domination du bolchevisme, l’on peut citer Lev Bronstein-‘’Trotsky’’, fils de riche propriétaire terrien, bientôt maître de l’Armée Rouge (il est célèbre pour sa morgue et son entourage quasi-exclusivement composé de Juifs) ; son beau-frère, le viveur Liev Rosenfeld, alias Kamenev ; l’ennemi farouche de ‘’Lénine’’ : Grigori Radomylski, alias Apfelbaum, plus connu sous le pseudonyme russe de ‘’Zinoviev’’, maître quasi-absolu du Komintern à partir de 1921, jusqu’à l’omnipotence de ‘’Staline’’ à partir de 1924 ; le rouquin fort laid Karl Sobelssohn, alias Radek, beau-frère du richissime Walter Rathenau - avec quelques autres Juifs, dont Adolf Joffe, ‘’Radek’’ est très vite chargé d’exporter le bolchevisme en terres germaniques ; Christian Rakowski, célèbre pour sa crasse et son insolence, chef de la meute d’assassins qui ravage la ville ukrainienne de Kharkov en 1918-19 (in Juvin, 1923, qui se trompe en faisant un Juif de Lounatcharsky ; d’autres auteurs se trompent en faisant un Juif de l’aristocrate slave Tchitchérine).
À partir de 1923 le chef de l’Internationale Syndicale Rouge (ou Profintern), dépendant du Komintern, est le Juif Salomon Dridzo, alias ‘’Lozowski’’, liquidé en 1946. Enfin, les frères Lazare et Mikhaïl Kaganovitch resteront des ministres très appréciés de ‘’Staline’’, tandis que le Commissaire au Commerce extérieur Arkady Rosengoltz sera écarté en 1937, puis exécuté après le procès de mars 1938. Un des pontes du GRU (le SR de l’Armée Rouge), et un temps chef des commissaires politiques de l’Armée Rouge, est le Juif Lazare-‘’Manfred’’ Stern, qui dirigera les liquidations des « ennemis de classe » durant la Guerre d’Espagne puis commandera en second les Brigades Internationales : enfermé, à partir de 1939, dans divers camps dépendant de la chaleureuse administration dénommée GOULAG, il y mourra en 1954.
Sonia Margolina, juive et fille de cadre bolchevik, se souvenant des années 1917-1930 (l’âge d’or de la domination juive sur l’URSS), a écrit : « La participation enthousiaste des Juifs à la destruction de la Russie tsariste fut disproportionnée à leur représentation démographique… Le citoyen russe non-juif avait une bonne chance d’avoir affaire à un interrogateur et à un exécuteur juifs. Partout où le Russe allait, il rencontrait des Juifs aux postes supérieurs… À la fin des années vingt, on vit pour la première fois un grand nombre de Juifs investis d’un pouvoir de vie ou de mort dans les campagnes » (Margolina, 1999). Il reste à déterminer si, pour un Russe ou un Ukrainien des années 1917-30, rencontrer ce type de Juifs était une « chance » ou une réelle malchance, mais il est vrai que, dans le jargon des statisticiens, une occurrence, bonne ou mauvaise, s’appelle toujours une « chance ». 

Avant les purges des années 1936-38, où ‘’Staline’’ se débarrasse de très nombreux Juifs à la tête du PC et du Komintern, le Comité Central du PC de l’URSS comptait encore 11 Juifs sur 104 membres ; à Moscou, 12% des fonctionnaires étaient des Juifs et 9% à Léningrad (Letellier, 1991). 

En 1936, lorsque Nahum Goldmann, le futur patron du Congrès Juif Mondial, croise dans les locaux genevois de la SDN (la Société des Nations) la délégation soviétique conduite par le Juif très grossier et germanophobe Maxime ‘’Litvinov’’ - de son véritable patronyme Meir Wallach, alias ‘’Filkenstein’’, fils de banquier -, 11 de ses 14 membres sont des Juifs, choisis en principe parce qu’ils sont polyglottes (Goldmann, 1976). 

Cette même « petite erreur de dosage » se rencontre, en Europe centrale et danubienne, dans la meute d’assassins de ‘’Bela Kun’’, né Albert Kohn, alias ‘’Sebestyen’’, en Hongrie, où 18 des 26 commissaires du peuple de la République des Soviets, autoproclamée le 20 mars 1919, sont des Juifs. C’est en tant que Commissaire-adjoint à l’Éducation du gouvernement rouge qu’un Juif richissime, fils de banquier haïssant sa mère (un régal pour psychanalyste !), Georg Lukacs débute sa carrière publique ; il se réfugiera en 1930 à Moscou, passera quinze années en autocritiques salvatrices, puis tentera de concilier les thèses de Marx et d’Hegel (Kadarkay, 1991), soit un travail d’un intérêt palpitant pour les amateurs de querelles byzantines ; il est toujours abondamment cité par les auteurs sérieux, qui n’ont peut-être pas lu ses œuvres soporifiques. 

Il en va de même chez les Juifs de Roumanie et surtout de Pologne, où, avant sa dissolution en 1938, 90% des membres du Parti communiste étaient des Juifs (Hillel, 1985). C’est
d’ailleurs en souvenir de la collusion entre les Juifs et les assassins du NKVD durant la période de domination soviétique sur l’est de la Pologne, d’octobre 1939 à juin 1941, que des survivants juifs des camps de concentration nazis seront exterminés par des Polonais, de 1945 à 1947 (Hillel, 1985). Le 29 février 1936, dans une Lettre pastorale, le cardinal August Hlond, primat de Pologne et germanophobe enragé (cf. Plouvier 2009), écrit des Juifs qu’ils sont extrêmement nombreux dans le mouvement communiste, la prostitution et la diffusion de la pornographie, ainsi que dans la pratique de l’usure (in Friedländer, 2008, écumant de rage).
Aux USA, le PC est très largement dominé par l’élément juif (Rothman, 1982). Au Mexique, le très sanguinaire chef de l’État, de 1924 à 1928, Plutarco Elias Calles, Franc-maçon tueur de prêtres catholiques, et réputé marxiste (l’administration du Président Coolidge le surnomme « le bolchevik mexicain »), est un juif sépharade. Et l’on retrouvera le même phénomène de surreprésentation juive, à partir de 1945, en Hongrie, en Roumanie et même en RDA (l’Allemagne de l’Est). 

Comme l’a déploré un auteur juif à propos des Juifs communistes de ces années 1917 sq. : « Leur présence aux postes d’autorité a fourni un nouvel aliment à l’antisémitisme populaire » (‘’Fejtö’’, 1997)… non pas leur présence, mais leur surabondance, leur fanatisme et, trop souvent, leur comportement sanguinaire. Les crimes impunis ne sont jamais pardonnés. 

Que le dogme politiquement correct de nos jours soit de nier la réalité du judéo-bolchevisme, cela n’engage que les fonctionnaires de la narration historique. Les contemporains de ‘’Lénine’’ et de ‘’Trosky’’ savaient à quoi s’en tenir. Le catholique franco-britannique Hilaire Belloc a écrit en 1922 : « Le bolchevisme a posé la question juive avec une telle violence… qu’elle ne peut plus être niée… même par le menteur le plus effronté… L’explosion bolcheviste est juive » (in Poliakov, 1981, volume 2). 

Winston Spencer Churchill, qui dépend si souvent de sponsors juifs pour éponger ses dettes de jeu et soutenir son fastueux train de vie durant les années 1925-1939 (Irving, 1987), est du même avis et le sera encore en 1936-37. 

En outre, le rabbin Stephen-Samuel Wise, futur président-fondateur du Congrès juif mondial, a écrit dans la livraison du 23 mars 1917 du New York Times : « Parmi toutes les réalisations de mon peuple, aucune n’a été plus noble que la participation des fils et des filles d’Israël au mouvement de libération de la Russie » (cité in Petrovsky, 1931). Une « libération » qui a coûté la vie à plus de trente millions d’êtres humains, si l’on additionne les morts de la guerre civile, des famines et des purges staliniennes des années vingt et trente : il y a réellement de quoi pavoiser… on comprend que certains auteurs préfèrent parler de « mythe ».

Bibliographie 

* F. Fetjö, né Fischel : Dieu et son Juif, Éditions Pierre Horay, 1997
* L. Fischer : The life of Lenin, Harper, New York, 1964
* S. Friedländer : L’Allemagne nazie et les juifs, volume 1 : 1933-1939. Les années de persécution, Seuil, 1997
* S. Friedländer : L’Allemagne nazie et les Juifs, volume 2 : 1939-1945. Les années d’extermination, Seuil, réédition de 2008
* Z. Gitelman : Jewish nationality and soviet politics. The jewish sections of the CPSU, 1917-1930, Princeton University Press, Princeton [État du New Jersey], 1972
* N. Goldmann : Le paradoxe juif. Conversations en français avec Léon Abramovitz, Stock, 1976
* M. Hillel : Le massacre des survivants en Pologne après l’Holocauste (1945, 1947), Plon, 1985
* D. Irving : Churchill’s war. The struggle for power, 2 volumes, Veritas Publishing Co., Sydney, 1987
* L. Juvin : La République juive des Soviets. Deux années en Russie (1919-1921), Déterna, 2009 (1ère édition de 1923)
* A. Kadarkay : Georg Lukacs. Life, thought and politics, Blackwell, Oxford, 1991
* J. Letellier : Les Juifs chez les chrétiens. 20 siècles de déraison, Éditions du Centurion, 1991
* R. Loewenstein : Psychanalyse de l’antisémitisme, P.U.F., réédition de 2001 (1ère édition de 1952 ; un régal, à la condition de le consommer avec beaucoup d’humour et de détachement)
* S. Margolina : Das Ende der Lügen. Russland und die Juden im 20. Jahrhundert, Siedler, Berlin, 1999
* D. Petrovsky : La Russie et les Juifs, Éditions Baudinière, 1931
* B. Plouvier : Pie XII contre Hitler, Dualpha, 2009
* L. Poliakov : Histoire de l’antisémitisme, 2 volumes, Calmann-Lévy, réédition de 1981
* D. A. Rivera : Final warning. A history of the New World Order, 1994 (en libre lecture sur le site The Unjust Media ; pour son étude très précise sur l’octroi de crédits de Jacob Schiff à Léon ‘’Trotski’’, sans trop s’attarder sur le pathos complotiste)
* S. Rothman, S. R. Lichter : Roots of radicalism : Jews, christians and the new left, Oxford University Press, New York, 1982
* R. Wilton : Les derniers jours des Romanoff, Crès, 1921 (c’est le texte fondateur et irréfutable de la notion de « judéo-bolchevisme » ; l’auteur était Britannique, germanophobe et nullement judéophobe).

Mosquée salafiste fermée de Villiers (94) : Les Républicains s’engagent à installer un chapiteau et à prêter un terrain municipal

 

 
Membre de l’équipe Fillon, le député-maire Jacques-Alain Bénisti souhaite répondre aux souhaits des fidèles musulmans de la mosquée Islah fermée administrativement pour cause de radicalité, foyer djihadiste et hébergeant une école clandestine. Deux imâms ultra radicaux s’y sont pourtant succédés : Béchir Ben Hassen (Frère musulman qui prescrit le meurtre des caricaturistes) et Mustafa Mraoui (parti rejoindre l’Etat Islamique avec dix fidèles de la mosquée). Pour plus d’informations lire notre enquête « Mosquées Radicales » (éditions DMM,2016).
 
Lu dans Le Parisien du 4 novembre 2016 : « La ville est propriétaire d’un terrain vague, sur lequel doit être construite une nouvelle mosquée, avant la démolition de l’ancienne, explique Jacques-Alain Bénisti, maire (LR) de Villiers-sur-Marne. Il est situé derrière la zone commerciale qui longe la cité des Hautes-Noues, à hauteur du boulevard de Bishop’s Stortford. Nous mettons tout en œuvre pour qu’un chapiteau, ou un barnum, puisse y être installé d’ici vendredi prochain, et que les fidèles disposent d’un lieu de repli où prier. »

Lire en complément : Ces membres de l’équipe Fillon qui collaborent avec des mosquées en mairie

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